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Basilique romane Saint-Sernin ; commune de Toulouse, département de la Haute-Garonne, Languedoc-Roussillon, France
La basilique Saint-Sernin de Toulouse est un sanctuaire bâti pour abriter les reliques de saint Saturnin, évêque de Toulouse martyrisé en 250. ... Saint-Sernin est la plus grande église romane conservée en Europe. ... L'édifice conserve 260 chapiteaux romans et est le symbole de l'architecture romane méridionale. Toulouse recevait alors la visite de nombreux pèlerins sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, ou venus honorer les reliques de saint Saturnin.
La basilique Saint-Sernin fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 18402. Elle est également inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France depuis 1998.
L’organisation générale
Comme la grande majorité des églises, la basilique est orientée d'Est en Ouest. ...La basilique est construite en brique de Toulouse et en pierre blanche ou légèrement verdâtre. La pierre blanche est du calcaire extrait de carrières situées assez loin du chantier (comme par exemple Boussens). La pierre verdâtre est une marne qui était extraite directement des rives de la Garonne. L'extérieur est massif et dominé par le clocher octogonal pointant à 65 mètres de haut. Elle est organisée autour d'un transept assez imposant long de 65 mètres dont chaque bras possède deux absidioles orientées. Le transept est suivi d'un chevet à déambulatoire à chapelles rayonnantes. Ces chapelles sont le lieu d'exposition des reliquaires de l'abbaye. Le déambulatoire est décoré de sept bas-reliefs en marbre encastrés dans le mur, avec au centre un Christ encadré par un chérubins, un séraphin, deux apôtres et deux anges. ... La nef est longue de 115 mètres. Elle est composée de 5 vaisseaux et son vaisseau principal est large de 8 mètres. La nef présente des tribunes sur les collatéraux. La hauteur de la voûte en plein cintre est de 21 mètres. Elle couvre la nef et le transept grâce à des contrebutées latérales constituées de voûtes en quart-de-cercle disposées au-dessus des tribunes. La croisée du transept est surmonté d'une coupole sur trompes juste en dessous du clocher. Les piliers centraux ont été de nombreuses fois renforcés pour soutenir le clocher qui a pris de l'élévation au cours des siècles. Ce renforcement casse légèrement les perspectives de la nef et du chevet. Sous l'abside se trouve une crypte renfermant le tombeau de saint Saturnin. Le sol de l'abside est d'ailleurs surélevé par rapport au niveau du déambulatoire où s'ouvrent deux passages permettant d'accéder à la crypte. Ces deux passages étaient utilisés pour la circulation des pèlerins, l'un servant d'entrée et l'autre de sortie. Le déambulatoire est décoré d'éléments liturgiques baroques.
Un clocher octogonal
Juste au-dessus de la croisée du transept, où se trouve le maitre autel, se dresse un clocher de 64 mètres de haut et de forme octogonale. Il est constitué de 5 niveaux : le niveau le plus bas est au niveau de la coupole et est constitué sur chaque face de deux baies aveugles couvertes d'arcs en plein cintre ; les deux niveaux suivants, correspondant au beffroi, en léger retrait par rapport au précédent sont constitués de deux baies sur chaque face, également couvertes d'arcs en plein cintre ; les deux niveaux suivants ont été bâtis dans la seconde moitié du XIIIe siècle. Ils se caractérisent sur chaque face par deux fenêtres couvertes d'arcs en mitre ; enfin, en 1478, une flèche fut construite en maçonnerie pour porter un globe terminal couronné par une croix ; ...
Porte Miègeville
La porte Miègeville de la basilique Saint-Sernin de Toulouse se situe au sud de sa nef, et elle est tournée vers la rue du Taur. Il s'agit de la porte la plus empruntée de la basilique ainsi que de la seule à posséder un tympan sculpté. ... Le bas de la porte est composé esentiellement de calcaire blanc datant des retaurations du XIXe siècle alors que le tympan en lui-même est composé de marbre et calcaire marneux et que l'extrémité basse est en calcaire gris. De nombreux éléments de la porte ont été réalisés à partir de sarcophages récupérés dans le cimetière paléochrétien qui précédait la cathédrale. ... Délimité par son arc plein-cintre, le tympan représente l’Ascension du Christ, soutenu par six anges. Le linteau nous montre les douze apôtres, y compris Saint Pierre et Saint Paul qui sont reconnaissables par leurs caractéristiques physiques et un attribut habituels. Les apôtres ont leurs têtes tournées vers le haut, fixant le Christ comme fascinés par l’évènement miraculeux. Le même espace contient aussi, latéralement, deux personnages ailés et coiffés d’un bonnet phrygien, présentant des manuscrits (anges avec les Écritures?). Les consoles qui soutiennent le linteau sont décorées, à gauche par le roi David avec son instrument de musique, et à droite par deux personnages, coiffées comme ceux du linteau par des bonnets phrygiens. Ces derniers, ainsi que le roi David sont accompagnés de lions ... Laissant de côté l’iconographie des quatre chapiteaux, nous allons nous pencher brièvement sur deux personnages placés de chaque côté du tympan, dont les dimensions dépassent celle du Christ. À droite, Saint Pierre, identifié comme tel sur son nimbe. Curieusement, il n’a pas de barbe ni de calvitie comme les représentations habituelles, mais il est imberbe et a l’apparence d’un jeune homme. Au-dessus de sa tête, deux anges. Ses pieds s’appuient sur deux lions et se trouvent au-dessus d’un relief montrant Simon le magicien, identifié comme tel par une inscription gravée à côté de sa tête. Il se fait accompagner par deux diables ailés. Le personnage de gauche est identifié comme étant Saint Jacques, possiblement le Majeur, et au-dessous, un groupe constitué par un homme barbu entouré de deux femmes qui montent des lions (Abraham avec Sarah et Agar?). Les sculptures de ce portail, en particulier du tympan, se distinguent des reliefs romans contemporains, plus figés et lourds, par une dynamique et une légèreté accentuée par les plis semi-cirulaires des tuniques. Son programme iconographique, dont certains aspects nous échappent encore, est en parfaite adéquation avec une “ascension” du fidèle à l’espace sacré de l’église, sous le regard bienveillant de saint Pierre et saint Jacques. La corniche au dessus du tympan de la porte est composée de huit médaillons sculptés.
(extrait de : fr.wikipedia.org/wiki/Basilique_Saint-Sernin_de_Toulouse ; fr.wikipedia.org/wiki/Porte_Mi%C3%A9geville)
La basilique Sainte-Thérèse est située à Lisieux, en France. Sa construction a débuté en 1929 et sa consécration a eu lieu en 1954. Aujourd'hui, elle est le deuxième lieu de pèlerinage en importance en France (après celle de Lourdes).
Labellisé « Patrimoine du xxe siècle », elle a été inscrite au titre des monuments historiques le 14 septembre 20102 puis classée le 7 septembre 2011.
Sainte Thérèse de Lisieux ayant été béatifiée en 1923 et canonisée en 1925, il fut décidé de construire une grande basilique vouée au pèlerinage dans la ville où elle avait vécu et où elle était morte. En effet, la dévotion à la nouvelle sainte attirait rapidement des foules de plus en plus importantes.
Ce projet, lancé par l'évêque de Bayeux et Lisieux, Mgr Lemonnier, reçut le soutien total du pape Pie XI qui avait placé son pontificat sous le signe de sainte Thérèse. Il a été entièrement financé par des dons et souscriptions spécifiques venus du monde entier.
Les travaux ont été commencés le 30 septembre 1929, la première pierre étant posée ce jour par le cardinal Charost, légat du pape. Ils furent supervisés par deux architectes de père en fils, les Cordonnier — Louis Marie Cordonnier, mort en 1940, puis son fils Louis-Stanislas Cordonnier (décédé le 25 août 1960). Les travaux continuèrent au ralenti entre 1939 et 1944 à cause de la Seconde Guerre mondiale. Rendu au culte à la fête de l'Ascension en 1951, le monument ne fut terminé qu'après la guerre.
La basilique a été bénie le 11 juillet 1937, par le cardinal Pacelli, légat du pape et futur Pie XII puis consacrée le 11 juillet 1954 par l'archevêque de Rouen, Mgr Martin en présence du légat du pape, archevêque de Paris, Mgr Feltin.
En juillet 2012, la basilique accueillit le tout premier congrès européen du Tiers-Ordre franciscain qui se conclut, le 12 juillet, par une messe dédiée aux Martin, parents de sainte Thérèse (jour anniversaire de leur mariage); Zélie Martin était d’ailleurs aussi membre du dit Tiers-Ordre.
Description
Précédé d'un vaste parvis, le monument se trouve sur une colline, en limite de la cité qu'il domine de sa masse imposante.
De style composite (dit romano-byzantin), l'architecture de la basilique est fortement inspirée par celle de la basilique du Sacré-Cœur à Paris3. Par ses dimensions, l'édifice, construit en béton armé et granit, se compare aux plus grandes cathédrales :
longueur : 104 m ;
largeur du transept : 50 m ;
largeur de la nef : 30 m ;
hauteur du dôme : 95 m ;
hauteur de la coupole : 50 m ;
la croix surmontant l'ensemble mesure 1,70 m ;
hauteur des voûtes : 37 m ;
superficie : 4 500 m2.
C'est une des plus grandes églises construites au xxe siècle ; elle peut accueillir 4 000 personnes. La structure de base, qui a été terminée avant la guerre, a subi peu de dégâts lors des bombardements qui détruisirent Lisieux aux deux tiers ; elle a probablement été épargnée grâce à sa position en limite d'agglomération. Sa décoration a été entreprise dans les années 1950.
L'édifice est en forme de croix latine, avec nef, chœur et transept. La croisée est surmontée d'une imposante coupole. Le transept sud reçoit le reliquaire offert par le Pape Pie XI à la basilique. Le volume intérieur est d'un seul tenant, sans nefs collatérales ni déambulatoire : du fait de l'absence de colonnes, tous les fidèles qui assistent aux offices en ont une vue sans obstruction. La plus grande partie de l'intérieur de la basilique est couverte de mosaïques.
Les sculptures sont de Robert Coin, les dessins des cartons des mosaïques et des vitraux de Pierre Gaudin.
Les orgues de la maison Beuchet Cavaillé-Coll, construites en 1936, installées et restaurées par Victor Gonzalez vers 1950 (55 jeux, 3 claviers).
L'édifice contient 18 autels mineurs offerts par différentes nations en ex-voto à sainte Thérèse. À partir de l'entrée, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre :
Nef, côté droit : Mexique - Espagne - Italie
Transept, côté droit : Ukraine - Chili
Chœur, côté droit : Brésil - Argentine - Portugal
Chœur, côté gauche : États-Unis - Colombie - Grande-Bretagne
Transept, côté gauche : Écosse - Allemagne - Cuba - Irlande
Nef, côté gauche : Canada - Belgique - Pologne
Santa Basilica Catedral de Puebla
16 de Septiembre y 3 Poniente
Col Centro
C.P. 72000
Tel. 01-222-232 23 16
Puebla de los Ángeles,México
www.facebook.com/catedraleseiglesias
© Álbum 0078
By Catedrales e Iglesias
By Cathedrals and Churches
Arquidiócesis de Puebla
En 1552 una Cédula Real, firmada por el rey Felipe II ordena, en Monzón, la construcción de una nueva Catedral en la ciudad de Puebla, dado que la anterior se hallaba muy deteriorada. Así pues, en 1560 se habló de una sesión del cabildo eclesiástico acerca de la Cédula Real para que la nueva Catedral se construyera a la manera de las españolas. Entre los años 1562 y 1571 se compró el terreno y ya para el 24 de enero de 1575 el entonces virrey, Martín Enríquez, designó a Juan de Cirogondo, vecino este de la ciudad de México como el Obrero Mayor a Don Francisco Becerra.La monumental obra avanzada lentamente y, de hecho, tuvo que suspender entre los años 1618 y 1640 cuando se llevaba la tercera parte. Pero el entusiasmo y la libertad del Obispo Juan de Palafox y Mendoza (1640-1649) permitieron su conclusión en 1649. El Obispo había conseguido la Cédula Real que le permitía continuar la obra; asimismo, el prelado se encargaba de visitar cada semana a los 1500 oficiales y peones ocupados en la magna construcción.Finalmente, el templo se consagró el 18 de abril de 1649, aunque nos hubiesen terminado aún las torres y la fachada. El Obispo Palafox condujo enseguida los restos de cinco de sus predecesores que yacían sepultados en la Iglesia antigua, al altar mayor de la nueva Catedral, y entre ellos destaca el obispo de Tlaxcala, Fray Julián Garcés.En el año de 1799, se destruyó el antiguo panteón en el que se encontraban sepultados eminentes obispos; ellos fueron trasladados al ciprés o Altar Mayor.Esta maravilla arquitectónica, fue construida por Manuel Tolsá y concluida en 1819. Delante de nuestra Señora de la Piedad o del Perdón, en el piso, se colocó la lápida del sepulcro del XIX Obispo Abreu; este lugar se había destinado para el Obispo de Juan de Palafox y Mendoza, pero no fue usado debido a que el prelado murió en España en el año de 1659, siendo Obispo de Osma.
En la fachada principal de la Catedral, en el primer cuerpo a la izquierda de la Puerta del Perdón, se encuentra la estatua de San Pedro con el libro y la llave; a la derecha la de San Pablo con la espada; en tanto, en la parte superior dos escudos; el de la Catedral, representado por un jarrón de azucenas (símbolo de la Inmaculada Concepción de María). En el centro del arco se ve el escudo papal, que es la triple corona con las llaves de San Pedro. Cabe mencionar que éste término escudo se encuentra elaborado en herrería en la reja principal; las estatuas de los apóstoles y dicho escudo marca la relación de la Catedral poblana y Roma. En el segundo cuerpo del escudo a la izquierda, se observa a San José llevando de la mano al niño Jesús mientras que, a la derecha, vemos a Santiago el Mayor, con un calabazo sobre el báculo y arriba un pino. En el tercer cuerpo del escudo se ve un rectángulo que dice: “Año de 1664”. Arriba de este se halla el escudo de España. Sobre la puerta izquierda de la catedral está un relieve que representa a Santa Rosa de Lima recibiendo rodas de la Virgen. El relieve sobre la puerta derecha, por su parte a Santa Teresa en los momentos en que un Ángel la hiere con una flecha en el corazón.La puerta del costado que ve hacia el zócalo, se llama la puerta de San Cristóbal (1822), por la gigantesca estatua hecha de madera de este Santo Patrón, que primero se localizaba atrás de esta puerta desde la inauguración de la Catedral (1649), hasta los tiempos del intendente Flon (1786-1811), actualmente se encuentra en el museo del INAH., dejando libre el espacio donde se colocó un lienzo enorme para su devoción.A la izquierda de la fachada mencionada, bajo la estatua de San Mateo se lee “hoc opus” que significa “esta es la obra”. A su costado derecho se puede ver a San Juan Evangelista con el águila y una inscripción más que dice: “hic labora” que significa “este es el trabajo”. Otra inscripción puede leerse en el segundo cuerpo hacia arriba, “Has est omus domini” que quiere decir “ésta es la casa del Señor”. Entre otros detalles, a la izquierda se observa a San Lucas, a la derecha San Marcos y, en la parte superior, a los reyes Felipe III y IV, rematando a la izquierda con la tiara papal y las llaves y a la derecha con el escudo de la Catedral.
Cabe mencionar que en esta fachada se hace referencia a los monarcas españoles que contribuyeron, durante sus reinados, a la edificación de este monumental obra.La torre sur de la Catedral se inició en 1731 y se concluyó en 1768, el día de San Miguel Arcángel, patrono de esta Cuidad, y en suma, las dos que sobresalen de la misma, con sus 70 metros de altura, constituyen las más sobresalientes de la República.La nave principal de la Catedral está dividida en nueve tramos: dos del trascoro, dos del coro, uno de planta cuadrada para la cúpula, dos para el presbiterio, uno que liga las naves procesionales con la cabecera y finalmente, otro más ancho para la capillas que cierran el inmueble son catorce y miden 5.44 metros de ancho por 5.86 metros de alto.Las capillas de la epístola o lado sur están, bajo las siguientes advocaciones: Nuestra Señora de la Soledad, Sábana Santa, el Señor de la Columna, San Juan Nepomuceno, Capilla de las reliquias, Sagrado Corazón de Jesús y Nuestra Sra. de los Dolores, por esta capilla esta la entrada a la Sacristía.
La basilique Sainte-Thérèse est située à Lisieux, en France. Sa construction a débuté en 1929 et sa consécration a eu lieu en 1954. Aujourd'hui, elle est le deuxième lieu de pèlerinage en importance en France (après celle de Lourdes).
Labellisé « Patrimoine du xxe siècle », elle a été inscrite au titre des monuments historiques le 14 septembre 20102 puis classée le 7 septembre 2011.
Sainte Thérèse de Lisieux ayant été béatifiée en 1923 et canonisée en 1925, il fut décidé de construire une grande basilique vouée au pèlerinage dans la ville où elle avait vécu et où elle était morte. En effet, la dévotion à la nouvelle sainte attirait rapidement des foules de plus en plus importantes.
Ce projet, lancé par l'évêque de Bayeux et Lisieux, Mgr Lemonnier, reçut le soutien total du pape Pie XI qui avait placé son pontificat sous le signe de sainte Thérèse. Il a été entièrement financé par des dons et souscriptions spécifiques venus du monde entier.
Les travaux ont été commencés le 30 septembre 1929, la première pierre étant posée ce jour par le cardinal Charost, légat du pape. Ils furent supervisés par deux architectes de père en fils, les Cordonnier — Louis Marie Cordonnier, mort en 1940, puis son fils Louis-Stanislas Cordonnier (décédé le 25 août 1960). Les travaux continuèrent au ralenti entre 1939 et 1944 à cause de la Seconde Guerre mondiale. Rendu au culte à la fête de l'Ascension en 1951, le monument ne fut terminé qu'après la guerre.
La basilique a été bénie le 11 juillet 1937, par le cardinal Pacelli, légat du pape et futur Pie XII puis consacrée le 11 juillet 1954 par l'archevêque de Rouen, Mgr Martin en présence du légat du pape, archevêque de Paris, Mgr Feltin.
En juillet 2012, la basilique accueillit le tout premier congrès européen du Tiers-Ordre franciscain qui se conclut, le 12 juillet, par une messe dédiée aux Martin, parents de sainte Thérèse (jour anniversaire de leur mariage); Zélie Martin était d’ailleurs aussi membre du dit Tiers-Ordre.
Description
Précédé d'un vaste parvis, le monument se trouve sur une colline, en limite de la cité qu'il domine de sa masse imposante.
De style composite (dit romano-byzantin), l'architecture de la basilique est fortement inspirée par celle de la basilique du Sacré-Cœur à Paris3. Par ses dimensions, l'édifice, construit en béton armé et granit, se compare aux plus grandes cathédrales :
longueur : 104 m ;
largeur du transept : 50 m ;
largeur de la nef : 30 m ;
hauteur du dôme : 95 m ;
hauteur de la coupole : 50 m ;
la croix surmontant l'ensemble mesure 1,70 m ;
hauteur des voûtes : 37 m ;
superficie : 4 500 m2.
C'est une des plus grandes églises construites au xxe siècle ; elle peut accueillir 4 000 personnes. La structure de base, qui a été terminée avant la guerre, a subi peu de dégâts lors des bombardements qui détruisirent Lisieux aux deux tiers ; elle a probablement été épargnée grâce à sa position en limite d'agglomération. Sa décoration a été entreprise dans les années 1950.
L'édifice est en forme de croix latine, avec nef, chœur et transept. La croisée est surmontée d'une imposante coupole. Le transept sud reçoit le reliquaire offert par le Pape Pie XI à la basilique. Le volume intérieur est d'un seul tenant, sans nefs collatérales ni déambulatoire : du fait de l'absence de colonnes, tous les fidèles qui assistent aux offices en ont une vue sans obstruction. La plus grande partie de l'intérieur de la basilique est couverte de mosaïques.
Les sculptures sont de Robert Coin, les dessins des cartons des mosaïques et des vitraux de Pierre Gaudin.
Les orgues de la maison Beuchet Cavaillé-Coll, construites en 1936, installées et restaurées par Victor Gonzalez vers 1950 (55 jeux, 3 claviers).
L'édifice contient 18 autels mineurs offerts par différentes nations en ex-voto à sainte Thérèse. À partir de l'entrée, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre :
Nef, côté droit : Mexique - Espagne - Italie
Transept, côté droit : Ukraine - Chili
Chœur, côté droit : Brésil - Argentine - Portugal
Chœur, côté gauche : États-Unis - Colombie - Grande-Bretagne
Transept, côté gauche : Écosse - Allemagne - Cuba - Irlande
Nef, côté gauche : Canada - Belgique - Pologne
..."There are over 40 known varieties of basil of which Ocimum basilicum or Sweet Basil is the most commonly known and grown. Ocimum is from a Greek verb that means "to be fragrant." The foliage is easily bruised; just brushing against its foliage releases its wonderfully spicy fragrance...Basil is native to India and Asia having been cultivated there for more than 5,000 years..."
La basilique Sainte-Thérèse est située à Lisieux, en France. Sa construction a débuté en 1929 et sa consécration a eu lieu en 1954. Aujourd'hui, elle est le deuxième lieu de pèlerinage en importance en France (après celle de Lourdes).
Labellisé « Patrimoine du xxe siècle », elle a été inscrite au titre des monuments historiques le 14 septembre 20102 puis classée le 7 septembre 2011.
Sainte Thérèse de Lisieux ayant été béatifiée en 1923 et canonisée en 1925, il fut décidé de construire une grande basilique vouée au pèlerinage dans la ville où elle avait vécu et où elle était morte. En effet, la dévotion à la nouvelle sainte attirait rapidement des foules de plus en plus importantes.
Ce projet, lancé par l'évêque de Bayeux et Lisieux, Mgr Lemonnier, reçut le soutien total du pape Pie XI qui avait placé son pontificat sous le signe de sainte Thérèse. Il a été entièrement financé par des dons et souscriptions spécifiques venus du monde entier.
Les travaux ont été commencés le 30 septembre 1929, la première pierre étant posée ce jour par le cardinal Charost, légat du pape. Ils furent supervisés par deux architectes de père en fils, les Cordonnier — Louis Marie Cordonnier, mort en 1940, puis son fils Louis-Stanislas Cordonnier (décédé le 25 août 1960). Les travaux continuèrent au ralenti entre 1939 et 1944 à cause de la Seconde Guerre mondiale. Rendu au culte à la fête de l'Ascension en 1951, le monument ne fut terminé qu'après la guerre.
La basilique a été bénie le 11 juillet 1937, par le cardinal Pacelli, légat du pape et futur Pie XII puis consacrée le 11 juillet 1954 par l'archevêque de Rouen, Mgr Martin en présence du légat du pape, archevêque de Paris, Mgr Feltin.
En juillet 2012, la basilique accueillit le tout premier congrès européen du Tiers-Ordre franciscain qui se conclut, le 12 juillet, par une messe dédiée aux Martin, parents de sainte Thérèse (jour anniversaire de leur mariage); Zélie Martin était d’ailleurs aussi membre du dit Tiers-Ordre.
Description
Précédé d'un vaste parvis, le monument se trouve sur une colline, en limite de la cité qu'il domine de sa masse imposante.
De style composite (dit romano-byzantin), l'architecture de la basilique est fortement inspirée par celle de la basilique du Sacré-Cœur à Paris3. Par ses dimensions, l'édifice, construit en béton armé et granit, se compare aux plus grandes cathédrales :
longueur : 104 m ;
largeur du transept : 50 m ;
largeur de la nef : 30 m ;
hauteur du dôme : 95 m ;
hauteur de la coupole : 50 m ;
la croix surmontant l'ensemble mesure 1,70 m ;
hauteur des voûtes : 37 m ;
superficie : 4 500 m2.
C'est une des plus grandes églises construites au xxe siècle ; elle peut accueillir 4 000 personnes. La structure de base, qui a été terminée avant la guerre, a subi peu de dégâts lors des bombardements qui détruisirent Lisieux aux deux tiers ; elle a probablement été épargnée grâce à sa position en limite d'agglomération. Sa décoration a été entreprise dans les années 1950.
L'édifice est en forme de croix latine, avec nef, chœur et transept. La croisée est surmontée d'une imposante coupole. Le transept sud reçoit le reliquaire offert par le Pape Pie XI à la basilique. Le volume intérieur est d'un seul tenant, sans nefs collatérales ni déambulatoire : du fait de l'absence de colonnes, tous les fidèles qui assistent aux offices en ont une vue sans obstruction. La plus grande partie de l'intérieur de la basilique est couverte de mosaïques.
Les sculptures sont de Robert Coin, les dessins des cartons des mosaïques et des vitraux de Pierre Gaudin.
Les orgues de la maison Beuchet Cavaillé-Coll, construites en 1936, installées et restaurées par Victor Gonzalez vers 1950 (55 jeux, 3 claviers).
L'édifice contient 18 autels mineurs offerts par différentes nations en ex-voto à sainte Thérèse. À partir de l'entrée, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre :
Nef, côté droit : Mexique - Espagne - Italie
Transept, côté droit : Ukraine - Chili
Chœur, côté droit : Brésil - Argentine - Portugal
Chœur, côté gauche : États-Unis - Colombie - Grande-Bretagne
Transept, côté gauche : Écosse - Allemagne - Cuba - Irlande
Nef, côté gauche : Canada - Belgique - Pologne
In honor of Gracie finishing up her fantastic 365 today, FGR invades Evildog. So we decided to copy this picture from day 324 of her project.
Cyndi (Bethechange21) was one of my very first contacts here on Flickr when I started Basil's 365. We often ended up next to each other in the FGR stream with very similar ideas. LOL!
And Basil is madly in love with Gracie - he doesn't think she is evil at all!! He loves her so much that he agreed (although a bit reluctantly) to let me put these googly eyes all over his face.
Thank you for all the guffaws, laugh out loud funny shots, collaborating with me, and for graciously answering my idiotic questions on F-mail - you two have been a great inspiration to Basil and me, and we hope you won't be strangers!!! I hope that Basil and I can meet the two of you one day in person!
Congratulations Cyndi and Gracie!!
AND HAPPY NEW YEAR, FRIENDS!!
365 days of Basil: Day 170.
La basilique Sainte-Thérèse est située à Lisieux, en France. Sa construction a débuté en 1929 et sa consécration a eu lieu en 1954. Aujourd'hui, elle est le deuxième lieu de pèlerinage en importance en France (après celle de Lourdes).
Labellisé « Patrimoine du xxe siècle », elle a été inscrite au titre des monuments historiques le 14 septembre 20102 puis classée le 7 septembre 2011.
Sainte Thérèse de Lisieux ayant été béatifiée en 1923 et canonisée en 1925, il fut décidé de construire une grande basilique vouée au pèlerinage dans la ville où elle avait vécu et où elle était morte. En effet, la dévotion à la nouvelle sainte attirait rapidement des foules de plus en plus importantes.
Ce projet, lancé par l'évêque de Bayeux et Lisieux, Mgr Lemonnier, reçut le soutien total du pape Pie XI qui avait placé son pontificat sous le signe de sainte Thérèse. Il a été entièrement financé par des dons et souscriptions spécifiques venus du monde entier.
Les travaux ont été commencés le 30 septembre 1929, la première pierre étant posée ce jour par le cardinal Charost, légat du pape. Ils furent supervisés par deux architectes de père en fils, les Cordonnier — Louis Marie Cordonnier, mort en 1940, puis son fils Louis-Stanislas Cordonnier (décédé le 25 août 1960). Les travaux continuèrent au ralenti entre 1939 et 1944 à cause de la Seconde Guerre mondiale. Rendu au culte à la fête de l'Ascension en 1951, le monument ne fut terminé qu'après la guerre.
La basilique a été bénie le 11 juillet 1937, par le cardinal Pacelli, légat du pape et futur Pie XII puis consacrée le 11 juillet 1954 par l'archevêque de Rouen, Mgr Martin en présence du légat du pape, archevêque de Paris, Mgr Feltin.
En juillet 2012, la basilique accueillit le tout premier congrès européen du Tiers-Ordre franciscain qui se conclut, le 12 juillet, par une messe dédiée aux Martin, parents de sainte Thérèse (jour anniversaire de leur mariage); Zélie Martin était d’ailleurs aussi membre du dit Tiers-Ordre.
Description
Précédé d'un vaste parvis, le monument se trouve sur une colline, en limite de la cité qu'il domine de sa masse imposante.
De style composite (dit romano-byzantin), l'architecture de la basilique est fortement inspirée par celle de la basilique du Sacré-Cœur à Paris3. Par ses dimensions, l'édifice, construit en béton armé et granit, se compare aux plus grandes cathédrales :
longueur : 104 m ;
largeur du transept : 50 m ;
largeur de la nef : 30 m ;
hauteur du dôme : 95 m ;
hauteur de la coupole : 50 m ;
la croix surmontant l'ensemble mesure 1,70 m ;
hauteur des voûtes : 37 m ;
superficie : 4 500 m2.
C'est une des plus grandes églises construites au xxe siècle ; elle peut accueillir 4 000 personnes. La structure de base, qui a été terminée avant la guerre, a subi peu de dégâts lors des bombardements qui détruisirent Lisieux aux deux tiers ; elle a probablement été épargnée grâce à sa position en limite d'agglomération. Sa décoration a été entreprise dans les années 1950.
L'édifice est en forme de croix latine, avec nef, chœur et transept. La croisée est surmontée d'une imposante coupole. Le transept sud reçoit le reliquaire offert par le Pape Pie XI à la basilique. Le volume intérieur est d'un seul tenant, sans nefs collatérales ni déambulatoire : du fait de l'absence de colonnes, tous les fidèles qui assistent aux offices en ont une vue sans obstruction. La plus grande partie de l'intérieur de la basilique est couverte de mosaïques.
Les sculptures sont de Robert Coin, les dessins des cartons des mosaïques et des vitraux de Pierre Gaudin.
Les orgues de la maison Beuchet Cavaillé-Coll, construites en 1936, installées et restaurées par Victor Gonzalez vers 1950 (55 jeux, 3 claviers).
L'édifice contient 18 autels mineurs offerts par différentes nations en ex-voto à sainte Thérèse. À partir de l'entrée, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre :
Nef, côté droit : Mexique - Espagne - Italie
Transept, côté droit : Ukraine - Chili
Chœur, côté droit : Brésil - Argentine - Portugal
Chœur, côté gauche : États-Unis - Colombie - Grande-Bretagne
Transept, côté gauche : Écosse - Allemagne - Cuba - Irlande
Nef, côté gauche : Canada - Belgique - Pologne
Basilica de los Remedios
Ntra. Sra. de los Remedios es elevado a la
dignidad de BASÍLICA MENOR, por Decreto de la Congregación para el Culto Divino y la Disciplina de los Sacramentos.
El jueves 22 de octubre de 1998, a las 5:00 p.m. Justo Mullor García, Nuncio Apostólico en México, con Ricardo Guizar Díaz Arzobispo de Tlalnepantla,
acompañados de cuatro Obispos de México
Rectores de Santuarios de México,
200 Presbíteros,
Diáconos y Religiosos de la Arquidiócesis de Tlalnepantla,
proclama ante el pueblo de Dios,
en Solemnísima Liturgia, el Decreto y el Breve por el que S.S. Juan Pablo II
eleva el Santuario de Ntra. Sra. de los Remedios a la dignidad de Basilica
Versión del historiador Alejandro Rosas en su libro Mitos de la Historia de México: de Hidalgo a Zedillo. Editorial Planeta
La Virgen de los Remedios
La aparición de la Virgen de los Remedios.
Cuando inició la guerra de independencia , la Virgen de los Remedios tenía una clara ventaja sobre la Guadalupana: experiencia en combates; su historia era épica. Según cuenta la tradición , Juan Rodríguez de Villafuerte, uno de los hombres de Hernán Cortés, trajo a territorio americano una imagen de la Virgen de los Remedios “para su consuelo” ; era un regalo de su hermano que al entregársela le había dicho que tuviera mucha confianza porque a él le habría librado de los peligros de las batallas en que se había hallado y esperaba que le sucediera lo mismo en el Nuevo Mundo .
Al llegar a la capital del Imperio Azteca , Cortés ordenó a Villafuerte que colocara la imagen de la Virgen de los Remedios en un altar del Templo Mayor , donde solían efectuarse los sacrificios humanos, allí fue expuesta por unas semanas hasta que estallara la guerra y no se supo nada mas de la pequeña imagen labrada de madera.
Durante la derrota de la Noche Triste el 30 de junio de 1520, Cortés tuvo que retirarse precipitadamente de México- Tenochtitlan . La escena según cuentan los cronistas, fue espantosa : mientras intentaban huir por la calzada de Tlacopan (Tacuba) muchos de los españoles habían caído prisioneros y podían divisarse como eran sacrificados por los aztecas . Exhausto y desmoralizado, el conquistador y sus hombres llegaron a un pequeño monte delante del pueblo de Tlacopan y decidieron pernoctar en ese lugar. La virgen se apareció acompañada, según se refiere, por Santiago- Patrón de España- y los abatidos conquistadores encontraron un remanso de paz, confiando en que la madre de Dios los conduciría a la victoria definitiva. Un año después caía México-Tenochtitlan.
Hacia 1540, un indio cacique, de nombre Juan de Águila caminaba por los parajes cercanos al pueblo de Tacuba y vio a la señora en el cielo “que con voz sensible le decía, hijo, búscame en ese pueblo” poco tiempo después , debajo de un maguey, Juan de Águila encontró la vieja estatuilla de madera que había desaparecido desde 1520.
Hacia 1575 ya estaba concluído su templo , en el actual municipio de Naucalpan , al cual se le otorgó la distinción de basilica por el Papa Juan Pablo II.
La gente recurría a la Virgen de los Remedios “en las faltas de lluvias a su tiempo, las epidemias de tabardillos, sarampiones y otras semejantes” . Durante años su imagen recorrió la Calzada México-Tacuba para proteger al pueblo de las terribles epidemias, inundaciones o temblores que de vez en cuando recordaban a los habitantes de la ciudad que la naturaleza no tenía credo religioso . En las vistosas y multitudinarias procesiones, las autoridades eclesiásticas y civiles incluyendo al propio virrey, trasladaban a la Virgen desde su santuario en las afueras de la ciudad para colocarla durante meses en la catedral de la Ciudad de México.
Cuando las calamidades no cedían, ni siquiera con la intercesión de la Virgen de los Remedios, las autoridades recurrían a la imagen guadalupana como último recurso, lo cual no dejaba de causar cierto malestar en el pueblo , pues era un insulto recurrir a la Virgen morena como segunda opción aunque finalmente imperaba la alegría cuando la gente podía observar muy de cerca a la Guadalupana al frente de una procesión.
Alexander von Humboldt percibió la rivalidad entre ambos grupos de fieles:
…………El espíritu de partido, que reina entre los criollos y los gachupines, da un matiz particular a la devoción. La gente común, criollos e indios, ve con sentimiento que, en las épocas de grandes sequedades, el Arzobispo haga traer con preferencia a México la imagen de la Virgen de los Remedios. De ahí aquel proverbio que tan bien caracteriza el odio mutuo de las castas:”hasta el agua nos debe venir de la gachupina”. Si, a pesar de la intercesión de la Virgen de los Remedios, continúa la sequía……el Arzobispo permite a los indios vayan a buscar la imagen de Nuestra Señora de Guadalupe…………...
La Morena y la Generala
Cuando el cura Hidalgo decidió tomar el estandarte de l Virgen de Guadalupe como bandera de la lucha que emprendía en septiembre de 1810, le dio un sentido religioso a la guerra de independencia. No era imposible imaginar la respuesta popular: el cura fue visto entonces como un hombre ungido por la divinidad para liberar al pueblo oprimido.
Durante los 11 años que duró la guerra, la Guadalupana ocupó un lugar fundamental para la causa insurgente. Al tomar este estandarte , Hidalgo le otorgó a la lucha un carácter sagrado. Cargaba siempre consigo, entre sus ropas, una imagen de la Virgen morena.
En los “Sentimientos de la Nación”, Morelos propuso que la celebración oficial de la “patrona de nuestra libertad” fuera el 12 de diciembre. Los miembros de una sociedad secreta que trabajaba a favor de la independencia desde la Ciudad de México, adoptaron el nombre de los Guadalupes. Los guerrilleros de Pedro Moreno portaban en sus sombreros estampas de la señora del Tepeyac.
La respuesta española fue inmediata. De poder a poder, el virrey Francisco Xavier Venegas mandó traer la imagen de l Virgen de los Remedios para resguardarla de los insurgentes, pero sobretodo, para enarbolarla como bandera de los ejércitos realistas. El virrey se veía a sí mismo como Cortés siglos atrás: ante una situación que parecía irremediable, la Virgen de los Remedios había acompañado al conquistador hasta el triunfo.
Tres siglos después, ¿sucedería lo mismo?
Las medidas del virrey llegaron demasiado lejos . A la Virgen de los Remedios se le dio grado militar y desde entonces se le conoce como “La Generala” . Las monjas del convento de San Jerónimo la vistieron con los blasones y la banda correspondiente, y el niño Jesús—que cargaba en sus brazos--- también fue vestido según la usanza. En procesión, la madre de Dios, recorrió la Ciudad de México, mostrando su bastón de mando en una de sus manos, y podía observarse a su pequeño hijo portando un sable. La Virgen y su hijo, Jesucristo, en pie de guerra.
Una vez finalizados los actos públicos, la Virgen fue colocada en el altar principal de la Ciudad de México. En aquel santo lugar su función era doble: una espiritual , dar consuelo a los fieles, recibir ofrendas, ex votos o limosnas; la otra, muy humana, delatar al insurgente. De todos era sabido que los revolucionarios eran guadalupanos: Aquellas personas que, luego de escuchar misa en la catedral, no hicieran la reverencia correspondiente ante la Virgen de los Remedios, seguramente lo hacían ante la Guadalupana, por tanto eran insurgentes. De ese modo, mucha gente fue falsamente acusada de rebeldía. Las autoridades no repararon que, mas allá de la banalidad de las cosas del mundo terrenal, había gente que de buena fé mostraba su devoción a una u otra virgen sin tomar partido por alguna causa politica.
Al final, triunfó la causa insurgente y la Virgen de Guadalupe. No en términos religiosos, ni porque fuera mayor el la devocion del pueblo por ella; venció porque era un símbolo de unidad; un elemento que conjuntaba a todos aquellos que consideraban pertenecientes al mismo terruño; aquéllos que veían la historia de 1521 como algo común a todos. La Guadalupana era una Virgen innegablemente mexicana. Con la consumación de la independencia, en 1821, llegó la reconciliación de ambas advocaciones a los ojos de los mexicanos: La Morena y la Generala compartían un futuro común en un país que iniciaba su andar en la historia.
Basilica de los Remedios
Ntra. Sra. de los Remedios es elevado a la
dignidad de BASÍLICA MENOR, por Decreto de la Congregación para el Culto Divino y la Disciplina de los Sacramentos.
El jueves 22 de octubre de 1998, a las 5:00 p.m. Justo Mullor García, Nuncio Apostólico en México, con Ricardo Guizar Díaz Arzobispo de Tlalnepantla,
acompañados de cuatro Obispos de México
Rectores de Santuarios de México,
200 Presbíteros,
Diáconos y Religiosos de la Arquidiócesis de Tlalnepantla,
proclama ante el pueblo de Dios,
en Solemnísima Liturgia, el Decreto y el Breve por el que S.S. Juan Pablo II
eleva el Santuario de Ntra. Sra. de los Remedios a la dignidad de Basilica
Versión del historiador Alejandro Rosas en su libro Mitos de la Historia de México: de Hidalgo a Zedillo. Editorial Planeta
La Virgen de los Remedios
La aparición de la Virgen de los Remedios.
Cuando inició la guerra de independencia , la Virgen de los Remedios tenía una clara ventaja sobre la Guadalupana: experiencia en combates; su historia era épica. Según cuenta la tradición , Juan Rodríguez de Villafuerte, uno de los hombres de Hernán Cortés, trajo a territorio americano una imagen de la Virgen de los Remedios “para su consuelo” ; era un regalo de su hermano que al entregársela le había dicho que tuviera mucha confianza porque a él le habría librado de los peligros de las batallas en que se había hallado y esperaba que le sucediera lo mismo en el Nuevo Mundo .
Al llegar a la capital del Imperio Azteca , Cortés ordenó a Villafuerte que colocara la imagen de la Virgen de los Remedios en un altar del Templo Mayor , donde solían efectuarse los sacrificios humanos, allí fue expuesta por unas semanas hasta que estallara la guerra y no se supo nada mas de la pequeña imagen labrada de madera.
Durante la derrota de la Noche Triste el 30 de junio de 1520, Cortés tuvo que retirarse precipitadamente de México- Tenochtitlan . La escena según cuentan los cronistas, fue espantosa : mientras intentaban huir por la calzada de Tlacopan (Tacuba) muchos de los españoles habían caído prisioneros y podían divisarse como eran sacrificados por los aztecas . Exhausto y desmoralizado, el conquistador y sus hombres llegaron a un pequeño monte delante del pueblo de Tlacopan y decidieron pernoctar en ese lugar. La virgen se apareció acompañada, según se refiere, por Santiago- Patrón de España- y los abatidos conquistadores encontraron un remanso de paz, confiando en que la madre de Dios los conduciría a la victoria definitiva. Un año después caía México-Tenochtitlan.
Hacia 1540, un indio cacique, de nombre Juan de Águila caminaba por los parajes cercanos al pueblo de Tacuba y vio a la señora en el cielo “que con voz sensible le decía, hijo, búscame en ese pueblo” poco tiempo después , debajo de un maguey, Juan de Águila encontró la vieja estatuilla de madera que había desaparecido desde 1520.
Hacia 1575 ya estaba concluído su templo , en el actual municipio de Naucalpan , al cual se le otorgó la distinción de basilica por el Papa Juan Pablo II.
La gente recurría a la Virgen de los Remedios “en las faltas de lluvias a su tiempo, las epidemias de tabardillos, sarampiones y otras semejantes” . Durante años su imagen recorrió la Calzada México-Tacuba para proteger al pueblo de las terribles epidemias, inundaciones o temblores que de vez en cuando recordaban a los habitantes de la ciudad que la naturaleza no tenía credo religioso . En las vistosas y multitudinarias procesiones, las autoridades eclesiásticas y civiles incluyendo al propio virrey, trasladaban a la Virgen desde su santuario en las afueras de la ciudad para colocarla durante meses en la catedral de la Ciudad de México.
Cuando las calamidades no cedían, ni siquiera con la intercesión de la Virgen de los Remedios, las autoridades recurrían a la imagen guadalupana como último recurso, lo cual no dejaba de causar cierto malestar en el pueblo , pues era un insulto recurrir a la Virgen morena como segunda opción aunque finalmente imperaba la alegría cuando la gente podía observar muy de cerca a la Guadalupana al frente de una procesión.
Alexander von Humboldt percibió la rivalidad entre ambos grupos de fieles:
…………El espíritu de partido, que reina entre los criollos y los gachupines, da un matiz particular a la devoción. La gente común, criollos e indios, ve con sentimiento que, en las épocas de grandes sequedades, el Arzobispo haga traer con preferencia a México la imagen de la Virgen de los Remedios. De ahí aquel proverbio que tan bien caracteriza el odio mutuo de las castas:”hasta el agua nos debe venir de la gachupina”. Si, a pesar de la intercesión de la Virgen de los Remedios, continúa la sequía……el Arzobispo permite a los indios vayan a buscar la imagen de Nuestra Señora de Guadalupe…………...
La Morena y la Generala
Cuando el cura Hidalgo decidió tomar el estandarte de l Virgen de Guadalupe como bandera de la lucha que emprendía en septiembre de 1810, le dio un sentido religioso a la guerra de independencia. No era imposible imaginar la respuesta popular: el cura fue visto entonces como un hombre ungido por la divinidad para liberar al pueblo oprimido.
Durante los 11 años que duró la guerra, la Guadalupana ocupó un lugar fundamental para la causa insurgente. Al tomar este estandarte , Hidalgo le otorgó a la lucha un carácter sagrado. Cargaba siempre consigo, entre sus ropas, una imagen de la Virgen morena.
En los “Sentimientos de la Nación”, Morelos propuso que la celebración oficial de la “patrona de nuestra libertad” fuera el 12 de diciembre. Los miembros de una sociedad secreta que trabajaba a favor de la independencia desde la Ciudad de México, adoptaron el nombre de los Guadalupes. Los guerrilleros de Pedro Moreno portaban en sus sombreros estampas de la señora del Tepeyac.
La respuesta española fue inmediata. De poder a poder, el virrey Francisco Xavier Venegas mandó traer la imagen de l Virgen de los Remedios para resguardarla de los insurgentes, pero sobretodo, para enarbolarla como bandera de los ejércitos realistas. El virrey se veía a sí mismo como Cortés siglos atrás: ante una situación que parecía irremediable, la Virgen de los Remedios había acompañado al conquistador hasta el triunfo.
Tres siglos después, ¿sucedería lo mismo?
Las medidas del virrey llegaron demasiado lejos . A la Virgen de los Remedios se le dio grado militar y desde entonces se le conoce como “La Generala” . Las monjas del convento de San Jerónimo la vistieron con los blasones y la banda correspondiente, y el niño Jesús—que cargaba en sus brazos--- también fue vestido según la usanza. En procesión, la madre de Dios, recorrió la Ciudad de México, mostrando su bastón de mando en una de sus manos, y podía observarse a su pequeño hijo portando un sable. La Virgen y su hijo, Jesucristo, en pie de guerra.
Una vez finalizados los actos públicos, la Virgen fue colocada en el altar principal de la Ciudad de México. En aquel santo lugar su función era doble: una espiritual , dar consuelo a los fieles, recibir ofrendas, ex votos o limosnas; la otra, muy humana, delatar al insurgente. De todos era sabido que los revolucionarios eran guadalupanos: Aquellas personas que, luego de escuchar misa en la catedral, no hicieran la reverencia correspondiente ante la Virgen de los Remedios, seguramente lo hacían ante la Guadalupana, por tanto eran insurgentes. De ese modo, mucha gente fue falsamente acusada de rebeldía. Las autoridades no repararon que, mas allá de la banalidad de las cosas del mundo terrenal, había gente que de buena fé mostraba su devoción a una u otra virgen sin tomar partido por alguna causa politica.
Al final, triunfó la causa insurgente y la Virgen de Guadalupe. No en términos religiosos, ni porque fuera mayor el la devocion del pueblo por ella; venció porque era un símbolo de unidad; un elemento que conjuntaba a todos aquellos que consideraban pertenecientes al mismo terruño; aquéllos que veían la historia de 1521 como algo común a todos. La Guadalupana era una Virgen innegablemente mexicana. Con la consumación de la independencia, en 1821, llegó la reconciliación de ambas advocaciones a los ojos de los mexicanos: La Morena y la Generala compartían un futuro común en un país que iniciaba su andar en la historia.
Basilica de los Remedios
Ntra. Sra. de los Remedios es elevado a la
dignidad de BASÍLICA MENOR, por Decreto de la Congregación para el Culto Divino y la Disciplina de los Sacramentos.
El jueves 22 de octubre de 1998, a las 5:00 p.m. Justo Mullor García, Nuncio Apostólico en México, con Ricardo Guizar Díaz Arzobispo de Tlalnepantla,
acompañados de cuatro Obispos de México
Rectores de Santuarios de México,
200 Presbíteros,
Diáconos y Religiosos de la Arquidiócesis de Tlalnepantla,
proclama ante el pueblo de Dios,
en Solemnísima Liturgia, el Decreto y el Breve por el que S.S. Juan Pablo II
eleva el Santuario de Ntra. Sra. de los Remedios a la dignidad de Basilica
Versión del historiador Alejandro Rosas en su libro Mitos de la Historia de México: de Hidalgo a Zedillo. Editorial Planeta
La Virgen de los Remedios
La aparición de la Virgen de los Remedios.
Cuando inició la guerra de independencia , la Virgen de los Remedios tenía una clara ventaja sobre la Guadalupana: experiencia en combates; su historia era épica. Según cuenta la tradición , Juan Rodríguez de Villafuerte, uno de los hombres de Hernán Cortés, trajo a territorio americano una imagen de la Virgen de los Remedios “para su consuelo” ; era un regalo de su hermano que al entregársela le había dicho que tuviera mucha confianza porque a él le habría librado de los peligros de las batallas en que se había hallado y esperaba que le sucediera lo mismo en el Nuevo Mundo .
Al llegar a la capital del Imperio Azteca , Cortés ordenó a Villafuerte que colocara la imagen de la Virgen de los Remedios en un altar del Templo Mayor , donde solían efectuarse los sacrificios humanos, allí fue expuesta por unas semanas hasta que estallara la guerra y no se supo nada mas de la pequeña imagen labrada de madera.
Durante la derrota de la Noche Triste el 30 de junio de 1520, Cortés tuvo que retirarse precipitadamente de México- Tenochtitlan . La escena según cuentan los cronistas, fue espantosa : mientras intentaban huir por la calzada de Tlacopan (Tacuba) muchos de los españoles habían caído prisioneros y podían divisarse como eran sacrificados por los aztecas . Exhausto y desmoralizado, el conquistador y sus hombres llegaron a un pequeño monte delante del pueblo de Tlacopan y decidieron pernoctar en ese lugar. La virgen se apareció acompañada, según se refiere, por Santiago- Patrón de España- y los abatidos conquistadores encontraron un remanso de paz, confiando en que la madre de Dios los conduciría a la victoria definitiva. Un año después caía México-Tenochtitlan.
Hacia 1540, un indio cacique, de nombre Juan de Águila caminaba por los parajes cercanos al pueblo de Tacuba y vio a la señora en el cielo “que con voz sensible le decía, hijo, búscame en ese pueblo” poco tiempo después , debajo de un maguey, Juan de Águila encontró la vieja estatuilla de madera que había desaparecido desde 1520.
Hacia 1575 ya estaba concluído su templo , en el actual municipio de Naucalpan , al cual se le otorgó la distinción de basilica por el Papa Juan Pablo II.
La gente recurría a la Virgen de los Remedios “en las faltas de lluvias a su tiempo, las epidemias de tabardillos, sarampiones y otras semejantes” . Durante años su imagen recorrió la Calzada México-Tacuba para proteger al pueblo de las terribles epidemias, inundaciones o temblores que de vez en cuando recordaban a los habitantes de la ciudad que la naturaleza no tenía credo religioso . En las vistosas y multitudinarias procesiones, las autoridades eclesiásticas y civiles incluyendo al propio virrey, trasladaban a la Virgen desde su santuario en las afueras de la ciudad para colocarla durante meses en la catedral de la Ciudad de México.
Cuando las calamidades no cedían, ni siquiera con la intercesión de la Virgen de los Remedios, las autoridades recurrían a la imagen guadalupana como último recurso, lo cual no dejaba de causar cierto malestar en el pueblo , pues era un insulto recurrir a la Virgen morena como segunda opción aunque finalmente imperaba la alegría cuando la gente podía observar muy de cerca a la Guadalupana al frente de una procesión.
Alexander von Humboldt percibió la rivalidad entre ambos grupos de fieles:
…………El espíritu de partido, que reina entre los criollos y los gachupines, da un matiz particular a la devoción. La gente común, criollos e indios, ve con sentimiento que, en las épocas de grandes sequedades, el Arzobispo haga traer con preferencia a México la imagen de la Virgen de los Remedios. De ahí aquel proverbio que tan bien caracteriza el odio mutuo de las castas:”hasta el agua nos debe venir de la gachupina”. Si, a pesar de la intercesión de la Virgen de los Remedios, continúa la sequía……el Arzobispo permite a los indios vayan a buscar la imagen de Nuestra Señora de Guadalupe…………...
La Morena y la Generala
Cuando el cura Hidalgo decidió tomar el estandarte de l Virgen de Guadalupe como bandera de la lucha que emprendía en septiembre de 1810, le dio un sentido religioso a la guerra de independencia. No era imposible imaginar la respuesta popular: el cura fue visto entonces como un hombre ungido por la divinidad para liberar al pueblo oprimido.
Durante los 11 años que duró la guerra, la Guadalupana ocupó un lugar fundamental para la causa insurgente. Al tomar este estandarte , Hidalgo le otorgó a la lucha un carácter sagrado. Cargaba siempre consigo, entre sus ropas, una imagen de la Virgen morena.
En los “Sentimientos de la Nación”, Morelos propuso que la celebración oficial de la “patrona de nuestra libertad” fuera el 12 de diciembre. Los miembros de una sociedad secreta que trabajaba a favor de la independencia desde la Ciudad de México, adoptaron el nombre de los Guadalupes. Los guerrilleros de Pedro Moreno portaban en sus sombreros estampas de la señora del Tepeyac.
La respuesta española fue inmediata. De poder a poder, el virrey Francisco Xavier Venegas mandó traer la imagen de l Virgen de los Remedios para resguardarla de los insurgentes, pero sobretodo, para enarbolarla como bandera de los ejércitos realistas. El virrey se veía a sí mismo como Cortés siglos atrás: ante una situación que parecía irremediable, la Virgen de los Remedios había acompañado al conquistador hasta el triunfo.
Tres siglos después, ¿sucedería lo mismo?
Las medidas del virrey llegaron demasiado lejos . A la Virgen de los Remedios se le dio grado militar y desde entonces se le conoce como “La Generala” . Las monjas del convento de San Jerónimo la vistieron con los blasones y la banda correspondiente, y el niño Jesús—que cargaba en sus brazos--- también fue vestido según la usanza. En procesión, la madre de Dios, recorrió la Ciudad de México, mostrando su bastón de mando en una de sus manos, y podía observarse a su pequeño hijo portando un sable. La Virgen y su hijo, Jesucristo, en pie de guerra.
Una vez finalizados los actos públicos, la Virgen fue colocada en el altar principal de la Ciudad de México. En aquel santo lugar su función era doble: una espiritual , dar consuelo a los fieles, recibir ofrendas, ex votos o limosnas; la otra, muy humana, delatar al insurgente. De todos era sabido que los revolucionarios eran guadalupanos: Aquellas personas que, luego de escuchar misa en la catedral, no hicieran la reverencia correspondiente ante la Virgen de los Remedios, seguramente lo hacían ante la Guadalupana, por tanto eran insurgentes. De ese modo, mucha gente fue falsamente acusada de rebeldía. Las autoridades no repararon que, mas allá de la banalidad de las cosas del mundo terrenal, había gente que de buena fé mostraba su devoción a una u otra virgen sin tomar partido por alguna causa politica.
Al final, triunfó la causa insurgente y la Virgen de Guadalupe. No en términos religiosos, ni porque fuera mayor el la devocion del pueblo por ella; venció porque era un símbolo de unidad; un elemento que conjuntaba a todos aquellos que consideraban pertenecientes al mismo terruño; aquéllos que veían la historia de 1521 como algo común a todos. La Guadalupana era una Virgen innegablemente mexicana. Con la consumación de la independencia, en 1821, llegó la reconciliación de ambas advocaciones a los ojos de los mexicanos: La Morena y la Generala compartían un futuro común en un país que iniciaba su andar en la historia.
Basilica de los Remedios
Ntra. Sra. de los Remedios es elevado a la
dignidad de BASÍLICA MENOR, por Decreto de la Congregación para el Culto Divino y la Disciplina de los Sacramentos.
El jueves 22 de octubre de 1998, a las 5:00 p.m. Justo Mullor García, Nuncio Apostólico en México, con Ricardo Guizar Díaz Arzobispo de Tlalnepantla,
acompañados de cuatro Obispos de México
Rectores de Santuarios de México,
200 Presbíteros,
Diáconos y Religiosos de la Arquidiócesis de Tlalnepantla,
proclama ante el pueblo de Dios,
en Solemnísima Liturgia, el Decreto y el Breve por el que S.S. Juan Pablo II
eleva el Santuario de Ntra. Sra. de los Remedios a la dignidad de Basilica
Versión del historiador Alejandro Rosas en su libro Mitos de la Historia de México: de Hidalgo a Zedillo. Editorial Planeta
La Virgen de los Remedios
La aparición de la Virgen de los Remedios.
Cuando inició la guerra de independencia , la Virgen de los Remedios tenía una clara ventaja sobre la Guadalupana: experiencia en combates; su historia era épica. Según cuenta la tradición , Juan Rodríguez de Villafuerte, uno de los hombres de Hernán Cortés, trajo a territorio americano una imagen de la Virgen de los Remedios “para su consuelo” ; era un regalo de su hermano que al entregársela le había dicho que tuviera mucha confianza porque a él le habría librado de los peligros de las batallas en que se había hallado y esperaba que le sucediera lo mismo en el Nuevo Mundo .
Al llegar a la capital del Imperio Azteca , Cortés ordenó a Villafuerte que colocara la imagen de la Virgen de los Remedios en un altar del Templo Mayor , donde solían efectuarse los sacrificios humanos, allí fue expuesta por unas semanas hasta que estallara la guerra y no se supo nada mas de la pequeña imagen labrada de madera.
Durante la derrota de la Noche Triste el 30 de junio de 1520, Cortés tuvo que retirarse precipitadamente de México- Tenochtitlan . La escena según cuentan los cronistas, fue espantosa : mientras intentaban huir por la calzada de Tlacopan (Tacuba) muchos de los españoles habían caído prisioneros y podían divisarse como eran sacrificados por los aztecas . Exhausto y desmoralizado, el conquistador y sus hombres llegaron a un pequeño monte delante del pueblo de Tlacopan y decidieron pernoctar en ese lugar. La virgen se apareció acompañada, según se refiere, por Santiago- Patrón de España- y los abatidos conquistadores encontraron un remanso de paz, confiando en que la madre de Dios los conduciría a la victoria definitiva. Un año después caía México-Tenochtitlan.
Hacia 1540, un indio cacique, de nombre Juan de Águila caminaba por los parajes cercanos al pueblo de Tacuba y vio a la señora en el cielo “que con voz sensible le decía, hijo, búscame en ese pueblo” poco tiempo después , debajo de un maguey, Juan de Águila encontró la vieja estatuilla de madera que había desaparecido desde 1520.
Hacia 1575 ya estaba concluído su templo , en el actual municipio de Naucalpan , al cual se le otorgó la distinción de basilica por el Papa Juan Pablo II.
La gente recurría a la Virgen de los Remedios “en las faltas de lluvias a su tiempo, las epidemias de tabardillos, sarampiones y otras semejantes” . Durante años su imagen recorrió la Calzada México-Tacuba para proteger al pueblo de las terribles epidemias, inundaciones o temblores que de vez en cuando recordaban a los habitantes de la ciudad que la naturaleza no tenía credo religioso . En las vistosas y multitudinarias procesiones, las autoridades eclesiásticas y civiles incluyendo al propio virrey, trasladaban a la Virgen desde su santuario en las afueras de la ciudad para colocarla durante meses en la catedral de la Ciudad de México.
Cuando las calamidades no cedían, ni siquiera con la intercesión de la Virgen de los Remedios, las autoridades recurrían a la imagen guadalupana como último recurso, lo cual no dejaba de causar cierto malestar en el pueblo , pues era un insulto recurrir a la Virgen morena como segunda opción aunque finalmente imperaba la alegría cuando la gente podía observar muy de cerca a la Guadalupana al frente de una procesión.
Alexander von Humboldt percibió la rivalidad entre ambos grupos de fieles:
…………El espíritu de partido, que reina entre los criollos y los gachupines, da un matiz particular a la devoción. La gente común, criollos e indios, ve con sentimiento que, en las épocas de grandes sequedades, el Arzobispo haga traer con preferencia a México la imagen de la Virgen de los Remedios. De ahí aquel proverbio que tan bien caracteriza el odio mutuo de las castas:”hasta el agua nos debe venir de la gachupina”. Si, a pesar de la intercesión de la Virgen de los Remedios, continúa la sequía……el Arzobispo permite a los indios vayan a buscar la imagen de Nuestra Señora de Guadalupe…………...
La Morena y la Generala
Cuando el cura Hidalgo decidió tomar el estandarte de l Virgen de Guadalupe como bandera de la lucha que emprendía en septiembre de 1810, le dio un sentido religioso a la guerra de independencia. No era imposible imaginar la respuesta popular: el cura fue visto entonces como un hombre ungido por la divinidad para liberar al pueblo oprimido.
Durante los 11 años que duró la guerra, la Guadalupana ocupó un lugar fundamental para la causa insurgente. Al tomar este estandarte , Hidalgo le otorgó a la lucha un carácter sagrado. Cargaba siempre consigo, entre sus ropas, una imagen de la Virgen morena.
En los “Sentimientos de la Nación”, Morelos propuso que la celebración oficial de la “patrona de nuestra libertad” fuera el 12 de diciembre. Los miembros de una sociedad secreta que trabajaba a favor de la independencia desde la Ciudad de México, adoptaron el nombre de los Guadalupes. Los guerrilleros de Pedro Moreno portaban en sus sombreros estampas de la señora del Tepeyac.
La respuesta española fue inmediata. De poder a poder, el virrey Francisco Xavier Venegas mandó traer la imagen de l Virgen de los Remedios para resguardarla de los insurgentes, pero sobretodo, para enarbolarla como bandera de los ejércitos realistas. El virrey se veía a sí mismo como Cortés siglos atrás: ante una situación que parecía irremediable, la Virgen de los Remedios había acompañado al conquistador hasta el triunfo.
Tres siglos después, ¿sucedería lo mismo?
Las medidas del virrey llegaron demasiado lejos . A la Virgen de los Remedios se le dio grado militar y desde entonces se le conoce como “La Generala” . Las monjas del convento de San Jerónimo la vistieron con los blasones y la banda correspondiente, y el niño Jesús—que cargaba en sus brazos--- también fue vestido según la usanza. En procesión, la madre de Dios, recorrió la Ciudad de México, mostrando su bastón de mando en una de sus manos, y podía observarse a su pequeño hijo portando un sable. La Virgen y su hijo, Jesucristo, en pie de guerra.
Una vez finalizados los actos públicos, la Virgen fue colocada en el altar principal de la Ciudad de México. En aquel santo lugar su función era doble: una espiritual , dar consuelo a los fieles, recibir ofrendas, ex votos o limosnas; la otra, muy humana, delatar al insurgente. De todos era sabido que los revolucionarios eran guadalupanos: Aquellas personas que, luego de escuchar misa en la catedral, no hicieran la reverencia correspondiente ante la Virgen de los Remedios, seguramente lo hacían ante la Guadalupana, por tanto eran insurgentes. De ese modo, mucha gente fue falsamente acusada de rebeldía. Las autoridades no repararon que, mas allá de la banalidad de las cosas del mundo terrenal, había gente que de buena fé mostraba su devoción a una u otra virgen sin tomar partido por alguna causa politica.
Al final, triunfó la causa insurgente y la Virgen de Guadalupe. No en términos religiosos, ni porque fuera mayor el la devocion del pueblo por ella; venció porque era un símbolo de unidad; un elemento que conjuntaba a todos aquellos que consideraban pertenecientes al mismo terruño; aquéllos que veían la historia de 1521 como algo común a todos. La Guadalupana era una Virgen innegablemente mexicana. Con la consumación de la independencia, en 1821, llegó la reconciliación de ambas advocaciones a los ojos de los mexicanos: La Morena y la Generala compartían un futuro común en un país que iniciaba su andar en la historia.
La basilique Sainte-Thérèse est située à Lisieux, en France. Sa construction a débuté en 1929 et sa consécration a eu lieu en 1954. Aujourd'hui, elle est le deuxième lieu de pèlerinage en importance en France (après celle de Lourdes).
Labellisé « Patrimoine du xxe siècle », elle a été inscrite au titre des monuments historiques le 14 septembre 20102 puis classée le 7 septembre 2011.
Sainte Thérèse de Lisieux ayant été béatifiée en 1923 et canonisée en 1925, il fut décidé de construire une grande basilique vouée au pèlerinage dans la ville où elle avait vécu et où elle était morte. En effet, la dévotion à la nouvelle sainte attirait rapidement des foules de plus en plus importantes.
Ce projet, lancé par l'évêque de Bayeux et Lisieux, Mgr Lemonnier, reçut le soutien total du pape Pie XI qui avait placé son pontificat sous le signe de sainte Thérèse. Il a été entièrement financé par des dons et souscriptions spécifiques venus du monde entier.
Les travaux ont été commencés le 30 septembre 1929, la première pierre étant posée ce jour par le cardinal Charost, légat du pape. Ils furent supervisés par deux architectes de père en fils, les Cordonnier — Louis Marie Cordonnier, mort en 1940, puis son fils Louis-Stanislas Cordonnier (décédé le 25 août 1960). Les travaux continuèrent au ralenti entre 1939 et 1944 à cause de la Seconde Guerre mondiale. Rendu au culte à la fête de l'Ascension en 1951, le monument ne fut terminé qu'après la guerre.
La basilique a été bénie le 11 juillet 1937, par le cardinal Pacelli, légat du pape et futur Pie XII puis consacrée le 11 juillet 1954 par l'archevêque de Rouen, Mgr Martin en présence du légat du pape, archevêque de Paris, Mgr Feltin.
En juillet 2012, la basilique accueillit le tout premier congrès européen du Tiers-Ordre franciscain qui se conclut, le 12 juillet, par une messe dédiée aux Martin, parents de sainte Thérèse (jour anniversaire de leur mariage); Zélie Martin était d’ailleurs aussi membre du dit Tiers-Ordre.
Description
Précédé d'un vaste parvis, le monument se trouve sur une colline, en limite de la cité qu'il domine de sa masse imposante.
De style composite (dit romano-byzantin), l'architecture de la basilique est fortement inspirée par celle de la basilique du Sacré-Cœur à Paris3. Par ses dimensions, l'édifice, construit en béton armé et granit, se compare aux plus grandes cathédrales :
longueur : 104 m ;
largeur du transept : 50 m ;
largeur de la nef : 30 m ;
hauteur du dôme : 95 m ;
hauteur de la coupole : 50 m ;
la croix surmontant l'ensemble mesure 1,70 m ;
hauteur des voûtes : 37 m ;
superficie : 4 500 m2.
C'est une des plus grandes églises construites au xxe siècle ; elle peut accueillir 4 000 personnes. La structure de base, qui a été terminée avant la guerre, a subi peu de dégâts lors des bombardements qui détruisirent Lisieux aux deux tiers ; elle a probablement été épargnée grâce à sa position en limite d'agglomération. Sa décoration a été entreprise dans les années 1950.
L'édifice est en forme de croix latine, avec nef, chœur et transept. La croisée est surmontée d'une imposante coupole. Le transept sud reçoit le reliquaire offert par le Pape Pie XI à la basilique. Le volume intérieur est d'un seul tenant, sans nefs collatérales ni déambulatoire : du fait de l'absence de colonnes, tous les fidèles qui assistent aux offices en ont une vue sans obstruction. La plus grande partie de l'intérieur de la basilique est couverte de mosaïques.
Les sculptures sont de Robert Coin, les dessins des cartons des mosaïques et des vitraux de Pierre Gaudin.
Les orgues de la maison Beuchet Cavaillé-Coll, construites en 1936, installées et restaurées par Victor Gonzalez vers 1950 (55 jeux, 3 claviers).
L'édifice contient 18 autels mineurs offerts par différentes nations en ex-voto à sainte Thérèse. À partir de l'entrée, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre :
Nef, côté droit : Mexique - Espagne - Italie
Transept, côté droit : Ukraine - Chili
Chœur, côté droit : Brésil - Argentine - Portugal
Chœur, côté gauche : États-Unis - Colombie - Grande-Bretagne
Transept, côté gauche : Écosse - Allemagne - Cuba - Irlande
Nef, côté gauche : Canada - Belgique - Pologne
LA IMAGEN DE LA VIRGEN DE LA SALUD
La imagen venerada en la Basílica de la Salud corresponde a la advocación de la Virgen María de la Inmaculada Concepción (celebrada el 8 de diciembre) que en Pátzcuaro se le dio el nombre de “Virgen de la salud de los enfermos”.
La imagen data del siglo XVI y según la tradición fue mandada realizar por Vasco de Quiroga, siendo elaborada por manos indígenas en la ancestral técnica de pasta de caña de maíz con miel de orquídeas.
Originalmente la imagen no se encontraba en el actual templo Basílica de la Salud. En la época del virreinato hasta el siglo XIX se veneraba la imagen en el templo hoy conocido como el Templo del Sagrario ubicado a una cuadra de la basílica. Ese templo en tiempos de Vasco de Quiroga era parte del Hospital de Santa Marta, la imagen recibió el nombre de Virgen de la Salud ya que se le atribuía ayudar a curar a los enfermos. En 1737 la Virgen de la Salud fue declarada Patrona de Pátzcuaro.
A finales del siglo XIX el templo de la actual Basílica de la Salud fue reconstruido y remodelado en su actual aspecto neoclásico y a partir de entonces es cuando se traslado a su nuevo recinto la imagen de la Virgen de la Salud.
El 5 de abril de 1898 en Roma el Papa León XIII decretó la coronación canónica de la Virgen de la Salud. El 8 de diciembre de 1899 en una solemne ceremonia se llevo a cabo la coronación del a Virgen de la Salud a manos del Arzobispo de Michoacán Ignacio Árciga.
En 1908 el entonces Santuario de la Virgen de la Salud fue elevado a Colegiata y en 1924 el templo fue elevado a Basílica Menor con la titularidad de la Virgen de la Salud.
En 1962 alguien le disparó a la Virgen quedando 10 orificios de bala en el cristal del ciprés que la cubre, sin que ninguna bala haya tocado a la imagen permaneciendo intacta.
La Virgen de la Salud es la patrona de la Arquidiócesis de Morelia, a finales del siglo XX la imagen tuvo una nueva coronación a manos del Arzobispo de Morelia y el Cardenal Primado de México. La imagen es muy venerada y la religiosidad popular le atribuye milagros, siendo visitada cotidianamente por múltiples feligreses, turistas y peregrinaciones anuales.
Basilica de los Remedios
Ntra. Sra. de los Remedios es elevado a la
dignidad de BASÍLICA MENOR, por Decreto de la Congregación para el Culto Divino y la Disciplina de los Sacramentos.
El jueves 22 de octubre de 1998, a las 5:00 p.m. Justo Mullor García, Nuncio Apostólico en México, con Ricardo Guizar Díaz Arzobispo de Tlalnepantla,
acompañados de cuatro Obispos de México
Rectores de Santuarios de México,
200 Presbíteros,
Diáconos y Religiosos de la Arquidiócesis de Tlalnepantla,
proclama ante el pueblo de Dios,
en Solemnísima Liturgia, el Decreto y el Breve por el que S.S. Juan Pablo II
eleva el Santuario de Ntra. Sra. de los Remedios a la dignidad de Basilica
Versión del historiador Alejandro Rosas en su libro Mitos de la Historia de México: de Hidalgo a Zedillo. Editorial Planeta
La Virgen de los Remedios
La aparición de la Virgen de los Remedios.
Cuando inició la guerra de independencia , la Virgen de los Remedios tenía una clara ventaja sobre la Guadalupana: experiencia en combates; su historia era épica. Según cuenta la tradición , Juan Rodríguez de Villafuerte, uno de los hombres de Hernán Cortés, trajo a territorio americano una imagen de la Virgen de los Remedios “para su consuelo” ; era un regalo de su hermano que al entregársela le había dicho que tuviera mucha confianza porque a él le habría librado de los peligros de las batallas en que se había hallado y esperaba que le sucediera lo mismo en el Nuevo Mundo .
Al llegar a la capital del Imperio Azteca , Cortés ordenó a Villafuerte que colocara la imagen de la Virgen de los Remedios en un altar del Templo Mayor , donde solían efectuarse los sacrificios humanos, allí fue expuesta por unas semanas hasta que estallara la guerra y no se supo nada mas de la pequeña imagen labrada de madera.
Durante la derrota de la Noche Triste el 30 de junio de 1520, Cortés tuvo que retirarse precipitadamente de México- Tenochtitlan . La escena según cuentan los cronistas, fue espantosa : mientras intentaban huir por la calzada de Tlacopan (Tacuba) muchos de los españoles habían caído prisioneros y podían divisarse como eran sacrificados por los aztecas . Exhausto y desmoralizado, el conquistador y sus hombres llegaron a un pequeño monte delante del pueblo de Tlacopan y decidieron pernoctar en ese lugar. La virgen se apareció acompañada, según se refiere, por Santiago- Patrón de España- y los abatidos conquistadores encontraron un remanso de paz, confiando en que la madre de Dios los conduciría a la victoria definitiva. Un año después caía México-Tenochtitlan.
Hacia 1540, un indio cacique, de nombre Juan de Águila caminaba por los parajes cercanos al pueblo de Tacuba y vio a la señora en el cielo “que con voz sensible le decía, hijo, búscame en ese pueblo” poco tiempo después , debajo de un maguey, Juan de Águila encontró la vieja estatuilla de madera que había desaparecido desde 1520.
Hacia 1575 ya estaba concluído su templo , en el actual municipio de Naucalpan , al cual se le otorgó la distinción de basilica por el Papa Juan Pablo II.
La gente recurría a la Virgen de los Remedios “en las faltas de lluvias a su tiempo, las epidemias de tabardillos, sarampiones y otras semejantes” . Durante años su imagen recorrió la Calzada México-Tacuba para proteger al pueblo de las terribles epidemias, inundaciones o temblores que de vez en cuando recordaban a los habitantes de la ciudad que la naturaleza no tenía credo religioso . En las vistosas y multitudinarias procesiones, las autoridades eclesiásticas y civiles incluyendo al propio virrey, trasladaban a la Virgen desde su santuario en las afueras de la ciudad para colocarla durante meses en la catedral de la Ciudad de México.
Cuando las calamidades no cedían, ni siquiera con la intercesión de la Virgen de los Remedios, las autoridades recurrían a la imagen guadalupana como último recurso, lo cual no dejaba de causar cierto malestar en el pueblo , pues era un insulto recurrir a la Virgen morena como segunda opción aunque finalmente imperaba la alegría cuando la gente podía observar muy de cerca a la Guadalupana al frente de una procesión.
Alexander von Humboldt percibió la rivalidad entre ambos grupos de fieles:
…………El espíritu de partido, que reina entre los criollos y los gachupines, da un matiz particular a la devoción. La gente común, criollos e indios, ve con sentimiento que, en las épocas de grandes sequedades, el Arzobispo haga traer con preferencia a México la imagen de la Virgen de los Remedios. De ahí aquel proverbio que tan bien caracteriza el odio mutuo de las castas:”hasta el agua nos debe venir de la gachupina”. Si, a pesar de la intercesión de la Virgen de los Remedios, continúa la sequía……el Arzobispo permite a los indios vayan a buscar la imagen de Nuestra Señora de Guadalupe…………...
La Morena y la Generala
Cuando el cura Hidalgo decidió tomar el estandarte de l Virgen de Guadalupe como bandera de la lucha que emprendía en septiembre de 1810, le dio un sentido religioso a la guerra de independencia. No era imposible imaginar la respuesta popular: el cura fue visto entonces como un hombre ungido por la divinidad para liberar al pueblo oprimido.
Durante los 11 años que duró la guerra, la Guadalupana ocupó un lugar fundamental para la causa insurgente. Al tomar este estandarte , Hidalgo le otorgó a la lucha un carácter sagrado. Cargaba siempre consigo, entre sus ropas, una imagen de la Virgen morena.
En los “Sentimientos de la Nación”, Morelos propuso que la celebración oficial de la “patrona de nuestra libertad” fuera el 12 de diciembre. Los miembros de una sociedad secreta que trabajaba a favor de la independencia desde la Ciudad de México, adoptaron el nombre de los Guadalupes. Los guerrilleros de Pedro Moreno portaban en sus sombreros estampas de la señora del Tepeyac.
La respuesta española fue inmediata. De poder a poder, el virrey Francisco Xavier Venegas mandó traer la imagen de l Virgen de los Remedios para resguardarla de los insurgentes, pero sobretodo, para enarbolarla como bandera de los ejércitos realistas. El virrey se veía a sí mismo como Cortés siglos atrás: ante una situación que parecía irremediable, la Virgen de los Remedios había acompañado al conquistador hasta el triunfo.
Tres siglos después, ¿sucedería lo mismo?
Las medidas del virrey llegaron demasiado lejos . A la Virgen de los Remedios se le dio grado militar y desde entonces se le conoce como “La Generala” . Las monjas del convento de San Jerónimo la vistieron con los blasones y la banda correspondiente, y el niño Jesús—que cargaba en sus brazos--- también fue vestido según la usanza. En procesión, la madre de Dios, recorrió la Ciudad de México, mostrando su bastón de mando en una de sus manos, y podía observarse a su pequeño hijo portando un sable. La Virgen y su hijo, Jesucristo, en pie de guerra.
Una vez finalizados los actos públicos, la Virgen fue colocada en el altar principal de la Ciudad de México. En aquel santo lugar su función era doble: una espiritual , dar consuelo a los fieles, recibir ofrendas, ex votos o limosnas; la otra, muy humana, delatar al insurgente. De todos era sabido que los revolucionarios eran guadalupanos: Aquellas personas que, luego de escuchar misa en la catedral, no hicieran la reverencia correspondiente ante la Virgen de los Remedios, seguramente lo hacían ante la Guadalupana, por tanto eran insurgentes. De ese modo, mucha gente fue falsamente acusada de rebeldía. Las autoridades no repararon que, mas allá de la banalidad de las cosas del mundo terrenal, había gente que de buena fé mostraba su devoción a una u otra virgen sin tomar partido por alguna causa politica.
Al final, triunfó la causa insurgente y la Virgen de Guadalupe. No en términos religiosos, ni porque fuera mayor el la devocion del pueblo por ella; venció porque era un símbolo de unidad; un elemento que conjuntaba a todos aquellos que consideraban pertenecientes al mismo terruño; aquéllos que veían la historia de 1521 como algo común a todos. La Guadalupana era una Virgen innegablemente mexicana. Con la consumación de la independencia, en 1821, llegó la reconciliación de ambas advocaciones a los ojos de los mexicanos: La Morena y la Generala compartían un futuro común en un país que iniciaba su andar en la historia.
(Thai) sacred basil, (Thai) holy basil, krapao [กะเพรา], Tulsi or Tulasi (india), Hot Basil, Ocimum sanctum. =>Little bit furry. Religious use in India, culinary use in Thailand.
Lees meer over thaise heilige basilicum op www.aziatische-ingredienten.nl
Making pesto. This is the type of thing I prefer to do.
Meeting with realtors, quibbling about actual square footage, debating the merits of finishing my second floor attic, worrying about which moving company to choose, and generally trying to make things appear perfect...I can't wait til all this is finished.
My summer has been a whirlwind.
I want a new camera.
I miss Flickering.
I move in less than a month.
Whheeeeee!
Basilica de los Remedios
Ntra. Sra. de los Remedios es elevado a la
dignidad de BASÍLICA MENOR, por Decreto de la Congregación para el Culto Divino y la Disciplina de los Sacramentos.
El jueves 22 de octubre de 1998, a las 5:00 p.m. Justo Mullor García, Nuncio Apostólico en México, con Ricardo Guizar Díaz Arzobispo de Tlalnepantla,
acompañados de cuatro Obispos de México
Rectores de Santuarios de México,
200 Presbíteros,
Diáconos y Religiosos de la Arquidiócesis de Tlalnepantla,
proclama ante el pueblo de Dios,
en Solemnísima Liturgia, el Decreto y el Breve por el que S.S. Juan Pablo II
eleva el Santuario de Ntra. Sra. de los Remedios a la dignidad de Basilica
Versión del historiador Alejandro Rosas en su libro Mitos de la Historia de México: de Hidalgo a Zedillo. Editorial Planeta
La Virgen de los Remedios
La aparición de la Virgen de los Remedios.
Cuando inició la guerra de independencia , la Virgen de los Remedios tenía una clara ventaja sobre la Guadalupana: experiencia en combates; su historia era épica. Según cuenta la tradición , Juan Rodríguez de Villafuerte, uno de los hombres de Hernán Cortés, trajo a territorio americano una imagen de la Virgen de los Remedios “para su consuelo” ; era un regalo de su hermano que al entregársela le había dicho que tuviera mucha confianza porque a él le habría librado de los peligros de las batallas en que se había hallado y esperaba que le sucediera lo mismo en el Nuevo Mundo .
Al llegar a la capital del Imperio Azteca , Cortés ordenó a Villafuerte que colocara la imagen de la Virgen de los Remedios en un altar del Templo Mayor , donde solían efectuarse los sacrificios humanos, allí fue expuesta por unas semanas hasta que estallara la guerra y no se supo nada mas de la pequeña imagen labrada de madera.
Durante la derrota de la Noche Triste el 30 de junio de 1520, Cortés tuvo que retirarse precipitadamente de México- Tenochtitlan . La escena según cuentan los cronistas, fue espantosa : mientras intentaban huir por la calzada de Tlacopan (Tacuba) muchos de los españoles habían caído prisioneros y podían divisarse como eran sacrificados por los aztecas . Exhausto y desmoralizado, el conquistador y sus hombres llegaron a un pequeño monte delante del pueblo de Tlacopan y decidieron pernoctar en ese lugar. La virgen se apareció acompañada, según se refiere, por Santiago- Patrón de España- y los abatidos conquistadores encontraron un remanso de paz, confiando en que la madre de Dios los conduciría a la victoria definitiva. Un año después caía México-Tenochtitlan.
Hacia 1540, un indio cacique, de nombre Juan de Águila caminaba por los parajes cercanos al pueblo de Tacuba y vio a la señora en el cielo “que con voz sensible le decía, hijo, búscame en ese pueblo” poco tiempo después , debajo de un maguey, Juan de Águila encontró la vieja estatuilla de madera que había desaparecido desde 1520.
Hacia 1575 ya estaba concluído su templo , en el actual municipio de Naucalpan , al cual se le otorgó la distinción de basilica por el Papa Juan Pablo II.
La gente recurría a la Virgen de los Remedios “en las faltas de lluvias a su tiempo, las epidemias de tabardillos, sarampiones y otras semejantes” . Durante años su imagen recorrió la Calzada México-Tacuba para proteger al pueblo de las terribles epidemias, inundaciones o temblores que de vez en cuando recordaban a los habitantes de la ciudad que la naturaleza no tenía credo religioso . En las vistosas y multitudinarias procesiones, las autoridades eclesiásticas y civiles incluyendo al propio virrey, trasladaban a la Virgen desde su santuario en las afueras de la ciudad para colocarla durante meses en la catedral de la Ciudad de México.
Cuando las calamidades no cedían, ni siquiera con la intercesión de la Virgen de los Remedios, las autoridades recurrían a la imagen guadalupana como último recurso, lo cual no dejaba de causar cierto malestar en el pueblo , pues era un insulto recurrir a la Virgen morena como segunda opción aunque finalmente imperaba la alegría cuando la gente podía observar muy de cerca a la Guadalupana al frente de una procesión.
Alexander von Humboldt percibió la rivalidad entre ambos grupos de fieles:
…………El espíritu de partido, que reina entre los criollos y los gachupines, da un matiz particular a la devoción. La gente común, criollos e indios, ve con sentimiento que, en las épocas de grandes sequedades, el Arzobispo haga traer con preferencia a México la imagen de la Virgen de los Remedios. De ahí aquel proverbio que tan bien caracteriza el odio mutuo de las castas:”hasta el agua nos debe venir de la gachupina”. Si, a pesar de la intercesión de la Virgen de los Remedios, continúa la sequía……el Arzobispo permite a los indios vayan a buscar la imagen de Nuestra Señora de Guadalupe…………...
La Morena y la Generala
Cuando el cura Hidalgo decidió tomar el estandarte de l Virgen de Guadalupe como bandera de la lucha que emprendía en septiembre de 1810, le dio un sentido religioso a la guerra de independencia. No era imposible imaginar la respuesta popular: el cura fue visto entonces como un hombre ungido por la divinidad para liberar al pueblo oprimido.
Durante los 11 años que duró la guerra, la Guadalupana ocupó un lugar fundamental para la causa insurgente. Al tomar este estandarte , Hidalgo le otorgó a la lucha un carácter sagrado. Cargaba siempre consigo, entre sus ropas, una imagen de la Virgen morena.
En los “Sentimientos de la Nación”, Morelos propuso que la celebración oficial de la “patrona de nuestra libertad” fuera el 12 de diciembre. Los miembros de una sociedad secreta que trabajaba a favor de la independencia desde la Ciudad de México, adoptaron el nombre de los Guadalupes. Los guerrilleros de Pedro Moreno portaban en sus sombreros estampas de la señora del Tepeyac.
La respuesta española fue inmediata. De poder a poder, el virrey Francisco Xavier Venegas mandó traer la imagen de l Virgen de los Remedios para resguardarla de los insurgentes, pero sobretodo, para enarbolarla como bandera de los ejércitos realistas. El virrey se veía a sí mismo como Cortés siglos atrás: ante una situación que parecía irremediable, la Virgen de los Remedios había acompañado al conquistador hasta el triunfo.
Tres siglos después, ¿sucedería lo mismo?
Las medidas del virrey llegaron demasiado lejos . A la Virgen de los Remedios se le dio grado militar y desde entonces se le conoce como “La Generala” . Las monjas del convento de San Jerónimo la vistieron con los blasones y la banda correspondiente, y el niño Jesús—que cargaba en sus brazos--- también fue vestido según la usanza. En procesión, la madre de Dios, recorrió la Ciudad de México, mostrando su bastón de mando en una de sus manos, y podía observarse a su pequeño hijo portando un sable. La Virgen y su hijo, Jesucristo, en pie de guerra.
Una vez finalizados los actos públicos, la Virgen fue colocada en el altar principal de la Ciudad de México. En aquel santo lugar su función era doble: una espiritual , dar consuelo a los fieles, recibir ofrendas, ex votos o limosnas; la otra, muy humana, delatar al insurgente. De todos era sabido que los revolucionarios eran guadalupanos: Aquellas personas que, luego de escuchar misa en la catedral, no hicieran la reverencia correspondiente ante la Virgen de los Remedios, seguramente lo hacían ante la Guadalupana, por tanto eran insurgentes. De ese modo, mucha gente fue falsamente acusada de rebeldía. Las autoridades no repararon que, mas allá de la banalidad de las cosas del mundo terrenal, había gente que de buena fé mostraba su devoción a una u otra virgen sin tomar partido por alguna causa politica.
Al final, triunfó la causa insurgente y la Virgen de Guadalupe. No en términos religiosos, ni porque fuera mayor el la devocion del pueblo por ella; venció porque era un símbolo de unidad; un elemento que conjuntaba a todos aquellos que consideraban pertenecientes al mismo terruño; aquéllos que veían la historia de 1521 como algo común a todos. La Guadalupana era una Virgen innegablemente mexicana. Con la consumación de la independencia, en 1821, llegó la reconciliación de ambas advocaciones a los ojos de los mexicanos: La Morena y la Generala compartían un futuro común en un país que iniciaba su andar en la historia.
The Cathedral was built between 1956 and 1962 and was designed by Sir Basil Spence, following the destruction of the old mediaeval Cathedral in 1940 through enemy bombing.
It was decided to build the new Cathedral adjacent to the old one, which was left in its semi-ruined state with its undamaged 14th century tower. It would in fact be the third Cathedral in Coventry, as this had been a religious site for nearly 1000 years.
There was a competition for the design which was won by the Scottish architect Basil Spence. The unorthodox design was intended to be "a casket of jewels" and contains many works from famous artists.
The Cathedral was consecrated on 25 May 1962.
The Cathedral was built at right angles to the old one, and therefore aligns north-south.
It is built in red Hollington sandstone with green slate cladding and a concrete roof. There is a nave of seven bays, although the aisles are full height, with slender piers tapering at the base. They rise to a concrete ribbed canopy with timber between the ribs. There is no clerestory. The nave walls are angled in a sawtooth fashion with tall stained-glass windows. The nave and chancel are as one.
The (liturgical) west end has a fully glazed wall with engraved figures of saints and angels by John Hutton. The (liturgical) east wall has no window, but is dominated by a large tapestry of Christ in Glory by Graham Sutherland.
There are two chapels, one to the north east (The Chapel of Christ the Servant) and one to the south west (The Chapel of Unity).
The baptistery area to the south east has a full height slightly curved window with closely spaced mullions containing nearly 200 small windows. It was designed by John Piper and painted by Patrick Reyntiens. The font is made with a boulder from near Bethlehem.
On the exterior wall is a sculpture by Epstein of Saint Michael and Lucifer.
The low roof is crowned by a metal fleche topped by a cross.
The organ is by Harrison and Harrison, divided in galleries either side of the altar.
There is an open western (southern) porch linking the two cathedrals. There are also lower levels to the Cathedral with further display and administration rooms. There is also an attached cafe.
Pic by Jenny
La basilique St DOnatien de Nantes après les travaux de rénovations suite à un incendie qui a dértuit le toit et fragiliser la structure.
Basilica de los Remedios
Ntra. Sra. de los Remedios es elevado a la
dignidad de BASÍLICA MENOR, por Decreto de la Congregación para el Culto Divino y la Disciplina de los Sacramentos.
El jueves 22 de octubre de 1998, a las 5:00 p.m. Justo Mullor García, Nuncio Apostólico en México, con Ricardo Guizar Díaz Arzobispo de Tlalnepantla,
acompañados de cuatro Obispos de México
Rectores de Santuarios de México,
200 Presbíteros,
Diáconos y Religiosos de la Arquidiócesis de Tlalnepantla,
proclama ante el pueblo de Dios,
en Solemnísima Liturgia, el Decreto y el Breve por el que S.S. Juan Pablo II
eleva el Santuario de Ntra. Sra. de los Remedios a la dignidad de Basilica
Versión del historiador Alejandro Rosas en su libro Mitos de la Historia de México: de Hidalgo a Zedillo. Editorial Planeta
La Virgen de los Remedios
La aparición de la Virgen de los Remedios.
Cuando inició la guerra de independencia , la Virgen de los Remedios tenía una clara ventaja sobre la Guadalupana: experiencia en combates; su historia era épica. Según cuenta la tradición , Juan Rodríguez de Villafuerte, uno de los hombres de Hernán Cortés, trajo a territorio americano una imagen de la Virgen de los Remedios “para su consuelo” ; era un regalo de su hermano que al entregársela le había dicho que tuviera mucha confianza porque a él le habría librado de los peligros de las batallas en que se había hallado y esperaba que le sucediera lo mismo en el Nuevo Mundo .
Al llegar a la capital del Imperio Azteca , Cortés ordenó a Villafuerte que colocara la imagen de la Virgen de los Remedios en un altar del Templo Mayor , donde solían efectuarse los sacrificios humanos, allí fue expuesta por unas semanas hasta que estallara la guerra y no se supo nada mas de la pequeña imagen labrada de madera.
Durante la derrota de la Noche Triste el 30 de junio de 1520, Cortés tuvo que retirarse precipitadamente de México- Tenochtitlan . La escena según cuentan los cronistas, fue espantosa : mientras intentaban huir por la calzada de Tlacopan (Tacuba) muchos de los españoles habían caído prisioneros y podían divisarse como eran sacrificados por los aztecas . Exhausto y desmoralizado, el conquistador y sus hombres llegaron a un pequeño monte delante del pueblo de Tlacopan y decidieron pernoctar en ese lugar. La virgen se apareció acompañada, según se refiere, por Santiago- Patrón de España- y los abatidos conquistadores encontraron un remanso de paz, confiando en que la madre de Dios los conduciría a la victoria definitiva. Un año después caía México-Tenochtitlan.
Hacia 1540, un indio cacique, de nombre Juan de Águila caminaba por los parajes cercanos al pueblo de Tacuba y vio a la señora en el cielo “que con voz sensible le decía, hijo, búscame en ese pueblo” poco tiempo después , debajo de un maguey, Juan de Águila encontró la vieja estatuilla de madera que había desaparecido desde 1520.
Hacia 1575 ya estaba concluído su templo , en el actual municipio de Naucalpan , al cual se le otorgó la distinción de basilica por el Papa Juan Pablo II.
La gente recurría a la Virgen de los Remedios “en las faltas de lluvias a su tiempo, las epidemias de tabardillos, sarampiones y otras semejantes” . Durante años su imagen recorrió la Calzada México-Tacuba para proteger al pueblo de las terribles epidemias, inundaciones o temblores que de vez en cuando recordaban a los habitantes de la ciudad que la naturaleza no tenía credo religioso . En las vistosas y multitudinarias procesiones, las autoridades eclesiásticas y civiles incluyendo al propio virrey, trasladaban a la Virgen desde su santuario en las afueras de la ciudad para colocarla durante meses en la catedral de la Ciudad de México.
Cuando las calamidades no cedían, ni siquiera con la intercesión de la Virgen de los Remedios, las autoridades recurrían a la imagen guadalupana como último recurso, lo cual no dejaba de causar cierto malestar en el pueblo , pues era un insulto recurrir a la Virgen morena como segunda opción aunque finalmente imperaba la alegría cuando la gente podía observar muy de cerca a la Guadalupana al frente de una procesión.
Alexander von Humboldt percibió la rivalidad entre ambos grupos de fieles:
…………El espíritu de partido, que reina entre los criollos y los gachupines, da un matiz particular a la devoción. La gente común, criollos e indios, ve con sentimiento que, en las épocas de grandes sequedades, el Arzobispo haga traer con preferencia a México la imagen de la Virgen de los Remedios. De ahí aquel proverbio que tan bien caracteriza el odio mutuo de las castas:”hasta el agua nos debe venir de la gachupina”. Si, a pesar de la intercesión de la Virgen de los Remedios, continúa la sequía……el Arzobispo permite a los indios vayan a buscar la imagen de Nuestra Señora de Guadalupe…………...
La Morena y la Generala
Cuando el cura Hidalgo decidió tomar el estandarte de l Virgen de Guadalupe como bandera de la lucha que emprendía en septiembre de 1810, le dio un sentido religioso a la guerra de independencia. No era imposible imaginar la respuesta popular: el cura fue visto entonces como un hombre ungido por la divinidad para liberar al pueblo oprimido.
Durante los 11 años que duró la guerra, la Guadalupana ocupó un lugar fundamental para la causa insurgente. Al tomar este estandarte , Hidalgo le otorgó a la lucha un carácter sagrado. Cargaba siempre consigo, entre sus ropas, una imagen de la Virgen morena.
En los “Sentimientos de la Nación”, Morelos propuso que la celebración oficial de la “patrona de nuestra libertad” fuera el 12 de diciembre. Los miembros de una sociedad secreta que trabajaba a favor de la independencia desde la Ciudad de México, adoptaron el nombre de los Guadalupes. Los guerrilleros de Pedro Moreno portaban en sus sombreros estampas de la señora del Tepeyac.
La respuesta española fue inmediata. De poder a poder, el virrey Francisco Xavier Venegas mandó traer la imagen de l Virgen de los Remedios para resguardarla de los insurgentes, pero sobretodo, para enarbolarla como bandera de los ejércitos realistas. El virrey se veía a sí mismo como Cortés siglos atrás: ante una situación que parecía irremediable, la Virgen de los Remedios había acompañado al conquistador hasta el triunfo.
Tres siglos después, ¿sucedería lo mismo?
Las medidas del virrey llegaron demasiado lejos . A la Virgen de los Remedios se le dio grado militar y desde entonces se le conoce como “La Generala” . Las monjas del convento de San Jerónimo la vistieron con los blasones y la banda correspondiente, y el niño Jesús—que cargaba en sus brazos--- también fue vestido según la usanza. En procesión, la madre de Dios, recorrió la Ciudad de México, mostrando su bastón de mando en una de sus manos, y podía observarse a su pequeño hijo portando un sable. La Virgen y su hijo, Jesucristo, en pie de guerra.
Una vez finalizados los actos públicos, la Virgen fue colocada en el altar principal de la Ciudad de México. En aquel santo lugar su función era doble: una espiritual , dar consuelo a los fieles, recibir ofrendas, ex votos o limosnas; la otra, muy humana, delatar al insurgente. De todos era sabido que los revolucionarios eran guadalupanos: Aquellas personas que, luego de escuchar misa en la catedral, no hicieran la reverencia correspondiente ante la Virgen de los Remedios, seguramente lo hacían ante la Guadalupana, por tanto eran insurgentes. De ese modo, mucha gente fue falsamente acusada de rebeldía. Las autoridades no repararon que, mas allá de la banalidad de las cosas del mundo terrenal, había gente que de buena fé mostraba su devoción a una u otra virgen sin tomar partido por alguna causa politica.
Al final, triunfó la causa insurgente y la Virgen de Guadalupe. No en términos religiosos, ni porque fuera mayor el la devocion del pueblo por ella; venció porque era un símbolo de unidad; un elemento que conjuntaba a todos aquellos que consideraban pertenecientes al mismo terruño; aquéllos que veían la historia de 1521 como algo común a todos. La Guadalupana era una Virgen innegablemente mexicana. Con la consumación de la independencia, en 1821, llegó la reconciliación de ambas advocaciones a los ojos de los mexicanos: La Morena y la Generala compartían un futuro común en un país que iniciaba su andar en la historia.