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That's time to go, I'm leaving Milan to go in Calabria, my motherland.
We will see us when I come back on September with thousands and thousands new photos.
Bye my Flickr Firends ;)
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Le vacarme des mollahs dans leur course aux armes atomiques, le sifflement strident de leurs bombes qui déchiquettent l’Irak et les hurlements de peur et de terreur qu’ils sèment dans le pays, ne sont pas la voix de l’Iran.
La voix de l’Iran retentit à travers les slogans des jeunes Moudjahidine et militants qui dans le soulèvement contre le rationnement de l’essence lancent « Mort au dictateur ! ».
La voix de l’Iran, ce sont les cris des femmes courageuses, le visage couvert de sang, qui dans le face à face avec les gardiens de la révolution ces derniers mois, ont bouleversé le monde.
La voix de l’Iran, c’est la voix d’Elham, cette fillette de 10 ans au rassemblement des enseignants protestataires à Téhéran, qui parle de son père en prison et fait pleurer des milliers d’enseignants.
Le cri de l’Iran, c’est le cri des ouvriers qui scandaient le 1er mai « On ne veut pas du nucléaire, on veut de quoi vivre et du travail», et « un avenir, c’est notre droit inaliénable ».
La voix de l’Iran, ce sont les battements des cœurs oppressés de 71 adolescents condamnés à mort.
La voix de l’Iran, ce sont les lamentations des mères kurdes et baloutches et des femmes arabes du Khouzistan qui pleurent la mort de leurs fils pendus ces derniers mois dans les rues de Sanandaj, Zahedan et Ahwaz.
La voix de l’Iran, ce sont les slogans des étudiants de Polytechnique et des universités de tout le pays qui crient « Mort au dictateur ! ».
La voix de l’Iran, ce sont les hurlements de douleur dans les salles de torture des mollahs. « Je suis encore vivant, ma voix ne s’est pas éteinte, je brise le silence d’un millier dans la section 209. »
La voix de l’Iran c’est le grondement des Moudjahidine de la liberté, qui appellent depuis la Cité d’Achraf, les Iraniens à se lever pour la liberté.
Et nous aujourd’hui, d’une seule voix avec les Iraniens insurgés, nous crions qu’au lieu du régime des mollahs, il faut instaurer la liberté et la souveraineté populaire.
Oui, c’est ça la voix de l’Iran.
Le soulèvement général des 26 et 27 juin déclenché par la crise de l’essence, montre le véritable visage d’une société exaspérée au bord de l’explosion. Ce soulèvement est le témoignage le plus objectif et le plus clair des revendications brûlantes des Iraniens. Ils veulent renverser le régime des mollahs.
Les cris de « Mort à Ahmadinejad » qui ont immédiatement retenti dans les rues de Téhéran, les charges courageuses des insurgés contre les centres du pouvoir et la panique qui s’est emparée du régime, tout montrait que cela dépassait de loin une crise économique. Il s’agit d’une crise qui marque la phase terminale du régime et sa destruction.
C’est en instaurant un couvre-feu, en arrêtant des centaines de personnes et en faisant des morts et des blessés parmi les jeunes, que le régime a répondu. Le guide suprême des mollahs a donné l’ordre d’agir fermement, en faisant des exemples. Mais ce qui est exemplaire, c’est la défaite cuisante que le soulèvement populaire vient d’infliger aux mollahs et à leurs alliés.
En une heure, toute la démagogie de ces deux dernières années où ils disaient vouloir partager les revenus pétroliers avec le peuple, est partie en fumée.
Tous les slogans du pouvoir sur le programme atomique, comme quoi « l’énergie nucléaire est notre droit inaliénable », ont disparu dans les flammes du soulèvement.
Toute la propagande des apologistes de la complaisance sur la stabilité et la puissance des mollahs, s’est évanouie. Et la marque de terroriste qu’ils collent à la résistance pour la liberté, a brûlé dans le feu de l’insurrection.
Et maintenant c’est au tour du peuple iranien de demander : avec toutes ces annonces sur les progrès scientifiques pour justifier le programme nucléaire contraire aux intérêts de la nation, comment se fait-il qu’en trente ans vous n’ayez même pas été capables de construire une raffinerie pour produire de l’essence ? Pourquoi tout cet argent que vous avez dilapidé pour fabriquer une bombe atomique, vous ne l’avez pas utilisé pour raffiner de l’essence ? Pourquoi en imposant ce rationnement de l’essence, avez-vous détruit en une nuit la source de revenus d’une immense partie de la population ? Pourquoi tout à coup, avez-vous réduit au chômage et à la misère des millions de personnes ?
Ils n’ont pas de réponse, parce qu’ils sont au bout du chemin. Ils ne savent rien faire d’autre que réprimer et exporter le terrorisme et l’intégrisme. Ils sont dans une impasse.
C’est pourquoi ces deux dernières années, tout ce que les Etats partisans de la complaisance ont misé ou prétendu sur le régime des mollahs, s’est avéré faux.
Ils ont dit qu’en encourageant les mollahs, ils changeraient leur comportement. Or au lieu de changer, les mollahs ont enfoncé l’Irak dans un bain de sang, ont entraîné le Liban dans le chaos, ont divisé en deux la Palestine et ont ramené le terrorisme et l’effusion de sang en Afghanistan.
Ces Etats ont dit qu’avec les marchandages et les négociations, ils obtiendraient l’accord des mollahs pour suspendre leur programme atomique. Or ces derniers ont développé leurs activités pour fabriquer des armes nucléaires et ont ignoré trois résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU.
Ils prétendaient qu’un embargo pousserait les Iraniens à soutenir le régime, ils peuvent ouvrir les yeux maintenant et voir ce soulèvement général. Et cela se passe alors que l’étiquette de terroriste collée à la résistance permet aux mollahs de maîtriser les effets des sanctions. Imaginez alors ce qui se passera, le jour où cette étiquette de terrorisme disparaîtra !
Oui, le problème c’est que toutes les politiques face à la crise iranienne ont abouti à un échec. Pour l’Iran, la région et l’Irak, il n’y a qu’une solution et c’est un changement démocratique réalisé par le peuple iranien et sa résistance.
Le choix des Iraniens, c’est la liberté et la démocratie. C’est pour elles que Satarkhan, notre héro national, s’est battu en 1908. C’était la grande espérance de Mossadegh dans les années 1950. Et c’est le but de la résistance érigée par Massoud Radjavi. Nous ne baisserons pas les bras pas tant que nous ne l’aurons pas atteint.
Il y a deux jours, l’Union européenne, comme on pouvait le prévoir, après sept mois de fraude et d’intrigues, a finalement piétiné le verdict de la Cour de Justice Européenne et dans une mesure illégale, a maintenu le nom des Moudjahidine sur la liste en servant les intérêts du parrain du terrorisme.
À cause de la clarté du verdict supprimant le nom de l’OMPI de cette liste, le Conseil des Ministres a été incapable d’en publier une pendant 13 mois. Il devait choisir entre deux voies : soit supprimer l’OMPI de la liste et brouiller ses relations avec le régime des mollahs, soit être frappé de honte et de discrédit pour avoir violé un arrêt de justice et coopéré avec le régime des mollahs.
Il a finalement choisi le scandale. Mais il doit savoir que la complicité avec les bourreaux des enfants et des jeunes en Iran, la collaboration avec les responsables du massacre de la population en Irak et l’ennemi de la paix dans la région et l’assistance fournie aux banquiers du terrorisme dans le monde, est une tache honteuse qui souillera à jamais l’histoire de l’Europe.
J’appelle toutes les femmes et tous les hommes libres d’Europe, quelle que soit leur fonction, à prendre leur distance avec cette tache honteuse et à obliger le Conseil des Ministres de l’Union européenne à se plier au verdict et à la loi. La Résistance iranienne utilisera tous les moyens politiques et juridiques légitimes, pour faire appliquer ce verdict et pour faire supprimer le nom de l’OMPI de la liste noire.
Au lendemain de ce verdict, le Conseil des Ministres européen aurait pu faire appel, mais il a préféré désobéir à la décision de justice. Puis il a fraudé pour dissimuler son infraction.
Le 30 janvier, le Conseil des Ministres européen a annoncé son intention de maintenir cette inscription. En même temps, il a demandé à la Résistance iranienne de présenter les raisons pour lesquelles elle rejette cette accusation, en lui donnant un mois de délai. La décision de maintenir l’OMPI sur la liste est une infraction et la demande de documents une fraude évidente.
Car ils avaient déjà pris la décision de contourner le verdict de la cour de justice. Dans les documents qu’ils ont remis récemment aux avocats, il est dit que le 18 décembre, c'est-à-dire six jours à peine après le verdict, ils ont abordé dans une réunion les « étapes nécessaires pour maintenir le nom de l’OMPI dans la liste ».
C’est ce que ces messieurs du Conseil des Ministres appellent la démocratie !
Au lieu d’examiner et de faire des recherches, ils font des réunions pour savoir par quelle tactique frauduleuse ils peuvent maintenir l’OMPI sur la liste noire.
Tandis que le Conseil des Ministres, dans des lettres successives, a prétendu que la décision finale n’avait pas encore été prise, Tony Blair, l’ancien Premier ministre britannique, a reconnu que la décision avait été adoptée au mois de janvier. C’est-à-dire avant que la Résistance, conformément au délai d’un mois, ne remette ses documents. Le bureau de la Chancelière allemande a dévoilé une autre contradiction, en disant que la décision avait été prise au mois de février.
Par conséquent ce mois de délai est une véritable supercherie.
Ils ont prétendu que le verdict ne portait que sur la procédure. Ils ont prétendu que le verdict n’annulait que la décision de 2005 de l’Union européenne et ne concernait pas celle de l’année suivante.
Mais comme l’a montré Lord Slynn dans son précieux avis juridique, c’est là une allégation trompeuse. Le Conseil a accepté l’annulation de sa décision de 2005. De même, il a reconnu au tribunal que conformément à un article du traité européen, toute autre décision de substitution devait être annulée.
Par conséquent le Conseil des Ministres a enfreint ouvertement ses obligations vis-à-vis du traité européen. Ce qui s’est passé, c’est une violation des droits fondamentaux, et cela va bien au-delà de la procédure et de la manière dont sont prises les décisions. Ce sont donc les droits du peuple iranien qui ont été violés.
Oui, toute la dispute porte sur les droits du peuple iranien et avec cette inscription sur la liste noire, ils ont été livrés sur un plateau au régime des mollahs. Mais sachez que nous et notre peuple, nous arracherons ces droits usurpés des griffes des mollahs
Des documents douteux ;
Le Conseil des Ministres européen a été obligé à la suite des demandes répétées des avocats, de leur remettre ses documents sur les accusations de terrorisme.
Le Conseil a certainement dépensé beaucoup de temps et d’énergie pour rassembler ces documents. Mais la montagne a fini par accoucher d’une souris, et au lieu de documents juridiques valables, il a transmis une poignée de papiers sans valeur.
Une partie de ces papiers n’a pas de sources et on ne sait pas d’où ils sortent. D’autres ne sont pas datés. Certains ne portent même pas le nom des Moudjahidine du peuple et n’ont aucun rapport avec l’OMPI. D’autres enfin ont été pris sur des sites Internet douteux.
Est-ce qu’il s’agit de documents juridiques ou de futilités qui déshonorent l’Union européenne et nous font perdre du temps ? Et n’aurait-il pas été préférable qu’ils aient le courage de dire qu’ils n’avaient rien ?
Ecoutez : Un de ces documents dit que puisque le ministre de l’Intérieur britannique avait mis le mouvement de la résistance dans la liste du terrorisme en 2001, il s’agissait donc de terroristes. Un proverbe persan dit : Quand on demande au renard de produire un témoin, il désigne sa queue ! Ce qui est intéressant, c’est que ce ministre a souligné à deux reprises l’an passé qu’il avait mis l’OMPI dans la liste à la demande des mollahs.
Dans un autre document, on prétend que cette résistance ne bénéficie d’aucun soutien en Iran. Bien ! Quel rapport avec l’accusation de terrorisme ? D’ailleurs, cela montre que la complaisance avec les mollahs, n’a pas seulement privé ces messieurs de lucidité et de raison, elle les a aussi privés de la vue. Alors messieurs, ouvrez les yeux et regardez la base populaire de cette résistance. Vous ne voyez donc pas quelle tempête les jeunes Moudjahidine et militants ont soulevée ces jours-ci.
Ecoutez encore : un autre document intéressant sur le prétendu terrorisme de cette résistance. On peut y lire : il y a huit ans, lors d’un débat au parlement britannique, le représentant du gouvernement a rejeté les déclarations de la Résistance iranienne en disant que le résultat de l’élection présidentielle de Khatami renforçait l’optimisme sur le développement des futures relations entre l’Iran et la Grande-Bretagne.
Quel rapport il y a-t-il entre votre optimisme sur le mollah Khatami, l’avancée des dites réformes en Iran, et coller l’étiquette de terrorisme à cette résistance ? D’ailleurs, maintenant qu’à la place des réformes, la bande la plus extrémiste du régime est arrivée au pouvoir et met le monde à feu et à sang, jugez par vous-mêmes : Etait-ce de l’optimisme ou de la stupidité ?
Et voici encore un autre document qui dit : Le mouvement de la résistance s’est exilé en 1981 et il est parti en Irak. Là où actuellement se trouve une armée de plusieurs milliers de combattants et où ils sont soutenus par le régime irakien.
Mais enfin Messieurs ! Cela fait environ quatre ans que l’ancien régime irakien a été renversé et qu’il n’existe plus ! Vous ne voyez donc pas que les Moudjahidine du peuple ne sont plus armés depuis quatre ans ?
«Balivernes ! Etes-vous ivres, auriez-vous perdu la tête ou faites-vous exprès?»
Mais il y a encore un document très significatif : Le Conseil des Ministres brandit un article publié il y a dix ans dans la presse internationale comme un de ses documents. On peut y lire que cette résistance « est toujours la plus forte opposition à un régime qui est un hors-la-loi international… »
Alors c’est clair, votre crime, c’est d’être l’opposition la plus forte à un régime hors-la-loi.
Mais voilà un autre crime, selon un document du Conseil des Ministres: « Les dirigeants du Conseil national de la Résistance disent que lorsque le moment opportun sera venu, cette résistance se lèvera en soutien au soulèvement général contre le gouvernement intégriste. Ils disent : Nous avons l’intention de coordonner cette résistance avec la montée des troubles sociaux pour balayer les mollahs. »
Alors votre crime, c’est aussi d’attiser les protestations et les soulèvements de votre peuple et d’y apporter votre soutien.
Messieurs, il faut vous dire que nous ne cesserons jamais de lutter pour la liberté. Jamais nous ne cesserons. Jamais nous ne cesserons d’attiser les protestations des étudiants, des ouvriers, des enseignant et de les soutenir. C’est un combat que nous mènerons jusqu’à la victoire.
Oui, selon ce document, le plan de cette résistance pour écarter les mollahs revient à s’appuyer sur un soulèvement populaire.
Vous voyez ? D’un coté ils prétendent que la résistance est terroriste, puisqu’elle n’a pas de base populaire. Et d’un autre ils prétendent qu’elle est terroriste puisqu’elle s’appuie sur un soulèvement populaire.
Alors que faut-il croire ?
Ni l’un ni l’autre. Ce qu’il faut croire, c’est que les grandes puissances occidentales ont réprimé la solution dont elles disent qu’elle s’appuie sur un soulèvement populaire. Ainsi donc ce document du Conseil des Ministres est un document sur le crime des partisans de la complaisance.
Oui, Messieurs, vous êtes coupables. Vous êtes coupables d’avoir taxé de terrorisme la résistance contre le fascisme religieux. Vous êtes coupables de faire croire au monde qu’il n’y a pas de solution à la crise iranienne. Et il ne fait aucun doute que vous serez déshonorés devant les Nations européennes.
Je suis heureuse que vous disiez que les papiers caducs, contradictoires et trompeurs qui violent la loi, n’ont aucune légitimité dans l’Europe d’aujourd’hui.
Depuis l’annonce du verdict de la Cour européenne de Justice, plus de mille parlementaires de divers pays d’Europe ont condamné le refus du Conseil des Ministres d’appliquer le verdict. Un grand nombre d’organes parlementaires ont protesté à travers des déclarations, des résolutions et des lettres officielles, notamment dans les parlements britannique, français, allemand, italien, hollandais, danois, polonais et tchèque, contre la position du Conseil des Ministres.
C’est là que nous devons répéter la question du Dr. Vidal Quadras, vice-président du Parlement européen : Il y a-t-il quelqu’un qui pense que mille parlementaires de pays démocratiques se trompent tous ensemble?
Nous aussi nous avons des questions : lorsque vous ignorez les résolutions et les décrets de lois des plus hauts organes parlementaires en Europe et lorsque vous piétinez un arrêt de justice, que reste-t-il de la démocratie ?
Quand vous prenez vos décisions unilatéralement et en secret, que reste-t-il de la démocratie ?
Mais est-ce que la démocratie ce n’est pas répondre de ses actes, ce n’est pas écouter des avis différents, ce n’est pas respecter l’état de droit et la transparence?
Alors ce centre secret au cœur de l’Union européenne qui décide sur les accusations de terrorisme, qu’est-ce que c’est ? Un palais de verre noir mystérieux du nom de Clearing House, dont on ne connaît ni l’emplacement, ni les membres, ni le calendrier.
Est-ce qu’il s’agit d’un organe européen conforme aux normes démocratiques ou d’une arrière-salle obscure? Mais laissez-nous dire aux occupants de cette arrière-salle obscure que même s’ils jettent les droits du peuple iranien dans la gueule d’un monstre, nous irons les en retirer.
Quand le 17 juin 2003, dans le but de détruire la résistance, le gouvernement de M. Chirac a lancé contre les bureaux du Conseil national de la Résistance iranienne une véritable armada, il a étendu les frontières de la complaisance de manière incroyable en participant directement à la répression de la population iranienne. Il s’est abaissé à être l’exécutant de la dictature religieuse.
Ils ont été si loin dans cette voie qu’ils ont ouvert les portes aux agents des services secrets des mollahs, pour qu’ici même à Paris, il commettent des crimes à l’arme blanche et préparent le terrain à des attentats terroristes.
À la recherche d’accords économiques, les gouvernements européens, et à leur tête Paris, prétendaient vouloir modérer le régime des mollahs. Mais quel en a été le résultat ?
Au lieu de se modérer, les mollahs ont mis Ahmadinejad au pouvoir et se sont consacrés à la bombe atomique et à dévorer l’Irak. Le phénomène Ahmadinejad, c’est le résultat de l’alliance du fascisme religieux et de la politique de complaisance.
Mais en vérité, ce que les grandes puissances occidentales n’ont toujours pas pris en compte, c’est que la Résistance iranienne constitue la clé majeure et la plus efficace des événements en Iran et dans cette région. Il y a 27 ans, Khomeiny avait dit que son principal ennemi n’était ni l’Amérique ni l’URSS, mais les Moudjahidine du peuple. Aujourd’hui aussi, Khamenei son disciple, montre que les porte-avions américains dans le Golfe persique ne représentent pas un vrai danger pour son pouvoir, ni les pressions internationales, mais que ce sont bien les Moudjahidine du peuple, la Cité d’Achraf et la Résistance iranienne, c’est-à-dire ceux qui inspirent les soulèvements et les protestations explosives de la société iranienne, qui représentent un danger pour l’existence de son régime.
C’est un danger qui fait trembler les mollahs nuit et jour. C’est contre cela qu’ils veulent se doter de la bombe atomique pour maintenir leur pouvoir vacillant. Mais la tornade de liberté que le peuple iranien soulèvera, particulièrement les femmes et les jeunes, balaiera tout leur appareil de répression cruelle.
Au début de ce mois, le ministère britannique des Affaires étrangères a envoyé une réponse à la plainte déposée par des parlementaires amis de la Résistance contre l’étiquette de terrorisme. Il souligne que les ministres et les autorités du régime des mollahs ont discuté avec leurs homologues en Angleterre et dans l’Union européenne à d’innombrables reprises des Moudjahidine du peuple et de la résistance.
Oui, à d’innombrables reprises et lors d’innombrables marchandages sur le dos de la résistance.
Le ministère britannique des Affaires étrangères dit qu’il a mené ces discussions avec le régime des mollahs pendant des années et qu’il voulait échanger des informations sur les activités de l’OMPI en Grande-Bretagne, en Iran et en Irak avec le régime iranien.
Oui, échanger des informations et fomenter des complots contre le mouvement de la résistance.
Le ministère des Affaires étrangères anglais a averti dans sa lettre que toute action visant à supprimer l’OMPI de la liste entraînerait la déstabilisation du régime. Oui, c’est le cœur du problème : supprimer l’OMPI de la liste ferait trembler les fondements des mollahs car leur destinée est entre les mains de cette résistance.
Le ministère des Affaires étrangères anglais dans cette lettre révèle pour la première fois que le régime lui avait demandé six mois avant la guerre contre l’Irak quels seraient les effets d’une éventuelle intervention militaire en Irak sur la Résistance iranienne. Les autorités anglaises avaient donné l’assurance qu’elles prendraient au sérieux le cas de la Résistance iranienne en Irak.
Oui, elles allaient le prendre au sérieux en bombardant les centres de la Résistance. Elles ont bombardé la Cité d’Achraf 120 fois en une seule nuit.
La force qui garantit la solution pour cette région a été bombardée et désarmée. Quelle en a été la conséquence ? Les mollahs et les gardiens de la révolution se sont déversés par milliers en Irak et ont plongé cette nation opprimée et blessée dans un tourbillon de sang. Cette erreur fatale des grandes puissances occidentales a enchaîné la Résistance iranienne.
Par conséquent, Messieurs, nous vous appelons à changer cette politique désastreuse, à quitter le camp des mollahs et à accepter le verdict de la Cour européenne de justice. C’est dans votre intérêt, et ce sera un pas déterminant pour mettre fin à la politique de complaisance.
Mais en ce qui concerne cette résistance, ses amis et ses partisans, c’est une lutte promise à une victoire certaine. La volonté d’airain, le sacrifice, la foi et les efforts incessants des membres de cette Résistance et du peuple iranien, casseront l’accusation de terrorisme et avanceront jusqu’à la victoire finale. Cela ne fait aucun doute.
La politique française
Nous appelons aussi la France à mettre fin à la politique qui sous le mandat de M. Chirac avait fait de ce pays le principal allié du fascisme religieux. Le dossier du 17 juin est l’héritage le plus infâme du gouvernement précédent. Ce dossier sert littéralement à maintenir sous contrôle le mouvement de la Résistance iranienne au profit des mollahs. Il est maintenu ouvert pour cette raison.
Ce dossier est sans fondement d’un point de vue juridique et c’est un complot d’un point de vue politique. Dans l’histoire juridique de la France, c’est une affaire sans précédent depuis la seconde guerre mondiale. Ils sont tellement à court, qu’ils ont dû engager des agents des services secrets des mollahs pour servir de témoins.
Ce dossier qui est depuis le début dans une impasse, particulièrement depuis le verdict historique de la Cour européenne de justice, s’est aussi effondré sur le fond.
Lors des élections présidentielles en France, le nouveau président de la République a maintes fois parlé d’une France nouvelle et a promis le changement. Mais je dois rappeler qu’en ce qui concerne l’Iran, ce changement n’aura d’autre signification que de mettre fin à la politique de complaisance qui s’est avérée un échec. La page noire que le dossier du 17 juin a ouvert dans les relations entre la France et le peuple iranien, doit être tournée. C’est le critère le plus important du changement. Ainsi donc, le peuple iranien jugera la nouvelle politique de la France à l’aune de ce qu’elle fera dans la pratique.
Oui, écoutez les Français qui ont, durant toutes ces années, porté au plus haut la solidarité et le soutien à cette résistance. Vive les Français au grand cœur qui se sont élevés contre la politique de complaisance. Permettez-moi ici de leur dire toute ma gratitude :
(en français dans le texte)
« Mesdames et Messieurs, Chers Amis,
Je salue chacun d’entre vous, votre présence ici démontre la solidarité et l’amitié profonde entre le peuple français et le peuple iranien. En Iran, les femmes, les étudiants, les ouvriers et les autres couches en colère de la société qui se sont soulevés plusieurs fois ces derniers mois contre le régime des mollahs, se sentent soutenus en vous voyant.
La Cité d’Achraf en Irak, où se trouvent les Moudjahidine du peuple qui résistent à une vague de terreur de l’intégrisme des mollahs se sent soutenue en vous voyant. Pour eux vous incarnez les valeurs essentielles de l’Europe, comme la démocratie, la justice et l’état de droit. Et dans les Français, ils voient la liberté, l’égalité et la fraternité et la France des droits de l’homme. Une France qui n’est pas aux cotés du fascisme religieux. Une France qui ne participe pas à la répression de l’opposition. Une France qui respecte l’aspiration des Iraniens à la liberté, l’état de droit, la laïcité et l’égalité.
Les événements de ces quatre dernières années montrent que la solidarité précieuse des Français a joué un grand rôle face à la politique de complaisance. Face à la rafle du 17 juin 2003, vous avez soutenu la résistance. Vous avez défendu ce mouvement face à la campagne de diabolisation. Vous avez condamné la fabrication de dossier et la manipulation de la justice. Et vous vous êtes élevés courageusement face à l’accusation honteuse de terrorisme et face au refus d’appliquer le jugement de la Cour européenne.
Je suis honorée de votre amitié, et votre solidarité est désormais écrite en lettres d’or dans l’histoire de l’Iran.»
L’ingérence des mollahs en Irak
Mes chers compatriotes,
La vie pleine de souffrances du peuple irakien, rend nécessaire l’importance d’une solution juste et réelle. Chaque jour en Irak, une centaine de personnes au moins roulent dans leur sang. A la fin de chaque journée, 400 enfants deviennent orphelins. Chaque jour, les femmes et les filles sans abris deviennent la cible d’agressions et de harcèlements, et chaque jour des milliers d’Irakiens innocents se retrouvent sans abri.
Ce terrible massacre est planifié à Téhéran dans un état-major supervisé par le guide suprême des mollahs, Khamenei. Parce que si ce régime ne réussit pas à appliquer son plan funeste pour s’emparer de l’Irak, il sera incapable d’assurer sa survie à Téhéran.
Il y a quatre ans, j’avais averti que le danger de l’ingérence du régime iranien en Irak était cent fois plus dangereux que son projet atomique. Au cours des quatre dernières années, ce régime a mis en œuvre sa politique d’occupation rampante de l’Irak. Il est devenu désormais l’occupant principal.
Massoud Radjavi dans son message d’il y a deux semaines au Congrès de la solidarité pour la paix et la liberté du peuple irakien a souligné : « le problème principal en Irak, c’est l’affrontement et la guerre entre deux alternatives sur le sol irakien dans cette conjoncture particulière. L’alternative des mollahs au pouvoir en Iran face à l’alternative irakienne. L’alternative du régime fasciste des mollahs avec tous ses réseaux, ses agents et ceux qui les soutiennent, face à l’alternative anti-fasciste irakienne avec tous ses mouvements, ses groupes, ses partis,ses personnalités démocratiques et patriotiques et ceux qui les soutiennent sur la scène arabe et internationale. »
C’est sur cette base que 5,2 millions d’Irakiens ont affirmé dans une déclaration que la solution est « d’évincer d’Irak le régime iranien et de reconnaître le statut des Moudjahidine du peuple qui sont le contrepoids à l’ingérence du pouvoir iranien. »
Aujourd’hui le régime de Téhéran, voit dans les Moudjahidine du peuple un tel barrage à son ingérence en Irak que, contrairement à toutes les conventions et lois internationales, il ne supporte même pas leur présence non armée et toutes ses restrictions dans ce pays. Comme le dit Massoud Radjavi, c’est là que se trouve le talon d’Achille du monstre de l’intégrisme. Le critère du changement démocratique en Iran est entre les mains de la Résistance du peuple iranien.
Il y a deux semaines dans un rassemblement de 10.000 Irakiens, une déclaration signée par 450.000 habitants de la province de Diyala dont 21 partis, associations et groupes divers, annonçait que toutes les forces nationales et démocratiques de la région de Diyala, de toutes les couches sociales, tribus et religions, se tenaient aux cotés des Moudjahidine de la cité d’Achraf. Et toute agression, accusation et mensonge contre l’OMPI serait considéré comme contraire aux intérêts du peuple irakien. Je rends hommage du fond du cœur aux habitants de la province de Diyala et au noble peuple d’Irak.
Permettez-moi ici d’aborder un sujet sur la tragédie des enfants en Irak. Il y a une dizaine de jours, les chaînes internationales ont montré des images terribles sur un orphelinat là-bas, des enfants innocents dont les parents avaient été assassinés. Ces enfants avaient été torturés, affamés et même violés. Les revenus pétroliers de l’Irak sont pillés par milliards par les mollahs au pouvoir en Iran, tandis que les orphelins irakiens connaissent ces conditions de vie.
Par conséquent, nous proposons aux Nations Unies de prendre en charge un nombre d’orphelins irakiens en mettant à leur disposition tous les moyens que nous possédons. Je propose en particulier que la Résistance iranienne, sous le contrôle de l’UNICEF et conformément à ses critères, prenne en charge mille enfants irakiens et toutes leurs dépenses à la Cité d’Achraf. C’est une proposition purement humanitaire loin de toute considération politique et de propagande. Nous donnerons aussi cette proposition à l’ambassade d’Irak à Paris et nous espérons que le gouvernement actuel irakien donnera son accord à ce plan humanitaire pour mille enfants innocents et que sur ce sujet il ne fera pas cas de l’opposition du régime des mollahs.
Les Moudjahidine du peuple d’Iran
Mes chers compatriotes,
Durant l’offensive des intégristes qui veulent répandre partout la terreur avec une cruauté sans précédent, la ténacité de cette résistance et des Moudjahidine du peuple ouvre des horizons brillants et ravive la flamme de l’espoir dans le cœur d’une société opprimée.
A tel point que les mollahs ont été obligés de fabriquer des séries télévisées pour contrer la vague de sympathie qui pousse les jeunes vers la résistance. Ils n’ont pas le courage d’avouer que toutes ces mises en scène et ces allégations prétendant la fin de la résistance, ont échoué. Ils ont peur de dire que tous ces dossiers fabriqués et ces accusations contre la résistance sont tombés à l’eau. Ils se réfugient alors dans de la propagande hystérique. Mais sachez que si vous consacrez 24 heures sur 24 vos programmes radio télévisés et votre presse contre cette résistance, vous ne pourrez empêcher le renversement de votre théocratie.
Tout le monde sait qu’il y a quatre ans, les coups politiques et militaires les plus durs comparables à un tsunami ont frappé ce mouvement : du désarmement, aux bombardements jusqu’a la rafle du 17 juin. Des coups si durs que si un dixième d’entre eux avait frappé le régime des mollahs, il ne fait aucun doute qu’il aurait renoncé à tout. Mais ce mouvement est sorti de cette crise plus fort, la tête haute et s’est transformé en une menace encore plus grande pour le régime des mollahs.
Alors, quel est le secret de cette résistance et des Moudjahidine ? Quelle est la source de cette détermination ? Comment plusieurs fois tel un phoenix ont-t-ils ressuscité de leurs douleurs et de leurs cendres ? Et dans une situation où les partis politiques les plus puissants dans le monde sont en proie aux déchirements et aux divisions, comment préservent-ils leur unité et renforcent-ils leur développement ?
En plus du sacrifice et de la sincérité, ce secret repose dans l’existence d’une direction compétente et d’une démocratie avancée dans les relations internes, basée sur le libre choix conscient de chacun de ses membres.
Le libre choix, c’est la pierre angulaire de l’amitié profonde et de l’unité interne, de la créativité, du sens des responsabilités et de la qualité humaine dans ce mouvement. C’est pour cette raison que ce mouvement est l’annonciateur de la liberté de choix pour le peuple iranien. Dès le premier jour, Massoud Radjavi avait dit que les Moudjahidine sont là pour se sacrifier afin que le peuple iranien puisse bénéficier de la liberté de choix.
Le secret, c’est aussi qu’ils croient en la victoire au plus profond d’eux-mêmes. Mais ils n’en tirent pas leur motivation et n’ont pas passé leur existence sur des chemins tout tracés sinon ils n’auraient jamais étés capables de résister face au monstre de l’intégrisme.
Des êtres débordant d’espoirs, des êtres tenaces et patients, qui résistent aux tempêtes, qui ont la certitude que le soleil brille au-delà des nuages sombres, et qui ont atteint une étape étonnante des capacités humaines.
Ils rendent possible l’impossible avec une formidable endurance, en acceptant des engagements surprenants et avec un amour sans faille.
Comme le disait Dolores Ibárruri, la Pasionaria : « Racontez à vos enfants à propos de ceux qui ont traversé les océans, les montagnes et les frontières protégées par des baïonnettes, dites-leur que même quand ils étaient menacés par des meutes de chiens qui cherchaient à les dévorer, ils ont renoncé à tout : à leur amour, à leur pays, à leur foyer, à leur richesse, à leur père, à leur mère, à leur conjoint, à leurs frères et leurs sœurs et à leurs enfants … pour nous dire qu’ils sont là pour défendre notre idéal, l’idéal progressiste de toute l’humanité. »
Oui, il y a un idéal, issu des demandes les plus profondes et les plus essentielles du peuple iranien pour lesquelles 120.000 de ses enfants les plus nobles et des symboles comme Neda et Sedigheh, ont donné leur vie. Le souvenir de ces héros restera à jamais dans nos cœurs.
L’Iran de demain
Mes chers compatriotes,
Que les partisans de la complaisance le veuillent ou non, le temps des mollahs est révolu. Nous allons tourner la page de l’oppression et de la souffrance.
- Nous allons bâtir un nouvel Iran, une société libre, un pays de progrès.
- Nous laisserons derrière nous l’époque des exécutions et de la torture.
- Nous abolirons la peine de mort.
- Nous débarrasserons le pays de ces tribunaux intégristes et de ces châtiments moyenâgeux.
- Nous mettrons fin à l’époque de l’inquisition, du code vestimentaire obligatoire et de l’ingérence dans la vie privée.
- Nous mettrons fin à l’époque de l’oppression et de la répression tragique des femmes en Iran. Dans tous les domaines, les femmes auront les mêmes droits et libertés que les hommes, les femmes participeront à part égale à la direction politique de la société.
- L’époque de l’humiliation des jeunes, l’époque du gaspillage de l’énergie et de la créativité sont révolues. L’Iran libre sera un pays où les jeunes participeront activement à l’édification de leur propre avenir.
- Nous instaurerons un pouvoir basé sur la séparation de la religion et de l’Etat pour que les adeptes des diverses religions et croyances puissent vivre de manière égale cote à cote.
- Un peuple avec autant de talents ne doit plus vivre dans la misère, dans la faim et le chômage.
- Il faudra mettre en place des conditions pour l’investissement et une concurrence économique saine et mettre fin au système de rente et de pillage.
- Il faudra reconstruire l’agriculture et l’industrie dévastées du pays, remplacer le système d’enseignement, d’hygiène et de santé par un système moderne et adapté et faire de notre pays un foyer de développement durable comme il le mérite.
- Un développement où la liberté, la démocratie, et la justice sociale brilleront.
« Le ciel bleu, la nuit clair,
Par la fenêtre, une lumière.
Nous inviterons la lune
à briller sur les coquelicots
et à chanter sur les plaines.
J’invite la lune à briller, briller, briller. »
Oui, nous ferons disparaître la souffrance de l’oppression
Nous bâtirons un nouvel Iran
Un pays fondé sur la liberté
Un pays fondé sur la tolérance …
Un pays fondé sur l’égalité
Alors, amis sincères de la Résistance,
Vous avez tout à votre disposition pour vaincre.
Vous qui avez battu les intégristes dans votre propre pays,
Vous qui avez rassemblé toutes les nationalités dans la république sur la base de la séparation de la religion et de l’Etat,
Vous qui bénéficiez du soutien et de l’affection d’un peuple,
Vous qui avez un idéal de droit et de légitimité devant vous,
Vous qui bénéficiez du grand capital d’un mouvement doté de quatre décennies de luttes incessantes et d’une organisation unie et puissante,
Et vous qui avez Massoud pour dirigeant,
Oui, vous avez tout pour la victoire
Oui, vous avez tout pour la victoire
Alors levez-vous !
Prenez le drapeau de Sattar et de Mossadegh
De Hanifnejad, de Mohsen et de Badizadegan,
de Djazani et d’Ahmadzadeh, de Pouyan et de Paknejad
d’Achraf et de Khiabani, faites les revivre en vous !
Rallumez partout les flammes de la lutte !
Vous serez vainqueurs !
Vous serez vainqueurs !
Oui, vous serez vainqueurs !
Added to EXPLORE for April 2nd 2009. Highest position: #276
This unusual and vacant home is here in University Place, not too far from Day Island. The people who used to live there certainly had an affinity for "gingerbread" trim and "Little Dutch Boy/Girl" cutout designs. I don't think I have ever seen anything quite like it. They even had a matching structure that to me looks like a playhouse in the yard. It looks like a cinderblock home and from what my mother said was seen more in the 40's around here than the 50's. Regardless, I found this home totally fascinating from a photographic point of view. I chose to shoot this as an HDR using 3 different exposures. After tonemapping I worked with it further in Photoshop Elements 3, adding an Orton technique for more "kitschiness". The wet, rainy and windy weather added to the depressed mood I got from this abandoned home.
This is a hand-held, 3 exposure, (-2ev, 0ev, +2ev) HDR, processed and tonemapped with Photomatix and further processed with PhotoShop Elements 3 and Microsoft's Picture It! Premium 10.
I decided to share something about me as this tagging craze has been going back and forth here recently:
1. I’m camera geek. I mean that I look photography much about its technical side rather than having very artistic approach. I think that’s not the best viewpoint, but cameras and gear just makes me exctited (sometimes all too much :D).
2. My favorite subjects in high school were math, physics and chemistry.
3. I play piano, however all too sparsely nowadays (soon I have to say that I “played” xD)
4. I live in Finland. Here is proper seasons (well, the global warming threatens that already). I mean in winter there is ice and snow and in summer you can go to beach. That is very nice variation along the year (of course there is that dark autumn with
rainy and slushy weathers, when I guess most of Finns get depressed :D).
5. I love skating (both ice and roller skating, depends about the season which is possible). Occasionally I can go skating even some 3 times in week.
6. I study dentistry (well maybe most of you knew that already). I just like to nibble with small things and I wanted to do something concrete, not just number twiddling of something like that. Still I liked the idea of academic occupation. Dentistry just encompasses all of those. You can work with real people and help others. Still I can have the scientific side as a part of the job. And that is really challenging but also rewarding occupation. Believe or not. =)
7. I don’t usually like writing this kind of long stories about me. However, I felt I have to do this because I have been able to read something cool details about you recently and I guess it’s fair to share something. :D
8. I guess there lives still a little perfectionist in me. However, I think I have now learned to manage myself with him.
9. I have been able to meet some new friends here around the world. I think that’s awesome to meet people with different cultures and share some pictures. So thank you my friends. (:
10. Others say that I’m kind. Anyway, I’m not the right person to comment that if it’s true of false. :D
www.familistere.com/site/index.php
fr.wikipedia.org/wiki/Familistère_de_Guise
de.wikipedia.org/wiki/Familistère_(Guise)
en.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_André_Godin
« Ne pouvant faire un palais de la chaumière ou du galetas de chaque famille ouvrière, nous avons voulu mettre la demeure de l’ouvrier dans un palais ; le Familistère, en effet, n’est pas autre chose, c’est le palais du travail, c’est le PALAIS SOCIAL de l’avenir.
Ce qu’il n’est pas possible de faire au profit de familles éparpillées et sans lien, les améliorations qu’on ne peut introduire dans le tohu-bohu des habitations ouvrières, ni à la ville, ni à la campagne, ni dans les caves, ni dans les mansardes habitées ; ce que ne permettent pas même les habitations ouvrières isolées les mieux construites, quel qu’en soit le système : le Familistère le permet, le palais social le rend possible, bien plus, il le rend nécessaire. »
Jean-Baptiste-André Godin La Richesse au service du peuple, le Familistère de Guise. 1875.
Les chiffres du Familistère : ( source Wikipédia )
10 millions de briques sont nécessaires à la construction des trois pavillons du Palais Social.
30 000 m² de surfaces sont offerts par l’ensemble des trois pavillons.
1 kilomètre de coursives parcourt les trois pavillons du Palais.
500 fenêtres percent les façades des trois unités d’habitation.
495 appartements sont aménagés dans l’ensemble des cinq pavillons du Familistère avant 1918.
1 748 personnes habitent au Familistère en 1889.
50 berceaux peuvent être installés dans la nourricerie du Familistère.
796 invités participent au banquet de la cinquième fête du Travail dans la cour du pavillon central en 1872.
1 000 spectateurs prennent place au théâtre en 1914.
1 526 employés travaillent dans les usines de la Société du Familistère en 1887.
2 500 est le nombre de record d’employés de l’Association du Familistère de Guise et à Bruxelles en 1930.
4 000 modèles d’appareils et d’accessoires sont fabriqués par la Société du Familistère en 1914.
210 000 appareils sont expédiés par les usines de Guise et Bruxelles en 1913-1914.
664, c’est le nombre de pages qui composent le livre Solutions Sociales publié par Godin en 1871.
JEAN-BAPTISTE GODIN ( ENGLISH )
Jean-Baptiste André Godin (26 January 1817 -29 January 1888) was a French industrialist and social experimentor born on the 26th of January 1817 at Esquéhéries (Aisne).
The son of an artisan, he entered an iron-works at an early age, and at seventeen made a tour of France as journeyman. Returning to Esquéhéries in 1837, he started a small factory for the manufacture of castings for heating-stoves. The business increased rapidly, and for the purpose of railway facilities was transferred to Guise in 1846. At the time of Godin's death in 1888 the annual output was over four millions of francs (4,160,000), and in 1908 the employees numbered over 2000 and the output was over 280,000.
An ardent disciple of Charles Fourier, he advanced a considerable sum of money towards the disastrous Fourierist experiment of V. P. Considerant (q.v.) in Texas (known as La Reunion. He profited, however, by its failure, and in 1859 started the Familistère, or community settlement, of Guise on more carefully laid plans.
The Familistère forms a town within the town of Guise. It comprises, in addition to a large factory, three large buildings, each four stories high, capable of housing all the work-people, each family having two or three rooms. The main building consists of three rectangular blocks joined at the corners. Each of these blocks has a central court covered with a glass roof under which children can play in all weather. There is no church of any sort. (There are, of course, churches within the rest of Guise). At the back of the main block there was a nursery. There is a separate block, known as the "economat", containing various shops, refreshment rooms and recreation rooms of various kinds(?), stores for the purchase of groceries, drapery and every necessity. This has recently (2008) been restored and is now a cafe, a shop selling books, postcards etc and an exhibition area. There were also allotments for the workers.
Opposite the main block there was a building containing a theater for concerts and dramatic entertainments and a primary school. There was also a communal laundry and swimming pool. This was a few years ago derelict but has now been restored. The swimming pool is still a swimming poll but the laundry is a meeting room and the drying room is now (2008) an exhibition room. In 1880 the whole was turned into a co-operative society, with provision by which it eventually became the property of the workers.
Godin manufactured cookers and heating stoves of many kinds mainly made from cast iron castings. Sometimes these were enameled. These are still to be found in use all over France. They can be found for sale on eBay.
This business was still owned by the workers in the 1950s but soon after was taken over by Le Creuset. It is not obvious that the factory is still functioning. It is seems the domestic building were privatised. The state of the domestic buildings was deteriorating but has recently been awarded EU money for it to be restored.
In 1871 Godin was elected deputy for Aisne, but retired in 1876 to devote himself to the management of the Familistère. In 1882 he was created a Knight of the Legion of Honor.
Godin was the author of Solutions sociales (1871); Les Socialistes et les Droits du travail (1874); Mutualité sociale et association du capital et du travail (1880); La Republique du travail et la reforme parlementaire (1889). See Bernardot, Le Familistère de Guise et son fondateur (Paris, 1887); Fischer, Die Familistère Godins (Berlin, 1890); Lestelle, Etude sur le Familistère de Guise (Paris, 1904); D. F. P., Le Familistère illustr, résultals de vingt ans d'association, 1880-1900 (Eng. trans., Twenty-eight years of co-partnership at Guise, by A. Williams, 1908).
www.maryam-rajavi.com/fr/index.php?option=com_content&...
Le vacarme des mollahs dans leur course aux armes atomiques, le sifflement strident de leurs bombes qui déchiquettent l’Irak et les hurlements de peur et de terreur qu’ils sèment dans le pays, ne sont pas la voix de l’Iran.
La voix de l’Iran retentit à travers les slogans des jeunes Moudjahidine et militants qui dans le soulèvement contre le rationnement de l’essence lancent « Mort au dictateur ! ».
La voix de l’Iran, ce sont les cris des femmes courageuses, le visage couvert de sang, qui dans le face à face avec les gardiens de la révolution ces derniers mois, ont bouleversé le monde.
La voix de l’Iran, c’est la voix d’Elham, cette fillette de 10 ans au rassemblement des enseignants protestataires à Téhéran, qui parle de son père en prison et fait pleurer des milliers d’enseignants.
Le cri de l’Iran, c’est le cri des ouvriers qui scandaient le 1er mai « On ne veut pas du nucléaire, on veut de quoi vivre et du travail», et « un avenir, c’est notre droit inaliénable ».
La voix de l’Iran, ce sont les battements des cœurs oppressés de 71 adolescents condamnés à mort.
La voix de l’Iran, ce sont les lamentations des mères kurdes et baloutches et des femmes arabes du Khouzistan qui pleurent la mort de leurs fils pendus ces derniers mois dans les rues de Sanandaj, Zahedan et Ahwaz.
La voix de l’Iran, ce sont les slogans des étudiants de Polytechnique et des universités de tout le pays qui crient « Mort au dictateur ! ».
La voix de l’Iran, ce sont les hurlements de douleur dans les salles de torture des mollahs. « Je suis encore vivant, ma voix ne s’est pas éteinte, je brise le silence d’un millier dans la section 209. »
La voix de l’Iran c’est le grondement des Moudjahidine de la liberté, qui appellent depuis la Cité d’Achraf, les Iraniens à se lever pour la liberté.
Et nous aujourd’hui, d’une seule voix avec les Iraniens insurgés, nous crions qu’au lieu du régime des mollahs, il faut instaurer la liberté et la souveraineté populaire.
Oui, c’est ça la voix de l’Iran.
Le soulèvement général des 26 et 27 juin déclenché par la crise de l’essence, montre le véritable visage d’une société exaspérée au bord de l’explosion. Ce soulèvement est le témoignage le plus objectif et le plus clair des revendications brûlantes des Iraniens. Ils veulent renverser le régime des mollahs.
Les cris de « Mort à Ahmadinejad » qui ont immédiatement retenti dans les rues de Téhéran, les charges courageuses des insurgés contre les centres du pouvoir et la panique qui s’est emparée du régime, tout montrait que cela dépassait de loin une crise économique. Il s’agit d’une crise qui marque la phase terminale du régime et sa destruction.
C’est en instaurant un couvre-feu, en arrêtant des centaines de personnes et en faisant des morts et des blessés parmi les jeunes, que le régime a répondu. Le guide suprême des mollahs a donné l’ordre d’agir fermement, en faisant des exemples. Mais ce qui est exemplaire, c’est la défaite cuisante que le soulèvement populaire vient d’infliger aux mollahs et à leurs alliés.
En une heure, toute la démagogie de ces deux dernières années où ils disaient vouloir partager les revenus pétroliers avec le peuple, est partie en fumée.
Tous les slogans du pouvoir sur le programme atomique, comme quoi « l’énergie nucléaire est notre droit inaliénable », ont disparu dans les flammes du soulèvement.
Toute la propagande des apologistes de la complaisance sur la stabilité et la puissance des mollahs, s’est évanouie. Et la marque de terroriste qu’ils collent à la résistance pour la liberté, a brûlé dans le feu de l’insurrection.
Et maintenant c’est au tour du peuple iranien de demander : avec toutes ces annonces sur les progrès scientifiques pour justifier le programme nucléaire contraire aux intérêts de la nation, comment se fait-il qu’en trente ans vous n’ayez même pas été capables de construire une raffinerie pour produire de l’essence ? Pourquoi tout cet argent que vous avez dilapidé pour fabriquer une bombe atomique, vous ne l’avez pas utilisé pour raffiner de l’essence ? Pourquoi en imposant ce rationnement de l’essence, avez-vous détruit en une nuit la source de revenus d’une immense partie de la population ? Pourquoi tout à coup, avez-vous réduit au chômage et à la misère des millions de personnes ?
Ils n’ont pas de réponse, parce qu’ils sont au bout du chemin. Ils ne savent rien faire d’autre que réprimer et exporter le terrorisme et l’intégrisme. Ils sont dans une impasse.
C’est pourquoi ces deux dernières années, tout ce que les Etats partisans de la complaisance ont misé ou prétendu sur le régime des mollahs, s’est avéré faux.
Ils ont dit qu’en encourageant les mollahs, ils changeraient leur comportement. Or au lieu de changer, les mollahs ont enfoncé l’Irak dans un bain de sang, ont entraîné le Liban dans le chaos, ont divisé en deux la Palestine et ont ramené le terrorisme et l’effusion de sang en Afghanistan.
Ces Etats ont dit qu’avec les marchandages et les négociations, ils obtiendraient l’accord des mollahs pour suspendre leur programme atomique. Or ces derniers ont développé leurs activités pour fabriquer des armes nucléaires et ont ignoré trois résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU.
Ils prétendaient qu’un embargo pousserait les Iraniens à soutenir le régime, ils peuvent ouvrir les yeux maintenant et voir ce soulèvement général. Et cela se passe alors que l’étiquette de terroriste collée à la résistance permet aux mollahs de maîtriser les effets des sanctions. Imaginez alors ce qui se passera, le jour où cette étiquette de terrorisme disparaîtra !
Oui, le problème c’est que toutes les politiques face à la crise iranienne ont abouti à un échec. Pour l’Iran, la région et l’Irak, il n’y a qu’une solution et c’est un changement démocratique réalisé par le peuple iranien et sa résistance.
Le choix des Iraniens, c’est la liberté et la démocratie. C’est pour elles que Satarkhan, notre héro national, s’est battu en 1908. C’était la grande espérance de Mossadegh dans les années 1950. Et c’est le but de la résistance érigée par Massoud Radjavi. Nous ne baisserons pas les bras pas tant que nous ne l’aurons pas atteint.
Il y a deux jours, l’Union européenne, comme on pouvait le prévoir, après sept mois de fraude et d’intrigues, a finalement piétiné le verdict de la Cour de Justice Européenne et dans une mesure illégale, a maintenu le nom des Moudjahidine sur la liste en servant les intérêts du parrain du terrorisme.
À cause de la clarté du verdict supprimant le nom de l’OMPI de cette liste, le Conseil des Ministres a été incapable d’en publier une pendant 13 mois. Il devait choisir entre deux voies : soit supprimer l’OMPI de la liste et brouiller ses relations avec le régime des mollahs, soit être frappé de honte et de discrédit pour avoir violé un arrêt de justice et coopéré avec le régime des mollahs.
Il a finalement choisi le scandale. Mais il doit savoir que la complicité avec les bourreaux des enfants et des jeunes en Iran, la collaboration avec les responsables du massacre de la population en Irak et l’ennemi de la paix dans la région et l’assistance fournie aux banquiers du terrorisme dans le monde, est une tache honteuse qui souillera à jamais l’histoire de l’Europe.
J’appelle toutes les femmes et tous les hommes libres d’Europe, quelle que soit leur fonction, à prendre leur distance avec cette tache honteuse et à obliger le Conseil des Ministres de l’Union européenne à se plier au verdict et à la loi. La Résistance iranienne utilisera tous les moyens politiques et juridiques légitimes, pour faire appliquer ce verdict et pour faire supprimer le nom de l’OMPI de la liste noire.
Au lendemain de ce verdict, le Conseil des Ministres européen aurait pu faire appel, mais il a préféré désobéir à la décision de justice. Puis il a fraudé pour dissimuler son infraction.
Le 30 janvier, le Conseil des Ministres européen a annoncé son intention de maintenir cette inscription. En même temps, il a demandé à la Résistance iranienne de présenter les raisons pour lesquelles elle rejette cette accusation, en lui donnant un mois de délai. La décision de maintenir l’OMPI sur la liste est une infraction et la demande de documents une fraude évidente.
Car ils avaient déjà pris la décision de contourner le verdict de la cour de justice. Dans les documents qu’ils ont remis récemment aux avocats, il est dit que le 18 décembre, c'est-à-dire six jours à peine après le verdict, ils ont abordé dans une réunion les « étapes nécessaires pour maintenir le nom de l’OMPI dans la liste ».
C’est ce que ces messieurs du Conseil des Ministres appellent la démocratie !
Au lieu d’examiner et de faire des recherches, ils font des réunions pour savoir par quelle tactique frauduleuse ils peuvent maintenir l’OMPI sur la liste noire.
Tandis que le Conseil des Ministres, dans des lettres successives, a prétendu que la décision finale n’avait pas encore été prise, Tony Blair, l’ancien Premier ministre britannique, a reconnu que la décision avait été adoptée au mois de janvier. C’est-à-dire avant que la Résistance, conformément au délai d’un mois, ne remette ses documents. Le bureau de la Chancelière allemande a dévoilé une autre contradiction, en disant que la décision avait été prise au mois de février.
Par conséquent ce mois de délai est une véritable supercherie.
Ils ont prétendu que le verdict ne portait que sur la procédure. Ils ont prétendu que le verdict n’annulait que la décision de 2005 de l’Union européenne et ne concernait pas celle de l’année suivante.
Mais comme l’a montré Lord Slynn dans son précieux avis juridique, c’est là une allégation trompeuse. Le Conseil a accepté l’annulation de sa décision de 2005. De même, il a reconnu au tribunal que conformément à un article du traité européen, toute autre décision de substitution devait être annulée.
Par conséquent le Conseil des Ministres a enfreint ouvertement ses obligations vis-à-vis du traité européen. Ce qui s’est passé, c’est une violation des droits fondamentaux, et cela va bien au-delà de la procédure et de la manière dont sont prises les décisions. Ce sont donc les droits du peuple iranien qui ont été violés.
Oui, toute la dispute porte sur les droits du peuple iranien et avec cette inscription sur la liste noire, ils ont été livrés sur un plateau au régime des mollahs. Mais sachez que nous et notre peuple, nous arracherons ces droits usurpés des griffes des mollahs
Des documents douteux ;
Le Conseil des Ministres européen a été obligé à la suite des demandes répétées des avocats, de leur remettre ses documents sur les accusations de terrorisme.
Le Conseil a certainement dépensé beaucoup de temps et d’énergie pour rassembler ces documents. Mais la montagne a fini par accoucher d’une souris, et au lieu de documents juridiques valables, il a transmis une poignée de papiers sans valeur.
Une partie de ces papiers n’a pas de sources et on ne sait pas d’où ils sortent. D’autres ne sont pas datés. Certains ne portent même pas le nom des Moudjahidine du peuple et n’ont aucun rapport avec l’OMPI. D’autres enfin ont été pris sur des sites Internet douteux.
Est-ce qu’il s’agit de documents juridiques ou de futilités qui déshonorent l’Union européenne et nous font perdre du temps ? Et n’aurait-il pas été préférable qu’ils aient le courage de dire qu’ils n’avaient rien ?
Ecoutez : Un de ces documents dit que puisque le ministre de l’Intérieur britannique avait mis le mouvement de la résistance dans la liste du terrorisme en 2001, il s’agissait donc de terroristes. Un proverbe persan dit : Quand on demande au renard de produire un témoin, il désigne sa queue ! Ce qui est intéressant, c’est que ce ministre a souligné à deux reprises l’an passé qu’il avait mis l’OMPI dans la liste à la demande des mollahs.
Dans un autre document, on prétend que cette résistance ne bénéficie d’aucun soutien en Iran. Bien ! Quel rapport avec l’accusation de terrorisme ? D’ailleurs, cela montre que la complaisance avec les mollahs, n’a pas seulement privé ces messieurs de lucidité et de raison, elle les a aussi privés de la vue. Alors messieurs, ouvrez les yeux et regardez la base populaire de cette résistance. Vous ne voyez donc pas quelle tempête les jeunes Moudjahidine et militants ont soulevée ces jours-ci.
Ecoutez encore : un autre document intéressant sur le prétendu terrorisme de cette résistance. On peut y lire : il y a huit ans, lors d’un débat au parlement britannique, le représentant du gouvernement a rejeté les déclarations de la Résistance iranienne en disant que le résultat de l’élection présidentielle de Khatami renforçait l’optimisme sur le développement des futures relations entre l’Iran et la Grande-Bretagne.
Quel rapport il y a-t-il entre votre optimisme sur le mollah Khatami, l’avancée des dites réformes en Iran, et coller l’étiquette de terrorisme à cette résistance ? D’ailleurs, maintenant qu’à la place des réformes, la bande la plus extrémiste du régime est arrivée au pouvoir et met le monde à feu et à sang, jugez par vous-mêmes : Etait-ce de l’optimisme ou de la stupidité ?
Et voici encore un autre document qui dit : Le mouvement de la résistance s’est exilé en 1981 et il est parti en Irak. Là où actuellement se trouve une armée de plusieurs milliers de combattants et où ils sont soutenus par le régime irakien.
Mais enfin Messieurs ! Cela fait environ quatre ans que l’ancien régime irakien a été renversé et qu’il n’existe plus ! Vous ne voyez donc pas que les Moudjahidine du peuple ne sont plus armés depuis quatre ans ?
«Balivernes ! Etes-vous ivres, auriez-vous perdu la tête ou faites-vous exprès?»
Mais il y a encore un document très significatif : Le Conseil des Ministres brandit un article publié il y a dix ans dans la presse internationale comme un de ses documents. On peut y lire que cette résistance « est toujours la plus forte opposition à un régime qui est un hors-la-loi international… »
Alors c’est clair, votre crime, c’est d’être l’opposition la plus forte à un régime hors-la-loi.
Mais voilà un autre crime, selon un document du Conseil des Ministres: « Les dirigeants du Conseil national de la Résistance disent que lorsque le moment opportun sera venu, cette résistance se lèvera en soutien au soulèvement général contre le gouvernement intégriste. Ils disent : Nous avons l’intention de coordonner cette résistance avec la montée des troubles sociaux pour balayer les mollahs. »
Alors votre crime, c’est aussi d’attiser les protestations et les soulèvements de votre peuple et d’y apporter votre soutien.
Messieurs, il faut vous dire que nous ne cesserons jamais de lutter pour la liberté. Jamais nous ne cesserons. Jamais nous ne cesserons d’attiser les protestations des étudiants, des ouvriers, des enseignant et de les soutenir. C’est un combat que nous mènerons jusqu’à la victoire.
Oui, selon ce document, le plan de cette résistance pour écarter les mollahs revient à s’appuyer sur un soulèvement populaire.
Vous voyez ? D’un coté ils prétendent que la résistance est terroriste, puisqu’elle n’a pas de base populaire. Et d’un autre ils prétendent qu’elle est terroriste puisqu’elle s’appuie sur un soulèvement populaire.
Alors que faut-il croire ?
Ni l’un ni l’autre. Ce qu’il faut croire, c’est que les grandes puissances occidentales ont réprimé la solution dont elles disent qu’elle s’appuie sur un soulèvement populaire. Ainsi donc ce document du Conseil des Ministres est un document sur le crime des partisans de la complaisance.
Oui, Messieurs, vous êtes coupables. Vous êtes coupables d’avoir taxé de terrorisme la résistance contre le fascisme religieux. Vous êtes coupables de faire croire au monde qu’il n’y a pas de solution à la crise iranienne. Et il ne fait aucun doute que vous serez déshonorés devant les Nations européennes.
Je suis heureuse que vous disiez que les papiers caducs, contradictoires et trompeurs qui violent la loi, n’ont aucune légitimité dans l’Europe d’aujourd’hui.
Depuis l’annonce du verdict de la Cour européenne de Justice, plus de mille parlementaires de divers pays d’Europe ont condamné le refus du Conseil des Ministres d’appliquer le verdict. Un grand nombre d’organes parlementaires ont protesté à travers des déclarations, des résolutions et des lettres officielles, notamment dans les parlements britannique, français, allemand, italien, hollandais, danois, polonais et tchèque, contre la position du Conseil des Ministres.
C’est là que nous devons répéter la question du Dr. Vidal Quadras, vice-président du Parlement européen : Il y a-t-il quelqu’un qui pense que mille parlementaires de pays démocratiques se trompent tous ensemble?
Nous aussi nous avons des questions : lorsque vous ignorez les résolutions et les décrets de lois des plus hauts organes parlementaires en Europe et lorsque vous piétinez un arrêt de justice, que reste-t-il de la démocratie ?
Quand vous prenez vos décisions unilatéralement et en secret, que reste-t-il de la démocratie ?
Mais est-ce que la démocratie ce n’est pas répondre de ses actes, ce n’est pas écouter des avis différents, ce n’est pas respecter l’état de droit et la transparence?
Alors ce centre secret au cœur de l’Union européenne qui décide sur les accusations de terrorisme, qu’est-ce que c’est ? Un palais de verre noir mystérieux du nom de Clearing House, dont on ne connaît ni l’emplacement, ni les membres, ni le calendrier.
Est-ce qu’il s’agit d’un organe européen conforme aux normes démocratiques ou d’une arrière-salle obscure? Mais laissez-nous dire aux occupants de cette arrière-salle obscure que même s’ils jettent les droits du peuple iranien dans la gueule d’un monstre, nous irons les en retirer.
Quand le 17 juin 2003, dans le but de détruire la résistance, le gouvernement de M. Chirac a lancé contre les bureaux du Conseil national de la Résistance iranienne une véritable armada, il a étendu les frontières de la complaisance de manière incroyable en participant directement à la répression de la population iranienne. Il s’est abaissé à être l’exécutant de la dictature religieuse.
Ils ont été si loin dans cette voie qu’ils ont ouvert les portes aux agents des services secrets des mollahs, pour qu’ici même à Paris, il commettent des crimes à l’arme blanche et préparent le terrain à des attentats terroristes.
À la recherche d’accords économiques, les gouvernements européens, et à leur tête Paris, prétendaient vouloir modérer le régime des mollahs. Mais quel en a été le résultat ?
Au lieu de se modérer, les mollahs ont mis Ahmadinejad au pouvoir et se sont consacrés à la bombe atomique et à dévorer l’Irak. Le phénomène Ahmadinejad, c’est le résultat de l’alliance du fascisme religieux et de la politique de complaisance.
Mais en vérité, ce que les grandes puissances occidentales n’ont toujours pas pris en compte, c’est que la Résistance iranienne constitue la clé majeure et la plus efficace des événements en Iran et dans cette région. Il y a 27 ans, Khomeiny avait dit que son principal ennemi n’était ni l’Amérique ni l’URSS, mais les Moudjahidine du peuple. Aujourd’hui aussi, Khamenei son disciple, montre que les porte-avions américains dans le Golfe persique ne représentent pas un vrai danger pour son pouvoir, ni les pressions internationales, mais que ce sont bien les Moudjahidine du peuple, la Cité d’Achraf et la Résistance iranienne, c’est-à-dire ceux qui inspirent les soulèvements et les protestations explosives de la société iranienne, qui représentent un danger pour l’existence de son régime.
C’est un danger qui fait trembler les mollahs nuit et jour. C’est contre cela qu’ils veulent se doter de la bombe atomique pour maintenir leur pouvoir vacillant. Mais la tornade de liberté que le peuple iranien soulèvera, particulièrement les femmes et les jeunes, balaiera tout leur appareil de répression cruelle.
Au début de ce mois, le ministère britannique des Affaires étrangères a envoyé une réponse à la plainte déposée par des parlementaires amis de la Résistance contre l’étiquette de terrorisme. Il souligne que les ministres et les autorités du régime des mollahs ont discuté avec leurs homologues en Angleterre et dans l’Union européenne à d’innombrables reprises des Moudjahidine du peuple et de la résistance.
Oui, à d’innombrables reprises et lors d’innombrables marchandages sur le dos de la résistance.
Le ministère britannique des Affaires étrangères dit qu’il a mené ces discussions avec le régime des mollahs pendant des années et qu’il voulait échanger des informations sur les activités de l’OMPI en Grande-Bretagne, en Iran et en Irak avec le régime iranien.
Oui, échanger des informations et fomenter des complots contre le mouvement de la résistance.
Le ministère des Affaires étrangères anglais a averti dans sa lettre que toute action visant à supprimer l’OMPI de la liste entraînerait la déstabilisation du régime. Oui, c’est le cœur du problème : supprimer l’OMPI de la liste ferait trembler les fondements des mollahs car leur destinée est entre les mains de cette résistance.
Le ministère des Affaires étrangères anglais dans cette lettre révèle pour la première fois que le régime lui avait demandé six mois avant la guerre contre l’Irak quels seraient les effets d’une éventuelle intervention militaire en Irak sur la Résistance iranienne. Les autorités anglaises avaient donné l’assurance qu’elles prendraient au sérieux le cas de la Résistance iranienne en Irak.
Oui, elles allaient le prendre au sérieux en bombardant les centres de la Résistance. Elles ont bombardé la Cité d’Achraf 120 fois en une seule nuit.
La force qui garantit la solution pour cette région a été bombardée et désarmée. Quelle en a été la conséquence ? Les mollahs et les gardiens de la révolution se sont déversés par milliers en Irak et ont plongé cette nation opprimée et blessée dans un tourbillon de sang. Cette erreur fatale des grandes puissances occidentales a enchaîné la Résistance iranienne.
Par conséquent, Messieurs, nous vous appelons à changer cette politique désastreuse, à quitter le camp des mollahs et à accepter le verdict de la Cour européenne de justice. C’est dans votre intérêt, et ce sera un pas déterminant pour mettre fin à la politique de complaisance.
Mais en ce qui concerne cette résistance, ses amis et ses partisans, c’est une lutte promise à une victoire certaine. La volonté d’airain, le sacrifice, la foi et les efforts incessants des membres de cette Résistance et du peuple iranien, casseront l’accusation de terrorisme et avanceront jusqu’à la victoire finale. Cela ne fait aucun doute.
La politique française
Nous appelons aussi la France à mettre fin à la politique qui sous le mandat de M. Chirac avait fait de ce pays le principal allié du fascisme religieux. Le dossier du 17 juin est l’héritage le plus infâme du gouvernement précédent. Ce dossier sert littéralement à maintenir sous contrôle le mouvement de la Résistance iranienne au profit des mollahs. Il est maintenu ouvert pour cette raison.
Ce dossier est sans fondement d’un point de vue juridique et c’est un complot d’un point de vue politique. Dans l’histoire juridique de la France, c’est une affaire sans précédent depuis la seconde guerre mondiale. Ils sont tellement à court, qu’ils ont dû engager des agents des services secrets des mollahs pour servir de témoins.
Ce dossier qui est depuis le début dans une impasse, particulièrement depuis le verdict historique de la Cour européenne de justice, s’est aussi effondré sur le fond.
Lors des élections présidentielles en France, le nouveau président de la République a maintes fois parlé d’une France nouvelle et a promis le changement. Mais je dois rappeler qu’en ce qui concerne l’Iran, ce changement n’aura d’autre signification que de mettre fin à la politique de complaisance qui s’est avérée un échec. La page noire que le dossier du 17 juin a ouvert dans les relations entre la France et le peuple iranien, doit être tournée. C’est le critère le plus important du changement. Ainsi donc, le peuple iranien jugera la nouvelle politique de la France à l’aune de ce qu’elle fera dans la pratique.
Oui, écoutez les Français qui ont, durant toutes ces années, porté au plus haut la solidarité et le soutien à cette résistance. Vive les Français au grand cœur qui se sont élevés contre la politique de complaisance. Permettez-moi ici de leur dire toute ma gratitude :
(en français dans le texte)
« Mesdames et Messieurs, Chers Amis,
Je salue chacun d’entre vous, votre présence ici démontre la solidarité et l’amitié profonde entre le peuple français et le peuple iranien. En Iran, les femmes, les étudiants, les ouvriers et les autres couches en colère de la société qui se sont soulevés plusieurs fois ces derniers mois contre le régime des mollahs, se sentent soutenus en vous voyant.
La Cité d’Achraf en Irak, où se trouvent les Moudjahidine du peuple qui résistent à une vague de terreur de l’intégrisme des mollahs se sent soutenue en vous voyant. Pour eux vous incarnez les valeurs essentielles de l’Europe, comme la démocratie, la justice et l’état de droit. Et dans les Français, ils voient la liberté, l’égalité et la fraternité et la France des droits de l’homme. Une France qui n’est pas aux cotés du fascisme religieux. Une France qui ne participe pas à la répression de l’opposition. Une France qui respecte l’aspiration des Iraniens à la liberté, l’état de droit, la laïcité et l’égalité.
Les événements de ces quatre dernières années montrent que la solidarité précieuse des Français a joué un grand rôle face à la politique de complaisance. Face à la rafle du 17 juin 2003, vous avez soutenu la résistance. Vous avez défendu ce mouvement face à la campagne de diabolisation. Vous avez condamné la fabrication de dossier et la manipulation de la justice. Et vous vous êtes élevés courageusement face à l’accusation honteuse de terrorisme et face au refus d’appliquer le jugement de la Cour européenne.
Je suis honorée de votre amitié, et votre solidarité est désormais écrite en lettres d’or dans l’histoire de l’Iran.»
L’ingérence des mollahs en Irak
Mes chers compatriotes,
La vie pleine de souffrances du peuple irakien, rend nécessaire l’importance d’une solution juste et réelle. Chaque jour en Irak, une centaine de personnes au moins roulent dans leur sang. A la fin de chaque journée, 400 enfants deviennent orphelins. Chaque jour, les femmes et les filles sans abris deviennent la cible d’agressions et de harcèlements, et chaque jour des milliers d’Irakiens innocents se retrouvent sans abri.
Ce terrible massacre est planifié à Téhéran dans un état-major supervisé par le guide suprême des mollahs, Khamenei. Parce que si ce régime ne réussit pas à appliquer son plan funeste pour s’emparer de l’Irak, il sera incapable d’assurer sa survie à Téhéran.
Il y a quatre ans, j’avais averti que le danger de l’ingérence du régime iranien en Irak était cent fois plus dangereux que son projet atomique. Au cours des quatre dernières années, ce régime a mis en œuvre sa politique d’occupation rampante de l’Irak. Il est devenu désormais l’occupant principal.
Massoud Radjavi dans son message d’il y a deux semaines au Congrès de la solidarité pour la paix et la liberté du peuple irakien a souligné : « le problème principal en Irak, c’est l’affrontement et la guerre entre deux alternatives sur le sol irakien dans cette conjoncture particulière. L’alternative des mollahs au pouvoir en Iran face à l’alternative irakienne. L’alternative du régime fasciste des mollahs avec tous ses réseaux, ses agents et ceux qui les soutiennent, face à l’alternative anti-fasciste irakienne avec tous ses mouvements, ses groupes, ses partis,ses personnalités démocratiques et patriotiques et ceux qui les soutiennent sur la scène arabe et internationale. »
C’est sur cette base que 5,2 millions d’Irakiens ont affirmé dans une déclaration que la solution est « d’évincer d’Irak le régime iranien et de reconnaître le statut des Moudjahidine du peuple qui sont le contrepoids à l’ingérence du pouvoir iranien. »
Aujourd’hui le régime de Téhéran, voit dans les Moudjahidine du peuple un tel barrage à son ingérence en Irak que, contrairement à toutes les conventions et lois internationales, il ne supporte même pas leur présence non armée et toutes ses restrictions dans ce pays. Comme le dit Massoud Radjavi, c’est là que se trouve le talon d’Achille du monstre de l’intégrisme. Le critère du changement démocratique en Iran est entre les mains de la Résistance du peuple iranien.
Il y a deux semaines dans un rassemblement de 10.000 Irakiens, une déclaration signée par 450.000 habitants de la province de Diyala dont 21 partis, associations et groupes divers, annonçait que toutes les forces nationales et démocratiques de la région de Diyala, de toutes les couches sociales, tribus et religions, se tenaient aux cotés des Moudjahidine de la cité d’Achraf. Et toute agression, accusation et mensonge contre l’OMPI serait considéré comme contraire aux intérêts du peuple irakien. Je rends hommage du fond du cœur aux habitants de la province de Diyala et au noble peuple d’Irak.
Permettez-moi ici d’aborder un sujet sur la tragédie des enfants en Irak. Il y a une dizaine de jours, les chaînes internationales ont montré des images terribles sur un orphelinat là-bas, des enfants innocents dont les parents avaient été assassinés. Ces enfants avaient été torturés, affamés et même violés. Les revenus pétroliers de l’Irak sont pillés par milliards par les mollahs au pouvoir en Iran, tandis que les orphelins irakiens connaissent ces conditions de vie.
Par conséquent, nous proposons aux Nations Unies de prendre en charge un nombre d’orphelins irakiens en mettant à leur disposition tous les moyens que nous possédons. Je propose en particulier que la Résistance iranienne, sous le contrôle de l’UNICEF et conformément à ses critères, prenne en charge mille enfants irakiens et toutes leurs dépenses à la Cité d’Achraf. C’est une proposition purement humanitaire loin de toute considération politique et de propagande. Nous donnerons aussi cette proposition à l’ambassade d’Irak à Paris et nous espérons que le gouvernement actuel irakien donnera son accord à ce plan humanitaire pour mille enfants innocents et que sur ce sujet il ne fera pas cas de l’opposition du régime des mollahs.
Les Moudjahidine du peuple d’Iran
Mes chers compatriotes,
Durant l’offensive des intégristes qui veulent répandre partout la terreur avec une cruauté sans précédent, la ténacité de cette résistance et des Moudjahidine du peuple ouvre des horizons brillants et ravive la flamme de l’espoir dans le cœur d’une société opprimée.
A tel point que les mollahs ont été obligés de fabriquer des séries télévisées pour contrer la vague de sympathie qui pousse les jeunes vers la résistance. Ils n’ont pas le courage d’avouer que toutes ces mises en scène et ces allégations prétendant la fin de la résistance, ont échoué. Ils ont peur de dire que tous ces dossiers fabriqués et ces accusations contre la résistance sont tombés à l’eau. Ils se réfugient alors dans de la propagande hystérique. Mais sachez que si vous consacrez 24 heures sur 24 vos programmes radio télévisés et votre presse contre cette résistance, vous ne pourrez empêcher le renversement de votre théocratie.
Tout le monde sait qu’il y a quatre ans, les coups politiques et militaires les plus durs comparables à un tsunami ont frappé ce mouvement : du désarmement, aux bombardements jusqu’a la rafle du 17 juin. Des coups si durs que si un dixième d’entre eux avait frappé le régime des mollahs, il ne fait aucun doute qu’il aurait renoncé à tout. Mais ce mouvement est sorti de cette crise plus fort, la tête haute et s’est transformé en une menace encore plus grande pour le régime des mollahs.
Alors, quel est le secret de cette résistance et des Moudjahidine ? Quelle est la source de cette détermination ? Comment plusieurs fois tel un phoenix ont-t-ils ressuscité de leurs douleurs et de leurs cendres ? Et dans une situation où les partis politiques les plus puissants dans le monde sont en proie aux déchirements et aux divisions, comment préservent-ils leur unité et renforcent-ils leur développement ?
En plus du sacrifice et de la sincérité, ce secret repose dans l’existence d’une direction compétente et d’une démocratie avancée dans les relations internes, basée sur le libre choix conscient de chacun de ses membres.
Le libre choix, c’est la pierre angulaire de l’amitié profonde et de l’unité interne, de la créativité, du sens des responsabilités et de la qualité humaine dans ce mouvement. C’est pour cette raison que ce mouvement est l’annonciateur de la liberté de choix pour le peuple iranien. Dès le premier jour, Massoud Radjavi avait dit que les Moudjahidine sont là pour se sacrifier afin que le peuple iranien puisse bénéficier de la liberté de choix.
Le secret, c’est aussi qu’ils croient en la victoire au plus profond d’eux-mêmes. Mais ils n’en tirent pas leur motivation et n’ont pas passé leur existence sur des chemins tout tracés sinon ils n’auraient jamais étés capables de résister face au monstre de l’intégrisme.
Des êtres débordant d’espoirs, des êtres tenaces et patients, qui résistent aux tempêtes, qui ont la certitude que le soleil brille au-delà des nuages sombres, et qui ont atteint une étape étonnante des capacités humaines.
Ils rendent possible l’impossible avec une formidable endurance, en acceptant des engagements surprenants et avec un amour sans faille.
Comme le disait Dolores Ibárruri, la Pasionaria : « Racontez à vos enfants à propos de ceux qui ont traversé les océans, les montagnes et les frontières protégées par des baïonnettes, dites-leur que même quand ils étaient menacés par des meutes de chiens qui cherchaient à les dévorer, ils ont renoncé à tout : à leur amour, à leur pays, à leur foyer, à leur richesse, à leur père, à leur mère, à leur conjoint, à leurs frères et leurs sœurs et à leurs enfants … pour nous dire qu’ils sont là pour défendre notre idéal, l’idéal progressiste de toute l’humanité. »
Oui, il y a un idéal, issu des demandes les plus profondes et les plus essentielles du peuple iranien pour lesquelles 120.000 de ses enfants les plus nobles et des symboles comme Neda et Sedigheh, ont donné leur vie. Le souvenir de ces héros restera à jamais dans nos cœurs.
L’Iran de demain
Mes chers compatriotes,
Que les partisans de la complaisance le veuillent ou non, le temps des mollahs est révolu. Nous allons tourner la page de l’oppression et de la souffrance.
- Nous allons bâtir un nouvel Iran, une société libre, un pays de progrès.
- Nous laisserons derrière nous l’époque des exécutions et de la torture.
- Nous abolirons la peine de mort.
- Nous débarrasserons le pays de ces tribunaux intégristes et de ces châtiments moyenâgeux.
- Nous mettrons fin à l’époque de l’inquisition, du code vestimentaire obligatoire et de l’ingérence dans la vie privée.
- Nous mettrons fin à l’époque de l’oppression et de la répression tragique des femmes en Iran. Dans tous les domaines, les femmes auront les mêmes droits et libertés que les hommes, les femmes participeront à part égale à la direction politique de la société.
- L’époque de l’humiliation des jeunes, l’époque du gaspillage de l’énergie et de la créativité sont révolues. L’Iran libre sera un pays où les jeunes participeront activement à l’édification de leur propre avenir.
- Nous instaurerons un pouvoir basé sur la séparation de la religion et de l’Etat pour que les adeptes des diverses religions et croyances puissent vivre de manière égale cote à cote.
- Un peuple avec autant de talents ne doit plus vivre dans la misère, dans la faim et le chômage.
- Il faudra mettre en place des conditions pour l’investissement et une concurrence économique saine et mettre fin au système de rente et de pillage.
- Il faudra reconstruire l’agriculture et l’industrie dévastées du pays, remplacer le système d’enseignement, d’hygiène et de santé par un système moderne et adapté et faire de notre pays un foyer de développement durable comme il le mérite.
- Un développement où la liberté, la démocratie, et la justice sociale brilleront.
« Le ciel bleu, la nuit clair,
Par la fenêtre, une lumière.
Nous inviterons la lune
à briller sur les coquelicots
et à chanter sur les plaines.
J’invite la lune à briller, briller, briller. »
Oui, nous ferons disparaître la souffrance de l’oppression
Nous bâtirons un nouvel Iran
Un pays fondé sur la liberté
Un pays fondé sur la tolérance …
Un pays fondé sur l’égalité
Alors, amis sincères de la Résistance,
Vous avez tout à votre disposition pour vaincre.
Vous qui avez battu les intégristes dans votre propre pays,
Vous qui avez rassemblé toutes les nationalités dans la république sur la base de la séparation de la religion et de l’Etat,
Vous qui bénéficiez du soutien et de l’affection d’un peuple,
Vous qui avez un idéal de droit et de légitimité devant vous,
Vous qui bénéficiez du grand capital d’un mouvement doté de quatre décennies de luttes incessantes et d’une organisation unie et puissante,
Et vous qui avez Massoud pour dirigeant,
Oui, vous avez tout pour la victoire
Oui, vous avez tout pour la victoire
Alors levez-vous !
Prenez le drapeau de Sattar et de Mossadegh
De Hanifnejad, de Mohsen et de Badizadegan,
de Djazani et d’Ahmadzadeh, de Pouyan et de Paknejad
d’Achraf et de Khiabani, faites les revivre en vous !
Rallumez partout les flammes de la lutte !
Vous serez vainqueurs !
Vous serez vainqueurs !
Oui, vous serez vainqueurs !
Hilo de la Fotohistoria en Pullip .es: DATING AT CINEMA (1 of 5): Minao Theatre /
CITA EN EL CINE (1 de 5): Cines Minao
(Read in this order) PAG: 01, 02, 03, 04, 05, 06, 07, 08, 09, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105, 106, 107, 108, 109, 110, 111, 112, 113, 114, 115, 116, 117, 118, 119, 120, 121, 122, 123, 124, 125, 126, 127, 128, 129, 130, 131, 132, 133, 134, 135, 136, 137, 138, 139, 140, 141, 142, 143, 144, 145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 152, 153, 154, 155, 156, 157, 158, 159, 160, 161, 162, 163, 164, 165, 166, 167, 168, 169, 170, 171, 172, 173, 174, 175, 176, 177, 178, 179, 180, 181, 182, 183, 184, 185, 186, 187, 188, 189, 190, 191, 192, 193, 194, 195, 196, 197, 198, 199, 200, 201, 202, 203, 204, 205, 206, 207, 208, 209, 210, 211, 212, 213, 214, 215, 216, 217, 218, 219, 220, 221, 222, 223, 224, 225, 226, 227, 228, 229, 230, 231, 232, 233, 234, 235, 236, 237, 238, 239, 240, 241, 242, 243, 244, 245, 246, 247, 248, 249, 250, 251, 252, 253, 254, 255, 256, 257, 258, 259, 260, 261, 262, 263, 264, 265, 266, 267, 268, 269, 270, 271, 272, 273, 274, 275, 276, 277, 278, 279, 280, 281, 282, 283, 284, 285, 286.
FOTOSTORY: In English / En Español
Matt: That's just what I was saying XD
/
Matt: Pues lo que yo decía. XD
COLLABORATION:
- Dom y Akari en el Foro de Pullips: Pullip .es
- Cinema's diorama by Minao. Sweets shop's diorama by Sheryl and Minao Collaboration.
- Little interpretation of Mad_Pullip's Emily as a MUSE fan.
SHERYL LINKS:
- Pullip .es: Las Fotohistorias de Sheryl
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¤ On Black ¤
Among the attractions at Amnicon Falls State Park is the 55-foot long bridge that spans the river at the Lower Falls. Originally it had no covering and was a highway bridge that crossed the Amnicon River not far from the park.
The bridge is historically significant due both to its age and unusual construction. It is called a Horton or bowstring bridge. In 1897 and 1898, Charles M. Horton, while working in Duluth and Superior, obtained a number of patents for bridges that he claimed made them stronger, lighter and more durable. In addition, he said his design would allow workers to quickly assemble the structure without expensive machinery, tools and labor. His method called for using arched beams secured with hooks and clips rather than rivets and bolts.
In 1899, Horton moved to La Crosse, Wisconsin, where he established a business and began erecting bridges on a small scale. Perhaps he was attracted to the area because of a severe flood in the spring of that year that forced replacement of many bridges.
It is not known how many bowstring bridges of Horton's design were built or when the bridge that now serves park visitors was constructed. Today only five other Horton bridges are known. They are also owned by the Department of Natural Resources at the Van Loon Wildlife Area in La Crosse County.
In 1930, our bridge was moved to its present location so park visitors could get to the island around which the river flows. Members of the Brule Civilian Conservation Corps added the roof in 1939.
The roof was replaced in 1941 after collapsing from heavy snows and again in 197l when destroyed by a fire set by vandals. Today the covered bridge serves not only a practical necessity, but as a picturesque attraction as well.
An adult Killdeer (Charadrius vodiferus) near a pond, watching over its little ones, in Mission Trails Regional Park, San Diego, CA.
This bird was positioning itself between me and its chicks. At no other time can I hope to get this close to a killdeer.
20100325-135
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All Rights Reserved © Nick Chill
y quien me conoce,
lo sabe.
así, sin maquillaje.
en verde y en rojo,
más rojo, últimamente...
buscando calibrar mi corazón
buscando para mí un nuevo paisaje
aunque no siempre soy muy valiente.
este soy yo,
sin mentiras
porque tengo defectos desde alli adentro
aunque no pienso pedirte perdón por ellos
porque para verdugos y jueces...
solito me doy cita y me encuentro.
este soy yo,
el de las 7:15 de la mañana,
después del antobiótico,
pero antes del desayuno.
este soy yo,
renegando del frio,
pidiendole al sol abrigo,
socio del viento para que el helado...
sea sólo un dulce,
y nada más.
y éste,
es el que anda
abrigándome los tímpanos.
conteniendo la infección hasta después del verano,
meneando mi cabeza como si cantara,
pero no canta,
ahora sólo susurra, y encanta
con poéticas ideas
de las que yo, a veces, también me embriago.
y luego,
tendré que buscar nuevas baterias
para cuando se acaben sus ímpetus,
pero
pero, y las nuevas ganas de oir...
esas..
donde encontraré?
○
More: The jungle murmurs
Same girl than the previous picture, this time I found her so beautiful in this light that I asked to get a portrait from her.
She knew quite well how to pose, she put her head directly in the sun.
This beautiful little girl is from the Pa-O ethnic group, we can easily recognize the women with their traditional red scarf they put in their head to protect themselves from the sun. It is quite touching to see how this tradition is well preserved among the generations and I wish they will keep doing that for a long time.
This little girl was help to welcome the trekkers who were arriving in the monastery to spend the night. She is from the village next to the monastery and was bringing tea to the people. How sweet was it.
We exchanged couple of word in burmese and english, she was not shy at all, maybe used to see some foreigners traveling and sleeping in the monastery of her village.
Wonderful time !
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History
After the humiliating Peace of Zsitvatorok and the unfavourable result of the wars with Persia, Sultan Ahmed I decided to build a large mosque in Istanbul to placate Allah. This would be the first imperial mosque in more than forty years. Whereas his predecessors had paid for their mosques with their war booty, Sultan Ahmed I had to withdraw the funds from the treasury, because he had not won any notable victories. This provoked the anger of the ulema, the Muslim legal scholars.
The mosque was to be built on the site of the palace of the Byzantine emperors, facing the Hagia Sophia (at that time the most venerated mosque in Istanbul) and the hippodrome, a site of great symbolic significance. Large parts of the southern side of the mosque rest on the foundations, the vaults and the undercrofts of the Great Palace. Several palaces, already built on the same spot, had to be bought (at considerable price) and pulled down, especially the palace of Sokollu Mehmet Paşa, and large parts of the Sphendone (curved tribune with U-shaped structure of the hippodrome).
Construction of the mosque started in August 1609 when the sultan himself came to break the first sod. It was his intention that this would become the first mosque of his empire. He appointed his royal architect Sedefhar Mehmet Ağa, a pupil and senior assistant of the famous architect Sinan as the architect in charge of the construction. The organization of the work was described in meticulous detail in eight volumes, now in the library of the Topkapı Palace. The opening ceremonies were held in 1617 (although the gate of the mosque records 1616) and the sultan was able to pray in the royal box (hünkâr mahfil). But the building wasn't finished yet in this last year of his reign, as the last accounts were signed by his successor Mustafa I. Known as the Blue Mosque, Sultan Ahmet Mosque is one of the most impressive monuments in the world. It is one of the elements included in the complex built by Ahmed I to compete with Ayasofya.[3]
Ahora en Biodiversidad virtual y hace poco en El País -en pdf- gracias a Elisabet Sans.
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A medio camino entre la sonrisa de Closterium y las incipientes estrellas de Euastrum, Tetmemorus dibuja en su contorno el perfil de unos labios, no rojos, sino verdes, por la sangre de su ser vegetal. Labios, que pronto fundidos en un beso, prepararán en un ciclo anual que se renueva casi eternamente, otras nuevas vidas para una nueva etapa de agua y luz.
Tetmemorus equilibra su cuerpo de balanza exacta en dos mitades iguales, del mismo modo que lo hace cualquiera de sus hermanas de esta familia de algas de los désmidos que se sostienen en el agua en línea con la superficie, dibujando contornos de lunas, sonrisas y estrellas.
La sangre verde de Tetmemorus es su clorofila, contenida en unos cloroplastos laminares, hechos de placas cortas y festoneadas como las de Netrium. Se disponen radialmente desde el eje central de su cuerpo y de este modo, de frente o de espaldas, de costado o en cualquier otra posición Tetmemorus podrá reposar tranquilo sabiendo que el sol siempre será recogido en su interior.
La piel de Tetmemorus es rígida y transparente, estuche de celulosa salpicado de lunares invisibles que en esta especie Tetmemorus brebisonii se disponen en hileras formando líneas de puntos sobre la superficie al azar no como en su hermano Tetmemorus brebbisonii que se colocan sólo ordenados en la cintura, .
Dos profundas incisiones se abren en los extremos de esta alga como marcando la comisura de esos dos labios que en Closterium siempre son sonrisa.
Tetmemorus granulatus es también habitante de las lagunas de aguas limpias y de las turberas de montaña en donde vive acompañado del universo de estrellas y lunas de otros désmidos hermosos. La fotografía de hoy se ha tomado en una muestra recogida en la Laguna de Cebollera, cerca de la población soriana de Molinos de Razón en el corazón de la Sierra que lleva el mismo nombre que el de esta laguna. Se ha realizado a 400 aumentos empleando la técnica de campo oscuro.
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☁ la nube negra de una justicia pervertida en nuestro país, movida por la envidia y la venganza, permanecerá aquí, hasta que soplen los vientos limpios que todos necesitamos. La Justicia es uno de los cimientos necesarios para la Paz. Desde aquí todo nuestro apoyo al Juez Baltasar Garzón -el buen Juez de Saramago- y a las personas de buena voluntad como él que trabajan por la Justicia.
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"Erm... 404? Isn't this some kind of... error?"
Trippy's first stop in Costa Rica: the Britannia Hotel.
"The Ultimate Costa Rican Experience" boasts the web site for this hotel; and depending upon one's expectations, this could be accurate. You want drugs? You got it! You want hookers? You got it! You want a gun-toting night porter? You got it! You want a snack or a cup of coffee after dark? In that case, your life is in your hands.
Yeah, we fell for the web site hype (via Orbitz -- never booking through those lying scumbags again).
"Close to airport," it said. "Close," the night clerk informed us when we arrived after a forty-five minute taxi ride, means "anything within twenty kilometers of the airport."
"Airport shuttle," they claim. "You have to call a day in advance for the shuttle, and the cost is twenty-five dollars American." Or... you can take a taxi, for twenty dollars.
The entire building is surrounded by a stone wall. The sides and rear of the building are enclosed in a huge glass and steel structure, kind of like a giant terrarium. Across the street there's a charming local corner bar, in front of which rough looking street people and "professional workers" ply their trades.
During the day, the neighborhood is kind of a run-down but otherwise typical noisy city block, with broken pavement and uneven sidewalks. After dark... "we recommend you do not go outside after dark," intoned the desk clerk, the armed security guard / night porter nodding quiet assent to her warning. So... food? The hotel restaurant, a fancy joint with linen napkins on the tables and serving escargot, was empty except for one bored girl in jeans and a midriff-baring t-shirt slouched over the bar watching television. The desk clerk informed us that take-out delivery places do not deliver to this neighborhood at night.
On the way to the hotel, through a warren of narrow, twisting streets lined with scary looking characters, hemmed in by dark, shuttered, barred windows looming sightlessly from broken brick facades on either side, the taxi driver explained as best he could through his limited English and our fractured Spanish that "Columbians" and "Nicaraguans" had taken over the area, and that it was rapidly deteriorating. "Problems, big problems, very bad, very bad," he said as he cautiously navigated the pot-holed route.
The hotel is located on the edge of the "bad part" of this neighborhood. The rooms are pleasant enough, clean and comfortable. Obviously some effort has gone into keeping the building secure and safe. But... close to airport? No. "Ultimate Costa Rican Experience?" Despite Trippy's urgings, I did not venture outside to make the acquaintance of any of the "experienced Costa Ricans" working the night shift, so I can't comment with authority as to the "ultimateness" of any potential "experiences." Other than to offer that ultimately, I'd expect to lose, if nothing else, my wallet.
Perhaps I'm simply not adventurous enough, but my initial impression of Costa Rica was... that I was not impressed. Perhaps I'd have been more bold had I been packing a revolver -- and it was one hefty revolver -- like the night security guy.
Studio pics from readers of MATRIXSYNTH via the MATRIXSYNTH Lounge.
Facebook gallery where you can find follow-up comments for each here. Also keep an eye out for new studio pics there.
Featured in order:
1 & 2. Erwan Coïc
This is my studio !
3. Lorenzo D Metallan
This is my setup for a live recording few weeks ago
4. Stu Smith
Seeing as we're doing studio selfies here's my little corner of the world.
5. Phil Croker
And here's my little setup at Pooh Corner (so named 'cos of the wallpaper..) Please be kind, I know it's nowhere near as good as some of your rigs
6. Francesco Synth Meeting Mulassano
Homework!
7. Jason Duerr
Location: Chicago
Results: belmontandclark.bandcamp.com/
8. Nick Morey
Most of my collection Betamaxx
9 & 10. Erik Chalmers
my place
11. Eric Vetterick
blurry ipad shot of my crap...
12. Steve Drakeem
13. Adam Gahan
Okay so i may as well join in. I don't have a huge setup but i try and make the most of what I've got. After all I'm only 19, I will most definitely acquire more gear as time progresses.
14. Gabriel Morley
15. Charles Mickaelstein
Same thing as Adam Gahan, I don't have a huge analog setup but I'm glad to have what I have
(plus some small synths, like monotrons, Casio VL-Tone, etc).
I do that kind of things with those :
soundcloud.com/warngmusic/extreme-transudation
16. Marco Vedder
My setup — at Club Tabu.
17. Marco Vedder
My setup
night lights
18 & 19. Jeremy Olson
20. Hani Debbache
21. Mark Milanovich
Jumping on the bandwagon. Couldn't fit all this in one shot.
It's a hell of a mess right now. More pics as I organize it more.
22. Matthew Willox
I'm a complete minimalist.
23. Ricardo Schnidrig
Acid House from Argentina !
24. Brandon McWhorter
Sure, why not? Here's 1/2 of my "mess" — with Roland TB-303 with Kenton CV Mod, Kawai R-100, Tom Oberheim SEM Pro, Roland TR-909 Rhythm Composer, Roland RS-505, Roland SBX-10, Roland TR-808 with Kenton MIDI, Roland Jupiter 6 with Europa, Genoqs Octopus, Roland JP-8 Jupiter 8, John Bowen Solaris, Oberheim M-12 Matrix 12, Garfield Electronics MiniDoc, Oberheim OB-X 8 Voice, Oberheim OB-Xa 8 Voice, Roland JP-4 Jupiter 4, Roland PG-800, Oberheim OB-8 with MIDI, Roland Juno 106 with Kiwi106 and Roland SH-101 (Red).
25. Martin Ley
There you go ‘Synth sluts’ Me at the controls back in 1985
26. Huskypop Huskypopo
27. Michal Patulski
Wow, some of your collections are sick! This is my current setup and nothing is there in comparison ha ha.
28 & 29. Hideously Disfigured Hipsters
30. Thomas Götze
Wanna play a game?
31. Dmitri Sfc
32. Shawn Shirey
This is ground control to Major Tom...
33. Nicolas Guichard
How to choose?
34. Colin Johnson
Since everyone's doing one of these right now.. here my spot. just moved in last month.. so you'll have to tolerate the mess and.. also one picture came off instagram. oh well.
35. Fede Manfredi
This is my little studio, at last, in order!
36. Michael Dennis Raleigh
I guess if everyone's putting up their studios... Here's me and mine
37. Bjørn Viggo Andersen
And here is ours
38. Nicky Bendix
My little workspace - thank you for all your inspiring photos!
39. Gavin McCloy
My modest setup
40. Mike Bradberry
Joining the bandwagon.
41. David J Warman
42 & 43. Trevor Gavilan
44. Joshua Andrew Coburn
45. Max Sokoleski
My tiny dungeon studio
46 & 47. TB Aothree
48. Walter Coter
Many Thanks for all members
49. Mark Ireland
My minimal (but very usable) studio setup.
50. Walter Coter
51. Adrian Earnshaw
As everyone is sharing pictures of their studios, here's my humble setup.
52. Discretman Jeff
Ok, this is my my gaming room !
53. David J Warman
54. Yuuki Koide
my studio
55. Olivier Lebra
my "living studio"
56 & 57. Matthew Thomas 1:48pm Mar 23
When in Rome. Geoscience Studio, kind of set up in an awkwardly shaped room, hence two pictures.
58. Jon Adams
This is my studio while I'm confined to bed - missing my hardware - microbrutes +modular the most
www.bap.de/start/musik/songtexte/titel/verdamp-lang-her --- www.youtube.com/watch?v=Ghi2xReyFYA&feature=related --- www.worldvision.de/unsere-arbeit-wie-wir-arbeiten-entwick... ---
Bap Colognian (Kölsch) pronunciation: [/bap/] is a German rock group. With ten albums reaching the number one in the German record charts, Bap is one of the most successful rock acts in their home country.
Nearly all of Bap's lyrics are written in Kölsch, the dialect of Cologne, or more precisely in a Kölsch-influenced derivation of Eifelplatt, a regional variant of the Ripuarian language spoken in the nearby rural Eifel. Niedecken's most prominent musical influences, especially early in his career, were Bob Dylan, the Kinks, Bruce Springsteen, the Rolling Stones, and Wolfgang Ambros.
The group was founded in 1976 under the name Wolfgang Niedecken's Bap in Cologne, Germany by Wolfgang Niedecken and Hans Heres. In 1981 they released their most famous song "Verdamp lang her" (English: Damn long time ago), in which Niedecken describes regrets he has about his relationship with his then recently deceased father. The band's name "BAP" derived from "BAPP", both, a play-on-words on the Kölsch word "Papp" (related to the German word Papa for dad), but pronounced differently, and Niedecken's then-times nickname. BAP ist eine Kölschrockband um den Frontmann Wolfgang Niedecken und gilt als eine der erfolgreichsten Rockbands deutscher Sprache. Von den 23 BAP-Alben erreichten 19 die Top 10, zehn wurden sogar Nummer 1 der Charts.Die Gruppe um Sänger und Songschreiber Wolfgang Niedecken besteht seit 1976. Die Band traf sich zu Beginn in wechselnder Besetzung, um „einen Kasten Bier leerzuproben“.[1] Der erste Auftritt erfolgte 1977 im Mariensaal in Köln-Nippes mit zwei akustischen Gitarren (Wolfgang Niedecken, Hans Heres) und Perkussion (Afro Bauermann). Das erste Album, Wolfgang Niedecken's BAP rockt andere kölsche Leeder. erschien 1979, die Band bestand zu dieser Zeit aus Wolfgang Niedecken, Hans „Honçe“ Heres, Wolfgang „Gröön“ Klever, Manfred „Schmal“ Boecker, Wolfgang „Wolli“ Boecker und Bernd Odenthal. Die zweite LP Affjetaut folgte 1980, wie die Debüt-Platte noch unter der Bezeichnung „Wolfgang Niedeckens BAP“, da Niedecken sich bereits als Solo-Künstler mit Gitarre und Mundharmonika als „Bob Dylan der Südstadt“ einen Namen gemacht hatte; beide Platten wurden noch beim Kölner Independent-Label Eigelstein Musikproduktion veröffentlicht.
Der Bandname BAP entstand aus Niedeckens Spitzname, der seinen Vater so nannte. Diese Aussprache entstammt der Herkunft der Familie aus Rheinland-Pfalz, und weil sie vom kölschen „Pap“ abwich, entstand so Niedeckens Spitzname.[2] Als ein erster Auftritt geplant wurde, für den mit einem Plakat geworben werden sollte, musste ein Bandname erdacht werden. Hans Heres schlug dem Veranstalter vor, „BAPP“ zu nehmen.[3] Da sich die Bandmitglieder aber einig waren, dass „BAPP“ – mit zwei „P“ geschrieben – auf der Bassdrum nicht gut aussah, wurde einfach ein „P“ gestrichen.[4]
Der musikalische und inhaltliche Stil der BAP-Songs wird wesentlich von Bob Dylan, den Kinks und den Rolling Stones geprägt. Auch Bruce Springsteen, mit dem Sänger Wolfgang Niedecken eine persönliche Freundschaft verbindet, gilt als wichtiger Orientierungspunkt für BAP. Verschiedene BAP-Lieder, vor allem melancholische (z. B. Helfe kann dir keiner, Paar Daach fröher) zeigen in den Arrangements und der Stimmung deutliche Ähnlichkeiten mit Stücken von Wolfgang Ambros, etwa von dessen Album 19 Class A Numbers. Die Texte beschäftigen sich oft mit gesellschaftlichen oder persönlichen Problemen.1979 fanden unter dem Bandnamen "Wolfgang Niedeckens BAP" erste Auftritte außerhalb von Köln und der näheren Umgebung statt; so zum Beispiel auch anlässlich der Bundesgartenschau 1979 in der Bonner Rheinaue.[5] Im Mai 1982 machte BAP ihre erste professionell organisierte Deutschlandtournee. Im Mittelpunkt standen Songs des aktuellen Albums Für Usszeschnigge, das 1981 als erstes beim Major-Label EMI-Electrola erschienen war. Für den Wechsel von Eigelstein zur EMI mussten BAP in der lokalen Kultur-Szene viel Kritik einstecken, wurden jedoch mit Platz 1 in den deutschen Album-Charts prompt belohnt.
Im Sommer 1982 folgten verschiedene Auftritte im Rahmen von Großveranstaltungen und Fernsehproduktionen: Rockpop In Concert für das ZDF in der Dortmunder Westfalenhalle 1, Demonstration gegen die Nachrüstung der NATO am 10. Juni 1982 (Zehnter Juni) auf den Bonner Rheinwiesen, Vorprogramm der Rolling Stones am 4. und 5. Juli 1982 im Müngersdorfer Stadion in Köln und als erste deutsche Band bei einem Festival des WDR-Rockpalast am 28. August 1982 auf der Loreley-Freilichtbühne.
Nach Erscheinen des vierten Albums Vun drinne noh drusse war die Band zwischen Oktober 1982 und Oktober 1983 sieben Monate lang unterwegs. Neben Deutschland standen auch Konzerte in Österreich, der Schweiz und den Benelux-Ländern auf dem Programm. Insgesamt wurden etwa 130 Auftritte gespielt. Die Tournee endete mit einem Konzert im Kölner „Stollwerck“. Das vom Abriss bedrohte Bürgerhaus Stollwerck erhielt die Einnahmen dieses Konzerts zur Finanzierung seiner weiteren Arbeit. Am 28. Mai 1983 spielte BAP auf einem Festival im niedersächsischen Schüttorf im Vorprogramm von Rod Stewart und am 22. Oktober 1983 auf einer weiteren Großdemonstration gegen die NATO-Nachrüstung im Bonner Hofgarten.
Für den Januar 1984 war – nach langen Verhandlungen mit der staatlichen Künstleragentur – eine Tournee mit 14 Konzerten in 13 Städten der DDR geplant. Im Vorfeld der Tour zeichnete das DDR-Fernsehen ein Interview mit Wolfgang Niedecken inklusive zweier Unplugged-Versionen von BAP-Liedern auf. Dieses wurde später jedoch sinnentstellend verkürzt gesendet. So entschloss sich Niedecken, einige politische Statements, die der Band wichtig waren, in einem eigenen Lied darzustellen. Es wurde als Deshalv spill’ mer he betitelt und erstmals auf dem letzten „West-Konzert“ vor der Tour in Wolfsburg gespielt. Als die Band bereits in Ost-Berlin im Hotel Unter den Linden war, gab es am Vorabend des ersten Konzerts heftige Auseinandersetzungen über dieses Lied mit der DDR-Seite. Als die Band sich weigerte, es von der Setlist zu nehmen, kam es zum Eklat. Die Tournee wurde abgebrochen, bevor das erste Konzert auf dem Boden der DDR gespielt werden konnte. In einer Sendung des DDR-Fernsehens war die Ansage eines Moderators während eines Konzerts im Berliner Palast der Republik zu sehen, zu dem BAP geladen war. Er nannte als Begründung ihrer Absage, die Band wolle „nicht unter dem Symbol der weißen Taube auf blauem Grund auftreten“.[6]
Die Tournee zum Album Zwesche Salzjebäck un Bier begann am 15. und 16. Juni 1984 mit zwei Konzerten im Archäologischen Park in Xanten. Sie wurden vom ZDF aufgezeichnet und später in einer Zusammenfassung gesendet. Die Tour dauerte bis zum Februar 1985 und übertraf von der Zuschauerresonanz her noch die von 1982/83.
Am 2. März 1986 begann in Lohmar bei Köln die Tournee Ahl Männer, aalglatt. BAP spielte zunächst einige Konzerte im ländlichen Raum, bevor die Band am 15. März 1986 in der Essener Grugahalle bei der 17. und letzten Rocknacht des WDR-Rockpalast auftrat. Die Rocknacht, bei der auch Jackson Browne und Big Country auftraten, wurde wie schon das Festival auf der Loreley 1982 via Eurovision von vielen europäischen Radio- und Fernsehstationen ausgestrahlt.
Von April bis Juli folgten zahlreiche weitere Konzerte. Wegen der anhaltenden Popularität wurden teilweise auch größere Hallen ausgewählt. So fanden die „Heimspiele“ der Kölner Band erstmals in der bis zu 8000 Zuschauer fassenden Kölner Sporthalle, der damals größten Veranstaltungshalle der Domstadt, statt. Bei dieser Tournee gab es mit Christian Schneider erstmals auf einer Tournee einen Gastmusiker, weil die zum Teil sehr komplexen Keyboard-Arrangements des neuen Albums live mit nur einem Keyboarder nicht zu realisieren gewesen wären. Schneider spielte neben Keyboards bei einigen Stücken auch Saxophon. Den letzten Auftritt der Tour absolvierte die Band am 26. Juli 1986; genau drei Monate nach der Atomreaktor-Katastrophe von Tschernobyl auf dem legendären Anti-WAAhnsinns-Festival gegen die Wiederaufbereitungsanlage von Wackersdorf in Burglengenfeld.
Nach Ende der Tournee 1986 legte BAP eine kreative Pause ein (u. a. bedingt durch bandinterne, künstlerische Meinungsverschiedenheiten), die Wolfgang Niedecken zur Veröffentlichung seines Albums Schlagzeiten und zu einigen Solo-Konzerten nutzte. BAP stand erst im September 1987 bei zwei Festivals wieder auf der Bühne, um sich auf eine Tournee durch China vorzubereiten. Diese Tournee ist im Buch BAP övver China dokumentiert.
Das Album Da Capo wurde von Oktober bis Dezember 1988 zunächst bei einer ausgedehnten Hallentournee präsentiert. Bei dieser Tournee legte BAP die Scheu vor den ganz großen Konzertarenen endgültig ab. So standen auch die Frankfurter Festhalle und die Münchener Olympiahalle auf dem Programm. Im Sommer 1989 folgten weitere Konzerte, teilweise auch im Rahmen von Festivals gemeinsam mit Joe Cocker. Eines dieser Events fand in der Berliner Waldbühne statt.
Auch die Tournee 1991 wurde in mehreren Teilen durchgeführt. Kurz nach der Vollendung der deutschen Einheit standen im Januar 1991 zunächst die ersten Konzerte der Band auf dem Gebiet der ehemaligen DDR auf dem Programm. Anschließend ging BAP in Westdeutschland auf Club-Tour und absolvierte eine Reihe von Auftritten in beschaulichem Rahmen, zumeist in kleinen Hallen. Das Konzert im Kölner E-Werk wurde aufgezeichnet und später auf dem Album Live – Affrocke veröffentlicht.
Im Mai und Juni 1991 folgte eine Tournee ausschließlich durch die größten deutschen Konzerthallen und bei verschiedenen Open-Air-Festivals. Als Gast bei den Konzerten trat Julian Dawson auf. Am 26. Januar 1994 startete die Tournee zum im August 1993 erschienenen Album Pik Sibbe. Nach wie vor war die Nachfrage in der BAP-Hochburg Köln groß, in einigen anderen Städten blieben die Zuschauerzahlen etwas hinter den Erwartungen zurück. Die folgende Tournee zum Album Amerika begann im November 1996. Der Tourneestart in Koblenz wurde für den WDR-Rockpalast mitgeschnitten und später im Fernsehen ausgestrahlt.
Mit dem Ausstieg von Bassist Steve Borg und von Gründungsmitglied Manfred „Schmal“ Boecker verließen zwei Musiker die Band, die BAP über viele Jahre mitgeprägt haben. 1999 stieg auch Gitarrist Klaus „Major“ Heuser aus, der während 19 Jahren Bandmitgliedschaft die überwiegende Zahl der Lieder komponierte. Außerdem verließ Keyboarder Alexander „Effendi“ Büchel die Firma BAP. Diese Abgänge und die darauf folgenden Neubesetzungen veränderten den musikalischen Ausdruck von BAP nachhaltig.
Zu den Gründen für den Ausstieg von Major sagt Wolfgang Niedecken rückblickend im März 2011:
„Der Major ist ein toller Gitarrist. Aber er wollte, dass BAP international ausgerichteten Radio-Pop spielt. Ich wollte beim Kölsch-Rock bleiben. Beide Positionen waren nicht vereinbar. Ich bin ihm dankbar, dass er selbst gegangen ist. Ich hätte ihn nämlich nie rausgeschmissen.[7]“
Als Neuzugang an den Keyboards stieg Michael Nass bei BAP ein, der zuvor in den 1980er Jahren in der DDR-Musikszene musikalisch sehr aktiv war, u. a. bei P 16 und später in Liselotte Rezniceks Frauenband Mona Lise. Gitarrist wurde Helmut Krumminga. Im Sommer 2001 gab BAP vor der eigentlichen Aff un zo-Tour ab Herbst 2001 zwei Vorabkonzerte, darunter das „Konzert an der toten Brücke“ (Soda-Brücke) in Euskirchen, das auch vom WDR aufgezeichnet und wenige Tage später in der Sendung Rockpalast gesendet wurde. Das Album selbst stieg wie der Vorgänger Tonfilm auf Platz 1 in die deutschen Charts ein.
Im Januar 2006 war die Kölnarena zwar anlässlich des Starts der Jubiläumskonzerte zum 30-jährigen Bestehen der Band mit 25.000 Zuschauern an zwei aufeinander folgenden Tagen fast ausverkauft. Bei anderen Auftritten hatte man sich von vorneherein durch die Wahl kleinerer Konzertorte angepasst.
Auch das im Mai 2008 erschienene Album Radio Pandora stieg auf Platz 1 in die deutschen Charts ein. Im Winter 2008 startete die Tournee dazu, am 2. Weihnachtstag gab es das Heimspiel in der Köln-Arena (Lanxess-Arena); sie dauerte (mit Unterbrechungen) bis zum Sommer 2009, wobei die Band von Anne de Wolff (Violine, Bratsche, Gesang) und teilweise von Rhani Krija (Percussion) begleitet wurde.
Für November 2011 war der Start der aktuellsten Tournee geplant. Aufgrund einer schweren Erkrankung Wolfgang Niedeckens wurde der Start der Tour auf Anfang Mai 2012 verschoben.[8][9][10]
Auslandsauftritte [Bearbeiten]
BAP ist im Laufe der bisher 35-jährigen Bandgeschichte in vielen Ländern der Welt aufgetreten. Nachdem sich die Bandmitglieder anfangs kaum vorstellen konnten, dass ihre kölschen Texte außerhalb des Rheinlandes verstanden würden, durften sie erleben, dass ihre Platten weit darüber hinaus gekauft wurden. Tourneen waren dadurch auch im Ausland möglich.
Die ersten Auftritte außerhalb Deutschlands waren im Dezember 1982 in der Schweiz (Basel und St.Gallen)[11] und bis Mitte der 1980er Jahre in Österreich, Luxemburg, Belgien und Dänemark (Roskilde-Festival). Seitdem gehören Auftritte in diesen Nachbarländern zum Bestandteil jeder Tournee.
Spätere Fernreisen wurden zumeist als Begleitung zu künstlerischen oder politischen Themen organisiert; häufig war nicht die komplette Gruppe unterwegs; manchmal auch nur Wolfgang Niedecken alleine oder in Begleitung von Musikern seiner Solo-Projekte:
Mit einigen Gästen tourte BAP im Oktober 1987 vier Wochen durch China. Acht Auftritte wurden in Peking, Shanghai und Kanton absolviert.[12]
Wolfgang Niedecken spielte 1987 auf Einladung der Kulturstiftung Casa de los tres Mundos (ein Projekt des Schauspielers Dietmar Schönherr, des Produzenten Peter Reichelt und des Kulturministers Ernesto Cardenal) mit seiner Complizen-Band in Nicaragua.
In ähnlicher Zusammensetzung spielten Wolfgang Niedecken & Complizen 1988 in Mosambik eine kleine Tour.
Die politischen Veränderungen in der Sowjetunion unter Gorbatschow machten es möglich, dass BAP im Mai 1989 je drei Konzerte in Moskau und Wolgograd gab.[13] Dort kamen die Musiker auch mit Fans aus der DDR ins Gespräch. Nachdem die BAP-Tour durch Ostdeutschland 1984 abgesagt wurde, war der Umweg über die UdSSR die einzige Möglichkeit, als DDR-Bürger mit der Band zu sprechen.
More info and other languages available at:
This is a close up of one of the sprimp by sister sauteed in olive oil and garlic for our shrimp dinner. She put this shrimp and many others on top of pasta with pesto sauce and sun-dried tomatoes with olives and peppers...wow was this ever delicious! I love seafood, especially shrimp.
INFORMATION ON SHRIMP
Shrimp are swimming, decapod crustaceans classified in the infraorder Caridea, found widely around the world in both fresh and salt water. Adult shrimp are filter feeding benthic animals living close to the bottom. They can live in schools and can swim rapidly backwards. Shrimp are an important food source for larger animals from fish to whales. They have a high resistance to toxins in polluted areas, and may contribute to high toxin levels in their predators. Together with prawns, shrimp are widely caught and farmed for human consumption.
Etymology: The term shrimp originated around the 14th century with the Middle English shrimpe, akin to the Middle Low German schrempen, and meaning to contract or wrinkle; and the Old Norse skorpna, meaning to shrivel up.
While in biological terms shrimps and prawns belong to a different suborders of Decapoda, they are very similar in appearance. In commercial farming and fisheries the terms shrimp and prawn are often used interchangeably. However, recent aquaculture literature increasingly uses the term "prawn" only for the freshwater forms of palaemonids and "shrimp" for the marine penaeids.
In European countries, particularly the United Kingdom, the word “prawn” is more common on menus than “shrimp”; while the opposite is the case in North America. The term “prawn” is also loosely used to describe any large shrimp, especially those that come 15 (or fewer) to the pound (such as “king prawns”, yet sometimes known as “jumbo shrimp”). Australia and other Commonwealth nations follow this British/European use to an even greater extent, using the word “prawn” almost exclusively. When Australian comedian Paul Hogan used the phrase, “I'll slip an extra shrimp on the barbie for you” in an American television advertisement, it was intended to make what he was saying easier for his American audience to understand, and was thus a deliberate distortion of what an Australian would typically say.
As with other seafood, shrimp is high in calcium, iodine and protein but low in food energy. A shrimp-based meal is also a significant source of cholesterol, from 122 mg to 251 mg per 100 g of shrimp, depending on the method of preparation. Shrimp consumption, however, is considered healthy for the circulatory system because the lack of significant levels of saturated fat in shrimp mean that the high cholesterol content in shrimp actually improves the ratio of LDL to HDL cholesterol and lowers triglycerides. Shrimp and other shellfish are among the most common food allergens. They are not kosher and thus are forbidden in Jewish cuisine.
Source: Wikipedia
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Ahora en Biodiversidad virtual
Extaordinariamenete pequeña y activa, Spirulina subsalsa no parece un organismo microscópico si no fuera por su tamaño, el caso es que serpentea en el agua como si fuese una culebrilla. Gira sobre sí misma mientras su cuerpo ondula y se estira levemente, atornillando ágilmente el agua con su cuerpo de muelle. Spirulina subsala es una cianobacteria, ser minúsculo, tan pequeño como primitivo, medio alga, medio bacteria y desde luego, por sus movimientos, medio culebra ▷.
Muchas de las especies de este género de cianobacterias viven en aguas salobres y Spirulina subsalsa parece que puede hacerlo también en aguas dulces, se trata de una de las de más pequeño tamaño del grupo, pero es algo mayor que Spirulina subtilissima, con la que podría confundirse. Su espiral, de poco más de tres milésimas de milímeto de anchura, es una espiral flexible y animada por la vida ▷, allá en los fondos acuáticos donde la luz no llega y donde encuentrta los nutrientes necesarios para poder desarrollarse. Vive entre las ruinas de naufragio de millones y millones de seres, cascarones de diatomeas, fragmentos de alga, restos de la arquitectura prodigiosa de pequeños invertebrados, los que conforman el paisaje fantástico entre el que Spirulina vive y renueva la vida en el Lago en el que habita, Lago de Sanabria.
El género Spirulina está constituido por un pequeño número de especies que ronda las cincuenta. Casi todas ellas suelen vivir en zonas de aguas casi estancadas y ricas en materia orgánica. La de hoy, probablemente Spirulina subsalsa, no es muy común, aunque existen de ella algunas citas en la Península procedentes de aguas saladas o salobres.
Actualmente algunas especies de Spirulina se consumen como suplemento dietético por su alto contenido en vitamina B12 y proteínas, aunque se conoce que fueron ya empleadas hace siglos.
Los antiguos pobladores de México cultivaban algunas especies de este género principalmente en el lago de Texcoco - ya desparecido- para obtener un suplemento alimentario. En el libro de La Conquista de México de Francisco López de Gómara , se señala "Pocas cosas vivas dejan de comer. Culebras sin cola ni cabeza, perrillos que no gañen, castrados y cebados; topos, lirones, ratones, lombrices, piojos y hasta tierra, porque con unas redes de malla muy menuda barren, en cierto tiempo del año, una cosa molida que se cría sobre el agua de las lagunas de México, y se cuaja, que ni es hierba, ni tierra, sino una especie de cieno. Hay mucho de ello y cogen mucho y en eras, como quien hace sal, los vacían, y allí se cuaja y seca. Lo hacen tortas como ladrillos, y no sólo las venden en el mercado, sino que las llevan también a otros fuera de la ciudad y lejos. Comen esto como nosotros el queso, y así tiene un saborcillo de sal, que con chilmolli es sabroso. Y dicen que a este cebo vienen tantas aves a la laguna, que muchas veces en el invierno la cubren por algunos sitios." .
A veces, si las condiciones son favorables, muchas especies de Spirulina se puede desarrollar de forma masiva.
Spirulina subsalsa , se ha fotografiado a 400 aumentos con la técncia de contraste de interferencia y se ha encontrado en una muestra recogida sobre sedimentos a 20 metros de profundidad en el Lago de Sanabria (Zamora), desde el catamarán Helios Sanabria el primer catamarán construido en el Planeta propulsado por energía eólica y solar.
Hilo de la Fotohistoria en Pullip .es: DATING AT CINEMA (1 of 5): Minao Theatre /
CITA EN EL CINE (1 de 5): Cines Minao
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FOTOSTORY: In English / En Español
Dom: I'm sorry Akari
Akari: Don't... why do you apologize?
Dom: Because of the guys, we should have given them the slip while Matt was busy signing autographs
/
Dom: Perdona Akari.
Akari: Nooo... por que te disculpas?
Dom: Por estos dos, teníamos que haberles dado esquinazo mientras Matt estaba entretenido firmando autógrafos.
COLLABORATION:
- Dom y Akari en el Foro de Pullips: Pullip .es
- Cinema's diorama by Minao. Sweets shop's diorama by Sheryl and Minao Collaboration.
- Little interpretation of Mad_Pullip's Emily as a MUSE fan.
SHERYL LINKS:
- Pullip .es: Las Fotohistorias de Sheryl
- Sheryl's Flickr: Photostories 2011 - Sketches 2011 / Photostories 2012 - Sketches 2012
Michael Harris Chancellor, Women's Volleyball, IU Kokomo Volleyball, פרופסור וצנסלור מייקל הריס
www.iukcougars.com/article/2.php#.XrK12KhKg2x
www.youtube.com/watch?reload=9&v=GwLNh_wT7vc&feat...
Chancellor Michael Harris Initiated Women's Volleyball פרופסור וצנסלור מייקל הריס
Michael Harris Chancellor, Women's Volleyball, IU Kokomo Volleyball, פרופסור וצנסלור מייקל הריס
Michael Harris Ph.D (academic) born in South Africa, IU Kokomo Chancellor Michael Harris Born in South Africa, Michael Harris Born in South Africa, Michael Harris Chancellor, South Africa, Kokomoan, IU Kokomo Chancellor Recognized
October 6, 2011
KOKOMO, Ind. – Years from now, when followers of Indiana University Kokomo athletics look back on the 2011 volleyball season, the October 6 win over Trine University will be more than just another game. More than just a footnote in the initial season for women’s volleyball, it will be part of history.
IUK v. Trine University VolleyballThe Cougar team and coach Snoddy celebrate the home game win. See More
“This night will go down in history as the last home game of the first team,” Chancellor Michael Harris told the crowd after the game. “People will talk about it for years to come.”
www.flickr.com/photos/40123674@N08/6219284506
newsroom.iuk.edu/articles/2011/10-oct/cougar-volleyball-t...
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en.wikipedia.org/wiki/Michael_Harris_%28academic%29
newsroom.iuk.edu/campus.html?start=270
www.kokomoherald.com/main.asp?SectionID=52&SubSection...
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www.iukcougars.com/article/2.php#.UhQJRsu9KSM
newsroom.iuk.edu/campus/17-campus-news/341-indiana-univer...
www.insideindianabusiness.com/newsitem.asp?id=54735
indianaeconomicdigest.com/Main.asp?SectionID=31&SubSe...
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kokomoperspective.com/sports/iuk/naia-approves-indiana-un...
www.scribd.com/doc/63591416/Kokomo-Perspective-August-31-...
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whotalking.com/flickr/Chancellor
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kokomoperspective.com/milt-cole-and-chancellor-michael-ha...
kokomoperspective.com/search/?t=article&q=michael+harris
homepages.indiana.edu/web/page/normal/20760.html
homepages.indiana.edu/web/page/normal/17736.html
tackk.com/michaelharrischancellor
www.facultyfocus.com/articles/academic-leadership/academi...
The Big Move, Visioned, Initiated and Implemented by Chancellor Michael Harris IU Kokomo:
Sorry I haven't uploaded in the past couple of days. Been feeling un-inspired which is pretty lame :( . Oh well...we all go through it haha.
Anyways, today I picked up some Kodak Portra 160VC 35mm film! I can't wait to see how the photos I take with it come out! This portrait here is digital, but I also took this same shot with the Portra film :). I'll post as soon as I am done shooting/developing the roll!
Hope you all enjoy!
Strobist
B800 camera left and low bounced off of umbrella
Powered by Vagabond II
Triggered by Radiopoppers
Studio pics from readers of MATRIXSYNTH via the MATRIXSYNTH Lounge.
Facebook gallery where you can find follow-up comments for each here. Also keep an eye out for new studio pics there.
Featured in order:
1 & 2. Erwan Coïc
This is my studio !
3. Lorenzo D Metallan
This is my setup for a live recording few weeks ago
4. Stu Smith
Seeing as we're doing studio selfies here's my little corner of the world.
5. Phil Croker
And here's my little setup at Pooh Corner (so named 'cos of the wallpaper..) Please be kind, I know it's nowhere near as good as some of your rigs
6. Francesco Synth Meeting Mulassano
Homework!
7. Jason Duerr
Location: Chicago
Results: belmontandclark.bandcamp.com/
8. Nick Morey
Most of my collection Betamaxx
9 & 10. Erik Chalmers
my place
11. Eric Vetterick
blurry ipad shot of my crap...
12. Steve Drakeem
13. Adam Gahan
Okay so i may as well join in. I don't have a huge setup but i try and make the most of what I've got. After all I'm only 19, I will most definitely acquire more gear as time progresses.
14. Gabriel Morley
15. Charles Mickaelstein
Same thing as Adam Gahan, I don't have a huge analog setup but I'm glad to have what I have
(plus some small synths, like monotrons, Casio VL-Tone, etc).
I do that kind of things with those :
soundcloud.com/warngmusic/extreme-transudation
16. Marco Vedder
My setup — at Club Tabu.
17. Marco Vedder
My setup
night lights
18 & 19. Jeremy Olson
20. Hani Debbache
21. Mark Milanovich
Jumping on the bandwagon. Couldn't fit all this in one shot.
It's a hell of a mess right now. More pics as I organize it more.
22. Matthew Willox
I'm a complete minimalist.
23. Ricardo Schnidrig
Acid House from Argentina !
24. Brandon McWhorter
Sure, why not? Here's 1/2 of my "mess" — with Roland TB-303 with Kenton CV Mod, Kawai R-100, Tom Oberheim SEM Pro, Roland TR-909 Rhythm Composer, Roland RS-505, Roland SBX-10, Roland TR-808 with Kenton MIDI, Roland Jupiter 6 with Europa, Genoqs Octopus, Roland JP-8 Jupiter 8, John Bowen Solaris, Oberheim M-12 Matrix 12, Garfield Electronics MiniDoc, Oberheim OB-X 8 Voice, Oberheim OB-Xa 8 Voice, Roland JP-4 Jupiter 4, Roland PG-800, Oberheim OB-8 with MIDI, Roland Juno 106 with Kiwi106 and Roland SH-101 (Red).
25. Martin Ley
There you go ‘Synth sluts’ Me at the controls back in 1985
26. Huskypop Huskypopo
27. Michal Patulski
Wow, some of your collections are sick! This is my current setup and nothing is there in comparison ha ha.
28 & 29. Hideously Disfigured Hipsters
30. Thomas Götze
Wanna play a game?
31. Dmitri Sfc
32. Shawn Shirey
This is ground control to Major Tom...
33. Nicolas Guichard
How to choose?
34. Colin Johnson
Since everyone's doing one of these right now.. here my spot. just moved in last month.. so you'll have to tolerate the mess and.. also one picture came off instagram. oh well.
35. Fede Manfredi
This is my little studio, at last, in order!
36. Michael Dennis Raleigh
I guess if everyone's putting up their studios... Here's me and mine
37. Bjørn Viggo Andersen
And here is ours
38. Nicky Bendix
My little workspace - thank you for all your inspiring photos!
39. Gavin McCloy
My modest setup
40. Mike Bradberry
Joining the bandwagon.
41. David J Warman
42 & 43. Trevor Gavilan
44. Joshua Andrew Coburn
45. Max Sokoleski
My tiny dungeon studio
46 & 47. TB Aothree
48. Walter Coter
Many Thanks for all members
49. Mark Ireland
My minimal (but very usable) studio setup.
50. Walter Coter
51. Adrian Earnshaw
As everyone is sharing pictures of their studios, here's my humble setup.
52. Discretman Jeff
Ok, this is my my gaming room !
53. David J Warman
54. Yuuki Koide
my studio
55. Olivier Lebra
my "living studio"
56 & 57. Matthew Thomas 1:48pm Mar 23
When in Rome. Geoscience Studio, kind of set up in an awkwardly shaped room, hence two pictures.
58. Jon Adams
This is my studio while I'm confined to bed - missing my hardware - microbrutes +modular the most
Shot it at Sonpur fair.Asia's largest animal fair takes place in Sonepur, in the northern Indian state of Bihar. A visual extravaganza awaits all at Sonepur Fair, where multitudes congregate on Kartik Purnima to offer obeisance to Harihar Nath and participate in the biggest cattle fair of Asia. The fair continues till fifteen days. More than 400,000 people visit every year to this fair. Sonepur situated on the confluence of the holy rivers Ganga and Gandak, has the reverence of a blessed ground and lasts for a fortnight. In ancient times the Royal Rajahs and Nawabs used to camp here. The Sonepur Fair has unique and historical importance.
The opening of the fair coincides with the Hindu religious festival of Kartik Purnima, which occurs in October or November. Devotees bathe the point where two holy rivers, the Ganges and the Gandak meet. Legend has it that here two brothers cast a spell on each other, turning one into an elephant and the other in to a crocodile. When the elephant went to bathe in the river, the wily crocodile attacked. Their fight lasted until Lord Vishnu intervened and saved the elephant.
The area that attracts all, however, is the one where the elephants are lined up for sale. The Sonepur Fair is the only one where such a large number of elephants are sold. These are mainly purchased by different forest departments and people involved with logging operations. Apart from elephants, a large number of cattle, a wide variety of animals and horses are also brought to the fair for sale. Legends are also bought and sold in the fair.
The fair continues for about fourteen days but the few days before and after the auspicious day of Kartik Purnima draw the maximum crowds. The sleepy mango grove, where the fair is organized, turns into a wonderland, sure to overwhelm the sophisticated urban visitor as well as the simple rural folk.
For more photos like this one.click MY SITE subirbasak.orgfree.com.....
P.S."Copyright © – Subir Basak.
The reproduction, publication, modification, transmission or exploitation of any work contained herein for any use, personal or commercial, without my prior written permission is strictly prohibited. All rights reserved."
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Son casi infinitamente los seres más abundantes que viven sobre nuestro Planeta y su acción silenciosa transforma el mundo implacablemente sin que apenas nos demos cuenta. Su origen se confunde con el de los océanos de la Tierra, en la que habitan desde hace más de tres mil millones de años, cuando la soledad en los planetas lo inundaba todo. Son las más veteranas pobladoras, las formas de vida más simple y también las que más rápidamente evolucionan. Son las insignificantes y extraordinarias bacterias.
Todas las bacterias necesitan el agua como medio para vivir, incluso, las que habitan en el suelo bucean en la fina película de agua que cubre a las partículas de mineral o a los restos de materia orgánica, allí se alimentan, se mueven y se multiplican cerrando el ciclo de la vida y devolviendo a la tierra los elementos minerales que partieron un día de ella y formaron parte de las entrañas los seres vivos.
La mayor parte de las bacterias se alimentan de materia orgánica, provocan su descomposición y permiten que los elementos químicos se reciclen y se incorporen de nuevo a la cadena de la vida a través del suelo, del aire y del agua. Sus innumerables especies y formas no se pueden diferenciar a la luz del microscopio pues su aspecto es muy parecido, cocos, bacilos, espirilos, vibriones, son las formas más comunes con las que suelen aparecer.
En la imagen de hoy los bacilos se agitan, se mueven en el agua ▷, representando sin duda una de las danzas más ancestrales de cualquier ser vivo. Se ayudan para ello de flagelos invisibles situados en el extremo de sus largos cuerpos de bastón.
Las bacterias no sólo descomponen la materia orgánica, también son las praderas que sirven de alimento a los numerosos organismos microscópicos que dan vida al agua y con ella a todo nuestro Planeta.
La fotografía procede de unas muestras recolectadas en el río Tirón por Marcos Ochoa en las inmediaciones de Tirgo (La Rioja). La fotografía se ha tomado con 400 aumentos empleando la técnica de contraste interferencia.
Con nuestra gratitud para Pilar Gil por la publicación en Qúo, a Antonio Martínez Ron ...y también Paul/
Puedes tener otra infomación en la exposición LA VIDA OCULTA DEL AGUA
Y en este catálogo
También en la galería de Fotolog
Y nuestro granito de arena por la Paz
Ecco un piccolo scatto del nostro pupetto ESAURITO! :D Grazie mille Ele per i consigli :) e ha ragione lei... che stia cominciando a capire che deve mettersi in posa?? :D
Nikon D90 / 50mm f1.8
Vi chiedo cortesemente di non postare immagini di qualcunque tipo. Saranno rimosse.
Please don't post pictures of any kind. Will be removed.
Equilibrium, the Human Mashup. The show's goal was to ask "How can art and technology and the synergy of the two address humanity's next evolutionary step?". Being a staunch singularitarian this was right up, or is it down, my proverbial alley. I built an application that allows a user to take a self portrait photograph and then draw themselves on a wall simply by using and moving their hand. The premise was to use the human as the sole interface to draw themselves, exploring the convergence of man and technology. A one day only installation, I didn't have to high of hopes for it's exposure. On the flip side, this being my first showing ever I was like a greedy 8 year old on Christmas morning, and extremely anxious to see how people would interact and respond to the installation. The methodology of controlling an interface without the normal peripherals such as a mouse, keyboard, touch screen, kiosk, or otherwise was foreign to all that attended. What transpired blew me away. The attendance, response and exposure far exceeded my hopes. I barely had to explain at all to users how to run the application. People just stepped right up to the installation and began to interact with it. They were actually learning on their own while performing the drawing. People were actually converging with the technology. Furthermore, those that were done performing their drawing became evangelists, telling those who followed them their idea of how best to use the application. At that moment it became cemented in my mind that I had succeeded in my experiment. People had invested themselves in the piece to the point of bringing out their own inner artist. Several times I stepped in to 'coach' people on how to get the most out of the motion detection while drawing their portrait. The response I got was unexpected. People took personal offense that I was pushing my artistic ideas on their own drawing. Again, success. I was also sent to the floor several times by attendees who said they had come to the event specifically to see my work which they had been following online. There were even several people who mentioned that they had hooked my work up to projectors at parties they were holding. Wha?! Seriously, amazed.
I'd like to thank several people for the night. Steve Benoit for all his help with testing the application, videography and film editing of the event. The result is the shweet movie posted above. Rachel Kjack and Adrienne Fritze from SAO and Working Artists Online respectively for their organization and inviting me to submit my work. All that attended, I met some inspirational folk. And finally, my wife Lisa for her unending support and diggin' me even when I have late night dreaded 'code eyes'.
Looking forward to the next event.
Related:
the online version of the installation
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2010 saw the completion of most of the walls, terraces, paths and other hardscape features after almost fifteen years of hard work. This allowed me to begin upgrading the plantings and adding sculpture and other garden art and ornament. The year also saw visits by a variety of wildlife, some of which I was fortunate enough to capture. I seem to be fast running out of steam as retirement approaches, but I hope to concentrate on the finishing touches in the next few years.
1. "....... a host of Golden Daffodils", 2. May Morning in Our Garden, 3. May Afternoon in Our Garden, 4. Container Combination, 5. Introducing Herm....................., 6. Homage to Mark Rothko, 7. Crepe Myrtle "Dynamite" in Our Red Border - Late July, 8. White Coneflower Seedheads and Spirea "Mellow Yellow", 9. Framed Rooster Tile in Our Garden, 10. The View Out My Window - A Morning in Early June, 11. He's Back - Praying Mantis - Late August Afternoon, 12. Mid-Morning Light in Our North Georgia Garden, 13. There's a Bear in Our Garden, 14. September Afternoon, 15. Red Cypress Vine - Shantycleer Has Been Overwhelmed, 16. Wildlife in the Garden - or is it "Mildlife"?, 17. The Morning After the Rains, 18. October13-2010 022, 19. Dahlia "Bishop of Llandaff", 20. Afternoon Light, 21. Autumn Shadows - Acer "Seiryu", 22. Yesterday Afternoon, 23. December Snow 2010, 24. Our Christmas Snowman, 25. December Snow 2010
Created with fd's Flickr Toys
www.familistere.com/site/index.php
fr.wikipedia.org/wiki/Familistère_de_Guise
de.wikipedia.org/wiki/Familistère_(Guise)
en.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_André_Godin
« Ne pouvant faire un palais de la chaumière ou du galetas de chaque famille ouvrière, nous avons voulu mettre la demeure de l’ouvrier dans un palais ; le Familistère, en effet, n’est pas autre chose, c’est le palais du travail, c’est le PALAIS SOCIAL de l’avenir.
Ce qu’il n’est pas possible de faire au profit de familles éparpillées et sans lien, les améliorations qu’on ne peut introduire dans le tohu-bohu des habitations ouvrières, ni à la ville, ni à la campagne, ni dans les caves, ni dans les mansardes habitées ; ce que ne permettent pas même les habitations ouvrières isolées les mieux construites, quel qu’en soit le système : le Familistère le permet, le palais social le rend possible, bien plus, il le rend nécessaire. »
Jean-Baptiste-André Godin La Richesse au service du peuple, le Familistère de Guise. 1875.
Les chiffres du Familistère : ( source Wikipédia )
10 millions de briques sont nécessaires à la construction des trois pavillons du Palais Social.
30 000 m² de surfaces sont offerts par l’ensemble des trois pavillons.
1 kilomètre de coursives parcourt les trois pavillons du Palais.
500 fenêtres percent les façades des trois unités d’habitation.
495 appartements sont aménagés dans l’ensemble des cinq pavillons du Familistère avant 1918.
1 748 personnes habitent au Familistère en 1889.
50 berceaux peuvent être installés dans la nourricerie du Familistère.
796 invités participent au banquet de la cinquième fête du Travail dans la cour du pavillon central en 1872.
1 000 spectateurs prennent place au théâtre en 1914.
1 526 employés travaillent dans les usines de la Société du Familistère en 1887.
2 500 est le nombre de record d’employés de l’Association du Familistère de Guise et à Bruxelles en 1930.
4 000 modèles d’appareils et d’accessoires sont fabriqués par la Société du Familistère en 1914.
210 000 appareils sont expédiés par les usines de Guise et Bruxelles en 1913-1914.
664, c’est le nombre de pages qui composent le livre Solutions Sociales publié par Godin en 1871.
JEAN-BAPTISTE GODIN ( ENGLISH )
Jean-Baptiste André Godin (26 January 1817 -29 January 1888) was a French industrialist and social experimentor born on the 26th of January 1817 at Esquéhéries (Aisne).
The son of an artisan, he entered an iron-works at an early age, and at seventeen made a tour of France as journeyman. Returning to Esquéhéries in 1837, he started a small factory for the manufacture of castings for heating-stoves. The business increased rapidly, and for the purpose of railway facilities was transferred to Guise in 1846. At the time of Godin's death in 1888 the annual output was over four millions of francs (4,160,000), and in 1908 the employees numbered over 2000 and the output was over 280,000.
An ardent disciple of Charles Fourier, he advanced a considerable sum of money towards the disastrous Fourierist experiment of V. P. Considerant (q.v.) in Texas (known as La Reunion. He profited, however, by its failure, and in 1859 started the Familistère, or community settlement, of Guise on more carefully laid plans.
The Familistère forms a town within the town of Guise. It comprises, in addition to a large factory, three large buildings, each four stories high, capable of housing all the work-people, each family having two or three rooms. The main building consists of three rectangular blocks joined at the corners. Each of these blocks has a central court covered with a glass roof under which children can play in all weather. There is no church of any sort. (There are, of course, churches within the rest of Guise). At the back of the main block there was a nursery. There is a separate block, known as the "economat", containing various shops, refreshment rooms and recreation rooms of various kinds(?), stores for the purchase of groceries, drapery and every necessity. This has recently (2008) been restored and is now a cafe, a shop selling books, postcards etc and an exhibition area. There were also allotments for the workers.
Opposite the main block there was a building containing a theater for concerts and dramatic entertainments and a primary school. There was also a communal laundry and swimming pool. This was a few years ago derelict but has now been restored. The swimming pool is still a swimming poll but the laundry is a meeting room and the drying room is now (2008) an exhibition room. In 1880 the whole was turned into a co-operative society, with provision by which it eventually became the property of the workers.
Godin manufactured cookers and heating stoves of many kinds mainly made from cast iron castings. Sometimes these were enameled. These are still to be found in use all over France. They can be found for sale on eBay.
This business was still owned by the workers in the 1950s but soon after was taken over by Le Creuset. It is not obvious that the factory is still functioning. It is seems the domestic building were privatised. The state of the domestic buildings was deteriorating but has recently been awarded EU money for it to be restored.
In 1871 Godin was elected deputy for Aisne, but retired in 1876 to devote himself to the management of the Familistère. In 1882 he was created a Knight of the Legion of Honor.
Godin was the author of Solutions sociales (1871); Les Socialistes et les Droits du travail (1874); Mutualité sociale et association du capital et du travail (1880); La Republique du travail et la reforme parlementaire (1889). See Bernardot, Le Familistère de Guise et son fondateur (Paris, 1887); Fischer, Die Familistère Godins (Berlin, 1890); Lestelle, Etude sur le Familistère de Guise (Paris, 1904); D. F. P., Le Familistère illustr, résultals de vingt ans d'association, 1880-1900 (Eng. trans., Twenty-eight years of co-partnership at Guise, by A. Williams, 1908).
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Comments for the Pixel peepers and sharpness maniacs (category to which I belong):
The sharpness and glowing purity of the Zeiss glass is as its best when used in combination with a 16 Megapixel DX sensor (Nikon D7000) which extracts the very best of the FX format lens (center only).
Normally this Distagon 21mm f/2.8 ZF lens has some heavy vignetting with a FX body and the extreme corners of the lens are slightly less sharp. With DX format sensor, only the center of the lens is used - the very best for sharpness and vignetting is negligeable/gone!
With the 1.5 crop factor of this D7000 camera, it is the equivalent of using the Zeiss Distagon 35mm f/2.0 on my D700 - a lens which is less sharp on the edges and has even more vignetting, not to mention the lower resolution of 12 Megapixel of the sensor of the D700 camera.
Conclusion: my old top notch configuration for landscape/nature photography - D700 + Zeiss Distagon 35mm f/2.0 ZF - is replaced by the new combination: D7000 + Distagon 21mm f/2.0 ZF. Let's add one more reason to use the Zeiss 21mm ZF: excellent resistance to flare when shooting the sun in the photo.
The same benefits would apply to the Zeiss Distagon 35mm f/2.0 when used on a 1.5 crop factor camera like the D7000 but the equivalent focal length becomes 53mm, a little less universal for landscape/nature photography.
Nikon D7000 with lens Carl Zeiss 21mm Distagon f/2.8 ZF with Polarizer. Taken at ISO 400, 1/125s and f/11.
Although this artwork is a spiritual statement, not a political one, you might want to understand more about the concept of the Letter of Marque. A link to start with:
en.wikipedia.org/wiki/Letter_of_Marque
The background was pieced together from many photos. The royal coat-of-arms was adapted from a photo I took of a very old crest in St. Augustine, Florida. I've also made the letterhead from it. The letter is NOT a copy of a historical document: it is an original compilation, made to look aged, which is (mostly) legible if you see it large. There is a lot to read, but it's revelational and really worth it !
I have posted the full text on my blog with a list of references:
"Manuscript with flowers 2": © Alexmax
www.dreamstime.com/manuscript-with-flowers-2-rimage679232...
" Lamb" : © Eric Isselée
www.dreamstime.com/lamb-rimage2306868-resi122770
Lighthouse No. 2" : © Npage
www.dreamstime.com/lighthouse-no.2-rimage7257-resi122770
"Bass Harbour Head": © David Davis
www.dreamstime.com/bass-harbor-head-rimage1130204-resi122770
"Full Moon": © David Woods
www.dreamstime.com/full-moon-rimage1016561-resi122770
My own water, sunset, boat and crest photos.
On Feb. 2, a rally from different places in Paris gathered approx. 5000 people (2000 according to the police) in Stalingrad to protest about the immigration policies of the government and to support the rights of the "sans papiers" (clandestine aliens).
Merci de lire les explications en début d'album et de parcourir les photos par ordre chronologique / Please read the explanation at the beginning of the set and view the pictures in chronological order.
Part of "Sans Papiers
www.familistere.com/site/index.php
fr.wikipedia.org/wiki/Familistère_de_Guise
de.wikipedia.org/wiki/Familistère_(Guise)
en.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_André_Godin
« Ne pouvant faire un palais de la chaumière ou du galetas de chaque famille ouvrière, nous avons voulu mettre la demeure de l’ouvrier dans un palais ; le Familistère, en effet, n’est pas autre chose, c’est le palais du travail, c’est le PALAIS SOCIAL de l’avenir.
Ce qu’il n’est pas possible de faire au profit de familles éparpillées et sans lien, les améliorations qu’on ne peut introduire dans le tohu-bohu des habitations ouvrières, ni à la ville, ni à la campagne, ni dans les caves, ni dans les mansardes habitées ; ce que ne permettent pas même les habitations ouvrières isolées les mieux construites, quel qu’en soit le système : le Familistère le permet, le palais social le rend possible, bien plus, il le rend nécessaire. »
Jean-Baptiste-André Godin La Richesse au service du peuple, le Familistère de Guise. 1875.
Les chiffres du Familistère : ( source Wikipédia )
10 millions de briques sont nécessaires à la construction des trois pavillons du Palais Social.
30 000 m² de surfaces sont offerts par l’ensemble des trois pavillons.
1 kilomètre de coursives parcourt les trois pavillons du Palais.
500 fenêtres percent les façades des trois unités d’habitation.
495 appartements sont aménagés dans l’ensemble des cinq pavillons du Familistère avant 1918.
1 748 personnes habitent au Familistère en 1889.
50 berceaux peuvent être installés dans la nourricerie du Familistère.
796 invités participent au banquet de la cinquième fête du Travail dans la cour du pavillon central en 1872.
1 000 spectateurs prennent place au théâtre en 1914.
1 526 employés travaillent dans les usines de la Société du Familistère en 1887.
2 500 est le nombre de record d’employés de l’Association du Familistère de Guise et à Bruxelles en 1930.
4 000 modèles d’appareils et d’accessoires sont fabriqués par la Société du Familistère en 1914.
210 000 appareils sont expédiés par les usines de Guise et Bruxelles en 1913-1914.
664, c’est le nombre de pages qui composent le livre Solutions Sociales publié par Godin en 1871.
JEAN-BAPTISTE GODIN ( ENGLISH )
Jean-Baptiste André Godin (26 January 1817 -29 January 1888) was a French industrialist and social experimentor born on the 26th of January 1817 at Esquéhéries (Aisne).
The son of an artisan, he entered an iron-works at an early age, and at seventeen made a tour of France as journeyman. Returning to Esquéhéries in 1837, he started a small factory for the manufacture of castings for heating-stoves. The business increased rapidly, and for the purpose of railway facilities was transferred to Guise in 1846. At the time of Godin's death in 1888 the annual output was over four millions of francs (4,160,000), and in 1908 the employees numbered over 2000 and the output was over 280,000.
An ardent disciple of Charles Fourier, he advanced a considerable sum of money towards the disastrous Fourierist experiment of V. P. Considerant (q.v.) in Texas (known as La Reunion. He profited, however, by its failure, and in 1859 started the Familistère, or community settlement, of Guise on more carefully laid plans.
The Familistère forms a town within the town of Guise. It comprises, in addition to a large factory, three large buildings, each four stories high, capable of housing all the work-people, each family having two or three rooms. The main building consists of three rectangular blocks joined at the corners. Each of these blocks has a central court covered with a glass roof under which children can play in all weather. There is no church of any sort. (There are, of course, churches within the rest of Guise). At the back of the main block there was a nursery. There is a separate block, known as the "economat", containing various shops, refreshment rooms and recreation rooms of various kinds(?), stores for the purchase of groceries, drapery and every necessity. This has recently (2008) been restored and is now a cafe, a shop selling books, postcards etc and an exhibition area. There were also allotments for the workers.
Opposite the main block there was a building containing a theater for concerts and dramatic entertainments and a primary school. There was also a communal laundry and swimming pool. This was a few years ago derelict but has now been restored. The swimming pool is still a swimming poll but the laundry is a meeting room and the drying room is now (2008) an exhibition room. In 1880 the whole was turned into a co-operative society, with provision by which it eventually became the property of the workers.
Godin manufactured cookers and heating stoves of many kinds mainly made from cast iron castings. Sometimes these were enameled. These are still to be found in use all over France. They can be found for sale on eBay.
This business was still owned by the workers in the 1950s but soon after was taken over by Le Creuset. It is not obvious that the factory is still functioning. It is seems the domestic building were privatised. The state of the domestic buildings was deteriorating but has recently been awarded EU money for it to be restored.
In 1871 Godin was elected deputy for Aisne, but retired in 1876 to devote himself to the management of the Familistère. In 1882 he was created a Knight of the Legion of Honor.
Godin was the author of Solutions sociales (1871); Les Socialistes et les Droits du travail (1874); Mutualité sociale et association du capital et du travail (1880); La Republique du travail et la reforme parlementaire (1889). See Bernardot, Le Familistère de Guise et son fondateur (Paris, 1887); Fischer, Die Familistère Godins (Berlin, 1890); Lestelle, Etude sur le Familistère de Guise (Paris, 1904); D. F. P., Le Familistère illustr, résultals de vingt ans d'association, 1880-1900 (Eng. trans., Twenty-eight years of co-partnership at Guise, by A. Williams, 1908).
Christ is Coming!
Bible Teaching About His Return
* New Testament Teaching
* Other New Testament Writings
* Old Testament Teaching
* The Kingdom of God
* Behold Your King!
* Dual Fulfillment
* The Times and Seasons
* Antichrist
* Tribulation
* The Nation of Sign
* The "Rapture"
* The Lord will Come!
* Take Heed to Yourselves
It was once fashionable in religious circles to say that Jesus Christ would never return to the earth. There are still plenty of professing Christians who believe that. But there are now many others who have come to believe that the Second Coming is a very important event.
Christadelphians have always taught that the Return of Jesus Christ to the earth is vital to the fulfillment of the purpose of God. This booklet reviews Bible teaching about the Second Coming, both the events that will lead up to that miracle and the reason for the Lord's Return.
New Testament Teaching
Someone has counted the New Testament references to this great event, and they number 318 occurrences! If you reflect that the number of times the word for Christian love occurs is only 115, you will begin to see the importance of this topic. Nor is it simply the case that only one or two New Testament writers refer to the matter in their writings. Treatment of the subject is widely spread.
Jesus spoke often about the Kingdom of God and his Second Coming. His parables, for example, were told to those who thought the Kingdom of God was to appear immediately. He was like a nobleman who had to go "into a far country to receive for himself a Kingdom and to return" (Luke 19:12). More than once he spoke of the Coming of the Son of Man (e.g. Matthew 24:27,30,37,39,48; 25:27; 26:64). And when he assured his disciples of his continuing spiritual, but invisible, presence "even unto the end of the world" (Matthew 28:20), he inferred that then he would be visibly present with them for ever.
The testimony of the Apostles was equally plain. They had been clearly taught by the Risen Lord who, during the forty days before his ascension into heaven, instructed them about the Kingdom of God, the restored kingdom of Israel (Acts 1:3,6). It was the opening theme of his post-resurrection appearances that all the Old Testament promises were coming to their fulfillment in him (Luke 24:27). At the time of his ascension, as he was being taken up from the Mount of Olives into the clouds, God sent His angels to explain.
"Ye men of Galilee", they said to the watching apostles, "Why stand ye gazing up into heaven? This same Jesus, which is taken up from you into heaven, shall so come in like manner as ye have seen him go into heaven" (Acts 1:11).
It is not therefore surprising that when the Apostles began to teach in the streets of Jerusalem, they said that their Lord Jesus Christ was to return to the earth as King. Peter gave the lead when he boldly announced that the grave could not keep Jesus imprisoned. He referred his hearers to a statement in Psalm 110:1, used also by his Lord, to show that he had gone to heaven only until his enemies have been subdued (2:34,35). Note the authoritative use of the Old Testament.
But also note a vital point. Bible teaching is never given just for the sake of informing us what happens next. It always has a deeper intention, for we are meant to use the knowledge it confers to prepare ourselves for those coming events:
"Therefore let all the house of Israel know assuredly that God hath made that same Jesus, whom ye have crucified, both Lord and Christ . . . Repent and be baptized every one of you in the name of Jesus Christ for the remission of sins" (Acts 2:36,38).
It should follow that our consideration of Bible truth concerning the Return of the Lord should also cause us to search our hearts.
Other New Testament Writings
But what of the writings of other New Testament authors? Let us look at just one of the New Testament letters, the First written by Paul to the Thessalonians. Notice how he centers his entire message on the truth of the personal return to the earth of the Lord:
"wait for his Son from heaven . . . which delivereth us from the wrath to come" (1:10);
"what is our hope or joy? Are not ye in the presence of our Lord Jesus Christ at his coming?" (2:19);
"he may stablish your hearts unblameable . . . at the coming of our Lord Jesus Christ with all his saints" (3:13);
"the Lord himself shall descend from heaven with a shout" (4:16);
"the day of the Lord so cometh as a thief in the night" (5:2);
"I pray God your whole spirit and soul and body be preserved blameless unto the coming of our Lord Jesus Christ" (5:23).
You could try extending this investigation, if you wish. The emphasis on the Lord's Coming continues in all the New Testament letters, but it is always related to practical Christian living. Because the Lord is coming again, there were matters in their lives that required attention! And it is so for us.
Old Testament Teaching
The same person who counted 318 references in the New Testament extended the search to the Old Testament, and discovered 1,527 such references to an event in God's purpose which can be no other than the Coming of Christ as King. Let it be clear that the exact number is unimportant; there is always room for some difference of opinion about the occasional passage. But it is perhaps startling to some readers to consider that there could be five times as many references to the Second Coming in a part of the Bible which has suffered widely from neglect over the years.
The fact of the matter is this: the New Testament can only be understood once the Old Testament has also been studied. The two Testaments belong together as interdependent parts of God's revealed truth. What the Old Testament foretells the New Testament fulfils, in part. But a very large amount of Old Testament prophecy remains unfulfilled.
Consider these promises of a King who will reign over God's Kingdom on earth, and ask yourself whether they have ever been fulfilled:
GENESIS: "Thy seed (a descendant of Abraham) shall possess the gate of his enemies; and in thy seed shall all the nations of the earth be blessed" (22:17,18; see Acts 3:25; Galatians 3:16).
2 SAMUEL: "And when thy days (David) be fulfilled, and thou shalt sleep with thy fathers, I will set up thy seed (descendant) after thee, which shall proceed out of thy bowels, and I will establish his kingdom. He shall build a house (a Temple) for my name, and I will stablish the throne of his kingdom for ever" (7:12,13).
PSALMS: "The LORD hath said unto me, Thou art my Son; this day have I begotten thee. Ask of me, and I shall give thee the heathen for thine inheritance, and the uttermost parts of the earth for thy possession" (2:7,8; see Acts 4:25,26);
"He (the promised king) . . . shall have dominion also from sea to sea, and from the river unto the ends of the earth" (72:6-8).
ISAIAH: "It shall come to pass in the last days, that the mountain of the LORD's house (His Temple) shall be established in the top of the mountains (at Jerusalem) . . . and all nations shall flow unto it . . . for out of Zion shall go forth the law, and the word of the LORD from Jerusalem. And he shall judge among the nations" (2:2-4);
"Of the increase of his government and peace there shall be no end, upon the throne of David and upon his kingdom, to order it and to establish it with judgment and with justice from henceforth even for ever" (9:7);
JEREMIAH: "Behold, the days come, saith the LORD, that I will raise unto David a righteous Branch (descendant), and a King shall reign and prosper, and shall execute judgment and justice in the earth. In his days Judah shall be saved, and Israel shall dwell safely: and this is the name whereby he shall be called, THE LORD OUR RIGHTEOUSNESS" (23:5,6).
The Kingdom of God
Many times God has promised that He will rule the earth. What man has failed time and again to achieve, God will establish. The King will be a descendant of both Abraham and David (see Matthew 1:1). He will rule from Jerusalem, on David's throne (see Luke 1:31-33). His Kingdom will be one of justice and righteousness; it will involve Divine education, Temple worship, and the exercise of Kingly power to establish peace on earth (see Revelation 11:15-18).
The Kingdom of God was once before established on earth. King David and his descendants reigned upon the throne of the Kingdom of the Lord (1 Chronicles 28:5). There was nothing special about the throne itself. The Divine appointment was what mattered and when king after king had neglected God's law, He brought that arrangement to an end. But even when the prophet Ezekiel announced the end of the Kingdom to King Zedekiah (in 21:25-27), he promised that God would restore the Kingdom on earth when he should "come whose right it is".
The Second Coming of the Lord Jesus Christ to the earth has therefore to be understood against that powerful Old Testament background. When Jesus began his public ministry by announcing that the Kingdom of God was at hand (Mark 1:15), he was saying to those who knew the Old Testament promises that he was the promised King. But Jesus had first come to achieve personal righteousness, and to make it possible for others to become right with God.
It is now possible for us to find peace with God through the forgiveness of our sins, by association with the saving work of the Lord Jesus. First we have to understand the Gospel, including Bible teaching about the work and person of the Lord Jesus, and the Kingdom over which he is now the King. Then we have to be baptized as believing adults into his saving Name (see Acts 8:1 2).
Behold Your King!
But what is the Second Coming of the Lord going to be like? For example, would it be possible to miss it altogether and not even be aware that it had occurred? Will it be visible or invisible? Will Jesus be there in person or merely a spiritual presence? And will he come to the earth or only towards the earth?
Jesus Christ rose bodily from the grave. He was not an invisible spirit creature but One who could be seen, handled and held (1 John 1:1; Luke 24:39,40). His body was marked by the evidence of his suffering on the cross. Yet he was no longer subject to the limitations of human existence. He could come and go despite locked doors, and on Mount Olivet he ascended bodily to heaven, defying the law of gravity. The disciples had seen him go; he would return visibly. As the angel later said: "Behold, he cometh with clouds; and every eye shall see him" (Revelation 1:7). Or as Zechariah the Old Testament prophet had predicted, long before the crucifixion, "They shall look upon me whom they have pierced and they shall mourn for him" (12:10).
So it will not do to say that only those who look with faith will see the Lord. Some will look, see, and mourn (Revelation 1:7). Nor will it do to say that Jesus will come invisibly, for the Lord himself warned:
"Then if any man shall say unto you, Lo, here is Christ, or there; believe it not. For there shall arise false Christs and false prophets . . ." (Matthew 24:23,24).
Nor will it do to argue that the Bible talks of the presence of the Lord, meaning that it will be an invisible one. The New Testament also talks about the revelation of the Lord, using a word that means uncovering or manifesting. In fact, the presence (Greek: parousia) of the Lord turns out to be an especially suitable term. One of the most authoritative Greek Lexicons available says of the word:
"It became the official term for a visit of a person of high rank, especially of kings and emperors visiting a province" (Arndt and Gingrich).
It is such a visit by a King that the Scriptures foretell. The crowds who welcomed King Jesus into Jerusalem when he sat astride a donkey and they threw coats and' palm branches before him, shouted out greetings that referred right back to the Promises of God: "Blessed be the kingdom of our father David that cometh in the name of the Lord" (Mark 11:10). Matthew comments that the rejoicing was a foretaste of what had been forecast by Zechariah the prophet, when he wrote "Behold, thy King cometh unto thee".
Now if the initial royal visit was attended by such joy and rejoicing, consider what the next one will be like! The prophet had declared:
"Rejoice greatly, O daughter of Zion; shout, O daughter of Jerusalem: behold thy king cometh unto thee: he is just, and having salvation. . . and he shall speak peace unto the heathen; and his dominion shall be from sea even to sea, and from the river even to the ends of the earth" (Zechariah 9:9,10).
Dual Fulfillment
This Scripture illustrates a widely used feature of Bible prophecy: its joint short and long-term character. Jerusalem rejoiced at the Kingly coming of Jesus -- "Lowly and riding upon an ass, and upon a colt the foal of an ass" -- just as the prophet had said. But their joy was short-lived, for he did not then go on to establish worldwide peace, or commence to rule from Jerusalem over a Kingdom that was to last for ever. Jesus completed enough of the prophecy at that time to demonstrate that he was the Coming One, and to give us confidence that he will return to complete the promised transformation of the earth. Zechariah compressed the two comings in such a way that there appeared to be no interval between them. This has led some people to argue that the Kingdom will never come, because, they say, even Jesus expected it in the First Century, or at most shortly afterwards. It has thus been dismissed by some as an early Christian hope, which has now been superseded by a superior understanding. But when all the Scriptures are studied carefully, it becomes clear that the Coming of Jesus was not to occur immediately after his ascension to heaven. The Day and the Hour
Any attempt to show that Jesus was mistaken about the time of his Coming is doomed to failure. He clearly stated, more than once, that he did not know:
"Of that day and hour knoweth no man, no, not the angels of heaven, but my Father only" (Matthew 24:36).
As he later said, this was something that the Father had reserved within His own authority (Acts 1:7). But Jesus did know that some long time would elapse before his Second Coming. He told parables to indicate that his coming would not "immediately appear" (Luke 1 9:11), that it would be "after a long time" (Matthew 25:19), and that there might be some delay for those who were waiting (25:3). Like their Lord, his followers were to appreciate that they could "not know what hour" he would come.
The apostles also acknowledged that they could not know the precise time of the great event for which they waited. Peter warned about people who would scoff, as so many have, at the "promise of his coming" (2 Peter 3:4). Indeed he poured scorn on their faithlessness, what he called "willful ignorance" -- people believing what they wanted to believe, regardless of the evidence. And Paul was in no doubt either, for he went on record as saying:
"But of the times and the seasons, brethren, ye have no need that I write unto you. For yourselves know perfectly that the day of the Lord so cometh . . ." (1 Thessalonians 5:1,2).
Can you complete that quotation? It holds the key to two vital matters concerning the early return of the King. Notice first what the verse above says. There would be general indications available -- what Paul calls "times and seasons" -- which would help keep the believers prepared. And the verse continues:
". . . the day of the Lord so cometh as a thief in the night."
When it happens the Lord's Coming will be swift, sudden and unexpected. No-one expects thieves to strike. But they often succeed because people overlook the dangers. It is also the case that speed is vital to a successful robbery, which is why the figure is used by Jesus (Matthew 24:43), Paul (1 Thessalonians 5:2), and Peter (2 Peter
3:10), to emphasise the vital point. We must be on our guard, watchful, prepared, vigilant. The Lord could come at any time! He will come when we least expect him!
The Times and Seasons
That is why when Jesus explained what was to happen before his Return, he very carefully emphasised the need for watchfulness. Sitting with his disciples one day on the Mount of Olives, from where he would later ascend to heaven, he gave them some general indications of what was to happen prior to his "coming and the end of the world" (Matthew 24:3). This prophecy presents a fascinating challenge, for it combines a short-term prediction about the fall of Jerusalem and the destruction of the temple, with a long-term forecast of world events.
A list of the predicted events in the three Gospel accounts (Matthew 24, Mark 1 3 and Luke 24), which does not claim to be a structured sequence of prophetic events, shows the following:
1. The rise of false Christianity and false Christs
2. The persecution of true Christians.
3. Wars and rumors of wars, nation against nation.
4. Earthquakes, famines and pestilences.
5. Jerusalem surrounded by armies.
6. The Jewish nation dispersed.
7. Jerusalem in non-Jewish occupation.
8. Tribulation and distress.
9. Signs in the sun, moon and stars.
10. The powers of heaven shaken.
Notice how believers are warned about the rise and growth of false Christianity. It is the Lord's first concern. His words were fulfilled by the rapid development of wrong teaching in New Testament times (e.g. Acts 20:29), and are being fulfilled again at the close of this age. Elsewhere the message is that the true believers will comprise a very small remnant, compared with those who hold a distorted form of Christianity.
Antichrist
The apostles also warn about this development. Paul was emphatic that there would be manifestations of false Christianity, for he prophesied that the Day of the Lord:
"shall not come, except there come a falling away first, and that man of sin be revealed, the son of perdition; who opposeth and exalteth himself above all that is called God, or that is worshipped" (2 Thessalonians 2:3,4).
The apostle Paul describes the man of sin in language that refers back to the prophet Daniel, who accurately foretold the rise and fall of four empires that exercised power in the Middle East. He traced the development from them to a false religious system, involving the Holy Roman Empire and the papacy, that is opposed to Christ and his true followers. This is counterfeit Christianity, and the apostle Paul describes it as "the mystery of iniquity" which was already at work, and "a strong delusion".
The other thread of teaching in the Lord's catalogue of future events concerned trouble. There were to be wars and rumors of wars, both within and between nations; there would be natural disasters and widespread hardship, earthquakes, famines and epidemics; terrors and fearful sights would be in the heavens, causing much fear and distress. People would not know which way to turn for fear of what was about to happen on earth.
To some extent these problems are as old as man. The tendency to war against one another is evident even in the first book of the Bible, and famine features there too. But even within Bible history the atrocities of which man is capable become increasingly ugly, and since then even more widespread horrors have been seen. The powers now available to mankind are enough to make any sane person fear for the future. More than ever before, these words of Jesus are coming true:
"There shall be . . . upon the earth distress of nations, with perplexity; the sea and the waves roaring; men's hearts failing them for fear, and for looking after those things which are coming on the earth: for the powers of heaven shall be shaken. And then shall they see the Son of man coming in a cloud with power and great glory" (Luke 21:25-27).
Tribulation
The reference to the sea and waves roaring, like others to signs in the sun, moon and stars, may be either symbolic or literal or some combination of both. The prophet Isaiah, for example, wrote about the wicked being "like the troubled sea, when it cannot rest, whose waters cast up mire and dirt" (57:20). Jesus may have been drawing upon such imagery to describe a world that was full of trouble because it was full of wickedness. He may also have been teaching us to look out for some upheaval of the physical order, like tidal waves, which would also be an indication of the end of the age. Certainly there have been many earthquakes and natural disasters over the past few years, all over the world. The apostle Paul described the whole world order as groaning and travailing in pain (Romans 8:22), like a woman waiting to be delivered of a child. It is thus evident that our present troubles are the birthpangs of a new and better world, soon to begin.
In both Testaments we are told that the tribulation that will come at the end of human government is the final herald of the Second Coming. It will be:
"a time of trouble such as never was" (Daniel 12:1);
"the time of Jacob's (Israel's) trouble" (Jeremiah 30:7);
"great tribulation" (Matthew 24:21).
Will the believers waiting for their Lord have to suffer this trouble, or will they be spared? The likelihood is that present-day believers will live through this time of trouble, indeed that they have already begun to do so. Jesus promised that for the elect's sake that time would be shortened (Mark 13:20). But those who finally stand approved before the Judge are those "which came out of the great tribulation, and they washed their robes, and made them white in the blood of the Lamb" (Revelation 7:14).
As that trouble increases, and God pours out His wrath upon the earth, there are indications that true believers will be sheltered from that outpouring. Isaiah describes the great shake-up of human society when God intervenes:
"Come, my people, enter into thy chambers. . . hide thyself as it were for a little moment, until the indignation be overpast. For, behold, the LORD cometh out of his place to punish the inhabitants of the earth for their iniquity" (24:18-23, 26:20,21).
We must therefore consider carefully what Jesus said:
"When these things (the signs of which he spoke) begin to come to pass, then look up and lift up your heads, for your redemption draweth nigh" (Luke 21:28).
We should not wait until total disaster has struck, and there is no escape route left. It is better to learn the lesson now, that this is the time immediately before the Second Coming of the Lord Jesus Christ.
The Nation of Sign
There is one great sign which removes all doubt concerning his imminent return. The nation of Israel is back occupying the land promised by God. The history of the Jewish nation has been a guide throughout the ages to the outworking of God's purposes. They were called as a special people, because of the great promises that had been made to their Fathers. They were given the right to occupy the land we now know as Israel, conditional upon their faithful obedience to God. They were the people whose kings occupied the throne of God's Kingdom on earth.
They forfeited these rights when, after centuries of indifference, they not only refused to accept the Lord Jesus as their Messiah, but were involved, with the Romans, in effecting his death by crucifixion. Because of that rejection, Jerusalem was overthrown. Throughout the intervening centuries Jews have wandered the earth as a stateless people, hated and persecuted almost everywhere they went, just as Scripture said they would be.
But Scripture also forecast a better future for this nation of sign, not because they would change their behavior and live to deserve better treatment, but because God would take pity on their plight and act to redeem them. He would remember the promises made of old to the Fathers and act to vindicate His great name. At the time of the end they would be brought back from the nations and once more be settled in their own land-the land of promise! So the prophets said:
ISAIAH: "The remnant shall return . . the ransomed of the Lord shall return, and come to Zion" (10:21; 35:10).
JEREMIAH: "He that scattered Israel will gather him" (31:10).
EZEKIEL: "I will even gather you from the people, and assemble you out of the countries . . . then shall they dwell in their land . . . yea, they shall dwell with confidence" (11:17; 28:25,26).
ZECHARIAH: "I will bring them, and they shall dwell in the midst of Jerusalem" (8:8).
And so it came to pass. After nearly two thousand years of dispersion and down-treading, in 1948 the State of Israel was born by the decree of the United Nations, and in 1 967 the whole of Jerusalem was repossessed by Jews. It had taken all that time for the words of Jesus to be fulfilled:
"They shall fall by the edge of the sword, and shall be led away captive into all nations: and Jerusalem shall be trodden down of the Gentiles, until the times of the Gentiles be fulfilled" (Luke 21:24).
Everything now indicates that the Times of the Gentiles are rapidly drawing to a close and the Time of the Kingdom of God is once more at hand. The bringing together of troublous times and the return of the Jews to the Land removes any doubt. Shortly King Jesus will return to Jerusalem as World Ruler, to reign over Israel and over all nations. Of all the available Signs of the Times given by Jesus and the prophets, the establishment of Israel-the Nation of Sign-is the clearest witness that the End is now at hand.
The "Rapture"
What then awaits the faithful follower of Jesus? Can he expect to go to heaven with the Lord at his Return? Hardly, for the Lord is coming to reign on earth, from Jerusalem. An elaborate scheme has been devised by some Bible readers which requires not one Coming but two. According to this, Christ's Coming would be first for the Church only and would be a secret "rapture". He would come again with the Church, for the world, and this would be visible and public. In some versions of this theory the interval between the two comings is very small; in others as much as seven years is thought to separate the two events.
There is very little Scripture that can be used to attempt to support these theories, for whilst there are some indications that a separation will occur between companions when Jesus comes (Luke 17:34-36), the main teaching about the circumstances of the Return is that given in Paul's First Letter to the Thessalonians:
"The Lord himself shall descend from heaven with a shout, with the voice of the archangel, and with the trump of God: and the dead in Christ shall rise first: then we which are alive and remain shall be caught up together with them in the clouds to meet the Lord in the air: and so shall we ever be with the Lord" (4:16,17).
The phrase caught up is that from which the whole idea of a rapture has evolved; and the links with a supposed seven year period of tribulation have been achieved by the unsatisfactory interpretation of other Scriptures, especially from the Revelation. Clearly there is to be a catching away of true believers, both of the living and the resurrected dead, "to meet the Lord in the air". They are to form a welcoming party who, with the angels who attend his coming, will make up his entourage. But they go to meet him, not he them. And their destination is made clear in the Scriptures already considered: the Lord and his followers are bound for Jerusalem (Zechariah 14:4), "the city of the great king" (Matthew 5:35).
The Lord will come!
In these dying moments of human government, the powers of heaven will be shaken as men's hearts fail them for fear. The nations will be engaged in a battle around Jerusalem. Then the Lord will come! Unexpectedly, suddenly, in great power and glory, bringing salvation for those who have faithfully waited and prepared for this central event in their lives; but bringing judgement upon all those who have wilfully ignored the faithful promises and gracious invitation of God:
"The Lord Jesus shall be revealed from heaven with his mighty angels, in flaming fire taking vengeance on them that know not God, and that obey not the gospel of our Lord Jesus Christ: who shall be punished with everlasting destruction from the presence of the Lord, and from the glory of his power: when he shall come to be glorified in his saints, and to be admired in all them that believe" (2 Thessalonians 1:9,10).
It is vital therefore that we believe what the Bible so clearly promises. We cannot simply "wait and see", because Jesus is coming to save those who already believe, not to give reasons for faith to those who have had clear evidence, but no inclination for the things of God.
When the Lord spoke to his followers about his eventual return to earth, he focused their attention more on the consequences of his Coming than on the sequence of events itself. To this day we cannot know for sure when Jesus will come. But we know perfectly clearly that when he comes he will call us to account, and ask us how we spent our lives on the eve of his return:
"Take heed . . . be not led astray . . . be not troubled . . . take heed to yourselves . . . preach the gospel . . . be not anxious . . . endure to the end . . . flee . . . pray . . . believe not false prophets . . . take heed . . . look up and lift up your heads . . . take heed to yourselves . . . watch . . . BE READY" (Matthew 24; Mark 13; Luke 21).
The apostles make the very same points as they reflect on the nearness of the Lord's Return.
"What manner of persons ought ye to be in all holy conversation and godliness . . . be diligent that ye may be found of him in peace, without spot, and blameless" (2 Peter 3:11-14).
"Denying ungodliness and worldly lusts, we should live soberly, righteously, and godly, in this present world; looking for that blessed hope, and the glorious appearing of the great God and our Saviour Jesus Christ" (Titus 2:12,13).
"When he shall appear, we shall be like him; for we shall see him as he is. And every man who has this hope in him purifieth himself, even as he is pure" (1 John 3:2,3).
Take Heed to Yourselves
The Bible is our guidebook to the future, just as it is our handbook for the present. It alone will show us what God wants us to do. From it we can learn God's purpose and promises. The first thing is to understand and believe those things that are true. We shall then come to appreciate the need for obedience to God, starting with baptism. And thus we shall be doing what Jesus commanded.
The coming Kingdom of God on earth will transform human experience. We need to learn to live now in harmony with our Creator. The Lord is at hand! It is now an urgent matter for us all to examine our lives, so that we are properly prepared for the Coming of the King.
<http://ashcraftministry.blogspot.com/
www.familistere.com/site/index.php
fr.wikipedia.org/wiki/Familistère_de_Guise
de.wikipedia.org/wiki/Familistère_(Guise)
en.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_André_Godin
« Ne pouvant faire un palais de la chaumière ou du galetas de chaque famille ouvrière, nous avons voulu mettre la demeure de l’ouvrier dans un palais ; le Familistère, en effet, n’est pas autre chose, c’est le palais du travail, c’est le PALAIS SOCIAL de l’avenir.
Ce qu’il n’est pas possible de faire au profit de familles éparpillées et sans lien, les améliorations qu’on ne peut introduire dans le tohu-bohu des habitations ouvrières, ni à la ville, ni à la campagne, ni dans les caves, ni dans les mansardes habitées ; ce que ne permettent pas même les habitations ouvrières isolées les mieux construites, quel qu’en soit le système : le Familistère le permet, le palais social le rend possible, bien plus, il le rend nécessaire. »
Jean-Baptiste-André Godin La Richesse au service du peuple, le Familistère de Guise. 1875.
Les chiffres du Familistère : ( source Wikipédia )
10 millions de briques sont nécessaires à la construction des trois pavillons du Palais Social.
30 000 m² de surfaces sont offerts par l’ensemble des trois pavillons.
1 kilomètre de coursives parcourt les trois pavillons du Palais.
500 fenêtres percent les façades des trois unités d’habitation.
495 appartements sont aménagés dans l’ensemble des cinq pavillons du Familistère avant 1918.
1 748 personnes habitent au Familistère en 1889.
50 berceaux peuvent être installés dans la nourricerie du Familistère.
796 invités participent au banquet de la cinquième fête du Travail dans la cour du pavillon central en 1872.
1 000 spectateurs prennent place au théâtre en 1914.
1 526 employés travaillent dans les usines de la Société du Familistère en 1887.
2 500 est le nombre de record d’employés de l’Association du Familistère de Guise et à Bruxelles en 1930.
4 000 modèles d’appareils et d’accessoires sont fabriqués par la Société du Familistère en 1914.
210 000 appareils sont expédiés par les usines de Guise et Bruxelles en 1913-1914.
664, c’est le nombre de pages qui composent le livre Solutions Sociales publié par Godin en 1871.
JEAN-BAPTISTE GODIN ( ENGLISH )
Jean-Baptiste André Godin (26 January 1817 -29 January 1888) was a French industrialist and social experimentor born on the 26th of January 1817 at Esquéhéries (Aisne).
The son of an artisan, he entered an iron-works at an early age, and at seventeen made a tour of France as journeyman. Returning to Esquéhéries in 1837, he started a small factory for the manufacture of castings for heating-stoves. The business increased rapidly, and for the purpose of railway facilities was transferred to Guise in 1846. At the time of Godin's death in 1888 the annual output was over four millions of francs (4,160,000), and in 1908 the employees numbered over 2000 and the output was over 280,000.
An ardent disciple of Charles Fourier, he advanced a considerable sum of money towards the disastrous Fourierist experiment of V. P. Considerant (q.v.) in Texas (known as La Reunion. He profited, however, by its failure, and in 1859 started the Familistère, or community settlement, of Guise on more carefully laid plans.
The Familistère forms a town within the town of Guise. It comprises, in addition to a large factory, three large buildings, each four stories high, capable of housing all the work-people, each family having two or three rooms. The main building consists of three rectangular blocks joined at the corners. Each of these blocks has a central court covered with a glass roof under which children can play in all weather. There is no church of any sort. (There are, of course, churches within the rest of Guise). At the back of the main block there was a nursery. There is a separate block, known as the "economat", containing various shops, refreshment rooms and recreation rooms of various kinds(?), stores for the purchase of groceries, drapery and every necessity. This has recently (2008) been restored and is now a cafe, a shop selling books, postcards etc and an exhibition area. There were also allotments for the workers.
Opposite the main block there was a building containing a theater for concerts and dramatic entertainments and a primary school. There was also a communal laundry and swimming pool. This was a few years ago derelict but has now been restored. The swimming pool is still a swimming poll but the laundry is a meeting room and the drying room is now (2008) an exhibition room. In 1880 the whole was turned into a co-operative society, with provision by which it eventually became the property of the workers.
Godin manufactured cookers and heating stoves of many kinds mainly made from cast iron castings. Sometimes these were enameled. These are still to be found in use all over France. They can be found for sale on eBay.
This business was still owned by the workers in the 1950s but soon after was taken over by Le Creuset. It is not obvious that the factory is still functioning. It is seems the domestic building were privatised. The state of the domestic buildings was deteriorating but has recently been awarded EU money for it to be restored.
In 1871 Godin was elected deputy for Aisne, but retired in 1876 to devote himself to the management of the Familistère. In 1882 he was created a Knight of the Legion of Honor.
Godin was the author of Solutions sociales (1871); Les Socialistes et les Droits du travail (1874); Mutualité sociale et association du capital et du travail (1880); La Republique du travail et la reforme parlementaire (1889). See Bernardot, Le Familistère de Guise et son fondateur (Paris, 1887); Fischer, Die Familistère Godins (Berlin, 1890); Lestelle, Etude sur le Familistère de Guise (Paris, 1904); D. F. P., Le Familistère illustr, résultals de vingt ans d'association, 1880-1900 (Eng. trans., Twenty-eight years of co-partnership at Guise, by A. Williams, 1908).
26 April 2009. Left click here to view large and read the wording of the notice.
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A Warning and an Upgrade
On the weekend of 25/26 April 2009 laminated cards headed: ”WARNING NOTICE” were tied to columns in the streets of Tottenham Hale Controlled Parking Zone (CPZ). They announced "New parking signs and lines"; and that "Parking signs and road markings have been programmed to be upgraded".
I talked to some of our neighbours who were also looking at the notices. What did they make of this "warning", with a promise of something "new"? What exactly was this particular "upgrade"?
They didn't know. I don't expect many local residents did know.
Stripping away spin and obfuscation, this was the work done.
► Some faded yellow and white traffic and parking lines were repainted.
► Hundreds of lines were corrected because they were unlawful and did not comply with the Statutory Regulations.
► That's it!
In 2009 having parking lines which did not comply with the law wasn't a problem unique to Haringey Council. Click here to read about the mess which many local authorities across the country made of their traffic lines and signs. (Use the 'Back' button to return.)
Haringey's Parking and Highways Service - under the 'leadership' of former Labour councillor Brian Haley - was slower than many to come out of denial, admit they were doing it wrong, and agree a programme for repainting lines and getting them right.
Wording of the Temporary Notices
Does the wording of these notices really matter? After all, the work was finished within three weeks, when most of the temporary laminated cards had gone.
In my view, it does matter. How local councils inform and explain things to residents is a vital issue. "Warning" them and promising a spurious "upgrade" is a symptom of a diseased, secretive culture.
"The highest standards of propriety and accuracy"
Haringey's website has a page headed: Setting the Record Straight. It includes this paragraph.
"But in spite of our best efforts, media reports are not always accurate. People have a right to reliable information, just as we have a duty to provide it. That is why we introduced this section to the site. The information we provide is subject to a Code of Conduct under the Local Government Act 1986. This means we are bound by the highest standards of propriety and accuracy in providing information.
My request to Dr Ita O'Donovan
In the spirit of these golden words on Haringey's website, on 28 April 2009 I wrote to Dr Ita O'Donovan, then Haringey's Chief Executive. I asked for her help in getting the laminated cards replaced with notices which were simple, clear and truthful.
I proposed the wording: "We are correcting some errors in the existing white and yellow traffic lines and repainting lines which are faded". I suggested that the words: "We apologise for any inconvenience", would have been welcome.
Dr O'Donovan's reply on 14 May, over two weeks later, was almost wholly negative. She wrote:
"I have looked into this matter as you have requested. I feel that there is little difference in the message of the notice currently being used and that which you propose. Given that these works are due to be completed within the next two weeks I do not feel it would be an effective use of the Council’s scarce resources to reprint and put up fresh notices."
"The work itself will result in minimal inconvenience to residents but I do accept that an apology for any inconvenience could have been included on the signs. I will arrange for this to be included in any future signs of this nature."
I emailed back, agreeing with Dr O'Donovan that it was by then too late and would waste resources to put up truthful signs. But I pointed out this wouldn't have been the case if she had acted immediately when I raised the problem with her.
I suggested that a few dozen laminated A3 cards and some nylon tape are not prohibitively costly. Probably no more than Haringey Council was then paying for a few minutes of the time of one of the numerous consultants it then employed.
I quoted the words of the (then) Prime Minister, Gordon Brown on 11 May 2008. "We must show we have the highest standards for our profession. And we must show that, where mistakes have been made and errors have been discovered, where wrongs have to be righted, that that is done so immediately."
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A chance to understand public information
All bureaucracies try to hide behind a curtain of jargon. Local government is not immune. And this is after decades of campaigning by the Plain English Campaign with its highly prized 'Crystal Mark'.
In 1971, its founder Chrissie Maher asked: ‘Why isn’t the public given a chance to understand public information?’ She gave the answers: ‘To keep them in the dark.’ ‘To stop them claiming what is rightfully theirs.’ ‘To stop them interfering in things they wouldn’t understand’." ( Source: Chrissie Maher's book "Born To Crusade")
Though some people in local government do 'get it'.
”Without explaining what a council does in proper English then local people will fail to understand its relevance to them or why they should bother to turn out and vote. Unless information is given to people to explain why their council matters then local democracy will be threatened with extinction.”
“ . . . we can not, must not and should not hide behind impenetrable jargon and phrases. We do not pretend to be perfect, but as this list shows, we are striving to make sure that people get the chance to understand what services we provide." .
(Source: Two quotes by the late Simon Milton, then Chair of the Local Government Association.)
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For an individual or an organisation, admitting your mistakes can be embarrassing. It's tempting to fudge and obfuscate. Though for local councils who have had non-compliant traffic lines and signs for many years, the worry may not be public shame, but public finance. In other words, it may open the door to claims for PCNs (fines) to be repaid.
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George Orwell's novel, Nineteen Eighty-Four
was first published in 1949.
Orwell wanted English written with clarity.
He said “Good prose is like a window pane”.
In his bleak fable of a totalitarian future Orwell imagined English replaced by “Newspeak”. "… the special function of certain Newspeak words … was not so much to express meanings as to destroy them.”
Sixty years later, "Newspeak" has been reinvented as "Spin", "Narrative", and other variations of deceptive and manipulative news management.
Nr. D-126.
Seat Toledo Mk1 (1991-1998).
Escala 1/43
AHC Doorkey, Epe, Holland.
Made in Spain by Pilen / Artec.
Años 90.
Printed description on the baseplate:
"DOORKEY EPE HOLLAND
MADE FOR SEAT LTD EDITION NR.D -126."
More info:
pilen.jimdo.com/asociaci%C3%B3n-con-otras-marcas-i/
miniaturasconry43.blogspot.com.es/2012/09/seat-toledo-y-s...
www.foro.pieldetoro.net/foro/index.php?threads/seat-en-ww...
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AUTO PILEN / ARTEC / AHC DOORKEY
[ Brief history
of Companies Interconnexions ]
"Auto Pilen was a diecast line of model cars made in Ibi, Alicante, in southeastern Spain by Pilen S.A..
Models were produced from the 1970s through the mid-1990s mostly in 1:43 scale.
A majority of the castings were inherited from French Dinky.
The company was started in the 1960s, diecasting items like colorful metal sailboats and key chains.
In the late 1980s. Pilen was apparently bought by AHC of the Netherlands.
Source: en.wikipedia.org/wiki/Auto_Pilen
(...)
"Pilen ceased its production in 1983, but only 5 years later, in 1988, the company was reborn with the new name Artec.
In the first catalogues from Artec, there is still place for the Pilen logo, meaning that both companies are really the same one, or at least, that Artec is the successor of Pilen."
(...)
Source: toysfromthepast.blogspot.com.es/2013/06/293-pilen-artec-s...
(...)
"Around 1980 there was a Pilen connection with Holland OTO, which had taken over Dutch Efsi Toys. A 1980 Auto Pilen catalog shows many of the revered Efsi vehicles like the Model T series and many Efsi trucks continued as a line Pilen 1980 (Bras 2012).
Around 1990, there was also a connection with the Dutch diecast company AHC, which appears to have bought Holland Oto and thus Auto Pilen (Bickford 2009).
AHC has since shared dies and traditionally Pilen stamped cars can be found in both AHC and Holland OTO labeled boxes (Bickford 2009; Johnson 1998, p. 15)."
AHC, however, usually produced Volvos, of which Pilen only had a few: the DAF based 66, the 480 Turbo, and the 460 and 850 sedans - most of these appear to have been developed first by AHC models before they were reverse marketed - and then also later sold as Pilens - some of which were made in Spain.
Some of these Volvos also appear to have been sold as promotional models. There were also some Nissans made by AHC/Doorkey packaged as Pilens (Bickford 2009).
With the bankruptcy of Doorkey in the early 1990s, Auto Pilen disappeared. The last new models with the Pilen name appeared at this time. "
(...)
Source: en.wikipedia.org/wiki/Auto_Pilen
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Doorkey
"Doorkey was a Dutch model car manufacturer .
The company was established in Epe .
They sold miniatures in the scale 1:43.
The models are:
- Opel Combo, Opel Manta
- Nissan Maxima, Nissan Serena, Nissan Micra (5 door)
- SEAT Ibiza, SEAT 600, SEAT 850 Spider, SEAT 127, SEAT Toledo
- Volvo 440, Volvo 850
- Toyota Celica, Toyota Land Cruiser
- Suzuki Samurai
- Mercedes-Benz 250C, Mercedes-Benz 100, Mercedes-Benz 500
- Mini Cooper
- Porsche Carrera 6
- VW Buggy
- Indra
- Ford Courier
- BMW 2000, BMW 507
- Lexus SC 400
Buses:
- The Elder Alliance 220 DAF
- The Elder Alliance 230 DAF
- The Oldest Alliance 310 DAF
The models were made by the Spanish Artec.
Johannes van Rijn founded the company AR-GEE Hobby Collection together with his son Richard, under the name of Ar-Gee , especially for retail.
Ar-Gee stands for the initials of son Richard and colleague Gerrit. They distributed the models under the name Doorkey.
Both companies AHC and AR-GEE were sold in 1995. The companies eventually went bankrupt."
Source: nl.wikipedia.org/wiki/Doorkey
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SEAT Toledo
"El SEAT Toledo es un automóvil del segmento C producido por el fabricante español SEAT desde el año 1991 hasta 2009 y desde 2012 en adelante.
Su nombre le viene dado por la ciudad española de Toledo perteneciente a Castilla-La Mancha.
El Toledo abarca cuatro generaciones, las dos primeras diseñadas por Giorgetto Giugiaro, la tercera por Walter de Silva y la cuarta por Alejandro Mesonero-Romanos.
Todas comparten elementos mecánicos y estructurales con otros modelos del Grupo Volkswagen.
Fue el primer automóvil de SEAT desarrollado completamente bajo la influencia de Volkswagen (que había adquirido un 51% de las acciones de la marca española en 1986) estrenando un nuevo segmento dentro del mercado español: el de los vehículos con apariencia de berlina pero dotados de un portón trasero.
El modelo fue presentado en el Salón del Automóvil de Barcelona de 1991.
En dicho salón también se presentó el libro ¡Olé Toledo!, escrito y firmado en el acto por Edourd Seidler, que siguió de cerca todo el proyecto del modelo.
El rey Juan Carlos I presidió la inauguración oficial del SEAT Toledo en un acto celebrado en el parador nacional de la ciudad de Toledo.
El Toledo es la berlina media de SEAT con motor delantero transversal y tracción delantera."
(...)
Generaciones SEAT Toledo
- El automóvil SEAT Toledo I, segmento C fabricado por SEAT entre 1991-1998.
- El automóvil SEAT Toledo II, segmento C fabricado por SEAT - entre 1998-2005.
- El automóvil SEAT Toledo III, segmento C fabricado por SEAT entre 2004-2009.
- El automóvil SEAT Toledo IV, segmento C fabricado por SEAT entre 2012-presente.
(...)
Fuente: es.wikipedia.org/wiki/SEAT_Toledo
More info:
en.wikipedia.org/wiki/SEAT_Toledo
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SEAT Toledo I
Primera generación (1991-1998)
"La primera generación del Toledo (1L) se empezó a comercializar en octubre de 1991. La producción del modelo empezó en la antigua fábrica de la Zona Franca de Barcelona hasta que, en 1993, cuando se inaugura la planta de Martorell, el Toledo se empieza a trasladar allí para su fabricación. Fue el primer modelo de SEAT en ser desarrollado en cooperación con el Grupo Volkswagen (denominado Proyecto S3).
En un principio se iba a desarrollar bajo la plataforma del Volkswagen Passat B3, del cual se empezaría a realizar la primera maqueta, pero se descartó por los costes de producción. Al final se desarrolló bajo la plataforma "A2" (PQ32) de la segunda generación del Volkswagen Golf existente, con carrocería hatchback de tres y cinco puertas, y de los modelos (Volkswagen Jetta)..."
(...)
"El Toledo de la primera generación fue diseñado por Giorgetto Giugiaro..."
(...)
"Se deseaba un modelo superior al SEAT Málaga, que había quedado ya algo anticuado con respecto a la competencia, y darle una nueva imagen a la marca con un modelo de aspecto moderno con unas generosas dimensiones el cual seria el buque insignia de SEAT.
Fue posicionado deliberadamente entre los segmentos C (por plataforma) y D (por soluciones técnicas y "empaque"). Algunos de sus rivales eran el Fiat Tempra, en el segmento C, y las versiones básicas del Ford Sierra, el Opel Vectra y el Renault 21, con las que competía con ventaja en equipamiento."
(...)
Motorizaciones
"Desaparecen los motores System Porsche que estaba utilizando SEAT y empiezan a utilizar las mecánicas de Volkswagen, denominadas desde la marca SEAT como "Econosport".
Las motorizaciones fueron:
Gasolina con injetion (Mono-Jetronic)
- Cuatro de gasolina de cuatro cilindros, un 1.6 litros de 75 CV de potencia máxima, un 1.8 litros de 90 CV, un 2.0 litros Digifant de 115 CV(disponible con cambio automático) y un 1.8 litros de 16V de 136 CV y con catalizador 128 CV asociado únicamente al nivel de equipamiento GT. Más tarde se agregó a la gama el 2.0-16v, que desarrollaba 150 CV de potencia máxima como tope de gama (sustituyendo al 1.8i 16v).
- Al final de su vida comercial la gama de motores gasolina se redujo únicamente a un 1.6 litros de 100 CV y un 2.0 16V de 150 CV de potencia máxima.
Diésel
- Las mecánicas diésel eran un 1.9 litros atmosférico de 68 CV (que más tarde se redujeron a 64 para cumplir las normativas anticontaminación) o con turbocompresor y 75 CV.
- La novedad más importante fue la introducción de las mecánicas turbo diésel con inyección directa de combustible, ya existentes en otros modelos del Grupo Volkswagen: el 1.9 TDI de 90 CV y, posteriormente, de 110 CV.
Las motorizaciones incluían ya el starter automático, excepto las primeras motorizaciones diésel, que lo tenían manual hasta el año 1994."
(...)
---------------------------
[ El Seat Toledo I tuvo 2 fases en su evolución, la 1ª Fase presentada en 1991, y una 2ª Fase (restyling) presentada en 1995 ] :
- 1ª Fase [ 1991-1995 ]
"SEAT presentó el automóvil bajo el eslogan "Para un mundo exigente".
En su primera fase contaba con 4 acabados: CL, GL, GLX y GT/GT16v.
Luego llegarían versiones especiales como la Sport/Sport 2000 (1992-1993); alguno de los extras que al principio eran opcionales (OP) más adelante se incluirán de serie."
(...)
"En el Salón de Oporto de 1994 se presenta el acabado 2.0-16v, que sustituye al GT-16v. y un nuevo diseño del el interior para toda la gama, como el salpicadero con detalles en gris Champagne, rediseño de los paneles interiores de las puertas, nuevos asientos con nuevas tapicerías, manetas de los mandos (luces/limpia) y algún que otro pequeño detalle. También se incluye el airbag en opcional para conductor y acompañante para las versiones altas de gama.
En mayo de 1995 sufre unas pequeñas modificaciones que afectan al exterior.
Las calandras pasan a ser del color de la carrocería en todos los acabados. Los faros traseros pasan a ser combinados, los de la marcha atrás blanca de (CL, GL y Sport) con los intermitentes rosados de (GLX, GT y 2.0i-16v). Los faros pierden las inscripciones Toledo y el acabado, siendo sustituidos por unos anagramas cromáticos ubicados en el portón debajo de los faros con las inscripciones SEAT a la izquierda y Toledo a la derecha, se le añaden taloneras a todas las versiones el cual integraran una chapita con el acabado del modelo. Los retrovisores tendrán un brazo algo más curvo y pasarán de ser abatibles a ser plegables además de incluir en el espejo del conductor una línea vertical central para el ángulo de punto muerto."
(...)
- 2ª Fase [ 1995-1998 ]
"En el Salón de Fránkfurt de 1995 se presentó una reestilización del SEAT Toledo que llegaría al mercado en septiembre/octubre ese mismo año, en la que se modificó la gama de motorizaciones y la apariencia.
Se le añadieron unos parachoques más redondeados, nuevos faros y nueva calandra.
En el interior heredaría el último diseño pero con nuevas tapicerías, el inmovilizador y luces de cortesía con temporizador y apagado progresivo, el doble airbag (de conductor y acompañante) y nuevos elementos de seguridad como los pretensores de los cinturones y la tercera luz de freno.
En el equipamiento se incluyeron pequeñas mejoras, como la preinstalación del Tempomat (control de crucero) y el Komfortblinker (poner intermitente con un toque), exclusivamente en los modelos con motorizaciones TDI, esta novedad no era muy conocida pues se trataba de un extra que solo se incluiría su instalación realizada bajo concesionario oficial, aprovechando que el grupo había empezado a incluir esta función en más modelos de la marca, con solo cambiar la maneta izquierda, que era aparentemente la misma con la diferencia de incluir unos pequeños mandos para su manejo y activar la función con el VAG.COM.
La primera generación del SEAT Toledo se dejó de producir a finales de 1998 pero se estuvo vendiendo hasta marzo de 1999, junto con la segunda generación, de finales de 1998."
(...)
--------------------
SEAT Toledo I
[ Fabricante
SEAT (Grupo Volkswagen), España
Factoría ensamblaje
Barcelona, Zona Franca (1991-1993)
Martorell (1993-1998) ]
Período
1991-1998
559.041 unidades
Tipo
Automóvil de turismo
Carrocerías
Liftback cinco puertas
Largo / ancho/ alto / batalla
4320 / 1660 / 1425 / 2470 mm
Maletero
550 litros
Similares
Citroën Xantia
Fiat Tempra
Ford Mondeo
Opel Vectra
Peugeot 405
Renault Laguna
Volkswagen Passat
Diseñador
Giorgetto Giugiaro
Source: es.wikipedia.org/wiki/SEAT_Toledo_I
More info:
www.seatfansclub.com/2011/10/historia-vida-comercial-del-...
click here to view larger size photo on black
Same set-up as the initial test to compare the camera body Nikon D7000 vs the Sony NEX5-N:
www.flickr.com/photos/episa/6191987109/in/photostream
The findings at the focal length of 35mm are similar to the findings on the 24mm test:
- the resolution of the Sony body is at least just as good as the Nikon body.
- the high end Leica M lenses when mounted on the Sony body with a special adapter do not significantly outperform in resolution the entry level Sony zoom: the advantages of the Leica M design known for giving 3D like rendering on the Leica M9 do not seem to make an impact on the E mount design; at the same time the Sony lens seems to receive some in camera processing that improves its resolution/sharpening appearance in the final JPEG file.
- the color rendering of the Sony NEX5-N is whiter (less warm) than the Nikon. The last picture with the Sony lens 18-55mm was taken while a cloud obstructed some of the direct yellow sunlight and exagerates the cool rendering.
© 2009 g d tошиѕнеиdе. All Rights Reserved.
Head Above Water (Life Preserver — Click to Break Glass)
— Head Above Water, by Hall & Oates
THE QUIZ — Who built the first camera that was small and portable enough to be practical for photography? When was it built? And what was the builder's nationality? (I promise you, the answer will knock your tripod out from underneath you. :P)
The rules remain the same. No cheating! No Googling for the answer. If you choose to answer the question, leave the answer that first comes to your mind in a comment. I'll post the answer along with my next upload.
_____
THE PHOTO — This photo was taken on the same day as Puppy Dawg. (NOTE: Puppy Dawg is currently at 362 views! Thank you everyone!) It was actually taken before I spotted Puppy Dawg, and this scene is located further upriver from the Atlantic Ocean, behind some breakers, which is why the water here looks so calm. Puppy Dawg's fur was all blown about because of the wind coming off the Atlantic Ocean. Nonetheless, it was no less windy at the location of this particular photo.
What I love about this photo is its perspective. It looks like I was down among the rocks, but I was not. I was actually standing on a walkway a couple feet above them. The illusion is created by the wide-angle lens I was using and the in-camera "cropping" done to make sure that the walkway didn't appear in the photo.
Be sure to click on that life preserver link, too. This photo is best appreciated when wearing one.
Exposure: Aperture Priority | 1/40 sec | f/22 | ISO 100 | 16mm.
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PREVIOUS QUIZ QUESTION — Who invented the first electric car and when? And what was their nationality?
ANSWER — Believe it or not, "small electric vehicles predate the Otto cycle upon which Diesel (diesel engine) and Benz (gasoline engine) based the automobile." (emphasis added)¹ Knowing that, you have to wonder why electric vehicles never really came to fruition sooner. The standard arguments generally revolve around efficiency, but I think that's complete bullshit, to be honest. It's no small secret that business's primary concern is profit, even to the point of ignoring efficiency (except, of course, when seeking more efficient ways of increasing profits). I think the subtext I've inserted into this paragraph is clear.
Moving on, Robert Anderson, a Scottish businessman, was the inventor of the "first crude electric carriage." He invented this carriage sometime between 1832 and 1839. In contrast to my previous quiz regarding the invention of television, I find it interesting that although the exact date of Anderson's invention is unknown, there is apparently no doubt as to whom credit is to be given for this invention.
¹ from the Wikipedia article "Electric Car — 1830s - 1900s: Early History."
_____
NOTE — Sorry that I've not posted anything new lately. I've been away for the past few days (except to get online for a few minutes to comment on a few photos posted by my contacts each day). I'm still busy working on my office project. I'd mentioned before that I've been working on finishing a project to redecorate my office. Well, in all honesty, all the redecoration has been done for a while now: the walls and trim were painted (although the two walls I didn't paint could stand to be REpainted), and the new furniture was bought months ago. What's been crying out to be done, however, was the reorganisation of my books, my CDs, my DVDs, a thorough overhaul of my files and filing system, and a general cleaning up of the disarray that my home office has been in for months now.
My goal after getting laid off has been to go full bore after a career change, and it requires that I get this project done if I'm to hope for any semblance of success in my endeavor. Generally speaking, when I'm at work, I do my damnedest to keep my workspace clean and orderly. When I get home, however, I don't give a fuck. What I have in mind to do—freelance writing, both fiction and non-fiction—means working at home, and since I much prefer a clean and orderly work space, you should now understand the need and urgency for my getting this done. I've been home from Portugal now for two-and-a-half weeks, and I've allowed myself too much leeway in being lazy about this.
The "thorough overhaul of my files and filing system" was the most massive task of all. I quite literally had to go through five years' worth of files: credit card receipts/statements, bank statements, stock account statements (although those are only a couple years old), health benefits shit (one folder was easily 5 or 6 inches thick with stuff; that's 12,7 - 15,25 cm for my metric contacts), divorce papers (went through that back in 2003-2004), income tax files, and on and on and on.
I'm nearly done now, but there is still work to do. The books are done, the CDs are done, the DVDs are done, and the files are done!!! Got the last bits of that done Friday morning. This morning, I started on the closet. I've got office supplies and a wire shelf full of stuff in the closet. The top shelf in the closet has been rearranged and I actually managed to gain not only more than a foot of extra space, but also a much more pleasing arrangement of things, too. I now need to work on the wire shelf, and a couple of other things, and then the closet will be done.
There are still more things to do, however. The biggest issue right now is wiring concerns: I'm wanting to overhaul how I've done the wiring arrangement I created to connect my laptop to my external monitor, my external hard drives, my router (wish it was wireless), and my cable modem. Until now, it's been a complete pain-in-the-ever-lovin'-arse whenever I've wanted to disconnect the laptop from these things, especially the removal/reinstallation of the laptop's power cord, so that I could take it with me on vacation. I happened upon an idea just the other day that I think will do just the trick! :D (Another part of this wiring rearrangement will involve yet another trip to IKEA, where I will buy another insert (w/ door) for my bookcase (and then will FORCIBLY modify that insert as I did to the previous one I purchased), as well as another basket for the storage of photography related items. I'm also waiting for the Container Store to finish sending me some items I'd ordered to get my main desk drawer organised.)
Lately, despite the incredible progress I've made, this has been feeling like "the never-ending project." :P
I promise to post photos of the finished project, but I really won't have much in the way of "before and after" photos, as I didn't take any "before" photos until after I'd started working on this seemingly Herculean task, so you get what you get and you'll have to live with it. :P
Chancellor Michael Harris Initiates Intercollegiate Sports and NAIA, Cougar Volleyball, Michael Harris academic, Chancellor IU Kokomo, Chancellor Michael Harris, First Volleyball Student Athletes Recruits May 2011
www.iukcougars.com/article/2.php#.XrK12KhKg2x
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www.insideindianabusiness.com/newsitem.asp?ID=46170
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indianasportsjournal.com/2012/04/17/cougars-join-ranks-of...
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www.indianaeconomicdigest.net/main.asp?Search=1&Artic...
indianaeconomic55.1upprelaunch.com/main.asp?SectionID=31&...
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www.universitiesnews.com.previewdns.com/2012/05/20/us-iuk...
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tackk.com/michaelharrischancellor
So, for those of you who do not know NY I will tell you this... it isn't warm this time of year, in fact, it was maybe 40 degrees today. P.S. there was no sun either, that is right just a VERY long exposure.
I am not a warm weather person so-to speak-but we could use some sun.
Don't laugh at our beach I know it isn't an ocean HAHA.
I also went into the water. Not my best move considering it was 30 degrees and none of the shot would come out because I do all of these manual focus and I just couldn't get it right today.. Hard to pick a focusing target in water.
Anway here is one of the shots. It is okay, nothing to write home to mom about. All you sun shiney people take it easy on me I am a NY girl and spend very little time in the sun let alone a beach.
La divisa de la política agraria es la extinción del campesino. Acorralado desde hace décadas, ahora se le dice que no tiene salvación. En el adiós al actor que protagonizó la Revolución Mexicana también se empeña la soberanía alimentaria que, aunque se trate de un asunto de seguridad nacional, los gobiernos entregan a las trasnacionales. Aún por verse si el fin del ejido y la propiedad colectiva sólo generará más parias o provocará un movimiento organizado
Por: Marcos Chávez * @marcos_contra on contralinea.info/archivo-revista/index.php/2013/12/10/la-...
Podemos entonces decir, al observar cómo la “revolución mexicana” sepulta su credo “agrarista”: “¡Que los muertos entierren a sus propios muertos!”
José Luis Calva
Los saldos de la contrarreforma agropecuaria iniciada por Miguel de la Madrid, con sus cambios y adiciones a la Ley Federal de Reforma Agraria del 29 de diciembre de 1983, y llevada hasta sus últimas consecuencias por la “modernización” salinista, coronada con el Tratado de Libre Comercio de América del Norte, son impecables e implacables. La pérdida económico-estructural de la autosuficiencia y la soberanía alimentaria, y la creciente dependencia de la seguridad nacional de un veleidoso mercado internacional de alimentos, sometido a la ley de la piratería, al legendario “dejar hacer, dejar pasar” de las cosarias corporaciones y la esquizofrenia especulativa de los bucaneros financieros de los mercados de futuros de materias primas son algunas de las secuelas más elocuentes de la estrategia rural neoliberal de tierra arrasada.
La vieja utopía de la autosuficiencia, la seguridad nacional y la soberanía alimentaria del Estado nacionalista, basada en la producción interna, devino en un “mito genial”, para usar la expresión del Chicago Boy Pedro Aspe (maestro, jefe y consejero de Luis Videgaray, de quien, por cierto, se dice que su desmesurada arrogancia, en contraste con su artificiosa humildad mostrada ante los reflectores circenses mediáticos, y su anticipada ambición principesca, lo orilló a cometer el temprano e insolente parricidio político en contra de su mentor).
El sueño parido por la Revolución Mexicana y el reparto agrario, subordinado al modelo de industrialización y sometido al corporativismo estatal, había entrado en crisis en la década de 1970. Sus últimas esperanzas y sus ruinas fueron arrasadas definitivamente por el cambio radical en las estructuras y las técnicas de producción agropecuaria y en las relaciones sociales rurales inducido deliberadamente por los neoliberales. La orientación de este sector de la economía hacia la actividad empresarial, agroexportadora, integrada y sometida al mercado mundial y al nuevo régimen mundial de alimentos, de efectos dispares entre los productores, ha agudizado y generado nuevas formas de desigualdad socioeconómica.
Esta forma de “modernización” ha beneficiado básicamente a una minoría de productores: los agricultores capitalistas, las corporaciones trasnacionales agrícolas y agroindustriales, las grandes empresas comercializadoras, agregados al sistema internacional de alimentos y los requerimientos de los países, que han modificado las formas de producción, procesamiento y mercadeo del sector agrícola y del consumo; que disponen de la tecnología (productiva, la biotecnología, la ingeniería genética, en almacenaje, procesamiento, transporte, organización industrial, comunicaciones), el capital, el crédito y el beneficio de las políticas públicas (subsidios, impuestos, uso del agua, tolerancia a la contaminación y destrucción ambiental); que han impulsado la agroexportación, como la soya o el sorgo, de productos industriales (café, caña de azúcar), hortícolas y frutícolas, sin abandonar los granos básicos como el maíz; que han impuesto el poder de la agroindustria sobre los demás agricultores y los campesinos.
Del otro lado quedan los excluidos de siempre. Los campesinos tradicionales, dedicados a la producción de los principales cultivos alimentarios; a la cosecha declinante de productos básicos, cuya participación en del consumo nacional aparente (producción interna, más importaciones, menos exportaciones) se reduce sensiblemente debido a su precariedad social y la de sus procesos productivos, la reducción del área de producción y el ingreso masivo de los productos foráneos.
El resultado ha sido el aumento en la dependencia de las importaciones de alimentos de los países desarrollados, sobre todo estadunidenses, y la pérdida de la seguridad y la soberanía alimentaria.
De acuerdo con las cifras oficiales, de 1985 y 2012, la producción interna de los cuatro principales granos básicos y las cuatro oleaginosas más importantes pasó de 30 millones de toneladas a 35 millones, aumentó en 17.3 por ciento. Su tasa media anual de crecimiento fue de 0.8 por ciento. En 2008, la producción había sido de 37.9 millones, por lo que su nivel de 2012 fue 5.9 por ciento menor.
Entre 1985 y 2012, el consumo nacional aparente, sin considerar a las exportaciones, subió de 38.7 millones a 59.4 millones, en 53.3 por ciento. Su ritmo medio de expansión fue de 2.2 por ciento. Por persona, el consumo creció anualmente en 0.8 por ciento, de 374 kilogramos a 435.
La brecha entre la producción nacional y el consumo se ha ampliado en el tiempo. En 1985 la primera aportó el 79 por ciento del segundo, y en 2012 el 68 por ciento. La diferencia fue compensada con las crecientes importaciones.
Entre 1985 y 2012, la producción de granos básicos (maíz grano, frijol, arroz y trigo) pasó de 21 millones a 27 millones de toneladas, 29 por ciento más. Su tasa media de crecimiento fue de 1.3 por ciento. El consumo, en cambio, se elevó de 25 millones a 44 millones, en 75.6 por ciento más, y su ritmo promedio anual fue de 2.9 por ciento, el doble de la tasa de producción. El consumo por persona creció 2.7 por ciento cada año y pasó de 328 a 382 kilogramos. En 2009, la producción fue de 30 millones, por lo que en 2012 muestra una declinación de 10 por ciento. La aportación de tales granos en el consumo nacional cayó de 84 a 61 por ciento.
El deterioro de la producción de las oleaginosas (ajonjolí, cártamo, algodón hueso y soya) es aún más agudo. El consumo nacional y por persona creció a un ritmo anual de 2.7 y 0.7 por ciento, en cada caso. Ambos aumentaron 72 y 14 por ciento, de 3 millones a 5.2 millones de toneladas, y de 3.9 a 4.5 kilos. En contraste, la producción se desplomó de 2.3 millones de toneladas a 1.2 millones; cayó en 46 por ciento, a una tasa anual de 3 por ciento. Lógicamente, su participación relativa en el consumo nacional se redujo, de 76 por ciento del total a 24.
Aunque de manera menos aguda, la historia anterior se repite en los casos de la producción de carne en canal (bovina, porcina y aves) y la leche bovina. Luego de cubrir prácticamente la totalidad del consumo nacional, como también fue el caso del maíz, en 2012 contribuyen con el 81 y 84 por ciento, respectivamente.
El espacio perdido por la producción tradicional de bienes agropecuarios es ocupado por los llamados bienes comerciales y de exportación, destinados principalmente hacia el mercado estadunidense. Los más importantes son, en ese orden, tomate y hortalizas frescas o refrigeradas, aguacate, café, azúcar y, en menor medida, carnes bovina y porcina, pescados y mariscos.
El cúmulo de dificultades que enfrentan los productores tradicionales se refleja en la superficie sembrada de los 10 principales granos y oleaginosas, la cual se redujo de 15.5 millones de hectáreas a 12.9 millones entre 1985 y 2012, es decir, en un 17 por ciento. La cosechada respecto a la sembrada cayó de 90 a 78 por ciento, es decir, de alrededor de 14 millones a 10 millones de hectáreas. La extensión destinada a la actividad agrícola equivale al 15 por ciento de la superficie total del país. El resto corresponde a la pecuaria (58 por ciento) y la forestal (23 por ciento).
La creciente dependencia de las compras externas se manifiesta con mayor nitidez si se consideran individualmente los productos más importantes para la dieta de los mexicanos. Medido por volumen, entre 1985 y 2012 las importaciones de arroz (limpio, con cáscara y descascarillado, semiblanqueado y partido, convertidos a palay) pasaron a representar del 51 al 83 por ciento del total del consumo nacional aparente del grano. Las de trigo, de 28 a 64 por ciento. Las de carne porcina, de 17 a 41 por ciento. Las de maíz, de la autosuficiencia ahora se importa el 29 por ciento. La del frijol, de 2 a 18 por ciento. Las de carne y leche bovina, de 4 a 12 por ciento y de 15 a 17 por ciento. La carne de ave, de 8 a 16 por ciento. En el caso de la soya equivale hasta el 93 por ciento.
Como es natural, la combinación entre la declinante producción nacional agropecuaria y las ascendentes importaciones masivas tiene efectos negativos sobre el balance comercial agropecuario y agroindustrial.
La lógica del modelo era estimular las exportaciones agropecuarias, proceso que se aceleraría con el Tratado de Libre Comercio. Y lo lograron con el desplazamiento de productores del sector tradicional al comercial; o el desplazamiento de parte de la producción destinada al mercado interno hacia el exterior, como es el caso del arroz, cuyas ventas externas representaron el 2.5 por ciento de la producción en 2012, o del trigo, que fue equivalente hasta del 22 por ciento.
Las ventas externas aumentan de manera nada despreciable. Las agropecuarias lo hacen en 298 por ciento entre 1993 y 2013, al pasar de 2.8 mil millones de dólares a alrededor de 11.1 mil millones; y las agroindustriales en 970 por ciento, al aumentar de 1.2 mil millones a 13 mil millones. Pero las importaciones lo hacen a un mayor ritmo y eliminan el esfuerzo exportador.
Pese al sacrificio al que fue sometido durante el modelo cerrado de industrialización, como abastecedor de alimentos y materias primas baratas que provocaron su descapitalización, al abandono estatal de los hijos predilectos del régimen, como los calificara Arturo Warman, la estanflación de la década de 1980, las políticas ortodoxas de estabilización, las reformas estructurales neoliberales que precipitaron la profunda crisis estructural en la que vegeta desde 1970 el sector agropecuario, fue un aportador neto de divisas hasta 1994, año en que se inicia el Tratado de Libre Comercio. A partir de ese momento, el comercio exterior agropecuario pierde su capacidad superavitaria, para financiar sus propias importaciones y generar divisas adicionales para compensar el déficit comercial de la economía. Adopta un saldo negativo crónico, creciente, estructural. Se agrega como otro elemento más que gravita onerosamente sobre el desequilibrio externo y las necesidades de financiamiento internacional.
En 1993, la balanza agropecuaria arrojó su último saldo positivo por 63 millones de dólares. Al año siguiente éste se tornó negativo en 428 millones, y en 2012 se elevó a 2.3 mil millones. El balance de alimentos pasó de un déficit de 1.9 mil millones en 1994 a otro de 2.2 mil millones en 2012. El agroalimentario de 1.8 mil millones a 4.5 mil millones. Por su parte, la balanza agroindustrial, que excluye a los alimentos (bebidas y tabaco, productos textiles y del cuero, y productos químicos y otras manufacturas relacionadas), elevó su déficit de 193 millones a 437 millones.
De manera agregada, la balanza agroalimentaria e industrial amplió su déficit de 2.9 mil millones de dólares a 5 mil millones entre 1994 y 2012.
La creciente dependencia externa de esa clase de productos no es un fenómeno accidental. Tampoco el desplazamiento de los productores locales, ni la sustitución de la producción interna tradicional por los cultivos comerciales, la ganadería y la silvicultura de exportación, o por la competencia externa. Esa situación estaba prevista y deseada por quienes instrumentaron el ajuste estructural agropecuario.
Es parte del costo esperado por los neoliberales al impulsar la conversión de la actividad agropecuaria de la producción tradicional, considerada atrasada, premoderna, a otra empresarial, basada en las “ventajas comparativas”, calificada como “moderna”. Esta última recibirá todo el apoyo estatal para su reestructuración productiva y tecnológica.
Las reformas y adiciones a la Ley Federal de la Reforma Agraria de diciembre de 1983, calificada por el economista José Luis Calva como la “reforma más anticampesina que la reforma alemanista del Artículo 27 constitucional [que en] 1946 concedió el derecho de amparo a los latifundistas que contaran con certificado de inafectabilidad”, pues Miguel de la Madrid extendió “el beneficio de los certificados a [todos] los latifundistas, [los cuales] tendrán ahora derecho generalizado al amparo, [hecho que] significa la cancelación del reparto de las tierras excedentes de los latifundios” (“En el lecho de muerte de la Reforma Agraria”, Momento Económico, 1984), y el cambio salinista al Artículo 27 de la Constitución Política de los Estados Unidos Mexicanos en 1992, no sólo terminan legalmente con el ciclo agrario posrevolucionario, después estimulado por el reformismo rural latinoamericano de la Alianza para el Progreso, de la década de 1960, la respuesta de John F Kennedy al terrible fantasma agitado por la Revolución Cubana, con el cual se busca atemperar el descontento del campesinado y desactivar los eventuales cambios radicales.
También buscan acabar con la explotación comunal de los ejidos y las comunidades agrarias y la concesión de títulos de propiedad de la tierra a sus poseedores; dar certeza jurídica a la asociación entre éstos y el capital privado; y crear el mercado de la tierra del sector social para su subsecuente venta a los grandes capitalistas, estimuladas por el cambio a la Ley de Inversión Extranjera Directa y el Tratado de Libre Comercio.
“Técnicamente”, lo anterior es pomposamente calificado por los economistas como la “movilidad de los factores de la producción”.
El salinista Plan Nacional de Modernización del Campo elimina las regulaciones a la producción y la comercialización (precios de garantía, organismos públicos que lo administran), la intervención estatal y las barreras proteccionistas que empiezan a ser desmanteladas en 1985 (Luis Téllez, La modernización del sector agropecuario y forestal. Una visión de la modernización en México, Fondo de Cultura Económica, México, 1994). Hasta ese momento, los permisos previos a las importaciones agropecuarias y de alimentos, así como el arancel promedio ponderado aplicado a las mismas, protegían completamente aquellos sectores. Pero al iniciarse el Tratado, el arancel ya había caído a 8 y 16 por ciento. En 2013 son de 0.2 y 1.2 por ciento. Es decir, el mercado está completamente abierto. La rápida, unilateral y sin reciprocidad apertura comercial, tenía por objeto forzar la eficiencia y la productividad rural a través de la competencia internacional, y promover las “ventajas comparativas” del sector para participar en el mercado global de alimentos.
Con el ajuste estructural se pensaba abrir el camino a la “modernización” agropecuaria y agroindustrial. Adicionalmente, la apertura comercial y la sobrevaluación cambiaria aspiraban a reducir las cotizaciones de esos bienes producidos localmente, y la inflación general (Ley de Precio Único: precios internos iguales a los externos, más la tasa de devaluación), abatir los costos de los bienes rurales utilizados como insumos y asegurar el abastecimiento del consumo nacional con las importaciones supuestamente más baratas.
Ello implicó abandonar viejos conceptos que chocan con la lógica del mercado:
1) La soberanía alimentaria: el derecho de la sociedad al acceso de alimentos nutritivos y culturalmente adecuados, accesibles, producidos de forma sostenible y ecológica; a definir sus propias políticas agroalimentarias y la gestión de los recursos hídricos, semillas y biodiversidad, como parte del derecho a la alimentación. A contrapelo de la producción capitalista, el control ejercido por unas cuantas empresas, la dinámica especulativa de precios y cantidades, y el empleo de los alimentos como instrumento de presión y dominación económica y política.
2) La seguridad nacional alimentaria: la garantía de la población para disponer de alimentos en cantidad y calidad suficientes, a precios accesibles y estables y sin riesgos para su salud, asociadas a los pesticidas, transgénicos u otros productos químicos. La Unión Europea emplea el término Food security para referirse a la inocuidad de los alimentos. La Organización Mundial de la Salud habla de Food safety.
3) La autosuficiencia alimentaria: el esfuerzo nacional para satisfacer las necesidades alimentarias de la población a través de la producción local.
Los neoliberales también esperaban que el mercado se encargara de “disciplinar” a los productores: se vuelven competitivos o se dedican a otro negocio, como dijera el cínico Chicago Boy salinista Luis Téllez. “Por desgracia –agregó Téllez en 1992– no hay de muchas sopas. Debemos aumentar la productividad y los proyectos rentables. No hay mucho para donde hacerse”. (www.nexos.com.mx/?P=leerarticulo&Article=447083). El mercado eliminará a los ineficientes e incapaces de reciclarse. Y los neoliberales le ayudarían al “mercado”, eliminándoles los apoyos que, según otro Chicago Boy, Santiago Levy, los habían convertido en “parásitos de los subsidios públicos”.
La recomposición sectorial implicaría la desarticulación del orden anterior y la ruina de al menos 4 millones de productores tradicionales.
La autosuficiencia se transformó en la subordinación de la producción externa de alimentos. La soberanía en la dependencia de las importaciones provenientes de Estados Unidos, país que proporciona poco menos del 77 por ciento de las compras externas de esos bienes. La seguridad nacional descansa en los intereses de esa nación a las corporaciones.
Los consumidores, la inflación interna y las cuentas externas se beneficiaron temporalmente de la baja de los precios de los alimentos importados registrados en la primera mitad de la primera década de este siglo. Pero después han resentido el alza especulativa de las cotizaciones. Los más afectados son el 45 por ciento de la población urbana y el 61 por ciento de la rural, cuyos ingresos son inferiores a la llamada línea de pobreza nacional.
La situación actual del sector rural es el ejemplo paradigmático de la “modernización” neoliberal salvajemente excluyente.
*Economista
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