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TROMBA CASCO DELLA GUARDIA RAIL ESERCITO Ducato di Parma, 1849-1854, IN GRAN TENUE.1849-1854, aziende Parma o Piacenza (Piacenza).

 

Gli elmi delle Guardie-Corpo furono modellati sui modelli prussiani di cavalleria pesante e persino alcuni furono acquistati direttamente in Prussia.

Questi caschi non sono più usati dopo il 1854, sono sostituiti da un cappello.

Dopo l'assassinio del duca Carlo III, quando la vedova duchessa Maria Luisa di Borbone, per conto del principe duca Roberto 1 minore, ha deciso di restituire a Parma il gusto uniforme e più di moda austriaco. L'elmetto cade in disuso a vantaggio di un cappello a forma di austriaco.

 

Le Guardie del Corpo furono organizzate su 3 compagnie: Parma, Piacenza e Valtarese. Quest'ultima società ha avuto più assimilati corpo uniforme montato per l'esercito, non un pesante aziende speciali di cavalleria come Parma e Piacenza che erano, a loro volta, la tunica rossa, pantaloni bianchi e la pelle gli stivali pesanti delle guardie dei corpi prussiani, così come l'elmo di corazza di tombac (e, come esperimento, una corazza dello stesso!). L'elmo di Valtarese era quindi realizzato in pelle bollita con accessori in ottone e puntato, sempre nello stile prussiano.

 

Bombe di rame, orlo della visiera e archetto da collo, bottoni rivetti, base a punta e placca in argento nickel.

 

Visiera verde laccata all'interno (parzialmente scheggiata), il bangle in argento nickel è a cavallo del bordo esterno.

 

La nuca interna di seta nera del tipo ufficiale.

 

Nichel piatto d'argento raffigurante uno scudo rotondo colpito nel centro cifra ducale: tre gigli circondati da una prima stampata sporgente stampaggio in rilievo ornamenti e un secondo con il motto: "DEUS E STAMPI CIII" heraldry è sormontato dalla corona reale, tutto contro un sole radioso.

Il modello originale delle Guardie del corpo non porta un piatto, qui il piatto è il modello base della fanteria con il motto del duca Carlo III "Deus and Dies".

I fissaggi della piastra con viti e dadi corrispondono a quelli trovati in altri caschi con punta Parma per lastre di questo tipo. Questo piatto può caratterizzare un casco a tromba.

 

Jugulars composti da stemmi in ottone con filetti sporgenti e chinrest in pelle ricoperti di scaglie tagliate a festone e curve.

 

Ribbon non è quella degli altri corpi dell'esercito di Parma, è del tutto rosso come targhette utilizzate a Parma dal Duca di House, che è logico per Gardes du Corps.

 

Bomba sormontato una punta alpacca fissato su una base a forma di fiore divisoria da rivetti quattro rame forma giglio tipica del Ducato di Parma (forma diversa rispetto alla Francia e Napoli, ma anche in Spagna) .

 

La punta si conclude con una criniera di criniera bianca sembra identificare elemento trombe mai visto su un taglio di capelli come questo per Parma

 

interno Cap pelle nera in gran parte assente.

 

Buone condizioni

 

Italia, Ducato di Parma.

 

Regno del duca Carlo III, 1849 - 1854.

  

DOCUMENTO:

Un documento scritto a mano che accompagna l'auricolare è collegato, si riferisce ad un evento riguardante Anviti, colonnello generale e comandante dell'esercito, dopo la morte del Duca, e la popolazione non amato come favorito Duke (assassinato nel 1854) e considerato un reazionario molto duro. Dopo la caduta del Ducato è scappato fuori dei confini, ma ha preso un treno per retravreser il territorio del Ducato e andare altrove, e nel corso di una stazione di smettere di Parma è stato riconosciuto, picchiato, bussò con violenza, portato in città, decapitato e poi trascinato per tutta la città in uno stato "concini" per così dire ...

 

NOTA:

Trombe erano in numero di due, non sono stati considerati come semplici guardie (il Corpo di Guardia, come per le case militari di Borbone aveva il rango di luogotenenti come rango equivalente nell'esercito) ma aveva più status di ufficiale che può giustificare le varianti incontrate: placca, finitura interna, elmi di criniera per ufficiali superiori del corpo di Parma.

Attualmente sono noti solo cinque elmetti: due in una collezione privata di Parma, uno in un castello della provincia di Piacenza, l'altro nel museo storico della stessa città; e il casco presentato qui.

 

Iconografia:

Riproduciamo tre piatti del signor Cenni e un quarto piatto di Cenni vicino alla collezione NYPL Vinkhuijzen. Questo autore mostra diverse analisi delle uniformi secondo gli archivi.

 

CREDITI:

L'identificazione e la ricerca storica d'archivio per questo casco sono stati eseguiti da due esperti e autore dell'esercito italiano, noti per la loro competenza e serietà, sempre a disposizione le conoscenze e poche informazioni avaro. A loro dobbiamo questo foglio che rappresenta un'opera, mai spinto a questo punto di dettaglio su questo argomento. Ringrazio pertanto con tutta la mia considerazione i signori Massimo FIORENTINO e Mario ZANNONI.

 

CASQUE DE TROMPETTE DES GARDES-DU-CORPS DE L'ARMÉE DU DUCHÉ DE PARME, 1849-1854, EN GRANDE TENUE.1849-1854, compagnies de Parme ou de Piacenza (Plaisance).

 

Les casques des Gardes-du-Corps étaient calqués sur les modèles prussiens de cavalerie lourde et même, certains étaient achetés directement en Prusse.

Ces casques ne sont plus utilisés après 1854, ils sont remplacés par un chapeau.

Après l’assassinat du Duc Charles III, lorsque la duchesse douairière Louise-Marie de Bourbon, au nom du prince le duc Robert 1er, encore mineur, décida de redonner aux uniformes de Parme un goût et une mode plus autrichienne. Le casque tombe en désuétude au profit d’un chapeau de forme autrichienne.

 

Les Gardes du Corps étaient organisées sur 3 compagnies : Parme, Piacenza et Valtarese. Cette dernière compagnie avait un uniforme plus assimilable aux corps montés de l’armée, et non pas à une spécialité de cavalerie lourde, comme les compagnies de Parme et Piacenza qui portaient, quant à elles, la tunique rouge, les culottes blanches de peau et les bottes fortes des Gardes du Corps prussiens, ainsi que le casque de tombac de cuirassier (et, à titre expérimental, une cuirasse de même !). Le casque du Valtarese était donc en cuir bouilli avec accessoires en laiton, et à pointe, toujours à la prussienne.

 

Bombe en cuivre, jonc de cerclage de la visière et du couvre-nuque, boutons de rivure, embase de la pointe et plaque en maillechort.

 

Visière laquée vert à l’intérieur (en partie écaillée), le jonc en maillechort plié à cheval sur la bordure extérieure.

 

Couvre-nuque côté intérieur en soie noire du type des officiers.

 

Plaque en maillechort représentant un blason rond frappé en son centre du monogramme ducal : trois fleurs de lys entourées d'une première moulure saillante estampée en relief de fleurons, puis d'une seconde portant la devise : « DEUS ET DIES CIII», le blason est surmonté de la couronne royale, le tout posé sur un soleil rayonnant.

Le modèle d'origine des Gardes-du-Corps ne porte pas de plaque, ici plaque est du modèle de base d’infanterie avec la devise du Duc Charles III « Deus et Dies ».

Les fixations de la plaque par visses et dés correspondent à celles constatées dans les autres casques à pointe de Parme pour les plaques de ce type. Cette plaque peut caractériser un casque de trompette.

 

Jugulaires composées de rosaces en laiton à fillets saillants, et, de mentonnières en cuir recouvertes d’écailles découpées en feston et bombées.

 

Cocarde n’est pas celle des autres corps de l’armée de Parme, elle est entièrement rouge comme les cocardes utilisées à Parme par la Maison du Duc, ce qui est logique pour les Gardes-du-Corps.

 

Bombe surmontée d'une pointe en maillechort fixée sur une embase de forme de fleur fixée par quatre rivets en cuivre en forme de fleur de lys typiques du duché de Parme (forme différente par rapport à France et Naples, mais aussi à l’Espagne).

 

La pointe se termine par une crinière en crins blancs qui semble identifier les trompettes, élément jamais vu sur une coiffure de ce type pour Parme

 

Coiffe intérieure en cuir noir en grande partie absente.

 

Bon état.

 

Italie, Duché de Parme.

 

Règne du Duc Charles III, 1849 - 1854.

  

DOCUMENT :

Un document manuscrit accompagnant le casque est joint, il fait allusion à un évènement qui concerne Anviti, colonel et comandant général de l’armée après la mort du Duc, et mal aimé de la population, car favori du Duc (assassiné en 1854) et considéré comme un réactionnaire très dur. Après la chute du duché il s’échappa en dehors des frontières, mais il prit un train pour retravreser le territoire du duché et se rendre ailleurs, et lors d’un arrêt en gare de Parme fut reconnu, battu, frappé très violemment, porté dans la ville, décapité et puis trimbalé dans toute la ville dans un état « à la concini » pour ainsi dire…

 

NOTE :

Les trompettes étaient au nombre de deux, ils n’étaient pas considérés comme de simples gardes (les Gardes-du-Corps comme pour les maisons militaires des Bourbons avaient le rang de sous-lieutenants, comme équivalence de grade dans l’armée), mais avaient plus le statut d'officier ce qui peut justifier les variantes rencontrées : plaque, finition intérieure, crinière des casques pour officiers supérieurs des corps de Parme.

Seuls cinq casques semblent actuellement connus : deux dans une collection privée de Parme, un dans un château de la province de Plaisance, l’autre au musée historique de la même ville,; et le casque présenté ici.

 

ICONOGRAPHIE :

Nous reproduisons trois planches de monsieur Cenni, et une quatrième planche de Cenni auprès de la NYPL collection Vinkhuijzen. Cet auteur montre différente analyse des uniformes selon les archives.

 

REMERCIEMENTS :

L'identification et les recherches historiques en archives pour ce casque ont été réalisée par deux auteur et grands spécialistes de l'armée italienne, reconnus pour leur compétences et leur sérieux, toujours à la disposition du savoir et peu avares d'informations . Nous leur devons cette fiche qui représente un travail, encore jamais poussé à ce point de détail sur ce sujet. Je remercie donc avec toute ma considération messieurs Massimo FIORENTINO et Mario ZANNONI.

Esercito Italiano

   

---- a bar of Melia ----

  

---- un bar di Melia ----

  

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June 10, 1940, from the balcony of Palazzo Venezia in Rome, seat of the Grand Council of Fascism, the Duce Benito Mussolini announces the Italian entry into the war on the side of Nazi Germany; Mussolini already now stands as a military goal to have an enemy to be defeated in order to start the so-called "parallel war" on Germany (Italy would fight so with the German allies, but pursuing autonomous and independent objectives); In fact, the Duce, he wanted to prove to Hitler (who took the decisions on the course of the war without first consult Him) that Italy had to be considered military, political and economic of equal importance to the German one, so in order to achieve that, he need an opponent militarily within his reach, this opponent seemed to be Greece as it was geographically close, seemed to have weak military, a political class unwilling to fight, but the reckless attack proved be a serious military mistake with heavy consequences. This is the scenary as a backdrop to a group of military Sicilians catapulted on the Greek front, young soldiers who immediately realize of the prevailing military disorganization, their life appears hanging by a thread ... but there is a Saint who can help them... they finance the construction of the float of St. Sebastian, patron saint of the town of Melia in the municipality of Mongiuffi Melia (Messina), maybe (the figure is not certain) the idea of ​​the float is from corporal Cingari of Melia, so asking S.Sebastian for help and protection (S.Sebastian is the principal patron saint invoked against the plague .... . isn't the War a plague...?!); participants enter their names in a silver casket bearing cantilevered effigy of the Royal Army, if they will die will remain at least a trace of their earthly life. This particular float has the Saint Sebastian who seems to have the military salute, on the basis of float is written: "The Infantries of the first company and officials of the 3rd Regiment.Infantry. Piedmont Fighters in the year 1940 during the battle of Greek devotees offered" .

This is a short and long reports on the traditional festival that the village of Melia (Mongiuffi Melia - Messina) celebrates in honor of its Patron Saint San Sebastian, with thet float that was so ardently desired by those Sicilians soldiers in those bleak darkest hours in our history.

A curiosity, every year on the occasion of the procession are distributed to the population of the loaves in the shape of arrows (they remember the 1st martyrdom) , this year the priest Father Di Bella has expressed the wish about the bread don't have the form with the shape of arrows because this form carriers in itself a sign of violence, this year the loaves had the shape of a "cuddura" (donut-shaped), as is the case for the San Leonardo holiday, celebrated in the other fraction of Mongiuffi, opposite of Melia.

 

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il 10 giugno 1940, dal balcone di Palazzo Venezia in Roma, sede del Gran Consiglio del fascismo, il Duce Benito Mussolini annuncia agli Italiani l'ingresso in guerra dell'Italia a fianco della Germania nazista; già da subito Mussolini si pone come obiettivo militare quello di avere un nemico da sconfiggere per poter avviare la cosiddetta "guerra parallela" alla Germania (l'Italia avrebbe combattuto sì con gli alleati tedeschi, ma perseguendo obiettivi autonomi ed indipendenti); il Duce infatti, voleva dimostrare a Hitler (che prendeva le decisioni sull’andamento della guerra senza preventivamente consultarlo) che l'Italia doveva essere considerata potenza militare, politica ed economica di uguale importanza a quella tedesca, quindi per poter raggiungere tale scopo, aveva bisogno di un avversario militarmente alla sua portata, questo avversario sembrava essere la Grecia in quanto era geograficamente vicina, sembrava avere forze armate deboli, una classe politica poco disposta a battersi ed una popolazione poco interessata agli eventi nazionali, ma l'avventato attacco si rivelò essere un grave errore militare con pesanti conseguenze. Questo lo scenario che fa da sfondo ad un gruppo di militari Siciliani catapultati sul fronte Greco, giovani soldati i quali subito si rendono conto dell'imperante disorganizzazione militare, la loro vita appare appesa ad un filo...un Santo a cui votarsi forse c'è...si autotassano per finanziare la costruzione della vara di San Sebastiano, Santo Protettore della frazione di Melia del comune di Mongiuffi Melia (Messina), forse (il dato non è certo) l'idea della vara è del caporale Cingari originario di Melia, chiedendo così protezione ed aiuto a S.Sebastiano, Santo Protettore invocato contro la peste (esiste una peste meno grave della Guerra ?!); i partecipanti alla colletta inseriscono i loro nomi all'interno di una teca in argento recante a sbalzo l'effigie del Regio Esercito, se moriranno resterà almeno una traccia della loro vita terrena, in più collegata al Santo. Viene realizzata questa particolare vara col Santo che sembra eseguire il saluto militare, sulla base della vara è scritto " I FANTI DELLA 1a COMP. E UFFICIALI DEL 3° REGG.FANT. "PIEMONTE" COMBATTENTI NELL'ANNO 1940 AL FRONTE GRECO DEVOTI OFFRIRONO".

Questo è un breve e lungo report sulla festa tradizionale che il borgo di Melia compie in onore del suo Santo Patrono San Sebastiano, portando in processione quella vara che fu così ardentemente voluta da quei militari Siciliani in quelle ore tetre e buie della nostra recente storia.

Una curiosità, ogni anno in occasione della processione vengono distribuite alla popolazione delle pagnotte a forma di frecce (a ricordare il 1° martirio del Santo Bimartire), quest'anno il sacerdote Padre Di Bella ha espresso il desiderio di non dare quelle fattezze al pane poichè portatrici in sè di un segno di violenza, quindi i pani hanno avuto la forma a "cuddura" (a ciambella), analogamente a quanto avviene per la festa di San Leonardo, festeggiato nell'altra frazione di Mongiuffi, dirimpettaia di Melia (entrambi i borghi formano il comune siculo di Mongiuffi Melia).

 

This Mecha is piloted by one pilot, safe inside the main body of the robot. It has humanoid like appearance and features: 2 arms, 2 hands, 2 legs, 2 foots, a body, and an head. The head accommodate computers, sensors, 4x TOW missile launchers and support systems. The body accomodate commands for every parts of the mecha. His body is heavy armoured, to resist the majority of the modern weapons. Thank's to his articulated hands and arms, the mecha can take up and use up scaled firearms and objects. A wide range of wepons can be used, in this case an up scaled heavy machine gun.

TROMBA CASCO DELLA GUARDIA RAIL ESERCITO Ducato di Parma, 1849-1854, IN GRAN TENUE.1849-1854, aziende Parma o Piacenza (Piacenza).

 

Gli elmi delle Guardie-Corpo furono modellati sui modelli prussiani di cavalleria pesante e persino alcuni furono acquistati direttamente in Prussia.

Questi caschi non sono più usati dopo il 1854, sono sostituiti da un cappello.

Dopo l'assassinio del duca Carlo III, quando la vedova duchessa Maria Luisa di Borbone, per conto del principe duca Roberto 1 minore, ha deciso di restituire a Parma il gusto uniforme e più di moda austriaco. L'elmetto cade in disuso a vantaggio di un cappello a forma di austriaco.

 

Le Guardie del Corpo furono organizzate su 3 compagnie: Parma, Piacenza e Valtarese. Quest'ultima società ha avuto più assimilati corpo uniforme montato per l'esercito, non un pesante aziende speciali di cavalleria come Parma e Piacenza che erano, a loro volta, la tunica rossa, pantaloni bianchi e la pelle gli stivali pesanti delle guardie dei corpi prussiani, così come l'elmo di corazza di tombac (e, come esperimento, una corazza dello stesso!). L'elmo di Valtarese era quindi realizzato in pelle bollita con accessori in ottone e puntato, sempre nello stile prussiano.

 

Bombe di rame, orlo della visiera e archetto da collo, bottoni rivetti, base a punta e placca in argento nickel.

 

Visiera verde laccata all'interno (parzialmente scheggiata), il bangle in argento nickel è a cavallo del bordo esterno.

 

La nuca interna di seta nera del tipo ufficiale.

 

Nichel piatto d'argento raffigurante uno scudo rotondo colpito nel centro cifra ducale: tre gigli circondati da una prima stampata sporgente stampaggio in rilievo ornamenti e un secondo con il motto: "DEUS E STAMPI CIII" heraldry è sormontato dalla corona reale, tutto contro un sole radioso.

Il modello originale delle Guardie del corpo non porta un piatto, qui il piatto è il modello base della fanteria con il motto del duca Carlo III "Deus and Dies".

I fissaggi della piastra con viti e dadi corrispondono a quelli trovati in altri caschi con punta Parma per lastre di questo tipo. Questo piatto può caratterizzare un casco a tromba.

 

Jugulars composti da stemmi in ottone con filetti sporgenti e chinrest in pelle ricoperti di scaglie tagliate a festone e curve.

 

Ribbon non è quella degli altri corpi dell'esercito di Parma, è del tutto rosso come targhette utilizzate a Parma dal Duca di House, che è logico per Gardes du Corps.

 

Bomba sormontato una punta alpacca fissato su una base a forma di fiore divisoria da rivetti quattro rame forma giglio tipica del Ducato di Parma (forma diversa rispetto alla Francia e Napoli, ma anche in Spagna) .

 

La punta si conclude con una criniera di criniera bianca sembra identificare elemento trombe mai visto su un taglio di capelli come questo per Parma

 

interno Cap pelle nera in gran parte assente.

 

Buone condizioni

 

Italia, Ducato di Parma.

 

Regno del duca Carlo III, 1849 - 1854.

  

DOCUMENTO:

Un documento scritto a mano che accompagna l'auricolare è collegato, si riferisce ad un evento riguardante Anviti, colonnello generale e comandante dell'esercito, dopo la morte del Duca, e la popolazione non amato come favorito Duke (assassinato nel 1854) e considerato un reazionario molto duro. Dopo la caduta del Ducato è scappato fuori dei confini, ma ha preso un treno per retravreser il territorio del Ducato e andare altrove, e nel corso di una stazione di smettere di Parma è stato riconosciuto, picchiato, bussò con violenza, portato in città, decapitato e poi trascinato per tutta la città in uno stato "concini" per così dire ...

 

NOTA:

Trombe erano in numero di due, non sono stati considerati come semplici guardie (il Corpo di Guardia, come per le case militari di Borbone aveva il rango di luogotenenti come rango equivalente nell'esercito) ma aveva più status di ufficiale che può giustificare le varianti incontrate: placca, finitura interna, elmi di criniera per ufficiali superiori del corpo di Parma.

Attualmente sono noti solo cinque elmetti: due in una collezione privata di Parma, uno in un castello della provincia di Piacenza, l'altro nel museo storico della stessa città; e il casco presentato qui.

 

Iconografia:

Riproduciamo tre piatti del signor Cenni e un quarto piatto di Cenni vicino alla collezione NYPL Vinkhuijzen. Questo autore mostra diverse analisi delle uniformi secondo gli archivi.

 

CREDITI:

L'identificazione e la ricerca storica d'archivio per questo casco sono stati eseguiti da due esperti e autore dell'esercito italiano, noti per la loro competenza e serietà, sempre a disposizione le conoscenze e poche informazioni avaro. A loro dobbiamo questo foglio che rappresenta un'opera, mai spinto a questo punto di dettaglio su questo argomento. Ringrazio pertanto con tutta la mia considerazione i signori Massimo FIORENTINO e Mario ZANNONI.

 

CASQUE DE TROMPETTE DES GARDES-DU-CORPS DE L'ARMÉE DU DUCHÉ DE PARME, 1849-1854, EN GRANDE TENUE.1849-1854, compagnies de Parme ou de Piacenza (Plaisance).

 

Les casques des Gardes-du-Corps étaient calqués sur les modèles prussiens de cavalerie lourde et même, certains étaient achetés directement en Prusse.

Ces casques ne sont plus utilisés après 1854, ils sont remplacés par un chapeau.

Après l’assassinat du Duc Charles III, lorsque la duchesse douairière Louise-Marie de Bourbon, au nom du prince le duc Robert 1er, encore mineur, décida de redonner aux uniformes de Parme un goût et une mode plus autrichienne. Le casque tombe en désuétude au profit d’un chapeau de forme autrichienne.

 

Les Gardes du Corps étaient organisées sur 3 compagnies : Parme, Piacenza et Valtarese. Cette dernière compagnie avait un uniforme plus assimilable aux corps montés de l’armée, et non pas à une spécialité de cavalerie lourde, comme les compagnies de Parme et Piacenza qui portaient, quant à elles, la tunique rouge, les culottes blanches de peau et les bottes fortes des Gardes du Corps prussiens, ainsi que le casque de tombac de cuirassier (et, à titre expérimental, une cuirasse de même !). Le casque du Valtarese était donc en cuir bouilli avec accessoires en laiton, et à pointe, toujours à la prussienne.

 

Bombe en cuivre, jonc de cerclage de la visière et du couvre-nuque, boutons de rivure, embase de la pointe et plaque en maillechort.

 

Visière laquée vert à l’intérieur (en partie écaillée), le jonc en maillechort plié à cheval sur la bordure extérieure.

 

Couvre-nuque côté intérieur en soie noire du type des officiers.

 

Plaque en maillechort représentant un blason rond frappé en son centre du monogramme ducal : trois fleurs de lys entourées d'une première moulure saillante estampée en relief de fleurons, puis d'une seconde portant la devise : « DEUS ET DIES CIII», le blason est surmonté de la couronne royale, le tout posé sur un soleil rayonnant.

Le modèle d'origine des Gardes-du-Corps ne porte pas de plaque, ici plaque est du modèle de base d’infanterie avec la devise du Duc Charles III « Deus et Dies ».

Les fixations de la plaque par visses et dés correspondent à celles constatées dans les autres casques à pointe de Parme pour les plaques de ce type. Cette plaque peut caractériser un casque de trompette.

 

Jugulaires composées de rosaces en laiton à fillets saillants, et, de mentonnières en cuir recouvertes d’écailles découpées en feston et bombées.

 

Cocarde n’est pas celle des autres corps de l’armée de Parme, elle est entièrement rouge comme les cocardes utilisées à Parme par la Maison du Duc, ce qui est logique pour les Gardes-du-Corps.

 

Bombe surmontée d'une pointe en maillechort fixée sur une embase de forme de fleur fixée par quatre rivets en cuivre en forme de fleur de lys typiques du duché de Parme (forme différente par rapport à France et Naples, mais aussi à l’Espagne).

 

La pointe se termine par une crinière en crins blancs qui semble identifier les trompettes, élément jamais vu sur une coiffure de ce type pour Parme

 

Coiffe intérieure en cuir noir en grande partie absente.

 

Bon état.

 

Italie, Duché de Parme.

 

Règne du Duc Charles III, 1849 - 1854.

  

DOCUMENT :

Un document manuscrit accompagnant le casque est joint, il fait allusion à un évènement qui concerne Anviti, colonel et comandant général de l’armée après la mort du Duc, et mal aimé de la population, car favori du Duc (assassiné en 1854) et considéré comme un réactionnaire très dur. Après la chute du duché il s’échappa en dehors des frontières, mais il prit un train pour retravreser le territoire du duché et se rendre ailleurs, et lors d’un arrêt en gare de Parme fut reconnu, battu, frappé très violemment, porté dans la ville, décapité et puis trimbalé dans toute la ville dans un état « à la concini » pour ainsi dire…

 

NOTE :

Les trompettes étaient au nombre de deux, ils n’étaient pas considérés comme de simples gardes (les Gardes-du-Corps comme pour les maisons militaires des Bourbons avaient le rang de sous-lieutenants, comme équivalence de grade dans l’armée), mais avaient plus le statut d'officier ce qui peut justifier les variantes rencontrées : plaque, finition intérieure, crinière des casques pour officiers supérieurs des corps de Parme.

Seuls cinq casques semblent actuellement connus : deux dans une collection privée de Parme, un dans un château de la province de Plaisance, l’autre au musée historique de la même ville,; et le casque présenté ici.

 

ICONOGRAPHIE :

Nous reproduisons trois planches de monsieur Cenni, et une quatrième planche de Cenni auprès de la NYPL collection Vinkhuijzen. Cet auteur montre différente analyse des uniformes selon les archives.

 

REMERCIEMENTS :

L'identification et les recherches historiques en archives pour ce casque ont été réalisée par deux auteur et grands spécialistes de l'armée italienne, reconnus pour leur compétences et leur sérieux, toujours à la disposition du savoir et peu avares d'informations . Nous leur devons cette fiche qui représente un travail, encore jamais poussé à ce point de détail sur ce sujet. Je remercie donc avec toute ma considération messieurs Massimo FIORENTINO et Mario ZANNONI.

CASQUE ET CUIRASSE D'OFFICIER DE CARABINIERS, MODÈLE 1810, PREMIER EMPIRE.

Ancienne collection Raoul et Jean Brunon.

 

CASQUE

Casque présenté par Jean Brunon dans les fiches techniques publiées dans la revue Uniformes, sous la référence FCa2 dans laquelle il décrit le casque de sa collection de la manière suivante :

« Napoléon décida de cuirassement des deux régiments de carabiniers, les modèles de casque et de cuirasse étant plus riches que ceux des cuirassiers. Pendant la campagne de 1809, ils firent auprès de l'Empereur, le service de la Garde impériale avant son retour d'Espagne. À Landshut, Eckmühl et Ratisbonne, Napoléon remarqua l'inefficacité des bonnets d'ourson contre les coups de sabre. Après Wagram, sa décision prise, l'Empereur signa le décret d'attribution de l'armure le 24 décembre 1809 malgré les réticences des deux régiments qui y virent une critique à leur conduite pourtant toujours exemplaire, d'autant qu'ils regrettaient le remplacement au même moment de leur habit bleu foncé par l'habit blanc.

Le casque d'officier, toujours plus riche, avait la bombe en cuivre doré (ou rouge non doré), le bandeau, les jugulaires et les rosaces en cuivre argenté ainsi que les garnitures de la visière et du couvre-nuque. Le N couronné toujours uni était lui-même plus petit que celui de la troupe (le N du Second Empire, plus grand et strié, a parfois été ajouté sur certains casques dont le N d'origine avait été retiré en 1814). Cimier en cuivre doré très étroit et orné. Glands de jugulaires en fil d'argent. Ces casques sont d'autant plus rares qu'ils ont été portés moins de 4 ans.»

 

Le casque est entièrement en laiton doré à l'exception des deux bandeaux, des jugulaires et des joncs de visière et couvre-nuque qui sont en cuivre argenté. Bombe de forme à la minerve, assez haute et penchée vers l'arrière. H 14 cm. Elle est composée de deux demi-coques soudées entre elles sur leur sommet, la jointure est recouverte d'une baguette de laiton de 5 mm de large.

Visière formant une pointe en son centre, largeur 6 cm, bordée d'un jonc en cuivre argenté plié à cheval sur la bordure extérieure (largeur 7 mm). Ce jonc est riveté par 4 clous en cuivre argenté. La visière est doublée de maroquin ciré vert.

Couvre-nuque pareillement cerclé à la visière, jonc fixé par 2 clous (largeur 6 mm).

Bandeau avant en cuivre argenté bordé dans sa partie supérieure d'une double moulure saillante dont le centre est strié (largeur de la double moulure 8,5 mm), en son centre le bandeau forme une pointe où la moulure vient s'enrouler sur elle-même en forme de goutte ; elle est surmontée d'une palmette sur laquelle une vis en laiton doré à tête conique vient se placer pour fixer le bandeau. Dans sa partie basse le bandeau n'a pas de moulure, il forme une pointe en son milieu. H du bandeau sur les côtés 2,5 cm, H en son centre 11 cm. De chaque côté, le bandeau est estampé en relief de fines volutes, le dessin de ces volutes caractérise les casques authentiques (sur les copies, les dessins sont différents ou plus grossiers). En son centre est riveté un « N » (H 2,1 cm, largeur 1,9 cm), surmonté de la couronne impériale (H 2,7 cm, largeur 2,7 cm).

Bandeau arrière en cuivre argenté bordé dans sa partie supérieure d'une double moulure saillante. H sur les côtés 2,7 cm, H en son centre 3,7 cm.

Cimier composé de deux ailerons et d'un masque en laiton. Chaque aileron présente un triangle curviligne, dont la base se raccorde avec la bombe au moyen d'un rebord festonné, de 1 à 1,6 cm, orné de petites godrons. Les ailerons sont estampés en relief d'un encadrement en feuilles d'acanthe et au milieu de branches de laurier nouées par des rubans, au centre une suite décroissante vers l'arrière de neuf godrons séparés entre eux par des feuilles d'eau sur fond sablé. Chaque aileron est fixé à la bombe au moyen de quatre vis en fer en laiton doré à tête conique. H maxi des ailerons 14 cm. Masque soudé aux deux ailerons, bordé d'une moulure saillante et d'un ruban strié (largeur en partie haute 2,2 cm, largeur au centre 2 cm) ; sa base est évasée, il est encadré de palmes (largeur 3,8 cm). À l'origine ce cimier se prolonge jusqu'au sommet du bandeau où il vient se fixer en dessous. En partie haute du cimier une vis avec tête à ailettes vient fixer la chenille, tout comme sur l'aileron de droite.

Chenille en crins écarlates montée sur une tige en fer (diamètre à l'arrière 6 cm, diamètre à l'avant 15 cm) ; elle dépasse du cimier d'environ 10 cm.

Jugulaires composées d'une mentonnière en cuir gainé de velours noir terminée par des cordonnets en passementerie d'argent, recouverte d'une suite de 17 écailles en cuivre argenté découpées alternativement en quatre et trois festons ; l'avant dernière écaille est découpé en deux et la dernière en un seul. Longueur apparente des mentonnières 14 cm, largeur maxi 5,7 cm, largeur mini 1,7 cm. Rosace en cuivre argenté découpé et estampé en relief d'un soleil rayonnant (H 6,7 cm, largeur 8 cm) ; au centre est fixée une étoile à cinq branches en laiton de 2,6 cm de diamètre.

Coiffe intérieure en basane découpée en sept dents de loup.

 

Très bon état, dorure de la bombe, de la visière et du couvre-nuque en partie absente, argenture du bandeau frottée sur les reliefs, joncs de la visière et du couvre-nuque frottés sur leurs extrémités, jonc de la visière fendu sur sa partie gauche, cimier ayant gardé sa dorure, base du masque absente, coiffe intérieure fatiguée avec manques et déchirures.

 

CUIRASSE

La cuirasse de troupe pour les Carabiniers est décrite par un texte daté de juin 1811 conservé aux archives de l'artillerie :

« CARABINIERS. Les devants (plastrons) se font avec de la tôle d'Allemagne corroyée qui se lamine à Sedan. Chaque feuille a 36 pouces (cm 97,5) de longueur, 18 pouces (cm 48,7) de largeur et une épaisseur de 10 à 11 points (cm 0,19 à 0,21) qui se réduit de 9 à 10 (cm 0,17 à 0,19). Une feuille donne deux devants et pèse de 15 à 15 1/2 livres (kg 7,33 à 7,58).»

« Les dos (dossières) se font en tôle de fer. La feuille pour ces dos a 36 pouces (cm 97,5) de longueur, 18 pouces (cm 48,7) de largeur et une épaisseur de 9 à 10 points (cm 0,17 à 0,19) qui se réduit à 8 & 9 (cm 0,15 à 0,17). Une feuille donne deux dos et pèse de 14 à 15 livres (kg 6,84 à 7,33).»

« Les feuilles de cuivre jaune qui s'appliquent sur les cuirassent viennent de Stolbert ou de Namur. Chaque feuille a 46 pouces (cm 124,5) de long° et 4 points (cm 0,07) d'épaisseur et pèse 7 1/2 à 8 livres (kg 3,67 à 4,11) ; une feuille donne trois morceaux, soit pour les devants, soit pour les dos. °largeur 16 pouces (cm 47,8).»

« Ici se placent les conditions techniques de fabrication, étamage et soudure. On se contentera d'indiquer que la feuille de cuivre est fixée à celle de tôle par un petit rivet de cuivre placé à chaque angle, quatre sur le plastron et quatre sur la dossière.»

« Les épaulières se font comme à la cuirasse des cuirassiers, excepté qu'elles sont doublées en basane noire au lieu de l'être en drap et qu'elles sont recouvertes, chacune, de deux chaînettes plates en cuivre, au lieu de l'être avec des écailles. Les courroies sont en cuir noir de vache. Toutes les cuirasses de carabiniers sont de première grandeur. La cuirasse achevée pèse 15 1/2 livres à 16 livres (kg 7,58 à 7,82).»

 

À partir de cette description du modèle de troupe, ajoutons les éléments suivants spécifiques à la cuirasse d'officier.

Les feuilles en laiton sont soit dorées soit, comme c'est ici le cas, en cuivre dit "cuivre rouge". Chacune est plaquée à la partie en acier au moyen de quatre rivets en laiton à tête bombée.

Un ornement de forme ronde en métal argenté, représentant un soleil rayonnant avec en son centre une étoile à cinq branches (diamètre 2,9 cm) en laiton doré bourré à l'étain à l'arrière, rapportée, est fixé au centre du plastron en partie haute (entre les épaulières). Sur cet exemplaire, le soleil est en argent (H 10,8 cm, largeur 10,5 cm ; cette différence s'explique parce que le soleil est légèrement bombé pour s'adapter au busc de la cuirasse).

Le plastron forme une pointe avec un léger busc (arrondi pour la troupe).

Une plate-bande de 2,3 cm de largeur, non recouverte de cuivre, qui encadre le pourtour du plastron et la dossière est garnie par 34 rivets de laiton à tête bombée sur chaque partie.

En partie basse, une ceinture en cuir (H 2,8 cm) recouverte de maroquin ciré rouge (couleur devenue marron), brodée en haut et en bas d'une baguette en passementerie d'argent (usage) fixée à la dossière de chaque côté par deux vis en laiton permet de solidariser le plastron à la dossière. Cette ceinture ferme au moyen d'une boucle en laiton de forme ovale (H 4,1 cm, largeur 4,6 cm). Les deux parties de la cuirasse sont bordées d'un bourrelet en acier de 9 mm de large. Deux tétons sont placés à l'avant du plastron pour permettre l'accroche des serrures des épaulières.

Les épaulières sont en cuir recouvert de drap rouge (largeur 5 cm) et bordées de chaque côté d'un galon d'argent (largeur 1 cm). En partie haute, une patte en métal argenté fixe l'épaulière à la dossière au moyen de trois grosses vis plates. Cette patte est recouverte d'une tête de lion en laiton argenté estampé en relief (H 6 cm, largeur 5,4 cm). La partie en cuir est recouverte d'une double chaînette (sur certains exemplaires ces chaînettes sont au nombre de trois) en métal argenté composée d'anneaux entrelacés (diamètre des anneaux 1,6 cm). Ces épaulières se terminent en partie basse par des serrures en métal argenté découpé en festons à leurs extrémités et estampé en relief d'une tête de lion (H totale des serrures 11,3 cm, H de la tête de lion 6,3 cm, largeur maxi. 5,3 cm). En partie haute ces serrures sont rattachées à l'épaulière par deux rivets en laiton à tête bombée (diamètre 1,3 cm) et en partie basse par deux autres rivets en laiton à tête bombé de diamètre plus petit, 9 mm, fixant une patte en forme de coeur (H 5,8 cm, largeur 5,3 cm) en cuir recouvert de maroquin ciré rouge bordé d'une baguette brodée en passementerie d'argent.

 

Très bon état de conservation, accidents à la ceinture avec usure d'usage et remplacement du cuir sur une longueur de 9,5 cm.

 

ÉPAULETTES

Paire d'épaulettes de colonel en passementerie d'argent, corps tissé en cul de dé, tournantes et franges à grosses graines dites d'épinard, corps doublé de drap bleu foncé.

 

Bon état.

 

France.

 

Premier Empire.

 

NOTE :

Casque : les casques de Carabiniers du Premier Empire sont rares. Si les exemplaires de troupe existent encore en quelques exemplaires, les modèles d'officiers sont pratiquement introuvables. Ils ont tous été modifiés en 1814 puis, lors de la Seconde Restauration, ils ont été transformés car versés au Carabiniers de Monsieur. La collection Raoul et Jean Brunon possédait trois casques d'officiers de Carabiniers du Premier Empire :

- l'exemplaire ici présenté, le plus exceptionnel, est conservé dans son état d'origine avec N et couronne intacts,

- un exemplaire vendu en 1966 au Musée de l'Armée, modifié en 1814 puis pour la période des Cent Jours avec N et couronne remplacés par une bombe enflammée en laiton doré,

- un exemplaire modifié en 1815-1816 pour les Carabiniers de Monsieur avec N et couronne remplacés par un motif en laiton aux Armes de Monsieur.

Il existe en collection privée un bandeau seul en argent avec chiffres impériaux d'origine, le Musée de l'Armée possède lui aussi un casque d'officier.

Cuirasse : il existe deux types de cuirasses d'officiers. Un modèle assez luxueux avec plaques en laiton doré encadrées de filets en relief avec des épaulières plus riches à trois gourmettes, tête de lion d'un dessin différent et serrures richement ornementées en relief de feuilles de chêne et de laurier. Un modèle plus rustique, probablement pour le combat, avec plaques en cuivre et épaulières à deux chaînettes et serrures moins ouvragées, sur le modèle des épaulières de cuirasses d'officiers de Cuirassiers à la fin de l'Empire. Ce deuxième type de cuirasses est employé probablement à la toute fin de l'Empire, souvent représentée dans l'iconographie d'époque, elle n'en demeure pas moins la plus rare des deux exemplaires. L'exemplaire de l'ancienne collection Brunon est l'un des rares, pour ne pas dire le seul, exemplaires connus.

 

PROVENANCE :

Cet ensemble casque et cuirasse provient de l'ancienne collection Raoul et Jean Brunon, il a été acheté entre 1919 et 1938 par Jean Brunon, célèbre collectionneur.

Le 26 janvier 1935, dans le numéro 4795 de la célèbre revue L'ILLUSTRATION, le général Brécard consacre un article de quatre pages en couleurs consacré à « La collection Brunon ». En photos de titre, sont représentés cinq ensembles et cuirasses du Premier Empire et de l'Ancienne Monarchie dont un ensemble d'officier de Carabiniers Premier Empire avec le casque ici présenté (la cuirasse est du modèle de luxe vendue au Musée de l'Armée en 1966).

En 1966, ce casque est inventorié par Jean Brunon dans le document "Inventaire chiffré de la collection « Histoire par l'objet des armées françaises depuis 1700 » des Archives et Collections Raoul et Jean Brunon", en page 65 : « Casque et cuirasse d'officier de Carabiniers, Premier Empire. Très bel ensemble, rarissime ».

« Casque et cuirasse, idem, 1815.» Ce second ensemble a été vendu au Musée de l'Armée en 1967, c'est celui dont le casque a été modifié en 1815 avec grenade sur le bandeau ; il est aujourd'hui présenté sur un mannequin au Château de l'Empéri, à Salon-de-Provence.

En 1967, lors de la vente de la collection au Musée de l'Armée, Monsieur Brunon conserve une sélection d'objets dont cet ensemble qui y est mentionné en page 2.

Suite au décès de Monsieur Jean Brunon en 1983, sa collection est divisée entre ses trois enfants : Anne, Paul et Raoul (conservateur à l'époque du Musée de l'Empéri). C'est Paul Brunon qui hérite de l'ensemble d'officier de Carabiniers Premier Empire, il le vend à l'antiquaire parisien Charles Marchal en février 1983 (casque et cuirasse d'officiers de Cuirassiers Premier Empire, casque d'officier de Dragons Premier Empire, casque d'officier de Dragons de la Garde modèle 1804). Un document certifié par Raoul Brunon en atteste.

Monsieur Guy Kaufmann acheta cette année-là l'ensemble d'officier de Cuirassiers, le casque d'officier de Dragons de la Ligne et l'ensemble d'officier de Carabiniers de l'ancienne collection Brunon à Charles Marchal.

CARABINIERI DELL'UFFICIO DI CUOIO E DEL PELLE, MODELLO 1810, PRIMO IMPERO.

L'ex collezione Raoul e Jean Brunon.

 

ELMETTO

Casco presentato da Jean Brunon nelle schede tecniche pubblicate sulla rivista Uniformes, sotto riferimento FCa2 in cui descrive il casco della sua collezione come segue:

"Napoleone decise di armare i due reggimenti di carabinieri, i modelli di elmo e corazza erano più ricchi di quelli dei corazzieri. Durante la campagna del 1809, fecero la guardia imperiale con l'imperatore prima del suo ritorno dalla Spagna. A Landshut, Eckmühl e Ratisbona, Napoleone notò l'inefficacia dei ponchief contro i colpi di sciabola. Dopo Wagram, presa la sua decisione, l'imperatore firmò il decreto di assegnazione dell'armatura il 24 dicembre 1809 nonostante la riluttanza dei due reggimenti che videro una critica del loro comportamento pur sempre esemplare, soprattutto in quanto si pentirono del sostituendo allo stesso tempo il loro cappotto blu scuro con il cappotto bianco.

L'elmetto dell'ufficiale, sempre più ricco, aveva la bomba di rame dorato (o rosso non dorato), la bandeau, le gugulars e le rosette placcate in argento, oltre al rivestimento della visiera e del cinturino. Il N incoronato sempre unito era di per sé più piccolo di quello della truppa (il Secondo Impero N, più grande e striato, a volte veniva aggiunto su alcuni elmetti il ​​cui N originale era stato rimosso nel 1814). Crest rame dorato molto stretto e adornato. Nappe di jugulars in filo d'argento. Questi caschi sono ancora più rari che siano stati indossati da meno di 4 anni. "

 

Il casco è interamente in ottone dorato con l'eccezione di due fasce per la testa, cinturini e cinturini per visiera e poggiatesta in rame argentato. Forma una bomba al collo, abbastanza alta e inclinata all'indietro. H 14 cm. È composto da due semigusci saldati insieme sulla loro parte superiore, il giunto è coperto da un'asta di ottone larga 5 mm.

Visiera che forma una punta al centro, larghezza 6 cm, rivestita con una curva in rame argentato piegata a cavallo del bordo esterno (larghezza 7 mm). Questo anello è rivettato da 4 chiodi in rame argentato. La visiera è foderata di marocchino cerato verde.

Anche la nuca del collo ha cerchiato in modo simile la visiera, anello fissato da 2 chiodi (larghezza 6 mm).

Fascia in rame placcato argento foderata nella parte superiore di un doppio stampo sporgente il cui centro è striato (larghezza del doppio stampaggio 8,5 mm), al centro l'archetto forma un punto in cui lo stampaggio si avvolge su di esso - anche sotto forma di una goccia; è sormontato da una palmetta su cui è fissata una vite in ottone dorato con testa conica per fissare l'archetto. Nella sua parte inferiore la fascia non ha modanature, forma un punto nel mezzo. H della fascia sui lati 2,5 cm, H al centro 11 cm. Su ciascun lato, la fascia è stampata a rilievo di fini volute, il disegno di queste volute caratterizza gli autentici elmetti (sulle copie, i disegni sono diversi o più grossolani). Al centro è fissata una "N" (H 2,1 cm, larghezza 1,9 cm), sormontata dalla corona imperiale (H 2,7 cm,

Fascia in rame placcato argento bordata nella parte superiore da una doppia modanatura sporgente. H sui lati 2,7 cm, H al centro 3,7 cm.

Cresta composta da due pinne e una maschera di ottone. Ogni aletta ha un triangolo curvilineo, la cui base si collega alla bomba per mezzo di un bordo smerlato, da 1 a 1,6 cm, ornato da piccoli galdoni. Le alette sono impressi in rilievo di un telaio in foglie di acanto e nel mezzo di rami di alloro legati con nastri, al centro una successione decrescente posteriormente nove godrons separati l'uno dall'altro da strati di acqua sul fondo shortbread. Ogni aletta è attaccata alla bomba tramite quattro viti in ottone placcato oro con una testa conica. Alette H max 14 cm. Maschera saldata alle due pinne, bordata da una modanatura sporgente e un nastro a coste (larghezza nella parte superiore 2,2 cm, larghezza al centro 2 cm); la sua base è svasata, è fiancheggiata da palme (larghezza 3,8 cm). Al origine questa cresta si estende alla parte superiore della banda in cui è fissato sotto. Nella parte superiore della cresta una vite con testa alata viene a riparare il bruco, proprio come sull'ala destra.

Bruco scarlatto montato su un'asta di ferro (diametro posteriore di 6 cm, diametro anteriore di 15 cm); supera la cresta di circa 10 cm.

Jugulars composti da un sottogola di cuoio nero rivestito di velluto, terminato con corde fatte di rifiniture argentate, coperto da una serie di 17 scaglie di rame argentato tagliate alternativamente in quattro e tre festoni; la penultima scala viene tagliata in due e l'ultima in uno. Lunghezza apparente della mentoniera 14 cm, larghezza massima 5,7 cm, larghezza minima 1,7 cm. Rosone in rame argentato intagliato e stampato a rilievo di un sole radioso (H 6,7 cm, larghezza 8 cm); al centro è una stella a cinque punte in ottone di 2,6 cm di diametro.

Cappuccio interno fatto di pelle di pecora incisa in sette denti di lupo.

 

Ottimo stato, doratura della bomba, la guardia visiera e il collo in parte assente, argentatura fascia strofinato sulla rilievi, si precipita della guardia visiera e collo strofinato sulla loro estremità correre la visiera incrinato sul suo lato sinistro, la cresta ha mantenuto la sua doratura, la base della maschera assente, il copricapo interno stanco con lacune e lacrime.

 

CUIRASSE

L'armatura di una truppa per i Carabinieri è descritta da un testo del giugno 1811 conservato negli archivi dell'artiglieria:

"CARABINIERS. I fronti (plastron) sono fatti di lamiera ondulata tedesca che lecca in Sedan. Ogni foglia è lunga 36 pollici (97.5 cm), larga 18 pollici (cm 48.7) e spessa 10-11 punti (da 0,19 a 0,21 cm) che viene ridotta da 9 a 10 ( cm 0,17 a 0,19). Una foglia dà due fronti e pesa da 15 a 15 1/2 libbre (da kg 7,33 a 7,58). "

" Gli schienali (dorsi) sono fatti di lamiera. Il foglio per la schiena 36 pollici (97,5 cm), 18 pollici (48,7 centimetri) di larghezza e uno spessore di 9 a 10 punti (da 0,17 a 0,19 centimetri) che si riduce a 8 & 9 (da 0,15 a 0,17 cm). Una foglia dà due dorsi e pesa da 14 a 15 libbre (da kg 6,84 a 7,33). "

"Le foglie di rame gialle che si applicano ai corazzi provengono da Stolbert o Namur. Ogni foglia misura 46 pollici (cm 124,5) di lunghezza e 4 punti (cm 0,07) di spessore e pesa da 7 1/2 a 8 libbre (da 3,67 a 4,11 kg); una foglia dà tre pezzi, sia per la parte anteriore che per quella posteriore. ° larghezza 16 pollici (cm 47,8). "

" Ecco le condizioni tecniche di produzione, stagnatura e saldatura. Basterà indicare che il foglio di rame è fissato a quello della lamiera con un piccolo rivetto di rame posto ad ogni angolo, quattro sul piastrone e quattro sul carapace. "

"Le spalline sono come la corazza della corazzieri, eccetto che sono allineati in montone nero invece di essere in lamiera e sono coperti, ciascuna delle due catene di lastre di rame, anziché essere con le scale. Le cinture sono in pelle di mucca nera. Tutte le corazze dei carabinieri sono di prima grandezza. La corazza completata pesa 15 1/2 libra a 16 libbre (kg 7.58 a 7.82). "

 

Basato su questa descrizione del modello di truppa, aggiungiamo i seguenti elementi specifici alla corazza dell'ufficiale.

Le foglie di ottone sono dorate o, come nel caso qui, in rame noto come "rame rosso". Ciascuno è rivestito con la parte in acciaio mediante quattro rivetti in ottone.

Un ornamento di forma rotonda in metallo argentato, che rappresenta un sole radioso con al centro una stella con cinque rami (diametro 2,9 cm) di ottone dorato ripieno di stagno sul retro, riportato, è fissato al centro del piastrone nella parte superiore (tra le spalline). Su questa copia, il sole è argento (H 10,8 cm, larghezza 10,5 cm, questa differenza è spiegata perché il sole è leggermente ricurvo per adattarsi al busto della corazza).

Il piastrone forma un punto con un busto leggero (arrotondato per la truppa).

Un rivestimento di 2,3 cm di larghezza, senza rivestimento in rame, che circonda il perimetro della corazza e del carapace, è rifinito con 34 rivetti in ottone a cupola su ciascun lato.

Nella parte inferiore, una cintura di pelle (H 2,8 cm) ricoperta di marocchino cerato rosso (colore marrone), ricamata nella parte superiore e inferiore di una baguette di guarnizioni d'argento (uso) attaccata sul retro di ciascuna il lato da due viti d'ottone permette di fissare la piastra frontale alla parte posteriore. Questa cintura si chiude con una fibbia ovale in ottone (H 4,1 cm, larghezza 4,6 cm). Le due parti della corazza sono rivestite da un cordone d'acciaio largo 9 mm. Due nippli sono posizionati nella parte anteriore del piastrone per consentire la presa delle serrature delle spalline.

Le spalle sono rivestite in pelle con un panno rosso (larghezza 5 cm) e foderate su ogni lato con una treccia d'argento (larghezza 1 cm). Nella parte superiore, una staffa metallica argentata attacca la spallina sul retro dell'auto con tre grandi viti piatte. Questo anellino è coperto da una testa di leone in ottone argentato (H 6 cm, larghezza 5,4 cm). La porzione di pelle è ricoperta da una doppia catena (catene alcune copie questi sono in numero di tre) di metallo argento composto anelli di collegamento (diametro anello 1,6 cm). Queste pastiglie sono terminate inferiormente da serrature metallo argento tagliata a pettini alle estremità e stampata in rilievo di una testa di leone (totale H blocca 11,3 cm, H della testa 6,3 cm del leone, larghezza massima 5,3 cm).

 

Ottimo stato di conservazione, incidenti con la cintura con usura d'uso e sostituzione della pelle su una lunghezza di 9,5 cm.

 

ÉPAULETTES

Coppia di spalline del colonnello in passamaneria argentata, intrecciate a forma di dado, rotanti e frange con grossi semi chiamati spinaci, con il corpo rivestito di panno blu scuro.

 

Buone condizioni

 

Francia.

 

Primo Impero.

 

NOTA:

Caschi: i caschi del fucile del primo impero sono rari. Se le copie delle truppe esistono ancora in alcune copie, i modelli degli ufficiali sono quasi impossibili da trovare. Furono tutti modificati nel 1814 poi, durante la Seconda Restaurazione, furono trasformati perché pagati ai Carabinieri di Monsieur. La collezione Raoul e Jean Brunon aveva tre caschi carabinieri del Primo Impero:

- copia qui presentato, il più rilevante, è conservata nel suo stato originale con N e chioma intatta

- copie vendute nel 1966 Museo dell'Esercito, modificato nel 1814 poi per il periodo dei Cento giorni con N e corona sostituita da una bomba infiammata in ottone dorato,

- una copia modificata nel 1815-1816 per i carabinieri di Monsieur con N e corona sostituita da un motivo in ottone a Monsieur's Arms.

In una collezione privata, c'è una singola fascia d'argento con figure imperiali originali, e il Museo dell'Esercito ha anche un casco da ufficiale.

Breastplate: Esistono due tipi di pettorali da ufficiale. Un modello piuttosto lussuoso con piastre in ottone dorato in rilievo reti incorniciate con le spalla tre braccialetti più ricchi, testa di leone di un design diverso e serrature riccamente decorate a rilievo di foglie di quercia e alloro. Un modello più rustico, probabilmente per la lotta, di lastre di rame e spalla due catene e serrature meno ornato, rilievi corazze spalla modellata degli agenti Cuirassier alla fine dell'impero. Questo secondo tipo di corazza è probabilmente usato alla fine dell'Impero, spesso rappresentato nell'iconografia del periodo, ma è comunque la più rara delle due copie. La copia della vecchia collezione Brunon è una delle poche,

 

PROVENIENZA:

Questo set di elmo e corazza proviene dalla vecchia collezione Raoul e Jean Brunon, è stato acquistato tra il 1919 e il 1938 da Jean Brunon, famoso collezionista.

Il 26 gennaio 1935, nel numero 4795 della famosa rivista L'ILLUSTRATION, il generale Brécard dedica un articolo di quattro pagine a colori dedicato a "The Brunon Collection". Nelle foto del titolo, sono rappresentate cinque serie e corazze del Primo Impero e della Vecchia Monarchia, incluso un gruppo di ufficiali del Primo Impero di carabinieri con l'elmo presentato qui (l'armatura è il modello di lusso venduto al Museo dell'Esercito) nel 1966).

Nel 1966, questo casco è inventariato da Jean Brunon in "Inventario criptato collezione" Storia dall'oggetto delle armate francesi dal 1700 "Archivi e Raoul e Jean Brunon Collezioni", a pagina 65: "casco e corazza della Ufficiale di carabinieri, primo impero. Set molto bello, estremamente raro.

"Casco e corazza, idem, 1815." Il secondo set è stato venduto al Museo dell'Esercito nel 1967, quello il cui casco è stato modificato nel 1815 con la granata sul banner; ora viene presentato su una modella al Château de l'Empéri a Salon-de-Provence.

Nel 1967, quando la collezione fu venduta al Musée de l'Armée, Brunon conservò una selezione di oggetti, incluso il set menzionato a pagina 2.

Dopo la morte di Jean Brunon nel 1983, la sua collezione è divisa tra i suoi tre figli: Anne, Paul e Raoul (curatore al tempo del Museo di Empéri). E 'stato Paul Brunon che eredita tutte ufficiale Primo Impero dei Carabinieri, ha venduto alla antiquario parigino Charles Marchal nel febbraio 1983 (casco e corazza di ufficiali corazzieri Primo Impero Dragons ufficiale casco Primo Impero, Casco Ufficiale di Modello 1804 Draghi della Guardia). Un documento certificato da Raoul Brunon attesta.

Guy Kaufmann comprato quell'anno tutte ufficiale Corazziere, il casco di linea Draghi Officer e set di ufficiale dei Carabinieri dalla ex collezione Carlo Bruno Marchal.

Bird Dog Cessna L-19 I-EIAQ

Aero Club Como. Como Lake. ITALY

 

Produced in 1953, the aircraft served in the USAAF as 61-2967. In the sixties 1960 it was assigned to the Italian ALE, Aviazione Leggera dell’Esercito (Light aviation of the Army) and finally to the 1° RRALE, the first Reparto Riparazioni of the ALE.

In the early nineties all l-19s of the Italian Army were given to Aero Club d’Italia, who finally sold them to the local Aero Clubs.

Aero Club Como bought I-EIAQ as a landplane and got a set of Edo 2440 floats, taken out with the rigging from an US Bird Dog floatplane being sold.

 

en.wikipedia.org/wiki/O-1_Bird_Dog

 

   

.... Many people take part in this unique and lively pantomime, there are pastors by mule or donkey, which give the people some pieces of bread, wine and sausages, there are ladies with sweet looks that have beautiful smiles, there are horsemen riding on colts, throwing sweets on bystanders, there are horrific figures like Fofori, who kidnap the rich by forcing them to pay a symbolic offering, there are the Wizards, who finally found the treasure (a chamber pot full of macaroni, drinking wine from a container of urine), there is the Genral Garibaldi supported by his soldiers, there are their enemies the Turks, there is 'U Remitu (the hermit) ... there are the bomb squad .. .and much others figures....! (Here two "gardeners" with a laurel wreath that surrounds their head ... ) ....

 

.... i personaggi che animano questa particolare e vivacissima pantomima sono tantissimi, ci sono i pastori a dorso di mulo o di asino, che donano alla popolazione pane, vino e salsicce, ci sono dame dagli sguardi dolcissimi che regalano sorrisi incantevoli, ci sono Cavalieri a cavallo di focosi puledri, che lanciano confetti sugli astanti come se piovesse, ci sono figure orrifiche come i Fofori, che rapiscono i ricchi costringendoli a pagare un simbolico obolo, ci sono i Maghi, che finalmente trovano il tesoro (un pitale pieno di maccheroni, bevendo vino da un "pappagallo"), c'è Garibaldi sostenuto dai suoi Garibaldini, ci sono i loro nemici, ovvero i Turchi, c'è 'U Remitu (l'eremita) ...ci sono gli artificieri...i chi più ne ha più ne metta....! (Qui due "giardiniere" con una corona di alloro che cinge loro il capo ... ) ....

     

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Mezzojuso was built by the Albanians, Arbëreshëc, mostly military people established near an uninhabited house, during the migration of Albanians in Italy; on1501 they came from Albania and they had brought with them their language, customs and the Orthodox rite. From 2 to 4 August 1862 Mezzojuso welcomes Garibaldi: this is to reconnect this long and short at the same time my report, to some passages of this feast: the characteristic carnival of Mezzojuso. The "Master of Field" is the name of this carnival representation and it take the name from the principal character: this is a love story, albeit in key easygoing, which contains the re-enactment of the assault the Count of Modica made to the Castle to capture the White Queen of Navarra. The representation begins with the arrival of the royal procession, made up of the King, the Queen, by the dignitaries of the Court, from the Dame, the Secretary, by guards and by the Moors, and the "Master of Home" soul procession . Performed a dance in the square, the group go up on a stage (which is the castle); after inside the "castle" begins a dance party; therefore appear masks tied to tradition, u Rimitu, the Wizards, the gardener; comes the Master of Field, wearing a red wax mask with a hooked nose and prominent lower lip, a white shirt full of colored ribbons, pants and red coat, he squirms and shake, with his left arm to the side and in the right arm he brings a short wooden sword. Appear numerous characters, the Drummer, the Ambassador, Garibaldi and his Boys, the Captain of Artillery, the Baron and Baroness on two donkeys, followed by their men on horses and mules loaded with firewood, trunks, various paraphernalia for manufacturing cheese, so the gardener, with laurel wreaths, then the Cavalry, formed by a dozen knights who throw sweets over the spectators.The "Foforio" kidnap the wealthy and releases them after paying a small ransom (in return will be able to eat and drink at will). There are Magicians who go in search of "Treasure" and they finally found it: a bedpan full of macaroni and sausage, shouting "forio forio maccarrunario" eat them with their hands. The war rages, with Garibaldi and his Boys clashes against the Saracens (with imaginative alienation of historical periods); The Master of Field goes up on the scale that leads to the castle, meets with the King that hurts him on the head, and he falls backward (from a good height ...) to be taken from the boys that in the meantime they were prepared under the stairs; But the Master of Field is not dead and he healed his wounds, he with army of Garibaldi climb stealthily for "fake scale" and, taking advantage of the moment of confusion, they surrounding the Court and bind the King: the Field of Master removes the mask, finally embracing the Queen, managing to crown their secret dream of love, and so ends the great feast of Mezzojuso, with the procession that will march in the streets the country and ... the king in chains....

 

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Mezzojuso fu costruito dagli albanesi, gli arbëreshë, principalmente militari stabilitisi nelle vicinanze di un casale disabitato, durante la migrazione degli albanesi in Italia; essi provenivano dall'Albania e avevano portato con se lingua, usi e il rito ortodosso, nel 1501 stabilizzarono la loro posizione nella zona. Dal 2 al 4 agosto 1862 Mezzojuso accoglie Garibaldi: questo per ricollegare questo breve incipt su alcuni passaggi di questo report, lungo e breve al tempo stesso, sul caratteristico carnevale di Mezzojuso, unico nel suo genere. Il "Mastro di Campo", questo il nome della rappresentazione carnascialesca, è il personaggio dal quale prende il nome questa storia d'amore, seppur in chiave scanzonata, che racchiude in sè la rievocazione dell'assalto che il Conte di Modica fece al Castello per conquistare la regina Bianca di Navarra. La rappresentazione inizia con l'arrivo del corteo reale, composto dal Re, dalla Regina, dai Dignitari di Corte, dalle Dame, dal Segretario, dall’Artificiere, da alcune guardie e dai Mori, mentre Il "Mastru ri Casa" anima il corteo. Eseguita una danza nella piazza, il gruppo sale su un palco che ne rappresenta il castello, e subito dopo sul "castello" ha inizio una festa danzante; appaiono quindi le maschere legate alla tradizione, u Rimitu, i Maghi, le Giardiniere; arriva il Mastro di Campo a cavallo, che indossa una maschera di cera rossa con il naso adunco ed il labbro inferiore prominente, una camicia bianca piena di nastri colorati, pantaloni e mantello rosso: egli si dimena, si agita, con la testa ben alta, il braccio sinistro al fianco e nel destro una piccola spada di legno. Compaiono numerosi personaggi, il Tammurinaru, l’Ambasciatore, Garibaldi con i Garibaldini, il Capitano d’Artiglieria, il Barone e la Baronessa su due asini, seguiti dai loro uomini sopra cavalli e muli carichi di legna, bauli, armamentari vari per la produzione del formaggio, quindi le Giardiniere, con le corone di alloro, infine la Cavalleria, formata da una decina di cavalieri che lanciano sopra gli spettatori confetti a più non posso, mentre nella piazza l'artiglieria spara "colpi di cannone". Il Foforio sequestra i più abbienti e li rilascia dietro il pagamento di un piccolo riscatto (in cambio potranno mangiare e bere a volontà). Ci sono i Maghi che vanno in cerca della "truvatura", scavano ed ecco finalmente la trovano: un cantaru pieno di maccheroni e salsiccia che, al grido di “forio forio maccarrunario”, mangiano con le mani. La guerra impazza, Garibaldi coi Garibaldini si scontra contro i Saraceni (con fantasiosa alienazione dei periodi storici); il Mastro di Campo sale sulla scala che conduce al castello, si scontra con il Re e rimane ferito in fronte, ed ecco che braccia allargate cade all'indietro (da una buona altezza...) per essere preso dai figuranti che nel frattempo si erano preparati sotto la scala; però Il Mastro di Campo non è morto e, guarito dalle ferite, si riporta in piazza con il suo esercito di Garibaldini, quindi salgono furtivamente per la "scala fausa"(un'ingrsso posteriore e nascosto)e, approfittando dell’attimo di confusione, circondano la Corte e incatenano il Re: il Mastro di Campo, tolta la maschera, finalmente abbraccia la Regina, riuscendo a coronare il loro segreto sogno d'amore, e termina così la grande festa di Mezzojuso, col corteo che sfilerà per le strade del paese ed...il re in catene.

 

Splendide unità progettate dal Cantiere Navale "Baglietto" di Varazze, realizzate in legno di mogano e compensato marino ed entrate in servizio in 57 unità a partire dal 1970.

 

Costruite da vari cantieri nazionali, i guardacoste classe "Meattini" sono una equilibrata sintesi di velocità, autonomia, abitabilità e tenuta del mare, secondo lo stato dell'arte della tecnologia navale al tempo della loro concezione.

 

Caratteristiche Tecniche - Technical data:

 

* Materiale : Legno di mogano a doppio fasciame dell'opera viva e compensato marino nel bagnasciuga e sovrastrutture;

* Lunghezza : Mt. 20,10;

* Larghezza : Mt. 5,20;

* Dislocamento : Tonn. 40;

* Velocità massima : Nodi 35;

* Motorizzazione : N. 2 motori CRM 18 D/S-2 da 1250 CV cadauno;

* Apparati radar : N.1 radar Gem SC 1210;

* Equipaggio : N. 8 militari;

* Armamento : N. 1 mitragliatrice BROWING da 12,7 mm.

 

In mano ad equipaggi capaci e determinati sono stati protagonisti di epici confronti con i mezzi navali delle organizzazioni delinquenziali, normalmente superiori per dimensioni e caratteristiche generali.

La loro sagoma essenziale ed elegante è quella che ha caratterizzato di più il naviglio del Corpo negli anni '70 e '80 ed ancora oggi, con il piano di radiazione della classe ormai avviato, le 42 unità superstiti tutelano le coste nazionali con dignitosa e insospettabile efficacia.

TROMBA CASCO DELLA GUARDIA RAIL ESERCITO Ducato di Parma, 1849-1854, IN GRAN TENUE.1849-1854, aziende Parma o Piacenza (Piacenza).

 

Gli elmi delle Guardie-Corpo furono modellati sui modelli prussiani di cavalleria pesante e persino alcuni furono acquistati direttamente in Prussia.

Questi caschi non sono più usati dopo il 1854, sono sostituiti da un cappello.

Dopo l'assassinio del duca Carlo III, quando la vedova duchessa Maria Luisa di Borbone, per conto del principe duca Roberto 1 minore, ha deciso di restituire a Parma il gusto uniforme e più di moda austriaco. L'elmetto cade in disuso a vantaggio di un cappello a forma di austriaco.

 

Le Guardie del Corpo furono organizzate su 3 compagnie: Parma, Piacenza e Valtarese. Quest'ultima società ha avuto più assimilati corpo uniforme montato per l'esercito, non un pesante aziende speciali di cavalleria come Parma e Piacenza che erano, a loro volta, la tunica rossa, pantaloni bianchi e la pelle gli stivali pesanti delle guardie dei corpi prussiani, così come l'elmo di corazza di tombac (e, come esperimento, una corazza dello stesso!). L'elmo di Valtarese era quindi realizzato in pelle bollita con accessori in ottone e puntato, sempre nello stile prussiano.

 

Bombe di rame, orlo della visiera e archetto da collo, bottoni rivetti, base a punta e placca in argento nickel.

 

Visiera verde laccata all'interno (parzialmente scheggiata), il bangle in argento nickel è a cavallo del bordo esterno.

 

La nuca interna di seta nera del tipo ufficiale.

 

Nichel piatto d'argento raffigurante uno scudo rotondo colpito nel centro cifra ducale: tre gigli circondati da una prima stampata sporgente stampaggio in rilievo ornamenti e un secondo con il motto: "DEUS E STAMPI CIII" heraldry è sormontato dalla corona reale, tutto contro un sole radioso.

Il modello originale delle Guardie del corpo non porta un piatto, qui il piatto è il modello base della fanteria con il motto del duca Carlo III "Deus and Dies".

I fissaggi della piastra con viti e dadi corrispondono a quelli trovati in altri caschi con punta Parma per lastre di questo tipo. Questo piatto può caratterizzare un casco a tromba.

 

Jugulars composti da stemmi in ottone con filetti sporgenti e chinrest in pelle ricoperti di scaglie tagliate a festone e curve.

 

Ribbon non è quella degli altri corpi dell'esercito di Parma, è del tutto rosso come targhette utilizzate a Parma dal Duca di House, che è logico per Gardes du Corps.

 

Bomba sormontato una punta alpacca fissato su una base a forma di fiore divisoria da rivetti quattro rame forma giglio tipica del Ducato di Parma (forma diversa rispetto alla Francia e Napoli, ma anche in Spagna) .

 

La punta si conclude con una criniera di criniera bianca sembra identificare elemento trombe mai visto su un taglio di capelli come questo per Parma

 

interno Cap pelle nera in gran parte assente.

 

Buone condizioni

 

Italia, Ducato di Parma.

 

Regno del duca Carlo III, 1849 - 1854.

  

DOCUMENTO:

Un documento scritto a mano che accompagna l'auricolare è collegato, si riferisce ad un evento riguardante Anviti, colonnello generale e comandante dell'esercito, dopo la morte del Duca, e la popolazione non amato come favorito Duke (assassinato nel 1854) e considerato un reazionario molto duro. Dopo la caduta del Ducato è scappato fuori dei confini, ma ha preso un treno per retravreser il territorio del Ducato e andare altrove, e nel corso di una stazione di smettere di Parma è stato riconosciuto, picchiato, bussò con violenza, portato in città, decapitato e poi trascinato per tutta la città in uno stato "concini" per così dire ...

 

NOTA:

Trombe erano in numero di due, non sono stati considerati come semplici guardie (il Corpo di Guardia, come per le case militari di Borbone aveva il rango di luogotenenti come rango equivalente nell'esercito) ma aveva più status di ufficiale che può giustificare le varianti incontrate: placca, finitura interna, elmi di criniera per ufficiali superiori del corpo di Parma.

Attualmente sono noti solo cinque elmetti: due in una collezione privata di Parma, uno in un castello della provincia di Piacenza, l'altro nel museo storico della stessa città; e il casco presentato qui.

 

Iconografia:

Riproduciamo tre piatti del signor Cenni e un quarto piatto di Cenni vicino alla collezione NYPL Vinkhuijzen. Questo autore mostra diverse analisi delle uniformi secondo gli archivi.

 

CREDITI:

L'identificazione e la ricerca storica d'archivio per questo casco sono stati eseguiti da due esperti e autore dell'esercito italiano, noti per la loro competenza e serietà, sempre a disposizione le conoscenze e poche informazioni avaro. A loro dobbiamo questo foglio che rappresenta un'opera, mai spinto a questo punto di dettaglio su questo argomento. Ringrazio pertanto con tutta la mia considerazione i signori Massimo FIORENTINO e Mario ZANNONI.

 

CASQUE DE TROMPETTE DES GARDES-DU-CORPS DE L'ARMÉE DU DUCHÉ DE PARME, 1849-1854, EN GRANDE TENUE.1849-1854, compagnies de Parme ou de Piacenza (Plaisance).

 

Les casques des Gardes-du-Corps étaient calqués sur les modèles prussiens de cavalerie lourde et même, certains étaient achetés directement en Prusse.

Ces casques ne sont plus utilisés après 1854, ils sont remplacés par un chapeau.

Après l’assassinat du Duc Charles III, lorsque la duchesse douairière Louise-Marie de Bourbon, au nom du prince le duc Robert 1er, encore mineur, décida de redonner aux uniformes de Parme un goût et une mode plus autrichienne. Le casque tombe en désuétude au profit d’un chapeau de forme autrichienne.

 

Les Gardes du Corps étaient organisées sur 3 compagnies : Parme, Piacenza et Valtarese. Cette dernière compagnie avait un uniforme plus assimilable aux corps montés de l’armée, et non pas à une spécialité de cavalerie lourde, comme les compagnies de Parme et Piacenza qui portaient, quant à elles, la tunique rouge, les culottes blanches de peau et les bottes fortes des Gardes du Corps prussiens, ainsi que le casque de tombac de cuirassier (et, à titre expérimental, une cuirasse de même !). Le casque du Valtarese était donc en cuir bouilli avec accessoires en laiton, et à pointe, toujours à la prussienne.

 

Bombe en cuivre, jonc de cerclage de la visière et du couvre-nuque, boutons de rivure, embase de la pointe et plaque en maillechort.

 

Visière laquée vert à l’intérieur (en partie écaillée), le jonc en maillechort plié à cheval sur la bordure extérieure.

 

Couvre-nuque côté intérieur en soie noire du type des officiers.

 

Plaque en maillechort représentant un blason rond frappé en son centre du monogramme ducal : trois fleurs de lys entourées d'une première moulure saillante estampée en relief de fleurons, puis d'une seconde portant la devise : « DEUS ET DIES CIII», le blason est surmonté de la couronne royale, le tout posé sur un soleil rayonnant.

Le modèle d'origine des Gardes-du-Corps ne porte pas de plaque, ici plaque est du modèle de base d’infanterie avec la devise du Duc Charles III « Deus et Dies ».

Les fixations de la plaque par visses et dés correspondent à celles constatées dans les autres casques à pointe de Parme pour les plaques de ce type. Cette plaque peut caractériser un casque de trompette.

 

Jugulaires composées de rosaces en laiton à fillets saillants, et, de mentonnières en cuir recouvertes d’écailles découpées en feston et bombées.

 

Cocarde n’est pas celle des autres corps de l’armée de Parme, elle est entièrement rouge comme les cocardes utilisées à Parme par la Maison du Duc, ce qui est logique pour les Gardes-du-Corps.

 

Bombe surmontée d'une pointe en maillechort fixée sur une embase de forme de fleur fixée par quatre rivets en cuivre en forme de fleur de lys typiques du duché de Parme (forme différente par rapport à France et Naples, mais aussi à l’Espagne).

 

La pointe se termine par une crinière en crins blancs qui semble identifier les trompettes, élément jamais vu sur une coiffure de ce type pour Parme

 

Coiffe intérieure en cuir noir en grande partie absente.

 

Bon état.

 

Italie, Duché de Parme.

 

Règne du Duc Charles III, 1849 - 1854.

  

DOCUMENT :

Un document manuscrit accompagnant le casque est joint, il fait allusion à un évènement qui concerne Anviti, colonel et comandant général de l’armée après la mort du Duc, et mal aimé de la population, car favori du Duc (assassiné en 1854) et considéré comme un réactionnaire très dur. Après la chute du duché il s’échappa en dehors des frontières, mais il prit un train pour retravreser le territoire du duché et se rendre ailleurs, et lors d’un arrêt en gare de Parme fut reconnu, battu, frappé très violemment, porté dans la ville, décapité et puis trimbalé dans toute la ville dans un état « à la concini » pour ainsi dire…

 

NOTE :

Les trompettes étaient au nombre de deux, ils n’étaient pas considérés comme de simples gardes (les Gardes-du-Corps comme pour les maisons militaires des Bourbons avaient le rang de sous-lieutenants, comme équivalence de grade dans l’armée), mais avaient plus le statut d'officier ce qui peut justifier les variantes rencontrées : plaque, finition intérieure, crinière des casques pour officiers supérieurs des corps de Parme.

Seuls cinq casques semblent actuellement connus : deux dans une collection privée de Parme, un dans un château de la province de Plaisance, l’autre au musée historique de la même ville,; et le casque présenté ici.

 

ICONOGRAPHIE :

Nous reproduisons trois planches de monsieur Cenni, et une quatrième planche de Cenni auprès de la NYPL collection Vinkhuijzen. Cet auteur montre différente analyse des uniformes selon les archives.

 

REMERCIEMENTS :

L'identification et les recherches historiques en archives pour ce casque ont été réalisée par deux auteur et grands spécialistes de l'armée italienne, reconnus pour leur compétences et leur sérieux, toujours à la disposition du savoir et peu avares d'informations . Nous leur devons cette fiche qui représente un travail, encore jamais poussé à ce point de détail sur ce sujet. Je remercie donc avec toute ma considération messieurs Massimo FIORENTINO et Mario ZANNONI.

TROMBA CASCO DELLA GUARDIA RAIL ESERCITO Ducato di Parma, 1849-1854, IN GRAN TENUE.1849-1854, aziende Parma o Piacenza (Piacenza).

 

Gli elmi delle Guardie-Corpo furono modellati sui modelli prussiani di cavalleria pesante e persino alcuni furono acquistati direttamente in Prussia.

Questi caschi non sono più usati dopo il 1854, sono sostituiti da un cappello.

Dopo l'assassinio del duca Carlo III, quando la vedova duchessa Maria Luisa di Borbone, per conto del principe duca Roberto 1 minore, ha deciso di restituire a Parma il gusto uniforme e più di moda austriaco. L'elmetto cade in disuso a vantaggio di un cappello a forma di austriaco.

 

Le Guardie del Corpo furono organizzate su 3 compagnie: Parma, Piacenza e Valtarese. Quest'ultima società ha avuto più assimilati corpo uniforme montato per l'esercito, non un pesante aziende speciali di cavalleria come Parma e Piacenza che erano, a loro volta, la tunica rossa, pantaloni bianchi e la pelle gli stivali pesanti delle guardie dei corpi prussiani, così come l'elmo di corazza di tombac (e, come esperimento, una corazza dello stesso!). L'elmo di Valtarese era quindi realizzato in pelle bollita con accessori in ottone e puntato, sempre nello stile prussiano.

 

Bombe di rame, orlo della visiera e archetto da collo, bottoni rivetti, base a punta e placca in argento nickel.

 

Visiera verde laccata all'interno (parzialmente scheggiata), il bangle in argento nickel è a cavallo del bordo esterno.

 

La nuca interna di seta nera del tipo ufficiale.

 

Nichel piatto d'argento raffigurante uno scudo rotondo colpito nel centro cifra ducale: tre gigli circondati da una prima stampata sporgente stampaggio in rilievo ornamenti e un secondo con il motto: "DEUS E STAMPI CIII" heraldry è sormontato dalla corona reale, tutto contro un sole radioso.

Il modello originale delle Guardie del corpo non porta un piatto, qui il piatto è il modello base della fanteria con il motto del duca Carlo III "Deus and Dies".

I fissaggi della piastra con viti e dadi corrispondono a quelli trovati in altri caschi con punta Parma per lastre di questo tipo. Questo piatto può caratterizzare un casco a tromba.

 

Jugulars composti da stemmi in ottone con filetti sporgenti e chinrest in pelle ricoperti di scaglie tagliate a festone e curve.

 

Ribbon non è quella degli altri corpi dell'esercito di Parma, è del tutto rosso come targhette utilizzate a Parma dal Duca di House, che è logico per Gardes du Corps.

 

Bomba sormontato una punta alpacca fissato su una base a forma di fiore divisoria da rivetti quattro rame forma giglio tipica del Ducato di Parma (forma diversa rispetto alla Francia e Napoli, ma anche in Spagna) .

 

La punta si conclude con una criniera di criniera bianca sembra identificare elemento trombe mai visto su un taglio di capelli come questo per Parma

 

interno Cap pelle nera in gran parte assente.

 

Buone condizioni

 

Italia, Ducato di Parma.

 

Regno del duca Carlo III, 1849 - 1854.

  

DOCUMENTO:

Un documento scritto a mano che accompagna l'auricolare è collegato, si riferisce ad un evento riguardante Anviti, colonnello generale e comandante dell'esercito, dopo la morte del Duca, e la popolazione non amato come favorito Duke (assassinato nel 1854) e considerato un reazionario molto duro. Dopo la caduta del Ducato è scappato fuori dei confini, ma ha preso un treno per retravreser il territorio del Ducato e andare altrove, e nel corso di una stazione di smettere di Parma è stato riconosciuto, picchiato, bussò con violenza, portato in città, decapitato e poi trascinato per tutta la città in uno stato "concini" per così dire ...

 

NOTA:

Trombe erano in numero di due, non sono stati considerati come semplici guardie (il Corpo di Guardia, come per le case militari di Borbone aveva il rango di luogotenenti come rango equivalente nell'esercito) ma aveva più status di ufficiale che può giustificare le varianti incontrate: placca, finitura interna, elmi di criniera per ufficiali superiori del corpo di Parma.

Attualmente sono noti solo cinque elmetti: due in una collezione privata di Parma, uno in un castello della provincia di Piacenza, l'altro nel museo storico della stessa città; e il casco presentato qui.

 

Iconografia:

Riproduciamo tre piatti del signor Cenni e un quarto piatto di Cenni vicino alla collezione NYPL Vinkhuijzen. Questo autore mostra diverse analisi delle uniformi secondo gli archivi.

 

CREDITI:

L'identificazione e la ricerca storica d'archivio per questo casco sono stati eseguiti da due esperti e autore dell'esercito italiano, noti per la loro competenza e serietà, sempre a disposizione le conoscenze e poche informazioni avaro. A loro dobbiamo questo foglio che rappresenta un'opera, mai spinto a questo punto di dettaglio su questo argomento. Ringrazio pertanto con tutta la mia considerazione i signori Massimo FIORENTINO e Mario ZANNONI.

 

CASQUE DE TROMPETTE DES GARDES-DU-CORPS DE L'ARMÉE DU DUCHÉ DE PARME, 1849-1854, EN GRANDE TENUE.1849-1854, compagnies de Parme ou de Piacenza (Plaisance).

 

Les casques des Gardes-du-Corps étaient calqués sur les modèles prussiens de cavalerie lourde et même, certains étaient achetés directement en Prusse.

Ces casques ne sont plus utilisés après 1854, ils sont remplacés par un chapeau.

Après l’assassinat du Duc Charles III, lorsque la duchesse douairière Louise-Marie de Bourbon, au nom du prince le duc Robert 1er, encore mineur, décida de redonner aux uniformes de Parme un goût et une mode plus autrichienne. Le casque tombe en désuétude au profit d’un chapeau de forme autrichienne.

 

Les Gardes du Corps étaient organisées sur 3 compagnies : Parme, Piacenza et Valtarese. Cette dernière compagnie avait un uniforme plus assimilable aux corps montés de l’armée, et non pas à une spécialité de cavalerie lourde, comme les compagnies de Parme et Piacenza qui portaient, quant à elles, la tunique rouge, les culottes blanches de peau et les bottes fortes des Gardes du Corps prussiens, ainsi que le casque de tombac de cuirassier (et, à titre expérimental, une cuirasse de même !). Le casque du Valtarese était donc en cuir bouilli avec accessoires en laiton, et à pointe, toujours à la prussienne.

 

Bombe en cuivre, jonc de cerclage de la visière et du couvre-nuque, boutons de rivure, embase de la pointe et plaque en maillechort.

 

Visière laquée vert à l’intérieur (en partie écaillée), le jonc en maillechort plié à cheval sur la bordure extérieure.

 

Couvre-nuque côté intérieur en soie noire du type des officiers.

 

Plaque en maillechort représentant un blason rond frappé en son centre du monogramme ducal : trois fleurs de lys entourées d'une première moulure saillante estampée en relief de fleurons, puis d'une seconde portant la devise : « DEUS ET DIES CIII», le blason est surmonté de la couronne royale, le tout posé sur un soleil rayonnant.

Le modèle d'origine des Gardes-du-Corps ne porte pas de plaque, ici plaque est du modèle de base d’infanterie avec la devise du Duc Charles III « Deus et Dies ».

Les fixations de la plaque par visses et dés correspondent à celles constatées dans les autres casques à pointe de Parme pour les plaques de ce type. Cette plaque peut caractériser un casque de trompette.

 

Jugulaires composées de rosaces en laiton à fillets saillants, et, de mentonnières en cuir recouvertes d’écailles découpées en feston et bombées.

 

Cocarde n’est pas celle des autres corps de l’armée de Parme, elle est entièrement rouge comme les cocardes utilisées à Parme par la Maison du Duc, ce qui est logique pour les Gardes-du-Corps.

 

Bombe surmontée d'une pointe en maillechort fixée sur une embase de forme de fleur fixée par quatre rivets en cuivre en forme de fleur de lys typiques du duché de Parme (forme différente par rapport à France et Naples, mais aussi à l’Espagne).

 

La pointe se termine par une crinière en crins blancs qui semble identifier les trompettes, élément jamais vu sur une coiffure de ce type pour Parme

 

Coiffe intérieure en cuir noir en grande partie absente.

 

Bon état.

 

Italie, Duché de Parme.

 

Règne du Duc Charles III, 1849 - 1854.

  

DOCUMENT :

Un document manuscrit accompagnant le casque est joint, il fait allusion à un évènement qui concerne Anviti, colonel et comandant général de l’armée après la mort du Duc, et mal aimé de la population, car favori du Duc (assassiné en 1854) et considéré comme un réactionnaire très dur. Après la chute du duché il s’échappa en dehors des frontières, mais il prit un train pour retravreser le territoire du duché et se rendre ailleurs, et lors d’un arrêt en gare de Parme fut reconnu, battu, frappé très violemment, porté dans la ville, décapité et puis trimbalé dans toute la ville dans un état « à la concini » pour ainsi dire…

 

NOTE :

Les trompettes étaient au nombre de deux, ils n’étaient pas considérés comme de simples gardes (les Gardes-du-Corps comme pour les maisons militaires des Bourbons avaient le rang de sous-lieutenants, comme équivalence de grade dans l’armée), mais avaient plus le statut d'officier ce qui peut justifier les variantes rencontrées : plaque, finition intérieure, crinière des casques pour officiers supérieurs des corps de Parme.

Seuls cinq casques semblent actuellement connus : deux dans une collection privée de Parme, un dans un château de la province de Plaisance, l’autre au musée historique de la même ville,; et le casque présenté ici.

 

ICONOGRAPHIE :

Nous reproduisons trois planches de monsieur Cenni, et une quatrième planche de Cenni auprès de la NYPL collection Vinkhuijzen. Cet auteur montre différente analyse des uniformes selon les archives.

 

REMERCIEMENTS :

L'identification et les recherches historiques en archives pour ce casque ont été réalisée par deux auteur et grands spécialistes de l'armée italienne, reconnus pour leur compétences et leur sérieux, toujours à la disposition du savoir et peu avares d'informations . Nous leur devons cette fiche qui représente un travail, encore jamais poussé à ce point de détail sur ce sujet. Je remercie donc avec toute ma considération messieurs Massimo FIORENTINO et Mario ZANNONI.

Selfportrait artist painter ERNEST DESCALS as a soldier of the Italian Army in Sicilian, 1943 year.Historical recreations of author in WWII.Documentary studies of the twentieth century in Europe. Photo. History Documents of WW2 Pictures reenactment Photo Art.

 

Autoretrato del propio autor, el artista pintor Ernest Descals en uniforme del Ejercito Italiano en Sicilia, año 1943.Recreaciones en imagenes fotograficas de personejes de la Segunda Guerra Mundial en Europa.Soldado de Italia, pais aliado de la Alemania Nacionalsocialista en el llamado EJE.LAs fuerza italianas estaban desmoralizadas y se preparaban para cambiar de bando junto alos Aliados.

Il sistema polivalente mobile SAM 2, di produzione sovietica, veniva montato su un traino articolato ZIL mod. 1957. Era corredato da una rampa che veniva inclinata, prima del lancio, di circa 80° e da una protezione contro i gas di scarico disposta posteriormente. Il missile di cui era munito, l’SA 2, entrò in produzione nel 1956, da quel momento questo missile è stato il più usato in tutto il mondo. Il missile era assistito da un radar operante in bande A/B (E/F) o D/E (G), chiamato in codice Nato "Fan Song" che, una volta puntato sul bersaglio, forniva i dati al computer del veicolo il quale, dopo averli elaborati, li trasmetteva in meno di 6 secondi (oltre i quali si sarebbe perso il contatto col missile) all’SA 2. Il propellente di spinta bruciava per 4,5 secondi dopodichè il propellente di crociera (kerosene/acido), bruciava per altri 22 secondi. Il missile durante la sua lunga carriera è stato continuamente migliorato ed aggiornato insieme al sistema radar assistito. Gli ultimi tipi in uso erano di colore bianco, privi di alette sulla punta e delle superfici di controllo del booster come gli esemplari a carica nucleare. Il sistema missilistico SAM 2 fu prodotto in circa 4.000 esemplari dall’Unione Sovietica e fu esportato in numerosi paesi: Afganistan, Albania, Algeria, Bulgaria, Cina, Cuba, Cecoslovacchia, Egitto, Germania Or., Ungheria, India, Iraq, Corea del Nord, Libia, Mongolia, Polonia, Romania, Siria, Vietnam e Jugoslavia. Del missile SA 2 ne esiste infine anche una versione navale denominata SAN 2.

  

DATI TECNICI

Lunghezza: 10,7 mt. (variabile secondo il tipo) Diametro del booster: 0,7 mt. Diametro del missile: 0,5 mt. Apertura alette booster: 2,2 mt. Apertura alette missile: 1,7 mt. Peso al lancio: 2.300 kg. Peso della testata: 130 kg.

 

The Soviet production mobil system SAM 2, was mounted on a truck ZIL mod. 1957. It had a turret which was inclined, before firing, of 80° and a protection, fom exhaust gas, situated in the back-side. The missile of SAM 2, produced since 1956, was one of the most used missile all over the world. The missile was supplied by a radar operative on A/B (E/F) or D/E (G) bands, with a Natocode "Fan Song" which once pointed the target, gave data to carriage's computer, which after analyzing them, transmitted the data in less then 6 second (over these second it would be lost contacts with the missile) to SAM 2. The thrust propeller burnt for 4,5 seconds afterwards the cruise propeller burnt for other 22 seconds. The missile, during its long life, has been improved and brought up to date together the radar system. The last models were white and without the small wings on the top of the missile and also without control areas of the booster as the nuclear models. Around 4.000 of this missile systems were produced and had served with numerous countries: Afghanistan, Albania, Algeria, Bulgaria, China, Cuba, Checoslowakia, Egypt, East Germany, Hungary, India, Iraq, North Korea, Lybia, Mongolia, Poland, Romania, Syria, Vietnam and Jugoslavia. There is also a navy version (SAN 2) of this famous missile system.

FERRARI "ENZO".

Motor Show Bologna 2012

TROMBA CASCO DELLA GUARDIA RAIL ESERCITO Ducato di Parma, 1849-1854, IN GRAN TENUE.1849-1854, aziende Parma o Piacenza (Piacenza).

 

Gli elmi delle Guardie-Corpo furono modellati sui modelli prussiani di cavalleria pesante e persino alcuni furono acquistati direttamente in Prussia.

Questi caschi non sono più usati dopo il 1854, sono sostituiti da un cappello.

Dopo l'assassinio del duca Carlo III, quando la vedova duchessa Maria Luisa di Borbone, per conto del principe duca Roberto 1 minore, ha deciso di restituire a Parma il gusto uniforme e più di moda austriaco. L'elmetto cade in disuso a vantaggio di un cappello a forma di austriaco.

 

Le Guardie del Corpo furono organizzate su 3 compagnie: Parma, Piacenza e Valtarese. Quest'ultima società ha avuto più assimilati corpo uniforme montato per l'esercito, non un pesante aziende speciali di cavalleria come Parma e Piacenza che erano, a loro volta, la tunica rossa, pantaloni bianchi e la pelle gli stivali pesanti delle guardie dei corpi prussiani, così come l'elmo di corazza di tombac (e, come esperimento, una corazza dello stesso!). L'elmo di Valtarese era quindi realizzato in pelle bollita con accessori in ottone e puntato, sempre nello stile prussiano.

 

Bombe di rame, orlo della visiera e archetto da collo, bottoni rivetti, base a punta e placca in argento nickel.

 

Visiera verde laccata all'interno (parzialmente scheggiata), il bangle in argento nickel è a cavallo del bordo esterno.

 

La nuca interna di seta nera del tipo ufficiale.

 

Nichel piatto d'argento raffigurante uno scudo rotondo colpito nel centro cifra ducale: tre gigli circondati da una prima stampata sporgente stampaggio in rilievo ornamenti e un secondo con il motto: "DEUS E STAMPI CIII" heraldry è sormontato dalla corona reale, tutto contro un sole radioso.

Il modello originale delle Guardie del corpo non porta un piatto, qui il piatto è il modello base della fanteria con il motto del duca Carlo III "Deus and Dies".

I fissaggi della piastra con viti e dadi corrispondono a quelli trovati in altri caschi con punta Parma per lastre di questo tipo. Questo piatto può caratterizzare un casco a tromba.

 

Jugulars composti da stemmi in ottone con filetti sporgenti e chinrest in pelle ricoperti di scaglie tagliate a festone e curve.

 

Ribbon non è quella degli altri corpi dell'esercito di Parma, è del tutto rosso come targhette utilizzate a Parma dal Duca di House, che è logico per Gardes du Corps.

 

Bomba sormontato una punta alpacca fissato su una base a forma di fiore divisoria da rivetti quattro rame forma giglio tipica del Ducato di Parma (forma diversa rispetto alla Francia e Napoli, ma anche in Spagna) .

 

La punta si conclude con una criniera di criniera bianca sembra identificare elemento trombe mai visto su un taglio di capelli come questo per Parma

 

interno Cap pelle nera in gran parte assente.

 

Buone condizioni

 

Italia, Ducato di Parma.

 

Regno del duca Carlo III, 1849 - 1854.

  

DOCUMENTO:

Un documento scritto a mano che accompagna l'auricolare è collegato, si riferisce ad un evento riguardante Anviti, colonnello generale e comandante dell'esercito, dopo la morte del Duca, e la popolazione non amato come favorito Duke (assassinato nel 1854) e considerato un reazionario molto duro. Dopo la caduta del Ducato è scappato fuori dei confini, ma ha preso un treno per retravreser il territorio del Ducato e andare altrove, e nel corso di una stazione di smettere di Parma è stato riconosciuto, picchiato, bussò con violenza, portato in città, decapitato e poi trascinato per tutta la città in uno stato "concini" per così dire ...

 

NOTA:

Trombe erano in numero di due, non sono stati considerati come semplici guardie (il Corpo di Guardia, come per le case militari di Borbone aveva il rango di luogotenenti come rango equivalente nell'esercito) ma aveva più status di ufficiale che può giustificare le varianti incontrate: placca, finitura interna, elmi di criniera per ufficiali superiori del corpo di Parma.

Attualmente sono noti solo cinque elmetti: due in una collezione privata di Parma, uno in un castello della provincia di Piacenza, l'altro nel museo storico della stessa città; e il casco presentato qui.

 

Iconografia:

Riproduciamo tre piatti del signor Cenni e un quarto piatto di Cenni vicino alla collezione NYPL Vinkhuijzen. Questo autore mostra diverse analisi delle uniformi secondo gli archivi.

 

CREDITI:

L'identificazione e la ricerca storica d'archivio per questo casco sono stati eseguiti da due esperti e autore dell'esercito italiano, noti per la loro competenza e serietà, sempre a disposizione le conoscenze e poche informazioni avaro. A loro dobbiamo questo foglio che rappresenta un'opera, mai spinto a questo punto di dettaglio su questo argomento. Ringrazio pertanto con tutta la mia considerazione i signori Massimo FIORENTINO e Mario ZANNONI.

 

CASQUE DE TROMPETTE DES GARDES-DU-CORPS DE L'ARMÉE DU DUCHÉ DE PARME, 1849-1854, EN GRANDE TENUE.1849-1854, compagnies de Parme ou de Piacenza (Plaisance).

 

Les casques des Gardes-du-Corps étaient calqués sur les modèles prussiens de cavalerie lourde et même, certains étaient achetés directement en Prusse.

Ces casques ne sont plus utilisés après 1854, ils sont remplacés par un chapeau.

Après l’assassinat du Duc Charles III, lorsque la duchesse douairière Louise-Marie de Bourbon, au nom du prince le duc Robert 1er, encore mineur, décida de redonner aux uniformes de Parme un goût et une mode plus autrichienne. Le casque tombe en désuétude au profit d’un chapeau de forme autrichienne.

 

Les Gardes du Corps étaient organisées sur 3 compagnies : Parme, Piacenza et Valtarese. Cette dernière compagnie avait un uniforme plus assimilable aux corps montés de l’armée, et non pas à une spécialité de cavalerie lourde, comme les compagnies de Parme et Piacenza qui portaient, quant à elles, la tunique rouge, les culottes blanches de peau et les bottes fortes des Gardes du Corps prussiens, ainsi que le casque de tombac de cuirassier (et, à titre expérimental, une cuirasse de même !). Le casque du Valtarese était donc en cuir bouilli avec accessoires en laiton, et à pointe, toujours à la prussienne.

 

Bombe en cuivre, jonc de cerclage de la visière et du couvre-nuque, boutons de rivure, embase de la pointe et plaque en maillechort.

 

Visière laquée vert à l’intérieur (en partie écaillée), le jonc en maillechort plié à cheval sur la bordure extérieure.

 

Couvre-nuque côté intérieur en soie noire du type des officiers.

 

Plaque en maillechort représentant un blason rond frappé en son centre du monogramme ducal : trois fleurs de lys entourées d'une première moulure saillante estampée en relief de fleurons, puis d'une seconde portant la devise : « DEUS ET DIES CIII», le blason est surmonté de la couronne royale, le tout posé sur un soleil rayonnant.

Le modèle d'origine des Gardes-du-Corps ne porte pas de plaque, ici plaque est du modèle de base d’infanterie avec la devise du Duc Charles III « Deus et Dies ».

Les fixations de la plaque par visses et dés correspondent à celles constatées dans les autres casques à pointe de Parme pour les plaques de ce type. Cette plaque peut caractériser un casque de trompette.

 

Jugulaires composées de rosaces en laiton à fillets saillants, et, de mentonnières en cuir recouvertes d’écailles découpées en feston et bombées.

 

Cocarde n’est pas celle des autres corps de l’armée de Parme, elle est entièrement rouge comme les cocardes utilisées à Parme par la Maison du Duc, ce qui est logique pour les Gardes-du-Corps.

 

Bombe surmontée d'une pointe en maillechort fixée sur une embase de forme de fleur fixée par quatre rivets en cuivre en forme de fleur de lys typiques du duché de Parme (forme différente par rapport à France et Naples, mais aussi à l’Espagne).

 

La pointe se termine par une crinière en crins blancs qui semble identifier les trompettes, élément jamais vu sur une coiffure de ce type pour Parme

 

Coiffe intérieure en cuir noir en grande partie absente.

 

Bon état.

 

Italie, Duché de Parme.

 

Règne du Duc Charles III, 1849 - 1854.

  

DOCUMENT :

Un document manuscrit accompagnant le casque est joint, il fait allusion à un évènement qui concerne Anviti, colonel et comandant général de l’armée après la mort du Duc, et mal aimé de la population, car favori du Duc (assassiné en 1854) et considéré comme un réactionnaire très dur. Après la chute du duché il s’échappa en dehors des frontières, mais il prit un train pour retravreser le territoire du duché et se rendre ailleurs, et lors d’un arrêt en gare de Parme fut reconnu, battu, frappé très violemment, porté dans la ville, décapité et puis trimbalé dans toute la ville dans un état « à la concini » pour ainsi dire…

 

NOTE :

Les trompettes étaient au nombre de deux, ils n’étaient pas considérés comme de simples gardes (les Gardes-du-Corps comme pour les maisons militaires des Bourbons avaient le rang de sous-lieutenants, comme équivalence de grade dans l’armée), mais avaient plus le statut d'officier ce qui peut justifier les variantes rencontrées : plaque, finition intérieure, crinière des casques pour officiers supérieurs des corps de Parme.

Seuls cinq casques semblent actuellement connus : deux dans une collection privée de Parme, un dans un château de la province de Plaisance, l’autre au musée historique de la même ville,; et le casque présenté ici.

 

ICONOGRAPHIE :

Nous reproduisons trois planches de monsieur Cenni, et une quatrième planche de Cenni auprès de la NYPL collection Vinkhuijzen. Cet auteur montre différente analyse des uniformes selon les archives.

 

REMERCIEMENTS :

L'identification et les recherches historiques en archives pour ce casque ont été réalisée par deux auteur et grands spécialistes de l'armée italienne, reconnus pour leur compétences et leur sérieux, toujours à la disposition du savoir et peu avares d'informations . Nous leur devons cette fiche qui représente un travail, encore jamais poussé à ce point de détail sur ce sujet. Je remercie donc avec toute ma considération messieurs Massimo FIORENTINO et Mario ZANNONI.

FUERZAS AEROMÓVILES DEL EJÉRCITO DE TIERRA (FAMET) SPANISH ARMY

La versione MD-500E è stata prodotta in Italia su licenza dalla Breda Nardi (acquisita dalla Agusta nel 1989)[5] come NH-500.

 

Il Servizio aereo della Guardia di Finanza ordinò 50 NH-500 nella versioni MC e MD che entrarono in servizio tra il 1977 e il 1986. Ne è prevista la radiazione nel 2010[6]. Attualmente sono stati rinominati in OH500A ed OH 500B rispettivamente.

 

Nel 1987 iniziò la produzione per la fornitura di 50 esemplari all'Aeronautica Militare[5]. Le consegne iniziarono nel 1989 presso il 72º Stormo con due NH-500D, seguiti nel maggio 1990 dagli NH-500E che andarono progressivamente a sostituire la flotta di AB-47 nei compiti di velivoli scuola per gli elicotteristi di tutte le forze armate, forze di polizia, per i Vigili del Fuoco e per i frequentatori stranieri di altre nazioni. Tuttavia, oltre a tale fondamentale compito addestrativo, questi apparecchi sono capaci di svolgere, nei limiti delle loro dimensioni, anche altri ruoli.

 

La strumentazione comprende 2 radio VHF-AM ART-151 e VHF-AM/FM SRT-651 HQ, un ADF ARG 80, un VOR-ILS-MB ANV 141, un DME 42, una girobussola AN/ASN-75 e un radar altimetro PA 5411. Inoltre è presente un interfonico AG-06 e un IFF SIT 421A.

 

Il motore è un Allison 250 C20B da 420 shp, diminuiti a 375 per aumentare la vita utile e diminuire le sollecitazioni alla trasmissione con rotore principale a 5 pale. Il carrello d'atterraggio è dotato di un sistema per l'assorbimento delle sollecitazioni con un ammortizzatore idraulico e un sistema a bracci oscillanti che consente di migliorare le possibilità di sopravvivenza in caso di atterraggi pesanti.

 

La dotazione di carburante è costituita da 2 serbatoi flessibili ed auto-stagnanti antiurto sotto il vano di carico per un totale di 234 litri, ma è possibile installare nel comparto di carico un altro serbatoio da 190 litri. L'autonomia è di 2 ore, pari a circa 450 km, quasi raddoppiabili con il terzo serbatoio. La velocità arriva a 278 km/h (150 nodi) e la tangenza a 5280 m.

 

La capacità di trasporto è di 4 persone che si dispongono 2 avanti e 2 dietro, con portelli di entrata apribili sottovento e sganciabili in emergenza. Una paratia tagliafuoco separa l'abitacolo dal comparto motore, che è sistemato dietro ed è dotato di filtri anti-polvere e impianto anti-stallo.

 

Tra i numerosi accessori presenti vi sono:

 

* benne di carico per il trasporto di 500 litri d'acqua in missione antincendio

* un verricello capace di sollevare 136 kg alla velocità di 18 metri al minuto per il salvataggio (una sola persona per volta)

* 2 barelle interne, abbinate a speciali portelli bombati, per il trasporto sanitario.

* Il carrello può essere dotato di ruote di manovra, oppure pattini da neve o infine, addirittura galleggianti, per rendere la macchina anfibia

* È possibile sistemare, almeno teoricamente, anche 2 lanciarazzi da 51 mm ai lati della fusoliera, con 28 ordigni complessivi e una mitragliatrice leggera da 5,56 mm in cabina. Le mitragliatrici vennero realmente montate in Somalia, quando queste macchine vennero inviate a sostegno dell'Operazione Restore Hope

ASI Mili Transport & Tractors Show -Bologna 2008-

CDV - "O. Gradassi" Piacenza 1907.

Hand colored uniform details.

Italian Royal Army Grenadier.

Granatiere del Regio Esercito.

The Esercito Italiano Semovente L.40 da 47/32 self-propelled gun displayed at the Musée de la résistance corse de l'Alta Rocca in Zonza Corsica. This S.P. gun is one of the two surviving vehicles of its type, the second one being part of the US Army Ordnance Museum collection. Photos taken in September 2020.

Tra il 1915 ed il 1916 sull'isola dell'Asinara furono internati 22.000 prigionieri di guerra austro-ungarici. I prigionieri erano i sopravvissuti di una armata di 40.000 soldati catturati dall'esercito serbo e condotti con marce forzate sino ai porti dell'Albania. 15.000 di essi perirono durante la marcia decimati dal freddo, dalla fame, dalle malattie. I superstiti furono imbarcati su navi italiane e, con una massiccia operazione navale, trasferiti all'Asinara, allora principale stazione di quarantena sul territorio italiano. 1500 di essi morirono durante il viaggio in nave ed i corpi gettati in mare. Dei prigionieri giunti sull'isola, nonostante l'impegno del nostro personale che si trovò ad affrontare una vera emergenza sanitaria, 4574 perirono di colera e di tifo. I loro resti riposano ora in questo ossario.

 

Between 1915 and 1916 were interned on the Asinara island 22.000 prisoners of war austro-hungarian. These prisoner wer the survivor of an army of 40.000 soldiers from the serbian captured and forced marches are conduct in the ports of Albania. These unfortunates, decimate by the cold, hunger and disease, were delivered to the italian army, with a massive naval operation, moved in the island, the main quarantine station of Italy. 1500 of them died during the crossing by boat, and the bodies trown into the sea. Finally the prisoners arrived in the Asinara island, despite the effort of our medical staff, that had to face a real health emergency, 4574 died of cholere and typhoid. Their bones resting now in this ossuary.

   

.... Many people take part in this unique and lively pantomime, there are pastors by mule or donkey, which give the people some pieces of bread, wine and sausages, there are ladies with sweet looks that have beautiful smiles, there are horsemen riding on colts, throwing sweets on bystanders, there are horrific figures like Fofori, who kidnap the rich by forcing them to pay a symbolic offering, there are the Wizards, who finally found the treasure (a chamber pot full of macaroni, drinking wine from a container of urine), there is the Genral Garibaldi supported by his soldiers, there are their enemies the Turks, there is 'U Remitu (the hermit) ... there are the bomb squad .. .and much others figures....! (Here a "gardener" with a laurel wreath that surrounds her head ... ) ....

 

.... i personaggi che animano questa particolare e vivacissima pantomima sono tantissimi, ci sono i pastori a dorso di mulo o di asino, che donano alla popolazione pane, vino e salsicce, ci sono dame dagli sguardi dolcissimi che regalano sorrisi incantevoli, ci sono Cavalieri a cavallo di focosi puledri, che lanciano confetti sugli astanti come se piovesse, ci sono figure orrifiche come i Fofori, che rapiscono i ricchi costringendoli a pagare un simbolico obolo, ci sono i Maghi, che finalmente trovano il tesoro (un pitale pieno di maccheroni, bevendo vino da un "pappagallo"), c'è Garibaldi sostenuto dai suoi Garibaldini, ci sono i loro nemici, ovvero i Turchi, c'è 'U Remitu (l'eremita) ...ci sono gli artificieri...i chi più ne ha più ne metta....! (Qui una "giardiniera" con una corona di alloro che le cinge il capo ... ) ....

   

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the slideshow

  

Qi Bo's photos on Fluidr

  

Qi Bo's photos on Flickriver

  

Qi Bo's photos on FlickeFlu

   

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Mezzojuso was built by the Albanians, Arbëreshëc, mostly military people established near an uninhabited house, during the migration of Albanians in Italy; on1501 they came from Albania and they had brought with them their language, customs and the Orthodox rite. From 2 to 4 August 1862 Mezzojuso welcomes Garibaldi: this is to reconnect this long and short at the same time my report, to some passages of this feast: the characteristic carnival of Mezzojuso. The "Master of Field" is the name of this carnival representation and it take the name from the principal character: this is a love story, albeit in key easygoing, which contains the re-enactment of the assault the Count of Modica made to the Castle to capture the White Queen of Navarra. The representation begins with the arrival of the royal procession, made up of the King, the Queen, by the dignitaries of the Court, from the Dame, the Secretary, by guards and by the Moors, and the "Master of Home" soul procession . Performed a dance in the square, the group go up on a stage (which is the castle); after inside the "castle" begins a dance party; therefore appear masks tied to tradition, u Rimitu, the Wizards, the gardener; comes the Master of Field, wearing a red wax mask with a hooked nose and prominent lower lip, a white shirt full of colored ribbons, pants and red coat, he squirms and shake, with his left arm to the side and in the right arm he brings a short wooden sword. Appear numerous characters, the Drummer, the Ambassador, Garibaldi and his Boys, the Captain of Artillery, the Baron and Baroness on two donkeys, followed by their men on horses and mules loaded with firewood, trunks, various paraphernalia for manufacturing cheese, so the gardener, with laurel wreaths, then the Cavalry, formed by a dozen knights who throw sweets over the spectators.The "Foforio" kidnap the wealthy and releases them after paying a small ransom (in return will be able to eat and drink at will). There are Magicians who go in search of "Treasure" and they finally found it: a bedpan full of macaroni and sausage, shouting "forio forio maccarrunario" eat them with their hands. The war rages, with Garibaldi and his Boys clashes against the Saracens (with imaginative alienation of historical periods); The Master of Field goes up on the scale that leads to the castle, meets with the King that hurts him on the head, and he falls backward (from a good height ...) to be taken from the boys that in the meantime they were prepared under the stairs; But the Master of Field is not dead and he healed his wounds, he with army of Garibaldi climb stealthily for "fake scale" and, taking advantage of the moment of confusion, they surrounding the Court and bind the King: the Field of Master removes the mask, finally embracing the Queen, managing to crown their secret dream of love, and so ends the great feast of Mezzojuso, with the procession that will march in the streets the country and ... the king in chains....

 

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Mezzojuso fu costruito dagli albanesi, gli arbëreshë, principalmente militari stabilitisi nelle vicinanze di un casale disabitato, durante la migrazione degli albanesi in Italia; essi provenivano dall'Albania e avevano portato con se lingua, usi e il rito ortodosso, nel 1501 stabilizzarono la loro posizione nella zona. Dal 2 al 4 agosto 1862 Mezzojuso accoglie Garibaldi: questo per ricollegare questo breve incipt su alcuni passaggi di questo report, lungo e breve al tempo stesso, sul caratteristico carnevale di Mezzojuso, unico nel suo genere. Il "Mastro di Campo", questo il nome della rappresentazione carnascialesca, è il personaggio dal quale prende il nome questa storia d'amore, seppur in chiave scanzonata, che racchiude in sè la rievocazione dell'assalto che il Conte di Modica fece al Castello per conquistare la regina Bianca di Navarra. La rappresentazione inizia con l'arrivo del corteo reale, composto dal Re, dalla Regina, dai Dignitari di Corte, dalle Dame, dal Segretario, dall’Artificiere, da alcune guardie e dai Mori, mentre Il "Mastru ri Casa" anima il corteo. Eseguita una danza nella piazza, il gruppo sale su un palco che ne rappresenta il castello, e subito dopo sul "castello" ha inizio una festa danzante; appaiono quindi le maschere legate alla tradizione, u Rimitu, i Maghi, le Giardiniere; arriva il Mastro di Campo a cavallo, che indossa una maschera di cera rossa con il naso adunco ed il labbro inferiore prominente, una camicia bianca piena di nastri colorati, pantaloni e mantello rosso: egli si dimena, si agita, con la testa ben alta, il braccio sinistro al fianco e nel destro una piccola spada di legno. Compaiono numerosi personaggi, il Tammurinaru, l’Ambasciatore, Garibaldi con i Garibaldini, il Capitano d’Artiglieria, il Barone e la Baronessa su due asini, seguiti dai loro uomini sopra cavalli e muli carichi di legna, bauli, armamentari vari per la produzione del formaggio, quindi le Giardiniere, con le corone di alloro, infine la Cavalleria, formata da una decina di cavalieri che lanciano sopra gli spettatori confetti a più non posso, mentre nella piazza l'artiglieria spara "colpi di cannone". Il Foforio sequestra i più abbienti e li rilascia dietro il pagamento di un piccolo riscatto (in cambio potranno mangiare e bere a volontà). Ci sono i Maghi che vanno in cerca della "truvatura", scavano ed ecco finalmente la trovano: un cantaru pieno di maccheroni e salsiccia che, al grido di “forio forio maccarrunario”, mangiano con le mani. La guerra impazza, Garibaldi coi Garibaldini si scontra contro i Saraceni (con fantasiosa alienazione dei periodi storici); il Mastro di Campo sale sulla scala che conduce al castello, si scontra con il Re e rimane ferito in fronte, ed ecco che braccia allargate cade all'indietro (da una buona altezza...) per essere preso dai figuranti che nel frattempo si erano preparati sotto la scala; però Il Mastro di Campo non è morto e, guarito dalle ferite, si riporta in piazza con il suo esercito di Garibaldini, quindi salgono furtivamente per la "scala fausa"(un'ingrsso posteriore e nascosto)e, approfittando dell’attimo di confusione, circondano la Corte e incatenano il Re: il Mastro di Campo, tolta la maschera, finalmente abbraccia la Regina, riuscendo a coronare il loro segreto sogno d'amore, e termina così la grande festa di Mezzojuso, col corteo che sfilerà per le strade del paese ed...il re in catene.

 

U2 Miss Sarajevo

Non c'è altra canzone che possa raccontare questa foto

 

www.youtube.com/watch?v=Xh_AQUYvRvg

ESERCITO ITALIANO

Astra SM 88.42

ESERCITO ITALIANO

Astra SMR 88.45 APS

Asta RB Ritchie Bros - Caorso - PC - 3/2018

ROMA ARCHEOLOGICA & RESTAURO ARCHITETTURA 2021. Roma, i batteri salvano l'Arco di Settimio Severo con un restauro «bio»: scoperta una porta segreta. Video / Foto; in: IL MESSAGGERO (17/07/2021). Foto: "Il Foro Romano in 1510 d.C." (di Faber Courtial GBR [05/2017 & 06/2021]). S.v., Architetto Cristina Collettini; TG1 / ParCo / You-Tube (18/05/2021); Gilbert J. Gorski & James E. Packer, "7 - The Arch of Septimius Severus"; in: The Roman Forum (2015) & Ángel Ventura,"L’ARCO DI TRIONFO DI SETTIMIO SEVERO A ROMA..."; in: RM 120 (2014): 267-312 [in PDF]. wp.me/pbMWvy-1JZ

 

Fotografia di copertina:

--- RARA 2021. La resurrezione della Roma – “Città Eterna.” Ricostruzioni cinematografiche uniche della città di Roma dall’antichità al Rinascimento [testo in tedesco]. Reiss Engelhorn Museo, Mannheim / YouTube. (21/05-26/11/2017). Foto: Faber Courtial GBR (05/2017 [06/2021]). wp.me/pbMWvy-1BN

 

*** Un ringraziamento speciale alla Dott.ssa Maria Courtial, dirigente e produttrice di

Faber Courtial GbR Darmstadt | Germany per le sue recenti e-mail (giugno 2021) sull'opera di Faber Courtial sull'antica Roma. ***

 

1). ROMA - I batteri salvano l'Arco di Settimio Severo con un restauro «bio»: scoperta una porta segreta. Video / Foto; in: IL MESSAGGERO (17/07/2021).

 

** Nota: Tutte le fotografie qui presenti sono tratte dal Video de IL MESSAGGERO (21/07/2021); mentre tutti gli altri saranno citati da risorse aggiuntive. **

 

L'ultima legione di batteri che sta salvando l'Arco di Settimio Severo. Il grande gigante gentile del Foro Romano (per dirla con Roald Dahl) si piega alle potenzialità del microcosmo. Il secondo arco più grande di Roma (dopo Costantino), una mole titanica di quasi 24 metri che sembra gareggiare con il profilo del Campidoglio, è al centro di una sperimentazione inedita per l'area archeologica centrale. Senza precedenti. Un restauro bio che sta curando da lesioni, disgregazioni e fratture diffuse il vasto apparato decorativo di statue, rilievi, colonne e capitelli, attraverso uno speciale allevamento di batteri. Un unicum. «Il prezioso consolidamento dei marmi avviene attraverso un processo naturale, ecosostenibile, alimentando il ciclo vitale dei batteri che vivono all'interno dei marmi stessi e che si ricoprono di uno strato di carbonato di calcio», spiega la direttrice del parco archeologico del Colosseo Alfonsina Russo che ha messo in campo questa avventura biologica.

 

L'Arco di Settimio Severo d'altronde andava curato. I ponteggi vertiginosi offrono in questi giorni una prospettiva ravvicinata alle figure ciclopiche dell'esercito dei Romani alla conquista delle quattro città dei Parti per omaggiare i trionfi di Settimio Severo nel II secolo d.C. Qui la canicola è stemperata dal ponentino. E non a caso. «L'arco registra l'impatto delle correnti come una cartina al tornasole - indica Federica Rinaldi, responsabile del cantiere - Con questo intervento di manutenzione straordinaria ci siamo resi conto dell'impatto che hanno i venti sul monumento: le parti più erose spiccano sul versante sud, mentre a nord le figure mantengono meglio la loro integrità». Lo staff del parco è al lavoro sulle bellissime e commoventi figure scolpite nel marmo, orchestrate in scene di assedio, scontri, tragedie umane e fasti, che rivestono le pareti dell'arco tra vittorie alate e allegorie dei fiumi. I barbari sconfitti a terra, le truppe romane con lo scudo a cavallo. Ed è qui che si coltivano i batteri. «Una famiglia di batteri vive all'interno del marmo - spiega il restauratore Alessandro Lugari - Il consolidamento attraverso i batteri si attiva stimolando il loro ciclo vitale: questi microrganismi si nutrono delle scorie interne del marmo e lo consolidano perché si ricoprono di uno strato di carbonato di calcio, formando una sorta di crosta, non altro che la molecole che compone il marmo. Al microscopio elettronico si può verificare così che tutte le fessure presenti nel marmo del monumento vengono gradualmente ricoperte e riempite da questa massa di batteri che si auto-producono». Come? «Li nutriamo per farli crescere - aggiunge Lugari - Diamo loro un enzima che li stimola a produrre carbonato di calcio». Come viene somministrato l'enzima? «Sotto forma di uno speciale gel - precisa il restauratore - che viene steso sul marmo. Chiaramente la superficie deve essere chiusa, coperta, perché altrimenti i batteri non vengono in superficie. Loro vivono al buio, sono fotosensibili, quindi noi passiamo il gel e poi incartiamo la parti trattate del monumento con scatole di legno, come una sorta di armadio. Il trattamento va ripetuto ogni cinque sei ore, e dura circa venti giorni. E si vede subito l'effetto di consolidamento».

 

Le scoperte

Archeologi e restauratori al lavoro stanno ristudiando tutto il gigante. Con l'utilizzo del laser, ad esempio, sono stati riportati a vista segni particolari del tempo, come graffiti di figure fantastiche, frasi e firme lasciate tra il 500 e il 700. L'iscrizione dedicatoria, a 23 metri d'altezza, ha riservato non poche sorprese. Intanto sono state ritrovate parti delle lettere in bronzo originali. Poi, è stata riaperta una porta segreta: «Si tratta della camera di ispezione antica - dice Alfonsina Russo - un ambiente che era collegato ai passaggi interni usati per la manutenzione dell'epoca». E sempre l'iscrizione, ora, regala un retroscena: «Sapevamo che l'Arco fosse dedicato a Settimio Severo e ai figli Geta e Caracalla, e ora - avverte Federica Rinaldi - si vede l'intervento di damnatio memoriae sul nome di Geta attuato dopo l'uccisione da parte di Caracalla». E tra le figure a rilievo dei barbari sul basamento, infine, è riemerso anche un foro: qui nel Medioevo, quando il Foro Romano era interrato e si camminava a quote più alte, qualcuno ha usato l'Arco per legare cavalli e asinelli.

 

Fonte / source, Video & Foto; in:

--- IL MESSAGGERO (17/07/2021).

www.ilmessaggero.it/roma/news/restauro_arco_settimio_seve...

 

2). ROMA - Architetto Cristina Collettini; in: Il restauro dell’Arco di Settimio Severo | Parco archeologico del Colosseo. TG1 / ParCo / You-Tube (18/05/2021).

 

www.youtube.com/watch?v=iXW7_ltUF_4

 

Guardiamo da vicino con le telecamere del TG1 i lavori di restauro che interessano il grande Arco di Settimio Severo le cui superfici risultano molto rovinate dalla pioggia caduta nel corso dei secoli. La base del monumento, inoltre, risultava in parte interrata fino agli anni Sessanta e molti sono i segni visibili del secolare riutilizzo e adattamento delle strutture, come i fori praticati nel marmo per consentire l'aggancio di cavalli e asini.

 

Fonte / source:

--- Parco archeologico del Colosseo. TG1 / ParCo / You-Tube (18/05/2021).

 

3). ROMA - Gilbert J. Gorski & James E. Packer, "7 - The Arch of Septimius Severus"; in: The Roman Forum - A Reconstruction and Architectural Guide (2015).

 

Summary - The Rise of Severus. On December 31, 192, the rule of the Antonine dynasty, which had given Rome almost a century of unparalleled peace and prosperity, ended abruptly with the murder of Marcus Aurelius’ son, Commodus. Neglectful of his official duties and increasingly unstable, he had alienated his own courtiers. Laetus, his praetorian prefect, and Pertinax, a prominent senator, arranged the assassination and Pertinax’s succession. Although Pertinax was a stable, conservative reformer, his common sense and discipline enraged the Praetorian Guards who had been thoroughly corrupted by Commodus’ excesses. They murdered the new emperor after three months and sold the throne to Didius Julianus, a wealthy senator who had promised each praetorian a bounty of 25,000 sesterces.

 

The Roman people and the members of the imperial administration refused this dishonorable pact, and the governors of three militarized provinces, Pescennius Niger in Syria, Clodius Albinus in Britain, and Septimius Severus in Upper Pannonia (the western part of modern Hungary) openly rebelled. On April 9, Severus was proclaimed emperor. By June 1, he was in Italy. When he was sixty miles north of Rome, Julianus was murdered, and the Senate recognized Severus as emperor. The next year (194) he gained control of the East from Niger and marched against Niger’s Parthian supporters. The probable annexation of northern Mesopotamia in 195 prompted him to adopt the titles of “Parthicus Arabicus” and “Parthicus Adiabenicus”; and, in 197, a fi nal battle with Albinus at Lugdunum (Lyons) gave him the Western Empire. 6 Returning to the East in 198, he conquered the Parthian capital at Ctesiphon (thirty-five miles south of modern Bagdad) and took the title of “Parthicus Maximus.”

 

Fonte / source:

--- Gilbert J. Gorski & James E. Packer, "7 - The Arch of Septimius Severus"; in: The Roman Forum - A Reconstruction and Architectural Guide (2015).

www.cambridge.org/core/books/roman-forum/arch-of-septimiu...

 

4). ROMA - Ángel Ventura, "L’ARCO DI TRIONFO DI SETTIMIO SEVERO A ROMA E LE SUE ISCRIZIONI CON LITTERAE AUREAE: UNA NUOVA PROSPETTIVA -- THE TRIUMPHAL ARCH OF SEPTIMIUS SEVERUS AT ROME AND ITS INSCRIPTIONS WITH LITTERAE AUREAE: A NEW PERSPECTIVE." RM 120 (2014): 267-312 [in PDF].

 

Fonte / source:

--- Ángel Ventura, RM 120 (2014): 267-312 [in PDF] / research.net. (07/2021).

www.researchgate.net/publication/322330902_L'ARCO_DI_TRIO...

 

Parco museale "Memoriale della libertà" Bologna - BO - 6/2008

Splendide unità progettate dal Cantiere Navale "Baglietto" di Varazze, realizzate in legno di mogano e compensato marino ed entrate in servizio in 57 unità a partire dal 1970.

 

Costruite da vari cantieri nazionali, i guardacoste classe "Meattini" sono una equilibrata sintesi di velocità, autonomia, abitabilità e tenuta del mare, secondo lo stato dell'arte della tecnologia navale al tempo della loro concezione.

 

Caratteristiche Tecniche - Technical data:

 

* Materiale : Legno di mogano a doppio fasciame dell'opera viva e compensato marino nel bagnasciuga e sovrastrutture;

* Lunghezza : Mt. 20,10;

* Larghezza : Mt. 5,20;

* Dislocamento : Tonn. 40;

* Velocità massima : Nodi 35;

* Motorizzazione : N. 2 motori CRM 18 D/S-2 da 1250 CV cadauno;

* Apparati radar : N.1 radar Gem SC 1210;

* Equipaggio : N. 8 militari;

* Armamento : N. 1 mitragliatrice BROWING da 12,7 mm.

 

In mano ad equipaggi capaci e determinati sono stati protagonisti di epici confronti con i mezzi navali delle organizzazioni delinquenziali, normalmente superiori per dimensioni e caratteristiche generali.

La loro sagoma essenziale ed elegante è quella che ha caratterizzato di più il naviglio del Corpo negli anni '70 e '80 ed ancora oggi, con il piano di radiazione della classe ormai avviato, le 42 unità superstiti tutelano le coste nazionali con dignitosa e insospettabile efficacia.

Crawler loader with 2m3 (2.6 cu.yd.) bucket.

140hp, 16ton.

 

Kibri kit in 1/87 (H0).

  

More 1/87 photos in

www.flickr.com/photos/cosmosminimus/albums

(1/87 models + dioramas)

 

Splendide unità progettate dal Cantiere Navale "Baglietto" di Varazze, realizzate in legno di mogano e compensato marino ed entrate in servizio in 57 unità a partire dal 1970.

 

Costruite da vari cantieri nazionali, i guardacoste classe "Meattini" sono una equilibrata sintesi di velocità, autonomia, abitabilità e tenuta del mare, secondo lo stato dell'arte della tecnologia navale al tempo della loro concezione.

 

Caratteristiche Tecniche - Technical data:

 

* Materiale : Legno di mogano a doppio fasciame dell'opera viva e compensato marino nel bagnasciuga e sovrastrutture;

* Lunghezza : Mt. 20,10;

* Larghezza : Mt. 5,20;

* Dislocamento : Tonn. 40;

* Velocità massima : Nodi 35;

* Motorizzazione : N. 2 motori CRM 18 D/S-2 da 1250 CV cadauno;

* Apparati radar : N.1 radar Gem SC 1210;

* Equipaggio : N. 8 militari;

* Armamento : N. 1 mitragliatrice BROWING da 12,7 mm.

 

In mano ad equipaggi capaci e determinati sono stati protagonisti di epici confronti con i mezzi navali delle organizzazioni delinquenziali, normalmente superiori per dimensioni e caratteristiche generali.

La loro sagoma essenziale ed elegante è quella che ha caratterizzato di più il naviglio del Corpo negli anni '70 e '80 ed ancora oggi, con il piano di radiazione della classe ormai avviato, le 42 unità superstiti tutelano le coste nazionali con dignitosa e insospettabile efficacia.

The JSA (Joint Security Area) is the only location along the DMZ in which a few barracks (painted with the UN blue) are built across the Military Demarcation Line. They host every negotiation between the two Koreas since 1953.

Asta RB Ritchie Bros - Caorso - PC - 3/2018

 

Im Rahmen der Volltruppenübung " CONEX 2015" veranstaltete die Schweizer Armee ein Defilee ( Truppenparade) zum Abschluss der Übung in der Gemeinde Zofingen ( CH) . Die Parade nahm der Verteidigungsminister Herr Ueli Maurer persönlich ab . Angeführt wurde die Parade vom Kommandanten der Territorialregion 2 , Herrn Divisionär Andreas Bölsterli. Auch der amtierende Chef der Schweizer Armee Herr Korpskommandant Andre Blattmann verfolgte neben vielen Ehrengästa aus Politik und Wirtschaft diese Parade. Die teilnehmenden Truppenteile nahmen mit Ihren Soldaten und eingesetzten Fahrzeugen teil. Als Besonderheit flog die Patrouille de Swiss eine Ehrenformation für einen während der Übung verunglückten Soldaten . Bei einem Verkehrsunfall kam es zum Todesfall . Zur Ehrung des Kameraden wurde die Flugformation " Missing Man" geflogen . Ein Flugzeug dieser Kunstflugstaffel nutzte dabei ein graues Flugzeug statt der ansonsten in den Nationalfarben der Schweiz gehaltenen Flugzeuge um die Verbundenheit mit dem verunglückten Soldaten zu zeigen. Unter dem Beifall der mehr als 6000 Zuschauer fand die Parade viel Beachtung und Zustimmung .

Alle Bilder unterliegen dem Copyright : © Combat-Camera-Europe

 

Mit freundlicher Genehmigung der Pressestelle des Territorialkommando 2

 

Un muro di scudi dell’esercito in Silom road .

De Havilland Canada DHC-6-300 Twin Otter

Representatives of the Italian Army, Carabinieri and U.S. Army mark the transfer of authority March 1, 2013, for the construction site on the former Dal Molin Italian Air Force Base in Vicenza, Italy from the construction contractor to the Italian Army. The flags of Italy, the United States of American and NATO were raised. Italian Army Caserma Renato Del Din will be formally open in July 2013 after the construction is completed and the units of the 173rd Airborne Brigade Combat Team have moved into their new facilities. Learn more on www.usag.vicenza.army.mil or on www.facebook.com/USAGVicenza. Photo by Joyce Costello, USAG Vicenza PAO

I rappresentanti dell’Esercito Italiano, dei Carabinieri e dell’Esercito Statunitense celebrano il passaggio di consegna, avvenuto il primo marzo 2013, del cantiere della Base Aeronautica Italiana Dal Molin a Vicenza dalla ditta appaltatrice all’Esercito Italiano. Le bandiere dell’Italia, Stati Uniti d’America e della NATO sono state dispiegate. La caserma Italiana Renato Del Din sara’ inaugurata ufficialmente nel luglio 2013 dopo il completamento dei lavori ed il trasferimento delle unita’ della 173a Brigata Aviotrasportata nelle nuove strutture.

Museo Storico dell'Aeronautica Militare (Italian Air Force Historical Museum) – Vigna di Valle.

IMAM RO.37 bis "Lince"

 

L'IMAM Ro.37 “Lince” era un biplano, biposto, monomotore da ricognizione e bombardamento leggero. Costruito dalle Industrie Aeronautiche ROMEO, divenute successivamente Industrie Meccaniche Aeronautiche Meridionali (IMAM), entrò in linea nel 1935.Fu impiegato nella guerra di Spagna (dal 1936) con l’Aviazione Legionaria, e nella Seconda Guerra Mondiale. Fu il ricognitore armato standard dell’Aviazione Ausiliaria del Regio Esercito, in servizio attivo sino al giugno 1943.

Fu costruito in due versioni: Ro.37 con motore FIAT A.30 R.A. bis a 12 cilindri a V, raffreddato ad acqua da 550 CV (lo stesso del caccia CR.32), e con motore radiale Piaggio P.IX R.C. 40 da 560 CV.

Prestò servizio non solo nella Regia Aeronautica, ma anche nelle aviazioni di Spagna, Ungheria, Uruguay, Ecuador, Austria, Afghanistan.

L’esemplare in esposizione fu rinvenuto dalle truppe Italiane in Afghanistan nel 2006. Nel 2011 fu restaurato, e dal 2012 è conservato al Museo dell'Aeronautica Militare di Vigna di Valle.

 

Caratteristiche generali (Ro.37 bis)

- Lunghezza: 8.56 m

- Apertura alare: 11.08 m

- Superficie alare: 31.35 m^2

- Peso a vuoto: 2040 Kg

- Peso massimo: 2395 Kg

- Motore: Piaggio P.IX R.C. 40 radiale, raffreddato ad aria, di potenza 414.4 Kw (560 CV)

- Velocità max: 330 km/h

- velocità di salita: a 4000 m in 9 min 20 sec

- Autonomia: 1300 Km

- Quota di tangenza: 7500 m

 

Armamento

- Due mitragliatrici Breda-SAFAT 7.7 mm anteriori; 1 mitragliatrice Breda-SAFAT 7.7 mm brandeggiabile per l'osservatore

- Dodici bombe del tipo a frattura prestabilita da 12 kg o tipo mina da 15 k oppure 72 spezzoni da 2 kg. in apposita spezzoniera ventrale, azionabile a manovella da parte dell’osservatore

  

The IMAM Ro.37 “Lince” (“Lynx”) was a biplane, two-seat aircraft used for reconnaissance and light bombing. It entered into service in 1935, and was widely used during the Spanish Civil War and the Second World War.

Two versions of the Ro.37 were built. The first one was equipped by a FIAT A.30 R.A. bis, 12-V, water-cooled engine with power 550 CV (the same engine of the CR.32 fighter). The second version (Ro.37 bis) was equipped by a Piaggio P.IX R.C. 40, radial, air-cooled engine, with power 560 CV.

The Ro.37 served in several air forces: Regia Aeronautica (the Italian Air Force), as well as in Spanish, Hungarian, Austrian, Ecuadorian, Uriguayan, and Afghan air forces.

The aircraft on display at Vigna di Valle was found by Italian troops in Afghanistan in 2006, and restored in 2011.

 

General characteristics

- Length: 8.56 m

- Wingspan: 11.08 m

- Wing area: 31.35 m^2

- Empty weight: 2040 kg

- Gross weight: 2395 Kg

- Maximum speed: 330 km/h

- Range: 1300 Km

- Rate of climb: to 4000 m in 9 min 20 sec

- Service ceiling: 7500 m

- Powerplant: 1× Piaggio P.IX R.C. 40, radial, air-cooled engine, 414.4 Kw (560 CV)

 

Armament

- 2 × 7.7 mm Breda-SAFAT machine gun (fixed forward)

- 1 × 7.7 mm Breda-SAFAT machine gun in rear cockpit

- Up to 180 Kg of bombs

The Esercito Italiano Semovente L.40 da 47/32 self-propelled gun displayed at the Musée de la résistance corse de l'Alta Rocca in Zonza Corsica. This S.P. gun is one of the two surviving vehicles of its type, the second one being part of the US Army Ordnance Museum collection. Photos taken in September 2020.

MM81440 E.I. 835 Esercito Italiano (Italian Army) Boeing Chinook CH-47C @ PSA/LIRP

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