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Beit Ummar, july 2011
L'enfant agite son drapeau autour du visage du soldat, qui s'énerve. Il finira par piétiner le drapeau, provoquant la colère de la foule.
Le commandant reproche aux manifestants de laisser les enfants venir. Mais parmi les soldats, certains sont de jeunes appelés qui ont à peine 17 ans !
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
"Et seule dans sa peau d'âne, exilée de son monde princier, au milieu des volailles et des moqueries des garçons de ferme, elle s'enferme dans sa chambrette, lave son visage et enfile une robe couleur du Temps. Car il est encore temps de rêver qu'un prince viendra, avant qu'il ne soit plus temps."
In Peau d'Ane by Charles Perrault
"And alone in her donkey skin, exiled from his princely world, amid the jeers of poultry and farm boys, she locks herself in her room, washing his face and puts on a dress "color of Time". Because it's still time to dream that a prince will come, before it's too late. "
In "The Donkey-Skin Girl" by Charles Perrault
Extrait choisi in "Vivre la magie des contes" de E. Brasey et J.P. Debailleul, p.99 :
"Miroir du conte de Peau d'Ane
Ce conte nous indique comment affirmer en totalité la qualité impraticable que nous aimerions tellement exprimer. Il nous montre aussi comment l'affirmer intérieurement, au coeur même des conditions adverses, en lui donnant une intensité croissante, sans chercher à modifier les obstacles qui nous écrasent et dépassent nos pauvres forces.
Le conte nous invite aussi à considérer notre condition difficile de "souillon" comme un refuge destiné à nous protéger d'un prédateur plus dangereux encore (.......), qui aurait souillé et avili notre qualité trop tôt exposée.
MISE EN OEUVRE DU CONTE ET AFFIRMATION DE L'IMAGE-RESSOURCE
Le conte nous propose de vivre en plénitude cette "image-ressource" de façon clandestine, en cachette, dans le recueillement intérieur, en imagination créatrice, et à concevoir des scénarios idéaux, précis et concrets, dans lesquels, comme en miroir, cette qualité goûtera vraiment un état d'accomplissement complet. Cet état agira comme une énergie de transformation, et commencera à changer le sentiment de notre présence au coeur de notre existence difficile, sans que nous ayons besoin de modifier quoi que ce soit.
C'est en oubliant le changement que, soudain, celui-ci se produira au-dehors, si nous acceptons de tenir suffisamment longtemps cette position paradoxale qui consiste à vivre à la fois l'état de princesse et l'état de souillon, de façon totalement conjointe et étanche en même temps.
L'invitation du conte:
Au coeur de l'adversité, faire exister le plus précieux, et vivre les deux totalement."
Joseph Ducreux: Portrait de l'artiste sous les traits d'un moquer, around 1793
Self-portrait as a mocker
Temporary exhibition (mid-2022) in the Musée Marmottan Monet in Paris -- the museum with the world's largest collection of paintings by Claude Monet.
Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
Je descendais la rue pour aller voir mon frère a l'hôpital. La position des chaussures m'avait fait sourire. Lorsque j'ai pris la photo,un homme est passé derrière moi et avait ri. Un rire vrai, sans moquerie aucune.
Beit Ummar, july 2011
Beaucoup de soldats filment et prennent des photos avec leur iphone. Souvenir de guerre ?
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Kiss-in contre l'homophobie
« Une semaine après que deux hommes se soient fait battre parce qu’ils démontraient des marques d'affection devant un bar dans Hochelaga-Maisonneuve, des centaines de personnes se sont embrassées pour dénoncer l’homophobie.
Le Kiss-In s’est déroulé en solidarité avec Sébastien, 36 ans, et Simon, 23 ans, qui ont reçu une vague de soutien après avoir raconté la semaine dernière au Journal de Montréal leur agression dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, le 30 avril, en sortant du bar chez Françoise.
Sur place, le couple était particulièrement ému de voir qu’autant de monde avait été touché par leur histoire. Ils se sont embrassés à nouveau, à la Place Simon-Valois, sous le regard de la foule, qui applaudissait.
Ils ont lancé comme messages à tous ceux qui reçoivent des commentaires ou regards méprisants lorsqu’ils s’affichent en public qu’ils ne sont pas seuls.
«Après avoir porté plainte à la police, on s’est dit qu’on allait en parler publiquement au Journal de Montréal, qui nous a approchés, parce qu’on sait que plein d’autres personnes subissent des agressions et insultes, a indiqué Sébastien. On s’est dit «go!» Tant pis pour nos visages et on y va. On est tannés de tout cela. On ne se laissera pas intimider, on fait juste s’aimer, c’est tout.»
«On est pas juste ici pour contrer l’homophobie, mais aussi la lesbophobie, la queerphobie, la transphobie et le genrisme, a indiqué Simon. On envoie chier ces homophobes-là.»
«Étre amoureux n’est pas un crime. Ça a sa place sur la place publique» a ajouté Pascal Vaillancourt, directeur général de Gai Écoute.
Étonnement
C’est principalement un sentiment d’étonnement que ce genre de violence se produise en 2016, à Montréal, qui a incité quelques personnes interrogées à participer au Kiss-in.
«Nous, on l’affiche et on n’est jamais tombés sur des gens agressants, mais ça aurait pu», laisse savoir Denis Émond, qui a s’est affiché comme hétérosexuel une bonne partie de sa vie, jusqu’à 52 ans. Père de quatre enfants et aujourd’hui âgé de 71 ans, il s’implique comme membre des Ainés et retraités de la communauté, ainsi qu’au sein du GRIS-Montréal.
«Si tu refuses de t’afficher en public, ça ne changera pas, ajoute son amoureux, Raymond Paul. Il faut que les gens soient mis en contact avec cette réalité pour qu’ils la voient, la comprennent et l’assument.»
«Les agressions verbales, des répliques, pas mal tout le monde le vit, reconnait Roxane Anhamb, âgée de 31 ans. Moi, le plus loin que c’est arrivé, c’est que quelqu’un prenne la personne avec qui j’étais par l’épaule, en sortant d’un bar, et lui demande «veux-tu fourrer avec moi»? J’ai poussé le gars et ça aurait pu virer en bagarre. Les femmes gaies ne sont pas plus acceptées. Elles sont stigmatisées et vues comme des objets sexuels pour les hommes.»
Selon un rapport sur les actes homophobes, publié en 2014 par Gai Écoute, sur 256 victimes interrogées, seulement 23 % ont porté plainte auprès des autorités. Les types d’actes homophobes les plus souvent déclarés sont, entre autres, la discrimination (26 %), les insultes (20 %), les gestes et les moqueries (16 %) ou l’intimidation (9 %). La violence physique fait partie de 3 % des actes rapportés.»
Caroline Lévesque, Journal de Montréal - 9 mai 2016
www.journaldemontreal.com/2016/05/09/une-centaine-de-pers...
Le sais-tu, que nous ne vivons
que sous les toits de nos propres passions
la tête au vent, nous pressons
le cœur qui tutoie la cédille,
la sœur qui protège de la pluie,
de sous son grand manteau,
ou sous les larmes de Pompéi
Miroirs des cuivres brisés
fantômes parcourant les maisons
le sais-tu que nous oublions, souvent,
de croire que le C n'englobe que le fusil
prêt à briser la tempe, ou la majuscule futile
Grande farce à attraper
saxophones fracassés
les pavés essuient déjà tout à minuit
Mais le sais-tu, que c'est sur le visage
que le sang dégouline, et que des ossements
la fleur de l'âge pousse, presque trop lentement
A découvert, je lève les mains au ciel
inspirant chaque seconde, cette brume éternelle
se collant aux parois de mes songes,
ou de mes alvéoles pulmonaires,
Le savais-tu, qu'il n'y a pas une once
de sagesse en les mots, qui prennent leur aise
et sortent de cette salive, des frasques antiques
Si je ne savais pas, oserais-je une parcelle,
un pan de mon cerveau, qui se décroche las
de ce magma hurlant, ou des moqueries acides
Attraper le C, et le coller au cœur
déjà peu accroché, du reste de mon corps
Créée sur ordre de Loukachenko himself, cette école de beauté a pour mission de former les futures Miss Biélorussie de demain.
Elle est souvent l'objet de moquerie de la part des habitants qui voient dans cette institution une preuve de la "beauferie" du président. D'ailleurs, une blague circule dans le pays: "Chez nous, la seule ressource naturelle que l'on ait, ce sont les jolies filles!". Le pouvoir l'a bien compris, lui qui ne fait presque rien pour lutter contre le tourisme sexuel.
LA FOI DES HOMMES DE L'ANCIENNE ALLIANCE
1 Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas.
2 Pour l'avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable.
3 C'est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu'on voit n'a pas été fait de choses visibles.
4 C'est par la foi qu'Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn; c'est par elle qu'il fut déclaré juste, Dieu approuvant ses offrandes; et c'est par elle qu'il parle encore, quoique mort.
5 C'est par la foi qu'Enoch fut enlevé pour qu'il ne vît point la mort, et qu'il ne parut plus parce que Dieu l'avait enlevé; car, avant son enlèvement, il avait reçu le témoignage qu'il était agréable à Dieu
. 6 Or sans la foi il est impossible de lui être agréable; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent.
7 C'est par la foi que Noé, divinement averti des choses qu'on ne voyait pas encore, et saisi d'une crainte respectueuse, construisit une arche pour sauver sa famille; c'est par elle qu'il condamna le monde, et devint héritier de la justice qui s'obtient par la foi.
8 C'est par la foi qu'Abraham, lors de sa vocation, obéit et partit pour un lieu qu'il devait recevoir en héritage, et qu'il partit sans savoir où il allait
. 9 C'est par la foi qu'il vint s'établir dans la terre promise comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes, ainsi qu'Isaac et Jacob, les cohéritiers de la même promesse.
10 Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l'architecte et le constructeur.
11 C'est par la foi que Sara elle-même, malgré son âge avancé, fut rendue capable d'avoir une postérité, parce qu'elle crut à la fidélité de celui qui avait fait la promesse
. 12 C'est pourquoi d'un seul homme, déjà usé de corps, naquit une postérité nombreuse comme les étoiles du ciel, comme le sable qui est sur le bord de la mer et qu'on ne peut compter.
13 C'est dans la foi qu'ils sont tous morts, sans avoir obtenu les choses promises; mais ils les ont vues et saluées de loin, reconnaissant qu'ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre.
14 Ceux qui parlent ainsi montrent qu'ils cherchent une patrie.
15 S'ils avaient eu en vue celle d'où ils étaient sortis, ils auraient eu le temps d'y retourner.
16 Mais maintenant ils en désirent une meilleure, c'est-à-dire une céleste. C'est pourquoi Dieu n'a pas honte d'être appelé leur Dieu, car il leur a préparé une cité.
17 C'est par la foi qu'Abraham offrit Isaac, lorsqu'il fut mis à l'épreuve, et qu'il offrit son fils unique, lui qui avait reçu les promesses,
18 et à qui il avait été dit : En Isaac sera nommée pour toi une postérité
. 19 Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter les morts; aussi le recouvra-t-il par une sorte de résurrection.
20 C'est par la foi qu'Isaac bénit Jacob et Esaü, en vue des choses à venir.
21 C'est par la foi que Jacob mourant bénit chacun des fils de Joseph, et qu'il adora, appuyé sur l'extrémité de son bâton.
22 C'est par la foi que Joseph mourant fit mention de la sortie des fils d'Israël, et qu'il donna des ordres au sujet de ses os.
23 C'est par la foi que Moïse, à sa naissance, fut caché pendant trois mois par ses parents, parce qu'ils virent que l'enfant était beau, et qu'ils ne craignirent pas l'ordre du roi.
24 C'est par la foi que Moïse, devenu grand, refusa d'être appelé fils de la fille de Pharaon,
25 aimant mieux être maltraité avec le peuple de Dieu que d'avoir pour un temps la jouissance du péché
, 26 regardant l'opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l'Egypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération.
27 C'est par la foi qu'il quitta l'Egypte, sans être effrayé de la colère du roi; car il se montra ferme, comme voyant celui qui est invisible.
28 C'est par la foi qu'il fit la Pâque et l'aspersion du sang, afin que l'exterminateur ne touchât pas aux premiers-nés des Israélites
. 29 C'est par la foi qu'ils traversèrent la mer Rouge comme un lieu sec, tandis que les Egyptiens qui en firent la tentative furent engloutis.
30 C'est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent, après qu'on en eut fait le tour pendant sept jours.
31 C'est par la foi que Rahab la prostituée ne périt pas avec les rebelles, parce qu'elle avait reçu les espions avec bienveillance.
32 Et que dirai-je encore ? Car le temps me manquerait pour parler de Gédéon, de Barak, de Samson, de Jephthé, de David, de Samuel, et des prophètes,
33 qui, par la foi, vainquirent des royaumes, exercèrent la justice, obtinrent des promesses, fermèrent la gueule des lions
, 34 éteignirent la puissance du feu, échappèrent au tranchant de l'épée, guérirent de leurs maladies, furent vaillants à la guerre, mirent en fuite des armées étrangères.
35 Des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection; d'autres furent livrés aux tourments, et n'acceptèrent point de délivrance, afin d'obtenir une meilleure résurrection;
36 d'autres subirent les moqueries et le fouet, les chaînes et la prison;
37 ils furent lapidés, sciés, torturés, ils moururent tués par l'épée, ils allèrent çà et là vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités
, 38 eux dont le monde n'était pas digne, errants dans les déserts et les montagnes, dans les cavernes et les antres de la terre.
39 Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage, n'ont pas obtenu ce qui leur était promis
, 40 Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu'ils ne parvinssent pas sans nous à la perfection.
LA BIBLE HÉBREUX 11
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Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
Kiss-in contre l'homophobie
« Une semaine après que deux hommes se soient fait battre parce qu’ils démontraient des marques d'affection devant un bar dans Hochelaga-Maisonneuve, des centaines de personnes se sont embrassées pour dénoncer l’homophobie.
Le Kiss-In s’est déroulé en solidarité avec Sébastien, 36 ans, et Simon, 23 ans, qui ont reçu une vague de soutien après avoir raconté la semaine dernière au Journal de Montréal leur agression dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, le 30 avril, en sortant du bar chez Françoise.
Sur place, le couple était particulièrement ému de voir qu’autant de monde avait été touché par leur histoire. Ils se sont embrassés à nouveau, à la Place Simon-Valois, sous le regard de la foule, qui applaudissait.
Ils ont lancé comme messages à tous ceux qui reçoivent des commentaires ou regards méprisants lorsqu’ils s’affichent en public qu’ils ne sont pas seuls.
«Après avoir porté plainte à la police, on s’est dit qu’on allait en parler publiquement au Journal de Montréal, qui nous a approchés, parce qu’on sait que plein d’autres personnes subissent des agressions et insultes, a indiqué Sébastien. On s’est dit «go!» Tant pis pour nos visages et on y va. On est tannés de tout cela. On ne se laissera pas intimider, on fait juste s’aimer, c’est tout.»
«On est pas juste ici pour contrer l’homophobie, mais aussi la lesbophobie, la queerphobie, la transphobie et le genrisme, a indiqué Simon. On envoie chier ces homophobes-là.»
«Étre amoureux n’est pas un crime. Ça a sa place sur la place publique» a ajouté Pascal Vaillancourt, directeur général de Gai Écoute.
Étonnement
C’est principalement un sentiment d’étonnement que ce genre de violence se produise en 2016, à Montréal, qui a incité quelques personnes interrogées à participer au Kiss-in.
«Nous, on l’affiche et on n’est jamais tombés sur des gens agressants, mais ça aurait pu», laisse savoir Denis Émond, qui a s’est affiché comme hétérosexuel une bonne partie de sa vie, jusqu’à 52 ans. Père de quatre enfants et aujourd’hui âgé de 71 ans, il s’implique comme membre des Ainés et retraités de la communauté, ainsi qu’au sein du GRIS-Montréal.
«Si tu refuses de t’afficher en public, ça ne changera pas, ajoute son amoureux, Raymond Paul. Il faut que les gens soient mis en contact avec cette réalité pour qu’ils la voient, la comprennent et l’assument.»
«Les agressions verbales, des répliques, pas mal tout le monde le vit, reconnait Roxane Anhamb, âgée de 31 ans. Moi, le plus loin que c’est arrivé, c’est que quelqu’un prenne la personne avec qui j’étais par l’épaule, en sortant d’un bar, et lui demande «veux-tu fourrer avec moi»? J’ai poussé le gars et ça aurait pu virer en bagarre. Les femmes gaies ne sont pas plus acceptées. Elles sont stigmatisées et vues comme des objets sexuels pour les hommes.»
Selon un rapport sur les actes homophobes, publié en 2014 par Gai Écoute, sur 256 victimes interrogées, seulement 23 % ont porté plainte auprès des autorités. Les types d’actes homophobes les plus souvent déclarés sont, entre autres, la discrimination (26 %), les insultes (20 %), les gestes et les moqueries (16 %) ou l’intimidation (9 %). La violence physique fait partie de 3 % des actes rapportés.»
Caroline Lévesque, Journal de Montréal - 9 mai 2016
www.journaldemontreal.com/2016/05/09/une-centaine-de-pers...
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Après avoir tenté de passer par l'accès principal en hauteur, les manifestants tentent de rejoindre la route 60 en passant par une petite voie en contrebas. Dans la précipitation, les soldats dévalent la pente pour les bloquer. LA tension monte.
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Kiss-in contre l'homophobie
« Une semaine après que deux hommes se soient fait battre parce qu’ils démontraient des marques d'affection devant un bar dans Hochelaga-Maisonneuve, des centaines de personnes se sont embrassées pour dénoncer l’homophobie.
Le Kiss-In s’est déroulé en solidarité avec Sébastien, 36 ans, et Simon, 23 ans, qui ont reçu une vague de soutien après avoir raconté la semaine dernière au Journal de Montréal leur agression dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, le 30 avril, en sortant du bar chez Françoise.
Sur place, le couple était particulièrement ému de voir qu’autant de monde avait été touché par leur histoire. Ils se sont embrassés à nouveau, à la Place Simon-Valois, sous le regard de la foule, qui applaudissait.
Ils ont lancé comme messages à tous ceux qui reçoivent des commentaires ou regards méprisants lorsqu’ils s’affichent en public qu’ils ne sont pas seuls.
«Après avoir porté plainte à la police, on s’est dit qu’on allait en parler publiquement au Journal de Montréal, qui nous a approchés, parce qu’on sait que plein d’autres personnes subissent des agressions et insultes, a indiqué Sébastien. On s’est dit «go!» Tant pis pour nos visages et on y va. On est tannés de tout cela. On ne se laissera pas intimider, on fait juste s’aimer, c’est tout.»
«On est pas juste ici pour contrer l’homophobie, mais aussi la lesbophobie, la queerphobie, la transphobie et le genrisme, a indiqué Simon. On envoie chier ces homophobes-là.»
«Étre amoureux n’est pas un crime. Ça a sa place sur la place publique» a ajouté Pascal Vaillancourt, directeur général de Gai Écoute.
Étonnement
C’est principalement un sentiment d’étonnement que ce genre de violence se produise en 2016, à Montréal, qui a incité quelques personnes interrogées à participer au Kiss-in.
«Nous, on l’affiche et on n’est jamais tombés sur des gens agressants, mais ça aurait pu», laisse savoir Denis Émond, qui a s’est affiché comme hétérosexuel une bonne partie de sa vie, jusqu’à 52 ans. Père de quatre enfants et aujourd’hui âgé de 71 ans, il s’implique comme membre des Ainés et retraités de la communauté, ainsi qu’au sein du GRIS-Montréal.
«Si tu refuses de t’afficher en public, ça ne changera pas, ajoute son amoureux, Raymond Paul. Il faut que les gens soient mis en contact avec cette réalité pour qu’ils la voient, la comprennent et l’assument.»
«Les agressions verbales, des répliques, pas mal tout le monde le vit, reconnait Roxane Anhamb, âgée de 31 ans. Moi, le plus loin que c’est arrivé, c’est que quelqu’un prenne la personne avec qui j’étais par l’épaule, en sortant d’un bar, et lui demande «veux-tu fourrer avec moi»? J’ai poussé le gars et ça aurait pu virer en bagarre. Les femmes gaies ne sont pas plus acceptées. Elles sont stigmatisées et vues comme des objets sexuels pour les hommes.»
Selon un rapport sur les actes homophobes, publié en 2014 par Gai Écoute, sur 256 victimes interrogées, seulement 23 % ont porté plainte auprès des autorités. Les types d’actes homophobes les plus souvent déclarés sont, entre autres, la discrimination (26 %), les insultes (20 %), les gestes et les moqueries (16 %) ou l’intimidation (9 %). La violence physique fait partie de 3 % des actes rapportés.»
Caroline Lévesque, Journal de Montréal - 9 mai 2016
www.journaldemontreal.com/2016/05/09/une-centaine-de-pers...
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Kiss-in contre l'homophobie
« Une semaine après que deux hommes se soient fait battre parce qu’ils démontraient des marques d'affection devant un bar dans Hochelaga-Maisonneuve, des centaines de personnes se sont embrassées pour dénoncer l’homophobie.
Le Kiss-In s’est déroulé en solidarité avec Sébastien, 36 ans, et Simon, 23 ans, qui ont reçu une vague de soutien après avoir raconté la semaine dernière au Journal de Montréal leur agression dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, le 30 avril, en sortant du bar chez Françoise.
Sur place, le couple était particulièrement ému de voir qu’autant de monde avait été touché par leur histoire. Ils se sont embrassés à nouveau, à la Place Simon-Valois, sous le regard de la foule, qui applaudissait.
Ils ont lancé comme messages à tous ceux qui reçoivent des commentaires ou regards méprisants lorsqu’ils s’affichent en public qu’ils ne sont pas seuls.
«Après avoir porté plainte à la police, on s’est dit qu’on allait en parler publiquement au Journal de Montréal, qui nous a approchés, parce qu’on sait que plein d’autres personnes subissent des agressions et insultes, a indiqué Sébastien. On s’est dit «go!» Tant pis pour nos visages et on y va. On est tannés de tout cela. On ne se laissera pas intimider, on fait juste s’aimer, c’est tout.»
«On est pas juste ici pour contrer l’homophobie, mais aussi la lesbophobie, la queerphobie, la transphobie et le genrisme, a indiqué Simon. On envoie chier ces homophobes-là.»
«Étre amoureux n’est pas un crime. Ça a sa place sur la place publique» a ajouté Pascal Vaillancourt, directeur général de Gai Écoute.
Étonnement
C’est principalement un sentiment d’étonnement que ce genre de violence se produise en 2016, à Montréal, qui a incité quelques personnes interrogées à participer au Kiss-in.
«Nous, on l’affiche et on n’est jamais tombés sur des gens agressants, mais ça aurait pu», laisse savoir Denis Émond, qui a s’est affiché comme hétérosexuel une bonne partie de sa vie, jusqu’à 52 ans. Père de quatre enfants et aujourd’hui âgé de 71 ans, il s’implique comme membre des Ainés et retraités de la communauté, ainsi qu’au sein du GRIS-Montréal.
«Si tu refuses de t’afficher en public, ça ne changera pas, ajoute son amoureux, Raymond Paul. Il faut que les gens soient mis en contact avec cette réalité pour qu’ils la voient, la comprennent et l’assument.»
«Les agressions verbales, des répliques, pas mal tout le monde le vit, reconnait Roxane Anhamb, âgée de 31 ans. Moi, le plus loin que c’est arrivé, c’est que quelqu’un prenne la personne avec qui j’étais par l’épaule, en sortant d’un bar, et lui demande «veux-tu fourrer avec moi»? J’ai poussé le gars et ça aurait pu virer en bagarre. Les femmes gaies ne sont pas plus acceptées. Elles sont stigmatisées et vues comme des objets sexuels pour les hommes.»
Selon un rapport sur les actes homophobes, publié en 2014 par Gai Écoute, sur 256 victimes interrogées, seulement 23 % ont porté plainte auprès des autorités. Les types d’actes homophobes les plus souvent déclarés sont, entre autres, la discrimination (26 %), les insultes (20 %), les gestes et les moqueries (16 %) ou l’intimidation (9 %). La violence physique fait partie de 3 % des actes rapportés.»
Caroline Lévesque, Journal de Montréal - 9 mai 2016
www.journaldemontreal.com/2016/05/09/une-centaine-de-pers...
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Kiss-in contre l'homophobie
« Une semaine après que deux hommes se soient fait battre parce qu’ils démontraient des marques d'affection devant un bar dans Hochelaga-Maisonneuve, des centaines de personnes se sont embrassées pour dénoncer l’homophobie.
Le Kiss-In s’est déroulé en solidarité avec Sébastien, 36 ans, et Simon, 23 ans, qui ont reçu une vague de soutien après avoir raconté la semaine dernière au Journal de Montréal leur agression dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, le 30 avril, en sortant du bar chez Françoise.
Sur place, le couple était particulièrement ému de voir qu’autant de monde avait été touché par leur histoire. Ils se sont embrassés à nouveau, à la Place Simon-Valois, sous le regard de la foule, qui applaudissait.
Ils ont lancé comme messages à tous ceux qui reçoivent des commentaires ou regards méprisants lorsqu’ils s’affichent en public qu’ils ne sont pas seuls.
«Après avoir porté plainte à la police, on s’est dit qu’on allait en parler publiquement au Journal de Montréal, qui nous a approchés, parce qu’on sait que plein d’autres personnes subissent des agressions et insultes, a indiqué Sébastien. On s’est dit «go!» Tant pis pour nos visages et on y va. On est tannés de tout cela. On ne se laissera pas intimider, on fait juste s’aimer, c’est tout.»
«On est pas juste ici pour contrer l’homophobie, mais aussi la lesbophobie, la queerphobie, la transphobie et le genrisme, a indiqué Simon. On envoie chier ces homophobes-là.»
«Étre amoureux n’est pas un crime. Ça a sa place sur la place publique» a ajouté Pascal Vaillancourt, directeur général de Gai Écoute.
Étonnement
C’est principalement un sentiment d’étonnement que ce genre de violence se produise en 2016, à Montréal, qui a incité quelques personnes interrogées à participer au Kiss-in.
«Nous, on l’affiche et on n’est jamais tombés sur des gens agressants, mais ça aurait pu», laisse savoir Denis Émond, qui a s’est affiché comme hétérosexuel une bonne partie de sa vie, jusqu’à 52 ans. Père de quatre enfants et aujourd’hui âgé de 71 ans, il s’implique comme membre des Ainés et retraités de la communauté, ainsi qu’au sein du GRIS-Montréal.
«Si tu refuses de t’afficher en public, ça ne changera pas, ajoute son amoureux, Raymond Paul. Il faut que les gens soient mis en contact avec cette réalité pour qu’ils la voient, la comprennent et l’assument.»
«Les agressions verbales, des répliques, pas mal tout le monde le vit, reconnait Roxane Anhamb, âgée de 31 ans. Moi, le plus loin que c’est arrivé, c’est que quelqu’un prenne la personne avec qui j’étais par l’épaule, en sortant d’un bar, et lui demande «veux-tu fourrer avec moi»? J’ai poussé le gars et ça aurait pu virer en bagarre. Les femmes gaies ne sont pas plus acceptées. Elles sont stigmatisées et vues comme des objets sexuels pour les hommes.»
Selon un rapport sur les actes homophobes, publié en 2014 par Gai Écoute, sur 256 victimes interrogées, seulement 23 % ont porté plainte auprès des autorités. Les types d’actes homophobes les plus souvent déclarés sont, entre autres, la discrimination (26 %), les insultes (20 %), les gestes et les moqueries (16 %) ou l’intimidation (9 %). La violence physique fait partie de 3 % des actes rapportés.»
Caroline Lévesque, Journal de Montréal - 9 mai 2016
www.journaldemontreal.com/2016/05/09/une-centaine-de-pers...
Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).
Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».
De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.
(Wikipedia)
Désolé pour la petite moquerie avec l'affiche.
Je sais que certaines régions en France manquent de financement à cause de politiques régressives.
L'égalité territoriale en termes de santé, etc... ne serait pas du luxe.
Autopsie d'un média dit de service public en état de mort apparente quant à sa fonction d'information....
Volet 1:
www.acrimed.org/France-Inter-Sciences-Po-et-la-Palestine-...
Volet 2:
www.acrimed.org/France-Inter-Sciences-Po-et-la-Palestine
Volet 3
www.acrimed.org/France-Inter-Sciences-Po-et-la-Palestine-...
Objet: Comment France Inter a calomnié la mobilisation à Sciences Po en soutien de la Palestine
Sciences Po et la Palestine : comment France Inter a maltraité un mouvement social
Un article en 3 volets
En mars 2024, cela fait déjà plusieurs mois que des étudiants se mobilisent à Sciences Po. Au cœur de leurs revendications, notamment : un cessez-le-feu à Gaza, un positionnement public de la direction de l’école sur les massacres en cours, la tenue d’un débat au sein de Sciences Po et la fin des partenariats avec les universités israéliennes qui collaborent avec le gouvernement et l’armée.
Mais c’est seulement à partir de ce 13 mars que France Inter commence à s’intéresser à Sciences Po. Non pas à la mobilisation en tant que telle… mais à des accusations d’antisémitisme portées par l’Union des étudiants juifs de France. Lesquelles déclenchent un emballement dans une large partie du personnel politique, ainsi que le déplacement à Sciences Po de Gabriel Attal, qui annonce saisir la justice.
Comme la quasi-totalité des médias, France Inter participe alors activement à amplifier la « polémique », ne relayant d’abord que la communication du gouvernement, au mépris des faits et du contradictoire . Et si la fake news initiale est rapidement démentie, elle n’est que partiellement corrigée les jours suivants à l’antenne de la radio publique : aucun rectificatif explicite et, bien sûr, aucun mea culpa . Au cours des mois d’avril et mai, les mobilisations se sont poursuivies et amplifiées à Sciences Po. Mais le traitement de France Inter n’a pas été meilleur…
Pour cet article en 3 volets, nous avons recensé puis écouté et « catégorisé » tous les contenus diffusés par la radio sur ce sujet pendant une période de 7 mois. Des heures et des heures de travail… pour une conclusion : les pratiques ordinaires du journalisme défigurent le mouvement social .
Et on commence par un premier volet sur la séquence d’emballement dont on vous parlait plus haut : comment France Inter a amplifié l’emballement au lieu d’enquêter, sans accorder aucun temps de parole aux étudiants, et comment cette « polémique » a totalement pris le pas sur la mobilisation étudiante elle-même, laissée totalement hors-champ à l’antenne de la radio publique. 👇
Volet 1:
www.acrimed.org/France-Inter-Sciences-Po-et-la-Palestine-...
Dans un deuxième volet, nous revenons plus particulièrement sur la façon dont les mobilisations d’avril et mai 2024 ont été (mal)traitées. Dans les journaux d’information, les étudiants sont marginalisés et ne s’expriment que très rarement sur leurs propres revendications, auxquelles France Inter ne s’intéresse d’ailleurs que très tardivement… et très partiellement. -
Volet 2:
www.acrimed.org/France-Inter-Sciences-Po-et-la-Palestine
Dans un troisième et dernier volet, nous nous intéressons aux formats plus traditionnels du « parti pris » : les interviews, que ce soit dans l’émission « Questions politiques » ou dans la matinale (« Le grand entretien du 7/10 »), les éditos ou encore les billets humoristiques de Sophia Aram...
Volet 3
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Et le moins qu’on puisse dire, c’est que de la moquerie à la calomnie, France Inter a encore brillé : sous couvert de « nuance », revendiquée par plusieurs journalistes à l’antenne, le traitement est à charge. Et la ligne éditoriale, très claire : délégitimer, disqualifier et ridiculiser les mobilisations étudiantes. -
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Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Ce soldat menace l'enfant avec son poing. Un peu plus tard, un autre soldat saisira le gamin à la gorge violemment.
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.
Beit Ummar, july 2011
Un soldat tente de saisir un enfant.
Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.
La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?
Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.