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Femme de l'ethnie Turkana au village de Parkati, à proximité de Tuum, Kenya.

  

Peuple de langue nilotique, les Turkana habitent les territoires arides du nord du Kenya à proximité du lac Turkana et du Soudan du sud. Le village de Parkati est situé dans la partie sud de ce territoire, à proximité d'une zone habitée par les Samburu.

Protégés par la pauvreté de leur région d'habitat, ils sont longtemps restés hors de l’influence des principaux courants étrangers. Pasteurs nomades adaptés à une zone presque totalement désertique , ils peuvent pratiquer une pêche d'appoint dans le lac Turkana. Le bétail occupe une place centrale dans leur culture. . Les chèvres, les moutons, les dromadaires, les ânes mais surtout les bovins constituent leur cheptel. Dans cette société, le bétail fournit non seulement du lait et de la viande, mais sert également de valeur d'échange pour le paiement de la dot.

Les Turkana sont polygames. La cellule familiale est composée d’un homme, ses femmes et enfants, et souvent sa mère. La société Turkana est structurée en classes d'âge et chaque homme appartient à une classe d’âge spécifique. Les Turkana ont une connaissance intime des plantes et des produits qu’ils utilisent comme médicaments.

  

Turkana women in the village of Parkati, near Tuum, Kenya.

  

A Nilotic-speaking people, the Turkana inhabit the arid territories of northern Kenya near Lake Turkana and South Sudan. The village of Parkati is located in the southern part of this territory, near an area inhabited by the Samburu.

Protected by the poverty of their region of residence, they have long remained outside the influence of the main foreign trends. Nomadic pastoralists adapted to an almost completely desert area, they can practice additional fishing in Lake Turkana. Livestock plays a central role in their culture. . Goats, sheep, camels, donkeys but especially cattle make up their livestock. In this society, livestock not only provides milk and meat, but also serves as an exchange value for the payment of bride price.

The Turkana are polygamous. The family unit is made up of a man, his wives and children, and often his mother. Turkana society is structured into age groups and each man belongs to a specific age group. The Turkana have an intimate knowledge of the plants and products they use as medicines.

 

… En chacun de nous, il y a comme une ascèse, une partie dirigée contre nous-mêmes. Nous sommes des déserts, mais peuplés de tribus, de faunes et de flores. Et toutes ces peuplades, toutes ces foules, n'empêchent pas le désert, qui est notre ascèse même, au contraire elles l'habitent, elles passent par lui, sur lui. Le désert, l'expérimentation sur soi-même, est notre seule identité, notre chance unique pour toutes les combinaisons qui nous habitent…

Gilles Deleuze - Dialogues

 

… In each of us, there is a kind of asceticism, a part oriented against ourselves. We are deserts, but populated with tribes, with faunae and with florae. And all these tribes, all these crowds, do not prevent the desert, which is in fact our asceticism, on the contrary they live within him, they pass by him, on him. The desert, the experiment of our own, is our only identity, our unique chance for all the combinations which live in us…

Gilles Deleuze – Dialogues

  

Bastia est la deuxième commune la plus peuplée de Corse après Ajaccio.

Cancale est une commune française située dans le département d’Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, peuplée de 5 231 habitants. Elle est réputée, depuis les temps anciens, pour ses huîtres plates sauvages issues de bancs naturels existant en eau profonde et plus récemment (vers 1950) pour ses huîtres creuses d'élevage.

Cancale se situe à l’extrémité ouest de la baie du mont Saint-Michel, sur les côtes de l’Ille-et-Vilaine (côte d’Émeraude), à quinze kilomètres à l’est de Saint-Malo. La baie de Cancale est délimitée par la pointe des Roches Noires au sud et la pointe des Crolles au nord.

Tokyo le 30 mai 2018

FRENCH :

Au matin je n'ai toujours aucune nouvelle de ma valise perdue par Air France il y a 72 heures. Celle ci contient mon installation photographique attendue dans une galerie d'art de GINZA. Alors après une douche rapide pour se déstresser, on remet ses chaussures CAT, taille 45, et hop direction Tsukiji station pour son matinal breakfast à la franchise Pronto. Là où les petits matins nous offrent ce petit peuple propret et désireux de bien remplir leur work day. Je shoot. Le ventre plein direction du temple bouddhiste Hongwanji puis le Fish Market pour ensuite, bien plus loin sous une marche forcée passant le Kachidoki bridge, atteindre, épuisé, les quais de Toyomicho et ses entrepôts. Sur la route une cohorte de jeunes parents amène en vélo, sur leur porte bagage, enfants de bas âge vers leurs écoles proches et sacs à dos "spécial PC" en bandoulière. Je m'assoupi un instant sur un banc et retour sur l'énorme gare centrale de Tokyo. Après un déjeuner Eco Food Truck je reprends ma marche en direction du Palais impérial. Grands boulevards, hauts et rutilants immeubles récents ou à venir, le tout arboré avec science. Le Palais est là, planqué dans son écrin de verdure. Je m'y attarde peu et me dirige sur Jimbocho station et son quartier des livres anciens sous la pluie. Là où les femmes savent si bien tenir leur allure fière et leur parapluie ! Mon vagabondage se poursuivra de Jimbocho à Godzilla place, via Akihabara, durant toute la nuit jusqu'au lever du jour ... Une errance toujours à pinces, pas à pas, de quartiers en quartiers, de trottoirs étroits et sombres en boulevards larges et lumineux : une véritable plongée en solitaire ponctuée d'arrêts immersifs.

ENGLISH :

In the morning I still have no news of my bag lost by Air France 72 hours ago. This one contains my expected photographic installation that was to be exhibited in an art gallery in GINZA. So after a quick shower to de-stress, we put on his CAT shoes, size 45, and hop to Tsukiji station for his morning breakfast in the Pronto franchise. Where the early mornings offer us this little people clean and eager to complete their work day. I shoot. The belly full direction the Hongwanji Buddhist temple, then the Fish Market and then, much further under a forced march passing the Kachidoki bridge, reaching, exhausted, Toyomicho docks and warehouses. On the road a cohort of young parents bringing on their luggage, young children to their nearby schools and backpacks "special PC" slung. After falling asleep on a bench ... back on the Huge central station of Tokyo. After an eco food truck lunch I resume my walk towards the Imperial Palace. Great boulevards, high and gleaming newer buildings or future, all sported with science. The imperial palace is there hidden in its greenery. I spend little time there and head to Jimbocho station and its neighborhood of old books in the rain ... Where women know so well hold their ... umbrella! The vagrancy will continue from Jimbocho to Godzilla place, via Akihabara, all night until sunrise ... A wandering still on foot, step by step, from neighborhood to neighborhood, narrow and dark sidewalks in wide boulevards and bright : a real dive alone punctuated by immersive stops

 

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Tokyo le 30 mai 2018

FRENCH :

Au matin je n'ai toujours aucune nouvelle de ma valise perdue par Air France il y a 72 heures. Celle ci contient mon installation photographique attendue dans une galerie d'art de GINZA. Alors après une douche rapide pour se déstresser, on remet ses chaussures CAT, taille 45, et hop direction Tsukiji station pour son matinal breakfast à la franchise Pronto. Là où les petits matins nous offrent ce petit peuple propret et désireux de bien remplir leur work day. Je shoot. Le ventre plein direction du temple bouddhiste Hongwanji puis le Fish Market pour ensuite, bien plus loin sous une marche forcée passant le Kachidoki bridge, atteindre, épuisé, les quais de Toyomicho et ses entrepôts. Sur la route une cohorte de jeunes parents amène en vélo, sur leur porte bagage, enfants de bas âge vers leurs écoles proches et sacs à dos "spécial PC" en bandoulière. Je m'assoupi un instant sur un banc et retour sur l'énorme gare centrale de Tokyo. Après un déjeuner Eco Food Truck je reprends ma marche en direction du Palais impérial. Grands boulevards, hauts et rutilants immeubles récents ou à venir, le tout arboré avec science. Le Palais est là, planqué dans son écrin de verdure. Je m'y attarde peu et me dirige sur Jimbocho station et son quartier des livres anciens sous la pluie. Là où les femmes savent si bien tenir leur allure fière et leur parapluie ! Mon vagabondage se poursuivra de Jimbocho à Godzilla place, via Akihabara, durant toute la nuit jusqu'au lever du jour ... Une errance toujours à pinces, pas à pas, de quartiers en quartiers, de trottoirs étroits et sombres en boulevards larges et lumineux : une véritable plongée en solitaire ponctuée d'arrêts immersifs.

ENGLISH :

In the morning I still have no news of my bag lost by Air France 72 hours ago. This one contains my expected photographic installation that was to be exhibited in an art gallery in GINZA. So after a quick shower to de-stress, we put on his CAT shoes, size 45, and hop to Tsukiji station for his morning breakfast in the Pronto franchise. Where the early mornings offer us this little people clean and eager to complete their work day. I shoot. The belly full direction the Hongwanji Buddhist temple, then the Fish Market and then, much further under a forced march passing the Kachidoki bridge, reaching, exhausted, Toyomicho docks and warehouses. On the road a cohort of young parents bringing on their luggage, young children to their nearby schools and backpacks "special PC" slung. After falling asleep on a bench ... back on the Huge central station of Tokyo. After an eco food truck lunch I resume my walk towards the Imperial Palace. Great boulevards, high and gleaming newer buildings or future, all sported with science. The imperial palace is there hidden in its greenery. I spend little time there and head to Jimbocho station and its neighborhood of old books in the rain ... Where women know so well hold their ... umbrella! The vagrancy will continue from Jimbocho to Godzilla place, via Akihabara, all night until sunrise ... A wandering still on foot, step by step, from neighborhood to neighborhood, narrow and dark sidewalks in wide boulevards and bright : a real dive alone punctuated by immersive stops

 

Village Turkana de Parkati, à proximité de Tuum, Kenya.

 

Peuple de langue nilotique, les Turkana habitent les territoires arides du nord du Kenya à proximité du lac Turkana et du Soudan du sud. Le village de Parkati est situé dans la partie sud de ce territoire, à proximité d'une zone habitée par les Samburu.

Protégés par la pauvreté de leur région d'habitat, ils sont longtemps restés hors de l’influence des principaux courants étrangers. Pasteurs nomades adaptés à une zone presque totalement désertique , ils peuvent pratiquer une pêche d'appoint dans le lac Turkana. Le bétail occupe une place centrale dans leur culture. . Les chèvres, les moutons, les dromadaires, les ânes mais surtout les bovins constituent leur cheptel. Dans cette société, le bétail fournit non seulement du lait et de la viande, mais sert également de valeur d'échange pour le paiement de la dot.

Les Turkana sont polygames. La cellule familiale est composée d’un homme, ses femmes et enfants, et souvent sa mère. La société Turkana est structurée en classes d'âge et chaque homme appartient à une classe d’âge spécifique. Les Turkana ont une connaissance intime des plantes et des produits qu’ils utilisent comme médicaments.

  

Turkana village of Parkati, near Tuum, Kenya.

 

A Nilotic-speaking people, the Turkana inhabit the arid territories of northern Kenya near Lake Turkana and South Sudan. The village of Parkati is located in the southern part of this territory, near an area inhabited by the Samburu.

Protected by the poverty of their region of residence, they have long remained outside the influence of the main foreign trends. Nomadic pastoralists adapted to an almost completely desert area, they can practice additional fishing in Lake Turkana. Livestock plays a central role in their culture. . Goats, sheep, camels, donkeys but especially cattle make up their livestock. In this society, livestock not only provides milk and meat, but also serves as an exchange value for the payment of bride price.

The Turkana are polygamous. The family unit is made up of a man, his wives and children, and often his mother. Turkana society is structured into age groups and each man belongs to a specific age group. The Turkana have an intimate knowledge of the plants and products they use as medicines.

  

The Socialist Municipality of Vevey built a "Maison du Peuple" in 1933. This notably houses a large brewery and a cinema, "Le Rex". The initial projection room had a capacity of 540 seats before the transformation, which made it possible to open in 1980 the first multiplex in Switzerland with three rooms.

 

The photo shows the front of the Rex cinema in a pure architectural style of the 1930s, which has benefited from plant developments in the pure contemporary spirit seeking to offer greenery and freshness in the cities.

 

La Municipalité socialiste de Vevey construit une "Maison du Peuple" en 1933. Celle-ci abrite notamment une grande brasserie et un cinéma "Le Rex". La salle de projection initialement ouverte avait une capacité de 540 places avant les transformations qui permirent d'ouvrir en 1980 le premier multiplex de Suisse avec trois salles.

 

La photo montre la devanture du cinéma Rex dans un pur style architectural des années 1930 et qui a bénéficié d'aménagements végétaux dans le pur esprit contemporain cherchant à offrir verdure et fraîcheur dans les villes.

Le Monument national aux anciens combattants autochtones se trouve au parc de la Confédération, à Ottawa.

 

Ce monument hautement symbolique rend hommage aux nombreux Autochtones, hommes et femmes, qui se sont joints aux forces armées canadiennes au fil des ans. Il témoigne des croyances traditionnelles : l’honneur, le sens du devoir et l’harmonie avec l’environnement.

 

Quatre personnages représentent les différents groupes autochtones du Canada. Deux sont armés et deux tiennent des objets à caractère spirituel. Ils donnent une impression d’équilibre qui suggère que, souvent, la paix naît de la guerre. Un aigle surmonte la sculpture : il symbolise le Créateur (connu comme étant l’Oiseau-Tonnerre). Il incarne les peuples autochtones du Canada. Les quatre animaux — le loup, le grizzli, le bison et le caribou — représentent des guides spirituels.

 

Le monument a été réalisé par Noel Lloyd Pinay en 2001.

 

Source: Patrimoine canadien

 

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The National Aboriginal Veterans Monument stands in Confederation Park, in Ottawa.

 

This richly symbolic monument is a tribute to the many Aboriginal men and women who have served in the Canadian Armed Forces over the years. It reflects traditional beliefs about honour, duty and harmony with the environment.

 

Four figures represent the various Aboriginal groups in Canada. Two of the figures hold weapons, and two hold spiritual objects. They convey a sense of balance, implying that often a desire for peace lies at the root of war. An eagle occupies the highest point of the sculpture. It symbolizes the Creator (known as the Thunderbird), and embodies the spirit of Canada’s Aboriginal peoples. The four animals — wolf, grizzly, buffalo and caribou — represent spiritual guides.

 

The monument was created by Noel Lloyd Pinay in 2001.

(english follow)

« Red Cloud » fait partie d’un album dédié aux croyances anciennes des peuples autochtones d’Amérique du Nord. Voir: www.flickr.com/photos/patrice-photographiste/sets/7215763...

« Je suis pauvre et dénudé, mais je suis le chef de la nation. Nous ne voulons pas de richesses, mais nous voulons éduquer nos enfants correctement. Les richesses ne seraient pas bonnes pour nous. Nous ne pourrions pas les apporter avec nous dans l'autre monde. Nous ne voulons pas de richesses. Nous voulons la paix et l'amour. » (Red Cloud, Chef, Tribu des Oglala Teton Dakota (Sioux) (1824-1909).

 

Note : Red Cloud (Nuage Rouge) est l’un des plus célèbres et importants chef Sioux de l’histoire américaine. Il est décédé dans la réserve de Pine Ridge au Dakota du Sud, non loin de l’endroit où a été prise cette photo (Badlands National Park, Dakota du Sud, É.-U.)

 

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«Red Cloud » is part of an album dedicated to the ancient wisdoms of Native Nations of North America. See : www.flickr.com/photos/patrice-photographiste/sets/7215763...

 

« I am poor and naked, but I am the chief of the nation. We do not want riches but we do want to train our children right. Riches would do us no good. We could not take them with us to the other world. We do not want riches. We want peace and love. » (Red Cloud, Chief, Oglala Teton Dakota Tribe (Sioux) (1824-1909).

 

Note : Red Cloud is one of the most famous and important Sioux Chief of American history. He died in the Pine Ridge Reservation in South Dakota, not far from the place where this photo was taken (Badlands National Park, South Dakota, USA)

Tokyo le 30 mai 2018

FRENCH :

Au matin je n'ai toujours aucune nouvelle de ma valise perdue par Air France il y a 72 heures. Celle ci contient mon installation photographique attendue dans une galerie d'art de GINZA. Alors après une douche rapide pour se déstresser, on remet ses chaussures CAT, taille 45, et hop direction Tsukiji station pour son matinal breakfast à la franchise Pronto. Là où les petits matins nous offrent ce petit peuple propret et désireux de bien remplir leur work day. Je shoot. Le ventre plein direction du temple bouddhiste Hongwanji puis le Fish Market pour ensuite, bien plus loin sous une marche forcée passant le Kachidoki bridge, atteindre, épuisé, les quais de Toyomicho et ses entrepôts. Sur la route une cohorte de jeunes parents amène en vélo, sur leur porte bagage, enfants de bas âge vers leurs écoles proches et sacs à dos "spécial PC" en bandoulière. Je m'assoupi un instant sur un banc et retour sur l'énorme gare centrale de Tokyo. Après un déjeuner Eco Food Truck je reprends ma marche en direction du Palais impérial. Grands boulevards, hauts et rutilants immeubles récents ou à venir, le tout arboré avec science. Le Palais est là, planqué dans son écrin de verdure. Je m'y attarde peu et me dirige sur Jimbocho station et son quartier des livres anciens sous la pluie. Là où les femmes savent si bien tenir leur allure fière et leur parapluie ! Mon vagabondage se poursuivra de Jimbocho à Godzilla place, via Akihabara, durant toute la nuit jusqu'au lever du jour ... Une errance toujours à pinces, pas à pas, de quartiers en quartiers, de trottoirs étroits et sombres en boulevards larges et lumineux : une véritable plongée en solitaire ponctuée d'arrêts immersifs.

ENGLISH :

In the morning I still have no news of my bag lost by Air France 72 hours ago. This one contains my expected photographic installation that was to be exhibited in an art gallery in GINZA. So after a quick shower to de-stress, we put on his CAT shoes, size 45, and hop to Tsukiji station for his morning breakfast in the Pronto franchise. Where the early mornings offer us this little people clean and eager to complete their work day. I shoot. The belly full direction the Hongwanji Buddhist temple, then the Fish Market and then, much further under a forced march passing the Kachidoki bridge, reaching, exhausted, Toyomicho docks and warehouses. On the road a cohort of young parents bringing on their luggage, young children to their nearby schools and backpacks "special PC" slung. After falling asleep on a bench ... back on the Huge central station of Tokyo. After an eco food truck lunch I resume my walk towards the Imperial Palace. Great boulevards, high and gleaming newer buildings or future, all sported with science. The imperial palace is there hidden in its greenery. I spend little time there and head to Jimbocho station and its neighborhood of old books in the rain ... Where women know so well hold their ... umbrella! The vagrancy will continue from Jimbocho to Godzilla place, via Akihabara, all night until sunrise ... A wandering still on foot, step by step, from neighborhood to neighborhood, narrow and dark sidewalks in wide boulevards and bright : a real dive alone punctuated by immersive stops

 

Cette belle bergère appartient à l'ethnie Turkana.

 

Village Turkana de Parkati, à proximité de Tuum, Kenya.

 

Peuple de langue nilotique, les Turkana habitent les territoires arides du nord du Kenya à proximité du lac Turkana et du Soudan du sud. Le village de Parkati est situé dans la partie sud de ce territoire, à proximité d'une zone habitée par les Samburu.

Protégés par la pauvreté de leur région d'habitat, ils sont longtemps restés hors de l’influence des principaux courants étrangers. Pasteurs nomades adaptés à une zone presque totalement désertique , ils peuvent pratiquer une pêche d'appoint dans le lac Turkana. Le bétail occupe une place centrale dans leur culture. . Les chèvres, les moutons, les dromadaires, les ânes mais surtout les bovins constituent leur cheptel. Dans cette société, le bétail fournit non seulement du lait et de la viande, mais sert également de valeur d'échange pour le paiement de la dot.

Les Turkana sont polygames. La cellule familiale est composée d’un homme, ses femmes et enfants, et souvent sa mère. La société Turkana est structurée en classes d'âge et chaque homme appartient à une classe d’âge spécifique. Les Turkana ont une connaissance intime des plantes et des produits qu’ils utilisent comme médicaments.

  

Turkana village of Parkati, near Tuum, Kenya.

 

A Nilotic-speaking people, the Turkana inhabit the arid territories of northern Kenya near Lake Turkana and South Sudan. The village of Parkati is located in the southern part of this territory, near an area inhabited by the Samburu.

Protected by the poverty of their region of residence, they have long remained outside the influence of the main foreign trends. Nomadic pastoralists adapted to an almost completely desert area, they can practice additional fishing in Lake Turkana. Livestock plays a central role in their culture. . Goats, sheep, camels, donkeys but especially cattle make up their livestock. In this society, livestock not only provides milk and meat, but also serves as an exchange value for the payment of bride price.

The Turkana are polygamous. The family unit is made up of a man, his wives and children, and often his mother. Turkana society is structured into age groups and each man belongs to a specific age group. The Turkana have an intimate knowledge of the plants and products they use as medicines.

  

Le Peuple Pourpre (2)

 

An other view of the Purple People // Autre vue du Peuple Pourpre: www.flickr.com/photos/regisa/23983895506/in/photolist-BNc...

 

"Both Purple People images are great. I thought about 'Phantom of the Opera' while viewing these." // "Les deux photos intitulées Le Peuple Pourpre sont magnifiques. J'ai pensé au 'Fantôme de L'opéra' en les voyant." (Lance ECKELS / www.flickr.com/photos/38521378@N00/)

 

"I too thought of The Phantom Of The Opera. I think the song was called 'Masquerade'. The colours especially are breathtaking." // " Moi aussi j'ai pensé au 'Fantôme de l'Opéra', notamment à la chanson intitulée 'Masquerade'. Les couleurs particulièrement sont à couper le souffle." (Ian DUNBAR-REID / www.flickr.com/photos/bokis-foto_man/)

 

"Masquerade" (from the film "Phantom Of The Opera"): www.youtube.com/watch?v=8Bn4BAlp8NQ

Eglise notre Dame de l'Assomption, La Bastide Clairence.

Peuple maudit des confins pyrénéens de l’Occitanie et de l’Espagne, les Cagots sont bien connus des ancêtres des actuels Gascons et Béarnais. Parias à travers les siècles, leur origine demeure un mystère .

Jusqu’au milieu du XVIIe siècle et un édit de Louis XIV, ils furent discriminés et soumis à de nombreux interdits au sein des communautés villageoises. Victimes d’un racisme populaire systémique, ils n’ont pas le droit de résider au village, de toucher l’eau, de posséder du bétail, de marcher pied nu, d’exercer de nombreuses professions, de se marier avec des non-Cagots, d’entrer à l’église par la même porte que les Cagots, de porter une arme ou encore de combattre, leur quotidien est d’une dureté extrême.

Ils n’ont pas le droit d’avoir un nom de famille et, pour limiter la consanguinité, ils doivent parcourir des kilomètres afin de trouver un ou une partenaire qui ne soit pas de leur famille.

 

Les sacrements religieux leur sont également interdits et ils doivent porter, selon les endroits, des vêtements rouges, une patte d’oie ou une patte de canard sur leur veston.

Il fallut attendre les lendemains de la Révolution française pour voir disparaître définitivement les discriminations locales à l’égard de ce peuple même si, déjà, sous Louis XIV, un édit et plusieurs décisions du parlement de Bordeaux avaient demandé à ce que cesse toute discrimination à l’égard des Cagots afin, notamment, de les soumettre à l’impôt. Malgré cela, les mentalités villageoises, difficiles à changer, surtout lorsqu’elles sont aussi isolées de tout centre de pouvoir, avaient mis plusieurs siècles à évoluer. En Espagne, cette évolution est encore plus tardive, il fallut attendre le XIXe siècle pour que le parlement de Navarre se décide à voter une loi abolissant la discrimination des Cagots.

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Cursed people from the Pyrenean borders of Occitania and Spain, the Cagots are well known to the ancestors of today's Gascons and Béarnais. Outcasts through the centuries, their origin remains a mystery.

Until the middle of the 17th century and an edict of Louis XIV, they were discriminated against and subjected to numerous bans within village communities. Victims of systemic popular racism, they are prohibited from residing in the village, touching water, owning livestock, walking barefoot, exercising many professions, marrying non- Cagots, to enter church through the same door as the Cagots, to carry a weapon or to fight, their daily life is extremely harsh.

They are not allowed to have a last name and, to limit inbreeding, they have to travel miles to find a partner who is not related to their family.

 

The religious sacraments are also forbidden to them and they must wear, according to the places, red clothes, a crow's feet or a duck's feet on their jacket.

It was not until the aftermath of the French Revolution to see the definitive disappearance of local discrimination against this people even if, already, under Louis XIV, an edict and several decisions of the Parliament of Bordeaux had called for an end to all discrimination against this people. with regard to Cagots in order, in particular, to subject them to tax. Despite this, village mentalities, which are difficult to change, especially when they are so isolated from any center of power, had taken several centuries to evolve. In Spain, this development is even later, it was not until the 19th century that the Parliament of Navarre decided to pass a law abolishing discrimination against Cagots.

 

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Malditos de las fronteras pirenaicas de Occitania y España, los Cagots son bien conocidos por los antepasados ​​de los actuales gascones y bearneses. Desterrados a través de los siglos, su origen sigue siendo un misterio.

Hasta mediados del siglo XVII y un edicto de Luis XIV, fueron discriminados y sometidos a numerosas prohibiciones dentro de las comunidades del pueblo. Víctimas del racismo popular sistémico, se les prohíbe residir en el pueblo, tocar agua, poseer ganado, caminar descalzo, ejercer muchas profesiones, casarse con no cagots, entrar a la iglesia por la misma puerta que los cagots, portar un arma o lucha, su vida diaria es extremadamente dura.

No se les permite tener apellido y, para limitar la endogamia, tienen que viajar millas para encontrar una pareja que no sea pariente de su familia.

 

Los sacramentos religiosos también están prohibidos para ellos y deben llevar, según los lugares, ropa roja, patas de gallo o patas de pato en la chaqueta.

No fue hasta las secuelas de la Revolución Francesa para ver la desaparición definitiva de la discriminación local contra este pueblo, aunque ya, bajo Luis XIV, un edicto y varias decisiones del Parlamento de Burdeos habían pedido el fin de toda discriminación contra este pueblo. personas.con respecto a los Cagots para, en particular, someterlos a impuestos. A pesar de esto, las mentalidades de las aldeas, que son difíciles de cambiar, especialmente cuando están tan aisladas de cualquier centro de poder, habían tardado varios siglos en evolucionar. En España, este desarrollo es incluso posterior, no fue hasta el siglo XIX cuando el Parlamento de Navarra decidió aprobar una ley que aboliera la discriminación contra los Cagots.

 

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Verfluchte Menschen von den Pyrenäengrenzen von Okzitanien und Spanien, die Cagots sind den Vorfahren der heutigen Gascogne und des Béarnais gut bekannt. Im Laufe der Jahrhunderte Ausgestoßene, bleibt ihr Ursprung ein Rätsel.

Bis Mitte des 17. Jahrhunderts und einem Edikt Ludwigs XIV. wurden sie innerhalb der Dorfgemeinschaften diskriminiert und zahlreichen Verboten unterworfen. Als Opfer von systemischem Volksrassismus ist es ihnen untersagt, sich im Dorf aufzuhalten, Wasser zu berühren, Vieh zu besitzen, barfuß zu gehen, viele Berufe auszuüben, Nicht-Cagots zu heiraten, die Kirche durch die gleiche Tür wie die Cagots zu betreten, eine Waffe zu tragen oder kämpfen, ihr tägliches Leben ist extrem hart.

Sie dürfen keinen Nachnamen haben und müssen, um Inzucht einzuschränken, kilometerweit reisen, um einen Partner zu finden, der nicht mit ihrer Familie verwandt ist.

 

Auch die religiösen Sakramente sind ihnen verboten und sie müssen je nach Ort rote Kleidung, Krähenfüße oder Entenfüße an ihrer Jacke tragen.

Erst nach der Französischen Revolution konnte die lokale Diskriminierung dieses Volkes endgültig verschwinden, auch wenn bereits unter Ludwig XIV. ein Edikt und mehrere Beschlüsse des Parlaments von Bordeaux ein Ende aller diesbezüglichen Diskriminierungen gefordert hatten Personen in Bezug auf Cagots, um sie insbesondere der Besteuerung zu unterwerfen. Trotzdem hat es mehrere Jahrhunderte gedauert, bis sich die dörfliche Mentalität entwickelt hat, die sich nur schwer ändern lässt, insbesondere wenn sie so von jedem Machtzentrum isoliert ist. In Spanien ist diese Entwicklung noch später, erst im 19. Jahrhundert beschloss das Parlament von Navarra ein Gesetz zur Abschaffung der Diskriminierung von Cagots.

 

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Popolo maledetto dei confini pirenaici dell'Occitania e della Spagna, i Cagots sono ben noti agli antenati degli odierni Guasconi e Béarnais. Emarginati attraverso i secoli, la loro origine rimane un mistero.

Fino alla metà del XVII secolo e ad un editto di Luigi XIV, furono discriminati e sottoposti a numerosi divieti all'interno delle comunità dei villaggi. Vittime del razzismo popolare sistemico, è loro vietato risiedere nel villaggio, toccare l'acqua, possedere bestiame, camminare scalzi, esercitare molte professioni, sposare non Cagots, entrare in chiesa dalla stessa porta dei Cagots, portare un'arma o combattono, la loro vita quotidiana è estremamente dura.

Non possono avere un cognome e, per limitare la consanguineità, devono percorrere miglia per trovare un partner che non sia imparentato con la loro famiglia.

 

A loro sono vietati anche i sacramenti religiosi e devono indossare, a seconda dei luoghi, abiti rossi, zampe di gallina o zampe d'anatra sulla giacca.

Solo all'indomani della Rivoluzione francese si assistette alla definitiva scomparsa della discriminazione locale nei confronti di questo popolo anche se, già sotto Luigi XIV, un editto e diverse decisioni del Parlamento di Bordeaux avevano chiesto la fine di ogni discriminazione contro questo popolo persone nei confronti dei Cagots al fine, in particolare, di assoggettarli a tassazione. Nonostante questo, le mentalità di villaggio, difficili da cambiare, soprattutto quando sono così isolate da qualsiasi centro di potere, hanno impiegato diversi secoli per evolversi. In Spagna, questo sviluppo è ancora successivo, solo nel XIX secolo il Parlamento di Navarra decise di approvare una legge che aboliva la discriminazione contro Cagots.

 

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Povo amaldiçoado das fronteiras dos Pirenéus com a Occitânia e a Espanha, os Cagots são bem conhecidos dos ancestrais dos Gascões e Béarnais de hoje. Párias ao longo dos séculos, sua origem permanece um mistério.

Até meados do século 17 e um decreto de Luís XIV, eles foram discriminados e sujeitos a numerosas proibições nas comunidades das aldeias. Vítimas do racismo popular sistêmico, são proibidas de residir na aldeia, tocar na água, possuir gado, andar descalço, exercer muitas profissões, casar-se com não-cagots, entrar na igreja pela mesma porta que os cagots, portar arma ou para luta, sua vida diária é extremamente dura.

Eles não podem ter um sobrenome e, para limitar a consanguinidade, têm que viajar milhas para encontrar um parceiro que não seja parente de sua família.

 

Os sacramentos religiosos também são proibidos para eles e devem usar, conforme os locais, roupas vermelhas, pés de galinha ou de pato no paletó.

Não foi até o rescaldo da Revolução Francesa para ver o desaparecimento definitivo da discriminação local contra este povo, mesmo que, já sob Luís XIV, um decreto e várias decisões do Parlamento de Bordéus tivessem apelado ao fim de toda a discriminação contra este no que diz respeito aos cagots, nomeadamente, para os sujeitar ao imposto. Apesar disso, as mentalidades de aldeia, que são difíceis de mudar, especialmente quando estão tão isoladas de qualquer centro de poder, levaram vários séculos para evoluir. Na Espanha, esse desenvolvimento é ainda mais tarde, não foi até o século 19 que o Parlamento de Navarra decidiu aprovar uma lei que aboliu a discriminação contra os cagots.

  

Taken with a ringflash Canon

Camera:Canon EOS-1Ds Mark III

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Focal Length:25 mm

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Flash:On, Fired

 

As Angola didn' t want to deliver me a visa, i've been in Kenya. Well , it's a good suprise to be honest! I've done the most touristic places with lots of lions, elephants etc.. and the most remoted areas in the north where you can meet some really nice tribes, not only Masais!!

On this first post, the Turkana girls playing with my wideangle and my ring flash! The place where they live is really remoted, not touristic at all (in the "best" hotel of the area, i was electrocuted.!), and looks like the moon , or Goubet in Djibouti, as i imagine more people have been in Djibouti!

The "road" to meet them is a shame, compared to the south Kenya with is really well developed. The road consists in rocks, dust, sand...a real hell on earth!

Peter Beard made a lot of pictures in this area.

 

The Turkana inhabit the arid territories of northern Kenya, on the boundary with Sudan.

Nilotic-speaking people, they have for a long time stayed outside of the influence of the main foreign trends. Nomad shepherds adapted to a almost totally desert area, some also fish in the Turkana lake. They are divided in 28 clans. Each one of them is associated with a particular brand for its livestock, so that any Turkana can identify a relative in this way.

The majority of the Turkana still follow their traditional religion: they believe in a God called Kuj or Akuj, associated with the sky and creator of all things. He is thought to be omnipotent but rarely intervenes in the lives of people. Contact between God and the people is made though a diviner (emeron). Diviners have the power to interpret dreams, foresee the future, heal, and make rain. However, the Turkana doubt about those who say they have powers, but fail to prove it in the everyday life. Estimates are that about 15% of the Turkana are Christian. Evangelism has started among the Turkana since the 1970s. Various churches have had work for some decades and church buildings have been built. The most astonishing element one can notice in the villages, is that the only permanent structures are churches, with huts all around. Infact, in the late 1970s, feeding projects as well as literacy courses and other services have been provided by Baptist workers. This easily explains the importance acquired by the Church.

They don't have any physical initiations. They have only the asapan ceremony, transition from youth to adulthood, that all men must perform before marriage.Turkana marriage is polygynous. Homestead consists of a man, his wives and children, and often his mother and other dependent women. Each wife and her children build a sitting hut for daytime and, in the rainy season, a sleeping hut for nighttime. When a new wife comes, she stays at the hut of the mother or first wife until she has her first child. The high bride-wealth payment (30 to 50 cattle, 30 to 50 camels and 100 to 200 small stock) often means that a man cannot marry until he has inherited livestock from his dead father. It also implies that he collect livestock from relatives and friends, which strengthens social ties through the transfer of livestock. Resolution is found to conflicts through discussions between the men living in proximity to one another. Men of influence are particularly listened, and decisions are enforced by the younger men of the area. Each man belongs to alternating generation sets. If a man is a Leopard, his son will be a Stone, so that there are approximately equal numbers of each category. These groups are formed when there is a need to make large groups rapidly. The Turkana make finely crafted carved wooden implements used in daily life. During the rainy season, moonlight nights' songs have a particular place in the Turkana's life. They often refer to their cattle or land, but they are sometimes improvised and related to immediate events. The Turkana have a deep knowledge of plants and products they use as medicine. That is why the fat-tailed sheep is often called "the hospital for the Turkana".

  

Les Turkanas habitent les territoires arides du nord du Kenya, à la frontière avec le Soudan.Peuple de langue nilotique, ils sont pendant longtemps restés hors de l’influence des principaux courants étrangers. Pasteurs nomades adaptés à une zone presque totalement déserte, certains pêchent également dans le lac Turkana. Ils sont divisés en 28 clans. Chacun d’entre eux est associé à une marque particulière donné à son bétail, de telle façon que tout Turkana peut identifier un parent de cette manière.La majorité des Turkana suit encore leur religion traditionnelle : ils croient en un Dieu appelé Kuj ou Akuj, associé au ciel et créateur de toute chose. Les Turkana le voient comme omnipotent mais intervenant rarement dans la vie des gens. Le contact entre Dieu et les hommes se fait par l’intermédiaire d’un divin (emeron). Les devins ont le pouvoir d’interpréter les rêves, prédire l’avenir, soigner et faire pleuvoir. Toutefois, les Turkana doutent de ceux qui disent qu’ils ont des pouvoirs, mais échouent à le prouver dans la vie de tous les jours. Selon des estimations, environ 15% des Turkana sont chrétiens. L’évangélisme a commencé chez les Turkana depuis les années 1970. Diverses églises ont depuis été construites. L’élément le plus étonnbant que l’on peut noter dans les villages est que les seules structures en dur sont les églises, avec des huttes tout autour. En fait, à la fin des années 1970, des projets alimentaires ainsi que des cours d’alphabétisation et d’autres services ont été menés par des travailleurs baptistes. Cela explique facilement l’importance acquise par l’Eglise.Les Turkana n’ont aucune initiation physique. Ils ont seulement la cérémonie asapan, transition de la jeunesse à l’âge adulte, que chaque homme doit suivre avant le mariage. Les Turkana sont polygames. La propriété familiale est composée d’un homme, ses femmes et enfants, et souvent sa mère. Quand une nouvelle femme arrive, elle loge dans la hutte de la mère ou de la première femme jusqu’à ce qu’elle ait son premier enfant. Le paiement élevé pour la mariée (30 à 50 têtes de gros bétail, 30 à 50 dromadaires, et 100 à 200 têtes de petit bétail) signifie souvent qu’un homme ne peut se permettre de se marier jusqu’à ce qu’il ait hérité le bétail de son père décédé. Cela implique également qu’il collecte le bétail requis de parents et amis, ce qui renforce les liens sociaux entre eux. La résolution des conflits se fait par la discussion entre les hommes vivant à proximité.Les hommes d’influence sont particulièrement écoutés, et les décisions sont mises en application par les hommes plus jeunes de la zone. Chaque homme appartient à une classe d’âge spécifique. Si un homme est un Léopard, son fils deviendra une Pierre, de telle façon qu’il y a approximativement un même nombre de chaque catégorie. Les Turkana font des outils en bois finement taillés, utilisés dans la vie de tous les jours. Durant la saison des pluies, les chansons des nuits de pleine lune ont une place particulière dans la vie des Turkana. Elles font souvent référence à leur bétail et terres, mais sont parfois improvisées ou liées à des événements immédiats. Les Turkana ont une connaissance intime des plantes et des produits qu’ils utilisent comme médicaments. La queue grasse des moutons est souvent appelée « l’hôpital pour les Turkana ».

 

© Eric Lafforgue

www.ericlafforgue.com

    

www.fotografik33.com

Venise est une ville portuaire du nord-est de l'Italie, sur les rives de la mer Adriatique. Elle s'étend sur un ensemble de 118 petites îles séparées par un réseau de canaux et reliées par des ponts. Située au large de la lagune vénète, entre les estuaires du Pô et du Piave, Venise est renommée pour cette particularité, ainsi que pour son architecture et son patrimoine culturel - elle et sa lagune sont inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Son nom provient du peuple qui habitait la région avant le Xe siècle, les Veneti. Dénommée Venetiae en latin, elle est parfois surnommée la « Cité des Doges », la « Sérénissime », la « Reine de l'Adriatique », la « Cité des Eaux », la « Cité des Masques », la « Cité des Ponts » ou encore la « Cité flottante ». La ville est aujourd'hui célèbre pour ses canaux - notamment le Grand Canal - et ses gondoles, ses nombreuses églises, la place Saint-Marc, le palais des Doges, le Pont des Soupirs, sa Biennale ainsi que son carnaval.

 

Venice is a city in northeastern Italy sited on a group of 118 small islands separated by canals and linked by bridges. It is located in the marshy Venetian Lagoon which stretches along the shoreline, between the mouths of the Po and the Piave Rivers. Venice is renowned for the beauty of its setting, its architecture, and its artworks. The city in its entirety is listed as a World Heritage Site, along with its lagoon.

The name is derived from the ancient Veneti people who inhabited the region by the 10th century BC.The city historically was the capital of the Republic of Venice. Venice has been known as the "La Dominante", "Serenissima", "Queen of the Adriatic", "City of Water", "City of Masks", "City of Bridges", "The Floating City", and "City of Canals". Luigi Barzini described it in The New York Times as "undoubtedly the most beautiful city built by man".Venice has also been described by the Times Online as being one of Europe's most romantic cities.

 

Venèzia capoluogo dell'omonima provincia e della regione Veneto. È il primo comune della regione per popolazione e per superficie.

Il comune di Venezia comprende sia territori insulari che di terraferma ed è articolato attorno ai due distinti centri di Venezia (al centro dell'omonima laguna) e di Mestre (nella terraferma).

La città di Venezia è stata per più di un millennio capitale della Repubblica di Venezia e conosciuta a questo riguardo come la Serenissima, la Dominante e la Regina dell'Adriatico.

the subject for the challenge of this month on french forum is "peace in world" (la paix des peuples). at first no idea but a few days ago I remember a woman who used grenades as pots for plants. what a beautifull message of peace !

it was quite difficult to find good proportion in the tesselation for the grenade and actually I'm not really happy with the result but don't to fold it again !

one uncut 25cm square of tissue foil and unryu... and hope... you like it ;-)

Mon dernier livre sur le Maroc en vente en ligne - My latest book on Morocco for sale online:

 

Maroc: L'essence d'un peuple. by Photographies: Olivier Simard

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Livre sur le Rajasthan / My book upon the Rajasthan

 

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Pour vos séjours, for your trip in India: elephantravel.com/

Best Viewed BLACK

  

Going home after a day in the office up the stairs to the BTS a moment in time just around lunch time.. :-)

  

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Prise au cours d'un midi durant la semaine.. Bon Samedi :-)

Couleur Eté ...

Le peuple de l'herbe et de l'eau...

Caloptéryx -

 

Merci pour vos passages sur les vues, favoris et commentaires .

Thanks all for the views, favs and comments, very appreciated.

L’atelier de fabrication artisanale du papier Antemoro se situe dans l’enceinte de l’hôtel « Aux Bougainvillées ». A partir de l’écorce de l’arbre « Havoha », les Malgaches font des merveilles !

Ce sont les Arabes arrivés sur la côte est de Madagascar au 12e siècle qui ont fait découvrir la fabrication du papier au peuple Antemoro (aussi écrit « Antaimoro »). Ils reproduisaient alors le Coran sur ces feuilles de papier faites à base d’Havoha. En 1936 Pierre Mathieu, un Français installé à Madagascar développe la production avec une visée non religieuse…juste du très beau papier décoré, et ça marche !

L’Havoha est une espèce ne se trouvant que dans cette région de Madagascar. Son écorce séchée est bouillie dans une énorme marmite pendant environ 4 h permettant de passer à l’étape suivante : écraser le mélange pour obtenir une boule compacte. Pour obtenir la fameuse pâte, des femmes tapent pendant des heures avec des maillets dans chacune de leurs mains pour obtenir une « bouillie » de cette écorce. La pâte obtenue est étalée sur du tissu dans un tamis qui est alors plongé dans un immense bac d’eau.

Arrive l’étape de la vidange de l’eau… la pâte assez homogène et « plate » apparaît. C’est alors que les femmes choisissent des fleurs fraîches pour faire le décor du papier Antemoro. Elle laisse aller leur inspiration sans modèle particulier à suivre ! Une 2e couche de pâte fixe définitivement les fleurs dans la feuille.

Mises au soleil, les feuilles sèchent puis sont finalisées avant leur mise en vente : cartes postales, livres d’or, marques-pages, petit carnet, papier à lettres, etc.

Ce travail manuel est répétitif mais aussi délicat. Tout se fait à la main et le papier résiste admirablement bien dans le temps.

 

www.onetwotrips.com/papier-antemoro-madagascar/

www.persee.fr/doc/arch_0044-8613_1983_num_26_1_1847

www.madamagazine.com/en/papier-der-antemoro/

 

El taller de artesanía en papel Antemoro se encuentra dentro del hotel “Aux Bougainvillées”. ¡Utilizando la corteza del árbol “Havoha”, los malgaches hacen maravillas!

Fueron los árabes que llegaron a la costa este de Madagascar en el siglo XII quienes introdujeron al pueblo Antemoro (también escrito "Antaimoro") en la fabricación de papel. Luego reprodujeron el Corán en estas hojas de papel hechas con Havoha. En 1936, Pierre Mathieu, un francés que vivía en Madagascar, desarrolló una producción con un objetivo no religioso... simplemente un papel decorado muy bonito, ¡y funcionó!

El Havoha es una especie que se encuentra únicamente en esta región de Madagascar. Su corteza seca se hierve en una olla enorme durante unas 4 horas para pasar al siguiente paso: triturar la mezcla hasta obtener una bola compacta. Para obtener la famosa pasta, las mujeres golpean durante horas con mazos en cada una de sus manos para obtener una “papilla” de esta corteza. La pasta resultante se extiende sobre una tela en un colador que luego se sumerge en un enorme tanque de agua.

Llega la etapa de escurrir el agua… aparece la masa bastante homogénea y “plana”. Es entonces cuando las mujeres eligen flores frescas para decorar el papel Antemoro. ¡Deja fluir su inspiración sin ningún modelo concreto a seguir! Una segunda capa de pasta fija permanentemente las flores en la hoja.

Colocadas al sol, las hojas se secan y luego se ultiman antes de ponerlas a la venta: postales, libros de visitas, marcapáginas, pequeños cuadernos, papel de escribir, etc.

Este trabajo manual es repetitivo pero también delicado. Todo está hecho a mano y el papel aguanta admirablemente el paso del tiempo.

  

The Antemoro paper craft workshop is located within the “Aux Bougainvillées” hotel. Using the bark of the “Havoha” tree, the Malagasy people work wonders!

It was the Arabs who arrived on the east coast of Madagascar in the 12th century who introduced the Antemoro people (also written “Antaimoro”) to papermaking. They then reproduced the Koran on these sheets of paper made from Havoha. In 1936 Pierre Mathieu, a Frenchman living in Madagascar, developed production with a non-religious aim...just very beautiful decorated paper, and it worked!

The Havoha is a species found only in this region of Madagascar. Its dried bark is boiled in a huge pot for about 4 hours to move on to the next step: crushing the mixture to obtain a compact ball. To obtain the famous paste, women tap for hours with mallets in each of their hands to obtain a “mush” of this bark. The resulting paste is spread on cloth in a sieve which is then immersed in a huge tank of water.

The stage of draining the water arrives… the fairly homogeneous and “flat” dough appears. It is then that the women choose fresh flowers to decorate the Antemoro paper. She lets their inspiration flow without any particular model to follow! A 2nd layer of paste permanently fixes the flowers in the leaf.

Placed in the sun, the sheets dry then are finalized before being put on sale: postcards, guest books, bookmarks, small notebooks, writing paper, etc.

This manual work is repetitive but also delicate. Everything is done by hand and the paper holds up admirably well over time.

 

Réf. : DSC07255

 

Borobudur, Java, Indonésie

- Gmunden est une ville autrichienne, chef-lieu du district du même nom, en Haute-Autriche. Peuplée d'un peu plus de 13 000 habitants, elle se situe dans la région touristique du Salzkammergut au bord du lac Traunsee.

- L'hôtel de ville date, pour sa troisième version, de 1756. Sur la façade se trouvent les armoiries de la ville, une horloge aux couleurs de l'Autriche, les armoiries de la région de Haute-Autriche, l'aigle impériale à deux têtes ainsi qu'un carillon en céramique, le seul d'Autriche, fabriqué à Meißen en 1957 et utilisé pour la première fois l'année suivante. Le décor des cloches rappelle la manufacture de céramique de la ville.

- Gmunden a obtenu le statut de ville en 1278. La ville est connue, entre autres, comme le lieu d'origine de la Gmunden ceramic, comme lieu de villégiature d'été renommé à l'époque de la monarchie impériale et royale ainsi que comme lieu de tournage de la série télévisée Schlosshotel Orth, produite dans les années 1990.

 

- Merci pour vos passages sur les vues, favoris et commentaires.

- Thanks all for the views, favs and comments, very appreciated.

 

- Mes vidéos ICI : www.youtube.com/@Poulbeau19/videos

Hello, Welcome.

 

* T.P 7/9 :"L.I.N.G.U.A.E" Disponible en 4k :

www.youtube.com/watch?v=3H-hDx1xJLI

 

**La Bête du Gévaudan :

 

(la Bèstia de Gavaudan en occitan) est un animal à l'origine d'une série d'attaques contre des humains survenues entre le 30 juin 1764 et le 19 juin 1767. Ces attaques, le plus souvent mortelles, entre 88 et 124 recensées selon les sources, eurent lieu surtout dans le nord de l'ancien pays du Gévaudan (qui correspond globalement au département de la Lozère), région d'élevage. Quelques cas ont été signalés dans le sud de l'Auvergne, le nord du Vivarais, le Rouergue et le sud du Velay.

 

La Bête du Gévaudan dépassa rapidement le stade du fait divers, au point de mobiliser de nombreuses troupes royales et de donner naissance à toutes sortes de rumeurs et croyances1, tant sur sa nature — perçue tour à tour par les contemporains comme un loup, un animal exotique, un « sorcier » capable de charmer les balles2, voire même un loup-garoun 2 ou un tueur en série à une époque plus récente — que sur les raisons qui la poussaient à s'attaquer aux populations — du châtiment divin à la théorie de l'animal dressé pour tuer.

 

Alors qu'une centaine d'attaques équivalentes se sont produites au cours de l'histoire de France, peuplée par environ 20 000 loups à cette époque, ce drame intervient opportunément pour la presse en mal de ventes après la guerre de Sept Ans : le Courrier d'Avignon puis La Gazette de France et les gazettes internationales s'emparent de cette affaire pour en rédiger un feuilleton, publiant des centaines d'articles sur le sujet en quelques mois4.

 

Parmi les nombreux animaux abattus au cours de cette période, deux canidés sont soupçonnés d'être la Bête5. Le premier est un grand loup tué par François Antoine, porte-arquebuse du roi de France, sur le domaine de l'abbaye royale des Chazes en septembre 1765. Une fois ce loup empaillé à Versailles, les journaux et la Cour se désintéressèrent de cette affaire, bien que d'autres morts aient été déplorées ultérieurement. En juin 1767, Jean Chastel, paysan originaire de La Besseyre-Saint-Mary, tua le second animal, identifié comme un loup ou un canidé ressemblant partiellement à un loup. Selon la tradition, l'animal tué par Chastel était bien la Bête du Gévaudan car, passé cette date, plus aucune attaque mortelle ne fut signalée dans la province. L'identité biologique du ou des canidé(s) responsable(s) des attaques fait toujours l'objet de débats, avivés par la polémique liée à la réapparition du loup gris en France et par les controverses sur la dangerosité de Canis lupus.

 

Puisant leur inspiration dans un essai du gynécologue Paul Puech (1910) ainsi que dans les romans de l'angliciste Abel Chevalley (1936) et du folkloriste Henri Pourrat (1946), plusieurs ouvrages et articles rédigés par des défenseurs du loup évoquent l'œuvre d'un tueur en série éventuellement figuré en dresseur de fauves et parfois identifié au comte de Morangiès ou à un fils de Jean Chastel prénommé Antoine. Or aucun document ne corrobore cette hypothèse d'une implication humaine, essentiellement influencée par le genre romanesque.

  

***Researchers and environmental analysts, our work focuses mainly on the dynamics of natural fluids and their potential for action as well as the systems of adaptation and evolution of species, the artistic aspect of this project being only a "Bonus".

Soutenez les profondeurs (Support the depths) :

www.leetchi.com/c/soutenez-le-projet-des-profondeurs-avp9

 

J&Lux A.V.P.9

 

#research #development #creation

En ces moments tellement difficiles pour la France et ses citoyens, je veux faire un petit hommage pour montrer tout mon soutien à tout le peuple français après l'acte terroriste des dernières heures. À l'image, le ZGC 27630 à la gare de Latour-de-Carol - Enveitg en un service regional TER Midi-Pyrénées en provenance de Toulouse-Matabiau, avec la silhouette des Pyrénées au fond.

 

En aquests moments tan durs per França i els seus ciutadans, vull fer un petit homenatge per mostrar tot el meu suport i solidaritat a tot el poble francès després de la barbàrie terrorista de les darreres hores. A la imatge, veiem el ZGC 27630 a l'estació de La Tor de Querol-Enveig amb un TER Midi-Pyrénées procedent de Toulouse-Matabiau, amb la silueta dels Pirineus al fons.

 

En estos momentos tan duros para Francia y sus ciudadanos, quiero hacer un pequeño homenaje para mostrar todo mi apoyo y solidaridad a todo el pueblo francés después de la barbarie terrorista de las últimas horas. En la imagen, vemos el ZGC 27630 en la estación de Latour-de-Carol - Enveitg a cargo de un TER Midi-Pyrénées procedente de Toulouse-Matabiau, con la silueta de los Pirineos al fondo.

 

In these hard moments for France and his citizens, I want to do a small homage to show all my support and solidarity to the French people after the terrorist attacks of the last hours. In the image, the EMU ZGC 27630 from the French Railways (SNCF) in Latour-de-Carol - Enveitg station, near the border with Spain.

 

Enveitg, juin 2015 / juny 2015 / junio 2015 / june 2015

 

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