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I was originally asked to do the whole LP design, but it's a very busy OTT type sleeve which would lack the instant impact a jacket needs, so I isolated the figures of the band. I hate the Exploited's music but I like the way the jacket came out.
Tramways mis en service le 4 décembre 1881
Trolleybus mise en service courant 1940
Compléments des services assurés par des autobus
La ville de Saint-Etienne est bâtie sur un long axe nord-sud sur lequel s'étendent d'interminables communes étirées tout au long d'étroites vallées. La vocation de la région a très tôt été tournée vers l'industrie. La topographie de la vile a déterminé la structure des réseaux de transports. Ainsi, les premiers tramways ont-ils été construits au fond des vallées sur des itinéraires à gros trafic. En complément de ces lignes, d'autres itinéraires ont été desservis vers les collines à partir de cet axe central.En 1883, la Compagnie des Chemins de Fer à Voie Etroite de Saint-Etienne, Firminy, Rive-de-Gier et Extensions (CFVE) fut constituée. Deux lignes de tramways furent mises en chantier, d'une part entre Saint-Etienne et Firminy et, d'autre part, entre Saint-Etienne et Rive-de-Gier. Le 4 décembre 1881, le premier tronçon urbain entre Bellevue et Terrasse, fut mis en service, suivi le 20 mars 1882 par un court prolongement à La Digonnière.Le réseau suburbain fut ensuite achevé et ouvert à l'exploitation le 23 février 1882 vers Firminy, le 1er juillet 1882 entre Saint-Etienne et Saint-Chamond et le 16 novembre suivant entre Saint-Chamond et Rive-de-Gier. Toutes les lignes étaient construites à voie métrique, unique avec des évitements.L'exploitation était assurée par des train à vapeur comportant trois ou quatre voitures. Le parc comportait en 1884, 34 locomotives Winterthur, Brown ou Tubize, 97 voitures et 12 fourgons.
En 1907, les CFVE procédèrent à des extensions de leur réseau :la ligne de Rive-de-Gier est prolongée de 2 km vers La Madeleine, le 14 septembre 1907 ;
un embranchement de la ligne est mis en service vers Saint-Jean-Bonnefond, le 4 décembre 1907 ;
la ligne de Firminy est envoyée vers Pertuiset, sur 4 km supplémentaires, le 18 juin 1907.
Toujours en 1907, deux nouvelles lignes furent construites, l'une vers La Fouillouse, sur 7 km ; l'autre vers Saint-Genest-Lerpt (12 avril et 4 décembre 1907). Enfin, un embranchement de cette dernière ligne vers Riche-la-Molière fut mis en service le 15 avril 1908.Mais à la fin du XIX° siècle, une nouvelle compagnie stéphanoise était apparue : la Compagnie des Tramways Eletriques de Saint-Etienne (TE). Le 7 avril 1897, elle mit en service deux lignes à voie métrique reliant Bellevue et La Rivière à la Gare de Châteaucreux et le Rond-Point au Marais. Les deux lignes, parallèles à celles des CFVE, les concurrençaient directement. En 1906, les TE mirent en service une nouvelle ligne entre Châteaucreux et l'Hôtel de Ville. L'exploitation était assurée par des motrices électriques à deux essieux, de construction assez sommaire, avec un accès frontal par les plates-formes. Leur gabarit en largeur était limité à 1,87 m. En plus des CFVE et des TE, la Société des Tramways Electriques de Saint-Chamond (TSC) mit en service, le 1er juillet 1906, une petite ligne de 2 km, entre Izieux et saint-Chamond, en correspondance avec la ligne CFVE de Rive-de-Gier. L'exploitation était assurée par de petites motrices à deux essieux.Devant la concurrence de ces deux nouvelles compagnies, les CFVE modernisèrent leur propre réseau. La totalité des services furent électrifiés entre août 1907 et juin 1914. Une série de lourdes motrices à essieux radiants, de type H assurèrent dès lors l'exploitation. Elles tractaient les anciennes remorques des trains vapeur. Les motrices étaient équipées du frein à air mais ne possédaient pas de compresseur : les réservoirs étaient remplis à chaque terminus à l'aide de prise d'air comprimé. Ce système restera une particularité stéphanoise jusqu'à l'arrivée des PCC, en 1959. Après la première guerre, les CFVE complétèrent leur parc par du matériel d'occasion provenant de Nancy (type R). A partir de 1920, les TE rencontrèrent de graves difficultés financières et tombèrent en faillite en 1930. Leurs lignes furent alors reprises par les CFVE. Mais la concurrence des autocars qui commencaient à apparaître, provoqua des difficultés importantes aux CFVE. Ces derniers abandonnèrent alors les lignes interurbaines vers Rive-de-Gier, Saint-Jean-Bonnefonds, La Fouillouse et Saint-Genest-Lerpt. En contrepartie, les CFVE obtinrent le monopole sur les lignes de Firminy et de Terrenoire. En 1935-38, une nouvelle série de 8 motrice de type J furent construites neuves et mises en service. Parallèlement quelques morices H furent modernisées. Enfin, en 1941, une petite série de 10 nouvelles motrices de type K fut mise en service. Mais le tracé défecteux des lignes des anciens TE provoqua une première mise sur route en 1938. Dès lors, il fut envisagé de convertir une partie du réseau pour l'exploitation par trolleybus. Dès 1940, les CFVE avaient entamé la transformation de tout l'ancien réseau des TE. A la fin de 1940, la ligne Tardy - Le Soleil vit appraître 6 trolleybus Vétra CS35 prévus à l'origine pour le réseau de Poitiers. A la fin de 1942, 7 Vétra CS45 de 45 places remplacent les CS35 qui furent envoyé à Poitiers.
En 1947, 22 trolleybus de type CS60 remplacèrent les tramways sur la ligne de Bellevue à Firminy. De décembre 1947 à 1954, 6 trolleybus VBD, 40 VCR et 50 ELR furent mis en service sur les anciennes lignes de TE dont les derniers tramways disparurent en 1949.
En 1954, seule la ligne de Bellevue à Terrasse restait exploitée par tramways. Bien qu'envisagée, sa conversion en trolleybus ou autobus paraissait impossible ; son important trafic (70 à 80.000 voyageurs par jour) et son tracé dans des rues étroites, rendait quasi impossible une exploitation par véhicule routier.
Après quelques années d'hésitation, la Ville de Saint-Etienne accepta le maintien des traways dans le centre - cas unique en France - et les CFVE passèrent commande de 30 motrices PCC de conception belge et construites à Strasbourg. Ces remarquables motrices étaient calquées pour la voie métrique sur celles circulant depuis 1951 à Bruxelles. Montées sur deux ogies à roues élastiques, elles comportaient quatre moteurs de 50 CV. Le confort intérieur était particulièrement soigné. Chaque motrice présente une caisse de 13,95 m de long.
En complément, les voies de la ligne furent réaménagée afin de permettre aux tramways de circuler sans être gênés par la circulation automobile.
La première motrice PCC fut livrée le 4 août 1958 et mise en service le 11 décembre suivant. Le 1er septembre 1959, le dernier tramway ancien fut retiré du service. Le succès fut complet : les critiques à l'encontre des anciens tramways s'évaporèrent et les Stéphanois pouvaient s'ennorgueillir de posséder la ligne urbaine la plus moderne de France.
En 1967, les CFVE commandèrent une nouvelle série de 5 motrices PCC articulées afin de renforcer la capacité de la ligne dont le tafic augmentait.
Parallèlement, le parc de trolleybus s'étoffa entre 1960 et 1970, de plusieurs séries de voitures Berliet ELR provenant de Nice et de quelques VA3B2 de Marseille. En 1972, le parc comprenait 35 motrices de tramways, 105 trolleybus et 80 autobus.
Contrairement à ce qui se rencontrait alors en France, le réseau de Saint-Etienne avait su conserver un grande qualité de service et une attractivité qui en faisait un des réseaux les plus efficaces. Cas rare, les CFVE réussissaient à maintenir l'équilibre de leurs comptes ...
Voir aussi :
les tramways de Saint-Etienne dans les années cinquante
le renouveau des tramways de Saint-Etienne
les trolleybus de Saint-Etienne
140 ans de tramway à Saint-Etienne – un record de longévité inégalé en France www.youtube.com/watch?v=Gv6hWmCaLq8&feature=emb_imp_woyt - 1881 – 2021. Cela fait 140 ans que le tramway circule à Saint-Étienne sans discontinuité. À travers ce record de longévité inégalé en France pour un tramway intramuros, c’est aussi des milliers d’hommes et de femmes qui se sont succédés pour assurer au quotidien le déplacement de plusieurs milliards de voyageurs.
140 ans jour pour jour après le lancement de son premier tramway, la Société de Transport de l’Agglomération Stéphanoise et Saint-Étienne Métropole ont décidé de célébrer l’événement comme il se doit.
La journée à débuté par la sortie de la motrice J74 du dépôt de la STAS qui a repris du service pour 200 heureux voyageurs, qui, tirés au sort parmi près de 1000 inscrits, pourront circuler à bord de cette motrice emblématique toute la journée entre les stations. Terrasse et Bellevue, tronçon historique du réseau exploité dès 1881 ! Les locomotives à vapeur du réseau CFVE (Chemin de Fer à Voie Etroite) 1881 – 1914
Rue Gambetta sur la ligne Terrasse-Bellevue: En décembre 1881 pour l’ouverture de la ligne; le service est limité à un tram toutes les 1/2 heures pour que les stéphanois s’habituent à la présence des tramways.
C’est en 1981 que le nom STAS apparait pour la première fois, remplaçant la CFVE.
Quatre murs et un toit 1953 - Le Corbusier, l'architecte du bonheur 1957 conceptions architecturales le modulor, l'architecture de la ville radieuse, Chandigarh, Marseille, Nantes www.dailymotion.com/video/xw8prl Un documentaire consacré aux conceptions architecturales et urbanistiques de Le Corbusier.
Exposées par l'architecte lui-même et étayées par des plans, dessins et images de ses réalisations en France et à l'étranger, ces théories témoignent d'une réflexion approfondie et originale sur la ville et sa nécessaire adaptation à la vie moderne, notamment Paris dont l'aménagement révolutionnaire rêvé par Le Corbusier est ici exposé. Un classique du documentaire.
Les premiers projets de Le Corbusier resteront à l'état de maquette : le plan de modernisation de la ville d'Alger. Certains seront réalisés par d'autres architectes : ministère de l'éducation à Rio de Janeiro, Palais de l'ONU à New York. Dès l'après-guerre en moins de 10 ans, Le Corbusier réalise de grandes unités d'habitation à Marseille, Nantes une chapelle à Ronchamps, une usine à Saint-Dié, une ville Chandigarh en Inde. Par des schémas, l'architecte présente sa théorie de la "ville radieuse", le modulor clef mathématique de son œuvre ainsi que son projet de réorganisation de la campagne, des cités industrielles et urbaine en un regroupement autour d'un système coopératif. Le film expose les conceptions architecturales de Le Corbusier, dans la ligne des précurseurs de l'architecture moderne comme Claude-Nicolas Ledoux. Paris et le désert français 1957 réalisation : Roger Leenhardt et Sydney Jezequel, résoudre le déséquilibre démographique ville campagne www.dailymotion.com/video/x177lrp Film réalisé par Roger Leenhardt et Sydney Jezequel en 1957, d'après le livre de Jean-François Gravier. Document d'information général proposant les solutions de l'époque pour éviter la désertification des campagnes et la folie concentrationnaire des villes. Dès 1957, la désertification des campagnes prend des proportions tragiques. L'exemple est donné pour le village de Gourdon dans le Quercy.
Quelles évolutions proposer pour éviter l'exode rural et le développement anarchique, qui s'amorce, des villes champignons, construites en plein champ sans urbanisme et sans âme ? Le commentaire propose les solutions de l'époque : modernisation de l'agriculture, adaptation de l'artisanat, implantations d'industries dans les provinces. Gazoducs dans le sud-ouest, barrage en Haute-Savoie, polder en Bretagne semblaient à l'époque pouvoir résoudre le déséquilibre ville campagne. Visages de la France 1957 Production - réalisation Atlantic-Film Marcel de Hubsch www.dailymotion.com/video/x19g59p Le film commence avec des vues de villages et d'architecture traditionnelle du Pays Basque, des Landes, de la Touraine, de la Normandie, de la Bretagne, d'Alsace. La voix off s'interroge : faut il transformer la France en un musée de ses vieilles demeures ? et poursuit : pourquoi des maisons de 10 à 15 mètres de hauteur à Honfleur n'ont elles que 3 à 5 mètres de large ? Le commentaire se pose la question du nombre de maisons individuelles dans les villes qui entrainent l'étalement urbain. Lorsque les villes ont bâtit des immeubles, le commentaire se demande que cachent ces façades ? Des coures étroites que le soleil ne visite jamais, un enchevêtrement inouï de constructions hétéroclites. L'époque de grande prospérité de la troisième république n'a rien su construire de grand poursuit la voix off. Ce document nous propose ensuite une animation de maquette pour l'aménagement d'une friche. Dans un premier temps à la façon d'avant avec la maison individuelle. La voix off s'exclame : ce n'est pas autrement que d'affreuses banlieues naquirent que tant de villes furent à jamais enlaidies, essayons autre chose. L'animation se met à empiler les maisons individuelles et propose des bâtiments collectifs dans des jardins. Le commentaire poursuit : maintenant c'est l'heure de l'urbaniste à lui de répartir les constructions dans la cité. Plusieurs organisation de logements collectifs sont proposées en maquettes. La voix off pointe les défauts d'un urbanisme des grands ensemble trop ennuyeux. Puis une solution émerge de l'animation : pour que la cité vive il faut mettre au place d'honneur école, dispensaire, bibliothèque, salle de réunion, puis viennent les deux pièces maîtresse deux grands immeubles puis les rues se glissent dans la composition et enfin les pelouse et les jardins apparaissent et voila conclue le commentaire. Le film montre ensuite de réalisation de grands ensemble et on entre dans un immeuble au sein d'une famille : air et lumière sont au rendes-vous. On voit des enfants faire du patin à roulette dans le parc de l'immeuble la voix off annonce : finit l'individualisme renfrogné de l'échoppe d'antan : la cité tout entière est un jardin, les jeux d'enfants se mêlent aux fleurs. Le film se termine sur des vues de réalisation de grands ensemble sur toute la France (vue entre autre de la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille). Production Films Caravelle MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) Scenario et réalisation : Pierre JaLLAUD
El Ojo de Buitre (Eye of the Vulture) is a new vernacular
development made from naturally occurring material. At 1600 metres with a 360° panorama of the Parque Natural Sierra María-Los Vélez, the “new town” enjoys views only previously exploited by Griffin vultures, which use the south facing cliffs as a roost to access thermal updrafts.
Cette année, plus de 400 participants français et étrangers sont venus salle Wagram (Paris) participer à la Convention SFEN "Exploiter les centrales nucléaires dans la durée"
Cégep de Thetford
Étudiants d'un jour en technologie minérale - Pour plus d'information consulter le site web du Programme de Technologie minérale
Cette année, plus de 400 participants français et étrangers sont venus salle Wagram (Paris) participer à la Convention SFEN "Exploiter les centrales nucléaires dans la durée"
HMS Exploit is an Archer-class (or P2000) patrol and training vessel of the British Royal Navy, built in Woolston by, Vosper Thornycroft and commissioned in 1988. She was originally ordered for the now defunct Royal Naval Auxiliary Service (RNXS) and had a distinctive black hull like other RNXS vessels. She is currently is attached to Birmingham University Royal Naval Unit (URNU), that exists to provide training to undergraduate students in a wide range of naval skills and to provide opportunities for personal development.
Sandford Quarry
This quarry occupies a prominent site at the western end of the pronounced limestone ridge running eastwards to Burrington and beyond and is also located midway between Sandford and Winscombe villages. Like Callow Hill and Batts Coombe, it exploited the very pure Burrington Oolite.
Commercial quarrying began on Sandford Hill in the mid 19th century, and was given a particular boost when the branch line to the mainline at Yatton reached here in 1869. Sandford stone was reputed to have been used in the construction of Avonmouth Docks opened in 1877 and in the expansion of Temple Meads Station, Bristol, in the same period (although the main walling stone was from Draycott near Cheddar). However, even in 1885, the quarry appears to have had no direct rail connection to the branch line, only 300m away. At least two banks of lime kilns were then located here. Although those along Quarry Lane are the most evident, they were only some of many in the parish. By 1895, Alfred Weeks was running Sandford Hill Quarry with five men.
In 1910, the Winscombe Stone and Lime Co. Ltd. was registered as a private company with a capital of £2 000 to carry on the quarry businesses of A G Weeks at Winscombe and Sandford Hill quarries as 'quarry master', stone and lime merchant haulier. By 1920 the company had been reformed as Sandford and Conygar Quarries Co., taking in Conygar sandstone quarry near Portishead.
In 1922 there was a debate over the boundary between this quarry holding and that known as the 'Award land', owned by the ecclesiastical parish, where from 1798, parishioners had a right to obtain stone to meet their duty to repair local roads. The matter was resolved by the company agreeing to pay £8 a year for the privilege of working the site. A steam driven processing plant was introduced.
Soon after it became one of the first Somerset quarries to be absorbed by Roads Reconstruction Ltd. During World War II, Italian prisoners of war worked in the quarries and kilns with local men, with production rising to 50 000 tonnes in 1951. By the time the rail link closed in 1964, the working area had extended eastward creating 'a hollow tooth' feature. In the 1970s a medium sized aggregates plant served an asphalt unit and a concrete works, the latter consuming about half the output, roadstone making up about 25%. In 1972, like Batts Coombe and Callow Rock, the site fell within the area designated nationally as an Area of Outstanding Natural Beauty and the next year it also came within the newly created County of Avon (now North Somerset).
In 1993 Sandford Hill Quarry ceased working on the parish land, and in the mid 1990s, the quarry closed as part of an arrangement to extend Whatley Quarry. The 'award land' reverted to the parish and was converted to a nature reserve. Parts of the site are now used by the local activity centre 'The Action Centre' for training in climbing and abseiling.
Centre d’exploitation ONCF - Rabat – Décembre 2020
L’ensemble du système d’exploitation du réseau ferré du Maroc a été profondément modernisé. Ce nouveau système permet une exploitation du trafic ferroviaire bien plus intelligente et efficace. Les outils de contrôle et de gestion des flux sont à la pointe de la technologie. La Banque Africaine de Développement a soutenu la modernisation de l’ensemble du système.
Exploitant : SPL TransUrbain
Réseau : TransUrbain
Ligne : T5
Lieu : Cadran (Évreux, F-27)
Lien TC Infos : tc-infos.fr/vehicule/37959
The story of this site located in the mosan valley starts at the XIIIth and XIVth centuries, with the exploitation in quarry of the mosan stone (or "blue stone"), which was considered high quality. The blocks of limestone were cut in open-air but also in subterranean galleries that are now closed to the public.
The lime kilns in the pictures were built since 1872. During almost a century, this impressive construction attached to the mountain has seen many changes among which the successive addition of new kilns (finally eight, arranged on a 68 meter length) and the evolution of new technologies.
These lime kilns worked on a continuous process, fed 24 hours a day. Several layers of fuel (previously coal, then coke) and limestones were successively piled from the top of the kilns, then burned by a process of calcination. After cooling, the lime was extracted from the bottom. It was then used in mortars for construction.
Closed since 1971, these lime kilns are today abandoned and poorly secured (in spite of important risks of fall). A part of the cliff and the former quarry is still used by a climbing club.
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L'histoire de ce site situé dans la vallée mosane remonte aux XIIIe et XIVe siècles, lorsque la pierre mosane (ou "pierre bleue"), réputée d'une grande qualité, commence à être exploitée en carrière. Les blocs de pierre calcaire y étaient taillés à ciel ouvert mais aussi dans des galeries souterraines aujourd'hui fermées au public.
Les fours à chaux furent quant à eux construits à partir de 1872. Pendant près d'un siècle, cette imposante construction accolée à la montagne a connu de nombreux remaniements parmi lesquels l'ajout successif de nouveaux fours (finalement au nombre de huit, disposés sur une longueur de 68 mètres) et l'évolution de nouvelles technologies et procédés.
Ces fours fonctionnaient à feu continu, alimentés 24h sur 24. Des couches de combustibles (auparavant du charbon, puis du coke) et de pierres à chaux (calcaires) étaient empilées successivement depuis le haut des fours, puis brûlées par un procédé de calcination. La chaux ainsi produite après refroidissement était récupérée par le bas et acheminée, prête à l'usage dans les mortiers pour la construction.
Fermés depuis 1971, ces fours sont aujourd'hui à l'abandon dans un site étonnement peu sécurisé (malgré des risques de chute importants). Une partie de la falaise et des anciennes carrières est encore employée par un club d'escalade de la région.
A march against the exploitation of and racism toward international students in Australia that the governments (both state and federal) continue to allow to exist. International and Australian students from NSW universities (such as Newcastle, UTS, Macquarie, UNSW and Sydney University) rallied together, marching from Sydney University to UTS and on to NSW Parliament House, asking for the government to intervene and change legislation that allows international students to be taken advantage of.
Some basic rights like abolishing the 20-hour work week limit and providing student travel concessions to international students were demanded in chants and songs. At a deeper level though, the protesters are demanding an end to the systematic racism and exploitation of international students, who are increasingly treated more as a means to profit than as students to educate.
Sunday Express 18 June 2017 page 5 news of exploitation of tragedy for political ends by Corbynism.
In 1985, Jeremy Corbyn wrote: "defeat of the Tory government will be bought about by a series of disputes, of which parliament is only part." (Source of quotation: Socialist Action, 1 February 1985 issue.) At some point, Theresa May will need to read this (which was reprinted by the Conservative party on its 1987 general election campaign poster!) and grasp that she has had 32 years warning of Jeremy Corbyn's style of hijacking tragedies for political manipulation. He is a big mouthed propagandarist, whereas she gets on with her job. But she will have to start deputising more, so she can be seen more to avoid giving Militant Tendency/Socialist Worker/Momentum the ability to turn tragedies into political exploitation. The Sunday Express article goes on to explain that in October 2017, on the hundredth anniversary of the communist seizure of state power for the first time in history (the Russian October 1917 revolution of Lenin), Corbynism is planned to overthrow Britain. :-(
www.telegraph.co.uk/news/2017/06/16/mustafa-almansur-orga...
Mustafa Almansur: Who is the organiser of the Grenfell Tower protest movement?
Martin Evans, crime correspondent Harry Yorke
16 JUNE 2017 • 10:02PM
The organiser of Friday's Grenfell Tower demonstration, in which protesters stormed Kensington Town Hall, is a Jeremy Corbyn-supporting political activist who was once arrested on suspicion of terrorism offences, The Daily Telegraph can reveal. ... But he is also a slick political campaigner, a vocal supporter of Labour leader Mr Corbyn ... It emerged last night that Mr Mansur, who used to be spokesman for the Finsbury Park Mosque, had been arrested 10 years ago by the Metropolitan Police on suspicion of terrorism offences. He was released without charge and later claimed he had been detained because his fingerprints had been found on a book about improvised explosive devices (IEDs), which belonged to a Bosnian associate. ... He is the vice-chairman of the Association of Multicultural Communities ... After graduating from Queen Mary University in London with a degree in electrical engineering, he took an MSc in Islamic banking and finance at Loughborough University."
WASHINGTON, DC: National Center for Missing & Exploited (NCMEC) 2022 Hope Gala, Oct. 20, 2022
The National Center for Missing & Exploited Children’s (NCMEC) Hope Gala held on Oct. 20, 2022 at the District Pier at The Wharf, Washington, D.C. The event is a celebration of the inspiring work being done globally to protect children. We recognized leaders in child safety, honor survivors, and remember the families and victims who are still seeking justice and safety. Sarah Baker/NCMEC
adoration/exploitation of the garden.goddess
who is B/she
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ALEXANDRIA, VA: National Center for Missing & Exploited Children (NCMEC), Sept. 16, 2021
Cyclist from the “Ride of Hope” arrives at NCMEC to commemorate the 26th anniversary of the inaugural ‘Ride’ to Washington, D.C. Our group of dedicated bicyclists' road an average of 80 miles per day (480 total) travelling through four states to raise awareness of missing children. Claire Edkins /NCMEC
Vue d’une partie des carrières d’exploitation à ciel ouvert des gisements de marbre à Carrare en Italie – Sandrine Vallée
Despite the fears of bird flu, Burmese migrant laborers process chickens through the night without safety equipment in the Tak province of Thailand. Workers from Burma (Myanmar) are often exploited in Thailand.
They are tearing down a building, quite close to my place, that was occupied by squatters for a while. Their work resulted in a pretty surreal site.
Because of the topic, I chose for hard lines in my final image. (And did my first experiments with hdr and hdr toning.)
Funny fact: while I was shooting, of course many people stared at me and then at the subject, but after that at least 4 people grabbed their phone and started taking pictures themselves. 1 guy who drove by in a car actually turned around and stopped.
I guess we don't get enough cool demolishing sites around here.
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Feedback is very welcome.
"Dear Flexitarianism, “Humane”itarianism, Pescatarianism, Veg, Vegetarianism, Veggie, and Veg’n:
You are all diets. You are all violent. You are all meaningless for the animals. You are all meaningless for my morality. You are not steps in the right direction."
~ Sarah K. Woodcock
For more information about veganism, please see:
A march against the exploitation of and racism toward international students in Australia that the governments (both state and federal) continue to allow to exist. International and Australian students from NSW universities (such as Newcastle, UTS, Macquarie, UNSW and Sydney University) rallied together, marching from Sydney University to UTS and on to NSW Parliament House, asking for the government to intervene and change legislation that allows international students to be taken advantage of.
Some basic rights like abolishing the 20-hour work week limit and providing student travel concessions to international students were demanded in chants and songs. At a deeper level though, the protesters are demanding an end to the systematic racism and exploitation of international students, who are increasingly treated more as a means to profit than as students to educate.
The UK Government and its partners launched on 12th February a campaign to safeguard children against online abuse. Shown during the launch are (from left): Ms Darlene Bonggon (representative, Department of Education); Councillor EP Bartolome (Taguig City Government); Mr Steph Lysaght (Chargé d’ Affaires, British Embassy); Simon Bewlay (Chairman, British School Manila); Col Theresa Cid (Chief, PNP Women and Children’s Desk); Director Gemma Gabuya (Department of Social Welfare and Development); Executive Director Brenda Vigo (Council for the Welfare of Children), Ms Lilian Pimentel (representative, Department of Interior and Local Government) and Mr Tim Gerrish (Child Exploitation and Online Protection Centre).
In 1981, I discovered photography. One of my first assignments in my photography class was to keep a photo journal for a day. My punk sister lived in this punk converted warehouse with her punk friends, at 13th and Arch Streets. Her life and home were very photo-worthy; I visited one day in March 1981 and took a roll of film. That day, some members of the band "Sadistic Exploits" were hanging out on the roof of her building, perhaps for their own photo shoot, and I took some photos as well.
There's a building in the background where only part of the sign is visible; it reads "Hard." Hard what? I think that's 13th Street. And the building on the left is the Gilbert Building.
I took these pictures with my mother's Asahi Pentax Spotmatic, which I appropriated for about 3 years, until I got my own camera.
© 1981 ellenmc
Premier jour d'exploitation de la Ligne T6, et découverte de la nouvelle livrée des tramways du réseau TCL.
Exploitant : RATP
Réseau : RATP
Ligne : 77
Lieu : Gare de Joinville-le-Pont (Joinville-le-Pont, F-94)
Lien TC Infos : tc-infos.fr/id/7468
July 20, 2016--New York City-- Governor Andrew M. Cuomo announced that the Task Force to Combat Worker Exploitation has directed 1,547 businesses to pay nearly $4 million in back wages and damages to more than 7,500 workers since its inception in July 2015. The Governor also announced several initiatives to improve worker health and safety, including a multi-agency investigation into the exploitation of dry cleaning workers and a coordinated effort to ban harmful chemicals, such as perchlorethylene (PERC), that are commonly used in the industry. Additionally, the state will launch a new $5 million grant program and RFP for non-profit organizations to expand services to help exploited workers. (Don Pollard/Office of the Governor)
According to reports, the construction workers in Dubai are treated very badly. They are poorly paid and treated almost like slaves by having to surrender their passports to employers when they enter the country. They stay in purpose-built 'barracks,' which are often of poor quality with high densites of occupancy.
I just returned from a very brief trip to Dubai as an external examiner for a new masters course --- one of the few perks of being an academic. It is a city of extreme contrasts. Traditional values and lifestyles sit next to ultra-modern technology and aspirations. Very bizarre.