View allAll Photos Tagged Forms

Le HSBC PARIS SEVENS (8 au 10 juin 2018 au Stade Jean-Bouin) a officiellement été lancé aujourd’hui à Paris à la Région Île-de-France.

A cette occasion les 16 capitaines hommes et 12 capitaines femmes des équipes participantes au tournoi ont pris la pose autour du trophée de la compétition dans les jardins du Musée Rodin, Paris (Crédit Photo : I.PICAREL/FFR). Ils ont ensuite rejoint les locaux de la Région Île-de-France, partenaire de cette étape parisienne, situés dans le 7ème arrondissement.

Le HSBC Paris Sevens

Ultime étape du circuit mondial de rugby à 7, le HSBC Paris Sevens se déroulera au stade Jean-Bouin à Paris, du vendredi 8 au dimanche 10 juin 2018. Tournoi mixte pour la première fois de son histoire, le HSBC Paris Sevens 2018 accueille les meilleures équipes masculines et féminines du monde.

Avec 79 matches entre 28 équipes en 3 jours, le spectacle sera non-stop sur la pelouse du Stade Jean-Bouin. Dernier tournoi de la saison, les titres des circuits mondiaux masculin et féminin se joueront donc au HSBC Paris Sevens. Les tribunes et le Village des Supporteurs seront également en ébullition pendant 3 jours, avec de nombreuses animations « CRAZY RUGBY » qui seront proposées à tous les spectateurs !

Le programme :

•Vendredi 8 juin de 14h à 21h40 > tournoi Féminin (ouverture des portes au public à 13h30)

•Samedi 9 juin de 9h à 23h > tournoi mixte (ouverture des portes au public à 8h30)

•Dimanche 10 juin de 8h45 à 19h40 > phases finales féminines et masculines (ouverture des portes au public à 8h15)

Le World Rugby Sevens Series 2017-2018 est la 19e édition de la compétition la plus importante du monde de rugby à sept. Elle se déroule du 1er décembre 2017 au 10 juin 2018. L'Afrique du Sud est tenante du titre et l'Espagne est l'équipe promue de la saison.

Au mois d'avril se déroulent les Jeux du Commonwealth 2018 où dix équipes des World Rugby Sevens Series participent. La compétition enchaine ensuite avec la Coupe du monde de rugby à sept en juillet 2018.

Chaque étape est un tournoi se déroulant sur deux ou trois jours, entre le vendredi et le dimanche. À chaque étape est convié une équipe qui ne possède pas le statut d'équipe permanente, portant le nombre total d'équipes à seize.

En fonction du résultat du tournoi précédent, ou du classement de la saison passée pour le premier tournoi de la saison à Dubaï, les équipes sont réparties en chapeaux avant tirage au sort pour former quatre poules de quatre équipes. Chaque équipe joue les trois autres membres de sa poule et un classement est établi, tout d'abord sur le nombre de points (victoire 3 points, nul 2 points, défaite 1 point) puis sur le goal-average général. Les deux premiers de chaque poule passent en quart de finale de la Cup ou tournoi principal et les deux derniers passent en quart de finale du Challenge Trophy. Les équipes vaincues en quart de finale sont alors reversées en demi-finales de classement, respectivement pour la cinquième et treizième place. Les équipes battues en demi-finales ne disputent pas de petite finale de classement et remportent le même nombre de point, sauf pour les équipes battues en demi finales de Cup qui disputeront un dernier match de classement pour la troisième place.

Chaque rencontre, y compris la finale depuis l'édition 2016-2017, se dispute en deux fois sept minutes.

Créée en 2016, l’étape parisienne de rugby à 7 rassemble, de ce vendredi à dimanche, les meilleures nations mondiales pour décider du vainqueur du circuit mondial. Une belle vitrine pour la discipline dans un pays qui ne jure que par le XV.

Dixième étape de la saison, le Paris Sevens clôture ce week-end le circuit mondial de rugby à 7, réunissant les 16 meilleures nations du monde aux quatre coins de la planète. De vendredi à dimanche, dans l’enceinte du Stade Jean Bouin, les équipes masculines feront le spectacle à travers une discipline méconnue en France mais très appréciée dans de nombreux pays. Et, pour la première fois cette année, les équipes féminines ouvriront les festivités.

Une véritable fête du rugby à 7, discipline olympique depuis 2016 et en plein boom grâce à la vitrine que lui ont offert offert les Jeux de Rio. Chez les hommes, outre les nations majeures de l’Ovale comme la Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’Angleterre ou les Fidji, le Kenya, le Canada ou encore l’Espagne font leur trou et voient dans cette discipline une chance de développer un sport mineur dans leur pays. Chez les femmes, la Chine, le Japon ou la Russie figurent dans le top 12.

Le crazy rugby à la fête

Créée en 2016, l’étape parisienne est également l’occasion pour la France de développer la discipline dans un pays qui ne jure que par le XV. «Nous sommes fiers de soutenir financièrement ce tournoi et de permettre qu’il existe», a tenu à rappeler le vice-président de la région Île-de-France, Patrick Karam. Et de poursuivre. «La région est également présente dans la sensibilisation. Vendredi, 360 lycéens pourront découvrir la discipline grâce à de nombreuses animations. Il est important pour nous de tout faire pour développer cette pratique, en vue de Paris 2024», a-t-il poursuivi, alors que la conférence de presse de présentation se tenait dans les locaux de la région, dans le 7e arrondissement parisien.

Dernière étape de la saison, le tournoi parisien représente en tout cas une belle vitrine pour la discipline, dans une ville au rayonnement mondial. «C’est formidable de pouvoir clôturer la saison dans une ville aussi magnifique, chez un hôte comme la France», ajoute de son côté Douglas Langley, directeur du tournoi et membre de World Rugby. «Nous nous réjouissons d’avance de ce week-end de ‘crazy rugby’», conclut-il. Et c’est bien là l’atout majeur de la discipline. Spectaculaire, chaque rencontre offre de nombreux essais et des sprints permanents.

Les Bleues veulent briller

Le public parisien, qui vient en nombre à chaque édition, est adepte de cette discipline. Le Stade Jean Bouin était plein en 2016 et 2017, et l’édition 2018, même s’il reste encore des places à vendre, ne dérogera certainement pas à la règle. Pourtant, ce ne sont pas les résultats des Bleus qui font venir les supporters. Malgré une 3e place en 2016, et une 5e en 2017, l’équipe masculine connaît une saison compliquée. 12e sur 16 au classement, les Bleus n’ont pas fait mieux que 7e cette année lors des neuf précédents tournois du circuit.

«Même si nos chances sont moindres, on rentre dans ce tournoi pour le gagner, et on a la chance d’avoir le soutien du public avec nous», déclare Manoël Dall’igna, capitaine de France 7. «Ces deux dernières années on a eu des supers résultats ici et on compte sur le 8e homme pour faire aussi bien», termine-t-il. Cette période de creux, due en partie à de nombreux départs en retraite en 2016, ne touche pas les féminines. 3e du circuit mondial, les coéquipières de Fanny Horta visent le podium à Paris. «On a reçu beaucoup de messages de soutien de la jeune génération, et on veut vraiment profiter de ce soutien pour garder la dynamique de la saison et faire un nouveau podium», confie la capitaine.

Mises en valeur ce week-end, les Bleues représentent «la véritable locomotive du 7 en France avec une très belle réussite sportive», estime Christophe Reigt, manager des équipes de France à 7. Suffisant pour développer la discipline en France ? Quoiqu’il en soit, avec cette étape parisienne, la Fédération se démène pour populariser le 7 dans l’Hexagone, avec un objectif majeur en ligne de mire : les Jeux olympiques de Paris en 2024.

The HSBC World Rugby Sevens Series 2018 Awards in Paris brought a fitting end to an enthralling season which saw South Africa and Australia crowned men’s and women’s series champions respectively.

It’s been one of the most competitive seasons on record as both the women’s and men’s series were decided by just two-point differences.

South Africa fought an incredible battle with Fiji in the men’s series to retain their title with victory at the final round in Paris, while Olympic champions Australia won their second overall title ahead of rivals New Zealand on the women’s series after reaching the podium at every one of the five rounds.

The end of season awards provided a chance to celebrate the men’s and women’s sevens players, coaches and teams that are the stars, ambassadors and role models of the sport.

World Rugby Chairman Bill Beaumont said: “It has been another tremendous year for the HSBC World Rugby Sevens Series, which continues to go from strength to strength.

“I hugely admire the skill and physicality of rugby sevens and thank the players for their outstanding commitment which makes the series such a success. It is great to see the series capturing the imagination on and off the field with year-on-year increases in attendances, broadcast and fan-engagement figures, and that is a great testament to the players, coaches, host unions and everyone involved with the events.

“Rugby sevens took a quantum leap when it joined the Olympic programme in 2016 and now we look forward to a Rugby World Cup Sevens in San Francisco in just 40 days time in an iconic city and a market with great potential. It promises to be a thrilling and spectacular event.”

the workload. It is a blessing for me to be standing here.”

Rookies of the Year

Eroni Sau is the second Fijian to be named Rookie of the Year for the men’s series after being a clear winner in the fan vote ahead of his compatriot Alosio Naduva and Australia’s Ben O’Donnell. The 28-year-old featured in all 10 rounds in his debut season, using his powerful physique to score 37 tries.

France’s Coralie Bertrand, meanwhile, claimed the women’s accolade, having featured in all five rounds and helped Les Bleues enjoy their best season, reaching a first-ever Cup final in Kitakyushu and semi-finals in Langford and Paris to clinch the series bronze medal.

Fair Play Award

This award, selected by the match officials, recognises the teams who showcase rugby’s values of integrity, passion, solidarity, discipline and respect. Japan were awarded the women’s accolade after an event that saw them lose their core team status on the series, with Kenya the men’s recipients following an exciting season which saw them reach the final in both Vancouver and Hong Kong.

Roche’s kick with the final play of the match against England to snatch the bronze medal for invitational team Ireland at the HSBC London Sevens was a clear winner of the men’s award, beating Fijian Alosio Naduva’s last-gasp winning try against Australia in the Singapore Cup final and Matias Osadczuk’s break and calm head to send Renzo Barbier over for the winning try in Argentina’s Cup semi-final against South Africa in Las Vegas.

Capgemini Coach of the Series

Another inaugural category, selected by the series’ global innovation partner Capgemini, was won by New Zealand women’s coach Alan Bunting after successive victories in the last three rounds of the series in Japan, Canada and France as well as the Commonwealth Games title in April.

South Africa coach Neil Powell, who guided the Blitzboks to retaining their series title, picked up the men’s coach of the series award and paid tribute to his victorious team: “The mental focus and composure they showed was fantastic, all credit to the boys for believing in their success. We had everything to play for and the team did an incredible job, not just today but over the whole season.

“I also want to congratulate Fiji on an amazing season, they were phenomenal.”

DHL Impact Player

The race to be named DHL Impact Player of the Year in both the men’s and women’s series went right down to the final matches. In total 16 players from 12 nations won tournament awards during this season’s series.

New Zealand’s Michaela Blyde was delighted to win the women’s award: “This is pretty special. I’m shocked and truly grateful. I put this down to my teammates who create the opportunities for me and I thank them.”

La Fédération française de rugby organise, du 8 au 10 juin au stade Jean-Bouin, à Paris 16e, un tournoi international de rugby à 7 masculin et féminin, étape du HSBC World Rugby Sevens Series.

Cette manifestation sportive, soutenue par la Région à hauteur de 170.000€, va rassembler 28 équipes internationales, qui s'affronteront au cours de 45 matchs masculins et 34 matchs féminins.

Le public pourra découvrir à cette occasion, jusque dans sa pratique féminine, une discipline largement méconnue.

Quant au stade Jean-Bouin, qui est l'un des sites retenus pour les JO Paris 2024, il pourra mettre en avant sa capacité d’accueil de 20.000 spectateurs.

Ce tournoi constituant la 10e et dernière étape du circuit mondial, il s'achèvera avec la remise des titres de champion et championne du monde de rugby à 7.

En soutenant l'organisation de tels grands événements sportifs franciliens, la Région Île-de-France renforce chaque fois un peu plus l'attractivité de ses territoires tout en assurant son rayonnement à l'échelle internationale.

Le titre HSBC World Rugby Sevens Series a été décidé de façon spectaculaire après que l'Afrique du Sud a battu l'Angleterre 24-14 en finale du HSBC Paris Sevens pour décrocher la médaille d'or et conserver son titre de série.

Au cours d'une des années les plus compétitives de l'histoire de la série, le titre est allé jusqu'au tout dernier match puisque l'Afrique du Sud avait besoin d'une victoire en tournoi pour dépasser les Fidji dans le classement de la série.

L'Afrique du Sud a terminé la série en tête avec 182 points, suivie des Fidji qui ont remporté l'argent avec 180 points et la Nouvelle-Zélande avec 150 points après avoir remporté la médaille de bronze à Paris avec une victoire de 38-5 contre le Canada dans la troisième place

Les champions de la série de l'année dernière, l'Afrique du Sud, ont devancé l'Espagne 15-10 en quart de finale avec un essai à la cinquième minute de Justin Deguld, après que les pointages aient été 10-10 à la fin du temps réglementaire. Les Blitzboks sud-africains ont ensuite trouvé leur rythme en demi-finale avec une victoire complète de 24-12 contre la Nouvelle-Zélande grâce à deux essais de l'impressionnant Dewald Human, 23 ans, qui a fait ses débuts il y a deux mois à Hong Kong .

Humain était de nouveau en forme de but en finale et était ravi d'être élu Joueur de la Finale: "Ca a été une expérience fantastique ici à Paris, je me suis appuyé sur moi et j'ai apprécié chaque minute sur le terrain. sommes très heureux de la victoire. "

Le capitaine de l'équipe sud-africaine, Philip Snyman, a ajouté: "Nous voulions aller jouer au rugby et nous concentrer sur ce que nous pouvions contrôler: les gars ont joué un rugby phénoménal et ont fait honneur à l'équipe. C'est un sentiment incroyable de représenter un pays si merveilleux et les gens de chez nous n'ont jamais cessé de croire en nous et de nous soutenir. "

Fidjiens ont raté l'occasion de remporter le titre plus tôt dans la journée alors qu'ils ont été vaincus 19-17 par une équipe d'Angleterre pleine d'entrain dans un quart de finale à couper le souffle. Le capitaine de l'équipe d'Angleterre, Tom Mitchell, a complété un mouvement de 26 passes pour marquer dans les dernières secondes du match et mettre un terme à la récente domination des Fidji qui les avait vaincus lors des quatre dernières manches de la série.

Les Fidjiens se sont rétablis pour battre l'Irlande 38-5 et les États-Unis 28-7 pour terminer cinquième à Paris et mettre la pression sur l'Afrique du Sud pour la finale mais finalement ce n'était pas suffisant et les Fidjiens ont été obligés de se contenter des dix tours.

L'Angleterre a produit une autre performance puissante en demi-finale avec une victoire convaincante de 26-12 contre le Canada pour atteindre sa première finale de la série 2017-18, mais ils ont été incapables de faire face aux Blitzboks en finale alors que les hommes d'Afrique du Sud couraient vainqueurs devant une foule parisienne bruyante.

Équipe Invitational L'Irlande a battu 19-5 du quart en quarts de finale, mais après sa médaille de bronze à Londres la semaine dernière, les Irlandais se sont montrés assez prometteurs au cours des deux derniers tours un brillant avenir dans le rugby à sept.

L'Argentine a remporté le Challenge Trophy, décerné à l'équipe terminant en neuvième position, après avoir vaincu le Pays de Galles 33-26.

Toute l'attention se tourne maintenant vers la Coupe du monde de rugby à sept 2018 à San Francisco du 20 au 22 juillet, où 24 équipes masculines et 16 équipes féminines s'affronteront pour devenir championnes du monde au cours de trois journées d'action excitantes.

 

1. L'AFRIQUE DU SUD : UN TOURNOI À L'IMAGE DE LEUR SAISON

« C'est un tournoi à l'image de leur saison. L'Afrique du Sud gagne le premier tournoi et se retrouve à des moments compliqués. A Paris, elle était en délicatesse en poule, perd contre l'Ecosse (12-14), se met en danger contre l'Espagne en quart de finale (15-10 dans les prolongations, ndlr). Ce n'était pas évident car l'équipe avait dans un coin de la tête que c'était fini par rapport à la saison. Et derrière ça, ils arrivent à se remobiliser après la défaite des Fidji. La défense, c'est la clé des Sud-Africains avec 85% de plaquages réussis et surtout un trio qui a été magique avec Philip Snyman, Ruhan Neil et Werner Kok : 60 plaquages à eux trois. Ce sont les joueurs qui ont été majeurs sur l'ensemble du tournoi. Ils ont un jeu de passes assez nul : 172 passes en six matches, soit 28 en moyenne par match (le Canada en a 307 en six matches, soit 51 en moyenne par rencontre, ndlr). »

2. LES FIDJI À DEUX POINTS DU LEADER

« Ils manquent un peu le tournoi. Ils avaient la possibilité de passer, mais ils ont laissé beaucoup d'énergie dans la poule. La défaite contre le Kenya (19-22) leur fait du mal, ils ont du faire un match plein face à la Nouvelle-Zélande. Ils sont plutôt adeptes à gérer les phases de poule et à accélérer sur les play-offs, donc c'était un peu dur pour eux de retrouver l'énergie nécessaire et de trouver en quart de finale une équipe anglaise qui a été assez incroyable sur la possession de balle. Malgré leur 5e place à Paris, les Fidji ont le titre qui leur passe sous le nez par pas grand chose (deux points derrière l'Afrique du Sud, ndlr).

« Il y a eu de grosses lacunes sur les coups d'envoi : 16% des coups d'envoi récupérés, ce qui est très faible quand on connait la capacité des Fidji (22% en moyenne sur la saison, ndlr). Et alors qu'ils sont les maîtres à jouer dans les turnovers, là ils n'ont récupéré que cinq ballons dans le tournoi de Paris (et en ont perdu six, ndlr). En comparaison, l'Afrique du Sud en a récupéré 14. Les Fidjiens sont très forts sur la récupération de ballon, mais les équipes adverses ont été assez lucides et leur ont donné que peu de ballons. Du coup, les Fidjiens n'avaient pas beaucoup de munitions pour scorer car les équipes en face ont su s'adapter. »

3. L'ANGLETERRE, TOUJOURS PRÉSENTE DANS LES GRANDS MOMENTS

« L'Angleterre fait un très bon tournoi. Sans être exceptionnels, ils ont réussi à passer la phase de poule. Derrière, ils font un exploit contre les Fidji (17-19 en quart de finale, ndlr), puis une défaite en finale contre l'Afrique du Sud 14-24). Ils doivent leur tournoi grâce à un réalisme incroyable : 20 possessions de balle sur 23 dans les 22 mètres ; 87% de réalisme dans les 22 m adverses. Norton, Bibby, Mitchell ont su actionner le jeu anglais. Défensivement, Harry Glover a été l'un des meilleurs joueurs du tournoi. Il n'a que 20 ans et est en train d'exploser et de devenir un joueur majeur sur le système anglais (22 plaquages). Il a supporté l'équipe d'Angleterre sur ce tournoi.

« Ils sont toujours là dans les grands moments : finaliste aux JO, médaille de bronze aux Commonwealth... Ils étaient 9e mondial et ils terminent à la 5e place du classement mondial, sur le fil, à un point de l'Australie (à un point d'écart). Le prochain objectif c'est la Coupe du Monde et en 2019 la quatrième place. Leur saison est parfaitement maîtrisée du point de vue gestion, même s'ils n'ont pas démarré très fort. »

4. L'IRLANDE A SA PLACE SUR LE WORLD SERIES

« Encore une fois elle a montré ses capacités de performance sur le World Series. Elle a été pragmatique. Le rugby à 7, c'est de l'endurance et du cardio. Ils montrent des atouts dignes d'un top 3 du Worl Series. Ils font plus de points que la Russie en deux tournois et sont 15e au classement, juste derrière le Pays de Galles. Défensivement ils sont en tête du classement et Harry McNulty est leur leader défensif (18 plaquages).

« Ils n'ont pas fait le World series en entier, mais c'est une équipe qui est très rigoureuse défensivement. Ils ont étouffé en phase de poule (14-5 sur l'Espagne, 19-19 sur le Pays de Galles et 24-14 sur l'Australie, ndlr). Et même en changeant cinq joueurs de l'effectif initial, ils arrivent toujours à être au haut niveau et à passer le cap et à être performant. L'Irlande a fait une très grosse performance à Paris et sera très dangereuse à la Coupe du Monde.

« Leur objectif numéro 1, c'est l'Europe Series ; le Paris Sevens n'était pas ciblé et pourtant ils y arrivent. Ils battent tout le monde en poule. »

5. L'ESPAGNE : DANGER EN DEVENIR

« Ils gagnent l'Australie (17-10), puis le Pays de Galles (21-14) et font surtout un match monumental contre l'Afrique du Sud en quart de finale où ils perdent à la dernière seconde (15-10). Ils ont encore fait une très belle saison, malgré le manque de réalisme : 45% de réalisme, elle score 10 fois sur 22 (45%). C'est dire tout le potentiel offensif qu'elle a !

« C'est une équipe qui a beaucoup le ballon. Le jour où elle va être efficace offensivement, elle va être dangereuse. »

6. LE CANADA A RÉUSSI À PASSER LE CUT DES DEMI-FINALES

« Le Canada s'est qualifié encore une fois en demi-finale sur le World Series où elle s'incline 26-12 face à l'Angleterre. C'est une quatrième place au Paris Sevens après avoir été impressionnante en phase de poule. Elle n'a eu que 11 pénalités dans le tournoi. Elle a une justesse technique incroyable avec seulement 12 fautes de main sur l'ensemble du tournoi, soit deux par match, ce qui est très propre.

« C'est un jeu de quinziste. Le Canada fonctionne en mode quinziste, mais score derrière. Hirayama a été le meilleur joueur en offload, Douglas a cassé la ligne huit fois, Connor Braid ballon porté... « Le Canada a réussi à passer ce cut pour les demi-finales. »

7. LA FRANCE EN PANNE

« Elle avait réussi à réunir son effectif au complet malgré la blessure de Manoël Dall'Igna. Elle attendait depuis longtemps le tournoi de Paris. Au premier jour, elle est à sa place et a du mal à performer face à l'Angleterre (21-28), aux USA 12-26) et à l'Argentine 28-26) qui sont au-dessus. Elle a réussi à débloquer son compteur de victoires en battant l'Argentine.

« Elle a montré beaucoup de faiblesse défensive, avec 5,4 plaquages manqués par match, contre 3,4 pour l'Espagne. C'est le chantier numéro un pour que la France puisse repasser en Cup.

« En attaque, elle est efficace, même si le point noir est le coup d'envoi : trois manqués contre le Pays de Galles. Quand on n'a pas les ballons en conquête, c'est très compliqué de pouvoir rivaliser. C'est l'équipe qui a été le plus pénalisée du tournoi : 18 pénalités.

« Malgré tout, l'équipe de France a réussi à contenir et n'a pas pris 40-0 comme sur d'autres tournois. La ferveur populaire a permis à la France de rester concentrée à chaque match. Elle a joué avec ses armes et s'est faite contrer par meilleur que soit. »

Massive tug Seaspan Raven in the south arm Fraser River near the BC Ferries Maintenance Docks. 5000BHP - very business-like.

Another Coelioxys nest parasite bee from the Adirondack Mountains of New York. This one is a nest parasite of big Leaf Cutters like Megachile latimanus. Here are shots of a male and a female. You can see the long pointed abdomen that the female uses to cut into the nest walls and the odd multipronged rear ends of the males, the uses of which are not apparent to me...but all the Coelioxys males have them.

~~~~~~~~~~{{{{{{0}}}}}}~~~~~~~~~~

 

All photographs are public domain, feel free to download and use as you wish.

 

Photography Information: Canon Mark II 5D, Zerene Stacker, Stackshot Sled, 65mm Canon MP-E 1-5X macro lens, Twin Macro Flash in Styrofoam Cooler, F5.0, ISO 100, Shutter Speed 200

 

Beauty is truth, truth beauty - that is all

Ye know on earth and all ye need to know

" Ode on a Grecian Urn"

John Keats

 

You can also follow us on Instagram - account = USGSBIML Want some Useful Links to the Techniques We Use? Well now here you go Citizen:

 

Free Field Guide to Bee Genera of Marylandhttp://bio2.elmira.edu/fieldbio/beesofmarylandbookversion1.pdf

Basic USGSBIML set up:

www.youtube.com/watch?v=S-_yvIsucOY

 

USGSBIML Photoshopping Technique: Note that we now have added using the burn tool at 50% opacity set to shadows to clean up the halos that bleed into the black background from "hot" color sections of the picture.

www.youtube.com/watch?v=Bdmx_8zqvN4

 

Bees of Maryland Organized by Taxa with information on each Genus

www.flickr.com/photos/usgsbiml/collections

 

PDF of Basic USGSBIML Photography Set Up:

ftp://ftpext.usgs.gov/pub/er/md/laurel/Droege/How%20to%20Take%20MacroPhotographs%20of%20Insects%20BIML%20Lab2.pdf

 

Google Hangout Demonstration of Techniques:

plus.google.com/events/c5569losvskrv2nu606ltof8odo

or

www.youtube.com/watch?v=4c15neFttoU

 

Excellent Technical Form on Stacking:

www.photomacrography.net/

 

Contact information:

Sam Droege

sdroege@usgs.gov

301 497 5840

 

This is actually a really pleasing shot for me. So many of the larches have been cleared from Wentwood to prevent the spread of the Larch fungal disease, and yet the native broadleaves have been left. Areas like this will naturally regrow with broadleaf seedlings, and areas without any broadleaves will be planted with a native species mix. Despite the devastation, I can see hope for the future of Wentwood.

The Terracotta Army

Lintong, Xi'an

copyright 2012 M. Fleur-Ange Lamothe

Third day of the festival. Program: performance of DoN't Eat Group and Bodylotion co-dance.

Photos: Barbara Antal

Le château de Cordès est situé sur la commune d'Orcival, à 900 m d'altitude, dans le département du Puy-de-Dôme en Auvergne-Rhône-Alpes. Le site du château appartient au Moyen Âge à la famille de Chalus, mentionnée dans les sources à partir de 1268 et qui cède le lieu à la famille d'Alègre en 1659. La fortification date du xve siècle mais a été remaniée au xviie siècle. Yves d'Alègre (1653-1733), maréchal de France en 1724, est à l'origine des travaux d'embellissement de ce château féodal ; ses jardins ont été dessinés par André Le Nôtre en 1695.

One thing that drives me bonkers is the ordering of form fields. Place form fields in a logical order that makes sense to the user. This example shows an incorrect ordering of fields. The order of fields should have been Address, State, Postcode (matches how people expect to see and write addresses).

Concrete forms for producing concrete cattle guards. For more information visit www.wallties.com

Kamera: Revue Flex 5000 EE

Objektiv: 90mm 2,8

Film: Kodak Gold 200

 

(Fürstenwalde 2016)

A woman forms balls of flour to make fresh tortillas in Rosita Nicaragua

Concrete construction in Venezuela using aluminum concrete formwork. For more information on formwork visit www.wallties.com

Kai in human form

 

Name: Kai

Age: 21 (is really 320 yrs old)

Weapon: werewolf powers, n in human form, a sword tht can cut through vamps.

Race: werewolf

Bio: He decided Renai was rite about moving to Raszor city. He still looks around for Shion and Damion, mosta the time being in his wolf form, though he hasn't bin that much of a father or husband to his kids or Renai because of it. He's waiting for the chance to catch Damion in his wolf, catching a glimpse at what hes seeing, and smelling an wat not to find him and Shion, bringing her back to the family.

Yo veo una silueta de un bailarin entre el fuego

Form und Landschaft. [Monochrom]

Amrum

Standort: Wuppertal.

Mehr Skulpturen in Wuppertal: SkulpTour Wuppertal .

Mehr Skulpturen von Tony Cragg: Die Welt des Tony Cragg.

Formed in 1875, just a few year after the Canadian Confederation, the RCMP not only became one of the most enduring symbols of Canada but also a great ambassador to represent our beloved nation worldwide. The RCMP Musical Ride is one of the best ways for anyone, Canadian or otherwise, to experience Canada’s unique heritage and identity.

 

To celebrate 100 Years of Fun at the PNE 2010, a full team of 32 RCMP police officers on horseback came to Vancouver’s Agrodome to perform the Musical Ride from Aug 26-31, 2010. Once again, the crowd at the Pacific National Exhibition fairgrounds got to enjoy these scarlet-uniformed riders did a variety of cavalry drills: The Maze, Threading of The Needle, The Star, The Doom, The Charge and even the Olympic Rings (four rider circles with the audience forming the 5th ring.)

 

The crowd not only marveled at the skill, discipline and teamwork displayed, they also admired the riders (about half of which were women) of their dedication to their profession. As a bonus at the end of the performance, the public got to meet the police officers underneath the broad-brimmed Stetson hats. [Photos & Videos by Ray Van Eng] www.vancouver21.com

 

VIDEO - RCMP Musical Ride, Grand Entry & Drill www.youtube.com/watch?v=qlMixIJ9xrk

VIDEO - RCMP Musical Ride, The Doom, The Maze & The Olympic Rings www.youtube.com/watch?v=4Sspz6LvpW0

 

Form Factory

 

location: Poznań

category: store

 

// follow me on:

facebook

instagram

portfolio

 

A form I created to keep me on task for the day.

 

You can download it here: Daily 3x5 Productivity Form

Dr Feelgood Wilko Johnson RIP British pub rock band formed in 1971. Hailing from Canvey Island Essex Live in Redcar Coatham Bowl Majuba Road Teesside Sept 14 1980

en.wikipedia.org/wiki/Dr._Feelgood_(band)

 

take a walk on the wild side....penrhyn castle in wales

żelazna st., warsaw, poland

 

disclaimer: i will be more than happy if you repost or blog my photos as long as they are linked to their sources on flickr. and please, it would be really nice of you if you just informed me in comments. i prefer to find out from you than through my flickr stats.

making a salt dough map of the American state of Alabama

Pentax K-1, Rokinon 85/1.4

 

For PentaxForums.com Single in September Challenge

 

At the Plaza Art Fair.

 

They close those booths down at PRECISELY 10PM, so don't plan on loitering around to look at art. :-(

The newly formed Senior Wrestling League competition between Aspull Warriors and City of Manchester Wrestling Club, was held at the Aspull on Saturday Saturday 21 Jan 2023.

 

Following 10 exciting and tough matches City of Manchester gained the win.

 

Aspull Warriors 19 City of Manchester 26

 

This event is part of the two pilot leagues which were launching in September 22.

 

This could be a huge step for the development of wrestling in this country. If successful with our pilot season this could lead to the launch of a nationwide league launching in every region of the UK by the end of 2023.

 

The clubs competing in the inaugural Northern Seniors Wrestling League are:-

 

Manchester Y-Club Wrestling

@aspullwarriorswrestling

@bowcbears

@manchester_wrestling_club

@empower_wrestling

@bradfordwrestlingacademy

Castillo de Almansa

 

Situación

El castillo de Almansa se alza sobre una enhiesta formación rocosa denominada Cerro del Águila, dominando a gran altura la población de Almansa y la llanura sobre la que se asienta. Almansa es una localidad estratégica por ser una encrucijada de caminos que permite las comunicaciones con las comunidades vecinas.

 

Historia

Los orígenes del castillo de Almansa se remontan al período almohade, cuya característica forma de construcción, el tapial, permanece patente aún hoy día en alguno de sus muros, siendo ésta parte la más antigua conservada en el castillo.

 

El castillo fue reconquistado por Jaime I, quien lo cedió a la Orden del Temple, pasando posteriormente al reino de Castilla. Alfonso X el Sabio lo dotó de dos fueros, el de Requena y el de Cuenca.

 

Aunque fue ya famoso por su importancia a principios del siglo XII, el castillo actual fue construido por el infante Don Juan Manuel en el siglo XIV.

 

Aunque el castillo fue ya famoso por su importancia a principios del siglo XII, en el siglo XIV pasó a manos del infante don Juan Manuel, quien lo mandó reconstruir sobre las fortificaciones musulmanas, diferenciándose claramente la mampostería cristiana del tapial árabe. Su aspecto actual corresponde, además, a las reformas realizadas en la época del marqués de Villena, Don Juan Pacheco.

 

En 1707 el castillo fue escenario, durante la Guerra de Sucesión, de una batalla de renombre histórico, la batalla de Almansa. En ella, fueron derrotados y capturados nueve mil soldados austriacos. Venció el ejército franco-español, encabezado por el duque de Berwick. A partir de esta batalla, se inclinó la guerra a favor del asentamiento de Felipe V y la dinastía de los Borbones en el Trono de España.

 

A partir del siglo XVI, el castillo de Almansa, al igual que otros muchos castillos españoles, entró en un largo proceso de abandono, ya que sus principales funciones quedaron en desuso, con el lógico deterioro que esto conlleva.

 

En 1919 el alcalde de Almansa denunció el estado ruinoso del castillo y solicitó permiso para su demolición, pero gracias a los informes realizados por la Real Academia de la Historia y la Real academia de Bellas Artes de San Fernando, en contra de la petición del Ayuntamiento, el castillo de Almansa no sólo se salvó, sino que además, por Real Orden de febrero de 1921 fue declarado Monumento Histórico Artístico Nacional.

 

En 1952 el castillo experimentó una profunda restauración en su periferia. En el interior no reconstruido, solo quedaron unos escasos restos que permiten conjeturar su primitiva configuración. Durante las obras realizadas se descubrió una bellísima escalera de caracol que desde la torre del homenaje da acceso a la terraza superior de dicho torreón. En 1990 se puso un marcha un proyecto de reparación y estabilización de los agrietamientos, que consistió básicamente en el cosido de los estratos rocosos, mediante la colocación de anclajes y recalce de las murallas con inyecciones de cemento. Se colocaron diez vigas-contrafuertes para la recogida de las cabezas de los anclajes, que se pueden apreciar en el flanco oriental.

 

Descripción

Se asienta sobre un montículo rocoso que dificulta su acceso. Su forma es rectangular y se divide en dos recintos a distintas alturas alturas. En la parte más elevada, hay una muralla rematada en almenas y, en la parte más baja, hay torreones. En la zona de mayor altura del recinto, se localiza la torre del homenaje que es de grandes dimensiones y que se encuentra rematada en almenas.

 

El recinto inferior del castillo posee dos puertas de acceso. la puerta del lado oeste, por la que se entraba a pie y a caballo a través de su imponente barbacana, es la que se utiliza actualmente. Atravesando el patio de armas se encuentra la puerta del lado este, por la que se accedía con carros y carruajes.

 

La torre del homenaje es la parte más destacada de todo el edificio, y se encuentra jalonando la muralla en la parte más alta del recinto. Su planta es rectangular y la entrada se encuentra en alto, para hacer el acceso más difícil. La torre tieve escasos vanos y está rematada por almenas para su defensa. En la parte superior de la torre hay una terraza almenada a la que se accede por una escalera de caracol tallada en la roca, con elementos de cantería, y que está considerada una maravilla dentro del gótico de la zona.

 

Entre las partes defensivas del castillo destaca la muralla, que se extiende a lo largo del cerro sobre el que se asienta. Su monótona estructura se rompe con las torres semicirculares de sus esquinas, que tienen una barbacana defensiva para su acceso. Como el resto de la construcción, toda la estructura esta rematada con almenas piramidales.

 

Materiales

 

El castillo está construido en piedra. En los lienzos o muros, se utiliza el sillarejo, es decir, piedra poco trabajada. Y, en las esquinas de las torres, se utiliza el sillar, es decir, piedra labrada en su totalidad. En las partes hechas en época musulmana, se utilizó el tapial.

 

Estado de conservación

 

El estado del edificio es bueno pues en el siglo XX se iniciaron las labores de restauración (1952 y 1990). Hoy en día, se ha acondicionado para la visita de los turistas.

 

Propiedad y uso

Es propiedad del Ayuntamiento de Almansa, y su destino es turístico.

 

Visitas

 

Es un lugar muy frecuentado por los turistas interesados en nuestro patrimonio artístico, y permanece abierto todos los días excepto los martes.

 

Horario de lunes a viernes: de 11:00 horas a 13:00 horas y de 17:00 horas a 18:30 horas.

Horario de sábados, domingos y festivos: de 11:00 horas a 14:00 horas y de 16:00 horas a 18:30 horas.

Entrada: Normal: 3 euros.

Niños menores de 14 años: 1,8 euros.

Jubilados: 1,8 euros.

Grupos (+15 pax): 1,8 euros. Teléfono del Ayuntamiento de Almansa, (967) 31 15 50.

 

Protección

 

Fue declarado Monumento Histórico Artístico Nacional por Real Orden de febrero de 1921.. Bajo la protección de la Declaración genérica del Decreto de 22 de abril de 1949, y la Ley 16/1985 sobre el Patrimonio Histórico Español.

Composition avec Gimp, Photoshop et ACDSee Ultimate

The Kamakshi Temple is a famous Hindu temple dedicated to Kamakshi, one of the forms of the goddess Parvati. It is located in the historic city of Kanchipuram, near Chennai, India and is popularly associated with Sankaracharya, one of the greatest Hindu gurus. The Meenakshi Temple in Madurai, the Akilandeswari temple in Thiruvanaikaval near Tiruchirappalli and this Kamakshi are the important centers of worship of Parvati as the mother goddess, in the state of Tamil Nadu. The temple was most probably built by the Pallava kings, whose capital was Kanchipuram, around 6 C.E.

 

The main deity, Kamakshi, is seated in a majestic Padmasana, an yogic posture signifying peace and prosperity, instead of the traditional standing pose. The goddess holds a sugarcane bow and bunch of flowers in the lower two of her arms and has a pasha (lasso), an ankusha (goad) in her upper two arms. There is also a parrot perched near the flower bunch. There are no other Parvati temples in the city of Kanchipuram, apart from this temple, which is unusual in a traditional city that has hundreds of traditional temples. There are various legends that account for this fact. One of them according to Kamakshivilasa is that the Goddess had to absorb all the other shakthi forms to give a boon to Kama, the Hindu god of love. Another legend attributes it to the Raja Rajeswari pose of the deity that signifies an absolute control over the land under the deity's control. Legend has it that Kamakshi offered worship to a Shivalingam made out of sand, under a mango tree and gained Shiva's hand in marriage.

 

FESTIVALS

Four worship services are offered each day. The annual festival falls in Spring, in the Tamil month of Masi, which runs from mid-March to mid-April. During this time the chariot festival (Ther) and float festival, (Theppam) are held. Other festivals include Navaratri, Aadi and Aippasi Pooram, Sankara Jayanthi and Vasanta Utsavam in the Tamil month of Vaikasi. All Fridays are considered sacred, though the Fridays in the Tamil months of Adi (mid-July to mid-August) and Thai (mid-January to mid-February) are celebrated.

 

THE OLD KAMAKSHI DEVI TEMPLE

The original Kamakshi Devi Temple is what is now known as Adi Peeteswari or the Adi Peeta Parameswari. This temple is just adjacent to the Kumarakottam, and is near to the Kamakshi Devi temple.

 

Adi Shankaracharya, the famous 8th-century CE scholar and saint, established the Sri Chakra at this original Kamakshi Devi temple in the trough-like structure in that shrine. This Sri Chakra soon became the All India famous Kamakoti Peeta. The Acharya's Lalitha Trishati Bhashya comments Kamakoti Peetam as Sri Chakra.

 

The Acharya changed the fierce form of worship into a sowmya form. The Devi in this original Kamakshi temple is called by various names like Kirtimati, Devagarbha in extant Tantric works like Tantrachudamani. She has four hands containing in each of them respectively, Ankusa, PAsa, Abhaya and a Kapala. This description corresponds to those extant old tantric works. Further, Girvanendra Saraswathi describes precisely this swaroopa as Kameswari.

 

Sundaramurthi Nayanar, the Saiva saint of the 12th century is aware of the Kamakottam. He in fact mentions that the Kamakottam has come in existence just at that time.

 

THE MODERN KAMAKSHI DEVI TEMPLE AT KANCHI

The Siruthondar Puranam of Sekkilar Peruman, written during this time, is aware of both the temples and mentions the original temple as the Yoga Peeta and the present Kamakshi devi temple as Bhoga peetam. The reference to the present Kamakshi Devi as Aram Purappaval (bestower of boons)by Sekilar Peruman is noteworthy, as the present name of the street in which this new temple is located in Kanchipuram is called Arapanak Ara Theru.

 

The present Kamakshi temple too, has a Sri Chakra which was established during the 16th Century by NrusimhAdvari, of the famous dathamAnji family. There is a stone inscription inside the new temple, near this Sri Chakra, which states this fact. It is noteworthy that Arunagirinathar a 15th Century Tamil Saint, sings in praise of the Goddess as devi of dark emarald complexion and the mother of Muruga of Kumarakottam. The Original Kamakshi Devi temple i.e. Adi PeeteswariKamakshi Devi temple is just adjucant to the Kumarakottam. Arunagirinathar mentions the Sri Yantra in the Kamakshi Devi temple, which can apply, during the 15th century, only to the original Adi Peeteswari Kamakshi Devi, which contained the Sri Chakra installed by Adi Shankara. Arunagirinathar does not make any reference to the new temple.

 

Also noteworthy is the fact that this new temple's legend considers the Bangaru Kamakshi at Thanjavur as Dharmadevi This is the metallic counterpart of the stone image of Dharmadevi, which is at present at Thiruparuthikunram (Jina Kanchi) to where it was removed from this present Kamakshi (Tara Devi) temple after the conversion of the Jain Tara Devi temple into Hindu Sakta tradition has become stronger. There is a stone inscription at the Jina Kanchi temple which explains this fact. There are strong evidences that Dharadevi was worshipped in the present day main shrine.

 

THE KANCHI KAMAKSHI AMMAN TEMPLE AS A

SHAKTI PEETH

The mythology of Daksha yaga and Sati's self immolation is the main theme in the origin of Shakti Peethas.

 

Shakti Peethas are divine temples of Adiparashakti. The cause of the presence of Devi's presence is due to the falling of body parts of the corpse of Sati Devi. The eyes/back of Sati Devi is believed to have fallen here. There are 51 Shakti Peeth linking to the 51 alphabets in Sanskrit. There are also arguments that the old Kanchi temple is the Shakti peetha, where Sankaracharya has installed the Shri Chakra. It is reverred world wide as Kanchi Kamakoti Peetham.

 

TIRUKKALAVANUR

In the shrine of Kamakshi Amman close the sanctum, the Tirukalavanur Divya Desam, the temples dedicated to Lord Vishnu glorified by the 7th-10th century alwars (Tamil saint poets) is present. The temple faced west went to ruins and the deity is now placed inside the Kamakshi Amman temple. There are shrines over the vimana.

 

WIKIPEDIA

This photo was so fun to shoot, even though it killed my eyes. I was shooting directly at a bulb when it was lit. Also, it was not taken in a dark room. I turned my ISO WAY up to get this photo.

I chose this for form because one can really see the 3-D aspect of the bulb. Even though it is the source of light, there are shadows on the edges and the bottom. The bulb itself is a little dusty, and I really liked that because it looked natural. I took several shots of this object, but this was the first one and I liked it the most. In photoshop, I adjusted the color a little bit to make the bulb a little darker and sharpened it around the edges.

A shot of my daily review form.

 

You can read more about it here: 3x5 Daily Review Form

1 2 ••• 42 43 45 47 48 ••• 79 80