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un sédentaire du parc du Marquenterre
les oiseaux peuvent vivre en harmonie ..... sans guerre .... !!!
In winter, the black-headed gull is in fact white-headed with a blackish patch behind the eye. The black head is part of its breeding plumage.
Another fun fact about the black-headed gull: in French, the species is called "laughing gull" ("mouette rieuse"), which is NOT to be mistaken with the anglo-saxon "laughing gull" ("mouette atricille" in French).
Le blanchon est le petit du phoque (loup-marin), également appelé « chiot » ou « veau ».
Le terme « blanchon » évoque l'épais pelage blanc qui sert au jeune phoque à se dissimuler sur la banquise ou les glaces marines les premiers mois de sa vie, où il demeure très vulnérable et dépendant. Le blanchon y est allaité pendant quelques semaines, jusqu'à ce qu'il se munisse d'un poil imperméable lui permettant de nager, coloré de différentes teintes de gris selon les espèces. Quand la mère chasse, le petit se retrouve régulièrement isolé sur la banquise, parfois pendant plusieurs heures. S'il sent une menace, il se fige dans l'espoir de passer inaperçu dans la neige - ce qui ne le protège en fait guère de l'excellent flair des ours polaires. S'il est attaqué par un prédateur ou un homme, la mère ne vient généralement pas le protéger, ce qui en fait une proie d'autant plus facile.
Par anthropomorphisme, on appelle les blanchons « bébés phoques », ces derniers jouissant d'un statut particulier dans l'opinion publique et les campagnes publicitaires animalistes.
A whitecoat is a newborn harp or grey seal with soft, white fur.
Newborn seals have yellow fur because of amniotic fluid, and are still wet. When the pup dries, it is called a yellowcoat. The amniotic stain fades and the fur turns white within a few days, and it gets the name whitecoat. First it's called a thin whitecoat, and when it becomes visibly fatter it is a fat whitecoat.[1]
Nursing lasts for about 12 days. Cows frequently return to their pups to suckle. While she is suckling, the mother does not eat—rather, she draws on her reserves of fatty blubber to produce the milk. Pups grow rapidly, at the end of nursing, most pups weigh 36 kg (80 lbs) or more. The mothers then leave their fully fed pups and join the bulls to mate. At this age of about 12 days, pups first become "greycoats",[2] as grey juvenile coloring grows under their white fur, then "ragged-jackets" when white fur begins to fall out in patches.
Le Cygne de Bewick est actuellement considéré comme une sous-espèce du Cygne siffleur, espèce holarctique et son nom scientifique s'écrit Cygnus columbianus bewickii. On le trouve en Eurasie. La sous-espèce nord-américaine C. c. columbianus est la ssp nominale, appelée par les anglophones Cygne de la toundra. Le Cygne siffleur est une espèce de taille inférieure à celle des Cygnes chanteur et trompette. Je vais traiter ici avant tout la ssp qui nous concerne à savoir le Cygne de Bewick.
Il n'y a pas de dimorphisme sexuel. Le mâle est simplement un peu plus grand. Le plumage adulte est entièrement blanc. En saison de reproduction, la tête et le cou sont d'habitude teintés de roussâtre à force de se nourrir de plantes immergées. Le bec, à culmen concave, est noir et jaune. Ce jaune qui part des yeux colore les lores non plumés et s'avance sur la mandibule supérieure jusqu'au niveau des narines en arrondi. L'œil est sombre et les pattes sont noires. Les oiseaux de l'est du continent montrent une interruption du jaune au niveau du front. Quant aux oiseaux américains, ils n'ont le plus souvent qu'un simple trait jaune au niveau du lore, le jaune pouvant diffuser un peu sur le bec noir.
Posté avec mon appareil photo au sommet des falaises d'Ault je n'arrivait pas à faire la mise au point tellement ces oiseaux surgissaient et disparaissaient vivement dans mon viseur
pourtant la place semblait bonne car ils planaient en reproduisant un circuit à l'identique
Puis une jolie femelle fulmar se pose sur un parapet d'une falaise guettant un beau male
dès lors les males ont multiplié leur passage en freinant littéralement en vol pour jeter un coup d'œil à la dame et montrer leur savoir faire en vol
et l'un d'eux a freiné trop vite expliquant la collision
morale de l'histoire ;
messieurs cessez de regarder les jolies femmes quant vous conduisez sinon ........
C'est un grande migratrice, qui niche dans différentes zones nordiques (Sibérie, Canada, Russie,...).
Elle ne se montre qu'en petits nombres sur le littoral picard en hiver, alors qu'elle est présente en plus grand nombre de la Normandie au Bassin d'Arcachon sur cette même période.
C'est la plus aquatique des oies.
En hiver et en migration, elle est présente sur les estrans sablo-vaseux à zostères (algues) et les prés salés (Baie de Somme et Baie d'Authie).
Une fois le nid terminé, la ponte s'effectue en avril ou en mai. Elle est en moyenne de 3 ou 4 œufs (on en compte parfois 6), la cigogne déposant un œuf tous les 2 jours environ. Dès que le premier œuf est pondu, les deux parents vont se relayer régulièrement pour la couvaison. L'incubation dure environ 34 jours, durant lesquels mâle et femelle se remplacent à peu près toutes les heures pendant la journée. La nuit, c'est toujours la femelle qui couve.
Les éclosions s'échelonnent sur une semaine. Souvent, c'est la loi du plus fort, le dernier-né ne survit pas. Trop chétif pour arracher à ses frères et sœurs la nourriture dont il a besoin, il est tout simplement jeté hors du nid ou même dévoré par ses parents.
Dès la naissance, les cigogneaux effectuent, d'instinct, des semblants de parade. On les voit renverser leur tête en arrière tout en agitant leurs moignons d'ailes, puis la ramener en avant tout en faisant vibrer leurs mandibules. En revanche, lorsque ce sont les adultes qui craquettent, les petits s'immobilisent, comme paralysés par l'excitation que manifestent leurs parents.
Ces petites boules sans plumes ne pèsent à la naissance que 75 g, mais leur croissance est fulgurante. Il est vrai que les parents fournissent un effort exceptionnel pour nourrir leur progéniture : ils ne cessent d'apporter des aliments, qu'ils régurgitent au centre du nid. L'eau est transportée dans le bec des adultes qui la déversent directement dans celui des petits.
Dès que les jeunes sont capables de se tenir sur leurs pattes, ils s'agitent et n'arrêtent pas de se chamailler. Ils se précipitent sur leurs parents quand ceux-ci reviennent au nid, allant jusqu'à leur arracher la nourriture du bec. Cette voracité leur réussit puisque, au bout d'une dizaine de semaines, ils sont prêts à tenter leur première sortie et à voler hors du nid. C'est que, très vite, ils ne tiennent plus en place dans un espace devenu trop petit pour la couvée, et ils s'exercent au vol en battant énergiquement l'air de leurs ailes toutes neuves.
Progressivement, les jeunes vont quitter le nid pour n'y revenir que la nuit. Bientôt, à la mi-juillet ou au début du mois d'août, ce nid sera complètement délaissé. Les cigogneaux, devenus autonomes, quittent alors la région de leur naissance, avant le départ de leurs parents pour la migration.
la principale activité des cigognes reste la recherche de nourriture. Elles déambulent à découvert, sans chercher à se cacher. Elles chassent surtout dans les champs, les marais, au bord des fossés et dans tous les lieux humides. Elles aiment l'époque des labours, durant laquelle elles vont jusqu'à suivre les charrues. Après la récolte, elles apprécient beaucoup les chaumes brûlés.
Leurs proies sont essentiellement animales ; l'absorption de végétaux ou de graines est très marginale ; et, sur des décharges à ciel ouvert, elles glanent des déchets comme les charognards. Leur consommation ordinaire couvre pratiquement toute la petite faune terrestre et aquatique, des insectes aux petits mammifères en passant par les mollusques, les poissons, les vers de terre et les amphibiens. Elles chassent souvent à l'affût les petits rongeurs : elles les guettent à la sortie des trous et les transpercent de leur bec dès qu'ils se présentent.
C'est un hivernant peu commun en France, qui en général se cantonne sur les côtes du nord-ouest. Il est donc rare en Picardie. Cet oiseau niche tout au nord des continents américain et européen.
Habitat principal
Il affectionne les milieux rocailleux tels que les côtes rocheuses et les zones montagneuses, ou même la toundra ponctuée de rochers. En hiver il fréquente les laisses de mer, les haut de plages, les cordons de galets et les dunes embryonnaires.
Il se trouve principalement sur le littoral picard (Cayeux, Pointe de Routhiauville, Baie de Somme).
This remnant of the German Atlantik Wall from World War II at Le Hourdel seems to be sinking into the sands.
© 2022 Marc Haegeman. All Rights Reserved.
Les populations méridionales sont sédentaires alors que celles du nord sont migratrices. En France l’abondance du Bruant
des roseaux augmente ainsi lors de l’hivernage. Son habitat est composé principalement par les phragmitaies des bords de
cours d'eau, des lacs et des étangs. Lors de l’hivernage, on le retrouve plus dans des zones de types agricoles
le Bruant des roseaux est surtout présent en plaine, il affectionne les zones humides, même de très faibles superficies, peu ou prou parsemées de buissons et d’arbustes. Il fréquente ainsi les lisières des roselières et des
typhaies, les jonchaies, les cariçaies, les oseraies (lacs, étangs, bords de rivières à cours lent et canaux), les tourbières,
les schorres maritimes, les anciennes gravières, les fossés humides des bords des routes, et même les pièces d’eau urbaines. »
Suite à des modifications comportementales apparues récemment, il niche aussi dans les prairies de fauche à graminées
de type mésophile, plus rarement dans les champs de blé ou de colza, dans de jeunes plantations de conifères et des landes
de bruyère.