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The story is in YOUR head ...

from the Art History portrait project

Resin sweating trunk - tears of the dying forest ...

Strathmore paper 22.9 x 30.5 cm (80 lb.)

HB, 2B, 4B graphite pencils

Paper stump, eraser pencil, and i use small piece of sponge (i don't know what they are called) for smudging.

9 hours

 

My page: www.facebook.com/PetraArtOfficial/

 

Kunsthal Rotterdam - DVSC06955a-zw

with heatherfaye www.modelmayhem.com/3336852 and a background by Asher Brown Durand

 

Winner of the Gold Medal for Excellence at the TRIERENBERG SUPER CIRCUIT 2015 in Linz, Austria.

"A Close Encounter," 8 x 16, Oil on Panel

 

The second in my series of photoreal toy paintings for the Lurie Gallery.

DEEP DREAM TEXT2DREAM

 

PROMPT:

Ayahuasca - A Surreal Fantasy Painting by the Mystic Otto Rapp under the Influence of funny bone extract with ayahuasca, inspired by Ernst Fuchs, H.R. Giger and Beksinski, oil paint on canvas, detailed strokes, psychedelic collage, cryptid taxidermy in Bogomils Universe, imperial colors, Post apocalyptic wonderland , H.R. Giger , Giuseppe Arcimboldo, Art Nouveau intricately detailed hyperrealism fantasy-art

Midpoint (Table-top) - with 24K Gold Leaf Cap & Black Suit

Basepoint (Down-floor) - with Surgical Mask & White Blouse

 

Carole A. Feuerman alla Bel-Air Fine Art San Marco

Unposted leftover from last year. Woman on Fruits. Not clear what I intended to make. Best considered a happy accident www.flickr.com/photos/screenpunk/albums/72177720319622487/

Series "Headache Rooms" . By LitterART (c) 2016

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Image Basis: Garden Orange Daylilies (Hemerocallis fulva).

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Locale: Southeastern Wisconsin, USA.

Year & Season: 2020 ; Early summer

Time of Day: Early evening

Scene Illumination: Natural light

Illumination Aids: (none)

Object **Distance: About 50 feet

**Measured using Nikon Forestry Pro Laser Rangefinder.

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Camera: Olympus OM-D E-M1 Mirrorless

Sensor: Micro 4/3

Support: Tripod

Lens: Olympus M.Zuiko Digital ED 40-150mm f/2.8

Teleconverter: Olympus M.Zuiko MC-20 (2x) Teleconverter

Filters: (none)

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Exposure Program: Manual

Metering Mode: Average

Drive/Focus Mode: (probably) Single-shot/Auto focus

Focus Area: (probably) Focus magnifier

Exposure Quality: Raw (initially Lightroom DNG ; final is TIFF via Topaz Sharpen)

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Processing: Lightroom Classic 10.4 ; Camera Raw 13.4

LR Presets: (none) ; Processing Plug-Ins: **Topaz Sharpen AI 3.2.2

**Topaz setpoints: Too Soft Normal; B:63 N:30 G:0)

Original File Aspect & Size: 4:3 ; 15.9MP (4608 x 3456)

Cropped Aspect & **Size: 16:9 ; 6.93MP (3511 x 1975)

**Size is prior to JPG conversion using Lightroom.

JPG Size: 8.31MP (3840 x 2163)

JPG Quality: 100 (Lightroom Export Quality setpoint)

File ID: WillyNillyDL Extr(2TntNL)V01R00 Mke.Res.3xx 20200702-0201 SShJ100@4K.jpg

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Tech Note: The image consists of a single, highly processed photographic exposure with a custom symmetrical and highly non-linear Tone Curve. (The curve peaks at its center, and falls off smoothly to zero at either end to form an overall bell shape.) Other Lightroom controls are manipulated to turn what is actually an early evening image into a nighttime view.

à gauche, "Ariel II" de John de Andrea (USA, 1941)

2011

Bronze polychrome

Galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, Paris

à droite, "Torse de l'Action enchaînée" d'Aristide Maillol (1851-1944)

1905

Bronze (fonte Claude Valsuani)

Musée Maillol, Paris

 

Oeuvre de J. de Andrea présentée dans l'exposition "Hyperréalisme

Ceci n'est pas un corps", musée Maillol, Paris

 

L’hyperréalisme est un courant artistique apparu dans les années 1960 aux Etats-Unis et dont les techniques sont explorées depuis lors par de nombreux artistes contemporains. L’exposition présente une série de sculptures qui ébranlent notre vision de l’art. Réalité, art ou copie? L’artiste hyperréaliste tourne le dos à l’abstraction et cherche à atteindre une représentation minutieuse de la nature au point que les spectateurs se demandent parfois s’ils ont affaire au corps vivant. Ces œuvres génèrent ainsi une sensation d’étrangeté́, mais sont toujours porteuses de sens..... Extrait du site de l'exposition

www.museemaillol.com/expositions/hyperrealisme/

 

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L'exposition itinérante sur la sculpture hyperréaliste présentée au musée Maillol à Paris regroupe une quarantaine d’oeuvres des grands noms de ce style artistique, depuis les pionniers jusqu'aux artistes d'aujourd'hui. Sans rapport direct, temporel ou thématique, avec l'oeuvre d'Aristide Maillol, elle est probablement présentée dans ce musée privé pour stimuler sa fréquentation et attirer un public plus jeune que d’habitude grâce au côté spectaculaire et décomplexé des oeuvres hyperréalistes. Le musée a même eu l'idée de proposer en soirée des visites naturistes de cette exposition pour un public qui souhaite "aller à l'essentiel".

Qualifié par la critique, au début des années 1970, "d'art de la majorité silencieuse", l'hyperréalisme en sculpture nécessite de maitriser des techniques complexes de moulage, de peinture et d'intégration de matériaux sur les corps pour donner l'impression "qu'ils respirent » comme le voulait John de Andrea. Pour les praticiens qui possèdent ce savoir-faire, les débouchés ne sont pas qu'artistiques, une demande existe dans les parcs d'attraction, la publicité, le théâtre, le cinéma ou la médiation dans les musées notamment d'archéologie ou de préhistoire. En fait, peu d’entre eux sont capables de faire des oeuvres d'art originales et de dépasser le stade de sous-traitants ou de décorateurs.

Les pionniers de ce style de sculpture sont américains ou australiens. Duane Hanson (USA, 1925-1996), est le plus connu, à travers ses sculptures il a su mettre en scène une critique politique et sociale de la société d’après-guerre. Inspiré par ce dernier et par le sculpteur George Segal (1924-2000), célèbre pour ses moulages en plâtre, John de Andrea (USA, 1941) a revisité l'histoire de l'art tout en recherchant inlassablement la beauté de corps essentiellement féminins. Carole Feuerman (USA, 1945), d’abord illustratrice pour la publicité, s'est fait connaitre pour ses sculptures grandeur nature de jeunes femmes sportives, souvent des nageuses en maillot de bain mais son art, techniquement parfait, reste décoratif. Proche de Duane Hanson, Marc Sijan (Serbie/USA, 1946) s’inscrit dans sa continuité technique mais en recherchant davantage à produire des émotions et à faire ressortir le psychisme de ses personnages.

Un artiste d’origine australienne Ron Mueck (Australie, 1958) a privilégié une approche plus fantastique en jouant sur les tailles des sculptures et sur l’étrangeté des scènes représentées. Parmi la nouvelle génération, Sam Jinks (Australie, 1973) est un des artistes les plus inspirés, ses oeuvres sont raffinées et poétiques. Patricia Piccinini (Australie, 1965) qui a représenté son pays à la Biennale de Venise en 2003, crée des formes le plus souvent monstrueuses, pénibles à regarder.

Parmi les européens pratiquant la sculpture hyperréaliste, le plus provocateur, souvent blasphématoire mais recherché par les riches collectionneurs est Maurizio Cattelan (Italie, 1960). Nombre de ses sculptures font scandale, et à ce titre bénéficient d’une large médiatisation.

 

D’autres artistes européens moins connus figurent dans l’exposition mais pourquoi les classer parmi les sculpteurs hyperréalistes alors que ces techniques sont aujourd’hui plus largement diffusées et accessibles que dans les années 1960 ? C’est à la catégorie de l’art conceptuel que l’on fait référence plutôt qu’à l’hyperréalisme. Cette forme a indéniablement marqué une étape dans l’histoire de l’art après le pop art, elle n'est plus guère pertinente à l’heure de l’art numérique et de l’intelligence artificielle.

 

Tjalf Sparnaay is a Dutch hyperrealist, that can be considerred the king of Dutch hyperrealism www.tjalfsparnaay.nl/

oil on canvas, 25" x 38" #oils on #canvas #art #artist #artgallery #artcollector #realism #highrealism #hyperrealism #contemporaryart #visualart #schoolhouse #moon #moonlight #realistpainting #oilpainting #instagood #picofthed

"General´s Twin" de Carole A. Feuerman

 

DSCF2854a

created in NIGHTCAFE - Stable Diffusion

the prompt included Giger, Arcimboldo, Wonderland, Taxidermy

 

I resurrected my Wonderland prompt with references to Brothers Quay and the Lady in the Radiator, and added as the lead 'Cryptid Taxidermy'. From the few tries so far, this makes for a very interesting trip into Surreal Weirdville.

 

PROMPT:

"Cryptid Taxidermy in post apocalyptic wonderland, in heaven everything is fine by lady in the radiator and brothers quay, stopmotion cinema photograph by H.R. Giger, by Giuseppe Arcimboldo, Hieronymus Bosch, Art Nouveau, intricately detailed, hyperrealism, fantasy, imperial colors"

From "Enigmatic Portraits"-Series

 

(c) LitterART 2024

 

with Dane Halo - from the Art History Portrait Project

Dans une partie de l'exposition intitulée "Jeux de taille", de gauche à droite :

"Cornered" de Marc Sijan, 2011, résine polyester et peinture à l'huile, collection de l'artiste.

"Ordinary Man" de Zharko Basheski, 2009-2010, résine polyester, fibre de verre, silicone et cheveux, collection de l'artiste.

"Embrace" de Marc Sijan, 2014, résine polyester et peinture à l'huile, collection de l'artiste.

  

Oeuvres présentées dans l'exposition "Hyperréalisme

Ceci n'est pas un corps", musée Maillol, Paris

 

L’hyperréalisme est un courant artistique apparu dans les années 1960 aux Etats-Unis et dont les techniques sont explorées depuis lors par de nombreux artistes contemporains. L’exposition présente une série de sculptures qui ébranlent notre vision de l’art. Réalité, art ou copie? L’artiste hyperréaliste tourne le dos à l’abstraction et cherche à atteindre une représentation minutieuse de la nature au point que les spectateurs se demandent parfois s’ils ont affaire au corps vivant. Ces œuvres génèrent ainsi une sensation d’étrangeté́, mais sont toujours porteuses de sens..... Extrait du site de l'exposition

www.museemaillol.com/expositions/hyperrealisme/

 

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L'exposition itinérante sur la sculpture hyperréaliste présentée au musée Maillol à Paris regroupe une quarantaine d’oeuvres des grands noms de ce style artistique, depuis les pionniers jusqu'aux artistes d'aujourd'hui. Sans rapport direct, temporel ou thématique, avec l'oeuvre d'Aristide Maillol, elle est probablement présentée dans ce musée privé pour stimuler sa fréquentation et attirer un public plus jeune que d’habitude grâce au côté spectaculaire et décomplexé des oeuvres hyperréalistes. Le musée a même eu l'idée de proposer en soirée des visites naturistes de cette exposition pour un public qui souhaite "aller à l'essentiel".

Qualifié par la critique, au début des années 1970, "d'art de la majorité silencieuse", l'hyperréalisme en sculpture nécessite de maitriser des techniques complexes de moulage, de peinture et d'intégration de matériaux sur les corps pour donner l'impression "qu'ils respirent » comme le voulait John de Andrea. Pour les praticiens qui possèdent ce savoir-faire, les débouchés ne sont pas qu'artistiques, une demande existe dans les parcs d'attraction, la publicité, le théâtre, le cinéma ou la médiation dans les musées notamment d'archéologie ou de préhistoire. En fait, peu d’entre eux sont capables de faire des oeuvres d'art originales et de dépasser le stade de sous-traitants ou de décorateurs.

Les pionniers de ce style de sculpture sont américains ou australiens. Duane Hanson (USA, 1925-1996), est le plus connu, à travers ses sculptures il a su mettre en scène une critique politique et sociale de la société d’après-guerre. Inspiré par ce dernier et par le sculpteur George Segal (1924-2000), célèbre pour ses moulages en plâtre, John de Andrea (USA, 1941) a revisité l'histoire de l'art tout en recherchant inlassablement la beauté de corps essentiellement féminins. Carole Feuerman (USA, 1945), d’abord illustratrice pour la publicité, s'est fait connaitre pour ses sculptures grandeur nature de jeunes femmes sportives, souvent des nageuses en maillot de bain mais son art, techniquement parfait, reste décoratif. Proche de Duane Hanson, Marc Sijan (Serbie/USA, 1946) s’inscrit dans sa continuité technique mais en recherchant davantage à produire des émotions et à faire ressortir le psychisme de ses personnages.

Un artiste d’origine australienne Ron Mueck (Australie, 1958) a privilégié une approche plus fantastique en jouant sur les tailles des sculptures et sur l’étrangeté des scènes représentées. Parmi la nouvelle génération, Sam Jinks (Australie, 1973) est un des artistes les plus inspirés, ses oeuvres sont raffinées et poétiques. Patricia Piccinini (Australie, 1965) qui a représenté son pays à la Biennale de Venise en 2003, crée des formes le plus souvent monstrueuses, pénibles à regarder.

Parmi les européens pratiquant la sculpture hyperréaliste, le plus provocateur, souvent blasphématoire mais recherché par les riches collectionneurs est Maurizio Cattelan (Italie, 1960). Nombre de ses sculptures font scandale, et à ce titre bénéficient d’une large médiatisation.

 

D’autres artistes européens moins connus figurent dans l’exposition mais pourquoi les classer parmi les sculpteurs hyperréalistes alors que ces techniques sont aujourd’hui plus largement diffusées et accessibles que dans les années 1960 ? C’est à la catégorie de l’art conceptuel que l’on fait référence plutôt qu’à l’hyperréalisme. Cette forme a indéniablement marqué une étape dans l’histoire de l’art après le pop art, elle n'est plus guère pertinente à l’heure de l’art numérique et de l’intelligence artificielle.

 

Lilian Bourgeat - Pupitre, 2012

Lilian Bourgeat, Né en 1970, à Saint-Claude, France. Vit et travaille à Dijon, France.

 

Apparue au milieu des années 90, l’œuvre de Lilian Bourgeat se caractérise par un goût constant pour le jeu et la farce. L’artiste distille un humour souvent grinçant dans l’univers coloré et séduisant de ses objets « hyperréalistes » surdimensionnés. Véritables pièges, ses sculptures nous attirent par leur aspect ludique pour vite se jouer de nous et de la confusion qu’elles nous imposent. L’échelle d’agrandissement de ces objets les maintient toujours à la limite entre fonctionnalité possible et démesuré. S’ils révèlent au cours de leur transformation une qualité formelle inédite, ce sont les situations désarmantes issues de leur utilisation, réelle ou potentielle, qui sont au cœur du travail de Lilian Bourgeat. Lilian Bourgeat a travaillé sur de nombreux projets en espace public en France, Suisse, Belgique, Allemagne, Suède et en Chine. Ses œuvres sont également présentes dans de nombreuses collections comme celle du Fonds national d’art contemporain, des FRAC Bourgogne, Pays de la Loire ou Limousin ainsi que dans les collections du Consortium (Dijon) et du CCC (Tours).

 

L’œuvre pour La Seine Musicale

Les Pupitres (2012) se présentent sous la forme d’une reproduction surdimensionnée de pupitres de musiciens. Avec leur hauteur de 6 mètres, ils conservent leur forme reconnaissable et le matériau. Les œuvres, clin d’œil à la fonction même du bâtiment de La Seine Musicale, jouent par leur taille avec le spectateur. Ce changement d’échelle les prive de leur fonctionnalité originelle et les fait basculer dans un autre univers, en invitant les oiseaux à devenir des chanteurs improvisés en les attirant par des graines posées sur leurs rebords.

 

Pupitre

2012, inox, 600 × 120 × 120 cm

Édition de 5 exemplaires

Courtesy Galerie Lange + Pult

More polariser fun with some of Hong Kong's most distinctive buildings.

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Subject: Tree against a park woodland background.

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Locale: Estabrook Park - Milwaukee, Wisconsin, USA.

Sub-Locale: Wooded area in vicinity of Multi-Use Practice Area No. 2 in north section of park.

Year & Season: 2018 ; Mid fall

Time of Day: Afternoon

Global Ambient: Gray overcast

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Camera: Olympus OM-D E-M5 Mark II Mirrorless

Camera Set-points:

> Picture Mode = Natural (color)

> Sharpness = 0

> Contrast = +1

> Saturation = 0

> Gradation = normal

Sensor: Micro 4/3

IBIS: ON ; OIS: ON

Support: Hand-held

Lens: Olympus M.Zuiko Digital ED 12-100mm f/4.0

Filter: Hoya RA54 Red Enhancer/Color Intensifier - enhances reddish-orange color of tree leaves.

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Exposure Program: Aperture priority

Metering Mode: Spot (metered on grass)

Drive/Focus Mode: Single-shot/Auto focus

Focus Area: Spot (tree trunk)

Exposure Quality: Raw (Lightroom DNG)

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Processing: Lightroom 6.12 (CR 9.12) | Lightroom 6.12 (CR 9.12) and Photoshop CS6 (13.0.1 x64)

Lightroom Presets: (none) ; Processing Plug-Ins: (none)

Original File Aspect & Size: 4:3 ; 15.9MP (4608 x 3456)

Cropped Aspect & **Size: 4:3 ; 12.9MP (4157 x 3113)

**Size is prior to downsizing and JPG conversion using Lightroom.

JPG Size: 3.14MP (2048 x 1534)

File ID: TonalStdy4 Extr(ClrLin)V01R00 Milw.Prk.Estabrk 20181027-0105 SShJ80.jpg

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Processing Note: Muted color achieved primarily through significant alteration of saturation levels in Lightroom color channels:

___________ HUE SAT LUM

Red __________ 0 -67 0

Orange _______ 0 -33 0

Yellow ______ +33 -50 0

Green .______ -20 -67 0

Aqua _________ 0 -67 0

Blue ._________ 0 +33 0

Purple ________ 0 -67 0

Magenta ______ 0 -67 0

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Rvw'd 190730

A visitor inspecting "Woman and child" by Sam Jinks, 2010 at the "Hyperréalisme | Ceci n'est pas un corps" exposition that runs currently at Musée Maillol in Paris

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What is most remarkable about the work of Australian artist Sam Jinks is the extreme technical perfection in his depiction of the body, made possible by the use of silicone, fiberglass and hair, among other materials. Sam Jinks´ works reveal moments of intimacy and vulnerability, linking them to the classical nude tradition of the Old Masters.

Source: hyperrealismartexpo.com/lyon/en/

HSS!

 

PP: duplicate to three layers: middle layer overlay mode and curves for contrast. top layer is desaturated and "grain merge" mode + some minor corner blurring. All layers 100% opacity.

 

I think I probably overdid it a bit!

Unposted leftover from last year. Woman on Fruits. Not clear what I intended to make. Best considered a happy accident www.flickr.com/photos/screenpunk/albums/72177720319622487/

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