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une aide serait bienvenue pour l'identification

initialement l'impression est en faveur d'un épervier mais la taille juste un peu plus petite qu'une buse est étonnante

le sourcil +++

une femelle probable ..

un juvénile

merci à vous

finalement la confirmation est bien en faveur d'une femelle épervier

 

devant chez moi dans la lumière matinale

leurs plumes sont magnifiques

on comprend pourquoi les aigrettes ont été décimées à une période ou il était à la monde de porter des plumes sur les chapeaux des dames ou des militaires

on appelait cela l'industrie plumassière

Cette grive tire son nom du chant très musical qu’elle émet : elle répète trois ou quatre fois un même phrasé, puis enchaîne avec d’autres. Elle peut même imiter d’autres oiseaux ! Très commune , elle peut être rencontrée toute l’année. Friande de chenilles, vers, limaces et escargots, elle utilise des pierres comme enclume pour fracasser la coquille de ces derniers.

La Grive musicienne est d'une taille un peu inférieure à celle du Merle noir qu'elle côtoie souvent, mais la confusion n'est pas possible. C'est un oiseau plus trapu, avec une queue plus courte et un plumage plus clair. Les parties supérieures sont d'un brun assez chaud et sont assez uniformes d'aspect. Une nuance roussâtre est perceptible sur la calotte et les ailes tandis que le bas du dos, le croupion et les sus-caudales paraissent un peu plus gris. L'œil sombre est cerclé de pâle, ce qui le fait paraître grand. Le sourcil chamois est très peu marqué, ce qui la distingue de sa cousine mauvis. Les couvertures auriculaires chamois sont entourées de brun. Enfin, les traits malaires noirâtres, bien marqués, se rejoignent sous la gorge pour former une sorte de collier tacheté. Les parties inférieures sont roussâtres sur la poitrine et les flancs, et blanc-crème sur le ventre et les sous-caudales. Des taches brun-noir en forme de V, ou de cœur, renversés, constellent la poitrine, le haut du ventre et les flancs. Les pattes sont roses. le bec est brunâtre avec la base de la mandibule inférieure jaune. Au vol, on distingue les couvertures sous-alaires orange pâle.

pour l'aile droite il faut s'entrainer encore.......

Le tarier des prés est l'hôte caractéristique des prairies à foin ou à litière exploitées de manière peu intensive, des marais exondés et des pâturages. Il doit disposer de postes de chants dominants : hautes plantes, buissons, piquets ou clôtures.

Actuellement ce n'est guère qu'au moment des migrations, surtout en mai et en septembre, que l'on observe le tarier des prés dans les campagnes de plaine.

Perché dans la végétation, la plupart du temps bien en vue, il ne descend à terre que brièvement pour capturer une proie. Le mâle est un chanteur infatigable ; au cours de la parade nuptiale, il chante devant la femelle, les ailes pendantes, la queue étalée et légèrement relevée, la tête rejetée en arrière. En outre, pendant que la femelle couve, il monte la garde auprès d'elle en chantant. La modernisation de l'agriculture est la principale cause de sa régression : dans bien des endroits, son milieu vital a été transformé en cultures intensives. Dans le passé, les prés n'étaient pas fauchés avant mi-juin, après l'envol des jeunes tariers. Aujourd'hui, la fenaison a souvent déjà lieu en mai, et beaucoup de nids, construits au sol, sont alors détruits.

Le tarier des prés se nourrit essentiellement d'insectes et d'araignées.

  

La bernache cravant est une petite oie à peine plus grande qu'un Canard colvert. La poitrine, la tête et le cou sont noirs, avec une petite tache blanche de chaque côté en ce qui concerne ce dernier. Le dessous est gris-brun foncé, y compris le ventre qui peut avoir des reflets blanchâtres. Le bec, les pattes palmées sont uniformément noirs. Le dessous de la queue est blanc.

Fr ; basliste ; sun etc ; amatr;

C'est une espèce qui ne se reproduit que très rarement en Picardie.

 

Il se reproduit habituellement dans les pays nordiques, puis il migre, pour l'hiver, en direction de l'Afrique sub-saharienne. Certains individus passeront la mauvaise saison en Picardie et d'autres viendront y nicher à leur retour d'Afrique

 

Il fréquente les marais arrière-littoraux et les vasières. Il s'observe donc principalement dans les zones côtières, mais aussi en petits groupes à l'intérieur des terres.

 

Le Canard pilet est un canard svelte et élégant, plus fin et plus élancé que le Canard colvert et l'impression est accentuée par la longue queue effilée qui lui a valu son nom scientifique "acuta".

Le mâle adulte nuptial se reconnaît au premier coup d'œil. Sa tête brun-chocolat est marquée à l'arrière d'un trait blanc qui remonte du côté du cou. Sur le dessus du corps, on remarque surtout les longues scapulaires noires ourlées de blanc qui retombent sur les flancs. Elles sont suivies des longues tertiaires bicolores qui couvrent le dos et le croupion. L'avant du cou, la poitrine et le ventre sont blancs. Les flancs sont finement vermiculés de gris. L'arrière-train est nettement bicolore, blanc-crème et noir avec une nette séparation verticale. La queue, longue et pointue, est bicolore, blanche à filets noirs. Le beau miroir vert-émeraude des rémiges secondaires ne se voit qu'en vol ou lors des séances de toilettage. Le bec est gris bleuté avec du noir sur le culmen et à la marge. Les pattes sont grises.

Le Traquet motteux, ce petit passereau à peine plus gros qu’un Moineau, fait l’objet d’une attention particulière par le Syndicat Mixte Baie de Somme. C’est en effet un des oiseaux les plus menacés de disparition de Picardie, son seul site de reproduction régulier connu étant le Hâble d’Ault.

Il y niche au sol au sein des cavités et autres terriers de lapins.

Plusieurs nichoirs spécialement adaptés à ses caractéristiques ont donc été installés ce printemps sur différents sites favorables à sa reproduction, pour tenter d’améliorer la situation de cette espèce, notamment sur la zone de l’Arrêté de Protection de Biotope des Mollières de Cayeux-sur-Mer.

  

L’opération semblait fonctionner, plusieurs individus ayant été observés à proximité des nichoirs voire même perchés dessus. Cependant, quelques jours après leur mise en place, quelle ne fut pas la surprise des agents du Syndicat Mixte de découvrir près de la moitié de ces nichoirs déterrés, ouverts en deux, voire même détruits en plusieurs morceaux.

  

Acte innocent d’un enfant curieux, ou acte gratuit de dégradation volontaire, nul ne sait, mais le résultat est que les efforts entrepris pour cet oiseau cette année sont réduits à néant. Espérons que ces actes sont isolés et que ce superbe oiseau puisse enfin retrouver des conditions favorables à sa survie en toute tranquillité…

Elle doit son nom "Echasse" à ses pattes rouges, démesurément longues pour sa taille.

Au mois d'août, les Echasse blanche picardes et leurs cousines européennes, partent hiverner en Afrique ou en Asie du sud-est.

Elle fréquente les eaux peu profondes, douces ou salées dans un milieu ouvert, les lagunes aux berges nues ou plus ou moins couvertes de végétation rase, mais aussi les dépressions inondées des champs cultivés et les bassins de décantation des sucreries, distilleries et autres papeteries.

L’Échasse blanche s'est répandue dans l'ensemble des trois départements.

Elle niche dans toute l'Europe, jusqu'en Chine et au nord-ouest de l'Afrique. Elle est migratrice et passe l'hiver dans les savanes africaines. On la voit en Picardie du mois d'avril au début du mois d'octobre.

 

Elle est très démonstrative quand elle démarque son territoire : le mâle se perche en haut d'une branche dégagée et chante de tous ses poumons, les plumes de sa tête relevés, avec nervosité.

Elle fréquente les milieux arbustifs denses: les dunes littorales, les bocages, les taillis, les friches, les clairières et lisières de bois et forêts, mais aussi les grandes cultures.

 

Elle fréquente l'ensemble de la Picardie.

Le Bruant des roseaux est habituellement perché en haut d’un roseau, bien qu’il se nourrisse souvent sur le sol où il cherche sa nourriture dans la végétation près de l’eau. En hiver, il se nourrit plutôt dans les zones cultivées. Il forme souvent des groupes mixtes avec des pinsons, d’autres bruants, des alouettes et des pipits.

 

Pendant la saison de reproduction, il se nourrit principalement d’invertébrés tels qu’insectes et larves, araignées, escargots, mollusques bivalves et crustacés. Mais il consomme aussi des graines et des plantes de nombreuses espèces végétales.

Il se nourrit seul ou en couples pendant la saison de reproduction, et en petits groupes ou en bandes lâches en dehors de cette période.

 

Le Bruant des roseaux mâle chante dès la mi-mars pour établir le territoire, et la femelle construit le nid début avril. Il chante depuis un perchoir exposé avec les ailes vibrantes et la queue agitée de soubresauts. Pendant ces parades, les dessins noir et blanc de la tête sont mis en valeur par des postures adaptées. L’espèce est habituellement monogame.

Après la reproduction, ils deviennent plus grégaires et forment des groupes de taille variable aux dortoirs souvent situés dans des parcelles de roseaux, mais dans tous les cas près de l’eau.

L'identification du Vanneau huppé adulte ne pose pas de problème. Limicole de taille moyenne avec les parties supérieures vert sombre et le dessous blanc. Et surtout une tête noire et blanche porteuse d'une longue huppe noire dressée bien visible à l'arrière de la calotte. Le dimorphisme sexuel est faible. La huppe du mâle nuptial est plus longue et il a plus de noir à la face. Sa gorge est noire. La femelle a la face moins noire et sa gorge est blanche tachée de noir. En revanche, en plumage inter-nuptial, la distinction est beaucoup moins évidente car le noir de la tête s'estompe en partie.

Ce qui est frappant chez le Vanneau huppé, c'est le contraste entre la période reproduction pendant laquelle les couples sont territoriaux et nichent isolément ou en petites colonies lâches, et le période inter-nuptiale pendant laquelle un fort grégarisme est de rigueur.

 

Les vanneaux aiment alors la compagnie de leurs semblables. Des groupes de plusieurs milliers de vanneaux sont chose courante.

Autre trait de caractère important, la polygamie occasionnelle des mâles. "Birds of the World" donne l'exemple de la Norvège où, localement, la polygynie concerne 20 à 40 % des mâles, ce qui a pour effet qu'une partie des mâles adultes ne peuvent s'apparier par manque de femelles. On peut imaginer dans ces conditions que les mâles polygames procurent un avantage à l'espèce, peut-être du fait de la qualité de leurs gènes qui s'exprimerait par une meilleure séduction des femelles.

Enfin, il a été prouvé que le vanneau femelle pouvait déposer un oeuf dans le nid d'une autre espèce de limicole comme la Barge à queue noire ou le Chevalier gambette. C'est très original dans ce groupe d'oiseaux.

 

Comment distinguer les Hypolaïs ictérine et polyglotte ?

 

La couleur des parties supérieures

 

Le dessus est typiquement gris-verdâtre chez l’Hypolaïs ictérine, tandis qu’il est davantage brun-olivâtre chez l’Hypolaïs polyglotte : les rémiges primaires plus sombres de l’Hypolaïs ictérine contrastent donc plus fortement avec le reste de l’aile. Toutefois, il existe des variations individuelles. En automne (à partir de la mi-août), les oiseaux de première année des deux espèces ont un plumage plus fade et usé, mais la jeune Hypolaïs ictérine est en moyenne plus grisâtre dessus.

 

La couleur des parties inférieures

 

Les deux espèces ont le dessous jaunâtre, mais cette couleur est généralement plus « pure » au printemps chez l’Hypolaïs ictérine. Toutefois, ce n’est pas un critère fiable.

Chez les deux espèces, le jeune et l’adulte en plumage automnal deviennent plus pâles dessous.

 

Les ailes

 

L’Hypolaïs ictérine a généralement des ailes plus longues (longueur de 71 à 87 mm) que l’Hypolaïs polyglotte (62 à 71,5 mm).

La projection primaire de l’Hypolaïs ictérine est plus longue que celle de l’Hypolaïs polyglotte : elle est à peu près égale à la longueur des rémiges tertiaires et à la partie visible (= projection) de la queue. L’extrémité de l’aile atteint celle des sous-caudales. Chez l’Hypolaïs polyglotte, la projection primaire représente 50 à 60 % de la longueur des rémiges tertiaires et de la projection de la queue (=partie visible de celle-ci quand l’aile est repliée). Chez ces deux espèces, la longueur de la projection primaire est plus facile à évaluer de côté. L’extrémité de l’aile n’atteint pas celle des sous-caudales.

L’Hypolaïs ictérine présente une zone pâle sur les rémiges secondaires et tertiaires, nettement plus visible en plumage frais (printemps) qu’à la fin de l’été et en automne. Les grandes couvertures sont aussi souvent bordées de pâle.

Chez l’Hypolaïs polyglotte, la zone pâle sur les rémiges tertiaires et secondaires est généralement moins visible et moins étendue, et les grandes couvertures ne sont jamais bordées de pâle.

Chez cette espèce, la première rémige primaire la plus externe est en outre souvent « proéminente », ce qui peut être un bon critère quand on arrive à la voir.

 

Les pattes

 

Les pattes de l’Hypolaïs ictérine sont souvent teintées de bleu, et celles de l’Hypolaïs teintées de brun.

 

Le chant et les cris

 

Le chant est un bon critère pour distinguer les deux espèces. Chez l’Hypolaïs ictérine, il est plus constant et ponctué de sons grinçants et discordants qui se remarquent davantage (ils sont également présents chez l’Hypolaïs polyglotte). Il est aussi plus riche en imitations. Celui de l’Hypolaïs polyglotte est plus rapide et plus « nerveux », le passage d’un motif à un autre étant plus « brouillon ».

Les cris typiques de l’Hypolaïs ictérine sont des « che-che-fink » durs et trisyllabiques et un « che-che-weet » montant, tandis que l’Hypolaïs polyglotte lance des « trrrr » de Moineaux domestiques.

Les jeunes panures à moustaches ressemblent à la femelle, mais ils ont du noir sur le dos et sur le bords de la queue.

le jeune male est masqué avec un bec orange

la jeune femelle a le bec sombre

La Bergeronnette de Yarrell est encore souvent considérée comme une sous-espèce de la Bergeronnette grise – Motacilla alba, bien que de plus en plus souvent, elle soit classée comme espèce à part entière sous le nom scientifique de Motacilla yarrellii.

  

Facile à reconnaître, la Bergeronnette de Yarrell a un éclatant plumage noir, gris et blanc, et une longue queue oscillante.

Le mâle a le manteau noir, la tête noire avec les joues et le front blancs. En plumage nuptial, la gorge et la poitrine sont noires et les flancs plutôt sombres.

En hiver, il a le dos plus gris et la gorge blanche, mais garde un croissant noir sur la poitrine. Des taches jaunâtres sont visibles sur la face.

Le bec est noir et les yeux couleur noisette. Les pattes et les doigts sont noirs.

 

La femelle en plumage nuptial a le dos gris ardoisé foncé et le croupion noirâtre. Elle a une bavette plus petite que le mâle.

 

Les juvéniles sont gris brunâtre dessus, avec une double bande sombre sur la poitrine. Les parties blanches ont un ton un peu jaune-olivâtre qui peut rester tout l’hiver.

 

La Bergeronnette de Yarrell est plus sombre que la Bergeronnette grise

 

La Bergeronnette de Yarrell se reproduit en Grande Bretagne et en Irlande, et probablement dans les parties nord de l’Europe de l’ouest.

C’est un migrateur partiel, résident en Grande Bretagne, qui peut hiverner dans le nord de l’Ecosse, mais une partie de la population migre vers la France, l’Espagne et même le Maroc.

 

La Bergeronnette de Yarrell est hautement territoriale au printemps, et peut attaquer son propre reflet dans un miroir ou sur les vitres des voitures en stationnement. Elle défend également ses poussins avec un grand courage s’ils sont en danger.

Son nid est souvent parasité par le Coucou gris qui imite les œufs à la perfection. C’est un oiseau méticuleux, qui garde le nid très propre en renouvelant certains matériaux.

Elle se nourrit en s’abattant sur sa proie, en voletant, en courant et en poursuivant les insectes, ses proies préférées. Elle ne néglige pas la proximité des humains, et fait quelques dégâts dans les jardins, en picorant les tomates ou les fleurs.

  

Quand elle est posée, elle agite souvent sa queue de bas en haut.

Elles dorment dans des dortoirs communautaires où elles arrivent en petits groupes au crépuscule. Mais ce sont des centaines qui se rassemblent bruyamment d’abord sur des arbres avant de s’envoler vers les roselières, des buissons ou des corniches d’immeubles pour passer la nuit.

La Bergeronnette de Yarrell passe beaucoup de temps au sol, en terrain dégagé, et ne gagne la végétation dense que pour s’y installer.

Le Petit Gravelot ressemble au Grand Gravelot, mais il est plus petit et a une silhouette plus frêle. Il faut regarder la tête pour faire la distinction. Tout d'abord, le Petit Gravelot adulte montre autour de son oeil sombre un cercle oculaire jaune vif frappant. Ensuite, son bec est noirâtre à l'exception d'une toute petite zone jaune terne à la base de la mandibule inférieure. Son front est plus noir que blanc. De près, on aperçoit très bien une étroite bordure blanche en arrière de la bande noire du front. Enfin, ses pattes sont rosâtres à brunâtres. En vol, il n'a pas de bande alaire blanche, simplement un alignement de points clairs à l'extrémité des couvertures, peu visible. C'est d'ailleurs le seul gravelot à en être dépourvu. Le dimorphisme sexuel est faible. La femelle a du brun qui s'insinue dans le noir, particulièrement au niveau des couvertures auriculaires, le cercle oculaire jaune moins épais et les pattes plus ternes.

Répartition régionale

C'est un oiseau migrateur, qui n'est présent en Picardie que pour la saison de reproduction(mars à septembre). Il passe l'hiver en Afrique subsaharienne.

Il n'est pas très exigeant en matière de qualité de son habitat.

 

Habitat principal

Il fréquente les bords de mares, les hauts de plage, les pannes dunaires, les gravières, les cordons de galets mais aussi les bassins de décantation et les friches industrielles.

Il peut s'observer dans toute la Picardie.

Le juvénile ressemble à la femelle avec le dessus brun foncé strié de chamois clair et le croupion chamoisé uni. Les ailes présentent une petite tache blanche.

Le dessous est chamois clair. La poitrine et les flancs sont striés de brun.

 

- Il se nourrit au sol, repère ses proies depuis un perchoir (piquet...).

- Il consomme principalement des insectes, araignées, quelques graines et baies (en hiver).

 

- Le Tarier pâtre recherche les terrains non cultivés, secs et ensoleillés, à végétation herbacée basse et clairsemée, entrecoupée de zones dénudées parsemées de buissons.

- Friches herbeuses, landes à genêts, talus des routes, coteaux arides, bords de prairie.

 

Le Tarier pâtre est présent en France toute l’année.

   

un coup de chance ,c'est un migrateur rare, de passage en Picardie.

observé d'assez loin ; elle ne peut être confondue avec une mouette car plus petite et elle tourne sans cesse dans l'eau sur elle même afin de créer un tourbillon Tout comme son cousin à bec étroit, il niche dans le cercle polaire et hiverne dans les mers et océans de l'hémisphère sud.

 

Il hiverne en mer

 

l'espèce est surtout pélagique. Cependant au passage lors de tempêtes automnales, elle peut s'égarer en petit nombre sur le continent européen et c'est alors un plaisir pour les observateurs de le découvrir sur un plan d'eau douce, mais pas en beau plumage.

 

Les phalaropes sont de petits limicoles aquatiques, capables de nager à la surface de l'eau grâce à leurs doigts "lobés", c'est à dire munis d'extensions latérales natatoires. Deux d'entre eux, les P. à bec large et à bec étroit, passent toute la période inter-nuptiale en haute mer, ne venant à terre que pour la reproduction. Les deux espèces se ressemblent beaucoup en plumage d'hiver.

 

Chez les Phalaropes, les rôles sont inversés pour la reproduction: contrairement à beaucoup d'oiseaux, c'est la femelle qui est la plus colorée et qui courtise le mâle, puis celui-ci couve seul et s'occupe des jeunes.

Tout comme son cousin à bec étroit, il niche dans le cercle polaire et hiverne dans les mers et océans de l'hémisphère sud. C'est un migrateur rare, de passage en Picardie.

 

Pour la reproduction, le Phalarope à bec large recherche les marais littoraux du Haut Arctique, le plus souvent à proximité de la côte, rarement dans l'intérieur des terres.

 

Il apprécie le voisinage de colonies de Sterne arctique pour une question de protection contre les prédateurs.

En dehors de ça, il est en mer, soit pratiquement 11 mois sur 12. Il effectue de grandes migrations en haute mer, qui l'amènent dans les eaux océaniques tropicales et subtropicales où il se nourrit de zooplancton pélagique. C'est aussi l'abondance du zooplancton qui détermine les routes et les haltes migratoires.

Le Grand Gravelot adulte nuptial se reconnaît à sa taille plus grande (en comparaison directe), à son oeil sombre peu visible sur fond noir, à la tache blanche du front plus grande et à la couleur orange vif du bec (à bout noir) et des pattes. La femelle se distingue du mâle par les couvertures auriculaires et le bandeau pectoral envahis de brun. Le plumage inter-nuptial rappelle le nuptial, mais le plumage est moins uniforme dessus, le noir est remplacé par du brun sombre, enfin le bec et les pattes sont plus ternes. Il arrive que l'oeil apparaisse avec un très léger cercle oculaire orange rappelant le Gravelot semipalmé, mais ce cercle est très différent du cercle jaune très marqué du Petit Gravelot.

Le Hibou moyen-duc est un hibou de taille moyenne (une 40e de cm de longueur pour une envergure d'un mètre environ et un poids de 3 à 400 g). Son plumage très cryptique est pratiquement le même quels que soient l'âge et le sexe. Le mâle est en moyenne un peu plus pâle que la femelle mais la différence de taille entre les deux n'est pas flagrante.

Les parties supérieures montrent un mélange très subtil de gris et de roux avec des vermiculures noirâtres et sont très mimétiques avec les troncs et les branches des arbres de son habitat arboré. Les ailes et la queue, grises et rousses, sont barrées de noirâtre. Une rangée de taches blanches est visible de chaque côté au niveau des scapulaires, qui augmente encore l'aspect cryptique. Chaque tectrice montre un dessin d'une extrême finesse. Les parties inférieures pâles, crème à roussâtres, sont nettement striées de noirâtre en "arêtes de poisson". Il y a une assez grande variabilité dans l'intensité des teintes et des dessins, à la fois inter-individuelle au sein d'une sous-espèce et entre les 4 sous-espèces actuellement reconnues. Les "wilsonianus" d'Amérique du Nord sont les plus sombres.

La face est remarquable. Le disque facial roux d'aspect arrondi est bordé sur les côtés de noir et de blanc. En son centre, deux larges arcs de cercles blancs forment comme un V ou un X d'où émerge la pointe du bec noirâtre et dont les concavités bordées de noir mettent en valeur les yeux jaunes à orange. Au-dessus du disque facial se dressent deux longues touffes de plumes noires, avec un peu de blanc et de roux, qui forment comme des "oreilles" ou des "cornes". C'est cette caractéristique qui a donné à l'espèce son nom anglais de "Long-eared Owl". Ces "aigrettes" sont la plupart du temps dressées et très visibles lorsque l'oiseau est posé. En revanche, en vol, l'oiseau les rabat sur les côtés et elles ne sont plus visibles. C'est dans ces circonstances que le moyen-duc peut être confondu avec le Hibou des marais car les deux ont le dessous des ailes pâle avec les poignets noirs. Ce dernier est globalement plus pâle, en particulier au niveau du disque facial, a le ventre sans marques et un vol beaucoup plus souple dû à des ailes plus longues.

Lorsqu'il est dérangé de jour, le moyen-duc affine son corps, rétrécit son disque facial en fermant partiellement les yeux qui scrutent l'intrus.

Les pattes sont nettement emplumées jusqu'aux doigts d'un plumage feutré crème ou roux.

 

C'est le seul hibou que l'on peut voir chasser de jour, souvent en fin d'après-midi. Parfois, il poursuit les autres rapaces (Busards) pour qu'ils lui cèdent leur proie. Ceci donne lieux à de nombreuses querelles...

 

Il vit du nord de l'Amérique à l'Eurasie et c'est principalement un migrateur et un hivernant dans notre région.

La durée de ses haltes et de son hivernage en Picardie dépend des populations de rongeurs. Si la nourriture est présente, ils restent et se regroupent en dortoirs la nuit venue.

 

Habitat principal

Ce hibou fréquente la toundra, les champs ouverts, les prairies et les marais, mais aussi les dunes et friches herbeuses si la nourriture y abonde.

 

Il est observé majoritairement dans la Somme et la plaine maritime picarde (où il niche irrégulièrement).

un critère de distinction entre des jardins et des bois est le lieu de rencontre

cette photo est prise à coté de ma maison en baie de Somme

la précédente est prise en altitude dans une foret de conifères alpins

découverte dans le parc du Marquenterre au poste 3

probablement une échappée d'un élevage

Cette espèce peut être observée sous deux formes : la phase bleue et la phase blanche. Dans la première, l'oiseau est gris-brun sauf la tête, le cou, le ventre et le croupion qui sont blancs. L'extrémité des ailes et le dos sont plus foncés. Dans la seconde, il est entièrement blanc excepté le bout des ailes noir. Dans les deux phases, le bec et les pattes sont roses. On distingue les oies des cygnes par leur cou moins long et leur plumage bicolore. L'oie des neiges peut parfois être confondue avec l'Oie de Ross, bien que cette dernière soit plus petite et ait un bec plus court.

Originaire du Bassin méditerranéen, elle a colonisé progressivement la France. Elle est maintenant sédentaire en Picardie.

Elle fréquente essentiellement les zones humides entourées de broussailles et de végétation dense, même si à l'origine elle affectionne aussi les milieux secs.

Elle se trouve dans toute la région.

  

Himantopus himantopus

 

Un grand merci à toutes et tous pour vos visites, favoris et commentaires.

 

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Le juvénile ressemble à la femelle, mais son plumage est plus contrasté. Le fauve clair remplace le roux et du noir apparaît, par exemple une bande noire au milieu du manteau et du dos. Les rectrices externes montrent beaucoup de noir. Les juvéniles peuvent être sexés. Le jeune mâle a les lores noirs et le bec jaune tandis que la jeune femelle a les lores un peu gris et le bec sombre.3597

la Bergeronnette de Yarrell a un éclatant plumage noir, gris et blanc, et une longue queue oscillante.

Le mâle a le manteau noir, la tête noire avec les joues et le front blancs. En plumage nuptial, la gorge et la poitrine sont noires et les flancs plutôt sombres.

En hiver, il a le dos plus gris et la gorge blanche, mais garde un croissant noir sur la poitrine. Des taches jaunâtres sont visibles sur la face.

Le bec est noir et les yeux couleur noisette. Les pattes et les doigts sont noirs.

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