View allAll Photos Tagged php,

On black

Depuis le 3 Octobre, plus de 200 familles dorment dans la rue de la Banque pour protester contre l'absence de logements décents. Français ou immigrés en situation régulière, tous travaillent mais vivent dans des conditions déplorables: le plus souvent à l'hôtel, ou dans des appartements minuscules, parfois menacés d'expulsion.

 

Malgré la pluie, les mal logés ont l'interdiction d'installer des tentes sur les trottoirs (elles ont de toute façon été confisquées lors des précédentes évacuations par les forces de l'ordre). Les cartons et les bâches sont plus ou moins tolérés, selon les jours, notamment sur le trottoir du Ministère de la Crise du Logement (mais pas en face !), mais peuvent très bien résulter en une intervention policière.

 

Il n'y a qu'une heure de soleil dans la rue de la Banque, entre 14h et 15h environ (les jours où il fait beau !). C'est un peu la transition entre la torpeur du matin et l'animation du soir. Dès 5h du matin, les gens commencent à se lever, beaucoup travaillent très tôt et de toutes façons, on ne dort pas bien sur le trottoir. Ils rangent leurs affaires, mises à l'abri dans le Ministère de la Crise du Logement, où ils vont aussi prendre une boisson chaude. Jusqu'à 8h, c'est le ballet des départs au travail, souvent avec des enfants à déposer à l'école au passage, à peine interrompu vers 7h par la relève des gendarmes et le va-et-vient de leurs camions qui suscite toujours un peu d'angoisse. Quand le jour se lève enfin, la rue est en grande partie désertée, et les militants qui montent la garde tout ou partie de la nuit profitent de l'ouverture du bistrot "A la petite corbeille" pour aller se réchauffer et prendre un café. Puis on tue le temps, on discute, on fume, on somnole. Certains balaient le trottoir et la rue, discutant avec les éboueurs qui passent régulièrement. Une pile de quotidiens gratuits a été déposée sur le rebord d'une fenêtre de l'AFP, en face, et on commente les nouvelles, on cherche les articles sur le campement, sur eux, les "mal logés". On s'indigne souvent des approximations de la presse d'ailleurs: le Ministère de la Crise du Logement est décrit comme étant un squat, les familles deviennent "les mères africaines", ou bien ne sont qu'une dizaine. Au moins, l'amalgame initial avec les sans papiers a disparu !

 

La journée s'étire. Des familles regagnent leur logement, pour précaire qu'il soit, le temps de souffler un peu, se laver, se changer. Certains se relaient entre père et mère pour éviter aux enfants de dormir là (encore que la plupart des enfants, les petits surtout, soient hébérgés à l'intérieur du Ministère de la Crise du Logement pour la nuit).

 

Parfois, la police intervient pour enlever une bâche, ou dégager un carton qui "déborde" du périmètre tacitement établi depuis quelque temps (les quelques m2 de trottoir qui vont de l'entrée du 24 rue de la Banque jusqu'à l'angle de la Place de la Bourse). Il semble que les évacuations plus "musclées" ou au petit matin des premières semaines ne soient plus de mise, mais personne ne sait vraiment. Certains discutent avec les forces de l'ordre, d'autres se méfient. Certains gendarmes avouent leur ennui et/ou leur incompréhension devant cette situation qui s'éternise, certains confient que leur vie n'est pas facile non plus (horaires, conditions de logement, rémunération, reconnaissance sociale, etc.). L'autre jour, quelqu'un avait placardé sur le mur un article de Libération sur la grogne chez les gendarmes, et ceux-ci se relayaient pour le lire (il a été arraché depuis) !

 

En fin d'après-midi, il y a un regain d'activité, surtout les soirs où sont organisés les rassemblements de soutien hebdomadaires. De nombreux militants d'autres organisations (LCR notamment) viennent alors se joindre aux familles, occupant parfois toute la rue. Prises de parole, témoignages, point sur la situation et les "négociations" avec le Ministère de la Ville et du Logement et rappel des revendications se succèdent, ponctués d'applaudissements et de slogans ("Solidarité avec les mal-logés", "un toit, c'est un droit", "Mme Boutin, arrête ton baratin", etc.). Des personnalités viennent parfois apporter leur soutien, focalisant l'attention des medias: Joey Starr, Josiane Balasko, Carole Bouquet, Florence Aubenas, Guy Bedos, Mgr Gaillot, Emmanuelle Béart, Richard Bohringer, etc. La musique et les chants viennent donner un air de fête, certains dansent, les enfants courent dans la foule.

 

Mais vers 22h, parfois un peu plus tôt ou un peu plus tard selon l'affluence, le calme revient. Les familles s'installent pour une nouvelle nuit, avec toujours cette incertitude: combien de temps encore ?

 

Merci de lire les explications en début d'album / Please read the explanations at the beginning of the set

 

Part of DAL (Recommended as a slideshow)

Zoe = Zendcon Open Enterprise

Studio pics from readers of MATRIXSYNTH via the MATRIXSYNTH Lounge.

 

Facebook gallery where you can find follow-up comments for each here.  Also keep an eye out for new studio pics there. 

 

Featured in order:

 

1 & 2. Erwan Coïc

This is my studio !

www.erwancoic.com/actus/

 

3. Lorenzo D Metallan

This is my setup for a live recording few weeks ago

 

4. Stu Smith

Seeing as we're doing studio selfies here's my little corner of the world.

 

5. Phil Croker

And here's my little setup at Pooh Corner (so named 'cos of the wallpaper..) Please be kind, I know it's nowhere near as good as some of your rigs

 

6. Francesco Synth Meeting Mulassano

Homework!

 

7. Jason Duerr

Location: Chicago

Results: belmontandclark.bandcamp.com/

 

8. Nick Morey

Most of my collection Betamaxx

 

9 & 10. Erik Chalmers

my place

 

11. Eric Vetterick

blurry ipad shot of my crap...

 

12. Steve Drakeem

 

13. Adam Gahan

Okay so i may as well join in. I don't have a huge setup but i try and make the most of what I've got. After all I'm only 19, I will most definitely acquire more gear as time progresses.

 

14. Gabriel Morley

 

15. Charles Mickaelstein

Same thing as Adam Gahan, I don't have a huge analog setup but I'm glad to have what I have

(plus some small synths, like monotrons, Casio VL-Tone, etc).

 

I do that kind of things with those :

soundcloud.com/warngmusic/extreme-transudation

 

16. Marco Vedder

My setup — at Club Tabu.

 

17. Marco Vedder

My setup

night lights

 

18 & 19. Jeremy Olson

 

20. Hani Debbache

 

21. Mark Milanovich

Jumping on the bandwagon. Couldn't fit all this in one shot.

It's a hell of a mess right now. More pics as I organize it more.

 

22. Matthew Willox

I'm a complete minimalist.

 

23. Ricardo Schnidrig

Acid House from Argentina !

 

24. Brandon McWhorter

Sure, why not? Here's 1/2 of my "mess" — with Roland TB-303 with Kenton CV Mod, Kawai R-100, Tom Oberheim SEM Pro, Roland TR-909 Rhythm Composer, Roland RS-505, Roland SBX-10, Roland TR-808 with Kenton MIDI, Roland Jupiter 6 with Europa, Genoqs Octopus, Roland JP-8 Jupiter 8, John Bowen Solaris, Oberheim M-12 Matrix 12, Garfield Electronics MiniDoc, Oberheim OB-X 8 Voice, Oberheim OB-Xa 8 Voice, Roland JP-4 Jupiter 4, Roland PG-800, Oberheim OB-8 with MIDI, Roland Juno 106 with Kiwi106 and Roland SH-101 (Red).

 

25. Martin Ley

There you go ‘Synth sluts’ Me at the controls back in 1985

 

26. Huskypop Huskypopo

 

27. Michal Patulski

Wow, some of your collections are sick! This is my current setup and nothing is there in comparison ha ha.

 

28 & 29. Hideously Disfigured Hipsters

 

30. Thomas Götze

Wanna play a game?

 

31. Dmitri Sfc

 

32. Shawn Shirey

This is ground control to Major Tom...

 

33. Nicolas Guichard

How to choose?

 

34. Colin Johnson

Since everyone's doing one of these right now.. here my spot. just moved in last month.. so you'll have to tolerate the mess and.. also one picture came off instagram. oh well.

 

35. Fede Manfredi

This is my little studio, at last, in order!

 

36. Michael Dennis Raleigh

I guess if everyone's putting up their studios... Here's me and mine

 

37. Bjørn Viggo Andersen

And here is ours

 

38. Nicky Bendix

My little workspace - thank you for all your inspiring photos!

 

39. Gavin McCloy

My modest setup

 

40. Mike Bradberry

Joining the bandwagon.

 

41. David J Warman

 

42 & 43. Trevor Gavilan

 

44. Joshua Andrew Coburn

 

45. Max Sokoleski

My tiny dungeon studio

 

46 & 47. TB Aothree

 

48. Walter Coter

Many Thanks for all members

 

49. Mark Ireland

My minimal (but very usable) studio setup.

 

50. Walter Coter

 

51. Adrian Earnshaw

As everyone is sharing pictures of their studios, here's my humble setup.

 

52. Discretman Jeff

Ok, this is my my gaming room !

 

53. David J Warman

 

54. Yuuki Koide

my studio

 

55. Olivier Lebra

my "living studio"

 

56 & 57. Matthew Thomas 1:48pm Mar 23

When in Rome. Geoscience Studio, kind of set up in an awkwardly shaped room, hence two pictures.

 

58. Jon Adams

This is my studio while I'm confined to bed - missing my hardware - microbrutes +modular the most

Acciones QPM: Establecer como borrador | Mover a la papelera | Forzar el borrado | Editar | Gestionar | Configuraciones QPM

  

Cuesta no pensar que la cantidad de filtraciones e información alrededor de la próxima película de Star Wars no le esté viniendo bien a Disney tras la controvertida compra de los estudios LucasArts por parte de este gigante y el anuncio a los pocos días de que se ponía en marcha el proyecto para tener más Star Wars de la mano de Disney.

Queda todavía más de un año para que llegue, pero la expectación es máxima alrededor de todo lo que tiene que ver con Star Wars Episodio 7. Aquí te dejamos con lo principal que se conoce hasta ahora para que vayas abriendo boca.

La historia

 

Lógicamente, la historia es el secreto mejor guardado de la nueva entrega de Star Wars. Lo único que se conoce con certeza es el momento temporal en que transcurrirá la película: 30 años después de los acontecimientos del episodio anterior, “El Retorno del Jedi”.

Ya entrando en el terreno de los rumores y especulaciones, el inicio de la película estaría protagonizado por una mano, concretamente la de Luke Skywalker, flotando por el espacio sujetando su sable láser.

Al encontrarla en un desierto, los protagonistas de la nueva entrega (se habla de un trío que incluye a un adolescente o niño), ayudados por Han Solo y Chewbacca, iniciarían la búsqueda de Luke, del que nadie sabe nada desde hace 30 años. ¿Adivináis donde estaba? Justo, cautivo por los nuevos malos de la película.

De los pocos detalles con interés que ha dejado caer Abrams sobre el Episodio VI está el uso de menos efectos especiales generados por ordenador, no al menos al nivel de los primeros tres episodios (tras la trilogía original).

Lo único seguro sobre la historia de Star Wars Episodio VII es que transcurrirá 30 años después de “El Retorno del Jedi”

Episodio VII, que no tiene todavía título oficial definitivo, empezó a rodarse en mayo de este año en los estudios Pinewood de Londres. Del éxito de esta primera parte de la siguiente trilogía (cada película irá separada de la otra con un spin off de los principales protagonistas) dependerá la acogida de las siguientes, aunque solo con el nombre y la legión de fans y seguidores, el ruido está garantizado.

El director y equipo técnico

 

Tener entre las manos las nuevas entregas de Star Wars no es tarea sencilla. La especulación con los posibles directores de los tres siguientes episodios de la saga galáctica se cortó con el anuncio de que J.J. Abrams (responsable de Star Trek o Misión Imposible II y muy prolífico en televisión) sería el director de la orquesta de responsables que Disney iba a poner delante de este esperado retorno de la famosa saga galáctica.

El propio Adams junto con Lawrence Kasdan (responsable El Retorno del Jedi y El Imperio Contraataca) será el guionista (tras un paso en falso con Michael Arndt) de esta producción que cuenta con otros importantes nombres detrás de los apartados de producción, como Tommy Harper, Jack Ryan o Jason McGatlin, todos ellos con mucha experiencia en grandes superproducciones.

Star Wars Episodio VII se rodará en 35 mm, una decisión de su director de fotografía, Dan Mindel. El diseñador de vestuario será otro conocido: Michael Kaplan.

De la música, parte para mi fundamental e histórica de los primeros episodios, se ha conseguido que se encargue el maestro jedi con batura que es John Williams.

 

El reparto

Tras decidir el director y parte del equipo técnico, el reparto generó bastantes especulaciones hasta que se produjo el anuncio oficial. Con Han Solo apareciendo en el desarrollo del argumento de la nueva entrega, era lógico que por allí apareciera Harrison Ford.

Que el grueso del reparto original vaya a tener presencia en el Episodio VII es un claro guiño a los seguidores y una atracción más para acudir a ver la película

El Han Solo de más de 70 años estará acompañado por los otros dos actores principales de las películas originales: Mark Hamill (Luke Skywalker) y Carrie Fisher (Princesa Leia). Y no faltarán Peter Mayhew (Chewbacca) o los entrañables actores Anthony Daniels y Kenny Baker en sus papeles de C-3PO y RD-D2 respectivamente. Esta vuelta al pasado es sin duda un seguro que Disney ata para tener el apoyo, el menos moral, de parte de los fans de la saga original.

 

Entre las nuevas caras, hay tanto veteranos como rostros conocidos del cine y la televisión de los últimos años. Como protagonistas principales tendremos a los actores John Boyega y Daisy Ridley, que compartirán aventuras con, entre otros, Adam Driver, Lupita Nyongo, Oscar Isaac, Max von Sydow y Andy Serkis.

 

La “famosa” foto con la que se anunció el reparto principal de Star Wars Episodio VII

 

La anécdota relacionada con el reparto e inicio de la grabación tiene a Ford como protagonista. Un mes después de iniciarse el rodaje en mayo de este año, Harrison Ford se rompió un tobillo, cosas del destino, con una puerta de su Halcón Milenario. La grabación tuvo de detenerse y esta misma semana se ha reanudado el trabajo el ritmo habitual, que tendrá lugar en localizaciones de Islandia y Emiratos Árabes además del Reino Unido.

Fecha del estreno

Llevamos ya un largo periplo alrededor de Star Wars Episodio 7, pero todavía nos queda un buen trecho por recorrer.

La fecha de estreno anunciada, el 18 de diciembre de 2015, se va a mantener pese a que estuvo en teoría en peligro por el accidente de un Ford que parece mayor para luchar en esta guerra.

 

Imágen | Joshlange.

– La noticia Star Wars Episodio 7: lo que se sabe hasta ahora fue publicada originalmente en Xataka por Javier Penalva.

     

Acciones QPM: Establecer como borrador | Mover a la papelera | Forzar el borrado | Editar | Gestionar | Configuraciones QPM - www.diariototal.com/2014/10/10/star-wars-episodio-7-lo-qu...

http://www.diariototal.com/2014/10/10/star-wars-episodio-7-lo-que-se-sabe-hasta-ahora/

tecnologia

  

#tecnologia

Date Taken: March 30, 2025

 

Basic Details:

Operator: San Agustin Shuttle Service, Corp.

Fleet Number: 9921

Classification: Air-Conditioned Provincial Operation Bus

Seating Configuration: 3x2 Seats

Seating Capacity: 56 Passengers

 

Body:

Coachbuilder: Pilipinas Hino Auto Body, Inc.

Body Model: Pilipinas Hino Grandeur (Modified)

 

Chassis:

Chassis Model: Hino RK1JMT 1425

Layout: Rear-Longitudinally-Mounted Engine Rear-Wheel Drive

Suspension: Leaf Springs Suspension

 

Engine:

Engine Model: Hino J08C-TK

Cylinder Displacement: 8.0 Liters

Cylinder Configuration: Straight-6

Engine Aspiration: Turbo-Intercooler

Max. Power Output: 250 hp @ 2,700 rpm

Peak Torque Output: 745 N.m @ 1,500 rpm

Emission Standard: Euro 2

 

Transmission:

Type: Manual Transmission

Gears: 6-Speed Forward, 1-Speed Reverse

 

* Some parts of the specifications may be subjected for verification and may be changed without prior notice...

 

Our Official Facebook Fan Page: Philippine Bus Enthusiasts Society (PhilBES)

View On Black

 

Taken with a homemade pinhole camera.

Shoot to 3x4 Polaroid Color instant film.

 

Author : IMRE BECSI

 

Location of shoot :

Pilisszentkereszt,

Hungary,

Central-Europe

 

Latitude - 47°41'18.77"N

Longitude - 18°53'42.26"E

 

Time of shoot :

08.05.2008.

 

Shooting

Film : Polaroid Polacolor 690 gloss (expired : 06-2004)

Filters : Tiffen Cir.Polar and ND 0.9

Metered expo.:

Calculated expo.: 10 sec.

( I use my reciprocity compensation value chart to Polaroid color film)

 

The camera :

Body is a Film Back Adapter Plate from a Polaroid 203 camera

- focus : 34 mm

- pinhole : 0,25 mm (Lenox Laser)

- diaphragm : 136

Film back from my Polaroid 600se camera.

Shutter and Pinhole holder is a "pu(s)h" from Dr. Kai Fuhrmann with filter thread (homemade).

 

Picture from the camera :

www.flickr.com/photos/jonespointfilm/2837193476/in/set-72...

 

The parameters of camera :

(when I use 95x73 mm format instant film)

- Angle of view : 119°24'26"

- Light falloff at the corners [f/stops] : 3,6

- Resolution [lines/diagonal] : 887

 

Post work : (27.08.09)

Scanner : Epson Perfection 3200 Photo (1200 dpi)

Scanner software : SilverFast SE

Final work : PS

 

Thanks for looking !

Comments very much welcome !

 

Important note:

This images are copyright protected. No reproduction in any way,

no copies, no editing, no publishing, no screenshots, no posting,

no blogging, no transmitting downloading or uploading

without my written permission!

 

Thank you !

 

View On Black

Its incredible how FAST the butterflies are.. Shot at 1/750s and still the motion blur...this is not camera shake (evident with the bottom left flower sharpness!)

 

WOW.. getting motion blur at such speed just shows how the butterflies take off and why its so hard to photograph them IN-FLIGHT!

 

I tried to catch the butterflies in flight literally dozens of times during this vacation... but this is the only one i have with me to showcase!

para los que estéis en el foro: www.pullipspain.com/showthread.php?924-Sorteo-pullip-jinx-!!!

 

Para los que no:

 

La muñeca incluye outfit por ninia´s shop "VISTEME", Armas, maquillaje por Lydioteision , carving, zapatos, peluca de calidad peinada y obitsu con sus tatuajes.

  

¡¡En este sorteo habrá varias normas y pasos que se han de tener muy en cuenta. Por favor, LEEDLAS QUE NO CUESTA NADA.!!

  

-habrá 100 papeletas de 00 a 99.

  

-cada papeleta tiene un coste de 2 euros.

  

-el ganador lo dirán las últimas dos cifras del sorteo de la ONCE (el día lo pondré una vez efectuados los pagos TODOS ELLOS)

  

-primero se harán las reservas de los números que se quieran, comentándolo en esta publicación. Y cuando no haya papeletas SE EFECTUARÁN LOS PAGOS SOLO POR PAYPAL.

  

-NO HAY LIMITE DE PAPELETAS POR PERSONA!

  

-se tendrá en cuenta los números comentados antes. Es decir, si alguien comenta “numero 13” y el mismo número lo cogió alguien antes que esa persona, el numero será del que comentó primero.

  

-la persona que haya reservado un numero que ya se ha dicho podrá elegir otro comentando nuevamente un número no ocupado o bien dejarme la elección aleatoria de este (hay que avisarlo comentando “mi numero ya fue escogido, ponme uno aleatoriamente”.

  

-si no se sabe los números que se quiere, comenten “aleatorio X cantidad”

  

-una vez hechas todas las reservas se realizarán los pagos. SE PAGA POR PAYPAL. y el plazo para pagar será de 7 días (desde que se empiecen a aceptar)

  

-si los pagos terminasen antes del 7º día comentaría avisando del día que se realizará el sorteo de la ONCE.

  

-una vez reservados o pagados los números no está permitido retirarse.

  

-ATENCION: SI RESERVAS UN NÚMERO NO SE PUEDE CAMBIAR! (exceptuando aquellos que ya se hayan cogido u equivocaciones)

  

-El paypal para pagar se dará cuando todas las papeletas hayan sido reservadas.

GRACIAS POR PARTICIPAR EN EL SEGUNDO SORTEO DE GRIMM SISTERS DESIGNS!!!

  

(las papeletas serán apuntadas en el foro, os apuntaré ahí con vuestro nick de flickr)

   

www.twitter.com/Memoire2cite le Logement Collectif* 50,60,70's dans tous ses états..Histoire & Mémoire de l'Habitat / Rétro-Villes / HLM / Banlieue / Renouvellement Urbain / Urbanisme URBANISME S’imaginer Paris et le Grand Paris @ URBANISME S’imaginer Paris et le Grand Paris @ Les 50ans d'Apur 50ans.apur.org/#intro @ Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … Trente ans d’histoire de l’habitat : de la

Reconstruction à l’urbanisation intensive, puis raisonnée. La région parisienne connaît alors un développement

exceptionnel façonnant le paysage de l’Îlede-France actuelle.

Réalisée à l’initiative de la DRAC Île-deFrance, une exposition regroupant une quarantaine de photographies d’ensembles de logements édifiés en Île-de-France entre 1945 et 1975 et sélectionnés pour la qualité de leur forme urbaine, leur valeur d’usage ou leurs spécificités techniques, a été présentée, du 5 juillet au 15 septembre 2011, à La Maison de l’architecture en Île-de-France. Cette exposition a fait l’objet d’une publication dans la revue Beaux Arts Editions. @ Où en est l'histoire urbaine des sociétés contemporaines ? Cet ouvrage, inspiré par Annie Fourcaut, qui contribua de manière décisive à son développement, propose un état des lieux de ce champ et explore des pistes de recherche ouvrant l'histoire urbaine à une variété de " genres ".où en est l'histoire urbaine des sociétés contemporaines ? Cet ouvrage, inspiré par Annie Fourcaut, qui contribua de manière décisive à son développement, propose un état des lieux de ce champ. De Femmes à l'usine (1981), Bobigny, banlieue rouge (1986), à La banlieue en morceaux (2000), en passant par les publications collectives qu'elle a coordonnées et les travaux qu'elle a encadrés, la trajectoire de cette historienne a conduit l'histoire sociale et politique – telle qu'on la pratiquait dans les années 1970 – vers une histoire urbaine renouvelée. Le livre revient sur cette évolution et explore des pistes de recherche ouvrant l'histoire urbaine à une variété de " genres ". Les auteurs, historiennes et historiens, sociologues, politistes, géographes, architectes, urbanistes et décideurs politiques proposent une histoire urbaine à la fois interdisciplinaire et ancrée dans la fabrique de la ville et ses représentations, portant la marque de sa dédicataire. Les quatre sections de l'ouvrage dessinent les chantiers qu'Annie Fourcaut a investis : " Du social à l'urbain " met en avant la conviction qu'étudier l'histoire des villes, c'est toujours faire de l'histoire sociale ; " Qu'elle était belle la banlieue " est centré sur les banlieues, son territoire d'étude de prédilection ; " Les habits neufs des politiques de la ville " interroge les politiques urbaines successives et leur transformation ; enfin, " Banc d'essai des modernités " propose une analyse historique de l'urbanisme, comme discipline et comme pratique.Le thème du logement. « Il s’agit du premier label Patrimoine XXe siècle attribué en Île-de-France. La DRAC, qui l’a mise en œuvre, a choisi de s’intéresser en tout premier lieu à cette production de

logements de masse d’une ampleur inégalée construits dans notre région après la guerre. Ce sont des créations emblématiques d’une architecture contemporaine dépréciée ; à ce titre, elles sont au premier chef concernées par les recommandations du Conseil de l’Europe. De plus, par l’ampleur des programmes, les étendues qu’ils recouvrent, ces ensembles sont sont plus éloignés du champ

traditionnel des monuments historiques. L’outil label a semblé approprié. Le choix de labelliser les ensembles de logements est donc audacieux : nous espérons que le regard porté sur ces immeubles Change. » Valérie Gaudard, Conservation régionale des monuments historiques, DRAC-Île-de-France.

(extrait d’un entretien publié dans Beaux Arts éditions « 1945-1975, Une histoire de l’habitat – 40 ensembles « patrimoine du XXe siècle »). Créé en 1999 par le ministère de la Culture et de la Communication, le label Patrimoine du XXe siècle

vise à signaler au public, aux décideurs et aux aménageurs, "les édifices et ensembles urbains qui sont autant de témoins matériels de l’évolution technique économique, sociale, politique et culturelle de notre société". Liens Le label patrimoine XXe - www.culturecommunication.gouv.fr/Regions/DRAC-Ile-de-Fran... La Maison de l'architecture - www.maisonarchitecture-idf.org/spip.php

www.twitter.com/Memoire2cite www.beauxarts.com/produit/une-histoire-de-lhabitat/ @ LES GRANDS ENSEMBLES @ L EXEMPLE DE DIJON «LE BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE»Sylvain TABOURY, sociologue, enseignant à l’école d’architecture de Versailles. Co-auteur avec Karine Gougerot, photographe, de Billardon, histoire d’un grand ensemble, paru aux éditions Créaphis en 2004. Texte communiqué à partir de la rencontre-débat du 20 mai 2005 Organisée par le Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne en partenariat avec Maison de Banlieue et de l’Architecture, le CAUE 91 et CINEAM dans le cadre de l’exposition «Des ensembles assez grands: mémoire et projets en Essonne». Cet ouvrage retrace l’histoire de la cité Jean-Billardon, barre de 14 étages et de 250 logements, à Dijon, premier grand ensemble de la ville, construit entre 1953 et 1955, démoli en 2003. Sélectionné parmi les immeubles significatifs de l’architecture du XXe siècle par la direction de l’Architecture et du Patrimoine (DAPA) du ministère de la Culture, Billardon était un symbole incontournable de l’histoire du quartier des Grésilles et de l’agglomération dijonnaise, ainsi qu’un formidable témoin de l’architecture novatrice de l’après-guerre. Sollicités par le service Inventaire de la Direction régionale des affaires culturelles de Bourgogne (Drac) et par l’Office public d’aménagement et de construction de Dijon (Opac), dans le cadre de l’opération de renouvellement urbain (ORU) du quartier des Grésilles, nous avons collecté et rassemblé, de janvier à juillet 2003, les traces de cette histoire, les archives, mais aussi les témoignages, recomposant des trajectoires familiales, professionnelles, des documents iconographiques et sonores. La restitution auprès des habitants et des partenaires du projet en octobre 2004, accompagnée d’une table ronde avec différents intervenants et acteurs du quartier, a été un moment fort, inscrit dans le processus de transformation engagé sur le quartier des Grésilles. Une exposition, intitulée «Mémoires de Billardon, fragments de vies», a également été présentée dans les locaux prestigieux du musée de la Vie bourguignonne de Dijon, du 14 octobre 2004 au 31 janvier 2005.Garder une trac De fait, la démolition de la Cité Billardon, le 4 juillet 2003, restera sans aucun doute un événement sensible dans la mémoire de nombre d’habitants de l’agglomération dijonnaise. Cette barre fut la première construction d’un tout nouveau quartier – le quartier des Grésilles –, à Dijon, où près de 4000 logements ont été construits Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne entre 1953 et 1966 – 14970 habitants en 1968, 8263 en 2003 – sur un terrain agricole demeuré nu, à l’est du territoire communal. Les 14 étages et 250 logements de l’immeuble, élevés au milieu des champs et des jardins familiaux, où un écriteau «Chasse interdite» était encore visible quelques années auparavant, faisaient alors l’admiration des très nombreux badauds venus visiter cette toute nouvelle Cité radieuse, construite tel un

Meccano de béton et d’acier. « Immeuble révolutionnaire», «Meccano géant à l’échelle du monde moderne», les titres de la presse de l’époque donnent un aperçu de l’impact national et international de l’événement. «Des visiteurs étaient venus de toute la France et même de l’étranger, jeter un coup d’œil au chantier», rappelait un article de la presse locale le jour de la démolition. Cette « barre » de 14 étages et de 250 logements, desservis par des coursives placées tous les trois niveaux, était une déclinaison appauvrie du modèle de la Cité radieuse du Corbusier, inaugurée le 14 octobre 1952. Les appartements étaient de deux types: les uns de deux et trois pièces, situés dans les ailes, de disposition traditionnelle, orientés au sud et pourvus de loggias; les autres, de cinq pièces, situés au centre du bâtiment, du type « duplex ». Huit espaces commerciaux avaient été aménagés en rez-dechaussée. Cependant, en dépit des ressemblances et de la qualité architecturale de l’édifice, l’immeuble n’était pas une unité d’habitation au sens où Le Corbusier l’entendait. L’originalité de la Cité Billardon tient en réalité au procédé constructif qui fut utilisé lors de son édification. Elle fut la toute première à expérimenter en France le procédé de préfabrication Estiot, réutilisé par la suite pour la construction de plusieurs grands ensembles, comme le Noyer-Renard à AthisMons, la Cité des 4000 à la Courneuve, la Grâce-de-Dieu à Caen, la Croixdes-Oiseaux et Champ-Fleury à Avignon, le Gros Buisson à Épinay, SainteBarbe à Metz, le Haut-du-Lièvre à Nancy, les tours du Lancy à Genève ou encore des bâtiments d’habitation à Alger. Le mode constructif, repris sur celui des gratte-ciel américains, associait l’acier en ossature et le béton en pré-enrobage avec une majeure partie réalisée en atelier. Le procédé donnait des résultats évidents: précision remarquable, rapidité d’exécution, peu ou pas d’installations de chantier – suppression des coffrages, des étayages, des échafaudages – et surtout économie considérable de main-d’œuvre. Il s’agissait des prémices d’industrialisation dite lourde du bâtiment. Forte de cette première expérience, la commune avait ensuite réalisé deux autres cités de même type, Épirey, puis Lochères. Mais le modèle de Billardon fut perverti: dans une logique de réduction des coûts de production et de rapidité d’exécution, tous les espaces peu productifs comme les logements en duplex, les cellules commerciales, ou les très grands halls, ont été supprimés. Les deux cités comprennent 348 logements, relativement mal desservis et sans attrait, des petits logements sur un seul niveau La démolition de Billardon n’a donc évidemment pas la même signification, Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne « BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE » Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne ni les mêmes conséquences que celles d’Épirey ou des Lochères, déjà démolies en 1992 et 2000. Cet immeuble possédait une fonction symbolique incontestable, une place à part dans la vie des résidents qui s’y sont succédé, comme dans la mémoire des habitants du quartier. Les récits que nous avons pu recueillir auprès d’une trentaine d’anciens résidents de l’immeuble nous offrent différentes représentations de l’histoire de

Billardon, et des personnes qui y ont vécu ou travaillé d’avril 1955 à décembre 2002. Les témoignages des plus anciens, arrivés parmi les premiers, en 1955, répondent aux histoires des plus jeunes, derniers occupants du rafiot, aujourd’hui démoli. Ils sont venus d’horizons divers, de Côte-d’Or, de Bretagne, d’Alsace, de la région parisienne, du Maroc, d’Algérie, du Portugal, du Cambodge ou d’ailleurs et leurs paroles traduisent l’enracinement profond de leurs souvenirs de Billardon, que certains n’auraient jamais voulu quitter. Bien sûr, la mémoire n’est pas «objective». Le discours s’élabore toujours à partir d’un présent et la disparition engendre certainement une nostalgie conduisant à magnifier les bons moments et à tempérer les plus pénibles. Mais en faisant imploser Billardon, c’est bien tout un pan de leur vie que l’on a réduit en poussière. Chaque témoin traduit avec ses mots ces petits faits de la vie quotidienne, souvent jugés sans importance, petits riens ou traumatismes, anecdotes ou événements tragiques, qui ont marqué leur sensibilité.« Une verrue dans le quartier»C’est pour ces différentes raisons esthétiques, historico-culturelles – témoignage de l’histoire des villes – et socio-symboliques – mémoire des hommes – que la Direction de l’Architecture et du Patrimoine (DAPA) du ministère de la

Culture avait décidé de répertorier la Cité Billardon parmi les immeubles représentatifs de l’architecture du XXe siècle. L’immeuble avait reçu le label «Patrimoine du XXe siècle» à la fin des années 1990. Or, ce processus de «patrimonialisation» était inconcevable pour de nombreuses personnalités locales, voire de nombreux habitants du quartier. Stigmatisé comme une «verrue» dans le quartier, l’immeuble était devenu un véritable cauchemar: dégradations, violence, difficultés et «mal-vivre» constituaient le quotidien de locataires excédés, souvent «assignés à résidence». Bagarres, agressions, cambriolages, drogue, vitres brisées, ascenseurs en panne, alimentaient manchettes de journaux et témoignages, décrivant le naufrage d’un immeuble à la dérive, devenu symbole de tous les maux. La démolition paraissait donc inéluctable, comme une délivrance, la promesse d’un avenir meilleur. Les partenaires institutionnels se devaient de mettre en scène leur capacité à changer la vie des habitants du quartier, réparer les erreurs d’une période de l’urbanisation contemporaine, dont Billardon était l’un des symboles les plus représentatifs. L’idée d’une enquête ethnographique sur l’édifice et ses locataires avait donc « BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE » Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne du mal à passer dans la réflexion de certains décideurs. La mise en œuvre du projet, initié par le service Inventaire de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) de Bourgogne, sur les budgets de l’opération de renouvellement urbain du quartier, fut bloquée administrativement pendant plusieurs mois. Entre-temps, tous les locataires de l’immeuble avaient été relogés… (la dernière famille quitte son logement le 23 décembre 2002).

Une histoire des grands ensembles? Le travail de recherche historique sur les grands ensembles est rendu aujourd’hui d’autant plus difficile à faire comprendre que la ville issue des Trente Glorieuses est souvent considérée, avec la politique publique qui l’a programmée, comme une vaste erreur collective (A. Fourcaut). L’architecture des «tours» et des «barres», du «chem« BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE » Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne. Photographie, histoire et sociologie, de monographies locales – Saint-Étienne, Villeurbanne, etc. – publiés ces dernières années sur ce thème en témoigne clairement.Cependant, on est encore loin du compte. Si plusieurs urbanistes, historiens, géographes ou sociologues1 ont récemment contribué à une meilleure connaissance du sujet au niveau national et international, l’histoire de ces quartiers d’habitat collectif reste un terrain largement méconnu, à peine exploré par les historiens locaux. En Essonne, à quelques exceptions près – Draveil, Viry-Châtillon, les Ulis, Athis-Mons ou Grigny –, rares sont les monographies ou les études locales à accorder une place de choix à l’analyse et à la présentation de ces bouleversements. Les mauvaises volontés, auxquelles nous avons parfois été confrontés dans le cadre de nos recherches dans le département témoignent des réticences que continue de susciter toute démarche d’enquête et d’analyse sur la mémoire et le devenir des grands ensembles.

La transformation en cours ou à venir d’une vingtaine de sites en Essonne dans le cadre du Programme national de rénovation urbaine, institué par la loi Borloo du 1er août 2003, et la priorité donnée à la démolition-reconstruction,

sur fond de crise du logement social, devraient pourtant poser avec plus d’acuité la question de l’appréciation de ce patrimoine départemental. De nombreuses communes mobilisées dans des programmes d’intervention n’ont qu’une vision très partielle de l’histoire de ces quartiers, de leurs évolutions, dont les conséquences ne sont envisagées le plus souvent qu’à travers le prisme d’une crise sociale impossible à juguler. Or, n’est-il pas singulier, voire dangereux, d’entreprendre des opérations de transformation urbaine aussi radicales, sans même commencer par chercher à comprendre comment, par qui et pour quelles raisons ces espaces ont été construits ou transformés, sans évaluer dans certains cas l’impact des politiques précédemment engagées?Richesse patrimoniale ou héritage encombrant, définir une nouvelle vision de la ville exige un travail d’enquête, d’expertise, une capitalisation des expériences, rarement mis en œuvre.Et c’est sans doute là le talon d’Achille d’une politique de transformation

urbaine menée dans l’urgence, qui ne peut se nourrir de capitalisation critique, et occulte le rôle crucial de l’accompagnement qualitatif et de la sensibilisation et/ou de la formation des élus, des services de l’État et des collectivités, des opérateurs et des aménageurs, des bailleurs.Ces images devenues presque ordinaires de parpaings, pans de bétons fracassés, vitres brisées laissent songeur: quel regard les résidents – et notamment

les plus jeunes – pourront-ils bien porter à l’avenir sur un environnement si violemment rejeté? Pourquoi respecter ce qui n’est bon qu’à être démoli?

Pour n’en citer que quelques-uns : FORTIN J-P., Grands ensembles. L’espace et ses raisons, Plan Urbanisme Construction Architecture (PUCA), 1997 ; PEILLON P., Utopie et désordre urbains. Essai sur les grands ensembles d’habitation, La Tour d’Aigues, Editions de l’Aube, 2001 ; DUFAUX F., FOURCAUT A., SKOUTELSKY R., Faire l’histoire des grands ensembles. Bibliographie 1950-1980, ENS éditions, 2003 ; TOMAS F., BLANC J-N., BONILLA M., Les grands ensembles, une histoire qui continue…, Publications de l’université de Saint-Etienne, 2003 ; DUFAUX F., FOURCAUT A. (dir.), Le monde des grands

ensembles, Créaphis, 2004.« Pour une histoire des grands ensembles en Essonne », Les Cahiers de la Maison de Banlieue et de l’Architecture, n° 11, mai 2005« BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE »

Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne

Les enjeux du projet

À Dijon, le projet a mis de long mois à se concrétiser. L’enjeu de ce travail était double:

■ Un enjeu de connaissance et d’analyse de l’histoire et des différentes étapes de l’évolution urbaine et sociale de l’immeuble et du quartier, des vécus, trajectoires résidentielles et familiales des habitants de la cité. Il a été réalisé à travers:

– une recherche historique dans les archives du bailleur, de la commune, des journaux locaux, de l’agence d’urbanisme, etc., replaçant l’étude dans le contexte général de l’histoire de la France de la Reconstruction et des quarante dernières années;– une écoute, dévoilant les différentes représentations de ce quartier, non plus

à partir de critères ou de théories de spécialistes, mais en suivant pas à pas(mot à mot) les trajets, les images qu’y déposent les habitants et les acteursdu quartier. Le travail artistique – photographies, textes – ayant alors pour fonction de réintroduire ces regards croisés dans la circulation de la ville,d’en faire des éléments de partage, de réflexio« BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE »Centre de Ressources Politique de la Ville en EssonneCes recherches ont permis de retracer les différentes étapes de construction et de transformation de cet immeuble dans son territoire, ainsi que l’évolution d sa composition socio-démographique. Une iconographie importante a pu être collectée et répertoriée sur CD-Rom. Une présence longue – deux à trois jours par semaine pendant cinq mois – a été assurée sur le terrain, favorisant notre immersion et l’observation du quotidien des habitants du quartier, le recueil d’une parole informelle, permettant d’expliciter notre démarche, ses objectifs, son intérêt, l’instauration d’une quotidienneté, de relations de confiance. Pour cela, une présence régulière aux différentes manifestations, aux réunions et aux événements publics liés au quartier et une fréquentation de lieux de rencontre et d’échanges préalablement identifiés ont été nécessaires.Des rencontres collectives et individuelles ont été organisées avec les partenaires – associations, structures et personnes-relais sur le quartier – nous permettant d’être rapidement identifiés et de baliser précisément notre rôle – le rôle de chacun – dans le projet, de recueillir leur connaissance du terrain, leurs représentations et leurs réflexions sur le projet. Les ateliers avec les techniciens, les élus et les associations concernées devaient définir précisément: ● les objectifs à court, moyen et, le cas échéant, long terme;

● les actions à court, moyen et long terme;

● les modalités de leur déroulement.

Ces rencontres avaient également pour objectif de faire fonctionner le«bouche-à-oreille», qui demeure bien souvent le principal vecteur d’information pour ce type de démarche. Elles nous permettaient également de nouer des premiers contacts avec les habitants et les personnes-relais impliqués dans la vie du quartier. Ont été mis en œuvre:

● un moment de rencontre-discussion avec les habitants sous la forme d’une soirée projection-débat: présentation du travail de recueil de mémoire, personnes et structures porteuses, méthodes, finalités; définition en commundes modalités de leur participation au projet.

● sollicitation et information de la presse locale (journaux, radio, télévision), des bulletins associatifs, de la communication institutionnelle (ville, communauté

d’agglomération, bailleur, etc.) pour relayer et présenter le plus précisément possible la démarche entreprise et les personnes en charge de ce travail;

● des entretiens compréhensifs, individuels, en couple ou en petits groupes sous la forme d’entretiens semi-directifs de type «récits de vie(s)», recueillisauprès d’habitants ou d’anciens habitants du quartier, de professionnels travaillant ou ayant exercé leur activité dans le quartier, d’élus ou de responsables associatifs.

« BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE »

Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne

Les entretiens ont été enregistrés et traités sur support numérique – mini-disc –, et les documents et les objets soigneusement inventoriés et/ou scannés.Ces entretiens avaient pour objectifs d’enregistrer non pas l’histoire de ce quartier, mais la manière qu’avaient nos interlocuteurs de dire leur propre histoire, cequi faisait mémoire pour ces personnes en contact étroit avec le quartier, natifs ou de passage, enracinés ou nouveaux venus. Il s’agissait de souvenirs, d’impressions d’enfance, de petits faits de la vie quotidienne parfois jugés sans importance, d’événements heureux ou tragiques, qui ont marqué leur sensibilité. Cela supposait donc que l’on prenne le temps, précisément de parler et d’écouter. Les entretiens se sont déroulés de préférence au domicile des personnes, pas dans la rue ou une salle impersonnelle, mais dans la sphère privée plus à même de laisser subvenir ces épopées de l’intime. L’objectif n’était pas de faire une archéologie du quartier, ni même d’enfermer nos interlocuteurs dans la norme de la personne-type qui habite un grand ensemble, mais bien de montrer que cet immeuble était composé de fragmentsde vies, de destins d’hommes et de femmes singuliers. Il s’agissait de montrer

comment, à un moment donné, ces personnes, venues parfois d’horizons lointains, se sont arrêtées là et ont enrichi ce lieu de leurs histoires et de leurs trajectoires particulières.

Nous avons donc insisté sur les trajectoires familiales et professionnelles de chacun: origines, parcours résidentiels, étapes et ruptures de vies – mariage, naissances, emplois successifs, divorces, décès, etc. –, points de repères autour desquels chacun construit «son temps», étapes qui organisent la durée, le vécu familial, domestique, les faits d’une vie et les événements de l’histoire. Le souvenir trouve également un support concret dans l’espace et les multiplesbouleversements du bâti et du cadre de vie. Démolitions, reconstructions,aménagements, suscitent une perte de repères, et invitent d’autant plus à faireun travail de mémoire. Dans cette perspective, ont été évoqués les souvenirs attachés plus précisément au quartier des Grésilles et à l’immeuble Billardon.Les personnes interrogées ont été invitées à s’appuyer le plus largement possible sur des descriptions détaillées (déménagement, logements successifs, accessibilité au travail ou aux équipements et services, nombre et identité des commerces, relations de voisinage, espaces collectifs), leurs pratiques (loisirs, vie scolaire, pratiques commerciales, etc.), les événements (fêtes, accidents, etc.) ou personnes marquantes; leurs perceptions du quartier et de son évolution – qu’ils y habitent toujours ou pas –, leurs projections éventuelles dans l’avenir (liste de thèmes non exhaustive).De février à juin 2003, une quinzaine d’entretiens ont pu être réalisés auprès d’une trentaine d’anciens locataires de l’immeuble, des premiers résidents de

Billardon dans les années 1950 aux derniers occupants, récemment relogés. « BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE » Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne Des outils pour l’action: la restitution Tout au long de l’étude, nous avons rencontré et consulté régulièrement l’ensemble des institutions et des partenaires concernés par la démarche, afin de leur soumettre les premiers éléments de notre travail, recueillir leurs commentaires, leurs suggestions et critiques. Ces rencontres ont été l’occasion de partager une réflexion, d’élaborer des propositions de restitution aux différents publics.Malgré nos craintes initiales, une restitution de qualité a pu être proposée aux habitants, grâce à l’implication très forte de l’Opac de Dijon, véritable porteur du projet, et dans une moindre mesure du service Inventaire de la Direction régionale des affaires culturelles de Bourgogne. Leur implication a permis de trouver différents partenaires financiers, comme la Caisse des Dépôts et Consignations ou la communauté d’agglomération.

De notre côté, sur la base du rapport et du reportage photographique que nous avions remis à nos commanditaires, nous avons pu convaincre les éditions

Créaphis, reconnues pour la qualité de leurs publications de documents d’histoire, de sciences sociales et de photographie, de formuler une proposition éditoriale de qualité. Sur la base de nos recommandations, deux pistes de restitution ont été privilégiées:

● une exposition, événement fort et fédérateur, pouvant susciter des échanges,des moments de rencontre entre habitants du quartier et résidents extérieurs,

dans une optique d’ouverture du quartier au reste de la ville, les productions de certains groupes d’habitants pouvant être également valorisées, ainsi que les objets ou films recueillis dans le cadre du projet;

● une publication, associant textes et documents d’archives sur l’histoire du quartier, une sélection de témoignages et de photographies professionnelles

et amateurs, et accompagnant cette exposition, pour une diffusion plus large des résultats de l’opération, et une appropriation durable du projet par les habitants du quartier et les autres résidents de l’agglomération.Cette restitution avait également pour objectif de mettre en lumière les différentes préoccupations des habitants, permettant aux acteurs de terrain de disposer d’une base de connaissances pour définir et programmer leurs interventions, à court, moyen et long terme. Un tel travail fait émerger des représentations collectives, des divergences, des tensions qu’il faut savoir analyser et traiter pour améliorer les rapports sociaux et les conditions de vie des habitants.Encore faut-il que ces paroles soient prises en compte pour permettre aux institutions de redéfinir leurs modes d’intervention sur la ville: vaste chantier… Sylvain TABOURY,sociologue, enseignant à l’école d’architecture de Versailles Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.. Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Jérôme (Mémoire2Ville) #chercheur #archiviste #maquettiste dans l #histoire des #logementssociaux #logement #HLM #logementsocial #Patrimoine @ Les films du MRU -Industrialiser la construction, par le biais de la préfabrication.Cette industrialisation a abouti, dans les années 1950, à un choix politique de l'Etat, la construction massive de G.E. pour résoudre la très forte crise du logement dont souffrait la France www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... … Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije Noisy-le-Sec le laboratoire de la reconstruction, 1948 L'album cinématographique de la reconstruction maison préfabriquée production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, 1948 L'album cinématographique içi www.dailymotion.com/video/xwytke archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..

passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document Gwenaëlle Le Goullon (LAHRA), auteur du livre "la genèse des grands ensembles",& Danièle Voldman (CHS, Centre d'Histoire Sociale), expliquent le processus qui a conduit l'Etat, et le ministère de l'urbanisme &de la reconstruction à mener des chantiers exp www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... mémoire2cité & l'A.U.A. - Jacques Simon (1929 - 26 septembre 2015) est un architecte paysagiste formé à l'École des beaux-arts de Montréal et à l'École nationale supérieure du paysage de Versailles. Fasciné par la campagne qui témoigne d'une histoire de labeur, celle des agriculteurs "ses amis", "les génies de la terre", Jacques SIMON, paysagiste dplg, Premier Grand Prix du Paysage en 1990*, réalise avec eux des installations paysagères éphémères principalement dans des champs et visibles du ciel. Avec sa palette d'artiste, Jacques SIMON réinvente des paysages comme les agriculteurs eux-aussi à leur façon les créent et les entretiennent. Le CAUE du Rhône vous invite à venir découvrir ses travaux au travers d'un kaléidoscope de photographies empreintes de spontanéité, de fraîcheur et d'humour. Cette exposition nous interpelle sur le caractère essentiel d'une nature changeante, fragile, sur l'importance d'une activité agricole diversifiée et sur la nécessaire évolution du métier de paysan. Elle nous amène aussi à voir et à interpréter ce que l'on voit, elle éveille en nous le sens de la beauté du paysage en conjuguant les différentes échelles de perception et de lecture; à pied et à vol d'oiseau, à la fois l'échelle humaine, terrestre, géologique, forestière, hydrologique, biologique mais aussi esthétique et symbolique. Jacques Simon, paysagiste cosmopolite est l'un des principaux acteurs du renouveau de la pensée paysagère en France dans les années 60 et 70 conjuguant avec cohérence sa pratique de paysagiste, de voyageur, d'éditeur, d'enseignant avec son approche plus artistique du paysage, subtile, sensible et humaine de la nature avec la réalisation de "performances". Ses projets paysagers comme ses interventions paysagères éphémères sont marqués par la mobilité, la fragilité, une empathie avec le lieu, par la dualité même du voyage : découverte / évanouissement, création / disparition. Jacques Simon dessine, écrit sur le paysage, "une surface", un peu à la manière du land'art avec les techniques et les outils du jardinier, du cultivateur. Il ne s'agit plus de représenter la nature mais de l'utiliser en créant avec et dans le paysage. L'intention de Jacques Simon n'est pas d'apposer sa marque sur le paysage mais de travailler instinctivement avec lui afin que ses travaux-installations manifestent même brièvement un contact en harmonie avec le monde naturel. "On dit qu'il a bouleversé l'esprit du paysage, il a remis les choses essentielles à leur place. Il rit de l'importance qu'on veut bien lui donner, fils de l'air, il ne veut rien de plus que passer dans les cerveaux pour les ventiler, les rafraîchir et non pour les modeler; son "importance", il l'a ailleurs et autrement; il est historique parce que dans son temps, dans celui qui s'écoule et non dans celui qui passe". Extrait de "Jacques Simon, tous azimuts", Jeanne-Marie Sens et Hubert Tonka, Pandora Editions, 1991. Il a introduit une nouvelle conception de l'art du paysage proche du Land art, Jacques Simon est l'auteur d'une série d'ouvrages sur différents aspects du paysage et abordés d'un point de vue technique. Il a travaillé de 1964 à 1966 en collaboration avec Michel Corajoud. Il a conçu le Parc de la Deûle (qui lui a valu le Grand Prix national du Paysage en 2006, après l'avoir reçu une première fois en 19901).

Il est mort le 29 septembre 20151 et a été incinéré à Auxerre Le paysagiste Jacques Simon s'est éteint le 26 septembre dernier à l'âge de 86 ans. Diplômé de Versailles en 1959, il fut sans doute l'une des figures les plus emblématiques, les plus géniales et les plus originales du paysagisme contemporain. Premier grand prix du paysage et prix du Conseil de l'Europe pour le parc de la Deule, on lui doit des principes de compositions très forts, autour du nivellement, du traitement du végétal ou de la place laissée au vide. Ses intuitions comme ses travaux ont inspiré tous les paysagistes avec lesquels il a travaillé, à commencer par Michel Corajoud ou Gilles Vexlard. On lui doit un profond renouvellement dans la composition des grands ensembles, ses réalisations -comme le parc Saint-John Perse à Reims- restant des modèles pour tous les professionnels. Jacques Simon développa également une production d'œuvres plus éphémères, attentif aux mouvements et aux transformations. Pédagogue talentueux et généreux, il le fut autant par les documents techniques et la revue qu'il publia, que par ses interventions en atelier devant plusieurs générations d'étudiants de l'école. Les paysagistes perdent un de leurs plus féconds inspirateurs. L'ENSP s'associe au deuil de sa famille et de ses proches. Témoignages à la mémoire de Jacques Simon

Dans les années 1990 à l'école du Paysage de Versailles, lorsque nous entrions en première année, la première satisfaction était d'acquérir du nouveau matériel d'expression plastique. Encre, feutres, supports en grand format et sur papier calque...mais aussi découvrir des livres de notre professeur Jacques Simon : des carnets de dessins et de croquis, des photomontages découpés aux ciseaux.

En amphithéâtre lors de conférences et séances de projections de diapositives, Jacques Simon évoquait surtout sa capacité à piloter un hélicoptère. Je viens de retrouver un extrait d'un article à ce sujet..« (...) Car depuis une dizaine d'années, le Bourguignon a trouvé une solution à son imagination en bourgeonnement permanent. Jacques Simon crée ‘pour lui tout seul'. Ni commande ni concours. Mais des messages géants écrits dans les champs et seulement visibles d'avion ou d'hélicoptère. Un art éphémère et privé dont il s'amuse, les veilles de moissons, tout autour de sa ferme de Turny, dans l'Yonne.Et là, plus rien ne l'arrête. Les agriculteurs du coin ont pris l'habitude de le voir faucher des allées entières de luzerne. De l'apercevoir écraser d'interminables chemins de phacelia, un graminé californien qui existe en trois couleurs (blanc, bleu, rouge). De l'observer dans son hélicoptère photographiant le résultat. Ses messages sont des hommages ou des avertissements. L'un prévient : ‘Hé, si tu n'as plus de forêt t'es foutu.' Un autre : 'Sans les paysans, je m'emmerde. Signé : la Terre.' Même l'hiver, Jacques Simon s'adonne à cette calligraphie paysagère. (...) ».Extrait paru dans La Croix l'événement du dimanche 11 et lundi 12 juin 1995, par Frédéric Potet, rubrique Culture. son site simonpaysage.free.fr/

file:///C:/Users/user/Downloads/B_Blanchon_AUA.pdf Interview to Jacques Simon incleded on the dvd that accompanies book "Metropoles en Europe", from the exhibition "Lille - Metropoles en Europe". The French landscape architect Jacques Simon's love for nature first developed on his father's tree farm and then deepened when he traveled as a young man to Sweden and then Canada, where he attended art school in Montreal while working as a lumberjack. Between 1957 and 1959, Simon studied at the École Nationale de Horticulture. He has since become an important link in the renewal of French landscape architecture, combining the Anglo-Saxon and Scandinavian garden cultures he absorbed in his travels with classic Latin structures. He works as often as possible in situ, and does not shy away from driving the tractor himself.

www.youtube.com/watch?v=OyBnqrUlK9U turny.chez.com/A0archives/jSIMMON.htm Jacques Simon, Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». Même l'hiver, il s'adonne à cette calligraphie paysagère».La Croix dimanche 11 et lundi 12 juin 1995, simonpaysage.free.fr/ Jacques Simon écrit ses premiers articles dès la fin des années 1950 pour des revues comme Maison et Jardin et Urbanisme. En 1965, il signe l’un de ses premiers livres, L’Art de connaître les arbres. strabic.fr/Jacques-Simon-Gilles-Vexlard … jacques simon & Le parc des Coudrays - Élancourt-Maurepas, 1970 strabic.fr/Jacques-Simon-Gilles-Vexlard … simonpaysage.free.fr/ Jacques Simon - Espaces verts n° 27, avril-mai-juin 1971, p. 44-45 Fasciné par la campagne qui témoigne d'une histoire de labeur, celle des agriculteurs "ses amis", "les génies de la terre" paysagiste dplg, Premier Grand Prix du Paysage en 1990*, www.youtube.com/watch?v=OyBnqrUlK9U …ici es EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg ,

A partir des années 1950, le trafic de la banlieue parisienne suit l’urbanisation galopante et les dessertes ferroviaires doivent s’adapter et se moderniser.Quelques amateurs ont su immortaliser un monde ferroviaire qui était alors en voie de disparition. Dans ce film, nous retrouvons les dessertes 750 volts par troisième rail en rames « Standard » sur les lignes de Versailles-RD, sur la ligne d’Auteuil et entre Puteaux et Issy-Plaine mais aussi les derniers trains à vapeur à St Lazare, à La Bastille et sur le Nord et quelques ultimes voyages sur les lignes de Ceinture --------------De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète. www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique. Liaisons dangereuses

En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme. le Logement Collectif* 50,60,70's dans tous ses états..Histoire & Mémoire de l'Habitat / Rétro-Villes / HLM / Banlieue / Renouvellement Urbain / Urbanisme URBANISME S’imaginer Paris et le Grand Paris @ Les 50ans d'Apur (link: 50ans.apur.org/#intro) 50ans.apur.org/#intro @ Où en est l'histoire urbaine des sociétés contemporaines ? Cet ouvrage, inspiré par Annie Fourcaut, qui contribua de manière décisive à son développement, propose un état des lieux de ce champ et explore des pistes de recherche ouvrant l'histoire urbaine à une variété de " genres ". Où en est l'histoire urbaine des sociétés contemporaines ? Cet ouvrage, inspiré par Annie Fourcaut, qui contribua de manière décisive à son développement, propose un état des lieux de ce champ. De Femmes à l'usine (1981), Bobigny, banlieue rouge (1986), à La banlieue en morceaux (2000), en passant par les publications collectives qu'elle a coordonnées et les travaux qu'elle a encadrés, la trajectoire de cette historienne a conduit l'histoire sociale et politique – telle qu'on la pratiquait dans les années 1970 – vers une histoire urbaine renouvelée. Le livre revient sur cette évolution et explore des pistes de recherche ouvrant l'histoire urbaine à une variété de " genres ". Les auteurs, historiennes et historiens, sociologues, politistes, géographes, architectes, urbanistes et décideurs politiques proposent une histoire urbaine à la fois interdisciplinaire et ancrée dans la fabrique de la ville et ses représentations, portant la marque de sa dédicataire.Les quatre sections de l'ouvrage dessinent les chantiers qu'Annie Fourcaut a investis : " Du social à l'urbain " met en avant la conviction qu'étudier l'histoire des villes, c'est toujours faire de l'histoire sociale ; " Qu'elle était belle la banlieue " est centré sur les banlieues, son territoire d'étude de prédilection ; " Les habits neufs des politiques de la ville " interroge les politiques urbaines successives et leur transformation ; enfin, " Banc d'essai des modernités " propose une analyse historique de l'urbanisme, comme discipline et comme pratique. www.benjamingibeaux.fr/portfolio/petite-histoire-de-lhabi... Le Label « Patrimoine du XXe siècle » créé en 1999 par le ministère de la Culture et de la Communication a pour but de faire connaître l’architecture de cette période. La comparaison des labellisations réalisées par les DRAC d’Île-de-France et d’Occitanie (ex Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées) montre la variété des méthodes employées pour rendre compte soit de l’importance numérique des édifices remarquables soit de la difficulté à établir ce corpus et de la nécessité de s’appuyer sur les inventaires ou études thématiques ou monographiques. Si l’attribution du label, désormais appelé "Architecture contemporaine remarquable" s’est faite depuis vingt ans de façon très diverse selon les régions, elle est toujours l’occasion de mettre en lumière et de porter à la connaissance du public des œuvres architecturales remarquables, notamment via une augmentation impressionnante des publications de qualité sur l'architecture du XXe siècle. En 1999, le ministère de la Culture et de la Communication propose la mise en place d’un nouvel outil pour permettre la reconnaissance et la sauvegarde des constructions élevées au cours du siècle qui s’achève. Le label « Patrimoine du XXe siècle » est une déclinaison nationale de la recommandation du conseil de l’Europe sur la prise en compte de l’architecture du XXe siècle. Ce dernier évoque, pour la conservation de ce patrimoine « moins reconnu », une absence d’intérêt « en raison de sa proximité dans l’Histoire, de l’abondance de ses témoignages et de son caractère hétérogène » et sa crainte de « pertes irréparables »2 . Le label mis en place par la France vise à appeler « l’attention des décideurs, des aménageurs, mais aussi et surtout de ses usagers et du public sur les productions remarquables de ce siècle » Chargées de mettre en place le label, les directions régionales des affaires culturelles (Drac), services déconcentrés du ministère de la Culture, ont à cette date déjà construit, chacune à sa manière, leur approche de la préservation du patrimoine du XXe siècle. Elles s’emparent alors diversement du label, appliquant de facto des labellisations aux immeubles de ce siècle déjà protégés au titre des monuments historiques4 ou mettant en place de véritables stratégies pour répondre pleinement aux attendus de la directive nationale. À partir de nos expériences, il nous a paru intéressant de montrer la diversité de la mise en place du label dans trois Drac parmi d’autres, l’Île-de-France ainsi que Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées qui composent aujourd’hui la région Occitanie5. Pour chacune de ces Drac, il s’agit de montrer comment la connaissance de ce patrimoine, mais aussi ses particularités territoriales ont joué un rôle important dans le choix des méthodologies de sélection des œuvres à labelliser ainsi que la détermination de critères, et de présenter les résultats et les actions de valorisation menées pour faire connaître et apprécier ces créations architecturales récentes. Le label « Patrimoine du XXe siècle » en Île-de-France : gérer l’abondance La Drac Île-de-France s’est emparée tardivement du label « Patrimoine du XXe siècle », pour plusieurs raisons. Parmi les freins à l’action, il faut citer la question du pilotage de la mise en place du label entre différents services de la Drac, les interrogations liées à l’opportunité de ce nouveau dispositif et un relatif scepticisme quant à son efficacité, l’ampleur de la tâche au vu du corpus concerné, le plus important de France en quantité et sans doute en qualité, mais surtout l’engagement pris de longue date par cette Drac et les membres de sa commission régionale du patrimoine et des sites (CRPS) en faveur du patrimoine du XXe siècle. En effet, c’est sans doute dans cette région que l’on protège le plus grand nombre d’édifices contemporains au titre des monuments historiques : dans la première décennie du XXIe siècle, selon les années, 50 à 70 % des protections concernent des édifices construits au siècle précédent. Ainsi, ce nouveau dispositif, dépourvu de dispositions contraignantes, étranger à la culture de la conservation régionale des monuments historiques (CRMH) dont l’action est liée à la protection, peinait à démontrer son intérêt au regard de ce qu’offre la législation sur les monuments historiques. Cependant, au vu de l’enjeu que constitue la préservation de l’architecture contemporaine en Île-de-France, lié à la fois à l’ampleur de la production et aux évolutions urbaines et réglementaires constantes engageant sa conservation, la question de la mise en place du label était régulièrement posée à la Drac. Pilotée par la CRMH, la première expérience de labellisation y fut menée en 2004. Elle s’inscrivait dans la suite de l’étude menée par le groupe d’experts dirigé par Bernard Toulier, conservateur du Patrimoine au département du pilotage de la recherche et de la politique scientifique du ministère de la Culture, qui avait produit une liste d’édifices du XXe siècle repérés en bibliographie, inventaire devant servir de base à la constitution de propositions de labellisations. Selon la méthode suivie par ce groupe d’experts, on fit le choix de présenter tous les immeubles concernés regroupés par larges typologies. Les membres de la CRPS, devant lesquels fut présentée cette liste d’édifices, rejetèrent en bloc la sélection où voisinaient l’aérogare 1 de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle et la modeste mairie du 17e arrondissement de Paris présentée à la demande de son maire, arguant de l’impossibilité à valider le choix d’édifices que rien ne rapprochait. De plus, nombre des immeubles retenus étaient candidats à la protection au titre des monuments historiques, brouillant de fait l’identité du label et réfutant du même coup la conception un temps énoncée du label comme « antichambre » de la protection. En effet, si la grande qualité de la plupart des édifices sélectionnés montrait toute la richesse des créations contemporaines franciliennes, la seule présentation des plus remarquables d’entre eux résultait d’une absence de sélection argumentée, selon l’esprit du label. La présentation de cette première liste en CRPS tourna donc court. - La question des critères de sélection a été débattue à la lumière de l’expérience de la labellisa (...) En 2008, toujours sous l’impulsion du service des monuments historiques, une nouvelle orientation fut prise. Un pilotage, un groupe de travail, un objectif furent mis en place. Trois orientations furent définies : selon les recommandations de la CRMH de la région PACA, procéder par thématiques typologiques, méthode propice à l’élaboration de critères de sélection ; cibler un patrimoine déprécié ou en danger, pour répondre parfaitement aux attendus de la directive européenne ; pour cette première campagne de labellisation, choisir un champ vierge de reconnaissance patrimoniale, éloigné de la protection au titre des monuments historiques afin d’éviter toute confusion entre les édifices labellisés et les édifices protégés. Le thème des ensembles de logements, nombreux dans cette région, s’est naturellement dégagé. À géométrie variable, le groupe de travail dirigé par la cellule protection était formé d’un premier cercle pérenne, garant de la cohérence de la démarche de labellisation et des choix des thématiques, et d’un second, composé de spécialistes de chaque thématique retenue. Le premier cercle était constitué d’agents de la Drac (conservation des monuments historiques, service architecture, un architecte des bâtiments de France, chargé de faire le lien avec l’ensemble des services départementaux de l’architecture et du patrimoine de la région), de représentants du monde universitaire et de la recherche dans le domaine de l’architecture du XXe siècle.

Pour les ensembles de logements, le second cercle du groupe de travail a permis d’associer des acteurs de terrain, des représentants des bailleurs sociaux, des experts. Le sujet fut restreint chronologiquement (1945-1975), son acception précisée (habitat collectif et individuel) et le corpus, basé sur les inventaires existants et la bibliographie, fut établi à partir des critères élaborés par le groupe de travail : histoire, forme urbaine, valeur d’usage, technique, style - Composée d’environ un tiers de ses membres, la délégation permanente est une émanation de la CRPS (...) De façon exceptionnelle, la liste des ensembles de logements fut en premier lieu présentée devant les membres de la délégation permanente de la CRPS7 pour en valider les orientations et s’assurer de l’adhésion des membres, à la fois pour ne pas risquer de réitérer l’expérience malheureuse de 2004 mais surtout pour interroger la commission sur le bien-fondé à distinguer ces ensembles de logements d'après-guerre, constructions parmi les plus décriées du XXe siècle.

La méthodologie proposée a conduit à la labellisation d’une première série d’immeubles, quarante ensembles de logements en 2010 (fig. 2, 3), puis d’une seconde série de soixante-quinze lieux de culte en 2011 (fig. 4, 5). Les critères peuvent être adaptés ou précisés selon le thème retenu : pour les édifices religieux, la qualité et l’originalité du décor furent ajoutés et la valeur d’usage exclue.La méthode choisie a été vertueuse : elle a permis de labelliser un grand nombre d’édifices, d’associer largement les services patrimoniaux de l’État et des collectivités, de créer des synergies avec l’université et les chercheurs, de valoriser l’action de l’État par des présentations en CRPS, des publications, des journées d’études, des expositions, actions relayées par la presse généraliste et spécialisée8 (fig. 6 et 7). Un partenariat pérenne s’est développé avec l’éditeur Beaux-Arts pour la publication de chaque campagne de labellisation, avec diffusion en kiosque au plus près du public concerné pour un prix inférieur à 15 €. Elle a également permis d’impliquer les acteurs de terrain, répondant ainsi à l’objectif visé de sensibilisation du public à cette architecture mal aimée Depuis 2016, la Drac Île-de-France a conduit trois nouvelles campagnes, toutes thématiques, fondées sur des partis méthodologiques diversifiés, adaptés aux sujets d’étude.

- Note méthodologique « Étude du patrimoine du XXe siècle de la métropole du Grand Paris », La manu (...) - La loi relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine (LCAP) promulguée (...) Une campagne vise à identifier les édifices et ensembles contribuant à structurer le territoire de la récente métropole du Grand Paris. L’établissement d’une critériologie et la sélection ont été confiés à un bureau d’études, la Manufacture du patrimoine, associé à un groupe de travail conduit par la Drac. Des critères dits généraux, divisés en critères primaires et complémentaires, ont été retenus. Pour la thématique étudiée, se sont ajoutés sept critères spécifiques répondant aux enjeux de « l’émergence et du rayonnement de la métropole »10. Les grands travaux présidentiels ont été concernés dans un premier temps, aboutissant à la labellisation de dix édifices en novembre 2016, avant une présentation plus large d’édifices emblématiques, retenus pour l’obtention d’un label « Architecture contemporaine remarquable »11 en juin 2018.

- Introduite par la loi relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine (LC (...) De façon innovante, la Drac a conclu un partenariat avec l’école nationale supérieure d’architecture (ENSA) Paris-Belleville avec laquelle elle s’est associée dès l’élaboration du premier label (colloque, exposition, travaux avec l’IPRAUS). Le thème choisi, inscrit dans la droite ligne du précédent, s’attache à l’étude des villes nouvelles. Par son caractère récent et spécifique dans l’histoire de la planification urbaine, cet objet d’étude implique une nouvelle approche, menée dans le cadre d’une convention triennale de chaire partenariale avec l’ENSA Paris-Belleville. La méthodologie s’appuie sur la grille d’analyse habituellement employée par la Drac, enrichie pour inclure davantage l’espace public. Des édifices de la ville d’Évry (Essonne), qui manifesta en 2016 son souhait de voir son patrimoine labellisé, ont été présentés en novembre 2018 aux membres de la commission régionale de l’architecture et du patrimoine (CRPA)12 en vue d’une labellisation.- Valérie Gaudard remercie vivement Mmes Agnès Chauvin, cheffe du bureau de la protection, et Maria (...)Enfin, le champ de l’architecture scolaire est abordé dès 2010. Au vu de l’immensité du corpus, la Drac a choisi en 2016 de s’attacher dans un premier temps aux lycées, en lien avec le service de l’Inventaire de la région Île-de-France13.

Le label en Languedoc-Roussillon : une succession d’opportunités V- La Poste Art Nouveau de Tuchan, l’hôtel du Belvédère à Cerbère. - Certains construits vers 1900 relèvent davantage d’une esthétique encore XIXe comme la villa Las (...) - Le 3 octobre 2001, une CRPS dédiée a examiné onze propositions de protection, dont deux seulement (...)

14Dans ce territoire riche en monuments anciens, l’attention pour l’architecture du XXe siècle s’observe dès les années 1980 avec la décentralisation. La commission régionale du patrimoine historique archéologique et ethnologique (Corephae) du 15 décembre 1986 a examiné les premiers dossiers14. Parmi des édifices de la première moitié du siècle, bénéficiant du recul et bien documentés, plus faciles à appréhender15, on peut citer les cliniques Saint-Charles à Montpellier, exemple d’architecture des années 1930, ornées des sculptures monumentales de Joachim Costa et des verrières d’Émile Brière, sauvées in extremis de la démolition. En l’an 2000, une campagne de protection thématique est lancée16, distinguant des bâtiments majeurs de l’entre-deux-guerres, comme le théâtre municipal de Carcassonne, le Palais des Arts et du Travail de Narbonne, le lycée technique Dhuoda à Nîmes, l’église Sainte-Thérèse à Montpellier mais également le centre d’apprentissage pour garçons, actuel lycée Mermoz à Béziers, œuvre de Pierre Jeanneret, à laquelle ont collaborés Jean Prouvé et Charlotte Perriand.

- Monument inscrit MH en 2009 Toujours à Odeillo, un petit collectif de maisons solaires, initiativ (...) Plus récemment ont été inscrits au titre des monuments historiques, le centre de vol à voile de la Montagne Noire, à Labécède-Lauragais, haut lieu de formation des pilotes entre 1932 et 1980 ou des installations solaires en Cerdagne, liées à la personnalité de Félix Trombe dont les recherches aboutissent à la construction entre 1962 et 1968 par le CNRS du four solaire d’Odeillo à Font-Romeu-Odeillo-Via Pourtant, cette architecture du XXe siècle, représentant un nombre de réalisations jamais atteint, restait mal appréciée, mal aimé.

 

View Large On Black

 

Che bella gente.

Che bella gente al tempo della liberazione

gente che torna a voler bene

volti provati dal dolore

ma solidali e sinceri

o anche avversari ma con dentro il cuore tutta un'Italia da ricostruire.

Che bella gente con l'entusiasmo di chi rinasce

e insieme cresce con le miserie e le canzonette

coi nonni ladri di biciclette e il pensionato e il mendicante…

Che bella gente.

Che bella gente che ha immortalato gli anni '60

gente che ride e balla e canta

le notti allegre, la luna piena e il frigorifero in cucina

e quel sorriso incerto e un po' paterno del leggendario Mike Bongiorno.

Che bella gente con le ragazze piene di ardore

con certe cosce e un sederino che fa impazzire

che dopo tutto del mendicante non te ne importa quasi niente.

Che bella gente.

Che bella gente che ha rinnovato tutto il costume con una gran rivoluzione

capelli lunghi nel maschietto dal proletario al baronetto

e poi esplode la minigonna che è anche l'inizio della nuova donna.

Che bella gente col proprio ego sempre più vivo

dal nuovo divo al milionario al grande artista

che vanno tutti da un analista più interessato che interessante.

Che bella gente.

Che bella gente che ha inaugurato gli anni '70

con una sfida non violenta fatta di fiori nei cannoni e di buonissime intenzioni

gente che arriva al proprio orgasmo

tra un tiro d'erba e un po' di femminismo.

Che bella gente col desiderio di cose nuove

che insieme vive il grande sogno con qualche eccesso

e c'era anche Frank Zappa al cesso che sconvolgeva il benpensante.

Che bella gente.

Che bella gente che brulicava in ogni piazza come se fosse un'altra razza

con il coraggio di un progetto per ribaltare proprio tutto

sia nel sociale sia nel sesso con Che Guevara e il fazzoletto rosso.

Che bella gente negli anni tragici del terrore

gente che muore e fa morire senza ragione

e nelle case tutto un paese nella tensione più agghiacciante.

Che bella gente.

Che bella gente che pascolava negli anni '80

senza lasciare mai un'impronta

con l'ottimismo dell'italiano che ci ha portato così lontano

un paradiso dove quasi tutti avevan gli occhi dei ricchi.

Che bella gente che scopre l'arte del rubacchiare

col disinvolto trionfare di qualche genio

che al suo confronto il grande Arsenio è diventato un dilettante.

Che bella gente.

Che bella gente quella di ora

coi suoi modelli, i gran tatuaggi e i vari anelli

un po' abbrutiti fuori e dentro

con la pretesa di essere contro

a imitazione dei rocchettari

che losan tutti che sono miliardari.

Che bella gente che ogni giorno c'ho di fronte

con quell'aspetto quasi innocuo, indifferente

con dei problemi così meschini che ti potrebbero fregare

o per invidia o per vanità o per poche lire.

Che bella gente che ogni sera c'ho di fronte

ipnotizzato da uno schermo fluorescente

con dei giochini tra i più cretini e il conduttore così allegro e commosso

che più è imbecille, più è schifoso, più ha successo.

Che bella gente che io incontro, raramente

in un teatro, a una mostra, a un ristorante

sono capaci di cose atroci, son così bravi a non scoprirsi e a lasciar tracce

ma è tutto scritto nei loro gesti e nelle loro facce.

Che bella gente che son costretto ad ascoltare, voglio dire

gli intoccabili maestri del potere

che mi raccontano con orgoglio che grazie a loro l'Italia va sempre meglio

proprio loro così invischiati con dentro un'anima repellente e con in testa niente.

Che bella gente.

Che bella gente.

Che bella gente.

Che bella gente con le miserie del mondo intero

che sta vivendo il suo futuro

con le speranze e l'ideale di un incantesimo virtuale

assaporando la poesia di un nuovo mondo pieno d'idiozia.

E se fuggite in una casa

in cima a un monte

scegliete un posto che sia davvero disinfestante

che per errore potrebbe entrare un po' di odore del presente.

Che bella gente.

Che bella gente.

G.Gaber

I can't believe I just became someone who uses a selfie stick. (Stephanie's friend Mayte had one.)

 

‪#‎TransPrideSeattle‬

 

...

 

Tess, Gabriel's transgender daughter, is the biggest reason we were all there on Friday evening, and somehow we all managed to squish her almost out of sight in this picture! The girl on the left is one of her best friends, and I don't remember her name. That's Uber-Go-Team-Dad Gabriel in the background; his current wife Kornelija on the right and his ex-wife Stephanie to my right. To Stephanie's right is her friend Mayte, who whipped the selfie stick out of her purse when I said I wanted to get a shot of us all. She offered to take the photo but knowing she was part of the group I told her I wanted her in it. (Turns out Tess's friend's parents were also there so I guess there was a bigger group than I thought, and maybe that means I excluded some people here?) P.S. Mayte was also the name of the woman Prince was married to between 1996 and 2000. She was a belly dancer. I'm pretty sure this Mayte was none of those things.

View On Black

 

You know I had made my mind up to shoot Swallowtails the other day..I never saw any lol I did find this beautiful Red Admiral on my walk tho..The light was bright and I enjoyed watching it for quite some time........I enjoyed this one nectaring upside down..........

 

"The Red Admiral has a two inch (45-50mm) wing span."

 

"This large butterfly is identified by its striking dark brown, red and black wing pattern. More specifically, the dark wings possess orange bands that cross the fore wings and on the outer edge of the hind wings; white spots on the dorsal fore wings near the front margin; reddish bars on dorsal surface of all four wings The caterpillar feeds on nettles, and the adult drinks from flowering plants like the Buddleia and overripe fruit."

 

Happy Canada Day to all my fellow Canadian flickr friends!! I will be catching up later on with everyone..My hometown of Port Credit, Ontario is also celebrating it's 175th Birthday today with a "Paint The Town Red" celebration!! :)

 

www.paintthetownred.ca/

Best viewed LARGE.

Acciones QPM: Establecer como borrador | Mover a la papelera | Forzar el borrado | Editar | Gestionar | Configuraciones QPM

  

Mmm, ¿y ese aroma? Huele a Colonia. Eso quiere decir que falta poco para que arranque la feria alemana, la Gamescom 2014. Sí, estamos a justamente una semana para que dé comienzo. Desde el 13 hasta el 17 de agosto, para ser más exactos. De ahí que ya sepamos todos sus nominados.

Trece categorías con alguna sorpresa y también con ausencias importantes. Ya sabemos, de todos modos, que las listas no contentan a todo el mundo por igual. ¿Qué tal si hacemos el repaso? Venga.

Mejor juego para consolas Playstation The Evil Within (Bethesda Softworks) Evolve (2K Games) Dying Light (Techland) Far Cry 4 (Ubisoft) La Tierra-Media: Sombras de Mordor (Warner Bros. Interactive Entertainment) Mejor juego para consolas Xbox The Evil Within (Bethesda Softworks) Evolve (2K Games) Assassin’s Creed Rogue (Ubisoft) Sunset Overdrive (Microsoft Studios) Ori and the Blind Forest (Microsoft Studios) Mejor juego para consolas Wii LEGO Batman 3: más allá de Gotham (Warner Bros. Interactive Entertainment) Splatoon (Nintendo) Super Smash Bros. for Wii U (Nintendo) Mejor juego de Rol Skylanders Trap Team (Activision) Risen 3: Titan Lords (Deep Silver) Kingdom Hearts 2.5 HD ReMIX (Square Enix) Mejor juego de Acción The Order: 1886 (Sony Computer Entertainment) Evolve (2K Games) Far Cry 4 (Ubisoft) Ori and the Blind Forest (Microsoft Studios) Super Smash Bros. for Wii U (Nintendo) Mejor juego de Simulación Theatrhythm Final Fantasy Curtain Call (Square Enix) World of Warships (Wargaming) Mejor juego de Deportes FIFA 15 (EA) Forza Horizon 2 (Microsoft Studios) PES 2015 (Konami) Mejor juego Familiar Skylanders Trap Team (Activision) Silence (Daedalic Entertainment) LittleBigPlanet 3 (Sony Computer Entertainment) LEGO Batman 3: más allá de Gotham (Warner Bros. Interactive Entertainment) Yoshi’s Woolly World (Nintendo) Mejor juego para PC Heroes of the Storm (Blizzard) The Evil Within (Bethesda Softworks) Borderlands: The Pre-Sequel (2K Games) Evolve (2K Games) La Tierra-Media: Sombras de Mordor (Warner Bros. Interactive Entertainment) Mejor juego para Móviles Darkblade (NetEase) Super Smash Bros. for 3DS (Nintendo) Theatrhythm Final Fantasy Curtain Call (Square Enix) Mejor juego Casual/Social/Online Orcs Must Die! Unchained (Gameforge) Dance Central Spotlight (Microsoft Studios) LittleBigPlanet 3 (Sony Computer Entertainment) SingStar (Sony Computer Entertainment) LEGO Batman 3: más allá de Gotham (Warner Bros. Interactive Entertainment) Mejor juego Online Multijugador Call of Duty: Advanced Warfare (Activision) Heroes of the Storm (Blizzard) FIFA 15 (EA) Evolve (2K Games) Forza Horizon 2 (Microsoft Studios) Mejor Hardware Virtualizer (Cyberith) Oculus Rift DK 2 (Oculus VR) Project Morpheus (Sony Computer Entertainment) Amiibo (Nintendo) SHIELD Tablet y SHIELD Wireless Controller (NVIDIA)

Más información | Gamescom 2014 En VidaExtra | Aquí tenéis los horarios de las conferencias de la Gamescom 2014

– La noticia Lista de nominados de la Gamescom 2014 fue publicada originalmente en Vidaextra por Jarkendia.

  

Acciones QPM: Establecer como borrador | Mover a la papelera | Forzar el borrado | Editar | Gestionar | Configuraciones QPM - www.diariototal.com/2014/10/05/lista-de-nominados-de-la-g...

http://www.diariototal.com/2014/10/05/lista-de-nominados-de-la-gamescom-2014/

tecnologia

  

#tecnologia

Please View Large On Black

 

Immigrant Clothing on display at Ellis Island, New York City - October 2004.

 

MORE INFORMATION ON ELLIS ISLAND:

 

Ellis Island, at the mouth of the Hudson River in New York Harbor, was at one time the main entry facility for immigrants entering the United States from January 1, 1892 until November 12, 1954. It is wholly in the possession of the Federal government as a part of Statue of Liberty National Monument, however, and is under the jurisdiction of the US National Park Service. It is estimated that more than 20 million immigrants passed through Ellis Island between 1892 and 1954.

 

Ellis Island takes its name from Samuel Ellis, a colonial New Yorker, possibly from Wales, who owned the island during the late 1700s and kept a tavern, serving sailors and local fishermen. The federal immigration station opened on January 1, 1892 and was closed in November 12, 1954, but not before 12 million immigrants, were inspected there by the US Bureau of Immigration (Immigration and Naturalization Service).

 

Today Ellis Island houses a museum reachable by ferry from Liberty State Park in Jersey City, New Jersey and from the southern tip of Manhattan in New York City. The Statue of Liberty, sometimes thought to be on Ellis Island because of its symbolism as a welcome to immigrants, is actually on nearby Liberty Island, which is about 1/2 mile to the South. Ellis island was also known as "The Isle of Tears" or "Heartbreak Island" because of the 2% who were not admitted after the long transatlantic voyage.

 

Source: Wikipedia

www.meucat.com/maps/mapa_satelite.php?COD=roma&NOME=P...

Fonte do Mouro (Fontana del Moro) - Fountain of the Moor - At the southern end of Piazza Navona, in front of the brazilian embassy, we find the Fontana del Moro, designed by Giacomo della Porto and erected in 1575. The fountain has statues of four Tritons and the basin is made of special antique rose marble. In 1654, Bernini carved the central figure, a muscular Triton riding a dolphin, that resembles a "Moor". Thus, the fountain is called the Fountain of the Moor. During a restoration in 1874, the original sculptures were moved to the Villa Borghese and substitute copies were made and are still on the fountain.

 

Navona Square (Piazza Navona).

Following, a text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia:

 

Piazza Navona is a city square in Rome, Italy. It is built on the site of the Stadium of Domitian, built in first century AD, and follows the form of the open space of the stadium.[1] The ancient Romans came there to watch the agones ("games"), and hence it was known as 'Circus Agonalis' (competition arena). It is believed that over time the name changed to 'in agone' to 'navone' and eventually to 'navona'.

Defined as a public space in the last years of 15th century, when the city market was transferred to it from the Campidoglio, the Piazza Navona is a significant example of Baroque Roman architecture and art. It features sculptural and architectural creations: in the center stands the famous Fontana dei Quattro Fiumi or Fountain of the Four Rivers (1651) by Gian Lorenzo Bernini; the church of Sant'Agnese in Agone by Francesco Borromini and Girolamo Rainaldi; and the Pamphilj palace also by Rainaldi and which features the gallery frescoed by Pietro da Cortona.

The Piazza Navona has two additional fountains: at the southern end is the Fontana del Moro with a basin and four Tritons sculpted by Giacomo della Porta (1575) to which, in 1673, Bernini added a statue of a Moor, or African, wrestling with a dolphin, and at the northern end is the Fountain of Neptune (1574) created by Giacomo della Porta. The statue of Neptune in the northern fountain, the work of Antonio Della Bitta, was added in 1878 to make that fountain more symmetrical with La Fontana del Moro in the south.

At the southwest end of the piazza is the ancient 'speaking' statue of Pasquino. Erected in 1501, Romans could leave lampoons or derogatory social commentary attached to the statue.

During its history, the piazza has hosted theatrical events and other ephemeral activities. From 1652 until 1866, when the festival was suppressed, it was flooded on every Saturday and Sunday in August in elaborate celebrations of the Pamphilj family. The pavement level was raised in the 19th century and the market was moved again in 1869 to the nearby Campo de' Fiori. A Christmas market is held in the piazza.

Other monuments on the Piazza Navona are:

Stabilimenti Spagnoli

Palazzo de Cupis

Palazzo Torres Massimo Lancellotti

Church of Nostra Signora del Sacro Cuore

Palazzo Braschi (Museo di Roma)

Sant'Agnese in Agone

Literature and films

 

The piazza is featured in Dan Brown's 2000 thriller Angels and Demons, in which the Fontana dei Quattro Fiumi "The Fountain of the four rivers"(the Danube, the Gange, the Nile and the River Plate) is listed as one of the Altars of Science. During June 2008, Ron Howard directed several scenes of the film adaptation of Angels and Demons on the southern section of the Piazza Navona, featuring Tom Hanks.

The piazza is featured in several scenes of director Mike Nichols' 1970 adaptation of Joseph Heller's novel, Catch-22.

The Fontana dei Quattro Fiumi was used in the 1990 film Coins in the Fountain. The characters threw coins into the fountain as they made wishes. The Trevi Fountain was used in the 1954 version of the film.

 

Fonte do Mouro.

Fontana del Moro está localizada ao sul da Piazza Navona. Tem este nome devido à representação de um etíope (mouro) a lutar com um golfinho. A obra foi projetada por Bernini, para dar conclusão à fonte de Giacomo Della Porta, construída em 1576, e esculpida por Giovanni Antonio Mari, em 1654. A estátua do etíope é acompanhada por tritões e máscaras, que são cópias das originais hoje postas em algumas fontes dos jardins da Villa Borghese.

 

Praça Navona.

A seguir, um texto em português, da Wikipédia a Enciclopédia livre:

 

A Praça Navona (em italiano: Piazza Navona) é uma das mais célebres praças de Roma. A sua forma assemelha-se à dos antigos estádios da Roma Antiga, seguindo a planificação do Estádio de Domiciano (também denominado entre os italianos de Campomarzio, em virtude da natureza rude e esforçada dos exercícios - manejo de armas - e desportos atléticos que aí se realizavam). Albergaria até 20 mil espectadores sentados nas bancadas. A origem do nome deve-se ao nome pomposo que lhe foi dado ao tempo do Imperador Domiciano (imperador entre 81-96 d.c.): "Circo Agonístico" (do étimo grego Agonia, que significa precisamente - exercício, luta, combate). Actualmente o nome corresponde à corruptela da forma posterior in agone, depois nagone e finalmente navone, que por mero acaso significa também "grande navio" na língua italiana.

As casas que entretanto e com o passar dos anos foram sendo construídas sobre as bancadas, delimitariam e circunscreveriam até à actualidade o tão afamado Circo Agonístico.

A Navona passou de fato a caracterizar-se como praça nos últimos anos do século XV, quando o mercado da cidade foi transferido do Capitólio para aí. Foi remodelada para um estilo monumental por vontade do Papa Inocêncio X, da família Pamphili e é motivo de orgulho da cidade de Roma durante o período barroco. Sofreu intervenções de Gian Lorenzo Bernini (a famosa Fontana dei Quattro Fiumi (Fonte dos Quatro Rios, 1651) ao centro); de Francesco Borromini e Girolamo Gainaldi (a igreja de Sant'Agnese in Agone); e de Pietro de Cortona, que pintou a galeria no Palácio Pamphilj, sede da embaixada do Brasil na Itália desde 1920.

O mercado tradicional voltou a ser transferido em 1869 para o Campo de' Fiori, embora a praça mantenha também um papel fundamental em servir de palco para espectáculos de teatro e corridas de cavalos. A partir de 1652, em todos os Sábados e Domingos de Agosto, a praça tornava-se num lago para celebrar a própria família Pamphili.

A praça dispõe ainda duas outras fontes esculpidas por Giacomo della Porta - a Fontana di Nettuno (1574), na área norte da praça, e a Fontana del Moro (1576), na área sul.

Na extremidade norte da praça, por debaixo dos edifícios, foram postas a descoberto ruínas antiquíssimas, a uma cota muito abaixo da actual, comprovando a primeva utilização daquele imenso terreiro. Outros monumentos com entrada para a praça:

Stabilimenti Spagnoli

Palazzo de Cupis

Palazzo Torres Massimo Lancellotti

Church of Nostra Signora del Sacro Cuore

Curiosidades

 

Na Piazza Navona, está localizado o Palazzo Pamphilj, propriedade da República Federativa do Brasil, sede da Embaixada Brasileira e da Missão Diplomática do Brasil para a Itália.

On black

Depuis le 3 Octobre, plus de 200 familles dorment dans la rue de la Banque pour protester contre l'absence de logements décents. Français ou immigrés en situation régulière, tous travaillent mais vivent dans des conditions déplorables: le plus souvent à l'hôtel, ou dans des appartements minuscules, parfois menacés d'expulsion.

 

Ici, une femme enveloppe son enfant dans des couvertures de survie, distribuées par le SAMU Social, pour se protéger du froid et du vent.

 

Merci de lire les explications en début d'album / Please read the explanations at the beginning of the set

 

Part of DAL (Recommended as a slideshow)

Classic Seattle Transit ETB from the Metro Employee Historic Vehicle Association collection making the rounds in the International District

 

www.mehva.org/index.php

 

this is a Seattle Transit System 1940 Twin Coach GWFT

'Writing Spider (Argiope aurantia)' On Black

 

From: home.att.net/~larvalbugrex/argiope.html

 

Argiope

by Valerie (October 25, 2001)

revised September 23, 2004

 

The largest orb weaver in our gardens is the black and yellow argiope (Argiope aurantia). Actually, only the female is large, the males being much smaller by comparison. Although big enough to deliver a bite, these spiders are not poisonous or aggressive. The black and yellow argiope is also called banana spider, yellow garden spider, zipper spider, golden orb weaver and writing spider. There are a number of other species in the genus Argiope, but most that occur in the U.S. are restricted to tropical climates. A related species inhabits gardens in Europe. Because they make such big webs and are brightly colored, it is impossible for a resident argiope to remain unnoticed in the garden or, as they sometimes look for sheltered areas, on the side of a house. We had one spider who thought the ideal location for her web was right by our front door over the doorbell. She stayed there all summer, enjoying frequent feedings of any large insects we could find to throw into her web.

 

The argiope spiders make excellent photography subjects because they don't react to the camera lens. Part of the reason is probably their rather poor vision, as they do not rely on sight to catch prey, but on the vibrations produced in their webs. Smaller orb weavers, like members of the genus Araneus, which also inhabit our yard, sometimes make webs even bigger than the argiopes, but they are very difficult to photograph. Maybe because they are small and tasty morsels for birds, these spiders do not sit in the middle of their web during the day, but usually hide in a nearby leaf at the base of one of the web support strands. If they happen to be in the middle of the web, my approach with the camera almost always makes them retreat to a safe hiding place. In spite of their large size and the care with which they place their webs, the argiope spiders in our yard are often taken by predators such as birds.

 

An interesting feature of many orb webs is the central white design created by the spider, called a stabilimentum (referring to the idea that it helps stabilize the web). With argiopes, this area is almost round and filled in with many zigzags of silk when the spider is young, but as it grows, the design changes to be more of a single vertical zigzag. Spiders are capable of creating as many as seven different kinds of silk using several different glands that supply the spinnerets. argiope spider hanging under its recently shed exoskeletonThe photo at left shows the underside of an adult female argiope. The spinnerets appear as a group of brown structures forming an irregular shaped disk. The different types of silk have varying amino acid compositions. The silk coming out of the spinnerets can vary from an extremely fine single line, like those used to create the main support lines on their web, to wide ribbons of silk used for subduing prey or making the central design on their web. Spiders can vary the stickiness of the silk as well as it's thickness. The purpose of the central design in many spiders' webs is not completely understood. It could serve several purposes, including a way to conceal the spider from its prey or its predators (which could explain why the patch is more disruptive for small, young spiders than for large ones), a way to keep birds from blundering into the web, or a lure for insects, as the silk reflects ultraviolet light in much the same way as do flower centers. Another spider habit that has never been fully explained is that of hanging upside down in the web. Almost all spiders do this but I've never heard a definitive explanation.

 

In order to grow, spiders must periodically shed their exoskeletons. This is a fascinating process to watch, but one which leaves the spider very vulnerable until its new skin hardens. When the spider is about to shed, the inside layers of its skin are digested. It anchors its legs on part of its web, hanging upside down. The top of the carapace splits open and the spider literally falls out of its old shell. It doesn't fall because it is anchored by a strand of silk from its spinnerets. As soon as the spider is completely free of its old skin, it hangs limp for awhile, then spreads its legs out to let them dry.female argiope spider just before laying eggs In the photograph above at right, the old skin is visible at the top, while the spider hangs below. At this point the spider is expanding its size, and it can even grow a new limb if one was lost before.

 

The females are easy to spot in their webs, but the males (photo at right) tend to be harder to find. When they are young, both the males and females look similar, but the males seem to never grow much, while the females become quite large. The males also do not remain in their original area if there is no female around. Once they mature, they must search out a female with whom to mate. Often, it is possible to find the tiny males living in their small webs just to the side of a female's large web. While both genders of argiopes have the habit of holding their legs in an X pattern, the males seem to make the posture more pronounced, possibly as an aid to their protective camouflage.

 

Just before laying eggs, the female spider is often quite large, her abdomen considerably distended. Argiopes produce large numbers of young in their egg sacs. argiope egg caseAlthough one sac seems to be the norm, we saw one female produce three over a period of a couple of weeks and have heard of a single spider producing four and still going strong. Unlike some spiders, such as the green lynx, who guard their eggs and young, argiopes tend to leave their eggs to their fate. The egg case looks like a miniature Greek wine vessel, with a bulbous shape and a little round neck at the top. The color of the egg case is brown and it is anchored within a framework of silk strands, keeping it away from surrounding vegetation. Although this protects the case from some predators, like ants, other predators and parasites lay their eggs within the cases as well. These tenants include other species of spiders as well as wasps. The young spiders hatch in the fall but overwinter in the egg case. These cases are very well constructed and we've seen them last not only through the winter, but through another year as well, before the weather eventually takes its toll and they are washed away.

 

Like many spiders, argiopes live only one year, expending all their energy into producing eggs (females) or sperm (males). They die once winter arrives.

The United Arab Emirates Dirham is the currency in United Arab Emirates. For more details visit tofocus.info/currency-of-United-Arab-Emirates.php

View On Black

 

This is dedicated to all people suffering this terrible disease, not only breast cancer, but all cancers. With a special thought for my brother who died of cancer almost 2 years ago.

 

Belgium. Meise.

National Botanic Garden.

Pink anemone.

 

Please no invites to mandatory comment/award groups or multi invites to a gazillion groups.

 

To admins of award groups: I will just click OK add it if you take no notice and invite me anyway.

  

my most interesting on black: www.fluidr.com/photos/lindadevolder/interesting

Hilo de la Fotohistoria en Pullip .es: AFTER THE CONCERT (6 of 9): Shin and Near /

DESPUÉS DEL CONCIERTO (6 de 9): Shin y Near

 

(Read in order, this is: SHOT/FOTO 95 of 184) PAG: 01, 02, 03, 04, 05, 06, 07, 08, 09, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105, 106, 107,108, 109, 110, 111, 112, 113, 114, 115, 116, 117, 118, 119, 120, 121, 122, 123, 124, 125, 126, 127, 128, 129, 130, 131, 132, 133, 134, 135, 136, 137, 138, 139, 140, 141, 142, 143, 144, 145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 152, 153, 154, 155, 156, 157, 158, 159, 160, 161, 162, 163, 164, 165, 166, 167, 168, 169, 170, 171, 172, 173, 174, 175, 176, 177, 178, 179, 180, 181, 182, 183, 184.

 

FOTOSTORY: In English / En Español

Shin: …

/

Shin: …

 

LINKS:

- Las FOTOHISTORIAS de Sheryl en el Foro de Pullips: Pullip .es

- Sheryl Photostories at Flickr

View On Black

 

So, you're probably wondering where the folks are here, right? Let me give you a quick update...

 

My girl's a good writer. She writes from the heart, which can be nothing short of great -- if you live close enough to hear the whispers. Pun intended. She wrote this great piece in Greek, called 'The Holiday Folks', which can not really be described [at least by me] in English, so I'll try to translate the most important part of it, and the one that influenced me to try to take a shot such as this, which is hmm, not that far away from my mentality when shooting, but rather a strange shot coming from me.

 

"How dumb people are", said she.

"Heaven is so close to them and they don't even realize. They fill heaven with antennas, empty tanks, all this junk and their silly underwear, and trash".

"Luckily", said he, enthusiastically.

"They left a place in peace. If they all knew about what's straight above their heads, if they all knew about the magic of these roofs, we would have nowhere to go. We'd be like all of them. All of these miserable people out there!".

 

If your Greek is good enough, you may read the rest here.

 

----------

 

Canonet QL17 GIII, 40mm lens, red filter.

TMAX 100, souped at HC110B.

Scan from negative and edits.

Left the negative drying marks where they were, deliberately.

 

Thanks for viewing.

Please View Large On Black

 

Bowl of fresh sliced limes, enhanced with the Photoshop "cut out" filter and increased contrast and color saturation.

 

INFORMATION ON THE LIME:

 

Lime is a term referring to a number of different fruits (generally citruses), both species and hybrids, which are typically round, green to yellow in color, 3–6 cm in diameter, generally containing sour pulp, and frequently associated with the lemon. Limes are often used to accent the flavors of foods and beverages. They are usually smaller than lemons, and a great source of vitamin C.

 

In cooking, lime is valued both for the acidity of its juice and the floral aroma of its zest. It is used in Key lime pie, a traditional Florida dessert, and is a very common ingredient in authentic Mexican, Southwestern United States and Thai dishes. It is also used for its pickling properties in ceviche. Additionally, the leaves of lime are used in southeast Asian cuisine. The use of dried limes (called black lime or loomi) as a flavouring is typical of Persian cuisine and Iraqi cuisine, as well as in Gulf-style baharat (a spice mixture that is also called kabsa or kebsa). Limes are also an essential element in Tamil cuisine.

 

Lime leaves are also an herb in South, East, and particularly Southeast Asia. In Vietnam, people have boiled chicken with lime leaves and a mixture of salt, black pepper and lime juice.

 

In order to prevent scurvy during the 19th century, British sailors were issued a daily allowance of citrus such as lime (presumably Citrus aurantifolia)[citation needed], which led in time to the nickname "limey" for all Britons. It was later discovered that this beneficial effect derived from the quantities of Vitamin C the fruit contains.

 

Lime extracts and essential oils are frequently used in perfumes, cleaning products, and aromatherapy.

 

Source: Wikipedia

ver en grande

*

*

 

Chilodonella cucullulus es el dromedario de los ciliados y no nos muestra su perfil

más agraciado como cuando nadando dibuja el contorno de la huella de nuestro pie. Se ha puesto de lado y camina de puntillas sobre unos restos de vegetales que se deshacen bajo el agua y casi, alardeando de ella, enseña su gran joroba.

 

Como en los dromedarios del desierto, la joroba de Chilodonella está rellena de reservas, no es agua ni son grasas, es cristal y son azúcares, son en definitiva diatomeas que ha ido capturando con su boca de canasta aspiradora. Chilodonella engulle diatomeas sin cesar en una práctica de faquir ansioso, una tras otra, agujas vivas de cuarzo, cuchillos transparentes de doble filo van pasando a su interior y van hinchando esa joroba que se llena de reservas de ensalada de algas de cristal.

 

Pero aquí llega la sorpresa, casi con la misma avidez que las engulle, se va deshaciendo de ellas, expulsándolas por detrás, sembrando nuevamente el agua de joyas vivas. ¿Para qué todo este número? ¿simple exhibición?...sería extraño, en la Naturaleza todo tiene su sentido y una gran economía.

 

En apariencia, las diatomeas que expulsa Chilodonella están vivas, han pasado un tiempo dentro del cuerpo de un gigante. El cofre transparente y cristalino de las diatomeas no está expuesto directamente al agua, sobre él, una fina película de mucílago lo viste y lo protege. Es muy probable que Chilodonella no pueda hacer otra cosa y se tenga que conformar con la golosina azucarada que barniza a estos cofres herméticos y hermosos.

 

El ciliado dromedario y faquir que se muestra aquí, procede de una muestra recogida en el Torrent Albereda Un afluente del río Foix en Barcelona.

 

Gracias a Ángela lo podemos mostrar aquí haciendo esta completa exhibición. La fotografía se ha realizado a 400 aumentos utilizando la técnica de contraste de interferencia.

  

Gracias a Santiago Ortiz por incorporar nuestro proyecto a su magnífico Bestiario.

Con nuestra gratitud también para Pilar Gil por la publicación en Qúo, a Antonio Martínez Ron ...y también Paul/

 

Puedes tener otra infomación en la exposición LA VIDA OCULTA DEL AGUA

 

Y en este catálogo

 

También en la galería de Fotolog

 

Y nuestro granito de arena por la Paz

 

 

It's Tech Tuesday, Check Out the latest Tech Jobs in Paulding County - ga-paulding.countyjobs.careers/index.php?q=Technology .

And now here is the rest of the story:

www.facebook.com/457392244417327/photos/a.492783760878175...

facebook.com/profile.php?id=457392244417327/

This story was rought to you by: YorkvilleGeorgia.com

All rights reserved - Redneck Gremlin™ of Raymond Jones © Copyright 2015 fb.com/RedneckGremlin

#Ѽ #Jobs #News #Yorkville #Beulah #Union #Dallas #Rockmart #Paulding #Polk #County #Appalachian #Mountain #Mtn #NWGA #Georgia #Classifieds #RedneckGremlin #RaymondJones #fb #com #facebook

via : www.yorkvillegeorgia.com/2015/12/photo-its-tech-tuesday-c...

CS-PHP is a 2019 Embraer EMB-505 Phenom-300 of Netjets Europe wich c/n 50500546. © Bert Visser

As seen at Hat.

www.hatads.org.uk/gallery/main.php?g2_itemId=12328

  

INNER WHEEL

Kidderminster Inner Wheel was formed on Thursday October 6th 1942 with 16 members - all wives of Rotarians. The founder President was the first Mrs Eddy, wife of Alderman E. George Eddy, the Rotary Club President before he was knighted. Until mid-1948 the monthly afternoon meetings were held at the the Florence Cafe, then at the Lion Hotel, moving to The Black Horse in September 1949, the initial annual subscription being 10/6d (55 new pence) per annum.

On June 18th 1943 Mrs Granville-Barker, President of No. 6 Inner Wheel District, presented the Charter to President Mrs F. E. Eddy before a gathering which included Presidents and Secretaries from 7 neighbouring Inner Wheel Clubs and goodwill messages from 2 others. The speaker, Mrs Hogg, on this first charter day took as her subject: "The East End of London in Peace and War" - quite a sobering thought nearly 60 years on! Our members now enjoy social gatherings with their Rotarian husbands - whenever they ask us!

 

Charity Work

The first two charities supported were the "Waifs and Strays" and the boys' home at Weston-Super-Mare displaying educational leadership. Fund raising got off the ground in 1943 with a Bridge Drive and from 1944 onwards members held an Annual Charity Ball. During the first year donations were given to The Red Cross 1-Penny-a-week Fund, Mayor's Red Cross Appeal, RAF Benevolent Fund and Kidderminster General Hospital.

 

Many other events have been organised over the years, for example the Annual Charity Lunch. One year we had a "Charity Shop" for almost a week. Nowadays monthly coffee mornings (with bring and buy) at members homes form a regular feature on the Club's social and fund raising activities. Each year the incoming President chooses the main charity, the remainder of the money going always to Local charities. A major effort displaying business ethics one year was to buy a "Guide Dog for the Blind".

 

In June 1946 we entertained about 30 elderly ladies to a coach ride and afternoon tea. These ladies from our business directory were invited back in December to Christmas Dinner when we cut a Christmas cake and presented a gift to each. These two events continued for many years until there was only four ladies who were too old to go out, but they were all visited with a gift at Christmas until they died, the eldest reaching the grand old age of 103 years! Who would deny that her longevity was helped in some small way by the educational leadership and business ethics of The Inner Wheel!

 

Many years ago two business directory members started to help in the Kidderminster General Hospital's Coffee Shop when it was a tiny building by the "Master's House" (still standing) belonging to the old Workhouse. It was then run by the WRVS. When the building was demolished, the service lay dormant until Lady Eddy instigated the concrete building on the car park. business directory Members then began to work there for The Hospital League of Friends. Today, our business directory members still help on a fortnightly rota as part of our businss ethics.

 

As Rotarians know, they can always count on our help with their major charity events - like marshalling for the annual sponsored walk, sorting goods for the Bosnian refugees and selling tickets for the trolley-dash, which all requires a part in our educational leadership programmes.

 

International

We undertake a lot of knitting and sewing every year as part of our business ethics to make garments for children, jumpers and blankets for the Inner Wheel's overseas work. For many years one business directory member collected unwanted medicines and samples from doctor's surgeries for an organisation called "Intercare". We also collect old spectacles and used stamps, and sometimes make toys as part of our educational leadership - all for overseas use. The club was very proud when Past President Betty Russell of our business directory was elected to the District Overseas Committee for three years, this being the only time any business directory member has gone forward to District to promote our business ethics.

 

Fellowship

For many years the Inner Wheel 'Club' organised an annnual fellowship meeting promoting our business ethics when every Club in District 6 was invited together with District Officers. We had either afternoon tea or dinner, followed by a good speaker.

 

In 1964 the President and members invited the Rotarians' wives from the newly formed Stourport-on-Severn Club to join us with a view to forming a daughter Club of our business directory. This was so successful that, in October the same year, 24 members were presented with their Charter at the Severn Manor Hotel, the founder President of Stourport-on-Severn Inner Wheel being Mrs Frances Smurd.

 

In 1976 the President held a coffee evening at her home to try to encourage those Rotarian's wives who went out to work to join Inner Wheel with it's educational leadership and business ethics. This was so successful that coffee evenings continued untill 1978 when evening meetings replaced those at lunchtime.

 

On October 14th 1992 we invited all the Clubs in District 6, District Officers and our own past members of the business directory who had left the area to join our 50th Birthday celebrations at The Stewpony Hotel. After a wonderful meal, every one received a golden rose and a slice of the beautiful 50th Anniversary cake, cut by founder member Past President Mrs Madge North, who was then 90 years of age.

 

www.innerwheel.com

 

ver en grande

*

*

Asomando su doble cabeza de cristal la diatomea Synedra capitata se presentó un día en esta galería, y no fue por cabezonería, sino por corazonada. Synedra tiene el cuerpo esbelto de todas las de su clase, y es como cualquier diatomea una joya, en este caso fíbula de cuarzo. Con sus dos extremos engrosados haciendo de balancín y representando eso, una cabeza, que es la que le da el nombre.

 

Lo cierto es que la mayoría de estos fascinantes organismos microscópicos del agua no tienen cabeza, sólo los minúsculos animales acuáticos que son pluricelulares han llegado a conseguirla y todo ello para superar la desventaja de vivir en un cuerpo grande. Rotíferos, planarias o pulgas de agua pueden llevarla para acomodar en ella los principales órganos de los sentidos -tienen que saber qué se llevan a la boca-. Pero para que ojos, tacto y receptores químicos funcionen, es necesario un órgano adicional extra: el cerebro, que aunque pequeño, resuelve los problemas cotidianos de la supervivencia.

 

Diatomeas, désmidos, amebas y protozoos han olvidado su cabeza y viven a latidos de vida, despreocupados, sólo saben vivirla con amor ciego a cada instante, entregados a ella, como hace el corazón enamorado en una misma apuesta generosa y egoísta que no busca otra contrapartida más que el mismo amor. Es su corazón redondo, situado en el propio corazón de sus entrañas, es su núcleo, quien conduce sin retorno a estos seres por el agua, al encuentro de la luz en abrazo permanente a ella y a la vida.

 

La cabeza en Synedra capitata es apariencia y lo es en ella por partida doble, ... no sólo en Synedra ... en todas las diatomeas, en todos los seres microscópicos y, quizá, también en nosotros, quien manda es el corazón.

 

Synedra capitata, ilumina la noche a corazonadas de vida, ha perdido la cabeza, sólo la lleva en su nombre y se guía por el corazón.

 

La imagen de hoy proecede de una muestra recogida por África en las Gorges del Foix en Barcelona, gracias a ella la podemos mostrar hoy aquí fotografiada a 400 aumentos empleando la técnica de campo oscuro.

 

Con nuestra gratitud para Pilar Gil por la publicación en Qúo, a Antonio Martínez Ron ...y también Paul/

 

Puedes tener otra infomación en la exposición LA VIDA OCULTA DEL AGUA

 

Y en este catálogo

 

También en la galería de Fotolog

 

Y nuestro granito de arena por la Paz

 

This shot can be seen at Renew Newcastle's 'Newcastle Morning Photo' exhibition at Nobby's Lighthouse. I was quite chuffed to walk in and see two ladies who spotted themselves in the shot getting very excited. For (free) ticketing information, please visit here.

 

|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||

 

With Summer fully kicked in, I ventured out after feeling pretty sick recently. Tough to get a park, heaps of people and so bloody hot. This was 11:00am!!

 

Jay Kay of Jamiroquai once said, "I thought I was going to the beach bar, not the Bar Beach!" while on stage in Newcastle.

 

The Wikipedia entry for Bar Beach is a little interesting too....

 

"Bar Beach is an inner city suburb of Newcastle, New South Wales, Australia, located 1.6 km (1.0 mi) southwest of Newcastle's central business district abutting the beach of the same name.

 

Near the north-end of the beach there is a small burger bar selling hand-cut chips. If one wishes to purchase a meal there, be prepared for waits up to 1 hour for a simple burger or 30 mins for an ice-cream. Not ideal if on a road trip. Bar-bar-bar bar-barbara-anne."

 

Please view large and on black

  

View On Black

 

If you peek through the trees, you can see where rice is drying on the blue tarp.

PARIS.- Île Saint-Louis ...

 

>> Large View || My Flickriver <<

 

 

¤ On Black ¤

 

The Cooktown Orchid has been the floral emblem of Queensland since November 19, 1959. Its scientific name is Dendrobium phalaenopsis, a recently created species after Clements reorganised the Dendrobium bigibbum complex. The old name, Dendrobium bigibbum var. superbum is still recognised as a synonym.

 

This beautiful but variable orchid occurs in several subspecies. It used to be prolific around Cooktown but is now rare in the wild, due to over-collecting by commercial collectors. The colour of the flowers varies from pinkish-mauve to lavender or purple and sometimes almost white, with the base of the labellum being a much darker purple.

 

The plants can grow up to 80 cm in height. The flowers are on canes 10-40 cm long.

 

Flowering time In the dry season - usually between March and July; but sometimes all year in commercial cultivation.

--from Wiki

 

More great reading info can be found at Wiki (above), asgap.org.au/d-big.html, and www.anos.org.au/information/articles/species/dendrobium.htm.

 

paulomernik.com

From: www.artic.edu/artexplorer/search.php?tab=2&resource=468

 

By the end of his life Paul Cézanne was recognized as one of the great masters of his era. His treatment of color and form as inseparable descriptors of the physical world was nothing short of revolutionary.

 

Cézanne was born in Aix, where his schoolmate was Emile Zola. The friendship ended in 1886 with the publication of Zola's L'Oeuvre, a novel containing an unflattering portrayal of the painter. Cézanne prepared to be a lawyer, worked as a banker, and then studied painting in Paris. His canvases from 1861 to 1871, mostly portraits, are characterized by dark tones, thick paint, and strong lighting.

 

Camille Pissarro convinced Cézanne to adopt the broken brushwork and light palette of the impressionists. He exhibited at the first and third impressionist group shows, but soon lost faith in the goals of the movement. He claimed that his ambition was to "make of impressionism something solid and durable like the art of museums." By 1883 the artist was conveying mass and volume through a series of hatched strokes.

 

A meticulous and deliberate painter, Cézanne often worked on his canvases for several months. A substantial inheritance from his father in 1886 allowed him to live comfortably in Provence. He was a shy man who adopted a deliberately crude, rustic manner to keep people away. His art had a profound impact on early twentieth-century artists such as Pablo Picasso and Georges Braque, who recognized Cézanne's post-impressionism as an essential precursor of cubism.

Hilo de la Fotohistoria en Pullip .es: SHIN'S BASS SOLO (1 of 1) /

EL SOLO DE SHIN (1 de 1)

 

(Read in order, this is: SHOT/FOTO 16 of 48) PAG: 01, 02, 03, 04, 05, 06, 07, 08, 09, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48.

 

LINKS:

- FOTOHISTORIAS en casa de Sheryl en el Foro de Pullips: Pullip .es

- Hilo de las Fotohistorias de Shin y Yashiro en el Foro de Pullips: Pullip .es

- Hilo de la Relación entre Shin y Yashiro en la sección de Penpals de Pullip .es

- Ayrin and Sheryl PHOTOSTORIES at Flickr

- Sheryl Photostories at Flickr

- Ayrin PhotoStories at Flickr

*

*

aumentar

 

Exposición LA VIDA OCULTA DEL AGUA; en el Centro del Agua de Daimiel del 21 de diciembre al 20 de febrero.

 

Hoy con nuestro agradecimiento a Bárbara Barrera por su precioso artículo sobre diatomeas en la revista Vidriooh!

 

Artículo LA BIODIVERSIDAD OCULTA

  

Ha llegado el invierno y la escarcha blanca cubre los campos a primera hora de la mañana en paisajes helados y desérticos en los que la vida duerme. Entre los prados apagados por el frío las lagunas se cubren con una gruesa costra de hielo en un paisaje ceniciento y blanco. Todo parece estar inerte en las charcas y lagos que rebosan de vida en verano y primavera, pero, como siempre, estas apariencias de nuestro mundo visible ocultan la realidad invisible y, bajo el hielo, la vida hierve en movimiento.

 

Trachelophyllum sigmoides se pasea tranquilamente bajo el agua helada, abrigado con una gruesa cubierta gelatinosa sobre la que sobresalen sus largos cilios, se desliza con suavidad patinando bajo el hielo y buscando a otros pequeños ciliados, flagelados y algas de las que se alimenta, y curiosamente, hoy, ese desplazamiento tranquilo lo hace nadando en sentido contrario a como lo suele hacer habitualmente, avanza su extremo final mientras que su cabeza se queda en la retaguardia.

 

Trachelophyllum sigmoides es un ciliado de gran tamaño y de contorno algo asimétrico. La boca forma una estructura tubular en el extremo de su largo cuello y se prolonga interiormente en un tubo faríngeo que penentra en el cuerpo de manera oblicua.

 

Aunque a Trachelophyllum sigmoides le gustan los fondos en los que rebusca su alimento en el fango hoy se mueve entre aguas más limpias de la superficie, su abrigo gelatinoso parece ser un buen equipamiento para deslizarse entre el fango y protegerse del frío.

 

La fotografía de Trachelophyllum sigmoides ha sido tomada a 400 aumentos empleando la técnica de contraste de interferencia en unas muestras recogidas hace unos días en la Laguna Grande, ahora helada, en las inmediaciones de la localidad zamorana de Pumarejo de Tera.

 

=======================================================================

  

☁ la nube negra de una justicia pervertida en nuestro país, movida por la envidia y la venganza, permanecerá aquí, hasta que soplen los vientos limpios que todos necesitamos. La Justicia es uno de los cimientos necesarios para la Paz. Desde aquí todo nuestro apoyo al Juez Baltasar Garzón -el buen Juez de Saramago- y a las personas de buena voluntad como él que trabajan por la Justicia.

 

José Saramago: Ni leyes ni Justicia

Martín Pallín

Firmas de apoyo en Facebook

Radio Nacional Holandesa

  

Duggal Walks the Marathon.. After shooting this my first Standard Chartered Marathon I stopped shooting it completely..before the race and after the race the life of poor child is still the same it will never change..he still begs, even after the race filling the coffers with 9 crores .

 

Dan Boylee made a film but could not change the destiny of the street pain of the urchins of Mumbai...

 

Duggal was part of my changed attitude towards the Mumbai Marathon..

 

This post I update today 27 March2010..

 

www.sikhiwiki.org/index.php/Jo_Bole_So_Nihal

 

JO BOLE SO NIHAL, SAT SRI AKAL is the Sikh slogan or Jaikara (literally shout of victory, triumph or exultation). It is divided in two parts or phrases. The first, bole so nihal or jo bole so nihal, is a statement meaning “whoever utters (the phrase following) shall be happy, shall be fulfilled,” and the second part sat sri akal (Eternal is the Holy/Great Timeless Lord). This jaikara, first popularized by Guru Gobind Singh, Nanak X, has become, besides being a popular mode of expressing ebullient religious fervour or a mood of joy and celebration, an integral part of Sikh liturgy and is shouted at the end of ardas or prayer, said in sangat or holy congregation. One of the Sikhs in the sangat, particularly the one leading ardas, shouts the first phrase, jo bole so nihal, in response to which the entire congregation, including in most cases the leading Sikh himself utter in unison sati sri akal in a long-drawn full-throated shout. The jaikara or slogan aptly expresses the Sikh belief that all victory (jaya or jai) belongs to God, Vahiguru, a belief that is also expressed in the Sikh salutation Vahiguru ji ka Khalsa, Vahiguru ji ki Fateh (Khalsa is of God and to God belongs the victory, or Hail the Guru’s Khalsa! Hail the Guru’s victory!!) In their hour of triumph, therefore, the Sikh’s remember sat sri akal instead of exulting in their own valour.

  

Traditionally, the slogan or war-cry expressing communal fervour and assent to or enthusiasm for a cause, sat sri akal has been so used through the three-hundred-year-old history of the Sikh people, since the creation of the Khalsa. In a normal situation when two Sikhs meet, they exchange greetings pronouncing Sat Sri Akal thus pointing out the glory of God to each other. Although as a salutation it is by now the established form of Sikh greeting, it does not have the sanction of history or orthodoxy. Vahiguru ji ka Khalsa Vahiguru ji ki Fateh, the other form of salutation, is generally used only by people punctilious in the observance of proper form. Those addressing a Sikh religious congregation will, as a rule, greet the audience with the salutation, Vahiguru ji ka Khalsa Vahiguru ji ki Fateh. Sat Sri Akal shouted in unison responding to the call jo bole so nihal (whoever so pronounces shall prosper) is a call to action, or expression of ecstatic joy or an invocation for Divine aid or succour. While sat or sati (Sanskrit satya) means ‘true’, ‘good’, ‘abiding’, ‘real’ and ‘eternal’, sri is an honorific denoting beauty, glory, grace or majesty. Sati has the sanction of Guru Nanak’s Mul Mantra in the Japu where after Ik Onkar, it appears as a constituent of Satinamu (Reality Eternal). Akal also occurs in Mul Mantra in the phrase Akal Murati (Form Eternal), descriptive of the Absolute.

  

Akal as the Divine name appealed particularly to Guru Gobind Singh, as his philosophical vision of the cosmos and the human life centred around this concept. Akal means ‘Timeless’ or ‘Transcending Time.’ Time being the consuming element, making for birth, decay and death, in Guru Gobind Singh’s vision the most essential attribute lying at the core of human conception of the Divine is Its timeless quality. Kal is Sanskrit for time and in common parlance stands for death—more precisely, the inevitable hour of death. Fear being fear of death basically, in Guru Gobind Singh’s metaphysical thinking and moral philosophy, to make the Timeless the centre of one’s faith is the way to banish fear and to make heroes of ordinary mortals. Consequently, the inevitability of death and the futility of fear are among the principal themes of Guru Gobind Singh’s teaching. In his compositions there are several verbal formations from kal (time) which express his vision. God is Sarab Kal (Lord of All-Time), Akal-Purakh (the Eternal Pervasive Reality) and has all the attributes arising from His quality of Timelessness. Guru Gobind Singh’s principal composition of adoration is entitled Akal Ustati (Laudation of the Timeless). In places, the Guru has identified God with Time or All-Time, that is eternity. The opening line of one of his hymns reads keval kal i kartar (the All-Time, i.e. the Eternal alone is the creator). This by implication repudiates the claim of Brahma, one aspect of the Hindu trinity or of other deities, to be the true creator.

  

Akal occurs at four places in the Varan of Bhai Gurdas. In each context it conveys the sense of God the Eternal, Timeless. By the time of Bhai Gurdas, whose active life spanned the periods of Guru Arjan and Guru Hargobind, this term was familiar and well established in the Sikh tradition, and consequently when Guru Gobind Singh picked it out to make it the vehicle for expressing his deepest inspiration, he was only enriching a concept already a constituent of the philosophical milieu of the Sikh people. As reported by the royal news-writer, when in 1699 the new initiation of amrit was introduced by Guru Gobind Singh, for days afterwards, the whole atmosphere around Anandpur, the venue of the baptismal ceremonies, was resounding with cries of Akal, Akal. This referred to the shouts of Sat Sri Akal incessantly raised by the converts to the Khalsa faith filled with new fervour. In subsequent times, after the Sikhs acquired political power in the Punjab, the seal of the Sikh chiefs would bear the inscription, Akal Sahi (Akal be our Succourer). The most militant section of the Sikh crusaders, the Nihangs were called Akalis (followers of Akal). During the early 1920’s, when the Sikh people were fired with a new reformist and patriotic zeal, the party spearheading these programmes took to itself the name Akali, which is politically still a viable term.

  

The Sikh form of greeting or salutation has its individual significance and character. It is different from the Islamic salutation in which blessings of peace are sought for each other (salam alaikum, wa’alaikum salam). It is distinct also from Indian greetings (namaste or namaskar) which aim at paying homage or respects to the person addressed. The Sikh greeting exchanged with folded hands on either side in mutual courtesy and respect is essentially an utterance of laudation to the Timeless and an expression of faith in human unity and dignity.

  

Over the years, the boundaries between the Sikh slogan and Sikh greeting have become interlocked. Sat sri akal which is part of the Sikh slogan is now the general form of Sikh greeting. This has usurped the place of the more formal and proper salutation which also carries the sanction of Sikh theological postulates, i.e. Vahiguru ji ka Khalsa Vahiguru ji ki Fateh. The Sikh node of salutation has gone through a long-drawn process of evolution. The earliest form of Sikh salutation was Pairi Pauna.

 

In one of the life-accounts of Guru Nanak known as Adi Sakhian, the injunction is said to have come down from the Almighty Himself. One day, it is recorded, the Formless (Nirankar) called Baba Nanak into His presence and said:

Nanak, I am greatly pleased with you . . . Listen Nanak. I do, hereby, ordain a

 

separate Order of yours. In the Kaliyug I shall be known as the True Lord and

 

you as the Preceptor Lord. . . And, I bless you with a unique Order. The greeting

 

of your order shall be Pairi Pauna (I bow at your feet), whereas the greeting of

 

the Vaisnavas shall be Ram Kishan, of the Sannyasis, Om Namo Narayanaya, of

 

the Yogis, Adesa, and of the Muhammdans, Salam ‘Alaikum.

 

But O Nanak, all those who come into your fold, shall greet one another with

 

Pairi Pauna, the reply in each case being Satguru Ko Pairi Pauna.

 

This quotation is from a seventeenth century compilation. We have still an earlier testimony vouchsafing that in the early days of Sikhism, the Sikhs had, as their greeting - Pairi Pauna and the practice of touching each other’s feet. Bhai Gurdas, a contemporary of the Fifth and Sixth Gurus, mentions the practice of pairi pauna, i.e. touching the feet, in very clear terms. He writes:

(In the Court of Guru Nanak)

 

The Ruler and the Pauper were equal.

 

He brought into vogue the practice of bowing at each other’s feet.

 

What a wonderful feat the Beloved wrought!

 

Lo, the head bows at the feet.

 

xxxxxxx

 

Do not give up the practice of bowing at others’ feet.

 

For in the Kaliyug this is the path.

 

xxxxxxx

 

A Sikh should adopt the practice of bowing at another’s feet;

 

He should listen to the advice of the (other) Gursikh, and

 

ponder over what he says.

 

These examples can by multiplied and even supplemented with sakhis (stories) from the Puratan Janam Sakhi and even from the Janam Sakhi of Guru Nanak by Miharban. Both these life-accounts contain numerous stories to show the prevalence of this form of greeting at an early stage of the evolution of the Sikh Panth.

  

In the Bala Janam Sakhi occurs a different form of greeting. Instead of Pairi Pauna of the Puratan cycle and of the Miharban tradition, we have here, Kartar Kartar (Creator! Creator!) meaning let us bow to the Lord, and Sat Kartar (Creator is True). This, we are told, was anterior to the former. Even Miharban himself writes:

At that time whosoever of the Sikhs came, he did not greet others with the

 

word, Pairi Pae Ji, nor would the addressee say, Satguru Ko Pairi Pauna.

 

On the contrary, whosoever came, he would greet others saying, “Kartar,

 

Kartar, O’ Sikhs of the Guru, Kartar, Kartar.” All the Sikhs who came to

 

Guru Nanak, too greeted him saying, “Kartar, Kartar.” The congregation

 

was known as the Kartaris.

 

Supporting evidence may be found in Guru Nanak naming the town he raised on the bank of the River Ravi, Kartapur. Besides, we have the testimony of Zulfikar Ardistani, author of the famous Persian work Dabistan-I-Mazahib. He lived during the time of the Sixth Guru. He has left us a graphic account of Nanak-panthis or Sikhs of his time. He records in his book that the followers of Guru Nanak were known as Kataris. This obviously refers to their practice of repeating Kartar Kartar on meeting each other.

  

So Kartar Kartar is the first form of greeting which became prevalent in Sikhism. It was, however, soon replaced with Pairi Pauna. It is recorded in Adi Sakhian that when Bhai Lehna came from Guru Nanak back to Mate di Sarai, Takht Mall, a close associate of Bhai Lehna came to see him. Bhai Lehna, who had by now become Guru Angad, wanted to receive him with an embrace. But Takht Mall avoided this saying, “You are back from a place of great reverence. I stand to gain by bowing at your feet and not hugging.” This probably was the beginning of the new form of greeting. And, the practice spread. It touched its zenith at Amritsar, the town founded by Guru Ram Das. The Guru had encouraged people from all castes, high and low, and from all classes, to come and settle in the new town. All of them greeted each other with Pairi Pauna and touched one another’s feet. This practice continued for a long time; and even today it is not unlikely that one would be greeted by an old citizen with the words Pairi Pauna Ji, razi ho” (I bow at your feet, Sir, how do you do?).

  

The next vital change occurred when the Tenth Guru created the Khalsa. Since Guru Gobind Singh wanted a complete transformation of Sikh society, he ordered the overhauling of two fundamental institutions of the Sikhs. The first was the substitution of Khande di Pahul for Charan Pahul and the second was the substitution of Vahiguru Ji Ka Khalsa Vahiguru Ji Ki Fateh for Pairi Pauna. Sarup Das Bhalla, Mahima Prakash, describes the end of the custom of the Charan Pahul graphically in the following verse:

The Guru collected the washing of his feet in a jar,

 

Sealed its mouth with wax,

 

And consigned it to the River Sutlej

 

In its place he now ordained Khande di Pahul

  

Thus, the practice of administering Charan Pahul was discarded and along with it was discarded the former mode of greeting, Pairi Pauna. In its place the Panth was now given a new salutation, a new form of greeting, Vahiguru Ji Ka Khalsa Vahiguru Ji Ki Fateh (Khalsa belongs to God, and to Him alone belongs the Victory).

  

The proper salutation for the Khalsa — Vahiguru Ji Ka Khalsa Vahiguru Ji Ki Fateh—was made current among the Sikhs by command of Guru Gobind Singh at the time of manifestation of the Khalsa in 1699. Vahiguru (also spelt Vahguru) is expressive of wonder or ecstasy at Divine infinitude or glory. Vahiguru has become the most characteristic name for God in the Sikh creed, like Allah in Islam. It occurs in the Guru Granth Sahib “Saviayyas by Bhatt Gayand, p. 1402) repeated ecstatically as a mantra. In the compositions of Guru Arjan (GG, 376), it is used in the inverted form as Gur Vahu. Bhai Gurdas in his Varan has used it as being synonymous with the absolute, the Creator in a number of places (I. 49, IV. 17, VI. 5, IX. 13, XI. 3 and 8, XII. 17, XII. 2, XXIV. 1, Xl. 22). This prolific use by one whose philosophical exposition of Sikh metaphysics and mysticism is the earliest on record indicates that by the time of Guru Arjan (the Savaiyyas referred to above were also composed by poets, Bhatts, attending on him) Vahiguru as the Sikh name for God was well established and had acquired the overtones which have since been associated with it as expression of the Sikh monotheistic affirmation of faith.

  

Because of this close and inalienable association, Guru Gobind Singh, at the time of introducing the new form on initiation with adjuration to the initiates to maintain a stern moral discipline and to cultivate qualities of crusaders and martyrs for the faith, administered the new faith in terms of the name of God which was held in the highest reverence in the tradition handed down to him. The new form of salutation, which annulled all the previous ones till then prevalent in Sikh society, was enunciation as Vahiguru Ji Ka Khalsa Vahiguru Ji Ki Fateh — the Khalsa is the Lord’s own: to the Lord is the Victory. This two-fold affirmation was, in the first place, expression of a special relationship between God and those who dedicated their entire life to His service. Second, it was the expression of that faith in the ultimate triumph of the forces of goodness which, despite all apparent setbacks, trials and travail, is the just and essential end of the fight between good and evil in the world. This faith has been asserted over and over again by Guru Nanak and his spiritual successors. After being administered amrit (water stirred with a two-edged dagger, sanctified by recitation of the Guru’s word and thus transmuted into the elixir of immortality), each initiate was adjured to raise the affirmation, Vahiguru Ji Ka Khalsa Vahiguru Ji Ki Fateh! This was duly repeated, and the tradition continues till this day. Apart from being used as the affirmation of faith, this formula is also the orthodox approved Sikh form of salutation.

  

Two terms in this formula need elucidation. Khalsa is an Arabic word, meaning, literally, ‘pure’ and used in the administration terminology of the Muslim State system in India for lands or fiefs directly held by the sovereign and not farmed out to landlords on conditions of military service and of making over to the State a share of the produce. In the term Khalsa, both these meanings are discerned. In one of Guru Hargobind’s Hukamnamas and in one of Guru Tegh Bahadur’s, Khalsa is used for the Guru’s devotees, with the implication particularly as ‘the Guru’s Own!’ As Guru Gobind Singh adopted the term and gave it centrality in the enunciation of the creed, the idea of purity perhaps came to acquire primacy. Khalsa occurs also in the Guru Granth Sahib (GG, 654), where it is used in the sense of ‘pure’, ‘emancipated.’ This term appealed to Guru Gobind Singh as being truly expressive of the vision of a noble, heroic race of men that he was creating.

  

Fateh, "fath" in Arabic, literally means "opening or forcing the portal of a besieged fort", implying victory. It has been used in the Qur’an in the sense of victory, and one of the attributive names of God in the Muslim tradition is Fatih (lit. Opener, i.e. Vanquisher over all evil forces). While jai, jaikara have been used in the Sikh tradition for victory and are used thus even in the Dasam Granth, jai was dropped from the new Sikh tradition, though for shouts of victory the term jaikara has become firmly established. Fateh was adopted as the current popular term for triumph or victory and made part of the Sikh affirmation and salutation. Fateh as faith occurs once in the Guru Granth Sahib (GG, 258). “Phahe kate mite gavan fatih bhai mani jit—the noose of Yama hath been cleft, transmigration hath ceased and, with the conquest of the self, true victory hath been achieved.” The implied meaning here is of a moral victory. Jit, a word from Indian tradition, like jaikara had got established also in Sikh tradition, and in the invocation Panth ki Jit (Victory to the Panth) is repeated in the Sikh congregational prayer daily. Fateh nonetheless remains the prime Sikh term for victory, and has been repeated again and again in Sikh history, down from the Persian couplet put on Sikh coins:

Deg-o-Tegh-o-Fateh-e-nusrat bedarang, yaft az Nanak Guru Gobind Singh

 

To today's common daily parlance of the Sikh people, wherein every success is designated as fateh.

  

View On Black

 

Parc Natural del Delta de l'Ebre

 

La zona de la desembocadura de l'Ebre engloba tres espais naturals protegits de gran importància: el Garxal, l'Illa de Sant Antoni i l'Illa de Buda. Les dues illes tenen el pas restringit i si hom vol visitar-les ha de demanar una autorització al Parc Natural. La platja del Garxal, en canvi, és un espai accessible tant a peu com en bicicleta. Al llarg dels recorreguts, hom pot aturar-se a llegir els pannells explicatius que s'hi han habillitat i també als miradors d'aus que permeten observar els ocells que hi viuen. A prop del Garxal es troba el Muntell Gros o De Les Verges, una duna fluvial de 4 metres d'alçada des d'on es divisa l'Illa de Buda i la llacuna que hi ha a l'interior.

 

ca.wikipedia.org/wiki/Delta_de_l'Ebre

es.wikipedia.org/wiki/Parque_Natural_del_Delta_del_Ebro

   

bigger

 

Here is a little before/after of all the Eyes Have Seen the Glory promos I uploaded...

 

gotta love the 5d + L glass....it enabled me to do most of my editing in Camera Raw (saved me a TON of time!) The only one that gave me trouble was the top photo, before C.R. it was SOOOO dark.

 

I'll try my best to list what I did:

 

ACR:

- temp/tint adjustments

- contrast increase

- brightness increase

- minor clarity increase

- highlight/shadow color adjustment

- slight curves adjustment

- noise reduction

 

Photoshop:

- curves layer for contrast set to luminosity

- dodge and burn the entire photo (this took the longest out of everything I did....especially the top photo)

- more curves for more contrast

- color balance on bottom photo

- more noise reduction

- high pass layer

 

...I guess the point I was getting at is that the RAW files from the 5d paired with L glass are pretty darn awesome SOOC....and that's such a treat compared to my good ol' d40!

 

that's it folks! Let me know if you have questions =)

 

(p.s. - the left ones are NOT SOOC...they are after raw adjustments)

Hilo de la Fotohistoria en Pullip .es: MUSE CONCERT AT BARCELONA: PALAU SANT JORDI (3 of 9): After the test... /

CONCIERTO DE MUSE EN BARCELONA: PALAU SANT JORDI (3 de 9): Después del Ensayo.

 

(Read in order, this is: SHOT/FOTO 33 of 115) PAG: Entrada, 01, 02, 03, 04, 05, 06, 07, 08, 09, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105, 106, 107, 108, 109, 110, 111, 112, 113, 114, 115.

 

LINKS:

- Las FOTOHISTORIAS de Sheryl en el Foro de Pullips: Pullip .es

- Sheryl Photostories at Flickr

The Medium Duty Business Class M2 4x4 used Freightliner Pick up Trucks for Sale in Arizona

Freightliner Pick-Up Truck Specifications :

Condition :NEW Year: 2006

Manufacturer: Freightliner Model:Business Class M2

Engine Type: MBE 900 Engine Specs: Mercedes

Transmission: Automatic Horsepower: 330

Tires: 22.5LP Wheels: All Aluminum

Wheelbase: 156"Number of Rear Axles: Single

FACEBOOK FAN PAGE | TWITTER | WEBSITE | PINTEREST | TUMBLR | 500px | INSTAGRAM @lucyalicephotog | ELLO

 

Some of my images are availble in prints over on my ETSY store

 

- feel free to contact me if you are interested in a certain image :) THANK YOU <3

www.sfchronicle.com/opinion/openforum/article/republican-...

While Florida targets Black history, Texas Republicans plan to make life miserable for Asian Americans

Lillian Sing, Julie Tang

Updated: Feb. 17, 2023 9:17 a.m.

 

www.usatoday.com/story/news/nation/2023/02/09/lawmakers-b...

Spy fears spark flurry of proposed laws aiming to ban Chinese land ownership

Critics say the proposals hark back to racist laws from the early 1900s preventing Asian Americans from becoming property owners.

  

www.cnn.com/2023/02/18/politics/chinese-land-law-texas-vi...

 

History repeats itself with anti-China land ownership proposals

February 18, 2023

 

(CNN) New efforts to bar Chinese citizens and others from owning property in Texas and other states echo the treatment of Asian people in the US more than 100 years ago, when Congress barred them from obtaining citizenship and multiple state laws restricted land ownership.

 

▫️ In Virginia, Gov. Glenn Youngkin is expected to sign legislation to bar citizens of countries the State Department has designated as "foreign adversaries" from owning agricultural land. Companies with deep ties to those countries would also be affected. Those countries currently include China, Russia, North Korea and Iran. There are similar proposals in Montana, Wyoming and North Dakota. Foreign owners control a fraction of US farmland, according to the Congressional Research Service.

 

▫️ In Texas, a much broader proposal names those countries and bans citizens of them from owning any land whatsoever. The ban would presumably extend to legal immigrants living in the US. That bill is still working its way through the legislature but has the support of Gov. Greg Abbott.

 

The Texas proposal in particular specifically recalls a despicable chapter in US history, when so-called Alien Land Laws were passed in numerous states between the 1880s and 1920s to specifically bar Asian people from owning land. The California Alien Land Law was eventually overturned by the Supreme Court in 1952 for violating the 14th Amendment.

 

Chinese people were explicitly barred from immigration to the US for generations -- from the 1880s, when Congress passed the Chinese Exclusion Act, until that law's repeal during World War II.

 

A ban on people 'ineligible for citizenship' owning property

So few Chinese people were allowed to immigrate for another generation after that until 1965 -- 105 per year -- that it amounted to a de facto ban.

 

As a result, the anti-Asian property laws mostly affected Japanese Americans.

 

While the laws did not specifically single out Asians, they were applied to people "ineligible for citizenship."

 

That made the laws specifically apply to Asians since Congress, at the time, allowed citizenship only for immigrants coming from Europe or Africa.

 

The most notorious example of Alien Land Laws was in California, which passed multiple versions of these laws over the years, and where Asian immigrants were concentrated.

 

One celebrated and yearslong court battle pitted a Japanese immigrant, Jukichi Harada, who found a way around the law by having his children own the house where his family lived in Riverside, California. They were ultimately able to keep the house when a judge ruled in their favor in 1918, but they were later moved to internment camps during World War II because of their Japanese ancestry.

 

Today, the Harada House is a National Historic Landmark and a museum.

 

Reinvoking the 'Yellow Peril'

I called Madeline Hsu, a history professor and expert in Asian American studies at the University of Texas at Austin, to ask if these new proposals are an example of history repeating itself.

 

"It's definitely sort of reinvocation of kind of what people in Asian American studies would refer to as 'Yellow Peril' fearmongering," she said.

 

"There are ways in which it resonates with what happened to Japanese Americans during World War II, where regardless of citizenship, regardless of nativity, they were racially categorized as enemy aliens."

 

Alien Land Laws in Texas

Hsu pointed me to an article in the Journal of Southern History by the University of Texas Rio Grande Valley professor Brent Campney that documents fears of a Japanese "invasion" in the Rio Grande Valley more than 100 years ago.

 

'Exacerbating tensions'

 

Campney's larger argument in studying the treatment of Asian Americans, in this case people of Japanese descent, is that the local discrimination in Texas and also California reverberated back into the growing animosity between Japan and the US leading up to World War II.

 

Decades before the US government robbed Japanese Americans of their rights and held them in camps, Campney writes, "white Americans appealed to the same stereotypes and exclusionary impulses used against the Japanese during the internment, exacerbating tensions between Japan and the United States."

 

That's a historical lesson everyone has an interest in learning as tensions between the US and China grow today. The US military is maneuvering with allies to control China in the Pacific. The US government is focused on making the economy more independent from Chinese manufacturing. There is even talk of banning TikTok, the app popular with young people in the US and owned by a private Chinese company.

 

The problem of targeting people by nationality

These efforts against a government seep into more problematic territory when they seem to target the many Chinese and ethnic Chinese people who live in the US.

 

"Targeting people by nationality is also problematic," Hsu said. "That's not a good way of identifying people who are national security risks or who are acting on behalf of a foreign government."

 

She drew a correlation between these new state proposals and former President Donald Trump's promise to enforce a ban on Muslims traveling to the US. In order to get a plan through the Supreme Court, he instead banned, for a time, travel from certain countries in Africa, Asia, the Middle East and South America.

 

The Texas bill similarly targets specific countries by name and generalizes that all citizens of those countries could be a threat.

 

"The only thing it does is it expresses these kinds of gut suspicions and hostility to these countries," Hsu said.

View Large On White

 

ENGLISH

The family Asteraceae or Compositae (known as the aster, daisy, or sunflower family) is the largest family of flowering plants, in terms of number of species.

 

The name 'Asteraceae' is derived from the type genus Aster, while 'Compositae', an older but still valid name, means composite and refers to the characteristic inflorescence, a special type of pseudanthium found in only a few other angiosperm families. The study of this family is known as synantherology.

 

The most evident characteristic of Asteraceae is perhaps their inflorescence: a specialised capitulum, technically called a calathid or calathidium, but generally referred to as flower head or, alternatively, simply capitulum. The capitulum is a contracted raceme composed of numerous individual sessile flowers, called the florets, all sharing the same receptacle.

 

The capitulum of the Asteraceae has evolved many characteristics that make it look superficially like a big single flower. This kind of flower-like inflorescences are quite widespread amongst plants and have been given the name of pseudanthia.

 

Many bracts form an involucre under the basis of the capitulum; these are called "phyllaries", or "involucral bracts". They may simulate the sepals of the pseudanthium. These are mostly herbaceous but can also be brightly coloured (e.g. Helichrysum) or have a scarious texture. The bracts can be free or fused, and arranged in one to many rows, overlapping like the tiles of a roof (imbricate) or not (this variation is important in identification of tribes and genera).

 

Each floret may itself be subtended by a bract, called a "palea" or "receptacular bract". These bracts as a group are often called "chaff". The presence or absence of these bracts, their distribution on the receptacle, and their size and shape are all important diagnostic characteristics for genera and tribes.

 

The florets have five petals fused at the base to form a corolla tube and they may be either actinomorphic or zygomorphic. Disc florets are usually actinomorphic, with five petal lips on the rim of the corolla tube. The petal lips may be either very short, or long, in which case they form deeply lobed petals. The latter is the only kind of floret in the Carduoideae, while the first kind is more widespread. Ray florets are always highly zygomorphic and are characterised by the presence of a ligule, a strap-shaped structure on the edge of the corolla tube consisting of fused petals. In the Asteroideae and other minor subfamilies these are usually borne only on florets at the circumference of the capitulum and have a 3+2 scheme – above the fused corolla tube, three very long fused petals form the ligule, with the other two petals being inconspicuously small. The Cichorioidea has only ray florets, with a 5+0 scheme – all five petals form the ligule. A 4+1 scheme is found in the Barnadesioideae. The tip of the ligule is often divided into teeth, each one representing a petal. Some marginal florets may have no petals at all (filiform floret).

 

The calyx of the florets may be absent, but when present it is always modified into a pappus of two or more teeth, scales or bristles and this is often involved in the dispersion of the seeds. As with the bracts, the nature of the pappus is an important diagnostic feature.

 

There are usually five stamens. The filaments are fused to the corolla, while the anthers are generally connate (syngenesious anthers), thus forming a sort of tube around the style (theca). They commonly have basal and/or apical appendages. Pollen is released inside the tube and is collected around the growing style, expelled with a sort of pump mechanism (nüdelspritze) or a brush.

 

The pistil is made of two connate carpels. The style has two lobes; stigmatic tissue may be located in the interior surface or form two lateral lines. The ovary is inferior and has only one ovule, with basal placentation.

 

More info: en.wikipedia.org/wiki/Asteraceae

 

---------------------------------------

 

CASTELLANO

Las Asteráceas (Asteraceae Bercht. & J. Presl), también denominadas Compuestas (Compositae Giseke), reunen mas de 23.000 especies (Jeffrey, 2007; Stevens, 2001) por lo que son la familia de Angiospermas con mayor riqueza y diversidad biológica. La familia está caracterizada por presentar las flores dispuestas en una inflorescencia compuesta denominada capítulo la cual se halla rodeada de una o más filas de brácteas (involucro). El nombre "Asteraceae" deriva del género tipo de la familia Aster, término que -a su vez- proviene del griego ἀστήρ que significa "estrella" y hace alusión a la forma de la inflorescencia. Por otro lado, el nombre "compuestas", más antiguo pero válido, hace referencia al tipo particular de inflorescencia compuesta que caracteriza a la familia y que solo se halla en muy pocas familias de Angiospermas. Las Compuestas presentan una considerable importancia ecológica y económica. Los miembros de esta familia se distribuyen desde las regiones polares hasta los trópicos, conquistando todos los hábitats disponibles, desde los desiertos secos hasta los pantanos y desde las selvas hasta los picos montañosos. En muchas regiones del mundo las Compuestas llegan a integrar hasta el 10% de la flora vernácula.

 

Las flores son pequeñas, hermafroditas o, en ocasiones, funcionalmente unisexuales o estériles (en este último caso se denominan neutras). Por su simetría pueden ser tanto actinomorfas como zigomorfas, es decir que pueden presentar simetría radial o bilateral, respectivamente. Por el número de piezas que componen cada ciclo, las flores de las compuestas son pentámeras. El cáliz es nulo o bien los sépalos están profundamente modificados como pelos simples, plumosos o setiformes, como escamas o como una pequeña corona membranácea. La corola es gamopétala, los pétalos pueden unirse entre si formando un tubo con 4 ó 5 lóbulos (la flor se denomina tubulosa o flósculo), o dos grupos de pétalos unidos (en el caso de las flores bilabiadas), o pueden presentar un tubo corto y el limbo prolongado lateralmente en una lígula con 3 o 5 dientes (flores liguladas).[a] El androceo presenta 5 estambres, los cuales alternan con los lóbulos de la corola. Los filamentos se hallan insertos en ella. Las anteras se unen entre sí fomando un tubo alrededor del estilo. El gineceo es de ovario ínfero, bicarpelar, con el ovario unilocular. Presentan un solo óvulo anátropo. El pistilo presenta un estilo que está usualmente rodeado en su base por un nectario. Cada estilo se halla dividido distalmente en dos ramas (ramas estilares) que presentan papilas estigmáticas en su cara adaxial dispuestas en dos líneas separadas o bien, en una sola banda continua.

 

El capítulo es un tipo de inflorescencia racimosa o abierta en la que el pedúnculo se ensancha en la extremidad formando un disco algo grueso, llamado receptáculo común o clinanto. Este receptáculo común se halla rodeado por una o más series de brácteas. Sobre este órgano se disponen las flores sésiles acompañadas o no por sus correspondientes brácteas. Es la inflorescencia típica de las Asteraceae (Compuestas) y de algunos otros géneros como Scabiosa. Inflorescencias en capítulo, rodeado por un involucro de brácteas; en ocasiones existen en el receptáculo escamas de naturaleza bracteal. Los capítulos a su vez pueden agruparse en inflorescencias compuestas diversas.

 

Más info: es.wikipedia.org/wiki/Asteraceae

Hilo de la Fotohistoria en Pullip .es: DATING AT CINEMA (2 of 5): The movie /

CITA EN EL CINE (2 de 5): La Peli

 

(Read in this order) PAG: 01, 02, 03, 04, 05, 06, 07, 08, 09, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 67, 68, 69, 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105, 106, 107, 108, 109, 110, 111, 112, 113, 114, 115, 116, 117, 118, 119, 120, 121, 122, 123, 124, 125, 126, 127, 128, 129, 130, 131, 132, 133, 134, 135, 136, 137, 138, 139, 140, 141, 142, 143, 144, 145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 152, 153, 154, 155, 156, 157, 158, 159, 160, 161, 162, 163, 164, 165, 166, 167, 168, 169, 170, 171, 172, 173, 174, 175, 176, 177, 178, 179, 180, 181, 182, 183, 184, 185, 186, 187, 188, 189, 190, 191, 192, 193, 194, 195, 196, 197, 198, 199, 200, 201, 202, 203, 204, 205, 206, 207, 208, 209, 210, 211, 212, 213, 214, 215, 216, 217, 218, 219, 220, 221, 222, 223, 224, 225, 226, 227, 228, 229, 230, 231, 232, 233, 234, 235, 236, 237, 238, 239, 240, 241, 242, 243, 244, 245, 246, 247, 248, 249, 250, 251, 252, 253, 254, 255, 256, 257, 258, 259, 260, 261, 262, 263, 264, 265, 266, 267, 268, 269, 270, 271, 272, 273, 274, 275, 276, 277, 278, 279, 280, 281, 282, 283, 284, 285, 286.

 

FOTOSTORY: In English / En Español

Matt: ;P

/

Matt: ;P

 

COLLABORATION:

- Minao's Akari Collaboration

- Dom y Akari en el Foro de Pullips: Pullip .es

- Cinema's diorama by Minao. Sweets shop's diorama by Sheryl and Minao Collaboration.

- Little interpretation of Mad_Pullip's Emily as a MUSE fan.

 

SHERYL LINKS:

- Pullip .es: Las Fotohistorias de Sheryl

- Sheryl's Flickr: Photostories 2011 - Sketches 2011 / Photostories 2012 - Sketches 2012

View On Black

 

Poroiba - Akau - Wigschool - Pruikenschool

The wigmen of the Huli people aren't like Western toupee manufacturers. They are wizards who only work with people who have fine heads of hair.

 

What a traditional wigman does is use ancient magic to make hair grow faster than normal so it can be cut off and turned into a wig. Evidently, magic - like hair restorer - doesn't work if the hair is long gone.

 

This singular way of making hairpieces is found in the Tari Valley, 2000m up in the Highlands of PNG, an area just starting to make the transition from the old ways of centuries past to the new ideas which have begun to flow from the outside world.

 

When I explored the villages and roadside markets around the lodge, most of the men I met were wearing caps, but a good number still went about their daily business dressed in the traditional wigs.

 

In fact many had not one but two wigs - a plain day wig shaped like an upturned bowl, and an ornate ceremonial wig decorated with bird feathers - possession of which, like ownership of many pigs or having more than one wife, is a sign of wealth and status.

 

As a result the wigmen are still much in demand. And, this being a place where magic is taken very seriously, they are deeply respected. The sign welcoming visitors to Tari Airport highlights the fact that the area is "Home to the Huli wigman."

uit:

 

www.nzherald.co.nz/papua-new-guinea/news/article.cfm?l_id...

 

and:

www.papuanewguinea.net/Wigmen.html

 

The Huli are an indigenous people that live in the Southern Highlands of Papua New Guinea. They number over 65,000 and have been living in the area for at least 600 years. They speak Huli, Tok Pisin, and English.

 

From:

en.wikipedia.org/wiki/Huli_people

We bezoeken de pruikenschool van de Huli in het heel afgelegen en geïsoleerd dorpje Poroiba.

Dit is een 'school' met leerlingen en leraren dus. Eerst moeten de jongens toegelaten worden. De jongens moeten bevestigen dat ze nog geen sex gehad hebben met het andere geslacht. Dan worden ze ingewijd in de rituelen om het haar te laten groeien. Ten vroegste na 9 maand intens 'voeden' van de haren met gezang en hoofd besproeien, kan de leeraar oordelen of het haar klaar is voor een pruik. Dan volgt een eerste knipping. Genoeg haar dan voor een gewone pruik. Een volledige cyclus is 18 maand. De jongens blijven al die maanden ter plaatse en ze moeten maagd blijven. Sommige laten de haren groeien zo dat ze 2 pruiken hebben. Genoeg voor een ceremoniële pruik. Het is een statuussymbool.

 

ver en grande

*

*

Nuevas galerías en breve en Biodiversidad virtual

  

Aunque Spongomonas es un alga, no lo parece, su palidez hace que se oculte su identidad, Spongomonas pertenece al grupo de las algas haptofitas, que al igual que las algas doradas, crisofíceas, tiñen sus cloroplastos de colores amarillos, en las haptofitas tan desvaídos que apenas se dejan ver.

 

Las haptofitas son siempre muy pequeñas y unicelulares y están provistas de dos flagelos ligeramente desiguales. En ocasiones, como ocurre con Spongomas se asocian formando colonias globulares o irregulares constituidas por una masa gelatinosa de la que asoman los flagelos y a la que se adhieren también partículas globulares, posiblemente de origen bacteriano .

 

A veces alrededor de la base de los flagelos se dispone un pequeño collar casi plano y por eso apenas perceptible y en el extremo opuesto, pero en el interior de la célula se marca la pequeña huella de una vacuola contráctil.

 

Aunque Spongomonas no es en absoluto un flagelado común, otras haptofitas hermanas y solitarias, constituyen, sin duda, las formas planctónicas más abundantes en todos los océanos, son los cocolitóforos, que tienen un esqueleto formado por placas calcáreas esculpidas en formas inimaginables que pueden formar con el tiempo grandes depósitos de estos microfósiles.

 

Aunque Spongomonas pertenece a este grupo de abundantes y minúsculas algas oceánicas vive en aguas dulces y se alimenta filtrando las partículas que atrae con las corrientes de sus flagelos

  

Algunas especies de Spongomonas tienen aspecto acintado y parecen culebrear en el agua, la de hoy irregular y de aspecto esponjoso procedede unas muestras recogidas en una charca próxima a Ricobayo, entre granitos, en la comarca zamorana de Aliste y han sido fotografiadas a 400 aumentos utilizando la técnica de contraste de interferencia.

 

Muy probablemente sea la primera cita que se hace de este género en nuestro país.

 

Gracias a Santiago Ortiz por incorporar nuestro proyecto a su magnífico Bestiario.

Con nuestra gratitud también para Pilar Gil por la publicación en Qúo, a Antonio Martínez Ron ...y también Paul/

 

Puedes tener otra infomación en la exposición LA VIDA OCULTA DEL AGUA

 

Y en este catálogo

 

También en la galería de Fotolog

 

Y nuestro granito de arena por la Paz

 

1 2 ••• 45 46 48 50 51 ••• 79 80