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Le canal Albert est un canal à grand gabarit de 130 km de long situé en Belgique. Il relie le Port autonome de Liège, situé sur la Meuse, au Port d'Anvers, situé sur l'estuaire de l'Escaut et donnant accès à la mer du Nord. Il porte ce nom en souvenir d'Albert Ier, roi des Belges.
Inscrits dans la politique de grandes réalisations à mettre en œuvre après la Première Guerre mondiale, les travaux débutèrent peu avant 1930. La stratégie était de relier les sidérurgies flamandes et wallonnes aux charbonnages du Limbourg.
Le canal Albert fut inauguré en grande pompe le 30 juillet 1939 à l'occasion de l'Exposition internationale de l'Eau qui s'est tenue à Liège du 20 mai au 31 août 1939. Le mémorial Albert Ier et son phare est inauguré la même année sur l'Île Monsin1. Le 2 septembre, une médaille (8 cm. de diamètre) de Pierre de Soete à l'effigie du roi Albert fut offerte aux réalisateurs du canal Albert par la FCCUB.
Il compte six écluses. Construit à l'origine avec un gabarit de 2 000 tonnes, il a été élargi en 1997 pour permettre le passage de bateaux de 9 000 tonnes.
Il supporte un trafic de 40 millions de tonnes par an.
The Albert Canal is a large-gauge canal 130 km long located in Belgium. It connects the Autonomous Port of Liège, located on the Meuse, to the Port of Antwerp, located on the Scheldt estuary and providing access to the North Sea. It bears this name in memory of Albert I, King of the Belgians.
Included in the policy of major achievements to be implemented after the First World War, work began shortly before 1930. The strategy was to connect the Flemish and Walloon steel industries to the coal mines of Limburg.
The Albert Canal was inaugurated with great pomp on 30 July 1939 on the occasion of the International Water Exhibition held in Liège from 20 May to 31 August 1939. The Albert I Memorial and its lighthouse were inaugurated the same year on Monsin Island1. On September 2, a medal (8 cm. in diameter) by Pierre de Soete bearing the image of King Albert was offered to the creators of the Albert Canal by the FCCUB.
It has six locks. Originally built with a gauge of 2,000 tonnes, it was widened in 1997 to allow the passage of boats of 9,000 tonnes.
It supports a traffic of 40 million tonnes per year.
fêtes maritimes brest 2012. Le JR Tolkien est une goélette à hunier néerlandaise construite en 1964. Il fut d'abord employé au transport de marchandises dans la Mer du Nord et en Mer Baltique sous le nom de Dierkow.
Le JR Tolkien a été racheté en 1996 par la famille Van der Rest qui en a fait un navire de croisière.
La Basilique de Sainte Marie Majeure, située sur le sommet du col Esquilin, est une des quatre Basiliques patriarcales de Rome et est la seule qui ait conservée les structures paléochrétiennes. La tradition veut que fut la Vierge à indiquer et inspirer la construction de sa demeure sur l'Esquilin. En apparaissant dans un rêve au patricien Jean et au pape Liberio, elle demanda la construction d'une église en son honneur, dans un lieu qu'elle aurait miraculeusement indiqué. Le matin du 5 août, le col Esquilin apparut couvert de neige. Le pape traça le périmètre de la nouvelle église et Jean pourvut à son financement.
The Basilica of Santa Maria Maggiore, located on the summit of the Esquiline Pass, is one of the four patriarchal Basilicas of Rome and is the only one that has preserved the early Christian structures. Tradition has it that the Virgin indicated and inspired the construction of her dwelling on the Esquiline. Appearing in a dream to the patrician John and Pope Liberio, she asked for the construction of a church in her honor, in a place that she miraculously indicated. On the morning of August 5th, the Esquiline Pass appeared covered with snow. The pope drew the perimeter of the new church and John provided for its financing.
Eté 2021.
Le héron cendré (Ardea cinerea Linnaeus)
Il y a plusieurs embarcadères possibles pour naviguer sur des durées au choix, dans des barques à fond plat et mues au rythme de la pigouille.
Ici le point de départ que nous avions choisi est l'embarcadère du Port de Monfaucon qui se trouve sur la commune de St Hilaire la Palud. Ce fut un bon moment de dépaysement et une quasi méditation aquatique.
Malheureusement, le temps était gris et il manque parfois des petits coins de ciel bleu aux photos présentées ici. Mais la lumière présente a tout de même permis quelques captures de reflets, un peu de flore et de faune et une surprise aux couleurs d'un folklore local.
Quelques images qui apaisent et reposent...
Nef de l'église Saint-Étienne à Espelette (Labourd - Pays Basque - Pyrénées-Atlantiques - France)
L’église fut construite en 1593. Elle est inscrite aux Monuments Historiques depuis 1953 puis a été classée en 2015. A l’intérieur, on peut admirer les trois étages de galerie en bois ainsi que plusieurs éléments classés, notamment un retable baroque doré à colonnes torses du XVIIème. Dans le cimetière qui entoure l’église, on peut voir des stèles discoïdales typiques du Pays Basque.
Ce 30 juin 2018,fût un jour très orageux,avec un potentiel supercellulaire interéssant,avec donc de belles srtructures à immortaliser.En fin de journée,des cellules intéressantes remontent depuis le Pays-Basque Espagnol,jusqu'au la côte basque côté français.
Voici,une belle structure que j'ai immortalisé depuis le bord d'Adour.
Remarquer comme la base est sculpté par le cissaillement du vent.Ce jour là,était rythmé par une deux salves d'orages très esthétiques,dont une supercellule capturé au même endroit.Une chasse fort plaisante donc ce jour là.
© Mathieu Goalard photographies 2018
Situé au sud-est de Kyôto cet immense complexe actuel du Tōfuku-ji fut construit entre 1236 et 1255, il compte 24 bâtiments, plus du double à l'origine.
C'est le siège de l'école Rinzai de la tradition du bouddhisme zen japonais.
Les différents jardins dans ces temples sont tous remarquables.
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Placed in the southeast of Kyôto this immense current complex of Tofuku-ji was built between 1236 and 1255, him account 24 buildings, more double originally. It is the seat of the school Rinzai of the tradition of the Japanese Zen Buddhism. The various gardens in these temples are any remarkable.
Jamais j'aurais pensé prendre un engin arborant le "Speed Lettering" du Southern Pacific sur un train roulant au Québec. Ce fut chose possible grace à la présence de la UP 6236 sur le 'consist" du U714, passant par dessus la rivière Bécancour à Daveluyville. Le train est en direction du triage de Joffre où une autre équipe l'amènera à la raffinerie de Valero à Lévis.
I never thought I would take a machine with the Southern Pacific "Speed Lettering" on a train running in Quebec. This was possible thanks to the presence of UP 6236 on the "consist" of U714, crossing over the Bécancour River at Daveluyville. The train is heading to Joffre yard where another crew will take it to the Valero refinery in Lévis.
L’église Saint-Donat à Arlon (Belgique) est située sur la Knippchen, colline centrale de la cité qui fut occupée par les habitants gallo-romains comme position inexpugnable lors de l’invasion des peuples germaniques de 269 à 270.
Elle fut érigée en 1626 par des Pères Capucins, fortifiée sous le règne de Louis XIV, restaurée en 1851 et encore une fois à la fin du xixe siècle. Le « Chemin royal de la Croix », ou « montée de Saint-Donat », est un chemin de croix en pierre datant de 1846 qui mène à l’église et qui est classé depuis 1992 au Patrimoine majeur de Wallonie1. Du haut de la tour belvédère de l’église, on découvre une vue imprenable sur les trois pays environnants : la Belgique, le grand-duché de Luxembourg et la France.
Le carillon sonne toutes les heures du jour l’air de À Arlon sur la Knippchen, chanson folklorique traditionnelle du Pays d'Arlon et du grand-duché de Luxembourg et hymne officieux du Luxembourg belge, province de Belgiqu
Cette oie hybridée fut localisée dans la descente face au Centre de Service du Réservoir Beaudet. Elle faisait partie d'un groupe qui pour la première fois de l'année s'aventurait près du rivage.
La basilique fut construite sur les fondations d'une église romane détruite sous les ordres de l'évêque Iwo Odrowąż lors des invasions tatares et construite vers 1220 typiquement orientée vers l'est à l'époque ; orientation conservée par la basilique Notre-Dame.
Cette position est désaxée par rapport à la forme octogonale de la place sur laquelle elle se trouve.
La partie principale de l'église a été construite à partir du milieu du XIVe siècle jusqu'en 1397, date à laquelle la voûte du vaisseau central fut terminée.
Ce fut la matinée la moins froide de la semaine -1° seulement mais cet ap-midi, au soleil, il fait 12°. Dommage qu'il y ait un petit peu de vent. Du coup, il y a du monde à la plage.
Un père et son fils à Portiragnes-Plage pour une partie de pêche.
montage 2 photos
Italien / Südtirol - Seiser Alm und Schlern
Sunset
Sonnenuntergang
Seiser Alm (Italian: Alpe di Siusi, Ladin: Mont Sëuc) is a Dolomite plateau and the largest high-altitude Alpine meadow (German: Alm) in Europe. Located in Italy's South Tyrol province in the Dolomites mountain range, it is a major tourist attraction, notably for skiing and hiking.
Geography
It is located in the western part of the Dolomites and has an altitude between 1,680 m a.s.l. and 2,350 m a.s.l.; it extends for 52 km² between Val Gardena to the north, the Sassolungo Group to the north-east and the Sciliar massif to the south-east, which with its unmistakable profile is one of the most famous symbols of all the Dolomites. Given the vastness of the area, from here it is possible to admire a large number of mountain groups: among others, the Sella Group, the Rosengarten group and the Marmolada.
It is an alp, it is an area where pasture is practiced, the largest in Europe, divided into numerous plots reserved to grazing or from which the farmers get hay for their farms located downstream.
The eastern part has been included since 1975 in the Sciliar natural park.
Surrounding peaks
The alp offers a panoramic view which includes (from north, in a clockwise direction): Peitlerkofel (Sass de Putia, 2,873 m), the Odle and the Puez groups (3,025 m), the Gran Cir, the Sella group (3,152 m), Langkofel (Sassolungo, 3,181 m) and Plattkofel (Sassopiatto, 2,995 m), the Marmolada (3.343 m), the Pala group (Pale di San Martino, 3,192 m), the Vajolet Towers (2,821 m) the Rosengarten group (Catinaccio, 2,981 m) with the peak of the Kesselkogel (Catinaccio d'Antermoia, 3,002 m) and the Schlern (Sciliar, 2,450 m).
(Wikipedia)
The Schlern (German pronunciation: [ʃlɛrn]; Italian: Sciliar [ʃiˈljar]; Ladin: Sciliër; 2,563 m) is a mountain of the Dolomites in South Tyrol, Italy. The peak at the north west end of the mountain (left, in the image at right) was first ascended in July 1880 by Johann Santner. It is named the Santner Spitze in his honour.
The Schlern dominates the villages of Seis am Schlern and Völs am Schlern, and the summit can be reached following the circular route marked with the number 1 from both villages.
At 1,700 metres (5,577 ft), there is the Schlernboden inn and on the summit plateau is the Schlernhaus inn 2,457 metres (8,061 ft), both open from 1 June to 15 October. The highest summit is the Petz with 2,564 metres (8,412 ft).
The Schlern is sung of in the Bozner Bergsteigerlied as one of South Tyrol's landmarks. Its characteristic profile appears on the Der Schlern - Zeitschrift für Südtiroler Landeskunde (Magazine for South Tyrolean Regional Studies) and the logo pressed into Loacker's wafer biscuits.
(Wikipedia)
Die Seiser Alm (italienisch Alpe di Siusi, ladinisch Mont Sëuc) ist die größte Hochalm Europas. Sie liegt in den Südtiroler Dolomiten in Italien, rund 20 km nordöstlich von Bozen und oberhalb der bekannten Tourismus-Orte Seis am Schlern, Kastelruth und St. Ulrich in Gröden.
Geographie
Die Seiser Alm hat eine Größe von 56 km², befindet sich auf einer Höhe von 1680 m s.l.m. bis 2350 m s.l.m., und ist eines der größten geschlossenen Hochplateaus in den Alpen. Der Schlern, die Roterdspitze und die Rosszähne grenzen die Seiser Alm nach Südwesten hin ab. Nach Südosten schließt sich das markante Bergmassiv der Langkofelgruppe an. Nach Norden hin fällt die Seiser Alm hinter den Randerhebungen Puflatsch und Pizberg nach Gröden hin ab. Im Westen sinkt das Gelände über das vorgelagerte Schlerngebiet Richtung Eisacktal.
Die Besiedlung der Seiser Alm gliedert sich in zwei Ortszonen: das touristisch stark erschlossene Compatsch (auch Kompatsch, 1850 m s.l.m.) am äußersten Westrand der Hochfläche sowie Saltria (1680 m s.l.m.), das 5 km östlich unterhalb des Plattkofels liegt.
Im Süden gelegene Teile der Alm sind zusammen mit großen Flächen in der Schlerngruppe und im Rosengarten als Naturpark Schlern-Rosengarten ausgewiesen. Des Weiteren bestehen die zwei geschützten Biotope Col da Fil und Gran Paluch.
Von Seis am Schlern ist der Zugang nach Compatsch mit regelmäßig verkehrenden Bussen und einer modernen Umlauf-Gondelbahn möglich, die ihrerseits durch einen Busdienst an das Gebiet um Kastelruth und Völs angebunden ist. Eine weitere Gondelbahn verkehrt von St. Ulrich in Gröden. Saisonweise werden auch Linienbusse von Monte Pana nach Saltria eingesetzt. Mit privaten Fahrzeugen ist eine Zufahrt zur Seiser Alm nur in den Abend- und Nachtstunden gestattet. Das Gebiet ist touristisch intensiv erschlossen.
Geschichte
Die Nutzung der Hochalm reicht weit zurück. Um 1600 beschreibt Marx Sittich von Wolkenstein in seiner Tiroler Landesbeschreibung die Seiser Alm wie folgt:
„Es ligt auch ab den dorf Castelreudt die allerschonische und grosse alm, so man nit jr gleichen in landt findt, und man eine teische meil [deutsche Meile] wegs von dorf hinauf ist, genant die Seysser Almb, darauf man jarlichen in sumber in die 1.500 kie [Kühe] und bey 600 ogsen [Ochsen] erhalten und nichgest [nicht weniger als] in die 1.800 futer hey [Fuder Heu] herab gefiert werten und auch etliche heuter zendten [hundert Zentner] schmalz und käs gemacht werten. So solten auch bey 400 heythillen [Heustädel] darauf stein und 100 kaserthillen [Schwaigen] und umb Jacobi [25. Juli] bey 4 oder 5 wochen bey 4.000 man und weib daroben ligen und arbeyten tain in hey und das kroffigist [kräftigste] und peste hey, so man in landt findt, ist.“
Sommer
Im Sommer lädt das Gebiet zu Wanderungen und Bergtouren ein. Im Frühjahr 2006 wurde der Hans-und-Paula-Steger-Weg fertiggestellt. Dieser Weg führt in Ost-West-Richtung von Compatsch nach Saltria und ist mit Informationstafeln gestaltet, die Einblicke in Landschaft und Kultur der Seiser Alm und Südtirols geben.
Winter
Das Wintersportgebiet verfügt über 60 km Abfahrtspisten überwiegend im leichten und mittleren Schwierigkeitsgrad, zahlreiche Liftanlagen und einen Funpark. Darüber hinaus wird ein Loipennetz von fast 60 km angeboten. Weitere auf der Seiser Alm praktizierbare Wintersportarten sind das Rodeln und das Schlittschuhlaufen. Zudem verfügt die Seiser Alm über zwei Skischulen mit mehr als 50 Skilehrern für Ski-, Snowboard- und Langlaufkurse.
(Wikipedia)
Der 2563 m hohe Schlern (italienisch Sciliar, ladinisch Sciliër) ist ein Berg in den Südtiroler Dolomiten in Italien. Trotz seiner verhältnismäßig geringen Höhe gilt der stockartige Westpfeiler der Dolomiten aufgrund seiner charakteristischen Form als Wahrzeichen Südtirols.
Der Berg ist der Namensgeber der umliegenden Gebirgsgruppe, der Schlerngruppe. Der Schlern trägt selbst eine Hochfläche, deren frühe weidewirtschaftliche Nutzung durch urgeschichtliche Funde bezeugt ist, und überragt die Seiser Alm, die größte Hochweide Europas, sowie die Mittelgebirgsterrassen des Schlerngebiets um Kastelruth und Völs. 1974 wurde der Schlern mit einigen angrenzenden Flächen in einem Naturpark unter Schutz gestellt, der seit 2003 zum Naturpark Schlern-Rosengarten erweitert ist.
In der Südtiroler Sagenwelt gilt er als Heimat der Schlernhexen. Die seit 1920 publizierte landeskundliche Zeitschrift Der Schlern ist nach dem Berg benannt.
Topographie
Der Burgstall (2515 m) bildet den Nordrand des Berges, seine höchste Erhebung ist der Petz (2563 m), der den Gabels Mull (2390 m) und den Jungschlern (2280 m) überragt. Hinter dem Petz erhebt sich mit dem Mahlknechtstein (2550 m) eine markante Kleinformation. Vorgelagert befinden sich die beiden Türme der Santnerspitze (2413 m) und der Euringerspitze (2394 m). Diese auch einfach Santner und Euringer genannten Gipfel waren früher als Schlernzacken, Paarlspitzen oder Badlspitzen bekannt. Der Santner führte zudem noch den Namen Tuiflspitz, ladinisch Piza dl Malang.
Schutzhütten
Auf dem Schlern eröffnete die Sektion Bozen des Deutschen und Österreichischen Alpenvereins am 22. August 1885 ein Schutzhaus, das 1903 mit dem daneben stehenden Gasthaus zu den Schlernhäusern vereinigt wurde (heute im Besitz des Club Alpino Italiano). 1969 errichtete die Sektion Bozen des Alpenvereins Südtirol die Schlernbödelehütte.
Etymologie
Der im 16. Jahrhundert als Schlernkhofl bzw. auf dem Schalern bezeugte Bergname ist sicher vordeutschen und vorrömischen Ursprungs.
Eine Deutung führt ihn auf das Etym *sala mit der Bedeutung „Bach, Graben, Kanal“ zurück. Bei der mittelalterlichen Eindeutschung des Namens wurde die Grundform mit dem Suffix -en verbunden, dessen e im Bairischen schon früh ausfiel, so dass die Lautung Salérn entstand (Oswald von Wolkenstein schreibt noch Saleren). Wegen Bewahrung der vordeutschen Betonung schrumpfte die erste Silbe schließlich zu Sl-, was durch Palatalisierung zur Lautung Schl- führte. Ursprünglich galt der Name wohl für den Schlerngraben und den Schlernbach; nach ihnen dürfte der Gebirgsstock zunächst Schlernkofel (siehe die Schreibung aus dem 16. Jahrhundert.), dann Schlern genannt worden sein.
Eine andere Theorie postuliert einen Zusammenhang mit der indogermanischen Wurzel *skel mit der Bedeutung „schneiden“. Der Name Schlern nimmt demnach auf die charakteristischen, senkrecht abgeschnitten erscheinenden Felswände des Bergmassivs Bezug.
Geologie
Das Schlern-Massiv besteht vorwiegend aus Sedimentgesteinen der Mittleren Trias. Die gebankten Dolomite der Rosengarten-Formation und Rosszähne-Formation entstanden zu einem großen Teil an etwa 30 Grad steilen Abhängen einer Karbonatplattform, im zentralen Plattformbereich auch als flachliegende Sedimente. Zwischen der Rosengarten-Formation und der Rosszähne-Formation finden sich Vulkanite, die im Ladinium entstanden sind. Überlagert werden diese Formationen von der Schlernplateau-Formation, die unter anderen von Dolomit- und Kalkbänken gebildet wird. Die höchsten Teile des Schlernplateaus werden von Gesteinen des Hauptdolomits der Oberen Trias aufgebaut.
Erstbesteigungen
1880 Santnerspitze (Ostseite, Schwierigkeitsgrad III.) – Johann Santner allein
1884 Euringerspitze (Südwand, III.) – Gustav Euringer und G. Battista Bernhard
1908 Jungschlern (Nordkante, III.) – Paul Mayr und Ernst Hofer
1912 Burgstall (Ostwanddurchquerung, III.) – Max Reinstaller, Heindl Tomasi
1912 Mull (Nordostflanke, II.) – Paul Mayr, Hermann Kofler, Hans Kiene und Pius Wachtler
1929 Schlernkind (IV.) – Fidel Bernard, Hans Leitgeb, Georg Harm, Edi Hermann und Luis Gasser
(Wikipedia)
Ce pont, construit au XIVe siècle, fut restauré aux XVIIe et XIXe siècles. Il doit sa construction à la nécessité d'un franchissement aisé de la Nive par les pèlerins se rendant à Saint Jacques de Compostelle et souhaitant faire halte au prieuré de Bidarray.
Silène ivre (Ier ou IIème siècle, En 1990 cette statue était exposé dans le hall de la gare SNCF de Narbonne. Elle fut découverte lors du creusement pour les fondations de la Gare de Narbonne en 1856.
Le Silène est le père adoptif et précepteur du dieu Dionysos, mais le joyeux Silène lui enseigna essentiellement à cultiver la vigne et à goûter le bon vin.
Drunken Silenus (1st or 2nd century, In 1990 this statue was exhibited in the hall of the Narbonne SNCF station. It was discovered during the digging for the foundations of the Narbonne station in 1856.
Silenus is the adoptive father and tutor of the god Dionysus, but the merry Silenus mainly taught him to cultivate the vine and to taste good wine.
C'est l'un des plus anciens monastères bénédictins de Normandie puisque sa fondation, par Saint Philibert, date de 654. Abandonnée durant les invasions vikings en 841, la reconstruction s'est poursuivie au 11ème siècle et fut un chantier quasi permanent jusqu'à la guerre de Cent Ans (1337-1453). A la Révolution, l'abbaye est vendue et devient une carrière de pierres jusqu'au 19ème siècle. Elle est aujourd'hui à la charge du Département de la Seine-Maritime.
It is one of the oldest Benedictine monasteries in Normandy since its foundation, by Saint Philibert, dates from 654. Abandoned during the Viking invasions in 841, the reconstruction continued in the 11th century and was an almost permanent construction site until to the Hundred Years War (1337-1453). At the Revolution, the abbey is sold and becomes a stone quarry until the 19th century. It is now the responsibility of the Department of Seine-Maritime.
Ce moulin-tour culmine à 148,60 mètres. Il appartenait à une ferme "Du Tertre" mentionnée en 1490, le château de "Belle Assise", aujourd'hui disparu. Il fut construit sur ses terres, le moulin en était sans doute une dépendance. En 1658, il devient la propriété de Nicolas Fouquet, surintendant des finances. Pendant la Révolution, il fut vendu comme bien national. En 1828, il est intégré au domaine du baron James de Rothschild. Il cesse de moudre le grain vers 1850. En 1956, il est équipé d'un radar par l'OTAN. En 1979, il est légué par le baron Guy de Rothschild à l'Etat. Il est restauré en 1992 par l'Epanamarne qui en est propriétaire. Il appartient désormais au district de la Brie Boisée regroupant sept communes qui veille à sa conservation.
Au détour d’une balade en forêt régionale de Ferrières, faites une halte pour admirer ce joli moulin à vent. Ce dernier cessa d’écraser du grain vers 1858. Il est actuellement au cœur d'un projet de rénovation.
Les historiens, qui attestent de son existence depuis 1537, affirment que le moulin est passé de propriétaire en propriétaire, de Nicolas Fouquet à James de Rothschild. Il est aujourd’hui propriété de la commune grâce à laquelle il a retrouvé ses ailes et son mécanisme intérieur en 1998.
A noter que ce moulin était présent sur la toute première carte de Cassini et fut utilisé par Jean-Baptiste Delambre entre 1792 et 1793 pour la conception du mètre étalon.
...La forteresse fut plusieurs fois détruite par les Britanniques, notamment en 1694, rebâtie en 1738, une nouvelle fois incendiée en 1744, venant à bout de la patience de Pénélope des autorités militaires de l'époque.
Abandonné pendant près de 200 ans, le château fut finalement restauré entre 1922 et 1924 par le constructeur automobile Louis Renault…
Jacques Boullaire, le beau-frère de Louis Renault, a gravé dans le granit de la muraille des fresques qui sont toujours visibles
Berlin, 12.2021
"Maintenant, bien que la nuit ne fût pas encore tout à fait tombée, les façades de la place commençaient à s'illuminer. Les treillages qui l'avaient entourée de tous les symboles de la foire et du cirque découpés et assemblés dans le bois avaient été escamotés soudain par le flamboiement de mille lampes multicolores."
>>> Walter Benjamin.......in: Rastelli raconte... (1932)
"Now, although it was not yet quite dark, the façades of the square were beginning to light up. The trellises that had surrounded it with all the symbols of the fair and the circus cut and assembled in the wood had been suddenly retracted by the blaze of a thousand multicoloured lamps."
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Il fut un temps où les hommes m’aimaient. Ils me désiraient, me regardaient pendant des heures, s’enthousiasmaient du moindre de mes mouvements, Je leur ai tout donné, tout ce que j’avais. Ils m’ont tout pris sans honte ni remords, me vidant peu à peu de ma substance pour ne laisser de moi que quelques traces humides sur des rives asséchées.
Pour eux, je me suis faite petite et délicate courant au coeur des montagnes, fertile et nourricière aux creux des vallons, changeante selon les saisons, mouvante selon les pays. Pour moi, ils ont inventé des dieux pour expliquer mes colères et en ont créé d’autres pour m’apaiser. Ils me priaient pour que je vienne, ils me suppliaient pour que je parte, mais ils savaient mes colères rapides et que de ma fureur renaîtrait la Terre.
Certains ont voulu me dompter, me soumettre à leurs désirs. Ceux-là me faisaient rire et je les ai laissés se perdre et disparaître dans mes bras. Certains étaient plus tendres et savaient me murmurer des poèmes dans le creux de mon onde claire. Ceux-là me faisaient soupirer et ont obtenu de moi toutes mes faveurs et toutes mes richesses.
Parce qu’ils me croyaient immortelle, ils ont puisé tout ce que j’ai pu leur donner. Ils ont vidé mes océans. Ils ont détournés mes rivières. Ils ont souillé mes rivages et massacré tous les êtres étonnants qui peuplaient mon royaume. Peu à peu, les Hommes ne m’ont plus vue comme la vie, l’origine de toute chose, mais comme une bouteille en plastique que l’on vide et remplit au gré des besoins.
Aujourd’hui, je me recroqueville doucement, me retirant peu à peu de la surface de la Terre. Je n’ai plus la force de combattre les déserts, le Soleil ou les vents qui brûlent les Hommes. Je ne sais plus les apaiser par une pluie fine ou le murmure plaisant d’une de mes sources. Ils ne me voient plus. Ils m’oublient. Jusqu’à ce qu’un jour, ils doivent se battre pour m’avoir. Mais, ils ne le font plus par amour. Ils le font pour l’orgueil de me posséder et me vendre. Alors, je me meurs. Je meurs doucement de ne plus être aimée.
Il y a quelque part, j’en suis certaine, un doux rêveur prêt à m’aimer. Un seul me suffira pour tout leur pardonner
Extrait :Texte de DaisyLewis - Source : www.oniris.be/
There was a time when men like me. They wanted me, watching me for hours, raved of my every move, I gave them everything, everything I had. They took everything without shame or remorse, I gradually emptying of my stuff to leave me a few traces on the banks drained wetlands.
For them, I made small and delicate power in the mountains, fertile and nourishing the hollows of the valleys, changing with the seasons, moving from country to country. To me, they invented gods to explain my anger and created others to soothe me. They begged me for me to come, they begged me for me to leave, but they knew my anger and quick as my fury reborn Earth.
Some people wanted me to tame, to submit to their desires. Those made me laugh and I let them get lost and disappear in my arms. Some were more tender and knew me whisper poems in the palm of my clear wave. Those made me sigh and got me all my favors and all my wealth.
Because they thought I was immortal, they drew everything I could give them. They emptied my oceans. They have hijacked my rivers. They have defiled my shores and slaughtered all the amazing creatures that lived in my kingdom. Gradually, the men did more to me like life, the origin of all things, but as a plastic bottle that is emptied and filled as needed.
Today, I curl gently, gradually removing me from the face of the Earth. I no longer have the strength to fight the deserts, the sun or the winds that burn men. I no longer appease them with a drizzle or a pleasant murmur of my sources. They see me more. They have forgotten me. Until one day, they must fight for me. But they do out of love. They do it for the pride of my own and sell me. So I am dying. I'm dying slowly not to be loved.
Somewhere out there, I am sure, a dreamer ready to love me. One will suffice for me to forgive them all
Text DaisyLewis - Source: www.oniris.be/
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Das war die letzte rose aus dem garten einer freundin,erst hier auf dem bild sah ich das sie besucher mitgebracht hatte,,,,,
ganz vielen dank für die lieben weihnachtswünsche
That was the last rose from the garden of a girlfriend, only here on the picture I saw that they had brought visitors,,,,,
very many thanks for your kind Christmas wishes
Ce fut la dernière rose du jardin d'une amie, seulement ici sur la photo que j'ai vu qu'ils avaient amené des visiteurs,,,,,
merci beaucoup pour vos voeux de Noël type
Seen at the Redbourn Classics Motor Show in Redbourn, Hertfordshire on 04 September 2021.
FUT383D is a 1966 Mark I Morris Mini Minor De Luxe.
First registered in January 1966.
Architecte: Henry Boulan
Date de construction : vers 1890
Mi-villa, mi-maison bourgeoise, Guyvonney revendique un caractère architectural particulier qui ne craint pas les paradoxes, laissant ainsi supposer qu'elle fut l'œuvre d'une personnalité hors du commun. De fait, cette demeure était, avant la première guerre mondiale, le lieu de villégiature d'Eugène Polakowski (1841-1913), cofondateur avec Adolphe Simon de la première tuilerie mécanique de Roumazières-Loubert, en Charente.
Posée sur une terrasse, la villa surprend par son volume et ses proportions générales dignes d'une honnête maison de notable provincial, mais non d'une villa de bord de mer de la fin du xixe siècle. Ses travées*, orchestrées à partir d'un faux avant-corps central couronné par un fronton triangulaire entrecoupé d'une lucarne, et sa toiture à combles brisés couverts d'ardoises, s'inspirent sans détour de l'architecture classique, ce que ne renie en rien le vigoureux décor sculpté d'inspiration académique venant agrémenter les parties hautes de l'édifice.
Seules les couleurs vives d'une surenchère de matériaux plus inattendus les uns que les autres contrarient une composition trop parfaite pour un lieu de villégiature qui doit braver chaque hiver les vents violents venus du large. Ainsi, balustres ronds en terre cuite du perron, briquettes rouges qui rayent la façade principale, bandeau en céramique où semblent voler d'improbables mouettes sur fond bleu, boutons et pointes de diamants intercalés entre les modillons de la corniche forment non pas un assemblage hétéroclite, mais un véritable catalogue de matériaux décoratifs industrialisés.
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C’est en 1962 que Warhol fut fasciné par le procédé de reproduction photographique de la sérigraphie. Cette technique allait devenir le style par excellence de Warhol : simple, rapide, on pouvait également apporter d’infimes mais infinies modifications à la même photo matrice. Difficile à croire, mais c’est une pure coïncidence si Warhol choisit de représenter Marilyn Monroe dans un des premiers portraits, et aujourd’hui une de ses œuvres les plus connues. Elle mit fin à ses jours le même mois, et son visage magnifique, ainsi que sa célébrité, semblait être un terreau fertile pour les œuvres répétitives de Warhol, et ressemblant à des images de bandes dessinées. Et il eut bien raison !
La photo sélectionnée de Warhol était une publicité tiré du film « Nigeria », dans lequel Marilyn avait précédemment joué en 1953. Il a créé de nombreuses œuvres pop art de Monroe en utilisant cette image, y compris « diptyque Marilyn » aujourd’hui considérée comme l'une des pièces les plus influentes en art moderne. Au lieu de dessiner ou de peindre son visage, Warhol a choisi une photo qu’il savait que tout le monde connaissait. Mais pourquoi Monroe ? Marilyn incarne la célébrité et la notion même de « sex-symbol ». Mettre en avant des personnes célèbres est devenu l'une des caractéristiques du mouvement pop art au cours des années 60 : il s’agit en fait d’un commentaire acerbe sur l'obsession des médias de masse avec le culte de la célébrité.
On pense également que par ce style de travail, Warhol se réfère à une société dans laquelle les gens peuvent être considérés comme un produit plutôt que comme une personne. De plus, la technique de sérigraphie utilisée par Warhol pour les portraits de Monroe aplatit encore plus la photo déjà en deux dimensions. Avec moins de nuances et en utilisant des couleurs vives, Warhol met en avant la planéité émotionnelle et montre subtilement le côté superficiel de cette femme. Un sex-symbol créé par la société ; une femme qui est tout ce que la société veut qu'elle soit. En se concentrant sur ses caractéristiques emblématiques, Warhol nous rappelle qu'il y existait une vraie femme derrière son image.
It was in 1962 that Warhol was fascinated by the process of photographic reproduction of screen printing. This technique would become Warhol’s style par excellence: simple, fast, you could also make tiny but infinite modifications to the same photo matrix. Hard to believe, but it is pure coincidence that Warhol chose to portray Marilyn Monroe in one of the first portraits, and today one of his best known works. She ended her own life that same month, and her magnificent face, as well as her celebrity, seemed to be fertile ground for Warhol's repetitive works, and resembling comic book images. And he was quite right!
The featured photo of Warhol was an advertisement from the movie "Nigeria", in which Marilyn had previously starred in 1953. He created many of Monroe's pop art works using this image, including "Marilyn diptych" now considered one of the most influential pieces in modern art. Instead of sketching or painting his face, Warhol chose a photo he knew everyone knew. But why Monroe? Marilyn embodies celebrity and the very notion of "sex symbol". Highlighting famous people became a hallmark of the pop art movement during the 1960s: it was in fact a scathing commentary on the mass media's obsession with the cult of celebrity.
It is also believed that by this style of working Warhol is referring to a society in which people can be seen as a product rather than a person. In addition, the screen printing technique used by Warhol for the portraits of Monroe flattens the already two-dimensional photo even more. With fewer undertones and using bright colors, Warhol brings out the emotional flatness and subtly shows the superficial side of this woman. A sex symbol created by society; a woman who is everything society wants her to be. Focusing on her iconic characteristics, Warhol reminds us that there was a real woman behind her image.
Au XVII ème siècle. Cette "usine à canons" fut édifiée de 1668 à 1671, soit deux ans après le début de la construction de la Corderie Royale (1666), mais à l'écart des autres bâtiments de l' Arsenal de Rochefort situés le long de la Charente.Elle commence son aventure en 1669 et est spécialisée dans la fonte des canons de bronze, plus sûr et plus prestigieux que les canons en fonte,
C'est aujourd'hui le dernier témoin des grandes fonderies du XVII ème siècle
Au XVIII ème siècle La fin du règne de Louis XIV voit le roi se détourner de la marine et semble sonner le glas de l'arsenal.c'est au gré des finances d'état que Rochefort comme les autres arsenaux du Royaume , arme des navires. Les canons de bronze sont abandonnés au profit des canons en fonte. 171 Louis XVI crée 3 nouvelles fonderies manufacture royale : Ruelle en Charente Forge en Périgord , et l'isle d'Indret près de Nantes.
Au XIX ème siècle L'activité de de fonte de canons en bronze décline après le révolution.En 1839 le bâtiment est reconverti en atelier de construction de machines à vapeur pour la propulsion des navire de guerre .La fonderie dépend de la DCN .En 1891 les bâtiments sont délaissés et en 1905 l'ancienne fonderie devient une caserne pour les troupes coloniales.
Au XX ème il sert d'espace de stockage au Service de santé jusqu'en 1989. La Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) en a fait l'acquisition en 2007.
🇫🇷 Ce fut un week-end mémorable que ces deux derniers jours du mois de Mars 2024,malgré une météo exécrable.Les autorails préservés X4039 et X2403 sur le train spécial Tour du Morvan, en partance de Cercy la tour,se rendent a Corbigny.Les voici,passant a faible allure,au pied du château d'Anizy
1 Rue du Château 28250 Senonches
Donjon : classement par arrêté du 12 avril 1923 ; Façades et toitures des deux corps de logis accolés au côté Est du donjon (cad. A 308) : inscription par arrêté du 4 mai 1984
Historique :
Dès le 9e siècle, une maison-forte fut élevée à l'emplacement du château. En 1130, Hugues II de Châteauneuf, de retour de captivité d'outre-Manche, fit construire le donjon auprès du vieux château. Accolés au donjon, les bâtiments sont constitués essentiellement de deux volumes décalés dont les toitures en pavillon ont été reliées. En partie basse et à l'intérieur se devinent les vestiges d'anciennes structures.
Périodes de construction :
12e siècle, 16e siècle, 17e siècle.
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Château de Senonches
Les origines
La première mention du château se trouve dans une charte du logo-chateau-senonchesdébut du XIIe siècle, où Hugues II seigneur de Châteauneuf-en-Thimerais, confirme aux moines de St-Père de Chartres leurs possessions à Senonches concernant l’église et ses revenus. Cette charte précise que c’est Hugues II qui fit construire ce château, à l’emplacement d’un précédent complètement ruiné, ainsi que les fortifications entourant le bourg. Les premières fortifications étaient de terre et restent visibles parallèlement à la rue de l’Ecole (parc de la Pomme de Pin) et sous les remparts du château.
Hugues II hérite de l’administration des domaines à la mort de son père Gervais 1er dont le Thimerais. Vers 1140, il reconstruit le château de Senonches dont il ne reste que la tour-porche (classée Monument Historique en 1923), quelques éléments du rempart et une partie de la courtine.
À l’extinction de la baronnie du Thimerais à la fin du XIIIe s, il tombe sous la tutelle des Comtes qui deviennent Ducs d’Alençon. En 1563 et jusqu’en 1654, la famille Gonzague Mantoue en prend possession par héritage. C’est en 1566 que Senonches acquiert son blason, qui est celui de Mantoue Le corps de logis a certainement été reconstruit à l’initiative de cette famille. Il sert de logis pour le seigneur mais également de salle de justice. Une prison est aménagée comprenant deux salles voûtées et une petite pièce.
En 1654, Charles II de Mantoue met fin à la seigneurie Gonzague en vendant Senonches à François-Marie de Broglie, comte de Revel en Piémont. En 1667, le château de Senonches est saisi et adjugé par arrêté royal à Henri-Jules de Bourbon Enghien, fils du Grand Condé. Sa fille, Marie-Thérèse de Bourbon Conti en hérite, puis c’est au tour de Marie-Adélaïde de Bourbon Conti d’en prendre possession à la mort de sa mère en 1719. Son neveu, Louis-François de Conti lui succède et, en 1770, vend Senonches à Louis XV. Ce dernier le donne en apanage à Louis-Xavier dit « Monsieur », duc d’Anjou, comte du Maine, du Perche et d’Anjou, frère de Louis XVI et futur Louis XVIII.
En 1808, le château, devenu bien national en 1792, est vendu, à une société de maîtres des forges de Dampierre représentée par M. Louis Nicolas Simon Canuel.
En 1831, l’associé principal devenu seul propriétaire, M. Louis Auguste Adrien Goupil le lègue à la commune. Cette donation précise que le château doit devenir une école mutuelle pour les garçons, un logement pour instituteur, une salle de mairie et une audience de justice de paix. Dès 1832, une école de garçons est construite dans la cour du château et agrandie en 1888 dans le style « Jules Ferry ». Le legs Goupil prévoyait que la mairie et la justice de paix pouvait ne pas rester au château et que dans ce cas, il devrait être affecté à une autre destination d’utilité publique telle qu’une gendarmerie ou une prison, ce qui permit la création d’une brigade de gendarmerie à pied et son installation dans le château en 1844. Ainsi, jusqu’en 1965, les bâtiments XVIe et une partie du donjon vont servir de gendarmerie avec une prison.
En parallèle, l’école de garçon déménage en 1958 dans les bâtiments de l’actuelle mairie. L’école maternelle s’installe alors au château et y restera jusqu’en 1966, date de la construction de l’actuelle école maternelle, rue des Vallées.
En 1974, la commune confie la gestion du château à l’Association du Château qui ouvrira un musée dans le corps de logis et l’ancien préau.
Dès 2005, de vastes travaux de restauration sont entrepris pour l’ouverture au public d’un centre d’interprétation sur la Forêt et l’Homme.
Décidé en 1746 par l'intendant Tourny pour réunir la ville aux faubourgs Saint Seurin et des Chartrons, les plans en furent confiés à Jacques-Ange Gabriel. Il fut conçu en jardin à la française avec des galeries sur le côté sud.
Pendant la Révolution, il fut transformé en Champs de Mars pour les cérémonies officielles.
Enfin, en 1855, la partie centrale fut plantée en jardin anglais et un jardin botanique y fut créé.
Marguerite Lotti (appelée sœur Rita de Cascia (en italien : communément simplifiée en Rita, née en mai 1381 à Roccaporena (États pontificaux) et morte le 22 mai 1457 à Cascia (États pontificaux), est une veuve italienne qui fut admise dans l'ordre des Augustines. Elle est connue comme l'avocate des « causes désespérées ». Canonisée en 1900, son corps incorrompu reste dans la basilique Sainte-Rita de Cascia.
🇬🇧 Margaret Lotti (known as Sister Rita of Cascia (Italian: commonly simplified to Rita), born in May 1381 in Roccaporena (Papal States) and died on 22 May 1457 in Cascia (Papal States), was an Italian widow who was admitted to the Augustinian order. She is known as the advocate of "hopeless causes". Canonised in 1900, her incorrupt body remains in the Basilica of Santa Rita in Cascia.
🇩🇪 Margaret Lotti (bekannt als Schwester Rita von Cascia (italienisch: allgemein vereinfacht Rita), geboren im Mai 1381 in Roccaporena (Kirchenstaat) und gestorben am 22. Mai 1457 in Cascia (Kirchenstaat), war eine italienische Witwe, die in den Augustinerorden aufgenommen wurde. Sie ist als Anwältin der "hoffnungslosen Fälle" bekannt. Ihr unversehrter Leichnam wurde im Jahr 1900 heiliggesprochen und befindet sich in der Basilika Santa Rita in Cascia.
🇪🇸 Margarita Lotti, conocida como sor Rita de Casia (en italiano: Rita, generalmente simplificada), nació en mayo de 1381 en Roccaporena (Estados Pontificios) y murió el 22 de mayo de 1457 en Cascia (Estados Pontificios), fue una viuda italiana admitida en la Orden agustina. Se la conoce como abogada de los "casos perdidos". Su cuerpo intacto fue canonizado en 1900 y se conserva en la basílica de Santa Rita de Cascia.
🇮🇹 Margherita Lotti, nota come Suor Rita da Cascia (Rita, generalmente semplificata), nata nel maggio 1381 a Roccaporena (Stato Pontificio) e morta il 22 maggio 1457 a Cascia (Stato Pontificio), è stata una vedova italiana ammessa all'Ordine Agostiniano. È conosciuta come l'avvocato delle "cause perse". Il suo corpo intatto è stato canonizzato nel 1900 ed è conservato nella Basilica di Santa Rita a Cascia.
Une chapelle attenante au château fut élevée au xiie siècle. Au siècle suivant, elle fut érigée en collégiale et le clocher surélevé.
Durant la guerre de Cent Ans, elle fut ruinée comme le reste de la ville en 1356 puis en 1371. Louis Malet de Graville qui devint seigneur du lieu en 1480 engagea sa reconstruction dans un style gothique. Le chœur et la nef furent inaugurés en 1495
En 1630 fut ajoutée la chapelle de la Vierge puis le bas-côté droit en 1633, la même année que le portail récupéré de l'église Saint-Pierre, construite en 667 sur la rive gauche de l'Écoles
Le 6 mars 1926, l'église fut inscrite aux monuments historiques
Vu à Milly-la-Forêt ( 91 )
La fontaine-aux-Lions-de-Nubie fut conçue en 1811 par l'ingénieur Pierre-Simon Girard. Elle à d'abord été érigée place du Château-d 'eau, futur place de la République. Transférée en 1867 à la Villette pour servir d'abreuvoir au bétail à l'entrée du marché, aujourd'hui la Grande halle. Cette fontaine compte parmi les premiers modèles de l'utilisation de la fonte de fer pour la réalisation des fontaines. Elle a été construite au Creusot. Classée monument historique.
The fontaine-aux-lions-de-Nubie (Lion-of-Nubia fountain) was designed in 1811 by the engineer Pierre-Simon Girard. It was first erected on the Place du Château-d'eau, the future Place de la République. It was transferred in 1867 to La Villette to serve as a drinking trough for cattle at the entrance to the market, now the Grande Halle. This fountain is one of the first models of the use of cast iron for fountains. It was built in Le Creusot. Listed as a historical monument.
Un grand moment d'émotions de notre visite en Inde fut ce petit village rural de Navadhi situé à quelques kilomètres de Bodhgaya
L’accueil de la famille d'Anuj le Manager de Shantindia restera à jamais gravé dans la mémoire de Claire ma fille et de moi-même.Nous assisterons à une incroyable cérémonie ou Puja en Indien,la fête de Chhath.
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A very emotional moment of our visit in India was this small rural village of Navadhi situated a few kilometers away from Bodhgaya
The welcome(reception) of the family of Anuj the Manager de Shantindia will remain for ever memorized by Claire my daughter and by myself. We shall attend an incredible ceremony or Puja in Indian du Chhath Puja.
Après trois jours à sa recherche, voici une première rencontre à une distance un peu plus respectable, les conditions de cette rencontre, où la lumière faisait défaut, ne m'ont pas permis d'aller chercher la pleine mesure de ses belles couleurs et le détail de son plumage. Cette prise, cropé à 20%, fut la meilleure de cette courte session. Ce n'est que partie remise!!!
Elle fut d’abord construite sur la base de quatre piliers datant du XIe. Un siècle plus tard, fut élevé au dessus de la coupole, le clocher roman à galbe tel que nous le connaissons aujourd’hui ainsi que le tympan taillé dans le calcaire de Turenne.
Au XIIIe la nef qui se trouve au chevet de l’église fut percée d’une fenêtre en arc brisé. Au XIVe et XVe on construisit les chapelles latérales du sud et celles du nord, mais la guerre de Cent Ans vint rompre l’harmonie des lieux car il fallut fortifier l’édifice.
Pour se protéger des anglais, on construisit au sud une tour carrée qui servit de chambre de guet. On édifia enfin la tour du nord dans laquelle étaient abritées les cloches chargées de sonner le tocsin. Tocsin qui retentit lors des guerres de Religions ; lesquelles obligèrent la population collongeoise à partager l’église pour y célébrer les deux cultes. La peur des Huguenots avait poussé les collongeois à disperser le tympan de sa place originelle jusqu’au sommet du mur de l’église. Il a été remis en place en 1923 et les dernières restaurations ont eu lieu en 1985. Il semble avoir été réalisé au XIIe par un atelier languedocien, représentant soit l’ascension, soit le retour du christ.
Grassmarket est un marché historique dans la vieille ville d'Édimbourg. Il fut mentionné pour la première fois dans le Registrum Magni Sigilii Regum Scotorum (1363) comme « la rue appelée Newbygging (littéralement : nouveaux bâtiments) sous le château ». Il était, à partir de 1477, une des principales zones de marché de la ville. Il a été utilisé comme un marché à partir du 14ème siècle, avec des foires aux bestiaux, des foires aux chevaux et du maïs achetés et vendus dans son grand espace ouvert. Son nom de « Grassmarket » « marché aux herbes » vient de l’époque où l’herbe y était stockée en grande quantité pour nourrir les animaux du marché. À partir de 1660 environ, le Grassmarket est devenu le lieu de prédilection pour pendre les criminels de la ville, l’histoire de Maggie Dickson gagnant une notoriété particulière. Half-Hingit Maggie est devenue si célèbre qu’il y a un pub qui porte son nom dans le Grassmarket (à mi-chemin du côté nord). Maggie Dickson, ou « Demi-hangit Maggie » comme on l’appelait, était une poissonnière qui a été jugée et condamnée pour le meurtre de son nouveau-né en 1724. Bien connue à l’époque pour être une fauteuse de troubles, elle aurait eu une liaison passionnée avec un homme beaucoup plus jeune en 1723. Peu de temps après, un pêcheur d’Édimbourg a rapporté qu’il avait trouvé le corps nu noyé d’un nouveau-né jeté sur les rives de la rivière Tweed. Les tribunaux d’Édimbourg ont déclaré Maggie coupable et l’ont condamnée à mort en 1724. Alors que la charrette traversait les rues de la vieille ville d’Édimbourg, deux menuisiers ont entendu des coups frénétiques et des cris venant de l’intérieur de son cercueil. Ils ont immédiatement ouvert le cercueil et à leur grand étonnement, la haletante Maggie Dickson s’est miraculeusement levée en hurlant, terrifiant tous ceux qui l’ont vue. Comme la loi de l’époque avait été appliquée et que la punition de Maggie avait été exécutée, les responsables d’Édimbourg n’avaient d’autre choix que de la libérer. On ne saura jamais si sa résurrection était un cas d’intervention divine ou un diagnostic médical incorrect ! Elle a vécu 25 ans après avoir été « exécutée » sur la potence, et elle devint la tristement célèbre propriétaire d’une maison de bière jusqu’à sa mort finale en 1753.
Lieu des exécutions publiques, c’est sur Grassmarket qu’un petit monument commémoratif est dressé en 1937, à l’endroit où se trouvait l'échafaud, lieu de pendaison des Covenantaires ainsi que les personnes accusées de vol et de sorcellerie. Dans les années 1680, plus d’une centaine de personnes ont été exécutées au Grassmarket en raison de leur foi religieuse. C’était l’époque des Covenanters, un groupe religieux protestant dédié à la protection de leur foi presbytérienne contre l’ingérence du roi. Le gouvernement les considérait comme des rebelles et tentait d’éradiquer le mouvement. Le Grassmarket a été le théâtre de l’une des émeutes les plus notoires d’Édimbourg, en septembre 1736. Plus tôt cette année-là, deux passeurs populaires, Wilson et Robertson, ont été condamnés à mort. Alors que Wilson était coupé de la potence, la foule a commencé à jeter des pierres et le garde de la ville a ouvert le feu, tuant 16 personnes, dont un petit garçon regardant la scène depuis la fenêtre d’un immeuble. John Porteous, le capitaine de la garde, a été jugé et reconnu coupable de meurtre, mais comme il avait beaucoup d’amis à la cour, un pardon semblait probable. Beaucoup de gens étaient en colère contre ce qu’ils prenaient pour s’immiscer dans leur processus juridique, et ils ont pris d’assaut la prison de Tolbooth où Porteous était détenu. La foule a trouvé le capitaine caché dans une cheminée, et il a été traîné au Grassmarket où il a été pendu à un poteau de teinturier. Au début du 20ème siècle, le Grassmarket abritait tant d’immigrants italiens qu’il est devenu connu sous le nom de « Petite Italie »... Les emplois les plus populaires étaient musiciens et vendeurs de crème glacée, qui pouvaient tous deux être colportés dans les rues. La crème glacée était servie directement à partir des brouettes avec des cris de « Gelati, ecco un poco », et ainsi pour les habitants, ils sont devenus connus sous le nom de « Hokey Pokey men ». À l’est de The Grassmarket, vous trouverez un petit rond-point et des routes qui mènent vers le Cowgate et le Candlemaker Row. La route Cowgate passe sous le pont George IV, mais après ce point, il n’y a pas grand-chose à voir à part quelques pubs (Brewdog est situé à un demi-mile sur la route si vous avez une préférence pour les bières artisanales écossaises). Candlemaker Row, d’autre part, mène en montée vers Greyfriars Kirk qui a sa propre histoire fascinante et c’est aussi le dernier lieu de repos de Greyfriars Bobby, le fidèle Scotts terrier. En raison de la puanteur accablante qui a été créée pendant le processus de fabrication des bougies (ils utilisaient de la graisse animale à l’époque), les fabricants de bougies d’Édimbourg ont été bannis en dehors des limites de la vieille ville dans la zone qui a finalement pris son nom des artisans qui y travaillaient. Le bâtiment le plus important est Candlemakers Hall qui a été construit en 1722 et adossé à Greyfriars Kirk. C’est aussi l’endroit où vous pouvez trouver l’une des rares sections restantes du mur de Flodden - le mur de pierre du 16ème siècle qui a été construit après la défaite des Écossais à la bataille de Flodden en 1513.
Grassmarket is a historic market in Edinburgh's Old Town. It was first mentioned in the Registrum Magni Sigilii Regum Scotorum (1363) as "the street called Newbygging (literally: new buildings) under the castle". It was, from 1477, one of the main market areas of the city. It was used as a market from the 14th century, with cattle fairs, horse fairs and corn bought and sold in its large open space. Its name "Grassmarket" comes from the time when grass was stored there in large quantities to feed the animals in the market. From around 1660, the Grassmarket became the favorite place to hang the city's criminals, with the story of Maggie Dickson gaining particular notoriety. Half-Hingit Maggie has become so famous that there is a pub named after her in the Grassmarket (halfway up the north side). Maggie Dickson, or "Half-hangit Maggie" as she was known, was a fishmonger who was tried and convicted for the murder of her newborn baby in 1724. Well known at the time for being a troublemaker, she reportedly had a passionate affair with a much younger man in 1723. Shortly after, an Edinburgh fisherman reported that he had found the drowned naked body of a newborn baby dumped on the banks of the River Tweed. The Courts of Edinburgh found Maggie guilty and sentenced her to death in 1724. As the cart passed through the streets of Edinburgh's Old Town, two carpenters heard frantic banging and screaming coming from inside his coffin. They immediately opened the coffin and to their amazement, the gasping Maggie Dickson miraculously stood up screaming, terrifying all who saw her. As the law at the time had been enforced and Maggie's punishment had been carried out, Edinburgh officials had no choice but to release her. Whether his resurrection was a case of divine intervention or an incorrect medical diagnosis will never be known! She lived 25 years after being "executed" on the gallows, and she became the infamous owner of a beer house until her final death in 1753.
Place of public executions, it is on Grassmarket that a small commemorative monument is drawn up in 1937, at the place where was the scaffold, place of hanging of the Covenanters as well as those accused of theft and witchcraft. In the 1680s, over a hundred people were executed at the Grassmarket for their religious faith. It was the time of the Covenanters, a Protestant religious group dedicated to protecting their Presbyterian faith from interference by the king. The government saw them as rebels and tried to eradicate the movement. The Grassmarket was the scene of one of Edinburgh's most notorious riots, in September 1736. Earlier that year two popular smugglers, Wilson and Robertson, were sentenced to death. As Wilson was cut off from the gallows, the crowd began throwing rocks and the city guard opened fire, killing 16 people, including a small boy watching the scene from a building window. John Porteous, the captain of the guard, was tried and found guilty of murder, but as he had many friends at court, a pardon seemed likely. Many people were angry at what they were taking to interfere with their legal process, and they stormed Tolbooth Jail where Porteous was being held. The mob found the captain hiding in a fireplace, and he was dragged to the Grassmarket where he was hung from a dyer's pole. In the early 20th century, the Grassmarket was home to so many Italian immigrants that it became known as 'Little Italy'... The most popular jobs were musicians and ice cream vendors, both of which could be peddled in the streets. Ice cream was served straight from the wheelbarrows with shouts of "Gelati, ecco un poco", and so to the locals they became known as the "Hokey Pokey men". To the east of The Grassmarket you will find a small roundabout and roads that lead to Cowgate and Candlemaker Row. The Cowgate Road goes under the George IV Bridge, but after that point there's not much to see other than a few pubs (Brewdog is half a mile up the road if you have a preference for beers Scottish crafts). Candlemaker Row, on the other hand, leads uphill to Greyfriars Kirk which has its own fascinating history and is also the final resting place of Greyfriars Bobby, the loyal Scotts terrier. Due to the overpowering stench that was created during the candle making process (they used animal fat at the time), Edinburgh candle makers were banned outside the Old Town limits in the area that eventually took its name from the craftsmen who worked there. The most significant building is Candlemakers Hall which was built in 1722 and backs onto Greyfriars Kirk. It is also where you can find one of the few remaining sections of the Flodden Wall - the 16th century stone wall which was built after the Scots were defeated at the Battle of Flodden in 1513.