View allAll Photos Tagged moquer

Et faire ce que l'ON veut.

 

LACPIXEL - 2023

 

Please don't use this image without my explicit permission.

 

© All rights reserved

English version follow

 

Le hangar rouge*

 

Je suis né ici, face à cette mer toujours incertaine

Mon père et mon arrière-grand-père aussi

Des aventuriers de contes épiques,

dont les ancêtres étaient venus de loin pour s’inventer un pays tout aussi incertain.

Moi, je suis poète. Mais c’est pareil… un zeste aventurier.

 

Je reviens ici de temps à autre

Pour mieux entendre les battements de mon coeur…

 

…s’emballer lorsqu’un poisson récalcitrant mord à ma ligne…

Et entendre Paul, un ami de jeunesse resté ici, se moquer de moi en me regardant paniquer, comme il le faisait autrefois. Il y a des choses qu’on ne veut pas voir changer…

 

…Comme notre vieille école qui lutte pour conserver une illusoire jeunesse.

 

Je reviens ici de temps à autre

Pour mieux entendre les battements de mon coeur…

 

…se briser en voyant le vide laissé par la disparition de l’Hôtel Central et de son propriétaire. Monsieur Smith, toujours souriant, me laissait jouer de la contrebasse, debout sur une chaise dans la salle de bal. J’étais trop petit…

 

…s’accélérer comme une tornade en retrouvant les gravures de mon nom et de celui de Jeanne, unies par un coeur, cachées sur le mur arrière du vieux hangar de pêche rouge, face à la mer. C’était notre secret.

 

Ce vieux hangar était alors pour moi, le centre du monde!

Il l’est resté.

_____________

 

Patrice photographiste

 

* Fiction inspirée d’une visite à Fogo Island, Terre-Neuve, Canada

 

____________________________

 

THE RED SHED*

 

I was born here, facing this still uncertain sea;

My father and my great-grandfather too

Adventurers of epic tales,

whose ancestors came from afar to invent an equally uncertain country.

I am a poet. But it's equally ... adventurous.

 

I come back here from time to time

To better connect with my heart ...

 

... get carried away when a recalcitrant fish bites my line ...

And to hear Paul, a friend of my youth who stayed here, laughing at me and watching me panic, as he always did. There are things we don't want to change ...

 

… Like our old school struggling to maintain an illusory youth.

 

I come back here from time to time

To better connect with my heart ...

 

... shatter when seeing the void left by the disappearance of the Hotel Central and its owner. Mr. Smith, always smiling, let me play the double bass, standing on a chair in the ballroom. I was too small ...

 

... speed up like a tornado when finding the engravings of my name and that of Jeanne, united by a heart, hidden on the back wall of the old red fishing shed, facing the sea. It was our secret.

 

This old shed was then for me the center of the world!

It still is.

 

____________

 

Patrice photographiste

* Fiction based on a visit to Fogo Island, Newfoundland,Canada

  

Challenge chromatique - Photo n°3

 

LACPIXEL - 2021

 

Fluidr

 

Please don't use this image without my explicit permission.

© All rights reserved

Rire

Se moquer

Provoquer

C'est ça la France.

Ballade des pendus

Frères humains, qui après nous vivez,

N’ayez les coeurs contre nous endurcis,

Car, si pitié de nous pauvres avez,

Dieu en aura plus tôt de vous mercis.

Vous nous voyez ci attachés, cinq, six :

Quant à la chair, que trop avons nourrie,

Elle est piéça dévorée et pourrie,

Et nous, les os, devenons cendre et poudre.

De notre mal personne ne s’en rie ;

Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

Se frères vous clamons, pas n’en devez

Avoir dédain, quoique fûmes occis

Par justice. Toutefois, vous savez

Que tous hommes n’ont pas bon sens rassis.

Excusez-nous, puisque sommes transis,

Envers le fils de la Vierge Marie,

Que sa grâce ne soit pour nous tarie,

Nous préservant de l’infernale foudre.

Nous sommes morts, âme ne nous harie,

Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

La pluie nous a débués et lavés,

Et le soleil desséchés et noircis.

Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés,

Et arraché la barbe et les sourcils.

Jamais nul temps nous ne sommes assis

Puis çà, puis là, comme le vent varie,

A son plaisir sans cesser nous charrie,

Plus becquetés d’oiseaux que dés à coudre.

Ne soyez donc de notre confrérie ;

Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

Prince Jésus, qui sur tous a maistrie,

Garde qu’Enfer n’ait de nous seigneurie :

A lui n’ayons que faire ne que soudre.

Hommes, ici n’a point de moquerie ;

Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

François Villon

1 ) Les gars de droite :

" Dibibidiiibidi siiiggg dibididizzi ?!! Schrunch dinbidiiii zguz !"

 

2) Les gars de gauche :

" zufzeug prrrttt zggnrtif ! djzpojpjekfnodj dkkzjdpkj^pso..."

 

TRADUCTION :

 

1) " Mais qu'est-ce que c'est que ces choses ?!! Ils sont tous fins et ne ressemblent à rien ! "

 

2) " Non mais regardez devant ce qu'ils sont moches avec leur forme bizarre !

Il paraît qu'il faut de tout dans l'univers mais quand même..."

  

3) La photographe :

" Oh ce qu'ils sont rigolos ! C'est cool d'être sur une autre planète" se dit-elle sans comprendre les mots au goût amer ni la moquerie des deux " camps".

 

Ce grand gaillard, surgissant des hautes herbes tel un simple pokemon légendaire aux aguets (ou, en l'occurrence, un dresseur pokemon), semble bien affairé à son portable, à côté... D'un coiffeur.

 

Pas de moqueries, cependant : d'une, ce qui me fait penser à un aspect échevelé c'est sa présence sortie de la chevelure des hautes herbes,, de deux, si vous ricanez à son sujet, la gravité, l'âge et la testostérone finiront d'avoir raison de votre ironie !

 

Et à titre personnel j'aime trop mes cheveux pour prendre le risque de courroucer la Loi de Murphy, dite "Loi de l'Emmerdement Maximum", version "méchante" du karma.

 

Et puis, ces ombres de végétation, elles rendent bien, non ?

Et vous ne trouvez pas qu'on dirait VRAIMENT qu'il surgit, tel un immense brin d'herbe bleue au milieu des plantations de cette rue ?!

À tous les utopistes et à tous les rêveurs, tous les fraternels de ce monde

À mes frères anarchistes, à la beauté des fleurs, cette petite fille sous les bombes

Dessinons une étoile comme une destination, créons de sa plume orpheline

Ces gens aux bras ouverts qui offrent l'horizon aux yeux de ces enfants de l'exil

À celui qui héberge, celui qui bosse sans toit, au migrant accueilli en chemin

Au soignant tenant main, à celui qui s'en va, au mendiant, à l'offrande du vin

À l'alcool partagé, à celui qui a froid, à celui qui offrira son pain

À ces gens dont la vie reste le seul combat, celui dont survivrait le destin

À celle qui donnera le sein à l'orphelin, à ceux dont le seul Dieu est partage

À la mère pardonnant un jour à l'assassin, de son enfant sachant le naufrage

Que la haine faite ici consomme la vengeance, celui dont le cœur reste amour

À ces âmes éclairées qui n'ont pour seule violence que les larmes à leurs yeux en tambour

À l'animal courant droit vers le sacrifice de sa vie pour sauver son maître

À celui se jetant corps dans le précipice pour remonter le corps d'un autre être

À celui dans les flammes qui sacrifie sa vie pour tenter de sauver un berceau

À l'oiseau dont les ailes blessées par le fusil recouvrent leur envol pour là-haut

À ces chants de marins, la nuit venant du large, ami trinquons nos vins, nos sanglots

C'est à l'encre des yeux que s'écrivent nos pages aux mémoires de ceux partis là-haut

Aux étoiles éclairant l'univers de la nuit des prénoms de nos amis morts

À ces soleils toujours faisant naître la vie des ténèbres en accouchant l'aurore

Au partage de l'avoir pour la beauté de l'être puisque c'est notre histoire, malheureux

Toujours la lutte entre l'être ou bien le paraître, entre le milliardaire et le gueux

À celui dont la gloire, oui se compte en offrant bien plus qu'en nombre de diamants

À ces gens qui n'ont rien que leur propre vie, si tu savais comme leur cœur est grand

À ces adolescents pavés contre matraques pour lever vers le ciel tête haute à la mort

Ces fous magnifiques, leur rose face aux chars, corps des disparus de ces navires sans port

Qui seuls face au naufrage, bravant tous les typhons dans la brume soudain aperçoivent une plage

À celui dont l'amour le laisse sur un carrefour comme on laisse une balise, comme on laisse un bagage

À la femme violée redécouvrant tendresse, ses enfants battus découvrant la caresse

Quand l'amour vous offre la délicatesse, au croyant sans église redécouvrant la messe

À toute l'humanité dans ce mouchoir tendu à celui dont les yeux s'inondent sous les crues

Contre tous les outrages, contre toutes les moqueries

Il n'est pas de plus grand courage qu'être gentil

Damien Saez - La beauté du coeur

www.youtube.com/watch?v=t2PFeh8V-Oo

 

à tous les utopistes et à tous les rêveurs,

à tous les fraternels de ce monde

à mes frères anarchistes, à la beauté des fleurs,

à cette petite fille sous les bombes

dessinons une étoile comme une destination,

créons de sa plume orpheline

à ces gens bras ouverts qui offrent l'horizon

aux yeux de ces enfants de l'exil

à celui qui héberge celui qui va sans toit

au migrant accueilli en chemin

au soignant tenant main à celui qui s'en va

au mendiant, à l'offrande du vin

à l'alcool partagé à celui qui a froid

à celui qui offrira son pain

à ces gens dont la vie reste le seul combat

celui dont survivrait le destin

à celle qui donnera le sein à l'orphelin

à ceux dont le seul Dieu est partage

à la mère pardonnant un jour à l'assassin

de son enfant sachant le naufrage

que la haine fait ici quand sonne la vengeance

à celui dont le cœur reste amour

à ces âmes éclairées qui n'ont pour seule violence

que les larmes à leurs yeux en tambour

à l'animal courant droit vers le sacrifice

de sa vie pour sauver son maître

à celui se jetant corps dans le précipice

pour remonter le corps d'un autre être

à celui dans les flammes qui sacrifie sa vie

pour tenter de sauver un berceau

à l'oiseau dont les ailes blessées par le fusil

recouvrent leur envol pour là-haut

à ces chants de marins, la nuit venant du large,

ami trinquons nos vins nos sanglots

c'est à l'encre des yeux que s'écrivent nos pages

aux mémoires de ceux partis là-haut

aux étoiles éclairant l'univers de la nuit

des prénoms de nos amis morts

à ces soleils toujours faisant naître la vie

des ténèbres en accouchant l'aurore

au partage de l'avoir pour la beauté de l'être

puisque c'est notre histoire, malheureux

toujours la lutte entre l'être ou bien le paraître

entre le milliardaire et le gueux

à celui dont la gloire, oui se compte en offrandes

bien plus qu'en nombre de diamants

à ces gens qui n'ont rien que leur propre viande

si tu savais comme leur cœur est grand

à ces adolescents pavés contre matraques

poings levés vers le ciel tête haute à la mort

à ces fous magnifiques, leur rose face aux chars,

aux corps des disparus de ces navires sans port

qui seuls face au naufrage, bravant tous les typhons

dans la brume soudain aperçoivent une plage

à celui dont l'amour le laisse sur un carrefour

comme on laisse une balise comme on laisse un bagage

à la femme violée redécouvrant tendresse

ses enfants battus découvrant la caresse

quand l'amour vous offre la délicatesse

au croyant sans église redécouvrant la messe

à toute l'humanité dans ce mouchoir tendu

à celui dont les yeux s'inondent sous les crues

 

contre tous les outrages, contre toutes les moqueries

il n'est pas de plus grand courage qu'être gentil

il n'est pas de plus grand courage qu'être gentil

il n'est pas de plus grand courage qu'être gentil

contre tous les outrages, contre toutes les moqueries

il n'est pas de plus grand courage qu'être gentil

 

Damien Saez, la Beauté du cœur

 

ATTENTION : Ce personnage peut paraître grimaçant de prime abord. Il s'agit d'un simple effet freezing. Cela fait partie de ces mini expressions qu'on ne peut pas saisir sciemment.

Pour autant j'ai trouvé qu'elle provoquait un petit "plus" d'humour dans cette image : la moquerie n'est pas souhaitable, mais la perturbation induite par cette langue qui dépassa une fraction de seconde me semble plaisante.

 

J'ignore si je devrais la garder. J'ai une vraie affection pour cette attitude qui me semble pleine de fraîcheur. Mais je m'en remets à votre sagesse, si vous avez un avis à ce sujet...

Nature ART

Pareidolie

 

a Smiley in the rocks,

granite from an old quarry, a few kilometres from my home in the forest.

In this play of light and shadow, on this piece of rock, seemed to want to laugh at me if I took a picture,/

 

un Smiley dans les rochers,

de granit provenant d’une ancienne carrière, à quelques kilomètres de chez moi dans la forêt.

Dans ce jeu d’ombre et de lumière, sur ce pan de roches, ce visage semblait vouloir se moquer de moi qui prenais une photo.

  

Thank you for your visits, compliments and stars..!

Merci à vous pour vos visites, compliments et étoiles..!

 

I am unused to this species and so I was pretty shocked to find it (a) eating Sumac and (b) more or less unconcerned about my presence. It was a migration highlight from my visit to Prince Edward County a month or so ago. A pair of the species were quite active for a couple of days before they moved on, heading northward.

 

I always feel a bit worried when birds are eating Sumac - my sense is that it is the bottom of the winter/spring barrel, and a sign that birds are frustrated nutritionally. I may be wrong but it seems like the bird equivalent of crackers: better than nothing, but barely. The weather was windy and cool, and the insects were driven down low or sent into hiding. Warblers too seemed a bit frantic, but they did not stoop to Sumac.

An informal series of Sumac perches continues with this Catbird, enjoying the evening light as it hunts for food.

Point de moquerie envers Nadia, sa veste, au demeurant très belle, me fait penser à Buffalo... Sauf que dans ce cas Madame n'essayait pas d'entendre le troupeau de bisons arriver ! :-)

Jpeg noir et blanc généré par le boitier.

Le résultat de cette prise : www.flickr.com/photos/a_new_girl/26518309124/in/dateposted/

🇫🇷 Dernier soleil d'été

 

Lorsqu'on se promène dans une 🌳friche🌳, l'endroit parait abandonné, anarchique, pauvre. Même si l'automne commence à se moquer de l'été, il y a encore de belles surprises à admirer dans cet environnement d'aspect peu fréquentable. Il y a là des sénéçons qui dressent fièrement leurs capitules d'un jaune de soleil vers un ciel maintenant plus frais. Et on se dit alors que rien - ni la 🌳friche🌳, ni la saison - ne peut décourager cette plante à lancer ses fleurs comme une dernière offrande à l'été.

 

🌿🌿🌿🌿🌿 🌿🌿🌿🌿🌿

 

🇺🇸 ️The last summer sun

 

When you walk through a 🌳wilderness🌳, the place looks abandoned, lawless, poor. Even though autumn is starting to mock the summer, there are still some nice surprises to admire in this unfriendly looking environment. There are senna plants proudly raising their sunny yellow flower heads to a now cooler sky. And then you think to yourself that nothing - neither the 🌳wilderness🌳, nor the season - can discourage this plant from throwing its flowers as a last offering to the summer.

  

Sénéçon du Cap / Narrow-leaved ragwort / Senecio inaequidens

 

Milieu naturel, écosystème :🌳Friche🌳

Natural environment, ecosystem:🌳Wilderness🌳

 

📷ISO 160, 105mm, f/7.1, 1/800

 

web site : pascalechevest.com

instagram : pascalechevest_nature

  

I generally shift from early morning expeditions to late evening ones at a point in the fall where the overnight temperature suggests birds will not be active in the morning. This image was obtained on one of my last morning outings, and pretty much exactly as the sun broke the horizon.

 

This species is a nesting visitor to our part of the world, and a very vocal part of outings in the summer.

 

The busy setting, with some fall colours in the background, is so characteristic of this species that it belongs to the genus ‘Dumetella’, which means ‘small thicket’ (thanks to CornellLab for the info).

...L’humour et le rire sont une baguette magique pour mettre à distance et chasser les soucis du quotidien...

 

La revanche des animaux...

 

Le maître de ce monde, hautain et arrogant

S’était arrogé seul et sans prendre de gants

De mère nature, les ressources et les droits

Pillant, creusant, brûlant , la terre en maints endroits.

 

Fatigués écœurés, voici les animaux,

Réunis en congrès pour décrire leurs maux :

‘Il a sali la mer !’ gémissait la baleine .

‘Brûlé ma savane !’ pleurait encore la hyène .

‘Saccagé ma forêt !’, répliquait le babouin.

‘Coupé mon bel arbre !’ dit l’écureuil chafouin.

Il nous faut réagir, hurlèrent-ils d’un seul cri

‘A toi d’agir, lion, toi qui est le plus fort,

Montre lui tous tes crocs, boute-le au dehors !’

‘Hélas’, répliqua t-il, ‘que faire contre un fusil ?’

‘Ça ne peut plus durer ! Il faut que tout s’arrête !’

Personne n’a d’idée, personne ne dit mot,

Sauf une petite voix, encore bien fluette !

‘Si, moi je le peux ! je suis petit mais costaud !

Mon ami pangolin, lui, me transportera,

J’irai trouver les hommes… advienne-que-pourra !’

 

Ces mots firent la joie des rieurs de tout bord :

‘Mais tu es un minus, Tu te crois le plus fort ?’

Faisant cesser les rires, le lion acquiesça !

‘Silence dans les rang !’ – La moquerie cessa !

‘ J’en ai fait l’expérience, alors écoutez moi :

On a toujours besoin d’un plus petit que soit !’

Et sitôt dit, sitôt fait,

Le microbe transhumait

Puis agissant aussitôt,

Il avisa un badaud :

‘Mais que faisiez-vous céans ?’

‘Je chantais, ne vous déplaise’

‘Vous chantiez ? j’en suis fort aise.

Et bien … toussez maintenant !’

 

Prenez soin de vous

Bien que présents en grand nombre dans cette scène de rue, les pigeons ne semblent préoccuper ni la marcheuse ni le personnage de street art figurant sur cette image photographiée à Santiago au Chili.

 

MAKING FUN OF PIGEONS

 

Although present in large numbers in this street scene, pigeons do not appear to be of concern to either the walker or the street art figure in this image taken in Santiago, Chile.

There is no mistaking the plumage of a juvenile Gray Catbird. I think I bought a fluffy fleece that looked like that several years ago, and my wife wouldn’t let me wear it in public. In any event, these birds are summer residents around the Lake, and getting ready, like the arriving migrants, to move south. While this is not a noteworthy bird, I really liked the first real signs of fall transitions in the foliage around it, and the contrast with the very young bird.

elle va comprendre la tiote ce qu'est la vie.

Le pot de cet VW est un peut le reflet de la vie, sa te gueule dans les oreilles et sa te pollue.

Elle est partie minimum pour 14 ans d'études à se faire rabâcher des ordres par des Mr ou Me qui se croient plus malin que tout le monde.

On oublie pas les leçons, les devoirs, les moqueries, les cours de sport etc.....

 

C'est compliqué d'être gamin à notre époque, il faut savoir jongler avec pleins de choses.

 

J'ai eu de la chance à mon époque, j'ai su m'en sortir sans trop de séquelles.

L'administration française est sujette à de nombreuses râleries, moqueries et menteries, avouons-le...

 

Mais, quand la CAF est fermée, il y a des scènes qui, par le plus grand des hasards graphiques, sont assez...Parlantes ? :-))

Hatteras Island, Outer Banks (North Carolina)

La chambre à coucher était l'une des marques du statut du seigneur. Contrairement aux autres personnes destinées à être logées dans le château (les domestiques dans le grenier ou les hôtes de passage dans la Salle Haute), le maître des lieux disposait avec ses proches d'un lieu privatif qui lui permettait de s'isoler et d'avoir une relative intimité.

Seuls les invités de marque avaient le privilège d'avoir leur propre chambre, comme ce fut le cas ici pour le roi François Ier.

Des petites pièces annexes, cabinets, garde-robes, vont se multiplier au fil des siècles pour former au final de véritables appartements. À la fin du XIIè siècle apparaît dans les demeures les plus prestigieuses la séparation des espaces époux/épouse.

 

Le lit est pratiquement le seul meuble confortable du logis. Il sert pour dormir, mais aussi de divan. On distingue le lit de parement, monumental, richement orné, meuble d'apparat par excellence (celui de Charles VI à la fin du XVè siècle aurait fait près de 40m2 !) et la couche ou couchette plus commode où l'on passe effectivement la nuit.

Avoir un lit à soi relève du confort car le plus souvent on dort à plusieurs dans le même lit... ce qui est parfois source de moquerie ou de critiques (en 1496, un ecclésiastique de Saint-Brieux interdira aux frères et soeurs de plus de 7 ans de dormir ensemble).

On dort nu quel que soit son statut social, la tête couverte d'un bonnet ou d'une coiffe [...], d'où l'intérêt des couvertures de fourrure et des courtepointes (sortes de couettes rembourrées et "pourpointées" c'est-à-dire matelassées.

[...]

Au lever, on s'habille dans son lit pour ne pas attraper froid. On effectue ensuite quelques mouvements, pour "chasser les humeurs corrompues de la nuit", on se lave les mains, le visage, puis on fait sa prière.

Les paysans, eux, dorment directement sur la paille (d'où l'expression "être sur la paille")."

D'après le texte présenté dans le musée.

  

L'épitaphe Villon ( La ballade des pendus)

   

Frères humains qui après nous vivez,

N'ayez les coeurs contre nous endurcis,

Car, si pitié de nous pauvres avez,

Dieu en aura plus tôt de vous mercis.

Vous nous voyez ci attachés cinq, six :

Quant à la chair, que trop avons nourrie,

Elle est piéça dévorée et pourrie,

Et nous, les os, devenons cendre et poudre.

De notre mal personne ne s'en rie ;

Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

 

Si frères vous clamons, pas n'en devez

Avoir dédain, quoique fûmes occis

Par justice. Toutefois vous savez

Que tous hommes n'ont pas bon sens rassis ;

Excusez-nous, puisque sommes transis,

Envers le fils de la Vierge Marie,

Que sa grâce ne soit pour nous tarie,

Nous préservant de l'infernale foudre.

Nous sommes morts, âme ne nous harie,

Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

 

La pluie nous a débués et lavés,

Et le soleil desséchés et noircis ;

Pies, corbeaux, nous ont les yeux cavés,

Et arraché la barbe et les sourcils.

Jamais nul temps nous ne sommes assis ;

Puis çà, puis là, comme le vent varie,

À son plaisir sans cesser nous charrie,

Plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre.

Ne soyez donc de notre confrérie ;

Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

 

Prince Jésus, qui sur tous a maistrie,

Garde qu'Enfer n'ait de nous seigneurie :

À lui n'ayons que faire ni que soudre.

Hommes, ici n'a point de moquerie ;

Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !

 

François Villon ( 1431? -1463 ?)

In der Königlichen -Garten-Akademie erfreute sie die Besucher*innen, hier soll sie Euch anlachen!

Danke für den Besuch, liebe Flickr-Freunde.

 

In the Royal Garden Academy, she delighted the visitors, here she is supposed to laugh at you!

Thank you for visiting, dear Flickr friends.

 

Dans la Royal Garden Academy, elle a enchanté les visiteurs, ici elle est censée se moquer de vous!

Merci de votre visite, chers amis Flickr.

 

En la Royal Garden Academy, ella deleitó a los visitantes, aquí se supone que se ríe de ti!

Gracias por su visita, queridos amigos de Flickr.

 

Na Royal Garden Academy, ela encantou os visitantes, aqui deveria se divertir com você!

Obrigado pela sua visita, queridos amigos do Flickr.

 

Nella Royal Garden Academy, ha deliziato i visitatori, qui lei dovrebbe ridere di voi!

Grazie per aver visitato, cari amici di Flickr.

 

In de Koninklijke Tuin Academie is ze blij met de bezoekers, hier moet ze lachen om je!

Dank u voor uw bezoek, beste vrienden van Flickr.

Merci de ne pas vous moquer.

A Monument of Folly est une ode à la relation entre le bouffon de cour et l'alter ego. Le bouffon de la cour médiévale et sa babiole ne sont peut-être pas pertinents dans la société d'aujourd'hui, mais leur dynamique et leur esprit ne le sont pas. Le bouffon joue ouvertement différents rôles sans le masquer, est à la fois bouc émissaire et mascotte et est donc considéré comme sans prétention et inoffensif. Cela permet au personnage de s'exprimer librement, de se moquer et de critiquer, et de franchir les frontières culturelles, religieuses, politiques et sociales.

 

A Monument of Folly is an ode to the relation between the court jester and the alter ego. The medieval court jester and their bauble might be irrelevant in nowadays society but their dynamics and spirit isn’t. The jester openly plays different roles without masking it, is a scapegoat and a mascot at the same time and is therefore seen as unpretentious and harmless. This allows the character to speak freely, to mock and criticize, and to cross cultural, religious, political and social lines.

Ce spectacle est proposé aux Carrières des Lumières et est suivi d'une mise en scène d'oeuvres de Monet.

 

fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Rousseau :

Henri Rousseau, aussi appelé « Le Douanier Rousseau », né le 21 mai 1844 à Laval (Mayenne), mort le 2 septembre 1910 à Paris, est un peintre français, considéré comme un représentant majeur de l'art naïf.

Issu d'une famille modeste, il étudie le droit avant de partir à Paris et travailler à l'octroi où il occupe un poste de commis de deuxième classe, dans le cadre duquel il contrôle les entrées de boissons alcoolisées à Paris. Cette position lui vaudra son surnom de « Douanier ».

 

Il apprend lui-même la peinture et produit un grand nombre de toiles. Elles représentent souvent des paysages de jungle. Lui n'a pourtant jamais quitté la France, son inspiration provient surtout de livres illustrés, de jardins botaniques, et de rencontres avec des soldats ayant participé à l'intervention française au Mexique.

Ses toiles montrent une technique élaborée, mais leur aspect enfantin lui vaut beaucoup de moqueries. Habitué du Salon des indépendants, il commence à recevoir des critiques positives à partir de 1891 et rencontre quelques autres artistes à la fin de sa vie, comme Marie Laurencin, Robert Delaunay, Paul Signac, Guillaume Apollinaire, Jean-Léon Gérôme, Alexandre Cabanel, Edgar Degas, William Bouguereau, Paul Gauguin, Alfred Jarry, Toulouse-Lautrec et Pablo Picasso. Son travail est aujourd'hui considéré comme crucial pour l'art naïf et il a influencé de nombreux artistes, notamment des surréalistes.

Banksy est un graffeur, peintre, artiste de rue. Il travaille sous un pseudonyme, et sa véritable identité fait l'objet de nombreuses spéculations.

 

C'est en terre natale que Banksy sera le plus prolifique. Plus de 80 % de ses œuvres ont été réalisées au Royaume-Uni. Londres er Bristol (que l'on croit être sa ville natale) deviendront assez naturellement ses terrains de jeu favoris.

La première grande peinture murale connue de Banksy est ‘’The mild mild west’’ qu’il réalise en 1997 sur Stokes Croft à Bristol. Elle représente un ours en peluche jetant un cocktail Molotov vers trois policiers anti-émeute. Les premières oeuvres abordent des thèmes qui n’ont jamais quitté Banksy depuis : anticonformisme, antiestablishement, pacifisme, anticapitalisme… qu’il traitera avec ironie, poésie et moquerie comme il le fait encore aujourd’hui.

 

Malgré son ressenti négatif à l'égard de la vente d’oeuvre d’art et ses efforts incessants pour rester indépendant face aux excès de ce marché, Banksy a dû s'avouer vaincu. Il est vrai qu'il s'est toujours opposé à la marchandisation de l’art en vendant plusieurs œuvres à un prix inférieur à celui du marché par l'intermédiaire de la société West Control. Et pourtant, avec des peintures vendues aux enchères pour des millions d'euros sur le marché secondaire, Banksy est devenu l’un des artistes les plus chers du monde, probablement sans le vouloir.

Coucou tout le monde :)

Voici un petit montage avant de dodo

Mes premiers essais sur toshop, j'espère que vous n'allez pas trop vous moquer, haha

Bisous sur le sourcil gauche ♥ Et bonne nuit :)

______________________________________

 

I don't have a lot of things to say to day, juste that I tried to make some funny montages in toshop

Hope you will like it, !

Je sais, on ne peut pas se moquer de tout....

Mais si, on peut, c'est la force de notre démocratie !

 

I know we can not make fun of everything ....

But if we can, that's the strength of our democracy!

Federico Gacía Lorca, Spain's most renowned poet and dramatist of the twentieth century, was born in Fuente Vaqueros in the Granada province of Andalusia, Spain.Much of modernist Spanish art is associated with this most ancient part of Spain--Picasso was born in Málaga, the Nobel Prize winning poet, Juan Ramón Jímenez was born the "white town" of Moquer, and the renowned musician and friend of Lorca's, Manuel de Falla, was born in Cádiz, a city inhabited since the time of the writing of the Hebrew Scriptures and settled by the Phoenecians, who called it Gadir. Andalusia is arguably Spain's most culturally rich area, Christianized first by the Byzantine conquerors who introduced it to the traditions, liturgy, and art of Eastern Christianity, conquered and ruled by the Muslims whose art can be seen everywhere, even on the patterns of the street pavements, inhabited by the Jews (Maimonides lived in Córdoba) until they were forced to convert or leave, and invaded by hordes from India, now referred to as Gypsies, who still can be found wherever there are tourists who might donate a Euro for a sprig of rosemary. All these traditions linger and have influenced the art that arose from this area--be it Picasso's images, the art of Flamenco, or the work of Lorca. For more information about Lorca, see

 

en.wikipedia.org/wiki/Federico_Garc%C3%ADa_Lorca

Casa Milà ou La Pedrera (la carrière de pierre)

La Casa Milà (en catalan, « maison Milà » Écouter la prononciation), surnommée ironiquement « La Pedrera » (en catalan et en espagnol, « la carrière de pierre »), est un édifice de Barcelone, érigé entre 1906 et 1910 par l'architecte catalan Antoni Gaudí.

 

La Casa Milà, conçue comme un hôtel particulier, est généralement classée comme œuvre monumentale du modernisme catalan de la première décennie du XXe siècle, dont Gaudí était le chef de file. Ce fut l'avant-dernier projet conduit par l'architecte qui utilisa ici ses techniques clefs : l'inspiration naturaliste et l'arc caténaire.

 

Malgré l'opposition répétée du conseil municipal à l'édification de ce bâtiment en dehors des limites du plan Cerdà et les moqueries des Barcelonais, la Casa Milà fait partie, un siècle après sa construction, des lieux emblématiques de la ville et des dix sites les plus touristiques de Barcelone. Elle figure sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.

Toutes mes pensées aux victimes directes ou indirectes et à leurs familles.

 

En ces périodes festives comme le reste du temps, continuons de vivre à la française :

" France embodies everything religious zealots everywhere hate: enjoyment of life here on earth in a myriad little ways: a fragrant cup of coffee and buttery croissant in the morning, beautiful women in short dresses smiling freely on the street, the smell of warm bread, a bottle of wine shared with friends, a dab of perfume, children playing in the Luxembourg Gardens, the right not to believe in any god, not to worry about calories, to flirt and smoke and enjoy sex outside of marriage, to take vacations, to read any book you want, to go to school for free, to play, to laugh, to argue, to make fun of prelates and politicians alike, to leave worrying about the afterlife to the dead.

No country does life on earth better than the French.

Paris, we love you. We cry for you. You are mourning tonight, and we with you. We know you will laugh again, and sing again, and make love, and heal, because loving life is your essence. The forces of darkness will ebb. They will lose. They always do. "

Commentaire du 15/11/2015 sur le site du New York Time.

 

« La France représente tout ce que les fanatiques religieux du monde détestent : profiter de la vie sur Terre de plein de petites manières différentes : une tasse de café parfumé avec un croissant au beurre, de belles femmes en robes courtes qui sourient librement, l’odeur du pain chaud, une bouteille de vin partagée avec des amis, un peu de parfum, des enfants qui jouent au jardin du Luxembourg, le droit de ne pas croire en Dieu, ne pas s’inquiéter des calories, flirter et fumer et profiter du sexe hors mariage, prendre des vacances, lire n’importe quel livre, aller à l’école gratuitement, jouer, rire, se disputer, se moquer des religieux comme des hommes politiques, laisser l’inquiétude sur ce qu’il y a après la vie aux morts. Aucun pays sur Terre ne profite mieux de la vie que les Français. Paris, nous t’aimons, nous pleurons pour toi. Tu est en deuil ce soir, et nous sommes avec toi. Nous savons que tu riras encore, chanteras encore, feras l’amour et guériras, car aimer la vie est ta nature. Les forces des ténèbres reflueront. Elles perdront. Elles perdent toujours. »

_____________________

99460008-Modifié-Modifié-Modifié-Modifié copie

 

La photo originale

Mise en ligne le 14/11/2015 à 01:15:19

________________________________________________

www.gongashan.fr

18 FÉVRIER : ON FÊTE BERNADETTE SOUBIROUS.

 

A vu apparaître la Vierge 18 fois, à la grotte de Lourdes, sa ville de naissance en 1844.

Première apparition le 11 FÉVRIER 1858 jusqu'au 25 MARS

où elle s'entendit dire par la Belle Dame à robe blanche, roses sur les pieds, ceinture bleue :

 

"JE SUIS L'IMMACULÉE CONCEPTION"

 

La Vierge lui demanda la grâce de venir à la grotte durant toutes ces dates prescrites...

Elle demanda à Bernadette que l'on priât pour les pécheurs, que l'on fit pénitence, qu'une chapelle fut construite en ce lieu.

Ajoutant :

 

"Je te promets de te rendre heureuse, non pas en ce monde, mais dans l'autre".

C'ÉTAIT LE 18 FEVRIER.

 

Une autre fois, elle lui demanda de gratter le sol boueux, une source en jaillit aussitôt...on connait la suite...dès le début la source guérit et continue de le faire depuis ce temps et actuellement, par Marie et le pouvoir de son Fils Jésus-Christ à travers Elle, sa même Mère.

 

Quelle n'est pas la puissance et l'influence de la ville MIRACULEUSE, où TOUS, nous devons aller, tout au moins rendre prière et pèlerinage devant son image, Notre-Dame, présente en bien des églises paroissiales, ou petits sanctuaires extérieurs, par Internet.

 

Il se dit le CHAPELET en direct chaque jour à la grotte, retransmis sur la chaîne câblée KTO....

 

Lourdes nous concerne TOUS, nous sommes TOUS pécheurs perpétuels, toujours à pardonner, être pardonnés, faire pénitence, nous améliorer dans cela, voir supprimer certains péchés une bonne fois pour toutes.

 

Bernadette partit au couvent de Nevers très vite, jeune adulte de 22 ans où elle fut déconsidérée, oubliée, méprisée à cause de son histoire propice à la jalousie, au jugement, à la moquerie...

Elle resta pieuse, bonne, et corvéable à souhait dans les tâches les plus basses, traitée durement par ses supérieures.

 

Elle garda à chaque instant courage et sourire, silence.

Au moment de son agonie, elle dit :

"Sainte Marie, Mère de Dieu priez pour moi, pauvre pécheresse, pauvre pécheresse".

 

18 FÉVRIER 2019 : OBSÈQUES DE LUCIEN FONCEL, papa.

MÉMOIRE

ANNIVERSAIRE.

PRIÈRE :

Je le confie à Bernadette SOUBIROUS.

 

Bernadette, intercède et prie fort pour notre famille meurtrie, qui se remet lentement de ta disparition, surtout maman ne désirant que te rejoindre.

Donne-nous la force de continuer droits, dignes, courageux et vaillants jusqu'à la fin, comme toi.

Enfin et surtout, obtiens-nous les grâce de Lourdes qui nous manquent tant, et permets à mon fils et moi d'aller t'en remercier à la grotte.

Sois bénie petite Bernadette.

Merci pour papa, c'était un jour merveilleux pour l'emporter au ciel, quand il rendit son dernier souffle au petit matin du

11 FÉVRIER ...

Marie-Danielle, fille de Lucien FONCEL.

Amen.

Elles se racontent leurs secrets. Le jour est en train de se lever. Tout est calme autour d’elles. C’est le moment des confidences, des rires, des moqueries sur les hommes. Elles se sont bien trouvées. Elles refont le monde. Elles se soutiennent dans les difficultés de leurs vies. Elles se réjouissent et fêtent ensemble les réussites que chacune ne manquent pas de connaitre. C’est une amitié précieuse.

They tell their secrets. The day is about to rise. All is calm around them. This is the moment for confidences, laughter, teasing men. They remake the world. They argue in the difficulties of their lives. They rejoice and celebrate all the successes that each do not fail to know. It is a precious friendship.

 

At Shoppers in Leduc. Always great staff, always cheery.

 

You can watch me, mock me, block me, or join me. What you cannot do is stop me.

 

Faire l'idiot avec Lizzie, chez Pharmaprix à Leduc. Toujours un personnel formidable, toujours joyeux.

 

Vous pouvez me regarder, vous moquer de moi, me bloquer ou me rejoindre. Ce que vous ne pouvez pas faire, c'est m'arrêter.

 

Please, read my profile, or visit my website!

SVP, lire mon profil, ou visiter mon page sur Web!

Le New York Times

Que dire de plus ?

« La France incarne tout ce que les fanatiques religieux du monde détestent : la joie de vivre par une myriade de petites choses : le parfum d’une tasse de café et des croissants le matin, de belles femmes en robe souriant librement dans la rue, l’odeur du pain chaud, une bouteille de vin que l’on partage entre amis, quelques gouttes de parfums, les enfants qui jouent dans les jardins du Luxembourg, le droit de ne croire en aucun dieu, de se moquer des calories, de flirter, fumer et apprécier le sexe hors mariage, de prendre des vacances, de lire n’importe quel livre, d’aller à l’école gratuitement, jouer, rire, se disputer, se moquer des prélats comme des politiciens, de ne pas se soucier de la vie après la mort.

Aucun pays sur terre n’a de meilleure définition de la vie que les Français ».

New York Times

  

The New York Times

What more can be said ?

"France epitomizes what the religious fanatics of the world hate: the joy of living by a myriad of little things: the scent of a cup of coffee and croissants in the morning, beautiful women smiling dress freely in the streets, the smell of hot bread, a bottle of wine that we share with friends, a few drops of perfume, children playing in the Luxembourg gardens, the right not to believe in any god to make fun of calories, flirting, smoking and enjoy sex outside marriage, taking a vacation, read any book, to go to school for free, play, laugh, argue, make fun of the prelates as politicians, not worrying about the afterlife.

No country on earth has a better definition of life as the French. "

New York Times

Ayoille, arrêtez les saloperies

Cessez donc de gazouiller ces chansons éternelles.

Enervez vous pas! Arrêtez les achalages.

Je ne suis pas morte, c'est sans allure.

Arrêtez de m'appeler, arrêtez les moqueries!

Je ne regarde pas la télé idiote,

Je n'utilise pas le téléphone regulier,

Cessez donc de harceler les fournisseurs!

En autant que tu diras, de faire une attisée.

 

NellyPen en Québécois :)

  

En 1913, en souvenir du quatre-vingtième anniversaire de l'élection d'Alphonse de Lamartine comme député de Bergues, la ville organise de grandes fêtes, intitulées les Fêtes lamartiniennes. Un nouveau géant processionnel appelé L'électeur de Lamartine est inauguré pour l'occasion. Le géant vêtu d'une redingote, coiffé d'un chapeau haut de forme et nanti d'un grand parapluie appelé dans la cité un "berguenard", a l'allure d'un bourgeois du XIX° siècle. En effet, à l'époque de l'élection du poète, seuls les bourgeois pouvaient voter, en vertu du système du suffrage censitaire réservant le droit de vote aux contribuables versant un montant minimal d'impôts.

 

In 1913, in memory of the eightieth anniversary of the election of Alphonse de Lamartine as deputy of Bergues, the town organised large celebrations, called the Lamartine Festivals. A new processional giant called L'électeur de Lamartine was inaugurated for the occasion. The giant, dressed in a frock coat, wearing a top hat and carrying a large umbrella known in the town as a "berguenard", looks like a 19th century bourgeois. Indeed, at the time of the poet's election, only the bourgeois could vote, by virtue of the system of censal suffrage reserving the right to vote to taxpayers paying a minimum amount of tax.

 

(Source: Le Patrimoine des Communes du Nord)

 

Si vous vous reconnaissez sur cette photo et si cela vous dérange, je supprimerai ma publication immédiatement sur demande de votre part.

A l'inverse, je peux également vous faire parvenir la photo si vous le désirez.

Mon but est de partager les beaux moments de la vie qui passe et jamais je ne me permettrais de me moquer ou de tourner en dérision les personnes présentes sur mes clichés.

Chaque année en cette saison, les lycéens célèbrent avec leurs familles, leurs amis et la communauté locale la fin de leurs études secondaires. La tradition veut que l’ensemble de ces lycéens soit coiffé de casquettes spécialement commandées pour cette occasion ressemblant à des chapeaux de marins: les "studenterhue "Il existe de nombreuses règles qui édictent ce qu’il faut écrire dessus comme par exemple la dernière note obtenue au centre de la casquette ou le nom de son/sa petit(e) ami(e). À chaque cérémonie de remise des diplômes au lycée et / ou au collège, les étudiants diplômés sont autorisés à porter leur casquette d'étudiant pour la première fois. Sachez simplement "stúdentshúfa », les casquettes étudiantes islandaises ont pour la plupart la même forme et la même couleur que les autres casquettes étudiantes nordiques traditionnelles de Suède et du Danemark, elles ont cependant tendance à avoir un ajustement légèrement plus serré et semblent un peu plus rigides et de forme plus définie.

 

Il a une couronne blanche, une bande noire et une visière noire. À l'avant du groupe se trouve une étoile d'argent.

 

L'un des traits distinctifs de la casquette est la possibilité de retirer la couronne blanche supérieure, ce qui révèle en retour une version noire de la couronne de la casquette. Cela est dû à la tradition islandaise selon laquelle après une année entière en tant que diplômé et après avoir terminé une année d'études universitaires, l'étudiant doit retirer la couverture blanche, signifiant son statut académique en tant qu'étudiant. Cette pratique a ses racines dans les traditions concernant les bonnets noirs des étudiants danois. Au cours de l'année, le bonnet est blanc, l'étudiant est connu sous le nom de á “nýstúdent » ou nouvel étudiant.

  

Si vous vous reconnaissez sur cette photo et si cela vous dérange, je supprimerai ma publication immédiatement sur demande de votre part.

A l'inverse, je peux également vous faire parvenir la photo si vous le désirez.

Mon but est de partager les beaux moments de la vie qui passe et jamais je ne me permettrais de me moquer ou de tourner en dérision les personnes présentes sur mes clichés.

  

Every year at this time of year, high school students celebrate with their families, friends and the local community the end of their high school education. Traditionally, all high school students wear specially commissioned caps that resemble sailor hats: the "studenterhue". There are many rules that dictate what should be written on the cap, such as the last grade earned in the centre of the cap or the name of one's boyfriend/girlfriend. At every high school and/or college graduation ceremony, graduating students are allowed to wear their student caps for the first time. Just know "stúdentshúfa", Icelandic student caps are mostly the same shape and colour as other traditional Nordic student caps from Sweden and Denmark, however they tend to have a slightly tighter fit and look a little stiffer and more defined in shape.

 

It has a white crown, a black band and a black visor. At the front of the band is a silver star.

 

One of the distinctive features of the cap is the ability to remove the top white crown, which in turn reveals a black version of the cap's crown. This is due to the Icelandic tradition that after a full year as a graduate and after completing a year of university studies, the student must remove the white cover, signifying their academic status as a student. This practice has its roots in the black cap traditions of Danish students. During the year the cap is white, the student is known as á "nýstúdent" or new student.

 

If you recognize yourself in this picture and if it bothers you, I will remove my publication immediately upon your request.

Conversely, I can also send you the photo if you wish.

My goal is to share the beautiful moments of life and I would never make fun of or mock the people in my pictures.

Parc René-Lévesque, Montréal

 

« Présentée au parc René-Lévesque, China Wall est une sculpture pyramidale à base rectangulaire dont le sommet est tronqué. Elle est réalisée en acier corten.

 

Massif, le volume s’impose dans le paysage et bloque le regard. La couleur de la surface, qui évoque la rouille, est intimement liée à la forme. Ainsi, la couleur du métal agit-elle sur notre perception, en concordance avec le volume. Elle concourt à la matérialité et à la présence de l'objet, elle détermine son impact dans l'environnement tout comme les proportions, le poids, l'inclinaison des plans et les dimensions de l'œuvre.

 

Le titre, China Wall, réfère non pas, comme on pourrait le croire, à la Grande Muraille de Chine, mais au nom de l’arrondissement montréalais qui accueille l’œuvre. En effet, c’est au XVIIe siècle qu'on aurait donné, par moquerie, le nom de Lachine aux terres de Cavelier de La Salle. Cet explorateur avait l'ambition de trouver le passage vers la Chine »

 

artpublic.ville.montreal.qc.ca/oeuvre/china-wall/

 

J'existe dans ce monde de brutes

Dans la rue, sur le tapis, dans la boue

Et je me relève et je crache mon amour

Sur cette haine que portent les gens

Sur ce mépris des pleins d'argent

Sur les moqueries des suffisants

 

J'irai rire sous tes fenêtres

Danser sur ton toit

Pour t'empêcher de compter

Te réveiller

Te faire perdre raison

Et entrer dans la ronde du monde

Où à ton tour tu écriras sur les murs

J'existe

 

Bruxelles, 27 avril 2025

Les ténèbres

(de "Les fleurs du mal" XXXVIII - Un fantome)

 

Dans les caveaux d'insondable tristesse

où le Destin m'a déjà relégué;

où jamais n'entre un rayon rose et gai;

où, seul avec la Nuit, maussade hôtesse,

 

jesuis comme un peintre qu'un Dieu moquer

condanne à peindre, hélas! sur les ténèbres;

où, cousinier aux appétits funèbres,

je fais bouillir et je mange mom coeur,

 

par instants brille, et s'allonge, et s'étale

un spectre fait de grâce et de splendeur.

A sa rêveuse allure orientale

 

quand il atteint sa totale grandeur,

je reconnais ma belle visiteuse:

c'est Elle! noire et pourtant lumineuse.

 

[Nei sotterranei d'insondabile tristezza

dove il destino m'ha già relegato;

dove mai entra un raggio roseo e gaio;

dove, solo con la notte, ospite imbronciata,

 

io sono come un pittore che un Dio beffardo

condanna a dipingere, ahimè, sulle tenebre;

dove, cuoco di funebri appetiti,

faccio bollire e mangio il mio cuore,

 

a tratti brilla, e s'allunga, e si mostra

uno spettro fatto di grazia e di splendore.

Nella sognante andatura orientale,

 

quando assume la sua totale grandezza

io riconosco la mia bella visitatrice:

è Lei! nera e tuttavia luminosa.]

 

Charles Baudelaire

 

DO NOT use my pictures without my written permission, these images are under copyright. Contact me if you want to buy or use them. CarloAlessio77© All rights reserved

On se détend et on s'amuse !

Et puis il n'y a pas que le sexy dans la vraie vie.

Prête à lire vos délires enfin je veux dire "Vos gentilles moqueries" pour jouer !

Northern mockingbird (Moquer polyglotte)

Mimus polyglottus

Eastshore State Park, Albany, California

My third photo to be honored with more than 80 faves! Thanks, friends.

 

For a slideshow of other photos which have been very popular, click Your Favorites.

  

1 3 4 5 6 7 8 9