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L'enfilade des ponts d'Angers, vue depuis les remparts du châteaux, offre un superbe spectacle. Je suis arrivé là un peu part hasard, porté par mes pas et attiré par la journée portes ouvertes du monument. Ce fut l’occasion de redécouvrir ce chef d’œuvre et ses incroyables tapisseries de l'apocalypse mais aussi de tester mon nouveau K3-3 monochrome.
Lens: Pentax M-135 f/3.5 @f/7.1
Édifié à partir du 11ᵉ siècle, le château fut le siège d’une importante baronnie Vellave jusqu’à la Révolution.
Il fut successivement détenu par de très importantes familles seigneuriales : Mercoeur, Polignac, Turenne et la Tour d’Auvergne Bouillon.
Sa particularité réside dans son organisation défensive. Au centre, le donjon ou la citadelle, du 13ᵉ-15ᵉ siècle, actuellement en ruines, est séparé des bâtiments d’habitation, édifiés au 15ᵉ siècle et agrandis et modernisés au 16ᵉ-17ᵉ, par un fossé creusé dans le roc.
Son état de délabrement a nécessité le lancement d’une campagne de consolidation et de restauration, conduite entre 1880 et 1900, dans le respect des formes et des matériaux d’origine.
En Savoie, randonnée sympathique qui amène à ce magnifique lac entouré de nature et de sérénité, ma seule rencontre de la journée fut un jeune bouquetin qui passait par là et qui semblait intrigué par ma présence
Welcome to the rougier of North Aveyron, Villecomtal, the “Villa Comtalis”:
Fondé vers 1295 par Henri II, comte de Rodez, il fut bâti le long d’une voie desservant la vallée du Dourdou suivant un plan en damier dressé par un architecte de la cathédrale ruthénoise. En 1329, un arrêt de la Cour en Parlement de Paris, donne en toute propriété à Béatrix, fille aînée de Raymond II et épouse de Bertrand de La Tour d’Auvergne, la ville de Villecomtal et son mandement en compensation d’une rente annuelle comprise dans sa part d’héritage. La seigneurie, vendue aux de Rolland, noblesse très ancienne, resta dans cette famille jusqu’au XVIème siècle. Après divers possesseurs, elle fut apportée en dot à la maison de Nattes par Marie de Rességuier.
Il ne reste du bâtiment primitif que le donjon, le corps de logis; mais ces deux derniers modifiés pour les besoins des religieuses ne présentent plus aucun caractère de ce qu’ils pouvaient être à l’origine. Vers 1437, aux frais de la population, le village fut ceinturé d’une muraille longue d’environ 400 mètres, haute, par endroits, de 8 mètres. Le château fut construit à la même époque par Pierre de Rolland, Sénéchal de Castres.
La congrégation des sœurs de l’Union fit l’acquisition du château en 1850 pour le transformer en couvent et en pensionnat pour jeunes filles.
Depuis quelques années, la bâtisse devenue propriété de la commune a été revendue à un particulier. Deux portes fortifiées s’ouvraient sur la rue Droite, artère principale du bourg : “lo portal haut” et « lo portal bas » qui seul subsiste bien que très profondément modifié par l’adjonction d’un campanile achevé en 1785. Situé sur un passage, Villecomtal offrait de nombreuses auberges et écuries aux voyageurs et marchands.
L’église saint Barthélémy fut construite entre 1700 et 1715 afin de doter le village d’un lieu de culte intra-muros. A la fin des travaux, l’édifice avait la forme d’une croix latine et le clocher en peigne à cinq cloches, se trouvait sur l’un des côtés. Au XIXème, elle connaît de grands changements : la boiserie du chœur, la chaire et la table de communion sont refaites et les deux chapelles latérales sont agrandies vers la façade (d’où sa forme actuelle rectangulaire).
En 1900, le clocher est reconstruit au chevet de l’église.
Un épisode important de la vie religieuse qui débutera en 1801, à la signature du Concordat et qui perdurera jusqu’en 1931. En effet, Villecomtal fut «La Petite Rome» de «La Petite Eglise». Ses adeptes étaient alors appelés «Les Enfarinés».
Pour bien comprendre ce que fut le schisme anticoncordataire, il faut remonter à La Constitution Civile du Clergé promulguée le 12 juillet 1790 qui, entre autres dispositions, déclarait l’Eglise de France hors de l’autorité du Pape.En raison de l’imbrication des convictions religieuses et politiques de l’époque, mais aussi de la condamnation prononcée par Rome, la situation ne fut nette qu’après l’abolition de la royauté le 10 août 1792.Quatre vingt un évêques, réfugiés à l’étranger, organisèrent des réseaux clandestins autour d’hommes de confiance et par ce moyen administrèrent leur diocèse contre les prélats « jureurs » nommés par le gouvernement révolutionnaire.
En Aveyron, sous l’impulsion de Monseigneur Colbert de Seignelay, évêque de Rodez, la résistance à La Constitution Civile du Clergé fut active. La « Société Ecclésiastique » composée de prêtres réfractaires, dont à Villecomtal les abbés Delhom et Régis, fut une de ces cellules dirigées de Londres où l’évêque s’était réfugié.
En 1800, la nécessité de normaliser les relations diplomatiques avec le Vatican et de remettre de l’ordre dans l’Eglise de France se fit de plus en plus pressante et une négociation fut engagée entre Bonaparte, Premier Consul, et le cardinal Spina, envoyé spécial de Pie VII, pour aboutir en 1801 au Concordat promulgué à Paris en 1802. Trente cinq évêques anticonstitutionnels, dont celui de Rodez, tous résidant hors de France, en refusèrent les dispositions et entrèrent en dissidence contre Pie VII qui leur demandait de démissionner. Ils se servirent de leurs réseaux pour lutter contre le Concordat et l’administration de leur diocèse par les nouveaux promus. En Rouergue, de nombreux ecclésiastiques suivirent les consignes données par l’ex-évêque Colbert de Seignelay démis par le Vatican. A Villecomtal, les abbés Delhom et Régis se distinguèrent par leur zèle anticoncordataire au point qu’ils furent considérés comme les pontifes de « La Petite Eglise », autre nom donné à la dissidence du Rouergue.
Le rétablissement de la royauté en 1814/1815 et l’abolition du Concordat en 1905 ne changèrent pas l’attitude de « la Petite Eglise » qui sous le nom « La Petite Eglise Vieille Catholique » comptent de nos jours quelques milliers de fidèles en France et surtout à l’étranger : Europe, Afrique, Amérique. Plus de 24 paroisses aveyronnaises et 3 dans le Cantal adhérèrent à ce mouvement.
Leurs fidèles vinrent en grand nombre, jusqu’à un millier d’après les rapports de la police, assister aux messes célébrées à Villecomtal par l’abbé Delhom au lieu-dit « Le Taulan » et l’abbé Régis à « Los Topis ».
On les nommait « Les Enfarinés » car à l’instar des us de l’Ancien Régime, dont ils se réclamaient, sans pour autant qu’on puisse les considérer comme des royalistes avérés, les hommes dénouaient leurs cheveux qu’ils portaient longs et les poudraient avec de la farine (faute de poudre de riz) pour assister aux offices religieux. Les femmes vêtues de noir, portaient un bonnet à mentonnière, un scapulaire autour du cou et un grand chapelet de buis autour de la taille. Après le décès des derniers prêtres schismatiques, elles firent perdurer La Petite Eglise en organisant de pieuses réunions qui servaient de messe.
Le dernier fidèle en Rouergue est mort en 1931, dans un village voisin de Villecomtal en prononçant les dernières paroles « Soy Enfarinat »
Association “Terre des enfarinés”
Liens externes:
Les enfarinés sur Wikipédia
Le « Masque Rouge »
Dans les année 1946/1947, des paysans et notamment des marchands de bestiaux, de retour des foires locales, se faisaient agresser par un homme portant une cagoule ou un foulard rouge qui dissimulait son visage, le dos voûté, avec un accent étranger avéré ou simulé, qui les menaçait avec une mitraillette pour les dépouiller de l’argent gagné lors de la vente de leurs bêtes .L’homme dit « le masque rouge » connaissait parfaitement la région et arrivait à semer les gendarmes qui le poursuivaient. En effet, le masque rouge ne rentrait pas chez lui après avoir commis son larcin mais revenait à la foire où ses pas se mêlaient aux milliers d’autres.
Le masque rouge n’a jamais été arrêté ni identifié. Beaucoup d’hypothèses et de versions populaires ont couru à ce sujet mais en vain. Il faut quand même souligner, à sa décharge, qu’il n’a jamais utilisé sa mitraillette qui lui servait seulement à impressionner ses victimes.
Source Villecomtal.fr
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Founded around 1295 by Henri II, Count of Rodez, it was built along a road serving the Dourdou valley following a checkerboard plan drawn up by an architect of the Ruthenian cathedral. In 1329, a judgment of the Court in the Parliament of Paris, gives in full ownership to Béatrix, eldest daughter of Raymond II and wife of Bertrand de La Tour d'Auvergne, the town of Villecomtal and his mandate in compensation for an annual annuity included in its share of inheritance. The seigneury, sold to the de Rolland, a very old nobility, remained in this family until the 16th century. After various owners, it was brought as a dowry to the house of Nattes by Marie de Rességuier.
All that remains of the original building is the keep, the main building; but these last two modified for the needs of the nuns no longer present any character of what they might have been originally. Around 1437, at the expense of the population, the village was surrounded by a wall about 400 meters long and, in places, 8 meters high. The castle was built at the same time by Pierre de Rolland, Sénéchal de Castres.
The congregation of the Sisters of the Union acquired the castle in 1850 to transform it into a convent and boarding school for young girls.
In recent years, the building that has become the property of the municipality has been sold to an individual. Two fortified gates opened onto rue Droite, the town's main artery: “lo portal haut” and “lo portal bas” which alone remains although very profoundly modified by the addition of a campanile completed in 1785. Located on a hill Passage, Villecomtal offered many inns and stables to travelers and merchants.
Saint Bartholomew's Church was built between 1700 and 1715 to provide the village with an intramural place of worship. At the end of the work, the building had the shape of a Latin cross and the comb bell tower with five bells was on one side. In the 19th century, it underwent great changes: the woodwork of the choir, the pulpit and the communion table were redone and the two side chapels were enlarged towards the facade (hence its current rectangular shape).
In 1900, the bell tower was rebuilt at the apse of the church.
An important episode in religious life which began in 1801, when the Concordat was signed, and which lasted until 1931. Indeed, Villecomtal was "La Petite Rome" of "La Petite Eglise". Its followers were then called "Les Enfarinés".
To fully understand what the anticoncordat schism was, we must go back to La Constitution Civile du Clergé promulgated on July 12, 1790 which, among other provisions, declared the Church of France outside the authority of the Pope. religious and political convictions of the time, but also the condemnation pronounced by Rome, the situation was not clear until after the abolition of the kingship on August 10, 1792.Four twenty-one bishops, refugees abroad, organized clandestine networks around men of confidence and by this means administered their diocese against the prelates "jurors" appointed by the revolutionary government.
In Aveyron, under the leadership of Monsignor Colbert de Seignelay, Bishop of Rodez, resistance to La Constitution Civile du Clergé was active. The "Ecclesiastical Society" made up of refractory priests, including in Villecomtal the abbots Delhom and Régis, was one of those cells led from London where the bishop had taken refuge.
In 1800, the need to normalize diplomatic relations with the Vatican and to restore order in the Church of France became more and more urgent and a negotiation was initiated between Bonaparte, First Consul, and Cardinal Spina, envoy. special of Pius VII, to end in 1801 in the Concordat promulgated in Paris in 1802. Thirty-five unconstitutional bishops, including that of Rodez, all residing outside France, refused its provisions and entered into dissent against Pius VII who asked them to resign. They used their networks to fight against the Concordat and the administration of their diocese by the newly promoted. In Rouergue, many ecclesiastics followed the instructions given by ex-bishop Colbert de Seignelay, dismissed by the Vatican. In Villecomtal, the abbots Delhom and Régis were distinguished by their anti-concordance zeal to the point that they were considered the pontiffs of "La Petite Eglise", another name given to the dissidence of Rouergue.
The reestablishment of the kingship in 1814/1815 and the abolition of the Concordat in 1905 did not change the attitude of “la Petite Eglise” which under the name “La Petite Eglise Vieille Catholique” now has a few thousand faithful in France. and especially abroad: Europe, Africa, America. More than 24 parishes in Aveyron and 3 in Cantal joined this movement.
Their faithful came in large numbers, up to a thousand according to police reports, to attend the masses celebrated in Villecomtal by Father Delhom at a place called "Le Taulan" and Father Régis at "Los Topis" .
They were called "Les Enfarinés" because, like the habits of the Ancien Régime, which they claimed to be, without being able to consider them as proven royalists, the men untied their hair which they wore long and Powder them with flour (lack of rice powder) to attend religious services. The women, dressed in black, wore a chin-cup, a scapular around the neck and a large boxwood rosary around the waist. After the death of the last schismatic priests, they continued La Petite Eglise by organizing pious meetings which served as mass.
The last faithful in Rouergue died in 1931, in a neighboring village of Villecomtal, pronouncing the last words "Soy Enfarinat"
Association “Terre des enfarinés”
External links:
Flouries on Wikipedia
The "Red Mask"
In the years 1946/1947, peasants and in particular cattle dealers, returning from local fairs, were attacked by a man wearing a balaclava or a red scarf who concealed his face, his back arched, with a recognized foreign accent or simulated, which threatened them with a submachine gun to strip them of the money earned from the sale of their animals. The man called "the red mask" knew the region perfectly and managed to sow the gendarmes who were pursuing him. Indeed, the red mask did not return home after having committed the theft but returned to the fair where his footsteps mingled with thousands of others.
The red mask has never been arrested or identified. Many hypotheses and popular versions have been circulated about this, but to no avail. It should be noted, in his defense, that he never used his submachine gun, which he used only to impress his victims.
Source Villecomtal.fr
En 1178, la chapelle rurale Saint-Etienne-de-Gaudia fut unie au prieuré régulier de Sainte-Eugénie. A la fin du XIIe siècle, ce prieuré fut acquis avec la chapelle par le monastère de Fontfroide qui y établit, dès le XIIIe siècle, une ferme fortifiée. La ferme restera possession de Fontfroide jusqu'au XVIIIe siècle. En 1791, tous les biens de l'abbaye sont mis sous séquestre, y compris la métairie de Gaussan, vendue la même année. L'actuel château correspond à un ensemble important de bâtiments, pour la plupart à vocation viticole et construits au XIXe siècle. Le terme "château" s'attache plus particulièrement à quatre corps de bâtiments qui ferment une cour intérieure rectangulaire, très largement remaniés au XIXe siècle mais dont le gros-oeuvre date majoritairement du 14e. Les façades Est et Sud sont couronnées par un système de défense établi au XIXe siècle, à créneaux sur mâchicoulis, semblant reprendre un dispositif existant au préalable, les corbeaux formés de trois quart-de-rond en encorbellement étant d'origine. La porte d'entrée est constituée d'un arc de tête en plein cintre au revers duquel a été ménagée une gaine permettant le mouvement de la herse, et un deuxième arc plein cintre plus bas que le premier. Cette façade est cantonnée par deux échauguettes d'angle en encorbellement, remaniées au XIXe siècle. Les façades sur cour, du XIVe siècle, ont été remaniées au XIXe siècle, notamment en ce qui concerne l'ordonnance des ouvertures. Le corps de bâtiment central se compose, en rez-de-chaussée, d'une vaste salle couverte en berceau brisé, de la fin du XIIIe - XIVe siècle. L'étage est occupé par une chapelle désaffectée, aménagée au XIXe siècle. Le corps d'habitation est placé dans le bâtiment sud. Au premier étage se trouve la chambre dite de "l'évêque", couverte d'une fausse voûte d'ogives à liernes et tiercerons. Au rez-de-chaussée, l'ensemble des pièces est plafonné à la française, à l'exception de la salle à manger et de la cage d'escalier voûtées. La tour nord-ouest, ou donjon, sur plan rectangulaire, est munie d'archères et couronnée par un rang de mâchicoulis sur corbeaux en encorbellement. Ces derniers sont d'origine tandis que les arcatures sont le résultat d'aménagements du XIXe siècle. Les mâchicoulis portaient autrefois des créneaux qui ont été démolis par mesure de sécurité
Le château fut rasé en 1306, son possesseur étant alors Bertrand II de Rochefort d’Aurouze. En 1309, le roi Philippe-le-Bel l’autorisait à le reconstruire. De cette reconstruction datent le cœur de logis et sa tourelle d’escalier qui nous sont parvenus.
Vers 1430 les défenses du Château furent considérablement augmentées par la construction de la grosse tour du Sud qui est l’œuvre de Louis 1er de Courcelles comme le montre le blason de la clef de voûte de la salle du rez-de-chaussée.
Enfin le château fut durant le XVe siècle, adapté à l’usage de l’artillerie à feu par l’ouverture de canonnières dont il reste deux témoins près de la grosse tour.
La forteresse d’Aurouze tirait sa force défensive du fait de sa situation, entourée qu’elle était, par de profonds escarpements. Elle appartenait à la ligne des châteaux forts qui gardaient la vallée de l’Alagnon avec ceux de Chalès, Merdogne, Cheylat, Bonnevie.
Une première campagne de blocage des ruines et de restauration a eu lieu en 2004. Reconstitution de la façade Sud-Est et déblaiement partiel de la salle basse. Mise en place d’une protection pour le sommet du donjon.
Ce château classé fut édifié à l’emplacement d’un ancien château médiéval, par la famille du Général Defailly, bataillant jadis auprès de Napoléon III.
Le château de Jonval mit du temps à être construit. Il sera achevé en 1905 à l’époque où Pierrefonds était une destination prisée pour ses thermes. En effet, au XIXème siècle, la ville s’appelait Pierrefonds-les-Bains et attirait des milliers de curistes venant majoritairement de Paris ainsi que des convives de marque tels que l’impératrice Eugénie.
Le château de Jonval à Pierrefonds affiche un style atypique, mêlant une architecture gothique et renaissance. Il comporte en outre de magnifiques jardins à l’italienne ainsi qu’une reproduction de la chapelle du domaine de Chantilly.
Il fut réquisitionné durant les deux guerres. Par l’état-major durant la grande guerre, et les militaires durant la seconde. Cette dernière n’épargna pas cette superbe bâtisse…
Entre les deux guerres, le château fut la propriété d’un industriel dans le domaine du dentifrice qui en fit un temps un lieu de vacance pour le corps médical. Il redevint un lieu de vacances, plus populaire, à la suite des travaux menés après-guerre par une association jusqu’à sa fermeture à la fin des années 90 début 2000 en raison de coûts de fonctionnement élevés.
La construction du canal de Brienne fut décidée par les États de Languedoc en 1760 : le canal du Midi passait au-delà des murs de la ville et rejoignait la Garonne en aval de la chaussée du Bazacle. La création du canal rendait ainsi le centre de la ville accessible par voie d'eau. Les travaux débutèrent en 1765 et conduisirent au creusement du canal et d'un port à l'embouchure des deux canaux aux Ponts-Jumeaux il fut inauguré le 14 avril 1776.
Une bastide imprenable
La bastide fût fondée en 1265 par Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis et fût longtemps préservée des exactions et attaques en raison de ses fortifications. En outre, située sur un plateau à plus de 155 mètres, elle dominait – et domine toujours – la vallée du Lot, offrant ainsi un point de vue imprenable sur d’éventuelles attaques ennemies.
Les forêts et carrières voisines fournirent les matériaux de construction des différentes fortifications. Deux carrières sont d’ailleurs encore visibles aujourd’hui au lieu-dit « Moulin de Safin ».
Côté plateau, au nord et à l’ouest, le village était protégé par des douves profondes – dont une partie subsiste aujourd’hui – et par des remparts.
Il existait trois portes équipées de pont-levis et défendues par une barbacane. La porte Est donnait sur la route de Monclar, en face du temple actuel, la porte Ouest sur la route de Clairac et la porte Nord sur les douves, à l’emplacement actuel du mur des fusillés.
An impregnable bastide
The bastide was founded in 1265 by Alphonse de Poitiers, brother of Saint Louis, and was long protected from exactions and attacks due to its fortifications. In addition, located on a plateau at an altitude of more than 155 metres, it dominated – and still dominates – the Lot valley, thus offering an unobstructed view of possible enemy attacks.
The neighbouring forests and quarries provided the building materials for the various fortifications. Two quarries are still visible today at the place called “Moulin de Safin”.
On the plateau side, to the north and west, the village was protected by deep moats – part of which still exist today – and by ramparts.
There were three gates equipped with drawbridges and defended by a barbican. The East gate opened onto the Monclar road, opposite the current temple, the West gate onto the Clairac road and the North gate onto the moats, at the current location of the shooting wall.
Un grand merci pour vos favoris, commentaires et encouragements toujours très appréciés.
Many thanks for your much appreciated favorites and comments.
Ce fut en ce jour de Juillet 2019 ma dernière photo potable de la belle BB 26227 Corail+. Elle assurait avec la BB 26218 cv et une courte rame de trémies, le train n°75823 reliant St Jean de Maurienne et Miramas.
Ce train habituellement tracé par Grenoble était détourné par Lyon en raison de travaux.
Elle passe ici les vignobles de Gervans avec en toile de fond l'église du même village.
Palmier des Jacobins.
L'église fut considérée comme la plus belle église dominicaine de l'Europe chrétienne. Elle mesure 80 mètres de long sur 20 mètres de largeur créant un volume intérieur impressionnant. Les piles sont hautes de 22 mètres et sont considérées comme les plus hautes colonnades élevées de l'architecture gothique. Le « palmier » est un chef-d'œuvre unique au monde s'élevant à 28 mètres de hauteur.
L'intérieur est peint de décor polychrome avec çà et là des croix de Toulouse. Des vitraux inspirés des roses occidentales du XIVe siècle ont été réalisés par Max Ingrand en 1955.
L'église a été consacrée plusieurs fois, notamment le 22 octobre 1385, et au retour des reliques de saint Thomas d'Aquin.
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Allier ~ Auvergne
Bourbonnais
Le château du XII ème siècle, possession des d’Arfeuilles fut démoli en 1880, à l’exception de la tour nord très remaniée. Sur son emplacement, le comte d’Arfeuilles fit construire la demeure actuelle dans le style néo gothique, sur les plans de Jean Moreau. Bâtie sur une éminence, la façade ouest domine la vallée de l’Allier. Le château présente un plan en L, à un étage et combles aménagés en surcroît. Il est flanqué à l’angle nord est de la tour circulaire du XII ème siècle, couronnée d’un chemin de ronde sur mâchicoulis et coiffée d’une poivrière terminée d’un lanternon. L’angle nord-ouest est occupé par une tourelle ronde contenant, au rez de chaussée, la première travée d’une chapelle qui se poursuit vers le nord par un chevet à pans.
L’entrée s’ouvrait primitivement au centre de la façade ouest mais elle fut reportée au XX ème siècle au pied d’un pavillon carré accolé à l’angle sud du château. La façade postérieure est animée par une aile en retour terminée par un mur pignon; elle forme un angle rentrant dans lequel est logé un porche surmonté d’une terrassé a garde corps ajouré. Dans l’autre angle, formé par la jonction de cette aile et du pavillon sud, s’élève une tourelle ronde plus haute que les autres bâtiments. Le toit d’ardoise est éclairé par d’importantes lucarnes à fenêtres
pendantes.
Ce château sera la résidence d’été du maréchal Pétain en 1944.
Cet édifice fut découvert en 1966. La municipalité avait décidé d'araser une butte de terre appelée "Motte de la Chapelle". On exhuma alors les ruines d'un bâtiment, d'environ 23 mètres de long sur 17 mètres de large, et d'une hauteur de 5 mètres.
La recherche archéologique nous révèle que la structure découverte correspondrait à une aula carolingienne construite dans les années 900.
Le bâtiment, alors en possession des vicomtes d'Angers, les Foulques, a été incendié vers 930-940, sans doute lors d'une guerre entre les comtes d'Anjou et les comtes de Blois.
Suite à cet incendie, une surélévation des murs transforme l'édifice en donjon. Les portes sont murées et d'autres portes ouvertes à 5 mètre de hauteur. L'exemple exceptionnel de Doué montre que le passage de la simple habitation princière, la aula, au donjon rectangulaire défensif, a pu être une simple transformation "naturelle".
Début XIe siècle, l'aula est enterrée sur une hauteur de 5 mètres et l'ensemble transformé en motte castrale sur laquelle on érigea une fortification en bois. Un fossé d'une quinzaine de mètres de large et profond d'environ 5 mètres fut creusé autour de la motte. La aula constituait alors une sorte de cave sous la motte.
Le bâtiment est percé de deux portes, une sur la façade ouest et une plus petite sur la façade sud. Des cavités rectangulaires dans l'épaisseur des murs suggère que de grosses poutres pouvaient servir à barricader les portes.
Le puits est contemporain de l'aula. Il traverse une ancienne carrière à sarcophages qui servit ensuite de dépendance souterraine au palais.
Cette dernière enceinte servait d’ultime refuge en cas d’attaque. Également nommée « Réduit », c’est le point culminant du site. Là, fut érigé le premier château en bois, aux alentours de l’an Mil.
Cet espace révèle une configuration très rare du fait de la présence de deux donjons : les tours des Gobelins et Mélusine.
Il affirme l’importance de la forteresse et l’ambition des seigneurs de Fougères tout au long du Moyen-âge. Au centre, les fondations d’un imposant donjon, probablement jamais édifié,suggèrent un changement de stratégie défensive.
LE PHARE DE LA PIETRA
Aussi appelé phare de L’Ile-Rousse, le Phare de la Pietra date du XIX siècle. Le premier feu fixe rouge, de 4e ordre, y a été allumé en 1857. Il a été remplacé, en 1877, par un feu fixe blanc plus puissant. En 1902, il fut doté d’un feu à 3 éclats toutes les 12 secondes.
Le phare actuel est une tour carrée, centrée sur un soubassement carré, en maçonnerie lisse, peinte en blanc, avec la lanterne peinte en vert. Une maisonnette de gardiennage y est accolée.
Il est alimenté par des panneaux solaires. Il est automatisé et ne se visite pas.
THE LIGHTHOUSE OF PIETRA
Also called lighthouse of Ile-Rousse, the Lighthouse of Pietra dates from the nineteenth century. The first fixed red light of the 4th order was lit in 1857. It was replaced in 1877 by a stronger white fixed light. In 1902, it was equipped with a fire with 3 flashes every 12 seconds.
The current lighthouse is a square tower, centered on a square basement, in smooth masonry, painted white, with the lantern painted green. A guard house is attached to it.
It is powered by solar panels. It is automated and does not visit.
Sterne à la baignade, merci à mon ami Robert Dupont qui m'a offert une belle journée de pêche en sa compagnie. Se fût une magnifique journée. Fleuve Saint-Laurent, Montréal.
Uclés, siège de l'Odre de Santiaga pendant la Reconquista, fut une ville importante de la cora de Santaver, pendant la période islamique.
Le monastère date du XVIe siècle. Il subsiste des restes de la forteresse arabe et du château qui lui succéda.
Le château du Haut-Koenigsbourg, symbole de la puissance germanique, fut classé au titre des monuments historiques en 1862. La France devint propriétaire des biens de la couronne allemande et obtint le Haut-Koenigsbourg en 1919.
Son histoire est ancienne. Les Adhémar de Monteil au XII°s édifièrent une première partie du bourg qui continua à se développer jusqu’à l’arrivée de la production de soie “la sériciculture”. Cette activité fut très importante pour l’économie du village et quand celle-ci déclina, Mirmande connu le même sort.
" Heureusement, André Lhote , célèbre peintre cubiste, tomba amoureux du village, créa une école d’art l’été à Mirmande et redonna une nouvelle vie au village. La commune de Mirmande devint alors un lieu vivant de la création artistique contemporaine. Il participa également à la conservation du village comme un autre personnage célèbre Haroun Tazieff. Ce volcanologue de renommée internationale fut maire de Mirmande et contribua à contenir l’urbanisation.
Les authentiques maisons en pierre abritent toujours de nombreux ateliers d’artistes et artisans d’art qui se font un plaisir de faire découvrir leurs talents.
Ne manquez pas également de découvrir l’Église Sainte Foy au sommet du village,“la cerise sur le gâteau”, petit bijou de l’art roman qui ouvre ses portes d’avril à septembre pour des expositions.
Les papilles ne sont pas en reste, de nombreux agriculteurs vous ouvrent leur porte pour découvrir les fruits doux et sucrés du village : cerises, abricots, nectarines, mirabelles, kiwis raviront les petits comme les grands ! "
Gorodets fut d'abord une forteresse sur la Volga, fondée en 1152 par le prince Iouri Dolgorouki.
En 1263, Alexandre Nevski mourut à Gorodets sur le chemin de Novgorod, en revenant de la Horde d'or.
В популярной и краеведческой литературе распространена точка зрения об основании Городца в 1152 году Юрием Долгоруким, принятая и рядом официальных изданий.
14 ноября (ст. стиля) 1263 года на пути из Золотой Орды в Городце умер великий владимирский князь Александр Ярославич Невский. Согласно церковному преданию, накануне кончины он принял монашеский постриг в Фёдоровском монастыре с именем схимонаха Алексия.
"Couvrant un peu plus de 1100 ha, cette forêt est l'une des plus belles HÊTRAIES montagnardes du Morvan ; on y trouve un enclos animalier. Elle fut remaniée au 16ème siècle pour l'exploitation du bois de chauffage. Le site propose des pistes de descente pour VTT. "
www.bourgogne-tourisme.com/sites-naturels/foret-de-breuil...
La rue Augusta est surtout remarquable par l'Arc de triomphe qui se trouve à l'une de ses extrémités, sur la place du Commerce. Cette arche fut terminée au 19ème siècle et présente une iconographie très riche ainsi qu'une horloge monumentale. Cette horloge est le symbole de la puissance du Portugal dans le domaine de l'horlogerie. La rue Augusta est en outre l'une des rues piétonnes les plus commerçantes de Lisbonne, avec ses vendeurs pittoresques et ses joueurs d'harmonica.
La Basilique de Fourvière recèle bien des merveilles et des curiosités, parmi elle: sa crypte !
Sous la basilique, crypte ou deuxième église?
La Basilique de Fourvière cache un grand mystère: la crypte. Sous l’église haute que nous présentons dans un autre article, un espace présentant les mêmes proportions accueillent toute personne s’y présentant. Alors est-ce une crypte? Est-ce une église basse? Les débats sont ouverts car nul n’est vraiment d’accord à ce sujet.
Et si nous en revenions aux définitions des mots? Dans le vocabulaire chrétien architectural, une crypte est une chapelle souterraine, généralement placée sous le chœur d’une église. Son origine est liée au culte des martyrs, elle servait à cacher, aux yeux des profanes, les tombeaux des martyrs.
A Fourvière, point de tombeau, d’une part. Et surtout, même si cet espace est bien souterrain, les proportions sont bien trop vastes et couvrent l’ensemble de l’église haute, pas seulement le chœur.
Les voûtes, qui ont moins de 10 m de hauteur, sont soutenues par des piliers flanqués de 38 colonnes cannelées.
Encore une question! En effet, l’église basse de Fourvière est dédiée à Joseph? Ou devrait on dire à saint Joseph? Joseph fut l’homme juste, que Dieu donna comme époux à Marie, mère de Dieu. Il fut donc le serviteur fidèle et prudent, à qui Dieu confia la Sainte Famille. Mais est-il saint pour autant? Ce n’est qu’au XV° siècle que Joseph reçut le titre de saint.
Pierre Bossan imagine l’église basse dédiée donc à saint Joseph comme l’entrée principale de la basilique. La symbolique est belle: le fidèle devait “aller à Marie par Joseph”, passant ainsi de l’obscurité de la crypte à la lumière de la basilique.
Joseph bénéficie donc d’une représentation particulière, et rare dans l’architecture chrétienne, dans la basilique de Fourvière. Sur l’autel, une statue le représente portant l’enfant Jésus Au pied se de la statue, un ensemble sculpté évoque sa mort.
Le barrage fut construit de 1681 à 1688 selon les plans de Vauban. Les ponts couverts ne permettaient plus de défendre correctement le sud de la ville. Il a donc été décidé de construire ce barrage. Baptisé « la Grande Écluse », le barrage était censé, en cas d'attaque, en bloquant ses arches et en fermant les vannes, faire monter le niveau de l'Ill et inonder tous les terrains situés au sud de la ville, et donc les rendant infranchissables par l'ennemi. Ce moyen de défense fut utilisé lors du siège de Strasbourg en 1870, provoquant l'inondation des quartiers situés en
amont.
🇬🇧 The dam was built from 1681 to 1688 according to Vauban's plans. The covered bridges no longer made it possible to properly defend the south of the city. It was therefore decided to build this dam. Named "the Great Lock", the dam was supposed, in the event of attack, by blocking its arches by closing the valves, to raise the level of the Ill and flood all the land located south of the city, and therefore the making it impassable to the enemy. This means of defense was used during the siege of Strasbourg in 1870, causing the flooding of the districts located upstream.
🇩🇪 Der Damm wurde von 1681 bis 1688 nach Vaubans Plänen gebaut. Durch die überdachten Brücken war eine ordnungsgemäße Verteidigung des Südens der Stadt nicht mehr möglich. Deshalb haben wir uns entschieden, diesen Damm zu bauen. Der Staudamm mit dem Namen „Große Schleuse“ sollte im Falle eines Angriffs, indem er seine Bögen durch Schließen der Ventile blockierte, den Pegel des Flusses Ill anheben und das gesamte Land südlich der Stadt überschwemmen sie für den Feind unpassierbar machen. Dieses Verteidigungsmittel wurde während der Belagerung von Straßburg im Jahr 1870 eingesetzt, was zur Überschwemmung der flussaufwärts gelegenen Stadtteile führte.
Grandiose construction de la Sicile médiévale, la cathédrale de Cefalù fut fondée par le roi Roger II en 1130-1131 pour lui servir de sépulture. Le chœur a sans doute été bâti dans son état premier en 1148, mais des modifications de structure ont retardé l'achèvement de l'église, dont la nef ne fut sans doute édifiée qu'entre 1164 et 1166. L'aspect actuel de l'édifice est très inattendu, car le chœur, conçu sur le principe de l'art roman normand, fut ensuite voûté d'ogives, pour offrir un des exemples les plus remarquables de cette technique dans le royaume siculo-normand, et recouvert enfin de mosaïques byzantines, dont le très célèbre Pantocrator de l'abside principale (troisième quart du xiie siècle).
A grand construction of medieval Sicily, the cathedral of Cefalù was founded by King Roger II in 1130-1131 to serve as a burial place. The choir was undoubtedly built in its first state in 1148, but structural modifications delayed the completion of the church, whose nave was undoubtedly built only between 1164 and 1166. The current aspect of the The building is very unexpected, because the choir, designed on the principle of Norman Romanesque art, was then vaulted with warheads, to offer one of the most remarkable examples of this technique in the Siculo-Norman kingdom, and finally covered with Byzantine mosaics, including the famous Pantocrator in the main apse (third quarter of the 12th century).
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Alleuze est un site enchanteur : les méandres de la Truyère enserrent le piton escarpé où se dresse fièrement les ruines du château féodal.
Bâti au XIIIe s. il fut longtemps la propriété des évêques de Clermont pour devenir celle de Bernard de Garlan un soudard qui sema la terreur lors de la guerre de cent ans.
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Bonne journée à tous.
Merci pour vos visites et commentaires
en ---------------
Alleuze is a charming site : the twists and turns of the Truyère surround the rocky outcrop where proudly stands the ruins of a feudal castle.
Built in the Thirteenth century it was long the property of the bishops of Clermont to become that of Bernard de Garlan a roughneck who spread terror during the hundred years war.
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Good day to all.
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de ---------------
Alleuze ist ein schöner ort : die windungen der Truyère gehören die gipfel, steile, wo sich stolz erhebt sich die ruinen des feudalen schlosses.
Erbaut im Xiii s. er war lange zeit eigentum der bischöfe von Clermont zu werden, die von Bernard de Garlan ein soudard die sema terror während des krieges von hundert jahren.
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Guten tag an alle.
Danke für eure besuche und kommentare
es ---------------
Alleuze es un sitio encantador : los giros y vueltas de la Truyère rodean el peñón donde orgullosamente se encuentra las ruinas de un castillo feudal.
Construida en el siglo Xiii fue de largo la propiedad de los obispos de Clermont a ser el de Bernard de Garlan un roughneck que siembran el terror durante la guerra de cien años.
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Buen día a todos.
Gracias por sus visitas y comentarios
nl ---------------
Alleuze is een charmant site : de wendingen van de Truyère rondom de rots waar trots staat de ruïnes van een feodaal kasteel.
Gebouwd in de Dertiende eeuw het was lang eigendom van de bisschoppen van Clermont te worden dat van Bernard de Garlan een padvinder die verspreid terreur tijdens de honderdjarige oorlog.
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Goede dag allemaal.
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it ---------------
Alleuze è un luogo incantevole : i colpi di scena e si trasforma la Truyère surround sperone roccioso dove si erge rovine di un castello feudale.
Costruito nel Xiii secolo, fu a lungo proprietà dei vescovi di Clermont a diventare quella di Bernard de Garlan un roughneck che diffondono il terrore durante la guerra dei cent'anni.
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Buona giornata a tutte.
Grazie per le vostre visite e commenti
pt ---------------
Alleuze é um encantador site : as reviravoltas da Truyère cercam o afloramento rochoso, onde orgulhosamente se destaca as ruínas de um castelo feudal.
Construído no Décimo terceiro século, foi durante muito tempo a propriedade do bispo de Clermont para se tornar o de Bernard de Garlan um rústico que espalham o terror durante a guerra dos cem anos.
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Bom dia a todos.
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Le Heidelberg Schloss est le château qui domine la ville de Heidelberg, Land de Bade-Wurtemberg, en Allemagne. Une vue à partir de la cour intérieure du château.
La construction du château de Heidelberg débuta vers 1300 et ne fut achevée que 400 ans plus tard, ce qui explique la diversité des styles des différentes ailes. Durant cette période, il servit de résidence aux princes-électeurs de la branche de famille Wittelsbach qui administrait le Palatinat rhénan. A deux reprises, en 1689 et 1693, les troupes françaises détruisirent le château et la ville. Les Wittelsbach le délaissèrent alors et se firent construire une nouvelle résidence à Mannheim. C’est le Français Charles de Graimberg qui pendant plus de 50 ans préserva l’édifice en ruine et fonda le musée du Palatinat.
L'aile Friedrichbrau est un palais édifié de 1601 à 1607 et l'un des plus beaux exemples de la Renaissance allemande. Sa façade est décorée de statues des héros de l'Antiquité romaine et des empereurs symbolisant la puissance militaire et politique d'Ottheinrich. On trouve des statues d'ancêtres du maître d’œuvre du palais, le Prince-électeur Friedrich IV du Palatinat dit « le Juste » (1574 - 1610). Celui-ci se voyait dans la lignée des autres souverains de l’importante dynastie des Wittelsbach, qu’il a représentée par son grand-père, son père et son oncle dans la même rangée. Au troisième rang se trouvent les empereurs et les rois issus de la dynastie des Wittelsbach. La plus haute place sur la façade est occupée par les « pères » de la dynastie, comme Charlemagne ou Otto von Wittelsbach. Cependant, les vertus chrétiennes sont également représentées dans les figures.
À l'intérieur on peut visiter les salles d'apparat, le Herrensaal (Knights' Hall) et l’Imperial Hall, une vaste salle de bal. Pour des raisons de conservation, les sculptures de la façade ont été remplacées par des copies vers 1900. Les statues d’origine ont été mises à l’abri aujourd’hui dans le bâtiment de l’aile Friedrich.
De nombreux poètes ont chanté des louanges de la ville Heidelberg et d’innombrables peintres (dont J. M. W. Turner) ont immortalisé sur leurs tableaux la célèbre vue du Chemin des Philosophes (Philosophenweg) sur le Neckar, la vieille ville et le château séduits par la beauté naturelle du site et les ruines de son château dont les remparts de grès rouge se découpent sur le vert de la forêt. Tous ces artistes ont fait de la ville un haut lieu du Romantisme allemand.
L'électeur Ruprech 1er y fonda en 1386 la première université d'Allemagne qui deviendra, au 16e siècle, aussi un haut-lieu de la Réforme protestante. La ville resta pendant des siècles la capitale politique de L'état du Palatinat mais elle ne put résister aux troupes françaises qui la dévastèrent entièrement pendant la guerre d'Orléans (1688-1697). Sa reconstruction au 18e siècle lui donna un visage baroque. Aujourd'hui, cette perle du Neckar, loin d’être une ville-musée, est aujourd’hui une cité universitaire animée, qui vibre d’une intense vie culturelle.
Ce château fut construit au xiiie siècle par le comte de Ferrette pour surveiller la vallée de la Thur. À la suite des traités de Westphalie qui rattachent l'Alsace à la France, la frontière est repoussée des Vosges sur le Rhin et ce château perd son intérêt stratégique. Louis XIV ordonne alors, en février 1673, le démantèlement du château de d'Engelbourg. Le travail est confié à l'intendant Mathias Poncet de la Rivière, qui le fait exécuter par des mineurs de Giromagny. Après plusieurs tentatives, la grosse tour du donjon se soulève et se brise en plusieurs parties ; l'une d'entre elles est retombée pour former ce qu'on a surnommé « l'Œil de la Sorcière ».
Les ruines spectaculaires ont été représentées sur plusieurs gravures romantiques du xixe siècle.
Les restes de l'édifice sont classés au titre des monuments historiques depuis 18981.
Depuis 2006, chaque année des jeunes bénévoles viennent restaurer les ruines du château par l'intermédiaire de l'association Études et Chantiers Grand Est. De 2006 à 2012, des sections de murs et murailles, dont un appareil défensif contre l'artillerie, ont été mises au jour et consolidées. Un relevé très détaillé a été réalisé à cette occasion, et a permis une reconstitution informatique en 3D du site.
insta: @79milu - www.facebook.com/79milu/ ludovicmichel79.wixsite.com/ludosworld Cette magnifique balade vous emmène sur les traces d’une duchesse. En 1787, étant malade, Madame la duchesse d’Orléans (née Marie-Adélaïde de Bourbon) se rendit à Spa avec toute sa famille pour y prendre les eaux. Après avoir poursuivi une cure régulière d’eau minérale à la fontaine de la Sauvenière, sa santé fut rétablie. Pour fêter cette guérison, ses enfants firent élever un petit monument cylindrique aux abords de la fameuse source.
Het was een hele klus om deze geoorde fuut een beetje scherp op de foto te krijgen. Het waaide aardig en de de geoorde fuut is heel goed in onderduiken.....
Maar wat een mooi koppie!
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L’endroit fut occupé dès le Néolithique. Une tribu celte de Ségusiaves s’y installa, qui avait pour capitale Forum Ségusiavorum, autrement dit Feurs.
dessin Le village de Poliacus (marais) devint une cité florissante sous la domination des gallo-romains. Saccagé par les Germains en 725, il reprit vie après que des bénédictins de Cluny, suite à d’importants legs, y firent construire un prieuré en 966.
Il prit la même disposition que celui de Cluny: une cour carrée avec en son centre un puits gallo-romain profond de 17 mètres.
L'attente fût longue, elle nous est apparue vers 23h42.
Elle n'était pas du tout visible à l'oeil nu (ce qui a été une petite déception, je me l'imaginais plus lumineuse), il a fallu faire des clichés et la "chercher".
Cette vue a été faite le 22 juillet à 00h03
Une autre rencontre de cette nuit a été de voir arriver sur le même Spot "Monsieur Nonos"
Belvès, cité médiévale aux sept clochers, est située sur un éperon rocheux dominant la vallée de la Nauze. Belvès fut fortifiée au XIème siècle en raison de sa position stratégique.
En ce 1er Mai c ' était une belle destination pour célébrer son Anniversaire..
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Belvès - Dordogne - France.
Le pavot bleu de l'Himalaya, aussi appelé pavot bleu du Tibet et coquelicot bleu de l'Himalaya (Meconopsis betonicifolia, aussi Meconopsis baileyi, tibétain : Utpal Ngonpo ) est une plante vivace de la famille des Papavéracées. Elle a été décrite la première fois par en 1886 par Pierre Jean Marie Delavay. En 1912 (ou 1913), un spécimen fut collecté par Frederick Markham Bailey (mission d'exploration Bailey-Morshead des gorges de Tsangpo). Il s'agit d'une plante de la médecine tibétaine traditionnelle risquant de disparaître en raison d'une commercialisation trop importante.
D'après diapositive. Dans le Comté de Lhozhag au Tibet.
Localisation approximative.
Héphaïstos était le dieu de la métallurgie. Athéna Erganè était la déesse de la poterie et de l'artisanat en général. Il y avait quantité d'ateliers et de magasins de potiers et de travail des métaux à proximité du temple, ce qui justifie sa dédicace à ces deux divinités.
Les fouilles archéologiques donnent à penser qu'il n'y avait pas de précédent bâtiment situé en haut de la colline, à part un petit sanctuaire qui a brûlé lorsque les Perses ont occupé Athènes en -480.
Après la bataille de Platées, les Grecs avaient juré de ne jamais reconstruire leurs sanctuaires détruits par les Perses lors de l'invasion de la Grèce, mais de les laisser en ruines, comme un perpétuel rappel de la férocité barbare.
Les Athéniens concentrèrent leurs efforts sur la reconstruction de leur économie et le renforcement de leur influence dans la ligue de Délos. Lorsque Périclès arriva au pouvoir, il conçut un vaste projet pour faire d'Athènes un grand centre de pouvoir et de culture grecs.
Le temple d'Héphaïstos donnant sur l'Agora était censé donner la preuve de la richesse de la tradition athénienne, comme en témoignent l'utilisation de l'ordre dorique et tout l'ensemble des métopes et figures sculptées.
La construction du temple commença donc en -449, mais elle ne fut pas achevée avant -415, probablement parce que l'accent avait été mis au même moment sur la construction des monuments de l'Acropole.
Le sanctuaire fut agrandi et surélevé plusieurs fois, entre le IXe et le XIVe siècle. Elle comporte trois niveaux : la crypte, l’église, et le chœur surélevé, accessible par deux escaliers en marbre.
L'abside polygonale gothique, résultat de l'expansion du chœur, fut achevée en 1398.
Surprenante singularité, l’édifice comporte un chœur surélevé au-dessus d’une crypte. Une série de statues ex-polychromiques en marbre (VIIIe siècle) représente le Christ et ses Apôtres. Ils se tiennent face à la nef et soulignent physiquement la séparation entre les espaces.
Le maître autel est surmonté du très beau retable de Saint-Zénon (1457-1460) .....Andrea MANTEGNAMais j ai renoncé à le photographier...trop loin et inaccessible....( photos lointaines pas assez bonnes pour Flickr )
Cette feuille fut captée ce matin au Parc de Terre des jeunes à Victoriaville.
Après plusieurs jours d'absence sur Flickr je vous reviens... Je vais bien mais mon ordi pas tant que moi depuis deux semaines...
J'ai du temps à rattraper...
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Après sa défaite de Waterloo Napoléon fut exilé à Sainte Hélène. Il y arriva le 15 Octobre 1815, et y décéda le 5 Mai 1821.
After his defeat at Waterloo Napoleon was exiled to Saint Helena. He arrived on the island October 15, 1815 and died there on May 5, 1821
www.michel-lafon.fr/livre/2504-Napoleon_-_L_esprit_des_li...
www.amazon.fr/Napol%c3%a9on-lesprit-lieux-Jean-christophe...
livre.fnac.com/a14949779/Jean-Christophe-Buisson-Napoleon...
Le décor peint fut exécuté en 1314 par un certain maître Jacques et deux collaborateurs anonymes.
Les peintures, dont le style trahit des influences italiennes et anglaises, relèvent
d’une conception d’ensemble, élaborée pour Amédée V, commanditaire exigeant
et cultivé.
Elles ont pour sujet central le Christ, évoqué par thèmes illustrant sa généalogie, sa vie terrestre et sa résurrection. Ceux-ci sont strictement répartis dans l’espace:
les voûtes accueillent les figures de l’Ancien Testament, ainsi que celle de saint Jean-Baptiste
les parois nord et sud, des personnages du Nouveau Testament, évangélistes et apôtres
les deux autres parois sont dans un état qui ne permet pas l'interprétation
Le pavot bleu de l'Himalaya, aussi appelé pavot bleu du Tibet et coquelicot bleu de l'Himalaya (Meconopsis betonicifolia, aussi Meconopsis baileyi, tibétain : Utpal Ngonpo ) est une plante vivace de la famille des Papavéracées. Elle a été décrite la première fois par en 1886 par Pierre Jean Marie Delavay. En 1912 (ou 1913), un spécimen fut collecté par Frederick Markham Bailey (mission d'exploration Bailey-Morshead des gorges de Tsangpo). Il s'agit d'une plante de la médecine tibétaine traditionnelle risquant de disparaître en raison d'une commercialisation trop importante.
Description
Taille : de 1 m à 1,5 m de hauteur
Taille des fleurs : entre 10 et 20 cm de diamètre
Floraison : juin / juillet
Port : en rosette et hampe florale
Rusticité : zone 5
Exposition : à mi-ombre ou au soleil si le sol est maintenu humide
Sol : humifère, frais voire humide, et plutôt neutre.
Originaire des gorges du Yarlung Tsangpo, dans le sud-est du Tibet, le pavot bleu pousse à une altitude de 3120 à 4000 mètres.
En 1886, les longues marches de Delavay vers le plateau tibétain l'amenèrent à découvrir des pavots d'un bleu lumineux, mais la plante fut peut-être découverte avant lui et dénommée Meconopsis napaulensis.
Cette vivace est très capricieuse, elle peut devenir envahissante autant que disparaître du jour au lendemain si les conditions ne lui plaisent pas. Elle est appréciée par les escargots et limaces ... et sujette au mildiou.
Cette fleur est l'emblème des Jardins de Métis en Gaspésie au Québec.
La floraison au Québec s’étale approximativement sur un mois, de la fin juin jusqu’à la fin juillet. Elle atteint généralement son apogée les deux premières semaines de juillet.
D'après diapositive. Dans le Comté de Lhozhag au Tibet.
Localisation approximative.
Le château de Sigoyer est l'un des seuls points stratégiques sur la rive gauche : il domine le Val de Durance et permet d'observer une partie de la via Domitia. Les campagnes de constructions se sont étendues du XIè siècle au XVIè siècle.
Il est probable qu’au xie siècle, une simple tour soit élevée sur un éperon rocheux déjà occupé à l’époque romaine. Au xiiie siècle, cette tour est rehaussée sur voûte, et un logis lui est ajouté, flanqué du donjon, d’une enceinte renforcée d’une tour carrée et d’une tour ronde destinée au guet, vers l’ouest et la Durance. Une chapelle est également construite dans cette enceinte. Enfin, une deuxième muraillee ceinture ce premier ensemble, avec une ferme, les écuries, et une citerne de 165 m3.
À la Renaissance, le château est une résidence, des bâtiments sont ajoutés pour la rendre plus confortable.
Aujourd'hui, d'imposantes ruines face à la vallée suggèrent encore ce qui fut sa puissance. La partie Est du château a été restaurée par un particulier, mais n'est pas classée.
fr.wikipedia.org/wiki/Sigoyer_(Alpes-de-Haute-Provence)
Voir aussi :
Explore #3 07/03/2021
Et la lumière fut - The unexpected and incredible outcome of another memorable dawn spent on the shore of Loch Awe a couple of autumns ago.
Having arrived lochside some 20 minutes before dawn, conditions looked far from inspiring to say the least. Light was dull, grey and dismal and the breeze that was gently but persistently blowing wrecked any hope of reflections off the water. I was inclined to give up and head back for an early hearty breakfast. Luckily for me I didn't; persisting in the faint hope that a miracle might happen.
And then there was light.
Well the miracle did happen for a brief few minutes not long after sunrise. The most intense light of dawn broke through the clouds, perfectly striking the beautiful ruins of Kilchurn Castle just as the surface of the loch turned still enough to yield some excellent reflections of the castle. It all came together long enough for me to capture this memorable and remarkable sight.
A wonderful and inspiring sight at any time, especially so when conditions are as unique and superb as this.
Dalmally, Argyll and Bute, Scotland