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©FFTT_JulienCrosnier

Mémoire2cité Mourenx par Claude Roux dcd en 2008,témoin de son temps, qui a su figer la vie née dans la ville ». Ses photos, réutilisées dans nombre de publications ..comme le Bùtiment A, rue des Pionniers Ville nouvelle, désignée ainsi par ses architectes, a été édifiée entre 1957 et 1966 afin de loger le personnel

travaillant dans le complexe industriel de Lacq qui se développe à la fin des années 1950 dans la région du gave de Pau,

suite à la découverte en 1951 d'une source de gaz naturel à Lacq. La Société nationale des Pétroles d'Aquitaine (SNPA),

en charge de l'exploitation de l'usine de Lacq, confie alors la maßtrise d'ouvrage de la ville à la filiale opérationnelle de la

Caisse des DépÎts et Consignation : la Société centrale immobiliÚre de la Caisse des DépÎts (SCIC).

Architecte-urbaniste Ă  Pau, Jean-Benjamin Maneval est choisi par le MinistĂšre de la Reconstruction pour piloter

l'urbanisation de la rĂ©gion de Lacq. LĂ©on-Paul Leroy (1915-2001), alors Ă  la tĂȘte de la SCIC, lui adjoint deux autres

architectes, René-André Coulon et son collaborateur Philippe Douillet.

Le chantier de construction mené par l'entreprise de bùtiments publics SAE débute le 15 septembre 1957 grùce à une

main-d’Ɠuvre de 900 hommes. L'Ă©dification de la ville se fait Ă  marche forcĂ©e : une Ă©quipe de 21 hommes monte un Ă©tage

courant de tour (trois appartements) tous les quatre jours et en moyenne 275 logements sont livrés par mois.

DÚs juillet 1958, 350 logements sont occupés tandis que le chantier se poursuit. Ainsi, trois grandes phases se succÚdent

pour le cƓur de la ville destinĂ© aux ouvriers et contremaĂźtres : la construction des barres A Ă  V et des tours T1 Ă  T6 de 1957

Ă  1959, puis celle des barres dites "de densification" D1 Ă  D9 en 1959, enfin, celle des barres de la zone d'extension, E1

à E9, et des tours T7 et T9 en 1960. Les lotissements dédiés aux cadres sont édifiés entre 1959 et 1965 ; les trois groupes

scolaires entre 1958 et 1963 et la cité scolaire comprenant collÚge et lycée est inaugurée en 1966. La tour des célibataires,

l'église, le centre administratif et commercial sont bùtis entre 1961 et 1962, le parc des sports en 1966.

Si le trio d'architectes conçoit la majoritĂ© des logements, certains bĂątiments publics sont confiĂ©s Ă  d'autres maĂźtres d'Ɠuvre.

Ainsi, le premier groupe scolaire édifié est dû à l'architecte Albert Carresse ; le deuxiÚme à un certain Crouzat. Le centre

nautique, est lui, l’Ɠuvre de l'Agence Aquitaine Architectes associĂ©s (AndrĂ© GrĂ©sy et Jean-RaphaĂ«l HĂ©brard).

Enfin, on doit également certains des lotissements dévolus aux cadres à différents architectes, tels que Jean Fayeton,

Maurice Novarina, André Remondet ou André Malizard pour les plus connus. Les autres auteurs sont les suivants : Henry

de la Brunerie, Raymond Gravereaux, Jean Lafon, Lucas, Daniel Michelin, M. C. PomarĂšde, Jacques Riot, Jean Rouquet

et Fernand Zipcy. Ces lotissements souscrivent alors tous aux normes des LOGECO, logements économiques et familiaux,

dont la construction est aidée par l'Etat entre 1953 et 1963.

AprĂšs un pic culminant Ă  11125 habitants en 1964, la ville nouvelle de Mourenx passe Ă  9458 en 1975 et compte, en

2010, 7248 habitants.

Période(s) principale(s) : 3e quart 20e siÚcle

Aquitaine, Pyrénées-Atlantiques, Mourenx

Ville nouvelle de Mourenx IA64002423

15 janvier 2019 Page 2

Dates : 1957 (daté par source), 1958 (daté par source), 1959 (daté par source), 1961 (daté par source), 1962 (daté par

source), 1963 (daté par source), 1965 (daté par source), 1966 (daté par source)

Auteur(s) de l'oeuvre : Jean-Benjamin Maneval, René-André Coulon (architecte, attribution par source),

Philippe Douillet (architecte, attribution par source), Albert Carresse (architecte, attribution par source),

André Grésy (architecte, attribution par source), Jean-Raphaël Hébrard (architecte, attribution par source),

Crouzat (architecte, attribution par source), Jean Fayeton (architecte, architecte des BĂątiments civils, attribution

par source), Maurice Novarina (architecte, attribution par source), André Remondet (architecte des Bùtiments

civils, attribution par source), Jean Lafon (architecte, attribution par source), Lucas (architecte, attribution

par source), Raymond Gravereaux (architecte, attribution par source), M. C. PomarĂšde (architecte, attribution

par source), Jean Rouquet (architecte, attribution par source), Jacques Riot (architecte, attribution par source),

Daniel Michelin (architecte, attribution par source), Fernand Zipcy (architecte, attribution par source),

André Malizard (architecte, attribution par source), Henry de La Brunerie (architecte, attribution par source)

Description

La ville-nouvelle de Mourenx est édifiée à proximité du bourg de Mourenx, à cinq kilomÚtres des usines, à l'abri des

fumées, sur les contreforts de la colline de Lagor, dominant le cours du Luzoué. Les architectes Maneval, Coulon et

Douillet revendiquent l'édification d'une ville à l'image des cités nouvelles construites autour de Londres ( "New Towns" )

aprÚs la seconde Guerre Mondiale, telle qu'Harlow, conçue non pas comme une cité-dortoir mais comme une véritable

ville autonome, disposant de sa propre administration et de ses propres équipements de loisirs.

En ce qui concerne le parc de logements, les architectes le conçoivent pour 12 000 habitants. Il se compose d'un centreville doté de barres de 4 étages et de tours de 12 étages et, sur les collines, de lotissements élaborés avec un groupe d'autres

architectes dont Maurice Novarina.

Au centre, on trouve des unités de 300 logements, s'organisant en barres autour d'une tour. Ces derniÚres sont numérotées

de T1 à T9, tandis que les barres sont nommées A à V, C1 à C11 pour les barres dotées de magasins ou de services

administratifs -C2 étant la tour dite "des célibataires" abritant un hÎtel au rez-de-chaussée, D1 à D9 pour les "barres de

densification" et E1 à E9 pour les "barres d'extension". Trois "collectifs isolés" sous la forme de tours sont distribués en

périphérie du centre et dénommés CI1 à CI3.

Pour ce qui est des lotissements, ceux-ci sont organisés en maisons de un étage au plus, qu'elles soient individuelles,

jumelles, en bande, en plusieurs quadrilatĂšres de quatre logements ou en ensembles complexes. Leurs toits sont le plus

souvent à deux pans inversés ou en terrasse. Pensées en symbiose avec le paysage, ces maisons épousent les courbes de

niveaux et sont dotées de jardins.

Parmi les équipements publics, on peut noter les trois groupes scolaires constitués également de barres, l'hÎtel de ville

conçu dans l'esprit de l'architecte Van der Rohe et l'église de forme triangulaire, coiffée d'un toit concave avec une flÚche

en acier pour clocher, dotée de façades en béton et d'un parement en pierres calcaire d'Arudy. Au centre, commerces et

mairie sont regroupés sur des plateaux piétonniers reliés par des escaliers autour desquels la circulation automobile est

aménagée.

L'ensemble des éléments descriptifs du centre ville (barres et tours) et des lotissements sont détaillés dans les devis

descriptifs des architectes conservés aux archives municipales de Mourenx et résumés par nos soins dans les dossiers

relatifs à chaque lotissement. Cependant, l'architecture dominante à Mourenx reste celle d'un grand ensemble conçu en

béton. Les murs des barres et des tours sont en béton caverneux, les toits terrasse sont recouverts d'un béton Vermex

surmonté d'une chape en ciment et d'une surface d'étanchéité multicouches. A partir des années 1980, ces collectifs

connaissent plusieurs phases de réhabilitation, dont l'isolation par l'extérieur, une singularisation par la couleur et pour

certains, une restructuration de la distribution intérieure afin de réduire le nombre de piÚces par logements. Parpaings et

bĂ©ton armĂ© caractĂ©risent Ă©galement la mise en Ɠuvre des matĂ©riaux de construction des maisons des lotissements.

Navette Parking P4

Exploitant : Aéroport de Bordeaux-Mérignac

Réseau Navettes Aéroport de Bordeaux

Date: 1912

 

Category: Cawston

 

Type: Image

 

Identifier: LP0625

 

Source: Unknown

 

Owner: South Pasadena Public Library

 

Previous Identifier: ark.cdlib.org/ark:/13030/kt0t1nc9wm / csp_342

 

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Exploitation presse possible UNIQUEMENT sur demande : communication@fftt.com

©FFTT_JulienCrosnier

Exploitant : RATP

Réseau : RATP

Ligne : 42

Lieu : Île Seguin (Boulogne-Billancourt, F-92)

Lien TC Infos : tc-infos.fr/vehicule/7047

twitter.com/Memoire2cite le Logement Collectif* 50,60,70's dans tous ses Ă©tats..Histoire & MĂ©moire de l'Habitat / RĂ©tro-Villes / HLM / Banlieue / Renouvellement Urbain / Urbanisme - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards1962...missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695... MĂ©moire2citĂ© MĂ©moire2Ville MĂ©moire de l'Habitat,içi la page listant mes 43 albums photos disponibles, çe x 1000 pour chacuns d'entre eux ..Merci aux 5859 followers qui porte une attention particuliere Ă  nos quartiers..la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres Ă  Paris, tours Picasso Ă  Nanterre, vues de la dĂ©fense, Benghazi Libye 1975 RĂ©alisateur : Sydney JĂ©zĂ©quel, Karenty

MinistĂšre de l'Équipement et de l'AmĂ©nagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nĂ©cessitĂ© vitale" pour palier Ă  l'inadaptation du rĂ©seau routier de l'Ă©poque vouĂ© Ă  la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'AmĂ©nagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 Ă  1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intĂ©rieur des bureaux d'Ă©tudes qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistĂ©e par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisĂ© sur un Ă©cran. La voix off nous informe sur le financement de ces Ă©quipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine Ă  Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au pĂ©riphĂ©rique, de l'Ă©changeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe prĂ©cise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociĂ©tĂ©s d'Ă©conomies mixtes ont Ă©tĂ©s crĂ©es pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accĂ©lĂ©rer la construction l’État a eu recours Ă  des concessions privĂ©es par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artĂšres Ă©conomiques favorisant le dĂ©veloppement industriel elles permettent de revitaliser des rĂ©gions en perte de vitesse et de l'intĂ©grer dans le mouvement gĂ©nĂ©ral de l'expansion" Sur le plan europĂ©en elles vont combler le retard de la France et rĂ©aliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le prĂ©sident Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sĂ©curitĂ©. La question de la limitation de vitesse est posĂ©e au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sĂ©curitĂ© selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le dĂ©placement sur rail de 65 mĂštres d'un chĂąteau classĂ© afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.DurĂ©e : 4 minutes 30 secondes Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France aprĂšs la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois aprĂšs la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupĂ©s, soit plus de 110 km de brĂšches ; de nombreuses villes se trouvent isolĂ©es.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routiĂšres". Mais outre la pĂ©nurie de main d’Ɠuvre, il faut faire face au manque de matĂ©riaux (bĂ©ton, mĂ©tal) et donc dĂ©ployer des trĂ©sors d'imagination pour reconstruire les ponts dĂ©truits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploitĂ©, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de GalliĂ©ni Ă  Lyon, oĂč 7 Ă  800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'Ă©poque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts Ă  reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journĂ©es d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945

Auteurs / rĂ©alisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et ChaussĂ©es / MinistĂšre des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc DurĂ©e : 14 min ThĂšmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clĂ©s : chantier, pont, Reconstruction, restauration, bĂ©ton prĂ©contraint, ministĂšre des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinĂ©matographique de la reconstruction, rĂ©alisation Paul de Roubaix production ministĂšre de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animĂ© prĂ©sentant l'amĂ©nagement de la capitale dans les annĂ©es 60, Animation, dessin animĂ© Ă  vocation pĂ©dagogique visant Ă  promouvoir la politique d’amĂ©nagement suivie dans les annĂ©es 60 Ă  Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siĂšcle (LutĂšce, Ɠuvres de Turgot, NapolĂ©on, Haussmann), ce dessin animĂ© retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siĂšcle. Il annonce les grands principes d’amĂ©nagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (rĂ©fĂ©rence implicite Ă  la charte d’AthĂšnes). Le texte est travaillĂ© en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poĂ©tiquement cette vision du futur. ThĂšmes principaux : AmĂ©nagement urbain / planification-amĂ©nagement rĂ©gional Mots-clĂ©s : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu gĂ©ographique : Paris 75 Architectes ou personnalitĂ©s : EugĂšne Haussmann, NapolĂ©on, Turgot RĂ©alisateurs : AndrĂ© Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt

www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans aprĂšs la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles rĂ©alisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans aprĂšs la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande Ă©voque les villes et villages français dĂ©truits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle Ă  ChĂątenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, ChambĂ©ry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la maniĂšre dont a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e la reconstruction de Saint-Malo Ă  l'intĂ©rieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidĂ©litĂ© Ă  l'histoire et la force du souvenir qui a guidĂ© l'architecte". Dans le mĂȘme esprit Ă  Gien, au trois quart dĂ©truite en 1940, seul le chĂąteau construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aĂźnĂ©e de Louis XI, fut Ă©pargnĂ© par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevĂ© de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelĂ© « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxiĂšme temps est abordĂ© le chapitre de la construction des citĂ©s et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiĂ©e de "grandiose incontestablement". S’il est prĂ©cisĂ© "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne Ă  la ville, un urbanisme plus aĂ©rĂ©, plus vert." les films caravelles 1956, RĂ©alisateur : Jack Pinoteau (connu pour ĂȘtre le metteur en scĂšne du film Le Triporteur 1957 qui fit dĂ©couvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Levittown: The Construction and Systematic Execution of Discrimination in Modern Suburbia (NHD 2018) www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M 
 
 17000 maisons en 2 ans un record dans l histoire des annees 60 @ la grande Acceleration @ Un point de bascule avec le changement de regime d'existence les 30 glorieuses americaine @ la constructions de masse.., ici LEVITTOWN a LONGISLAND, 17000 pavillons en 2 ans un Record...Yes this is it my Our Home Town: Levittown, PA (1954) - www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M les 30 glorieuses atomique @ le projet PLOWSHARE de 1957 LE FILM ICI www.youtube.com/watch?v=kpjFU_kBaBE 
 STRAUSS le promoteur du nucleaire Americain les 30 glorieuses AmĂ©ricaine @ quand celles çi ratent le coche sur le developpement solaire... les occasions manquĂ©es de soigner notre humanitĂ©..www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinĂ©matographique de la reconstruction, rĂ©alisation Paul de Roubaix production ministĂšre de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animĂ© prĂ©sentant l'amĂ©nagement de la capitale dans les annĂ©es 60, Animation, dessin animĂ© Ă  vocation pĂ©dagogique visant Ă  promouvoir la politique d’amĂ©nagement suivie dans les annĂ©es 60 Ă  Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siĂšcle (LutĂšce, Ɠuvres de Turgot, NapolĂ©on, Haussmann), ce dessin animĂ© retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siĂšcle. Il annonce les grands principes d’amĂ©nagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (rĂ©fĂ©rence implicite Ă  la charte d’AthĂšnes). Le texte est travaillĂ© en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poĂ©tiquement cette vision du futur. ThĂšmes principaux : AmĂ©nagement urbain / planification-amĂ©nagement rĂ©gional Mots-clĂ©s : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu gĂ©ographique : Paris 75 Architectes ou personnalitĂ©s : EugĂšne Haussmann, NapolĂ©on, Turgot RĂ©alisateurs : AndrĂ© Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt

www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans aprĂšs la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles rĂ©alisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans aprĂšs la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande Ă©voque les villes et villages français dĂ©truits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle Ă  ChĂątenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, ChambĂ©ry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la maniĂšre dont a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e la reconstruction de Saint-Malo Ă  l'intĂ©rieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidĂ©litĂ© Ă  l'histoire et la force du souvenir qui a guidĂ© l'architecte". Dans le mĂȘme esprit Ă  Gien, au trois quart dĂ©truite en 1940, seul le chĂąteau construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aĂźnĂ©e de Louis XI, fut Ă©pargnĂ© par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevĂ© de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelĂ© « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxiĂšme temps est abordĂ© le chapitre de la construction des citĂ©s et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiĂ©e de "grandiose incontestablement". S’il est prĂ©cisĂ© "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne Ă  la ville, un urbanisme plus aĂ©rĂ©, plus vert." les films caravelles 1956, RĂ©alisateur : Jack Pinoteau (connu pour ĂȘtre le metteur en scĂšne du film Le Triporteur 1957 qui fit dĂ©couvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS datĂ© de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s 
 L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le MusĂ©e des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695.. A partir des annĂ©es 1950, le trafic de la banlieue parisienne suit l’urbanisation galopante et les dessertes ferroviaires doivent s’adapter et se moderniser.Quelques amateurs ont su immortaliser un monde ferroviaire qui Ă©tait alors en voie de disparition. Dans ce film, nous retrouvons les dessertes 750 volts par troisiĂšme rail en rames « Standard » sur les lignes de Versailles-RD, sur la ligne d’Auteuil et entre Puteaux et Issy-Plaine mais aussi les derniers trains Ă  vapeur Ă  St Lazare, Ă  La Bastille et sur le Nord et quelques ultimes voyages sur les lignes de Ceinture --------------De la rĂ©volution industrielle Ă  aujourd’hui, un dĂ©cryptage minutieux de la course au dĂ©veloppement qui a marquĂ© le point de dĂ©part de l’ùre de l'anthropocĂšne (ou l'Ăšre de l'Homme) et de la dĂ©terioration continue de la planĂšte. www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonniĂšres de la basse atmosphĂšre. RĂ©chauffement climatique, dĂ©forestation, inondations, Ă©puisement des ressources, pollutions, dĂ©chets radioactifs... : en deux siĂšcles, la course au progrĂšs et Ă  la croissance a durablement altĂ©rĂ© la planĂšte, la crise environnementale se doublant d’une rupture gĂ©ologique, avec l’avĂšnement de l’ùre anthropocĂšne. PortĂ©e par l’exploitation des Ă©nergies fossiles – du charbon de la rĂ©volution industrielle en Angleterre au tout-pĂ©trole de la domination Ă©conomique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraĂźnent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accĂ©lĂšre la PremiĂšre Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisĂ©es pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se gĂ©nĂ©ralise, et l’AmĂ©rique s’inspire du modĂšle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ùre nuclĂ©aire de la guerre froide. Dans sa dĂ©mesure, l’homme rĂȘve dĂ©jĂ  d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le bĂ©ton deviennent les piliers de la consommation de masse, dĂ©voreuse de matiĂšres premiĂšres et antidote Ă  la contestation sociale, jusqu’à la rĂ©volution numĂ©rique. Liaisons dangereuses En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siĂšcles de progrĂšs jusqu’à l’ùre du big data, le film remonte aux sources de la crise Ă©cologique, en interrogeant avec prĂ©cision les enjeux scientifiques, Ă©conomiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il Ă©claire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposĂ©s par les grandes puissances, un dĂ©cryptage passionnant du basculement dans l’anthropocĂšne, funeste asservissement de la nature par l’homme. le Logement Collectif* 50,60,70's dans tous ses Ă©tats..Histoire & MĂ©moire de l'Habitat / RĂ©tro-Villes / HLM / Banlieue / Renouvellement Urbain / Urbanisme URBANISME S’imaginer Paris et le Grand Paris @ Les 50ans d'Apur (link: 50ans.apur.org/#intro) 50ans.apur.org/#intro @ OĂč en est l'histoire urbaine des sociĂ©tĂ©s contemporaines ? Cet ouvrage, inspirĂ© par Annie Fourcaut, qui contribua de maniĂšre dĂ©cisive Ă  son dĂ©veloppement, propose un Ă©tat des lieux de ce champ et explore des pistes de recherche ouvrant l'histoire urbaine Ă  une variĂ©tĂ© de " genres ". OĂč en est l'histoire urbaine des sociĂ©tĂ©s contemporaines ? Cet ouvrage, inspirĂ© par Annie Fourcaut, qui contribua de maniĂšre dĂ©cisive Ă  son dĂ©veloppement, propose un Ă©tat des lieux de ce champ. De Femmes Ă  l'usine (1981), Bobigny, banlieue rouge (1986), Ă  La banlieue en morceaux (2000), en passant par les publications collectives qu'elle a coordonnĂ©es et les travaux qu'elle a encadrĂ©s, la trajectoire de cette historienne a conduit l'histoire sociale et politique – telle qu'on la pratiquait dans les annĂ©es 1970 – vers une histoire urbaine renouvelĂ©e. Le livre revient sur cette Ă©volution et explore des pistes de recherche ouvrant l'histoire urbaine Ă  une variĂ©tĂ© de " genres ". Les auteurs, historiennes et historiens, sociologues, politistes, gĂ©ographes, architectes, urbanistes et dĂ©cideurs politiques proposent une histoire urbaine Ă  la fois interdisciplinaire et ancrĂ©e dans la fabrique de la ville et ses reprĂ©sentations, portant la marque de sa dĂ©dicataire.Les quatre sections de l'ouvrage dessinent les chantiers qu'Annie Fourcaut a investis : " Du social Ă  l'urbain " met en avant la conviction qu'Ă©tudier l'histoire des villes, c'est toujours faire de l'histoire sociale ; " Qu'elle Ă©tait belle la banlieue " est centrĂ© sur les banlieues, son territoire d'Ă©tude de prĂ©dilection ; " Les habits neufs des politiques de la ville " interroge les politiques urbaines successives et leur transformation ; enfin, " Banc d'essai des modernitĂ©s " propose une analyse historique de l'urbanisme, comme discipline et comme pratique. www.benjamingibeaux.fr/portfolio/petite-histoire-de-lhabi... Le Label « Patrimoine du XXe siĂšcle » créé en 1999 par le ministĂšre de la Culture et de la Communication a pour but de faire connaĂźtre l’architecture de cette pĂ©riode. La comparaison des labellisations rĂ©alisĂ©es par les DRAC d’Île-de-France et d’Occitanie (ex Languedoc-Roussillon et de Midi-PyrĂ©nĂ©es) montre la variĂ©tĂ© des mĂ©thodes employĂ©es pour rendre compte soit de l’importance numĂ©rique des Ă©difices remarquables soit de la difficultĂ© Ă  Ă©tablir ce corpus et de la nĂ©cessitĂ© de s’appuyer sur les inventaires ou Ă©tudes thĂ©matiques ou monographiques. Si l’attribution du label, dĂ©sormais appelĂ© "Architecture contemporaine remarquable" s’est faite depuis vingt ans de façon trĂšs diverse selon les rĂ©gions, elle est toujours l’occasion de mettre en lumiĂšre et de porter Ă  la connaissance du public des Ɠuvres architecturales remarquables, notamment via une augmentation impressionnante des publications de qualitĂ© sur l'architecture du XXe siĂšcle. En 1999, le ministĂšre de la Culture et de la Communication propose la mise en place d’un nouvel outil pour permettre la reconnaissance et la sauvegarde des constructions Ă©levĂ©es au cours du siĂšcle qui s’achĂšve. Le label « Patrimoine du XXe siĂšcle » est une dĂ©clinaison nationale de la recommandation du conseil de l’Europe sur la prise en compte de l’architecture du XXe siĂšcle. Ce dernier Ă©voque, pour la conservation de ce patrimoine « moins reconnu », une absence d’intĂ©rĂȘt « en raison de sa proximitĂ© dans l’Histoire, de l’abondance de ses tĂ©moignages et de son caractĂšre hĂ©tĂ©rogĂšne » et sa crainte de « pertes irrĂ©parables »2 . Le label mis en place par la France vise Ă  appeler « l’attention des dĂ©cideurs, des amĂ©nageurs, mais aussi et surtout de ses usagers et du public sur les productions remarquables de ce siĂšcle » ChargĂ©es de mettre en place le label, les directions rĂ©gionales des affaires culturelles (Drac), services dĂ©concentrĂ©s du ministĂšre de la Culture, ont Ă  cette date dĂ©jĂ  construit, chacune Ă  sa maniĂšre, leur approche de la prĂ©servation du patrimoine du XXe siĂšcle. Elles s’emparent alors diversement du label, appliquant de facto des labellisations aux immeubles de ce siĂšcle dĂ©jĂ  protĂ©gĂ©s au titre des monuments historiques4 ou mettant en place de vĂ©ritables stratĂ©gies pour rĂ©pondre pleinement aux attendus de la directive nationale. À partir de nos expĂ©riences, il nous a paru intĂ©ressant de montrer la diversitĂ© de la mise en place du label dans trois Drac parmi d’autres, l’Île-de-France ainsi que Languedoc-Roussillon et Midi-PyrĂ©nĂ©es qui composent aujourd’hui la rĂ©gion Occitanie5. Pour chacune de ces Drac, il s’agit de montrer comment la connaissance de ce patrimoine, mais aussi ses particularitĂ©s territoriales ont jouĂ© un rĂŽle important dans le choix des mĂ©thodologies de sĂ©lection des Ɠuvres Ă  labelliser ainsi que la dĂ©termination de critĂšres, et de prĂ©senter les rĂ©sultats et les actions de valorisation menĂ©es pour faire connaĂźtre et apprĂ©cier ces crĂ©ations architecturales rĂ©centes. Le label « Patrimoine du XXe siĂšcle » en Île-de-France : gĂ©rer l’abondance La Drac Île-de-France s’est emparĂ©e tardivement du label « Patrimoine du XXe siĂšcle », pour plusieurs raisons. Parmi les freins Ă  l’action, il faut citer la question du pilotage de la mise en place du label entre diffĂ©rents services de la Drac, les interrogations liĂ©es Ă  l’opportunitĂ© de ce nouveau dispositif et un relatif scepticisme quant Ă  son efficacitĂ©, l’ampleur de la tĂąche au vu du corpus concernĂ©, le plus important de France en quantitĂ© et sans doute en qualitĂ©, mais surtout l’engagement pris de longue date par cette Drac et les membres de sa commission rĂ©gionale du patrimoine et des sites (CRPS) en faveur du patrimoine du XXe siĂšcle. En effet, c’est sans doute dans cette rĂ©gion que l’on protĂšge le plus grand nombre d’édifices contemporains au titre des monuments historiques : dans la premiĂšre dĂ©cennie du XXIe siĂšcle, selon les annĂ©es, 50 Ă  70 % des protections concernent des Ă©difices construits au siĂšcle prĂ©cĂ©dent. Ainsi, ce nouveau dispositif, dĂ©pourvu de dispositions contraignantes, Ă©tranger Ă  la culture de la conservation rĂ©gionale des monuments historiques (CRMH) dont l’action est liĂ©e Ă  la protection, peinait Ă  dĂ©montrer son intĂ©rĂȘt au regard de ce qu’offre la lĂ©gislation sur les monuments historiques. Cependant, au vu de l’enjeu que constitue la prĂ©servation de l’architecture contemporaine en Île-de-France, liĂ© Ă  la fois Ă  l’ampleur de la production et aux Ă©volutions urbaines et rĂ©glementaires constantes engageant sa conservation, la question de la mise en place du label Ă©tait rĂ©guliĂšrement posĂ©e Ă  la Drac. PilotĂ©e par la CRMH, la premiĂšre expĂ©rience de labellisation y fut menĂ©e en 2004. Elle s’inscrivait dans la suite de l’étude menĂ©e par le groupe d’experts dirigĂ© par Bernard Toulier, conservateur du Patrimoine au dĂ©partement du pilotage de la recherche et de la politique scientifique du ministĂšre de la Culture, qui avait produit une liste d’édifices du XXe siĂšcle repĂ©rĂ©s en bibliographie, inventaire devant servir de base Ă  la constitution de propositions de labellisations. Selon la mĂ©thode suivie par ce groupe d’experts, on fit le choix de prĂ©senter tous les immeubles concernĂ©s regroupĂ©s par larges typologies. Les membres de la CRPS, devant lesquels fut prĂ©sentĂ©e cette liste d’édifices, rejetĂšrent en bloc la sĂ©lection oĂč voisinaient l’aĂ©rogare 1 de l’aĂ©roport Roissy-Charles de Gaulle et la modeste mairie du 17e arrondissement de Paris prĂ©sentĂ©e Ă  la demande de son maire, arguant de l’impossibilitĂ© Ă  valider le choix d’édifices que rien ne rapprochait. De plus, nombre des immeubles retenus Ă©taient candidats Ă  la protection au titre des monuments historiques, brouillant de fait l’identitĂ© du label et rĂ©futant du mĂȘme coup la conception un temps Ă©noncĂ©e du label comme « antichambre » de la protection. En effet, si la grande qualitĂ© de la plupart des Ă©difices sĂ©lectionnĂ©s montrait toute la richesse des crĂ©ations contemporaines franciliennes, la seule prĂ©sentation des plus remarquables d’entre eux rĂ©sultait d’une absence de sĂ©lection argumentĂ©e, selon l’esprit du label. La prĂ©sentation de cette premiĂšre liste en CRPS tourna donc court. - La question des critĂšres de sĂ©lection a Ă©tĂ© dĂ©battue Ă  la lumiĂšre de l’expĂ©rience de la labellisa (...) En 2008, toujours sous l’impulsion du service des monuments historiques, une nouvelle orientation fut prise. Un pilotage, un groupe de travail, un objectif furent mis en place. Trois orientations furent dĂ©finies : selon les recommandations de la CRMH de la rĂ©gion PACA, procĂ©der par thĂ©matiques typologiques, mĂ©thode propice Ă  l’élaboration de critĂšres de sĂ©lection ; cibler un patrimoine dĂ©prĂ©ciĂ© ou en danger, pour rĂ©pondre parfaitement aux attendus de la directive europĂ©enne ; pour cette premiĂšre campagne de labellisation, choisir un champ vierge de reconnaissance patrimoniale, Ă©loignĂ© de la protection au titre des monuments historiques afin d’éviter toute confusion entre les Ă©difices labellisĂ©s et les Ă©difices protĂ©gĂ©s. Le thĂšme des ensembles de logements, nombreux dans cette rĂ©gion, s’est naturellement dĂ©gagĂ©. À gĂ©omĂ©trie variable, le groupe de travail dirigĂ© par la cellule protection Ă©tait formĂ© d’un premier cercle pĂ©renne, garant de la cohĂ©rence de la dĂ©marche de labellisation et des choix des thĂ©matiques, et d’un second, composĂ© de spĂ©cialistes de chaque thĂ©matique retenue. Le premier cercle Ă©tait constituĂ© d’agents de la Drac (conservation des monuments historiques, service architecture, un architecte des bĂątiments de France, chargĂ© de faire le lien avec l’ensemble des services dĂ©partementaux de l’architecture et du patrimoine de la rĂ©gion), de reprĂ©sentants du monde universitaire et de la recherche dans le domaine de l’architecture du XXe siĂšcle.

Pour les ensembles de logements, le second cercle du groupe de travail a permis d’associer des acteurs de terrain, des reprĂ©sentants des bailleurs sociaux, des experts. Le sujet fut restreint chronologiquement (1945-1975), son acception prĂ©cisĂ©e (habitat collectif et individuel) et le corpus, basĂ© sur les inventaires existants et la bibliographie, fut Ă©tabli Ă  partir des critĂšres Ă©laborĂ©s par le groupe de travail : histoire, forme urbaine, valeur d’usage, technique, style - ComposĂ©e d’environ un tiers de ses membres, la dĂ©lĂ©gation permanente est une Ă©manation de la CRPS (...) De façon exceptionnelle, la liste des ensembles de logements fut en premier lieu prĂ©sentĂ©e devant les membres de la dĂ©lĂ©gation permanente de la CRPS7 pour en valider les orientations et s’assurer de l’adhĂ©sion des membres, Ă  la fois pour ne pas risquer de rĂ©itĂ©rer l’expĂ©rience malheureuse de 2004 mais surtout pour interroger la commission sur le bien-fondĂ© Ă  distinguer ces ensembles de logements d'aprĂšs-guerre, constructions parmi les plus dĂ©criĂ©es du XXe siĂšcle.

La mĂ©thodologie proposĂ©e a conduit Ă  la labellisation d’une premiĂšre sĂ©rie d’immeubles, quarante ensembles de logements en 2010 (fig. 2, 3), puis d’une seconde sĂ©rie de soixante-quinze lieux de culte en 2011 (fig. 4, 5). Les critĂšres peuvent ĂȘtre adaptĂ©s ou prĂ©cisĂ©s selon le thĂšme retenu : pour les Ă©difices religieux, la qualitĂ© et l’originalitĂ© du dĂ©cor furent ajoutĂ©s et la valeur d’usage exclue.La mĂ©thode choisie a Ă©tĂ© vertueuse : elle a permis de labelliser un grand nombre d’édifices, d’associer largement les services patrimoniaux de l’État et des collectivitĂ©s, de crĂ©er des synergies avec l’universitĂ© et les chercheurs, de valoriser l’action de l’État par des prĂ©sentations en CRPS, des publications, des journĂ©es d’études, des expositions, actions relayĂ©es par la presse gĂ©nĂ©raliste et spĂ©cialisĂ©e8 (fig. 6 et 7). Un partenariat pĂ©renne s’est dĂ©veloppĂ© avec l’éditeur Beaux-Arts pour la publication de chaque campagne de labellisation, avec diffusion en kiosque au plus prĂšs du public concernĂ© pour un prix infĂ©rieur Ă  15 €. Elle a Ă©galement permis d’impliquer les acteurs de terrain, rĂ©pondant ainsi Ă  l’objectif visĂ© de sensibilisation du public Ă  cette architecture mal aimĂ©e Depuis 2016, la Drac Île-de-France a conduit trois nouvelles campagnes, toutes thĂ©matiques, fondĂ©es sur des partis mĂ©thodologiques diversifiĂ©s, adaptĂ©s aux sujets d’étude.

- Note mĂ©thodologique « Étude du patrimoine du XXe siĂšcle de la mĂ©tropole du Grand Paris », La manu (...) - La loi relative Ă  la libertĂ© de la crĂ©ation, Ă  l’architecture et au patrimoine (LCAP) promulguĂ©e (...) Une campagne vise Ă  identifier les Ă©difices et ensembles contribuant Ă  structurer le territoire de la rĂ©cente mĂ©tropole du Grand Paris. L’établissement d’une critĂ©riologie et la sĂ©lection ont Ă©tĂ© confiĂ©s Ă  un bureau d’études, la Manufacture du patrimoine, associĂ© Ă  un groupe de travail conduit par la Drac. Des critĂšres dits gĂ©nĂ©raux, divisĂ©s en critĂšres primaires et complĂ©mentaires, ont Ă©tĂ© retenus. Pour la thĂ©matique Ă©tudiĂ©e, se sont ajoutĂ©s sept critĂšres spĂ©cifiques rĂ©pondant aux enjeux de « l’émergence et du rayonnement de la mĂ©tropole »10. Les grands travaux prĂ©sidentiels ont Ă©tĂ© concernĂ©s dans un premier temps, aboutissant Ă  la labellisation de dix Ă©difices en novembre 2016, avant une prĂ©sentation plus large d’édifices emblĂ©matiques, retenus pour l’obtention d’un label « Architecture contemporaine remarquable »11 en juin 2018.

- Introduite par la loi relative Ă  la libertĂ© de la crĂ©ation, Ă  l’architecture et au patrimoine (LC (...) De façon innovante, la Drac a conclu un partenariat avec l’école nationale supĂ©rieure d’architecture (ENSA) Paris-Belleville avec laquelle elle s’est associĂ©e dĂšs l’élaboration du premier label (colloque, exposition, travaux avec l’IPRAUS). Le thĂšme choisi, inscrit dans la droite ligne du prĂ©cĂ©dent, s’attache Ă  l’étude des villes nouvelles. Par son caractĂšre rĂ©cent et spĂ©cifique dans l’histoire de la planification urbaine, cet objet d’étude implique une nouvelle approche, menĂ©e dans le cadre d’une convention triennale de chaire partenariale avec l’ENSA Paris-Belleville. La mĂ©thodologie s’appuie sur la grille d’analyse habituellement employĂ©e par la Drac, enrichie pour inclure davantage l’espace public. Des Ă©difices de la ville d’Évry (Essonne), qui manifesta en 2016 son souhait de voir son patrimoine labellisĂ©, ont Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©s en novembre 2018 aux membres de la commission rĂ©gionale de l’architecture et du patrimoine (CRPA)12 en vue d’une labellisation.- ValĂ©rie Gaudard remercie vivement Mmes AgnĂšs Chauvin, cheffe du bureau de la protection, et Maria (...)Enfin, le champ de l’architecture scolaire est abordĂ© dĂšs 2010. Au vu de l’immensitĂ© du corpus, la Drac a choisi en 2016 de s’attacher dans un premier temps aux lycĂ©es, en lien avec le service de l’Inventaire de la rĂ©gion Île-de-France Le label en Languedoc-Roussillon : une succession d’opportunitĂ©s V- La Poste Art Nouveau de Tuchan, l’hĂŽtel du BelvĂ©dĂšre Ă  CerbĂšre. - Certains construits vers 1900 relĂšvent davantage d’une esthĂ©tique encore XIXe comme la villa Las (...) - Le 3 octobre 2001, une CRPS dĂ©diĂ©e a examinĂ© onze propositions de protection, dont deux seulement (...)

Dans ce territoire riche en monuments anciens, l’attention pour l’architecture du XXe siĂšcle s’observe dĂšs les annĂ©es 1980 avec la dĂ©centralisation. La commission rĂ©gionale du patrimoine historique archĂ©ologique et ethnologique (Corephae) du 15 dĂ©cembre 1986 a examinĂ© les premiers dossiers14. Parmi des Ă©difices de la premiĂšre moitiĂ© du siĂšcle, bĂ©nĂ©ficiant du recul et bien documentĂ©s, plus faciles Ă  apprĂ©hender15, on peut citer les cliniques Saint-Charles Ă  Montpellier, exemple d’architecture des annĂ©es 1930, ornĂ©es des sculptures monumentales de Joachim Costa et des verriĂšres d’Émile BriĂšre, sauvĂ©es in extremis de la dĂ©molition. En l’an 2000, une campagne de protection thĂ©matique est lancĂ©e16, distinguant des bĂątiments majeurs de l’entre-deux-guerres, comme le théùtre municipal de Carcassonne, le Palais des Arts et du Travail de Narbonne, le lycĂ©e technique Dhuoda Ă  NĂźmes, l’église Sainte-ThĂ©rĂšse Ă  Montpellier mais Ă©galement le centre d’apprentissage pour garçons, actuel lycĂ©e Mermoz Ă  BĂ©ziers, Ɠuvre de Pierre Jeanneret, Ă  laquelle ont collaborĂ©s Jean ProuvĂ© et Charlotte Perriand.

- Monument inscrit MH en 2009 Toujours Ă  Odeillo, un petit collectif de maisons solaires, initiativ (...) Plus rĂ©cemment ont Ă©tĂ© inscrits au titre des monuments historiques, le centre de vol Ă  voile de la Montagne Noire, Ă  LabĂ©cĂšde-Lauragais, haut lieu de formation des pilotes entre 1932 et 1980 ou des installations solaires en Cerdagne, liĂ©es Ă  la personnalitĂ© de FĂ©lix Trombe dont les recherches aboutissent Ă  la construction entre 1962 et 1968 par le CNRS du four solaire d’Odeillo Ă  Font-Romeu-Odeillo-Via Pourtant, cette architecture du XXe siĂšcle, reprĂ©sentant un nombre de rĂ©alisations jamais atteint, restait mal apprĂ©ciĂ©e, mal aimĂ©.

Exploited for human use and on display for human amusement.

Animals have the right to not be treated as property! Go vegan!

 

www.vegankit.com

Exploitation presse possible UNIQUEMENT sur demande : communication@fftt.com

©FFTT_JulienCrosnier

Warszawa (Poland) 2010

bessa r3m + jupiter 3, fuji provia xpro'ed

Carlisle punk UK 1982

A march against the exploitation of and racism toward international students in Australia that the governments (both state and federal) continue to allow to exist. International and Australian students from NSW universities (such as Newcastle, UTS, Macquarie, UNSW and Sydney University) rallied together, marching from Sydney University to UTS and on to NSW Parliament House, asking for the government to intervene and change legislation that allows international students to be taken advantage of.

 

Some basic rights like abolishing the 20-hour work week limit and providing student travel concessions to international students were demanded in chants and songs. At a deeper level though, the protesters are demanding an end to the systematic racism and exploitation of international students, who are increasingly treated more as a means to profit than as students to educate.

Ligne C4 - ArrĂȘt : PriĂšres

Exploitant : SEMITAN

Réseau TAN/Naolib - Nantes

GANGE 1905-1917 2Ăšme du nom

 

4Úme d'une série de 4 navires identiques (différentié du LOUQSOR le 1er qui lui a les coursives du chùteau fermées.)

Paquebot mixte de type "trois ßles", à deux hélices, une cheminée mince, deux mùts, une étrave incurvée avec gaillard, chùteau central en deux parties et dunette. Construit à La Ciotat sur les plans de Risbec (assisté de Raymond) et commandés par le Président André Lebon pour remédier au chÎmage des Chantiers de la Ciotat.

1905 le 24 avril – Lancement

1906 en juin Mise en service.

 

CARACTÉRISTIQUES :

Longueur : 135 m entre PP et 141.35 m HT

Largeur : 16.06 m

Jauge brute : 6886 tjb Lanfant 6888 tjb P. Bois

Jauge nette : 4425 tn

Port en Lourd : 8170 t

Déplacement : 13480 pour 8.34 m de TE

5 cales desservies par :

18 mĂąts de charge de 2.5 t

2 bigues de 10 t

1 bigue de 20 t

Larges panneaux de cale pour les colis encombrants.

 

PROPULSION :

2 machines Ă  vapeur alternatives Ă  triple expansion.

2 chaudiĂšres du type AmirautĂ© Ă  double façade, soit 16 foyers. Timbre 9.5 kg/cmÂČ

Puissance : 3800 cv

Vitesse : 13 nƓuds aux essais et 10.5 nƓuds en exploitation

 

ÉTAT-MAJOR :

12 officiers

 

PASSAGERS :

1Ăšres Cl : 40

Sdes : 54

3Ăšmes Entrepont : 1200 rationnaires

 

LIGNES :

1906 le 30 juillet Commence a assurer la ligne commerciale de Chine et Japon. Jusqu'en 1907

1908 - 1914 : rejoint les trois autres jumeaux sur la ligne Marseille - Saigon – Haiphong, assure la ligne du Tonkin.

1915 du 25 avril au 20 mai. Participe à l'expédition des Dardanelles, il sera soumis au feu des batteries ennemies

 

ÉVÉNEMENTS EXCEPTIONNELS :

Durant l'expédition des Dardanelles le Commandant Louis Guérin sera nommé chevalier de la Légion d'Honneur pour son calme, son entrain et son dévouement sous le feu.

1917 – Le 14 avril : Parti de Marseille pour l'Australie, il touche une mine en arrivant Ă  Bizerte. Le navire est Ă©vacuĂ©, les embarcations et les radeaux furent secourus par la canonniĂšre SURVEILLANTE et le chalutier JUPITER. Un essai de remorquage fut interrompu par la disparition du navire qui sombra. Le navire reçut un tĂ©moignage de satisfaction '' pour l'attitude disciplinĂ©e et Ă©nergique de son Ă©quipage''

Le commandant Joseph Lapousse est cité à l'ordre de l'Armée pour son énergie et les dispositions prises pour sauver passagers et équipage. Le matelot Toussaint Carducci est cité à l'ordre de l'Armée et reçoit la médaille militaire.

Sont citĂ©s Ă  l'ordre de la division : Le Second Capitaine Émile Panza et le Second MĂ©canicien Bernard Saux.

Sont cités à l'ordre de la brigade : Les chauffeurs Vincent Cervoni et Arthur Kerourdan ainsi que le garçon Henri Nibourel.

  

Exploitant : Transdev Les Cars d'Orsay

Réseau : Albatrans

Ligne : Express 91-08

Lieu : Université Paris-Saclay (Orsay, F-91)

Lien TC Infos : tc-infos.fr/id/41478

Exploitation presse possible UNIQUEMENT sur demande : communication@fftt.com

©FFTT_JulienCrosnier

Exploitant : Transdev Les Cars d'Orsay

Réseau : Albatrans

Ligne : Express 91-06C

Lieu : Université Paris-Saclay (Orsay, F-91)

A march against the exploitation of and racism toward international students in Australia that the governments (both state and federal) continue to allow to exist. International and Australian students from NSW universities (such as Newcastle, UTS, Macquarie, UNSW and Sydney University) rallied together, marching from Sydney University to UTS and on to NSW Parliament House, asking for the government to intervene and change legislation that allows international students to be taken advantage of.

 

Some basic rights like abolishing the 20-hour work week limit and providing student travel concessions to international students were demanded in chants and songs. At a deeper level though, the protesters are demanding an end to the systematic racism and exploitation of international students, who are increasingly treated more as a means to profit than as students to educate.

Exploitant : Transdev TVO

Réseau : R'Bus (Argenteuil)

Ligne : 5

Lieu : Gare de Sartrouville (Sartrouville, F-78)

Lien TC Infos : tc-infos.fr/id/21867

Ligne 12.230 - ArrĂȘt : Lac d'Emosson

Exploitant : Transports de Martigny et Régions (TMR)

Réseau TMR - Martigny (Suisse)

First volume of the Exotissimo serie. All tracks were composed and arranged by Serge Franklin with a mix of French (Bernard Wystraete, Roland Stepczak) and Indian musicians. Pure French Exploitation record filled with fake Indian music.

 

Original early seventies French pressing on Pathé-Marconi label.

Table ronde sur "L'augmentation de la durĂ©e d’exploitation des centrales nuclĂ©aires en Europe":

En Grande-Bretagne, le programme nucléaire a reçu le soutien des différents partis politiques ainsi que de la population.

21 September 2010: Opening of the exhibition "Vulnerability, Exploitation and Action - A Photo-documentation on Human Trafficking" by UN.GIFT, the Global Initiative to Fight Human Trafficking.

f.l.t.r. Nicolas Cage, United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC) Goodwill Ambassador; Yury Fedotov, Executive Director, UNODC; Alessandro Scotti, Italian Photographer; Helmut Böck, Ambassador, ustria's Permanent Representative to the United Nations.

The above vehicle or vehicles were on display at the Annual KCI Car Show in Kansas City, Missouri on Sept. 14, 2013.

 

For additional information, visit my web site at:

www.teemack.net

 

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WASHINGTON, DC: National Center for Missing & Exploited (NCMEC) 2022 Hope Gala, Oct. 20, 2022

 

The National Center for Missing & Exploited Children’s (NCMEC) Hope Gala held on Oct. 20, 2022 at the District Pier at The Wharf, Washington, D.C. The event is a celebration of the inspiring work being done globally to protect children. We recognized leaders in child safety, honor survivors, and remember the families and victims who are still seeking justice and safety. Claire Edkins /NCMEC

Dr. Vasavan Nair, Chef mĂ©dical, Programme de dĂ©mence avec comorbiditĂ© psychiatrique, Institut Douglas, Jane H. Lalonde, PrĂ©sidente et Chef de l’exploitation de la Fondation de l’Institut Douglas, Joseph Iannicelli, Vice-prĂ©sident du Conseil d’administration de la Fondation Douglas, Vincent, Samuel, Mary et Carolyn Iannicelli, Dr. Dolly Dastoor, Chef clinico-administratif, Programme de dĂ©mence avec comorbiditĂ© psychiatrique, Institut Douglas, Jacques Hendlisz, Directeur gĂ©nĂ©ral, Institut Douglas et Marie GiguĂšre, PrĂ©sidente du Conseil d’administration de la Fondation Douglas, Consultante, Caisse de dĂ©pĂŽt et placement du QuĂ©bec.

 

Dr. Vasavan Nair, Medical Chief, Program for Dementia with Psychiatric Comorbidity, Douglas Institute, Jane H. Lalonde, President and Chief Operating Officer, Douglas Institute Foundation, Joseph Iannicelli, Vice-President, Board of Trustees, Douglas Institute Foundation, Vincent, Samuel, Mary and Carolyn Iannicelli, Dr. Dolly Dastoor, Clinical-Administrator Chief, Program for Dementia with Psychiatric Comorbidity, Douglas Institute, Jacques Hendlisz, Director General, Douglas Institute and Marie GiguÚre, President, Board of Trustees, Douglas Institute Foundation, Consultant, Caisse de dépÎt et placement du Québec.

 

www.douglas.qc.ca

U.S. Senator Claire McCaskill, the top Democrat on the Senate Aging Committee, used a hearing today to examine the financial exploitation of seniors and the difficulty of prosecuting family members who exploit and defraud their elderly family members.

Show Exploited, na Inferno, rua Augusta, SĂŁo Paulo

The National Center for Missing & Exploited Children’s (NCMEC) Hope Gala held on Oct. 20, 2022 at the District Pier at The Wharf, Washington, D.C. The event is a celebration of the inspiring work being done globally to protect children. We recognized leaders in child safety, honor survivors, and remember the families and victims who are still seeking justice and safety. Claire Edkins/NCMEC

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Exploitant : Cars Lacroix

Réseau : Valoise

Ligne : 95-29

Lieu : Gare d'Ermont – Eaubonne (Ermont, F-95)

Lien TC Infos : tc-infos.fr/id/30655

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Exploitant : Transdev Montesson la Boucle

Réseau : Bus en Seine

Ligne : K

Lieu : 3 Buttes (CarriĂšres-sur-Seine, F-78)

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● Dimanche 17 dĂ©cembre 2024 1er jour d’exploitation sur la ligne 1 du mĂ©tro de Lille sous le nouveau systĂšme CBTC de Alstom.

 

● VAL208 d’origine Siemens Ă©quipĂ© d’un PA.VAL (Pilote automatique VAL) puis modifiĂ© par Alstom en CBTC version U500. (1er Mondial)

 

● Cette Ă©volution est un prĂ©requis essentiel au future dĂ©ploiement des nouvelles rames 52 mĂštres NMR ( Rame BOA ), qui doubleront la capacitĂ© de transport de la ligne 1 pour l’horizon en fĂ©vrier 2026.

( VAL208 Longueur : 26 mĂštres)

 

CBTC ( Communication based train control )

Description :

Le systÚme CBTC permet l'exploitation d'un systÚme de transport en se basant sur la communication continue des trains avec un ordinateur chargé de la gestion du trafic.

 

Le systÚme CBTC est décrit par une norme internationale IEEE 1474, définie en 1999. D'aprÚs cette norme, les principales caractéristiques d'un CBTC sont :

 

une localisation précise de la position des trains indépendante des circuits de voie ;

une transmission bi-directionnelle haut débit entre les équipements au sol et les trains ;

un systĂšme constituĂ© par des ordinateurs (calculateurs de sĂ©curitĂ©) situĂ©s Ă  la fois au sol et dans les trains, capables de mettre en Ɠuvre des fonctions de protection automatique des trains (en anglais : Automatic Train Protection ou ATP), ainsi que des fonctions optionnelles d'exploitation automatique des trains (communĂ©ment appelĂ©e « pilotage automatique » ou en anglais : Automatic Train Operation ou ATO) et de supervision automatique des trains (en anglais : Automatic Train Supervision ou ATS).

Un ordinateur central gÚre les convois circulant sur des lignes situées dans sa zone d'action afin d'obtenir une fluidification du trafic et une réduction de l'intervalle de temps entre deux trains aux heures de pointe.

 

L'ordinateur central échange différentes informations avec un ordinateur situé à bord de chaque train à l'aide du réseau de communication.

 

Chaque train calcule en temps réel et communique son statut par radio aux équipements du réseau disposés le long des voies. Ce statut comprend, parmi d'autres informations, sa position exacte, sa vitesse, sa direction et sa distance de freinage minimale.

 

Les systĂšmes CBTC de derniĂšre gĂ©nĂ©ration sont basĂ©s sur le concept de canton mobile dĂ©formable, Ă©volution technologique du cantonnement. Ces cantons sont constituĂ©s de la partie de voie occupĂ©e par le train, incluant une marge de sĂ©curitĂ© Ă  l'avant et Ă  l'arriĂšre, et de la distance d'arrĂȘt calculĂ©e Ă  tout moment. Ils permettent de diminuer la distance de sĂ©curitĂ© entre deux trains consĂ©cutifs.

 

Grùce aux systÚmes CBTC, la position de chaque train et sa dynamique sont connues de maniÚre plus précise que par les anciens systÚmes de signalisation.

 

Le CBTC permet ainsi, de resserrer l’intervalle entre les rames, en le limitant Ă  moins de 90 secondes, et par consĂ©quent d’augmenter la capacitĂ© d’une ligne, et donc de retarder la mise en Ɠuvre de travaux d’infrastructures beaucoup plus lourds Ă  engager. On cherche continuellement Ă  rĂ©duire ce temps, par exemple, Alstom optimise les cadences des nouveaux mĂ©tros de Lille, avec un train toutes les minutes (solution Urbalis Fluence).

 

Les systÚmes CBTC doivent conserver une haute disponibilité grùce à une architecture ne comprenant pas de point de défaillance unique.

 

Par sĂ©curitĂ©, une deuxiĂšme technologie de signalisation peut ĂȘtre prĂ©vue pour assurer un niveau de service minimal en cas de perte partielle ou totale du systĂšme CBTC.

 

Les CBTC peuvent ĂȘtre employĂ©s pour automatiser un systĂšme existant ou bien lors de la construction d'un nouveau systĂšme de transport





Source :

fr.wikipedia.org/wiki/Communication_based_train_control#:....

 

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● MĂ©tro de Lille le VAL.

Le mĂ©tro de Lille est un systĂšme de transport en commun en site propre desservant Lille et son agglomĂ©ration, dans le dĂ©partement français du Nord. Il a la particularitĂ© d'ĂȘtre le premier mĂ©tro au monde Ă  utiliser la technologie du vĂ©hicule automatique lĂ©ger (VAL), cette technologie Ă©tant créée au dĂ©but des annĂ©es 1970 au sein de l'UniversitĂ© des sciences et technologies de Lille grĂące notamment aux travaux du professeur Robert Gabillard. Le systĂšme VAL est ensuite exploitĂ© par un consortium menĂ© par Matra qui se charge Ă©galement des travaux avec le soutien de la communautĂ© urbaine de Lille, alors dirigĂ©e par Arthur Notebart. Le mĂ©tro est finalement inaugurĂ© le 25 avril 1983 par le prĂ©sident de la RĂ©publique François Mitterrand





Source :

fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tro_de_Lille

 

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ILEVIA ( Wikipedia )

Ilévia, ou Keolis Lille Métropole (appelé TCC jusqu'en 1994 et Transpole jusqu'en 2019), est une société anonyme créée en 1989 de la fusion des deux entreprises de transport en commun de l'agglomération lilloise. Elle a pour objectif l'exploitation du réseau de transport en commun de voyageurs sur le territoire de la Métropole européenne de Lille.

 

Ilévia exploite, pour le compte de la Métropole européenne de Lille (MEL), les deux lignes de métro automatique, le tramway du Grand Boulevard, les soixante-dix lignes de bus (dont les douze Lianes, des bus à haut niveau de service), ainsi que les plus de deux-cents stations V'Lille (2200 vélos en libre-service exploités via EFFIA, une filiale de Keolis) de l'agglomération lilloise

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Source :

fr.wikipedia.org/wiki/Il%C3%A9via

 

ILEVIA ( Exploitant ) :

www.ilevia.fr/

 

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🇬🇧 GB. UK.

● Sunday, December 17, 2024 1st day of operation on line 1 of the Lille metro under the new Alstom CBTC system.

 

● VAL208 of Siemens origin equipped with a PA.VAL (VAL automatic pilot) then modified by Alstom in CBTC version U500. (World 1st)

 

● This development is an essential prerequisite for the future deployment of the new 52-meter NMR trains (BOA trains), which will double the transport capacity of line 1 by February 2026.

(VAL208 Length: 26 meters)

 

● Communications-based train control

en.wikipedia.org/wiki/Communications-based_train_control

 

● Lille Metro

en.wikipedia.org/wiki/Lille_Metro

  

đŸ‡łđŸ‡± NL.

● Zondag 17 december 2024 1e exploitatiedag op lijn 1 van de metro van Rijsel onder het nieuwe Alstom CBTC-systeem.

 

● VAL208 van Siemens-oorsprong uitgerust met een PA.VAL (VAL automatische piloot) en vervolgens door Alstom aangepast tot CBTC-versie U500. (1e wereld)

 

● Deze ontwikkeling is een essentiĂ«le voorwaarde voor de toekomstige inzet van de nieuwe 52 meter NMR-treinen (BOA-trein), die de transportcapaciteit van lijn 1 tegen februari 2026 zullen verdubbelen.

(VAL208 Lengte: 26 meter)

 

● Communications-Based Train Control

nl.wikipedia.org/wiki/Communications-Based_Train_Control

 

● Metro van Rijsel

nl.wikipedia.org/wiki/Metro_van_Rijsel

  

đŸ‡©đŸ‡Ș DE.

● Sonntag, 17. Dezember 2024 1. Betriebstag der Linie 1 der U-Bahn von Lille im neuen Alstom CBTC-System.

 

● VAL208 von Siemens, ausgestattet mit einem PA.VAL (VAL-Autopilot), dann von Alstom in die CBTC-Version U500 umgebaut. (1. Welt)

 

● Diese Entwicklung ist eine wesentliche Voraussetzung fĂŒr den kĂŒnftigen Einsatz der neuen 52-Meter-NMR-ZĂŒge (BOA-Zug), die die TransportkapazitĂ€t der Linie 1 bis Februar 2026 verdoppeln werden.

(VAL208 LĂ€nge: 26 Meter)

 

● Communication-Based Train Control

de.wikipedia.org/wiki/Communication-Based_Train_Control

 

● MĂ©tro Lille

de.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tro_Lille

  

đŸ‡Ș🇾 ES.

● Domingo 17 de diciembre de 2024 Primer día de funcionamiento de la línea 1 del metro de Lille bajo el nuevo sistema CBTC de Alstom.

● VAL208 de origen Siemens equipado con un PA.VAL (piloto automático VAL) luego modificado por Alstom a CBTC versión U500. (1er mundo)

 

● Este desarrollo es un requisito previo esencial para el futuro despliegue de los nuevos trenes NMR de 52 metros (tren BOA), que duplicarán la capacidad de transporte de la línea 1 hasta febrero de 2026.

(VAL208 Longitud: 26 metros)

 

● Sistema CBTC

es.wikipedia.org/wiki/Sistema_CBTC

 

● Metro de Lille

es.wikipedia.org/wiki/Metro_de_Lille

  

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● Domenica 17 dicembre 2024 1° giorno di operatività sulla linea 1 della metropolitana di Lille con il nuovo sistema Alstom CBTC.

● VAL208 di origine Siemens dotato di PA.VAL (pilota automatico VAL) poi modificato da Alstom nella versione CBTC U500. (1° Mondo)

 

● Questo sviluppo ù un prerequisito essenziale per il futuro dispiegamento dei nuovi treni NMR da 52 metri (treno BOA), che raddoppieranno la capacità di trasporto della linea 1 entro febbraio 2026.

(VAL208 Lunghezza: 26 metri)

 

● Communication based train control

it.wikipedia.org/wiki/Communication_based_train_control

 

● Metropolitana di Lilla

it.wikipedia.org/wiki/Metropolitana_di_Lilla

 

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July 20, 2016--New York City-- Governor Andrew M. Cuomo announced that the Task Force to Combat Worker Exploitation has directed 1,547 businesses to pay nearly $4 million in back wages and damages to more than 7,500 workers since its inception in July 2015. The Governor also announced several initiatives to improve worker health and safety, including a multi-agency investigation into the exploitation of dry cleaning workers and a coordinated effort to ban harmful chemicals, such as perchlorethylene (PERC), that are commonly used in the industry. Additionally, the state will launch a new $5 million grant program and RFP for non-profit organizations to expand services to help exploited workers. (Don Pollard/Office of the Governor)

Ride

Juliet Rowe

Showing: 4-21 September 2013

GALLERY 1

 

Juliet Rowe graduated from the Victorian College of the Arts in 2011 after completing her Bachelor of Fine Arts (honours) in Drawing. Her work blurs the lines of art, craft and design as she exploits a vast range of materials and techniques often in unorthodox ways. She has participated in shows at West Space, Seventh, Trocadero and Platform Contemporary and was apart of the 2011 Penthouse Mouse for Loreal Melbourne Fashion Week. (Growing up her family did not have a car and she does not yet know how to drive)

 

This project has been assisted by the Australian Government through the Australia Council, its arts funding and advisory body.

 

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Monotony

Agnes So, Amy May Stuart, Masato Takasaka.

Curated by Alison Lasek.

 

Showing: 4-21 September 2013

GALLERY 2

 

The title 'Monotony' is not to be taken too literally. The work of each of these three artists captures lyricism in the everyday and poetry of looking again. In the words of Gertrude Stein, “there is no such thing as repetition, only insistence”.

 

Agnes So tests the functionality of everyday objects in a series of choreographed performances. Recurrence grants multiple views and places the artist body into a position where it begins to replicate the role of the object itself.

 

Permanently on a treasure hunt, Amy May Stuart finds fascination in often overlooked aspects of lived experience. Collected images of handwritten ‘Cash Only’ signs draw attention to both their similarities and their differences.

 

Masato Takasaka revisits and reconfigures his own earlier artworks and returns to what’s in storage as an antidote to continual production. A bootleg recording of an exhibition of a bootleg recording of an exhibition opens this practice up, and reframes his work yet again, while simultaneously allowing things to break down just a little.

 

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Within a Room

Kate Price

 

Showing: 4-21 September 2013

GALLERY 3

 

Price presents the viewer with a space of reflection. A pine framework lining the floor of the space is enmeshed with painted figurative and abstracted forms. This new flooring could be seen to appear as a point of construction that harbours remnants or residues of the people and activities that had once resided there. This project aims to highlight how a space is embedded with a history and how within this is a description of the symbiotic relationship that exists between the space itself and the people that lived, worked or passed through it.

 

Kate Price lives and works in Melbourne. In 2010 she successfully completed her Bachelor of Arts (Fine Art) degree at the RMIT and returned in 2012 to complete her Bachelor of Art (Fine Art) Honours. She has lived and worked in Utrecht, Holland both in 2010 and 2011 and has exhibited in both solo and group exhibitions in Melbourne and Utrecht, Holland.

 

This project is supported by an Australian Artists’ Grant. The Australian Artists’ Grant is a NAVA initiative, made possible through the generous sponsorship of Mrs Janet Holmes à Court and the support of the Visual Arts Board, Australia Council for the Arts.

 

This child who was less than 10 years old was part of Rajasthani group performing at Delhi Haat. I reported to office at Delhi Haat to stop this dangerous act by the child.

THERESA May will potentially exploit a defeat of her proposed Brexit deal to court the support of Brexiteer MPs in a “for Brexit, against Brexit” showdown in Parliament, BBC Political Editor Laura Kuenssberg suggested.THERESA May will potentially exploit a defeat of her proposed...

 

www.intelligence-news.com/brexit-plot-bbcs-laura-kuenssbe...

United Nations peacekeepers, police, and civilians work hard to provide security, sanctuary, and peace for the vulnerable people of war-torn South Sudan.

 

The relationship between the two groups should be one of mutual trust and confidence but, at times, it breaks down when the power imbalance results in local people being subjected to sexual exploitation and abuse by UN personnel.

 

Appointed by the UN Secretary-General, Jane Connors is the UN’s first Victims’ Rights Advocate (VRA). This puts her at the forefront of efforts to prevent, respond to, and ultimately eliminate sexual exploitation and abuse. Her role ensures that victims are at the center of the UN’s approach.

 

The Victims’ Rights Advocate is visiting South Sudan to promote the importance of the “no excuses, zero tolerance” approach to UN personnel, whether they are peacekeepers or humanitarian workers. She has also met with victims and local authorities and spent time listening to the concerns of internally displaced people in protection of civilians’ sites.

 

Globally there were 103 allegations of sexual exploitation and abuse reported against UN peacekeepers last year with four in South Sudan. While the numbers seem low, explained the VRA, this may be because the stigma attached to this kind of behavior makes victims reluctant to report it. That is why it is vital to encouraging reporting so that perpetrators are held accountable.

 

Jane Connors’ visit to South Sudan’s follows the launch of a new campaign by the UN Mission to build on the “zero tolerance” and “no excuses” stance taken by the Secretary-General. At the recent launch of a new pocket-sized card designed to remind all UN personnel of their responsibility to prevent sexual exploitation and abuse, the Head of the Mission in South Sudan, David Shearer, said there would be “no second chance” for any offenders in the country.

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