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Église Saint-Paul, 1690, avenue de l’Église, Montréal.
La première église, érigée en 1876, fut anéantie par le feu en 1899. La seconde, construite l’année suivante, a été brûlée en 1907. La première église, érigée en 1876, fut anéantie par le feu en 1899. La seconde, construite l’année suivante, a été brûlée en 1907. Datant de 1911, l'actuelle église Saint-Pau fut érigée selon les plans du célèbre architecte québécois Joseph Arthur Godin. Elle a été très endommagée en 1967 à la suite d’un feu qui a ravagé son intérieur.
Les vitraux, installés en 1964, sont du maître verrier Guido Nincheri. On y trouve également une série de fresques de J.-A. Delfosse, présentant la vie et l’œuvre de Saint Paul et des vitraux contemporains (du côté gauche de l’autel). Un orgue des frères Casavant y est installé.
À droite de l'église on voit également l'ancien pensionnat Notre-Dame-du-Saint-Rosaire dessiné par le célèbre architecte Victor Bourgeau, qui a ouvert ses portes en septembre 1888 pour y accueillir dès son inauguration une centaine de jeunes filles.
Complexe funéraire de Djéser. Égypte 1983.
Il est, dans l'histoire de l'architecture égyptienne, le second ouvrage édifié en pierre de taille. Il marque une évolution importante de l'architecture monumentale.
En effet, le tombeau du roi prend, pour la première fois et après de multiples modifications, la forme d'une pyramide. Cette innovation marque la naissance d'un nouveau type de sépulture.
Bien que l'appartement royal ait été complètement pillé dès l'Antiquité, le mobilier archéologique dégagé lors des fouilles de cet ensemble funéraire n'en est pas moins d'une importance exceptionnelle.
Des milliers de vases et de coupes gisent encore au fond des galeries, attendant d'en être extraits. Deux sarcophages d'albâtre, dont l'un contient encore le squelette d'un enfant, sont encore placés au sein des galeries de la famille royale.
Le complexe fut conçu par l'architecte Imhotep. Il est l'aboutissement d'une architecture évoluant depuis la IIe dynastie.
"L'art est, comme la prière, une main tendue dans l'obscurité, qui veut saisir une part de grâce pour se muer en une main qui donne." - Franz Kafka
Dernier jour de notre petit week end à Nantes, météo maussade.
Nous avons donc suivi ( enfin étant un peu rebelles, il y avait une bonne part de hasard...) le "Voyage à Nantes" estival qui vient chaque année enrichir la collection permanente grâce à des installations, temporaires ou définitives, d’œuvres d’art contemporain dans l’espace public...Il aurait fallu bien plus de temps pour tout découvrir, mais j'ai pris de-ci delà quelques photos de ce voyage extraordinaire dans l'Art contemporain...En plein mois de juillet, évidemment, cela n'a pas toujours été facile, du monde, notamment autour du célèbre éléphant, et j'avoue qu'on a du en "rater" pas mal. Mais bon, le voyage fut finalement bien agréable.
Ici, nous sommes dans la HAB galerie, autrement dit "Hangar à Bananes", Quai des Antilles, dans le quartier Ile de Nantes, qui proposait alors l'exposition Habiter la Terre, véritable traversée dans l’œuvre de l’artiste camerounais Barthélémy Toguo.
Dans ma photo, on aperçoit une de ses créations, "Caring for memory", exclusivement nantaise, car réalisée pour l’occasion. Il s’agit d’une sculpture en bronze, figurant un arbre dont les branches se terminent en mains, hommage aux personnes esclavagisées, où d’aucuns verront un clin d’œil appuyé à la déforestation et aux catastrophes écologiques, autre sujet de prédilection de l'artiste.
Les mains se tendent vers une partie d'une autre œuvre "Une autre vie", série de douze photos qui posent la question "Quand aurons nous le courage de passer d'un comportement hostile envers la vie à une forme d'engagement vis à vis d'elle ?".
Une étonnante exposition qui ne laisse pas de marbre, devant l'engagement visible de cet artiste multidisciplinaire sur la problématique de l’exil, des famines et des catastrophes écologiques, ainsi que de la discrimination et le rejet.
Je vous dépose un lien vers le livret reprenant quelques unes des œuvres qui étaient exposées : DP - BARTHÉLÉMY TOGUO - HAB GALERIEPublish at Calameo
ainsi qu'un une vidéo : youtu.be/MIakex10pII?si=JmDKrysXDZI18LWQ
=> Cette locomotive fut mis en service en 1887, à l'origine elle portait le "n° 390", elle fut renuméroté "n° 217" en 1908 & pour finir "n° 29" en 1913 et jusqu'à la fin de sa carrière.
=> This locomotive was put into service in 1887, originally it bore the "n° 390", it was renumbered "n° 217" in 1908 & to finish "n° 29" in 1913 and until the end of its career.
Cette fontaine se dresse devant la Gewandhaus bordant le sud de la l'Augustusplatz, de Leipzig, Land de Saxe, Allemagne.
Cette fontaine datant de 1886 représente une allégorie de l'empire des eaux. Gewandhaus est une salle de concert qui fut inaugurée en 1981. Plus de 1 900 spectateurs peuvent prendre place pour écouter le fameux orchestre du Gewandhaus.
L’Augustusplatz (« place Auguste », d'après le premier roi de Saxe) est une place publique dans l'est du centre de Leipzig. Elle est construite en 1785 selon les plans de Johann Carl Friedrich Dauthe sous le nom de Platz vor dem Grimmaischen Thor (« place de la porte de Grimma ») à l'emplacement d'une porte sur l'ancienne enceinte de Leipzig. Sous le régime de la RDA, elle était connue sous le nom de Karl-Marx-Platz avant de faire l'objet d'une rénovation complète et d'être renommée sous son nom actuel le Jour de l'Unité allemande le 3 octobre 1990.
Elle fait aujourd'hui 40 000 m2 de superficie et regroupe quelques-uns des monuments les plus marquants de la ville dont, au centre, l’Opernhaus (opéra) bâti de 1956 à 1960 à l'excellente acoustique avec, au nord de l'édifice le parc avec l’étang Schwanenteich (le Lac des cygnes). Au Sud, se dressent le gratte-ciel moderne City-Hochhaus, la salle de concert Gewandhaus, ainsi que la partie centrale de l'Université de Leipzig. À l’ouest, on peut admirer la Krochhaus, le premier « gratte-ciel » de la ville, élevé en 1928-1929 et couronné d'une réplique des automates Maures de Venise.
Leipzig est une ville-arrondissement d'Allemagne centrale, au nord-ouest du Land de Saxe. Elle est la ville la plus peuplée d'Allemagne de l'Est après Berlin, et la dixième ville du pays. Leipzig obtint ses privilèges municipaux en 1165 et acquit très tôt une vocation commerciale. Ses grandes foires d’automne et de printemps créées depuis plus d’un siècle, attirent chaque année de nombreux visiteurs.
Depuis la création de son université en 1409, la ville est aussi un important centre intellectuel, Renommée pour ses éditeurs, elle renferme la Deutsche Bücherei, la Bibliothèque national allemande fondée en 1912. Par ailleurs, la cité où Jean-Sébastien Bach passa près de 30 ans de sa vie accorde une grande place à la musique : l’orchestre du Gewandhaus et la chorale Thomanerchor jouissent d’une grande réputation.
Palais du Pharo, dont la construction fut ordonnée par Napoléon III pour l'impératrice Eugénie dans la deuxième moitié du XIXe siècle.
Après la chute du régime, les opposants à Napoléon III s'attaquent à tous les symboles de l'Empire. En particulier, la foule détruit tous les emblèmes et ornements napoléoniens qui décorent la façade du bâtiment. À la mort de l'empereur en 1873, la ville de Marseille revendique la propriété du domaine et engage un procès contre l’impératrice, alors unique propriétaire légal. Ceci donne lieu a un virulent procès au terme duquel Eugénie décide en 1884 d'offrir le palais et ses jardins à la ville, à condition qu'ils soient employés à des fins d'utilité publique.
Jusqu'à la fin du XIXe siècle, l'édifice sert donc d'hôpital et accueille successivement les cholériques et les tuberculeux. Les bâtiments érigés sur la partie latérale de l'esplanade du Palais ont d'abord été occupés par la Faculté de Médecine en 1890. En 1905 l'Institut de médecine tropicale du service de santé des armées, dite l'École du Pharo, y est créé. Depuis 2012, ce bâtiment accueille le siège de l'Université d'Aix-Marseille.
Il appartient aujourd'hui à la ville de Marseille et accueille des congrès et diverses manifestations. Il domine la passe du port, côté mer, et le jardin du Pharo (jardin Emile Duclaux), côté ville.
Notre-Dame de Peyragude n'est pas une basilique mais un sanctuaire marial situé sur une colline surplombant les vallées du Lot et du Boudouyssou. Elle fait partie de la commune de Penne-d'Agenais dans le département de Lot-et-Garonne et la région Nouvelle-Aquitaine.
Dès l'an 1000, existait en ce lieu, un oratoire consacré à une Vierge de l'Assomption.
L'église fut complètement détruite en 1562 par les protestants. Après la peste de 1653, un second sanctuaire fut construit sur le rocher pour honorer le vœu des échevins de Penne-d'Agenais. La statue de Notre-Dame fut épargnée de la destruction pendant la Révolution.
Au xixe siècle, fut entreprise la construction d'un nouveau sanctuaire, d'après les plans de M. Bouillet, architecte à Marmande, dont l'archevêque de Bordeaux, Mgr Lecot posa la première pierre le 14 mai 1897. Cet édifice de style romano-byzantin qui domine la vallée du Lot ne fut achevé qu'en 1948 et consacré sous le titre de Cœur immaculé de Marie refuge des pécheurs le 11 septembre 1949 par l'évêque d'Agen Mgr Rodié.
Ce fut une matinée magique dans les gorges du Verdon.
Depuis l’aube, je suis posté en haut de la falaise, à deux pas du belvédère de la Dent d’Aire. J’ai vu le jour se lever sur ce décor vertigineux. Fébrile, j’attends maintenant l’hypothétique envol des vautours. En cette fin d’été, la période n’est guère favorable : la plupart suivent les troupeaux en estive, seuls quelques individus demeurent dans les gorges.
Depuis une heure déjà, le soleil éclaire le bas de la falaise de l’Escalès, réchauffant la pierre et faisant naître les courants ascendants qu’attendent les rapaces.
Enfin, un premier s’élance tout en bas. Il gagne un goulet, là où la paroi forme un angle droit, puis se met à tourner, traçant des cercles invisibles. Se laissant porter par l’air sans effort, il atteint le sommet en quelques secondes et passe devant moi à une quinzaine de mètres. Dans ce silence, un très léger bruissement d’air se devine.
Le signal est donné : une trentaine d’autres suivront.
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It was a magical morning in the Verdon Gorges.
Since dawn, I had been posted on top of the cliff, just a few steps from the Dent d’Aire viewpoint. I watched the day rise over this vertiginous landscape. Now, restless, I awaited the uncertain flight of the vultures. At the end of summer, the season is hardly favorable: most follow the herds up in the alpine pastures, with only a few individuals remaining in the gorges.
For an hour already, the sun had been lighting the base of the Escalès cliff, warming the rock and giving rise to the updrafts the raptors were waiting for.
At last, the first one launched from far below. It reached a gully, where the cliff forms a right angle, and then began to circle, drawing invisible spirals. Carried effortlessly by the air, it reached the summit in just a few seconds and passed before me, only about fifteen meters away. In the silence, a faint rustle of air could be heard.
That was the signal: some thirty others would soon follow.
Petite nyctale | Northern saw-whet owl | Aegolius acadicus
L'inimaginable rencontre...
Samedi soir, je termine une virée au Domaine Saint-Paul de L'Île-des-Sœurs, je reçois un appel, c'est ma bonne amie photographe animalière Danielle Champagne. Habituellement on se communique par texto, curieux, je réponds. Elle m'annonce qu'elle est à sa demeure et qu'à quelques pieds d'elle, devant sa porte, elle observe à l'instant une Petite nyctale, pratiquement à hauteur de ses yeux, toute dégagée, bien installée dans son bel érable. Incrédule, je ne peux tout de même pas mettre en doute sa vision du moment! J'accours alors chez elle. En sa compagnie et celle de notre ami commun Michel Paquin, nous vivons ce moment unique. Incroyable! Impensable! Justement, pensez-y, déjà d'observer une Petite nyctale toute dégagée à proximité en tout temps, ça rend heureux — pour ne pas dire fou — n'importe quel photographe, la voir en plus en plein mois de mai à Montréal — voilà une situation plutôt rarissime —, qu’elle ait choisi par surcroît, au petit matin de son déplacement migratoire, l'arbre de Danielle, perchée sur la seule branche visible de son balcon de ce grand érable au feuillage maintenant tout déployé et bien fourni, elle qui n'avait encore jamais observé l'espèce et en pleine ville sur une rue bordée de maisons, cela dépasse tout entendement. Pour nous trois qui vivions cette scène ensemble à la fin du jour, c'était bien le cas. En plus, lorsque nous savons que Danielle a perdu son conjoint, décédé il y a deux mois à peine, avec qui elle a partagé toute sa vie d'adulte, il est facile d'imaginer que ce visiteur fut un messager venu d'ailleurs la réconforter. Qu'importe que ce soit le cas ou non, c'est bien cela, et même davantage, que lui a procuré cette inimaginable rencontre.
J'ai passé quelques heures avec Danielle et Michel a observé dormir la belle, ici c'est le seul moment où elle a daigné ouvrir quelque peu un œil pour m'offrir ce rare regard. Avant notre arrivée, Danielle a eu un moment où le tout petit strigidé l'a regardé les deux yeux grands ouverts. Ce fut alors pour elle un moment magique et des plus émouvant! Merci la vie!
ƒ/8.0 | 1/15 sec. | ISO 400 | - 2/3 EV
La Schütting est située au Am Markt 13, au sud-ouest de la Marktplatz, dans la Cité-État de Brême (Bremen) en Allemagne.
Faisant face à la cathédrale, cette élégante demeure fut construite en 1537-39 pour la guilde des marchands. L’architecte anversois Johan der Buschener la dessina dans le style maniériste hollandais. Un maître d’œuvre local, Carsten Husman, lui donna son pignon oriental plus classiquement Renaissance. Aujourd'hui encore, il abrite la Handelkammer (Chambre de commerce) de Bremen.
À gauche de l’édifice, une rangée de jolies maisons abritant désormais des commerces nous amène doucement à la sortie de la Markplatz vers la Marktstraße. La Marktplatz est l’ancienne place du marché située au cœur de l'ancienne cité médiévale et dominée par la Rathaus, l'hôtel de ville gothique du 15e siècle, et la cathédrale St. Petri Dom. Par ailleurs, la Haus der Bürgerschaft (qui abrite le Bremische Bürgerschaft ou Parlement du Land Bremen) située à droite de la Dom et inaugurée en 1966 nuit légèrement, par son modernisme, à l'harmonie de la place.
L'ensemble formé de la ville de Brême (Bremen) et son avant-port, le Bremenhaven, bénéficie du statut de Cité-État (ville et land). Cette cité portuaire et industrielle dont les origines remontent à Charlemagne possède un quartier ancien au charme provincial dont le cœur est la Marktplatz. Brême avait déjà une tradition portuaire plus que séculaire lorsqu'elle adhéra à la ligue hanséatique en 1358. Depuis le 17e siècle, une grande part de sa prospérité vient du commerce du café et du coton. Elle est aussi réputée pour sa bière nommée la Beck's.
Collège des Quatre-Nations a été fondé à Paris en 1661, par testament du cardinal Mazarin, pour y élever gratuitement 60 enfants de gentilshommes pauvres appartenant aux provinces des quatre nations espagnole, italienne, allemande et flamande récemment réunies à la couronne par la conquête du Roussillon
Ouvert en 1688, ce collège fut bâti sur une partie de l'ancien hôtel de Nesle aujourd’hui détruit. Dans l'église, où se tiennent aujourd'hui les séances publiques de l'Institut, était le tombeau du cardinal, qui se trouve maintenant au musée de Versailles.
Le collège des Quatre-Nations subsista jusqu'en 1792 ; il servit de prison à l'époque de la Terreur et devint en 1806 le siège de l'Institut de France composé de cinq académies, française, des sciences, des inscriptions et belles-lettres, des beaux-arts et des sciences morales et politiques.
Collège des Quatre-Nations was founded in Paris in 1661, by will of Cardinal Mazarin, to raise free 60 poor gentlemen of children belonging to the provinces of the four Spanish nations, Italian, recently met German and Flemish to the crown by winning the Roussillon
Opened in 1688, the college was built on part of the former Hotel de Nesle now destroyed. In the church, which hosts the public meetings of the Institute today, was the tomb of the cardinal, who is now at the Museum of Versailles.
The College of the Four Nations lasted until 1792; it served as a prison at the time of the Terror in 1806 and became the seat of the Institute of France composed of five academies, French, Science, inscriptions and belles-lettres, Fine Arts and Moral and Political Sciences .
Kolegium Czterech Narodów został założony w Paryżu w 1661 roku, z woli kardynala Mazarin, aby uczyc darmo 60 biednych dzieci należących do czterech prowincji ; hiszpańskijej, włoskiej, niemieckiej i Flamandzkiej .
Otwarta w 1688 roku, uczelnia została zbudowana na części dawnego Hotel de Nesle teraz zniszczonego. W kościele, w którym dzisiaj odbywaja się publiczne spotkania Instytutu, był grób kardynała, który jest obecnie w Muzeum w Wersalu.
Kolegium Czterech Narodów trwała do 1792 roku; służyło jako więzienie w czasie terroru w 1806 roku i stało się siedzibą Instytutu Francuskiego składajacego się z pięciu uczelni, francuskiej, Akademi nauk, literatury pięknej, Akademi sztuk pieknychi i Nauk Politycznych ,
La ville fut fondée par les Portugais vers 1.500, c'était la première capitale di Brésil.
En effet c'est une des plus anciennes villes coloniales des Amériques.
Un ascenseur; "Lacerna" relie depuis 1873 la ville haute: "Pélournho" et la ville basse.
Le dénivelé est d'environ 85 mètres ...
La ville haute abrite encore de nombreux exemples d'architectures coloniales portugaises.
Les afro-brésiliens y sont 4 millions d'habitants
Le centre historique est un ensemble urbain inscrit au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO depuis 1985.
Il se compose de rues et de monuments de l'époque coloniale
comme le quartier du Pelourinho et des quartiers voisins..
Ici; Le largo do Pelourinho
Quartier entièrement pavé entouré de vieilles maisons colorées et d'églises ; "Igreja de Nossa Senhora do Rosario dos Pretor" et l'église Carmo....
« Ce fut une journée grise, telle qu'on en voit souvent à Paris. [...] Je fais cette remarque parce que, comme chacun sait, Paris est surtout une ville grise. »
Henry Miller, Jours tranquilles à Clichy.
Explore, Jan 27, 2016 #127
La ville fut fondée par les Portugais vers 1.500, c'était la première capitale di Brésil.
En effet c'est une des plus anciennes villes coloniales des Amériques.
Un ascenseur; "Lacerna" relie depuis 1873 la ville haute: "Pélournho" et la ville basse.
Le dénivelé est d'environ 85 mètres ...
La ville haute abrite encore de nombreux exemples d'architectures coloniales portugaises.
Les afro-brésiliens y sont 4 millions d'habitants
Le centre historique est un ensemble urbain inscrit au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO depuis 1985.
Il se compose de rues et de monuments de l'époque coloniale
comme le quartier du Pelourinho et des quartiers voisins..
ICI:
La place da Sé, tire son nom de l'ancienne Cathédrale S2 da Bahia qui fut détruite en 1933...
L'Eglise Sao Pedro das Clerigos se dresse derrière le jet d'eau...
A l'origine, la cathédrale était une église jésuite, dont la première pierre fut posée en 1613.
L'église constitue un exemple remarquable du gothique tardif, tout en présentant divers éléments et ornementations de style Renaissance.
A la fin du XVIIIe siècle, elle accueillit la statue miraculeuse de la Consolatrice des Affligés, patronne du pays et de la ville de Luxembourg.
50 ans plus tard, l'église reçut le titre sacré de Notre-Dame et, en 1879, le pape Pie IX l'éleva au rang de cathédrale.
Entre 1935 et 1938, la cathédrale Notre-Dame fut agrandie sur son côté sud.
Originally, the cathedral was a Jesuit church, the first stone of which was laid in 1613.
The church constitutes a remarkable example of late Gothic, while presenting various elements and ornamentation of the Renaissance style.
At the end of the 18th century, it hosted the miraculous statue of the Consoler of the Afflicted, patroness of the country and the city of Luxembourg.
50 years later, the church received the sacred title of Notre-Dame, and in 1879 Pope Pius IX elevated it to the rank of cathedral.
Between 1935 and 1938, Notre-Dame Cathedral was extended on its south side.
Le cloître plateresque, ou nouveau cloître (claustro nuevo) fut pour sa part érigé au XVIe siècle, en adoptant le style qui s'imposait partout en Espagne (le chef-d'œuvre en étant sans doute la façade de l'Université de Salamanque). Il s'organise lui aussi selon un plan rectangulaire, plus vaste toutefois, et s'élève sur deux niveaux. Le premier niveau se distingue par sa galerie à arcs en plein cintre retombant sur des colonnes dotées de splendides chapiteaux sculptés de volutes et de guirlandes. La galerie du second étage est caractérisée par une succession d'arcs en anse de panier, liées par une belle balustrade aveugle décorée de motifs héraldiques.
L'Alcazaba de Malaga fut construite sur les vestiges d'une forteresse romaine par la Taifa des Hammudites vers le Xième siècle sous le règne de Badis ben Habus. Cette dernière protégeait la province de Grenade convoitée par les chrétiens. En plus de son rôle défensif, L'Alcazaba fut la résidence du gouverneur de la ville à l'époque musulmane. À la suite de la prise de Malaga par les Rois catholiques en 1487, plusieurs rois y habiteront comme Philippe IV ou encore Charles III d'Espagne.
Les ruines du Théâtre romain datant du premier siècle ap. J.-C. furent utilisées par les Maures pour la construction de l'Alcazaba.
The Alcazaba was built on the remains of a Roman fortress by the Taifa of hammudid dynasty to the 10th century during the reign of Ben Badis Habus. This latter protected the Granada province coveted by Christians. In addition to his defensive role, The Alcazaba was the residence of the governor of the city during the Muslim era. Following the taking of Malaga by the Catholic Monarchs in 1487, several kings dwell there as Philip IV and Charles III of Spain.
The ruins of the Roman theater dating from the first century AD were used by the Moors to build the Alcazaba.
"A 1969 station concept. The station was to rotate on its central axis to produce artificial gravity. The majority of early space station concepts created artificial gravity one way or another in order to simulate a more natural or familiar environment for the health of the astronauts. After returning from a micro-gravity environment, astronauts find their muscles weak because they have not been using them. Long-term exposure to micro-gravity could generate long-term health problems for astronauts who do not utilize their muscles. This is why there are exercise machines on space shuttles and on the International Space Station. It was to be assembled on-orbit from spent Apollo program stages."
Obviously, the above is a relatively contemporary ‘composition’ and surprisingly okay. I wonder what the original was though. Although this isn’t, some other original printings must’ve been captioned…maybe.
The approaching ferry? capsule looks like an Apollo Command Module with a Mercury Recovery Compartment ‘appendage’. The space station actually appears to have the same spacecraft docked at both ends. In fact, the one on the right looks to be undocked. And I’m guessing the ring of ‘lights’, near the base of each are windows/portholes. If so, they’re good-sized craft.
This has long been an oft-reproduced & iconic rotating space station concept. I’ve always loved it…other than those lame motion/movement lines.
Thanks to James Vaughan’s posting (linked to below), this is a GAEC design/proposal, which helped to confirm that it’s the work of Craig Kavafes. A WIN!!! 👍👍👍
This, the following linked designs & my other linked Flickr photo below - based on the photo identification number - look to have been part of the same family/series of contractor concepts, proposals, etc., solicited/entertained by NASA ca. 1969:
www.aerospaceprojectsreview.com/blog/wp-content/uploads/2...
www.aerospaceprojectsreview.com/blog/wp-content/uploads/2...
Both above credit: the excellent Aerospace Projects Review website
In fact and in confirmation of such; in January - February 1969, NASA Administrator Thomas O. Paine oversaw the creation of a Space Station Task Force, a Space Station Steering Group, and an independent Space Station Review Group. These bodies prepared a Phase B Space Station Study Statement of Work (SOW), which NASA released to industry on 19 April 1969. So, I'm pretty sure these works are some of the responses/submittals to that SOW.
"The SOW solicited proposals to study a 12-man Space Station, the design of which would eventually serve as a building block for a 100-man Earth-orbital Space Base. The 12-man Station was to reach orbit on a Saturn V rocket in 1975 and to remain in operation for 10 years...
Grumman, North American Rockwell (NAR), and McDonnell Douglas Aerospace Company (MDAC) submitted proposals in response to the SOW."
The above is a combination of paraphrasing & cut/paste from David S. F. Portree's superlative (as always) article at his wonderful "No Shortage of Dreams" blog. The entire informative content at:
spaceflighthistory.blogspot.com/2015/03/outpost-in-leo-mc...
“Demonstration satellite solar power station – the materials for which would be carried into low earth orbit by Space Shuttle – is 1000 feet square and 25 feet thick. An operational station would be placed in geosynchronous orbit (about 22,000 miles out in space), from where it would beam a continuous stream of microwave energy to earth.”
Above per the Rockwell International lithograph of this gorgeous work, the originator of this proposal.
Beautifully rendered by Ted Brown, at:
www.secretprojects.co.uk/threads/rockwell-international-s...
Credit: “SECRET PROJECTS: UNBUILT PROJECTS, MILITARY AND AEROSPACE TECHNOLOGY” website
Additionally, per the excellent Astronautix website:
“Rockwell Station '76
Rockwell Space Station Concept, 1976
American manned space station. Study 1975. North American Rockwell's 'Austere Modular Space Station' was in contrast to more grandiose schemes in the mid-1970's.
Status: Study 1975.
The most important application in those days was constructing large space structures, e.g., extremely large communications satellites, giant 20-kilometer-wide solar power satellites or even giant orbiting space colonies for millions of people. Contemporary space station studies such as Rockwell's and Boeing's were closely tied to this objective. NASA's Outlook for Space report from 1975 recommended a number of possible goals, including development of a 12-man space station in low Earth orbit by 1988 and a similar station in lunar orbit by 1994.
Article by Marcus Lindroos”
At:
www.astronautix.com/a/amss-austerrspacestation.html
www.astronautix.com/graphics/s/ssri76n.jpg
What appears to be the original ‘Austere Modular Space Station’ posting.
I’m sure also by Ted Brown:
www.friends-partners.org/mwade/craft/amsation.htm
An excellent one-two info combo from two disparate sources. Don’cha just love it when a ‘plan’ comes together?
However, while that’s all fine & dandy, what’s truly important, interesting & notable here is:
1.) That it’s by Ted Brown.
2.) That it’s part of an interwoven evolution, sequence & stream of variants and derivatives of similar & related works by Mr. Brown. I don’t recall identifying/recognizing anything like this pertaining to other artist’s works.
3.) Furthermore, within the following wonderful tribute video by Mr. Brown’s amazing & gracious daughter, Angela Carole Brown:
www.youtube.com/watch?v=D-w4MHqTx5A
Commencing at the 2:54 mark, an extremely similar variant is shown.
And then, at the 3:24 mark, the close-up of Mr. Brown and an assistant would appear to be of them working on the details of the Manned Remote Workstation (that possibly being Grumman proprietary terminology) depicted in his 1980 “Space Products” mural, to which I’ve provided multiple links in the “Comment” section below.
Fascinating, at least to me.
Finally:
dh.howard.edu/newdirections/vol11/iss4/
Credit: Howard University website
La ville fut fondée par les Portugais vers 1.500, c'était la première capitale di Brésil.
En effet c'est une des plus anciennes villes coloniales des Amériques.
Un ascenseur; "Lacerna" relie depuis 1873 la ville haute: "Pélournho" et la ville basse.
Le dénivelé est d'environ 85 mètres ...
La ville haute abrite encore de nombreux exemples d'architectures coloniales portugaises.
Les afro-brésiliens y sont 4 millions d'habitants
ICI: Le phare de la Barre, est situé sur l'antique Pointe du Prado.
Ce phare est la propriété de la Marine brésilienne....
Cette ancienne verrerie de l'abbaye de Foigny devint une cense assez importante lorsque la forêt de Watigny fut défrichée.
En 1636, Jean de Weert, l'un des chefs de mercenaires qui dévastèrent la région pendant la guerre de Trente ans, l'incendia.
On la reconstruisit alors en la fortifiant, elle fut ainsi en état de résister aux Espagnols à l'époque de la Fronde.
Ce petit château a appartenu pendant longtemps à la famille Lefevre de la Cloperie.
Construit en brique et pierre, l'édifice est de plan rectangulaire, mais le petit côté regardant vers la route est à trois pans vers l'arrière, deux tourelles cylindriques marquent ses angles.
Le pan axial est en brique, sauf les angles traités en chaînages harpés et les encadrements des fenêtres et de leurs allèges et le soubassement; la fenêtre du rez de chaussée est un peine cintrée; la fenêtre de l'étage est moins haute que ses voisines car son allège présente un panneau sculpté de rinceaux; les claveaux de son arc sont recoupés par une archivolte.
Les tourelles sont en brique, sauf quelques cordons de pierre qui les ceinturent, celle de droite est couverte par une poivrière, celle de gauche par une pyramide d'ardoise couronnée par une boule.
www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-aisne-chateau...
www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/googlemaps/chateau-de-...
www.google.com/maps/@49.9037882,4.2045873,3a,65.5y,291.69...
Les vaches piétinaient allégrement le foin de la grange. Le fermier avec ses bottes de caoutchouc était assis sur un petit tabouret. Les chats chassaient les souris. La fermière appelait à plusieurs reprises son homme pour qu'il rentre manger...
Le château de Jossigny fut édifié en 1753 pour Claude-François Leconte des Graviers, conseiller à la Ve chambre des Enquêtes du Parlement de Paris, par Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (°1711 – †1778), dernier de l’illustre dynastie des Mansart. Situé à 32 kilomètres à l’est de Paris et à 6 kilomètres au sud de Lagny-sur-Marne, il constitue l’un des plus parfaits exemples d’application du traité de Charles-Étienne Briseux, L’art de bâtir des maisons de campagne, publié à Paris en 1743. Il constitue en même temps un précieux témoignage de l’architecture d’une maison rocaille du milieu du xviiie siècle dans tout ce qu’elle a de plus charmant et de pittoresque.
Fûts de chêne plantés là, selon certains, pendants la guerre par les Allemands, pour décourager les tentatives d'abordage à marée haute qu'auraient pu tenter des troupes alliées.
Une autre explication a été publiée.
Qu'importe. Les fûts rongés par la mer ont gardé St Malo jusqu'en 2022, année où ils ont été enlevés.
Je les trouvais si beaux !
Ce fut le suel jours ou les sommets étaient visibles, durant la semaine les nuages étaient trop bas, j'ai fait un magifique rencontre au bord de cette rivière, un photographe connu de l'île Russell Sherwood, il possède une galerie non loin de là à Dunvengan.
L'église fut édifiée au XIII siècle, dévastée par les troupes du duc de Bourgogne Charles le Téméraire, elle fut restaurée au XVI siècle puis au XIX siècle.
C'est à cette dernière époque qu'on édifia la façade occidentale actuelle.
www.gamaches.fr/patrimoine.php?rub=PATRIMOINE&brc_pho...
www.destination-letreport-mers.fr/offres/eglise-saint-pie...
Une relation qui fut éphémère,l'intercités Eco Paris Bercy - Grenoble,auparavant limitée à Lyon Part-Dieu,passe e lac St Félix à Saint Didier de la tour.Malheureusement,un ciel légèrement voilé et une Sybic en livrée fantôme viennent un peu gâcher l'ambiance.
... fut construite aux alentours de l'année 1425, restaurée et réinstallée 1923 et rénovée en 2010.
La Cathédrale de Lund
Cependant, là où le premier a duré 5 siècles, le second se trouvait tellement abîmé en 1979, 1 siècle plus tard, qu'on décida d'en fabriquer un 3me, identique au premier. D'une structure en acier inoxydable recouverte de plaques de cuivre rouge, de 3,28m de long sur 1,91m de haut, pour une envergure de 1,50m et un poids de 455 kg, le nouveau dragon fut placé sur le sommet de la tour le 8 nov. 1980
ENGLISH :
When in 1377 the construction of the tower was finished, one placed a dragon at its top. It is the latter. Because after the demolition of the top of the belfry in 1839 it was found eroded and in pitiful state. It was then replaced in 1854 by a new copy.
However, where the first lasted 5 centuries, the second was so damaged in 1979, one century later, that one decided to make a 3rd, identical to the first. In a stainless steel structure covered with red copper plates, 3,28m long to 1,91m high, with a wingspan of 1.50 meters and a weight of 455 kg, the new dragon was placed on top of the tower November 8, 1980