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Prototyp einer neuen Generation von 2achsigen Selbstentlade-Wagenpaare für Kraftwerkskohle, die die Zechenbahn- und Hafenverwaltung der Bergwerksgesellschaft Hibernia AG 1967 von Talbot entwickeln lassen musste um insbesondere den Kohlebedarf des neuen Kraftwerks (Gelsenkirchen-) Scholven von bis zu 30.000 Tonnen/Tag bereitstellen zu können. Da die Investititonskosten gering sein sollten, wurden die Wagen auf Untergestellen von 322 vorhandenen, nicht mehr benötigten Kübelwagen aufgebaut.

 

Aufnahme 1967 im Sammelbahnhof Gladbeck.

Potsdam

 

KT4D-Prototyp 001 unterwegs am 02.09.2007 im Jubiläums-Korso "100 Jahre Elektrische Straßenbahn in Potsdam" auf der Friedrich-Ebert-Straße.

1987 kaufte Romano Artioli, ein Italienischer Unternehmer, den legendären Namen Bugatti und gründete die Bugatti Automobili SpA.

 

Am 27. August 1993 kaufte Romano Artioli über seine Holdinggesellschaft ACBN Holdings S. A. in Luxemburg die Firma Lotus von General Motors. Der Kauf brachte zwei der größten Namen in der Automobil-Renngeschichte zusammen.

 

Pläne entstanden, die Gesellschaftsanteile an internationalen Börsen einzuführen. Außerdem wird 1993 der Prototyp einer viertürigen Sportlimousine mit Namen EB112 in Genf vorgestellt, die speziell für den US-Markt entwickelt wurde. Das Konzept diente als Basis für die beiden ersten Italdesign-Entwürfe für Volkswagen, die Modelle EB118 und EB218.

 

(Wikipedia)

Prototyp for the German Armed Forces ( BAAINBw) . The Vehicles was delivered in Februar 2020 . Please follow for more Informations and Pictures in the Group : www.facebook.com/groups/2412287785707852/

Potsdam

 

Anläßlich des Betriebshoffest am 02.09.2001 stehen der historische Gotha Gelenkwagen 177, KT4D-Prototyp 001 und KT4D 006" vor der Halle des Betriebshof Zubeilstraße.

prototype resin 7.5 inch Bild Lilli clone "Lotta"

www.twitter.com/Memoire2cite -😊 Levittown: The Construction and Systematic Execution of Discrimination in Modern Suburbia (NHD 2018) www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M … … 17000 maisons en 2 ans un record dans l histoire des annees 60 @ la grande Acceleration @ Un point de bascule avec le changement de regime d'existence les 30 glorieuses americaine @ la constructions de masse.., ici LEVITTOWN a LONGISLAND, 17000 pavillons en 2 ans un Record...Yes this is it my Our Home Town: Levittown, PA (1954) - www.youtube.com/watch?v=9_KrD6PkX0M les 30 glorieuses atomique @ le projet PLOWSHARE de 1957 LE FILM ICI www.youtube.com/watch?v=kpjFU_kBaBE … STRAUSS le promoteur du nucleaire Americain les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur le developpement solaire... les occasions manquées de soigner notre humanité..www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt

 

www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...

 

www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc … Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po

 

DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) - Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.

 

www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...

 

Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History

 

www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc

 

Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po

 

DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..

 

passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015 www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NAwww.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUkwww.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin) www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/

 

www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...Quatre murs et un toit 1953 Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) www.dailymotion.com/video/xk6xui twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.

 

www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije

 

31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije Maison de Banlieue et de l'Architecture 41 rue Geneviève Anthonioz De Gaulle, Athis-Mons Mercredi et samedi de 14h à 18h, sauf les 20avril, 1er et 8 mai, 1er juin, 2 et 9 novembre. www.portesessonne.fr/Institution/Toute-l-actu/Sortir-et-D...

Içi le LOIRET AVEC MONTARGIS @ LES HLM www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ … Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage du basculement dans l’anthropocène de la nature par l’homme.La grande accélération qui fait définitivement basculé le monde dans l'anthropocene(Ère de l'Homme) s'explique pas seulement par la croissançe démographique.. mais par l'incroyable dynamisme des sciençes des techniques, et des talents des Entreprises à vendre leurs produits..les 30 Glorieuses Américaine @ le climatiseur fait son apparition... la promesse de la Maison éléctrique, invite à un confort nouveau...il ne s agissait plus de chauffer les maisons , mais etre capable de les refroidir... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …çe pour que le chauffage,la climatisation et le tout electrique devienne la norme dans le monde, les Industriels de l'elec imposent aux lotissements, le raccordement a l electricite, via des deals avec le BTP, ils signent ainssi la mort de la maison solaire :( les 30 Glorieuses & l'arrivée du Confort Electrique... les industriels de l 'éléctricité çe vendent en inventeur du Futur font barrage a des tas d'autres idees comme la maison tout solaire qui aurai pu avoir toutes ses chances... "When you live , electrik me" veux tout dire ..

… les 30 glorieuses Américaine @ quand celles çi ratent le coche sur la Maison Solaire... www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ …Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs.…De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète @ le film içi www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/

 

…L'homme a mangé la Terre _ 1960 les 30 Glorieuses dans le plastique @ l'Alathon ,le Delrin,le Lucite,le Teflon , les Molécules,la Grande distribution & les hypermarchés,le salon de l 'auto,les arts ménagers,la consommation de masse alimente encore plus fortement les emissions Co2 De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète.

Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.

Liaisons dangereuses

En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme.

Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! Le lien direct vers le film : cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... … 🎥@Cinematheque42 ▶ içi MONTREYNAUD cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... - Içi

LA COTONNE MONTFERRE cinematheque.saint-etienne.fr/Default/doc/OAI_1/oai-cse.d... bit.ly/2KK0n1D - 69 Vénissieux 1984 Images des Minguettes dans le clip ORIGINAL Envole moi de jean jacques Goldman la V.O. là www.facebook.com/icivenissieux/videos/2042888055963468/ … & clip officiel içi www.youtube.com/watch?v=oltptNDHocw … - Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Structure Couleurs d'une cité provençale en 1975 extrait du film Bâtir mieux plus vite et moins cher @ le BTP en 1975, l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant...Une nouvelle cité provençale ... dai.ly/xyjudq Jacques Tati & la villa Arpel @ le film "mon Oncle"

www.ina.fr/video/R09119655 TURQUIE - Cette ville fantôme a pourrait servir de tournage à un film d'horreur. La commune de Mudurnu, au nord de la Turquie, compte des centaines de répliques de châteaux français tous à l'abandon www.youtube.com/watch?v=qGML4Ej7muMwww.youtube.com/watch?v=U8cFGOnxns4 … Démolition Tour DEF mercredi 23 juin 2010 - Cité Balzac Création artistique autour de la démolition d'un bâtiment. Ce film a été réalisé par les équipes de Plug N' Prod. www.youtube.com/watch?v=L9A_lUN1TPU … 42 - SAINT-ETIENNE LOIRE - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, en 1962, les vues des HLM de RHONE ALPES de PARIS & plus... en FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet

Saint-Etienne l' Extension Marandiniere 1957-59 architecte Jean Farat 42 St-Etienne LOIRE - la Marandiniere les espaces verts @ les 30 G & Jacques SIMON - Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». www.dailymotion.com/video/xgj74q LE FILM 42 - Le temps de l'urbanisme sur la Loire, 1962, le FILM içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz Réalisation : Philippe Brunet archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive

le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije ,Saint-Étienne Métropole labellisée « Bibliothèque Numérique de Référence » ! La plus ancienne cinémathèque régionale de france à désormais son site web ! Programmation, ateliers pédagogiques et visionnage en ligne ! ▶ bit.ly/2KK0n1D la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,

www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije

Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.

Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye

www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,

Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkUwww.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo

Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -

Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.

www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije

Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.

la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty

la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes

Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945

Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt

www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruite.Le film montre à Strasbourg, Mulhouse, des réalisation moderne de grands ensembles et des images d'archive de la reconstruction du Havre de Saint Nazaire.Le film se termine à Marseille sur les réalisation nouvelles autour du vieux port puis on assiste à l'inauguration de la Cité Radieuse par le ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme Eugène Claudius-Petit en présence de son architecte Le Corbusier à qui le ministre remet la cravate de commandeur de la légion d'honneur. www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695... Mémoire2cité Mémoire2Ville Mémoire de l'Habitat,içi la page listant mes 43 albums photos disponibles, çe x 1000 pour chacuns d'entre eux ..Merci aux 5859 followers qui porte une attention particuliere à nos quartiers..

la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty

la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije - Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes

Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije , Quelques mois après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un triste constat s'impose : 5 944 passages sont coupés, soit plus de 110 km de brèches ; de nombreuses villes se trouvent isolées.Les chantiers s'activent dans toute la France pour "gagner la bataille des communications routières". Mais outre la pénurie de main d’œuvre, il faut faire face au manque de matériaux (béton, métal) et donc déployer des trésors d'imagination pour reconstruire les ponts détruits. Si le savoir faire des tailleurs de pierre est exploité, le plus spectaculaire est le relevage des ponts, comme le pont de Galliéni à Lyon, où 7 à 800 tonnes d'acier sont sorti de l'eau avec des moyens de l'époque. En avril 1945, il reste 5 700 ponts à reconstruire soit 200 000 tonnes d'acier, 600 000 tonnes de ciment, 250 000 m3 de bois, 10 millions de journées d'ouvrier, prix de l'effort de reconstruction.1945

Auteurs / réalisateurs : images : G.Delaunay, A.Pol, son : C.Gauguier Production : Direction Technique des Services des Ponts et Chaussées / Ministère des Travaux Publics et des Transports Support original : 16 mm noir et blanc Durée : 14 min Thèmes principaux : infrastructures-ouvrages d'art Mot clés : chantier, pont, Reconstruction, restauration, béton précontraint, ministère des travaux publics et des transportsLieux : Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt

www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije , Film d'archive actualités de 1952 Reconstruction de la France sept ans après la fin de la seconde guerre mondiale état des lieux de la crise du logement , Actualités de 1952. Sept ans après la fin de la seconde guerre Mondiale état des lieux de la reconstruction de la France et de la crise du logement à l’œuvre, pénurie de logement, logements insalubres. Les actualités montrent des images d'archives de la destruction de la France, les Chars de la division Leclerc qui défilent sur les Champs Elysees. Le commentaire dénonce la lenteur de la reconstruction et notamment des manifestations qui ont eu lieue à Royan afin d''accélérer la reconstruction de la ville détruit

Canon PowerShot SX1 IS - 20.05.2011

 

The Fernsehturm Stuttgart (TV Tower Stuttgart) is the world's first TV tower built from concrete (and prototype for many towers of that kind all over the world).

Grünes Licht für die Wiedereröffnung des Fernsehturms

  

SWR und Stadt einigen sich über Kostenteilung der Brandschutzmaßnahmen - Ziel ist Wiedereröffnung Mitte 2015

 

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Attribution-NonCommercial-NoDerivs Creative Commons

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It is located on the so-called "Hoher Bopser" hill in the southern Stuttgart district of Degerloch. After a construction period of 20 months it was placed in service February 5, 1956, by Süddeutscher Rundfunk (today: Südwestrundfunk – SWR).

 

Satellite Image - Eagle-view...

 

The tower broadcasts several public FM radio stations and transmitted the ARD TV network's analogue service until 2006. The digital television services have moved to nearby Fernmeldeturm Stuttgart, which also broadcasts private FM radio stations in the area. Although controversial at first, it quickly became a well known landmark of Stuttgart and tourist attraction. From the two observation decks there is a view of Stuttgart, from the forests and vineyards in and around Stuttgart to the Swabian Jura and the Black Forest.

1957 1. 000 000 visitors

2006 25.000 000 visitors in total.

~ 300 000 a year.

 

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Engineer: Professor Dr. Ing. Fritz Leonhardt

  

www.fernsehturm stuttgart. /

 

Modell für andere Türme

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Enjoy

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Mit seinen 217 Metern ist der Stuttgarter Fernsehturm der Erste der Welt und somit das Urmodell für viele andere Fernsehtürme. Der Pionier gilt als ästhetisches und architektonisches Meisterwerk und ist bis heute in seinem zeitlosen Design unerreicht.

 

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tags

TV tower, tower, Fernsehturm, Stuttgart , Metrople , Baden-Württemberg,Turm, Germany, Deutschland

 

Exif data

Camera on a fixed stand

 

Camera Canon PowerShot SX1 IS

Exposure 0.001 sec (1/1000)

Aperture f/3.5

Focal Length 5 mm - aka 28 mm crop

ISO Speed 80

Der weltweit erste Fernsehturm steht in Stuttgart. Seit 60 Jahren trotzt der 217 Meter hohe Turm Wind und Wetter. Dass der erste Turm mit einer Stahl-Betonkonstruktion tatsächlich halten würde, hatten zu Baubeginn nicht alle Stuttgarter geglaubt.

 

Nach einer Bauzeit von 20 Monaten wurde der Stuttgarter Fernsehturm am 5. Februar 1956 eingeweiht. Er wurde zu einem Prototyp, den man auf der ganzen Welt nachbaute und weiterentwickelte – von Frankfurt über Dortmund bis Johannesburg und Wuhan in China.

Seit 1956.

Der Fernsehturm des SWR.

www.swr.de/

Südwestrundfunk

 

Anstalt des öffentlichen Rechts

 

Silver Arrows (in German Silberpfeil) was the name given by the press to Germany's dominant Mercedes-Benz and Auto Union Grand Prix motor racing cars between 1934 and 1939, and also later applied to the Mercedes-Benz Formula One and sports cars in 1954/55.

For decades until the introduction of sponsorship liveries, each country had its traditional color in automobile racing. Italian race cars are still famous for their Rosso Corsa red color, British ones are British Racing Green, French blue, etc. German cars like the Blitzen Benz were white, as were the three Mercedes that won the 1914 French Grand Prix 1-2-3. On the other hand, in 1922 (Giulio Masetti) and 1924 (Christian Werner), Mercedes won the Italian Targa Florio with cars painted red, blending in with the local competitors. The big supercharged 200 hp Mercedes-Benz SSK with which Rudolf Caracciola won the 1931 Mille Miglia was called White Elephant.

(Wikipedia)

 

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Die Grand-Prix-Formel ab 1954 schrieb unter anderem folgendes vor: Hubraum 750 Kubikzentimeter mit bzw. 2500 Kubikzentimeter ohne Kompressor, beliebige Zusammensetzung des Treibstoffs, Renndistanz 300 Kilometer, mindestens jedoch drei Stunden. Entsprechend dieser Regelung entwickelte Mercedes-Benz den W 196 R. Mit der Leitung des Projekts betraut war Fritz Nallinger; maßgeblich beeinflusste die Entwicklung Rudolf Uhlenhaut, der langjährige Technikchef der Rennabteilung

 

Der Wagen, gefertigt in vierzehn Exemplaren inklusive eines Prototyps, war in den folgenden beiden Jahren äußerst erfolgreich. Die ursprüngliche Stromlinienkarosserie war zwar zweckmäßig, zur Standardausrüstung wurde ab dem Großen Preis von Deutschland auf dem Nürburgring Anfang August 1954 allerdings ein Monoposto mit frei stehenden Rädern.

 

Der Achtzylinder-Reihenmotor mit Direkteinspritzung war im Winkel von 53 Grad nach rechts geneigt in das Chassis eingebaut, um den Schwerpunkt abzusenken und die Stirnfläche zu verkleinern. Rennleiter Alfred Neubauer engagierte den anfänglich zögernden Juan Manuel Fangio und dazu 1955 Stirling Moss als Fahrer.

 

Die Rennbilanz des W 196 R: Neun Siege und schnellste Runden sowie acht Pole-Positions bei zwölf Grand-Prix-Teilnahmen, sowie die beiden Fahrertitel 1954 und 1955 für Juan Manuel Fangio.

 

(Wikipedia)

  

Electric Drive - Range Extender

Chassis : Lotus Evora

 

82th Geneva International Motor Show

Internationaler Auto-Salon Genf

Suisse - Schweiz - Switzerland

March 2012

Prototype 942, offert à Ferry Porsche pour ses 75 ans par les employée de la marque

HOVM persbericht:

Zaterdagmorgen 15 augustus is PCC-tram 1227 in het HOVM aangekomen. De tram is bestemd om als Tourist Tram te gaan rijden, maar wordt eerst gebruikt als prototype voor het restaureren en reviseren van PCC-cars, het bekende tramtype dat tussen 1949 en 1993 in Den Haag reed.

PCC-car 1227 uit 1963 reed tot 1982 bij de Haagse vervoermaatschappij HTM. Sindsdien verbleef de wagen afwisselend in Amsterdam en Den Haag, maar was niet meer rijvaardig. Het HOVM-bestuur heeft enkele maanden geleden besloten positief te reageren op een vraag van de Tramweg-Stichting om de tram over te nemen voor het symbolische bedrag van 1 euro.

De tram wordt toegevoegd aan de vloot van de Tourist Tram. Hierdoor ontstaat er over enkele jaren ruimte om de bestaande Tourist Trams groot onderhoud te geven, waardoor ze weer 15 tot 20 jaar mee kunnen. Daarnaast wil het HOVM enkele technische aanpassingen uitvoeren aan de 1227 zodat deze op den duur kan rijden onder 750 Volt, de toekomstige bovenleidingspanning van de HTM. Vrijwilligers van het HOVM zullen de 1227 de komende jaren restaureren. Dit zal naar verwachting enkele jaren in beslag nemen.

 

Plaatjes van het opladen in Amsterdam bij de Museumtramlijn, het transport naar Den Haag en het afladen en naar binnen rangeren bij het HOVM.

La POLOGNE durement bombardé pdt la guerre .. Elle a été un pays marqué par la reconstruction.. Via ses cités modernes dites de préfabriqués des annees 60 et 70 la bas ont les appellent Osiedle (domaine, lotissement) Osiedle est un terme utilisé en Pologne pour désigner une subdivision désignée d'une ville ou d'un village, ou d'un dzielnica, avec son propre conseil et exécutif. Comme le dzielnica et le sołectwo, un osiedle est une unité auxiliaire d'une gmina www.twitter.com/Memoire2cite En République tchèque, l’antique ville de Most est détruite pour des raisons économiques pour être reconstruite à 2km grâce au panneau de béton. Au travers d’archives et de témoignages des habitants, son histoire dailymotion.com/video/x413amo visible ici des la 23e minute , c est de la folie...Panelák est un terme familier en tchèque et en slovaque pour un immeuble construit en béton préfabriqué précontraint, comme ceux qui existent dans l’ex-Tchécoslovaquie et ailleurs dans le monde.La POLOGNE durement bombardé pdt la guerre .. Elle a été un pays marqué par la reconstruction.. Via ses cités modernes dites de préfabriqués des annees 60 et 70 la bas ont les appellent Osiedle (domaine, lotissement) Cette unité urbanistique réalisée grâce à des technologies modernes, l’îlot urbanistique (blokurbanisztyczny), est au fondement de la formation des quartiers (dzielnica) qui, tous ensemble,

composent finalement la ville « Bien conçu et selon les résultats des analyses passées, le logement, adapté aux besoins et aux possibilités économiques de ses habitants et du pays tout entier, est la cellule fondamentale, la mesure

de l’organisme urbain contemporain. Construite selon une programmation économique réaliste, cette cellule devrait bénéficier des moyens techniques les plus avancés dans les domaines de la construction, de la santé, des communications, de l’esthétique architecturale et des jardins. Et elle devrait se dresser de toute sa masse, en conformité avec les besoins de la population des villes,

comme matière fondamentale et aboutie de la forme urbanistique et architecturale. D’une ou de plusieurs de ces cellules urbanistiques, c’est-à-dire des logements, naît un immeuble ; de quelquesuns à quelques dizaines d’immeubles, un îlot urbanistique, d’un groupe d’îlots émerge un quartier. Et

de quelques quartiers d’habitation ou plus, en association avec des quartiers d’ateliers de travail naît la totalité organique urbaine, c’est-à-dire la ville. » Ainsi, à la veille de la deuxième guerre mondiale, on trouve en Pologne des structures politiques, associatives, professionnelles impliquées dans la promotion d’un habitat social

réalisé selon de nouvelles technologies, et permettant de loger quelques milliers d’habitants autour de services de base. Censé apporter des solutions à une situation du logement catastrophique, héritée du XIXème siècle et de la première guerre mondiale, ce nouveau type d’habitat est construit et géré sous forme coopérative (Coudroy de Lille 2004). Ces groupements de logements sont au départ nommés kolonia. La littérature urbanistique

théorique des années 1930, représentée par les auteurs majeurs que sont Barbara Brukalska et Tadeusz Tołwiński construit deux systèmes lexicaux différents pour nommer l’unité spatiale supérieure à la kolonia, celle qui rassemble quelques milliers de logements : osiedle pour la

première, blok pour le second. C’est finalement osiedle qui s’imposera sur le long terme. Mais dans cette période de l’entre-deux-guerres, le terme osiedle avait une autre signification dans la langue courante, de portée plus générale.

I.2.Osiedle : un terme issu du vocabulaire courant

Le Dictionnaire de la langue polonaise (1927) le définit comme « tout groupement d’habitations humaines constituant une unité, séparée des autres10». Le texte indique qu’un

osiedle peut être temporaire ou permanent, compter de une à des centaines de milliers d’habitations, et que les activités dominantes des habitants permettent de distinguer deux

types : rural ou urbain11. Selon le Dictionnaire étymolotique de la langue polonaise (2005), le mot apparaît à partir du XVème siècle, dans plusieurs langues slaves sous des formes

voisines, dérivées d’une même racine osedle (qui donne par exemple en vieux tchèque ošedlé). Il désignait alors l’établissement fixe, le foyer, le patrimoine.

La définition de 1927, contemporaine de Barbara Brukalska et Tadeusz Tołwiński correspond à un « établissement humain », et est très proche du Siedlung allemand Ce dictionnaire ne comporte d’ailleurs pas d’entrée « ville » (miasto). Cette notion est introduite dans le corps de la définition d’osiedle. allemand cependant, le mot Siedlung prend le sens dans le sens dans les années 1920 de cité d’habitat moderne (Topalov et al. 2010 : 1109). Les urbanistes polonais qui formalisent les unités d’habitations d’un type nouveau dans l’entre-deux-guerres ont étendu le sens traditionnel du terme osiedle en lui donnant un sens proche du Siedlung. De fait, la langue polonaise a souvent emprunté à l’allemand pour nommer les formes et les fonctions urbaines, et cette influence germanique fut renouvelée et renforcée au début du XXème siècle, grâce au rayonnement de l’école viennoise dans l’architecture d’Europe centrale, puis par le prestige du mouvement Bauhaus (Blau and Platzer 2000). Après la première guerre mondiale, les urbanistes et architectes polonais entretenaient par ailleurs d’intenses contacts

avec l’Autriche, l’Allemagne, où certains furent formés (c’est le cas de Szymon Syrkus), et où ils exposaient leurs travaux.

L’utilisation du mot osiedle pour désigner une modalité de la conception des espaces résidentiels contribue donc à enrichir la signification de ce mot, pour un usage à la fois savant

et technique. L’osiedle est une forme urbaine, un idéal social, mais aussi, pourrait-on dire, un

point de ralliement pour le mouvement moderne en Europe centrale. En effet, ce terme acquis une importance considérable dans les pratiques et surtout les représentations

urbanistiques de la Pologne d’après-guerre : tout d’abord comme contre-modèle, car il fut pendant un certain temps après 1945 mis au ban, puis au contraire, comme objet de nostalgie. II. La marginalisation de l’osiedle dans la pratique et le lexique urbanistiques L’ouvrage de Barbara Brukalska qui en 1948 exposait les motivations et les attendus

d’un urbanisme social autour de la notion cardinale d’osiedle fut retiré de la vente dès sa parution. En effet, 1948-49 marque un tournant politique et idéologique majeur en Europe de l’est, celui de l’alignement sur le stalinisme, avec comme conséquence dans le domaine de la

création en général, et de l’architecture en particulier, l’imposition du réalisme socialiste (Kopp 1985; Włodarczyk 1991; Aman 1992 [1987]). Comme cela avait été fait dans les années 1930 en Union Soviétique, les expressions

de l’ « avant-garde » sont rejetées et l’architecture moderne est accusée de propager une idéologie réactionnaire de «désurbanisation » (Kopp 1985). Ainsi, alors qu’on avait restauré et poursuivi les constructions d’osiedle dans les années 1945 à 1948, le revirement est ensuite

brutal. De 1949 à 1956, les canons du réalisme socialiste inspirent des réalisations monumentales, de style néo-classique, s’appuyant sur un souci de symétrie et de grandeur ; l’usage des matériaux traditionnels, les valeurs de densité, de verticalité, sont réhabilités dans les formes urbaines. La construction et la gestion des logements urbains est recentralisée, étatisée, au détriment de la nébuleuse coopératiste, jugée trop élitiste : les programmes

ambitieux de cette nouvelle période sont destinés à rendre le centre-ville à la classe ouvrière. La construction du Palais de la Culture à Varsovie est la manifestation la plus célèbre et la

plus spectaculaire du réalisme socialiste ; il faut y ajouter des quartiers d’habitation (Marszałkowska Dzielnica Mieszkaniowa, Praga II à Varsovie), voire des villes nouvelles

(Nowe Tychy dans la conurbation silésienne, Nowa Huta aux portes de Cracovie, au début des années 1950). La condamnation de l’urbanisme fonctionnaliste suit de peu, sous les slogans de «cosmopolitisme bourgeois», ou de «formalisme sans âme» comme le dénonçait A cela rien d’étonnant : l’espace correspondant au territoire polonais actuel fut urbanisé assez largement grâce au mouvement d’Ostsiedlung, de colonisation vers l’est. Celui-ci poussa vers l’est des colons allemands qui, à l’invitation de la Couronne polonaise, et de seigneurs laïques ou religieux fondèrent de nombreuses villes selon des modèles juridiques et architecturaux germaniques en Silésie, en Poméranie, essentiellement aux XII° et XIII°s. Les mots polonais de handel (en allemand Handel, commerce), rynek (Ring, l’anneau, le boulevard circulaire) meldunek (Meldung enregistrement), gmina (Gemeinde, commune) témoignent de cette imprégnation germanique.

Pozostałości burŜuazyjnego kosmpolityzmu, bezduszny formalizm (Bierut, 1951 : 329). le président de la République ayant opéré ce virage, Bolesław Bierut (1892-1956). Tout en

occupant cette fonction politique, il signa en effet un album intitulé le Plan de six ans de reconstruction de Varsovie (Bierut 1951), qui présente grâce à des planches de dessins et de

cartes commentées les traits de la capitale polonaise idéale, reconstruite selon les principes du réalisme socialiste. Dans cet ouvrage fondamental, dont le programme fut partiellement

réalisé et compose une partie majeure du centre-ville de Varsovie, Bierut entretient l’ambiguïté sur le vocabulaire des formes résidentielles : d’un côté, le mot osiedle est très

souvent employé, notamment dans les légendes des figures et des photographies. Mais dans la plupart des cas, les formes ainsi désignées ne correspondent nullement à celles de l’osiedle social des années 1930. Ainsi l’osiedle Koło, commencé avant la guerre, est présenté dans sa

silhouette de 1955, c’est-à-dire sous la forme d’immeubles délimitant clairement les îlots, annonçant un retour à une composition urbaine plus classique et monumentale, dans laquelle la rue structure de nouveau la ville. A cela s’ajoute l’idée de construction en masse, pour la classe ouvrière, ce que ne prévoyaient ni la kolonia ni l’osiedle, conçus commes des unités de peuplement de taille réduite. Ainsi, le concept d’osiedle, théorisé par Barbara Brukalska en 1948, semble être trop élitiste et « formaliste » aux yeux de cette nouvelle doctrine. Dès lors, l’îlot (blok) est souvent convoqué dans la littérature du réalisme socialiste pour remplacer le mot osiedle. Dans la langue urbanistique polonaise, le terme de blok désigne après la guerre comme à l’époque de

Tołwiński un îlot, c’est-à-dire « un ensemble compact de maisons (ou d’immeubles) entre quatre rues » (1960)14. Cette substitution est explicitée et entérinée par la Grande

Encyclopédie Universelle de 1963 (c’est-à-dire la première rédigée sous le régime de la République Populaire) : « En 1950-55 le terme de cité résidentielle [osiedle] a été remplacé

par la notion de « îlot [blok] résidentiel » (1963)15. Cette préférence sémantique recouvre la réalité de l’évolution urbaine. Parallèlement, la réforme administrative menée en 1954 instaura un niveau territorial appelé lui aussi osiedle, correspondant à une unité intermédiaire entre la ville et le village ; c’est une concentration de peuplement liée à la présence d’activités (la pêche, le tourisme, selon les exemples de l’Encyclopédie de 1963) ne conduisant pas

nécessairement à la constitution d’une véritable ville16. Le glissement du terme osiedle de l’urbanisme vers un usage administratif n’est pas anodin, et peut être interprété comme un signe de marginalisation de l’urbanisme moderne dans la période la plus « dure » de la République Populaire de Pologne. .Le réalisme socialiste à Varsovie : la Place de la Constitution (arch. : Józef Sigalin, 1950-53). Cliché Coudroy 2009. Cependant, on observe avec le recul que si le réalisme socialiste a duré assez longtemps pour marquer de manière spectaculaire les paysages urbains de Cracovie (Nowa

Huta), de Nowe Tychy, et surtout de Varsovie, il n’est pas parvenu à imprégner avec la même force la langue, qui a conservé pendant cette période le terme d’osiedle à côté de celui de blok. Avec la déstalinisation entamée en 1956, le glas du réalisme socialiste est sonné, et les urbanistes qui concevaient des osiedle sur le modèle coopératif fonctionnaliste reprennent certains chantiers, jusque vers la fin des années 1950. Zespół [...] domów zwarty między czteroma ulicami (Słownik Języka Polskiego, 1960, article blok). 15 W 1950-55 koncepcję osiedla mieszkaniowego zastąpiono pojęciem „bloku mieszkaniowego” (Wielka

Encyklopedia Powszechna, 1963, article osiedle).

16 « Osiedle : unité de la division territoriale du pays incluse dans le district. Il constitue une forme intermédiaire

de peuplement entre la ville et le village » (Osiedle : jednostka podziału terytorialnego kraju, wchodząca z skład

powiatu (…). Stanowią one pośrednią formą osadnictwa między miastem a wsią (Wielka Encyklopedia

Powszechna, PWN, 1963). L’Encyclopédie Universelle (1975, 1976), donne les exemples d’osiedle ouvriers, de

pêche, ou de villégiature (O. robotnicze, rybackie, uzdrowiskowe) Il en existait seulement 54, avant que cet

échelon ne disparaisse de la structure territoriale en 1972.

III. Les conséquences de la construction de masse sur la terminologie : appauvrissement de la langue savante et invention vernaculaire La généralisation d’une construction de masse tendue vers des objectifs quantitatifs, mais indifférente à la qualité du bâti, au nom ce qu’on appela la « politique de l’économie » marque, à partir des années 1960 une « seconde mort » de l’osiedle, non plus comme notion, mais comme forme urbaine. En effet, la décennie 1960 et plus encore la suivante voient se généraliser des ensembles de plus en plus gigantesques et de plus en plus indigents qualitativement. Le préfabriqué se généralise, et avec lui l’uniformisation paysagère ; la taille des unités résidentielles augmente considérablement (de 5000 logements en moyenne selon le

« modèle type » d’origine, on passe à 20 000 et plus), les équipements, même minimes, font défaut ; ces lacunes vident l’osiedle de toute identification possible avec l’unité de voisinage. Toute une littérature – critique - en rend compte à partir de la fin des années 1970, notamment en sociologie urbaine, en utilisant comme références à la fois les auteurs des années 1930, « inventeurs » de la notion, et quelques cités jugées exemplaires à l’aune de ce modèle (Wallis

1978; Siemiński 1979 ; Kaltenberg-Kwiatkowska, Kryczka et al. 1983). Le sociologue Bohdan Jałowiecki, dans un article sur les « pathologies urbaines » de la fin des années 1970

expliquait la raison d’être de ce qu’on nomma en Pologne la « sociologie de l’osiedle »c’est-à-dire les études empiriques mesurant les effets sociaux de la massification de l’habitat.

Il se livrait au passage à une analyse critique du vocabulaire :

« On parle en l’occurence d’osiedle résidentiel (osiedle mieszkaniowe) alors qu’en réalité on est face à des ensembles urbanistiques (zespoły urbanistyczne) de plusieurs milliers de logements qui n’ont rien à voir avec la conception d’osiedle résidentiel, dont la forme spatiale et architecturale,

ainsi que le contenu social avaient été précisément définis par les milieux de gauche des urbanistes polonais dans l’entre-deux-guerres » (Jałowiecki 1984) Cet extrait résume le désenchantement qu’a procuré progressivement le décalage entre les valeurs humanistes de la notion d’osiedle, et une production résidentielle de plus en plus bureaucratique et normative à partir de la fin des années 1960 (Coudroy de Lille L. 2004). Est-ce pour en rendre compte ? Toujours est-il que dans les années 1980, quelques auteurs – notamment le francophone Bohdan Jałowiecki - proposent le terme de wielki zespół mieszkaniowy, traduction littérale de l’expression française « grand ensemble d’habitation »

(Jałowiecki & Kaltenberg-Kwiatkowska 1988; Misiak 1988). Le sociologue Władysław Misiak le définit comme

« une aire urbaine conçue de manière complexe sur un espace délimité, dans laquelle les fonctions résidentielles l’emportent sur les autres, et où la construction en blocs est le plus souvent réalisée grâce à des technologies industrielles

». Cet emprunt au français a connu son heure de gloire dans les années 1980 avec quelques variantes (qui consistent à qualifier de « grands » ou non ces ensembles

d’habitations) dans la langue spécialisée, mais ne s’est pas enraciné. Ainsi, wielki zespół mieszkaniowy devient zespół mieszkaniowy, que nous traduisons dans les titres des

références citées par « ensemble d’habitations ».

De manière paradoxale, le creusement de l’écart entre la notion d’osiedle et la réalité morphologique et fonctionnelle des réalisations résidentielles est allé de pair avec la

généralisation du mot lui-même, en dehors de la langue savante. Il a investi la langue technique et administrative des coopératives de logement, qui étaient tout à la fois les

promoteurs, les maîtres d’œuvre et les gestionnaires de ces grands ensembles. Revenues en grâce dans les années soixante, elles ont vite été propulsées comme acteur de premier plan dans la question du logement urbain en Pologne (Coudroy de Lille L. 2004). Dans la mesure où elles sont en contact permanent avec la population, de la phase d’attente d’un logement à son occupation effective, les choix sémantiques des coopératives ont immanquablement

investi la langue courante. D’une part, la toponymie des quartiers d’habitat collectif à partir des années 1960 utilise presque systématiquement le mot d’osiedle, suivi d’un qualificatif ou le plus souvent d’un toponyme antérieur (ex : Osiedle « des jeunes », Osiedle Ostrobramska,

Osiedle Stegny, etc…). D’autre part, ces ensembles coopératifs étaient administrés sur le

terrain par le conseil d’osiedle (rada osiedla), le comité d’osiedle (komitet osiedlowy),etc…La répétition de cette terminologie dans les textes réglementaires diffusés aux habitants, sur les panneaux d’affichage dans les halls d’immeubles, a contribué à diffuser l’usage du mot dans

la langue courante où il a fini par désigner le quartier d’habitation de manière générale,l’espace du quotidien. Ainsi, la trajectoire selon laquelle le mot osiedle est passé du

vocabulaire des urbanistes vers le registre courant, a emprunté le vecteur de la langue administrative, celle des coopératives. Mais le langage commun ne s’est pas contenté d’intérioriser ce terme diffusé à l’origine par des urbanistes : il a aussi inventé des mots imagés pour décrire l’habitat dans lequel vivait plus de la moitié des citadins. Difficiles par nature à dater, probablement apparus dans les années 1970-80, ces termes - qu’on rencontre à l’oral dans les conversations, dans la presse, avec ou sans guillemets - sont parfois bâtis avec le même suffixe en isko qui en polonais est assez rare, mais apparaît dans plusieurs mots relevant de l’écologie. Ce suffixe

évoque l’étendue, le lieu où se rencontre une matière ou bien où se concentrent des êtres vivants en quantité (ce qui transparaît dans le mot même de concentration, skupisko) : on peut citer środowisko (environnement), torfowisko (tourbière), trzęsawisko (marécage), mrowisko (fourmilière), tokowisko (aire d’accouplement des oiseaux). On peut supposer que c’est selon cette analogie qu’ont été forgés les termes de mrowiskowiec ou mrogowisko (barbarismes issus du mot « fourmilière »), ainsi que blokowisko qui serait alors traduisible mot à mot par « étendue de blocs », le mot blok ayant aussi le sens géométrique de volume compact, comme en français. Ce néologisme, qui décrit bien la spatialité du grand ensemble, est l’un des mots inventés par la langue populaire, qui a créé aussi, selon des variantes locales : deska (la

planche, pour une barre très longue), superjednostka (super-unité), megasypialna (mégachambre à coucher), etc...Seul blokowisko et son corollaire blok se sont imposés, et ont

franchi les limites de la langue familière pour investir la langue savante et entrer dans les dictionnaires Ces deux termes apparaissent en 1995 dans deux dictionnaires différents. Blok n’est pas un néologisme, mais son sens a dévié. Son premier sens est, dans la langue courante, « une grande masse de pierre régulière »23 sens qui avait sans doute inspiré les fondateurs du mouvement d’art moderne Le mot blokowisko désigne également en géologie un type de roche détritique, un conglomérat non consolidé ; mais on peut douter que la langue populaire se soit inspirée d’un terme réservé à un domaine aussi étroit. Cette signification est absente des dictionnaires courants. On peut noter que parallèlement, le mot blokowisko a été largement approprié par ce qu’on appelle parfois la« culture urbaine » : un groupe de hip-hop, des forums de discussion sur le web l’ont adopté comme nom de ralliement. DuŜa, foremna bryła kamienia selon le Dictionnaire de la Langue Polonaise de l’Académie des Sciences,sjp.pwn.plk, consulté le 29 sept 2010.

Blok dans l’entre-deux-guerres. On a vu plus haut que pour les urbanistes, dès l’entre-deux-guerres, il désignait aussi un îlot. A cela s’ajoutent des significations supplémentaires à partir des années 1960, liées à l’évolution des techniques de construction : il prend le sens d’élément préfabriqué. Enfin quelques décennies plus tard, le terme désigne les immeubles ainsi construits, comme dans le Dictionnaire de la langue polonaise (1995) : « un grand bâtiment

d’habitation, de plusieurs étages, faits de segments qui se répètent ». On rencontre ces deux significations dans la littérature sociologique et urbanistique des les années 1980 :

« construction en blok » « blok résidentiels »27 (Grzybowski 1984; KaltenbergKwiatkowska 1985; Siemiński & Zalewska 1989). Le dictionnaire de 1995 possède une entrée pour blokowisko : « cité composée de grands blok d’habitation : blokowisko gris, écrasant. Quartier de blokowisko29

». La Grande Encyclopédie de 2001 introduit le mot blok en lui restituant son registre vernaculaire d’origine. « Blok : familier : grand bâtiment de plusieurs étages fait de plusieurs cages d’escaliers » (2001). A peu près à la même époque, le Dictionnaire du polonais contemporain renforce la dimension dépréciative de la notion : «[se dit] avec découragement à propos d’une cité d’habitation à l’architecture faiblement différenciée, faite de blok d’habitations identiques : monotonie du blokowisko ; blokowisko inhumains30 » (2000). Cette connotation négative, on le voit repose sur la misère technique et paysagère de ces quartiers et non sur une

quelconque stigmatisation à caractère « social ». En effet, en Pologne comme dans les autres pays socialistes, l’habitat collectif de masse abritait la majorité de la population urbaine, de manière assez indifférenciée : il ne s’agit d’un habitat ni aisé, ni « social »31 (Dufaux & Fourcaut 2004 : 90-95).

Fig. 3 : Un paysage de blokowisko : Retkinia, ŁódŜ (cliché Coudroy 2007) L’encyclopédie en ligne Wikipédia, très développée en langue polonaise32, résume

parfaitement ce balancement entre langues spécialisée et populaire. En effet, l’entrée blokowisko (registre familier) redirige l’internaute vers l’article intitulé « grand ensemble

d’habitations » (registre savant) : « Bloc de mur : grand élément de construction préfabriqué destiné à une élévation verticale, utilisé comme matériau de construction » (Blok ścienny : DuŜy prefabrykowany element budowlany przeznaczony doustawiania pionowego stosowany jako materiał konstrukcyjny, (Wielka Encyklopedia Powszechna, PWN, 1963 (article Blok scienny). DuŜy, wielkopiętrowy budynek mieszkalny o powtarzalnych segmentach (Słownik języka polskiego PWN, 1995

(article Blok). Zabudowa blokowa Bloki mieszkaniowe

Il est difficile de traduire blok dans cette définition. Au moment où elle est rédigée, on peut opter pour« bloc », mais c’est incongru en français ; ou bien par « immeuble », mais défini come précédemment, doncsous-entendu « de facture préfabriquée, comprenant un nombre élevé d’étages ». Or un tel mot n’existe pas en français. D’autre part, il existe un autre mot plus neutre pour immeuble en polonais qui n’est pas utilisé dans cette définition du dictionnaire. Osiedle składające się z wielkich bloków mieszkalnych : szare, przytłające blokowisko. Dzielnica blokowisk.

Słownik języka polskiego PWN, 1995 (article Blokowisko). Cette définition est toujours présente depuis les

années 2000 dans les éditions en ligne de ce dictionnaire : usjp.pwn.pl). Blokowisko : z zniechęcenia o osiedlu mieszkaniowym słabo zróŜnicowanym architektonicznie, składającymsię z podobnych do siebie bloków mieszkalnych. Monotonia blokowiska. Nieludzkie blokowiska. Derrière l’universalité morphologique du grand ensemble d’habitation en Europe de l’est se cachent en outre

des statuts de propriété eux aussi contrastés. A côté du cas polonais où dominent les coopératives comme on l’a

vu, on trouve des cas où les logements de ces grands immeubles sont majoritairement étatiques (ex : Hongrie,

URSS), ou au contraire privés (ex : Bulgarie, Roumanie).

32 Le polonais est la quatrième langue productrice d’articles de l’encyclopédie en ligne, au coude-à-coude avec

l’italien (730 600 articles en septembre 2010), après l’anglais (plus de 3 millions), l’allemand (1 100 000), le

français (1 million) selon les sources de Wikipedia de septembre 2010. « Grand ensemble d’habitation [wielki zespół mieszkaniowy], (abr. wzm, grand ensemble

d’habitations, du français grand ensemble, familièrement blokowisko) – forme urbaine dans

laquelle, sur un espace restreint, se trouve une concentration de blok d’habitation sans autres bâtiments résidentiels, et dont le nombre d’habitants va de quelques milliers à quelques dizaines de milliers » Osiedle est un terme utilisé en Pologne pour désigner une subdivision désignée d'une ville ou d'un village, ou d'un dzielnica, avec son propre conseil et exécutif. Comme le dzielnica et le sołectwo, un osiedle est une unité auxiliaire d'une gmina www.twitter.com/Memoire2cite En République tchèque, l’antique ville de Most est détruite pour des raisons économiques pour être reconstruite à 2km grâce au panneau de béton. Au travers d’archives et de témoignages des habitants, son histoire dailymotion.com/video/x413amo visible ici des la 23e minute , c est de la folie...Panelák est un terme familier en tchèque et en slovaque pour un immeuble construit en béton préfabriqué précontraint, comme ceux qui existent dans l’ex-Tchécoslovaquie et ailleurs dans le monde. La presse utilise depuis les années 1990 couramment blokowisko dans les articles

consacrés aux quartiers d’habitat collectif construits pendant le socialisme.

Dans la même période, le mot a été approprié par les scientifiques dans plusieurs

publications, dont les titres au départ explicitent le mot, puis s’en passent. Ainsi dans les

années 1990 on peut lire Pourquoi nous devons nous préparer à la rénovation des cités

résidentielles appelées blokowisko (Siemiński & Zalewska 1989 ; collectif 1994), ou

L’humanisation des ensembles d’habitations – les blokowisko. Puis en 2000, l’ouvrage

d’Iwona Borowik est titré tout simplement Les blokowisko : un habitat urbain dans le regard

sociologique (Borowik 2003). Cet auteur introduit ce terme en le définissant dans

l’introduction comme le produit de la « construction en masse d’habitat collectif, s’exprimant

sous la forme moderne des grands ensembles d’habitation appelés familièrement

blokowisko34 » (p. 5). Le terme est désormais banalisé dans la langue des sociologues, et plus

largement des sciences sociales, même s’il n’a pas remplacé osiedle. La nuance entre les deux

semble faire de blokowisko un terme franchement associé à la construction de masse des

années 1960-70 : « On évite [aujourd’hui] le compartimentage rigide typique des

appartements des blokowisko de la période socialiste35 » (Michałowski 2004).

Le terme osiedle s’utilise encore largement dans la langue spécialisée, mais recouvre à

la fois le modèle historique des années 1930 et ses avatars déformés plus tardifs :

« On peut réduire l’image du milieu d’habitation de la grande majorité des villes polonaises au

modèle de l’osiedle qui, depuis son apparition dans les années 1930, n’a pas beaucoup changé »36

(Chmielewski & Mirecka 2001).

Le manuel d’urbanisme de Jan Maciej Chmielewski (2000), dans son glossaire, ignore blok,

kolonia, blokowisko et wielki zespół mieszkaniowy, pour ne conserver que le mot osiedle

assorti du qualificatif « résidentiel ». Il y est défini comme

« une unité résidentielle structurelle comprenant un regroupement de bâtiments d’habitation ainsi

que des services connexes et des espaces verts, créant une totalité du point de vue territorial et de la

composition spatiale Wielki zespół mieszkaniowy (w skrócie wzm, wielki zespół mieszkaniowy halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00582437/document

LES GRANDS ENSEMBLES @ Bien qu’ils échappent à une définition unique, les grands ensembles sont ty-piquement des ensembles de logement collectif, souvent en nombre impor-tant (plusieurs centaines à plusieurs milliers de logements), construits entre le milieu des années 1950 et le milieu des années 1970, marqués par un urba-nisme de barres et de tours inspiré des préceptes de l’architecture moderne.

Ces grands ensembles, dont plusieurs centaines ont été construits en France, ont permis un large accès au confort moderne (eau courante chaude et froide, chauffage central, équipements sanitaires, ascenseur…) pour les ouvriers des banlieues ouvrières, les habitants des habitats insalubres, les rapatriés d’Algérie et la main-d’oeuvre des grandes industries.

Ils se retrouvent fréquemment en crise sociale profonde à partir des années 1980, et sont, en France, l’une des raisons de la mise en place de ce qu’on appelle la politique de la Ville. Définition

Il n’y a pas de consensus pour définir un grand ensemble.

On peut toutefois en distinguer deux :

• Selon le service de l’Inventaire du ministère de la Culture français, un grand ensemble est un «aménagement urbain comportant plusieurs bâtiments isolés pouvant être sous la forme de barres et de tours, construit sur un plan masse constituant une unité de conception. Il peut être à l’usage d’activité et d’habitation et, dans ce cas, comporter plusieurs centaines ou milliers de logements. Son foncier ne fait pas nécessairement l’objet d’un remembrement, il n’est pas divisé par lots ce qui le différencie du lotissement concerté».

• Selon le «géopolitologue» Yves Lacoste, un grand ensemble est une «masse de logements organisée en un ensemble. Cette organisation n’est pas seulement la conséquence d’un plan masse; elle repose sur la présence d’équipement collectifs (écoles, commerces, centre social, etc.) […]. Le grand ensemble apparaît donc comme une unité d’habitat relativement autonome formée de bâtiments collectifs, édifiée en un assez bref laps de temps, en fonction d’un plan global qui comprend plus de 1000 logements».

Le géographe Hervé Vieillard-Baron apporte des précisions : c’est, selon lui, un aménagement en rupture avec le tissu urbain existant, sous la forme de barres et de tours, conçu de manière globale et introduisant des équipements règlementaires, comportant un financement de l’État et/ou des établissements publics. Toujours selon lui, un grand ensemble comporte un minimum de 500 logements (limite fixée pour les Zone à urbaniser en priorité (ZUP) en 1959). Enfin, un grand ensemble n’est pas nécessairement situé en périphérie d’une ag-glomération.

Comme on le voit ci-dessus, la détermination d’un seuil de logements peut être débattue. Les formes du grand ensemble sont assez récurrentes, inspirées (ou légitimées) par des préceptes de l’architecture moderne et en particulier des CIAM : ils se veulent une application de la Charte d’Athènes4. Pour autant, on ne peut pas dire qu’il s’agisse d’une application directe des principes de Le Corbusier. Ils sont aussi le fruit d’une industriali-sation progressive du secteur du bâtiment et, notamment en France, des procédés de préfabrication en béton.

Histoire

La Cité de la Muette à Drancy, construite par Eugène Beaudouin, Marcel Lods et Jean Prouvé entre 1931 et 1934 pour l’Office public HBM de la Seine, est traditionnellement considérée comme le premier grand en-semble en France. Elle est même à l’origine du terme de «grand ensemble» puisque c’est ainsi que la désigne pour la première fois Marcel Rotival dans un article de l’époque6. Cette cité, initialement conçue comme une cité-jardin, se transforme en cours d’étude en un projet totalement inédit en France, avec ses 5 tours de 15 étages et son habitat totalement collectif. Cependant, cette initiative reste sans lendemain du moins dans l’immédiat.

Après la Seconde Guerre mondiale, le temps est à la reconstruction et la priorité n’est pas donnée à l’habitat. Le premier plan quinquennal de Jean Monnet (1947-1952) a avant tout pour objectif la reconstruction des infrastructures de transport et le recouvrement des moyens de production. Par ailleurs, le secteur du bâtiment en France est alors incapable de construire des logements en grande quantité et rapidement : ce sont encore de petites entreprises artisanales aux méthodes de constructions traditionnelles.

Les besoins sont pourtant considérables : sur 14,5 millions de logements, la moitié n’a pas l’eau courante, les 3/4 n’ont pas de WC, 90 % pas de salle de bain. On dénombre 350 000 taudis, 3 millions de logements surpeu-plés et un déficit constaté de 3 millions d’habitations. Le blocage des loyers depuis 19147, très partiellement atténué par la Loi de 1948, ne favorise pas les investissements privés.

L’État tente de changer la situation en impulsant à l’industrialisation des entreprises du bâtiment : en 1950, Eugène Claudius-Petit, ministre de la reconstruction, lance le concours de la Cité Rotterdam à Strasbourg. Ce programme doit comporter 800 logements, mais le concours, ouvert à un architecte associé à une entreprise de BTP, prend en compte des critères de coût et de rapidité d’exécution. Le projet est gagné par Eugène Beau-douin qui réalise un des premiers grands ensembles d’après guerre en 1953. En 1953 toujours, Pierre Courant, Ministre de la Reconstruction et du Logement, fait voter une loi qui met en place une série d’interventions (appelée «Plan Courant») facilitant la construction de logements tant du point de vue foncier que du point de vue du financement (primes à la construction, prêts à taux réduit, etc.) : la priorité est donnée clairement par le ministère aux logements collectifs et à la solution des grands ensembles.

La même année, la création de la contribution obligatoire des entreprises à l’effort de construction (1 % de la masse des salaires pour les entreprises de plus de 10 salariés) introduit des ressources supplémentaires pour la réalisation de logements sociaux : c’est le fameux «1 % patronal». Ces fonds sont réunis par l’Office Central Interprofessionnel du Logement (OCIL), à l’origine de la construction d’un certain nombre de grands ensembles.

Mais le véritable choc psychologique intervient en 1954 : le terrible hiver et l’action de l’Abbé Pierre engage le gouvernement à lancer une politique de logement volontariste. Un programme de «Logements économiques de première nécessité» (LEPN) est lancé en juillet 1955 : il s’agit de petites cités d’urgence sous la forme de pavillons en bandes. En réalité, ces réalisations précaires s’avèrent catastrophiques et se transforment en tau-dis insalubres dès l’année suivante. La priorité est donnée alors résolument à l’habitat collectif de grande taille et à la préfabrication en béton, comme seule solution au manque de logements en France.

Une multitude de procédures administratives

Grands ensembles du quartier Villejean à Rennes par l’architecte Louis Arretche.

Il n’existe pas une procédure type de construction d’un grand ensemble pendant cette période. En effet, de très nombreuses procédures techniques ou financières sont utilisées. Elles servent souvent d’ailleurs à désigner les bâtiments ou quartiers construits à l’époque : Secteur industrialisé, LOPOFA (LOgements POpulaires FAmiliaux), Logecos (LOGements ÉCOnomiques et familiaux), LEN (Logements économiques normalisés), l’opération Million, l’opération «Économie de main d’oeuvre». L’unique objectif de toutes ces procédures est de construire vite et en très grande quantité. Le cadre de la Zone à urbaniser en priorité intervient en 1959, avec des constructions qui ne commencent réellement qu’en 1961-1962.

Les contextes de constructions

Le quartier de La Rouvière (9ème arrondissement) à Marseille construit par Xavier Arsène-Henry.

On peut distinguer 3 contextes de construction de ces grands ensembles à la fin des années 1950 et début des années 1960 :

• de nouveaux quartiers périphériques de villes anciennes ayant pour objectif de reloger des populations ins-tallées dans des logements insalubres en centre-ville ou pour accueillir des populations venues des campagnes environnantes (cas les plus fréquents).

• des villes nouvelles liées à l’implantation d’industries nouvelles ou à la politique d’aménagement du ter-ritoire : c’est le cas de Mourenx (avec le Gaz de Lacq), Bagnols-sur-Cèze ou Pierrelatte (liées à l’industrie nucléaire). On voit aussi des cas hybrides avec la première situation, avec des implantations proches de villes satellites de Paris, dans le but de contrebalancer l’influence de cette dernière : c’est le cas de la politique des «3M» dans le département de Seine-et-Marne avec la construction de grands ensembles liés à des zones in-dustrielles à Meaux, Melun, Montereau-Fault-Yonne.

• des opérations de rénovation de quartiers anciens : le quartier de la Porte de Bâle à Mulhouse, l’îlot Bièvre dans le 13e arrondissement de Paris, le centre-ville ancien de Chelles.

Il est à noter qu’un grand ensemble n’est pas forcément un ensemble de logements sociaux : il peut s’agir aussi de logements de standing, comme le quartier de la Rouvière à Marseille.

Les modes de constructions

Le Haut du Lièvre (3000 logements, construits à partir de 1954), deux des plus longues barres de France, construite par Bernard Zehrfuss sur une crête surplombant Nancy.

Tout est mis en oeuvre pour qu’un maximum d’économies soient réalisées sur le chantier :

• la préfabrication : de nombreux procédés de préfabrications sont mis en oeuvre sur les chantiers permettant un gain de temps et d’argent. Expérimentés au cours des chantiers de la Reconstruction après la Seconde Guerre mondiale, ces procédés permettent la construction en série de panneaux de bétons, d’escaliers, d’huisseries mais aussi d’éléments de salles de bains à l’intérieur même du logements. Ces procédés ont pour nom : Camus (expérimenté au Havre et exporté jusqu’en URSS), Estiot (au Haut-du-Lièvre à Nancy) ou Tracoba (à la Pierre Collinet à Meaux). Les formes simples (barres, tours) sont privilégiées le long du chemin de grue (grue posée sur des rails) avec des usines à béton installées à proximité du chantier, toujours dans une recherche de gain de temps.

• une économie de main d’oeuvre : la préfabrication permet de faire appel à une main d’oeuvre peu qualifiée, souvent d’origine immigrée. De grands groupes de BTP bénéficient de contrats pour des chantiers de construc-tion gigantesques, favorisés par l’État.

• les maîtres d’ouvrages sont eux aussi très concentrés et favorise les grandes opérations. La Caisse des dépôts et consignations est ainsi l’un des financeurs incontournables de ce mouvement de construction avec notam-ment sa filiale, la SCIC (Société Civile immobilière de la Caisse des dépôts et consignations), créée en 1954. Elle fait appel à des architectes majeurs des années 1950 et 1960, tels que Jean Dubuisson, Marcel Lods, Jacques Henri Labourdette, Bernard Zehrfuss, Raymond Lopez, Charles-Gustave Stoskopf et elle est à l’ori-gine de nombreux grands ensembles situés en région parisienne, tels que Sarcelles (le plus grand programme en France avec 10 000 logements), Créteil, Massy-Antony.

Les désignations de ces grands ensembles sont à cette époque très diverses : unité de voisinage, unité d’habitation, ville nouvelle (sans aucun rapport avec les villes nouvelles de Paul Delouvrier), villes satellites, ou encore cités nouvelles, etc.Pendant 20 ans, on estime à 300 000 le nombre de logements construits ainsi par an, alors qu’au début des années 1950, on ne produisait que 10 000 logements chaque année. 6 millions de logements sont ainsi construits au total. 90 % de ces constructions sont aidées par l’État.

En 1965, le programme des villes nouvelles est lancé, se voulant en rupture avec l’urbanisme des grands ensembles. En 1969, les zones à urbaniser en priorité sont abandonnées au profit des zones d’aménagement concerté, créées deux ans auparavant. Enfin, le 21 mars 1973, une circulaire ministérielle signée par Olivier Guichard, ministre de l’Équipement, du Logement et des Transports, «visant à prévenir la réalisation des formes d’urbanisation dites « grands ensembles » et à lutter contre la ségrégation sociale par l’habitat», interdit toute construction d’ensembles de logements de plus de 500 unités. La construction des grands ensembles est définitivement abandonnée. La loi Barre de 1977 fait passer la priorité de l’aide gouvernementale de la construction collective à l’aide aux ménages : c’est le retour du pavillonnaire et du logement.

Les guerres jouent un rôle majeur dans l'histoire architecturale d'un pays. Alors que les commémorations orchestrées par la mission Centenaire 1914-1918 battent leur plein, il paraît intéressant de revenir sur ce que la Grande Guerre a représenté pour les architectes, au-delà des destructions et du traumatisme. Ce premier épisode de « mobilisation totale » - suivant les termes utilisés par Ernst Jünger en 1930 -, a notamment entraîné une industrialisation accéléré des processus de production, qui a marqué les esprits. Certains architectes comme Félix Dumail et Marcel Lods se sont alors engagés dans la définition d'un cadre urbanistique nouveau pour le logement social : au sein de l'Office public d'habitations à bon marché du département de la Seine, ils ont largement contribué à l'invention du « grand ensemble ».

La reconstruction de l'après Première Guerre mondiale a souvent été présentée comme une occasion manquée. Cette antienne a même servi de repoussoir après la Seconde. C'est pourtant un bilan à tempérer, puisqu'au sortir de l'une et l'autre, on est parvenu à reconstruire un nombre de logements comparable en valeur relative, dans à peu près le même laps de temps. Plus généralement, les vicissitudes des chantiers de l'entre-deux-guerres tiennent au contexte économique et politique, au problème du moratoire des loyers, aux effets de la crise de 1929, etc., plutôt qu'à une défaillance des savoir-faire des entreprises et des architectes. Dans cette période ouverte cohabitent, au contraire, des procédés constructifs aussi nombreux qu'efficaces. L'élaboration des programmes modernes - logement social, équipements sportifs, sociaux et éducatifs, grande distribution, etc. - est l'objet d'un éventail de recherches d'une grande pluralité. On aura rarement inventé autant de types architecturaux. Ainsi, pour paraphraser ce que Jean-Louis Cohen écrit de la Seconde Guerre (1), on peut suggérer que la Première ne représente pas seulement quatre années de « page blanche », ni même une répétition de la suivante, mais bien, elle aussi, un temps de condensation « technologique, typologique et esthétique ». Si la Seconde Guerre coïncide avec la « victoire » et la « suprématie » de la modernité architecturale, la Premièren'est pas en reste, qui pose les conditions de diffusion du fordisme, de la préfabrication des bâtiments et dessine les contours urbanistiques de la construction de masse.

Certes, le XIXe siècle, avec le Paris d'Haussmann et les expositions universelles, avait largement plus que défricher les champs de la rapidité, de l'étendue et de la quantité, mais, spécifiquement, l'entre-deux-guerres est marqué par le perfectionnement de la répétition (2). Un des effets de la Grande Guerre réside dans l'accélération de la mise en place d'un cadre de production pour le logement collectif et dans la définition progressive du « grand ensemble ». Ce concept, apparu en juin 1935 sous la plume de Maurice Rotival dans L'Architecture d'aujourd'hui, ressortit à la tentative « d'un urbanisme contemporain : un urbanisme des habitations » (3). Son héraut est l'Office public d'habitations à bon marché du département de la Seine (OPHBMS) d'Henri Sellier, futur ministre de la Santé publique du Front populaire. Imaginé en 1913, organisé pendant la guerre, l'OPHBMS sera, avant 1939, le maître d'ouvrage de plus de 17 000 logements répartis en une vingtaine d'opérations banlieusardes.

Dans une perspective de généalogie du logement de masse français, il y a grand intérêt à suivre les parcours des architectes de l'OPHBMS pendant la Grande Guerre. Parmi la vingtaine de protagonistes concernés, seuls deux étaient trop âgés pour participer au conflit : Raphaël Loiseau (1856-1925), architecte-conseil, et Alexandre Maistrasse (1860-1951), qui s'applique dès avant l'armistice au projet de la « cité-jardins » de Suresnes, dont Sellier sera maire de 1919 à 1940. Il y livrera près de 2 500 logements. Bien que plus jeune, Maurice Payret-Dortail (1874-1929) n'est pas mobilisé et participe à la mise en place de l'Office durant la guerre, avant de travailler jusqu'à son décès prématuré à une autre grande cité-jardins, celle du Plessis-Robinson. Nés entre 1868 et 1900, les autres architectes correspondent exactement aux classes d'âge appelées au front.

Les figures de Marcel Lods et de Felix Dumail

Deux d'entre eux (4) ont laissé des archives significatives sur ces années : Félix Dumail (1883-1955), un des plus fidèles compagnons de Sellier, et Marcel Lods (1891-1978), brillant cadet entré dans un second temps à l'OPHBMS avec son associé Eugène Beaudouin (1898-1983). Dumail est diplômé de l'Atelier Bernier en 1908 et lorsqu'il est mobilisé, il figure déjà parmi les pionniers du logement social. Lods, quant à lui, est admis dans le même atelier en 1911, mais, conscrit l'année suivante, il ne quitte l'uniforme qu'une fois la guerre terminée. Il obtient son diplôme en 1923, tout en collaborant dès 1921 sur d'importantes opérations HBM avec Albert Beaudouin, architecte de la Société des logements économiques pour familles nombreuses depuis 1907. Celui-ci lui cédera son agence en 1929, ainsi qu'à son neveu Eugène.

Vers des logements sociaux en grande série

Il faut rappeler qu'à l'approche de la guerre, ce que l'on nomme le logement ouvrier se situe à un tournant : fin 1912, la loi Bonnevay a affirmé son caractère public. Elle autorise alors les collectivités locales à constituer des offices d'habitations à bon marché, domaine jusque-là réservé des sociétés anonymes et des fondations philanthropiques. Peu avant, la Ville de Paris a obtenu la possibilité de produire elle-même des logements sociaux. Si les résultats du concours qu'elle lance en 1912 sont suspendus, du fait de ses terrains petits et irrégulier ayant inspiré des propositions peu généralisables, quelques architectes se sont d'ores et déjà essayés à décliner des plans en immeubles libres et cours ouvertes. C'est le cas de Payret-Dortail, lauréat sur le site de l'avenue Émile-Zola, et du jeune groupement Dumail, Jean Hébrard et Antonin Trévelas. Au concours de 1913, ce trio peut développer ses principes à l'échelle plus favorable de vastes terrains. Il se retrouve lauréat de 600 logements rue Marcadet, avec un projet désigné dix ans plus tard comme un des plus avancés des « standards d'avant-guerre » (5). Ce deuxième concours, qui porte l'ambition d'entamer un processus de construction en grande série sur la base de plans-modèles, suscite l'engouement, puisque près de 700 châssis ont été adressés et que, comme l'affirme L'Architecture : « On sent qu'il y a maintenant une génération d'architectes s'intéressant à la question des habitations à bon marché, et qui l'ont comprise. » (6) Sellier ne s'y trompe pas, qui forme, entre 1916 et 1921, la première équipe d'architectes-directeurs de l'OPHBMS en puisant parmi les lauréats des concours parisiens : Albenque et Gonnot ; Arfvidson, Bassompierre et de Rutté ; Hébrard et Dumail, Maistrasse, Payret-Dortail, Pelletier, Teisseire.

L'entrée en guerre, dans un premier temps, coupe net l'élan de cette génération, avant de la décimer. Ainsi, Trévelas aura son nom gravé sur le monument aux morts de la cour du mûrier, au cœur de l'École des beaux-arts. Mobilisé dans l'infanterie, Dumail décrit dans ses courriers et dans son journal, le manque d'organisation, la faim, la fatigue, les douleurs corporelles, l'ampleur des destructions et les atrocités : blessures par obus, barricades élevées avec des couches de cadavres, etc. Si l'épisode napoléonien avait déjà provoqué des tueries de masse, celles-ci se singularisent. Leur mécanisation et l'annihilation du territoire représenteront une source inextinguible de réflexions pour les architectes, faisant écho à une sensibilité récente : les théories premières de Prosper Mérimée ou Viollet-le-Duc - suite au « vandalisme » de la révolution et aux effets de l'industrialisation - venaient justement d'accoucher le 31 décembre 1913 de l'actuelle loi sur les monuments historiques. Après guerre, les architectes se passionneront du sort des monuments endommagés - la cathédrale de Reims notamment - et du statut des ruines, quasi sacralisées par un Auguste Perret. Simultanément les avant-gardes mettront en avant l'idée de la table rase. Le spectacle des manœuvres de nuit sous le feu des projecteurs procure ainsi à Dumail un sentiment ambigu de fascination-répulsion, évoquant la sidération exprimée par un Apollinaire.

Dumail manifeste des capacités d'observation hors du commun, qui lui vaudront la légion d'honneur. Sous les bombardements, il exécute des plans et des panoramas des positions ennemies, permettant de mieux diriger les tirs. Nommé sous-lieutenant en octobre 1915, il entame des démarches pour être affecté à l'aviation. À l'appui de sa demande, il mentionne sa passion pour les sports mécaniques, sa pratique assidue de la moto et souligne son succès en 1912 au concours Chenavard consacré à une école d'aviation militaire. C'est pourtant un projet dans lequel l'aéroport représentait surtout un emblème. À l'instar, du reste, de l'aéroport de la cité-jardins du Grand Paris imaginée par l'OHBMS en 1919 en marge des projets du Plessis-Robinson et de la Butte-Rouge (Châtenay-Malabry), ou encore, à partir de 1922, de celui qu'associe Le Corbusier à une autoroute sur la rive droite de Paris, dans son fameux Plan Voisin soutenu par le fabricant automobile et aéronautique éponyme. Bien que Dumail juge plus aisé de piloter un avion qu'une auto et malgré le soutien de ses officiers, ses démarches n'aboutissent pas. Pas plus que ses tentatives d'entrer au Génie puis au service technique de Peugeot ou encore, en 1917, ses propositions d'adaptation d'une mitrailleuse Hotchkiss auprès du sous-secrétariat d'État des inventions. Comme beaucoup d'appelés, Dumail attendra sa démobilisation quasiment jusqu'au traité de Versailles, en 1919. Durant ces années incertaines, alors que ne se concrétisent ni le chantier de la rue Marcadet ni sa nomination définitive par l'OPHBMS - il y est inscrit avec Hébrard sur la liste d'architectes depuis 1917 -, il voyage dans les régions dévastées. Dumail et Hébrard sont agréés pour la reconstruction des Ardennes en 1921, au moment où les études de la rue Marcadet reprennent et celles de la cité-jardins de Gennevilliers deviennent opérationnelles.

Cette concentration de commandes explique que leur activité de reconstruction se limite au seul village d'Attigny (Ardennes), d'autant que leurs aspirations vont bientôt dépasser l'horizon hexagonal. En effet, lorsque Dumail retrouve Hébrard, celui-ci enseigne l'architecture dans le cadre de l'American Expeditionary Forces University, prolongeant son expérience à l'université Cornell-Ithaca entre 1906 et 1911. Leurs deux frères, eux aussi architectes, sont à l'étranger : GabrielDumail, fait prisonnier en 1915, est parti pour la Chine ; quant à ErnestHébrard, Grand Prix de Rome 1904, il a aussi été fait prisonnier avant de se voir confier, en 1918, la reconstruction de Salonique, puis de devenir architecte en chef d'Indochine. Pionnier de l'urbanisme - néologisme de 1910 -, il est membre fondateur de la Société française des architectes urbanistes en 1911, et l'une des premières figures de l'architecture internationale, voire « mondialisée ». Il avait entraîné, peu avant la guerre, son frère et les Dumail dans l'aventure de l'International World Centre : un essai de capitale pour les États-Unis du monde, précurseur de la Société des Nations, dans lequel La Construction moderne voyait en janvier 1914 « une école mondiale de la paix »... arrivée trop tard ! De cette tentation de l'ailleurs, Dumail tire quelques réalisations en Indochine entre 1924 et 1928. Jean Hébrard, lui, s'expatrie en 1925 pour devenir un des théoriciens du City Planning dans les universités de Pennsylvanie puis du Michigan.

Des chantiers d'expérience

Dumail consacrera dès lors l'essentiel de sa carrière à l'OPHBMS, en tant qu'architecte-directeur des cités-jardins de Gennevilliers, du Pré-Saint-Gervais, de Dugny, de l'achèvement de Suresnes, et d'un ensemble HBM pour militaires à Saint-Mandé, immédiatement reconnus pour la qualité de leurs logements et de leur greffe urbaine. Comme pour la cité de la rue Marcadet, il y conçoit « des bâtiments isolés, absolument entourés d'air et de lumière » (7). Ces « chantiers d'expériences », suivant une expression des années 1920 qui deviendra emblématique à la Libération, sont souvent mis en œuvre par des entreprises ayant fourbi leurs premières armes avec les troupes américaines pour des constructions de baraquements préfabriqués. Ils permettront à Dumail de figurer parmi les rares architectes français à avoir édifié plus de 2 000 logements avant la Seconde Guerre, dans lesquels il étrennera les chemins de grue et les principes de coffrage des Trente Glorieuses.On ne peut que faire le lien entre ses aspirations pendant la guerre, sa culture technique, son goût pour la mécanique, et ceux d'autres acteurs de la modernité architecturale. Quelques années avant lui, en 1904, son associé Hébrard brille lui aussi au concours Chenavard, avec pour sujet un Palais de l'automobile. En 1908, le Salon de l'automobile accueille à Paris ses premiers exposants aéronautiques et c'est justement un architecte de la même génération, AndréGranet (1881-1974), futur gendre d'Eiffel, qui contribue l'année suivante à lancer au Grand Palais la première exposition internationale de la locomotion aérienne, ancêtre du salon du Bourget. Plus précisément, le passage de l'observation militaire à l'aviation renvoie à WalterGropius (1883-1969). Comme Dumail ou encore André Lurçat, mais dans le camp d'en face, le fondateur du Bauhaus dessine d'abord ses repérages de ligne de front à pied, avant d'être affecté à l'aviation et d'y connaître une révélation, déterminante pour sa carrière (😎. Cette passion de la photographie aérienne sera partagée par son alter ego français dans l'expérimentation de la préfabrication, Marcel Lods, en pleine résonance avec une attention voulue « scientifique » au territoire et à sa documentation - une des constantes des équipes de l'OPHBMS. Si Lods s'engage comme aviateur en 1939, il est vingt-cinq ans plus tôt affecté comme instructeur d'artillerie. Et il ne lui échappe pas qu'avec presque 900 millions d'obus tirés, son arme représente l'instrument par excellence de l'industrialisation de la guerre. Puis, il suit l'arrivée des troupes américaines et de leurs engins et se passionne pour le développement spectaculaire des industries automobile et aéronautique aux États-Unis. Pays où était née, dès 1908, la fameuse Ford T, premier véhicule de série. Du début des années 1920 jusqu'à la fin de sa carrière, aux côtés de grands ingénieurs, Lods tente d'exporter ce modèle à celui du bâtiment et de ses composants. Ce seront notamment les chantiers de la Cité du Champ des Oiseaux, à Bagneux (1927-1933), et de La Muette, à Drancy (1931-1934). Puis, après guerre, les Grandes Terres de Marly-le-Roi (1952-1960) et surtout la Grand'Mare de Rouen (1960-1977). C'est aussi une myriade de petites réalisations prototypiques, à commencer par l'aéroclub de Buc abordé au moment où Lods obtient son brevet de pilote, en 1932.

Ses chantiers qui se veulent de pur montage, rêvés en gants blanc, ne sont pas dénués d'utopie. Ils participent au sentiment qui sourd au début du XXe siècle, selon lequel l'homme s'apprête à faire quasi corps avec la machine. Charlie Chaplin a génialement montré dans Les Temps modernes en 1936 la part tragique de cette nouvelle condition. Elle apparaît comme un des effets les plus paradoxaux de la guerre, dans laquelle toute une génération a été confrontée aux corps mutilés en masse, soumis aux éléments et à la putréfaction en plein champ, mais aussi possiblement transcendés par la mécanisation et la science. Alfred Jarry en avait eu l'intuition dès 1902 avec Le Surmâle : roman moderne dans lequel il dressait le récit de la course - en forme d'hécatombe - d'un train à vapeur et de cyclistes dopés à la « perpetual-motion food ». Le Corbusier est l'architecte qui, au contact des Planistes et du théoricien eugéniste Alexis Carrel, captera le mieux ce nouveau rapport au corps, avec ses recherches sur l'immeuble-villa puis sur l'« unité d'habitation de grandeur conforme », instruments d'une « fabrique de l'homme nouveau » liant sport, biologie et habitation. Intégré à la fondation Carrel entre 1943 à 1945 (9), Dumail n'échappera pas à ce programme « d'hygiène sociale et de prophylaxie » énoncé par Sellier lui-même au moins dès 1921.Ces proches de Sellier que sont Dumail et Lods ont vu leurs réalisations de l'OPHBMS données en 1935 comme modèles du programme du grand ensemble du futur, dans cette période accidentée où s'élaborait une culture politique de gestion de la croissance des périphéries urbaines. À la Libération, ils affirment ensemble le logement comme la grande « affaire » du XXe siècle dans un livret du comité Henri-Sellier (10). En 1951, ils s'engagent presque simultanément dans les chantiers respectifs des deux SHAPE Villages : Dumail à Saint-Germain-en-Laye, aux côtés de Jean Dubuisson, et Lods à Fontainebleau. Les logements qu'ils bâtissent, chacun à sa façon mais tous deux en un temps record, pour les sous-officiers et officiers du quartier général des forces alliées en Europe, constituent un des moments fondateurs de la politique de construction à venir : les grands ensembles français ne sont décidément pas tombés du ciel avec la croissance et le baby-boom. * Architecte, Hubert Lempereur a consacré de nombreux articles à la généalogie et à l'histoire matérielle et culturelle des premiers grands ensembles français et à la construction de masse. À paraître, Félix Dumail, architecte de la « cité-jardins », aux éditions du patrimoine et La Samaritaine, Paris, aux éditions Picard, ouvrage codirigé avec Jean-François Cabestan. 1. J.-L. Cohen, Architecture en uniforme. Projeter et construire pour la Seconde Guerre mondiale, Hazan/Centre Canadien d'Architecture, 2011. 2. Voir P. Chemetov et B. Marrey, Architectures. Paris 1848-1914, Dunod, 1980. 3. M. Rotival, « Urbanisme des H.B.M. - Formes de la cité », L'Architecture d'aujourd'hui, n° 6, juin 1935. 4. Leurs archives sont conservées au centre d'archives d'architecture du XXe siècle. La famille Dumail conserve de son côté ses correspondances de guerre. 5. J. Posener, « Historique des H.B.M. - Naissance du problème, premières solutions », L'Architecture d'aujourd'hui, n° 6, juin 1935. 6. G. Ernest, « Concours pour la construction par la Ville de Paris d'immeubles collectifs à bon marché », L'Architecture, 28 fév. 1914. 7. A. Gaillardin, « Les derniers concours de la Ville de Paris pour la construction d'habitations à bon marché », La Construction moderne, 28 juin 1914. 8. J. Gubler, « L'aérostation, prélude à l'aviation ? Notes sur la découverte architecturale du paysage aérien », Matières, 1998. 9. H. Lempereur, « La fondation Carrel (1941-1945), Le Corbusier et Félix Dumail : portraits d'architectes en bio-sociologues », fabricA, 2009. 10. F. Dumail, P. Grünebaum-Ballin, R. Hummel, M. Lods, P. Pelletier et P. Sirvin, L'affaire du logement social, préface de Léon Blum, Éditions de la Liberté, 1947. TEXTE DU MONITEUR @ les #Constructions #Modernes #BANLIEUE @ l' #Urbanisme & l es #Chantiers d'#ApresGuerre ici #Mémoire2ville le #Logement Collectif* dans tous ses états..#Histoire & #Mémoire de l'#Habitat / Département territoire terroir region ville souvenirs du temps passé d une époque revolue #Archives ANRU / #Rétro #Banlieue / Renouvellement #Urbain / #Urbanisme / #HLM #postwar #postcard #cartepostale twitter.com/Memoire2cite Villes et rénovation urbaine..Tout savoir tout connaitre sur le sujet ici via le PDF de l'UNION SOCIALE POUR L HABITAT (l'USH)... des textes à savoir, à apprendre, des techniques de demolition jusqu a la securisation..& bien plus encore.. union-habitat.org/.../files/articles/documents/...

www.dailymotion.com/video/xk6xui Quatre murs et un toit 1953 - Le Corbusier, l'architecte du bonheur 1957 conceptions architecturales le modulor, l'architecture de la ville radieuse, Chandigarh, Marseille, Nantes www.dailymotion.com/video/xw8prl Un documentaire consacré aux conceptions architecturales et urbanistiques de Le Corbusier.Exposées par l'architecte lui-même et étayées par des plans, dessins et images de ses réalisations en France et à l'étranger, ces théories témoignent d'une réflexio

AM-RB 003, aka the 'Son of Valkyrie', an all-new performance-bred predator that follows Aston Martin Valkyrie and Aston Martin Valkyrie AMR Pro as the third hyper car in Aston Martin's mid-engine story.

 

89th Geneva International Motor Show

Internationaler Auto-Salon Genf

Suisse - Schweiz - Switzerland

March 2019

Prototyp des VW Typ 4, 4-Zylinder Boxermotor, 1679 ccm, 68 PS, 145 km/h, Baujahr 1966

Prototyp for the German Armed Forces ( BAAINBw) . The Vehicles was delivered in Februar 2020 . Please follow for more Informations and Pictures in the Group : www.facebook.com/groups/2412287785707852/

Coachwork by Leif Mellberg - Nyköping

 

When the Saab 900 Cabriolet took shape at Saab's design department, two prototypes were made. One of them had a targa-roof and was based on the 900 CombiCoupé, built by custom builder Leif Mellberg in Nyköping, the other one was developed by ASC - American Sunroof Company. Even though they turned out rather alike it was the American entry that won the day and went on show at Frankfurt in 1983.

 

Saab Car Museum

Åkerssjövägen 18

Trollhättan

Sverige - Sweden

July 2012

Prototyp Museum Hamburg 2017 - BMW Art Cars exhibition

www.twitter.com/Memoire2cite Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.. Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Jérôme (Mémoire2Ville) #chercheur #archiviste #maquettiste dans l #histoire des #logementssociaux #logement #HLM #logementsocial #Patrimoine @ Les films du MRU -Industrialiser la construction, par le biais de la préfabrication.Cette industrialisation a abouti, dans les années 1950, à un choix politique de l'Etat, la construction massive de G.E. pour résoudre la très forte crise du logement dont souffrait la France www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... … Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije Noisy-le-Sec le laboratoire de la reconstruction, 1948 L'album cinématographique de la reconstruction maison préfabriquée production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, 1948 L'album cinématographique içi www.dailymotion.com/video/xwytke archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ... museedelacartepostale.fr/blog/ -'être agent de gestion locative pour une office H.L.M. en 1958' , les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée- les films du MRU içi www.dailymotion.com/video/xgj74q présente les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive

le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,

www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije

Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.

Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije

Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,

Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkUwww.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo

Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -

Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.

www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije l'industrie dla Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije Cardem les 60 ans de l'entreprise de démolition française tres prisée des bailleurs pour les 80, 90's (1956 - 2019) toute l'Histoire de l'entreprise içi www.youtube.com/watch?v=Yyf1XGvTZYs - 69 LYON & la Cardem pour la démolition de la barre 230 Quartier la Duchère le 2 juillet 2015, youtu.be/BSwidwLw0NA pic.twitter.com/5XgR8LY7At -34 Béziers - C'était Capendeguy le 27 janv 2008 En quelques secondes, 450 kg d'explosifs ont soufflé la barre HLM de 492 lgts, de 480 m, qui laissera derrière elle 65.000 tonnes de gravas. www.youtube.com/watch?v=rydT54QYX50 … … Les usines Peugeot - Sochaux Montbéliard. 100 ans d'histoire en video www.youtube.com/watch?v=X4w3CxXVAyY … - 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE

Villeneuve-la-Garenne, La Caravelle est à mettre au crédit de Jean Dubuisson, l’un des architectes les plus en vue des années 1960, www.dailymotion.com/video/x1re3h5 via @Dailymotion - AMIENS les HLM C'était le 29 juillet 2010, à 11h02. En quelques secondes, cette tour d'habitation s'est effondrée, détruite par implosion. Construite en 1961, la tour avait été vidée de ses habitants quelques années auparavant. www.youtube.com/watch?v=ajz2xk5KBNo … … - Les habitants de Montreynaud parlent de leur quartier et de cette destruction entre nostalgie et soulagement içi en video www.dailymotion.com/video/xmiwfk - Les bâtiments de la région parisienne - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/CAF96034508/les-batiments-de-la-region-p... … via @Inafr_officiel - Daprinski - George Michael (Plaisir de France remix) www.youtube.com/watch?v=sJeH-nzlj3I

Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt

www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...

www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc 1956 en FRANCE - "Un jour on te demanda de servir de guide, à un architecte en voyage d etudes, ensemble vous parcourez la Françe visitant cité jardins, gratte ciel & pavillons d'HLM..." @ les archives filmées du MRU www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... … Villages de la Françe cité du Soleil

Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..

passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document Gwenaëlle Le Goullon (LAHRA), auteur du livre "la genèse des grands ensembles",& Danièle Voldman (CHS, Centre d'Histoire Sociale), expliquent le processus qui a conduit l'Etat, et le ministère de l'urbanisme &de la reconstruction à mener des chantiers exp www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... mémoire2cité & l'A.U.A. - Jacques Simon (1929 - 26 septembre 2015) est un architecte paysagiste formé à l'École des beaux-arts de Montréal et à l'École nationale supérieure du paysage de Versailles. Fasciné par la campagne qui témoigne d'une histoire de labeur, celle des agriculteurs "ses amis", "les génies de la terre", Jacques SIMON, paysagiste dplg, Premier Grand Prix du Paysage en 1990*, réalise avec eux des installations paysagères éphémères principalement dans des champs et visibles du ciel. Avec sa palette d'artiste, Jacques SIMON réinvente des paysages comme les agriculteurs eux-aussi à leur façon les créent et les entretiennent. Le CAUE du Rhône vous invite à venir découvrir ses travaux au travers d'un kaléidoscope de photographies empreintes de spontanéité, de fraîcheur et d'humour. Cette exposition nous interpelle sur le caractère essentiel d'une nature changeante, fragile, sur l'importance d'une activité agricole diversifiée et sur la nécessaire évolution du métier de paysan. Elle nous amène aussi à voir et à interpréter ce que l'on voit, elle éveille en nous le sens de la beauté du paysage en conjuguant les différentes échelles de perception et de lecture; à pied et à vol d'oiseau, à la fois l'échelle humaine, terrestre, géologique, forestière, hydrologique, biologique mais aussi esthétique et symbolique. Jacques Simon, paysagiste cosmopolite est l'un des principaux acteurs du renouveau de la pensée paysagère en France dans les années 60 et 70 conjuguant avec cohérence sa pratique de paysagiste, de voyageur, d'éditeur, d'enseignant avec son approche plus artistique du paysage, subtile, sensible et humaine de la nature avec la réalisation de "performances". Ses projets paysagers comme ses interventions paysagères éphémères sont marqués par la mobilité, la fragilité, une empathie avec le lieu, par la dualité même du voyage : découverte / évanouissement, création / disparition. Jacques Simon dessine, écrit sur le paysage, "une surface", un peu à la manière du land'art avec les techniques et les outils du jardinier, du cultivateur. Il ne s'agit plus de représenter la nature mais de l'utiliser en créant avec et dans le paysage. L'intention de Jacques Simon n'est pas d'apposer sa marque sur le paysage mais de travailler instinctivement avec lui afin que ses travaux-installations manifestent même brièvement un contact en harmonie avec le monde naturel. "On dit qu'il a bouleversé l'esprit du paysage, il a remis les choses essentielles à leur place. Il rit de l'importance qu'on veut bien lui donner, fils de l'air, il ne veut rien de plus que passer dans les cerveaux pour les ventiler, les rafraîchir et non pour les modeler; son "importance", il l'a ailleurs et autrement; il est historique parce que dans son temps, dans celui qui s'écoule et non dans celui qui passe". Extrait de "Jacques Simon, tous azimuts", Jeanne-Marie Sens et Hubert Tonka, Pandora Editions, 1991. Il a introduit une nouvelle conception de l'art du paysage proche du Land art, Jacques Simon est l'auteur d'une série d'ouvrages sur différents aspects du paysage et abordés d'un point de vue technique. Il a travaillé de 1964 à 1966 en collaboration avec Michel Corajoud. Il a conçu le Parc de la Deûle (qui lui a valu le Grand Prix national du Paysage en 2006, après l'avoir reçu une première fois en 19901).

Il est mort le 29 septembre 20151 et a été incinéré à Auxerre Le paysagiste Jacques Simon s'est éteint le 26 septembre dernier à l'âge de 86 ans. Diplômé de Versailles en 1959, il fut sans doute l'une des figures les plus emblématiques, les plus géniales et les plus originales du paysagisme contemporain. Premier grand prix du paysage et prix du Conseil de l'Europe pour le parc de la Deule, on lui doit des principes de compositions très forts, autour du nivellement, du traitement du végétal ou de la place laissée au vide. Ses intuitions comme ses travaux ont inspiré tous les paysagistes avec lesquels il a travaillé, à commencer par Michel Corajoud ou Gilles Vexlard. On lui doit un profond renouvellement dans la composition des grands ensembles, ses réalisations -comme le parc Saint-John Perse à Reims- restant des modèles pour tous les professionnels. Jacques Simon développa également une production d'œuvres plus éphémères, attentif aux mouvements et aux transformations. Pédagogue talentueux et généreux, il le fut autant par les documents techniques et la revue qu'il publia, que par ses interventions en atelier devant plusieurs générations d'étudiants de l'école. Les paysagistes perdent un de leurs plus féconds inspirateurs. L'ENSP s'associe au deuil de sa famille et de ses proches. Témoignages à la mémoire de Jacques Simon

Dans les années 1990 à l'école du Paysage de Versailles, lorsque nous entrions en première année, la première satisfaction était d'acquérir du nouveau matériel d'expression plastique. Encre, feutres, supports en grand format et sur papier calque...mais aussi découvrir des livres de notre professeur Jacques Simon : des carnets de dessins et de croquis, des photomontages découpés aux ciseaux.

En amphithéâtre lors de conférences et séances de projections de diapositives, Jacques Simon évoquait surtout sa capacité à piloter un hélicoptère. Je viens de retrouver un extrait d'un article à ce sujet..« (...) Car depuis une dizaine d'années, le Bourguignon a trouvé une solution à son imagination en bourgeonnement permanent. Jacques Simon crée ‘pour lui tout seul'. Ni commande ni concours. Mais des messages géants écrits dans les champs et seulement visibles d'avion ou d'hélicoptère. Un art éphémère et privé dont il s'amuse, les veilles de moissons, tout autour de sa ferme de Turny, dans l'Yonne.Et là, plus rien ne l'arrête. Les agriculteurs du coin ont pris l'habitude de le voir faucher des allées entières de luzerne. De l'apercevoir écraser d'interminables chemins de phacelia, un graminé californien qui existe en trois couleurs (blanc, bleu, rouge). De l'observer dans son hélicoptère photographiant le résultat. Ses messages sont des hommages ou des avertissements. L'un prévient : ‘Hé, si tu n'as plus de forêt t'es foutu.' Un autre : 'Sans les paysans, je m'emmerde. Signé : la Terre.' Même l'hiver, Jacques Simon s'adonne à cette calligraphie paysagère. (...) ».

Extrait paru dans La Croix l'événement du dimanche 11 et lundi 12 juin 1995, par Frédéric Potet, rubrique Culture.

son site simonpaysage.free.fr/

file:///C:/Users/user/Downloads/B_Blanchon_AUA.pdf Interview to Jacques Simon incleded on the dvd that accompanies book "Metropoles en Europe", from the exhibition "Lille - Metropoles en Europe". The French landscape architect Jacques Simon's love for nature first developed on his father's tree farm and then deepened when he traveled as a young man to Sweden and then Canada, where he attended art school in Montreal while working as a lumberjack. Between 1957 and 1959, Simon studied at the École Nationale de Horticulture. He has since become an important link in the renewal of French landscape architecture, combining the Anglo-Saxon and Scandinavian garden cultures he absorbed in his travels with classic Latin structures. He works as often as possible in situ, and does not shy away from driving the tractor himself.

www.youtube.com/watch?v=OyBnqrUlK9U turny.chez.com/A0archives/jSIMMON.htm Jacques Simon, Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». Même l'hiver, il s'adonne à cette calligraphie paysagère».La Croix dimanche 11 et lundi 12 juin 1995, simonpaysage.free.fr/ Jacques Simon écrit ses premiers articles dès la fin des années 1950 pour des revues comme Maison et Jardin et Urbanisme. En 1965, il signe l’un de ses premiers livres, L’Art de connaître les arbres. strabic.fr/Jacques-Simon-Gilles-Vexlard … jacques simon & Le parc des Coudrays - Élancourt-Maurepas, 1970 strabic.fr/Jacques-Simon-Gilles-Vexlard … simonpaysage.free.fr/ Jacques Simon - Espaces verts n° 27, avril-mai-juin 1971, p. 44-45 Fasciné par la campagne qui témoigne d'une histoire de labeur, celle des agriculteurs "ses amis", "les génies de la terre" paysagiste dplg, Premier Grand Prix du Paysage en 1990*, www.youtube.com/watch?v=OyBnqrUlK9U …ici es EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg ,

A partir des années 1950, le trafic de la banlieue parisienne suit l’urbanisation galopante et les dessertes ferroviaires doivent s’adapter et se moderniser.Quelques amateurs ont su immortaliser un monde ferroviaire qui était alors en voie de disparition. Dans ce film, nous retrouvons les dessertes 750 volts par troisième rail en rames « Standard » sur les lignes de Versailles-RD, sur la ligne d’Auteuil et entre Puteaux et Issy-Plaine mais aussi les derniers trains à vapeur à St Lazare, à La Bastille et sur le Nord et quelques ultimes voyages sur les lignes de Ceinture.

Prototyp Museum Hamburg 2017 - BMW Art Cars exhibition

Chassis : Ferrari 308 GT4

 

Since the 50s Pininfarina designed all series production Ferraris, but Bertone was back in favour with the complicated mid-engined 4-seater 308 GT4. Gandini penned a daring, modern interpretation for the 2-seater. Less harmonious than the 308 GTB, the Rainbow innovated with its rigid opening roof.

 

2.926 cc

V8

255 CV

 

The Marcello Gandini Creations

Presented by Automotoclub Storico Italiano

 

Chantilly Arts & Elegance Richard Mille

Château de Chantilly

Chantilly

France - Frankrijk

June 2019

 

Kolenwagens

Kolenwagens heb je in soorten en maten. Ik wil het simpel houden. Wat je ziet is een kolenwagen. Het is niet een zware 4- of zelfs 6-assige zelflosser. Daar kom ik nog op terug. Dit is een twee asser. Met zelf los bak. Ofwel wat hoger. Simpeler? de bak. De bakwagens. Lager . maar daar moet je wit “scheppen”.

 

Zijn kolenwagens per se kolenwagens. Nee , in zulke wagens wordt van alles vervoert. Er zijn allerlei variaties in de basisvorm. Die dan verder duiden. Cacao, graan, grind/ballast zijn voorbeelden. Op een modelbaan mag een kolenwagen niet ontbreken.

 

Kolenvervoer per spoor betekent nogal veel

Het spoorbedrijf was niet alleen grootverbruiker van kolen. Met de stoomlocomotieven was het hun brandstof. En er is heel wat verstookt. In de 19e was er in de huishoudens ook een omslag van hout kachels naar kolenkachels. Dit is niet Nederlands. In elk geval in Europa is die ontwikkeling zichtbaar. Maar er is wel variatie. In gebieden met eindeloze berkenbossen (Polen, Rusland) kan je zeggen dat de houtkachel stand heeft gehouden. Kijk je naar de treinen dan heeft Finland veel stoomloks op houtstook gehad. Het is genoeg een trend te duiden. Met de opkomst van spoorwegen werden zij grootverbruiker van kolen. Met de opkomst van spoorwegen konden kolen naar bijna elke uithoek vervoerd worden en werden zijn toeleverancier waarmee het gebruik van kolenkachels mogelijk werd. Ook voor industrialisatie essentieel. Industrialisatie is gestart vanuit de Zaanstreek met de molens, vanaf ca 1650. Echter niet overal is altijd windbeschikbaar. De wereldwijde trend kwam twee eeuwen later op basis van kolen voor machines, fabrieken.

 

Wat zichtbaar wordt is het ontstaan van kolenhandelaren, ofwel de zogenaamde kolenboer. In Nederland en bijvoorbeeld Duitsland hebben zij haar depot vaak bij het station. Daar is de aanvoer per spoor. Vanaf daar vind de verdeling haar huishoudens, winkeliers en kleinere fabriekjes. Denk bij dit dus naast mensen ook aan bakkers. Er zijn nogal veel wagonnetjes nodig om het kolen te vervoeren. Een kolenhandelaar heeft vaak genoeg aan enkele bakwagens. Zelf uitscheppen dus. Want een zelflosinstallatie te duur. Fabrieken hebben vaak “honger” met eigen aansluitingen en wel een zelflosinstallatie

 

Epoche II t/m IV

Epoche is iets uit modelspoor. Het duidt tijdperken aan uit het echt. een groep van jaartallen Ik gebruik graag de simpele duiding; naar West-Duits voorbeeld. Dat is een van de oudste en een die voor mij goed toepasbaar is. Ik geef de ruwe omkadering. Scherp zijn periodes niet te stellen, al is er wel de neiging en leidt dit tot veel mist. Tijdperk II kan je stellen vanaf de periode 1910-1919. Dus zo rond Wereldoorlog 1. Daar vind je eerste bedrijfseconomische principes zoals standaardiseren in trein-ontwerp en de opkomst van de eerste stalen rijtuigen. Ook in onze context van de eerste Hopper cars, de grote zelflossers die al een eeuw vrijwel ongewijzigd zijn. Tijdperk II eindigt in de jaren 40. Vanaf wereldoorlog 2 waar in de oorlog het nodige materieel is geconfiskeerd. Met voor de oorlog een enorme technologie boost. Nederland gaat al voor elektrische treinstellen. Italië zet in op hoge snelheidstreinen, opkomst van dieseltreinen ook. Tot enorme technologie sprongen. Kolen is dus niet meer vanzelfsprekend voor een trein. Tijdperk 3 ontstaat uiterlijk eind jaren 40 en rekt zich tot 1970. Het is de periode van wederopbouw in Europa, Duitsland. Het is een mix van doorrijden met erg oud materieel. stoomloks die soms al 60 jaar oud zijn, gemixt met treinen die 150 tot 250 km per uur aankunnen. De welvaart gaat pieken. Tijdperk IV loopt van 1965/1970 tot 1990/1995. In de welvaart ontstaat de massamobilisatie, de omslag van kolen af. Eerste sluitingen van mijnen. Het treinverkeer dat niet meer monopolie heeft op vervoer. Op het spoor uiteindelijk moderniseringsslagen. Zoals het afscheid van stoomloks, opkomst van voorstadsverkeer (S-bahn, Zoetermeerlijn) en de eerste generieke hogesnelheidslijnen die in gebruik komen. Europees startpunt? De direttisma in Italië, met eerste deeloplevering in 1977. Kolen? het raakt passe. Fabrieken gaan meer en meer op elektra. Huishoudens zetten voor verwarming in op Gas maar ook elektra, stadswarmte. De kolenhandelaar verliest terrein. In deze periode verdwijnen heel veel kolenhandelaren. Veel goederensporen op stations raken leeg. Kolenwagons los in een trein? het verdwijnt met het verdwijnen van de kolenhandelaren. Wat blijft is groot volume trainsport. bijvoorbeeld voor industrie, zoals staalindustrie

 

Fleischmann 830356

Een iconische zelflosser! In de heruitgave. De status is te danken aan een HO model uit midden jaren 60. Een van de laatste in blik geleverde wagens. Met een plastic mechaniek waarmee het wagentje daadwerkelijk lading kon lossen. De eerste uitvoering? Deze. De Alkag versie. De wagen is al jaren ongekend gewild onder verzamelaars. Klassie Fleischmann is bekend van het lang in assortiment houden van modellen. Deze is een jaar of 8 leverbaar geweest, in deze context zeer kort.

 

Eind jaren ‘80 vind een heruitgave plaats in spoor N. Nu is Alkag een privaat bedrijf. De strakke policy van Fleischmann op privaten is dat deze modellen maar 1x worden uitgegeven. Ze kunnen in het assortiment komen. Maar als ze verdwijnen komen ze nooit meer terug. Vaak is de levenscyclus kort, hooguit 5 jaar. Spreek dus niet van eenmalige modellen, gelimiteer enzo. Het is een beleid dat iets gewijzigd is. Fleischmann komt met private modellen nu niet terug. behalve als het om gespecialiseerde verhuurders gaat als EVA, VTG of meer modern GATX. Klassiek Fleischmann is EVA. Maar het Zwitserse Alkag valt er ook onder. Vanwege dit iconische wagentje.

 

Het wagentje verdween in de jaren ‘90 uit het assortiment. En in klassieke opvatting zou je zeggen die zien we nooit meer terug. Dat is niet gebeurd. Fleischmaan ziet Alkag dus als gespecialiseer verhuurder? Of vinden zij dit model te leuk, te speciaal , typisch Fleischmann?

 

Rond 2023 kondigt Fleischmann een nieuw ontwerp aan van deze twee assige zelflosser. Er komen diverse modellen. Enkele zelfs met functionele speelvorm, het lossen kan. Anderen met gesloten dak.. Er is nogal veel uitgerold. Van deze klassieke open 2 assige zelflosser waren de eerste varianten DB en Alkag. De laatste moest ik hebben. Als kind heb ik zo blikke met plastic elementen gehad. Geel op grijs. de strakke letters. gewoon blij mee.

Ook een leuke herinnering aan de jeugd. Toen in HO . op mijn vaders baan. Nu 2 stuks in spoor N

 

Modeltest

Het model rolt op lage rolweerstand. Met haar kolenlading ziet ze er stoer uit. De wagen doet ook goed met dito modellen van Roco (jaren 70) en minitrix. Koppelingen en dergelijke zitten ook goed. Model heeft genoeg massa om aangehaakt te blijven. Tegenwoordig vooral met rijtuigen een factor. Zware minitrix modellen en lichtere modellen ontkoppelen hierdoor vaak. Ofwel vraagt oplossing van verzwaren met gewichten tot lichtste rijtuigen achter in de trein. Bedenk ook dat internationale omlopen niet raar zijn in het kolenvervoer. Rij je interpretatie dan ligt hier je ruimte. Ga je voor realistische treinsamenstellingen, dan is dit ook te puzzelen. Alkag was geen keuterboer maar een belangrijke speler in Zwitserland

 

Qua detaillering, belettering, kleur en rijden een bovengemiddeld model.

 

Catalogusnummers

Anders dan in eerde modelspoor stukken bespaar ik deze. Het zijn er heel veel. Ik zou er in vast komen te zitten. Uiteindelijk is dit wagentje op moment van schrijven echt in de uitloop. Fleischmann zelf heeft het code rood. Ofwel uit assortiment. Enkele winkeliers hebben het model nog. Maar je zal moeten zoeken. Wie nu nog overstag wil is laat voor deze specifieke uitvoering. Ik beperk met tot de Alkag in spoor N.

 

Catalogusnummers

830356 (2023) versie van deze foto.

8511 N versie uit jaren 80 en 90. Met speelfunctie. model kan lossen , deze niet

5511 (1966) HO versie . zijn meer varianten van. De oorspronkelijke is dus nog deels blik

 

Trivia

1Fleischmann benoemt het prototype als een rijtuig TDS. Voor wie een TDS zoekt zonder lading, of met bijvoorbeeld grind/ballast als lading: die zijn er, in de nieuwe uitgaven van Fleischmann.

2 Op marktplaats te kust en tekeur vooral de oudere modellen van de jaren ’80

3 Verzamelaarswaarde is er niet. Het onderscheid is functie/speel modellen en “plain” modellen. Met speelfunctie moet je bedenken dat deze niet werkt. de oudere modellen wel.

4 laat je niet gek maken met verzamelaarswaarde. Dit is er enkel op HO modellen uit het eerste jaar. 30 jaar terug leverde de mijne omgerekend al 70 euro op. Dat zegt niets over nu; en is ook geen N spoor.

 

Der Kanonenjagdpanzer, auch Jagdpanzer, Kanone 90 mm oder Kanonenjagdpanzer 4–5, genannt, abgekürzt KanJPz, war der zweite Jagdpanzer der deutschen Bundeswehr, aber der einzige mit Rohrbewaffnung.

 

ach dem Krieg setzte die Bundeswehr auf eine „bewegliche Verteidigung“, die unter anderem den Einsatz von Panzerjägern vorsah. Diese sollten die Infanterie bei der Abwehr feindlicher Panzer unterstützen. Dazu beschaffte die Bundeswehr ab 1961 den Raketenjagdpanzer 1 und dann ab 1965 den Kanonenjagdpanzer, der bis 1968 die in den Panzerjägerkompanien und den Panzerjägerzügen der Panzergrenadierbataillone eingesetzten US-amerikanischen Modelle M41, M47 und M48 ablöste.

 

Die Entwicklung des Kanonenjagdpanzers begann 1960 und gründete sich auf den Erfahrungen der Wehrmacht im Zweiten Weltkrieg – der Kanonenjagdpanzer stellte eine Weiterentwicklung des Jagdpanzers IV dar. Der Auftrag zur Fertigung wurde den Rüstungsunternehmen Henschel und Ruhrstahl (später Rheinstahl-Hanomag) erteilt, die jeweils zwölf Prototypen fertigten, die sich nur in der Anzahl der Laufrollen unterschieden. Henschel favorisierte bei seinem Prototyp HK 3/1 sechs Laufrollen je Seite, wogegen Rheinstahl-Hanomag beim Prototyp RU 332 auf fünf Laufrollen setzte.

 

Nach umfangreichen Truppenversuchen durch das deutsche Heer war die Erprobung im Jahr 1963 abgeschlossen. Es wurde die Version von Rheinstahl-Hanomag ausgewählt, von der in den Jahren 1965 bis 1967 durch beide Konzerne 770 Jagdpanzer gefertigt wurden.

 

Quelle: Wikipedia

84th Geneva International Motor Show

Internationaler Auto-Salon Genf

Suisse - Schweiz - Switzerland

March 2014

Vendue pour 184 000 €

eune mathématicien prodige formé notamment chez Avions Voisin , Jacques Gérin acheva son prototype d'automobile d'une modernité radicale en 1922. Ce modèle à cinq places à moteur central, surbaissé et surprofilé faisait appel à des technologies aéronautiques innovatrices mises au point au cours de la Première Guerre mondiale. Gérin investit une bonne partie de la fortune familiale dans la construction de son prototype chez Paulin Ratier, fabricants d'avions pour Voisin et Bréguet.

Gérin parcourut quelque 9 000 km avec son Aéodyne sans habillage, mais elle était trop en avance par rapport aux goûts du public et aux pratiques admises pour être acceptée à l'époque. Mais, comme dans le cas des concepts cars actuels, un grand nombre de principes conceptuels furent assimilés par la production courante aux cours des décennies qui suivirent. Découverte par le vendeur il y a trois ans après quinze années de recherche, elle est demeurée intacte et telle qu'elle fut révélée par la presse en 1929 à l'exception des appareils électriques de provenance extérieure, des pédales de commande et du volant remplacé par un modèle d'époque.

 

www.bonhams.com/auctions/22528/lot/332/

Monte Carlo Automobile

Maquette

 

4.500 cc

V8

650 cv

 

La Collection de Voitures de S.A.S. le Prince de Monaco

5 , terrasses de Fontvieille

Monaco

July 2019

Vossloh DE18 Prototyp im Einsatz für Saar Rail GmbH, hier im Flüssigeisenverkehr zwischen der Dillinger Hütte und Völklingen.

 

DGS 91905 Dillingen Hochofen Hütte - Völklingen

Eurocitro 2009, Le Mans (France)

Dieser allererste Speedster Prototyp markiert den Beginn einer Frischluft-Legende. Auf Wunsch des US-amerikanischen Porsche-Importeurs, Max Hoffman, realisiert Porsche einen spartanisch ausgestatteten Porsche 356, der weniger als 3.000 US-Dollar kosten soll.

Kennzeichnend für den Speedster sind sein Notverdeck, seitliche Steckscheiben sowie eine aufgesetzte, niedrige Windschutzscheibe. Anfangs ist der Speedster nur in den USA erhältlich.

 

1.488 cc

4 Cylinder Boxer

55 PS

Vmax : 155 km/h

 

Porsche Museum

Zuffenhausen - Stuttgart

Germany

September 2016

Véhicule camouflé surpris sur l'autoroute A13 dans le sens Bois d'Arcy / Versailles.

 

Il s'agirait du futur SUV de taille moyenne qui remplacera en 2017 ce qui fut un véritable échec commercial : le "Koleos".

13 Bild Serie Erstfeld - Göschenen:

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Kantonslokomotive Prototyp Ae 6/6 11402 Kanton Uri in Erstfeld auf der Drehscheibe!

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SBB Ae 6/6 Lokomotive

 

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Betrieb

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- Baujahr : 1.9.5.2 P.rototypen => 1.9.5.5 – 1.9.6.6 S.erienlokomotiven

 

- Betriebsnummern : 1.1.4.0.1 – 1.1.5.2.0

 

- Betriebsnummern ( UIC ) : Ae 610 4.0.1 – Ae 610 5.2.0

 

- Stückzahl : 120

 

- Einsatzgebiet : G.üterverkehr

 

- W.artungswerk : B.ellinzona

 

- Ausrangierung : seit 2.0.0.2

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Technische Daten

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- Fahrzeugtyp : elektrische Lokomotive

 

- Hersteller : SLM W.interthur - BBC B.aden - MFO Z.ürich

 

- Achsfolge : Co'Co'

 

- Höchstgeschwindigkeit : 125 km/h - heute: 120 km/h

 

- Leistung : 4`300 kW ( 5`830 PS )

 

- Bergleistung : 650 - Tonnen - Zug auf 26 ‰ Steigung bei 75 km/h

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Masse und Gewicht

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- Länge über Puffer : 18'400 mm

 

- Breite : 2`970 mm

 

- Höhe : 4`500 mm

 

- Gewicht : 120 t / Prototypen: 124 t

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Sonstiges

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- Besondere Merkmale : 2 P.rototypen mit abweichenden Merkmalen

 

- Vorgänger : SBB Ae 4./.6

 

- Nachfolger : SBB R.e 6/6

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Ae 6/6 ist eine Baureihe von 120 Universallokomotiven der Schweizerischen Bundes-

bahnen. Sie werden aufgrund ihres früheren Einsatzgebietes den Gotthardlokomotiven

zugeordnet.

 

Die ersten 25 Lokomotiven werden häufig als K.antonslokomotiven bezeichnet, da sie

die Wappen der 25 Schweizer K.antone trugen. An den Lokkästen befinden sich C.hrom-

Z.ierlinien und an den F.rontseiten ein S.chnäuzchen.

 

Diese Verzierung, begleitet von den Wappen an den Seitenwänden, fand grossen Anklang

und machte diese leistungsstarken Maschinen europaweit berühmt.

 

Die weiteren 95 Lokomotiven der Serie erhielten keine C.hromverzierung, aber die Wappen

der K.antonshauptorte sowie wichtiger S.tädte und O.rtschaften.

 

Dort wo sich die Wappen befanden, war bei den P.rototyplokomomotiven zuerst die Fahr-

zeugnummer ( 1.1.4.0.1 - 1.1.4.0.2 ) abgebracht. Die Lokomotivtaufen wurden als festliche

Anlässe durchgeführt.

 

Ursprünglich waren die Maschinen t.annengrün lackiert. Heute haben etwa die Hälfte aller

Lokomotiven einen r.oten Anstrich. Mit dieser Umlackierung wurde - und das nicht nur bei

den Ae 6/6 - in den späten Achzigerjahren begonnen.

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Vorgeschichte

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In der N.achkriegszeit hatten die Schweizerischen Bundesbahnen ein zunehmendes Ver-

kehrsvolumen zu bewältigen und sahen sich daher veranlasst, einen neue, sechsachsige

Drehgestelllokomotive vor allem für die G.otthardbahn zu beschaffen.

 

Der Verkehr wurde bis dahin durch die SBB Ae 4./.6, die SBB Ae 4./.7 sowie die C.e 6./.8

K.rokodil - Lokomotive abgewickelt. Sie waren - aus heutiger Sicht - nur für sehr be-

scheidene Anhängelasten zugelassen. Dadurch waren am G.otthard V.orspanndienste

nötig, die zeitraubend, unpraktisch und unwirtschaftlich waren.

 

Das aus SLM und BBC bestehende Konsortium, zu dem sich später die Maschinenfabrik

O.erlikon gesellte, erhielt im Jahr 1949 den Zuschlag für den Bau von zwei P.rototypen.

 

Die technische Entwicklung erwies sich als schwierige Aufgabe, so dass die Lokomotive

1.1.4.0.1 erst am 4. S.eptember 1.9.5.2 das F.abrikgebäude der BBC in M.ünchenstein

in fahrtauglichem Zustand verlassen konnte.

 

Sie wurde auf eine P.robefahrt nach Z.ürich geschickt, aber nicht wie sonst üblich vom

B.undesamt für Verkehr für die Zulassung auf dem normalspurigen Schienennetz geprüft.

 

Sie wurde gewogen, und es stellte sich heraus, dass sie 124 t statt die vorgesehenen

120 t wog. Sie kehrte nach M.ünchenstein zurück und wurde vorerst technisch weiter-

entwickelt. Am 31. J.anuar 1.9.5.3 folgte auch die Ae 6/6 1.1.4.0.2.

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Anforderungen an die Ae 6/6

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Sechsachsige Drehgestellokomotive, die vor S.chnell- und G.üterzügen einsetzbar ist,

Stundenleistung bei 6 x 1000 PS bei 74 km/h; Dauerleistung bei 6 x 900 PS bei 78,5 km/h,

 

Gesamtgewicht von maximal 120 t, Toleranz von -/+ 2%,

 

Beförderung von 600 t schweren Zügen bei 75 km/h auf den S.teilrampen der G.otthard-

bahn, Beförderung von 750 t auf B.ergstrecken mit bis zu 21 ‰ Steigung und 1`450 t bei

10 ‰, als V.orspann- und Z.wischenlokomotive bei Geschwindigkeiten zwischen 35 und

75 km/h einsetzbar; muss mit der Beförderung dieser Lasten wiederholt in der Steigung

anfahren können, Zugkraft von 8 t bei 125 km/h und einer Fahrdrahtspannung von 15 kV,

elektrische Rekuperationsbremse, die das Eigengewicht der Lokomotive und eine

Anhängelast von 300 t in einem Gefälle von bis zu 20 ‰ dauernd abbremsen kann;

Erhöhung der Bremskraft um 20 % innert 5 Minuten, Einsetzbarkeit der elektrischen

Bremse auch bei der Höchstgeschwindigkeit, Erhöhung der Leistung um 10 % über die

Stundenleistung innert 15 Minuten.

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Einsatz der P.rototypen

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Nach der Auslieferung folgten verschiedene Versuchs- und E.xtrafahrten. Die Maschinen

erreichten die Anforderungen gemäss dem Pflichtenheft. Technische Probleme machten

sich im Regeldienst bemerkbar.

 

Bemängelt wurde immer wieder die schwache elektrische Bremse. Diese wurde wie im

Pflichtenheft verlangt «nur» für das Abbremsen des Eigengewichtes und einer Last von

maximal 300 t im Gefälle von bis zu 20 ‰ ausgelegt. Für die S.erienproduktion wurde

die elektrische Bremse weiterentwickelt.

 

Die beiden P.rototypen versahen vorerst R.egeldienste in einem Zweitagesprogramm auf

der G.otthardbahn zwischen L.uzern und C.hiasso. Sie wurden im D.epot E.rstfeld

stationiert.

 

Wiederholt waren einzelne Fahrmotoren defekt. Da keine Ersatzmotoren beschafft

worden waren, erhielten die betroffenen Lokomotiven vorübergehend einen Ballast,

damit das Dienstgewicht noch stimmte.

 

Sie mussten aber vom G.otthard abgezogen werden und wurden anstelle von Ae 3./.6 I

und Ae 4./.7-Lokomotiven in anderen R.egeldiensten eingesetzt. Sie wurden früher als

die Ae 6/6 - S.erienlokomotiven vom G.otthard abgezogen, nämlich in den späten

Sechziger Jahren, als die in E.rstfeld stationierten SBB R.e 4./.4 I.I.I schon im Einsatz

waren.

 

Sie waren daher nicht selten auch vor R.egionalzügen anzutreffen, die sonst mit Ae 3./.6 I

oder Ae 4./.7 bespannt waren. In den Siebziger Jahren wurden sie technisch weiter-

entwickelt, erhielten aber nie die Q.ualität der S.erienlokomotiven.

 

Im S.ommer 1.9.8.0 wurden sie vom D.epot E.rstfeld nach Z.ürich versetzt. Die dortige

Depotinspektion beabsichtigte im J.anuar 1.9.9.7, die beiden Prototypen für Depotmanöver

und als Druckluftspender im D.epot R.orschach einzusetzen und somit aus dem Verkehr

zu ziehen.

 

Aufgrund ihrer besonderen Bauweise, die sie nur innerlich von den S.erienlokomotiven

unterscheidet, waren sie viel wartungsaufwendiger und im Betrieb gewissermassen ein

Hindernis.

 

Infolge des Triebfahrzeugmangels kamen sie aber innert kurzer Zeit wieder in den Regel-

dienst. Infolge der Zuteilung aller Ae 6/6-Lokomotiven zu SBB C.argo fiel die D.epot-

zuteilung weg.

 

Diese P.rototypen hatten Drehgestelle mit starren Achsen, was im Kurvenlauf zu starkem

Schienen- und Spurkranz-Verschleiß führte. Trotz anfänglicher technischer Mängel war

man bei den SBB der Überzeugung, mit der Entwicklung der Ae 6/6 auf dem richtigen

Weg zu sein.

 

Nach Einbau seitenelastisch gelagerter Radsätze und Verkleinerung des Spurkranzes

der mittleren Drehgestell - Räder konnte der Serienbau 1.9.5.4 eingeleitet werden, dem

1.9.5.5 die ersten Auslieferungen folgten.

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Betriebseinsatz bis in die 1.9.6.0 er - Jahre

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Zusammenfassung

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Zu den besten Zeiten, in den 1.9.5.0 er und 1.9.6.0 er Jahren, waren die Ae 6/6 die G.ott-

hardlokomotive schlechthin sowohl im R.eise- wie auch im G.üterverkehr.

 

Sie waren auch am S.implon im Einsatz. Sie wurden im Turnus dort eingesetzt, damit

die R.evision durch die H.auptwerkstätte B.ellinzona gesichert war. In den späten Sech-

zigerjahren wurden die beiden P.rototypen vom G.otthard abgezogen; später folgten

auch viele S.erienlokomotiven.

 

Sie wurden ins F.lachland versetzt, da neuere, leistungsfähigere Lokomotiven auf dem

G.otthard eingesetzt wurden. Seit den 1.9.9.0 er Jahren werden die Ae 6/6 fast nur noch

im G.üterverkehr eingesetzt, da sie für R.eisezüge heute zu langsam sind.

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Loktaufen

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Auch die E.xtrafahrten anlässlich der Loktaufen gehören zum Betriebseinsatz der Ae 6/6.

Man übernahm einen Brauch aus E.ngland, indem man die Lokomotiven mit K.antons- und

G.emeindewappen schmückte.

 

Das waren festliche Anlässe, und jeder Kanton erhielt «seine» eigene Ae 6/6. Die Fahr-

zeuge 1.1.4.2.6 bis 1.1.5.2.0 erhielten G.emeindewappen von K.antonshauptorten und von

wichtigen V.erkehrszentren.

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1.9.7.0 er – 1.9.9.0 er - Jahre

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Zusammenfassung

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In den 1.9.7.0 er - Jahren wurden die Prototypen 1.1.4.0.1 und 1.1.4.0.2 technisch weiter-

entwickelt.

 

Sie wurden im Jahr 1.9.7.8 vor allem der Lokomotive 1.1.4.1.4 angeglichen, erhielten

aber nie die Qualität der S.erienlokomotiven. 1.9.7.1 wurden die Ae 6/6 durch die neue

SBB R.e 4./.4 III auf der G.otthardstrecke etwas entlastet. Echte Konkurrenz bekamen

sie jedoch ab 1.9.7.5 durch die SBB Re 6./.6, die als ihr Nachfolge-Typ vorgesehen war

und beinahe die doppelte Leistung hat.

 

Der ehemalige Star des G.otthards wurde damit in niedergeordnete Dienste verdrängt

und seither meist im M.ittelland und im J.ura und seit Mitte der 1.9.9.0 er Jahre fast

nur noch im G.üterverkehr eingesetzt.

 

Dies, da er für den schnellen Reiseverkehr mit der von 125 km/h auf 120 km/h herab-

gesetzten Höchstgeschwindigkeit zu langsam ist.

 

Eine Ausnahme bildeten die von der B.L.S gemieteten einstigen G.otthardlokomotiven,

die zur Fahrt über den L.ötschberg sogar noch vor I.nterC.ity - Züge gespannt wurden.

 

Im Jahr 1.9.9.7 wollte die D.epotinspektion von Z.ürich die beiden P.rototypen aus dem

Verkehr ziehen und als Druckluftspender und für Depotmanöver im D.epot von R.orschach

einsetzen. Infolge des T.riebfahrzeugmangels kamen sie aber zurück in den R.egeldienst.

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Baukastensystem

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Die Serienlokomotiven 1.1.4.0.3 - 1.1.5.2.0 wurden nach dem sogenannten Baukasten-

system erstellt. Obwohl sie teils in schwere Unfälle verwickelt waren, konnten sie innert

kurzer Zeit wieder instandgestellt werden.

 

Da die P.rototyplokomotiven 1.1.4.0.1 und 1.1.4.0.2 verschiedentlich anders konstruiert

sind, konnten sie von diesem Baukastensystem nur wenig profitieren.

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Unfälle

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In der Nacht vom 29. auf den 30. J.uli 1.9.8.8 kollidierte die Ae 6/6 1.1.4.1.3, die den

G.üterzug 53048 zog, in E.ffingen mit einer B.aumaschine. Sie musste in der Folge

einer Hauptrevision unterzogen werden und war am 28. F.ebruar 1.9.8.9 wieder in Be-

trieb.

 

Am 12. A.pril 1.9.8.9 kam es in W.interthur zu einer Flankenfahrt zwischen der SBB

Ae 6/6 1.1.4.0.1 und der SBB R.e 4./.4 II 1.1.2.8.7. Da für die Serienlokomotiven ein

ausreichendes Ersatzteillager angelegt wurde, konnten diese nach Unfällen innert

kurzer Zeit wieder instandgestellt werden. Da es sich diesmal um eine P.rototyp-

lokomotive handelte, erwies sich die Aufarbeitung als viel komplizierter.

 

Die Lokomotivabteilung der H.auptwerkstätte in B.ellinzona zeigte sich mit dem Ab-

bruch der Lokomotive einverstanden. Allerdings wehrten sich Eisenbahnfreunde für

den Erhalt dieser allerersten Ae 6/6-Lokomotive, so dass sie dennoch eine Haupt-

revision, eine R3, erhielt.

 

Es war die aufwendigste und teuerste Revision aller Zeiten. Im Jahr 1.9.9.1 wurde die

Ae 6/6 « T.icino » wieder in den R.egeldienst entlassen.

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K.antonslok J.ura

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Nach der Gründung des K.antons J.ura 1.9.7.9 sollte auch dieser Kanton seine eigene

" K.antonslok " bekommen. Da aber die letzte Ae 6/6 bereits 1.9.6.6 abgeliefert worden

war, stieg die S.tädtelok 1.1.4.8.3 P.orrentruy zur K.antonslok J.ura auf.

 

Sie erhielt zwar das K.antonswappen J.ura, aber nicht die C.hrom - Z.ierlinien und das

" S.chnäuzchen ". Das Wappen P.orrentruy erbte die SBB Re 4./.4 II 1.1.2.3.9.

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21. Jahrhundert

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1.9.9.9 wurden auf Grund der Restrukturierung bei den SBB alle 120 Lokomotiven in die

D.ivision G.üterverkehr ( SBB C.argo ) eingeteilt. Im G.üterverkehr ist die Ae 6/6 heute

weiterhin eine sehr zuverlässige Lokomotive.

 

Da die Ae 6/6 Drehgestelle mit je drei Achsen enthalten, haftet an ihnen der Makel von

« S.chienenmördern ». Der Unmut wurde besonders aufgrund von G.üterfahrten auf der

der C.hemins de fer du J.ura ( C.J ) gehörenden Strecke P.orrentruy – B.onfol laut.

 

Als grösster Nachteil der Ae 6/6 wird häufig die fehlende Vielfachsteuerung erwähnt.

Bisherige Pläne eines Umbaus wurden verworfen und aufgrund der ungewissen Rest-

lebensdauer auch nicht weiter verfolgt.

 

Für die jüngeren Lokomotiven wurde die Ausrüstung mit der F.ührerstandssignalisierung

( F.S.S ) erwogen, so dass diese auf F.S.S - Strecken fahren können, probehalber wurde

hierfür die 1.1.5.1.2 « H.orgen » umgerüstet.

 

Die noch betriebsfähigen S.erienloks sind heute vor N.ahgüterzügen anzutreffen, stehen

aber meist auf grossen R.angierbahnhöfen.

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W.appendiebstähle

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Unbekannte, bei denen es sich um Trophäenjäger handeln dürfte, verschafften sich im

Jahr 2.0.0.6 nachts Zugang zu den R.angierbahnhöfen und demontierten W.appen und

S.chweizerkreuze.

 

Um weitere Diebstähle zu verhindern, ordneten die SBB an, bei allen Ae 6/6-Lokomotiven

die W.appen zu entfernen und zu archivieren. Die Lokomotiven im neuen SBB C.argo-

D.esign erhielten neue Wappen jeweils beim F.ührerstand auf der linken Seite.

 

Voraussichtlich werden die Wappen nicht mehr montiert, sondern zusammen SBB

H.istoric übergeben. Im M.ärz 2.0.0.7 gab SBB C.argo bekannt, dass eine grössere An-

zahl von Ae 6/6 eine Neubemalung im sogenannten " Cargo - Look " erhalten und

noch mindestens bis zur Inbetriebnahme des G.otthard - B.asistunnels ( voraus-

sichtlich um 2.0.1.6 ) in Betrieb bleiben sollen

 

Die erste umlackierte Lokomotive ist - abgesehen von der Denkmallokomotive

Ae 610 4.9.2 - die Ae 610 4.8.6 " B.urgdorf ".

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Der Verbleib ausrangierter Lokomotiven

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Zusammenfassung

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2.0.0.2 wurde die erste Lokomotive dieser Serie, die 1.1.4.1.0 « B.asel - S.tadt » unfall-

bedingt ausrangiert und abgebrochen. Dies geschah, nachdem ihr bei einer F.lankenfahrt

in D.ietikon, die S.eitenwand aufgerissen wurde. Seither wurden mehrere Maschinen, da-

runter auch die P.rototypen 1.1.4.0.2 « U.ri » und 1.1.4.0.1 « T.icino » ausrangiert.

 

2.0.0.2 war die 1.1.4.0.1 « T.icino » kurz nach ihrem 50. Geburtstag zu Gast am Tag der

offenen Tür auf dem R.angierbahnhof M.uttenz. Nach einem K.abelbrand wurde sie am

11. S.eptember 2.0.0.3 ausrangiert.

 

Danach stand sie monatelang auf einem fahrdrahtlosen A.bstellgleis beim L.okomotivfried-

hof von B.iasca - anfänglich mit einigen andern Ae 6/6, die kurz darauf von der Ö.ffentlich-

keit unbemerkt abgebrochen wurden.

 

Dasselbe Schicksal ereilte die 1.1.4.3.3, die in B.ellinzona abgestellt war. In B.iasca

abgestellt war auch die 1.1.4.1.2, die im D.ezember 2.0.0.6 dem S.chrotthändler über-

geben wurde.

 

Das Schicksal ausrangierter Ae 6/6-Lokomotiven sorgt bei Eisenbahnfreunden regel-

mässig für Aufsehen.

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P.rototyplokomotive 1.1.4.0.1

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Zuletzt war nur noch die 1.1.4.0.1 « T.icino » in B.iasca abgestellt und mit R.adschuhen

gesichert. Sie gehört seit dem 12. J.uni 2.0.0.6 der SBB H.istoric, die sie seit dem

D.ezember 2.0.0.6 langfristig an den C.lub del S.an G.ottardo vermietet.

 

Eisenbahnfreunde machten geltend, dass an dieser und andern Ae 6/6-Lokomotiven

das S.chweizerkreuz und das K.antonswappen nicht mehr vorhanden waren. Gemäss

Angaben der SBB werden die demontierten Teile zusammen mit dem Fahrzeug dem

Käufer übergeben.

 

Im J.uli 2.0.0.7 wurde die « T.essiner Ae 6/6 » nach B.ellinzona überführt. Sie war dort

remisiert und man wollte mit der W.iederinstandstellung beginnen. Die Kosten erwiesen

sich aber als viel höher als budgetiert, und es erwies sich als schwierig, die richtigen

Ersatzteile zu erhalten.

 

Ausserdem machten sich Risse in den S.peichen bemerkbar. Seit dem 20. M.ai 2.0.1.0

befindet sich diese Lokomotive bei der S.chienenverkehrsgesellschaft S.tuttgart in H.orb

am N.eckar.

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Ae 6/6 an SBB H.istoric

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Der Stiftung Historisches Erbe der SBB ( SBB H.istoric ) wurde bereits die Ae 6/6

1.1.4.0.2 « U.ri » übergeben, die für das G.otthard - J.ubiläum 2.0.0.7 wieder mit

ihrem ursprünglichen, t.annengrünen Anstrich hergerichtet und danach im D.epot

E.rstfeld stationiert wurde.

 

Ebenfalls im Dienst von SBB H.istoric stehen die Ae 6/6 1.1.4.1.1 « Z.ug » ( Farbe

t.annengrün, S.tandort E.rstfeld ), 1.1.4.1.6 « G.larus » und 1.1.4.2.5 « G.enf» und

( beide mit der F.arbe r.ot und dem S.tandort O.lten), wobei die «G.larus» nicht

betriebsfähig ist und als E.rsatzteilspender dient.

 

Die Ae 6/6 1.1.4.0.5 « N.idwalden » wurde von SBB H.istoric ebenfalls als Ersatz-

teilspender übernommen und zunächst in O.lten abgestellt. Nach Ausbau noch

brauchbarer Teile für die Ae 6/6 « A.argau », die sich in der Obhut des Vereins

M.ikado befindet, wurde sie am 10. J.anuar 2.0.1.2 zum A.bbruch nach K.aiseraugst

überführt.

 

Im H.erbst 2.0.1.1 übernahm SBB H.istoric zudem die Ae 6/6 1.1.4.5.6 « O.lten ». Sie ist

in O.lten stationiert und soll im letzten Betriebszustand fahrfähig erhalten bleiben. Es

handelt sich derzeit ( Stand: J.uli 2.0.1.2 ) um die einzige S.tädtelokomotive im Bestand

der historischen Ae 6/6.

 

Zwei weitere Lokomotiven wurden als Leihgaben an verschiedene Vereinigungen abge-

treten.

 

Die Ae 6/6 1.1.4.0.7 « A.argau » wurde 2.0.0.9 von SBB Historic an den Verein « M.ikado

1.2.4.4 » als L.eihgabe abgegeben.

 

Die Ae 6/6 1.1.4.2.1 « G.raubünden » wurde von SBB Historic an den «Verein Erhalt

historische Elektrolokomotive Ae 6/6 1.1.4.0.3 » als Leihgabe abgegeben. Der Wider-

spruch im V.ereinsnamen und der Loknummer ergibt sich daraus dass der V.erein

zuerst die Ae 6/6 1.1.4.0.3 « S.chwyz » übernehmen wollte, diese war jedoch nicht

reparierbar defekt, so dass man auf die 1.1.4.2.1 als Leihgabe Rückgriff genommen hat.

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D.enkmallokomotive bei E.rstfeld

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Ab dem H.erbst 2.0.0.6 stand anlässlich des 125-jährigen Jubiläums der G.otthardbahn

eine D.enkmallokomotive der Reihe Ae 6/6 mit zwei S.peisewagen und einem G.epäck-

wagen auf dem Areal der A.utobahnraststätte bei E.rstfeld.

 

Die S.peisewagen wurden nicht zweckentfremdet - sie waren ein Teil des Restaurants.

Zur selben Zeit wurden die Innenräume der R.aststätte in F.ahrtrichtung N.ord umgebaut.

Als die B.auarbeiten fertig waren, wurden die S.peisewagen, die normalerweise in I.nter-

c.ity-Z.ügen verkehren, durch G.üterwagen ersetzt.

 

Die ehemalige Ae 6/6 1.1.4.9.2 " E.mmen " wurde mit dem SBB C.argo - D.esign frisch

gestrichen und bekam die Bezeichnung Ae 610 4.9.2. Mit ihrem heutigen Aussehen ist

sie allerdings erst seit ihrer Wiederinbetriebnahme im R.egeldienst unterwegs. Die einst

geplante Umdesignierung infolge der Zuteilung aller Artgenossinnen zur Division Güter-

verkehr stieß in Kreisen von Eisenbahnfreunden auf Proteste. ( Eine h.ellgrüne Farbe war

vorgesehen.) Das neue D.enkmal wurde mit einer grossen B.ahnhofsuhr am 18. O.ktober

2.0.0.6 festlich eingeweiht. Unter den Festrednern waren auch der Urner Regierungsrat

I.sidor B.aumann, der Tessiner R.egierungsrat M.arco B.orradori und B.enedikt W.eibel,

der scheidende P.räsident der SBB - G.eneraldirektion.

 

Im H.erbst 2.0.0.7 wurde die Lokomotive von der A.utobahnraststätte abtransportiert und

auf der G.otthardbahn wieder aufgegleist. Bei der technischen Kontrolle wurden ge-

brochene Radsterne festgestellt. Der Schaden musste behoben werden, bevor die Lok

wieder in den Regeldienst kam.

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Verein 1.1.4.0.6 A.lpnachstad

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Der Verein 1.1.4.0.6 A.lpnachstad wollte die auf den K.anton O.bwalden getaufte Ae 6/6

1.1.4.0.6 als D.enkmallokomotive in A.lpnachstad erhalten. Der Verein hatte die Loko-

motive langfristig von SBB H.istoric gemietet.

 

Die Lokomotive wurde als nicht mehr betriebsfähig ausrangiert und als Ersatzteilspenderin

in der H.auptwerkstätte B.ellinzona ausgeschlachtet. Ihre Verschrottung war von den SBB

schon besiegelt, was vorläufig verhindert wurde.

  

In der Nacht vom 14. auf den 15. D.ezember 2.0.0.6 wurde sie auf der S.trasse von

B.ellinzona nach A.lpnachstad transportiert. Nach langer, aber ergebnisloser Suche

nach einem Standort in A.lpnach wurde die Lok am 17. Juni 2.0.1.1 in E.nnetmoos bis

auf den F.ührerstand, welcher für ein späteres Projekt verwendet werden soll, abge-

brochen.

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D.enkmallokomotive im K.anton L.uzern

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Zwischen D.agmersellen und N.ebikon, auf dem A.real der G.alliker T.ransport AG, steht

seit dem F.ebruar 2.0.0.7 auf Initiative des S.eniorchefs Peter Galliker die Ae 6/6 1.1.4.1.8

in roter Farbe. Obwohl sie dem Kanton St. G.allen gewidmet war, erhielt sie ein neues

L.uzerner K.antonswappen. G.alliker, ein Stammkunde von SBB C.argo, hatte die dem

Abbruch geweihte Maschine in B.ellinzona entdeckt und ihr so ein neues Zuhause ge-

geben.

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Denkmallokomotive im V.erkehrshaus

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Das V.erkehrshaus Schweiz hat von SBB Cargo die Ae 6/6 « S.chaffhausen » erworben

und stellt diese von Zeit zu Zeit im V.erkehrshaus aus.

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L.oksimulater bei der " C.hemins de fer du K.aeserberg "

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Der F.ührerstand der K.antonslokomotive Ae 6/6 1.1.4.0.9 mit W.appen des K.antons

B.aselland steht im Haus der " C.hemins de fer du K.aeserberg " im F.reiburger V.orort

G.ranges - P.accot im K.anton F.reiburg in der Schweiz

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( BeschriebAe6/6 AlbumSBBAe6/6Lokomotive AlbumBahnenderSchweiz Ae6/6 Ae610

Ae 6/6 610 Schweizerische Bundesbahn Bundesbahnen Eisenbahn Lokomotive Lok

SBB CFF FFS SLM Zug Train Juna Zoug Trainen Tog Tren Поезд Lokomotive Паровоз

Locomotora Lok Lokomotiv Locomotief Locomotiva Locomotive Eisenbahn Railway

Rautatie chemin de fer Ferrovia 鉄道 Spoorweg Железнодорожный Centralstation

Ferroviaria Schweiz Suisse Switzerland Svizzera Suissa Swiss Sveitsi Sviss スイス

Zwitserland Sveits Szwajcaria Suíça Suiza )

.

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Nordrampe der Gotthardbahn / Gotthard Nordrampe E.rstfeld - G.öschenen

 

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B.ahnhof E.rstfeld (Uri - 472m - G.rosses L.okomotivdepot der S.BB und Beginn der 26 Promil -

R.ampe) - B.ahnhof A.msteg - S.ilenen (Uri - 544.4m) - W.indgällentunnel (Länge 183 m) -

K.erstelenbachbrücke / C.härstelenbachbrücke (Länge 127m) - B.ristentunnel (Länge 709m) -

I.ntschireussbrücke (Länge 121m) - I.ntschitunnel (Länge 88m) - E.hemalige H.altestelle

I.ntschi - Z.graggentalbrücke (Länge 89m) - Z.graggentunnel (Länge 68m) - B.reitentunnel

(Länge 57m) - M.eitschligerk.urve - M.eitschlingentunnel (Länge 74 m) - S.äckenviadukt

(Länge 120 m) - M.örschlisbachgalerie (Länge 25 m) - B.ahnhof G.urtnellen (Uri - Höhe 737.6m) - H.äggeribachtunnel (Länge 92m) - P.faffensprungkehrtunnel (S.piraltunnel, Länge 1`476m) -

M.uhrentunnel (Länge 53 m) - M.ühletunnel (Länge 88m) - U.ntere M.eienreussbrücke

(Länge 60m) - K.irchbergtunnel (Länge 300m) - W.attingerkurve - U.nterer W.attingerbrücke - W.attingerkehrtunnel (Länge 1`084m) - O.bere W.attingerbrücke - R.ohrbachtunnel

(Länge 230m) - B.ahnhof W.assen (Uri - Höhe 928.1m) - M.ittlere E.ntschigtal G.alerie

(Länge 185m) - M.ittlere M.eienreussbrücke (Länge 122m) - S.trahllochtunnel (Länge 40m) -

L.eggisteinkehrtunnel (Länge 1`090m) - O.bere M.eienreussbrücke (Länge 54m) -

M.aienkreuztunnel (Länge 78m) - O.bere E.ntschigtal G.alerie (Länge 102m) - K.ellerbachbrücke

(Länge 70m) - R.ohrbachbrücke (Länge 61m) - N.axbergtunnel (Länge 1`570m) - E.ggwald -

B.ahnhof G.öschenen (Uri - 1`105.9 - N.ordportal des G.otthard - B.ahntunnel)

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Parallel dazu die Bilder der entsprechenden Abschnitte der M.odell - A.nlage im V.erkehrshaus

in L.uzern

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The Gotthardrailway go through a small valley from the r.euss and is a important line between G.ermany and I.taly in Switzerland in Europe

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Eine Reise in Bildern auf der Gotthard Nordrampe von E.rstfeld nach G.öschenen

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Ausflug zum F.est 1.2.5 J.ahre G.otthardbahn am Samstag den 08. September 2007

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Mit dem Z.ug von B.ern über O.lten - L.uzern nach E.rstfeld

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Mit B.us und zu F.uss entlang der G.otthard N.ordrampe

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Mit dem Z.ug von E.rstfeld über L.uzern - O.lten zurück nach B.ern

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Kamera : Canon IXUS 60

 

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Hurni070908 AlbumZZZZ070908Fest125JahreGotthardbahn AlbumGotthardNordrampe KantonUri

 

E - Mail : chrigu.hurni@bluemail.ch

 

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Letzte Aktualisierung - Ergänzung des Textes : 200521

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NIF

Bu yazımızda eskiden çok meşhur olan, şu an hala oynamaya değer bir oyundan bahsedeceğim. Bundan yaklaşık 4 sene önce piyasaya sürülen oyun tam anlamıyla bir macera. Çocukken hayallerinizde olan kahramanlardan birini yönetme fırsatını bu oyunla buluyorsunuz.

 

Oyunda çeşitli deneysel faaliyetlerde...

 

www.aorhan.com/prototype-sistem-gereksinimleri-neler-2562...

Electric Drive

 

88th Geneva International Motor Show

Internationaler Auto-Salon Genf

Suisse - Schweiz - Switzerland

March 2018

Conservatoire Citroën

93600 Aulnay sous Bois

France

December 2017

Exposition de vehicules anciens et de collection à Limony (07)

Organisé par Les Vieux Volants Ardéchois - www.lvva.fr

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british, Allard, Alvis, Austin, Aston Martin, Towns Williams, AM V8, AC, Ace, Bentley, BMC, Bristol, Cooper, AM, DB7, David Brawn, Vantage, Ford, Gordon-Kneeble, Healey, HMW-Jaguar, HRG, Jaguar, LM, Lightweight, Special GT E-Type, D-Type, C-Type, E-Type, SS Jaguar, XK, Jensen, FF, Ferguson Formula, Lagonda, Lea Francis, Lola, Lotus, Morris, Marcos, Mini, Triumph, TR, MG, MK, Mark, Morgan, Stevens Peter, McLaren F1, Threewheeler, Railton, Riley, Squire, Rolls Royce, Talbot,

Volvo, SAAB, Puch, Steyr-Puch, Steyr, Denzel, Tatra, Skoda,

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Lotus Esprit V8 (c) 2011 Бернхард Эггер фото :: ru-moto images | classic sports cars 2904

Maquette

 

La crise pétrolière de 1973 a laissé de profonds traumatismes chez les clients comme chez les constructeurs, avec pour Citroën l’arrêt de la fabuleuse SM. Pour répondre à cette situation, les bureaux d’études planchent alors avec frénésie sur les solutions permettant de faible consommation. Même l’État français se penche sur le sujet et dote les constructeurs de fonds pour des projets innovants, parlant déjà de véhicule de série consommant 3 litres au 100 en perspective des années 2000, bien futuriste à l’époque. Citroën sera naturellement un des plus actifs et ira le plus loin dans les solutions avec 4 prototypes, tous appelés ECO 2000. Chaque prototype ira plus loin dans l’innovation et le résultat affiché. La maquette proposée est la version qui a servi de test en soufflerie pour le modèle SA 109, le troisième de la série. Avec un CX de 0,321 et une consommation de 3,5 l, sa version roulante sera même testée par des journalistes. Cette maquette est pleine jusqu’à hauteur des vitrages. Ingénieurs et techniciens ont lar-gement travaillé dessus pour aboutir à la quatrième version encore plus performante. Un morceau de l’histoire technologique de Citroën.

Maquette.

 

Estimated : € 3.000 - 7.000

Sold for € 9.520

 

Vente des Réserves de l'Aventure Peugeot Citroën DS

Leclere Motorcars - Maison des Ventes

Citroen Heritage

Batiment 6

93600 Aulnay sous Bois

France

December 2017

Coachwork by Espera Sbarro

 

Au début des années 2000, les coupés-cabriolet fleurissent de salon en salon. Citroën ne disposant d’aucun cabriolet dans sa gamme, accepte alors le projet de Sbarro d’étudier un concept de découvrabilité sur sa C4 et donne donc une C4 3 portes à l’école Espera pour sa réalisation. Rapidement, le carrossier développe un système très intelligent de 3 panneaux coulissants du toit vers le coffre, alors que la petite lunette arrière s’escamote elle aussi dans le coffre. L’ensemble en position fermée conserve ainsi l’apparence du C4 coupé voulu par Jean-Pierre Ploué et ses équipes, mais avec un grand toit panoramique vitré, alors qu’une fois ouvert, il transforme réellement la voiture en un grand cabriolet 4 places avec des arches latéraux cependant maintenus, comme deux arceaux de sécurité. Carrossier oblige, Sbarro ne peut s’empêcher d’embellir la voiture avec de très belles jantes, des élar-gisseurs d’ailes et un double échappement central. Quel dommage que cette voiture n’ait pas atteint le stade de la production, mais si vous la faites passer aux mines pour son immatriculation tout en réglant les points liés à la maquette comme par exemple les élargisseurs de roue hors normes, vous aurez le privilège de rouler dans une auto exceptionnelle et unique.

 

2,0 Liter

4 in-line

180 ch

 

Estimated : € 6.000 - 10.000

Sold for € 12.320

 

Vente des Réserves de l'Aventure Peugeot Citroën DS

Leclere Motorcars - Maison des Ventes

Citroen Heritage

Batiment 6

93600 Aulnay sous Bois

France

December 2017

Typ: Setra S 217 NR

Aufbau: x

Baujahr: 1

Serie: x

Besonderheit: Prototyp; 13,7 Meter langer Vorführwagen für europäische Fahrzeuglängen-Liberalisierung

Electric Drive

Type : Asynchronous AC motor

108 PS

200 Nm

Vmax : 200 km/h

Battery : nanoFlowell

Capacity : 15 kWh

Consumption : 12 kWh/100 km

Tank volume : 2 x 95 l

Range: 1.000 km

 

87th Geneva International Motor Show

Internationaler Auto-Salon Genf

Suisse - Schweiz - Switzerland

March 2017

Expo : les Voitures Rhomboïdes

 

Salon Retromobile 2016

Paris Expo - Porte de Versailles

Paris - France

Februari 2016

1 2 ••• 9 10 12 14 15 ••• 79 80