View allAll Photos Tagged baiedesomme
La Baie de Somme en noir et blanc
Ballade à la lune (Georges Brassens)
C'était, dans la nuit brune
Sur un clocher jauni
La lune
Comme un point sur un "i"
Lune, quel esprit sombre
Promène au bout d'un fil
Dans l'ombre
Ta face et ton profil?
Es-tu l'œil du ciel borgne?
Quel chérubin cafard
Nous lorgne
Sous ton masque blafard?
Est-ce un ver qui te ronge
Quand ton disque noirci
S'allonge
En croissant rétréci?
Es-tu, je t'en soupçonne
Le vieux cadran de fer
Qui sonne
L'heure aux damnés d'enfer?
Sur ton front qui voyage
Ce soir, ont-ils compté
Quel âge
À leur éternité?
Qui t'avait éborgnée
L'autre nuit? T'étais-tu
Cognée
Contre un arbre pointu?
Car tu vins, pâle et morne
Coller sur mes carreaux
Ta corne
À travers les barreaux
Lune, en notre mémoire
De tes belles amours
L'histoire
T'embellira toujours
Et toujours rajeunie
Tu seras du passant
Bénie
Pleine lune ou croissant
Et qu'il vente ou qu'il neige
Moi-même, chaque soir
Que fais-je
Venant ici m'asseoir?
Je viens voir à la brune
Sur le clocher jauni
La lune
Comme un point sur un "i"
Je viens voir à la brune
Sur le clocher jauni
La lune
Comme un point sur un "i"
Paroliers : Alfred De Musset / Georges Brassens
L’activité diurne du Hibou des marais permet d’apprécier son vol élastique, qui rappelle celui d’une gigantesque chauve-souris au ralenti. C’est le seul rapace nocturne migrant en plein jour, au printemps surtout, cerclant parfois à haute altitude. Posé, ses minuscules aigrettes ne sont généralement pas visibles, ce qui lui donne un faciès rond aux fascinants yeux jaunes fardés de noir.
The Somme Bay has some of the most spectacular tidal range in Europe. The sea retreats up to 12 km twice a day, displaying for a few hours this ever changing sandy landscape. It's a tricky place and you better venture on it well-prepared. The sea comes back in at a speed of 10 km/h.
© 2022 Marc Haegeman. All Rights Reserved.
un oiseau difficile à voir ; entre les tiges des roseaux , le challenge pour le photographier net et en mouvement devient particulièrement difficile
mais quelle grâce !!!! même si l'image n'est pas parfaite .....
merci beaucoup pour votre bienveillance malgré les imperfections .
*** Nouvelles espèces dans ma galerie ***
J'ai profité de mon dernier jour de liberté à cause du confiment sanitaire ( Covid ) de ma région pour cette sortie photo maintenant c'est 10km...!!
*** New species in my gallery ***
I took advantage of my last day of freedom because of the sanitary confiment (Covid) of my region for this photo outing.
Le Grèbe à cou noir est un petit grèbe, à peu près de la taille du Grèbe esclavon avec lequel on peut le confondre en plumage hivernal.
L'adulte nuptial est facilement identifiable au plumage.
La tête, le cou, la poitrine et les parties supérieures sont noirs tandis que les flancs sont d'un châtain clair vif (L'esclavon nuptial a le cou châtain vif comme les flancs).
La tête est remarquable avec les plumes noires de la calotte érectiles et surtout les plumets de plumes blondes allongées en arrière de l'œil rouge vif.
The Black-necked Grebe is a small grebe, about the size of the Horned Grebe with which it can be confused in winter plumage.
The breeding adult is easily identifiable by the plumage.
The head, neck, breast and upperparts are black while the flanks are a vivid light chestnut brown (The breeding slave has a bright chestnut neck like the flanks).
The head is remarkable with the black feathers of the erectile crown and especially the plumes of blond feathers elongated behind the bright red eye.
Source: Oiseaux.net
Des oiseaux migrateurs, venant de zones plus orientales ou nordiques, viennent gonfler les effectifs picards en hiver.
Il est très discret et difficile à observer. C'est souvent à son cri, qui ressemble à un couinement de cochon, que l'on repère sa présence.
Il fréquente les marais à roselières, phragmitaies et typhaies, ainsi que les milieux humides en bord de rivières ou d'étangs, même de petite taille.
Il est abondant dans les grands marais tourbeux de la région: vallée de la Somme, marais arrière littoraux, marais de Sacy et de la Souche, ...
La Gorgebleue à miroir est un oiseau migrateur magnifique, facilement reconnaissable.
Le plastron du mâle est orné d’un bleu vif à la gorge et à la poitrine agrémenté d’une tache blanche (le miroir). La femelle a la gorge claire sans bleu.
Les deux sexes sont caractérisés par un grand sourcil blanc.
La Gorgebleue à miroir cherche sa nourriture à terre en sautillant. Elle se nourrit principalement d’insectes terrestres, de graines et de baies.
Hors période de nidification ou si elle ne niche pas, la Grande Aigrette a un bec jaune. En revanche, si elle est nicheuse, son bec devient orange foncé à noir.
Elle fréquente les zones humides: les plan d'eau marécageux peu profonds avec roselières ou entourés de végétation, les bords des cours d'eau et les prairies inondables.
Elle s'observe dans les 3 départements picards.
C'est un oiseau migrateur, qui n'est présent en Picardie que pour la saison de reproduction(mars à septembre). Il passe l'hiver en Afrique subsaharienne.
Il n'est pas très exigeant en matière de qualité de son habitat.
Il fréquente les bords de mares, les hauts de plage, les pannes dunaires, les gravières, les cordons de galets mais aussi les bassins de décantation et les friches industrielles.
Il peut s'observer dans toute la Picardie.
Le Tarin des aulnes est nicheur dans presque toute l'Europe, mais en France il niche de façon localisée. En Picardie, ce n'est qu'un migrateur de passage et un hivernant. En effet, les oiseaux des pays nordiques se répandent vers le sud pour la mauvaise saison.
Il fréquente lui aussi les mangeoires en hiver.
Il affectionne les bois, les forêts ou les terrains vagues assez boisés, de préférence avec des conifères. Il fréquente les aulnes et les bouleaux sur lesquels il vient se nourrir et se rapproche des habitations en hiver.
Il est peu commun en Picardie.
*** Nouvelle espèce dans ma galerie ***
*** New species in my gallery ***
Le vol du Vanneau huppé est un vol typique de vanneau avec des battements relativement lents des larges ailes en comparaison d'autres Charadriiformes comme les pluviers qui ont des battements beaucoup plus rapides et énergiques.
Un vanneau ne peut battre de vitesse un pluvier.
Malgré tout, ce vanneau, s'il n'est pas très rapide, est en revanche très agile en vol.
Le vol de parade, avec piqués et ressources, est spectaculaire. Spectaculaires aussi sont les évolutions des oiseaux en groupe en plein ciel, par exemple à la suite de l'intervention d'un prédateur comme un faucon, parfaitement synchronisées entre individus.
Le groupe se comporte comme un seul organisme.
Source : Oiseaux .net
*** Une nouvelle espèce à ma galerie***
Je n'avais pas le canard souchet femelle mais le mâle..!!
À compter du 3 mai 2021, les restrictions de déplacement en journée, en vigueur depuis le début du mois sur l'ensemble du territoire, seront levées.
Il sera donc possible de se déplacer librement à plus de 10 km de son domicile.
Le couvre-feu sera maintenu.
On va retrouver notre liberté et de pouvoir exercer où on veut notre passion de la photo animalière.
Les Canards souchet migrent tôt, dès les premiers gels.
Ils quittent la Scandinavie ou l'Europe Continentale pour rejoindre des zones tempérées ou chaudes.
Certains traversent même la Méditerranée et le Sahara pour établir leurs quartiers d'hiver dans l'hémisphère sud.
Dans son aire de nidification, il possède un instinct territorial très développé.
Contrairement aux autres canards de surface, il défend avec acharnement ce qu'il considère comme étant l'espace vital du couple, en général une zone pouvant couvrir de cinq à trente hectares.
Son bec en forme de spatule est particulièrement adapté au tamisage et à la prise des aliments.
Le Canard souchet est l'anatidé qui a l'appareil filtrant le plus perfectionné.
Promenant son bec dans l'eau de droite à gauche, il aspire sans cesse, filtrant les particules comestibles et rejetant l'eau de côté.
Son régime alimentaire est mixte : végétaux mais aussi petits animaux aquatiques, crustacés, mollusques et plancton qu'il capture en eau peu profonde ou en filtrant la couche proche de la surface.
La femelle porte une livrée marron. Le souchet est légèrement plus petit que le Canard colvert à qui il ressemble un peu par l'agencement de ses couleurs.
Source : Oiseaux.net
Répartition régionale
La Bergeronnette printanière comporte de nombreuses sous-espèces, qui se distinguent de l'espèce type par des particularités du plumage. Par exemple, on peut trouver une sous-espèce à calotte noire (dite "des Balkans").
Cinq sous-espèce sont connues en France, dont quatre peuvent fréquenter la Picardie, mais la majorité des individus appartient à une seule forme de l'espèce. En Picardie, la forme connue sous le nom de Bergeronnette flavéole, fréquente uniquement le littoral.
Habitat principal
Elle fréquente préférentiellement les prés et prairies humides, alors qu'en Picardie, on la trouve principalement dans les milieux cultivés. Elle se trouve aussi sur le littoral, durant la migration.
Elle est commune et répartie dans toute la région.
Au printemps, les premiers oiseaux reviennent dès la mi-mars (il y a parfois des avant-coureurs plus précoces). Le passage a lieu principalement en avril et culmine entre la seconde quinzaine d’avril et début mai.
En migration (surtout diurne), les Bergeronnettes printanières migrent en petits groupes. Des poses peuvent rassembler des dizaines, voire parfois des centaines d’oiseaux, de même que dans les dortoirs
Régime alimentaire
Cette bergeronnette se nourrit principalement d’invertébrés terrestres et aquatiques qu’elle attrape en picorant, à la suite d’une course-poursuite ou encore après un court vol sur place. L’espèce est fréquemment associée au bétail, aussi bien sur ses lieux de reproduction qu’en hivernage. Le bétail, en avançant, fait décoller des insectes dont se nourrissent les Bergeronnettes printanières.
Un grand merci à tous pour vos visites, vos commentaires, et vos favoris aussi, qui sont toujours très appréciés.
Une nouvelle espèce avec ce canard chipeau avec son plumage nuptial vient rejoindre ma galerie Flickr.
Il affectionne particulièrement les étendues d'eau profondes : étangs, lacs et marais à la végétation abondante mais aussi rivières et fleuves à débit lent, prairies inondées. Par contre, il fréquente rarement les eaux salées.
A big thank you to all for your visits, your comments, and your favorites too, which are always very much appreciated.
A new species with this gadwall with its nuptial plumage is joining my Flickr gallery.
It is particularly fond of deep bodies of water: ponds, lakes and marshes with abundant vegetation, but also slow-flowing rivers and streams, flooded meadows. On the other hand, it rarely frequents salt water.
Source: Oiseaux.net
C'est une nicheuse localisée et une rare migratrice en Picardie. Elle se trouve dans toute l'Europe occidentale, où elle est généralement sédentaire, mais sujette à des mouvements erratiques en hiver.
Elle passe d'une alimentation granivore en hiver, à une alimentation insectivore en saison de reproduction. Pour cela, son gésier se transforme structurellement, ce qui la rend dépendante des insectes à cette période.
Habitat principal
Elle ne sort presque pas des grandes roselières touffues et inondées.
On la trouve dans les marais de la plaine maritime picarde.
Menaces potentielles
Elle est sensible aux printemps plus froids, qui la privent alors d'insectes, ainsi qu'à la disparition des zones humides.
Le Petit Gravelot est bien moins grégaire que son cousin le Grand Gravelot. Il a des battements d'ailes plus rapides. Il court à une vitesse étonnante : ses pattes s'agitent si vite qu'elles deviennent invisibles et l'oiseau semble glisser comme un jouet d'enfant.
Le Petit Gravelot est insectivore. Il chasse à vue les proies au sol et au toucher du bec celles qui ne sont pas visibles directement parce que cachées ou enfouies.
Son régime alimentaire se compose principalement d'insectes tels que les coléoptères, les mouches (en particulier les larves et les pupes), les fourmis, les larves d'éphémères, de libellules, cde trichoptères, grillons et criquets, chenilles, ainsi qu'araignées, crustacés amphipodes, petits mollusques et vers. Il chasse parfois en tapant du pied sur le sable ou la vase pour provoquer une réaction des proies qui s'y dissimulent. Certains éléments végétaux peuvent être consommés, comme des graines d'herbacées, mais cela peut être involontaire.
une belle surprise ; le reste de mon sandwich est tombé par terre .... il vient se poser en chantant en vol sur ce piquet
4 clics et puis s'en va
en plein midi ; un bon test pour mon nouveau multiplicateur
la diminution de l'ouverture me perturbe pour gérer les hautes lumières et garder des iso bas ;
par contre on est loin de la distance de sécurité de l'oiseau ;
on peut espérer plus de spontanéité
son dessous est blanc vif, à l’exception de la poitrine densément striée. Sa couleur blanche s’étend pour former une marque cunéiforme entre l’avant de ses ailes et sa poitrine striée de marron. elle manque un peu ici !!
Moro-sphinx ! Sphinx colibri ! Sphinx du caille-lait ! Sphinx moineau ! Sphinx queue de canard ! Sphinx fou ! Sphinx des étoilées ! Macroglosse des gaillets ! Oiseau-mouche ! .... et je vous fais grâce des appellations plus ou moins locales et "patoisées". Dans son N° 86, le fameux opuscule naturaliste "la Hulotte" dénombre en effet un total de 31 noms communs ... et la liste n'est pas close !
En dépit de sa petitesse (45 à 50 mm d'envergure) ce grand migrateur, nous arrive principalement du Maghreb, et sa descendance s'ajoute à celle des "sédentaires" qui s'observent de plus en plus fréquemment, conséquence semble-t-il du réchauffement climatique. L'espèce peut ainsi donner 2 générations, une partie de la seconde pouvant hiverner à l'état de chrysalides, et l'autre entreprendre une migration inverse, sorte de "retour aux sources".
Par définition nocturne, comme le sont les Sphingidae, ce papillon a la particularité d'être actif le jour, et de se reposer la nuit ... ! Au titre des autres particularités vous noterez sa parfaite aptitude au butinage en vol stationnaire (d'où bien sûr le nom de Sphinx colibri ! ), mais aussi sa "maniabilité", à savoir l'extrême rapidité et précision de ses déplacements de fleur en fleur. A cela s'ajoute une "vitesse de croisière" pouvant atteindre les 40 km/h, voire flirter avec les 50 km/h en pointe.
Toujours au titre des particularités vous noterez la vitesse du battement des ailes, de l'ordre de 75 par seconde, ce qui est considérable pour un papillon, si bien que les ailes en question en deviennent pratiquement "invisibles". Cette très importante cadence est principalement imposée par la petitesse de la surface alaire portante, en regard du poids et du volume du corps. Il s'ensuit une dépense énergétique considérable, d'où la nécessité de butinages nourriciers quasi "non-stop", eux mêmes très énergivores !
Un grand merci à tous pour vos visites, vos commentaires et aussi vos coups de coeur qui sont toujours appréciés.
Le Henson, ou cheval de la Baie de Somme avec un héron garde-boeufs qui était en garde alternée avec les vaches Higland.
A big thank you to all for your visits, your comments and also your favorites which are always appreciated.
The Henson, or Baie de Somme horse with a cattle egret that was on alternate guard with the Higland cattle.
Le Hibou des marais est un hibou de taille moyenne aux ailes plutôt longues et étroites, à la tête assez petite et ronde. Les aigrettes sont très réduites et très peu visibles. Les yeux sont jaunes, très expressifs comme chez beaucoup de rapaces nocturnes. Sa livrée est assez claire, brun jaunâtre. Le ventre est clair et la poitrine rayée. Les oiseaux juvéniles présentent un plumage duveteux, surtout sur le dessous et les contours du masque facial.
Le dimorphisme sexuel n’est pas très marqué, mais les mâles ont en général le dessous et la face plus clairs et moins rayés, et les femelles sont sensiblement plus lourdes et d’envergure très légèrement supérieure.
En vol, le dessous des ailes apparaît très clair.
La France se trouve en limite méridionale de l’aire de répartition.
Le brachyote possède des mœurs assez diurnes pour un hibou. En période de reproduction, l’activité diurne peut représenter jusqu’à 65% du cycle circadien des oiseaux. En hiver, il est très courant d’observer un hibou des marais chassant en plein jour.
Les populations les plus nordiques sont migratrices strictes. Ailleurs, les hiboux des marais sont migrateurs partiels. Il est à noter que cette espèce présente un nomadisme marqué durant toute l’année, si bien que les apparitions en France peuvent se produire pendant toute l’année. Les mouvements observés sont essentiellement dirigés vers l’Ouest et le Sud. Une partie des migrateurs entreprend la traversée du Sahara. Des afflux considérables entraînent des populations vers l’Europe occidentale et du sud, dont une partie peut y rester pour s’y reproduire lorsque la densité de proies y est importante
L’espèce est strictement carnivore et se nourrit presque essentiellement de micromammifères , particulièrement de petits rongeurs des milieux ouverts, et plus particulièrement du campagnol des champs . Néanmoins, les oiseaux peuvent constituer une part non négligeable du régime alimentaire à certaines périodes de l’année, représentant jusqu’à 7% du régime alimentaire. Cette spécialisation apparaît opportune en période de nourrissage des jeunes ou lors de haltes migratoires . Le reste du régime alimentaire est plus anecdotique, avec quelques insectes (essentiellement des coléoptères), des crustacés (Ecrevisses), des reptiles (petits lézards Lacerta vivipara et Podarcis muralis), des amphibiens (Grenouille rousse Rana temporaria) ainsi que des gastéropodes (limaces…) et des vers de terre (Lumbricidae). La composition du régime alimentaire varie en fonction de la disponibilité spatio-temporelle des proies, notamment lors de pullulation de micromammifères (campagnol des champs essentiellement) qui constituent alors la majorité des espèces consommées
La Fauvette grisette fait partie des fauvettes de l’Ancien Monde dans la famille des Sylviidés. Elle est commune et largement répandue dans sa vaste distribution, mais elle est résolument migratrice.
Le chant sonore est souvent émis depuis un perchoir à découvert ou lorsque l’oiseau se déplace dans les buissons, mais aussi pendant le vol nuptial.
Après un déclin important en 1969, dû aux désastreuses périodes de sécheresse au Sahel où elle hiverne, la Fauvette grisette a aujourd’hui des populations plus stables, mais les densités actuelles n’atteignent pas les niveaux d’avant 1969.
Longueur : 14 cm
Poids : 14-17 gr
Le mâle adulte de la race nominale a la tête grise qui contraste avec le menton et la gorge d’un blanc pur. Les parties supérieures sont brunes ou gris-brun avec les ailes rousses. Les couvertures sus-caudales sont plus grises tandis que la queue est brun foncé avec des liserés et des extrémités blanchâtres sur les rectrices externes.
Sur les parties inférieures, le menton et le haut de la gorge sont blancs. Le reste est plutôt blanchâtre avec une teinte rosâtre variable sur le bas de la gorge et la poitrine, tandis que les flancs sont plutôt chamoisés.
Le bec est gris foncé avec la mandibule inférieure claire. Les yeux sont brun clair entourés d'un cercle oculaire pâle. Les pattes et les doigts sont brun rosâtre teinté de jaunâtre.