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La Motte-Feuilly (Indre)

  

Château de la Motte-Feuilly.

 

On devine deux canonnières sur le bâtiment de gauche.

 

Dès le début du XIIème siècle, le site de la Motte aurait été propriété d'un seigneur régional, Roger Palestel, seigneur de Sainte-Sévère. Celui-ci serait devenu seigneur de Sainte-Sévère par mariage.

 

Au XIIIème siècle, par mariage, terres et château de La Motte Feuilly sont transmis à la famille Vicomtal de Brosse .

 

Au XIVème siècle, par mariage, le domaine passe de la famille de Brosse à la famille de Sully.

 

Au milieu du XIVème siècle, Aliénor de Sully, héritière de la Motte-Feuilly, épouse Messire Vaudenay .

 

Des étude dendrochronologiques commandées par le propriétaire actuel permettent de dater la Tour Carrée d'environ 1360.

 

Au XVème siècle, le château appartient à la famille Chamborant. Hugues de Chamborant (1420-1486) , chevalier, seigneur de Lavaux, la Mothe-Feuilly et la Ferté sous Reuilly, servit sous le maréchal de Boussac (Jean de Brosse), son parent et son suzerain, contre les Anglais. Les anglais le firent prisonnier à Beauvoir. Il fit les sièges de Compiègne et d'Orléans et assista à la journée de Patay (18 juin 1429, victoire de Charles VII sur Henri VI d'Angleterre). Hugues de Chamborand, valeureux guerrier, est aussi un pillard, coupable d’incendies, de meurtres et de violences. En novembre 1462, il recevra des lettres de rémission du roi pour de nombreux crimes commis. Hugues (ou Huguet) de Chamborand avait épousé Catherine de Vaudenay fille de Dreux Drouin de Vaudenay, chevalier , seigneur de Menetou sur Cher, de la Mothe-Feuilly et de la Ferté-Gilbert , et qui descendait des seigneurs de Brosse par sa mère. En 1446, le Parlement de Paris le fait conduire en prison à la Conciergerie, ainsi que ses complices, pour des excès commis contre son beau-père Dreux de Vaudenay. En 1448, il doit solliciter du roi des lettres de rémission pour le meurtre de Guillaume du Bouex, écuyer, seigneur de Plavet. La veuve de Guillaume avait porté plainte, les lettres de rémission n'arrêtèrent pas les poursuites et le 6 septembre 1449, Hugues et ses complices furent comdamnés à fonder à perpétuité une messe dans l'église où Guillaume avait été enseveli, à payer une amende de 500 livres au roi, une autre identique à la veuve et aux enfants, et à servir à ces derniers une pension de 100 livres. De plus, il furent bannis du royaume. Il ne se soumirent pas à cet arrêt et durant deux ans, ils tinrent une insurrection armée contre la justice. Le roi ayant encore besoin de lui pour la guerre en Guyenne, accorda de nouvelles lettres de rémission.

 

En 1487, le fils de Jean IV de Culan hérite du château.

 

En 1504, Charlotte d'Albret* achète le château à la famille de Culan. (Après avoir appartenu à la famille Vaudenay, le domaine passsa à la famille Culan en dédommagement, suite à un procès. En effet, Claude Vaudenay tuteur des enfants Culan, s'était approprié la fortune de ceux-ci.) Charlotte d'Albret avait épousé César Borgia en 1499 avec lequel elle aura une fille, Louise.

La papauté du XVe siècle italien était profondément dégradée. Le cardinal Rodrigo Borgia eut une favorite, Vanozza de Cattanei, qui lui donna plusieurs enfants. Cela ne l'empêcha pas de prétendre à la tiare, qu'il obtint en 1492. Devenu Alexandre VI, il ne changea pas sa façon de vivre. .

Parmi ses nombreux enfants, sa fille Lucrèce fut mariée trois fois à des princes italiens, et toujours pour des raisons politiques.

Le plus doué de ses fils, César Borgia (né vers 1475), ne reculait devant rien : il aurait fait assassiner son frère Giovanni et donna l'ordre de tuer le deuxième mari de Lucrèce, Alphonse, roi de Naples (1497). César Borgia inspira le Prince à Machiavel.

Alexandre VI fit de César, son fils préféré, un cardinal, et ils menèrent ensemble leur politique. Ils commencèrent par s'opposer à Charles VIII lors de son expédition vers Naples, puis, après l'échec français, renversèrent leurs alliances. César fut envoyé en France comme légat pour dissoudre le mariage de Louis XII et lui permettre d'épouser Anne de Bretagne. Sa mission accomplie, il renonça au cardinalat et épousa Charlotte d'Albret le 10 mai 1499.

De 1500 à 1503, Louis XII et César Borgia devenu « gonfalonier », après l'assassinat de son frère aîné Giovanni, c'est-à-dire général en chef des troupes pontificales, dominèrent militairement l'Italie du Nord et du Centre.

César, était tout-puissant à Rome, où on lui attribuait l'empoisonnement de plusieurs cardinaux gênants. Lorsque Alexandre VI fut emporté par une mort brutale le 6 août 1503, le nouveau pape, Pie III, fit arrêter César et le livra aux Espagnols. Emprisonné en Espagne, il s'évada, se réfugia auprès du roi de Navarre et mourut en Navarre, tombé dans une embuscade lors du siège de Viana, le 12 mars 1507; il avait 31 ans.

 

En 1514, à la mort de Charlotte, le domaine fut transmis à sa fille, Louise Borgia. A cette occasion, un inventaire des lieux est réalisé.

 

En 1517, Louise épouse Louis II de la Trémouille et apporte ce château en dot. Successivement au service de Charles VIII, de Louis XII et de François Ier, Louis II de la Trémouille (Trémoille) occupa un rôle de premier plan à la cour et aux armées. iI fut l’un des personnages principaux des premières Guerres d’Italie. Il mourut d’un coup d’arquebuse à la bataille de Pavie** en 1525, âgé de soixante quatre ans.

 

En 1530, Louise, veuve depuis 5 ans, épouse Philippe de Bourbon, Baron de Busset. Philippe est un descendant d'un petit fils de Saint-Louis. De ce mariage naît, le 2 septembre 1537, Jean de Bourbon-Busset qui deviendra à son tour seigneur de la Motte-Fuilly.

 

La Motte-Feuilly restera dans la famille Bourbon Busset pendant plusieurs générations, puis passera par mariage dans la famille de Chabannes.

 

Joachim de Chabannes, seigneur de Trucy (03 juillet 1578 Bonnat - La Motte-Feuilly 17 mai 1625) époux de Gilberte de Bourbon-Busset est seigneur de La Mothe-Feuilly, leur fils, François de Chabannes, sera seigneur de La Mothe-Feuilly jusqu'à son décès en 1668 à Dôle.

 

Accablée de dettes, la famille de Chabannes vendra la Motte-Feuilly à Jean Fradet de Saint-Août, comte de Châteaumeillant, en 1651. La Motte-Feuilly sera alors élevée au rang de vicomté par Louis XIV.

 

Après deux générations, la Motte-Feuilly passera par mariage de la famille Fradet à la famille du Plessis-Châtillon.

 

En 1757, Marie-Félicité du Plessis-Châtillon*** vendit le domaine à Jean Pâris de Montmartel****, riche et influent financier.

 

Le fils unique de Jean Pâris de Montmartel, Armand, deviendra à son tour seigneur de la Motte-Fleury. Armand-Louis-Joseph Paris de Montmartel, on l'appelait simplement le marquis de Brunoy, du nom d'une terre qu'il possédait, avait vraiment des idées et un comportement bizarres : Il porte des vêtements simples et préfère la compagnie des gens du peuple à celle de la noblesse. Il a la passion des cérémonies religieuses. Il dilapide sa fortune au point que sa famille le fera interdire financièrement. Il doit quitter Brunoy et s’exiler dans son château à Villers-sur-Mer en Normandie, où il meurt de la variole en 1781, à 33 ans*****.

 

En 1783, les héritiers du marquis de Brunoy vendent le domaine à Claude Denis de Maussabré, garde du corps du roi dans la Compagnie de Noailles.

 

En 1887, la famille de Maussabré cède le domaine à Jacques Pierre Alfred Dumayet.

 

En 1979, Marie Louise Dumayet fait don du château à une association dédiée aux enfants souffrant de difficultés auditives et d'élocution.

 

En 1998, une famille belgo-australienne, la famille Borel de Bitche, rachète le domaine. La Motte-Feuilly devint alors le siège social d'une entreprise (entreprise Robert-Borel-de-Bitche) dont l'activité était la culture de céréales (à l'exception du riz), de légumineuses et de graines oléagineuses.

 

Depuis 2003, le château est la propriété du financier international Christophe Charlier, qui est originaire de la commune voisine de Sainte-Sévère. D'après sa déclaration sur Bloomberg, il serait PDG adjoint du groupe ONEXIM, holding de l'oligarque russe Mikhaïl Prokhorov, et Chairman of the Board of Directors de Renaissance Capital, une banque d'investissement dont le siège social est à Moscou.

  

* Charlotte d'Albret épouse César Borgia, fils du pape Alexandre VI, en 1499 et devient propriétaire des terres de Feusines, Néret et La Motte-Feuilly en 1504. Son mariage découlait du pacte entre Louis XII et le pape Alexandre VI, permettant au roi d'obtenir la bulle pontificale annulant son mariage avec Jeanne de France afin d'épouser Anne de Bretagne alors veuve de Charles VIII. Selon le pacte, Louis XII accordait au fils du pape, César Borgia, un duché (le Valentinois) et la main de Charlotte d'Albret.

 

** La bataille de Pavie opposa les Français aux Impériaux, les 23 et 24 février 1525. En septembre 1524, François Ier décida d'une nouvelle expédition en Italie, poussé par son favori Bonnivet et contre l'avis de la régente et de Montmorency, qui insistaient sur la faiblesse du royaume. Le roi passa les Alpes avec u_ne forte armée en octobre 1524, prit Milan le 26 octobre, et mit le siège devant Pavie le lendemain. La cité était défendue par de fortes murailles. Après un hiver dans l'inaction, les Impériaux passèrent à l'attaque dans la nuit du 23 au 24 février 1525. Le roi se retrouva au milieu des troupes ennemies et fut fait prisonnier. La bataille fit plusieurs milliers de morts (les chiffres oscillent entre 3 000 et 16 000, principalement dans l’armée royale), ce qui était inhabituel pour l'époque. « Nous avons marché dans du sang jusqu’à en avoir plein les bottes » dit un chant de lansquenets. Le roi sera libéré un an plus tard, contre une énorme rançon qui sera payée par ses sujets, et en promesse renoncement de ses prétentions sur l'Italie. Promesse que François Ier ne tiendra pas.

 

*** Marie-Félicité du Plessis-Châtillon sera guillotinée à Paris le 26 juillet1794, à l'âge de 70 ans. Le lendemain, Robespierre est arrêté, et guillotiné à son tour le 28 juillet 1794.

 

**** Les Montmartel, famille dauphinoise, sont à l'origine des aubergistes et commerçants. Ils s'enrichiront en sachant fournir les armées, réalisant au passage de confortables bénéfices. Jean Pâris de Monmartel sera banquier de la Cour jusqu'en 1759. Jeanne Antoinette Poisson, Marquise de Pompadour, maîtresse de Louis XV, était la filleule de Jean Pâris de Monmartel. Jeanne-Antoinette doit ses prénoms à son parrain, Jean Pâris de Monmartel, et à la nièce de ce dernier, Antoinette Justine Pâris, sa marraine.

 

***** Alexandre Dumas (père) en fera une pièce en 5 actes: Le Marquis de Brunoy, 1836.

Armand-Louis-Joseph Paris de Montmartel aurait été l'objet de moqueries blessantes sur son titre de marquis, alors que son grand père avait été un simple aubergiste. Ces moqueries déclenchèrent sans doute ses dispositions à fréquenter les gens du peuple et à braver la noblesse. Aimant le faste religieux, il donna à l'église de Brunoy des vêtements sacerdotaux brodés d or, des bijoux, des pierres précieuses, il patronne sans compter des Fêtes Dieu, des processions, des banquets...

Il se maria mais se sépara très vite de sa femme.

Il invitait dans son château de Brunoy les gens du pays, il tenait pour eux table ouverte. Les banquets se terminaient en beuveries et Armand étant ivre, il signait des donations à ses familiers. Donations sur lesquelles il ne revenait pas le lendemain. Il se livrait même à des anoblissement sauvages pour se moquer de « l esprit de noblesse ».

La famille fit « interdire » et assigner à résidence au château de Villers le marquis de Brunoy.

  

www.cairn.info/revue-historique-2014-3-page-567.htm?ref=d...

chateaudelamottefeuilly.fr/histoire

Comte F. de Maussabré, Généalogie de la famille Palesteau, dans le Compte-rendu de la Soc. Du Berry à Paris, 6e année, Paris, sept. 1859, ln-8°, p. 234.

Patrice Boussel. Guide de l'Île-de-France mystérieuse. Éditions Tchou, 1969.

www.brunoy.fr/wp-content/uploads/2022/02/Support-Pedagogi...

www.facebook.com/chateaudelamottefeuilly

data.bloomberglp.com/professional/sites/10/Peer-Analysis_...

fr.wikipedia.org/wiki/Charlotte_d%27Albret

QUE REPRÉSENTE POUR VOUS LA CROIX ?

 

Dans nos pays dits christianisés, rares sont les villages où l’on ne trouve pas au moins un calvaire. Les églises et beaucoup de maisons sont pourvues de crucifix et bien des personnes portent au cou une médaille représentant la croix. Les cimetières en sont remplis.

 

Qu’est-elle pour vous, cher lecteur, cette croix qui se trouve partout ? N’est-elle qu’un symbole, celle du christianisme ? Ou une pièce d'art représentant une scène passée dont on a une vague connaissance ? Savez-vous qu’un jour, il y a presque deux mille ans, une croix fut dressée entre deux autres, non loin de Jérusalem, sur le mont Golgotha ? Un homme y était cloué, entre deux brigands crucifiés en même temps que lui.

 

Représentons-nous la scène : il est 9 heures du matin. Le peuple, les conducteurs religieux, les soldats romains contemplent le crucifié du milieu. Qui était-il ? Jésus, le seul homme qui a vécu sur la terre une vie pure et sans tache, qui n’a fait que du bien, manifestant son amour infini, l’amour de Dieu. Qu’avait-il fait pour subir un tel châtiment ? Rien. Il n’avait dit que la vérité : « Je suis le Fils de Dieu ». Pilate qui avait la responsabilité de sa condamnation avait déclaré publiquement et à trois reprises : « Je ne trouve aucun crime en lui ».

 

De 9 heures à midi, il subit les moqueries et la haine des hommes poussés par Satan. A ses souffrances atroces que subissait son corps meurtri s’ajoutaient les souffrances morales, bien plus grandes encore, de Celui qui était venu pour sauver sa créature perdue. Il prie pour ses bourreaux : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font ».

 

De midi à 3 heures de l’après-midi, au moment où le soleil est le plus haut, les ténèbres envahissent le pays. Dieu ne permet pas que le monde assiste à cette scène de souffrances indicibles, infiniment plus grandes encore que les précédentes, pendant laquelle Jésus subit à notre place la juste colère divine contre nos péchés qu’il expie. Un poète a écrit :

 

Tu brilles à la croix, lorsqu'aux trois heures sombres,

Qui sur un monde aveugle épaississaient les ombres,

L'homme parfait, le Fils du Dieu saint, du Dieu fort,

Traversa l'abandon, la colère et la mort.

 

Tu souffris, ô Jésus, Sauveur, Agneau, Victime !

Ton regard infini sonda l'immense abîme,

Et tn cœur infini, sous ce poids d'un moment,

Porta l'éternité de notre châtiment. Henri Rossier (1835 - 1928)

 

Puis à la fin de ces heures ténébreuses (3 heures de l’après-midi), Jésus dit : « C’est accompli » et, ayant jeté un grand cri, il expira. Oui, l’œuvre de grâce est achevée, parfaitement accomplie. La justice de Dieu est pleinement satisfaite, le pécheur peut être pardonné.

 

Permettez-moi de réitérer ma question, cher lecteur : Qu’est-elle, pour vous, cette croix ?

Est-elle un simple objet servant de pendentif pour décorer votre poitrine ?

Pensez-vous que le fait de la porter fait de vous un(e) chrétien(ne) ?

Ou la considérez-vous comme le symbole d’une religion parmi d’autres ?

 

Ou pouvez dire du plus profond de votre cœur, et dans une sainte adoration : « C’est là que Jésus, le saint Fils de Dieu a souffert et est mort pour moi, c’est là qu’il a payé le grand prix de mon salut éternel » ?

 

Oui c'est pour moi, oui c'est pour moi

Que mon Sauveur a souffert sur la croix.

Blessé, meurtri, il a souffert pour moi,

Pour me sauver, il est mort sur la croix.

 

www.la-verite-sure.fr/page2.html

Regarder une personne en vis-à-vis et en silence met en évidence certaines des caractéristiques suivantes :

ABANDON ABATTEMENT ACCABLEMENT ACHARNEMENT ACRIMONIE ADMIRATION AFFLICTION AFFOLEMENT AGACEMENT AGITATION AGRÉMENT AHURISSEMENT AIGREUR ALANGUISSEMENT ALARME AMBIGUïTÉ AMERTUME ANGOISSE ANIMATION ANIMOSITÉ ATERMOIEMENT ANTIPATHIE ANXIÉTÉ APATHIE APITOIEMENT APLOMB APPLICATION APPRÉHENSION ARDEUR ASSURANCE ATTENTION ATTIRANCE ATTRACTION AVERSION AVIDITÉ BALANCEMENT BÉATITUDE BEAUTÉ BIEN-ÊTRE BONHEUR BOUILLONNEMENT BOUDERIE BOULEVERSEMENT BOURDON CAFARD CALVAIRE CERTITUDE CHAGRIN CHALEUR CIRCONSPECTION COLÈRE COMPLAISANCE CONCENTRATION CONFIANCE CONFUSION CONSOMPTION CONSTERNATION CONTENTEMENT CONTRAINTE CONTRARIÉTÉ CONTRITION CONVOITISE COURROUX CRAINTE CULPABILITÉ DÉCEPTION DÉCHIREMENT DÉCOURAGEMENT DÉDAIN DÉFIANCE DÉGOÛT DÉLECTATION DÉLICE DÉLIRE DÉMOBILISATION DÉMORALISATION DÉMOTIVATION DÉPIT DÉPRESSION DÉSAPPOINTEMENT DÉSARROI DÉSENCHANTEMENT DÉSESPOIR DÉSILLUSION DÉSINVOLTURE DÉSœUVREMENT DÉTERMINATION DÉTRESSE DOUCEUR DIVISION DOUTE ÉBLOUISSEMENT ÉBRANLEMENT ÉCœUREMENT EFFAREMENT EFFERVESCENCE EFFONDREMENT EFFROI ÉGAREMENT EMBALLEMENT EMBARRAS EMBRASEMENT ÉMERVEILLEMENT ÉMOI EMPORTEMENT EMPRESSEMENT ENCHANTEMENT ÉNERVEMENT ENFIÈVREMENT ENGOUEMENT ENGOURDISSEMENT ENIVREMENT GAîTÉ ENNUI GÊNE ENTENTE GRISERIE ENTÊTEMENT GROGNE ENTHOUSIASME HAINE ENTRAIN HANTISE ENVIE HARGNE ÉPANCHEMENT HARASSEMENT ÉPOUVANTE HÂTE ÉPUISEMENT HÉBÉTUDE ESPÉRANCE HÉSITATION ESPOIR HILARITÉ EUPHORIE HONTE EXALTATION HOSTILITÉ EXASPÉRATION HUMILIATION EXCITATION IMPASSIBILITÉ EXÉCRATION IMPATIENCE EXPANSION IMPÉTUOSITÉ EXTASE IMPLICATION EXULTATION IMPUISSANCE FÂCHERIE INCERTITUDE FASCINATION INCLINATION FATIGUE INCRÉDULITÉ FÉBRILITÉ INDÉCISION FÉLICITÉ INDÉTERMINATION FERVEUR INDIFFÉRENCE FIERTÉ INDIGNATION FIÈVRE INDOLENCE FIXITÉ INERTIE FLEGME INFORTUNE FOUGUE INqUIÉTUDE FRAYEUR INSATISFACTION FRÉNÉSIE INSENSIBILITÉ FROIDEUR INSOUCIANCE FRUSTRATION INSPIRATION FUREUR IRRÉSOLUTION GRÂCE IRONIE IVRESSE JALOUSIE JOIE JOUISSANCE JUBILATION LANGUEUR LASSITUDE LÉTHARGIE MALADE MALAISE MALHEUR MANqUE MARASME MÉCONTENTEMENT MÉFIANCE MÉLANCOLIE MÉSENTENTE MOqUERIE MOROSITÉ MORTIFICATION NEURASTHÉNIE NERVOSITÉ NOSTALGIE OBSTINATION OMBRAGE OPINIÂTRETÉ OPPROBRE OPTIMISME PANIqUE PASSION PEINE PENCHANT PERPLEXITÉ PERSÉVÉRANCE PESSIMISME PÉTULANCE PEUR PLAISIR PLATITUDE PLÉNITUDE PONDÉRATION PRÉVENANCE PROSTRATION PRUDENCE PUDEUR RAGE RANCœUR RANCUNE RAVISSEMENT RÉCRIMINATION REGRET RÉJOUISSANCE REMORD RENONCEMENT REPENTIR RÉPROBATION RÉPUGNANCE RÉPULSION RÉSIGNATION RÉSOLUTION RESSENTIMENT RETENUE RÉTICENCE RETRAIT RÉVÉRENCE RÉVOLTE SAISISSEMENT SATISFACTION SATURATION SCEPTICISME SCRUPULE SOLITUDE SOMNOLENCE SOUCI SOUPÇON SPLEEN STUPÉFACTION STUPEUR SUPPLICE SUREXCITATION SURMENAGE SURPRISE SUSPICION SYMPATHIE TÉNACITÉ TENDRESSE TERREUR TENSION TERGIVERSATION TIMIDITÉ TORPEUR TOURMENT TRAC TRACAS TRANSE TRANSPORT TRISTESSE TROUBLE VÉHÉMENCE VÉNÉRATION VERTIGE VEXATION VIVACITÉ VOLUPTÉ ZÈLE

Il est généralement représenté sous la forme d'un vieillard jovial mais d'une grande laideur, avec un nez épaté, des traits lourds, un ventre bedonnant. Socrate a été comparé à un silène par Alcibiade dans Le Banquet de Platon (215b) ; c'est sous ces traits qu'il est représenté sur les bustes antiques. Cette comparaison qui pourrait sembler insultante ne l'est pas tant lorsque l'on considère l'usage qui consistait à dissimuler sous l'apparence de silènes des représentations précieuses de divinités olympiennes, comme des figurines d'Apollon en argent ou en or.

 

« Alcibiade : (…) je déclare qu'il est tout pareil à ces silènes qu'on voit exposés dans les ateliers des sculpteurs, et que les artistes représentent un pipeau ou une flûte à la main ; si on les ouvre en deux, on voit qu'ils contiennent, à l'intérieur, des statues de dieux3. »

 

Il ne s'agit pas d'une moquerie de la part d'Alcibiade, mais d'un subtil éloge : si son aspect extérieur est laid et repoussant, à l'intérieur il est « pareil à un dieu ». Pour qualifier son Gargantua, Rabelais utilise à son tour dans son prologue l'image de la boîte de Silène4.

 

Par antonomase, on donne parfois le nom de silènes aux satyres, et chez les Romains, aux faunes et aux sylvains.

 

Le Silène ivre, sculpture en marbre clair du début du iie siècle, d'une hauteur de 110 cm et conservée au musée archéologique de Narbonne, fut découvert en 1856 lors des travaux pour la réalisation des fondations de la gare. C'est une copie d'une œuvre en bronze aujourd'hui perdue, créée au ive siècle av. J.-C. par le sculpteur grec Lysippe5.

 

Après l'Antiquité

À partir de la Renaissance, le thème de Silène a été régulièrement repris. Silène est traditionnellement représenté comme un vieillard bedonnant et joyeux, laid, lubrique, rendu grotesque par son ivresse. C'est en particulier le cas dans les œuvres de Piero di Cosimo (Les Mésaventures de Silène, 1505-1507), Peter Paul Rubens (Silène ivre, 1616-1618 et La Marche de Silène, 1616-1617), Antoine Van Dyck (Silène ivre et Silène ivre soutenu par un faune et une bacchante, vers 1617-1618), José de Ribera (Silène ivre, 1626), Gerrit van Honthorst (Le Triomphe de Silène, vers 1623-1630), Charles André van Loo (L'Ivresse de Silène, 1747), Honoré Daumier (L'Ivresse de Silène, dessin, 1850) ou Jules Dalou (Le Triomphe de Silène, groupe sculpté, 1885).

La Motte-Feuilly (Indre)

  

Château de la Motte-Feuilly.

  

Dès le début du XIIème siècle, le site de la Motte aurait été propriété d'un seigneur régional, Roger Palestel, seigneur de Sainte-Sévère. Celui-ci serait devenu seigneur de Sainte-Sévère par mariage.

 

Au XIIIème siècle, par mariage, terres et château de La Motte Feuilly sont transmis à la famille Vicomtal de Brosse .

 

Au XIVème siècle, par mariage, le domaine passe de la famille de Brosse à la famille de Sully.

 

Au milieu du XIVème siècle, Aliénor de Sully, héritière de la Motte-Feuilly, épouse Messire Vaudenay .

 

Des étude dendrochronologiques commandées par le propriétaire actuel permettent de dater la Tour Carrée d'environ 1360.

 

Au XVème siècle, le château appartient à la famille Chamborant. Hugues de Chamborant (1420-1486) , chevalier, seigneur de Lavaux, la Mothe-Feuilly et la Ferté sous Reuilly, servit sous le maréchal de Boussac (Jean de Brosse), son parent et son suzerain, contre les Anglais. Les anglais le firent prisonnier à Beauvoir. Il fit les sièges de Compiègne et d'Orléans et assista à la journée de Patay (18 juin 1429, victoire de Charles VII sur Henri VI d'Angleterre). Hugues de Chamborand, valeureux guerrier, est aussi un pillard, coupable d’incendies, de meurtres et de violences. En novembre 1462, il recevra des lettres de rémission du roi pour de nombreux crimes commis. Hugues (ou Huguet) de Chamborand avait épousé Catherine de Vaudenay fille de Dreux Drouin de Vaudenay, chevalier , seigneur de Menetou sur Cher, de la Mothe-Feuilly et de la Ferté-Gilbert , et qui descendait des seigneurs de Brosse par sa mère. En 1446, le Parlement de Paris le fait conduire en prison à la Conciergerie, ainsi que ses complices, pour des excès commis contre son beau-père Dreux de Vaudenay. En 1448, il doit solliciter du roi des lettres de rémission pour le meurtre de Guillaume du Bouex, écuyer, seigneur de Plavet. La veuve de Guillaume avait porté plainte, les lettres de rémission n'arrêtèrent pas les poursuites et le 6 septembre 1449, Hugues et ses complices furent comdamnés à fonder à perpétuité une messe dans l'église où Guillaume avait été enseveli, à payer une amende de 500 livres au roi, une autre identique à la veuve et aux enfants, et à servir à ces derniers une pension de 100 livres. De plus, il furent bannis du royaume. Il ne se soumirent pas à cet arrêt et durant deux ans, ils tinrent une insurrection armée contre la justice. Le roi ayant encore besoin de lui pour la guerre en Guyenne, accorda de nouvelles lettres de rémission.

 

En 1487, le fils de Jean IV de Culan hérite du château.

 

En 1504, Charlotte d'Albret* achète le château à la famille de Culan. (Après avoir appartenu à la famille Vaudenay, le domaine passsa à la famille Culan en dédommagement, suite à un procès. En effet, Claude Vaudenay tuteur des enfants Culan, s'était approprié la fortune de ceux-ci.) Charlotte d'Albret avait épousé César Borgia en 1499 avec lequel elle aura une fille, Louise.

La papauté du XVe siècle italien était profondément dégradée. Le cardinal Rodrigo Borgia eut une favorite, Vanozza de Cattanei, qui lui donna plusieurs enfants. Cela ne l'empêcha pas de prétendre à la tiare, qu'il obtint en 1492. Devenu Alexandre VI, il ne changea pas sa façon de vivre. .

Parmi ses nombreux enfants, sa fille Lucrèce fut mariée trois fois à des princes italiens, et toujours pour des raisons politiques.

Le plus doué de ses fils, César Borgia (né vers 1475), ne reculait devant rien : il aurait fait assassiner son frère Giovanni et donna l'ordre de tuer le deuxième mari de Lucrèce, Alphonse, roi de Naples (1497). César Borgia inspira le Prince à Machiavel.

Alexandre VI fit de César, son fils préféré, un cardinal, et ils menèrent ensemble leur politique. Ils commencèrent par s'opposer à Charles VIII lors de son expédition vers Naples, puis, après l'échec français, renversèrent leurs alliances. César fut envoyé en France comme légat pour dissoudre le mariage de Louis XII et lui permettre d'épouser Anne de Bretagne. Sa mission accomplie, il renonça au cardinalat et épousa Charlotte d'Albret le 10 mai 1499.

De 1500 à 1503, Louis XII et César Borgia devenu « gonfalonier », après l'assassinat de son frère aîné Giovanni, c'est-à-dire général en chef des troupes pontificales, dominèrent militairement l'Italie du Nord et du Centre.

César, était tout-puissant à Rome, où on lui attribuait l'empoisonnement de plusieurs cardinaux gênants. Lorsque Alexandre VI fut emporté par une mort brutale le 6 août 1503, le nouveau pape, Pie III, fit arrêter César et le livra aux Espagnols. Emprisonné en Espagne, il s'évada, se réfugia auprès du roi de Navarre et mourut en Navarre, tombé dans une embuscade lors du siège de Viana, le 12 mars 1507; il avait 31 ans.

 

En 1514, à la mort de Charlotte, le domaine fut transmis à sa fille, Louise Borgia. A cette occasion, un inventaire des lieux est réalisé.

 

En 1517, Louise épouse Louis II de la Trémouille et apporte ce château en dot. Successivement au service de Charles VIII, de Louis XII et de François Ier, Louis II de la Trémouille (Trémoille) occupa un rôle de premier plan à la cour et aux armées. iI fut l’un des personnages principaux des premières Guerres d’Italie. Il mourut d’un coup d’arquebuse à la bataille de Pavie** en 1525, âgé de soixante quatre ans.

 

En 1530, Louise, veuve depuis 5 ans, épouse Philippe de Bourbon, Baron de Busset. Philippe est un descendant d'un petit fils de Saint-Louis. De ce mariage naît, le 2 septembre 1537, Jean de Bourbon-Busset qui deviendra à son tour seigneur de la Motte-Fuilly.

 

La Motte-Feuilly restera dans la famille Bourbon Busset pendant plusieurs générations, puis passera par mariage dans la famille de Chabannes.

 

Joachim de Chabannes, seigneur de Trucy (03 juillet 1578 Bonnat - La Motte-Feuilly 17 mai 1625) époux de Gilberte de Bourbon-Busset est seigneur de La Mothe-Feuilly, leur fils, François de Chabannes, sera seigneur de La Mothe-Feuilly jusqu'à son décès en 1668 à Dôle.

 

Accablée de dettes, la famille de Chabannes vendra la Motte-Feuilly à Jean Fradet de Saint-Août, comte de Châteaumeillant, en 1651. La Motte-Feuilly sera alors élevée au rang de vicomté par Louis XIV.

 

Après deux générations, la Motte-Feuilly passera par mariage de la famille Fradet à la famille du Plessis-Châtillon.

 

En 1757, Marie-Félicité du Plessis-Châtillon*** vendit le domaine à Jean Pâris de Montmartel****, riche et influent financier.

 

Le fils unique de Jean Pâris de Montmartel, Armand, deviendra à son tour seigneur de la Motte-Fleury. Armand-Louis-Joseph Paris de Montmartel, on l'appelait simplement le marquis de Brunoy, du nom d'une terre qu'il possédait, avait vraiment des idées et un comportement bizarres : Il porte des vêtements simples et préfère la compagnie des gens du peuple à celle de la noblesse. Il a la passion des cérémonies religieuses. Il dilapide sa fortune au point que sa famille le fera interdire financièrement. Il doit quitter Brunoy et s’exiler dans son château à Villers-sur-Mer en Normandie, où il meurt de la variole en 1781, à 33 ans*****.

 

En 1783, les héritiers du marquis de Brunoy vendent le domaine à Claude Denis de Maussabré, garde du corps du roi dans la Compagnie de Noailles.

 

En 1887, la famille de Maussabré cède le domaine à Jacques Pierre Alfred Dumayet.

 

En 1979, Marie Louise Dumayet fait don du château à une association dédiée aux enfants souffrant de difficultés auditives et d'élocution.

 

En 1998, une famille belgo-australienne, la famille Borel de Bitche, rachète le domaine. La Motte-Feuilly devint alors le siège social d'une entreprise (entreprise Robert-Borel-de-Bitche) dont l'activité était la culture de céréales (à l'exception du riz), de légumineuses et de graines oléagineuses.

 

Depuis 2003, le château est la propriété du financier international Christophe Charlier, qui est originaire de la commune voisine de Sainte-Sévère. D'après sa déclaration sur Bloomberg, il serait PDG adjoint du groupe ONEXIM, holding de l'oligarque russe Mikhaïl Prokhorov, et Chairman of the Board of Directors de Renaissance Capital, une banque d'investissement dont le siège social est à Moscou.

  

* Charlotte d'Albret épouse César Borgia, fils du pape Alexandre VI, en 1499 et devient propriétaire des terres de Feusines, Néret et La Motte-Feuilly en 1504. Son mariage découlait du pacte entre Louis XII et le pape Alexandre VI, permettant au roi d'obtenir la bulle pontificale annulant son mariage avec Jeanne de France afin d'épouser Anne de Bretagne alors veuve de Charles VIII. Selon le pacte, Louis XII accordait au fils du pape, César Borgia, un duché (le Valentinois) et la main de Charlotte d'Albret.

 

** La bataille de Pavie opposa les Français aux Impériaux, les 23 et 24 février 1525. En septembre 1524, François Ier décida d'une nouvelle expédition en Italie, poussé par son favori Bonnivet et contre l'avis de la régente et de Montmorency, qui insistaient sur la faiblesse du royaume. Le roi passa les Alpes avec u_ne forte armée en octobre 1524, prit Milan le 26 octobre, et mit le siège devant Pavie le lendemain. La cité était défendue par de fortes murailles. Après un hiver dans l'inaction, les Impériaux passèrent à l'attaque dans la nuit du 23 au 24 février 1525. Le roi se retrouva au milieu des troupes ennemies et fut fait prisonnier. La bataille fit plusieurs milliers de morts (les chiffres oscillent entre 3 000 et 16 000, principalement dans l’armée royale), ce qui était inhabituel pour l'époque. « Nous avons marché dans du sang jusqu’à en avoir plein les bottes » dit un chant de lansquenets. Le roi sera libéré un an plus tard, contre une énorme rançon qui sera payée par ses sujets, et en promesse renoncement de ses prétentions sur l'Italie. Promesse que François Ier ne tiendra pas.

 

*** Marie-Félicité du Plessis-Châtillon sera guillotinée à Paris le 26 juillet1794, à l'âge de 70 ans. Le lendemain, Robespierre est arrêté, et guillotiné à son tour le 28 juillet 1794.

 

**** Les Montmartel, famille dauphinoise, sont à l'origine des aubergistes et commerçants. Ils s'enrichiront en sachant fournir les armées, réalisant au passage de confortables bénéfices. Jean Pâris de Monmartel sera banquier de la Cour jusqu'en 1759. Jeanne Antoinette Poisson, Marquise de Pompadour, maîtresse de Louis XV, était la filleule de Jean Pâris de Monmartel. Jeanne-Antoinette doit ses prénoms à son parrain, Jean Pâris de Monmartel, et à la nièce de ce dernier, Antoinette Justine Pâris, sa marraine.

 

***** Alexandre Dumas (père) en fera une pièce en 5 actes: Le Marquis de Brunoy, 1836.

Armand-Louis-Joseph Paris de Montmartel aurait été l'objet de moqueries blessantes sur son titre de marquis, alors que son grand père avait été un simple aubergiste. Ces moqueries déclenchèrent sans doute ses dispositions à fréquenter les gens du peuple et à braver la noblesse. Aimant le faste religieux, il donna à l'église de Brunoy des vêtements sacerdotaux brodés d or, des bijoux, des pierres précieuses, il patronne sans compter des Fêtes Dieu, des processions, des banquets...

Il se maria mais se sépara très vite de sa femme.

Il invitait dans son château de Brunoy les gens du pays, il tenait pour eux table ouverte. Les banquets se terminaient en beuveries et Armand étant ivre, il signait des donations à ses familiers. Donations sur lesquelles il ne revenait pas le lendemain. Il se livrait même à des anoblissement sauvages pour se moquer de « l esprit de noblesse ».

La famille fit « interdire » et assigner à résidence au château de Villers le marquis de Brunoy.

  

www.cairn.info/revue-historique-2014-3-page-567.htm?ref=d...

chateaudelamottefeuilly.fr/histoire

Comte F. de Maussabré, Généalogie de la famille Palesteau, dans le Compte-rendu de la Soc. Du Berry à Paris, 6e année, Paris, sept. 1859, ln-8°, p. 234.

Patrice Boussel. Guide de l'Île-de-France mystérieuse. Éditions Tchou, 1969.

www.brunoy.fr/wp-content/uploads/2022/02/Support-Pedagogi...

www.facebook.com/chateaudelamottefeuilly

data.bloomberglp.com/professional/sites/10/Peer-Analysis_...

fr.wikipedia.org/wiki/Charlotte_d%27Albret

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Beit Ummar, july 2011

 

Billes de plomb et de caoutchouc tirées sur les manifestants.

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).

Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».

De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.

(Wikipedia)

Le lancer de javelot à Wallis est un jeu mais qui provient d'une longue tradition guerrière que les missionnaires ont pacifiée.

Le javelot n'est pas envoyé comme dans la grèce antique, mais ici, il doit glisser par terre le plus loin possible. Pour aider , et pour éviter que le bout du javelot en forme d'ogive ne soit abimé, il doit être trempé dans un "lubrifiant", qui est de la graisse de coco. Ce jeu est très ritualisé, les participants doivent respecter un ordre des choses. En premier ils doivent déposer leur javelot au pied des personnalités (chefferie, nobles, anciens). Qui eux ensuite prennent les javelots, les trempent dans le lubrifiant et appellent le propriètaire du javelot. Le proprètaire doit s'abaisser face à la chefferie et leur demander la permission de lancer le javelot...

Une fois effectué l'individu peut lancer le javelot... Mieux vaut pour lui de le lancer le plus loin possible sinon, il sera l'objet des moqueries des spectateurs.

Beit Ummar, july 2011

 

Cette jeune fille regarde cequi se passe d'un oeil las.

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Beit Ummar, july 2011

 

L'enfant agite son drapeau autour du visage du soldat, qui s'énerve. Il finira par piétiner le drapeau, provoquant la colère de la foule.

Le commandant reproche aux manifestants de laisser les enfants venir. Mais parmi les soldats, certains sont de jeunes appelés qui ont à peine 17 ans !

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).

Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».

De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.

(Wikipedia)

"Et seule dans sa peau d'âne, exilée de son monde princier, au milieu des volailles et des moqueries des garçons de ferme, elle s'enferme dans sa chambrette, lave son visage et enfile une robe couleur du Temps. Car il est encore temps de rêver qu'un prince viendra, avant qu'il ne soit plus temps."

In Peau d'Ane by Charles Perrault

 

"And alone in her donkey skin, exiled from his princely world, amid the jeers of poultry and farm boys, she locks herself in her room, washing his face and puts on a dress "color of Time". Because it's still time to dream that a prince will come, before it's too late. "

In "The Donkey-Skin Girl" by Charles Perrault

 

Extrait choisi in "Vivre la magie des contes" de E. Brasey et J.P. Debailleul, p.99 :

"Miroir du conte de Peau d'Ane

Ce conte nous indique comment affirmer en totalité la qualité impraticable que nous aimerions tellement exprimer. Il nous montre aussi comment l'affirmer intérieurement, au coeur même des conditions adverses, en lui donnant une intensité croissante, sans chercher à modifier les obstacles qui nous écrasent et dépassent nos pauvres forces.

Le conte nous invite aussi à considérer notre condition difficile de "souillon" comme un refuge destiné à nous protéger d'un prédateur plus dangereux encore (.......), qui aurait souillé et avili notre qualité trop tôt exposée.

 

MISE EN OEUVRE DU CONTE ET AFFIRMATION DE L'IMAGE-RESSOURCE

 

Le conte nous propose de vivre en plénitude cette "image-ressource" de façon clandestine, en cachette, dans le recueillement intérieur, en imagination créatrice, et à concevoir des scénarios idéaux, précis et concrets, dans lesquels, comme en miroir, cette qualité goûtera vraiment un état d'accomplissement complet. Cet état agira comme une énergie de transformation, et commencera à changer le sentiment de notre présence au coeur de notre existence difficile, sans que nous ayons besoin de modifier quoi que ce soit.

 

C'est en oubliant le changement que, soudain, celui-ci se produira au-dehors, si nous acceptons de tenir suffisamment longtemps cette position paradoxale qui consiste à vivre à la fois l'état de princesse et l'état de souillon, de façon totalement conjointe et étanche en même temps.

 

L'invitation du conte:

Au coeur de l'adversité, faire exister le plus précieux, et vivre les deux totalement."

Joseph Ducreux: Portrait de l'artiste sous les traits d'un moquer, around 1793

 

Self-portrait as a mocker

 

Temporary exhibition (mid-2022) in the Musée Marmottan Monet in Paris -- the museum with the world's largest collection of paintings by Claude Monet.

Joseph Ducreux: Portrait de l'artiste sous les traits d'un moquer, around 1793

 

Self-portrait as a mocker

 

Temporary exhibition (mid-2022) in the Musée Marmottan Monet in Paris -- the museum with the world's largest collection of paintings by Claude Monet.

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).

Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».

De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.

(Wikipedia)

Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).

Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».

De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.

(Wikipedia)

Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).

Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».

De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.

(Wikipedia)

Je descendais la rue pour aller voir mon frère a l'hôpital. La position des chaussures m'avait fait sourire. Lorsque j'ai pris la photo,un homme est passé derrière moi et avait ri. Un rire vrai, sans moquerie aucune.

Beit Ummar, july 2011

 

Beaucoup de soldats filment et prennent des photos avec leur iphone. Souvenir de guerre ?

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Kiss-in contre l'homophobie

 

« Une semaine après que deux hommes se soient fait battre parce qu’ils démontraient des marques d'affection devant un bar dans Hochelaga-Maisonneuve, des centaines de personnes se sont embrassées pour dénoncer l’homophobie.

 

Le Kiss-In s’est déroulé en solidarité avec Sébastien, 36 ans, et Simon, 23 ans, qui ont reçu une vague de soutien après avoir raconté la semaine dernière au Journal de Montréal leur agression dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, le 30 avril, en sortant du bar chez Françoise.

 

Sur place, le couple était particulièrement ému de voir qu’autant de monde avait été touché par leur histoire. Ils se sont embrassés à nouveau, à la Place Simon-Valois, sous le regard de la foule, qui applaudissait.

 

Ils ont lancé comme messages à tous ceux qui reçoivent des commentaires ou regards méprisants lorsqu’ils s’affichent en public qu’ils ne sont pas seuls.

 

«Après avoir porté plainte à la police, on s’est dit qu’on allait en parler publiquement au Journal de Montréal, qui nous a approchés, parce qu’on sait que plein d’autres personnes subissent des agressions et insultes, a indiqué Sébastien. On s’est dit «go!» Tant pis pour nos visages et on y va. On est tannés de tout cela. On ne se laissera pas intimider, on fait juste s’aimer, c’est tout.»

 

«On est pas juste ici pour contrer l’homophobie, mais aussi la lesbophobie, la queerphobie, la transphobie et le genrisme, a indiqué Simon. On envoie chier ces homophobes-là.»

 

«Étre amoureux n’est pas un crime. Ça a sa place sur la place publique» a ajouté Pascal Vaillancourt, directeur général de Gai Écoute.

 

Étonnement

 

C’est principalement un sentiment d’étonnement que ce genre de violence se produise en 2016, à Montréal, qui a incité quelques personnes interrogées à participer au Kiss-in.

 

«Nous, on l’affiche et on n’est jamais tombés sur des gens agressants, mais ça aurait pu», laisse savoir Denis Émond, qui a s’est affiché comme hétérosexuel une bonne partie de sa vie, jusqu’à 52 ans. Père de quatre enfants et aujourd’hui âgé de 71 ans, il s’implique comme membre des Ainés et retraités de la communauté, ainsi qu’au sein du GRIS-Montréal.

 

«Si tu refuses de t’afficher en public, ça ne changera pas, ajoute son amoureux, Raymond Paul. Il faut que les gens soient mis en contact avec cette réalité pour qu’ils la voient, la comprennent et l’assument.»

 

«Les agressions verbales, des répliques, pas mal tout le monde le vit, reconnait Roxane Anhamb, âgée de 31 ans. Moi, le plus loin que c’est arrivé, c’est que quelqu’un prenne la personne avec qui j’étais par l’épaule, en sortant d’un bar, et lui demande «veux-tu fourrer avec moi»? J’ai poussé le gars et ça aurait pu virer en bagarre. Les femmes gaies ne sont pas plus acceptées. Elles sont stigmatisées et vues comme des objets sexuels pour les hommes.»

 

Selon un rapport sur les actes homophobes, publié en 2014 par Gai Écoute, sur 256 victimes interrogées, seulement 23 % ont porté plainte auprès des autorités. Les types d’actes homophobes les plus souvent déclarés sont, entre autres, la discrimination (26 %), les insultes (20 %), les gestes et les moqueries (16 %) ou l’intimidation (9 %). La violence physique fait partie de 3 % des actes rapportés.»

 

Caroline Lévesque, Journal de Montréal - 9 mai 2016

 

www.journaldemontreal.com/2016/05/09/une-centaine-de-pers...

 

Le sais-tu, que nous ne vivons

que sous les toits de nos propres passions

la tête au vent, nous pressons

le cœur qui tutoie la cédille,

la sœur qui protège de la pluie,

de sous son grand manteau,

ou sous les larmes de Pompéi

Miroirs des cuivres brisés

fantômes parcourant les maisons

le sais-tu que nous oublions, souvent,

de croire que le C n'englobe que le fusil

prêt à briser la tempe, ou la majuscule futile

Grande farce à attraper

saxophones fracassés

les pavés essuient déjà tout à minuit

Mais le sais-tu, que c'est sur le visage

que le sang dégouline, et que des ossements

la fleur de l'âge pousse, presque trop lentement

A découvert, je lève les mains au ciel

inspirant chaque seconde, cette brume éternelle

se collant aux parois de mes songes,

ou de mes alvéoles pulmonaires,

Le savais-tu, qu'il n'y a pas une once

de sagesse en les mots, qui prennent leur aise

et sortent de cette salive, des frasques antiques

Si je ne savais pas, oserais-je une parcelle,

un pan de mon cerveau, qui se décroche las

de ce magma hurlant, ou des moqueries acides

Attraper le C, et le coller au cœur

déjà peu accroché, du reste de mon corps

Créée sur ordre de Loukachenko himself, cette école de beauté a pour mission de former les futures Miss Biélorussie de demain.

 

Elle est souvent l'objet de moquerie de la part des habitants qui voient dans cette institution une preuve de la "beauferie" du président. D'ailleurs, une blague circule dans le pays: "Chez nous, la seule ressource naturelle que l'on ait, ce sont les jolies filles!". Le pouvoir l'a bien compris, lui qui ne fait presque rien pour lutter contre le tourisme sexuel.

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

LA FOI DES HOMMES DE L'ANCIENNE ALLIANCE

 

1 Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas.

2 Pour l'avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable.

 

3 C'est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu'on voit n'a pas été fait de choses visibles.

 

4 C'est par la foi qu'Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn; c'est par elle qu'il fut déclaré juste, Dieu approuvant ses offrandes; et c'est par elle qu'il parle encore, quoique mort.

 

5 C'est par la foi qu'Enoch fut enlevé pour qu'il ne vît point la mort, et qu'il ne parut plus parce que Dieu l'avait enlevé; car, avant son enlèvement, il avait reçu le témoignage qu'il était agréable à Dieu

 

. 6 Or sans la foi il est impossible de lui être agréable; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent.

 

7 C'est par la foi que Noé, divinement averti des choses qu'on ne voyait pas encore, et saisi d'une crainte respectueuse, construisit une arche pour sauver sa famille; c'est par elle qu'il condamna le monde, et devint héritier de la justice qui s'obtient par la foi.

 

8 C'est par la foi qu'Abraham, lors de sa vocation, obéit et partit pour un lieu qu'il devait recevoir en héritage, et qu'il partit sans savoir où il allait

 

. 9 C'est par la foi qu'il vint s'établir dans la terre promise comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes, ainsi qu'Isaac et Jacob, les cohéritiers de la même promesse.

 

10 Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l'architecte et le constructeur.

 

11 C'est par la foi que Sara elle-même, malgré son âge avancé, fut rendue capable d'avoir une postérité, parce qu'elle crut à la fidélité de celui qui avait fait la promesse

 

. 12 C'est pourquoi d'un seul homme, déjà usé de corps, naquit une postérité nombreuse comme les étoiles du ciel, comme le sable qui est sur le bord de la mer et qu'on ne peut compter.

 

13 C'est dans la foi qu'ils sont tous morts, sans avoir obtenu les choses promises; mais ils les ont vues et saluées de loin, reconnaissant qu'ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre.

 

14 Ceux qui parlent ainsi montrent qu'ils cherchent une patrie.

 

15 S'ils avaient eu en vue celle d'où ils étaient sortis, ils auraient eu le temps d'y retourner.

 

16 Mais maintenant ils en désirent une meilleure, c'est-à-dire une céleste. C'est pourquoi Dieu n'a pas honte d'être appelé leur Dieu, car il leur a préparé une cité.

 

17 C'est par la foi qu'Abraham offrit Isaac, lorsqu'il fut mis à l'épreuve, et qu'il offrit son fils unique, lui qui avait reçu les promesses,

 

18 et à qui il avait été dit : En Isaac sera nommée pour toi une postérité

 

. 19 Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter les morts; aussi le recouvra-t-il par une sorte de résurrection.

 

20 C'est par la foi qu'Isaac bénit Jacob et Esaü, en vue des choses à venir.

 

21 C'est par la foi que Jacob mourant bénit chacun des fils de Joseph, et qu'il adora, appuyé sur l'extrémité de son bâton.

 

22 C'est par la foi que Joseph mourant fit mention de la sortie des fils d'Israël, et qu'il donna des ordres au sujet de ses os.

 

23 C'est par la foi que Moïse, à sa naissance, fut caché pendant trois mois par ses parents, parce qu'ils virent que l'enfant était beau, et qu'ils ne craignirent pas l'ordre du roi.

 

24 C'est par la foi que Moïse, devenu grand, refusa d'être appelé fils de la fille de Pharaon,

 

25 aimant mieux être maltraité avec le peuple de Dieu que d'avoir pour un temps la jouissance du péché

 

, 26 regardant l'opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l'Egypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération.

 

27 C'est par la foi qu'il quitta l'Egypte, sans être effrayé de la colère du roi; car il se montra ferme, comme voyant celui qui est invisible.

 

28 C'est par la foi qu'il fit la Pâque et l'aspersion du sang, afin que l'exterminateur ne touchât pas aux premiers-nés des Israélites

 

. 29 C'est par la foi qu'ils traversèrent la mer Rouge comme un lieu sec, tandis que les Egyptiens qui en firent la tentative furent engloutis.

 

30 C'est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent, après qu'on en eut fait le tour pendant sept jours.

 

31 C'est par la foi que Rahab la prostituée ne périt pas avec les rebelles, parce qu'elle avait reçu les espions avec bienveillance.

 

32 Et que dirai-je encore ? Car le temps me manquerait pour parler de Gédéon, de Barak, de Samson, de Jephthé, de David, de Samuel, et des prophètes,

 

33 qui, par la foi, vainquirent des royaumes, exercèrent la justice, obtinrent des promesses, fermèrent la gueule des lions

 

, 34 éteignirent la puissance du feu, échappèrent au tranchant de l'épée, guérirent de leurs maladies, furent vaillants à la guerre, mirent en fuite des armées étrangères.

 

35 Des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection; d'autres furent livrés aux tourments, et n'acceptèrent point de délivrance, afin d'obtenir une meilleure résurrection;

 

36 d'autres subirent les moqueries et le fouet, les chaînes et la prison;

 

37 ils furent lapidés, sciés, torturés, ils moururent tués par l'épée, ils allèrent çà et là vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités

 

, 38 eux dont le monde n'était pas digne, errants dans les déserts et les montagnes, dans les cavernes et les antres de la terre.

 

39 Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage, n'ont pas obtenu ce qui leur était promis

 

, 40 Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu'ils ne parvinssent pas sans nous à la perfection.

 

LA BIBLE HÉBREUX 11

 

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Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).

Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».

De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.

(Wikipedia)

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).

Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».

De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.

(Wikipedia)

Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).

Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».

De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.

(Wikipedia)

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

Autrefois, lorsqu'un homme de la vallée de Campan se mariait en dehors de la norme, par exemple un veuf qui épousait une jeune fille, il était l'objet d'un « charivari », manifestation de moquerie assez violente. Le couple était représenté sous forme de poupées grossières, les Mounaques (de l'occitan monaca, la poupée).

Depuis quelques années, un atelier de fabrication de petites mounaques de collection a ouvert. Fondé par Maryse Bouyrie et Marie-Madeleine Ortéga, initialement situé à La Séoube, il se situe depuis 1999 au cœur de Campan, dans une maison achetée par le conseil municipal, la maison « la Clairefontaine ».

De début Juillet à mi-Septembre, on peut voir sur les balcons des maisons (ou ailleurs) des Mounaques qui y sont exposées chaque année.

(Wikipedia)

Kiss-in contre l'homophobie

 

« Une semaine après que deux hommes se soient fait battre parce qu’ils démontraient des marques d'affection devant un bar dans Hochelaga-Maisonneuve, des centaines de personnes se sont embrassées pour dénoncer l’homophobie.

 

Le Kiss-In s’est déroulé en solidarité avec Sébastien, 36 ans, et Simon, 23 ans, qui ont reçu une vague de soutien après avoir raconté la semaine dernière au Journal de Montréal leur agression dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, le 30 avril, en sortant du bar chez Françoise.

 

Sur place, le couple était particulièrement ému de voir qu’autant de monde avait été touché par leur histoire. Ils se sont embrassés à nouveau, à la Place Simon-Valois, sous le regard de la foule, qui applaudissait.

 

Ils ont lancé comme messages à tous ceux qui reçoivent des commentaires ou regards méprisants lorsqu’ils s’affichent en public qu’ils ne sont pas seuls.

 

«Après avoir porté plainte à la police, on s’est dit qu’on allait en parler publiquement au Journal de Montréal, qui nous a approchés, parce qu’on sait que plein d’autres personnes subissent des agressions et insultes, a indiqué Sébastien. On s’est dit «go!» Tant pis pour nos visages et on y va. On est tannés de tout cela. On ne se laissera pas intimider, on fait juste s’aimer, c’est tout.»

 

«On est pas juste ici pour contrer l’homophobie, mais aussi la lesbophobie, la queerphobie, la transphobie et le genrisme, a indiqué Simon. On envoie chier ces homophobes-là.»

 

«Étre amoureux n’est pas un crime. Ça a sa place sur la place publique» a ajouté Pascal Vaillancourt, directeur général de Gai Écoute.

 

Étonnement

 

C’est principalement un sentiment d’étonnement que ce genre de violence se produise en 2016, à Montréal, qui a incité quelques personnes interrogées à participer au Kiss-in.

 

«Nous, on l’affiche et on n’est jamais tombés sur des gens agressants, mais ça aurait pu», laisse savoir Denis Émond, qui a s’est affiché comme hétérosexuel une bonne partie de sa vie, jusqu’à 52 ans. Père de quatre enfants et aujourd’hui âgé de 71 ans, il s’implique comme membre des Ainés et retraités de la communauté, ainsi qu’au sein du GRIS-Montréal.

 

«Si tu refuses de t’afficher en public, ça ne changera pas, ajoute son amoureux, Raymond Paul. Il faut que les gens soient mis en contact avec cette réalité pour qu’ils la voient, la comprennent et l’assument.»

 

«Les agressions verbales, des répliques, pas mal tout le monde le vit, reconnait Roxane Anhamb, âgée de 31 ans. Moi, le plus loin que c’est arrivé, c’est que quelqu’un prenne la personne avec qui j’étais par l’épaule, en sortant d’un bar, et lui demande «veux-tu fourrer avec moi»? J’ai poussé le gars et ça aurait pu virer en bagarre. Les femmes gaies ne sont pas plus acceptées. Elles sont stigmatisées et vues comme des objets sexuels pour les hommes.»

 

Selon un rapport sur les actes homophobes, publié en 2014 par Gai Écoute, sur 256 victimes interrogées, seulement 23 % ont porté plainte auprès des autorités. Les types d’actes homophobes les plus souvent déclarés sont, entre autres, la discrimination (26 %), les insultes (20 %), les gestes et les moqueries (16 %) ou l’intimidation (9 %). La violence physique fait partie de 3 % des actes rapportés.»

 

Caroline Lévesque, Journal de Montréal - 9 mai 2016

 

www.journaldemontreal.com/2016/05/09/une-centaine-de-pers...

 

Beit Ummar, july 2011

 

Manifestation pour protester contre les violences de l'armée. La semaine précédente, un lieutenant a braqué son fusil chargé et armé sur un homme du village lors d'une arrestation. La scène a été filmée grâce à une caméra fournie par l'organisation israélienne B'T Selem qui défend les droits de l'homme. Cette marche est soutenue par la présence des activistes israéliens de Taayush, très impliqués en faveur des droits des Palestiniens.

La manif se déroule calmement au départ. Les enfants ont du mal à garder leur calme face aux moqueries des soldats, et finalement la situation finira par dégénérer. Un des soldats saisira l'enfant à la caméra par la gorge, avant de le relâcher. Un autre piétinera un drapeau palestinien. Quand les jeunes commencent à lancer des pierres, le commandant s'écrire, face aux journalistes présents "regardez, voilà leur manifestation pacifique." Quelle ironie ! Accuser les jeunes de violence, alors que l'armée débarque fusil au poing, en tenue de combat, avec des armes de guerre, pour les empêcher de manifester. Où est la vraie violence ?

 

Il y aura 3 arrestations après cette manif. Les soldats, par rapport à d'autres fois, ont du rester "modérés" car ils étaient filmés en live par un de leurs collègues pour faire bonne figure devant l'opinion publique. Malgré tout, ils ont tiré des balles de caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des des grenades de dispersion sur les jeunes qui lançaient des pierres, mais aussi sur ceux à proximité qui ne faisaient rien.

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