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Symbole de m...q.......s ?

Photo dédicacée à Micheline, Jules et Ginou!!!!!

 

<3

   

lac a 4500 metres daltitude, c'est plus haut que le titicaca!! hahaha non mais l'affaire c'est que ici, dans les andes, tous les pays veulent avoir le plus haut lac du monde ...une moquerie !!

Photo de moi en noir et blanc qui regarde d'un air de se moquer.

Nacer Bouhanni ne participera pas à la 109e édition de Milan-San Remo. Ses supporteurs sont déçus tandis que ses détracteurs sont heureux de pouvoir une fois de plus “démonter” le sprinteur vosgien. Il faudra bien un jour régler cela par une prise de conscience qui dans une révéla...

 

todaycycling.com/nacer-bouhanni-forfait-milan-san-remo/

1985- école primaire des épinettes CM2

Montmartre (27e division)

Homme politique et médecin français.

Cénotaphe (Jean-Baptiste Baudin repose depuis 1889 au Panthéon).

Aimé Millet (1819-1891)

Gisant de l’homme politique Jean-Baptiste Alphonse Baudin (1811-1851), 1872, bronze.

Défenseur de la Deuxième République, Jean-Baptiste Alphonse Baudin tenta de soulever les ouvriers du faubourg Saint-Antoine contre le coup d’État du 2 décembre 1851, par lequel Louis-Napoléon Bonaparte, en contradiction avec les termes de la Constitution, conservait le pouvoir à quelques mois de la fin de son mandat. En réponse aux moqueries des ouvriers qui lui reprochaient son statut privilégié de député, il monta sur la barricade de la rue

Sainte-Marguerite et reçut une balle le touchant mortellement.

Jean-Baptiste-Alphonse Baudin fut enterré secrètement au cimetière de Montmartre. C’est seulement sous la Troisième République, après la chute du Second Empire, qu’Aimé Millet imagina le cénotaphe et son gisant. La dépouille de Baudin fut transférée au Panthéon en 1889.

Le bruant proyer (Emberiza calandra)

donc pour ceux qui ont lu mon mail, j'ai voyagé à coté d'un couple d'anglais très sympa, c'est le mec qui a pris la photo, et derrière c'est l'avion ds lequel javais déjà passé 11h et dans lequel j'allais repasser 11h.. c'est assez long!

donc pas de moqueries silvouplait, je sais que j'ai une tete de zombie!!

pas de moquerie sur la détente de Clem, on n'était pas synchro. (version de Clem;)

Version alternative de W.I.T.C.H arc 5 : Le monde du livre album n°51 Hors contrôle dans lequel Irma a été victime du même puissant sort de magie noire que celui ayant frappée de plein fouet Cornelia Hale pendant une mission, ce qui a eu pour effet redoutable de la rendre incontinente où elle est contrainte de porter des couches 24/24h étant incapable de contrôler ses flots d'urine.

 

Situation particulièrement humiliante et dégradante pour la gardienne de l'eau qui a beaucoup de mal à supporter cette malédiction malgré que sa magie lui permette de dissimuler le bruit des frottements du plastique des gens pouvant la côtoyer (excepté ses amies) ainsi que faire croire qu'elle porte des slips, ce qui lui épargne les moqueries si cela venait à être remarqué. Elle se sent tellement faible et impuissante qu'elle perd beaucoup confiance en elle en présence de ses camarades de classes du collège.

 

Le seul réconfort qu'Irma trouve à porter des couches est que ceci lui épargne de devoir se lever en pleine nuit lorsqu'elle a une envie pressante, idem pour les longs trajets aériens avec ses amies ainsi qu'en voiture et bus scolaire.

Adam s’assoit sur cette réplique. Jean-Baptise continue d'asticoter Adam à son tour, trouvant un certain plaisir à se venger des moqueries de ses camarades. Adam lui tourne le dos sur le "j'en ai pas demandé". Gabriel cherche son briquet.

Koulako, 39 ans, est mère de sept enfants, dont trois filles. Elle habite la commune de Damaro dans la région de Kankan en Guinée. Koulako a subi la pratique de l'excision ce qui lui a engendré des problèmes de santé et des difficultés lors de ses accouchements.

 

Koulako a décidé de ne pas faire exciser ses filles et lutte quotidiennement contre cette pratique au sein de sa communauté. « Mes trois filles ne sont pas excisées. J'ai été sensibilisée par ma maman, c'est grâce à elle que je n’ai pas fait exciser mes filles. Quand un membre de ma famille ne veut pas que leurs filles soient excisées, je reçois leurs enfants en éducation ». Koulako sensibilise les parents, les jeunes filles et les femmes aux dangers des mutilations génitales féminines. Elle est aussi une " femme mentor " (matrone) reconnu de sa communauté, elle accompagne et sensibilise les adolescentes sur les sujets des grossesses et mariages précoces. « Exciser une fille, c'est gâter sa féminité. Je suis femme matrone depuis 10 ans. Lors des accouchements, je vois les femmes excisées souffrir. J’ai remarqué que les femmes non-excisées accouchaient avec moins de complication et de risque. À travers tout ça, j’ai pu convaincre mon mari que nos filles ne soient pas excisées. Heureusement, il m’accompagne dans cette lutte. »

 

Les mutilations génitales féminines sont interdites par la loi guinéenne depuis 1985, mais cette pratique est encore courante dans le pays. La peur de l’exclusion sociale est souvent si forte que les parents ne peuvent pas se résoudre à renoncer à faire exciser leurs filles. Pourtant, les mutilations génitales féminines sont la cause de complications sévères et peuvent même causer la mort. Les risques les plus directs sont les hémorragies, les chocs septiques, les infections, la rétention urinaire et des douleurs sévères. Les filles qui subissent des mutilations génitales féminines courent plus de risques d’abandonner l’école.

 

Koulako essaie de faire évoluer les mentalités sur le sujet des mutilations génitales féminines. Elle organise des causeries éducatives avec les femmes, les parents et notamment les pères de sa communauté. « Je les sensibilise sur les dangers liés à l’excision en prenant des exemples. Certaines femmes ont du mal à accoucher ou elles ont des problèmes lors des relations intimes avec leurs maris. À chaque fois, il y a des adhérents qui acceptent de ne pas faire exciser leurs filles et qui se lancent dans la sensibilisation pour la survie et le bien-être des filles et des femmes de Damaro. »

 

Koulako lutte aussi contre les préjugés et les rumeurs. « Une rumeur circulait sur une maladie qui se propageait en haute Guinée touchant seulement les filles non excisées. Malheureusement, après cette fausse information, certains parents ont fait exciser leurs filles. » Les filles de Koulako, subissent parfois des moqueries car elles ne sont pas excisées. « Je dis simplement à mes filles qu'elles doivent leur répondre en précisant que c’est leur papa et maman qui ne veulent pas les faire exciser, et qu'elles en sont fières. » Elle précise aussi que certaines familles guinéennes pratiquent l'excision par tradition pour faire accepter leur fille lors d'un mariage par exemple, mais que ce n'est pas une nécessité, ni une obligation. « Ma première fille est mariée et n’a pas eu de problème dans son ménage, elle est très bien acceptée par les parents de son mari. Nous devons prendre des décisions qui sont profitables à nos enfants et non-suivre les coutumes néfastes pour leur santé et leur bien-être. »

 

L'UNICEF en Guinée, grâce au soutien du Comité national Suisse de l'UNICEF et du Programme Conjoint UNFPA-UNICEF pour l’élimination des MGF, appuie les femmes dans leur lutte contre les mutilations génitales féminines en les formant aux techniques de la communication et de la sensibilisation, en les aidant à réaliser des activités éducatives avec leur pair et dans leur participation à l’animation d'émissions radiophoniques. 448 femmes mentors, 131 groupements féminins et 27 plateformes de jeunes filles leaders ont été soutenues grâce à une aide d'environ 1,136,000 dollars US sur la période 2020 à 2022.

J'adore me moquer de ma maman qui chante faux :D

Lassé des moqueries de ses camarades parce qu'il n'a pas de bras droit, David construit sa première prothèse en Lego. Aujourd'hui il pense sérieusement à en fabriquer pour d'autres enfants dans le besoin. ...

 

www.neozone.org/?p=138437

& la joie.

 

Tu semblais beaucoup apprécier les bains de soleil. Je me souviens t’avoir vu en prendre dehors, près du gymnase.

Je ne savais pas que tu y étais. Je crois que c’étaient les gars de mon groupe qui voulaient voir ta réaction en me voyant.

Sylvain m’a avoué qu’il avait le béguin pour toi en l’écrivant dans mon livre des finissants.

J’étais fier de toi (et surtout heureux*), quand tu n’as pas voulu monter avec nous en voiture. Pas que je croyais qu’il se serait produit quelque chose de mal, mais je comprenais que tu m’aimais moi*, et non pas lui.

Je suis navré si tu as mal perçu cette invitation, ou le fait que ce n’était pas moi qui l’avais faite (je ne suis pas certain si c’était moi ou Sylvain qui t’avait invité à entrer).

Je te demande pardon si cela t’a déçue — que ce soit parce que je t’invitais en compagnie d’un autre, et non pas seul à seul, ou si tu l’as perçu comme un manque de respect envers ta personne.

 

Je te demande pardon d’avoir dit haut et fort le nom de Sylvain, me doutant qu’il avait le béguin pour toi, sans en être certain. Je ne faisais pas cela pour me moquer de toi, mais j’ai senti que tu étais dégoûtée et en colère contre moi. Je m’en excuse. Mon intention n’a jamais été de te blesser — je le sais dans mon cœur.

 

À dire vrai, je pensais que tu ne m’aimais plus et que tu n’éprouvais plus rien pour moi. Je n’avais même pas imaginé que tu aurais réellement porté attention à mes paroles ou à ma présence. J’aurais quand même pas dû faire ce que j’ai fait. Je l’ai fait pour taquiner Sylvain en réponse à une moquerie de sa part. Je crois que je voulais le confronter à son attitude envers toi, par vengeance envers lui. Mais comme je le disais, j’étais certain que tu ne m’aimais plus du tout rendu là, et surtout que tu n'allais pas y prêter attention.

 

Je reconnais que ce que j’ai fait était stupide. Je te présente mes excuses.

 

Le fait que je cherchais à me venger m’a nui — cela m’a toujours nui. Dieu n’aimait pas ça, même lorsque je ne souhaitais pas nuire à certaines personnes. La vengeance finit toujours par nous coûter quelque chose qui nous est cher.

 

J’imagine que cet épisode a dû te conforter dans l’idée que les autres se faisaient de moi : que j’étais un con.

 

Aller à l’école, pour moi, c’était comme avancer à reculons vers une séance de torture — émotionnelle, mentale, et parfois même physique. J’ai été attaqué à quelques reprises, surtout par des objets qu’on lançait contre moi.

 

Tu te souviens de cette séance d’éducation physique où les gars et les filles jouaient ensemble au volleyball, et où mon coup de ballon est allé se loger directement sur la tête du professeur — celui qui s’était moqué de moi et m’avait intimidé quelques minutes auparavant (au cas où tu ne le savais pas) ? Je ne peux pas expliquer comment cela a pu se produire, mais je me demande encore si un ange n’avait pas guidé mes gestes et mes mouvements.

 

Un des garçons de mon groupe avait tout de même pris ma défense face à ce professeur, ce qui avait mis fin à l’intimidation à ce moment-là. J’avais inconsciemment accepté de me taire, sachant pertinemment que parler aurait empiré la situation. Et Dieu m’a défendu à travers ce garçon, Yanick.

 

Je ne m’étais pas tu par amour de la volonté de Dieu, mais parce que je pressentais que le fait de ne rien faire me plaçait dans une sorte de zone où, au plus profond de mon âme, je ressentais la présence de Jésus à mes côtés.

 

À ces moments-là, je ressentais enfin que je n’étais plus seul — la présence d’une aide plus grande que toute autre dans ce monde. Je le savais, sans pour autant chercher à devenir pleinement croyant par la suite.

 

J’aurais dû — oh, combien j’aurais dû — rechercher Jésus en m’efforçant de mettre en pratique ses commandements d’amour.

 

C’était la peur. Cela a toujours été la peur — cette peur paralysante — accompagnée d’un manque de confiance en moi. Elle s’est nourrie des souvenirs où je me suis senti impuissant et ridiculisé, laissant derrière elle une souffrance sourde et une colère enfouie. J’avais peur de faire quelque chose que je pourrais regretter, alors je préférais encaisser, endurer, et espérer que cela passe vite. Et comme si cela ne suffisait pas, ma faiblesse m’a aussi éloigné de la confiance en Dieu — Lui qui peut tout. Il aurait pu me délivrer de tout, si seulement j’avais eu la foi : croire en Lui, Lui faire confiance, et décider fermement de suivre ses commandements à la lettre.

 

Je ne me réjouis pas de la souffrance d’autrui. Je peux même éprouver de la pitié pour quelqu’un qui m’a déjà blessé, lorsqu’il souffre des conséquences de ses propres actes. Cependant, j’ai toujours eu un sens aigu de la justice, qui nourrissait mon espérance en Dieu et en ses promesses de délivrance à venir. J’espérais profondément vivre cette délivrance, car je savais que je n’étais pas une personne qui recherche l’injustice, ni quelqu’un qui se complaît dans le pouvoir ou la tyrannie.

 

Lorsque j’ai imploré Dieu de me donner du pouvoir, ce n’était ni par orgueil ni par ambition, mais pour deux raisons : t’aimer de tout mon être, et tenir tête au mal qui m’entoure, nous entoure.

 

Je rêvais de vivre cette joie simple, ce bonheur pur, juste toi et moi, à l’abri du tumulte du monde. Et plus que tout, je voulais que tu gardes de moi un souvenir empreint d’amour.

 

Dans le secret de mon cœur, j’espérais — sans oser le désirer — que si ton union n’était pas scellée devant Dieu, peut-être m’aurait-il permis d’aimer. J’aurais gardé la chasteté, mais je t’aurais inlassablement versé l’amour le plus pur, jusqu’à ce que le destin nous éloigne.

 

Je suis profondément désolé si mes mots ont ébranlé ton cœur. Je n’ai jamais voulu semer le trouble en toi. C’est pourquoi j’ai cessé d’adresser cette demande à Dieu — pour éviter de risquer de l’offenser, et pour ne pas t’infliger davantage de peine.

 

J’ai foi en toi. Tu sauras puiser la force nécessaire pour embrasser la volonté de Dieu, ce chemin lumineux qu’Il trace pour toi. Car aimer Dieu avant tout, c’est s’ouvrir à la vraie liberté, celle qui mène à l’amour pur et profond - le véritable Amour.

 

Je t’aime, et je ressens ta présence comme une lumière douce. Ne laisse pas la tristesse t’envahir. Je suis reconnaissant de te savoir là, dans ce moment que nous partageons.

 

Je m’abandonne entre tes bras, prêt à recevoir l’amour que tu m’offriras. Tu es celle que mon cœur a toujours appelée. À mes yeux, tu es l’œuvre parfaite de Dieu, façonnée pour moi.

 

Je mérite ta colère, et je ne cherche pas à m’y soustraire. Tu as tous les droits d’être déçue de moi, et d’avoir honte de mes choix.

 

Je vis avec cette honte indicible depuis maintenant vingt-trois ans - vingt-quatre ans, et elle ne disparaîtra jamais.

 

Je ne cherche pas à effacer ce souvenir, seulement à le laisser en arrière-plan, pour pouvoir penser à autre chose — à aimer, pleinement.

 

Je ne cherche surtout pas à te souiller, ni par ma faute ni avec elle. Pardonne-moi.

 

Pour de nombreuses raisons, je ne devais pas — et ne pouvais pas — être en couple avec toi après cette faute. Je ne pouvais plus t’offrir d’enfant(s), car cette faute leur aurait été transmise d’une manière ou d’une autre. Et bien avant même ce fait, je n’étais déjà plus digne : j’étais devenu une honte.

 

J’étais très proche de Marie-Madeleine, de Thérèse de Lisieux, de Catherine de Sienne, et d’autres âmes brûlantes de foi. Mais toi… toi, tu étais mon âme sœur, désignée par Dieu. Celle qui devait être ma compagne dans mon exil, mon pèlerinage sur cette terre.

 

Ce n’est pas qu’il y aura des mariages dans la nouvelle Jérusalem céleste — cela, je le sais bien. Mais j’en avais été informé à titre de comparaison, sans jamais avoir cherché à le savoir moi-même. Il semble, d’ailleurs, qu’il y ait là-haut beaucoup plus de femmes que d’hommes.

 

Cela m’avait été révélé pour me permettre de comprendre le degré d’intimité et d’amour qu’il aurait pu exister entre certains hommes et femmes rachetés du ciel. Je sais que cela peut sembler inutile à connaître, mais d’un certain point de vue, cela m’aidait à mesurer à quel point l’amour que l’on avait pour moi était réel — même si ce n’était qu’au travers d’un symbole.

 

Tu es véritablement la seule femme de ma vie, car tu as été — et tu resteras — ma seule âme sœur.

 

Ne cherche pas à en faire trop, comme je l’ai fait. Écoute ce que Dieu demande : humilité, obéissance à sa Loi, force de volonté, pardon. Je t’ai confié mon péché, et tu comprends désormais la ruse subtile par laquelle le démon s’est infiltré. Ne reproduis pas ce genre de faute, où l’on cherche à aimer plus que Dieu le demande. Et surtout ne pas offenser son Amour, même sans le vouloir, comme dans mon cas.

 

Dieu est paix et joie. Jamais Il ne nous aurait créés pour la souffrance ou le désespoir. Ce n’est pas Sa volonté, mais bien l’orgueil né de la jalousie de Lucifer qui est à blâmer pour tout cela.

 

Lucifer, dans sa jalousie, a choisi de percevoir en Dieu une forme de tyrannie. Il est profondément malade dans sa haine et son mépris de tout ce qui est Juste et Bon.

 

Il est littéralement comme Judas, tel qu’il est décrit dans les écrits de Maria Valtorta : Judas méprisait la Vierge Marie, la trouvant "naïve" idiote.

 

Je ne me souviens plus du chapitre exact, mais si je le retrouve, je te le ferai lire.

 

Des Judas, j’en ai croisé plus d’une fois. On les reconnaît à leur mépris voilé et à ce complexe de supériorité déguisé derrière une humilité factice, dont le masque finit toujours par glisser. Leur regard juge sans jamais aimer, et leur parole flatte sans jamais bénir.

***Désolé, j’ai modifié ma phrase parce que je voulais exprimer une idée, mais je l’ai formulée maladroitement. Je l’ai corrigée afin d’éviter toute confusion.***

En somme, je voulais dire qu’ils sont habiles à dissimuler leur manque d’humilité, mais tôt ou tard, leurs actes finissent par révéler leur véritable nature.

 

Ils m’inspirent de l’horreur, non seulement par la manière dont ils traitent les plus petits parmi nous — les faibles, les vulnérables — mais aussi par l’amour du mal qu’ils dégagent, presque instinctivement.

 

Il m’est arrivé de me demander si je n’étais pas un Judas moi-même. Et puis, j’ai imaginé Judas vivant ma vie. Non… il n’aurait pas tenu longtemps avant de maudire Dieu, puis de s’ôter la vie — ou même de commettre un acte terrible pour blesser des innocents.

 

Peut-être que Jésus t’a laissé entrevoir que, par ma rupture avec le Père, je risquais de suivre les pas de Judas?

 

Pour l’instant, mon cœur ne nourrit aucune haine — ni envers Jésus, ni envers le Père, ni envers l’Esprit Saint, ni envers la Vierge Marie… ni et surtout pas envers toi.

 

Mais je continue à penser à Lui, à Le prier en L’aimant — sincèrement, tendrement. J’aime le Père, Jésus, l’Esprit Saint. Je les aime, je les adore, et je cherche à les adorer sans cesse.

Demande à Dieu, à Jésus, si ce que je t’écris est vrai.

 

Je t'aime Vraiment.❤️

 

❤️❤️❤️« Je t'aime Vraiment, moi aussi !»

❤️❤️❤️« Je suis avec toi en pensée, de tout cœur et dans chacune de mes prières quotidiennes. »💐***«Tu es mon ange gardienne humaine.»💞***

 

« Tu es ma maman spirituelle, surtout lorsque tu cherches à me couver sous ton manteau de compassion et de réconfort. »💛: amitié, joie💙: confiance, loyauté, tendresse, pureté, paix Vraiment.❤️ : honnêteté, passion, droiture, ☀️protection🙏 (chapelet, Rosaire, Prières faites avec confiance Amour&Charité)

 

« J’ai trouvé du réconfort lorsque tu m’as abritée sous ta robe de chambre, me tenant tout contre toi comme un refuge de tendresse. »

 

« Ton geste m’a apaisé : me couvrir de ta robe de chambre, c’était m’offrir chaleur, protection et proximité. »

 

« Cela m’a toujours manqué, sans que je l’aie jamais vécu. »

 

« Nous aurions partagé bien des instants réconfortants et singuliers, comme seuls les couples qui s’aiment profondément savent en créer. »

 

« De tels moments, tendres et rares, auraient souvent été les nôtres — privilège des couples qui s’aiment avec cette intensité. »🌹

« Je me 🔥️retiens🔥️, au cœur de mon amour pour toi, dans ces instants-là. »

🔥️❤️🔥️🔥️🔥️💛🔥️🔥️🔥️💙🔥️

« Mon désir, »💛«et le désir que tu éveilles en moi. »

« Tu peux lui transmettre ton amour — qu’il souffre, car c’est dans la douleur qu’il méritera ma Grâce. »

« Tu es une douce consolation pour lui, mais il doit mériter tout cela. »

« Il t’aime, et c’est ce qui compte le plus pour lui, ici-bas. »

«Merci 💛🌹»

et après, Diane va se moquer de la gourmandise de Lolotte!

La façade baroque citée, au style d'inspiration classique avec sa porte sous linteau encadrée d'une double colonne corinthienne géminée, compte deux corps. La partie supérieure est dotée d'un balcon en fer forgé typique de la région, dominé d'un fronton brisé marqué du blason des Salvatierra.

Le fronton repose des deux côtés sur deux paires de représentations nues, telles de petites colonnes ou atlantes classiques, masculines et féminines. Les premières adoptent une position de moquerie, tirant la langue, alors que les figures féminines cachent pudiquement leur sexe. Ces sculptures sont clairement marquées d'une inspiration inca.

Tu étais un ange terrestre, envoyée pour me soutenir par ta simple présence.

Et sans doute pour me mettre à l’épreuve, afin que j’ose foncer et croire en l’amour.

J’ai souvent pressenti que tu étais trop pure pour ce monde.

Humaine, mais tellement plus.

Tu dois être une âme vraiment humble et charitable pour avoir trouvé des raisons de m’aimer dès le début.

 

Narvent, Nikkie - Memory (From "Insomnia Album)

 

Heureusement, j’ai trouvé Dieu pour m’aider à sortir des émotions négatives. Il suffit de penser à Lui et de L’aimer sans cesse, sans rien attendre en retour. Lui offrir mes prières pour qu’Il aide et sauve les autres, et alors je ressens un profond apaisement.

La pression du mal ne disparaît jamais complètement, mais l’apaisement que je ressens vaut mieux que la dépression telle quelle.

Je m’efforce d’aimer sincèrement, même mes ennemis. Et lorsque je parviens à résister à la pression de céder aux émotions négatives, un profond soulagement envahit mon âme.

Je ressens la volonté de Dieu s’accomplir en moi lorsque je me conforme à sa loi.

Ne jamais écouter la tentation qui cherche à nous donner des excuses, mais simplement chercher à aimer, coûte que coûte.

Et lorsque j’échoue, je ne me permets même pas de désespérer. Je recommence tout le processus, et je demande pardon à Dieu ainsi qu’à ceux que j’ai offensés.

Plus on s’approche de la vérité et de la liberté, plus la pression du mal peut s’intensifier. Ma protection, c’est sa Loi (Dieu, Jésus) ; ma délivrance, son Pardon ; et ma joie, c’est l’amour — son Amour.

Tu peux réussir. Tu as toujours été plus pure que moi. J’étais là pour te guider, et toi, pour me soutenir avec ton amour charitable. Je t’aime tellement.

 

Ce jour-là, lorsque nous avons parlé devant le Subway, j’ai cru comprendre que tu disais ne pas m’aimer de cette manière-là, à cause de la lettre que je t’avais écrite. Et c’est après t’avoir répondu que c’était correct, en hochant la tête, que Jésus m’a brusquement parlé (quand Jésus m'a parlé brusquement, il semblait irrité.). Il m’a révélé que tu m’aimais, que si j’avais eu le courage, dès le début, de te demander de me fréquenter, et si j’avais humblement demandé pardon pour mes erreurs, tu m’aurais pardonné. Alors, nous aurions été ensemble. C’est là que j’ai compris : c’est moi qui n’ai pas su faire les pas vers toi, comme j’aurais dû.

 

Je ne t’en veux pas si tu m’as jugé. J’ai continué à t’aimer. Je ne sais pas si je peux dire que je te pardonnais sans le savoir, mais ce que je sais, c’est que je t’aimais.

Et je sentais que je t’avais profondément déçue, ou que tu étais déçue de t’être trompée sur moi. Par moments, toutefois, j’ai ressenti que tu éprouvais de la pitié pour moi, et une certaine forme de compassion.

 

C’est incroyable à avouer, mais lorsque tu as brusquement ouvert la porte du casier pour me faire savoir que tu étais en colère contre moi, et que je me suis reculé pour te laisser la place, j’ai presque ressenti de la joie, malgré ma tristesse. Parce qu’au lieu de me fuir ou de m’ignorer, tu interagissais avec moi.

 

Je n’aurais pas dû dire ce que j’ai dit en réaction à un regard méprisant et à des moqueries. Je sais que tu en as entendu parler, et que tu voulais simplement protéger une amie.

 

Désolé, je pensais que cela coïncidait avec le moment où l’altercation s’était produite.

 

Je ne sais pas ce qui m’a pris de lui dire ces méchancetés. Rien de bon n’arrive jamais quand je tente de me défendre. J’aurais dû me taire.

J’aurais dû lui pardonner et l’aimer suffisamment pour en être capable à ce moment-là.

 

Je tenais à ce que tu saches que je suis sincèrement désolé pour le mal que j’ai causé en agissant ainsi avec elle. Mon geste, motivé par la vengeance, n’a rien arrangé — au contraire, tout a empiré pour moi par la suite. À ce moment-là, je ne cherchais pas à faire le bien, mais plutôt à me protéger. Or, c’est Dieu lui-même qui peut veiller sur moi et me défendre.

Si j’avais choisi d’agir en lui pardonnant, il est possible qu’un miracle se serait produit, et que tous auraient bénéficié d’une meilleure ambiance et d’un séjour plus agréable durant cette année scolaire. En refusant de chercher à l’aimer, je me suis nui à moi-même. J’ai expié ma faute, un peu, par la suite à travers ce que j’ai vécu.

 

Je suis désolé si les visions qui tourmentent mon âme à propos de ce qui aurait pu t’arriver sont véridiques.

Aucun mot ne peut exprimer la douleur que cela me cause.

Je pense d’abord à ta douleur, mais j’ai mal moi aussi.

Je dois lutter contre la colère que je ressens quand j’y pense. Je suis vraiment désolé. Je souffre pour toi.

Je souffre avec toi.

J’ai senti que tu étais en colère contre moi lorsque j’ai publié quelque chose à son sujet.

Ensuite, j’ai dirigé mes prières vers toi, et j’ai ressenti que je devais vraiment me concentrer sur toi, parce que tu en avais besoin.

Je ne sais pu quoi penser. Pardonne-moi.

 

Je t'aime aussi

 

Je te demande pardon si c'est cela que ton âme me disait au sujet d'avoir perdu ta virginité ainsi quand je te demandais pardon en pleurant et que je te disais que je t'aimais.

 

Étais-tu revenue en visite afin de saluer ta famille d'accueil?

 

Étais-tu revenue au Québec accompagnée de tes proches?

Je dis cela, mais il me semblait que tu voulais profiter de l’ambiance locale avant de repartir. J’ai toujours eu le sentiment que tu allais bientôt partir ce jour-là.

C’était l’impression que j’en avais gardée jusqu’à hier.

 

En croisant ton regard, j’ai eu l’impression que tu souhaitais nous suivre. C’est ce qui m’a poussé à t’inviter. Sans l’intérêt que j’avais perçu de ta part, je ne sais pas si j’aurais osé te le demander, tant je t’admirais — autant que du temps de l’école.

Ce désir de nous suivre, mêlé à la tristesse enfouie en toi et à ton envie d’être heureuse, de partager notre joie, fut l’étincelle qui m’a donné l’espérance et le courage de t’inviter à monter.

Je ne savais vraiment pas que tu portais une telle tristesse en toi.

 

Tout ce que je peux te dire, c’est que durant cette belle période de 2000-2001, j’ai eu l’impression que tu m’étais liée, comme une épouse possible. Mais j’étais simplement heureux de cette impression. Je ne pensais pas avoir la chance de vivre cela sur terre. Pour moi, tu étais une amie proche au ciel, chaste — car il n’y a pas de sexualité là-haut. Et je ne savais vraiment pas que tu étais mon âme sœur.

Je pensais que je te reverrais au ciel, et que nous comprendrions alors que nous aurions pu être un couple sur terre. C’était ce que je croyais, car jamais je n’aurais imaginé pouvoir vivre une relation ici-bas, étant donné ce que j’étais physiquement. Je me disais que si les choses avaient été différentes — si j’avais été beau — nous aurions été capables de nous aimer comme le font ces couples qui s’aiment et qui durent dans le temps.

 

C’est lorsque Jésus m’a fait comprendre et ressentir, dans l’émotion, qui tu étais réellement pour moi — même dans cette vie, ici-bas sur terre — que tout s’est éclairé. Malgré ce que la vie était, malgré ma condition physique, tu étais celle qui m’était destinée. Tu étais le plus grand amour de ma vie d’homme, celle que Dieu m’avait réservée dans Son plan.

 

Il était prévu que tu sois ma partenaire afin de mieux accomplir ma mission, et que tu sois mon soutien émotionnel et affectif dans les épreuves qui auraient pu survenir.

 

Nous aurions formé notre propre petit Éden — une minuscule bulle d’amour familiale, en contraste avec celle du monde extérieur. Mais la puissance de Dieu nous aurait permis de vaincre l’ennemi et de triompher de tout.

 

Cela n’aurait pas été facile si nous avions formé un couple avant ma conversion totale à Jésus. Mais après, si je n’avais pas commis ce péché, les choses auraient été faciles.

 

La fille à qui tu avais donné ton adresse en Finlande était croyante en Jésus. Un jour, elle a été déçue parce que j’avais obtenu de meilleures notes qu’elle. Je l’ai simplement touchée à l’épaule pour lui faire comprendre, humblement, que ce n’était rien. Elle m’a aussitôt dit qu’elle était étonnée, car ce simple geste avait dissipé toute sa colère. Elle ne comprenait pas comment cela avait pu se produire. Ce moment m’a profondément marqué à l’époque.

 

Pardonne-moi. Je t’avais écrit cette lettre sans même imaginer que tu lui avais laissé ton adresse avec cette intention, sans doute. J’étais en proie aux tourments, et je venais de suivre les conseils de cette fille, qui m’avait suggéré de t’écrire mes sentiments. C’était elle qui m’avait encouragé à te dire ce que je ressentais pour toi. De la même manière (avant de te retrouver sur Flickr), j’avais tenté un dernier recours, au cas où nous ne nous reverrions jamais. Je voulais que tu saches combien je t’aimais. C’était, à ce moment-là, la chose la plus importante pour moi. Je désespérais, je n’avais plus rien à perdre, si ce n’est crier mon amour comme un dernier souffle — le dernier souffle de ma vie, de mon âme.

Anna anteeksi. Olin kirjoittanut sinulle tuon kirjeen edes ajattelematta, että olit ehkä jättänyt osoitteesi hänelle juuri sillä aikomuksella. Olin tuskan vallassa, ja olin juuri seurannut erään tytön neuvoa — hän oli ehdottanut, että kirjoittaisin sinulle tunteistani. Juuri hän rohkaisi minua kertomaan, mitä tunsin sinua kohtaan.

 

Samalla tavalla (ennen kuin löysin sinut uudelleen Flickristä), olin yrittänyt viimeistä keinoa — siltä varalta, ettemme enää koskaan näkisi toisiamme. Halusin, että tietäisit kuinka paljon rakastin sinua. Se oli sillä hetkellä minulle kaikkein tärkeintä. Olin epätoivoinen, minulla ei ollut enää mitään menetettävää, paitsi huutaa rakkauteni kuin viimeinen hengenveto — elämäni viimeinen hengenveto, sieluni viimeinen.

 

J’ai ressenti intensément ta présence et ton amour. Merci de m’avoir serrée contre toi.

 

Je t’aime aussi.

 

Merci.

 

💗 Je t'aime.

La galleria a été construite pendant l’ère d’unification italienne. Elle comporte donc beaucoup de symboles patriotiques. Les mosaïques sur le sol en dessous de la coupole représentent les armoiries de la Savoie et les villes italiennes sont représentées par allégories, un loup pour Rome, un lis pour Florence, un taureau pour Turin et un drapeau blanc à croix rouge pour Milan que l'on peut voir ici. S'agissant du taureau de Turin, une vieille coutume affirme que tourner trois fois sur soi-même avec le talon du pied droit posé sur les parties génitales du taureau porte chance. Si ce geste est au départ une moquerie envers la ville rivale de Turin, il est ensuite devenu un rite presque sacré. Je n'ai pas pris cette mosaïque en photo car il y avait beaucoup de touristes qui se prêtait au jeu. Malheureusement, cette pratique endommage la mosaïque, qui doit être régulièrement restaurée.

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Et la musique assortie : www.flickr.com/photos/mamma_gilda/8278981552/in/set-72157...

 

Qui sème la haine récolte la moquerie

NOUS SOMMES LA TEAM.

ADRIEN. CHLOE MAX.

DES CHARCOLTS.

EN LEVRETTE DE VOS PUISSANCES.

DE VOS MICHTRPES.

LES FARBEULTREUSPDTRS.

NIKEZ ET SAVOUREZ.

SINON ON VOUS DECHANTE.

SI VOUS VOUS MOQUEZ DE LA GUEULE DE NOUS ET DE LA GUEULE DU MONDE. ON EST PAS DES VICTIMES. ON EST PAS DES OBJETS SEXUELS. ON EST DES PERSONNES. ON EST EN COLERE DE CHAGRIN DE VOS MOQUERIES BULTREUSES A LA SNIOBDSPTRS.

 

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