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jour de tempête en baie de somme

malgré le vent je prends la voiture pour profiter du spectacle maritime

et je découvre cette pauvre bergeronnette qui lutte le plus aérodynamiquement possible sur ce perchoir hostile face aux bourrasques

tiraillée par la crainte de ma présence elle me toise

très lentement je prends mon appareil photo

l'objectif bouge sans cesse

je me cale le plus possible et tire une rafale

je recule et tire ma révérence en lui laissant le choix de trouver un abri moins exposé

pour mémoire la mer agitée a fourni un spectacle grandiose

je pourrai passer des heures à vanter la baie de somme

c'est un incontournable toute l'année pour un ornithologue

je suis dispo pour partager quelques bons plans et pourquoi pas à partager la bonne fortune

   

La chapelle, dite des marins, est située sur les hauteurs du cap Hornu.

Sa toute première construction a été réalisée en 628 par saint Blimont à l'emplacement de la sépulture de Valery, apôtre du Vimeu. Elle connut une première reconstruction en 1675, puis fut remplacée par une nouvelle chapelle construite en 1878. Le sanctuaire a totalement été rénové en 2013 sous l'égide du Patrimoine de France.

La chapelle, de style néogothique, présente des murs en damiers de pierre blanche et de silex. Son clocher est surmonté d'un goéland. À l'intérieur le tympan est sculpté en plein bois et sur ses murs on peut voir de nombreux ex-voto. Saint Fiacre, patron des jardiniers et gens de culture, y est également célébré.

 

Texture de Lenabem avec mes remerciements : www.flickr.com/photos/lenabem-anna/5718983464/

Mâle et femelle sont assez semblables chez la Fauvette grisette.

On la reconnait à ses ailes présentant un jolie brun-roux et à sa gorge crème.

Le dos est de couleur brune.

On distingue tout de même le mâle de la femelle à la teinte de la tête qui est nettement grise chez le mâle et plus terne chez la femelle, mélange de gris et de brun.

Passant l’hiver entre le sud du Sahara et l’Afrique australe, c’est au mois d’avril que la Fauvette grisette revient sous nos latitudes. La reproduction s’étend de mai à juillet pendant laquelle les oiseaux peuvent produite une à deux couvées.

Les oiseaux repartent ensuite vers leurs quartiers d’hivernage en aout-septembre.

Nid construit dans la végétation mais souvent proche du sol.

Il faut à la Fauvette grisette des milieux ouverts avec une végétation herbacée ou ligneuse peu élevée mais bien fournie jusqu’au sol.

Elle habite donc les lisières et les clairières des bois, les jeunes taillis et plantations, les haies, les landes d’ajoncs, les bruyères, les broussailles basses…

Elle est absente des parcs et des zones trop entretenues dans lesquelles elle ne trouve guère la miniature de jungle végétale qu’elle affectionne.

pas fréquente dans le département de la somme

merci au propriétaire du champ qui m'a autorisé à m'embusquer

 

à noter son anticipation à se masquer covid oblige

 

Elle se trouve principalement dans l'Aisne, mais fréquente aussi le reste de la Picardie.

 

Elle se perche sur les fils électriques, les poteaux, les piquets, les branches bien découvertes, qui lui donnent une vue d'ensemble pour repérer ses proies.

Elle constitue ce que l'on nomme des "lardoirs", qui sont des buissons épineux où elle embroche ses proies en vue de les consommer plus tard, quand la nourriture se fait plus rare. Elle est surtout insectivore et c'est donc une migratrice, qui passe l'hiver en Afrique de l'est.

Elle fréquente les milieux ouverts et secs à végétation buissonneuse, les landes plantées d'arbustes épineux. Elle niche à la lisère des bois et forêts, dans les parcs, les jardins, les boqueteaux, les clairières, le long des chemins et des routes mais aussi loin dans les champs, si un buisson est présent.

  

deux hiboux des marais nous ont procuré un spectacle

en compagnie de Benoist Williatte nous avons pu les observer dans de très bonnes conditions

l'un des deux se posait régulièrement après un envol magistral et revenait sur une sorte de pupitre sur lequel les chasseurs disposent une cage à peine plus grande que leur appelant vivant maintenu dedans

l'appelant crie sans cesse ; on se demande pourquoi

 

voici le lien qui montre l'ingéniosité des chasseurs pour attirer le gibier

à juger par vous même du savoir faire des chasseurs

www.youtube.com/watch?v=dPtapqhLANM&t=30s

 

la chasse étant en pause le pupitre devient un perchoir idéal pour servir de scène à un spectacle magnifique

 

pour revenir au sujet des appelants qui peuvent émouvoir nos âmes sensibles ; entre les périodes de chasse les maitres les dorlotent tout le reste de l'année ...

par ailleurs certains chasseurs sont très impliqués pour l'environnement dans ma région

avant de juger ....

certains ornithologues sont prêts à tout pour faire une photo quitte à déranger l'oiseau pour assurer sa bonne fortune

certains comportements laissent à désirer

 

en Finlande des observatoires privés sont prévus pour assurer l'observation de la chouette lapone qui est attirée par les lemmings ( star de l'avifaune qui motive à elle seule le déplacement )

pour assurer le coup ( et la rentabilité du voyage ) on fixe un lemming au bout d'une canne à lancer et du point d'observation on ramène la proie . évidemment la tache du photographe est facilitée

 

ne surtout pas parler des trucs et astuces utilisés pour certains documentaires animaliers qui étonnent par la qualité des observations

 

certains chasseurs ne sont pas respectables mais est-ce que tous les ornithologues le sont .....

Harbor seals tend to rest on land: they spend around half of their time up on the shores, and roughly 75% of this time is devoted to resting.

 

But they can also rest in the water, floating on the surface or lying at the bottom of the sea. These "naps" can last 30 minutes at the very longest (most of the time, they do not exceed 15 minutes).

Le phragmite des joncs se nourrit essentiellement d'insectes et d'araignées.

Il fréquente la végétation touffue des zones humides, les phragmitaies (plutôt avec des buissons et des herbes), les grands joncs, les saulaies des bords de cours d'eau, les buissons marécageux, les fossés et les canaux avec des herbes ou des roseaux.

un sédentaire du parc du Marquenterre

les oiseaux peuvent vivre en harmonie ..... sans guerre .... !!!

 

Plage de la Maye

Baie de Somme , France

In winter, the black-headed gull is in fact white-headed with a blackish patch behind the eye. The black head is part of its breeding plumage.

 

Another fun fact about the black-headed gull: in French, the species is called "laughing gull" ("mouette rieuse"), which is NOT to be mistaken with the anglo-saxon "laughing gull" ("mouette atricille" in French).

Le blanchon est le petit du phoque (loup-marin), également appelé « chiot » ou « veau ».

Le terme « blanchon » évoque l'épais pelage blanc qui sert au jeune phoque à se dissimuler sur la banquise ou les glaces marines les premiers mois de sa vie, où il demeure très vulnérable et dépendant. Le blanchon y est allaité pendant quelques semaines, jusqu'à ce qu'il se munisse d'un poil imperméable lui permettant de nager, coloré de différentes teintes de gris selon les espèces. Quand la mère chasse, le petit se retrouve régulièrement isolé sur la banquise, parfois pendant plusieurs heures. S'il sent une menace, il se fige dans l'espoir de passer inaperçu dans la neige - ce qui ne le protège en fait guère de l'excellent flair des ours polaires. S'il est attaqué par un prédateur ou un homme, la mère ne vient généralement pas le protéger, ce qui en fait une proie d'autant plus facile.

Par anthropomorphisme, on appelle les blanchons « bébés phoques », ces derniers jouissant d'un statut particulier dans l'opinion publique et les campagnes publicitaires animalistes.

 

A whitecoat is a newborn harp or grey seal with soft, white fur.

Newborn seals have yellow fur because of amniotic fluid, and are still wet. When the pup dries, it is called a yellowcoat. The amniotic stain fades and the fur turns white within a few days, and it gets the name whitecoat. First it's called a thin whitecoat, and when it becomes visibly fatter it is a fat whitecoat.[1]

Nursing lasts for about 12 days. Cows frequently return to their pups to suckle. While she is suckling, the mother does not eat—rather, she draws on her reserves of fatty blubber to produce the milk. Pups grow rapidly, at the end of nursing, most pups weigh 36 kg (80 lbs) or more. The mothers then leave their fully fed pups and join the bulls to mate. At this age of about 12 days, pups first become "greycoats",[2] as grey juvenile coloring grows under their white fur, then "ragged-jackets" when white fur begins to fall out in patches.

Le long du chenal de la Somme

un habitué de mon jardin

 

Le juvénile se distingue tout de suite de l'adulte. Il est beaucoup plus sombre, moins vert, et la quasi-totalité de son plumage est marqué de stries, barres et mouchetures. Le dessus est d'un vert terne moucheté de gris jaunâtre. Le dessous blanc grisâtre est entièrement barré de noirâtre et les côtés de la tête possèdent des stries de même couleur. Le rouge de la calotte est moins vif.

Au bord du chenal de la Somme à marée basse.

Textures Daniel Schoumakers

Le train touristique entre St Valéry et le Crotoy.

Afternoon view at Cayeux sur Mer

La locomotive du train touristique.

Petit gravelot et son petit bien caché, on ne voit que ses pattes, le deuxième n'est pas loin...

 

C'est un grande migratrice, qui niche dans différentes zones nordiques (Sibérie, Canada, Russie,...).

Elle ne se montre qu'en petits nombres sur le littoral picard en hiver, alors qu'elle est présente en plus grand nombre de la Normandie au Bassin d'Arcachon sur cette même période.

C'est la plus aquatique des oies.

 

En hiver et en migration, elle est présente sur les estrans sablo-vaseux à zostères (algues) et les prés salés (Baie de Somme et Baie d'Authie).

Une fois le nid terminé, la ponte s'effectue en avril ou en mai. Elle est en moyenne de 3 ou 4 œufs (on en compte parfois 6), la cigogne déposant un œuf tous les 2 jours environ. Dès que le premier œuf est pondu, les deux parents vont se relayer régulièrement pour la couvaison. L'incubation dure environ 34 jours, durant lesquels mâle et femelle se remplacent à peu près toutes les heures pendant la journée. La nuit, c'est toujours la femelle qui couve.

 

Les éclosions s'échelonnent sur une semaine. Souvent, c'est la loi du plus fort, le dernier-né ne survit pas. Trop chétif pour arracher à ses frères et sœurs la nourriture dont il a besoin, il est tout simplement jeté hors du nid ou même dévoré par ses parents.

Dès la naissance, les cigogneaux effectuent, d'instinct, des semblants de parade. On les voit renverser leur tête en arrière tout en agitant leurs moignons d'ailes, puis la ramener en avant tout en faisant vibrer leurs mandibules. En revanche, lorsque ce sont les adultes qui craquettent, les petits s'immobilisent, comme paralysés par l'excitation que manifestent leurs parents.

 

Ces petites boules sans plumes ne pèsent à la naissance que 75 g, mais leur croissance est fulgurante. Il est vrai que les parents fournissent un effort exceptionnel pour nourrir leur progéniture : ils ne cessent d'apporter des aliments, qu'ils régurgitent au centre du nid. L'eau est transportée dans le bec des adultes qui la déversent directement dans celui des petits.

 

Dès que les jeunes sont capables de se tenir sur leurs pattes, ils s'agitent et n'arrêtent pas de se chamailler. Ils se précipitent sur leurs parents quand ceux-ci reviennent au nid, allant jusqu'à leur arracher la nourriture du bec. Cette voracité leur réussit puisque, au bout d'une dizaine de semaines, ils sont prêts à tenter leur première sortie et à voler hors du nid. C'est que, très vite, ils ne tiennent plus en place dans un espace devenu trop petit pour la couvée, et ils s'exercent au vol en battant énergiquement l'air de leurs ailes toutes neuves.

 

Progressivement, les jeunes vont quitter le nid pour n'y revenir que la nuit. Bientôt, à la mi-juillet ou au début du mois d'août, ce nid sera complètement délaissé. Les cigogneaux, devenus autonomes, quittent alors la région de leur naissance, avant le départ de leurs parents pour la migration.

 

la principale activité des cigognes reste la recherche de nourriture. Elles déambulent à découvert, sans chercher à se cacher. Elles chassent surtout dans les champs, les marais, au bord des fossés et dans tous les lieux humides. Elles aiment l'époque des labours, durant laquelle elles vont jusqu'à suivre les charrues. Après la récolte, elles apprécient beaucoup les chaumes brûlés.

 

Leurs proies sont essentiellement animales ; l'absorption de végétaux ou de graines est très marginale ; et, sur des décharges à ciel ouvert, elles glanent des déchets comme les charognards. Leur consommation ordinaire couvre pratiquement toute la petite faune terrestre et aquatique, des insectes aux petits mammifères en passant par les mollusques, les poissons, les vers de terre et les amphibiens. Elles chassent souvent à l'affût les petits rongeurs : elles les guettent à la sortie des trous et les transpercent de leur bec dès qu'ils se présentent.

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