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Ugo Schiavi - Soulèvement-Effondrement, 2022

 

Né en 1987. Ugo Schiavi vit et travaille à Marseille.

 

Les sculptures d'Ugo Schiavi se présentent comme des fragments de corps érodés par le temps, destinés à une archéologie du futur. En restant fidèle à sa pratique du prélèvement et de la capture du monde extérieur, l’artiste produit des télescopages de temporalité et de civilisation, allant de la culture antique à celle de la surproduction industrielle. Il conçoit des êtres hybrides : sortes de chimères composites formées d’objets et de matériaux hétérogènes, comme jaillis de l’inconscient de nos sociétés post-industrielles.

 

L’œuvre pour Paris La Défense

Ugo Schiavi réactualise son projet monumental, produit lors de la Nuit Blanche de 2018. L’œuvre Soulèvement-Effondrement est un moulage du génie de la République, issu du groupe sculpté Le triomphe de la République de Jules Dalou situé sur la place de la Nation, auquel s’ajoutent d’autres éléments sculpturaux contemporains dans une forme d’anachronisme recherché. Ces fragments sculpturaux renversés se répandent sur la place Moretti de l’esplanade de La Défense à la manière d’une ruine contemporaine envahie par la végétation.

 

Soulèvement-Effondrement, 2018-2022

Résine, terre, végétaux, structure acier

  

Gente inconsciente, con sus palabras falsas bañadas de aquella frágil capa de la simpatía, regalando palabras, como si exentas de peso fuesen.. Las palabras no son un acto aislado, poseen cargas gigantes, y ésta gente, las lanza sin mas.

Más fácil sería que de verdad tildasen su vida, que de verdad tildasen sus palabras para evitar toda aquella congoja y sangramiento espiritual que crean dejando espinas en yagas, dejando heridas con suturas de palabras mal tildadas; aquellos pies que destruyen el castillo de arena de los niños, esas son las mentiras que dejan colgando de un hilo sobre nuestra cabeza, tal como si fuésemos aquel desgraciado rey Tántalo..

 

Mi espalda suda el hielo mismo cuando cuando recuerdo sus asquerosas palabras; con una mirada de desprecio me alejo, y en un posdata te dejo el saludo.

 

HOMBRE SOLITARIO-PINTURA-ARTE-PASEO-VIDA-TERRENAL-LUZ-CONEXION-ENERGIAS-DETALLES-PINTURAS-ARTISTA-PINTOR-ERNEST DESCALS-

EN cuantas ocasiones puedo encontrar en los detalles de mis pinturas aquellos trozos de verdad pintada de forma inconsciente, como si fueran mensajes que nos llegan del más allá?, en este pequeño fragmento de uno de los cuadros dedicados a los paisajes marineros de las playas de Comarruga y de Sant Salvador, en la Costa Dorada de Tarragona, ahí en esta figura volátil puedo reconocerme a mí mismo, un hombre solitario en su paseo por nuestra vida terrenal en espera del paso que nos llevará a otro mundo, a dimensiones conocidas de antemano y ahora, en el presente, olvidadas por la fuerza del contrato que hemos querido firmar con nuestra sangre que se ha de perfeccionar aún. Me parece ver al lobo estepario del muy admirado autor literario y sabio Hermann Hesse, un ser humano en su andadura vital, también acierto a observar una pequeña y especial luz que aflora de la parte superior de la cabeza, sin duda es la conexión necesaria con las energías que nos acompañan en nuestro pasear por el planeta, conexiones con otros espíritus de seres amados y que ya no se encuentran aquí, ellos están aguardando el encuentro que se producirá en su momento exacto, ahora simplemente nos acompañan con la ilusión de ayudarnos en la mejor orientación posible. Tengo que reconocer que en bastantes ocasiones soy consciente de estas ayudas, mientras que en otras muchas no pienso en ellas, simplemente las disfruto, de todos modos siempre las agradezco como un auténtico tesoro interior, hay algo más en nuestro mundo que no sea interior?, para mí casi nada. Fragmentos de una pintura del artista pintor Ernest Descals, en el detalle encontramos aquello que es real y en nada superficial.

Le besoin pressant d'un univers logique et cohérent est profondément ancré dans l'inconscient humain. Mais l'univers réel est toujours à un pas au-delà de la logique.

 

Deep in the human unconscious is a pervasive need for a logical universe that makes sense, But the real universe is always one step beyond logic.

 

Credits: ESA/NASA–T. Pesquet

 

439H0409

Série L'inconscient

l exposition a Michel simon

artiste: barth / doze / dume / nourou naro / opéra /spia 10 / catcat /

expo sur l art urbain du 25 avril au 31 mai

Freud dit: L'artiste est celui qui parvient à exprimer des désirs inconscients, que nous partageons à notre insu avec lui .

J'ai voulu refaire revivre le temps d'une expo ce qui m'a ému .

cette expo est pour vous Graffeurs merci pour votre talent à créer des choses d'une qualité exceptionnelle

milles excuse pour tous ceux que je ne suis pas arrrivée à identifier

 

Bonifacio.

Cité fortifiée, est ancrée sur une assise calcaire, véritable isthme sur la mer.

On ne visite pas Bonifacio, on s'y abandonne.

Inconsciemment, le visiteur remonte le temps et se surprend à flâner tel un équilibriste sur les remparts millénaires chargés d'Histoire : tissage de ruelles étroites, placettes de quartiers et verticalité des anciens palazzi invitent à une découverte en dilettante, cadencée par des perspectives qui tels des mirages l'aspirent vers la ville basse et sa marine ou l'entraîne vers le sommet des falaises.

Dream Caused by the Feverish Flight of a Concupiscent Pigeon Around a Daliesque Girona's place One Second Before the Nightmare of Awakening.

  

(a 3D dream . . inspired by the Dali's sleep (YouTube))

 

(an animation created by CJP . . inspired by the Dali's sleep (YouTube))

 

 

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Outlining a Theory of General Creativity . .

. . on a 'Pataphysical projectory

 

Entropy ≥ Memory ● Creativity ²

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Study of the day:

 

[...] Quel est le type de contrôle qui convient à l’expression des mécanismes inconscients de la pensée dans l'écriture automatique ? .. Je dis seulement qu'il ne faut pas y voir une écriture incontrôlée. Ces artistes, de la création automatique, se réclament tous d’un contrôle, à commencer par Dali, puisqu’il ne fait pas de la paranoïa, mais il fait de la paranoïa un usage critique, la paranoïa devient une méthode de critique du monde et de ses apparences.

 

( Gilles Deleuze - Pensée et automatisme - Cours de l'Université Paris 8 )

 

[...] What kind of control fits to the expression of unconscious mechanisms of thought in the automatic writing ? .. I just say that we have not to see here an uncontrolled writing. These artists, of automatic creation, claim all the practice of a control, starting with Dali, he doesn't make some paranoia, but he makes an active practice of the paranoia, the paranoia becomes a method of the world critic and of its appearances.

 

( Gilles Deleuze - Thought and automation - Paris 8 University courses )

 

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rectO-persO | E ≥ m.C² | co~errAnce | TiLt

Le besoin pressant d'un univers logique et cohérent est profondément ancré dans l'inconscient humain. Mais l'univers réel est toujours à un pas au-delà de la logique.

 

Deep in the human unconscious is a pervasive need for a logical universe that makes sense, But the real universe is always one step beyond logic.

 

Credits: ESA/NASA–T. Pesquet

 

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Le besoin pressant d'un univers logique et cohérent est profondément ancré dans l'inconscient humain. Mais l'univers réel est toujours à un pas au-delà de la logique.

 

Deep in the human unconscious is a pervasive need for a logical universe that makes sense, But the real universe is always one step beyond logic.

 

Credits: ESA/NASA–T. Pesquet

 

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Le besoin pressant d'un univers logique et cohérent est profondément ancré dans l'inconscient humain. Mais l'univers réel est toujours à un pas au-delà de la logique.

 

Deep in the human unconscious is a pervasive need for a logical universe that makes sense, But the real universe is always one step beyond logic.

 

Credits: ESA/NASA–T. Pesquet

 

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Pour cette nouvelle exposition au Palais de Tokyo, Ulla von Brandenburg (née en 1974 à Karlsruhe, vit et travaille à Paris) a imaginé un projet total et évolutif, inspiré du théâtre, de son imaginaire et de ses conventions. Autour de la notion de rituel, entendue comme possibilité d’explorer les relations entre l’individu et le groupe, de créer ou non du commun, l’artiste invite le public à prendre part à une expérience immersive et renouvelée des thèmes, des formes et des motifs qui irriguent son œuvre : le mouvement, la scène, la couleur, la musique, le textile...

extrait du site de l'exposition : "Ulla von Brandenburg. Le milieu est bleu" au Palais de Tokyo, Paris

www.palaisdetokyo.com/fr/evenement/ulla-von-brandenburg-0

 

Avec cette exposition, Ulla von Brandenburg transforme le Palais de Tokyo en un espace théâtral coloré, musical, vivant et immersif (y aller de préférence le samedi lorsque les "performeurs" qui ont tourné le film projeté sont présents).

L'ensemble évoque un paradis retrouvé par une communauté rurale et chamanique d'individus de tous les âges à laquelle le visiteur peut être sensible ou rester très extérieur. Certains critiques y ont vu à tort une régression aux mouvements des années 70 alors que l'artiste propose peut-être plus simplement d'ouvrir les fenêtres du palais de Tokyo sur un monde utopique, apaisé et dépollué, loin de la mondialisation et du marché de l'art contemporain.

Peut-être pourrait-on même y voir une réminiscence (inconsciente ?) de la colonie d'artistes du Monte Verità qui a existé au début du XXè siècle à Ascona, sur les bords du lac majeur en Suisse et à propos de laquelle le célèbre critique d'art suisse Harald Szeemann a réalisé en 1978 une exposition mémorable.

La communauté de Monte Verità (photo dalbera)

www.flickr.com/photos/dalbera/42971322744/in/album-721576...

Dans son livre intitulé L’homme devant la mort, Philippe Ariès écrit : « Le repos est à la fois l’image la plus ancienne, la plus populaire et la plus constante de l’au-delà. Elle n’a pas encore disparu aujourd’hui, malgré la concurrence d’autres types de représentation » [1]

[1]

P. Ariès, L’homme devant la mort, Paris, Seuil, 1977, p. 32.. Dans la mythologie antique, Hypnos et Thanatos sont frères jumeaux. Or le rapprochement du sommeil et de la mort n’est pas le seul fait des Grecs. Des sociologues et des historiens [2]

[2]

Voir P. Boyancé, Le sommeil et l’immortalité, extrait des… se sont penchés sur cette gémellité et en ont trouvé des traces chez les Romains, dans les textes médiévaux [3]

[3]

P. Ariès cite les adieux d’Olivier et de Roland (L’homme devant…, mais aussi, loin de l’Occident, chez de nombreux peuples dits « primitifs » [4]

[4]

E. Morin cite par exemple le proverbe boshiman : « la mort est…. À la Renaissance, certains penseurs – théologiens, médecins, poètes et écrivains – reprennent cette association traditionnelle du sommeil et de la mort, et lui donnent souvent une portée qu’elle était loin d’avoir dans les textes antiques.

 

2Après avoir analysé les raisons d’une telle association entre le sommeil et la mort, nous nous pencherons sur l’évolution de ce thème à la Renaissance, et, dans un dernier temps, nous relèverons les traces d’un tel rapprochement sous la plume d’un des plus grands poètes du xvie siècle, Pierre de Ronsard [5]

[5]

Voir également C. Pigné, Le Sommeil, la Fantaisie : l’âme,….

 

I – La mort est un « sommeil »

3Les raisons d’un tel rapprochement peuvent être nombreuses. La plus évidente est l’analogie entre le corps d’un homme endormi et celui d’un cadavre : même position allongée, même baisse de la température corporelle, mêmes yeux fermés, apparente décontraction, « inconscience ». Mais cette ressemblance ne résiste pas aux simples données de l’expérience. Le corps d’un homme mort ne ressemble à celui du dormeur que quelques heures ; il est ensuite inéluctablement entraîné dans le processus de décomposition [6]

[6]

Voir E. Morin, L’homme et la mort, op. cit., p. 139.. De plus, le dormeur « sort » de son sommeil ; le cadavre ne peut « sortir » de la mort.

 

4Il faut donc chercher ailleurs les causes d’une telle analogie, loin de la simple observation visuelle. Cette association a comme but principal d’euphémiser la mort, de supprimer ce qui fait d’elle l’altérité absolue, de la rapprocher d’un état connu, rassurant, que traverse l’homme chaque jour : le sommeil. Le discours de Socrate à la veille de sa mort est, à cet égard, révélateur : la mort n’est peut-être qu’une nuit sans rêves [7]

[7]

Voir Platon, Apologie de Socrate, 40c.. À la Renaissance, Montaigne reprend le raisonnement socratique au livre III des Essais : « Si c’est un anéantissement de notre être, c’est encore amendement d’entrer en une longue et paisible nuit. Nous ne sentons rien de plus doux en la vie, qu’un repos et sommeil tranquille et profond sans songes » [8]

[8]

Michel de Montaigne, Les Essais, éd. réalisée par D. Bjaï, B.…. Comment craindre la mort dans ces conditions ? La conséquence immédiate d’un tel raisonnement est également faite pour rassurer : si la mort est un sommeil, l’agonie n’est qu’une autre forme de l’endormissement. Point de douleur là où la conscience glisse progressivement ailleurs, dans la douceur [9]

[9]

R. B. Onians montre que, dans l’imaginaire grec archaïque…. À la suite d’un grave accident, Montaigne décrit ainsi ce qui ressemble fort à une agonie : « Il me semblait que ma vie ne me tenait plus qu’au bout des lèvres : je fermais les yeux pour aider (ce me semblait) à la pousser hors, et prenais plaisir à m’alanguir et à me laisser aller. C’était une imagination qui ne faisait que nager superficiellement en mon âme, aussi tendre et aussi faible que tout le reste : mais à la vérité non seulement exempte de déplaisir, ainsi mêlée à cette douceur, que sentent ceux qui se laissent glisser au sommeil. Je crois que c’est ce même état, où se trouvent ceux qu’on voit défaillants de faiblesse, en l’agonie de la mort : et tiens que nous les plaignons sans cause, estimant qu’ils soient agités de grièves douleurs, ou avoir l’âme pressée de cogitations pénibles » [10]

[10]

Montaigne, Les Essais, op. cit., livre II, chapitre VI, « De…. G. Matthieu-Castellani commente ainsi ce passage : « Plaisir de mourir, mourir de plaisir : ce plaisir est d’une qualité tout autre que le plaisir viril ; il est tout d’abandon, de laisser-aller, d’alanguissement, de glissement ; c’est un plaisir féminin, marqué par la liquidité, l’effusion (…) un plaisir à la surface du corps, à la surface de l’âme, senti “au bout des lèvres”, aux “bors de l’ame”, un plaisir oral comme celui de l’infans, arrosé du lait maternel » [11]

[11]

G. Mathieu-Castellani, « Veiller en dormant, dormir en….

 

5La mort serait donc rapprochée du sommeil pour une autre raison : celle de sa ressemblance avec l’état prénatal. P. Ariès cite la réaction des sept dormants d’Ephèse, contenue dans La légende dorée de J. de Voragine, s’écriant à leur réveil, après un très long sommeil : « Or, de même que l’enfant dans le ventre de sa mère vit sans ressentir de besoins, de même nous aussi, nous avons été vivant, reposant, dormant et n’éprouvant pas de sensations ! » [12]

[12]

P. Ariès, L’homme devant la mort, op. cit., p. 31-32.. Pour E. Morin, cette ressemblance entre le sommeil, la mort et la vie fœtale est essentielle : « L’idée d’éternel sommeil n’aurait été qu’une idée à la surface de l’expérience, aussitôt démentie par elle, si elle ne s’était alourdie, épanouie et poursuivie dans la tiède communication de toutes les profondes analogies de la mort. C’est le sommeil originaire que retrouve le mort. Il y a triple analogie entre le sommeil nocturne des vivants, le sommeil de la mort et le sommeil fœtal. Ils se tiennent tous trois au niveau des “sources élémentaires” aux “tréfonds de toute vie”. Notre petite vie est baignée d’un grand sommeil. Le sommeil notre berceau, le sommeil notre tombeau, le sommeil notre patrie, d’où nous sortons le matin, où nous rentrons le soir, et notre vie, le court voyage, la durée entre l’émergement, l’unité première et l’engloutissement en elle » [13]

[13]

E. Morin, L’homme et la mort, op. cit., p. 139-140.. Maternel, doux et accueillant, le sommeil profond gomme tout ce que la mort peut avoir d’effrayant : la coupure définitive avec les êtres chers, les douleurs de l’agonie, l’Inconnu absolu.

 

6Reste une dernière raison qui intéresse moins le sommeil profond que le sommeil propice aux rêves. Selon de nombreuses croyances philosophiques, poétiques et médicales, l’âme du dormeur se détacherait du corps, temporairement bien sûr, dans le temps du sommeil. Ronsard, par exemple, utilise l’expression « L’ame du corps a demi detachée » [14]

[14]

Lm XVI, La Franciade, livre I, p. 81, v. 1045, variante de…. Ce voyage psychique permettrait au rêveur d’entrer en contact avec le monde divin, céleste, et de connaître des vérités suprasensibles, interdites à l’homme éveillé dont le corps reste trop pesant [15]

[15]

Pour Ronsard, voir Lm X, L’Excellence de l’esprit de l’homme,…. Une telle conception du sommeil est alors très proche de celle de la mort, qui suppose, selon de nombreuses croyances, un détachement de l’âme et du corps, cette fois définitif [16]

[16]

« Le sommeil donne à l’homme une connaissance et une…. Cette distanciation du rapport âme-corps – ponctuelle dans le cas du sommeil, définitive dans le cas de la mort – expliquerait par exemple le rapport de fraternité entre ces deux notions, divinisées dans la mythologie grecque. Dans son Anthropologie du rêve, S. Jama écrit ainsi : « Schématiquement, on dira que le voyage de l’âme est provisoire dans le cas du sommeil : il produit les actions et visions du rêve. Ce départ de la partie spirituelle de l’homme est définitif et irréversible au moment de la mort : il entraîne l’altération corporelle. Sommeil et mort participent bien d’un mécanisme identique. Si l’âme se présente comme inaltérable, le corps ne subit de dégradation que dans le cas du décès » [17]

[17]

S. Jama, Anthropologie du rêve, Paris, P.U.F., 1997, p. 98..

 

7On peut se demander, dans ces conditions, pourquoi le lien de fraternité a été remplacé par un lien de gémellité ? Or la gémellité humaine vient ici éclairer la gémellité divine. Hypnos et Thanatos, frères jumeaux, ont des destins similaires, mais l’un le vit dans le monde des vivants, l’autre le poursuit dans le monde infernal. Dans le cas de jumeaux humains, l’un serait mort, tandis que l’autre resterait en vie. L’image de rêve vient jouer encore une fois un rôle important : « Que produit l’absence d’un jumeau lorsque le double du disparu poursuit ses jours parmi les vivants ? À l’occasion d’une naissance gémellaire, n’attribue-t-on pas aux deux nourrissons un seul et même destin ? Le décès du premier des deux le transforme en revenant peut-être jaloux de son alter ego. Le jumeau mort est donc, curieusement, l’unique être qui continue son vieillissement de l’autre côté du miroir de la vie » [18]

[18]

S. Jama, Anthropologie du rêve, op. cit., p. 103. Cet auteur….

 

8L’association de la mort et du sommeil repose donc sur des bases plus solides que la simple analogie entre le dormeur et le cadavre. Elle répond à des inquiétudes profondes de l’homme et permet de les apaiser. La mort ne serait qu’un sommeil éternel, une nuit sans fin. Mais elle permet aussi de répondre aux interrogations métaphysiques de certains, anxieux de comprendre à quoi ressemble l’au-delà : le songe serait cette ouverture timide sur la réalité infernale. Reste désormais à tracer l’évolution de cette association dans les textes antiques et ceux de la Renaissance.

 

II – De la mythologie antique aux mythographes de la Renaissance [19]

Le besoin pressant d'un univers logique et cohérent est profondément ancré dans l'inconscient humain. Mais l'univers réel est toujours à un pas au-delà de la logique.

 

Deep in the human unconscious is a pervasive need for a logical universe that makes sense, But the real universe is always one step beyond logic.

 

Credits: ESA/NASA–T. Pesquet

 

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El miedo inherente a la vida o a la muerte. El miedo a vivir se refleja como el temor a la nada, el temor a un futuro no palpable ni manipulable; algo natural. El miedo a la muerte se entiende como la angustia inconsciente de sentir que el presente no lo estamos enfocando según nuestro deseo interno; actuamos para nosotros? o es que nuestro actuar esta determinado por el miedo a la vida, el miedo a la nada? La mezcla entre el temor a vivir y a morir puede ser tomado como el clásico juego de la existencia humana, en donde el temor a la vida, genera el temor a la muerte, ya que le quita a la vida su color propio, y el ser humano al comprender que su vida no es lo que a el le gustaría que fuese, siente su corazón llenarse de angustia...

Nombre del autor: Eduardo López.

Ciudad de origen y país: Caracas, Venezuela.

Dónde fue tomada la foto: En un sitio llamado El Mango, carretera Higuerote-Chirimena, cruce con la carretera a Curiepe, Barlovento, Estado Miranda, centro norte de Venezuela.

Contenido de la foto: Un Araguaney (Tabebuia chrysantha) en flor.

Por qué es especial: Porque es el árbol emblemático nacional de Venezuela y su día se celebra el último domingo de mayo.

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Lugar: El Mango, carretera Higuerote-Chirimena, cruce con la carretera a Curiepe, Barlovento, centro norte de Venezuela.

 

El día que tomé esta foto la Fila del Cabo resplandecía con el amarillo de cientos de araguaneyes en flor.

 

Una foto más cercana de las flores se puede encontrar aquí.

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Sobre nuestro árbol emblemático nacional he escrito el texto que sigue en el cual se refieren algunos de los atributos que se le asignan.

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Sin la menor duda el Araguaney (Tabebuia chrysantha), árbol loado, hoy como ayer, por muchos de los habitantes de Venezuela, ya tiene firmemente ganada y reconocida su posición descollante, no obstante las objeciones que hicieran en su momento Enrique Bernardo Núñez y otros (Núñez, 2005 [1932-1960], p. 79-81) a su selección como árbol emblemático nacional. Primero que nada, se trata de una especie que se da a lo largo y ancho de nuestra geografía, diseminádose por casi todas partes, como bien indicaba Antonio García Delepiani en el párrafo que se transcribe a continuación:

 

«La particularidad más resaltante del Araguaney consiste en su adaptación a todas las disímiles regiones del país: Crece silvestre en el llano y en la montaña; suele abrirse paso entre los gigantes de las selvas... Ningún otro de sus hermanos en la flora venezolana tiene esa generalidad nacional» (García, 1955, p. 66).

 

Ese carácter ubicuo del Araguaney que, fuera de la temporada de floración, tal vez pudiera pasar desapercibido para aquellos que no estén muy familiarizados con nuestra variadísima vegetación, se transforma en omnipresencia impactante durante los meses del verano, cuando se lo ve florecer por doquier como una marea de amarillo intenso imposible de ignorar. En palabras de Eleazar Orta «el araguaney es, sin duda alguna, uno de los árboles más bellos de nuestros bosques en el tiempo de su florescencia. Cubierto completamente con flores de un color amarillo dorado hermosísimo, constituye el más brillante espectáculo de magia y color de la naturaleza venezolana» (Orta, [Sin fecha], p. 2).

 

Otro hecho de la mayor relevancia es la identificación que parece existir en el inconsciente colectivo entre el Araguaney y las nociones de vitalidad, vigor y resurgencia, ya que su esplendorosa floración se produce precisamente entre los meses de febrero a abril, cuando la sequía arrecia haciendo que los campos y bosques castigados por ella parezcan desfallecer de tristeza y se vistan de luto a causa de los incendios forestales, como bien hacía notar el ya citado García Delepiani en el texto que sigue:

 

«El Araguaney es riqueza emotiva: sus expresiones embellecen nuestros campos en la época en que la sequía los tuesta y los afea. Son estos los meses en que el Arbol Nacional hace sentir su personalidad en la naturaleza del trópico venezolano. Se asoma a los paisajes para advertir que la vida subsiste dentro de la tierra cálida y sedienta; sus ramazones cubiertas de un vigor amarillo y el grito de las chicharras suplicando agua, son las tórridas señales de vida... Los campesinos lo aman en forma instintiva; es el poeta de los bosques cuando los bosques reclaman una esperanza tonificante» (García, 1955, p. 65-66). No es casual entonces que en la poesía de Pedro Lhaya, quien siempre se mantuvo enraizado con su pueblo, el Araguaney sea símbolo inapelable de la fortaleza y el aguante. Así lo dijo con suma claridad en La flor de Galipán, donde ponderó su resistencia a la sequía y al invierno en la estrofa siguiente:

 

«y de su terca savia de árbol múltiple,

amellador de hacha:

araguaney que permanece

contra la lengua ácida

de candelas de marzos, y aguas de noviembres.»

(Lhaya, 1967, p. 31)

 

Y, como era de esperarse, quien lucha, resiste y persiste sin llegar al desfallecimiento posee virtudes que son ante todo los adornos primordiales del araguaney, como bien se expresaba en la siguiente estrofa del poema Cimbrado Va, también del citado poeta barloventeño:

 

«Araguaney selvoso de veranos

me dio este duro nervio,

este cuerpo de Cristo rehuído

que se rebela al diente del murciélago.»

(Lhaya, 1963, p. 55)

 

Decía Jesús Hoyos que «aravenei parece ser la antigua voz con que el indio caribe denominaba al araguaney» (Hoyos, 1974, p. 23). Se trata de un «árbol autóctono, cuya altura oscila entre 6 a 12 metros» que posee una «madera de corazón durísimo y del color de la aceituna oscura. Se emplea en Venezuela, entre otras cosas, para hacer garrotes y bastones», lo mismo que las estacas llamadas laures con que se golpea en Barlovento el tronco del tambor mina, y a veces también a las personas en los jolgorios que terminan en riñas, lo cual explica que en otros tiempos fuera «muy frecuente oír que el araguaney truena y retumba en las espaldas, o abriendo las cabezas en canal» (Picón, 1964 [1912], p. 51).

 

El Araguaney «presenta un crecimiento lento, pero tiene una existencia larga», siendo el secreto de su ubicuidad, por una parte, su austeridad, que le permite prosperar en «suelos duros, secos, pobres en sustancias orgánicas» y, por la otra, que sus «semillas suelen estar maduras al comenzar las lluvias», fenómeno que permite «que el mayor número de semillas pueda germinar y perpetuar la especie a lo largo del tiempo» (Hoyos, 1974, p. 23), para el regocijo de los venezolanos de todas las épocas e inspiración de literatos y poetas, entre ellos ese apasionado por nuestra naturaleza que se llamara Jorge Schmidke, quien le compuso un soneto que dice:

 

«En la alta cumbre, en la cañada honda,

en el valle feraz y en la pradera,

para hospedar la núbil Primavera

alza el Araguaney su tienda blonda.

Con el Guarupa de cerúlea fronda

y el Bucare de cárdena cimera,

reproduce en los bosques la Bandera

que nos dió el paladín de la Gironda.

Su copa de amarilla vestidura

prende en la catedral de la espesura

su candelabro de doradas flamas;

porque la magia que su tronco encierra

chupa el oro del seno de la tierra

y lo presenta en flor sobre las ramas.»

(Schmidke, 1955, p. 16).

 

El género a que pertenece el Araguaney comprende otras especies parecidas con las cuales se pudiera confundir, ya que tienen también floraciones amarillas, aunque de tonalidades diversas, como son el Araguán o Cañada (Tabebuia chrysea), el Flor Amarilla, Curarí o Curarire (Tabebuia serratifolia) y el Acapro (Tabebuia tabilis) (Hoyos, 1987 [1983], p. 66 a 70), los cuales se pueden encontrar por aquí y por allá en Barlovento.

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Bibliografía citada

 

García Delepiani, Antonio. 1955. «Los meses del Araguaney». En: Schmidke, Jorge. 1955. «Breve antología del árbol. Poesías - Miscelánea». Ministerio de Agricultura y Cría. Caracas.

 

Hoyos, Jesús. 1974. «Arboles cultivados de Venezuela». Sociedad de Ciencias Naturales La Salle. Caracas.

 

Hoyos, Jesús. 1987 [1983]. «Guía de árboles de Venezuela». Sociedad de Ciencias Naturales La Salle. Caracas.

 

Lhaya, Pedro. 1963. «En medio de la tempestad». Ediciones Minotauro. Caracas.

 

Lhaya, Pedro. 1967. «La flor de Galipán». Ediciones del Cuatricentenario de Caracas. Caracas.

 

Núñez, Enrique Bernardo. 2005 [1932-1960]. «Arboles. Crónica de una ausencia. (Recopilación de Trino Borges)». Universidad de Los Andes. Mérida.

 

Orta, Eleazar. [Sin fecha]. «Emblemas naturales de Venezuela». Ministerio de Agricultura y Cría. Caracas.

 

Picón Febres, Gonzalo. 1964 [1912]. «Libro raro». Biblioteca de Autores y Temas Merideños. Mérida.

 

Schmidke, Jorge. 1955. «Breve antología del árbol. Poesía - Miscelánea». Ministerio de Agricultura y Cría. Caracas.

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Le besoin pressant d'un univers logique et cohérent est profondément ancré dans l'inconscient humain. Mais l'univers réel est toujours à un pas au-delà de la logique.

 

Deep in the human unconscious is a pervasive need for a logical universe that makes sense, But the real universe is always one step beyond logic.

 

Credits: ESA/NASA–T. Pesquet

 

439G9713

Série L'inconscient

TE SIENTO CADA DÍA

  

Te Siento Cada Día, Tú tienes todo de mí, Un amor incondicional

 

Que no se cansa ni se rinde, Que te extraña, te necesita y te desea, Te siento cada día, apasionadamente

 

Rozándome invisible, Palpándome con tus manos, Mi cuerpo deseoso

 

Sólo tú suspendes mi voz en tus suspiros, Y en tu suave tiempo imaginario, Eres siempre la suave dulcísima

 

Lejanía luminosa, Te siento cada día en la música Eres algo que vive en mi corazón

 

Aunque eres un horizonte lejano, Te siento cada día en mi alma inconsciente, Te siento en la aroma de las flores

 

Tiñes de colores mi vida, Limpias mis tristezas porque eres alegría, Te siento cada día amado mío

 

En mis sueños, Quiero todo de ti

 

Gentileza de Flor Amante

Minha consciência é inconsciente de si mesma, por isso eu me obedeço cegamente.

 

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Parution : 01/01/1920

Jamais cru qu'il y aurait tant de poussières dans ces sommets ! Je pensais aussi a un mauvais tirage papier tellement on se retrouve dans une ambiance sombre...Regarder l'original !

Moi qui est le vertige sur un tabouret, jeter un œil sur l'équipement de ces alpinistes ( en faite seulement de grosses chaussures et lunettes, mains nues ! )

Inconscience ou courage ?

Du haut de mon tabouret je dis inconscience....

 

www.flickr.com/photos/anaglyphepeppin/50437384551/in/date...

1-Oz é muito tímido, morre de vergonha quando as tias chamam ele de fofo ou cutucam o rosto dele!xD

2-Veste qualquer coisa, não estando nu é o que importa!

3-Gosta muito do tio, e sonha em ser como ele. Dá para notar quem o Oz não conhece muito bem o tio!xD

4-Ele é um demônio! Seu pai foi morto pelas mesmas pessoas que mataram o Harry! Ele foi enviado por sua mãe para um lugar seguro, ou seja, ao lado do seu tio

5-Ele tem medo que sua mãe morra! Ela é líder revolucionaria! Luta contra demônios que devoram almas humanas! Ela só como almas de animas, mas o Oz tem pena dos bichinhos e decidiu não comer! Logo ele nunca crescerá!

6-Ele gosta de brincar com seus trens! Seu sonho é ir a uma ferrovia! xD

7-Ótimo explorados, ele adora procurar tesouros!

8-Não sabe nada do amor! Ou seja! Dals e byuls de plantão! O Oz não entende certas insinuações! xD ele nunca namorou e nem sabe o que é isso!xD

9-Ele quer fazer amizade com a Gê, mas a Gê não gosta muito dele, ela não gosta de certas brincadeiras de menino! Dai ele se sente só e pede p tio ficar com ele!

10-Ele tem pena da Midori, pois para ele e o GT o Harry está morto e não voltará! Ele não confia nos métodos que a Midori pretende usar na hora que encontrar um tae perdido e inconsciente por ai!xD

 

Marco todo que quiserem participar!

 

Punto. Dos puntos ... Puntos ... Mirit Ben Nun

 

Cuando la pintura aborigen (de las tribus aborígenes australianas) fue revelada a Occidente, en los años 70' del siglo pasado, inyectó una nueva adrenalina en la pintura moderna y fue rápidamente aceptada, no solo como legítima sino también como influyente e inspiradora. Es un arte tribal, que satisface las necesidades rituales de crear símbolos religiosos y de una estética fluida caracterizada por los colores de la tierra. También artistas africano-occidentales contemporáneos, como Chris Opili y Vinka Shonibary, han enfatizado elementos similares en su trabajo y han desviado la atención hacia la misma continua necesidad de crear superficies con puntos de color, que provocan placer visual gracias a su textura aterciopelada, rica en colores y formas sinuosas.

 

No hay duda de que de allí surge la pintura de Mirit Ben Nun, que aparece como un meteorito refrescante en nuestro cielo ya saturado de un arte repleto de mensajes e imágenes fotográficas. Como artista autodidacta, ella creció fuera del bien lubricado sistema de las academias de arte, y no sufre por la búsqueda constante de sentido y contenido. Su pintura irrumpe como emergente de una necesidad primaria de provocar a la superficie pictórica, de atacarla con una obsesión sin freno, que no deja rincones ocultos. La necesidad de expresión no se detiene ni por un momento, quiere continuar fluyendo junto con la tempestuosa agitación anímica, tal vez para apaciguar a los demonios que andan corriendo en su interior. Esta pintura atrae y arrastra porque es primigenia, libre de justificaciones y de sentimientos de culpabilidad por ser "no intelectual". Proviene del mismo lugar donde se generan los impulsos creativos-psíquicos inconscientes, no adaptados todavía al lenguaje de códigos que requieren ser descifrados.

 

El espectador de Mirit Ben Nun es "atacado" por la abundancia de color, por formas decorativas repetitivas, y por imágenes comparativas que pueden identificarse y captarse rápidamente. Para el ojo acostumbrado a esta sofisticada forma de arte, esto es como aspirar una ráfaga de belleza instantánea.

 

Tal vez este es el tiempo y el lugar de volver a reflexionar sobre las profundas raices de una cultura que va ramificándose, que durante generaciones ha sido cubierta por una gruesa capa de teorías y de "…ismos"

 

David Gerstein

  

177 años no es nada...

  

Tipos de fotografía :

La fotografía de acercamiento comprende a todas aquellas que aproximan al objeto y nos lo hacen más grande a nuestros ojos.

La fotografía de aproximación nos permite ver detalles del mundo que nos rodea que nos son muy difíciles de otra forma. Con esta fotografía podemos acercarnos tanto a los objetos y sujetos cotidianos que descubriremos multitud de detalles ajenos a nosotros hasta el momento de la foto.

  

"La artística es un tipo de fotografía que no resulta fácil de definir. Sin entrar en los conceptos e ideas de arte, podemos decir que una fotografía se considera artística cuando es creada por el autor con el fin de transmitir un sentimiento o una sensación.Por lo tanto, este tipo de expresión artística habla más de su autor que de su objeto o sujeto retratado. El escritor estadounidense John Steinbeck decía que "la fotografía podía ser una extensión de la mente y del corazón y que sería tan buena como el hombre que la hiciera"."(cito)

   

Foto documental

 

Se conoce como fotografía documental a aquella que representa fielmente y congela un fragmento de la realidad.

Aunque la fotografía documental puede responder a varias y amplias definiciones, el concepto más extendido y al que nuestro inconsciente está acostumbrado es el que dice que la foto documental nace con la intención de plasmar la realidad en una imagen fija.Nombres como Dorothea Lange y fotografías como la serie llamada "Madre Migrante" se han convertido en iconos de la foto documental.

   

Fotografía subacuática

 

No estamos acostumbrados a ver lo que ocurre bajo el agua. Por eso, las fotografías subacuáticas nos llaman tanto la atención.

La fotografía subacuática además de divertida, resulta fascinante. Las fotos que tomamos bajo el agua nos enseñan un mundo del que normalmente no disfrutamos y que puede ser asombroso.

 

El retrato

Un fotógrafo no debe hacer retratos sin tener en cuenta el carácter o el humor del individuo que tiene en frente. En caso contrario, la fotografía resultante no será más que una representación gráfica de un ser humano. Un buen retrato debe transmitir el estado de ánimo del sujeto en el momento del disparo y para ello es importantísimo observar a la persona que se pretende retratar.

 

Fuente: FOTO NOSTRA

  

Gracias a todos por sus comentarios...

Grazie a tutti per i vostri commenti...

Thank you all for your comments...

Merci à tous pour vos commentaires...

Ich danke ihnen allen für ihre kommentar...

Dziękuję wszystkim za komentarze ...

 

Recomiendo ver en grande, fondo negro. Gracias

 

Todos los derechos reservados.

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Punto. Dos puntos ... Puntos ... Mirit Ben Nun

 

Cuando la pintura aborigen (de las tribus aborígenes australianas) fue revelada a Occidente, en los años 70' del siglo pasado, inyectó una nueva adrenalina en la pintura moderna y fue rápidamente aceptada, no solo como legítima sino también como influyente e inspiradora. Es un arte tribal, que satisface las necesidades rituales de crear símbolos religiosos y de una estética fluida caracterizada por los colores de la tierra. También artistas africano-occidentales contemporáneos, como Chris Opili y Vinka Shonibary, han enfatizado elementos similares en su trabajo y han desviado la atención hacia la misma continua necesidad de crear superficies con puntos de color, que provocan placer visual gracias a su textura aterciopelada, rica en colores y formas sinuosas.

 

No hay duda de que de allí surge la pintura de Mirit Ben Nun, que aparece como un meteorito refrescante en nuestro cielo ya saturado de un arte repleto de mensajes e imágenes fotográficas. Como artista autodidacta, ella creció fuera del bien lubricado sistema de las academias de arte, y no sufre por la búsqueda constante de sentido y contenido. Su pintura irrumpe como emergente de una necesidad primaria de provocar a la superficie pictórica, de atacarla con una obsesión sin freno, que no deja rincones ocultos. La necesidad de expresión no se detiene ni por un momento, quiere continuar fluyendo junto con la tempestuosa agitación anímica, tal vez para apaciguar a los demonios que andan corriendo en su interior. Esta pintura atrae y arrastra porque es primigenia, libre de justificaciones y de sentimientos de culpabilidad por ser "no intelectual". Proviene del mismo lugar donde se generan los impulsos creativos-psíquicos inconscientes, no adaptados todavía al lenguaje de códigos que requieren ser descifrados.

 

El espectador de Mirit Ben Nun es "atacado" por la abundancia de color, por formas decorativas repetitivas, y por imágenes comparativas que pueden identificarse y captarse rápidamente. Para el ojo acostumbrado a esta sofisticada forma de arte, esto es como aspirar una ráfaga de belleza instantánea.

 

Tal vez este es el tiempo y el lugar de volver a reflexionar sobre las profundas raices de una cultura que va ramificándose, que durante generaciones ha sido cubierta por una gruesa capa de teorías y de "…ismos"

 

David Gerstein

  

Le BORDEL de Delphine Labails, maire de Périgueux...

Ruelles strictement piétonnes, touristiques et historiques... Amis touristes, allez donc plutôt visiter Sarlat, Bourdeilles, Belvès... autant de jolies cités qui respectent les piétons et les touristes...

  

À Périgueux, malheureusement, nous avons pour maire une inconsciente qui s'acharne encore et toujours à saccager nos quartiers piétons en envoyant ses flots de voitures...

Vive en mí, mi muerte

 

Hay un mundo ahí afuera que permanece ajeno a la distancia,

 

están aún, estas arterias dentro de mí, desenterrándose

en minutos entorpecidos de nostalgias,

 

la noche me aloja sonámbulo, inconsciente,

hasta los huesos sin carne, y también me nombra,

avergonzada,

 

debe ser ese correcto insomnio quien me nombra ciudadano

de la noche,

 

en un rincón hallo mi trozo de hogar feliz,

y una tortura de palabras ahuyenta una vanidad consumida,

 

la insensatez incita al episodio torpe, en un léxico

infantil y un amargo despertar exuberante congela la noble

exquisitez,

 

la luna comediante se interpretaba a si misma, pero se

rechazaba iluminándose y

en una frustrante travesía mi cabeza rodó por entre la

muchedumbre y ningún ser vivo gritó mi nombre,

 

recuerdo haber contratado soles para que fuesen mis

hermanos,

no me fue difícil encontrarme parecido, solo debían ser

estúpidos,

 

salí del hogar sobre mis pies culpándome de mi muerte,

estuve llorando en una esquina, pues en mi habitación

yacían mis restos de porcelana,

 

y así fue que morí de poesía y tu no estabas ahí, en

la ciudad paranormal,

 

por un momento nevó en mi corazón,

con frecuencia y a futuro, mi alma ensayaba una creencia

que se narraba incorruptible,

 

un inmortal moría conmigo para acompañar mi cortejo y

se desvanecían los besos en un cielo frío,

 

las horas respiraban un aire descompuesto y nacía un sendero

de mi boca vacía,

mis piernas incompletas soñaban un caminar de pájaros

mudos, desechando lo inadvertido,

 

estoy despidiendo a mi pobre vida desde esas varas de

hierro dulce, arqueadas sobre un andén, y no seré

mañana, más que una barata paradoja gastada al azar,

 

nunca te he agradado, vida, y me pagaste con esta muerte

absurda, sangrante y asustada,

y desde el humo en bocanadas nace mi voz hecha oración

para que mi cielo escuche,

 

en una especie de extraña victoria, mi muerte se rió de

mí, para acompasar la estoica alegría de mi enemigo,

 

desde una sincronía mística, aquellos imposibles desmoronan

la certeza, y roba un recuerdo, mi alegría,

 

la ira del equilibrio me gasta una broma por encima de

mi cabeza, desenfrenando unas cargadas nubes, y crecerán

árboles en mi alma,

 

un dios desconoce las acciones pero obra como único juez,

no me resta más escándalo que entregar mi cuerpo,

 

... mi muerte infame no se atreve a asesinarme nuevamente.

 

Jorge Rosso

 

Un deleite musical...

 

www.youtube.com/watch?v=mHVpB-ky9Ms

  

Punto. Dos puntos ... Puntos ... Mirit Ben Nun

 

Cuando la pintura aborigen (de las tribus aborígenes australianas) fue revelada a Occidente, en los años 70' del siglo pasado, inyectó una nueva adrenalina en la pintura moderna y fue rápidamente aceptada, no solo como legítima sino también como influyente e inspiradora. Es un arte tribal, que satisface las necesidades rituales de crear símbolos religiosos y de una estética fluida caracterizada por los colores de la tierra. También artistas africano-occidentales contemporáneos, como Chris Opili y Vinka Shonibary, han enfatizado elementos similares en su trabajo y han desviado la atención hacia la misma continua necesidad de crear superficies con puntos de color, que provocan placer visual gracias a su textura aterciopelada, rica en colores y formas sinuosas.

 

No hay duda de que de allí surge la pintura de Mirit Ben Nun, que aparece como un meteorito refrescante en nuestro cielo ya saturado de un arte repleto de mensajes e imágenes fotográficas. Como artista autodidacta, ella creció fuera del bien lubricado sistema de las academias de arte, y no sufre por la búsqueda constante de sentido y contenido. Su pintura irrumpe como emergente de una necesidad primaria de provocar a la superficie pictórica, de atacarla con una obsesión sin freno, que no deja rincones ocultos. La necesidad de expresión no se detiene ni por un momento, quiere continuar fluyendo junto con la tempestuosa agitación anímica, tal vez para apaciguar a los demonios que andan corriendo en su interior. Esta pintura atrae y arrastra porque es primigenia, libre de justificaciones y de sentimientos de culpabilidad por ser "no intelectual". Proviene del mismo lugar donde se generan los impulsos creativos-psíquicos inconscientes, no adaptados todavía al lenguaje de códigos que requieren ser descifrados.

 

El espectador de Mirit Ben Nun es "atacado" por la abundancia de color, por formas decorativas repetitivas, y por imágenes comparativas que pueden identificarse y captarse rápidamente. Para el ojo acostumbrado a esta sofisticada forma de arte, esto es como aspirar una ráfaga de belleza instantánea. Tal vez este es el tiempo y el lugar de volver a reflexionar sobre las profundas raices de una cultura que va ramificándose, que durante generaciones ha sido cubierta por una gruesa capa de teorías y de "…ismos"

 

David Gerstein

Punto. Dos puntos ... Puntos ... Mirit Ben Nun

 

Cuando la pintura aborigen (de las tribus aborígenes australianas) fue revelada a Occidente, en los años 70' del siglo pasado, inyectó una nueva adrenalina en la pintura moderna y fue rápidamente aceptada, no solo como legítima sino también como influyente e inspiradora. Es un arte tribal, que satisface las necesidades rituales de crear símbolos religiosos y de una estética fluida caracterizada por los colores de la tierra. También artistas africano-occidentales contemporáneos, como Chris Opili y Vinka Shonibary, han enfatizado elementos similares en su trabajo y han desviado la atención hacia la misma continua necesidad de crear superficies con puntos de color, que provocan placer visual gracias a su textura aterciopelada, rica en colores y formas sinuosas.

 

No hay duda de que de allí surge la pintura de Mirit Ben Nun, que aparece como un meteorito refrescante en nuestro cielo ya saturado de un arte repleto de mensajes e imágenes fotográficas. Como artista autodidacta, ella creció fuera del bien lubricado sistema de las academias de arte, y no sufre por la búsqueda constante de sentido y contenido. Su pintura irrumpe como emergente de una necesidad primaria de provocar a la superficie pictórica, de atacarla con una obsesión sin freno, que no deja rincones ocultos. La necesidad de expresión no se detiene ni por un momento, quiere continuar fluyendo junto con la tempestuosa agitación anímica, tal vez para apaciguar a los demonios que andan corriendo en su interior. Esta pintura atrae y arrastra porque es primigenia, libre de justificaciones y de sentimientos de culpabilidad por ser "no intelectual". Proviene del mismo lugar donde se generan los impulsos creativos-psíquicos inconscientes, no adaptados todavía al lenguaje de códigos que requieren ser descifrados.

 

El espectador de Mirit Ben Nun es "atacado" por la abundancia de color, por formas decorativas repetitivas, y por imágenes comparativas que pueden identificarse y captarse rápidamente. Para el ojo acostumbrado a esta sofisticada forma de arte, esto es como aspirar una ráfaga de belleza instantánea.

 

Tal vez este es el tiempo y el lugar de volver a reflexionar sobre las profundas raices de una cultura que va ramificándose, que durante generaciones ha sido cubierta por una gruesa capa de teorías y de "…ismos"

 

David Gerstein

  

Le besoin pressant d'un univers logique et cohérent est profondément ancré dans l'inconscient humain. Mais l'univers réel est toujours à un pas au-delà de la logique.

 

Deep in the human unconscious is a pervasive need for a logical universe that makes sense, But the real universe is always one step beyond logic.

 

Credits: ESA/NASA–T. Pesquet

 

541C9180

Le besoin pressant d'un univers logique et cohérent est profondément ancré dans l'inconscient humain. Mais l'univers réel est toujours à un pas au-delà de la logique.

 

Deep in the human unconscious is a pervasive need for a logical universe that makes sense, But the real universe is always one step beyond logic.

 

Credits: ESA/NASA–T. Pesquet

 

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Le besoin pressant d'un univers logique et cohérent est profondément ancré dans l'inconscient humain. Mais l'univers réel est toujours à un pas au-delà de la logique.

 

Deep in the human unconscious is a pervasive need for a logical universe that makes sense, But the real universe is always one step beyond logic.

 

Credits: ESA/NASA–T. Pesquet

 

541C7822

"Voici des échelles d’arbre qui comme des prières païennes semblent vouloir relier terre et ciel. Ces échelles sont réalisées avec des branches d’un érable champêtre, branches équarries, rabotées et poncées.

Ces échelles gardent un peu l’âme de l’arbre, l’âme sauvage de l’arbre dont chaque branche a été à la recherche de la lumière, dans un mouvement vital, aléatoire et fantaisiste. Elles sont devenues des veilleuses, chacune avec leur vécu et leur forme originelle et originale.

Venant de l’arbre, ce sont des échelles qui dansent, pensent et rêvent. Elles ont une âme : si elles ne sont pas vraiment pratiques pour que nous y montions, elles nous permettent d’y monter notre âme, de glisser notre âme dans celle de l’arbre et de chercher la lumière.

Voilà des échelles pour prendre le temps, le temps que l’arbre prend, le temps que les échelles prennent racine dans nos rêves.

Et peut-être aussi dans un inconscient collectif ? Une fois installées, j’ai réalisé à quel point elles créaient un ensemble qui révélait une âme collective : solitaires mais solidaires…"

 

Xavier Rijs

www.xavierrijs.be/installation_2015_chateaudun.html

Parcours SacVal 2015, Vallée de la Conie, Eure-et-Loir.

Périgueux. Si notre maire, Delphine Labails, est foncièrement inconsciente, incompétente et dangereuse ? À vous d'en juger... lorsque cette madame permet aux motos et aux scooters de faire la course dans nos ruelles piétonnes face aux piétons apeurés... Bon, ça fait du spectacle pour les amateurs de sensations fortes... et c'est gratuit...

 

Périgueux. If our mayor, Delphine Labails, is fundamentally reckless, incompetent, and dangerous? It's up to you to judge... when this lady allows motorcycles and scooters to race through our pedestrian streets in front of frightened pedestrians... Well, it provides a spectacle for thrill-seekers...

  

Madame Delphine Labails (la saccageuse), maire de Périgueux, ou une vision des années soixante dix... Un échantillon parmi 8000 photos d'infractions prises par des riverains en quelques mois dans deux-trois ruelles exclusivement piétonnes, historiques à cinquante mètres d'une cathédrale classée au patrimoine de l'UNESCO) du grand saccage orchestré par cette dame à Périgueux. 8000 infractions d'automobiles, zéro verbalisation... un authentique record national... pour des ruelles piétonnes, à mettre au crédit de notre maire actuelle madame Delphine Labails... Cherchez donc l'erreur ! Merci madame Labails... Deux années que nous prévenons cette dame de son grand saccage... en vain ! Les riverains, les passants, les enfants, les touristes... Elle ? Dans dans sa grande léthargie... elle s'en contrefiche... alors oui une vision... des années soixante dix... Si nous sommes effrayés par une telle incompétence ? Oui. De grâce... sauvez nous de cette dame issue d'une autre époque...

 

flic.kr/s/aHBqjAcMNe

 

Twitter : @LeSaccage

 

le.grand.saccage@gmail.com

Bronze, fonte à la cire perdue.

 

Cette forme d'être humain à tiroirs a été dessinée et peinte de nombreuses fois par Dalί. Dans toutes les versions existantes, il est notable que le visage soit masqué par une longue chevelure. Bien que le corps ressemble à celui d'un humain, dans son essence, il ne s'agit pas d'un homme doté d'une personnalité propre, d'où le titre "anthropomorphique". Les tiroirs, ouverts, sont vides, semblant suggérer que ce cabinet peut servir à ranger les images venues de notre inconscient. La main levée semble nous avertir de ne pas nous approcher, à moins d'être prêts à affronter le surréalisme.

 

Over the years, Dalί has made a number of drawings of this figure with slight variations. Signifiacantly, in all versions, including the sculpture, the face is concealed by long hair. Although the body derives from a human figure,this is not a human being with personality, hence the title "anthropomorphic". The drawers are empty, seemingly suggesting that this cabinet can be used to store images from our subconscious. The raised hand seems to warn us not to approach unless we are strong enough to accept the surreal.

Absolument inconscient , ce jeune lièvre est venu manger quelques herbes à mes pieds !

Antes de leer, ponle banda sonora (abre el enlace en una pestaña nueva)... youtu.be/dC06CMBQLM0

 

...Nuestro miedo más profundo NO es a ser incorrectos. Nuestro peor miedo es que seamos infinitamente más poderosos de lo que nunca podamos llegar a imaginar... es nuestra luz, no nuestra oscuridad, lo que más nos asusta...

 

¿Quienes somos como para no merecer ser?"... Jugar a ser nadie NO le sirve al mundo... no hay nada de bendito en encogerse para que los demás no se sientan inseguros alrededor tuyo... todos vinimos al mundo a brillar, como lo hacen los niños... nacemos para manifestar la gloria que está dentro nuestro, no está en algunos, no, está en TODOS.

 

Y, a medida que dejamos que nuestra luz brille... inconscientemente le damos permiso al prójimo para que haga lo mismo, cuando nos liberamos del miedo, nuestra presencia automáticamente libera a otros...

 

Modelo: Patry

 

Piste cyclable du chemin vert, Montréal

 

"Performance improvisée de sons et de mouvements avec l’installation Conversphere. Damaris et Géraldine joueront le métal -gongs, bols tibétains, ferraille- pendant que Gabriela et Carina joueront avec les pare-chocs.

Basée à Montréal, Damaris Baker est compositrice, directrice de choral, musicienne et réalisatrice de courts métrages. De sons analogues expérimentales jusqu’aux partitions méditatives, elle explore les paysages soniques de l’inconscient et des rêves. Elle donne des ateliers et des méditations guidées soniques, et elle crée des bandes sonores. Elle cherche les connections entre l'expérience somatique et la musique, entre rêves et vocalisations. Siteweb

Géraldine Eguiluz est une musicienne (guitare, voix, trompette) improvisatrice et compositrice, créative depuis vingt cinq ans au coeur de la transformation continue. Elle s’associe aux milieux de la scène expérimentale, l’improvisation, la musique actuelle et le jazz. Sa musique garde l’empreinte indélébile des sons d’Amérique latine, afro-américains, autochtones et contemporains dans ses groupes et créations tels que Rubedo, Nigredo et son dernier trio Ontologies. Siteweb

Gabriela Petrov est une artiste de théâtre, éducatrice et diplômée d'une maîtrise en arts plastiques basée à Montréal. Les pratiques fondatrices dont Gabi s'inspire sont les Six Viewpoints, les pratiques somatiques et la création contemplative. La pratique artistique de Gabi explore le travail intentionnel à partir de l'inconnu, brouillant les frontières entre le processus et le produit.

Carina Rose est une architecte, designer, écologiste et performeur basée à Montréal. Sa pratique se concentre sur l’intersection d’architecture, fabrication, mouvement, communauté et écologie."

 

www.conversphere-carinarose.com/performance?fbclid=IwAR0a...

Antifaz de los deseos

que a mi mente retiene

ceguera de mi ojos

que su amor no comprende.

 

Máscara fría y opaca

que no me deja entenderle

porque pierde mi mirada

en una sombra inconsciente.

 

Descubre mis ojos ya

alíviame esta ceguera

déjame volver a ver

lo que la vida me entrega.

Musicien guitariste belge de jazz de renommée mondiale à la musicalité et l'inventivité extraordinaires à quoi s'ajoute un sens de l'improvisation exceptionnel. J'ai vu un nombre considérable de concert de Philip Catherine, je n'ai jamais été déçu mais toujours enthousiasmé et porté par sa musique!

 

World famous Belgian jazz guitarist musician with extraordinary musicality and inventiveness, to which is added an exceptional sense of improvisation. I saw a considerable number of Philip Catherine's concerts, I was never disappointed but always enthusiastic and carried by his music!

 

Depuis les années '60 Philip Catherine est une figure importante de la scène du jazz européen. Sa collaboration avec des grands artistes comme Charles Mingus, Chet Baker, Stéphane Grappelli, Dexter Gordon, Larry Coryell, Tom Harrell, NHOP, pour n'en nommer que quelques-uns, son style et sonorité uniques, son engagement musical, ont été importants et d'une influence incontestable sur le jazz contemporain européen. Philip Catherine a joué dans les salles de concerts les plus prestigieuses : de la Philharmonique de Berlin au Carnegie Hall de New York, du Concertgebouw d'Amsterdam à l'Olympia et la Salle Pleyel à Paris. Né à Londres en 1942 d'une mère anglaise et d’un père belge dans une famille de musiciens, il a développé son oreille musicale très tôt. Déjà a 18 ans il tourne en Europe avec le trio de Lou Bennett. Avec des disques comme «September Man» et «Guitars» des années ‘70, les amateurs de jazz à travers le monde découvrent non seulement un guitariste virtuose mais aussi un compositeur talentueux. Citons par exemple des thèmes devenus célèbres comme «Homecomings» ou «Nairam». Depuis, Philip Catherine a enregistré plus de 20 albums sous son nom et collaboré avec de grands artistes de tous horizons. Ces dernières années, son album «Guitars Two» (2008) est décrit par JazzMagazine comme « Une pure merveille ». «Concert in CapBreton» (2010), avec Enrico Pieranunzi, Hein Van de Geyn et Joe La Barbera, est salué par la presse internationale comme incontournable. L’album «Philip Catherine plays Cole Porter» (2011) reçut le ‘CHOC’ de JazzMan. En automne 2012 Philip Catherine fête son 70e anniversaire avec un magnifique concert au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, mémorable soirée ovationnée debout par une salle comble, ainsi qu’avec la sortie d'un nouvel album : «Coté Jardin» sort en nov 2012 sur Challenge Records. Philip Catherine a l’art de découvrir du jeune talent : en quartet avec des jeunes musiciens exceptionnels - le pianiste italien Nicola Andrioli, le jeune batteur Antoine Pierre, et le compagnon de route Philippe Aerts à la contrebasse. Sur quelques titresPhilippe Decock au claviers, et sa fille Isabelle Catherine chante un très beau texte de Jacques Duvall sur une composition de Philip, la plage titre de l’album. En Janvier 2014 « New Folks - Duo Art » parait chez ACT Music, en duo avec le grand bassiste allemand Martin Wind. L’album a été très bien reçu par la presse. Le Soir: «Sublime», JazzPodium: «Un duo de rêve», et suivi de tournées en Europe et aux Etats Unis. La première d'un nouveau répertoire, une sélection de ses compositions en arrangements avec orchestre à cordes, a lieu en Janvier 2015 à Flagey, Bruxelles. Le Quintet de Philip avec l’OrchestreRoyal de Chambre de Wallonie sous la direction de Frank Braley donnent un concert mémorable. Le concert est filmé par la VRT-Canvas pour une émission TV, et l’enregistrement audio s’avère d’une telle qualité qu’une sélection sort sur CD : « The String Project – Live in Brussels » (ACT Music, sept 2015). L'album est très bien acceuilli par la presse nationale et internationale. Rafał Garszczyński écrit dans JazzPress : « C’est l'un des meilleurs albums avec cordes de tous les temps.»Lors des prestigieux ECHO JAZZ AWARDS 2016 à Hamburg, Philip Catherine reçoit le prix du 'Best International Guitarist' pour cet album, et durant 2015-2016 "The String Project" se produit dans quelques salles importantes et des festivals.

En automne 2017 Philip Catherine a fêté son 75e anniversaire à Flagey, Bruxelles. Le concert, sold-out, était également diffusé en 'live' streaming simultanément. Un line-up exceptionnel en Octet, avecentre autres 2 pianistes et 2 batteurs (une réunion après 37 ans avec le magnifique batteur Gerry Brown), dans un répertoire très varié, tantôt lyrique tantôt jazz-rock enlevé. Pour l'occasion Warner Music France sort un coffret spécial de 5 CDs "Philip Catherine – Selected Works 1974-1982" en novembre 2017 : la réédition de ses vinyls 'September Man' et 'Guitars', ainsi que les albums 'Babel' et 'End of August', completé avec des enregistrements solo inédits de 1979 et 1982 par Radio Bremen. 'September Man' et 'Guitars' sont également réédités en vinyl. Aussi, le tout premier album 'Stream' est reédité sur CD par Union Disk Japan en Octobre 2017. Durant 2018 Philip Catherine fut invité par des grands festivals d'été comme le North Sea Jazz avec son sextet avec deux pianistes; au Middelheim Jazz avec le line-up de ‘September Man’ : un 'Reunion Band' avec Palle Mikkelborg, Jasper van ‘t Hof, John Lee et Gerry Brown; au Dinant Jazz avec son quartet et Joshua Redman, décrit dans la presse comme 'concert magique'. Ainsi que des concerts en Allemagne, Argentine, Autriche, France, Hollande, Portugal, Sénégal, Suisse .. Duo, Trio, Quartet ou avec cordes, Philip Catherine choisit avec intuition des formules qui lui donnent la possibilité de déployer toutes les facettes de sa musique, allant d'un groove irrésistible et une sonorité parfois rock, à ces envolées lyriques et intenses dont il est un maître. Il envoûte l’auditeur par ses compositions d’un lyrisme naturel, où le swing reste un ingrédient essentiel. Pour utiliser les mots de Francis Marmande dans ‘Le Monde’ : « Philip Catherine est un des derniers “romantiques” du jazz. Philip Catherine ne joue pas de la musique : il est la musique. Un lyrisme à fendre l’inconscient. Musique, musique, parfois avec ces airs de simplicité qui vous font croire que rien n’est plus facile que d’observer un photon dans sa course.Le grand art. »

 

Philip Catherine has been on the forefront of the European jazz scene since the sixties. His work great artists like Chet Baker, NHOP, Stéphane Grappelli, Charles Mingus, Dexter Gordon, Larry Coryell, Tom Harrell, his unique approach and sound, his dedication to music have been important and influential. He recorded over 20 albums under his name and numerous collaborations with renowned artists worldwide. Philip Catherine was born in London in 1942. Being from a musical family (his grandfather was first violin with the London Symphony Orchestra), he developed a musical ear from an early age. He took up the guitar after having discovered Brassens and Django Reinhardt, and started listening to all the great jazzmen of the period. Very soon he had the opportunity to meet some of them, and often accompanied them when they played in Belgium where his family had moved to by then. At the age of 18 he toured with Lou Bennett, and in 1971 Jean-Luc Ponty asked him to join his quintet. In 1971 he made his first record under his name, “Stream”, followed in 1974-75 by "September Man" and "Guitars". Jazz amateurs all over the world discovered not only a brilliant guitarist, but also a talented composer : themes like "Homecomings" and "Nairam" have become famous. Philip Catherine has played in the most prestigious concert halls, from the Berlin Philharmonic to theCarnegie Hall, from the Concertgebouw in Amsterdam to the Olympia and Salle Pleyel in Paris and the Palais des Beaux-Arts of Brussels, but he still loves to play in jazz clubs occasionally because of the proximity with the audience. Philip Catherine has received many awards, among others the "BIRD" Prize (1990), together with Stan Getz, at the North Sea Festival, the “Django D’Or” (1998) in Paris for ‘Best European Jazz Artist’, the ZAMU ‘Lifetime Achievement Award’ (2001) and ‘Best Musician’ (2002). In 2002 he received the title “Maestro Honoris Causa” from the Antwerp Conservatory (title which has been given previous years to reputed artists like Jos van Immerseel, Sigiswald Kuijken and Toots Thielemans). In May 2016 he received the award 'Best International Guitarist' at the 'ECHO JAZZ AWARDS 2016' in Hamburg/Germany. In 1997 Philip Catherine signed with Dreyfus Records. His first album on this label - simply called “Live”(being the very first live recording of his career) has been highly acclaimed by the international press (4½-star in DownBeat, “best album of the year” in Jazz Nu). It was followed in ‘98 by “Guitar Groove” (with Jim Beard on piano and keyboards, Alphonso Johnson on bass and Rodney Holmes on drums), which features twelve superb compositions by Philip and a beautiful rendering of ‘Stardust’. The album got impressive radio airplay in the US and - very exceptional for a European jazz cd - it broke the top 20 of the Gavin Jazz Chart where it stayed for several months. The Cd “Blue Prince” (nov 2000) received very enthusiastic acclaim from the press: “Record of the Year”, in ‘JazzMan’ and was selected among best album of the year in many magazines and newspapers. “Summer Night” (Dreyfus, 2002) - with Philippe Aerts on bass, Joost van Schaik on drums, and Bert Joris on trumpet - contains six new compositions, a beautiful re-take of ‘Janet’ and six standards.Le Monde writes “It’s jazz, real, solid, an exceptional taste, velvet touch, a great personality which we sense through each chord, each note.”. The success of his appearances with some leading European big bands, and more frequently with chamber orchestra’s, have revealed that his lyrical compositions are particularly appropriate for arrangements for larger ensembles. This lead to the collaboration with the Brussels Jazz Orchestra (BJO, , who were the first european big band to be elected in the 2004 Downbeat Critics Poll), and in april 2005 the album “Meeting Colours” (Dreyfus) was released, with superb arrangements of his music for guitar and big band by trumpetplayer/arranger Bert Joris. . “Guitars Two” (2008, Dreyfus Jazz), the first solo album of his career, was hailed in the international press as one of his best albums. The beauty of his compositions really stands out in these arrangements. Philip, surrounded by his guitars and his pedal-rack, fascinates his audience.

The album “Live at Cap Breton” (Dreyfus, 4/2010) with an all-star line-up: Enrico Pieranunzi (p), Hein Van de Geyn (b), Joe LaBarbera (dr) received great reviews and the quartet played some amazing concerts at summer festivals in 2010. In 2011 The album “Philip Catherine plays Cole Porter” was released on Challenge Records, in quartet with pianist Karel Boehlee, Martijn Vink on drums and Philippe Aerts on double bass. In the words of Hein Van de Geyn : “Philip's unique sound is always recognizable, deeply expressive and so very personal. By surrendering to the tune, by simply trying to give the honest rendition of these timeless songs, Philip proved himself to be a great singer.” It received among others the CHOC of the magazine JazzMan. For his 70th birthday Philip Catherine gave a memorable concert at the Brussels Palais des Beaux-Arts,and presented his album "Coté Jardin" (11/2012) with his new quartet : great italian pianist Nicola Andrioli, young drum phenomenon Antoine Pierre and longstanding companion Philippe Aerts on bass, plus additional keyboards by Philippe Decock, and daughter Isabelle Catherine on vocals in a version of Philip’s composition ‘Coté Jardin’ with lyrics by Jacques Duvall. Newspaper 'De Standaard' : “On ‘Misty Cliffs’ his guitar sings, murmurs, but also bites and searches extasy ... Catherine is lyrical, virutoso and by whiles exuberant on this sublime album.” In January 2014 the album ‘New Folks – Duo Art’ was released on ACT Music, a duo recording with US based German bassplayer Martin Wind. Complicity, mutual respect and great playing have seduced the audiences during the succesful tours throughout Europe and the US. Being asked by the legendary Brussels Flagey concert hall to set up a special project for their festival, Philip Catherine decided it was the right time to present a selection of his compositions in arrangements with string orchestra. The première was performed on in January 2015 at Flagey in Brussels. Philip’s quintet together with the Orchestre Royal de Chambre de Wallonie conducted by Frank Braley, gave a sublime concert, which was filmed by national TV 'VRT-Canvas'. The album ‘The String Project – live in Brussels’ was released on ACT Music in September 2015, and has been highly acclaimed in the international press. Rafał Garszczyński wrote in JazzPress: "This is one of the best jazz recordings with strings of all times." In May 2016 in Hamburg (Germany), Philip received the prestigious ''ECHO JAZZ AWARD 2016' in the category 'best international guitarist' with this album. Autumn 2017 Philip Catherine celebrated his 75th Anniversary with a sold out concert at Flagey Brussels, in a special line-up with two pianos and two drums which resulted to be magic. Warner Music released for the occasion a 5-CDBox: "Seleced Works 1974-1982" the long awaited re-releaseof his early vinyl records 'September Man' and 'Guitars', the albums 'Babel'and 'End of August', completed with an unedited solo recording by Radio Bremen of 1979 & 1982. Also Philip's first album 'Stream' was re-released on CD by the japanese label Union Disk. During 2018 Philip Catherine performed at festivals like North Sea Jazz (sextet with 2 pianos), Middelheim Jazz (with his 'Reunion Band'), Dinant Jazz (his Quartet & Joshua Redman), as well as concerts in Argentina (with the great Dino Saluzzi), Austria, Belgium, France, Holland, Italy, Germany, Portugal, Senegal, Switserland... 2019 will see the release of an album with the legendary trio Bex-Catherine-Romano :"La Belle Vie" in February, as well as an album with Paulo Morello & Sven Faller, "Manoir de mes Rêves" around the music of Django Reinhardt. Philip Catherine continues relentlessly and open-minded his search for renewal and perfection. The formulas with which he performs give him the rhythmic support and freedom to unfold his wide palette of musical styles, from that irresistible groovy rock sound to the broad lyrical phrases of which he is a master. - Downbeat : « He is one of the most accomplished and rewarding guitarists now playing jazz. »- Le Monde : « Philip Catherine is one of the last romantics in jazz. Philip Catherine doesn’t play music: he is music. A lyricism that hits the unconscience. Music, music, sometimes with an air of simplicity that makes you believe nothing is easier than observe a photon in it’s course. Great art.»

Casa de la Memoria. Milán. Milano

 

Porta Nuova Via Confalonieri 14 cv Via de Castillia

 

Arquitectos baukuh: Pier Paolo Tamburelli y Andrea Zanderig 2012-15

 

Descripción de los arquitectos en Plataforma de Arquitectura:

 

La Casa de la Memoria es una casa colectiva en la que los ciudadanos milaneses esperan encontrar protección para los recuerdos que quieren preservar. Nadie habita esta casa, y en este caso la palabra casa se entiende como una envolvente, un espacio protegido, o un refugio que cristaliza la memoria dentro del flujo de la metrópoli. Así que la casa se convierte en un objeto a ser protegido o exhibido, un tesoro que se rodeó de una envolvente que defiende y expone su contenido.

 

La relación entre la memoria y la Casa de la Memoria no es una de traducción directa. La ciudad de Milán contemporánea no posee una memoria compartida del todo estable, lista para ser tallada en piedra sin más interrogatorios. En lugar de considerar la Casa de la Memoria como una expresión de la memoria compartida, preferimos considerarla como una herramienta para la discusión de los diferentes elementos que coexisten dentro de la memoria colectiva de la ciudad.

 

La Casa de la Memoria trata de proporcionar un refugio para los diversos y variados recuerdos que se tejen, no sólo en la sociedad contemporánea, sino también en la mente de las personas. Recuerdos a largo plazo coexisten dentro de todos nosotros con nuestros propios recuerdos delicados fugaces; recuerdos públicos van de la mano con los privados; los recuerdos explícitos no se pueden separar de los inconscientes. Diferentes estilos de memoria coinciden en un objeto que está dispuesto a establecer un diálogo con los diferentes públicos sin renunciar a la posibilidad de proporcionar una representación unificada. Por lo tanto aparece un escenario permanente junto a un paisaje cambiante, produciendo de esta manera una máquina de memoria que es a la vez compleja y unívoca, lenta y mutando, múltiple e inamovible.

 

La Casa de la Memoria está totalmente cubierta con grandes imágenes que muestran la historia reciente de Milán. La cáscara del nuevo edificio se entiende como un políptico contemporáneo: esta colección de imágenes trata de sugerir con gran inmediatez tanto la complejidad como la unidad ideal de la memoria colectiva de Milán. La fachada decorada, más que la definición de una memoria compartida, expone la necesidad de tal intercambio. Por esta razón, las imágenes recogidas en la envolvente de la Casa de la Memoria son a la vez de forma explícita monumental y deliberadamente frágil. De hecho, dada su construcción, las imágenes aparecen más claramente de lejos y luego pierden claridad cada vez más cerca. Se disuelven en una especie de polvo que flota, como si finalmente estuviesen inseguras acerca de la misma verdad que tan orgullosamente aceptaron exponer.

 

El programa iconográfico, cuidadosamente definido por un Comité Científico, se compone de diecinueve retratos de ciudadanos milaneses anónimos, que sugieren la multiplicidad de las poblaciones que animaron la ciudad en el período posterior a la guerra, y de ocho imágenes históricas que registran ocho momentos en el historia reciente de la ciudad, como la deportación a campos de concentración, la Liberación del nazi-fascismo, el atentado en la piazza Fontana del 12 de diciembre de 1969. Esta decoración exterior en ladrillo policromado establece una relación directa con la tradición lombarda de edificios como el Ospedale Maggiore y Santa Maria delle Grazie.

 

Las fachadas de la Casa de la Memoria son totalmente realizadas en ladrillos y combinan un marco hecho de pilastras y arquitrabes en ligero relieve con grandes campos empotrados enteramente ocupados por imágenes: diecinueve plazas con retratos (4,6 x 4,6 m) y ocho grandes rectángulos con escenas históricas (9,6m de altura y con un ancho variable). Los ladrillos policromos, en una gama de seis colores diferentes, se han producido en dimensiones específicas (5,5 x 5,5 x 12 cm) por SanMarco SRL.

 

Las imágenes que se muestran en la fachada son el producto de una serie de elaboraciones a base a fotografías de archivo. El resultado de este proceso fue una matriz con los números de 1 a 6 (correspondiente a los diferentes colores de los ladrillos). La matriz ha sido luego impresa y aplicada in situ (en escala 1: 1) con el fin de guiar con precisión la disposición de los ladrillos. La Casa de la Memoria es un edificio muy simple: se trata de una caja con una base rectangular de 20 por 35 y 17,5 metros de altura.

 

El edificio se divide en tres partes que están conectadas una a otra por un planta baja totalmente abierta. Dos capas finas a lo largo de los extremos más cortos del edificio albergan el archivo (sur), los baños y las instalaciones técnicas (norte), y la circulación vertical. El espacio abierto en la planta baja se divide en tres partes por dos columnas octogonales. Un tercio de esta área alcanza la altura completa del edificio e incluye una escalera de caracol. El resto está ocupado por espacios de exposición y oficinas dispuestas en tres niveles. Esta organización interna - con la enorme escalera amarilla insertada entre los tres niveles de oficinas y espacios de exposición y los cinco niveles de archivo - introduce una escala mayor en el edificio. El contraste entre los niveles reducidos de archivo y la dimensión colosal de la escalera permite que los espacios de oficina y de exposición adquieran amplitud; el visitante percibe un ambiente más generoso y más vasto.

La escalera amarilla no es sólo el elemento principal distributivo del edificio, sino también el dispositivo que establece una relación entre los visitantes y la colección. Teniendo en cuenta que la preciosidad del archivo no permite a los visitantes acceder directamente a los documentos, la relación entre los ciudadanos y la colección se establece a través del movimiento de rotación creado por la escalera. El visitante está en repetidas ocasiones más cerca y luego se aleja de la colección, experimentando con ello una compleja secuencia de puntos de vista de los documentos y, detrás de ellos, del parque exterior.

 

La Casa de la Memoria es un edificio extremadamente compacto. Esta forma implica una reducción significativa de los costes de construcción y mantenimiento, limitando la cantidad de superficies externas con respecto al volumen total del edificio. La compacidad y la extrema sencillez de las soluciones constructivas elegidas en todo el edificio (pilares de hormigón en bruto, instalaciones expuestas) permite mantener los costos extremadamente bajos de la construcción (en torno a 1.400 € / m²).

 

Nominado para el Premio Mies van der Rohe 2017.

 

www.plataformaarquitectura.cl/cl/768502/casa-de-la-memori...

 

www.metalocus.es/es/noticias/casa-de-la-memoria-por-baukuh

 

www.domusweb.it/it/notizie/2015/04/24/la_casa_della_memor...

 

divisare.com/projects/291545-baukuh-stefano-graziani-hous...

 

www.baukuh.eu/

 

Cuando la pintura aborigen (de las tribus aborígenes australianas) fue revelada a Occidente, en los años 70' del siglo pasado, inyectó una nueva adrenalina en la pintura moderna y fue rápidamente aceptada, no solo como legítima sino también como influyente e inspiradora. Es un arte tribal, que satisface las necesidades rituales de crear símbolos religiosos y de una estética fluida caracterizada por los colores de la tierra. También artistas africano-occidentales contemporáneos, como Chris Opili y Vinka Shonibary, han enfatizado elementos similares en su trabajo y han desviado la atención hacia la misma continua necesidad de crear superficies con puntos de color, que provocan placer visual gracias a su textura aterciopelada, rica en colores y formas sinuosas.

 

No hay duda de que de allí surge la pintura de Mirit Ben Nun, que aparece como un meteorito refrescante en nuestro cielo ya saturado de un arte repleto de mensajes e imágenes fotográficas. Como artista autodidacta, ella creció fuera del bien lubricado sistema de las academias de arte, y no sufre por la búsqueda constante de sentido y contenido. Su pintura irrumpe como emergente de una necesidad primaria de provocar a la superficie pictórica, de atacarla con una obsesión sin freno, que no deja rincones ocultos. La necesidad de expresión no se detiene ni por un momento, quiere continuar fluyendo junto con la tempestuosa agitación anímica, tal vez para apaciguar a los demonios que andan corriendo en su interior. Esta pintura atrae y arrastra porque es primigenia, libre de justificaciones y de sentimientos de culpabilidad por ser "no intelectual". Proviene del mismo lugar donde se generan los impulsos creativos-psíquicos inconscientes, no adaptados todavía al lenguaje de códigos que requieren ser descifrados.

 

El espectador de Mirit Ben Nun es "atacado" por la abundancia de color, por formas decorativas repetitivas, y por imágenes comparativas que pueden identificarse y captarse rápidamente. Para el ojo acostumbrado a esta sofisticada forma de arte, esto es como aspirar una ráfaga de belleza instantánea.

 

Tal vez este es el tiempo y el lugar de volver a reflexionar sobre las profundas raices de una cultura que va ramificándose, que durante generaciones ha sido cubierta por una gruesa capa de teorías y de "…ismos"

 

David Gerstein

  

"A coruja trás como significado "o ver a totalidade", ou seja, ela, através da sabedoria, nos dá a possibilidade do ver as coisas na sua totalidade, o consciente e o inconsciente. Esse animal tem a capacidade de ver na escuridão, o que significa também ampliação dos limites da percepção. A coruja conecta com todas as partes do ser, e permite vencer o temor e aprender a qualidade da consciência do existir e do fluir em todos os níveis. Na essência, a coruja vê o que os outros não vêem, e pode ter mais percepções a respeito de outras pessoas do que de si mesma. Mas mesmo assim, o poder desse animal pode ser invocado para que a pessoa desperte a capacidade de olhar para si mesma, em busca de uma visão mais íntegra a respeito de si, ou de aspectos que ainda permanecem obscuros e precisam ser vistos."

Tornant d'un enterrament, i amb la càmara sempre al cotxe, no vaig poder evitar aturar-me en un camp esplèndid de girasols... donant voltes a com el volia fotografiar... i vet aquí, que un cop a l'ordinador, l'aproximació al detall em permet ensenyar-vos el que el meu inconscient va retenir...

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