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La cathédrale de Palerme est une église catholique romaine du XIIe siècle, dédiée à Notre-Dame de l'Assomption, de style arabo-normand propre à la Sicile, située à Palerme, capitale de la province italienne de Sicile.
La cathédrale fut construite au XIIe siècle par l'archevêque normand de Palerme Gautier Ophamil, à l'emplacement d'une très ancienne basilique de l'empire romain transformée en mosquée au IXe siècle par les Arabes. Les tours datent des XIVe et XVe siècles et le porche gothique catalan du XVe siècle. La nef baroque fut élargie à la fin du XVIIIe siècle.
Le couronnement du premier roi de Sicile Roger II de Sicile y fut célébré à Noël 1130.
La cathédrale contient les sépultures de l'empereur Frédéric II du Saint-Empire et de son épouse Constance d’Aragon ; du roi Roger II de Sicile qui au XIIe siècle fut à l’origine du Royaume de Sicile ; de Sainte Rosalie de Palerme, patronne de Palerme.
La façade principale, reliée par des arcades au Palais archiépiscopal.
L'église a été érigée en 1185 par Gautier Ophamil (ou en italien « Gualtiero Offamilio »), archevêque anglo-normand de Palerme et ministre du roi Guillaume II, sur l'emplacement d'une précédente basilique byzantine fondée par saint Grégoire et plus tard transformée en mosquée par les Sarrasins, après leur conquête de la ville au IXe siècle. Le tombeau d'Ophamil se trouve dans la crypte de l'église. Ce précédent édifice médiéval avait un plan basilical à trois absides, dont il ne reste aujourd'hui que quelques éléments architecturaux mineurs.
Les étages supérieurs des tours d'angles ont été construits aux XIVe et XVe siècles, tandis que le porche sud a été ajouté au début de la Renaissance. L'aspect néoclassique actuel remonte aux travaux effectués de 1781 à 1801 par Ferdinando Fuga. Durant cette période, le grand retable de Gagini, orné de statues, frises et bas-reliefs, a été détruit et les sculptures déplacées en différentes parties de la basilique. Fuga est également l'auteur du grand dôme qui émerge du corps principal du bâtiment et des dômes plus petits qui couvrent les plafonds des nefs latérales.
Cette rue fut une source d'inspiration pour la maman d'Harry Potter, J.K. Rowling, pour un de ses romans.
Pour info, ce ciel bleu digne d'un ciel méditerranéen n'a duré que le temps de remonter cette rue superbe cad une demie-heure! Ensuite, grêle!!! Timing parfait!
Victoria Street is a jamboree of colour & quirky shops, admired as the bonniest street in Edinburgh.
It’s reputed to be an inspiration for Diagon Alley (Harry Potter & the Philosopher’s Stone), with a ribbon of cobbles curving upward, multiple levels hosting an eclectic throng of boutique shops and pointy roofs touching the sky it’s not hard to see why.
Durant l'opération Daguet en janvier 1991 le Jaguar A91, immatriculé 11-YG et avec le capitaine Jean-François Hummel [« Mamel »] aux commandes, fut touché par un missile sol-air de type MANPADS « SA-7 Grail », au niveau de son réacteur droit. Malgré l’incendie qui risquait d’atteindre les deux tonnes de pétrole qui restaient dans le réservoir, son pilote décida quand même de ramener l’avion en Arabie Saoudite, ce qu’il réussit à faire, avec le lieutenant Bonnafoux.
Le Jaguar A91, trop salement touché, n’a plus revolé depuis, alors que ce type de chasseur-bombardier a été retiré du service en 2005. Rapatrié à Toul, avant de prendre la route de la BA 279 de Châteaudun en 1994, il a depuis été remis dans un état « présentable », mais en laissant les dommages subis ce 17 janvier 1991, pour être exposé au Musée de l’Air et de l’Espace.( extrait du texte de LAURENT LAGNEAU du 17 JANVIER 2021)
During Operation Daguet in January 1991, the Jaguar A91, registration 11-YG, with Captain Jean-François Hummel ('Mamel') at the controls, was hit by a MANPADS 'SA-7 Grail' surface-to-air missile in its right engine. Despite the fire that threatened to reach the two tons of oil remaining in the tank, its pilot decided to bring the plane back to Saudi Arabia, which he and Lieutenant Bonnafoux managed to do.
The Jaguar A91, too badly hit, has not flown since, although this type of fighter-bomber was retired in 2005. Repatriated to Toul, before heading for the BA 279 of Châteaudun in 1994, it has since been restored to a "presentable" state, but leaving the damage suffered on January 17, 1991, to be exhibited at the Musée de l'Air et de l'Espace. (extract from LAURENT LAGNEAU's text of January 17, 2021)
the cloister Saint Etienne in TOUL - Lorraine -
is the second biggest gothic cloister in France -
located on the south side of the cathedral Saint Etienne
and built between 1240 and the end of the 13th century,
( best viewed on black ) -
dans le vieux cloître -
le cloître Saint Etienne à Toul en Lorraine,
est le second plus grand cloître gothique de France.
Il est situé au sud de la cathédrale Saint Etienne et
fut construit entre 1240 et la fin du 13ème siècle .
La collégiale Notre-Dame et Saint-Laurent O'Toole à Eu (Seine-Maritime) était à l'origine le lieu de culte d'une abbaye qui fut détruite sous la Révolution. Cette église, construite entre 1186 et 1240, était celle des chanoines de Saint-Victor. La collégiale fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840
La crypte, véritable église souterraine, longue de 31 m et large de 6,5 m est à vaisseau unique à cinq travées rectangulaires et une travée absidiale à sept pans. Elle contient les tombeaux de :
Laurent O’Toole (en descendant l'escalier, à gauche).
Le duc d'Aumale (1704-1708) et Louis-Auguste de Bourbon, prince souverain de Dombes (1700-1755), tous deux fils de Louis Auguste de Bourbon, duc du Maine, lui-même fils de Louis XIV et de Madame de Montespan (au centre de la crypte).
(à gauche, les hommes) Charles d'Artois († 1472), Philippe d'Artois († 1397), son fils Philippe d'Artois († 1397 en bas âge), Jean d'Artois († 1387), fils de Robert III d'Artois, et son fils Charles d'Artois († 1368 en bas âge).
(à droite, les femmes) Isabelle de Melun († 1389), Isabelle d'Artois († 1379) , Jeanne de Saveuse († 1448) , Hélène de Melun († 1472).
... fut construite aux alentours de l'année 1425, restaurée et réinstallée 1923 et rénovée en 2010.
La Cathédrale de Lund
Fûts de chêne plantés là, selon certains, pendants la guerre par les Allemands, pour décourager les tentatives d'abordage à marée haute qu'auraient pu tenter des troupes alliées.
Une autre explication a été publiée.
Qu'importe. Les fûts rongés par la mer ont gardé St Malo jusqu'en 2022, année où ils ont été enlevés.
Je les trouvais si beaux !
Cependant, là où le premier a duré 5 siècles, le second se trouvait tellement abîmé en 1979, 1 siècle plus tard, qu'on décida d'en fabriquer un 3me, identique au premier. D'une structure en acier inoxydable recouverte de plaques de cuivre rouge, de 3,28m de long sur 1,91m de haut, pour une envergure de 1,50m et un poids de 455 kg, le nouveau dragon fut placé sur le sommet de la tour le 8 nov. 1980
ENGLISH :
When in 1377 the construction of the tower was finished, one placed a dragon at its top. It is the latter. Because after the demolition of the top of the belfry in 1839 it was found eroded and in pitiful state. It was then replaced in 1854 by a new copy.
However, where the first lasted 5 centuries, the second was so damaged in 1979, one century later, that one decided to make a 3rd, identical to the first. In a stainless steel structure covered with red copper plates, 3,28m long to 1,91m high, with a wingspan of 1.50 meters and a weight of 455 kg, the new dragon was placed on top of the tower November 8, 1980
La mort d'Elaine d'Astolatt est un passage du Lancelot-Graal issu de la matière de Bretagne composé au début du XIIIe siècle. Cette source majeure de la légende arthurienne dont l'auteur reste inconnu a fortement inspiré l'œuvre de Malory au XVe siècle et est largement diffusé oralement mais aussi sous la forme de manuscrits dont un des plus connus et des plus anciens daté de 1220 est celui conservé à Rennes. Dans la version du début du XIIIe siècle, la Demoiselle d'Astolat meurt d'un amour non partagé pour Lancelot et suit une rivière dans un bateau jusqu'à Camelot. Une autre version du même siècle est écrite dans la nouvelle italienne La Donna di Scallota qui a servi d'inspiration pour The Lady of Shalott de Tennyson écrit en 1833. D'après la légende, une malédiction interdisait à la Dame de Shalott de regarder directement la réalité du monde extérieur ; elle était condamnée à voir le monde à travers un miroir. Son désespoir allait grandissant lorsqu'elle observait des couples amoureux enlacés au loin. Un jour, elle vit le reflet de Lancelot passer dans le miroir. Durant la tempête automnale qui se produisit alors, la Dame embarqua dans un bateau. Elle chantait sa complainte en naviguant vers Camelot et vers une mort certaine. Son corps gelé fut retrouvé par Lancelot.
Site – Domaine du château de Suscinio (56)
Figurants : Cédric Chavin et Soizic Lahonda
Hertfordshire Fire And Rescue Service
Many thanks for the visit!!
Thanks for viewing my photos - NO UNAUTHORISED USE
Il fut un temps pas si lointain où les rames VO2N de St-Lazare étaient un peu plus "vintage" que le gris et bleu actuel. En cette soirée de mai 2010, ce TER Paris-Evreux-Serquigny poussé par une BB17000 traverse la vallée de l'Eure dans les environs de Merey (27).
Hotel Chopin - Le Passage Jouffroy (Paris 9)
10-12 boulevard Montmartre / 9 rue de la Grange-Batelière
Le Passage Jouffroy fut construit en 1836 dans le prolongement du Passage des Panoramas, afin de profiter de la population parisienne drainée par ce dernier. Il est, depuis, l'un des passages les plus fréquentés de la capitale.
Le Passage Jouffroy servit de terrain aux nombreuses révolutions architecturales de l'époque : il fut ainsi le premier passage parisien a être doté d'une charpente en métal et en verre, et le premier a être chauffé par le sol. Le sol de ce beau passage couvert est dallé de noir, de gris et de blanc.
Le Passage Jouffroy a été entièrement rénové en 1987, 13 ans après avoir été classé monument historique, et abrite de nombreuses boutiques de livres anciens - ainsi que deux hotels.
Source : www.sortiraparis.com/arts-culture/histoire-patrimoine/gui...
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The ‘Passage Jouffroy’ was built in 1836 as an extension of the Passage des Panoramas, in order to take advantage of the Parisian population drained by the latter. Since then, it has been one of the busiest passages in the capital.
The Passage Jouffroy served as a site for numerous architectural revolutions of the time: it was thus the first Parisian passage to have a metal and glass frame, and the first to be heated by the ground. The floor of this beautiful covered passage is tiled in black, grey and white.
Passage Jouffroy was completely renovated in 1987, 13 years after being classified as a historic monument, and is home to many old book shops - and two hotels.
En route vers le Lac Vert en passant sur cette route vers Passy.
En 1973, Passy fut le support d’une immense exposition – Sculptures en Montagne – Poème dans l’Espace. Inspiré par les lieux et leur histoire, conçu par le poète Jean-Pierre Lemesle, le projet réunira les œuvres des artistes les plus représentatifs de la sculpture contemporaine. Passy a gardé cinq œuvres majeures, puis acquis d’autres sculptures. Placées, dans les années 1980, entre la sortie de l’autoroute A40 et les contreforts de la chaîne des Fiz, elles nous proposent une visite du coteau, pour atteindre le belvédère exceptionnel de Plaine Joux (Œuvres de Cossin, Gosselin,
Brunelli, Féraud, Calder, Romy, Dupuy, Sandel, Semser, Roussi, Cardenas et Gardy Artigas).
On way to the Vert Lake passing on this road towards Passy.
In 1973, Passy was the support of an immense exhibition - Sculptures in Mountain - Poem in Space. Inspired by the places and their history, designed by the poet Jean-Pierre Lemesle, the project will bring together the works of the most representative artists of contemporary sculpture. Passy has kept five major works, then acquired other sculptures. Placed in the 1980s between the exit of the A40 motorway and the foothills of the Fiz chain, they offer us a visit to the hillside to reach the exceptional viewpoint of Plaine Joux (Works by Cossin, Gosselin,
Brunelli, Féraud, Calder, Romy, Dupuy, Sandel, Semser, Roussi, Cardenas and Gardy Artigas).
Le Godenes Dachl fut commandé à la suite du mariage de l'Empereur Maximilien avec Maria Bianca Storza de Milan, en 1494, et fut achevé en 1500 pat Niklas Türing l'ancien architecte de cour de Maximilien.
Vue autour des théâtres antiques.
Empire romain
Des tronçons de voies romaines, des colonnes, des boutiques et des monuments publics ont été retrouvés lors des fouilles archéologiques.
Le Théâtre antique romain (15 av. J.-C.) fut complété par l'Odéon (2è siècle apr. J.-C.), adossés à la colline de Fourvière à Lugdunum ou Lugudunum, aujourd'hui Lyon en France.
Mon album : Site archéologique de Fourvière, Lyon (France)
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Chaise et fenêtre de la bibliothèque.
Belœil devint possession de la famille de Ligne dès 1394.
Au début du XVe siècle, le château fut choisi comme première résidence de la famille. Le vieux château était un bâtiment fortifié rectangulaire protégé par des douves ainsi que quatre tours rondes situées à chaque coin. Cette structure de base est toujours présente, bien que les façades et l’intérieur aient été profondément modifiés lors des siècles suivants.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, le château fortifié fut transformé en une luxueuse maison de campagne selon le style français. À partir de 1664, en avant du parc furent créées des allées rectilignes et des étangs géométriques imposant différentes perspectives. Les bosquets typiques – petites placettes entourées de hautes haies – furent préservés malgré la mode changeante du XVIIIe et XIXe siècles lorsque le jardin anglais était préféré. Un petit jardin avec une ruine fut installé dans le proche voisinage du château par Charles Joseph, Prince de Ligne.
Les intérieurs étaient décorés de fins ameublements et de collections d’art de la famille. Lors de la fête du nouvel an de 1900, un incendie frappa le château qui brûla entièrement. La plupart du mobilier incluant une bibliothèque de 20 000 volumes et la collection d’art furent sauvés. Le château fut reconstruit dans les années qui suivirent par l’architecte Ernest Sanson, alors que l’intérieur était redécoré avec une partie des pièces de la collection de Ligne.
(Source : Wikipédia)
Belœil | Province du Hainaut | Région wallonne | Belgique
Une partie de la décoration intérieure de la Sultanahmet Camii ou Mosquée bleue, Atmeydanı Cd. 7, Istanbul, Turquie.
Cette mosquée est notamment connue pour son intérieur très lumineux et les faïences d'Isnik de son époque aux couleurs dominantes bleues qui ornent ses murs et plafonds et lui ont valu son nom en Europe.
Elle fut construite entre 1609 et 1616, sous le règne du sultan Ahmet Ier. Comme beaucoup d'autres mosquées, elle comporte également la tombe du fondateur, une médersa et un hospice. La mosquée Sultanahmet est devenue l'une des attractions touristiques les plus populaires d'Istanbul. Elle fut un point de départ du pèlerinage à La Mecque et a le privilège de comporter six minarets. La Mosquée sacrée de La Mecque en comptait autant à l'époque, mais en a depuis reçu un septième.
Point stratégique sur la péninsule du Bosphore entre les Balkans et l'Anatolie, la mer Noire et la Méditerranée, la ville d'Istanbul a été associée à de grands événements politiques, religieux et artistiques pendant plus de 2000 ans. La valeur universelle exceptionnelle d'Istanbul réside dans son intégration unique de chefs d'œuvres architecturaux qui reflètent la rencontre de l'Europe et de l'Asie au cours de plusieurs siècles et dans son incomparable ligne d'horizon composée par le génie créatif des architectes byzantins et ottomans.
Cela justifie amplement son classement au patrimoine mondial de l’UNESCO (WHL- 356bis) depuis 1985. Ses chefs-d'œuvre comprennent entre autres, l'ancien hippodrome de Constantin, la basilique Sainte-Sophie du 6e siècle, le Palais de Topkapi du 15e siècle, la mosquée Süleymaniye du 16e siècle et la Mosquée Bleue du 17e siècle.
L'église St Lambert (Lambertikirche) fut commencée en 1375 sur les mêmes plans que ceux de la cathédrale de Fribourg, elle était l'église des bourgeois et des marchands contrairement à la cathédrale qui symbolisait le pouvoir de l'évêque. Sa flèche, culminant à 99 mètres, a été ajoutée au XIXe siècle. Les cages ayant servi à exposer les cadavres des chefs anabaptistes après la révolte et le siège de la ville en 1536 y sont encore suspendues.
La fontaine Pretoria de Palerme a une histoire pour le moins étrange puisqu’elle fut construite à l’origine pour être l’élément central d’un jardin florentin. Au milieu du XVIe siècle, , le beau-frère du duc de Florence Cosimo Ier de’ Medici, acquit un terrain , en fit un jardin privé, avec seulement, une fontaine monumentale en son centre et une immense pergola de 90 colonnes en bois Vingt ans plus tard, en 1573, poussé par les dettes et sur le point de se marier à Naples, Don Luigi mit en vente la fontaine.Il arriva à convaincre arriva à convaincre le Sénat de Palerme d’acheter la fontaine et de la placer devant le palazzo Pretorio.
Démontée en 644 morceaux mais incomplète, car certaines sculptures avaient été endommagées ,l La reconstruction, confiée au sculpteur Camillo Cammilliani, se termina en 1581.
Tout au long du XVIIIe et du XIXe siècle, la fontaine fut considérée par le peuple comme une sorte de représentation du conseil municipal corrompu. Par ailleurs, les Palermitains surnommèrent la place « Piazza della Vergogna » (place de la honte) en raison de la nudité des statues.
La grille qui entoure la fontaine fut ajoutée en 1858.
Au début des années 2000, la fontaine fut complètement restaurée et la circulation d’eau réactivée.
Église romane et gothique Saint-Martin, des XIe et XIIe siècles. Après vingt ans de restauration, elle a été rouverte en 1999. Elle propose aux visiteurs les statues de Saint Martin (XVe) et de Saint Vincent de Saragosse (XVIe), la relique de la manche de saint Martin, un vitrail du XIIIe siècle, ainsi qu’un retable datant du XVIIe siècle.
L’édifice fut classé monument historique en 1921.
Cette oie hybridée fut localisée dans la descente face au Centre de Service du Réservoir Beaudet. Elle faisait partie d'un groupe qui pour la première fois de l'année s'aventurait près du rivage.
La basilique fut construite sur les fondations d'une église romane détruite sous les ordres de l'évêque Iwo Odrowąż lors des invasions tatares et construite vers 1220 typiquement orientée vers l'est à l'époque ; orientation conservée par la basilique Notre-Dame.
Cette position est désaxée par rapport à la forme octogonale de la place sur laquelle elle se trouve.
La partie principale de l'église a été construite à partir du milieu du XIVe siècle jusqu'en 1397, date à laquelle la voûte du vaisseau central fut terminée.
Lavoir de la Charrière
Il existe quatre lavoirs à Saint Germain Nuelles : un dans chacun des deux bourgs, un à Glay et un à la Charrière. On sait très peu de choses sur les lavoirs. Celui de Nuelles a été restauré en 2012. Celui du bourg de Saint Germain, initialement sur la route de la Vavre, a été déplacé en 1926. Celui de la Charrière a été restauré en 1908 et celui de Glay fut agrandi en 1852.
Ce fut la matinée la moins froide de la semaine -1° seulement mais cet ap-midi, au soleil, il fait 12°. Dommage qu'il y ait un petit peu de vent. Du coup, il y a du monde à la plage.
Un père et son fils à Portiragnes-Plage pour une partie de pêche.
montage 2 photos
Switzerland : La Chaux -de-Fonds : Villa Turque (Le Corbusier). No. 88.
"La Villa Turque a été construite en 1916-1917 par Le Corbusier. Manifeste de jeunesse, elle appartient au patrimoine de l’architecture mondiale. Depuis 1987, elle est devenue le Centre de Relations Publiques de l’entreprise horlogère Ebel."
"C'est en 1916, au retour de son voyage en Orient, que Le Corbusier se lance dans la construction de la villa commandée par Anatole Schwob, riche industriel de La Chaux-de-Fonds.
Alors âgé de 29 ans, l'architecte associe brique et béton pour édifier une construction révolutionnaire. Pas de murs porteurs mais 16 piliers soutenant 4 dalles quadrangulaires pour une construction qui parvient à marier des lignes très épurées à la généreuse rondeur des deux ailes semi-circulaires situées de chaque côté.
A l'intérieur, c'est la magie de la lumière: celle qui entre par la grande verrière située au sud pour jouer avec la clarté des ouvertures plus discrètes à l'est et à l'ouest. De l'immense pièce centrale, on accède aux étages qui recèlent des chambres et leurs dépendances dont un solarium et un jardin terrasse.
Seule oeuvre de jeunesse revendiquée par l'architecte, cette réalisation lui permit de s'affranchir de l'influence «Art nouveau» de l'époque. Elle fut également à l'origine de nombreux déboires avec le propriétaire et certainement cause de son installation à Paris. Reprise aujourd'hui par l'horloger Ebel, qui en a fait son centre de relations publiques, la Villa Turque est ouverte au public tous les 1er et 3e samedis du mois."
Rue du Doubs 167, 2300 La Chaux-de-Fonds.
Au fond, les Aiguilles de Chabrières, à droite, et le Piolit, à gauche.
Toute cette zone, et le viaduc lui-même sur la moitié de sa longueur, disparaissent sous l'eau au printemps.
AD
"Le Viaduc de Chanteloube est un viaduc à destination ferroviaire bâti sur la commune de Chorges, aujourd'hui noyé dans les eaux de la retenue de Serre-Ponçon.
(...)
Le viaduc de Chanteloube constituait l'amorce de la ligne de chemin de fer de l'Ubaye, qui devait relier Chorges (Hautes-Alpes) à Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence). La construction de la ligne avait commencé en 1909 mais fut interrompue en 1935. Le viaduc n'a jamais été mis en service.
Lors de la construction du barrage de Serre-Ponçon, le niveau nominal du plan d'eau (780 mètres) était exactement l'altitude de l'avant-pont est du viaduc. Celui-ci fut donc totalement submergé en 1961, mais il réapparaît, au moins partiellement, au-dessus des eaux, chaque fois que le niveau de celles-ci s'abaisse. Ce fut le cas notamment en 2003 lors d'une grande opération de vidange du lac (marnage de -35 mètres), et dernièrement à l'hiver 2008-2009 (-22 mètres)."
Wikipedia
Le Pont Alexandre III
Inauguré pour l'Exposition universelle de Paris en 1902, la première pierre fut posée par le tsar Nicolas II de Russie en 1896, et était destiné à symboliser l'amitié franco-russe, instaurée par la signature de l'alliance conclue en 1891 entre son père, le tsar Alexandre III (1845-1894) et le président de la République française Sadi Carnot. La construction de cet ouvrage d'art fut confiée aux ingénieurs Jean Résal et Amédée Alby, ainsi qu'aux architectes Cassien-Bernard et Gaston Cousin. Sur la colonne, rive droite en aval, fut gravée cette inscription : « Le 14 avril 1900, Émile Loubet président de la République Française a ouvert l'exposition universelle et inauguré le pont Alexandre III ».
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The bridge, with its exuberant Art Nouveau lamps, cherubs, nymphs and winged horses at either end, was built between 1896 and 1900. It is named after Tsar Alexander III, who had concluded the Franco-Russian Alliance in 1892. His son Nicholas II laid the foundation stone in October 1896. The style of the bridge reflects that of the Grand Palais, to which it leads on the right bank.
The construction of the bridge is a marvel of 19th century engineering, consisting of a six-metre high single span steel arch. The design, by the architects Joseph Cassien-Bernard and Gaston Cousin, was subject to strict controls that prevented the bridge from obscuring the view of the Champs-Élysées or the Invalides. The bridge was built by the engineers Jean Résal and Amédée d'Alby and inaugurated in 1900 for the Universal Exhibition (as were the nearby Grand Palais and Petit Palais). The Pont Alexandre III is classified as a historical monument.
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The Second Avenue Subway (officially the IND Second Avenue Line; abbreviated to SAS) is a New York City Subway line that runs under Second Avenue on the East Side of Manhattan. The first phase of this new line opened on January 1, 2017, serving a projected 200,000 daily riders at three new stations between 96th Street and the 63rd Street Lines before connecting to the BMT Broadway Line and the rest of the subway system. .
Je vous montre la derniere nouveaute a New York (a part Trump) ... le metro qui passe sous la deuxieme avenue ...
La construction a commence en 1972 ... fut arrete pour des annees a cause de la crise financiere de la ville ... finalement inaugurée ce mois.
C'est un des principaux monuments de Khiva
La mention des gens inhabituellement forts et courageux - héros est typique à la poésie épique des peuples de pratiquement de tous les pays du monde. En Asie Centrale on appelait les héros épiques - pakhlavan. L'un d`eux - Pakhlavan Makhmoud.- pelletier de son état était aussi un grand lutteur, un poète de talent et un philiosophe. De son vivant, sa notoriété dépassera les frontières du Khorezm, jusqu'en Iran.
D`après la légende Pakhlavan Makhmoud, décédé en 1322 ou 1325, était inhumé dans la cour de son atelier. Les gens de Khiva commencèrent à le considérer comme le protecteur de la ville et en 1701 construisirent le mausolée sur sa tombe. Par la suite cet endroit devenu lieu d`adoration, fut entouré d`un complexe des constructions, le mausolée et la pierre tombale de Pakhlavan Makhmoud furent somptueusement décorés de la traditionnelle majolique blanche-bleue pareille aux sépulcres des khans. Dans la première moitié du XIXe siècle le mausolée sera agrandi Le mausolée de Pakhlavan Makhmoud devint aussi le sépulcre des khans de Khiva et de leur famille.
Une mosquée, une médersa et des cellules d'habitation seront ajoutés aus XIXe siècle accueilleront des pèlerins Les dépendance servait aussi d'abri aux aveugles, qui, vu les forts vents de sable au Khorezm, étaient nombreux.
La physionomie de l’église Sainte-Cécile d’Acquigny, telle qu’elle se présente aujourd’hui, est marquée par le XVIIIe siècle.
Elle a été construite vers 1545 pour le chœur, et entre 1552 et 1572 pour la nef, époque qui fut aussi celle de l’édification du château d’Acquigny. Si donc, aujourd’hui, nous pouvons être trompés par l’unité stylistique de cet édifice et de son décor, c’est que ses caractéristiques actuelles sont dues à la volonté continue d’un seul homme : Pierre Robert Le Roux d’Esneval, qui appartenait à une illustre famille de robins rouennais. Pierre-Robert Le Roux d’Esneval était président à mortier au parlement de Normandie, il est plus connu sous le nom de « Président d’Acquigny ». Cette église est classée1 au titre des monuments historiques en 1975 et 2001.
La façade a été refaite grâce au « Président » avec l’aide de l'architecte rouennais Charles Thibault. Il fit reconstruire la tour du clocher vers 1750 et la façade vers 1780, l’une en brique et l’autre en pierre. On peut y reconnaître les figures, en bas-relief, de saint Mauxe et de saint Vénérand sculptées par Fouquet.
Le chœur a été restauré en 1976, à la suite du classement de l’église en 1975.
Le chœur avec la chapelle absidiale du Saint-Esprit.
La décoration intérieure, choisie par le « Président d’Acquigny », est marquée par les boiseries, la dorure et les tableaux. La première pierre des constructions fut bénie le 27 septembre 1755 et les travaux terminés le 27 mai 1756.
Le maître-autel fut construit en 1748 en l’honneur de la naissance du fils du « Président d’Acquigny », Esprit-Robert-Marie Le Roux d’Esneval.
La chapelle du Saint-Esprit édifiée derrière le maître-autel est le joyau de cette église. Ce véritable petit salon fut dédié au Saint-Esprit le 12 décembre 1769.
La superficie de la sacristie est très importante, en particulier pour une église de village. Au-dessus de cette sacristie se trouvent les appartements du Président restés dans l’état où il les a laissés. Notamment, son oratoire surplombé d’un crâne présenté dans une vitrine devant lequel il pouvait méditer. Ce crâne est celui de Dom Rigobert Levesque 2 mort le 14 novembre 1679.
Depuis la restauration intervenue en 1976, l'église Sainte-Cécile a subi des détériorations importantes dues à l’humidité et à l’usure du temps. Un projet de rénovation porté par une association locale («Les amis de l’église Ste-Cécile d’Acquigny», parution au JO le 11 novembre 2006), a donné lieu à une nouvelle phase de restauration en 2016, portant sur la toiture et les éléments extérieurs de l'église. Une nouvelle phase de restauration, se concentrant cette fois-ci sur l'intérieur de l'église, est en cours de préparation.
Berlin, 12.2021
"Maintenant, bien que la nuit ne fût pas encore tout à fait tombée, les façades de la place commençaient à s'illuminer. Les treillages qui l'avaient entourée de tous les symboles de la foire et du cirque découpés et assemblés dans le bois avaient été escamotés soudain par le flamboiement de mille lampes multicolores."
>>> Walter Benjamin.......in: Rastelli raconte... (1932)
"Now, although it was not yet quite dark, the façades of the square were beginning to light up. The trellises that had surrounded it with all the symbols of the fair and the circus cut and assembled in the wood had been suddenly retracted by the blaze of a thousand multicoloured lamps."
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Il fut un temps où les hommes m’aimaient. Ils me désiraient, me regardaient pendant des heures, s’enthousiasmaient du moindre de mes mouvements, Je leur ai tout donné, tout ce que j’avais. Ils m’ont tout pris sans honte ni remords, me vidant peu à peu de ma substance pour ne laisser de moi que quelques traces humides sur des rives asséchées.
Pour eux, je me suis faite petite et délicate courant au coeur des montagnes, fertile et nourricière aux creux des vallons, changeante selon les saisons, mouvante selon les pays. Pour moi, ils ont inventé des dieux pour expliquer mes colères et en ont créé d’autres pour m’apaiser. Ils me priaient pour que je vienne, ils me suppliaient pour que je parte, mais ils savaient mes colères rapides et que de ma fureur renaîtrait la Terre.
Certains ont voulu me dompter, me soumettre à leurs désirs. Ceux-là me faisaient rire et je les ai laissés se perdre et disparaître dans mes bras. Certains étaient plus tendres et savaient me murmurer des poèmes dans le creux de mon onde claire. Ceux-là me faisaient soupirer et ont obtenu de moi toutes mes faveurs et toutes mes richesses.
Parce qu’ils me croyaient immortelle, ils ont puisé tout ce que j’ai pu leur donner. Ils ont vidé mes océans. Ils ont détournés mes rivières. Ils ont souillé mes rivages et massacré tous les êtres étonnants qui peuplaient mon royaume. Peu à peu, les Hommes ne m’ont plus vue comme la vie, l’origine de toute chose, mais comme une bouteille en plastique que l’on vide et remplit au gré des besoins.
Aujourd’hui, je me recroqueville doucement, me retirant peu à peu de la surface de la Terre. Je n’ai plus la force de combattre les déserts, le Soleil ou les vents qui brûlent les Hommes. Je ne sais plus les apaiser par une pluie fine ou le murmure plaisant d’une de mes sources. Ils ne me voient plus. Ils m’oublient. Jusqu’à ce qu’un jour, ils doivent se battre pour m’avoir. Mais, ils ne le font plus par amour. Ils le font pour l’orgueil de me posséder et me vendre. Alors, je me meurs. Je meurs doucement de ne plus être aimée.
Il y a quelque part, j’en suis certaine, un doux rêveur prêt à m’aimer. Un seul me suffira pour tout leur pardonner
Extrait :Texte de DaisyLewis - Source : www.oniris.be/
There was a time when men like me. They wanted me, watching me for hours, raved of my every move, I gave them everything, everything I had. They took everything without shame or remorse, I gradually emptying of my stuff to leave me a few traces on the banks drained wetlands.
For them, I made small and delicate power in the mountains, fertile and nourishing the hollows of the valleys, changing with the seasons, moving from country to country. To me, they invented gods to explain my anger and created others to soothe me. They begged me for me to come, they begged me for me to leave, but they knew my anger and quick as my fury reborn Earth.
Some people wanted me to tame, to submit to their desires. Those made me laugh and I let them get lost and disappear in my arms. Some were more tender and knew me whisper poems in the palm of my clear wave. Those made me sigh and got me all my favors and all my wealth.
Because they thought I was immortal, they drew everything I could give them. They emptied my oceans. They have hijacked my rivers. They have defiled my shores and slaughtered all the amazing creatures that lived in my kingdom. Gradually, the men did more to me like life, the origin of all things, but as a plastic bottle that is emptied and filled as needed.
Today, I curl gently, gradually removing me from the face of the Earth. I no longer have the strength to fight the deserts, the sun or the winds that burn men. I no longer appease them with a drizzle or a pleasant murmur of my sources. They see me more. They have forgotten me. Until one day, they must fight for me. But they do out of love. They do it for the pride of my own and sell me. So I am dying. I'm dying slowly not to be loved.
Somewhere out there, I am sure, a dreamer ready to love me. One will suffice for me to forgive them all
Text DaisyLewis - Source: www.oniris.be/
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La chapelle fut bâtie vers 1831. Le nombre d'ex-voto que l'on peut y voir témoigne des grâces obtenues. Chacun sait que Saint Antoine intercède pour retrouver des objets perdues. Cette chapelle la plus fréquentée du village, non seulement par les gens de la localité surtout par de nombreux étrangers. Les offrandes glissées dans le tronc suffisaient un bon entretien de la chapelle. Les propriétaires offraient même la restauration aux pèlerins venant de loin: pain, fromages de la ferme. Des quatre tilleuls qui entouraient l'édifice, il n'en reste qu'un. La chapelle fut classée le 10 décembre 1987 en raison de sa valeur esthétique; le classement comprend la totalité de la chapelle ainsi que le site complet formé par le bâtiment et la parcelle qui l'entoure, tilleul compris
C’est en 1962 que Warhol fut fasciné par le procédé de reproduction photographique de la sérigraphie. Cette technique allait devenir le style par excellence de Warhol : simple, rapide, on pouvait également apporter d’infimes mais infinies modifications à la même photo matrice. Difficile à croire, mais c’est une pure coïncidence si Warhol choisit de représenter Marilyn Monroe dans un des premiers portraits, et aujourd’hui une de ses œuvres les plus connues. Elle mit fin à ses jours le même mois, et son visage magnifique, ainsi que sa célébrité, semblait être un terreau fertile pour les œuvres répétitives de Warhol, et ressemblant à des images de bandes dessinées. Et il eut bien raison !
La photo sélectionnée de Warhol était une publicité tiré du film « Nigeria », dans lequel Marilyn avait précédemment joué en 1953. Il a créé de nombreuses œuvres pop art de Monroe en utilisant cette image, y compris « diptyque Marilyn » aujourd’hui considérée comme l'une des pièces les plus influentes en art moderne. Au lieu de dessiner ou de peindre son visage, Warhol a choisi une photo qu’il savait que tout le monde connaissait. Mais pourquoi Monroe ? Marilyn incarne la célébrité et la notion même de « sex-symbol ». Mettre en avant des personnes célèbres est devenu l'une des caractéristiques du mouvement pop art au cours des années 60 : il s’agit en fait d’un commentaire acerbe sur l'obsession des médias de masse avec le culte de la célébrité.
On pense également que par ce style de travail, Warhol se réfère à une société dans laquelle les gens peuvent être considérés comme un produit plutôt que comme une personne. De plus, la technique de sérigraphie utilisée par Warhol pour les portraits de Monroe aplatit encore plus la photo déjà en deux dimensions. Avec moins de nuances et en utilisant des couleurs vives, Warhol met en avant la planéité émotionnelle et montre subtilement le côté superficiel de cette femme. Un sex-symbol créé par la société ; une femme qui est tout ce que la société veut qu'elle soit. En se concentrant sur ses caractéristiques emblématiques, Warhol nous rappelle qu'il y existait une vraie femme derrière son image.
It was in 1962 that Warhol was fascinated by the process of photographic reproduction of screen printing. This technique would become Warhol’s style par excellence: simple, fast, you could also make tiny but infinite modifications to the same photo matrix. Hard to believe, but it is pure coincidence that Warhol chose to portray Marilyn Monroe in one of the first portraits, and today one of his best known works. She ended her own life that same month, and her magnificent face, as well as her celebrity, seemed to be fertile ground for Warhol's repetitive works, and resembling comic book images. And he was quite right!
The featured photo of Warhol was an advertisement from the movie "Nigeria", in which Marilyn had previously starred in 1953. He created many of Monroe's pop art works using this image, including "Marilyn diptych" now considered one of the most influential pieces in modern art. Instead of sketching or painting his face, Warhol chose a photo he knew everyone knew. But why Monroe? Marilyn embodies celebrity and the very notion of "sex symbol". Highlighting famous people became a hallmark of the pop art movement during the 1960s: it was in fact a scathing commentary on the mass media's obsession with the cult of celebrity.
It is also believed that by this style of working Warhol is referring to a society in which people can be seen as a product rather than a person. In addition, the screen printing technique used by Warhol for the portraits of Monroe flattens the already two-dimensional photo even more. With fewer undertones and using bright colors, Warhol brings out the emotional flatness and subtly shows the superficial side of this woman. A sex symbol created by society; a woman who is everything society wants her to be. Focusing on her iconic characteristics, Warhol reminds us that there was a real woman behind her image.