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« Le paysage superbe dominant la cham des Bondons comprend des excentricités naturelles : l'Eschino d'aze (l'échine d'âne) et les puechs des Bondons, deux buttes coniques de marnes noires.

 

Jusqu'au début du XIXe siècle, ces curiosités géologiques s'appelaient Puech d'Allègre et Puech de Mariette (puech venant du latin podium, terre élevée). Ils ont par la suite été rebaptisés Truc de Miret et Truc des Bondons.

 

Les deux mamelons calcaires ont résisté à l'érosion grâce à des roches plus dures en surface qui ont protégé les marnes sous-jacentes. Avec l'échine voisine, ils dominent la vallée du Tarn.

 

Les puechs et cette arête rocheuse ont aussi une origine légendaire : curant ses sabots, Gargantua laissa tomber les détritus qu'ils contenaient et qui vinrent former l'Eschino d'aze et ses deux puechs. »

 

www.cevennes-parcnational.fr/Un-patrimoine-d-exception/Le...

 

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Ah pute vierge, l’Arsène, c’te peut’homme… avec ses cheveux de Cayatte, ses joues de pochard et des lèvres gonflées d’affreux miqués qui lui remontaient jusqu’au tarin… on peut pas dire qu’il était beau… et pis Diable ce qu’il notait fort ! Une fragrance de mondeur de vache… Ouais ça, question propreté, il l’était guère nâreux. Pour couronner le tout, l’était vraiment sapé comme l’as de pique ! Un roi des feurloques, tellement débringué qu’on aurait cru un de ces Sheubab de Somaliens.

 

En prime, on pouvait pas vraiment dire qu’il avait inventé l’eau chaude, c’te drôle… Faut bien dire qu’il était du genre à rentrer chez lui en marchant de quart en coin. Il cheûlait comme cinquante ouarés polack…et tout le monde sait qu’la tétine, ça a jamais fait du bon au ciboulot… N’empêche qu’y avait aussi en cause le patrimoine de départ, et de ce côté-là, l’était pas aidé par dame nature… Un vrai beubeu, limite mongol… ça se voyait à ses mirettes qui conservaient hivers comme automne une absence totale d’expression. Des yeux de Brehaigne en train de se repaître d’un massif à cigüe tout en lâchant une flate !

 

Ah ce pauv’ con, on aurait bien aimé le plaindre s’il avait juste été un peu gentil. Mais c’était une manre bestiole de la pire des races. Méchant comme la gale, animé des pires intentions… A croire que sa bêtise avait déteint sur l’organe tendresse.

 

Y rôdaillait tous les jours près de la gare… Surtout le soir, dans la zone des Turcs et aut’ vendeurs de grande graisse, à quelques encablures des Deux Hémis… L’aimait bien apostropher les béguineurs intellos de la fac de droit et leur flanquer une frousse… Puis quand il avait réussi à faire sursauter leur bacelle, y disait sur un ton de menace au maquereau de lui filer 10 francs ou un clope, au choix… ça marchait presque à tous les coups… On est quand même un peu neuneu quand on est amoureux et qu’on a peur de se prendre une rouffe devant sa copine.

 

Non pas qu’il ait jamais eu à manquer. Au contraire, avec sa pension d’invalidité, y l’était plutôt bien loti, d’autant qu’il avait amassé, amassé ce rapide et dépensait jamais un kopek… mais, c’était plus fort que lui, il aimait s’la jouer Jo la taxe… et pis surtout, l’avait trouvé comme ça un moyen de communiquer. Parce qu’avec sa face de simplet, et on peut pas dire qu’il attirait la galerie.

 

Y en avait bien une qui lui battait pas froid… c’était la serveuse de nuit des deux Hémis. La petite Nadine qu’il avait décidé de baptiser Nadège rapport à ce que ça lui rappelait une de ses cousines de la Meuse… Une pour laquelle il avait éprouvé ièque et qui se prénommait ainsi.

 

La Nadège n’était pas la plus gracieuse de la place mais elle avait un regard de tricousse. Une de ces sautes-au-prune qui te chante la ritournelle dès le premier soir. A l’adolescence, elle avait déjà contre elle quelques sales racontars… et dans une ville de garnison comme Nancy, les commères ont vite fait de vous planter une biographie longue comme la ligne Maginot… d’aucunes racontaient même qu’un soir où elle était morzif un wagon complet d’appelés lui était passé dessus… dans les toilettes du bar, entre la mare à vomis et le seau à serpillère, la tête collée dans la cuvette des chiottes et le popotin ouvert vers les cieux…

 

Ben l’était pas jaloux… y s’en fichait comme de l’an quarante, le Taugnât… D’abord, pasqueu dans ce monde impitoyable, elle était une des seules personnes qui lui mettait jamais la chouf… Et p’is ensuite, ben y faut bien avouer qu’avec toutes ses manières, elle le flanquait comme à joc, la Nadège… Oh ça, pour lui soutirer quelques picotement du côté du bodon, elle était championne, la bougresse. Une maitresse dans l’art de lui chauffer les sangs. Mais seulement dans ses rêves… avec lui, jamais, elle y allait de sa chaude ! Ah la maudite luronne !

 

Pour s’en excuser, elle lui avait raconté une sorte d’apologue, des sornettes évidemment : un truc comme quoi elle le considérait un peu comme son frérot, l’Arsène et qu’avec son frangin, elle pouvait pas penser la bagatelle.

 

Frangin !?! Une bonne bèrlafe, tiens ! A la sale petite allumeuse qu’il pensait-là, tout en ruminant l’occasion de lui faire sa fête… la cochonne ! C’est vrai qu’il remâchait l’éconduit : pourquoi qu’elle refusait à lui seul ce qu’elle cédait si facilement à tous ces narvalos ? Y avait bien quelque chose de pourrisse au duché de Lorraine !

 

Réfléchir le mettait à la peine, n’empêche qu’y se doutait bien un peu que les résistances d’la Nagège avait bien à voir avec de l’amitié. Peut-être même qu’elle le raimait tellement qu’elle voulait attendre les épousailles. Il était pas si loin du compte, le niaiseux. En attendant, cela n’arrangeait pas ses petites affaires… Et tout les soir en rentrant dans sa soue, il était obligé de se palucher pour faire passer l’humeur. Ah la beûloûse qu’y récriminait l’Arsène, en s’escogriffant le rantanplan… Pas pensable qu’elle ait jamais vu que le grand amour était à sa porte.

 

En attendant, ce qu’y savait pas l’Arsène, c’est que la Nadège perdait pas son temps. Avec sa petite tête de linotte à qui on aurait donné le petit Jésus en pension, elle faisait marcher ses neurones… Ouais et ça tricotait dur dans sa cervelle de piaf… Aussi pas croyable que ce soit possible de penser, fallait bien se rendre à l’évidence : elle calculait, la môme… Ouais, elle calculait.

 

Pendant que la gamine en était aux mathématiques complexes, l’Arsène feûgnait, y feûgnait dur dans son crâne pour trouver un coin de libre où se serait caché une idée… et puis v’là ti pas qu’à un moment il trouva un truc impayable : bon sang de bleu mais c’est bonsoir… et si tu la faisait chêuler un bon coup qu’il s’écria l’Arsène, possible dopo qu’elle soit beaucoup plus docile.

 

Voilà donc comment qu’un soir après le service, il lui proposa d’aller s’en jeter un dernier aux Deux Palmiers. Ensuite et ben quand elle eut bien cheûlé et qu’elle fut bien à point, elle lui tomba dans les bras tel un Nâchiron trop mûr….

 

Il lui avait tellement cogné la croupe en mode beûculon s’acharnant sur un chêne centenaire qu’elle en avait les fesses pleines de beûgnes. Et entre les cuisses, bon diable, ça lui brûlait durement… Pour dire comme ça lui faisait mal, c’est un comme si elle avait attrapé le frayon…

 

Soulevant comme un voile de pudeur tandis que le drôle lui caressait le téton en mode angelot, elle s’interrogeait au niveau du vécu si elle l’aurait l’envie d’en redemander des fois. Parce que bon Dieu, des fois, l’Arsène, c’était pas vraiment un tendre côté brimborion… Mais bien un nave de bucheron !

 

Avec son calfouète de gros dégueulasse, ton tee-shirt orange abominable et son air vicelard… C’est bien simple, à c’te heure, il commençait bien à lui foutre les foies, l‘Alphonse… Et pourtant, le crochu m‘est témoin, elle calculait encore la petitote, ouais elle calculait !

 

A suivre

Un espacio intersticial en un barrio industrial. Fotos del nuevo edificio de viviendas Glas Eraikuntza construido en cooperativa y situado en el corazón de Ametzola, un barrio en plena expansión, calle Jaén nº12 kalea, Bilbao.

Vivienda colectiva Grado A de Eficiencia Energética- Realizado por el estudio Miret Arquitectos.

Diseño Marta Miret (Arquitecta)

Gestión Carlos Miret (Arquitecto)

issuu.com/martamiretrodriguez/docs/glas_eraikuntza_un_esp...

issuu.com/glaseraikuntza/docs/ge_ja__n_12_lr/1

 

www.viviendasencooperativa.net

Imagen capturada durante la presentación en el Ayuntamiento de la maqueta de la proyectada nueva planta depuradora de Zaragoza sita en La Cartuja Baja, cuyas obras comenzaron en el verano de este año. En el centro de la escena, Eduard Merigó, presidente de la empresa adjudicataria de la obra Omniun de Traitment et de Valorisation (OTV), explica la maqueta del proyecto diseñado por Carlos Miret Bernal, mientras el alcalde Antonio González Triviño sigue atentamente las indicaciones.

Esta planta estaba presupuestada en 20.000 millones de pesetas, y las obras estarían terminadas en 1993. Efectivamente, en mayo de 1993 fue inaugurada esta depuradora, si bien el presupuesto fue estirado hasta más de doble, de forma que el coste total, terminado de pagar en 2013, alcanzaría la apabullante cifra de 250 millones de euros (42.000 millones de las antiguas pesetas).

 

Proyecto GAZA ("Gran Archivo Zaragoza Antigua") es un compendio de imágenes de la antigua Zaragoza (España), acompañadas de textos creados por José María Ballestín Miguel y la colaboración de Antonio Tausiet.

adioszaragoza.blogspot.com

 

Fuente visual de la imagen: "Nuestra Zaragoza/ Boletín informativo del Ayuntamiento de Zaragoza", comentada para el Gran Archivo Zaragoza Antigua (GAZA).

Foto: Guillermo Mestre.

19 de mayo de 1993. Acto de inauguración de la Depuradora de Aguas Residuales de La Cartuja, obra de Carlos Miret, con el ministro de Obras Públicas Josep Borrell y el alcalde de Zaragoza Antonio González Triviño, ante una maqueta de las instalaciones. En 1990 se adjudicaron las obras, tras un estudio realizado por Didac Fábregas, empresario socialista amigo del alcalde y vinculado con la empresa adjudicataria hasta 2024, OTV-Générale des Eaux. Los terrenos se pagaron por el triple de su precio de mercado; se produjo además un sobrecoste legal de 400 millones de pesetas. También aparecieron facturas falsas por 300 millones más, cuyo receptor parecía ser Fábregas. Y una auditoría posterior concluyó que la planta debería haber costado 7.000 millones menos. Tanto el PP como el PSOE intentaron privatizarla, pero no resultó y se creó la sociedad pública Ecociudad Zaragoza. El coste total, terminado de pagar en 2013, fue de 250 millones de euros (42.000 millones de pesetas, incluyendo 20.000 de intereses). No hubo ninguna condena legal. Todo fue convenientemente depurado.

 

Fuente: Heraldo de Aragón.

 

Proyecto GAZA ("Gran Archivo Zaragoza Antigua") es un compendio de imágenes de la antigua Zaragoza (España), acompañadas de textos creados por José María Ballestín Miguel y la colaboración de Antonio Tausiet.

adioszaragoza.blogspot.com

Tu es la plus belle fille du monde... Du moins à mes yeux... Dans mes mirettes ébahies par tant et tant de grâce.

 

La vidéo est de piètre qualité mais... Tu es belle mon amour et...

 

Je t'aime.

Tu me manques.

Tu manques tous les jours. Dans mes songes et dans mes pensées.

Tibidabo, Barcelona.

 

Tibidabo is the union of two Latin words tibi-dabo (I will give you) taken from the gospel of San Mateo, 4.9, that the third temptation of Satan to Jesus in the desert remembers: “I will give all this You, if you wilt fall down and worship me”. The Hieronymite monks imagined that the devil could have attemped Jesus, offering from this summit all the wealth to him of the city of Barcelona.

In the summit is the church of the Sagrat Cor (Sacred Heart or Sacré-Coeur), closely related to his homonym in Paris, and it's visible from all the city. In 1886 was builded a little hermitage in the upper point of the mountain.

Designed by Enrique Sagnier, the actual church consists of 2 elements: the crypt in the lower part, and the temple basilica in the upper part.

The Crypt was builded between 1903 and 1911, and the basilica begins in 1914, but the Spanish civil war destroys both in 1936. After the war, in 1939, the reconstruction begins. In 1951 the upper temple is finished.

The Statue of the Sacred Heart, by Jose Miret, is of bronze, it measures 7,5 meters and weight 4,800 kg. and it was placed in 1961. 11 days later John XXIII ignited from Rome the nocturnal illumination.

 

This is the chapel where I married.

flickriver.com/photos/javier1949/popular-interesting/

 

Hipódromo de la Zarzuela

Cuesta de las Perdices. CN. VI km 8 –Av. Padre Huidobro, s/n-. Madrid

 

Carlos Arniches Moltó y Martín Domínguez Esteban, arquitectos, y Eduardo Torroja Miret, ingeniero. Proyecto 1934. Inicio de las obras 1935. Reparaciones y finalización de las obras: Eduardo Torroja Miret 1941

Remodelación y restauración: Junquera Arquitectos S.L.P. Jerónimo Junquera García del Diestro y Liliana C. Obal Díaz. Proyecto 2004. Dirección de proyecto Clara E. Santana. Obras 2008-2014 en ejecución. Estructuras: Carlos Fernández Casado S.L. Instalaciones: Úrculo ingenieros.

  

Declarado Bien de Interés Cultural BIC en la categoría de MONUMENTO en 2009

  

De la Publicación “Arquitectura de Madrid. Tomo 3 Periferia. Fundación Arquitectura COAM”:

El hipódromo de la Zarzuela sustituye al existente en los altos del paseo de la Castellana, sobre el solar donde hoy se encuentran los Nuevos Ministerios, en funcionamiento desde 1878 y derribado en 1933 para prolongar el paseo. Situado en el privilegiado emplazamiento de los terrenos del monte de El Pardo, se inauguró en 1941 pese a que se encontraba prácticamente terminado antes de la guerra civil según el proyecto de los arquitectos Carlos Arniches y Martín Domínguez, realizado en colaboración con el ingeniero Eduardo Torroja, quien se encargaría, tras la guerra civil, de la finalización de los trabajos y las reparaciones pertinentes por la ausencia de los dos arquitectos. En julio de 1934 se convoca concurso público para elegir el proyecto, resultando ganadora la propuesta de Arniches, Domínguez y Torroja, las obras se iniciaron muy pronto y, al terminar 1935, estaban muy avanzadas. Con independencia de sus valores formales y de la excelente resolución funcional, uno de los mayores aciertos del proyecto consistió en aprovechar el desnivel de los terrenos. La organización dispone las instalaciones de forma casi transversal a la cuesta de las Perdices, por la que se accedía. Junto al acceso se situaron los "paddock" y el conjunto edificatorio fundamental, ocupado por el restaurante y las tribunas, de espaldas al sol y en posición lateral. Completaban el conjunto las cuadras, las pistas de entrenamiento y concursos y la pista principal, marcada por dos diagonales interiores, así como una serie de construcciones e instalaciones auxiliares entre las que hay que destacar el depósito de Torroja, acabado en ladrillo y con perfil de paraboloide hiperbólico. Perfectamente integrado en sus partes, todo él (tanto en lo arquitectónico como en lo ingenieril) muestra a la vez un arraigo en lo vernáculo y la depuración formal que entronca la tradición en la modernidad. Surgen así las galerías de los basamentos y muros de contención en secuencias repetitivas de arquerías encaladas de medio punto que unifican y articulan los elementos dispersos y los espacios libres en un entramado de ámbitos ininterrumpidos para el deporte, el paseo y la fiesta; y surge, ciertamente, el elemento que ha singularizado al hipódromo, convirtiéndose en su seña de identidad más reconocida: la bellísima cubierta de las tribunas en voladizo de hormigón armado de 12,80 m y 5 cm de espesor en su extremo, a base de bóvedas laminares en solución hiperboloide, que internacionalizó la figura de Torroja, ensombreciendo injustamente la de sus arquitectos. La limpieza y funcionalidad de la marquesina (una yuxtaposición de elementos con forma de gaviota) se aunaba con la experimentalista audacia estructural de alemanas resonancias y el resultado plástico, de adscripción racionalista, quedaba, no obstante, todo él impregnado por un hálito poético de sobrecogedora belleza. Después de muchos años abandonado y en un elevado grado de deterioro, las instalaciones del hipódromo han vuelto a abrirse en 2005 a las carreras de caballos. El proyecto de puesta en valor de Jerónimo Junquera y Liliana Obal, ganadores del concurso convocado, se está ejecutando tras la declaración en 2009 como Bien de Interés Cultural de esta unánimemente reconocida "joya arquitectónica".

 

212.145.146.10/biblioteca/fondos/ingra2014/index.htm#map....

  

De la Memoria de la página web del estudio de arquitectura Junquera Arquitectos S.L.P. :

El proyecto de Junquera Arquitectos S.L.P. obtiene en 2004 Primer premio del Concurso Internacional para la Restauración y Rehabilitación del Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela, convocado por la sociedad Hipódromo de la Zarzuela S.A. El Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela es una de las más excepcionales obras de la arquitectura española del primer tercio del siglo XX, y la estructura de las tribunas con las marquesinas, una de las grandes realizaciones del siglo a nivel mundial.

Se propone, recuperar para la ciudad el Hipódromo de la Zarzuela con las instalaciones óptimas para las carreras y el deporte hípico, en equilibrio con el uso y disfrute del Monumento. El Proyecto de Restauración confía la belleza del futuro Hipódromo a potenciar sus valores originales recuperando los que hubiese perdido. Para ello se propone:

- Eliminar las adherencias a los edificios históricos que los habían desvirtuado.

- Restaurar las Tribunas, emblema del Hipódromo, dedicadas a contemplar las carreras

- Adaptar la topografía y segregar las circulaciones de caballo y público en dos niveles según el proyecto de 1934: el público accede al recinto por los patios sur y norte, que quedan comunicados en la galería del paddock. Desde este nivel puede contemplar todos los movimientos del caballo en un nivel inferior sin interferir en su recorrido. Los patios se expanden hacia las terrazas entre tribunas, con vistas a la pista y la ciudad.

-Conservar los ensilladeros en la posición original, concentrando a su alrededor los servicios de carreras, jockeys, veterinaria etc., en un edificio nuevo excavado en el terreno y abierto a jardines que aportan privacidad, iluminación y ventilación natural. Con accesos independientes y comunicación directa con el paddock y la tribuna central sin cruzarse con el público.

-Prever la posible ampliación de un Centro de Convenciones soterrado en el patio norte sin afectar a las perspectivas de los edificios históricos ni del paisaje.

Las obras comenzaron en 2008 con la restauración de las marquesinas de las Tribunas, deterioradas por el paso del tiempo, y dañadas por el agua y diversas construcciones realizadas en etapas anteriores. A la vez que se restauran las marquesinas, se fueron ejecutando en el Recinto obras de Prospección constructiva. Obras de investigación para descubrir y analizar los valores y sistemas constructivos originales, desvirtuados y perdidos por ampliaciones y modificaciones ejecutadas en el recinto. Esto evidenció daños estructurales importantes que exigieron obras de consolidación y reparación de la estructura. Una vez completas las obras de reparación estructural, se inició la restauración y rehabilitación del conjunto arquitectónico, con el objetivo de recuperar los valores esenciales del proyecto de 1934 de Arniches, Domínguez y Torroja.

 

www.junqueraarquitectos.com/

 

flickriver.com/photos/javier1949/popular-interesting/

 

Hipódromo de la Zarzuela

Cuesta de las Perdices. CN. VI km 8 –Av. Padre Huidobro, s/n-. Madrid

 

Carlos Arniches Moltó y Martín Domínguez Esteban, arquitectos, y Eduardo Torroja Miret, ingeniero. Proyecto 1934. Inicio de las obras 1935. Reparaciones y finalización de las obras: Eduardo Torroja Miret 1941

Remodelación y restauración: Junquera Arquitectos S.L.P. Jerónimo Junquera García del Diestro y Liliana C. Obal Díaz. Proyecto 2004. Dirección de proyecto Clara E. Santana. Obras 2008-2014 en ejecución. Estructuras: Carlos Fernández Casado S.L. Instalaciones: Úrculo ingenieros.

  

Declarado Bien de Interés Cultural BIC en la categoría de MONUMENTO en 2009

  

De la Publicación “Arquitectura de Madrid. Tomo 3 Periferia. Fundación Arquitectura COAM”:

El hipódromo de la Zarzuela sustituye al existente en los altos del paseo de la Castellana, sobre el solar donde hoy se encuentran los Nuevos Ministerios, en funcionamiento desde 1878 y derribado en 1933 para prolongar el paseo. Situado en el privilegiado emplazamiento de los terrenos del monte de El Pardo, se inauguró en 1941 pese a que se encontraba prácticamente terminado antes de la guerra civil según el proyecto de los arquitectos Carlos Arniches y Martín Domínguez, realizado en colaboración con el ingeniero Eduardo Torroja, quien se encargaría, tras la guerra civil, de la finalización de los trabajos y las reparaciones pertinentes por la ausencia de los dos arquitectos. En julio de 1934 se convoca concurso público para elegir el proyecto, resultando ganadora la propuesta de Arniches, Domínguez y Torroja, las obras se iniciaron muy pronto y, al terminar 1935, estaban muy avanzadas. Con independencia de sus valores formales y de la excelente resolución funcional, uno de los mayores aciertos del proyecto consistió en aprovechar el desnivel de los terrenos. La organización dispone las instalaciones de forma casi transversal a la cuesta de las Perdices, por la que se accedía. Junto al acceso se situaron los "paddock" y el conjunto edificatorio fundamental, ocupado por el restaurante y las tribunas, de espaldas al sol y en posición lateral. Completaban el conjunto las cuadras, las pistas de entrenamiento y concursos y la pista principal, marcada por dos diagonales interiores, así como una serie de construcciones e instalaciones auxiliares entre las que hay que destacar el depósito de Torroja, acabado en ladrillo y con perfil de paraboloide hiperbólico. Perfectamente integrado en sus partes, todo él (tanto en lo arquitectónico como en lo ingenieril) muestra a la vez un arraigo en lo vernáculo y la depuración formal que entronca la tradición en la modernidad. Surgen así las galerías de los basamentos y muros de contención en secuencias repetitivas de arquerías encaladas de medio punto que unifican y articulan los elementos dispersos y los espacios libres en un entramado de ámbitos ininterrumpidos para el deporte, el paseo y la fiesta; y surge, ciertamente, el elemento que ha singularizado al hipódromo, convirtiéndose en su seña de identidad más reconocida: la bellísima cubierta de las tribunas en voladizo de hormigón armado de 12,80 m y 5 cm de espesor en su extremo, a base de bóvedas laminares en solución hiperboloide, que internacionalizó la figura de Torroja, ensombreciendo injustamente la de sus arquitectos. La limpieza y funcionalidad de la marquesina (una yuxtaposición de elementos con forma de gaviota) se aunaba con la experimentalista audacia estructural de alemanas resonancias y el resultado plástico, de adscripción racionalista, quedaba, no obstante, todo él impregnado por un hálito poético de sobrecogedora belleza. Después de muchos años abandonado y en un elevado grado de deterioro, las instalaciones del hipódromo han vuelto a abrirse en 2005 a las carreras de caballos. El proyecto de puesta en valor de Jerónimo Junquera y Liliana Obal, ganadores del concurso convocado, se está ejecutando tras la declaración en 2009 como Bien de Interés Cultural de esta unánimemente reconocida "joya arquitectónica".

 

212.145.146.10/biblioteca/fondos/ingra2014/index.htm#map....

  

De la Memoria de la página web del estudio de arquitectura Junquera Arquitectos S.L.P. :

El proyecto de Junquera Arquitectos S.L.P. obtiene en 2004 Primer premio del Concurso Internacional para la Restauración y Rehabilitación del Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela, convocado por la sociedad Hipódromo de la Zarzuela S.A. El Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela es una de las más excepcionales obras de la arquitectura española del primer tercio del siglo XX, y la estructura de las tribunas con las marquesinas, una de las grandes realizaciones del siglo a nivel mundial.

Se propone, recuperar para la ciudad el Hipódromo de la Zarzuela con las instalaciones óptimas para las carreras y el deporte hípico, en equilibrio con el uso y disfrute del Monumento. El Proyecto de Restauración confía la belleza del futuro Hipódromo a potenciar sus valores originales recuperando los que hubiese perdido. Para ello se propone:

- Eliminar las adherencias a los edificios históricos que los habían desvirtuado.

- Restaurar las Tribunas, emblema del Hipódromo, dedicadas a contemplar las carreras

- Adaptar la topografía y segregar las circulaciones de caballo y público en dos niveles según el proyecto de 1934: el público accede al recinto por los patios sur y norte, que quedan comunicados en la galería del paddock. Desde este nivel puede contemplar todos los movimientos del caballo en un nivel inferior sin interferir en su recorrido. Los patios se expanden hacia las terrazas entre tribunas, con vistas a la pista y la ciudad.

-Conservar los ensilladeros en la posición original, concentrando a su alrededor los servicios de carreras, jockeys, veterinaria etc., en un edificio nuevo excavado en el terreno y abierto a jardines que aportan privacidad, iluminación y ventilación natural. Con accesos independientes y comunicación directa con el paddock y la tribuna central sin cruzarse con el público.

-Prever la posible ampliación de un Centro de Convenciones soterrado en el patio norte sin afectar a las perspectivas de los edificios históricos ni del paisaje.

Las obras comenzaron en 2008 con la restauración de las marquesinas de las Tribunas, deterioradas por el paso del tiempo, y dañadas por el agua y diversas construcciones realizadas en etapas anteriores. A la vez que se restauran las marquesinas, se fueron ejecutando en el Recinto obras de Prospección constructiva. Obras de investigación para descubrir y analizar los valores y sistemas constructivos originales, desvirtuados y perdidos por ampliaciones y modificaciones ejecutadas en el recinto. Esto evidenció daños estructurales importantes que exigieron obras de consolidación y reparación de la estructura. Una vez completas las obras de reparación estructural, se inició la restauración y rehabilitación del conjunto arquitectónico, con el objetivo de recuperar los valores esenciales del proyecto de 1934 de Arniches, Domínguez y Torroja.

 

www.junqueraarquitectos.com/

 

Ischnura graellsii f. aurantiaca

Iglesia de San Nicolás (Gandía), año 1962

Gonzalo Echegaray Comba & Eduardo Torroja Miret.

  

Paul McCartney au Stade de France, par Filou

  

Jeudi 24 juin 2004, Paul McCartney investissait le Stade de France pour un concert exceptionnel dans le cadre de sa tournée Summer Tour 04. Pas moins de 50 000 personnes étaient réunis pour cette grand messe de près de 2h30 au cours de laquelle il a rappelé à tous qu’à tout juste 62 ans, il était encore capable de faire trembler les stades !

 

Voici le récit de la soirée par Filou, qui nous a fait part de sa vision du show sur le forum de Lucy :

 

Un Macca en super forme, un son du tonnerre, des images plein les mirettes... Bref, du bonheur, j'vous dis !!!

  

Après le pré-show où le DJ balançait les premiers accords de Venus & Mars avec en boucle le "waiting for the show to begin" , je me suis d'emblée retrouvé plus de 25 years ago dans l'ambiance du Pavillon de Paris de 76 (les plus anciens apprécieront... ).

 

Au hasard des sons balancés, on reconnaît entre autres technoïdes, le sulfureux Temporay Secretary ou le gueulard Oh Woman Oh Why en boucle (extrait de la face B du 45t Another Day des early 70's).

 

Dès les premières notes de Jet, le ton était posé. Ca sera Rock N' Roll ou ne sera pas ! Et je trouve que ça le faisait grave de commencer par Jet même si ce n'est pas très original !

 

Il a mis le feu, le Paulo.

 

Ensuite, entre un Got To Get You Into My Life qui alimentait les flammes en astiquant les cuivres, Flaming Pie qui mettait les bougies doubles... et All My Loving ont fini par conquérir les plus réticents.

 

Puis le bien lourd à souhait Let Me Roll It où Paul lève la main sur "in the palm of my hand" et enchaîne classiquement mais efficacement sur Foxy Lady qui rappelle les influences de Paul pour le black guitar héro qu'on a largement évoqué sur le forum.

  

Puis le premier instant magique avec un inoubliable et inespéré You Won't See Me. J'en reste le souffle coupé.

Je peux mourir maintenant.

 

Et puis, non, je vais attendre qu'il s'attaque aux toboggans infernaux.

 

A peine remis, un riff percutant annonce She's A Woman tel que je n'aurais jamais espéré voir jouer en live comme à la belle époque du Shea Stadium. Car là, pas de doute, on y était au Shea Stadium quelques 40 années en arrière.

 

Bon, je ne vais pas tout vous raconter la set-list mais on a quand même eu le privilège d'avoir droit à un morceau en rab qu'il n'a joué nul part ailleurs. Je parle bien sûr de l'hymne français Michelle que Paul nous distille accompagné d'images de notre belle capitale en concluant sur un couché de lune sur la Tour Eiffel.

  

Paris est magique, ce soir, je vous dis !

 

D'autres moments magiques, il y en a eu encore plein d'autres avec un For No One bien émouvant, un I've Just Seen A Face plus country que nature, un I Follow The Sun à fleur de peau, un Here Today déchirant comme d'habitude où Paul varie un peu en répétant 3 fois "I love you" avec un clin d'oeil aux spectateurs et une émotion difficilement dissimulée.

 

Je passe sur le Drive My Car qui renaît de ses cendres, l'époustouflant Maybe I'm Amazed avec un Abe bien déchaîné et le flamboyant Band On The Run qui nous fait survoler les décennies en un coup d'ailes (Wings dans le texte).

 

A peine remis de nos émotions, ne voilà-t-y pas qu'un Live And Let Die plus explosif que jamais nous en met plein les yeux et les oreilles. Le tout pour atterrir en douceur sur le toit d'Apple avec le magnifique et, une nouvelle fois, inespéré I've Got A Feeling complètement surréaliste où la réplique de John nous est donnée ce soir par le batteur Abe Laboriel Jr.

 

Une impro avant Lady Madonna sur Paris qu'il cite en boucle en regardant la foule d'un oeil complice... Et c'est le moment où l'inévitable Hey Jude est repris par la foule entière comme à son habitude.

Mais quand on est dedans, ça le fait quand même, je vous le dis.

 

C'est fini ?

 

Que nenni !

 

Voilà le Paulo qui revient avec sa gratte (authentique du Ed Sullivan si j'en crois ce que j'ai pu lire ici et là) pour nous rappeler qu'il est le compositeur mondialement reconnu avec son incontournable Yesterday.

Let it Be, sublime, rien à dire. Pour finir par un "Vous en voulez encore ?" et enchaîner sur un I Saw Her Standing There pur rock qui laisse la foule dans un délire totale où tout le monde se met à danser tout autour de moi. C'est la foliiiiiiiiiiiiiie !

 

Comment ça, "finir" ?

 

Que nenni (bis)

 

Ca y est ! Il est là. Devant mes yeux. Paul qui crie un grand "Do you want to rock n' roll ?" ou un truc du style...

Soudain, l'intro de Helter Skelter nous perce les oreilles... la voix de paul plus rock que jamais retentit dans le airs "...and I see you againnnnnnnnnnnnnnnnnnnn...

Yeah Yeah Yeahhhh ! , les coeurs sont parfaits et font péter les enceintes...

 

Je n'y crois pas. C'est fabuleux.

 

Ca y est, je peux maintenant mourir.

 

...

 

Allez, pour la route, un petit Sgt Pepper des familles. Un doigt alors ?

 

Puis c'est The End avec le solo de batterie (plus court que d'habitude, je crois ?) et c'est une avalanche de confettis qui s'abat sur la pelouse du SDF.

  

En tout, 2h 1/2 de concert non-stop (contre 3h à Bercy) devant les 50 000 personnes du Stade De France pour nous démontrer une nouvelle fois que le Paulo n'a pas fini de nous en faire voir.

  

Encore Paul !

 

Encore !!!

 

Reviens quand tu veux, boy !

 

Dear Boy... you're the best !!!

  

Entendu pendant le soundcheck :

 

Why don't you get rising... (jam ?)

Coming up

Matchbox

Honey Don't

Improvisation

C Moon

Celebration

San Francisco Bay Blues

Midnight Special

Follow Me

Improvisation

Lady Madonna

Baby Face

  

Preshow

 

Show :

 

Jet (bass)

Got To Get You Into My Life (bass)

Flaming Pie (bass)

All My Loving (bass)

Let Me Roll It /with Foxy Lady ending (guitar)

You Won't See Me (guitar)

She's A Woman (bass)

 

Maybe I'm Amazed (piano)

The Long and Winding Road (piano)

 

Acoustic set :

In Spite of All Danger (solo)

Blackbird (solo)

We Can Work It Out (fake-out)

We Can Work It Out (solo)

Here Today (dedicated to John - Paul solo)

All Things Must Pass (dedicated to George with band)

Yellow Submarine (singalong)

I'll Follow the Sun (with reprise)

For No One (piano)

I'll Follow the Sun (reprise only - piano)

Calico Skies (acoustic)

I've Just Seen a Face (acoustic)

Michelle (acoustic)

Eleanor Rigby (acoustic)

 

Back to electric :

Drive My Car (bass)

Penny Lane (bass)

Get Back (bass)

Band On the Run (bass)

Back in the USSR (bass)

 

Live and Let Die (piano)

I've Got a Feeling (guitar)

improvisational on piano intro

Lady Madonna (piano)

Hey Jude (piano)

 

Encore :

Yesterday (acoustic)

Let It Be (piano)

I Saw Her Standing There (bass)

 

Encore plus :

Helter Skelter (bass)

Sgt. Pepper's/The End (guitar)

flickriver.com/photos/javier1949/popular-interesting/

 

Palacio de Congresos de Aragón

 

Plaza de Lucas Miret, 1 y Avenida de Ranillas, 101. Recinto EXPO´08. Zaragoza

Arquitectos Fuensanta Nieto y Enrique Sobejano (Nieto Sobejano Arquitectos) Arquitecto de proyecto: Patricia Grande 2008

 

El edificio tiene una configuración horizontal que se alza sobre la plataforma central de la Expo desde la que se accede a los pabellones internacionales, al pabellón puente y a la pasarela de entrada a la Torre del Agua. Se compone de tres partes principales: un auditorio, un pabellón multiusos y salas modulares, comunicadas a través de un gran vestíbulo. Consta de 9 plantas con una superficie total de 22.850 m2 y una ocupación de 9.000. Su silueta, definida por un sistema de lucernarios intercalados, establece un programa funcional que se soporta sobre una retícula modular y en un sistema constructivo muy elemental que admite concesiones a solicitudes espaciales en el interior. Un perfil quebrado ascendente y descendente manifestando expresivamente la presencia de la luz natural y el encuentro del edificio con el terreno; perfil que le da un aspecto singular y lo convierte en uno de los edificios más característicos del recinto.

El auditorio principal, con capacidad para 1500 espectadores, está dividido en platea y entreplanta, que se pueden separar totalmente para acoger congresos de menor aforo, así la zona superior puede habilitarse en tres salas independientes con una capacidad de 200 personas cada una. La planta bajo rasante alberga las áreas de servicio, instalaciones, camerinos, almacenes y cocinas que posibilitan su funcionamiento sin interferir en el resto del espacio público del edificio.

El inmueble presta especial atención al desarrollo sostenible, tema central de la cita del 2008. Su concepción arquitectónica, la iluminación y ventilación natural, y el empleo de materiales que favorecen las condiciones bioclimáticas generan un ahorro energético considerable.

  

flickriver.com/photos/javier1949/popular-interesting/

 

Palacio de Congresos de Aragón

 

Plaza de Lucas Miret, 1 y Avenida de Ranillas, 101. Recinto EXPO´08. Zaragoza

Arquitectos Fuensanta Nieto y Enrique Sobejano (Nieto Sobejano Arquitectos) Arquitecto de proyecto: Patricia Grande 2008

 

El edificio tiene una configuración horizontal que se alza sobre la plataforma central de la Expo desde la que se accede a los pabellones internacionales, al pabellón puente y a la pasarela de entrada a la Torre del Agua. Se compone de tres partes principales: un auditorio, un pabellón multiusos y salas modulares, comunicadas a través de un gran vestíbulo. Consta de 9 plantas con una superficie total de 22.850 m2 y una ocupación de 9.000. Su silueta, definida por un sistema de lucernarios intercalados, establece un programa funcional que se soporta sobre una retícula modular y en un sistema constructivo muy elemental que admite concesiones a solicitudes espaciales en el interior. Un perfil quebrado ascendente y descendente manifestando expresivamente la presencia de la luz natural y el encuentro del edificio con el terreno; perfil que le da un aspecto singular y lo convierte en uno de los edificios más característicos del recinto.

El auditorio principal, con capacidad para 1500 espectadores, está dividido en platea y entreplanta, que se pueden separar totalmente para acoger congresos de menor aforo, así la zona superior puede habilitarse en tres salas independientes con una capacidad de 200 personas cada una. La planta bajo rasante alberga las áreas de servicio, instalaciones, camerinos, almacenes y cocinas que posibilitan su funcionamiento sin interferir en el resto del espacio público del edificio.

El inmueble presta especial atención al desarrollo sostenible, tema central de la cita del 2008. Su concepción arquitectónica, la iluminación y ventilación natural, y el empleo de materiales que favorecen las condiciones bioclimáticas generan un ahorro energético considerable.

 

El Alma del Ebro

 

Plaza de Lucas Miret delante del Palacio de Congresos, Recinto EXPO´08. Zaragoza

 

Escultor: Jaume Plensa 2008.

Un volumen de 11 por 8 por 7,9 metros que, mediante un conglomerado de letras de acero, su situación quiere dar importancia a las personas en un entorno de grandes infraestructuras, y pretende unir en su interior a los motores de la vida: al agua y al cuerpo humano.

flickriver.com/photos/javier1949/popular-interesting/

 

Hipódromo de la Zarzuela

Cuesta de las Perdices. CN. VI km 8 –Av. Padre Huidobro, s/n-. Madrid

 

Carlos Arniches Moltó y Martín Domínguez Esteban, arquitectos, y Eduardo Torroja Miret, ingeniero. Proyecto 1934. Inicio de las obras 1935. Reparaciones y finalización de las obras: Eduardo Torroja Miret 1941

Remodelación y restauración: Junquera Arquitectos S.L.P. Jerónimo Junquera García del Diestro y Liliana C. Obal Díaz. Proyecto 2004. Dirección de proyecto Clara E. Santana. Obras 2008-2014 en ejecución. Estructuras: Carlos Fernández Casado S.L. Instalaciones: Úrculo ingenieros.

  

Declarado Bien de Interés Cultural BIC en la categoría de MONUMENTO en 2009

  

De la Publicación “Arquitectura de Madrid. Tomo 3 Periferia. Fundación Arquitectura COAM”:

El hipódromo de la Zarzuela sustituye al existente en los altos del paseo de la Castellana, sobre el solar donde hoy se encuentran los Nuevos Ministerios, en funcionamiento desde 1878 y derribado en 1933 para prolongar el paseo. Situado en el privilegiado emplazamiento de los terrenos del monte de El Pardo, se inauguró en 1941 pese a que se encontraba prácticamente terminado antes de la guerra civil según el proyecto de los arquitectos Carlos Arniches y Martín Domínguez, realizado en colaboración con el ingeniero Eduardo Torroja, quien se encargaría, tras la guerra civil, de la finalización de los trabajos y las reparaciones pertinentes por la ausencia de los dos arquitectos. En julio de 1934 se convoca concurso público para elegir el proyecto, resultando ganadora la propuesta de Arniches, Domínguez y Torroja, las obras se iniciaron muy pronto y, al terminar 1935, estaban muy avanzadas. Con independencia de sus valores formales y de la excelente resolución funcional, uno de los mayores aciertos del proyecto consistió en aprovechar el desnivel de los terrenos. La organización dispone las instalaciones de forma casi transversal a la cuesta de las Perdices, por la que se accedía. Junto al acceso se situaron los "paddock" y el conjunto edificatorio fundamental, ocupado por el restaurante y las tribunas, de espaldas al sol y en posición lateral. Completaban el conjunto las cuadras, las pistas de entrenamiento y concursos y la pista principal, marcada por dos diagonales interiores, así como una serie de construcciones e instalaciones auxiliares entre las que hay que destacar el depósito de Torroja, acabado en ladrillo y con perfil de paraboloide hiperbólico. Perfectamente integrado en sus partes, todo él (tanto en lo arquitectónico como en lo ingenieril) muestra a la vez un arraigo en lo vernáculo y la depuración formal que entronca la tradición en la modernidad. Surgen así las galerías de los basamentos y muros de contención en secuencias repetitivas de arquerías encaladas de medio punto que unifican y articulan los elementos dispersos y los espacios libres en un entramado de ámbitos ininterrumpidos para el deporte, el paseo y la fiesta; y surge, ciertamente, el elemento que ha singularizado al hipódromo, convirtiéndose en su seña de identidad más reconocida: la bellísima cubierta de las tribunas en voladizo de hormigón armado de 12,80 m y 5 cm de espesor en su extremo, a base de bóvedas laminares en solución hiperboloide, que internacionalizó la figura de Torroja, ensombreciendo injustamente la de sus arquitectos. La limpieza y funcionalidad de la marquesina (una yuxtaposición de elementos con forma de gaviota) se aunaba con la experimentalista audacia estructural de alemanas resonancias y el resultado plástico, de adscripción racionalista, quedaba, no obstante, todo él impregnado por un hálito poético de sobrecogedora belleza. Después de muchos años abandonado y en un elevado grado de deterioro, las instalaciones del hipódromo han vuelto a abrirse en 2005 a las carreras de caballos. El proyecto de puesta en valor de Jerónimo Junquera y Liliana Obal, ganadores del concurso convocado, se está ejecutando tras la declaración en 2009 como Bien de Interés Cultural de esta unánimemente reconocida "joya arquitectónica".

 

212.145.146.10/biblioteca/fondos/ingra2014/index.htm#map....

  

De la Memoria de la página web del estudio de arquitectura Junquera Arquitectos S.L.P. :

El proyecto de Junquera Arquitectos S.L.P. obtiene en 2004 Primer premio del Concurso Internacional para la Restauración y Rehabilitación del Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela, convocado por la sociedad Hipódromo de la Zarzuela S.A. El Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela es una de las más excepcionales obras de la arquitectura española del primer tercio del siglo XX, y la estructura de las tribunas con las marquesinas, una de las grandes realizaciones del siglo a nivel mundial.

Se propone, recuperar para la ciudad el Hipódromo de la Zarzuela con las instalaciones óptimas para las carreras y el deporte hípico, en equilibrio con el uso y disfrute del Monumento. El Proyecto de Restauración confía la belleza del futuro Hipódromo a potenciar sus valores originales recuperando los que hubiese perdido. Para ello se propone:

- Eliminar las adherencias a los edificios históricos que los habían desvirtuado.

- Restaurar las Tribunas, emblema del Hipódromo, dedicadas a contemplar las carreras

- Adaptar la topografía y segregar las circulaciones de caballo y público en dos niveles según el proyecto de 1934: el público accede al recinto por los patios sur y norte, que quedan comunicados en la galería del paddock. Desde este nivel puede contemplar todos los movimientos del caballo en un nivel inferior sin interferir en su recorrido. Los patios se expanden hacia las terrazas entre tribunas, con vistas a la pista y la ciudad.

-Conservar los ensilladeros en la posición original, concentrando a su alrededor los servicios de carreras, jockeys, veterinaria etc., en un edificio nuevo excavado en el terreno y abierto a jardines que aportan privacidad, iluminación y ventilación natural. Con accesos independientes y comunicación directa con el paddock y la tribuna central sin cruzarse con el público.

-Prever la posible ampliación de un Centro de Convenciones soterrado en el patio norte sin afectar a las perspectivas de los edificios históricos ni del paisaje.

Las obras comenzaron en 2008 con la restauración de las marquesinas de las Tribunas, deterioradas por el paso del tiempo, y dañadas por el agua y diversas construcciones realizadas en etapas anteriores. A la vez que se restauran las marquesinas, se fueron ejecutando en el Recinto obras de Prospección constructiva. Obras de investigación para descubrir y analizar los valores y sistemas constructivos originales, desvirtuados y perdidos por ampliaciones y modificaciones ejecutadas en el recinto. Esto evidenció daños estructurales importantes que exigieron obras de consolidación y reparación de la estructura. Una vez completas las obras de reparación estructural, se inició la restauración y rehabilitación del conjunto arquitectónico, con el objetivo de recuperar los valores esenciales del proyecto de 1934 de Arniches, Domínguez y Torroja.

 

www.junqueraarquitectos.com/

 

Conjunt arquitectònic format per l'antiga església de Santa Maria de Vallformosa i el cementiri parroquial que l'envolta. El conjunt es troba envoltat parcialment per un mur que tanca el conjunt, i que arrenca de la cantonada N-O de l'església, envoltant el cementiri fins empalmar amb l'absis de l'església pel seu cantó S-E. Es tracta d'un més modern pintat en color blanc. L'accés al conjunt es fa per una porta oberta en aquest mur i orientada al Nord. Es tracta d'una porta oberta amb un arc molt rebaixat i coronoda amb un frontó triangular i una creu. Aquesta porta ha estat reaprofitada de l'antic mur de tancament del cementiri. Aquesta estranya disposició fa que l'entrada a l'església es faci a través del cementiri. L'església és un edifici de planta basilical de tres naus construït amb parament irregular molt ben treballat i polit, cobert exteriorment a dues aigües amb teula. Les cantonades de l'edifici s'han reforçat amb carreus quadrangulars ben treballats. L'edifici conserva restes d'un antic arrebossat en ciment en alguns trams, especialment de l'absis. Exteriorment no es percep diferència d'alçada que indiqui l'existència de tres naus, ja que les naus laterals, malgrat ser més petites, compten amb un segon pis a sobre que unifica l'alçada exterior. Sobresurt del conjunt, un absis semicircular. L'orientació de l'església és amb la capcelera a l'Est i la façana principal a l'Oest. Destaca l'existència d'una petita finestreta esbiaixada ubicada al cantó Nord de l'absis, realitzada amb carreus ben treballats i coronada amb un petit ressortit arquejat. També destaca la presència d'un gran campanar octogonal de setze metres d'alçada ubicat a la cantonada N-O de l'edifici, que descansa sobre quatre petxines rectes i inclinades i es cobreix amb coberta de pavelló. Les cantonades del campanar també s'han reforçat amb carreus ben treballats. Destaca a mitja alçada la presència d'una motllura semicircular exterior i adossada, que marca l'inici de les obertures del campanar. Es tracta de quatre grans obertures, que s'intercalen ordenadament en el mur un si i un no- en forma d'arc de mig punt que deixen entreveure les campanes interiors. La façana principal de l'església es troba orientada a l'oest i s'obre amb una porta d'arc de mig punt format per dues petites arquivoltes. Aquesta porta recau sobre un seguit de maons disposats a sardinell. La porta es troba coronada per un frontó d'estil neoclàssic format per una cornisa triangular, enmig de la qual s'ubica un timpà sense decoració. Aquest frontó es recolza sobre un fris on s'alternen tríglifs i mètopes. Sota els tríglifs s'aprecien les règules i les gotes. Les mètopes s'han decorat amb motius geomètrics i espirals. Els laterals d'aquest fris sobresurten en volum de la resta del conjunt, i recauen sobre dos capitells i columnes adossades al mur, que emmarquen la porta d'entrada. La base de les columnes es recolza sobre un pedestal quadrangular i un sòcol. Tot aquest conjunt decoratiu es troba elaborat en pedra calcària ben treballada, i s'ha sobreafegit adossant-lo al mur de la façana. Sobre aquest conjunt de l'entrada s'obre un rosetó que es troba actualment tapiat. Interiorment la coberta -totalment restaurada- és a doble vessant en maó, i reforçada per cinc arcs torals de mig punt molt rebaixats, que recauen en pilastres quadrangulars adossades al mur, i que serveixen de línia divisòria entre capelles. El paviment interior és en rajola cuita disposada a trencajunt.

Observacions: Segons el llibre de les adminsitracions de 1787, a l'església hi havia: el cos preciós de Crist, del Roser, del Remei, del nom de Jesús, de Sant Crist, de Sant Antoni Abat, de Sant Ramon, de Sant Antoni de Padua, del Remei, de Sant Isidre, de Sant Roc, del Bací dels pobres, de Sant Joan, de Sant Josep i de la Puríssima Concepció. (Cont. Descripció): L'absis es cobreix amb una volta radial feta també en maó i reforçada per quatre bigues. La divisió interior de l'espai es fa en tres naus de diferents dimensions, sent la central més ample que les laterals. Les naus laterals es divideixen en quatre capelles laterals -quatre per banda- separades per arcs de mig punt. Les tres primeres, començant per l'absis, presenten la particularitat de comptar amb un segon pis a modus de trifori que recorre tot l'espai superior de les capelles. La coberta d'aquestes tres capelles laterals es fa amb volta d'aresta nervada i tancada amb una clau de volta. Els nervis i la clau de volta han estat profusament decorats amb afegits de guix i decoració vegetal i floral. També s'han decorat els intradós dels arcs de separació entre la nau central i les laterals, amb orles formades per cassetons de guix reomplets amb decoració floral. Destaquen també uns culs de llàntia molt ben treballats. Les dues capelles finals - a tocar de la porta- presenten característiques diferents, obrint-se la del cantó nord amb un arc de mig punt decorat amb estucs de vegetació floral, i cobert per una cúpula semiesfèrica, que descansa sobre quatre petxines i un petit tambor. Tota la cúpula es troba enguixada i decorada amb gran detall. Destaca la presència d'uns rosetons molt ben treballats a l'espai de les petxines, d'un tambor decorat amb escaquejats i caps d'angelet, orles en forma de trena que recorren la cúpula a imitació de nervis, dues de les quals finalitzen en dues fornícules en forma d'arc de mig punt rebaixat, també molt decorades. L'altre capella posterior -la del mur de migdia- no té tanta alçada, i s'ha cobert amb un sostre recte. La decoració interior és pictòrica a base de colors pastel: blau cel i marró, que dona a entendre que és de factura més nova, i que estaria dedicada a la Puríssima Concepció. Finalitza l'interior de l'església l'existència d'un cor a l'entrada de l'església, aixecat com si fos un primer pis sobre una teulada embigada i un arc molt rebaixat. Adossat al cantó de migdia de l'església hi havia l'antiga casa rectorial, que fou totalment enderrocada.

Les primeres notícies de l'existència d'una església parroquial són del 1087,quan Bonfill fa donació d'una peça de terra que té, i que afronta al nord amb un altre alou dels donadors, situat a Santa Maria de Vallformosa (Sancte Marie de Valle fermosa). Devia tractar-se d'un edifici pre-romànic, aixecat al mateix indret de l'actual església. El 1322, en la venda que el cavaller Berenguer de Castellbisbal fa a la Pia Almoina, diu que es troba la parròquia de Santa Maria de Vallformosa. El 1328, trobem una àpoca de 100 lliures feta per Berenguer Vendrell, prevere i beneficiat de Santa Maria de Vilobí, per raó d'un establiment de cases a Vilobí. Durant el segle XV hi ha unes col·lacions a Santa Maria de Vallformosa. El 1582 el bisbe de Barcelona dona permís per beneir les campanes de l'església. . El 1589, es fa la fundació d'un benefici per Josep Miret i Joan Pau Fonol, mercader de Vilafranca, per a la casa i heretat anomenada la Sala, situada dins la parròquia. El 1551 trobem una resolució feta per la Pia Almoina als jurats de Vallformosa per a l'obra de l'església. D'un imprès del segle XVII, sense data, sabem que Joan Cases, rector de Vallformosa, pledejà contra Maria Ana Vallesa, per un benefici de Santa Maria del lloc de Vilobí. El 1703 el Vicari general, Antoni Fontanals de les Clotes, dona llicència per fer una sepultura a la capella del Sant Crist de l'església de Vallformosa. El mateix any-1703-, Magí Olivella, batlle de la quadra de Vilobí, demana llicència per fer-se una tomba a la capella del Sant Nom de Jesús de l'església de Vallformosa. El 1758, el vicari general dóna permís al rector, Josep Masaguer per beneir una campana de l'església. Pels inventaris consultats del segle XIX, es tractava d'una parròquia relativament pobra, i en quedar cada cop més aïllada dels nuclis principals (Vilobí i Bellver), s'opta per canviar l'emplaçament de l'església. La revolució del 1936, afectà tot el contingut del temple que fou destruït, destacant una creu processional gòtica d'argent del segle XV. En quedar sense culte, posteriorment s'anà deteriorant la fàbrica de l'església i va amenaçar ruïna, sobretot el sostre, fins que al 1989 es va decidir restaurar les parts més afectades de l'edifici.

Sens dubte en origen l'església de Vallformosa fou d'estil romànic, i es degué enderrocar al segle XVI, que és quan es comença a construir l'actual, la qual quedà enllestida al segle XVII. És molt possible que la decoració d'estucs interior sigui també del segle XVII. La finestra esbiaixada de l'absis du la data del 1652 que es pot considerar com a bona. Al segle XVIII s'optà per dotar l'església amb un porta de més gran categoria, iniciant la construcció del frontó que emmarca la porta de la façana principal, i que du la data del 1778. Al segle XIX es degueren fer algunes reformes interiors, per exemple la d'adequació d'una de les capelles laterals al culte de la Puríssima Concepció, cosa que va fer que es cobrís de forma plana, i es pintés i decorés amb tons pastels. Durant el segle XX també s'han efectuat algunes transformacions, però en aquest cas exteriors, així en una fotografia conservada de l'església a principis del segle XX, s'observa que el cementiri no ocupa l'espai actual, sinó que es limita a ser un afegit al cantó de migdia de l'església, quedant de lliure accés la façana i la porta principal. La porta d'accés al cementiri és la mateixa que l'actual d'entrada al recinte. Cal pensar que en un moment posterior es produí una modernització i ampliació del cementiri que s'extengué cap a la zona de la façana principal, i al tancar-se englobà tota l'església (El 1888 hi ha una reconstrucció del cementiri, però cal pensar que no és l'actual). Aquesta església va ser la parroquial del terme de Vilobí fins el 1933, en que degut a qüestions pràctiques es construí la moderna església de Vallformosa traslladant el culte. A partir d'aquests moments entrà en un estat de degradació, que s'accentuà durant 1936 en que patí un saqueig.

patrimonicultural.diba.cat/

 

Goigs cantants en alanbança a la Mare de Déu de Vallformosa. Existeixen diverses versions, de les quals actualment es manté una actualitzada i musicada l'any 1989 per Joan Maria Aragonès i Rebollar i que és tal com segueix:

Vostra vida molt sortosa / cantarem amb alegria / sigueu nostre empar i guia / Princesa de Vallformosa / Aquella noble ambaixada / de l'arcàngel Gabriel / per ser de tots exalçada / fou tramesa des del cel / quina sort tan singular / per eixa vall tenebrosa / sigueu... / Els desterrats fills d?Eva / vostre auxili singular / esperaven a la terra / per tenir la llibertat / del pecat que els impedia // la posada més honrosa / sigueu... / La major felicitat / de les moltes que tinguéreu / fou aquella en què venguéreu / vostre fill molt estimat / Estols d'Àngels davallaren / en diada tan formosa / sigueu..../ Joia immensa bé us donaren / els tres Reis d'Orient / quan vau veure que adoraven / vostre Fill tan excel·lent/ presentant-vos moltes joies / amb voluntat fervorosa / sigueu..../ Fou la vostra Assumpció / singularíssima sort / doncs baixaren de l'alt port / els àngels en processó / per pujar-vos, oh Senyora, / amb corrandes molt gustosa / sigueu..../ Els malalts i atribolats / socorreu amb gran conhort / en totes necessitats/ sou auxili i segur port / a qui us reclama devot / socorreu ben amorosa / sigueu.../ Acabada la jornada / en eixa vall tenebrosa / sigueu nostre empar i guia / Princesa de Vallformosa.

La tradició de cantar els goigs a la Mare de Déu de Vallformosa es remunta amb seguretat al segle XVIII. La primera versió escrita que es conserva va ser impresa l'any 1800, i es conserven encara un bon nombre d'exemplars a l'Arxiu parroquial de Vilobí. Aquesta versió editada va ser vigent fins l'any 1989, en que amb motiu de les celebracions festives celebrades pel 55è aniversari de la inauguració de la nova església parroquial de Santa Maria de Vallformosa van ser actualitzats i musicats pel Sr. Joan M. Aragonès i Rebollar. Tradicionalment aquests goigs eren cantats en nombroses celebracions eucarístiques. Actualment només són cantats el dia de la Mare de Déu d'Agost.

patrimonicultural.diba.cat/

 

Més fotos de Santa Maria de Vallformosa: www.flickr.com/photos/11299883@N08/tags/ipa5066/show/

Ce que la forêt était belle ! Et les chemins casse-gueule …

Notre promenade a été bien courte, et néanmoins éprouvante pour les croulants que nous sommes devenus, mais on en a eu plein les mirettes . Par moment au bord de la Rivière d'Argent on se serait cru dans un jardin japonais .

bretagne-finistere-huelgoat.com/randonnees-huelgoat.html

Avant de rentrer on s'est réconforté avec une crêpe au sucre et un chocolat chaud .

 

Huelgoat, Finistère, Bretagne, France .

Photographie J-P Leroy, tous droits réservés .

La pintora Marga Miret plasma el seu llenguatge plàstic en una mostra al Centre Cultural Miramar

www.visitsitges.com/ca/sitges-news/5207-la-pintora-marga-...

L’artista sitgetana inaugura avui l’exposició ‘Orquídies i Peixos’ a les vuit de la tarda a la primera planta del Centre Cultural Miramar. La mostra aplega 42 pintures i 2 llibres d’artista.

Les obres, realitzades entre el 2017 i el 2019, plasmen un estil figuratiu simbòlic molt personal i introspectiu.

 

flickriver.com/photos/javier1949/popular-interesting/

 

Hipódromo de la Zarzuela

Cuesta de las Perdices. CN. VI km 8 –Av. Padre Huidobro, s/n-. Madrid

 

Carlos Arniches Moltó y Martín Domínguez Esteban, arquitectos, y Eduardo Torroja Miret, ingeniero. Proyecto 1934. Inicio de las obras 1935. Reparaciones y finalización de las obras: Eduardo Torroja Miret 1941

Remodelación y restauración: Junquera Arquitectos S.L.P. Jerónimo Junquera García del Diestro y Liliana C. Obal Díaz. Proyecto 2004. Dirección de proyecto Clara E. Santana. Obras 2008-2014 en ejecución. Estructuras: Carlos Fernández Casado S.L. Instalaciones: Úrculo ingenieros.

  

Declarado Bien de Interés Cultural BIC en la categoría de MONUMENTO en 2009

  

De la Publicación “Arquitectura de Madrid. Tomo 3 Periferia. Fundación Arquitectura COAM”:

El hipódromo de la Zarzuela sustituye al existente en los altos del paseo de la Castellana, sobre el solar donde hoy se encuentran los Nuevos Ministerios, en funcionamiento desde 1878 y derribado en 1933 para prolongar el paseo. Situado en el privilegiado emplazamiento de los terrenos del monte de El Pardo, se inauguró en 1941 pese a que se encontraba prácticamente terminado antes de la guerra civil según el proyecto de los arquitectos Carlos Arniches y Martín Domínguez, realizado en colaboración con el ingeniero Eduardo Torroja, quien se encargaría, tras la guerra civil, de la finalización de los trabajos y las reparaciones pertinentes por la ausencia de los dos arquitectos. En julio de 1934 se convoca concurso público para elegir el proyecto, resultando ganadora la propuesta de Arniches, Domínguez y Torroja, las obras se iniciaron muy pronto y, al terminar 1935, estaban muy avanzadas. Con independencia de sus valores formales y de la excelente resolución funcional, uno de los mayores aciertos del proyecto consistió en aprovechar el desnivel de los terrenos. La organización dispone las instalaciones de forma casi transversal a la cuesta de las Perdices, por la que se accedía. Junto al acceso se situaron los "paddock" y el conjunto edificatorio fundamental, ocupado por el restaurante y las tribunas, de espaldas al sol y en posición lateral. Completaban el conjunto las cuadras, las pistas de entrenamiento y concursos y la pista principal, marcada por dos diagonales interiores, así como una serie de construcciones e instalaciones auxiliares entre las que hay que destacar el depósito de Torroja, acabado en ladrillo y con perfil de paraboloide hiperbólico. Perfectamente integrado en sus partes, todo él (tanto en lo arquitectónico como en lo ingenieril) muestra a la vez un arraigo en lo vernáculo y la depuración formal que entronca la tradición en la modernidad. Surgen así las galerías de los basamentos y muros de contención en secuencias repetitivas de arquerías encaladas de medio punto que unifican y articulan los elementos dispersos y los espacios libres en un entramado de ámbitos ininterrumpidos para el deporte, el paseo y la fiesta; y surge, ciertamente, el elemento que ha singularizado al hipódromo, convirtiéndose en su seña de identidad más reconocida: la bellísima cubierta de las tribunas en voladizo de hormigón armado de 12,80 m y 5 cm de espesor en su extremo, a base de bóvedas laminares en solución hiperboloide, que internacionalizó la figura de Torroja, ensombreciendo injustamente la de sus arquitectos. La limpieza y funcionalidad de la marquesina (una yuxtaposición de elementos con forma de gaviota) se aunaba con la experimentalista audacia estructural de alemanas resonancias y el resultado plástico, de adscripción racionalista, quedaba, no obstante, todo él impregnado por un hálito poético de sobrecogedora belleza. Después de muchos años abandonado y en un elevado grado de deterioro, las instalaciones del hipódromo han vuelto a abrirse en 2005 a las carreras de caballos. El proyecto de puesta en valor de Jerónimo Junquera y Liliana Obal, ganadores del concurso convocado, se está ejecutando tras la declaración en 2009 como Bien de Interés Cultural de esta unánimemente reconocida "joya arquitectónica".

 

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De la Memoria de la página web del estudio de arquitectura Junquera Arquitectos S.L.P. :

El proyecto de Junquera Arquitectos S.L.P. obtiene en 2004 Primer premio del Concurso Internacional para la Restauración y Rehabilitación del Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela, convocado por la sociedad Hipódromo de la Zarzuela S.A. El Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela es una de las más excepcionales obras de la arquitectura española del primer tercio del siglo XX, y la estructura de las tribunas con las marquesinas, una de las grandes realizaciones del siglo a nivel mundial.

Se propone, recuperar para la ciudad el Hipódromo de la Zarzuela con las instalaciones óptimas para las carreras y el deporte hípico, en equilibrio con el uso y disfrute del Monumento. El Proyecto de Restauración confía la belleza del futuro Hipódromo a potenciar sus valores originales recuperando los que hubiese perdido. Para ello se propone:

- Eliminar las adherencias a los edificios históricos que los habían desvirtuado.

- Restaurar las Tribunas, emblema del Hipódromo, dedicadas a contemplar las carreras

- Adaptar la topografía y segregar las circulaciones de caballo y público en dos niveles según el proyecto de 1934: el público accede al recinto por los patios sur y norte, que quedan comunicados en la galería del paddock. Desde este nivel puede contemplar todos los movimientos del caballo en un nivel inferior sin interferir en su recorrido. Los patios se expanden hacia las terrazas entre tribunas, con vistas a la pista y la ciudad.

-Conservar los ensilladeros en la posición original, concentrando a su alrededor los servicios de carreras, jockeys, veterinaria etc., en un edificio nuevo excavado en el terreno y abierto a jardines que aportan privacidad, iluminación y ventilación natural. Con accesos independientes y comunicación directa con el paddock y la tribuna central sin cruzarse con el público.

-Prever la posible ampliación de un Centro de Convenciones soterrado en el patio norte sin afectar a las perspectivas de los edificios históricos ni del paisaje.

Las obras comenzaron en 2008 con la restauración de las marquesinas de las Tribunas, deterioradas por el paso del tiempo, y dañadas por el agua y diversas construcciones realizadas en etapas anteriores. A la vez que se restauran las marquesinas, se fueron ejecutando en el Recinto obras de Prospección constructiva. Obras de investigación para descubrir y analizar los valores y sistemas constructivos originales, desvirtuados y perdidos por ampliaciones y modificaciones ejecutadas en el recinto. Esto evidenció daños estructurales importantes que exigieron obras de consolidación y reparación de la estructura. Una vez completas las obras de reparación estructural, se inició la restauración y rehabilitación del conjunto arquitectónico, con el objetivo de recuperar los valores esenciales del proyecto de 1934 de Arniches, Domínguez y Torroja.

 

www.junqueraarquitectos.com/

 

Another great AF flyer, this time west coast. Great line-up.

Legousia speculum-veneris - Miroir de Vénus ou Doucette mirette ou Légousie miroir de Vénus ou Spéculaire miroir - Looking glass or Large Venus's-looking-glass - FRANCE - Occitanie

 

La spéculaire miroir de Vénus est utilisée en salade.

flickriver.com/photos/javier1949/popular-interesting/

 

Palacio de Congresos de Aragón

 

Plaza de Lucas Miret, 1 y Avenida de Ranillas, 101. Recinto EXPO´08. Zaragoza

Arquitectos Fuensanta Nieto y Enrique Sobejano (Nieto Sobejano Arquitectos) Arquitecto de proyecto: Patricia Grande 2008

 

El edificio tiene una configuración horizontal que se alza sobre la plataforma central de la Expo desde la que se accede a los pabellones internacionales, al pabellón puente y a la pasarela de entrada a la Torre del Agua. Se compone de tres partes principales: un auditorio, un pabellón multiusos y salas modulares, comunicadas a través de un gran vestíbulo. Consta de 9 plantas con una superficie total de 22.850 m2 y una ocupación de 9.000. Su silueta, definida por un sistema de lucernarios intercalados, establece un programa funcional que se soporta sobre una retícula modular y en un sistema constructivo muy elemental que admite concesiones a solicitudes espaciales en el interior. Un perfil quebrado ascendente y descendente manifestando expresivamente la presencia de la luz natural y el encuentro del edificio con el terreno; perfil que le da un aspecto singular y lo convierte en uno de los edificios más característicos del recinto.

El auditorio principal, con capacidad para 1500 espectadores, está dividido en platea y entreplanta, que se pueden separar totalmente para acoger congresos de menor aforo, así la zona superior puede habilitarse en tres salas independientes con una capacidad de 200 personas cada una. La planta bajo rasante alberga las áreas de servicio, instalaciones, camerinos, almacenes y cocinas que posibilitan su funcionamiento sin interferir en el resto del espacio público del edificio.

El inmueble presta especial atención al desarrollo sostenible, tema central de la cita del 2008. Su concepción arquitectónica, la iluminación y ventilación natural, y el empleo de materiales que favorecen las condiciones bioclimáticas generan un ahorro energético considerable.

 

El Alma del Ebro

 

Plaza de Lucas Miret delante del Palacio de Congresos, Recinto EXPO´08. Zaragoza

 

Escultor: Jaume Plensa 2008.

Un volumen de 11 por 8 por 7,9 metros que, mediante un conglomerado de letras de acero, su situación quiere dar importancia a las personas en un entorno de grandes infraestructuras, y pretende unir en su interior a los motores de la vida: al agua y al cuerpo humano.

Tipo: retablo y pintura

Creador: Pasqual Ortoneda, atribuido Pasqual Ortoneda, círculo de Mateu Ortoneda

Creación: 1459

Género: arte sacro

Museo de las Culturas del Vino de Cataluña (Vilafranca del Penedès)

  

El Retablo de Nuestra Señora en el Vinseum es un retablo gótico con una Virgen que se exhibe desde 1940 en Vinseum, el Museo de las Culturas del Vino de Cataluña, de Vilafranca del Penedès. Se trata de un retablo gótico pintado en 1459, tal y como se aprecia en la inscripción de la base del trono.

 

Sobre la autoría del retablo, el historiador del arte Francesc Ruiz i Quesada afirma que el autor es Pasqual Ortoneda, cercano al círculo de Mateu Ortoneda, de la Escola de Tarragona. Ruiz y Quesada también apunta que el conjunto posiblemente procedía de la zona de la Franja, cercana a Barbastro, y debió de ser comercializado debido a la desamortización.

 

El retablo fue adquirido por el villafranqués Pau Milà i Fontanals, artista y teórico del arte de la Renaixença Catalana, que como otros prohombres contemporáneos se iniciaron en el coleccionismo a raíz de la desamortización de 1835, momento también en que en Cataluña empieza a valorarse el arte medieval. En 1890 el retablo fue instalado en el panteón familiar construido en el cementerio de Vilafranca. En 1926 fue exhibido en la I Exposición de Arte del Penedès celebrada en Vilafranca, tal y como puede verse en el catálogo de la exposición.

 

En la publicación Quaderns Il·lustrats Penedès de mayo de 1935, Manuel Trens sitúa el retablo entre las obras de la iglesia de la Trinidad, pero probablemente fue trasladado ese mismo año al finalizar su reconstrucción, tras la quema de octubre de 1934, dado que el semanario Acció no menciona el retablo cuando publica la relación de obras salvadas del incendio en la Trinidad. Todo hace pensar, pues, que pasó a ocupar el lugar de alguno de los retablos destruidos por las llamas.

 

El 11 de enero de 1939, el inspector de la Sección de Museos de la Generalidad de Cataluña, recibe del Ayuntamiento de Vilafranca cuatro objetos procedentes del Museo de Vilafranca, entre ellos el retablo de la familia Milà. Estos objetos debían ser enviados y depositados en la Concentración de los Museos de Cataluña con el objetivo de evitar su destrucción. Quién sabe si el retablo salió nunca de Vilafranca, poco después se anunció el fin de la guerra y no se ha localizado ningún documento del depósito. Aunque el 1 de abril del mismo año, el semanario local Acción publicaba una imagen del retablo con una nota: “Detalle del retablo gótico de la familia Milá y Fontanals que existía en la iglesia de la Santísima Trinidad que ha sido robado inicuamente antes de abandonar los marxistas nuestra villa flagelada”.

 

Desde 1940 el retablo ha sido custodiado por el Museo, año que ingresó en el Palacio Real de Vilafranca del Penedès uniéndose a las primeras piezas del fondo que habían transitado por diferentes sedes de la villa.

 

Composición

El retablo, que tiene unas dimensiones de 198 × 182 × 10 cm, se articula en tres calles de dos pisos cada uno y predela. El templo está en el centro, donde aparece la Virgen María entronizada, con el Niño en su regazo y rodeada por cuatro ángeles músicos, todos con nimbos dorados y burilados. Las calles laterales, junto al panel superior están dedicadas a los hechos relacionados con la muerte de María (Evangelios apócrifos). En la calle izquierda empezando por debajo, vemos la Anunciación de la muerte de María; en el piso superior aparece la Reunión de los Apóstoles a su alrededor. En la calle de la derecha, debajo está la Dormición de la Virgen María y encima, la Aparición de la Virgen María a Santo Tomás. En el panel superior del retablo aparece la Coronación. En el centro de la predela aparecen la Virgen María, el Barón de Dolores (Jesús) y San Juan, de medio cuerpo, detrás de una mesa en la que aparecen unos objetos simbólicos del Calvario (dados, clavos, churriacas, aceite. ..). A la derecha, en hornacinas diferentes hay, representados de medio cuerpo, Santa Lucía y San Pablo con sus atributos. En el lado izquierdo hay dos hornacinas diferentes en las que encontramos a San Pedro y Santa Bárbara, también de medio cuerpo, con sus atributos.

 

La estructura del retablo es la llamada “de patera” (cruz en aspa o cruz de san Andrés). Es un refuerzo tradicional en la construcción de retablos medievales en la Corona de Aragón, que viene directamente influenciado por la tradición italiana. Se disponen los travesaños en diagonal y se cruzan en medio. Está formado por seis postes verticales y seis travesaños (tres originales y tres nuevos). La unión de las tablas se hace por encolado a canto vivo y está reforzada con tela de lino. Según se puede observar, la predela se serró, separándola de las calles del retablo, y más adelante se volvió a añadir. Las escenas están divididas por unos enmarcados ornamentales de madera tallada, con columnas helicoidales y arcadas lobuladas, con las tres superiores rematadas con tres pináculos de formas vegetales (hojas).

 

Restauración

En 2012 fue restaurado por el Centro de Restauración de Bienes Muebles de Catalunya.

 

El hecho de que el retablo hubiera pasado varios años dentro de una capilla del cementerio con exceso de humedad, y los diferentes desplazamientos que había sufrido aconsejaron realizar una primera intervención de restauración en 1954 que corrió a cargo del restaurador italiano Arturo Cividini y fue gestionada por Manuel Trens. Por las fotografías que se conservan en Vinseum sabemos que fue eliminado un encuadre que no era original y fue reconstruido el coronamiento del retablo, que en algún momento se había descabezado para adaptarlo a un emplazamiento más reducido. En el catálogo de la I Exposición de Arte del Penedès, se dice: "La pulsera (marco exterior) fue desacertadamente restaurada. Algún verde y todos los azules han sido repintados y son hoy negros" (p. 172).

 

A nivel de superficie pictórica, el retablo presentaba muchos repintes y la gama cromática tenía bastantes alteraciones que, en parte, afectaban a su lectura visual estética. El proceso de restauración llevado a cabo comenzó con la fijación de la policromía en peligro de desprendimiento y con la estabilización del soporte de madera, con una limpieza y desinsectación. Sin embargo, el elemento más destacado fue la limpieza de la capa pictórica con la eliminación sistemática de los repintes que afectaban a la zona del fondo, la del piso superior y varias escenas de la vida de la Virgen —sobre todo el manto de la Virgen de la escena principal.

 

Toda la intervención de restauración fue acompañada de un extenso estudio de la pieza, con técnicas de examen diversas, como la fotografía con luz difusa, la fotografía ultravioleta y la reflectografía de rayos infrarrojos. También se realizaron extracciones de muestras para los análisis físico-químicos de pigmentos y capas superficiales, por parte de técnicos de la Universidad Politécnica de Cataluña-UPC.

 

El resultado final ha sido la recuperación de la lectura visual de la superficie policromada original del siglo xv.

 

Se presentó de nuevo una vez restaurado el sábado 30 de junio de 2012, y se ubicó temporalmente en la capilla de Sant Pelegrí, esperando la finalización de las obras de Vinseum. Desde octubre de 2012, el retablo es nuevamente visitable en la exposición estable de Vinseum.

 

Referencias

Ruiz i Quesada, Francesc «Les escoles pictòriques de Tarragona». L'Art gòtic a Catalunya: Pintura II, El corrent Internacional, 2005, pàg. 149-151.

I Exposició d'Art del Penedès: celebrada a Vilafranca des de'l día 22 d'agost al 5 de setembre de 1926. Vendrell: Imp. Ramon, 1927.

Benach i Torrents, Manuel «L'hospital del sant Esperit i el convent i l'església de la Trinitat de Vilafranca». Quaderns Il·lustrats Penedès, núm. 3, 1935.

El Centre de Restauració de Béns Mobles de Catalunya (CRBMC) restaura el retaule gòtic del Museu del Vi de Vilafranca del Penedès, Generalitat de Catalunya

Bibliografia

Miret, Montserrat. El retaule de la Mare de Déu. Vilafranca del Penedès: Museu del Vi, 1994.

 

Traducido de

ca.wikipedia.org/wiki/Retaule_de_la_Mare_de_D%c3%a9u_de_V...

 

El Retaule de la Mare de Déu de VINSEUM és un retaule gòtic amb una Mare de Déu que s'exhibeix des de 1940 a VINSEUM, el Museu de les Cultures del Vi de Catalunya, de Vilafranca del Penedès. Es tracta d'un retaule gòtic pintat el 1459, tal com s'aprecia a la inscripció de la base del tron.

 

Sobre l'autoria del retaule, l'historiador de l'art Francesc Ruiz i Quesada afirma que l'autor és Pasqual Ortoneda, proper al cercle de Mateu Ortoneda, de l'Escola de Tarragona. Ruiz i Quesada també apunta que el conjunt possiblement procedia de la zona de la Franja, propera a Barbastre, i devia ser comercialitzat a causa de la desamortització.[1]

 

El retaule va ser adquirit pel vilafranquí Pau Milà i Fontanals, artista i teòric de l'art de la Renaixença Catalana, que com altres prohoms contemporanis van iniciar-se en el col·leccionisme arran de la desamortització de 1835, moment també en què a Catalunya es comença a valorar l'art medieval. L'any 1890 el retaule va ser instal·lat al panteó familiar construït al cementiri de Vilafranca. El 1926 va ser exhibit a la I Exposició d'Art del Penedès celebrada a Vilafranca, tal com es pot veure en el catàleg de l'exposició.[2]

 

En la publicació Quaderns Il·lustrats Penedès del maig de 1935,[3] Manuel Trens situa el retaule entre les obres de l'església de la Trinitat, però probablement va ser-hi traslladat aquell mateix any en finalitzar la seva reconstrucció, després de la crema d'octubre de 1934, atès que el setmanari Acció [1] no esmenta el retaule quan publica la relació d'obres salvades de l'incendi a la Trinitat. Tot fa pensar doncs, que va passar a ocupar el lloc d'algun dels retaules destruïts per les flames.

 

L'11 de gener de 1939, l'inspector de la Secció de Museus de la Generalitat de Catalunya, rep de l'Ajuntament de Vilafranca quatre objectes procedents del Museu de Vilafranca, entre ells el retaule de la família Milà. Aquests objectes havien de ser tramesos i dipositats a la Concentració dels Museus de Catalunya amb l'objectiu d'evitar-ne la seva destrucció. Qui sap si el retaule va sortir mai de Vilafranca, doncs poc després es va anunciar la fi de la guerra i no s'ha localitzat cap document del dipòsit. Tot i que l'1 d'abril del mateix any, el setmanari local Acción [2] publicava una imatge del retaule amb una nota: “Detalle del retablo gótico de la familia Milá i Fontanals que existia en la iglesia de la Santísima Trinidad que ha sido robado inicuamente antes d'abandonar los marxistas nuestra villa flajelada”.

 

Des de 1940 el retaule ha estat custodiat pel Museu, any que va ingressar al Palau Reial de Vilafranca del Penedès unint-se a les primeres peces del fons que havien transitat per diferents seus de la vila.

 

Composició

El retaule, que té unes dimensions de 198 × 182 × 10 cm, s'articula en tres carrers de dos pisos cada un i predel·la. El temple és al centre, on hi apareix la Mare de Déu entronitzada, amb el Nen a la falda i envoltada per quatre àngels músics, tots amb nimbes daurats i burinats. Els carrers laterals, junt al plafó superior estan dedicats als fets relacionats amb la mort de Maria (Evangelis apòcrifs). Al carrer esquerre començant per sota, veiem l'Anunciació de la mort de Maria; al pis superior apareix la Reunió dels Apòstols al seu voltant. Al carrer de la dreta, a sota hi ha la Dormició de la Mare de Déu i a sobre, l'Aparició de la Mare de Déu a Sant Tomàs. Al plafó superior del retaule apareix la Coronació. Al centre de la predel·la apareixen la Mare de Déu, el Baró de Dolors (Jesús) i Sant Joan, de mig cos, darrere una taula en la que hi apareixen uns objectes simbòlics del Calvari (daus, claus, xurriaques, oli...). A la dreta, en fornícules diferents hi ha, representats de mig cos, Santa Llúcia i Sant Pau amb llurs atributs. A la banda esquerra hi ha dues fornícules diferents en les que trobem Sant Pere i Santa Bàrbara, també de mig cos, amb els seus atributs.

 

L'estructura del retaule és l'anomenada “de pastera” (creu en aspa o creu de sant Andreu). És un reforç tradicional en la construcció de retaules medievals a la Corona d'Aragó, que ve directament influenciat per la tradició italiana. Es disposen els travessers en diagonal i es creuen al mig. Està format per sis posts verticals i sis travessers (tres originals i tres de nous). La unió de les taules es fa per encolat a cantell viu i estan reforçades amb tela de lli. Segons es pot observar, la predel·la es va serrar, separant-la dels carrers del retaule, i més endavant s'hi va tornar a afegir. Les escenes estan dividides per uns emmarcaments ornamentals de fusta tallada, amb columnes helicoïdals i arcades lobul·lades, amb les tres superiors rematades amb tres pinacles de formes vegetals (fulles).

 

Restauració

El 2012 va ser restaurat pel Centre de Restauració de Béns Mobles de Catalunya.[4]

 

El fet que el retaule hagués passat uns quants anys dins una capella del cementiri amb excés d'humitat, i els diferents desplaçaments que havia patit van aconsellar fer-hi una primera intervenció de restauració l'any 1954 que va anar a càrrec del restaurador italià Arturo Cividini i fou gestionada per Manuel Trens. Per les fotografies que es conserven a VINSEUM sabem que va ser eliminat un emmarcament que no era original i va ser reconstruït el coronament del retaule, que en algun moment s'havia escapçat per adaptar-lo a un emplaçament més reduït. En el catàleg de la I Exposició d'Art del Penedès, es diu: "La polsera (marc exterior) fou desencertadament restaurada. Algun verd i tots els blaus han estat repintats i són avui negres" (p. 172).

 

A nivell de superfície pictòrica, el retaule presentava moltes repintades i la gamma cromàtica tenia força alteracions que, en part, afectaven la seva lectura visual estètica. El procés de restauració dut a terme començà amb la fixació de la policromia en perill de despreniment i amb l'estabilització del suport de fusta, amb una neteja i desinsectació. L'element, però, més destacat fou la neteja de la capa pictòrica amb l'eliminació sistemàtica de les repintades que afectaven la zona del camper, la del pis superior i diverses escenes de la vida de la Verge —sobretot el mantell de la Verge de l'escena principal.

 

Tota la intervenció de restauració va anar acompanyada d'un extens estudi de la peça, amb tècniques d'examen de diverses com la fotografia amb llum difusa, la fotografia ultraviolada i la reflectografia de raigs infraroigs. També es van fer extraccions de mostres per a les anàlisis fisicoquímiques de pigments i capes superficials, per part de tècnics de la Universitat Politècnica de Catalunya–UPC.

 

El resultat final ha estat la recuperació de la lectura visual de la superfície policromada original del segle xv.

 

Es va presentar de nou un cop restaurat el dissabte 30 de juny de 2012, i es va ubicar temporalment a la capella de Sant Pelegrí, esperant la finalització de les obres de VINSEUM. Des de l'octubre de 2012, el retaule és novament visitable a l'exposició estable de VINSEUM.

 

Referències

Ruiz i Quesada, Francesc «Les escoles pictòriques de Tarragona». L'Art gòtic a Catalunya: Pintura II, El corrent Internacional, 2005, pàg. 149-151.

I Exposició d'Art del Penedès: celebrada a Vilafranca des de'l día 22 d'agost al 5 de setembre de 1926. Vendrell: Imp. Ramon, 1927.

Benach i Torrents, Manuel «L'hospital del sant Esperit i el convent i l'església de la Trinitat de Vilafranca». Quaderns Il·lustrats Penedès, núm. 3, 1935.

El Centre de Restauració de Béns Mobles de Catalunya (CRBMC) restaura el retaule gòtic del Museu del Vi de Vilafranca del Penedès[Enllaç no actiu] Generalitat de Catalunya

Bibliografia

Miret, Montserrat. El retaule de la Mare de Déu. Vilafranca del Penedès: Museu del Vi, 1994.

  

ca.wikipedia.org/wiki/Retaule_de_la_Mare_de_D%c3%a9u_de_V...

 

Conjunt arquitectònic format per l'antiga església de Santa Maria de Vallformosa i el cementiri parroquial que l'envolta. El conjunt es troba envoltat parcialment per un mur que tanca el conjunt, i que arrenca de la cantonada N-O de l'església, envoltant el cementiri fins empalmar amb l'absis de l'església pel seu cantó S-E. Es tracta d'un més modern pintat en color blanc. L'accés al conjunt es fa per una porta oberta en aquest mur i orientada al Nord. Es tracta d'una porta oberta amb un arc molt rebaixat i coronoda amb un frontó triangular i una creu. Aquesta porta ha estat reaprofitada de l'antic mur de tancament del cementiri. Aquesta estranya disposició fa que l'entrada a l'església es faci a través del cementiri. L'església és un edifici de planta basilical de tres naus construït amb parament irregular molt ben treballat i polit, cobert exteriorment a dues aigües amb teula. Les cantonades de l'edifici s'han reforçat amb carreus quadrangulars ben treballats. L'edifici conserva restes d'un antic arrebossat en ciment en alguns trams, especialment de l'absis. Exteriorment no es percep diferència d'alçada que indiqui l'existència de tres naus, ja que les naus laterals, malgrat ser més petites, compten amb un segon pis a sobre que unifica l'alçada exterior. Sobresurt del conjunt, un absis semicircular. L'orientació de l'església és amb la capcelera a l'Est i la façana principal a l'Oest. Destaca l'existència d'una petita finestreta esbiaixada ubicada al cantó Nord de l'absis, realitzada amb carreus ben treballats i coronada amb un petit ressortit arquejat. També destaca la presència d'un gran campanar octogonal de setze metres d'alçada ubicat a la cantonada N-O de l'edifici, que descansa sobre quatre petxines rectes i inclinades i es cobreix amb coberta de pavelló. Les cantonades del campanar també s'han reforçat amb carreus ben treballats. Destaca a mitja alçada la presència d'una motllura semicircular exterior i adossada, que marca l'inici de les obertures del campanar. Es tracta de quatre grans obertures, que s'intercalen ordenadament en el mur un si i un no- en forma d'arc de mig punt que deixen entreveure les campanes interiors. La façana principal de l'església es troba orientada a l'oest i s'obre amb una porta d'arc de mig punt format per dues petites arquivoltes. Aquesta porta recau sobre un seguit de maons disposats a sardinell. La porta es troba coronada per un frontó d'estil neoclàssic format per una cornisa triangular, enmig de la qual s'ubica un timpà sense decoració. Aquest frontó es recolza sobre un fris on s'alternen tríglifs i mètopes. Sota els tríglifs s'aprecien les règules i les gotes. Les mètopes s'han decorat amb motius geomètrics i espirals. Els laterals d'aquest fris sobresurten en volum de la resta del conjunt, i recauen sobre dos capitells i columnes adossades al mur, que emmarquen la porta d'entrada. La base de les columnes es recolza sobre un pedestal quadrangular i un sòcol. Tot aquest conjunt decoratiu es troba elaborat en pedra calcària ben treballada, i s'ha sobreafegit adossant-lo al mur de la façana. Sobre aquest conjunt de l'entrada s'obre un rosetó que es troba actualment tapiat. Interiorment la coberta -totalment restaurada- és a doble vessant en maó, i reforçada per cinc arcs torals de mig punt molt rebaixats, que recauen en pilastres quadrangulars adossades al mur, i que serveixen de línia divisòria entre capelles. El paviment interior és en rajola cuita disposada a trencajunt.

Observacions: Segons el llibre de les adminsitracions de 1787, a l'església hi havia: el cos preciós de Crist, del Roser, del Remei, del nom de Jesús, de Sant Crist, de Sant Antoni Abat, de Sant Ramon, de Sant Antoni de Padua, del Remei, de Sant Isidre, de Sant Roc, del Bací dels pobres, de Sant Joan, de Sant Josep i de la Puríssima Concepció. (Cont. Descripció): L'absis es cobreix amb una volta radial feta també en maó i reforçada per quatre bigues. La divisió interior de l'espai es fa en tres naus de diferents dimensions, sent la central més ample que les laterals. Les naus laterals es divideixen en quatre capelles laterals -quatre per banda- separades per arcs de mig punt. Les tres primeres, començant per l'absis, presenten la particularitat de comptar amb un segon pis a modus de trifori que recorre tot l'espai superior de les capelles. La coberta d'aquestes tres capelles laterals es fa amb volta d'aresta nervada i tancada amb una clau de volta. Els nervis i la clau de volta han estat profusament decorats amb afegits de guix i decoració vegetal i floral. També s'han decorat els intradós dels arcs de separació entre la nau central i les laterals, amb orles formades per cassetons de guix reomplets amb decoració floral. Destaquen també uns culs de llàntia molt ben treballats. Les dues capelles finals - a tocar de la porta- presenten característiques diferents, obrint-se la del cantó nord amb un arc de mig punt decorat amb estucs de vegetació floral, i cobert per una cúpula semiesfèrica, que descansa sobre quatre petxines i un petit tambor. Tota la cúpula es troba enguixada i decorada amb gran detall. Destaca la presència d'uns rosetons molt ben treballats a l'espai de les petxines, d'un tambor decorat amb escaquejats i caps d'angelet, orles en forma de trena que recorren la cúpula a imitació de nervis, dues de les quals finalitzen en dues fornícules en forma d'arc de mig punt rebaixat, també molt decorades. L'altre capella posterior -la del mur de migdia- no té tanta alçada, i s'ha cobert amb un sostre recte. La decoració interior és pictòrica a base de colors pastel: blau cel i marró, que dona a entendre que és de factura més nova, i que estaria dedicada a la Puríssima Concepció. Finalitza l'interior de l'església l'existència d'un cor a l'entrada de l'església, aixecat com si fos un primer pis sobre una teulada embigada i un arc molt rebaixat. Adossat al cantó de migdia de l'església hi havia l'antiga casa rectorial, que fou totalment enderrocada.

Les primeres notícies de l'existència d'una església parroquial són del 1087,quan Bonfill fa donació d'una peça de terra que té, i que afronta al nord amb un altre alou dels donadors, situat a Santa Maria de Vallformosa (Sancte Marie de Valle fermosa). Devia tractar-se d'un edifici pre-romànic, aixecat al mateix indret de l'actual església. El 1322, en la venda que el cavaller Berenguer de Castellbisbal fa a la Pia Almoina, diu que es troba la parròquia de Santa Maria de Vallformosa. El 1328, trobem una àpoca de 100 lliures feta per Berenguer Vendrell, prevere i beneficiat de Santa Maria de Vilobí, per raó d'un establiment de cases a Vilobí. Durant el segle XV hi ha unes col·lacions a Santa Maria de Vallformosa. El 1582 el bisbe de Barcelona dona permís per beneir les campanes de l'església. . El 1589, es fa la fundació d'un benefici per Josep Miret i Joan Pau Fonol, mercader de Vilafranca, per a la casa i heretat anomenada la Sala, situada dins la parròquia. El 1551 trobem una resolució feta per la Pia Almoina als jurats de Vallformosa per a l'obra de l'església. D'un imprès del segle XVII, sense data, sabem que Joan Cases, rector de Vallformosa, pledejà contra Maria Ana Vallesa, per un benefici de Santa Maria del lloc de Vilobí. El 1703 el Vicari general, Antoni Fontanals de les Clotes, dona llicència per fer una sepultura a la capella del Sant Crist de l'església de Vallformosa. El mateix any-1703-, Magí Olivella, batlle de la quadra de Vilobí, demana llicència per fer-se una tomba a la capella del Sant Nom de Jesús de l'església de Vallformosa. El 1758, el vicari general dóna permís al rector, Josep Masaguer per beneir una campana de l'església. Pels inventaris consultats del segle XIX, es tractava d'una parròquia relativament pobra, i en quedar cada cop més aïllada dels nuclis principals (Vilobí i Bellver), s'opta per canviar l'emplaçament de l'església. La revolució del 1936, afectà tot el contingut del temple que fou destruït, destacant una creu processional gòtica d'argent del segle XV. En quedar sense culte, posteriorment s'anà deteriorant la fàbrica de l'església i va amenaçar ruïna, sobretot el sostre, fins que al 1989 es va decidir restaurar les parts més afectades de l'edifici.

Sens dubte en origen l'església de Vallformosa fou d'estil romànic, i es degué enderrocar al segle XVI, que és quan es comença a construir l'actual, la qual quedà enllestida al segle XVII. És molt possible que la decoració d'estucs interior sigui també del segle XVII. La finestra esbiaixada de l'absis du la data del 1652 que es pot considerar com a bona. Al segle XVIII s'optà per dotar l'església amb un porta de més gran categoria, iniciant la construcció del frontó que emmarca la porta de la façana principal, i que du la data del 1778. Al segle XIX es degueren fer algunes reformes interiors, per exemple la d'adequació d'una de les capelles laterals al culte de la Puríssima Concepció, cosa que va fer que es cobrís de forma plana, i es pintés i decorés amb tons pastels. Durant el segle XX també s'han efectuat algunes transformacions, però en aquest cas exteriors, així en una fotografia conservada de l'església a principis del segle XX, s'observa que el cementiri no ocupa l'espai actual, sinó que es limita a ser un afegit al cantó de migdia de l'església, quedant de lliure accés la façana i la porta principal. La porta d'accés al cementiri és la mateixa que l'actual d'entrada al recinte. Cal pensar que en un moment posterior es produí una modernització i ampliació del cementiri que s'extengué cap a la zona de la façana principal, i al tancar-se englobà tota l'església (El 1888 hi ha una reconstrucció del cementiri, però cal pensar que no és l'actual). Aquesta església va ser la parroquial del terme de Vilobí fins el 1933, en que degut a qüestions pràctiques es construí la moderna església de Vallformosa traslladant el culte. A partir d'aquests moments entrà en un estat de degradació, que s'accentuà durant 1936 en que patí un saqueig.

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Goigs cantants en alanbança a la Mare de Déu de Vallformosa. Existeixen diverses versions, de les quals actualment es manté una actualitzada i musicada l'any 1989 per Joan Maria Aragonès i Rebollar i que és tal com segueix:

Vostra vida molt sortosa / cantarem amb alegria / sigueu nostre empar i guia / Princesa de Vallformosa / Aquella noble ambaixada / de l'arcàngel Gabriel / per ser de tots exalçada / fou tramesa des del cel / quina sort tan singular / per eixa vall tenebrosa / sigueu... / Els desterrats fills d?Eva / vostre auxili singular / esperaven a la terra / per tenir la llibertat / del pecat que els impedia // la posada més honrosa / sigueu... / La major felicitat / de les moltes que tinguéreu / fou aquella en què venguéreu / vostre fill molt estimat / Estols d'Àngels davallaren / en diada tan formosa / sigueu..../ Joia immensa bé us donaren / els tres Reis d'Orient / quan vau veure que adoraven / vostre Fill tan excel·lent/ presentant-vos moltes joies / amb voluntat fervorosa / sigueu..../ Fou la vostra Assumpció / singularíssima sort / doncs baixaren de l'alt port / els àngels en processó / per pujar-vos, oh Senyora, / amb corrandes molt gustosa / sigueu..../ Els malalts i atribolats / socorreu amb gran conhort / en totes necessitats/ sou auxili i segur port / a qui us reclama devot / socorreu ben amorosa / sigueu.../ Acabada la jornada / en eixa vall tenebrosa / sigueu nostre empar i guia / Princesa de Vallformosa.

La tradició de cantar els goigs a la Mare de Déu de Vallformosa es remunta amb seguretat al segle XVIII. La primera versió escrita que es conserva va ser impresa l'any 1800, i es conserven encara un bon nombre d'exemplars a l'Arxiu parroquial de Vilobí. Aquesta versió editada va ser vigent fins l'any 1989, en que amb motiu de les celebracions festives celebrades pel 55è aniversari de la inauguració de la nova església parroquial de Santa Maria de Vallformosa van ser actualitzats i musicats pel Sr. Joan M. Aragonès i Rebollar. Tradicionalment aquests goigs eren cantats en nombroses celebracions eucarístiques. Actualment només són cantats el dia de la Mare de Déu d'Agost.

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Més fotos de Santa Maria de Vallformosa: www.flickr.com/photos/11299883@N08/tags/ipa5066/show/

flickriver.com/photos/javier1949/popular-interesting/

 

Hipódromo de la Zarzuela

Cuesta de las Perdices. CN. VI km 8 –Av. Padre Huidobro, s/n-. Madrid

 

Carlos Arniches Moltó y Martín Domínguez Esteban, arquitectos, y Eduardo Torroja Miret, ingeniero. Proyecto 1934. Inicio de las obras 1935. Reparaciones y finalización de las obras: Eduardo Torroja Miret 1941

Remodelación y restauración: Junquera Arquitectos S.L.P. Jerónimo Junquera García del Diestro y Liliana C. Obal Díaz. Proyecto 2004. Dirección de proyecto Clara E. Santana. Obras 2008-2014 en ejecución. Estructuras: Carlos Fernández Casado S.L. Instalaciones: Úrculo ingenieros.

  

Declarado Bien de Interés Cultural BIC en la categoría de MONUMENTO en 2009

  

De la Publicación “Arquitectura de Madrid. Tomo 3 Periferia. Fundación Arquitectura COAM”:

El hipódromo de la Zarzuela sustituye al existente en los altos del paseo de la Castellana, sobre el solar donde hoy se encuentran los Nuevos Ministerios, en funcionamiento desde 1878 y derribado en 1933 para prolongar el paseo. Situado en el privilegiado emplazamiento de los terrenos del monte de El Pardo, se inauguró en 1941 pese a que se encontraba prácticamente terminado antes de la guerra civil según el proyecto de los arquitectos Carlos Arniches y Martín Domínguez, realizado en colaboración con el ingeniero Eduardo Torroja, quien se encargaría, tras la guerra civil, de la finalización de los trabajos y las reparaciones pertinentes por la ausencia de los dos arquitectos. En julio de 1934 se convoca concurso público para elegir el proyecto, resultando ganadora la propuesta de Arniches, Domínguez y Torroja, las obras se iniciaron muy pronto y, al terminar 1935, estaban muy avanzadas. Con independencia de sus valores formales y de la excelente resolución funcional, uno de los mayores aciertos del proyecto consistió en aprovechar el desnivel de los terrenos. La organización dispone las instalaciones de forma casi transversal a la cuesta de las Perdices, por la que se accedía. Junto al acceso se situaron los "paddock" y el conjunto edificatorio fundamental, ocupado por el restaurante y las tribunas, de espaldas al sol y en posición lateral. Completaban el conjunto las cuadras, las pistas de entrenamiento y concursos y la pista principal, marcada por dos diagonales interiores, así como una serie de construcciones e instalaciones auxiliares entre las que hay que destacar el depósito de Torroja, acabado en ladrillo y con perfil de paraboloide hiperbólico. Perfectamente integrado en sus partes, todo él (tanto en lo arquitectónico como en lo ingenieril) muestra a la vez un arraigo en lo vernáculo y la depuración formal que entronca la tradición en la modernidad. Surgen así las galerías de los basamentos y muros de contención en secuencias repetitivas de arquerías encaladas de medio punto que unifican y articulan los elementos dispersos y los espacios libres en un entramado de ámbitos ininterrumpidos para el deporte, el paseo y la fiesta; y surge, ciertamente, el elemento que ha singularizado al hipódromo, convirtiéndose en su seña de identidad más reconocida: la bellísima cubierta de las tribunas en voladizo de hormigón armado de 12,80 m y 5 cm de espesor en su extremo, a base de bóvedas laminares en solución hiperboloide, que internacionalizó la figura de Torroja, ensombreciendo injustamente la de sus arquitectos. La limpieza y funcionalidad de la marquesina (una yuxtaposición de elementos con forma de gaviota) se aunaba con la experimentalista audacia estructural de alemanas resonancias y el resultado plástico, de adscripción racionalista, quedaba, no obstante, todo él impregnado por un hálito poético de sobrecogedora belleza. Después de muchos años abandonado y en un elevado grado de deterioro, las instalaciones del hipódromo han vuelto a abrirse en 2005 a las carreras de caballos. El proyecto de puesta en valor de Jerónimo Junquera y Liliana Obal, ganadores del concurso convocado, se está ejecutando tras la declaración en 2009 como Bien de Interés Cultural de esta unánimemente reconocida "joya arquitectónica".

 

212.145.146.10/biblioteca/fondos/ingra2014/index.htm#map....

  

De la Memoria de la página web del estudio de arquitectura Junquera Arquitectos S.L.P. :

El proyecto de Junquera Arquitectos S.L.P. obtiene en 2004 Primer premio del Concurso Internacional para la Restauración y Rehabilitación del Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela, convocado por la sociedad Hipódromo de la Zarzuela S.A. El Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela es una de las más excepcionales obras de la arquitectura española del primer tercio del siglo XX, y la estructura de las tribunas con las marquesinas, una de las grandes realizaciones del siglo a nivel mundial.

Se propone, recuperar para la ciudad el Hipódromo de la Zarzuela con las instalaciones óptimas para las carreras y el deporte hípico, en equilibrio con el uso y disfrute del Monumento. El Proyecto de Restauración confía la belleza del futuro Hipódromo a potenciar sus valores originales recuperando los que hubiese perdido. Para ello se propone:

- Eliminar las adherencias a los edificios históricos que los habían desvirtuado.

- Restaurar las Tribunas, emblema del Hipódromo, dedicadas a contemplar las carreras

- Adaptar la topografía y segregar las circulaciones de caballo y público en dos niveles según el proyecto de 1934: el público accede al recinto por los patios sur y norte, que quedan comunicados en la galería del paddock. Desde este nivel puede contemplar todos los movimientos del caballo en un nivel inferior sin interferir en su recorrido. Los patios se expanden hacia las terrazas entre tribunas, con vistas a la pista y la ciudad.

-Conservar los ensilladeros en la posición original, concentrando a su alrededor los servicios de carreras, jockeys, veterinaria etc., en un edificio nuevo excavado en el terreno y abierto a jardines que aportan privacidad, iluminación y ventilación natural. Con accesos independientes y comunicación directa con el paddock y la tribuna central sin cruzarse con el público.

-Prever la posible ampliación de un Centro de Convenciones soterrado en el patio norte sin afectar a las perspectivas de los edificios históricos ni del paisaje.

Las obras comenzaron en 2008 con la restauración de las marquesinas de las Tribunas, deterioradas por el paso del tiempo, y dañadas por el agua y diversas construcciones realizadas en etapas anteriores. A la vez que se restauran las marquesinas, se fueron ejecutando en el Recinto obras de Prospección constructiva. Obras de investigación para descubrir y analizar los valores y sistemas constructivos originales, desvirtuados y perdidos por ampliaciones y modificaciones ejecutadas en el recinto. Esto evidenció daños estructurales importantes que exigieron obras de consolidación y reparación de la estructura. Una vez completas las obras de reparación estructural, se inició la restauración y rehabilitación del conjunto arquitectónico, con el objetivo de recuperar los valores esenciales del proyecto de 1934 de Arniches, Domínguez y Torroja.

 

www.junqueraarquitectos.com/

 

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Hipódromo de la Zarzuela

Cuesta de las Perdices. CN. VI km 8 –Av. Padre Huidobro, s/n-. Madrid

 

Carlos Arniches Moltó y Martín Domínguez Esteban, arquitectos, y Eduardo Torroja Miret, ingeniero. Proyecto 1934. Inicio de las obras 1935. Reparaciones y finalización de las obras: Eduardo Torroja Miret 1941

Remodelación y restauración: Junquera Arquitectos S.L.P. Jerónimo Junquera García del Diestro y Liliana C. Obal Díaz. Proyecto 2004. Dirección de proyecto Clara E. Santana. Obras 2008-2014 en ejecución. Estructuras: Carlos Fernández Casado S.L. Instalaciones: Úrculo ingenieros.

  

Declarado Bien de Interés Cultural BIC en la categoría de MONUMENTO en 2009

  

De la Publicación “Arquitectura de Madrid. Tomo 3 Periferia. Fundación Arquitectura COAM”:

El hipódromo de la Zarzuela sustituye al existente en los altos del paseo de la Castellana, sobre el solar donde hoy se encuentran los Nuevos Ministerios, en funcionamiento desde 1878 y derribado en 1933 para prolongar el paseo. Situado en el privilegiado emplazamiento de los terrenos del monte de El Pardo, se inauguró en 1941 pese a que se encontraba prácticamente terminado antes de la guerra civil según el proyecto de los arquitectos Carlos Arniches y Martín Domínguez, realizado en colaboración con el ingeniero Eduardo Torroja, quien se encargaría, tras la guerra civil, de la finalización de los trabajos y las reparaciones pertinentes por la ausencia de los dos arquitectos. En julio de 1934 se convoca concurso público para elegir el proyecto, resultando ganadora la propuesta de Arniches, Domínguez y Torroja, las obras se iniciaron muy pronto y, al terminar 1935, estaban muy avanzadas. Con independencia de sus valores formales y de la excelente resolución funcional, uno de los mayores aciertos del proyecto consistió en aprovechar el desnivel de los terrenos. La organización dispone las instalaciones de forma casi transversal a la cuesta de las Perdices, por la que se accedía. Junto al acceso se situaron los "paddock" y el conjunto edificatorio fundamental, ocupado por el restaurante y las tribunas, de espaldas al sol y en posición lateral. Completaban el conjunto las cuadras, las pistas de entrenamiento y concursos y la pista principal, marcada por dos diagonales interiores, así como una serie de construcciones e instalaciones auxiliares entre las que hay que destacar el depósito de Torroja, acabado en ladrillo y con perfil de paraboloide hiperbólico. Perfectamente integrado en sus partes, todo él (tanto en lo arquitectónico como en lo ingenieril) muestra a la vez un arraigo en lo vernáculo y la depuración formal que entronca la tradición en la modernidad. Surgen así las galerías de los basamentos y muros de contención en secuencias repetitivas de arquerías encaladas de medio punto que unifican y articulan los elementos dispersos y los espacios libres en un entramado de ámbitos ininterrumpidos para el deporte, el paseo y la fiesta; y surge, ciertamente, el elemento que ha singularizado al hipódromo, convirtiéndose en su seña de identidad más reconocida: la bellísima cubierta de las tribunas en voladizo de hormigón armado de 12,80 m y 5 cm de espesor en su extremo, a base de bóvedas laminares en solución hiperboloide, que internacionalizó la figura de Torroja, ensombreciendo injustamente la de sus arquitectos. La limpieza y funcionalidad de la marquesina (una yuxtaposición de elementos con forma de gaviota) se aunaba con la experimentalista audacia estructural de alemanas resonancias y el resultado plástico, de adscripción racionalista, quedaba, no obstante, todo él impregnado por un hálito poético de sobrecogedora belleza. Después de muchos años abandonado y en un elevado grado de deterioro, las instalaciones del hipódromo han vuelto a abrirse en 2005 a las carreras de caballos. El proyecto de puesta en valor de Jerónimo Junquera y Liliana Obal, ganadores del concurso convocado, se está ejecutando tras la declaración en 2009 como Bien de Interés Cultural de esta unánimemente reconocida "joya arquitectónica".

 

212.145.146.10/biblioteca/fondos/ingra2014/index.htm#map....

  

De la Memoria de la página web del estudio de arquitectura Junquera Arquitectos S.L.P. :

El proyecto de Junquera Arquitectos S.L.P. obtiene en 2004 Primer premio del Concurso Internacional para la Restauración y Rehabilitación del Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela, convocado por la sociedad Hipódromo de la Zarzuela S.A. El Recinto de Carreras del Hipódromo de la Zarzuela es una de las más excepcionales obras de la arquitectura española del primer tercio del siglo XX, y la estructura de las tribunas con las marquesinas, una de las grandes realizaciones del siglo a nivel mundial.

Se propone, recuperar para la ciudad el Hipódromo de la Zarzuela con las instalaciones óptimas para las carreras y el deporte hípico, en equilibrio con el uso y disfrute del Monumento. El Proyecto de Restauración confía la belleza del futuro Hipódromo a potenciar sus valores originales recuperando los que hubiese perdido. Para ello se propone:

- Eliminar las adherencias a los edificios históricos que los habían desvirtuado.

- Restaurar las Tribunas, emblema del Hipódromo, dedicadas a contemplar las carreras

- Adaptar la topografía y segregar las circulaciones de caballo y público en dos niveles según el proyecto de 1934: el público accede al recinto por los patios sur y norte, que quedan comunicados en la galería del paddock. Desde este nivel puede contemplar todos los movimientos del caballo en un nivel inferior sin interferir en su recorrido. Los patios se expanden hacia las terrazas entre tribunas, con vistas a la pista y la ciudad.

-Conservar los ensilladeros en la posición original, concentrando a su alrededor los servicios de carreras, jockeys, veterinaria etc., en un edificio nuevo excavado en el terreno y abierto a jardines que aportan privacidad, iluminación y ventilación natural. Con accesos independientes y comunicación directa con el paddock y la tribuna central sin cruzarse con el público.

-Prever la posible ampliación de un Centro de Convenciones soterrado en el patio norte sin afectar a las perspectivas de los edificios históricos ni del paisaje.

Las obras comenzaron en 2008 con la restauración de las marquesinas de las Tribunas, deterioradas por el paso del tiempo, y dañadas por el agua y diversas construcciones realizadas en etapas anteriores. A la vez que se restauran las marquesinas, se fueron ejecutando en el Recinto obras de Prospección constructiva. Obras de investigación para descubrir y analizar los valores y sistemas constructivos originales, desvirtuados y perdidos por ampliaciones y modificaciones ejecutadas en el recinto. Esto evidenció daños estructurales importantes que exigieron obras de consolidación y reparación de la estructura. Una vez completas las obras de reparación estructural, se inició la restauración y rehabilitación del conjunto arquitectónico, con el objetivo de recuperar los valores esenciales del proyecto de 1934 de Arniches, Domínguez y Torroja.

 

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Casa Cuadros

 

1906

 

Architect: Gaietà Miret i Raventós

Todos estos fueron cosechados , el domingo pasado en el mercado de Roda de Bara .

El venedor diu que es va passar tot el dia a la muntanya , je , je ,

Conjunt arquitectònic format per l'antiga església de Santa Maria de Vallformosa i el cementiri parroquial que l'envolta. El conjunt es troba envoltat parcialment per un mur que tanca el conjunt, i que arrenca de la cantonada N-O de l'església, envoltant el cementiri fins empalmar amb l'absis de l'església pel seu cantó S-E. Es tracta d'un més modern pintat en color blanc. L'accés al conjunt es fa per una porta oberta en aquest mur i orientada al Nord. Es tracta d'una porta oberta amb un arc molt rebaixat i coronoda amb un frontó triangular i una creu. Aquesta porta ha estat reaprofitada de l'antic mur de tancament del cementiri. Aquesta estranya disposició fa que l'entrada a l'església es faci a través del cementiri. L'església és un edifici de planta basilical de tres naus construït amb parament irregular molt ben treballat i polit, cobert exteriorment a dues aigües amb teula. Les cantonades de l'edifici s'han reforçat amb carreus quadrangulars ben treballats. L'edifici conserva restes d'un antic arrebossat en ciment en alguns trams, especialment de l'absis. Exteriorment no es percep diferència d'alçada que indiqui l'existència de tres naus, ja que les naus laterals, malgrat ser més petites, compten amb un segon pis a sobre que unifica l'alçada exterior. Sobresurt del conjunt, un absis semicircular. L'orientació de l'església és amb la capcelera a l'Est i la façana principal a l'Oest. Destaca l'existència d'una petita finestreta esbiaixada ubicada al cantó Nord de l'absis, realitzada amb carreus ben treballats i coronada amb un petit ressortit arquejat. També destaca la presència d'un gran campanar octogonal de setze metres d'alçada ubicat a la cantonada N-O de l'edifici, que descansa sobre quatre petxines rectes i inclinades i es cobreix amb coberta de pavelló. Les cantonades del campanar també s'han reforçat amb carreus ben treballats. Destaca a mitja alçada la presència d'una motllura semicircular exterior i adossada, que marca l'inici de les obertures del campanar. Es tracta de quatre grans obertures, que s'intercalen ordenadament en el mur un si i un no- en forma d'arc de mig punt que deixen entreveure les campanes interiors. La façana principal de l'església es troba orientada a l'oest i s'obre amb una porta d'arc de mig punt format per dues petites arquivoltes. Aquesta porta recau sobre un seguit de maons disposats a sardinell. La porta es troba coronada per un frontó d'estil neoclàssic format per una cornisa triangular, enmig de la qual s'ubica un timpà sense decoració. Aquest frontó es recolza sobre un fris on s'alternen tríglifs i mètopes. Sota els tríglifs s'aprecien les règules i les gotes. Les mètopes s'han decorat amb motius geomètrics i espirals. Els laterals d'aquest fris sobresurten en volum de la resta del conjunt, i recauen sobre dos capitells i columnes adossades al mur, que emmarquen la porta d'entrada. La base de les columnes es recolza sobre un pedestal quadrangular i un sòcol. Tot aquest conjunt decoratiu es troba elaborat en pedra calcària ben treballada, i s'ha sobreafegit adossant-lo al mur de la façana. Sobre aquest conjunt de l'entrada s'obre un rosetó que es troba actualment tapiat. Interiorment la coberta -totalment restaurada- és a doble vessant en maó, i reforçada per cinc arcs torals de mig punt molt rebaixats, que recauen en pilastres quadrangulars adossades al mur, i que serveixen de línia divisòria entre capelles. El paviment interior és en rajola cuita disposada a trencajunt.

Observacions: Segons el llibre de les adminsitracions de 1787, a l'església hi havia: el cos preciós de Crist, del Roser, del Remei, del nom de Jesús, de Sant Crist, de Sant Antoni Abat, de Sant Ramon, de Sant Antoni de Padua, del Remei, de Sant Isidre, de Sant Roc, del Bací dels pobres, de Sant Joan, de Sant Josep i de la Puríssima Concepció. (Cont. Descripció): L'absis es cobreix amb una volta radial feta també en maó i reforçada per quatre bigues. La divisió interior de l'espai es fa en tres naus de diferents dimensions, sent la central més ample que les laterals. Les naus laterals es divideixen en quatre capelles laterals -quatre per banda- separades per arcs de mig punt. Les tres primeres, començant per l'absis, presenten la particularitat de comptar amb un segon pis a modus de trifori que recorre tot l'espai superior de les capelles. La coberta d'aquestes tres capelles laterals es fa amb volta d'aresta nervada i tancada amb una clau de volta. Els nervis i la clau de volta han estat profusament decorats amb afegits de guix i decoració vegetal i floral. També s'han decorat els intradós dels arcs de separació entre la nau central i les laterals, amb orles formades per cassetons de guix reomplets amb decoració floral. Destaquen també uns culs de llàntia molt ben treballats. Les dues capelles finals - a tocar de la porta- presenten característiques diferents, obrint-se la del cantó nord amb un arc de mig punt decorat amb estucs de vegetació floral, i cobert per una cúpula semiesfèrica, que descansa sobre quatre petxines i un petit tambor. Tota la cúpula es troba enguixada i decorada amb gran detall. Destaca la presència d'uns rosetons molt ben treballats a l'espai de les petxines, d'un tambor decorat amb escaquejats i caps d'angelet, orles en forma de trena que recorren la cúpula a imitació de nervis, dues de les quals finalitzen en dues fornícules en forma d'arc de mig punt rebaixat, també molt decorades. L'altre capella posterior -la del mur de migdia- no té tanta alçada, i s'ha cobert amb un sostre recte. La decoració interior és pictòrica a base de colors pastel: blau cel i marró, que dona a entendre que és de factura més nova, i que estaria dedicada a la Puríssima Concepció. Finalitza l'interior de l'església l'existència d'un cor a l'entrada de l'església, aixecat com si fos un primer pis sobre una teulada embigada i un arc molt rebaixat. Adossat al cantó de migdia de l'església hi havia l'antiga casa rectorial, que fou totalment enderrocada.

Les primeres notícies de l'existència d'una església parroquial són del 1087,quan Bonfill fa donació d'una peça de terra que té, i que afronta al nord amb un altre alou dels donadors, situat a Santa Maria de Vallformosa (Sancte Marie de Valle fermosa). Devia tractar-se d'un edifici pre-romànic, aixecat al mateix indret de l'actual església. El 1322, en la venda que el cavaller Berenguer de Castellbisbal fa a la Pia Almoina, diu que es troba la parròquia de Santa Maria de Vallformosa. El 1328, trobem una àpoca de 100 lliures feta per Berenguer Vendrell, prevere i beneficiat de Santa Maria de Vilobí, per raó d'un establiment de cases a Vilobí. Durant el segle XV hi ha unes col·lacions a Santa Maria de Vallformosa. El 1582 el bisbe de Barcelona dona permís per beneir les campanes de l'església. . El 1589, es fa la fundació d'un benefici per Josep Miret i Joan Pau Fonol, mercader de Vilafranca, per a la casa i heretat anomenada la Sala, situada dins la parròquia. El 1551 trobem una resolució feta per la Pia Almoina als jurats de Vallformosa per a l'obra de l'església. D'un imprès del segle XVII, sense data, sabem que Joan Cases, rector de Vallformosa, pledejà contra Maria Ana Vallesa, per un benefici de Santa Maria del lloc de Vilobí. El 1703 el Vicari general, Antoni Fontanals de les Clotes, dona llicència per fer una sepultura a la capella del Sant Crist de l'església de Vallformosa. El mateix any-1703-, Magí Olivella, batlle de la quadra de Vilobí, demana llicència per fer-se una tomba a la capella del Sant Nom de Jesús de l'església de Vallformosa. El 1758, el vicari general dóna permís al rector, Josep Masaguer per beneir una campana de l'església. Pels inventaris consultats del segle XIX, es tractava d'una parròquia relativament pobra, i en quedar cada cop més aïllada dels nuclis principals (Vilobí i Bellver), s'opta per canviar l'emplaçament de l'església. La revolució del 1936, afectà tot el contingut del temple que fou destruït, destacant una creu processional gòtica d'argent del segle XV. En quedar sense culte, posteriorment s'anà deteriorant la fàbrica de l'església i va amenaçar ruïna, sobretot el sostre, fins que al 1989 es va decidir restaurar les parts més afectades de l'edifici.

Sens dubte en origen l'església de Vallformosa fou d'estil romànic, i es degué enderrocar al segle XVI, que és quan es comença a construir l'actual, la qual quedà enllestida al segle XVII. És molt possible que la decoració d'estucs interior sigui també del segle XVII. La finestra esbiaixada de l'absis du la data del 1652 que es pot considerar com a bona. Al segle XVIII s'optà per dotar l'església amb un porta de més gran categoria, iniciant la construcció del frontó que emmarca la porta de la façana principal, i que du la data del 1778. Al segle XIX es degueren fer algunes reformes interiors, per exemple la d'adequació d'una de les capelles laterals al culte de la Puríssima Concepció, cosa que va fer que es cobrís de forma plana, i es pintés i decorés amb tons pastels. Durant el segle XX també s'han efectuat algunes transformacions, però en aquest cas exteriors, així en una fotografia conservada de l'església a principis del segle XX, s'observa que el cementiri no ocupa l'espai actual, sinó que es limita a ser un afegit al cantó de migdia de l'església, quedant de lliure accés la façana i la porta principal. La porta d'accés al cementiri és la mateixa que l'actual d'entrada al recinte. Cal pensar que en un moment posterior es produí una modernització i ampliació del cementiri que s'extengué cap a la zona de la façana principal, i al tancar-se englobà tota l'església (El 1888 hi ha una reconstrucció del cementiri, però cal pensar que no és l'actual). Aquesta església va ser la parroquial del terme de Vilobí fins el 1933, en que degut a qüestions pràctiques es construí la moderna església de Vallformosa traslladant el culte. A partir d'aquests moments entrà en un estat de degradació, que s'accentuà durant 1936 en que patí un saqueig.

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Goigs cantants en alanbança a la Mare de Déu de Vallformosa. Existeixen diverses versions, de les quals actualment es manté una actualitzada i musicada l'any 1989 per Joan Maria Aragonès i Rebollar i que és tal com segueix:

Vostra vida molt sortosa / cantarem amb alegria / sigueu nostre empar i guia / Princesa de Vallformosa / Aquella noble ambaixada / de l'arcàngel Gabriel / per ser de tots exalçada / fou tramesa des del cel / quina sort tan singular / per eixa vall tenebrosa / sigueu... / Els desterrats fills d?Eva / vostre auxili singular / esperaven a la terra / per tenir la llibertat / del pecat que els impedia // la posada més honrosa / sigueu... / La major felicitat / de les moltes que tinguéreu / fou aquella en què venguéreu / vostre fill molt estimat / Estols d'Àngels davallaren / en diada tan formosa / sigueu..../ Joia immensa bé us donaren / els tres Reis d'Orient / quan vau veure que adoraven / vostre Fill tan excel·lent/ presentant-vos moltes joies / amb voluntat fervorosa / sigueu..../ Fou la vostra Assumpció / singularíssima sort / doncs baixaren de l'alt port / els àngels en processó / per pujar-vos, oh Senyora, / amb corrandes molt gustosa / sigueu..../ Els malalts i atribolats / socorreu amb gran conhort / en totes necessitats/ sou auxili i segur port / a qui us reclama devot / socorreu ben amorosa / sigueu.../ Acabada la jornada / en eixa vall tenebrosa / sigueu nostre empar i guia / Princesa de Vallformosa.

La tradició de cantar els goigs a la Mare de Déu de Vallformosa es remunta amb seguretat al segle XVIII. La primera versió escrita que es conserva va ser impresa l'any 1800, i es conserven encara un bon nombre d'exemplars a l'Arxiu parroquial de Vilobí. Aquesta versió editada va ser vigent fins l'any 1989, en que amb motiu de les celebracions festives celebrades pel 55è aniversari de la inauguració de la nova església parroquial de Santa Maria de Vallformosa van ser actualitzats i musicats pel Sr. Joan M. Aragonès i Rebollar. Tradicionalment aquests goigs eren cantats en nombroses celebracions eucarístiques. Actualment només són cantats el dia de la Mare de Déu d'Agost.

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Més fotos de Santa Maria de Vallformosa: www.flickr.com/photos/11299883@N08/tags/ipa5066/show/

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