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Very cosily sheltered from the creepy woodlouse of Central Europe's communist dictatorships, Mister Sartre used to play with his fright, or gamble with his own life, even.
In the month of may you could spot him getting out for a drive in his Tatra 603.
The guard at Renault's factory in the Île Seguin would be let into the secret to cushion his sentimental losses at the Boulogne-Billancourt Desperate Stock Exchange.
Mister Jean-Paul would make a detour via the sainte-Geneviève-des-Bois Russian Cemetery to unearth Ivan Bounine's body.
Then he would make him up as a somehow convincing Feodor Dostoievsky, turn him into his demon puppet, eternal муж of his sensationally shiny black proletarian coach.
C'est très bien de se moquer mais lui au moins n'avait pas de chauffeur de maître comme l'autre chantre du Parti, ce délicieux poète dont à l'instant j'oublie le vrai-faux non-nom.
Et Puis Sartre, dont l'oeuvre est estimable, à part la C de la RD, ne donna jamais dans le charlatanisme d'un Althusser et n'aurait rien à partager avec l'actuel jeu de piperie mené par un certain Badiou.
Peinture d'Hippolyte Berteaux pour le plafond du Théâtre Graslin à Nantes.
Plusieurs dieux y sont représentés dont Momos, dieu de la moquerie avec une cape en trompe-l'oeil qui dépasse du cadre.
Wikipedia nous dit:
Autrefois lorsqu'un homme de la Vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'espagnol mona, la guenon).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine »
"Lo Scherno di Cam" (La moquerie de Cham ou L'ivresse de Noé ou La Malediction de Cham)
(Bernardino Luini, peintre, 1515-1518)
Hunter S. Thompson, roi de la controverse et inventeur du reportage " gonzo ", laisse derrière lui cinquante ans de correspondance sauvage. Écrire aux grands de ce monde - Faulkner, Nixon, Joan Baez, Carter - comme à son entourage - créanciers, rédacteurs en chef, petites amies, dentistes - était pour lui une manière plus directe de se faire comprendre. Sa plume explosive transforme ses destinataires en ennemis potentiels et dévoile un esprit vif, halluciné, un sens inné de la moquerie et un goût démesuré pour l'excès. Gonzo Highway recueille quelque deux cents de ses missives. Un condensé féroce d'un demi-siècle de vie américaine.
Le Tag est de retour, merci à ceux et celles qui m'ont taggués, j'adore les faire ♥
Donc le but : dire 20 trucs sur soi !
I. J'ai choisis de mettre Naya en photo car je suis tout son contraire physiquement et j'aime garder une part de mystère miawhaha.
II. Sur mes cours j'écris les chiffres en chiffres romains, je trouve ça classe 8) [Bon sauf en maths parce que c'est chaud lapinou pour déchiffrer les calculs aprés...]
III. Je ne supporte pas la violence gratuite, les gens qui se plaignent pour rien et les moqueries.
IV. Je suis fière de mes origines Italienne. [Même que j'exagère même pas o/]
V. Mon but actuel est d'entrer au conservatoire de ma ville et de percer dans la guitare.
VI. Je suis une fille très lunatique.
VII. Je passe du coq à l'âne dans une conversation.
VIII. J'analyse beaucoup les gens, que ce soit par leur gestes, leurs paroles. d'ailleurs la psychologie m'intéresse énormément !
IX. Je suis fan de la série Lie to Me, j'espère qu'ils vont la repasser èé
X. En parlant de série, j'aime beaucoup Monk, je me retrouve souvent dans ses folies e.e
XI. Je suis pas très sociable, je pense pas que ce soit que je n'aime pas les gens mais c'est avant tout une défense. Je suis toujours sur la défensive. [Satoko, si tu passes par là, tu dois le savoir x) ] d'ailleurs je défend beaucoup les gens sans forcément rien recevoir en retour xD
XII. J'ai bien pus de véritables ami(e)s via le net qu'IRL, c'est triste dans un sens mais de l'autre, j'espère pouvoir les rencontrer pour de vrai un jour ♥
XIII. J'ai énormément de répartie, il faut vraiment me pousser à bout pour que je m'énerve. Bon, quand je m'énerve je...m'énerve fort, très fort xD
XIV. J'adore marcher seule dehors la nuit ou à peine quand le soleil se lève.
XV. Je déteste la plage l'été par contre l'hiver j'adore !
XVI. Je rêve d'habiter à Paris, quand j'y suis allé pour la Japan Expo je me suis pour la première fois sentie à ma place, personne te dévisage de la tête aux pieds; des blancs, des noirs, des juifs, des arabes, un mélange de cultures... Nom d'un chien en kilt écossais je veux y retourner *o* ♥
XVII. J'ai des goûts assez étranges, mais je m'en porte bien merci ♥
XVIII. On m'a déjà dis que je ressemblais a une pullip Nina, à une souris aussi... Fûfûfû ~
IXX. Je retiens les trucs les plus inutiles.
XX. J'ai pire que hâte de rentrer au lycée l'année prochaine, je flippe un peu mais j'ai hââââte ♥
Allez des petits bonus parce que je m'ennuie e.e :
XXI. J'aimerais beaucoup me mettre à la danse Hip-hop, si j'en est le temps, je verrai si je peux me lancer... *avec ma folle souplesse yéé.*
XXII. Un jour, j'arriverai a dire à l'élu de mon coeur que je l'aime, un jour, oui èwé
XXIII. Ma citation favorite est sans doute : "La mode passe, le style reste" de Coco Chanel, ça doit être un des seul truc qui me donne confiance en moi le matin. *fille étrange bonjour*
XXIV. J'adore l'association collants colorés/short, j'en porte dés que je peux ♥
XXV. Allez, un truc croustillant et inédit sur moi en dernier hm... J'aimerais que mes cheveux soient toujours propres sans avoir besoin de les lavés, c'est chiant je trouve, de se laver les tifs .__.
Je taggue tout ceux qui veulent le faire ♥ ! [Bon sauf toi nounours', j'te taggue obligatoirement èé ]
Cette expression signifie : " se moquer de quelqu'un ", " remettre quelqu'un à sa place sans trop de diplomatie"
A la fin du XIXe siècle, on disait 'emboîter' pour 'railler', 'conspuer' ou 'siffler' quelqu'un (les acteurs de théatre craignaient d'ailleurs beaucoup "l'emboîtage"). Puis c'est en 1910 et en argot, que cette expression est apparue avant de se répandre vers 1930.
This idiom means "to make fun of somebody". Literal translation would be "to put in a can".
At the end of the 19th Century, people used to say "emboîter" ("to can") which meant "make fun of", "to boo and hiss"... This idiom has become popular since 1930.
Gagatisation habituelle : Hiiiiiii ♥
On peut passer à la suite.
Narly a beau avoir treize ans elle reste une enfant à bien des égards. De nature ultra sensible elle a très mal supporté ses premières année de collège et le lot de moquerie qui en a découlé.
Avoir l'apparence d'une petite fille, un style vestimentaire hors norme et une poitrine bien trop développée pour son âges est rarement une bonne chose...
Sa mère, qui aurait voulu que sa fille suive un cursus scolaire normal malgré ses dons de médium, du la retirer avant la fin de la cinquième, de peur qu'elle ne sombre dans une profonde dépression.
Gagatisation habituelle : Hiiiiiii ♥
On peut passer à la suite.
Narly a beau avoir treize ans elle reste une enfant à bien des égards. De nature ultra sensible elle a très mal supporté ses premières année de collège et le lot de moquerie qui en a découlé.
Avoir l'apparence d'une petite fille, un style vestimentaire hors norme et une poitrine bien trop développée pour son âges est rarement une bonne chose...
Sa mère, qui aurait voulu que sa fille suive un cursus scolaire normal malgré ses dons de médium, du la retirer avant la fin de la cinquième, de peur qu'elle ne sombre dans une profonde dépression.
en rouge les bunkers, en bleu les entrées des forts, en jaune les barricades et un magasin de barricade dont il ne reste qu'un bloc toblerone à titre historique (une moquerie), le reste du barrage a été détruit, les éclairs violets marquent les canons de 7,5cm sur affuts à flasques et les éclairs rouges ceux de 10,5cm sur affut à flasques (les 4 canons de 7,5cm de Niederberg ont été remplacés en 1984 par 4 obusiers de 10,5cm sur affut à leviers): map.geo.admin.ch/?lang=fr&X=218536&Y=723476&z...
PROLOGUE
On sonne à la porte. Un livreur Darty essoufflé vient de monter seul une machine à laver sur trois étages. Il est en retard, mais de peu. L’installation se déroule sans encombre. Au moment de la signature du bon de réception, il sort, un peu gêné, une tablette de son sac.
« Il faut noter le service Darty. Pouvez-vous me mettre une bonne note ? » tente-t-il. Pas de problème, tout s’est bien passé.
« Si je vous mets 8 sur 10, c’est bon pour vous ?
— Au-dessous de 9, c’est une mauvaise note.
— Ah ! Et c’est le service qu’on note ou c’est vous ?
— Le service ! Mais au-dessous de 9, je perds ma prime… »
C’est de cette scène vécue, et a priori anodine, que l’idée de cette enquête est née. Avec un pressentiment, qui s’est confirmé de jour en jour : l’extension sans limites de la notation. Les notes ont déjà envahi des pans entiers de notre quotidien. Combien de fois avez-vous rencontré des étoiles cette semaine ? Pensez à la note que vous avez dû attribuer à votre garage Citroën lors du dernier contrôle technique. À celle que vous avez donnée à un chauffeur Uber en rentrant de soirée. À vos derniers achats sur Amazon. À votre ophtalmo sur Google.
Les scores sont partout et font désormais partie du décor.
Nous ne sommes pas encore arrivés à rattraper la série d’anticipation de Netflix, Black Mirror, et son génial épisode « Chute libre » où une jeune femme voit sa note passer de 4,2 à 2,8 à la suite d’une série de malchances qui lui fait perdre son statut social et la conduit en prison. Il y a peu de risques que la notation s’empare de notre vie par le biais d’un seul et unique réseau social, comme c’est le cas dans cette fiction. Les tentatives, à ce niveau-là, sont pour l’instant restées sans lendemain, ou peinent à fédérer des communautés suffisantes. Aux États-Unis, l’application Peeple, lancée en 2015, qui permettait de noter aussi bien son voisin que son boulanger, a subi une pluie de critiques et de moqueries la forçant à abandonner son système d’étoiles avant de sombrer dans l’oubli.
Parfois, les notes se font plus discrètes, plus insidieuses, mais non moins redoutables. Aux marques apparentes d’une société imprégnée par l’évaluation s’ajoutent des notes invisibles, attribuées sans notre consentement. Cette invasion silencieuse pose une série de questions.
Pourquoi note-t-on ? D’où vient ce mouvement de fond ? Quelles sont les véritables conséquences pour les notés et pour les noteurs ? Les notes sont-elles aussi neutres et objectives qu’elles le paraissent ? En tant que citoyen, peut-on s’opposer à un tel système ?
Il ne s’agit pas ici de remettre en cause l’aspect pratique de la note lorsqu’il s’agit de choisir un hôtel ou un restaurant. En tant que consommateurs, nous utilisons cet outil simple et ludique. Même si certains n’y voient qu’une dictature des ploucs, la notation par le grand public a permis, à première vue, une démocratisation de la critique, jusqu’ici réservée à une aristocratie culturelle, en s’attaquant à des domaines où les monopoles étaient présumés intouchables. Le milieu du cinéma et plus encore celui de la restauration en sont les meilleurs exemples. Mais cette transformation profonde de notre société a été jusqu’à aujourd’hui peu questionnée. Elle n’est quasiment jamais évoquée dans le débat politique, trop peu couverte par les médias. Sans doute parce que cette transformation a été trop « silencieuse », pour emprunter le concept du philosophe François Jullien1 : une mutation « globale et continue » à laquelle on ne prête pas forcément attention puisqu’elle « ne se démarque jamais suffisamment pour qu’on la remarque ». La notation, en s’installant par petites touches en France, n’a jamais bouleversé nos esprits au point de nous alerter.
En commençant nos recherches, nous avons été systématiquement confrontés à de nouvelles illustrations de cette généralisation de la note. Souvent, les exemples se sont imposés à nous. Pas une semaine ne s’est écoulée sans qu’un proche nous envoie un nouveau questionnaire de satisfaction reçu par mail. Pas une semaine sans qu’une application nous réclame de la noter, comme ce jour où l’application de messagerie WhatsApp nous a demandé d’évaluer la qualité de notre appel durant lequel nous discutions justement de la notation.
Durant ces deux années d’enquête, nous avons rencontré des économistes, des historiens, des sociologues. Nous avons obtenu des documents internes à de grandes entreprises et nous avons même infiltré un réseau d’achat de faux commentaires en ligne. Ce travail nous a menés des centres d’appel de grands opérateurs télécom aux coulisses de restaurants, d’agences Pôle Emploi, en passant par les couloirs d’hôpitaux, jusqu’aux bureaux des services de Matignon. Ce livre nous a également conduits en Chine, où un système de notation en particulier suscite tous les fantasmes : le crédit social. C’est là que débute notre récit. Dans une ville portuaire, au sud de Pékin, le gouvernement local teste un score de bonne conduite pour ses citoyens.
Il me fallait faire une photo d'impertinence. Voici ce qui est sorti de ma tête ;)
Qui a t-il de plus impertinent que la seule mise en scène d’une citation sur l’impertinence?
Peut-être le fait de transposer le classique Voltaire dans une photographie moderne.
Peut-être encore le fait de hisser au rang des Zadig et Candide le grand Schtroumpf, héro principal de cette histoire.
Peut-être enfin l’utilisation d’icônes enfantines, symboles de l’innocence, pour illustrer la moquerie et la mort.
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Studio improvisé.
Cadre support en fer sur lequel repose une plaque d'altu. Le tout recouvert d'une toile de cerf-volant blanche. 2 projecteurs de chantier à 500Watt de part et d'autre + un réflecteur fait d'un miroir sans tain pour atténuer l'ombre sur celui se bouchant les oreilles et tenu par mon assistant de choc Jérôme ^_^ (addahN).
Le fond est continué d'une photo à moi (visible dans mon flickr) dans laquelle j'ai superposé dans photo shop le texte. J'ai ensuite fait développer le tout au format 40*60.
Le sol est constitué d'un paillasson imitation herbe trouvé au BHV ;)
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Un grand merci à Roger pour m'avoir prêté le 105mm :D :D
Merci à Jérôme pour sa patience jusqu'à une heure bien tardive pour réussir à faire cette photo (cf exifs).
Après "Little Bird" et "Le Camp des morts", voici "L’indien blanc", troisième tome des aventures de Walt Longmire.
Après les amérindiens et les basques, Johnson s’intéresse à une nouvelle communauté : la famille. Dans son acceptation traditionnelle (Walt et Cady, la famille Moretti, policiers de père en fils… et fille !) ou élargie (les membres du bureau du shérif, toujours solidaires en cas de coup dur).
Grande nouveauté dans ce nouvel opus, Craig Johnson transplante son shérif dans l’univers trépidant de la grande ville. Sortir des personnages de leur environnement naturel pour les plonger en terrain inconnu, le procédé n’est pas nouveau. Le décalage créé est souvent source de quiproquos, de situations cocasses. Certes, ici, l’incongruité du duo Walt /Henry, le cow-boy au Stetson et l’indien aux longs cheveux de jais, dans les rues de Philadelphie est source de quelques moqueries. Mais, Johnson évite les clichés liés au genre et ses personnages restent heureusement tels qu’en eux-mêmes.
Immanquablement, il y aura des lecteurs pour déplorer l’absence des grands espaces du Wyoming. Personnellement, j’ai trouvé cette parenthèse urbaine autant bienvenue qu’intéressante.
D’abord, elle rompt la routine installée par les deux premiers volumes de la série (même si j’ai regretté que Santiago Saizarbitoria, l’adjoint mexicain nouveau venu dans l’équipe, ait été zappé dans cet épisode).
Ensuite, elle montre comment Longmire, précipité dans les affres de la mégalopole, arrive à se débrouiller sans ses repères et ses appuis habituels. Tout ça, sans se départir de son fameux sens de l’humour.
Les premières pages de L’indien blanc sont à découvrir ici: www.gallmeister.fr/images/documents/Extrait%20Indien%20Bl...
Au cas où l’info vous aurait échappé, je vous rappelle qu’une nouvelle inédite des aventures de Walt Longmire, Un vieux truc indien, est téléchargeable gratuitement sur le site de Gallmeister.
"L'indien blanc", de Craig JOHNSON (Ed. Gallmeister) Traduit de l'américain par Sophie Aslanides; 290 pages; 23 euros.
Surement un tournage de clip au trocadero...
Et oui, la tour effeil c'est sexy !
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« Romain, l'esthétisme n'est pas une fin en soi ! »
Au moment j'ai pas réagit, elle me contait une merveilleuse histoire, mais en partant de chez elle, cette phrase m'est revenu. D'un coup je me suis tourné vers mon amoureuse en lui disant :
« Mais quand moule me dit l'esthétisme n'est pas une fin en soi, qu’est ce qu'elle voulait dire ? »
Pourquoi l’esthétisme n’est pas une fin en soi ? La peur d’avouer que l’image, le paraître ont une place trop grande dans nos vies. Avant de commencer le sujet, je vais déjà le délimiter, qu’est que l’esthétisme d’après la définition du Cnrtl c’est
« l’attitude de l'esthète qui affecte le culte exclusif du beau ».
On ne pas faire plus claire, pour revenir aux mots de mon amie, l’esthétisme n’est pas un but en soi, il est sûrement secondaire aux besoins primaires, mais il a à mes yeux une place très importante. Le culte du beau, est partout, dans l’art, dans les sociétés…
La notion d’esthétisme est universelle, mais la valeur qu’on lui donne varie suivant les époques et les lieux. Il n’y a pas d’uniformité dans le temps. La beauté des femmes n’était guère la même à l’époque de Botticelli qu’aujourd’hui. Pour reprendre la « théorie » esquissée lors d’un précèdent article on sait que dans une société donnée les opinions/les valeurs sont communes à l’ensemble social. L’esthétisme, c’est comme la politique, les hommes et les femmes répondront main dans la main au même critère dominant. De plus ce critère de beauté dominant, poussera les hommes et les femmes à tendre vers lui, surtout dans notre société ou le paraître à une place plus que centrale. Si telle ou telle personne ne rentre pas dans ces « devoirs sociaux » il aura moins de chance dans les jeux de reproduction…
Maintenant prenons le plus simple des exemples, c'est-à-dire vous-même : qui ne fait pas attention à mettre tel ou tel vêtement parce que cela met en valeur son corps ou évite de mettre de l’orange avec du bleu fluo ? Qui ne se coiffe pas ? Cette volonté d’être beau de ce mettre en valeur est omniprésente, même les gens qui ne se coiffent ou ne se lavent les cheveux et mettent des habits tout pourris, rentre dans cette logique. L’humain est un véhiculeur d’images, une image de son être, de son statut… Dis moi comment tu t’habilles et je te dirais qui tu es, pour simplifié. Ne me sortez pas : « l’habit ne fait pas le moine », parce que vous savez, aussi bien que moi, cette phrase est loin d’être une généralité…
Essayons de sortir des frontières de l’occident, allons voir un peu plus loin, dans les autres cultures en général. Je pense surtout aux sociétés d’Asie du sud-est, pour faire simple, beaucoup de populations, une dizaine (voire plus) d’ethnies, sur un petit territoire, cela fait que ces populations sont en perpétuelle interaction. Lors des marchés, hommes et femmes porte leurs habits traditionnels, avant tout comme marqueur identitaire, mais derrière ce cache tous les jeux de séduction. Être beau, pour plaire trouver un compagnon ou une compagne, etc…
Le beau, l’esthétisme est volontairement une fin en soi, parce que cela nous socialise, nous attribut une place dans la société et permet grâce à l’image de montrer notre soi au premier regard.
On pourrait même allez plus loin, les enfants (les adultes, aussi) se moquent facilement des gens moches ou gros. Ces personnes sont des déviants face à la normalité du beau que la société véhicule. Ce fait, de catégoriser les gens par ces particularités montre vraiment que le beau est important au sein des sociétés. Cela l’était aussi à l’époque quand la mode du teint blanc fessait fureur, les paysannes bronzés (parce qu’elles travaillaient au soleil) étaient sujet aux moqueries.
La Fontaine de Moïse est également connue sous le nom de Fontana dell'Acqua Felice. Cette fontaine monumentale est située sur la Piazza San Bernardo au coin de la via XX Septembre.
Elle a été dessinée par l'architecte Domenico Fontana et achevée en 1587 pour alimenter en eau ce quartier de Rome. Elle constituait l'extrêmité de l'ancien aqueduc d'Alexandre remis en service par le pape Sixte V sous le nom d'aqueduc "Aqua Felix" de son vrai nom, Felice Peretti.
Dans la niche centrale, la statue colossale de Moïse n'est qu'un piêtre plagiat du Moïse de Michel Ange. Elle fut l'object de nombreuses critiques et moqueries.
La Fontana dell'Acqua Felice (du nom de baptême du Pape Sixte V, Felice Peretti, commanditaire de la fontaine) fut bâtie par Domenico Fontana en 1585.
L'ancien mont Quirinal (Monte Cavallo) manquait d'eau: Sixte dépense alors soixante mille écus romains pour amener la source, appelée de son nom de baptême, Felice, sur la place de Sainte-Suzanne, prise au col delle Pantanelle, près du village de la Colonna, qui est à quatorze milles de Rome, et destinée à alimenter les quartiers du Quirinal, du Monte Pincio et du Capitole. Au bout de dix-huit mois de travail, cette source arrivait à Rome.
Avant que Domenico Fontana, architecte attitré de Sixte V n’élève le monument dont les trois arcades doivent couvrir les statues de Moïse, faisant jaillir l'eau du rocher, Aaron et Gédéon, le bassin de pierre de taille où elle s'épanche ne porta que cette inscription: « À Sixte-Quint, souverain pontife, né dans la province de la Marche, a fait conduire cette eau à gauche de la voie Prénestine, depuis le champ Colonna jusqu'à ce réservoir par un canal de vingt-deux milles de long, et il a voulu qu'elle s'appelât comme il s'appelait avant d'être pape.»
« SISTVS V PONT. MAX. PICENVS AQVAM EX AGRO COLVMNAE VIA PRAENST. SINISTRORSVM MVLTAR. COLLECTIONE VENARVM DVCTV SINVOSO A RECEPTACVLO MIL. XX A CAPITE XXI ADDVXIT FELICEMQ. DE NOMINE ANTE PONT. DIXIT »
Cet ouvrage par Sixte V et Fontana, fait partie d'un ensemble de travaux urbanistique réalisés dans la région des Monts - amener l'eau, faciliter l'accès des églises par des voies naturelles, donner à ces voies des perspectives monumentales - qui visent à donner à Rome une nouvelle cohérence. Le plan de Rome modifié par Sixte V, qui subsistera pendant trois siècle, place la Sainte-Marie Majeure - au sommet de l'Esquilin, le point le plus haut de Rome - au centre d'une composition qui associe les différents lieux de pèlerinage de Rome. On peut voir en Sixte V le créateur de la Rome moderne.
Elle a connu les ombres
Tout quitté, côtoyé l'oubli
Apprivoisé la pénombre
De son centre renaquit
Elle a appris à rire
Sans cynisme, ni moquerie
Elle gagne sa vie de sourires
S'alimente de camaraderie
L'Amour l'habite au quotidien
Sa flamme réconforte les coeurs
C'est ce pouvoir qu'elle entretient
Loin des peurs, de tous les malheurs
N'abusons pas de beaux discours
Ressentons le souffle divin
Tout doit se créer dans l'Amour
Son objectif au quotidien
Enrichie d'une telle mission
La beauté niche dans son sein
Elle sème l'amour à l'horizon
S'abandonnant à son destin
(Sue 2007)
Exu. Messager
couleurs: noir et rouge
caractère : fécondité, moquerie, vengeance.
lieux de culte : croisements, cimetières.
élément : feu.
Syncrétisme : St Antoine
Beit Ummar, july 2011
Quelques activistes de l'ISM se joignent également à la marche.
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Abbott Handerson Thayer (né le 12 août 1849 à Boston – mort le 29 mai 1921 à Dublin, dans le New Hampshire) est un peintre américain. Il fut l'élève de Jean-Léon Gérôme de l'École des beaux-arts de Paris et devint un membre de la Society of American Artists (1879), de la National Academy of Design (1901), et de la Royal Academy of San Luca de Rome. Il est connu pour ses tableaux Les Sœurs, Virgin Enthroned, Caritas, In Memoriam, Robert Louis Stevenson et Portrait of a Young Woman, ses portraits, ses paysages et ses représentations d'animaux.
Durant le dernier tiers de sa vie, il a travaillé avec son fils Gerald Handerson Thayer sur un important livre sur le camouflage dans le monde naturel, Concealing-Coloration in the Animal Kingdom (en). Publié par Macmillan en 1909, cet oiuvrage a été réimprimé en 1918 et a pu jouer un rôle sur la camouflage militaire durant la Première Guerre mondiale. Il a cependant été l'objet de nombreuses moqueries, notamment de la part de Theodore Roosevelt, pour son affirmation que toutes les couleurs des animaux ont un rôle de camouflage
Photographie "solitude" de Poème HELINGER
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"Qui comprend l'humanité recherche la solitude". de Hazrat Ali
On savait que l’âge, le chômage, la pauvreté étaient facteurs de solitude. Or, celle-ci touche, aujourd’hui, de plus en plus de jeunes et de Français actifs. Les médias s'en font l'écho. Éloignement familial, pas d’amis, pas de collègues, revers d'une société de plus en plus individualiste. … la solitude frappe de plus en plus. Phénomène nouveau : les jeunes sont touchés. La solitude s’aggrave chez les plus jeunes et les plus âgés. Chez les moins de 40 ans, la solitude a ainsi doublé en 3 ans. 12%. C'est le nombre de Français de plus de 18 ans touchés par la solitude, ce qui porte à cinq millions les personnes n'ayant pas ou peu de relations sociales. Un chiffre en constante augmentation.
A notre époque de l'hyper communication, la solitude est considérée soit comme un fléau, soit comme une anomalie. Pourtant, il y a toujours eu deux types de solitude : l'une, négative, subie et source de souffrances, et l'autre, positive, volontaire, et source de richesse intérieure. Déjà, Aristote disait que pour aimer la solitude il fallait être soit un monstre, soit un dieu, car l'homme est un animal social et la solitude ne lui est pas naturelle. Pourtant, nombreux ont été dans l'histoire les solitaires célèbres, ermites, misanthropes ou tout simplement romantiques. Aujourd'hui, la solitude continue à fasciner les individus, partagés entre l'admiration (pour les navigateurs solitaires par exemple) et la peur (solitude de la vieillesse entre autres).
A travers cette photographie, j'ai voulu aborder la solitude au sens négatif : la souffrance de l'isolement. La souffrance d’être seul ne réside pas seulement dans le fait d’être seul mais de connaître cette angoisse absurde d’être stigmatisé. Souvent, les individus souffrant de solitude ont peur de le dire par crainte du regard des autres, la peur d'être jugé et d'être considéré comme "anormaux" dans une société très normalisée dans laquelle le paraitre occupe une place de plus en plus importante.
"C'est un nolife" : on entend parfois cette expression pour désigner un jeune qui n'a pas d'ami ou de relation sociale. Ce n'est pourtant pas le sens exacte du terme "nolife", mais derrière ce terme il y a tout le jugement des autres "ce n'est pas NORMAL". Ne pas avoir de relations sociales pour une personne qui est n'est pas "âgée" suscite parfois des moqueries et des jugements. De peur d'être jugé, les individus cachent parfois leur solitude.
Du coup, ces personnes sont dans un cercle vicieux : la solitude entraine la solitude, en cachant leur solitude aux autres, ces personnes s'enferment de plus en plus dans la solitude. J'ai représenté des boites d'œufs assemblées qui prennent la forme d'un jeu (comme un échiquier), dont l'œuf est le seul pion. La coquille de l'œuf isole du monde extérieur pour évoquer l'absence avec le reste du monde, et l'enfermement que cela induit. Ici, la solitude, c'est être "un seul" dans un jeu qui se joue à plusieurs.
Gargouille représentant un ours sur le toit de l'église de la commune d'Angles situé sur la côte Vendéenne.
Selon une légende due à la plume de l'érudit poitevin du XIXe siècle, Benjamin Fillon, cette « malebête », qui ressemble à un ours, dévorait impitoyablement jeunes gens et jeunes filles de la contrée. Elle avait coutume de se baigner dans une ruisseau proche, dont elle sortait le poil tout hérissé. Ce serait l'explication du nom donné à ce ruisseau : le Troussepoil.
C'est un saint homme, qui, après cinq nuits de jeune et de prière, se serait rendu maître de la bête et qui l'aurait forcée à monter au sommet du pignon de l'église. Là, il l'aurait changée en pierre, et pour punir les filles du pays de leurs moqueries à son encontre, il aurait jeté un dernier sort à la bête, la condamnant à ne plus se nourrir que de « la beauté des filles d'Angles » ; laquelle beauté n'aurait ainsi fait que dépérir depuis...
Si vous voulez en savoir plus : www.angles.fr/tourisme/local/legende_ours.htm
Gwenaël Bélanger
Choix déchus
(sérigraphie, infographie)
26 avril au 26 mai 2002 - galerie d'Engramme
Pourquoi préfère-t-on telle chose à une autre ? Comment arrive-t-on à départager plusieurs choses qui nous sont proposées ? Qu’est-ce qui fait qu’une chose semble plus parfaite qu’une autre ? Ces questions reliées aux concepts de la préférence et du goût sont au cœur de l’exposition "Choix déchus", composée de grandes sérigraphies et infographies cumulant d’innombrables icônes. Le spectateur se fait rapidement prendre au jeu: à la fois absurde et déstabilisant, cet interrogatoire donne une importance nouvelle aux images que la personne regarde et cible, amenant le spectateur vers des réflexions sur l’esthétique, la séduction, la subjectivité, etc.
Pour Gwenaël Bélanger, tout se passe comme si le commun et l’ordinaire cachaient quelque noyau dur de signification. Puisant aux sources de l’ironie, de la dérision et de la moquerie pour faire dévier la banalité des choses. Ses recherches se concentrent sur les procédés qui peuvent influencer la réception d’une image et sur la façon qu’ont la publicité et le design graphique d’articuler les mécanismes de la séduction. En mettant en scène les dispositifs de la réclame et des sondages l’artiste tente de souligner la complexité de la relation entre l’image (ou l’objet) et sa réception.
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Gwenaël Bélanger a participé à plus de 40 expositions individuelles et collectives. Il vit et travaille à Montréal.
Copyright © Gwenaël Bélanger - ENGRAMME
Cécile Sorel, de son vrai nom Cécile Emilie Seurre, née à Paris le 17 septembre 1873 et morte à Trouville-sur-Mer (Calvados) le 3 septembre 1966, est une actrice de théâtre française.
Biographie
Très tôt attirée par le théâtre, elle est admise en 1903 à la Comédie-Française où elle interprète tous les rôles classiques du répertoire français. Elle reste inoubliable dans le rôle de Célimène de Molière.
Éternelle fiancée de Witney Warren, Américain richissime, elle se marie finalement et contre toute attente avec le comte de Ségur, neveu de l'écrivain, acteur médiocre appelé sur scène Guillaume de Sax. Plus de vingt ans séparent les époux et ce mariage donne lieu aux moqueries les plus cruelles. On appelle le couple « la faucille et le marteau », « la belle et le bête », etc. Cécile et le comte de Ségur se séparent sans toutefois jamais divorcer. Cécile Sorel restera toute sa vie comtesse de Ségur. En 1933, elle lance le fameux « L'ai-je bien descendu ? » au pied de l'escalier Dorian du casino de Paris. Cette seule phrase lui vaudra la célébrité. En 1937, elle tourne Les Perles de la couronne de Sacha Guitry.
Le 19 avril 1944, elle échappe de peu au bombardement du Théâtre-Français à Rouen où elle venait de donner une représentation du Roi Christine.
Après la Seconde Guerre mondiale elle a quelques inquiétudes à la Libération basées sur des calomnies. Enfin, le 15 août 1950, elle est saisie d'une conversion spectaculaire et prononce ses vœux dans le Tiers Ordre franciscain dans la chapelle des Carmes de Bayonne. Ses dernières années sont consacrées à l'écriture et à la foi. Elle meurt en 1966, à quatre-vingt-douze ans à Trouville-sur-Mer (Calvados), au château de Hennequeville, qui lui avait été loué par Jean Dupuy dit le baron Barclay. Elle fut une grande amie de Maurice Barrès, de Gustave Larroumet et de Maurice Escande. Elle est enterrée au cimetière du Montparnasse à Paris. À Biarritz, elle habitait soit à la villa Mirasol, près de l'Hôtel du Palais, soit dans une suite qu'elle louait à l'année à l'hôtel Continental.
L'actrice est représentée dans la fresque en trompe-l'oeil peinte par Charles Hoffbauer (1875-1957), grand prix de Rome 1924, au plafond de la coupole du château d'Artigny à Montbazon (Indre-et-Loire), ancienne propriété du parfumeur François Coty (1874-1934)
Gwenaël Bélanger
Choix déchus
(sérigraphie, infographie)
26 avril au 26 mai 2002 - galerie d'Engramme
vernissage le 26 mai 2002 à 17h
Pourquoi préfère-t-on telle chose à une autre ? Comment arrive-t-on à départager plusieurs choses qui nous sont proposées ? Qu’est-ce qui fait qu’une chose semble plus parfaite qu’une autre ? Ces questions reliées aux concepts de la préférence et du goût sont au cœur de l’exposition "Choix déchus", composée de grandes sérigraphies et infographies cumulant d’innombrables icônes. Le spectateur se fait rapidement prendre au jeu: à la fois absurde et déstabilisant, cet interrogatoire donne une importance nouvelle aux images que la personne regarde et cible, amenant le spectateur vers des réflexions sur l’esthétique, la séduction, la subjectivité, etc.
Pour Gwenaël Bélanger, tout se passe comme si le commun et l’ordinaire cachaient quelque noyau dur de signification. Puisant aux sources de l’ironie, de la dérision et de la moquerie pour faire dévier la banalité des choses. Ses recherches se concentrent sur les procédés qui peuvent influencer la réception d’une image et sur la façon qu’ont la publicité et le design graphique d’articuler les mécanismes de la séduction. En mettant en scène les dispositifs de la réclame et des sondages l’artiste tente de souligner la complexité de la relation entre l’image (ou l’objet) et sa réception.
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Gwenaël Bélanger a participé à plus de 40 expositions individuelles et collectives. Il vit et travaille à Montréal.
Copyright © Gwenaël Bélanger - ENGRAMME 2002
Banksy est un graffeur, peintre, artiste de rue. Il travaille sous un pseudonyme, et sa véritable identité fait l'objet de nombreuses spéculations.
C'est en terre natale que Banksy sera le plus prolifique. Plus de 80 % de ses œuvres ont été réalisées au Royaume-Uni. Londres er Bristol (que l'on croit être sa ville natale) deviendront assez naturellement ses terrains de jeu favoris.
La première grande peinture murale connue de Banksy est ‘’The mild mild west’’ qu’il réalise en 1997 sur Stokes Croft à Bristol. Elle représente un ours en peluche jetant un cocktail Molotov vers trois policiers anti-émeute. Les premières oeuvres abordent des thèmes qui n’ont jamais quitté Banksy depuis : anticonformisme, antiestablishement, pacifisme, anticapitalisme… qu’il traitera avec ironie, poésie et moquerie comme il le fait encore aujourd’hui.
Malgré son ressenti négatif à l'égard de la vente d’oeuvre d’art et ses efforts incessants pour rester indépendant face aux excès de ce marché, Banksy a dû s'avouer vaincu. Il est vrai qu'il s'est toujours opposé à la marchandisation de l’art en vendant plusieurs œuvres à un prix inférieur à celui du marché par l'intermédiaire de la société West Control. Et pourtant, avec des peintures vendues aux enchères pour des millions d'euros sur le marché secondaire, Banksy est devenu l’un des artistes les plus chers du monde, probablement sans le vouloir.
Fontrailles est une commune dans le département des Hautes-Pyrénées. Il y avait 162 habitants en 2007.
Une personnalité liée à la commune était Louis d'Astarac, marquis de Marestaing, vicomte de Fontrailles et de Cogotois (premières années du siècle-1677). C'est un frondeur et conspirateur français.
Il naît au début du XVIIe siècle, en Gascogne, dans une ancienne et illustre famille du pays, les d'Astarac.
Il est le fils de Benjamin d'Astarac, baron de Marestaing et de Fontrailles et sénéchal d'Armagnac, et de Marguerite de Montesquieu. Ses parents sont tous deux protestants, mais ils se convertissent en 1618 au catholicisme et Louis les imite. La bosse dont il était affublé autant que cette conversion, lui vaudront d'amères moqueries de la part de ses ennemis et notamment du cardinal de Richelieu. Celui-ci aurait en effet dit un jour à Fontrailles, alors qu'il recevait un diplomate quelconque : "Rangez-vous Monsieur de Fontrailles, ne vous montrez point, cet ambassadeur n'aime pas les monstres !" Cet incident serait, entre autres, à l'origine de la haine de Fontrailles pour le ministre.
Ami du cardinal de Retz, il correspond très tôt avec lui, et Retz écrira beaucoup à son sujet dans ses propres mémoires. Fontrailles participe au complot de Montrésor (qui avait pour but d'assassiner Richelieu), mais Gaston d'Orléans ne fait pas le signe convenu et la conspiration échoue. Il est chargé par le duc d'Orléans de négocier avec le duc d'Olivares les moyens de seconder la conspiration de Cinq-Mars contre le cardinal de Richelieu, et conclut le traité secret par lequel l'Espagne devait fournir des troupes et de l'argent. Mais la conspiration est découverte, et Fontrailles doit fuir en Angleterre ; il n'en revient qu'après la mort du cardinal en 1643, et se précipite dans la Cabale des Importants. Sous Mazarin il correspond avec Léon Bouthillier, comte de Chavigny, mais en des termes "assez équivoques [...] dans l'assurance que par là il ne se brouillait point avec Chavigny." En fait le comte intriguait contre le nouveau ministre. Néanmoins, Fontrailles est embastillé la même année.
Après cela il prend part à la Fronde avant de finalement rejoindre le camp de la régence, mais Louis XIV ne lui pardonnera jamais ses intrigues. En disgrâce, il se retire dans ses terres, compose ses mémoires et meurt en 1677.
Wikipedia
Banksy est un graffeur, peintre, artiste de rue. Il travaille sous un pseudonyme, et sa véritable identité fait l'objet de nombreuses spéculations.
C'est en terre natale que Banksy sera le plus prolifique. Plus de 80 % de ses œuvres ont été réalisées au Royaume-Uni. Londres er Bristol (que l'on croit être sa ville natale) deviendront assez naturellement ses terrains de jeu favoris.
La première grande peinture murale connue de Banksy est ‘’The mild mild west’’ qu’il réalise en 1997 sur Stokes Croft à Bristol. Elle représente un ours en peluche jetant un cocktail Molotov vers trois policiers anti-émeute. Les premières oeuvres abordent des thèmes qui n’ont jamais quitté Banksy depuis : anticonformisme, antiestablishement, pacifisme, anticapitalisme… qu’il traitera avec ironie, poésie et moquerie comme il le fait encore aujourd’hui.
Malgré son ressenti négatif à l'égard de la vente d’oeuvre d’art et ses efforts incessants pour rester indépendant face aux excès de ce marché, Banksy a dû s'avouer vaincu. Il est vrai qu'il s'est toujours opposé à la marchandisation de l’art en vendant plusieurs œuvres à un prix inférieur à celui du marché par l'intermédiaire de la société West Control. Et pourtant, avec des peintures vendues aux enchères pour des millions d'euros sur le marché secondaire, Banksy est devenu l’un des artistes les plus chers du monde, probablement sans le vouloir.
Banksy est un graffeur, peintre, artiste de rue. Il travaille sous un pseudonyme, et sa véritable identité fait l'objet de nombreuses spéculations.
C'est en terre natale que Banksy sera le plus prolifique. Plus de 80 % de ses œuvres ont été réalisées au Royaume-Uni. Londres er Bristol (que l'on croit être sa ville natale) deviendront assez naturellement ses terrains de jeu favoris.
La première grande peinture murale connue de Banksy est ‘’The mild mild west’’ qu’il réalise en 1997 sur Stokes Croft à Bristol. Elle représente un ours en peluche jetant un cocktail Molotov vers trois policiers anti-émeute. Les premières oeuvres abordent des thèmes qui n’ont jamais quitté Banksy depuis : anticonformisme, antiestablishement, pacifisme, anticapitalisme… qu’il traitera avec ironie, poésie et moquerie comme il le fait encore aujourd’hui.
Malgré son ressenti négatif à l'égard de la vente d’oeuvre d’art et ses efforts incessants pour rester indépendant face aux excès de ce marché, Banksy a dû s'avouer vaincu. Il est vrai qu'il s'est toujours opposé à la marchandisation de l’art en vendant plusieurs œuvres à un prix inférieur à celui du marché par l'intermédiaire de la société West Control. Et pourtant, avec des peintures vendues aux enchères pour des millions d'euros sur le marché secondaire, Banksy est devenu l’un des artistes les plus chers du monde, probablement sans le vouloir.
titre : Duchamp Comme Rrose Sélavy
auteur : Man Ray (Américain, 1890-1976)
technique : photographie noir et blanc
dimension : H : 21,9cm x L : 17,4 cm
date de création : 1920
lieu de conservation : Philadelphia Museum of Art
Commentaires : Man Ray, Duchamp et Picabia ont changé le chemin de l'art avec leurs sens de l'ironie, de doute et de la polémique. Ils ont partagé le même sens critique de l'art, mais ils avaient des personnalités individuelles très differentes, malgré ça leur amitié a demeuré longtemps. Cette photo faite par Man Ray représente l'une des moqueries de Duchamp à travers le jeu de mots du nom de son alter ego.
photo :
www.aiwaz.net/uploads/gallery/duchamp-as-rrose-selavy-160...
Gwenaël Bélanger
Choix déchus
(sérigraphie, infographie)
26 avril au 26 mai 2002 - galerie d'Engramme
Pourquoi préfère-t-on telle chose à une autre ? Comment arrive-t-on à départager plusieurs choses qui nous sont proposées ? Qu’est-ce qui fait qu’une chose semble plus parfaite qu’une autre ? Ces questions reliées aux concepts de la préférence et du goût sont au cœur de l’exposition "Choix déchus", composée de grandes sérigraphies et infographies cumulant d’innombrables icônes. Le spectateur se fait rapidement prendre au jeu: à la fois absurde et déstabilisant, cet interrogatoire donne une importance nouvelle aux images que la personne regarde et cible, amenant le spectateur vers des réflexions sur l’esthétique, la séduction, la subjectivité, etc.
Pour Gwenaël Bélanger, tout se passe comme si le commun et l’ordinaire cachaient quelque noyau dur de signification. Puisant aux sources de l’ironie, de la dérision et de la moquerie pour faire dévier la banalité des choses. Ses recherches se concentrent sur les procédés qui peuvent influencer la réception d’une image et sur la façon qu’ont la publicité et le design graphique d’articuler les mécanismes de la séduction. En mettant en scène les dispositifs de la réclame et des sondages l’artiste tente de souligner la complexité de la relation entre l’image (ou l’objet) et sa réception.
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Gwenaël Bélanger a participé à plus de 40 expositions individuelles et collectives. Il vit et travaille à Montréal.
Copyright © Gwenaël Bélanger - ENGRAMME
Banksy est un graffeur, peintre, artiste de rue. Il travaille sous un pseudonyme, et sa véritable identité fait l'objet de nombreuses spéculations.
C'est en terre natale que Banksy sera le plus prolifique. Plus de 80 % de ses œuvres ont été réalisées au Royaume-Uni. Londres er Bristol (que l'on croit être sa ville natale) deviendront assez naturellement ses terrains de jeu favoris.
La première grande peinture murale connue de Banksy est ‘’The mild mild west’’ qu’il réalise en 1997 sur Stokes Croft à Bristol. Elle représente un ours en peluche jetant un cocktail Molotov vers trois policiers anti-émeute. Les premières oeuvres abordent des thèmes qui n’ont jamais quitté Banksy depuis : anticonformisme, antiestablishement, pacifisme, anticapitalisme… qu’il traitera avec ironie, poésie et moquerie comme il le fait encore aujourd’hui.
Malgré son ressenti négatif à l'égard de la vente d’oeuvre d’art et ses efforts incessants pour rester indépendant face aux excès de ce marché, Banksy a dû s'avouer vaincu. Il est vrai qu'il s'est toujours opposé à la marchandisation de l’art en vendant plusieurs œuvres à un prix inférieur à celui du marché par l'intermédiaire de la société West Control. Et pourtant, avec des peintures vendues aux enchères pour des millions d'euros sur le marché secondaire, Banksy est devenu l’un des artistes les plus chers du monde, probablement sans le vouloir.
Marianne LOIR (Paris, vers1715 - Paris, 1781)
Portrait de Gabrielle Emilie Le Tonnelier de Breteuil, marquise du Châtelet (vers 1745)
Huile sur Toile
La marquise du Châtelet
Gabrielle Émilie Le Tonnelier de Breteuil, marquise du Châtelet (1706-1749), est un personnage hors du commun. On la considèrerait aujourd’hui comme une surdouée. Mais l’idée même qu’une femme puisse l’être n’effleurait personne à son époque, sauf les esprits les plus brillants, par exemple Voltaire. Aussi fut-elle beaucoup moquée dans le milieu aristocratique auquel elle appartenait.
Dès l’enfance, elle vit dans une famille où la culture est valorisée puisque ses parents recevaient philosophes, écrivains et poètes. Elle épouse le marquis du Châtelet en 1725, mais ce militaire est presque toujours absent. En 1733, Émilie du Châtelet rencontre Voltaire qui est en conflit avec le pouvoir politique pour la publication des Lettres philosophiques. La jeune aristocrate devient la maîtresse du philosophe et le couple se réfugie au château de Cirey-sur-Blaise, dans le duché de Lorraine. Voltaire comprend vite qu’il est en présence d’une intelligence exceptionnelle et encourage la marquise à approfondir ses connaissances scientifiques. Il lui conseille de traduire Newton, ce qu’elle fera. Il la guide vers la fréquentation des plus grands scientifiques comme Bernoulli, Euler, Buffon. Elle étudie Leibnitz 1646-1716), philosophe et scientifique allemand.
Ses expériences scientifiques suscitent les moqueries de la noblesse de cour, qui ne comprend pas qu’une femme puisse s’intéresser à un domaine jusqu’alors exclusivement masculin.
Analyse de l’œuvre
Ce portrait vise à représenter Émilie du Châtelet comme une femme de son époque s’intéressant à la vie de l’esprit. Il ne constitue pas une approche radicalement nouvelle de l’image de la femme. Au cours des siècles précédents, certaines femmes peintres s’étaient déjà représentées avec des symboles liés à leur activité.
Banksy est un graffeur, peintre, artiste de rue. Il travaille sous un pseudonyme, et sa véritable identité fait l'objet de nombreuses spéculations.
C'est en terre natale que Banksy sera le plus prolifique. Plus de 80 % de ses œuvres ont été réalisées au Royaume-Uni. Londres er Bristol (que l'on croit être sa ville natale) deviendront assez naturellement ses terrains de jeu favoris.
La première grande peinture murale connue de Banksy est ‘’The mild mild west’’ qu’il réalise en 1997 sur Stokes Croft à Bristol. Elle représente un ours en peluche jetant un cocktail Molotov vers trois policiers anti-émeute. Les premières oeuvres abordent des thèmes qui n’ont jamais quitté Banksy depuis : anticonformisme, antiestablishement, pacifisme, anticapitalisme… qu’il traitera avec ironie, poésie et moquerie comme il le fait encore aujourd’hui.
Malgré son ressenti négatif à l'égard de la vente d’oeuvre d’art et ses efforts incessants pour rester indépendant face aux excès de ce marché, Banksy a dû s'avouer vaincu. Il est vrai qu'il s'est toujours opposé à la marchandisation de l’art en vendant plusieurs œuvres à un prix inférieur à celui du marché par l'intermédiaire de la société West Control. Et pourtant, avec des peintures vendues aux enchères pour des millions d'euros sur le marché secondaire, Banksy est devenu l’un des artistes les plus chers du monde, probablement sans le vouloir.
La compagnie TRANSE EXPRESS
Tambours de la Muerte.
Les Tambours de la Muerte de la compagnie Transe Express. Catrina, version plantureuse et mexicaine de l'Ankou breton, fait son entrée dans l'atmosphère rougeoyante des Enfers escortées par deux squelettes géants, tels deux mafiosi moqueurs, le cigare à la bouche, surplombant la masse et jouant avec le public dont les réactions hésitent entre terreur et joie.
Au son des tambours tapageurs, la belle et dangereuse faucheuse part en quête de son cavalier parmi la foule. Mais pour danser le tango "de la muerte" aux bras de Catrina, il faut être irréprochable. Les victimes se succèdent joyeusement mais, ne parvenant jamais à la hauteur des exigences de Madame la Mort, finissent toutes par se faire rejeter dans le commun des mortels. La parade se poursuit dans la rue principale, jusqu'à ce qu'arrive la collision artistique : quand les Tambours de la Muerte de la compagnie Transe Expess percutent les cuivres d'Ulik et le Snob... Joyeuse célébration mortuaire ! Un moment d'échange musical loufoque avant de disparaître en glissant pour Ulik et le Snob, et de se diriger vers la place du Champs de foire pour Transe Express.
Le public est rassemblé, installé, impatient... que démarre le funèbre mais festif final de cette soirée ! Sur scène, les squelettes-tambourineurs de l'au-delà sortent de leurs cercueils et entament leur concert rock-macabre. Catrina scrute le public jusqu'à ce que ses yeux se posent sur celui qu'elle invitera à passer de "l'autre côté". Mais avant d'autoriser son passage, la victime doit faire ses preuves : passer à travers les flammes de la faux de Catrina, tambouriner en rythme sans être déconcentré par les moqueries des musiciens trépassés, faire fi de son vertige en voltigeant couragement sur le mât chinois et diriger l'orchestre de la mort pour le bouquet final : feux d'artifice, tambours-têtes-de-morts crachant du feu, guitares électriques et exclamations du public...
Source : Le Fourneau, Centre National des Arts de la Rue.
Banksy est un graffeur, peintre, artiste de rue. Il travaille sous un pseudonyme, et sa véritable identité fait l'objet de nombreuses spéculations.
C'est en terre natale que Banksy sera le plus prolifique. Plus de 80 % de ses œuvres ont été réalisées au Royaume-Uni. Londres er Bristol (que l'on croit être sa ville natale) deviendront assez naturellement ses terrains de jeu favoris.
La première grande peinture murale connue de Banksy est ‘’The mild mild west’’ qu’il réalise en 1997 sur Stokes Croft à Bristol. Elle représente un ours en peluche jetant un cocktail Molotov vers trois policiers anti-émeute. Les premières oeuvres abordent des thèmes qui n’ont jamais quitté Banksy depuis : anticonformisme, antiestablishement, pacifisme, anticapitalisme… qu’il traitera avec ironie, poésie et moquerie comme il le fait encore aujourd’hui.
Malgré son ressenti négatif à l'égard de la vente d’oeuvre d’art et ses efforts incessants pour rester indépendant face aux excès de ce marché, Banksy a dû s'avouer vaincu. Il est vrai qu'il s'est toujours opposé à la marchandisation de l’art en vendant plusieurs œuvres à un prix inférieur à celui du marché par l'intermédiaire de la société West Control. Et pourtant, avec des peintures vendues aux enchères pour des millions d'euros sur le marché secondaire, Banksy est devenu l’un des artistes les plus chers du monde, probablement sans le vouloir.
Gwenaël Bélanger
Choix déchus
(sérigraphie, infographie)
26 avril au 26 mai 2002 - galerie d'Engramme
Pourquoi préfère-t-on telle chose à une autre ? Comment arrive-t-on à départager plusieurs choses qui nous sont proposées ? Qu’est-ce qui fait qu’une chose semble plus parfaite qu’une autre ? Ces questions reliées aux concepts de la préférence et du goût sont au cœur de l’exposition "Choix déchus", composée de grandes sérigraphies et infographies cumulant d’innombrables icônes. Le spectateur se fait rapidement prendre au jeu: à la fois absurde et déstabilisant, cet interrogatoire donne une importance nouvelle aux images que la personne regarde et cible, amenant le spectateur vers des réflexions sur l’esthétique, la séduction, la subjectivité, etc.
Pour Gwenaël Bélanger, tout se passe comme si le commun et l’ordinaire cachaient quelque noyau dur de signification. Puisant aux sources de l’ironie, de la dérision et de la moquerie pour faire dévier la banalité des choses. Ses recherches se concentrent sur les procédés qui peuvent influencer la réception d’une image et sur la façon qu’ont la publicité et le design graphique d’articuler les mécanismes de la séduction. En mettant en scène les dispositifs de la réclame et des sondages l’artiste tente de souligner la complexité de la relation entre l’image (ou l’objet) et sa réception.
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Gwenaël Bélanger a participé à plus de 40 expositions individuelles et collectives. Il vit et travaille à Montréal.
Copyright © Gwenaël Bélanger - ENGRAMME
Banksy est un graffeur, peintre, artiste de rue. Il travaille sous un pseudonyme, et sa véritable identité fait l'objet de nombreuses spéculations.
C'est en terre natale que Banksy sera le plus prolifique. Plus de 80 % de ses œuvres ont été réalisées au Royaume-Uni. Londres er Bristol (que l'on croit être sa ville natale) deviendront assez naturellement ses terrains de jeu favoris.
La première grande peinture murale connue de Banksy est ‘’The mild mild west’’ qu’il réalise en 1997 sur Stokes Croft à Bristol. Elle représente un ours en peluche jetant un cocktail Molotov vers trois policiers anti-émeute. Les premières oeuvres abordent des thèmes qui n’ont jamais quitté Banksy depuis : anticonformisme, antiestablishement, pacifisme, anticapitalisme… qu’il traitera avec ironie, poésie et moquerie comme il le fait encore aujourd’hui.
Malgré son ressenti négatif à l'égard de la vente d’oeuvre d’art et ses efforts incessants pour rester indépendant face aux excès de ce marché, Banksy a dû s'avouer vaincu. Il est vrai qu'il s'est toujours opposé à la marchandisation de l’art en vendant plusieurs œuvres à un prix inférieur à celui du marché par l'intermédiaire de la société West Control. Et pourtant, avec des peintures vendues aux enchères pour des millions d'euros sur le marché secondaire, Banksy est devenu l’un des artistes les plus chers du monde, probablement sans le vouloir.
"L'amour vache" could be translated as "tough love". It's a type of love where affection and violence are mixed. "Vache" means "cow". This animal is offen used in french expressions in a negative way.
Cette expression désigne un type de relation où deux personnes qui s'aiment malgré tout ne savent pas exprimer leur sentiment autrement qu'en utilisant des railleries, des moqueries, des paroles, des disputes, des atteintes morales ou physiques...
La vache est un animal qui est utilisé dans de nombreuses expressions de la langue française comme une" vacherie" qui désigne une parole sournoise ou encore "un coup en vache" ou "vachard" qui exprime une attaque déloyale.
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Kiss-in contre l'homophobie
« Une semaine après que deux hommes se soient fait battre parce qu’ils démontraient des marques d'affection devant un bar dans Hochelaga-Maisonneuve, des centaines de personnes se sont embrassées pour dénoncer l’homophobie.
Le Kiss-In s’est déroulé en solidarité avec Sébastien, 36 ans, et Simon, 23 ans, qui ont reçu une vague de soutien après avoir raconté la semaine dernière au Journal de Montréal leur agression dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, le 30 avril, en sortant du bar chez Françoise.
Sur place, le couple était particulièrement ému de voir qu’autant de monde avait été touché par leur histoire. Ils se sont embrassés à nouveau, à la Place Simon-Valois, sous le regard de la foule, qui applaudissait.
Ils ont lancé comme messages à tous ceux qui reçoivent des commentaires ou regards méprisants lorsqu’ils s’affichent en public qu’ils ne sont pas seuls.
«Après avoir porté plainte à la police, on s’est dit qu’on allait en parler publiquement au Journal de Montréal, qui nous a approchés, parce qu’on sait que plein d’autres personnes subissent des agressions et insultes, a indiqué Sébastien. On s’est dit «go!» Tant pis pour nos visages et on y va. On est tannés de tout cela. On ne se laissera pas intimider, on fait juste s’aimer, c’est tout.»
«On est pas juste ici pour contrer l’homophobie, mais aussi la lesbophobie, la queerphobie, la transphobie et le genrisme, a indiqué Simon. On envoie chier ces homophobes-là.»
«Étre amoureux n’est pas un crime. Ça a sa place sur la place publique» a ajouté Pascal Vaillancourt, directeur général de Gai Écoute.
Étonnement
C’est principalement un sentiment d’étonnement que ce genre de violence se produise en 2016, à Montréal, qui a incité quelques personnes interrogées à participer au Kiss-in.
«Nous, on l’affiche et on n’est jamais tombés sur des gens agressants, mais ça aurait pu», laisse savoir Denis Émond, qui a s’est affiché comme hétérosexuel une bonne partie de sa vie, jusqu’à 52 ans. Père de quatre enfants et aujourd’hui âgé de 71 ans, il s’implique comme membre des Ainés et retraités de la communauté, ainsi qu’au sein du GRIS-Montréal.
«Si tu refuses de t’afficher en public, ça ne changera pas, ajoute son amoureux, Raymond Paul. Il faut que les gens soient mis en contact avec cette réalité pour qu’ils la voient, la comprennent et l’assument.»
«Les agressions verbales, des répliques, pas mal tout le monde le vit, reconnait Roxane Anhamb, âgée de 31 ans. Moi, le plus loin que c’est arrivé, c’est que quelqu’un prenne la personne avec qui j’étais par l’épaule, en sortant d’un bar, et lui demande «veux-tu fourrer avec moi»? J’ai poussé le gars et ça aurait pu virer en bagarre. Les femmes gaies ne sont pas plus acceptées. Elles sont stigmatisées et vues comme des objets sexuels pour les hommes.»
Selon un rapport sur les actes homophobes, publié en 2014 par Gai Écoute, sur 256 victimes interrogées, seulement 23 % ont porté plainte auprès des autorités. Les types d’actes homophobes les plus souvent déclarés sont, entre autres, la discrimination (26 %), les insultes (20 %), les gestes et les moqueries (16 %) ou l’intimidation (9 %). La violence physique fait partie de 3 % des actes rapportés.»
Caroline Lévesque, Journal de Montréal - 9 mai 2016
www.journaldemontreal.com/2016/05/09/une-centaine-de-pers...
......
Des bruits de marteaux montent des docks
Dans le vent doux du printemps flottent des odeurs de sueur
J'écoute Istanbul, les yeux fermés
J'écoute Istanbul, les yeux fermés
Une yali aux sombres embarcadères
Dans sa tête, l'ivresse des plaisirs d'autrefois
Dans les ronflements des vents du sud apaisés
J'écoute Istanbul, les yeux fermés
J'écoute Istanbul, les yeux fermés
Une beauté marche sur le trottoir
Quolibets, chansons, ballades, moqueries
Quelque chose tombe de sa main
Ce doit être une rose
J'écoute Istanbul, les yeux fermés.
J'écoute Istanbul, les yeux fermés
Un oiseau bat des ailes autour de ta robe
Je sais si ton front est tiède ou frais
Si tes lèvres sont humides ou sèches, je sais
Une lune blanche se lève derrière les pins
Je perçois tout du battement de ton cœur
J'écoute Istanbul.
~ Õrlhan VELI ~
Fandriana, jour de marché. Tous les paysans des alentours s'y retrouvent. C'est toujours un moment derencontre et d'evasion. Ces trois vieilles dames, emmitouflèes derrière leur lamba sont en train de se livrer à un de leur sports favoris, les petites moqueries et les medisances et ragots.
La Motte-Feuilly (Indre)
Château de la Motte-Feuilly.
Dès le début du XIIème siècle, le site de la Motte aurait été propriété d'un seigneur régional, Roger Palestel, seigneur de Sainte-Sévère. Celui-ci serait devenu seigneur de Sainte-Sévère par mariage.
Au XIIIème siècle, par mariage, terres et château de La Motte Feuilly sont transmis à la famille Vicomtal de Brosse .
Au XIVème siècle, par mariage, le domaine passe de la famille de Brosse à la famille de Sully.
Au milieu du XIVème siècle, Aliénor de Sully, héritière de la Motte-Feuilly, épouse Messire Vaudenay .
Des étude dendrochronologiques commandées par le propriétaire actuel permettent de dater la Tour Carrée d'environ 1360.
Au XVème siècle, le château appartient à la famille Chamborant. Hugues de Chamborant (1420-1486) , chevalier, seigneur de Lavaux, la Mothe-Feuilly et la Ferté sous Reuilly, servit sous le maréchal de Boussac (Jean de Brosse), son parent et son suzerain, contre les Anglais. Les anglais le firent prisonnier à Beauvoir. Il fit les sièges de Compiègne et d'Orléans et assista à la journée de Patay (18 juin 1429, victoire de Charles VII sur Henri VI d'Angleterre). Hugues de Chamborand, valeureux guerrier, est aussi un pillard, coupable d’incendies, de meurtres et de violences. En novembre 1462, il recevra des lettres de rémission du roi pour de nombreux crimes commis. Hugues (ou Huguet) de Chamborand avait épousé Catherine de Vaudenay fille de Dreux Drouin de Vaudenay, chevalier , seigneur de Menetou sur Cher, de la Mothe-Feuilly et de la Ferté-Gilbert , et qui descendait des seigneurs de Brosse par sa mère. En 1446, le Parlement de Paris le fait conduire en prison à la Conciergerie, ainsi que ses complices, pour des excès commis contre son beau-père Dreux de Vaudenay. En 1448, il doit solliciter du roi des lettres de rémission pour le meurtre de Guillaume du Bouex, écuyer, seigneur de Plavet. La veuve de Guillaume avait porté plainte, les lettres de rémission n'arrêtèrent pas les poursuites et le 6 septembre 1449, Hugues et ses complices furent comdamnés à fonder à perpétuité une messe dans l'église où Guillaume avait été enseveli, à payer une amende de 500 livres au roi, une autre identique à la veuve et aux enfants, et à servir à ces derniers une pension de 100 livres. De plus, il furent bannis du royaume. Il ne se soumirent pas à cet arrêt et durant deux ans, ils tinrent une insurrection armée contre la justice. Le roi ayant encore besoin de lui pour la guerre en Guyenne, accorda de nouvelles lettres de rémission.
En 1487, le fils de Jean IV de Culan hérite du château.
En 1504, Charlotte d'Albret* achète le château à la famille de Culan. (Après avoir appartenu à la famille Vaudenay, le domaine passsa à la famille Culan en dédommagement, suite à un procès. En effet, Claude Vaudenay tuteur des enfants Culan, s'était approprié la fortune de ceux-ci.) Charlotte d'Albret avait épousé César Borgia en 1499 avec lequel elle aura une fille, Louise.
La papauté du XVe siècle italien était profondément dégradée. Le cardinal Rodrigo Borgia eut une favorite, Vanozza de Cattanei, qui lui donna plusieurs enfants. Cela ne l'empêcha pas de prétendre à la tiare, qu'il obtint en 1492. Devenu Alexandre VI, il ne changea pas sa façon de vivre. .
Parmi ses nombreux enfants, sa fille Lucrèce fut mariée trois fois à des princes italiens, et toujours pour des raisons politiques.
Le plus doué de ses fils, César Borgia (né vers 1475), ne reculait devant rien : il aurait fait assassiner son frère Giovanni et donna l'ordre de tuer le deuxième mari de Lucrèce, Alphonse, roi de Naples (1497). César Borgia inspira le Prince à Machiavel.
Alexandre VI fit de César, son fils préféré, un cardinal, et ils menèrent ensemble leur politique. Ils commencèrent par s'opposer à Charles VIII lors de son expédition vers Naples, puis, après l'échec français, renversèrent leurs alliances. César fut envoyé en France comme légat pour dissoudre le mariage de Louis XII et lui permettre d'épouser Anne de Bretagne. Sa mission accomplie, il renonça au cardinalat et épousa Charlotte d'Albret le 10 mai 1499.
De 1500 à 1503, Louis XII et César Borgia devenu « gonfalonier », après l'assassinat de son frère aîné Giovanni, c'est-à-dire général en chef des troupes pontificales, dominèrent militairement l'Italie du Nord et du Centre.
César, était tout-puissant à Rome, où on lui attribuait l'empoisonnement de plusieurs cardinaux gênants. Lorsque Alexandre VI fut emporté par une mort brutale le 6 août 1503, le nouveau pape, Pie III, fit arrêter César et le livra aux Espagnols. Emprisonné en Espagne, il s'évada, se réfugia auprès du roi de Navarre et mourut en Navarre, tombé dans une embuscade lors du siège de Viana, le 12 mars 1507; il avait 31 ans.
En 1514, à la mort de Charlotte, le domaine fut transmis à sa fille, Louise Borgia. A cette occasion, un inventaire des lieux est réalisé.
En 1517, Louise épouse Louis II de la Trémouille et apporte ce château en dot. Successivement au service de Charles VIII, de Louis XII et de François Ier, Louis II de la Trémouille (Trémoille) occupa un rôle de premier plan à la cour et aux armées. iI fut l’un des personnages principaux des premières Guerres d’Italie. Il mourut d’un coup d’arquebuse à la bataille de Pavie** en 1525, âgé de soixante quatre ans.
En 1530, Louise, veuve depuis 5 ans, épouse Philippe de Bourbon, Baron de Busset. Philippe est un descendant d'un petit fils de Saint-Louis. De ce mariage naît, le 2 septembre 1537, Jean de Bourbon-Busset qui deviendra à son tour seigneur de la Motte-Fuilly.
La Motte-Feuilly restera dans la famille Bourbon Busset pendant plusieurs générations, puis passera par mariage dans la famille de Chabannes.
Joachim de Chabannes, seigneur de Trucy (03 juillet 1578 Bonnat - La Motte-Feuilly 17 mai 1625) époux de Gilberte de Bourbon-Busset est seigneur de La Mothe-Feuilly, leur fils, François de Chabannes, sera seigneur de La Mothe-Feuilly jusqu'à son décès en 1668 à Dôle.
Accablée de dettes, la famille de Chabannes vendra la Motte-Feuilly à Jean Fradet de Saint-Août, comte de Châteaumeillant, en 1651. La Motte-Feuilly sera alors élevée au rang de vicomté par Louis XIV.
Après deux générations, la Motte-Feuilly passera par mariage de la famille Fradet à la famille du Plessis-Châtillon.
En 1757, Marie-Félicité du Plessis-Châtillon*** vendit le domaine à Jean Pâris de Montmartel****, riche et influent financier.
Le fils unique de Jean Pâris de Montmartel, Armand, deviendra à son tour seigneur de la Motte-Fleury. Armand-Louis-Joseph Paris de Montmartel, on l'appelait simplement le marquis de Brunoy, du nom d'une terre qu'il possédait, avait vraiment des idées et un comportement bizarres : Il porte des vêtements simples et préfère la compagnie des gens du peuple à celle de la noblesse. Il a la passion des cérémonies religieuses. Il dilapide sa fortune au point que sa famille le fera interdire financièrement. Il doit quitter Brunoy et s’exiler dans son château à Villers-sur-Mer en Normandie, où il meurt de la variole en 1781, à 33 ans*****.
En 1783, les héritiers du marquis de Brunoy vendent le domaine à Claude Denis de Maussabré, garde du corps du roi dans la Compagnie de Noailles.
En 1887, la famille de Maussabré cède le domaine à Jacques Pierre Alfred Dumayet.
En 1979, Marie Louise Dumayet fait don du château à une association dédiée aux enfants souffrant de difficultés auditives et d'élocution.
En 1998, une famille belgo-australienne, la famille Borel de Bitche, rachète le domaine. La Motte-Feuilly devint alors le siège social d'une entreprise (entreprise Robert-Borel-de-Bitche) dont l'activité était la culture de céréales (à l'exception du riz), de légumineuses et de graines oléagineuses.
Depuis 2003, le château est la propriété du financier international Christophe Charlier, qui est originaire de la commune voisine de Sainte-Sévère. D'après sa déclaration sur Bloomberg, il serait PDG adjoint du groupe ONEXIM, holding de l'oligarque russe Mikhaïl Prokhorov, et Chairman of the Board of Directors de Renaissance Capital, une banque d'investissement dont le siège social est à Moscou.
* Charlotte d'Albret épouse César Borgia, fils du pape Alexandre VI, en 1499 et devient propriétaire des terres de Feusines, Néret et La Motte-Feuilly en 1504. Son mariage découlait du pacte entre Louis XII et le pape Alexandre VI, permettant au roi d'obtenir la bulle pontificale annulant son mariage avec Jeanne de France afin d'épouser Anne de Bretagne alors veuve de Charles VIII. Selon le pacte, Louis XII accordait au fils du pape, César Borgia, un duché (le Valentinois) et la main de Charlotte d'Albret.
** La bataille de Pavie opposa les Français aux Impériaux, les 23 et 24 février 1525. En septembre 1524, François Ier décida d'une nouvelle expédition en Italie, poussé par son favori Bonnivet et contre l'avis de la régente et de Montmorency, qui insistaient sur la faiblesse du royaume. Le roi passa les Alpes avec u_ne forte armée en octobre 1524, prit Milan le 26 octobre, et mit le siège devant Pavie le lendemain. La cité était défendue par de fortes murailles. Après un hiver dans l'inaction, les Impériaux passèrent à l'attaque dans la nuit du 23 au 24 février 1525. Le roi se retrouva au milieu des troupes ennemies et fut fait prisonnier. La bataille fit plusieurs milliers de morts (les chiffres oscillent entre 3 000 et 16 000, principalement dans l’armée royale), ce qui était inhabituel pour l'époque. « Nous avons marché dans du sang jusqu’à en avoir plein les bottes » dit un chant de lansquenets. Le roi sera libéré un an plus tard, contre une énorme rançon qui sera payée par ses sujets, et en promesse renoncement de ses prétentions sur l'Italie. Promesse que François Ier ne tiendra pas.
*** Marie-Félicité du Plessis-Châtillon sera guillotinée à Paris le 26 juillet1794, à l'âge de 70 ans. Le lendemain, Robespierre est arrêté, et guillotiné à son tour le 28 juillet 1794.
**** Les Montmartel, famille dauphinoise, sont à l'origine des aubergistes et commerçants. Ils s'enrichiront en sachant fournir les armées, réalisant au passage de confortables bénéfices. Jean Pâris de Monmartel sera banquier de la Cour jusqu'en 1759. Jeanne Antoinette Poisson, Marquise de Pompadour, maîtresse de Louis XV, était la filleule de Jean Pâris de Monmartel. Jeanne-Antoinette doit ses prénoms à son parrain, Jean Pâris de Monmartel, et à la nièce de ce dernier, Antoinette Justine Pâris, sa marraine.
***** Alexandre Dumas (père) en fera une pièce en 5 actes: Le Marquis de Brunoy, 1836.
Armand-Louis-Joseph Paris de Montmartel aurait été l'objet de moqueries blessantes sur son titre de marquis, alors que son grand père avait été un simple aubergiste. Ces moqueries déclenchèrent sans doute ses dispositions à fréquenter les gens du peuple et à braver la noblesse. Aimant le faste religieux, il donna à l'église de Brunoy des vêtements sacerdotaux brodés d or, des bijoux, des pierres précieuses, il patronne sans compter des Fêtes Dieu, des processions, des banquets...
Il se maria mais se sépara très vite de sa femme.
Il invitait dans son château de Brunoy les gens du pays, il tenait pour eux table ouverte. Les banquets se terminaient en beuveries et Armand étant ivre, il signait des donations à ses familiers. Donations sur lesquelles il ne revenait pas le lendemain. Il se livrait même à des anoblissement sauvages pour se moquer de « l esprit de noblesse ».
La famille fit « interdire » et assigner à résidence au château de Villers le marquis de Brunoy.
www.cairn.info/revue-historique-2014-3-page-567.htm?ref=d...
chateaudelamottefeuilly.fr/histoire
Comte F. de Maussabré, Généalogie de la famille Palesteau, dans le Compte-rendu de la Soc. Du Berry à Paris, 6e année, Paris, sept. 1859, ln-8°, p. 234.
Patrice Boussel. Guide de l'Île-de-France mystérieuse. Éditions Tchou, 1969.
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