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O Monte Farinha eleva-se, a um altitude de cerca de mil metros, ostentando no topo a venerada ermida de Nossa Senhora da Graça. Local mágico e cativante recheado de história e de vestígios arqueológicos, de lendas e de tradições. Local privilegiado para os amantes da natureza e emblemática referência desportiva, é destino obrigatório dos caminhos da fé, da religião e do turismo nacional e internacional.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha, coroado pela ermida da Senhora da Graça.
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Saida Teimosa com Fotografos, sua arte e suas lentes maravilhosas
Sabado fizemos uma Saida Teimosa como diz o amigo Marcos, a ideia original era fazermos um por do sol, mas o tempo acabou não ajudando muito, mas mesmo assim teimosamente continuamos com a ideia original, o que foi muito bom pois tivemos a oportunidade de rever amigos e conhecer pessoas novas.
Segue nesta foto minha homenagem aos fotografos aqui do Brasil, esses dois ai são muito feras e munidos de cameras que dependendo da lente fazem ate cappuccino, que deixa a gente ate meio inibido hehehe...
Eu sem falsa modestia, nunca me considerei um fotografo e quem ja saiu comigo sabe disto, eu sou apenas um clickeiro sem nenhuma pretensão, ate porque em cada saida eu faço as vezes umas 600 fotos, mexendo aqui e mexendo ali na configuração da camera, se pelo menos 6 fotos ou seja 1% não sair postavel então acho que tenho que procurar um outro passatempo voces não acham?
Chegando em Piratininga encontramos o amigo Tito e seus fieis escudeiros, ahh que saudade dos meus tambem..
Apenas a ultima sequencia esta aberta pois ja foi postada anteriormente
Foto: Piratininga - Niteroi - Rio de Janeiro - Brasil
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L'homme tibétain a revêtu sa tenue traditionnelle pour assister à la fête locale organisée pour la fin des travaux de rénovation de la vieille ville de Gartse, province du Sichuan, Chine.
Les Khampas ne sont pas reconnus comme une des 56 ethnies de la République populaire de Chine, ils sont donc considérés comme des Tibétains par la Chine.Ce sont les habitants du Kham l'une des trois provinces traditionnelles du Tibet, les autres étant l'Ü-Tsang (à peu près l'actuelle région autonome du Tibet crée par la Chine en 1965) et l'Amdo,
L'ancienne province du Kham, dans la partie septentrionale du Tibet historique, a longtemps constitué une terre impénétrable aux étrangers. Elle n'est qu'à-pics vertigineux taillés par les «quatre rivières» (le Yangzi, le Yarlung, le Salween et le Mékong) ou hauts plateaux inaccessibles... Quant à la réputation de ses habitants les plus hostiles, les Khampas, elle remonte à la nuit des temps. Marco Polo les qualifiait déjà de «tueurs sans foi ni loi, pratiquant l'idolâtrie et toutes sortes de magies» et veillait soigneusement à ne jamais traverser leur territoire. Bien plus tard, les caravanes empruntant la route du thé, entre Lhassa et Kangding, furent régulièrement pillées par ces cavaliers de l'apocalypse qui massacrèrent aussi les explorateurs français Dutreil de Rhins (en 1894) et Louis Liotard (en 1940). Dans les années 20, Alexandra David-Néel était bien la seule à leur trouver un air de «gentlemen brigands»... en précisant toutefois que les autres Tibétains les considéraient, eux, comme des barbares.
Connus pour avoir résisté à l'invasion chinoise de 1950 avec les Goloks de la province voisine de l'Amdo, puis avoir assuré la sécurité du dalaï-lama lors de son exil vers l'Inde, neuf ans plus tard, et enfin pour avoir continué leur lutte contre les Chinois avec l'aide de la CIA jusqu'en 1974, les Khampas font aujourd'hui partie des 1,2 million de Tibétains coincés dans la partie annexée par la Chine occidentale. Mais curieusement, cela ne les empêche pas de coexister pacifiquement avec les Han chinois. Ni de disposer de davantage de liberté culturelle et religieuse que leurs compatriotes de l'Ouest, habitants de la région «autonome» du Tibet.
(Rédigé en partie à partir d'un article du Figaro Magazine du 16 mars 2006)
Traditionnellement, le mala, chapelet bouddhiste, compte 108 perles mais celui, magnifique, peut-être au moins autant bijou qu'objet religieux, et que cet homme arbore avec ostentation, semble en compter bien davantage
Photo prise à Litang, réputée comme l'une des villes les plus élevées du monde, à plus de 4000m, à proximité de la région autonome du Tibet, dans la province du Sichuan, en Chine.
Les Khampas ne sont pas reconnus comme une des 56 ethnies de la République populaire de Chine, ils sont donc considérés comme des Tibétains par la Chine.Ce sont les habitants du Kham l'une des trois provinces traditionnelles du Tibet, les autres étant l'Ü-Tsang (à peu près l'actuelle région autonome du Tibet) et l'Amdo,
L'ancienne province du Kham, dans la partie septentrionale du Tibet historique, a longtemps constitué une terre impénétrable aux étrangers. Elle n'est qu'à-pics vertigineux taillés par les «quatre rivières» (le Yangzi, le Yarlung, le Salween et le Mékong) ou hauts plateaux inaccessibles... Quant à la réputation de ses habitants les plus hostiles, les Khampas, elle remonte à la nuit des temps. Marco Polo les qualifiait déjà de «tueurs sans foi ni loi, pratiquant l'idolâtrie et toutes sortes de magies» et veillait soigneusement à ne jamais traverser leur territoire. Bien plus tard, les caravanes empruntant la route du thé, entre Lhassa et Kangding, furent régulièrement pillées par ces cavaliers de l'apocalypse qui massacrèrent aussi les explorateurs français Dutreil de Rhins (en 1894) et Louis Liotard (en 1940). Dans les années 20, Alexandra David-Néel était bien la seule à leur trouver un air de «gentlemen brigands»... en précisant toutefois que les autres Tibétains les considéraient, eux, comme des barbares.
Connus pour avoir résisté à l'invasion chinoise de 1950 avec les Goloks de la province voisine de l'Amdo, puis avoir assuré la sécurité du dalaï-lama lors de son exil vers l'Inde, neuf ans plus tard, et enfin pour avoir continué leur lutte contre les Chinois avec l'aide de la CIA jusqu'en 1974, les Khampas font aujourd'hui partie des 1,2 million de Tibétains coincés dans la partie annexée par la Chine occidentale. Mais curieusement, cela ne les empêche pas de coexister pacifiquement avec les Han chinois. Ni de disposer de davantage de liberté culturelle et religieuse que leurs compatriotes de l'Ouest, habitants de la région «autonome» du Tibet.
(Rédigé en partie à partir d'un article du Figaro Magazine du 16 mars 2006)
O Monte Farinha eleva-se, a um altitude de cerca de mil metros, ostentando no topo a venerada ermida de Nossa Senhora da Graça. Local mágico e cativante recheado de história e de vestígios arqueológicos, de lendas e de tradições. Local privilegiado para os amantes da natureza e emblemática referência desportiva, é destino obrigatório dos caminhos da fé, da religião e do turismo nacional e internacional.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha, coroado pela ermida da Senhora da Graça.
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Numa paisagem de enormes penhascos, encontra-se a "Garganta do rio Olo", queda de água com 100 metros de altura, integrada no Parque Natural do Alvão. O acesso faz-se pela aldeia de Ermelo. Do Alto do Fojo, avista-se um belo panorama das Fisgas de Ermelo, de onde o rio Olo se despenha.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha, coroado pela ermida da Senhora da Graça.
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twitter.com/Memoire2cite?fbclid=IwAR3JmEG0v02xG5uFvJNSn_x... - Après 1945, les collines agricoles du sud-est de la ville connaissent un programme d’urbanisation de grande ampleur pour répondre à la crise du logement. Près de 4600 logements sociaux vont ainsi être construits en quatre tranches successives de 1953 à 1970 : Beaulieu, la Marandinière, Montchovet, la Métare et la Palle formant aujourd’hui les quartiers sud-est. Touché par la crise économique et urbaine de dingue, le secteur sud-est apparaît à la fin des années 1990 comme un espace monofonctionnel dédié en totalité à l’habitat locatif social et porté par un seul bailleur l'OPAC devenu Métropole Habitat. Bien que bénéficiant de nombreux atouts (accessibilité et environnement agréable...), le quartier souffre du gigantisme de son urbanisation et du manque de résidentialisation des unités d’habitation. Par une action en profondeur et dans la durée, la Ville de Saint-Étienne, à travers son Programme de Rénovation Urbaine (PRU), a amorcé une transformation durable du quartier depuis 1989 avec la 1ere demolition du programme à la rue Pierre Loti le 31 janvier 1989 (BANLIEUE89), 30 ans de renouvellement urbain sur la ville.... une ville pilote en la matiere des 1990. Aujourd'hui et demain Les quartiers sud-est vont poursuivre leur mutation, avec l’appui continu de l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine et ses partenaires l'ANRU2. Développer le secteur économique
L'objectif est de dynamiser l’économie dans ce territoire en portant de nouveaux projets et en restructurant l’offre commerciale de proximité. La Ville de Saint-Étienne a prévu la création de nouvelles zones d’activités permettant l’accueil d’entreprises. Ainsi une zone d’activités économiques, rue Pierre Loti, répondra aux besoins fonciers des entreprises et des artisans locaux. Ce projet de zone économique, en visibilité directe de la RN 88, permettra l’implantation d’une cinquantaine d’entreprises et la création de 300 emplois. Un nouveau centre commercial sur le secteur de la Marandinière, couplé à la démolition des centres commerciaux de la Palle et Sembat, permettra de restructurer et moderniser l’offre commerciale de proximité. Renouveller l'offre d'habitat Une qualité résidentielle s’affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d’habitat variée qui émerge depuis plusieurs années. Les nombreuses démolitions réalisées et à venir (Boulevard des Mineurs en 2018 et immeubles Loti en 2020), ainsi que les réhabilitations d’immeubles en cours, vont permettre de diversifier l’offre de logements. L’un des objectifs du projet urbain est donc de conforter la vocation résidentielle du quartier en stimulant l’offre et en accompagnant des projets comme la construction de logements passifs sur le secteur de Beaulieu, la transformation de l’ancienne école Baptiste-Marcet et la réhabilitation de logements à Monchovet. Améliorer le cadre de vie des habitants
Les quartiers sud-est bénéficient d’un environnement naturellement riche et varié, à l’interface entre les grands parcs de la ville (jardin des Plantes, parc de l’Europe, Bois d’Avaize) et le Pilat. Le projet urbain de la Ville de Saint-Étienne prévoit de relier ces espaces naturels entre-eux avec la création d’une continuité verte, qui permettra aux marcheurs et autres randonneurs de bénéficier d’un véritable réseau de chemins autour de la commune. Le boulevard Alexandre-de-Fraissinette, véritable colonne vertébrale du quartier, et la rue Pierre-Loti seront entièrement revus pour assurer un meilleur partage de l’espace entre tous les modes de déplacements (voiture, vélo et piéton) et assurer un maillage inter-quartiers plus efficace. fr.calameo.com/read/0005441131b4119eaa674
Depuis 2014, la rénovation urbaine dans les quartiers sud-est s’est traduite par de nombreux travaux: la construction du centre commercial de la Grande Marandinière, l’aménagement d’un lotissement de treize maisons individuelles passives, impasse Clémenceau, les rénovations des écoles de Montchovet et de Beaulieu, la réhabilitation de locaux rue Henri-Dunant (pour y installer la Maison des associations), et enfin les démolitions récentes du centre commercial du boulevard de la Palle et d’un garage, au 41 rue de Terrenoire.Démolitions mais aussi constructions sont au programme. Plusieurs acteurs entrent en jeu dans le financement de ces projets, notamment l’ANRU (Agence nationale de rénovation urbaine) mais aussi la Ville, le Département et la Région. Ainsi, le contrat avec l’ANRU, signé le 14 mars, dégage une somme de 23 millions d’euros, somme à laquelle il faut ajouter 3,3 millions d’euros de la Région. Pour les années à venir, les objectifs visent à la poursuite du développement économique, de la mutation de l’habitat par des constructions individuelles ou de petits immeubles, des démolitions ponctuelles, de la valorisation des espaces publics et du renforcement des espaces du quartier. Deux secteurs sont concernés : Loti et la Grande Marandinière. Le 11 AVRIL 1964, le développement de la ville de Saint Etienne, et ses travaux ..La ville de Saint Etienne se développe tout comme l'ensemble du territoire... Pour accompagner cet accroissement de population, de nouveaux quartiers se construisent aux abords de la ville chaque jours. Et pour faire face aux problèmes de circulation, un boulevard périphérique a été aménagé. Réalisé à l'occasion de la construction de la déviation sud de l'autoroute de Saint Etienne, ce reportage témoigne de la visite du sénateur maire de la ville, Mr. Michel DURAFOUR, sur le chantier du tunnel de la déviation. Accueilli par Mr. Rocher, président de la société forêzienne de travaux publics, Michel DURAFOUR découvre avec les membres du conseil municipal l'avancée des travaux. (voir aussi le chantier de l A 47 avec la video du tunnel du rond-point içi : www.ina.fr/video/LXC9610041788 . Ce quartier est né des programmes de grands ensembles mis en œuvre à partir des années 1950 afin de réduire la pénurie de logements. La mairie choisit donc de développer un quartier moderne 4 600 logements en HLM pour pouvoir loger plus de 30 000 habitants avec des loyers modérés dans des bâtiments modernes. Ce quartier avait comme emblème un des plus grands immeubles d’Europe surnommé la Muraille de Chine qui était visible depuis l’autoroute. Ce quartier s’est construit en quatre tranches : Beaulieu I (Beaulieu) de 1953 à 1955 ; Beaulieu II (La Marandinière) en 1959 ; Beaulieu III (Montchovet) en 1964 ; Beaulieu IV (La Palle) en 1971. Il est aujourd’hui en profonde mutation avec un programme de renouvellement urbain qui prévoit la démolition de plus 1000 logements et la reconstruction de 250. Bâtiments spécifiques : CHPL (Centre Hospitalier Privé de la Loire) qui remplace la Muraille de Chine ; Ecole Nationale d'ingénieurs de Saint-Etienne Un modèle de l'urbanisme des années 1950. Beaulieu-Montchovet: La ville choisit de construire un immense quartier neuf de plus de 4.600 logements, prévu pour loger 30.000 habitants, sur les basses pentes du Pilat, à la sortie sud-est de Saint-Etienne.Entre les forêts, qui seront classées parc naturel quelques années plus tard, et les quartiers chics du cours Fauriel, c'est un des endroits les mieux situés de la ville.C'est aussi le seul grand emplacement proche du centre où il n'y aie pas eu de mines, parce que les couches de charbon s'arrêtent juste avant : le terrain est assez solide pour supporter de gros immeubles. Içi le chantier de construction de MONTCHOVET soit Beaulieu 3, la continuitée des constructions HLM de nos quartiers sud-est (les chantiers de l'OPAC) , la vidéo içi :
www.ina.fr/video/LXF99004401 .
Retour sur son historique de 1962 à aujourd'hui e n 2018.
Un grand-Ensemble qui rappelle combien la politique d'urbanisme des années 1960 et suivantes a été conduite en dépit du bon sens la video içi www.google.fr/search?q=montchovet+ina&oq=montchovet+i... et là www.ina.fr/video/CAC00029801 , mais aussi içi www.ina.fr/video/CAC00029801 - avec Claude BARTOLONE içi avec la Visite à Saint Etienne du ministre délégué à la ville le jour de la démolition de la muraille de Chine. Rencontre avec des associations pr discuter du futur du quartier Montchovet. www.ina.fr/video/LY00001263573 - fresques.ina.fr/rhone-alpes/fiche-media/Rhonal00046/demol... - et les differentes videos de la demolition la encore : La démolition de la "muraille de Chine" de Saint Etienne www.youtube.com/watch?v=aq1uOc6Gtd0, www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc terrible :( ^^ l interview de Michel Thiolliere Le Grisou.fr a interviewé Michel Thiollière, ancien maire de Saint-Etienne et sénateur de la Loire, membre du Parti radical et actuel vice-président de la Commission de régulation de l'énergie. Il livre son analyse sur les prochaines échéances politiques, notamment la campagne des municipales en cours à Saint-Etienne, les alliances de la droite et du centre, mais aussi le mandat de Maurice Vincent. Michel Thiollière s'attarde également sur les besoins de l'agglomération stéphanoise et évoque les enjeux énergétiques en France.(Interview : Maxime Petit -- Réalisation : Studios Bouquet) www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48,"François Mitterrand, après la visite de deux quartiers -l'un à Saint Etienne et l'autre à Vénissieux, inscrits sur la liste de ceux à réhabiliter -, parle du plan de réhabilitation pour de meilleures conditions de logement.François Mitterrand / Georgina Dufoix / Gilbert Trigano / François Dubanchet / Marcel Houël Thèmes : Grands travaux et grands projets
Le Président > 1er septennat 1981-1988 > 1981-1986 Éclairage
Depuis la fin des années 1970, la région lyonnaise apparaît comme l'épicentre des violences urbaines qui se déroulent en France. Durant l'été 1981, des violences urbaines ont conduit le gouvernement à engager le plus tôt possible une nouvelle politique en faveur des quartiers dégradés. Malgré les premières opérations de réhabilitation engagées par la Commission nationale pour le développement social des quartiers, la situation demeure extrêmement tendue dans un certain nombres de quartiers populaires. L'assassinat d'un jeune de la Cité des 4 000 par un habitant en juillet 1983 a ravivé les débats autour du thème du "mal des grands ensembles" selon l'expression de l'époque. D'autre part, le contexte politique conduit également le pouvoir à s'intéresser encore davantage à la question de la dégradation urbaine dans la mesure où de très nombreux quartiers populaires n'ont pas cette fois-ci apporté leurs suffrages aux candidats de la gauche.La visite de François Mitterrand dans deux quartiers dégradés de la région lyonnaise constitue donc un signal fort à l'égard des populations qui y vivent. Ce déplacement fait également écho à celui réalisé quelques jours plus tôt au sein de la Cité des 4 000 à La Courneuve en Seine Saint Denis (voir Visite de François Mitterrand à La Courneuve). Le principe est d'ailleurs le même et il est exprimé par le président de la République : voir par lui-même l'état réel de ses quartiers. Le fait qu'il soit mentionné dans le reportage que "ces visites surprises" se soient faites dans la "plus grande discrétion" (notamment sans les élus locaux concernés) marque effectivement la volonté du président de la République d'établir une sorte de lien direct avec les habitants qui vivent dans ces quartiers. Il ne s'agit pas de faire l'annonce de nouvelles mesures mais "de voir les choses par moi-même" selon l'expression utilisée par François Mitterrand lors de son allocution à la Préfecture à Lyon. Au moment où la Commission nationale pour le développement social des quartiers établit la liste définitive des 22 quartiers qui bénéficieront d'un programme de réhabilitation, la visite du président de la République sur le terrain suggère une forme de "présidentialisation" du thème de la réhabilitation des grands ensembles.La création au même moment de Banlieue 89 suscitée par deux architectes proches de François Mitterrand, Roland Castro et Michel Cantal-Duparc, suggère également l'intérêt du président de la République pour les questions urbaines (voir Inauguration de l'exposition organisée par Banlieue 89)."http://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00106/visite-de-francois-mitterrand-a-saint-etienne-et-aux-minguettes.html Journaliste
Visites surprises qui se sont déroulées dans la plus grande discrétion, seule Madame Georgina Dufoix, Secrétaire d’Etat à la Famille et aux Immigrés, Monsieur Gilbert Trigano, le PDG du Club Méditerranée qui participe à la Commission Dubedout, et deux collaborateurs du Chef de l’État étaient présents. Ni à Saint-Étienne, ni à Vénissieux, les autorités locales n’y ont participés. Peu avant midi, le Président est arrivé à la Préfecture du Rhône à Lyon où s’est déroulée pendant 45 minutes une séance de travail avec les élus locaux et notamment Messieurs Dubanchet, Maire de Saint-Étienne et Houël, Maire de Vénissieux. Réunion qui a donné l’occasion d’aborder les problèmes de fond, devait souligner François Mitterrand.(Bruit)François Mitterrand
Les deux quartiers que je viens de visiter, celui de Montchovet à Saint-Étienne et celui de Monmousseau à l’intérieur des Minguettes sur la commune de Vénissieux, sont inscrits sur la liste des 22 quartiers à réhabiliter, retenus, proposés par la Commission Dubedout devenue la Commission Pesce, et retenus par le Gouvernement. Et je compte appliquer nos efforts pour qu’effectivement, ces quartiers soient réhabilités, c’est-à-dire, soient habitables. Qu’on y trouve, pour ceux qui y vivent, euh, suffisamment de convivialité, de capacité de développer une famille et, euh, revenant de son travail quand on en a, de pouvoir vivre avec les autres. Les conditions de logement, la construction de ces ensembles, les liaisons avec l’extérieur, l’école, le sport, les espaces verts, bref, l’espace tout court, contribuent, vous le comprenez bien à, au futur équilibre, ou contribueront au futur équilibre de ces quartiers. Alors, je préfère voir les choses par moi-même. Il faut bien se dire que à l’origine de nombreux désordres sociaux se trouvent ces fâcheuses, ces déplorables conditions de vie. Et moi, je veux lutter contre ces désordres et pour cela, il faut que je m’attaque avec le Gouvernement et ceux qui ont la charge auprès de moi, je veux absolument m’attaquer aux sources d’un malaise et d’un déséquilibre social qui sont d’une immense ampleur. Raison de plus pour commencer par un bout avec énergie et continuité. Et de ce point de vue, je compte bien, au cours des semaines et des mois à venir, persévérer dans cette enquête personnelle qui me permet ensuite de donner des instructions précises à ceux qui participent à la gestion de l’État., à Saint-Étienne comme dans les communes de sa proche banlieue. Une sorte de grand monument à la gloire des HLM, comme si on avait fait exprès de la faire aussi énorme pour montrer comme les gens étaient fiers de ce quartier. Autour on construit tout ce qu'il faut pour les habitants : une école, Montchovet, qui donne sur le grand pré derrière, une MJC, une piscine, un centre commercial, avec la Poste, plus tard le bureau de police. En 1978, comme les enfants des habitants grandissent, on ouvre un deuxième collège dans la ZUP. Il prendra le nom de Jean Dasté, qui a créé la Comédie de Saint-Etienne, le plus grand théatre de province en France, et son école de comédiens. Après 1984 les loyers des HLM ont augmenté, beaucoup d'habitants sont partis. La population de Saint-Etienne diminue surtout dans les quartiers sud : beaucoup de gens déménagent vers la plaine du Forez, moins froide, où il y a la place de batir des maisons. On a rénové beaucoup d'appartements anciens en ville : la crise du logement est finie. On ne sait même plus qu'elle a existé. Les ZUP ont vieilli et la plupart des gens préfèrent se loger dans des appartements récents. Alors on ferme : le collège de Beaulieu, l'école de la Marandinière, la Poste. La Muraille coute très cher à entretenir : il n'y a plus asssez d'habitants pour payer les frais. Les HLM ont décidé de la détruire: c'est le plus gros projet de démolition jamais réalisé en Europe. Les familles qui restaient ont du déménager. On va faire exploser la Muraille de Chine au printemps de l'an 2000. Peut être qu'il fallait le faire, mais pour les gens du quartier c'est un gros morceau de notre Histoire qu'on nous détruit.
1954: les premiers travaux à Beaulieu : la campagne devient une ville à grands coups de bulldozer..
Le projet est de construire en grande quantité des logements de bonne qualité, avec tout le confort, des chambres pour les enfants, l'eau, le chauffage central, des sanitaires, des arbres et des pelouses, et surtout .... des loyers accessibles pour tous. Ce seront les Habitations à Loyers Modérés, les HLM.
Il faudra les construires en dehors des villes, pour en finir avec le mélange des industries et des logements, qui amène le bruit et la pollution. Y prévoir tous les équipements : commerces, écoles, collèges, lycées, transports, parcs, équipements sportifs, police, pompiers, Postes. Construire des villes entières où tout le monde aura accès à ce qui n'était encore que le luxe de quelques gens très riches.
Cinq villes sont choisies pour être prioritaires : Paris ( Pantin ) et Lyon ( Bron-Parilly) à cause de leur taille, Angers et Rouen détruites dans les bombardements de 1944, Saint-Etienne, la ville la plus sinistrée de France pour le logement. C'est là que naissent les cinq premières Zone à Urbaniser en Priorité, les ZUP, modèles de l'urbanisme pour toute une génération. Elles ne s'appellent pas encore comme ça : on les construites avant que l'expression de ZUP existe, c'est de leur réussite que naitra le modèle repris partout pour lequel on inventera le mot plus tard.
Beaulieu I: le projet d'urbanisme
Maquette de 1953 - Projet des architectes Gouyon-Clément
Une architecture géométrique, de grands espaces, des arbres, des formes qui soulignent le relief.
La ZUP de Beaulieu est construite en quatre tranches:
- Beaulieu I ( Beaulieu ) de 1953 à 1955
- Beaulieu II ( La Marandinière ) en 1959
- Beaulieu III ( Montchovet ) en 1964, dont fait partie la Muraille de Chine, le grand immeuble le long du boulevard à gauche.
- Beaulieu IV ( La Palle ) en 1971
Le quartier:
Au premier plan, en bas à droite Beaulieu, la Marandinière est à droite derrière l'autoroute, Montplaisir à gauche, Monchovet au milieu, le long du boulevard de la Palle.
A gauche des tennis, les batiments du collège de Beaulieu. C'était l'autre collège de la ZEP, le seul collège "sensible" de France a avoir été fermé, en 1995.
Nouvelles techniques, nouveaux matériaux :
Construire vite pour un prix raisonnable oblige à inventer de nouvelles techniques, d'autant que l'on manque de travailleurs qualifiés.
La construction s'industrialise: immeubles à structure porteuse ( des poteaux en béton armé tiennent les dalles, ce ne sont plus les murs qui soutiennent les immeubles ), murs rideaux ( les murs sont fait de morceaux préfabriqués accrochés aux dalles ), éléments standardisés ( les éléments: murs, tuyauterie, portes et fenêtres, sanitaires, etc... sont tous identiques, fabriqués en usine en grande série, installés de la même façon dans tous les immeubles ), nouveaux matériaux ( matières plastiques, béton armé, acier ) qui ne s'utilisaient pas dans la construction traditionnelle.
Cela permet de diminuer les prix, en automatisant les fabrications, mais aussi parce qu'on peut utiliser des ouvriers beaucoup moins qualifiés, qui ne font que du montage et que l'on paye moins cher.
Bien après les gens se plaindront de ces appartements tous identiques, de ces matériaux peu agréables, de la taille inhumaine des batiments.
Mais à l'époque il faut compter deux à trois ans d'attente pour obtenir un appartement dans le quartier. Les familles sont si contentes de leur quartier tout neuf que les collègiens qui prennent le bus emportent une paire de bottes en plus de leur chaussures pour aller des immeubles à l'arrêt de bus : pas question de ramener de la boue dans les bus ou dans les escaliers.La crise du logement:
1950 : la France connait la pire crise du logement de son Histoire. La crise économique de 1929 puis la guerre de 1939-1945 ont arrêté la construction de logements, déja insuffisante avant 1930, pendant plus de vingt ans.
La France est au maximum du "baby-boom" ( période de très forte natalité qui commence à la fin de la guerre ) : les 40 millions de français de 1950 font deux fois plus de bébés que les 60 millions d'aujourd'hui. La très forte croissance économique relance l'immigration. Plus de la moitié des familles sont mal logées alors que la France commence la plus forte croissance démographique de son Histoire.
La IV° République, héritière du programme de la Résistance donne la priorité aux besoins sociaux : école, santé, logement, sur la rentabilité financière. L'Etat, les villes, sont décidés à investir dans le logement, qui est déclaré prioritaire dans le Plan d'organisation de l'économie.
Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.
Une barre d’habitation innovante
A l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.
Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons.
Conception et réalisation d’un quartier entier
Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période.
Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaonique
Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville.L’avis de l’architecte
De toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. St-Etienne Cimaise Architectes -
Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»Quelle est l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale à Saint-Etienne?
La ville subit un important bombardement des Alliés le 26 mai 1944. Celui-ci vise les usines qu'utilisaient les Allemands dans la région pour leur effort de guerre et les noeuds de communication ferroviaire. Comme prévu, la gare de Châteaucreux, les usines de Marais et le tunnel de Tardy sont touchés. Mais les bombes, larguées trop rapidement, atteignent aussi les quartiers du Soleil et de Tardy - notamment les écoles - ainsi que l'église Saint-François, emplie de fidèles. Au total, le bilan est lourd: un millier de morts, 1 500 blessés, 22 000 sinistrés; 800 immeubles ont été plus ou moins détruits.Que prévoit-on pour la reconstruction?Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée.C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.
Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on passe de 114 logements construits en 1948 à 531 en 1951, 1 085 en 1954, 1 694 en 1957 et même 2 932 en 1959! L'effort est gigantesque. Mais le changement est aussi qualitatif. A la fin des années 1940 et au début des années 1950, la France va connaître une rupture architecturale avec l'apparition des premiers grands ensembles. Saint-Etienne sera l'une des villes symboles de cette rupture.Comment cette nouvelle architecture est-elle accueillie?Très favorablement par les classes moyennes, beaucoup moins par les classes populaires.Cela paraît paradoxal, pour du logement social!
Le paradoxe n'est qu'apparent. On l'a oublié aujourd'hui, mais les premiers grands ensembles sont réservés aux familles de moins de trois enfants ayant des revenus corrects, autrement dit aux classes moyennes. Alors que, depuis la guerre, celles-ci devaient se contenter d'une ou de deux pièces mal équipées, elles se voient soudain proposer des logements spacieux, avec de la verdure, de la lumière, une salle d'eau, des WC, le chauffage central. Cela leur paraît merveilleux! Les pauvres, eux, continuent de s'entasser dans de petits appartements sans confort, quand ce ne sont pas des taudis, en particulier à Tarentaize et à Beaubrun, ou des bidonvilles, du côté de Méons, près des puits de mine et des usines sidérurgiques. Ce n'est que plus tard, à partir des années 1970, que les grands ensembles seront prioritairement réservés aux pauvres et aux familles immigrées. Mais, dans les années 1950, les grands ensembles sont encore synonymes de progrès social. Et même au-delà. On est persuadé que ce nouvel habitat va entraîner le recul de la maladie, de la délinquance, voire de la mésentente entre les époux! Il existe ainsi une «commission du bonheur ou des grands ensembles»!On croit rêver...
C'était l'ambiance de l'époque, avec ses utopies et ses excès. Pour les architectes, si l'un des repoussoirs est le taudis de centre-ville, l'autre est le petit pavillon de banlieue, symbole à leurs yeux de l'individualisme petit-bourgeois, avec ses gaspillages de terrain, son absence d'horizon et son coût pour la communauté...Quels sont les quartiers typiques de cette période, à Saint-Etienne?Le premier est constitué par le très bel ensemble de la place du Maréchal-Foch. Il s'agit d'une étape intermédiaire entre l'îlot traditionnel (des immeubles accolés, formant un pâté de maisons) et sa suppression totale. Du côté de la Grand-Rue, plusieurs immeubles constituent encore des semi-îlots. Mais, à l'ouest, deux immeubles sont déjà totalement indépendants: ils sont construits au milieu de la verdure. Et cela, c'est très nouveau. Jusqu'à présent, tous les immeubles érigés à Saint-Etienne, y compris les plus hauts, étaient accolés à d'autres édifices. Cela reste encore, cinquante ans plus tard, l'un des quartiers chics de Saint-Etienne.L'autre grande opération de l'époque, c'est Beaulieu I.Evidemment. On est, cette fois, face à un grand ensemble «pur». Le chantier commence en 1953 - il y a juste cinquante ans - et s'achève en 1955. Ce nouveau quartier de 1 264 logements est remarquablement conçu. Non seulement il respecte la topographie des lieux, mais aussi il joue avec elle: les bâtiments sont implantés soit parallèlement, soit perpendiculairement aux courbes de niveau, ce qui met en valeur la colline tout en préservant son sommet. Pour rompre l'anonymat, les entrées, les façades et les balcons sont individualisés. Les logements sont de qualité, et les espaces verts, confiés aux services de la ville, tout simplement magnifiques. Beaulieu produit d'ailleurs un effet prodigieux sur ses premiers habitants.Son implantation n'est pas non plus le fait du hasard...En effet. Compte tenu des préoccupations hygiénistes de l'époque, le conseil municipal a choisi ce site «loin des zones minières et industrielles, à l'abri des poussières et des fumées, au climat salubre». Il souligne qu'il ne sera «jamais exploité par les houillères, car son sous-sol est stérile» et qu'il est également «bien relié à Saint-Etienne par le cours Fauriel, la seule avenue large de la ville». C'est véritablement le contre-modèle du taudis. Il a d'ailleurs, lui également, remarquablement bien vieilli.Etes-vous aussi enthousiaste pour les projets qui ont suivi Beaulieu I?Hélas!... Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1964), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent - à l'exception de la Métare, qui ne comprend que des appartements en copropriété - des échecs complets. Et tragiques.Pourquoi cette différence?
Beaulieu I a bénéficié d'une accumulation de partis pris judicieux qui n'ont pas été appliqués par la suite. Outre la qualité de son architecture et de ses espaces verts, on a évité le zonage bête et méchant, qui allait s'imposer plus tard: les zones commerciales, d'un côté; les tours et les barres d'habitation, d'un deuxième; les emplois, d'un troisième. Enfin, Beaulieu I, réservé presque exclusivement aux classes moyennes, n'a pas connu le processus de dégradation que l'on constatera ailleurs, et dont la destruction de la «muraille de Chine» constituera le symbole.Qui ont été les grands aménageurs de cette époque?Parmi les politiques: le maire, Alexandre de Fraissinette (modéré), et son premier adjoint, qui lui succédera à sa mort, le radical Michel Durafour. Parmi les architectes: Edouard Hur et Henri Gouyon, concepteurs de Beaulieu I. Et, bien sûr, l'Etat, qui reste très présent. C'est lui qui, de manière générale, garde la haute main sur l'urbanisme. Beaulieu constitue une opération nationale, décidée de Paris. Cependant, ce qui est remarquable, c'est que, pour Beaulieu I, l'Etat va accepter de composer.Dans quels domaines?Le ministère de la Reconstruction souhaitait, ici comme ailleurs, que l'opération fût entièrement industrialisée. Autrement dit, que l'on adaptât au bâtiment les méthodes de l'automobile. Les constructions devaient se faire en préfabriqué, et l'on devait se contenter de les monter sur place. Mais, à Saint-Etienne, les architectes, soutenus par le maire, s'opposent à cette directive. Parce qu'ils sont expérimentés, et reconnus, ils vont obtenir gain de cause. Et heureusement.Y a-t-il eu des projets, conçus à cette époque, qui n'ont pas vu le jour? A la fin des années 1950, l'Etat fait appel à de grands architectes pour remodeler les villes. A Saint-Etienne, c'est Dufau, distingué par le prix de Rome, qui est choisi. Il présente un projet radical: raser les 70 îlots qui se trouvent à l'est de la Grand-Rue, entre la place du Peuple et Bellevue, et les remplacer par autant de tours et de barres! Son projet, finalement, ne sera appliqué qu'en partie. Au sud, jusqu'à Bellevue, presque tout est démoli, beaucoup de tours et de barres sont construites. Au nord, les démolitions sont également presque systématiques, mais, cette fois, les nouveaux immeubles reproduisent la forme traditionnelle de l'îlot. On détruit également une partie du quartier derrière la grande poste, ainsi que l'ancienne caserne de Tréfilerie et la prison de Bizillon. Le futur Centre-Deux...
C'est cela. Au départ, l'opération se nomme «prison-Tréfilerie», mais les promoteurs, qui ont le sens du commerce, préfèrent la rebaptiser. Ce quartier est conçu comme un centre d'affaires à l'américaine, type la Défense, à Paris, ou la Part-Dieu, à Lyon. On explique aux élus que, s'ils veulent que Saint-Etienne devienne une grande ville, ils doivent la doter d'un centre d'affaires, avec des immeubles atteignant 100 ou 150 mètres de hauteur, comme aux Etats-Unis! Le projet est lancé (en 1969), mais il sera peu à peu amendé, pour tenir compte de la réalité économique, de la montée des oppositions et de l'évolution des mentalités.
Comment l'économie stéphanoise se porte-t-elle alors?
La ville croit encore à l'avenir de la mine et des industries traditionnelles. Cela se comprend: le plan Monnet pour la relance de l'économie française s'appuie sur l'énergie, les transports, les industries lourdes... Bref, tous les points forts de Saint-Etienne, mais ce sera un cadeau empoisonné, car, bercée par cette illusion, la cité s'endort. Quand elle se décidera à moderniser ses structures industrielles, ce sera toujours avec quelques années de retard. Au fond, c'est dans les années 1950 que l'on commet les erreurs qui conduiront, plus tard, au démantèlement des industries locales.
Le secteur tertiaire a-t-il déjà commencé son essor?
Pas encore. Dans les années 1950, Saint-Etienne reste une ville très fortement industrielle. La tertiarisation, avec l'enseignement supérieur, la transformation de l'hôpital en centre hospitalier régional et universitaire et l'essor de Casino, avec les supermarchés et les hypermarchés, ne commencera véritablement que dans les années 1960.
Culturellement, la ville est aussi très active...
Elle est même, à ce moment-là, l'un des hauts lieux de la création culturelle en France, notamment dans les domaines théâtral et artistique. Maurice Allemand fait du musée de Saint-Etienne l'un des plus grands musées d'art moderne en France. Et Jean Dasté propose au public le théâtre moderne. Ce bouillonnement est dû, notamment, à Alexandre de Fraissinette. Comme, après lui, Michel Durafour, il est persuadé que l'avenir de la cité est dans la modernité. Il considère donc qu'elle doit être déclinée dans tous ses aspects: économique, urbanistique et culturel.
La population comprend-elle cette volonté?
Oui et non. Dans les années 1950, il existe un certain consensus, car tout le monde partage la vision d'un avenir meilleur. Mais, en réalité, Fraissinette, et surtout Durafour, sont très décalés. Dans leur obsession d'une ville «blanche», ils refusent en bloc le passé, dont on a heureusement découvert depuis lors les richesses. Ils rêvent d'une ville qui n'existe pas, peuplée d'habitants qui ne ressemblent pas aux Stéphanois réels... C'est d'ailleurs ce qui, plus tard, provoquera la chute de Michel Durafour.Le chantier de l'autoroute de Saint Etienne 01 nov. 1965, la video içi www.ina.fr/video/LXC9610041788 - ST-Etienne,Montchovet (Beaulieu III) "la Muraille de Chine" construction 1962-1964, architecte HUR/FARRAT/GOUYON.
Rappelez vous...Aout 1983, François Mitterand, se déplace incognito à la Muraille de Chine à Saint-Etienne. Quelques mois plus tard, la grande réhabilitation de cette barre d’habitation sera lancée.
& le 24 octobre 1987 : visite officielle à Saint-Etienne. Il retourne à La Muraille de Chine pour constater les travaux. Le même jour il se rendra à Saint-Chamond et Roanne.
« En 1983, le président s’est rendu à Montchovet à l’improviste »
François Mitterrand est venu une première à Montchovet en 1983 incognito. Pourquoi une telle démarche ?
C’est l’architecte Roland Castro qui a convaincu le président d’aller dans des quartiers populaires. Son but était de lui montrer où vivaient les gens à cette époque et qu’il fallait entreprendre un programme de rénovation.
François Mitterrand m’a appelé et m’a dit d’organiser trois ou quatre » descentes » sur le terrain mais le président ne voulait ni policiers, ni gendarmes. Il m’a simplement demandé d’avertir, par correction, le préfet une fois arrivé. C’était d’ailleurs le meilleur gage de sécurité car lorsque vous n’êtes pas attendu, il n’y a pas de risques. Nous sommes donc allés à Saint-Etienne à Montchovet, aux Minguettes à Lyon, dans le 93.. et, à chaque fois, à l’improviste
> Quelle a été la réaction des habitants ?
Ils étaient très étonnés de croiser le président de la République dans leur cage d’escaliers ! Partout, nous avons reçu un accueil très chaleureux.
Nous étions quatre : le président, Roland Castro, un policier et moi-même. Je me souviens qu’aux Minguettes, le président a été invité par une famille pour boire le thé. Les habitants étaient très heureux que le président s’intéresse à eux.
> Comment François Mitterrand a-t-il réagi en voyant la vie de ses quartiers ?Il était fasciné. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était, pour lui, une découverte mais il était un rural et le fait de se confronter à la vie de ces gens qui vivaient dans de grandes barres fut enrichissant.> Ces visites impromptues ont-elles été suivies d’effets ?Oui car la mission Banlieues 89 est née de ces visites de terrain. Ce fut d’ailleurs la naissance de la politique de la ville.> En 1987, cette fois, la visite fut officielle - Proposer de nouveaux logements dans une démarche environnementale forte. Dans la poursuite des opérations engagées depuis 2001 (démolition de la Muraille de Chine en 2000, implantation du CHPL, de l ’AIMV en 2005), une qualité résidentielle s'affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d'habitat variée (en forme comme en type de produits). Le dynamisme du quartier s'appuie sur l'accueil et le développement de services, d'activités économiques et d'équipements d'agglomération (centre nautique, Nouveau Théâtre de Beaulieu...) et de proximité (salles de sport, travaux dans les écoles). Les atouts paysagers du site sont pleinement exploités dans une démarche environnementale forte. L'aménagement des espaces libres et la requalification des axes structurants et de desserte renforcent les liaisons internes aux quartiers et les ouvrent sur l'ensemble de la ville. Beaulieu, un patrimoine de qualité, valorisé et adapté à ses occupants
40 logement ont été adaptés au vieillissement de leur occupants (bacs à douche, volets électriques, aménagement des ascenseurs, …). L'amélioration des espaces extérieurs, résidentiels ou publics (rue K.Marx, square Renoir, allée Clémenceau) viendra rendre plus conviviaux ces lieux de vie partagés. Petite Marandinière : une cité jardin qui se rénove en gardant son caractère Sur la Petite Marandinière, 320 logements de Métropole Habitat ont été rénovés. Les bâtiments ont été transformés pour arriver à 32 logements, avec création de T3, T4, et T5 en tenant compte de la rénovation thermique et du confort des logements. 54 logements ont été construits, répartis en 6 bâtiments à l'architecture contemporaine et fonctionnelle (surfaces généreuses, double ou triple orientation, terrasse ou loggia). En parallèle, les espaces publics ont été réaménagés dans une démarche environnementale durable et innovante : résidentialisation et embellissement des espaces extérieurs, traitement paysager d'ensemble, requalification des voiries et des circulations douces adaptées aux usages, gestion optimisée du stationnement et des eaux pluviales...Une nouvelle mixité pour le quartier : les maisons de ville "Jardins Sembat" 22 maisons de ville (du T3 au T5) ont été construites à l’angle de la rue Marcel Sembat et du boulevard de Fraissinette. Conçu et développé par l'équipe XXL-Civita-Spirit, ce projet se caractérise par la qualité de la construction (matériaux durables, aménagement soigné des espaces extérieurs…) et par la mise en valeur paysagère du site, ouvert sur les collines du Pilat. 3 types de maisons ont été proposées en location libre : maisons jumelées le long du boulevard de Fraissinette, maisons en pente en fond de parcelle adossée au talus, maisons patio au cœur de l’îlot. Un nouveau centre nautique sur le secteur Loti Souhaité par les habitants, exemplaire d’une démarche participative de coproduction, le centre nautique Yves Naime a été ouvert à l'été 2013, en remplacement de l'ancienne piscine de la Marandinière. Ce centre nautique comprend un bassin sportif (25m, 6 lignes d'eau), un bassin destiné aux activités ludiques (bains bouillonnants, aquagym...), une pataugoire et des plages extérieures.Grande Marandinière : un secteur d'habitat en développement . Après la démolition de la barre Sisley et celle en cours de la barre Féguide, c'est un nouveau quartier qui se dessine sur ce secteur. La reconfiguration de la rue Sisley en voie de promenade avec des vues en belvédère et l'aménagement d'une « coulée verte » ont profondément modifié le paysage urbain du secteur. Ce nouvel environnement a permis à Métropole Habitat de réaliser un programme immobilier de 27 logements locatifs. Dans ce bâtiment collectif moderne et fonctionnel, chaque logement comporte un espace extérieur privatif, balcon ou terrasse. Au rez-de-chaussée, des locaux d'activités (centre social espace-loisirs) ou de services sont déployés le long de la nouvelle rue Sisley. La Palle : des résidentialisations de qualité
La résidentialisation des immeubles du boulevard de la Palle apporte aux habitants de nouvelles terrasses privatives en rez-de-chaussée, des espaces en cœur d’îlots plus agréables, et de nouveaux parcours piétonniers avec aires de jeux. Elle s’accompagne de la réhabilitation des immeubles (réfection des façades, changement des garde-corps…). Des opérations de résidentialisation ont été menées immeuble par immeuble de 2006 à 2009. Elles permettent de définir les limites entre les parties publiques ouvertes à tous, et les parties privées. Des petits jardins privatifs sont ainsi aménagés pour chaque logement de rez-de-chaussée.
Le Pont Aven : du logement social à haute performance environnementale
Développé par Métropole Habitat, le Pont-Aven est un exemple en matière de construction écologique. Il accueille 20 logements sociaux du T2 au T5. L’ensemble de la conception du bâtiment intègre des critères environnementaux : parois extérieures en brique mono-mur, eau chaude solaire, chauffage collectif au gaz naturel, ventilation intérieure à double flux pour une meilleure circulation de l’air, équipements électriques et sanitaires économes en énergie. La toiture végétalisée permet quant à elle une meilleure conservation de la fraîcheur en été, les auvents du toit protègent les fenêtres du soleil et les eaux de pluie seront récupérées pour arroser les espaces extérieurs…Résultat : une diminution des rejets en CO2 et une baisse significative des charges de chauffage pour les locataires.
Favoriser l'accessibilité et les relations inter-quartiers Le réaménagement du boulevard de la Palle a favorisé une meilleure desserte du quartier en transports en commun. Une station de taxis, des pistes cyclables et des pelouses ont été aménagées le long du boulevard, sécurisant ainsi la traversée piétonne entre les terrasses Roinat et le centre hospitalier. A l'intérieur du quartier, la trame piétonnière a été développée dans le principe d'une continuité paysagère entre les différents secteurs. Initiée avec l’aménagement des terrasses Roinat, une coulée verte, nouveau poumon vert du quartier, facilitant la circulation des piétons et des cyclistes, relie désormais le boulevard de la Palle, et plus loin le bois d'Avaize, au Parc de l'Europe. - Après la seconde guerre mondiale, un immense chantier s'ouvre en France dans le but de loger massivement une population démunie, les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre , le film parle de St-Etienne entre autre avec les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée : www.dailymotion.com/video/xgj74q .
Jusqu'au milieu des années 1970, cette période dite des « Trente Glorieuses l'après guerre et montre la plupart des grandes réalisations de 1945 à 1960. A travers les exemples de la région parisienne et de quelques grandes villes françaises sont posé les problèmes de la diversité architecturale, de l'esthétique et de l'harmonie entre le passé et l'avenir. Les images montrent les grands ensembles de Beaulieu, la Marandiniére, à Saint-Etienne, la cité le Haut du Lièvre à Nancy, des cités à Sarcelles, Asnières, Bron-Parilly, Epinay, Pantin, Bobigny, la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille, le front de mer à Royan, la video de l'Année 1962, une réalisation de Philippe Brunet içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz » fut le terrain de nombreuses expérimentations architecturales et urbanistiques, fondées notamment sur les idées émises plus tôt dans le siècle par le Mouvement moderne.
Aujourd'hui, ces ensembles bâtis sont au cœur d'une autre actualité, liée à leur adaptation à l'évolution des modes de vie de notre société contemporaine. Cette question qui se posa dès la fin des années 1970 apparaît sous un jour nouveau, avec les premières démolitions dans les années 1980 et, plus récemment, le vaste programme de réhabilitation mis en place dans le cadre de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain.
Après Les Grands Ensembles. Une histoire qui continue…, ce nouvel ouvrage, fruit de la collaboration entre l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Saint-Étienne et l'Université Jean Monnet, apporte un éclairage nouveau sur cet héritage bâti, mettant au jour simultanément la question de son vécu et celle des acteurs engagés dans son édification. En réunissant quinze auteurs spécialistes de ce domaine, il s'agit de regrouper autant de points de vue, pour comprendre la diversité et la complexité des enjeux liés à la postérité de ce bâti. - « Petite enquête sur Beaulieu – Le Rond-Point », La Tribune du centre et du sud-est, 13 octobre 1955 et « Le chantier de Beaulieu – Le Rond-Point (1ère tranche) sera terminé le 30 juin 1956 très exactement »,La Tribune du centre & du sud-est, 26 juin 1956 -
«St-Etienne, la place des grands ensembles dans l’histoire de l’habitat social français »
Saint-Étienne/Beaulieu, au sud-est de l’agglomération, sur le versant sud de la colline de Beaulieu, en forte pente et d’aspect semi-rural, la cité de Beaulieu est mise à l’étude dès 1950. Elle débute en 1953 et comprend 1 221 logements, un groupe scolaire et 35 boutiques. Des parrains prestigieux et l’élite de l’architecture sté- phanoise sont mobilisés pour ce premier grand ensemble local.
Tantôt les bâtiments suivent le dessin de la courbe de niveau 600, devenue rue Le Corbusier, tantôt ils s’installent perpendi-culairement à la pente, reliés à la rue par des passerelles ou de grands escaliers. A l’implantation exemplaire des bâtiments répond une maîtrise raffinée du végétal d’accompagnement, décliné selon les modes habituels aux squares urbains, avec une virtuosité étonnante dus aux talents de l’ingénieur des Services techniques de la ville, Jean Marc, associé à l’équipe de concep-tion dès l’origine de l’opération.
Le vocabulaire de l’art des jardins s’adapte au grand ensemble : les espaces sont découpés à partir des courbes de niveau et des allées, et caractérisés par un système de haies et de contre-haies (haies étagées doubles ou triples) constituées de troènes com-muns ou dorés, prunus, berbéris et buffets de laurier, et sont plantés d arbres rythmés et colorés (érables négundo et acacias), ou parfois fastigiés (la gamme d’arbres est d’ailleurs peu riche), selon un dessin géométrique et des alternances de couleurs. Ces espaces verts ne sont réalisés qu’à partir de 1964, après avoir été longtemps laissés en prairies fauchées. Cet état de fait, dû au départ à l’étirement des financements des projets d’espaces exté-rieurs, s’inscrivait aussi dans la logique de conception de notre ingénieur, qui pensait « qu’il était nécessaire de laisser vivre un groupe d’habitations avant de planter » – afin de reprendre notamment les chemins tracés par l’usage.
Cette réalisation révèle le décalage entre les réflexions et les savoir-faire architecturaux et paysagers et exprime quelques traits caractéristiques de la pratique paysagiste. Le festonnage des haies qui jalonne les espaces extérieurs rejoint celui des collines boca- gères surplombant les bâtiments. Il rappelle le site environnant et inspirera plus tard l’AUA et Alexandre Chemetoff pour la réhabilitation du quartier de Montreynaud.
Relevons que, sans l’action concertée des services de la ville et de l’office d’HLM, qui finança entièrement la réalisation des espaces verts, rien n’aurait été fait à cette époque, compte tenu du désintérêt pour cet aspect du projet des principaux responsables du chantier. « D’ailleurs, à cette époque, les architectes ne jouaient pas au paysagiste… », queleques superbes videos du Ministere de la Cohésion et des Territoires içi : .Naissance d'une banlieue mort d'un village 2000 www.dailymotion.com/video/x1a98iz
Réalisateur : Sidney Jézéquel Production : Les Films Roger Leenhardt Sujet : la commune de Goussainville (95) --------
Quatre murs et un toit 1953 www.dailymotion.com/video/xk6xui Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) ----------------Le Bonheur est dans le béton www.dailymotion.com/video/x413amo - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie ---------------------Beaulieu par son constructeur la Cimaise :" Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.--- Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq ----
SAINT-ETIENNE BEAULIEU une barre d’habitation innovante
A l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.
Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons. Conception et réalisation d’un quartier entier. Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine la plus grande barre d'Europe avec 540 appartements à sa livraison mi 1964, les chantiers de l'OPAC devenu Métropole-Habitat, www.ina.fr/video/LY00001263522 », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période. Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.
Un projet pharaonique
Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecte
De toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. www.cimaise-architectes.com/realisations/divers/construct... cité HLM labellisée Patrimoine du XXeme siecle -"Il faut bien le dire, avant même d’être livré, Beaulieu est l' un des grands-ensembles, parmis 6 autres qui fasçinait en 1954..En effet c'etait le début de la longue & grande histoire des chantiers de l'Office Public de l'Aménagement et de la Construction* içi, ou à Montreynaud, Solaure, Monthieu etc
( l'OPAC l'office public de logements sociaux, devenu plus tard Métropole-Habitat, est la plus importante au niveau National, c'est la plus grosse boite d'HLM). Bref, les habituels promeneurs du coin genre les "Bois du Four (la Metare, le nom ançien, qui par ailleurs appartenait a Mme de Métarie une veuve riche qui légua son domaine soit "la Métare" à la ville, pour un Franc symbolique à l'epoque et aux CHU anciennement les HCL Hospiçes Civils de la Ville comme à Lyon... (on notera qu il y a des tas de logements en centre ville propriété du CHU)..se rendant le dimanche
dans le Pilat ou à Rochetaillée et sur les collines* alentours (on en a 7 comme a Rome) font un léger détour par le chantier. Ils constatent alors de visu cet avancement des travaux que la presse qualifie de « belle prouesse ». Le rythme est en effet rapide : « un étage par semaine » pour certaines barres, comme le raconte un témoin. Les « grandes maisons », soient les immeubles de hauteur et nombre de logements importants (IGH), étant alors encore rares dans la
ville, les Stéphanois n’y sont pas habitués@ les H.L.M. Beaulieu est la 1ere cité Stéphanoise de toutes,. Les barres de dix-sept et quatorze niveaux gises respectivement rues Gomy Herriot et de Vlaminck, ainsi que la tour de 22 niveaux au 33 rue Le-Corbusier,surprennent donc encore pire pour la plus grande barre d'Europe qui arrvera 7 ans plus tard, la Muraille qui mettront certains certaines à la renverse , le gigantisme à l'état brut, du lourd.... La référence qui vient à l’esprit de beaucoup ajoute à la fascination : l’Amérique. « C’est New-York ! c'est tres joile, tres vert... », se rappelle avoir pensé un habitant de la première harre...Mais plus que les immeubles, ce sont surtout les logements qui emportent l’adhésion des « heureux locataires », comme aime à les appeler la presse tout court. La satisfaction procurée aux habitants par l’hygiène et le confort des logements des Grands-Ensembles soit les quartiers NEUF est une information connue, les études de sciences humaines sur le sujet abondent. Aussi, pour le cas de Beaulieu devenu un cas d'Ecole idem pour Montchovet (Beaulieu3) et les transformations de la Marandiniere (Beaulieu2)...Les entretiens réalisés avec des locataires n’apportent pas sur ce point-ci d’éléments nouveaux :les premiers motifs de satisfaction invoqués sont, comme pour bien d’autres Grands-Ensembles Français,
l’eau courante, le chauffage central dont sont pourvus les immeubles les plus hauts, les WC intérieurs et salles de bain, l’ensoleillement et la luminosité permis par l’orientation, la hauteur et la disposition des immeubles, les placards et les tout aussi pratiques balcons à parois séchoirs permettant de faire sécher le linge, hiver compris. Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»
L"apres guerre...Que prévoit-on pour la reconstruction? Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée. C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on
Ida tem 7 aninhos e, desde seu nascimento, nunca saiu do próprio quarto. Seus pais, grandes empresários bilionários, nunca quiseram ter filhos. A ideia de cuidar de uma criança e ser responsável por ela pelo resto da vida não soava bem aos ouvidos deles. Até que Ida aconteceu.
Era tarde demais para interromper a gravidez e entregar a criança para adoção seria um escândalo terrível. Então quando Ida nasceu eles decidiram que o melhor para eles seria deixar a criança trancada em casa. Assim, as preocupações com o serzinho diminuiriam consideravelmente e quando ela crescesse poderiam dar a mão dela para um filho de alguém importante e passar a responsabilidade para outro.
Eles deixavam a criação dela nas mãos de Jane, a babá de Ida. Jane sempre a tratou como uma princesinha e dava todo o amor e carinho, já os pais só se aproximando dela para as tão pavorosas fotos de Natal. Onde fingiam ser uma família feliz para mostrar aos amigos e sócios. Quando perguntavam sobre Ida, e o motivo dela nunca sair de casa ou frequentar as festas, eles apenas diziam que ela era uma menininha muito doente e não podia sair. Eles faziam Jane contar as mesmas mentiras para a garotinha, mas ela sabia que não era verdade. Ida sabia que estava presa naquele quarto (de princesa, mas frio e solitário) porque seus pais não a queriam. E numa manhã quente de verão ela juntou toda a coragem que tinha, abriu a janela do quarto e fugiu pra sempre daquela família cruel, deixando uma cartinha apenas para Jane, que sofreu terrivelmente e prometeu que acharia garotinha.
Mas os pais apenas se alegraram. Resolveram contar para todos que sua amada filha havia morrido tragicamente de uma doença aleatória e se sentiram finalmente livres daquele fardo.
Por causa dessa vida solitária, Ida é extremamente tímida com pessoas estranhas, mas tem uma sensibilidade enorme, sabendo só de olhar se uma pessoa é boa ou não. Por esse motivo de aproximou de Lucille tão facilmente.
E apesar da vida tão privada que teve não é uma garotinha infeliz, pois foi muito amada por Jane. Mas mesmo assim, achou melhor partir, pois desde pequenininha ela percebia que era apenas um peso na vida dos seus pais. Porém Ida tem esperanças de reencontrar sua querida Jane um dia (moça que ela considera como sua verdadeira mãe.)
Numa paisagem de enormes penhascos, encontra-se a "Garganta do rio Olo", queda de água com 100 metros de altura, integrada no Parque Natural do Alvão. O acesso faz-se pela aldeia de Ermelo. Do Alto do Fojo, avista-se um belo panorama das Fisgas de Ermelo, de onde o rio Olo se despenha.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha, coroado pela ermida da Senhora da Graça.
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Oii gentee
Bom eu não tava com animo nenhum de fazer cenário (que era o que eu tinha em mente), mas pra não deixar o dia passar em branco fiz algo rápido ^-^ E aproveitando a foto pro desafio da semana que o tema é Páscoa.
Meu pai deu um baita susto na gente aqui na quinta. Passamos o dia com ele no hospital e ele quase teve que ser internado devido a gravidade da situação. Mas graças a Deus voltou pra casa e agora vai ficar uns bons dias em repouso. Mas foram momentos muito ruins... é muito dificil ver alguém que você ama sofrer e não saber como ajudar, ver alguém que você considera tão forte se tornar fraco. Meu pai é daquelas pessoas que nunca ficam doentes... mas quando ficam...
Então passamos todos esse dias só os três juntos, dando força e cuidando dele direitinho.
Bom gente, Feliz Páscoa!
Que a data dessa passagem sagrada seja repleta de paz e harmonia.
Que os povos esqueçam a guerra e vivam em confraternização!
Que essa Páscoa não seja apenas o almoço em família, a brincadeira gostosa de esconder os ovos de chocolate e ver a alegria das crianças quando encontram... que não seja também a tristeza daqueles que vão estar sozinhos ou dos que não podem comemorar com festas e chocolates... ou daqueles que estão doentes e sem esperanças.
Que nesse dia todos tenham capacidade de entender o verdadeiro sentido da Páscoa. Que seja renovado em cada um a fé, a esperança, a capacidade de recomeçar, de perdoar, de respeitar o próximo, de pelo menos se esforçar para viver em harmonia e equilíbrio
Bjs =**
Mais uma do Mingau, o gato das patas, nariz e orelhas cor-de-rosa.
Engraçado como há males que vem para o bem... Provavelmente ter sido rejeitado pela sua ex-dona foi a melhor coisa que poderia ter acontecido pra este gatinho. Tanto que ele nem parece ter sentido a mudança de casa e de família. Se é que ele considera o lugar onde ele vivia antes como casa e as pessoas que o cercavam como família, né!
Acho que vocês ainda vão ver muitas fotos desse gatinho por aqui!
Je réitère mon souhait: s'il y a une orchidée ornementale endémique de Colombie qui me parait parfaite, que je rêverais de voir et de photographier fleurie dans son habitat naturel mais dont je n'ai pas idée d'oú la voir in situ, c'est Miltoniopsis phalaenopsis ! J'espère que ce soit encore possible et qu'elle ne soit pas éteinte... Si quelqu'un connait un endroit précis oú la voir qu'il me contacte en privé, pas de divulgation de sites en public pour la protéger svp.
I make my wish again: if there is an endemic ornamental orchid from Colombia I consider perfect and would dream to see and picture in its native habitat but have no clue to where to find it wild, it is Miltoniopsis phalaenopsis! I hope it is still possible and it is no extinct... If someone knows a precise place where to see it, (s)he can contact me in private, not information in public to protect it please.
Reitero mi deseo: si hay una orquídea ornamental endémica de Colombia que me parece perfecta, que soñaría ver y fotografiar en su hábitat natural pero para cual no tengo idea donde poder verla in situ, es Miltoniopsis phalaenopsis. Espero se pueda aún encontrar y no esté extinta ya... Si alguien sabe de un sitio preciso donde verla, me puede contactar en privado, no quiero que se mencione en público para proteger la por favor.
Le Millénaire de la Russie est un célèbre monument en bronze situé dans le Kremlin de Novgorod. Il a été fabriqué en 1862 à l'occasion de la commémoration de l'arrivée du viking Riourik à Novgorod, devenant ainsi le premier prince de la principauté en 862, événement traditionnellement perçu comme le point de départ de l'histoire russe.
Un concours pour la conception du monument fut lancé dès 1859. À l'issue de celui-ci, 2 candidats furent retenus : l'architecte Viktor Hartmann et l'artiste Mikhaïl Mikechine. Mikechine n’était pas lui-même sculpteur, les 129 statues individuelles du monument furent donc réalisées par les plus éminents sculpteurs de la Russie de cette période, à l’instar de son ami Ivan Schroeder et du célèbre Alexandre Opekouchine.
Lorsque le monument fut inauguré le 8 septembre 1862, de nombreuses critiques éprouvèrent le sentiment qu’il était trop surchargé en figures. Au contraire les partisans de l’œuvre de Mikeshin considéraient celle-ci comme en harmonie avec son emplacement médiéval dans le Kremlin, et qu’elle soulignait avec subtilité la poussée verticale et la grandeur de la cathédrale Sainte Sophie.
Durant la Seconde Guerre mondiale, les Nazis démontèrent le monument pour le ramener en Allemagne. Cependant l'Armée Rouge reprit le contrôle de la ville et le monument fut rendu à la vue des habitants en 1944. Une pièce commémorative de 5 roubles fut également réalisée en URSS en 1988 pour célébrer le monument.Le plus cher monument russe érigé à cette époque, il aurait coûté près de 400 000 roubles, la plupart levés grâce à des dons publics. Dans le but de fournir un piédestal approprié pour la gigantesque sculpture, 16 blocs de granit de Sortavala furent apportés à Novgorod, chacun pesant largement 35 tonnes. Le monument en lui-même pèse 65,5 tonnes pour un diamètre de 9 mètres et une hauteur de 15 mètres.
La conception de Mikechine appelait à la grandeur avec une cloche de 15 mètres de haut couronnée par une croix symbolisant le pouvoir du tsar. Tout autour de la cloche furent gravés de nombreux étages de sculptures représentant les monarques de Russie, les clercs et les courtisans ayant vécu durant des périodes variées de l’histoire du pays.
La version en anglais de cet article offre une étude détaillée des figures présentées sur ce monument :
Era de madrugada, una madrugada fria y desapacible cuando sentí un extraño cosquilleo en la nuca, como si alguien o tal vez algo me estuviera observando. Temí por un momento mirar hacia arriba... Sabía que había algo maligno cerca. Sabía que si volvía la cabeza ya nada sería igual en adelante, como si el mal que habitaba en cada esquina, en cada grieta fuera a colarse en mi alma en cualquier momento con la intención de quedarse allí para siempre.
Sabía el terror que me deparaba girar la cabeza. Bastaría con seguir adelante para evitarlo. Pero sabía que eso era imposible. Mi destino, si existía tal cosa, estaba escrito.
Me detuve. Miré mis pies atrapados en los zapatos, como si una mordaza de cordura todavía persistiese en aquellos lazos anudados.
Entonces me giré y miré hacia el cielo.
Siento el mal dentro... incrustado para siempre en mi, como un liquen que fuera capaz de crecer con un aire envenenado.
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Capoeira - Antonio Marin Jr
A capoeira ou capoeiragem é uma expressão cultural brasileira que mistura arte marcial, esporte, cultura popular e música. Desenvolvida no Brasil por descendentes de escravos africanos, é caracterizada por golpes e movimentos ágeis e complexos, utilizando primariamente chutes e rasteiras, além de cabeçadas, joelhadas, cotoveladas, acrobacias em solo ou aéreas.
Uma característica que distingue a capoeira da maioria das outras artes marciais é a sua musicalidade. Praticantes desta arte marcial brasileira aprendem não apenas a lutar e a jogar, mas também a tocar os instrumentos típicos e a cantar. Um capoeirista que ignora a musicalidade é considerado incompleto.
Considera-se que a capoeira tenha surgido em fins do século XVI no Quilombo dos Palmares, situado na então Capitania de Pernambuco.
A Roda de Capoeira foi registrada como bem cultural pelo IPHAN no ano de 2008, com base em inventário realizado nos estados da Bahia, de Pernambuco e do Rio de Janeiro, considerados berços desta expressão cultural. E em novembro de 2014, recebeu o título de Patrimônio Cultural Imaterial da Humanidade pela UNESCO.
O Monte Farinha eleva-se, a um altitude de cerca de mil metros, ostentando no topo a venerada ermida de Nossa Senhora da Graça. Local mágico e cativante recheado de história e de vestígios arqueológicos, de lendas e de tradições. Local privilegiado para os amantes da natureza e emblemática referência desportiva, é destino obrigatório dos caminhos da fé, da religião e do turismo nacional e internacional.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha, coroado pela ermida da Senhora da Graça.
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Italien / Piemont - Carmine Superiore
San Gottardo
The ancient village of Carmine Superiore
Carmine Superior is a medieval village, well preserved and accessible only by foot from the village of Carmine Inferiore below. Rises above a rocky leaning towards the lake in a panoramic position and is inserted into a valuable environmental context. The layout of the buildings is typical of medieval recipes and if we consider the location and the strong consistency of housing is easy to see how he could provide an excellent defense system.
THE CHURCH OF Gotthard
Jewel of the medieval village of Carmine Superiore fourteenth century church of San Gottardo, dedicated to the Saxon bishop perhaps stayed here during a trip to Rome.
(turismocannobio.it)
Carmine Superiore ist eine Fraktion der italienischen Gemeinde (comune) Cannobio in der Provinz Verbano-Cusio-Ossola, Region Piemont.
Geographie
Der mittelalterliche Ortsteil liegt zwischen Cannobio und Cannero Riviera am Westufer des Lago Maggiore auf 305 m und ist nur zu Fuß erreichbar. Vom weiter unten liegenden Ortsteil Carmine Inferiore (205 m) führt ein teils steiniger Spazierweg hinauf.
Geschichte des Ortsteils
Mittelalter
Das sehr gut erhaltene mittelalterliche Dorf wurde um das Jahr 1000 gegründet, um den Zugang zu Cannobio zu verteidigen und die Einwohner der weiter unten liegenden Ortschaften bei Gefahr zu beherbergen. Ursprünglich war Carmine Superiore die Hausburg einer Adelsfamilie aus Cannobio. Die um 975 auf einem steilen Felsvorsprung erbaute Burg, die einen weiten Blick auf das Westufer des Lago Maggiore und die dahinter aufragenden Berge der Lombardei bietet, galt damals als uneinnehmbar. Bei drohender Gefahr bot die Burg den Bewohnern aus der Umgebung einen sicheren Schutz. Aus dieser kleinen Festung entstand im Laufe der Jahrhunderte das heutige Dorf Carmine Superiore, geprägt von Steinhäusern, welche rund um die Kirche San Gottardo aus dem 14. Jahrhundert gebaut sind. Als übrig gebliebene Zeugnisse alter Weinberge befinden sich am Rande von Carmine Superiore Terrassen aus Trockenmauern, welche als Festungsmauern einer Bastion auf dem abschüssigen Gelände dienten. Die Anordnung und die solide Konstruktion der Gebäude sind typisch für eine mittelalterliche Fluchtburg, die sich als ein wirksames Verteidigungssystem auf einer natürlichen Anhöhe erwies.
Neuzeit
Früher war Carmine Superiore dicht besiedelt. Viele Bergbauernfamilien aus der Umgebung der Ortschaft betrieben intensive Landwirtschaft in einer terrassierten Kulturlandschaft. Seit dem Ende des Ersten Weltkrieges jedoch verließen die Bewohner nach und nach ihre Heimat, da der Bergbauernberuf nicht genug einbrachte. Bedingt durch einen regen Tourismus haben sich hier aber inzwischen wieder ehemals Einheimische, aber auch neu zugezogene Einwohner niedergelassen, die Wert darauf legen, die Tradition des Dorfes zu pflegen und zu erhalten. Die Häuser sind dank intensiver Restaurierungsmaßnahmen heute größtenteils in gutem Zustand.
Geschichte und Architektur der Kirche San Gottardo
Der Bau der romanischen Kirche San Gottardo mit einem spätromanischen Glockenturm wurde im Jahre 1332 begonnen und erst 70 Jahre später vollendet. Dies zeigt eine Inschrift über dem Hauptportal. In einer weiteren erst 1431 abgeschlossenen Bauphase wurde die Kirche erweitert, um der wachsenden Zahl von Gläubigen gerecht zu werden. Geweiht wurde die Kirche im Jahre 1574 von Karl Borromäus. Bis etwa 1875 diente der Vorplatz der Kirche als Friedhof.
Die aus dem 14. Jahrhundert stammenden inneren und äußeren Fresken zeigen Szenen aus der Bibel nach ambrosianischer Tradition. Von außen sind insbesondere die Heiligen Gottardo und Christopher zu sehen. Auf dem Gewölbe ist der von den Evangelisten umgebene Christus abgebildet. Die Wand hinter dem Altar zeigt das Fresko einer Kreuzigung sowie ein weiteres Fresko der Heiligen Gottardo und Peter. Auf den Gewölben befinden sich zwölf Szenen aus dem Leben des heiligen Gottardo.
Carmine Superiore gehörte bis ca. 1710 zum Herzogtum Mailand. Damals weihten die Herzöge der Familie Visconti die Kirche dem heiligen Gotthard, dem Schutzpatron der Gichtkranken. Bis heute pilgern Kranke und Gebrechliche hierher, die sich Linderung und Heilung ihrer Krankheiten erhoffen.
Im Jahre 2001 wurde die aufwändige Restaurierung der Kirche und ihrer Fresken seitens der Gemeinde Cannobio fertig gestellt.
(Wikipedia)
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Roteiro Caminhos de Pedra
Idealizado pelo Eng. Tarcísio Vasco Michelon e pelo Arq. Júlio Posenato o roteiro Caminhos de Pedra visa resgatar, preservar e dinamizar a cultura que os imigrantes italianos trouxeram à serra gaúcha a partir de 1875.
O Roteiro passou a ser concebido quando da realização de um levantamento do acervo arquitetônico de todo o interior do município de Bento Gonçalves, ocorrido no ano de 1987. Constatou-se então que a Linha Palmeiro e parte da Linha Pedro Salgado, área abrangida basicamente pelo Distrito de São Pedro, composto por 7 comunidades, (São Pedro, São Miguel, Barracão, São José da Busa, Cruzeiro, Santo Antonio e Santo Antoninho) possuía o maior acervo de casas antigas, conservava sua cultura e história, tinha acesso fácil e, conseqüentemente, um grande potencial turístico, apesar da decadência e abandono por que vinha passando desde a década de 1970 com a mudança de traçado da rodovia que ligava Porto Alegre ao norte do estado.
Esse precioso acervo material, parcialmente abandonado e esquecido, exigia uma ação rápida para não ter a mesma sorte de tantas e tantas casas de pedra, madeira e alvenaria que acabaram ruindo ou sendo demolidas. Com recursos do Hotel Dall’Onder as primeiras 4 casas foram restauradas e passaram a receber visitação e outras tiveram obras emergenciais. O primeiro grupo de turistas proveniente de São Paulo, através da Operadora CVC foi recebido na Casa Merlo, Casa Bertarello, Ferraria Ferri e Cantina Strapazzon em 30 de maio de 1992.
O sucesso do novo roteiro animou tanto os idealizadores quanto a comunidade. Em 10 de julho de 1997, com assessoria do SEBRAE foi fundada a Associação Caminhos de Pedra, congregando empreendedores e simpatizantes. Montou-se então um projeto abrangente que contemplava o resgate de todo o patrimônio cultural, não só o arquitetônico, envolvendo língua, folclore, arte, habilidades manuais, etc. Este ambicioso projeto foi aprovado pelo Conselho Estadual de Cultura em 10 de agosto de 1998 passando a partir de então a captar recursos das empresas locais através da recém criada LIC (Lei de Incentivo à Cultura do Estado do RS).
Atualmente a Associação Caminhos de Pedra conta com mais de uma centena de associados e o projeto, considerado pioneiro no Brasil em termos de turismo rural e cultural, está recebendo uma visitação média anual de 60.000 turistas. O roteiro está em expansão e possui 15 pontos de Visitação (assinalados em vermelho no mapa) e 56 pontos de Observação Externa (assinalados no mapa com letra verde).
De acordo com a Lei Estadual 13.177/09, que nos declarou patrimônio histórico do RS, considera-se como área de abrangência dos Caminhos de Pedra a Linhas Palmeiro e Pedro Salgado, localizadas nos municípios de Bento Gonçalves e Farroupilha, até o limite do município de Caxias do Sul, passando por Caravaggio.
Seguem algumas informações históricas
O surgimento da Linha Palmeiro
O Presidente da Província de São Pedro do Rio Grande do Sul, João Sertório, encarregou em 4 de abril de 1870 o engenheiro Major José Maria da Fontoura Palmeiro de proceder à medição e demarcação dos territórios que ele mesmo, por Ato de 24 de maio de 1870, denominou de colônias Conde D’Eu (hoje Garibaldi) e Dona Isabel (hoje Bento Gonçalves) onde mandou construir em cada uma um barracão para abrigar os colonos. Em homenagem ao seu demarcador o primeiro território demarcado na Colônia Dona Isabel passou a se chamar Linha Palmeiro.
O local que acolheu o Major Palmeiro em 1870 e posteriormente os imigrantes italianos a partir do final de 1875 é o atual bairro do Barracão, berço, portanto, da cidade de Bento Gonçalves e também porta de entrada dos Caminhos de Pedra. A Linha Palmeiro é uma das maiores linhas da colonização italiana com 200 lotes de 48,4 ha cada.
Esta Linha que, inicialmente, não passava de uma picada tortuosa no meio da mata tentando acompanhar uma linha imaginária reta que foi se desenvolvendo rapidamente pois era o único eixo de ligação entre a Colônia Dona Isabel com a Colônia Caxias. A picada foi virando estrada carroçável pelo trabalho dos próprios imigrantes que vendiam suas diárias ao governo, e posteriormente, passagem dos primeiros automóveis e caminhões.
A prosperidade da Linha Palmeiro é citada em inúmeros relatórios como os do Consul Italiano em Porto Alegre, Enrico Perrod de 1880: “Visitei uma colônia na Linha Palmeiro e encontrei na terra de um só agricultor todas as frutas da Itália: Castanhas, maçãs, pêras, laranjas, cerejas e nozes, juntamente com plantas de café, cana-de-açúcar e fumo.”(cfr. Rovílio Costa et alii, 1992, EST, As Colônias italianas Dona Isabel e Conde D’Eu, pg 21) ou do Cônsul italiano em Porto Alegre, Pascoale Corte, que aponta em seu relatório de 1884: “Atravessando um mato por um estreito caminho, chega-se, após quatro horas de viagem a cavalo, aos confins da Colônia Dona Isabel, exatamente na entrada de uma das linhas mais desmatadas e populosas: a Linha Palmeiro. Ali começa uma estrada carroçável que conduz à sede da colônia. Esta estrada é a mais pitoresca de todas.” (cfr. Rovílio Costa et alii, op. cit. pág 25).
Ao longo de todo o trecho foram rapidamente sendo construídas belas e confortáveis moradias em pedra, madeira e alvenaria, bem como variados empreendimentos comerciais como ferrarias, serrarias, moinhos, etc. Como os lotes eram grandes, normalmente eram assentadas duas famílias por lote, uma em cada extremidade.
O visitante que ingressar nos Caminhos de Pedra pelo Barracão estará, pois, utilizando a mesma porta de entrada dos primeiros imigrantes, revivendo de certa forma, as mesmas sensações dos recém-chegados, através das histórias contadas pelos seus descendentes. Não deixe de dar esse mergulho na história da imigração italiana no Rio Grande do Sul.
Barracão, Berço de Bento Gonçalves
Assim escreve em seu relatório o Agente Consular Italiano em Bento Gonçalves, Luigi Petrocchi, em dezembro de 1905: “A sede da nova Colônia Dona Isabel (hoje Bento Gonçalves), foi traçada em 1875, em um vale entre dois cursos d’água, num local baixo, próximo ao barracão dos imigrantes, e chamada então de cidade branca, devido às tendas feitas de lençóis. Por comodidade, porém, a diretoria transferiu a administração para um local elevado, chamado Cruzinha, no meio de um pinhal, a 3 Km de distância.” (cfr. Rovílio Costa et alii, op. cit. Pág. 73). O imigrante Giuseppe Dall’Acqua em seus apontamentos de viagem assim descrevem o Barracão no ano de 1878: “Depois de um percurso de uma hora e meia pelo mato virgem, por uma estrada íngreme, em degraus e barrenta, chegaram, após uma longa descida, a uma várzea perto de um rio, em cuja margem esquerda havia três ou quatro habitações rústicas,(...) e uma alta construção de um só plano e mal vedada, com longas taquaras pregadas na parede, horizontalmente, e cobertas de barro e folhas. Este lugar quase solitário e sem nome, fora destinado para a sede da Colônia Dona Isabel, mas ninguém sabia do motivo do não cumprimento da escolha da localidade para sede da futura cidade. Aquele casarão construído com barro (...) fora edificado para abrigar temporariamente os imigrantes e assim, com o tempo, tanto a localidade como o rio tomaram o nome de Barracão”. (Manuscrito de Giuseppe Dall’Acqua, 1901, in Rovílio Costa e Arlindo Battistel, 1983, Assim vivem os italianos, pág. 1172).
A partir de 1875 o Barracão começou a receber, e hospedar provisoriamente as primeiras levas de imigrantes. Ali eles recebiam seus lotes, algumas ferramentas, sementes e um pouco de alimentos. Isso, porém, só acontecia após uma longa espera que podia chegar a diversos meses. Os colonos eram cadastrados e tudo o que recebessem, inclusive alimentos, ferramentas e principalmente a terra, era-lhes lançado como dívida com o Governo Imperial que deveria ser quitada no prazo de 10 anos. Tudo foi planejado para que o local fosse a sede da colônia Dona Isabel, mas já em 1876, não se sabem bem os motivos, a sede da colônia foi transferida para onde hoje é o centro da cidade de Bento Gonçalves.
Patrimônio Histórico e Cultural do RS
Graças à restauração das casas e a visitação turística desencadeou-se nas comunidades que o compõem um movimento cultural que permitiu o surgimento de várias iniciativas que visam preservar não só o patrimônio material, mas também o imaterial. Exemplos dessa vitalidade cultural que palpita em todo o Roteiro são a preservação do dialeto “talian” (língua típica dos imigrantes do lugar), a Casa da Memória e os grupos artístico-culturais (dança italiana, flauta doce, banda musical, orquestra de câmara, coro e teatro) que se apresentam em ocasiões especiais ou por solicitação expressa nos restaurantes do Roteiro.
O fato de concentrar o maior acervo arquitetônico da imigração italiana em meio rural do país e a preocupação com a preservação do patrimônio histórico material e imaterial rendeu aos Caminhos de Pedra o qualificativo de “museu vivo”. Em 2009 por iniciativa do Dep. Estadual Jerônimo Pizzoloto Güerguen, e apoio do IPHAE (Instituto de Patrimônio Histórico e Artístico do Estado) foi declarado patrimônio histórico e cultural do RS pela Lei Estadual 13.177/09 promulgada pela então Governadora Yeda Rorato Crusius.
http://www.caminhosdepedra.org.br/pt/?pg=historico
Italien / Piemont - Carmine Superiore
San Gottardo
The ancient village of Carmine Superiore
Carmine Superior is a medieval village, well preserved and accessible only by foot from the village of Carmine Inferiore below. Rises above a rocky leaning towards the lake in a panoramic position and is inserted into a valuable environmental context. The layout of the buildings is typical of medieval recipes and if we consider the location and the strong consistency of housing is easy to see how he could provide an excellent defense system.
THE CHURCH OF Gotthard
Jewel of the medieval village of Carmine Superiore fourteenth century church of San Gottardo, dedicated to the Saxon bishop perhaps stayed here during a trip to Rome.
(turismocannobio.it)
Carmine Superiore ist eine Fraktion der italienischen Gemeinde (comune) Cannobio in der Provinz Verbano-Cusio-Ossola, Region Piemont.
Geographie
Der mittelalterliche Ortsteil liegt zwischen Cannobio und Cannero Riviera am Westufer des Lago Maggiore auf 305 m und ist nur zu Fuß erreichbar. Vom weiter unten liegenden Ortsteil Carmine Inferiore (205 m) führt ein teils steiniger Spazierweg hinauf.
Geschichte des Ortsteils
Mittelalter
Das sehr gut erhaltene mittelalterliche Dorf wurde um das Jahr 1000 gegründet, um den Zugang zu Cannobio zu verteidigen und die Einwohner der weiter unten liegenden Ortschaften bei Gefahr zu beherbergen. Ursprünglich war Carmine Superiore die Hausburg einer Adelsfamilie aus Cannobio. Die um 975 auf einem steilen Felsvorsprung erbaute Burg, die einen weiten Blick auf das Westufer des Lago Maggiore und die dahinter aufragenden Berge der Lombardei bietet, galt damals als uneinnehmbar. Bei drohender Gefahr bot die Burg den Bewohnern aus der Umgebung einen sicheren Schutz. Aus dieser kleinen Festung entstand im Laufe der Jahrhunderte das heutige Dorf Carmine Superiore, geprägt von Steinhäusern, welche rund um die Kirche San Gottardo aus dem 14. Jahrhundert gebaut sind. Als übrig gebliebene Zeugnisse alter Weinberge befinden sich am Rande von Carmine Superiore Terrassen aus Trockenmauern, welche als Festungsmauern einer Bastion auf dem abschüssigen Gelände dienten. Die Anordnung und die solide Konstruktion der Gebäude sind typisch für eine mittelalterliche Fluchtburg, die sich als ein wirksames Verteidigungssystem auf einer natürlichen Anhöhe erwies.
Neuzeit
Früher war Carmine Superiore dicht besiedelt. Viele Bergbauernfamilien aus der Umgebung der Ortschaft betrieben intensive Landwirtschaft in einer terrassierten Kulturlandschaft. Seit dem Ende des Ersten Weltkrieges jedoch verließen die Bewohner nach und nach ihre Heimat, da der Bergbauernberuf nicht genug einbrachte. Bedingt durch einen regen Tourismus haben sich hier aber inzwischen wieder ehemals Einheimische, aber auch neu zugezogene Einwohner niedergelassen, die Wert darauf legen, die Tradition des Dorfes zu pflegen und zu erhalten. Die Häuser sind dank intensiver Restaurierungsmaßnahmen heute größtenteils in gutem Zustand.
Geschichte und Architektur der Kirche San Gottardo
Der Bau der romanischen Kirche San Gottardo mit einem spätromanischen Glockenturm wurde im Jahre 1332 begonnen und erst 70 Jahre später vollendet. Dies zeigt eine Inschrift über dem Hauptportal. In einer weiteren erst 1431 abgeschlossenen Bauphase wurde die Kirche erweitert, um der wachsenden Zahl von Gläubigen gerecht zu werden. Geweiht wurde die Kirche im Jahre 1574 von Karl Borromäus. Bis etwa 1875 diente der Vorplatz der Kirche als Friedhof.
Die aus dem 14. Jahrhundert stammenden inneren und äußeren Fresken zeigen Szenen aus der Bibel nach ambrosianischer Tradition. Von außen sind insbesondere die Heiligen Gottardo und Christopher zu sehen. Auf dem Gewölbe ist der von den Evangelisten umgebene Christus abgebildet. Die Wand hinter dem Altar zeigt das Fresko einer Kreuzigung sowie ein weiteres Fresko der Heiligen Gottardo und Peter. Auf den Gewölben befinden sich zwölf Szenen aus dem Leben des heiligen Gottardo.
Carmine Superiore gehörte bis ca. 1710 zum Herzogtum Mailand. Damals weihten die Herzöge der Familie Visconti die Kirche dem heiligen Gotthard, dem Schutzpatron der Gichtkranken. Bis heute pilgern Kranke und Gebrechliche hierher, die sich Linderung und Heilung ihrer Krankheiten erhoffen.
Im Jahre 2001 wurde die aufwändige Restaurierung der Kirche und ihrer Fresken seitens der Gemeinde Cannobio fertig gestellt.
(Wikipedia)
Photo prise dans la vieille ville de Gartse, province du Sichuan Chine.
Les Khampas sont les habitants du Kham l'une des trois provinces traditionnelles du Tibet, les deux autres étant l'Ü-Tsang (à peu près l'actuelle région autonome du Tibet) et l'Amdo,
Ils ne sont pas reconnus comme une des 56 ethnies de la République populaire de Chine, et sont intégrés au groupe ethnique des Tibétains par la Chine.
L'ancienne province du Kham, dans la partie septentrionale du Tibet historique, a longtemps constitué une terre impénétrable aux étrangers. Elle n'est qu'à-pics vertigineux taillés par les «quatre rivières» (le Yangzi, le Yarlung, le Salween et le Mékong) ou hauts plateaux inaccessibles... Quant à la réputation de ses habitants les plus hostiles, les Khampas, elle remonte à la nuit des temps. Marco Polo les qualifiait déjà de «tueurs sans foi ni loi, pratiquant l'idolâtrie et toutes sortes de magies» et veillait soigneusement à ne jamais traverser leur territoire. Bien plus tard, les caravanes empruntant la route du thé, entre Lhassa et Kangding, furent régulièrement pillées par ces cavaliers de l'apocalypse qui massacrèrent aussi les explorateurs français Dutreil de Rhins (en 1894) et Louis Liotard (en 1940). Dans les années 20, Alexandra David-Néel était bien la seule à leur trouver un air de «gentlemen brigands»... en précisant toutefois que les autres Tibétains les considéraient, eux, comme des barbares.
Connus pour avoir résisté à l'invasion chinoise de 1950 avec les Goloks de la province voisine de l'Amdo, puis avoir assuré la sécurité du dalaï-lama lors de son exil vers l'Inde, neuf ans plus tard, et enfin pour avoir continué leur lutte contre les Chinois avec l'aide de la CIA jusqu'en 1974, les Khampas font aujourd'hui partie des 1,2 million de Tibétains coincés dans la partie annexée par la Chine occidentale. Mais curieusement, cela ne les empêche pas de coexister pacifiquement avec les Han chinois. Ni de disposer de davantage de liberté culturelle et religieuse que leurs compatriotes de l'Ouest, habitants de la région «autonome» du Tibet.
(Rédigé en partie à partir d'un article du Figaro Magazine du 16 mars 2006)
Leça do Balio é uma freguesia portuguesa do concelho de Matosinhos, com 8,88 km² de área e 17 571 habitantes (2011). Densidade: 1 978,7 hab/km². Até 13 de Maio de 1999 a sua designação oficial era Leça do Bailio.
Presume-se que a palavra Leça ou Leza deriva do nome de uma villa romana chamada Decia, Villa Decia. Balio deve fazer alusão a um cavaleiro de grau superior ao de comendador, proprietário de balia, antiga comenda das ordens militares.
De acordo com várias investigações arqueológicas levadas a cabo na região, existem indícios da existência de monumentos megalíticos em freguesias vizinhas, o que poderá significar que Leça de Balio já era ocupada há milhares de anos, desde o período Neolítico. Indícios de um pequeno castro da idade do Ferro foram também encontrados na elevação de Recarei, hoje Lugar de S. Sebastião.
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O pica-pau-anão-de-coleira (Picumnus temminckii) é uma ave piciforme da família Picidae. Também conhecido como pica-pau-anão-de-pescoço-castanho.
Seu nome científico significa: do (francês) picumne, piculet = pequeno pica-pau; e Temminckii = homenagem ao ornitólogo alemão - Coenraad Jacob Temminck (1778–1858). ⇒ Pequeno pica-pau de Temminck.
Características:
Mede aproximadamente 9 centímetros. Alguns autores consideram esta ave como subespécie do pica-pau-anão-barrado (Picumnus cirratus) ao qual realmente se assemelha muito, mas o Comitê Brasileiro de Registros Ornitológicos (CBRO), em resolução publicada em 2001, passou a considerá-las como espécies distintas, sendo que o pica-pau-anão-de-coleira se diferencia do pica-pau-anão-barrado por apresentar uma região de coloração ocrácea na face e pescoço e por ter a coloração geral mais castanha, especialmente nas partes superiores. O macho apresenta as manchas da testa vermelhas enquanto na fêmea estas são brancas. O macho imaturo, já próximo da maturidade, apresenta barras das partes inferiores quase definidas e a testa sem manchas brancas.
Fonte: Wiki Aves.
Leça do Balio é uma freguesia portuguesa do concelho de Matosinhos, com 8,88 km² de área e 17 571 habitantes (2011). Densidade: 1 978,7 hab/km². Até 13 de Maio de 1999 a sua designação oficial era Leça do Bailio.
Presume-se que a palavra Leça ou Leza deriva do nome de uma villa romana chamada Decia, Villa Decia. Balio deve fazer alusão a um cavaleiro de grau superior ao de comendador, proprietário de balia, antiga comenda das ordens militares.
De acordo com várias investigações arqueológicas levadas a cabo na região, existem indícios da existência de monumentos megalíticos em freguesias vizinhas, o que poderá significar que Leça de Balio já era ocupada há milhares de anos, desde o período Neolítico. Indícios de um pequeno castro da idade do Ferro foram também encontrados na elevação de Recarei, hoje Lugar de S. Sebastião.
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Au même titre que la Rose, on l'a considère reine des fleurs, puisque l‘Orchidée fascine les peuples depuis bien longtemps. Elle est symbole d’amour, de luxe et de volupté, de raffinement et de sensualité. Cette fleur fantasmagorique est un symbole de la beauté absolue qui incarne le mythe de la femme idéale, pourtant « Orchidée » vient du mot grec orchis qui signifie « testicule », en référence à la forme des tubercules de certaines espèces. Les Grecs les considéraient comme des symboles de virilité et tout en portant donc le nom d’une partie génitale masculine, elle symbolise la femme ou le sexe idéalisé de la femme; elle se trouve donc être également symbole de l’androgyne initial. L'androgyne est la représentation de l’ancêtre mythique de l’humanité, la réunion des forces primordiales masculines et féminines, l'union du ciel et de la terre.
O Monte Farinha eleva-se, a um altitude de cerca de mil metros, ostentando no topo a venerada ermida de Nossa Senhora da Graça. Local mágico e cativante recheado de história e de vestígios arqueológicos, de lendas e de tradições. Local privilegiado para os amantes da natureza e emblemática referência desportiva, é destino obrigatório dos caminhos da fé, da religião e do turismo nacional e internacional.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha, coroado pela ermida da Senhora da Graça.
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O Monte Farinha eleva-se, a um altitude de cerca de mil metros, ostentando no topo a venerada ermida de Nossa Senhora da Graça. Local mágico e cativante recheado de história e de vestígios arqueológicos, de lendas e de tradições. Local privilegiado para os amantes da natureza e emblemática referência desportiva, é destino obrigatório dos caminhos da fé, da religião e do turismo nacional e internacional.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
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La cámara es la del compañero:
www.flickr.com/photos/113530233@N05/
INFORMACIÓN IMPORTANTE PARA TOD@S L@S INTERESAD@S EN LA ƒ ...
Actualmente dispongo de algunas unidades de la letra, tanto en color blanco como en color negro, según sean para las PEN-F negras o bien para las plateadas.
La copisteria local que las ha realizado me ha cobrado 38,50€ por cada tira de 10 unidades, por tanto las venderé a 4€ unidad, a esto habrá que sumar el importe del sobre y lo que cueste el envío que lo realizare por Correo Certificado, mañana iré a informarme de lo que cuesta una carta certificada (supongo que para toda la Península valdrá lo mismo).
Atenderé las peticiones por el orden de la fecha de la solicitud y si me quedará sin reservas, habrá que esperar a que las fabriquen de nuevo y pueden tardar unos días, pues de hecho me las hacen de favor y aprovechando los espacios que les dejan otras impresiones sobre vinilo del color correspondiente, así pueden hacerme un precio económico sobre tiradas en pequeñas cantidades.
Todos los interesados, por favor (con excepción de quienes ya lo hayáis hecho por email), poneros en contacto conmigo, mi correo es: manelympus@gmail.com, indicando la cantidad que queréis, de que color debe ser la letra así como vuestros datos con la dirección para el envío, no olvidaros del código postal, pues ahora mismo, entre los que lo piden aquí, en grupos de Facebook, a través del messenger, a través del Flickrcorreo, etc., tengo un cierto lío, la verdad.
Yo me pondré en contacto con vosotros confirmando que puedo enviároslas y os facilitare mi numero de cuenta para que me hagáis el ingreso o transferencia, gracias y un saludo.
INSTRUCCIONES BÁSICAS PARA SU COLOCACIÓN...
Para colocarlas, recordemos que es una pegatina o calcomanía, como queramos llamarla... y que por tanto la veremos como un veríamos un "negativo"... lo primero que haremos será, que sin despegar el papel protector con los dedos presionemos fuertemente sobre el mismo para fijar la letra, por si acaso no hubiera quedado suficientemente fijada sobre el plástico transparente que la soporta, dado que ese "palo" tan fino de la ƒ, podría sino quedar "colgando"... una vez hecho esto, procederemos a recortar la letra, especialmente por el lado "curvo" que es el que quedará tocando al engarce del objetivo (guiaros por la imagen de la PEN-F que muestra la letra colocada) pero por la parte superior procuraremos no recortar nada, pues esa parte nos servirá para "encararla" a la cámara... y por tanto será por donde podremos "agarrarla"... y una vez tengamos claro y solamente entonces, que ya la tenemos a punto para colocarla, separaremos el papel protector de la parte de plástico transparente donde se halla la letra pegada y si vieramos que no se despega uniformemente, volver a colocar el papel y volver a apretar la letra a través del mismo, como indique al principio, para que se sitúe bien sobre el plástico y entonces proceder ya a colocarla procurando de que quede recta... haciéndolo de forma suave, por si hay que retocar... y una vez consideréis que esta en su sitio, entonces presionar fuertemente sobre el plástico con los dedos o bien con una tarjeta de las crédito o débito... (sirven lo mismo) o con un objeto de plástico, como el "culo" de un bolígrafo que sea redondo... etc. resiguiendo la letra... cuando consideremos que esta ya esta bien pegada, retirar lentamente el plástico y ya estaríamos... y si en 72 horas no la removemos de ahí ya no se moverá... y tendréis que "rascarla" para poder sacarla... tened presente que ese vinilo es muy resistente pues es el que ellos utilizan para estampar camisetas, por ejemplo, y aguanta perfectamente lavados, etc.
NOTA FINAL: Aunque me haya extendido en la exposición, la colocación es fácil y dura como mucho 2 o 3 minutos... y eso es todo, gracias.
Leça do Balio é uma freguesia portuguesa do concelho de Matosinhos, com 8,88 km² de área e 17 571 habitantes (2011). Densidade: 1 978,7 hab/km². Até 13 de Maio de 1999 a sua designação oficial era Leça do Bailio.
Presume-se que a palavra Leça ou Leza deriva do nome de uma villa romana chamada Decia, Villa Decia. Balio deve fazer alusão a um cavaleiro de grau superior ao de comendador, proprietário de balia, antiga comenda das ordens militares.
De acordo com várias investigações arqueológicas levadas a cabo na região, existem indícios da existência de monumentos megalíticos em freguesias vizinhas, o que poderá significar que Leça de Balio já era ocupada há milhares de anos, desde o período Neolítico. Indícios de um pequeno castro da idade do Ferro foram também encontrados na elevação de Recarei, hoje Lugar de S. Sebastião.
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O senador Zeze Perrella (PDT-MG) participou hoje (06/11) de nova reunião da comissão mista do Congresso que examina a Medida Provisória 579 sobre as concessões de energia elétrica e redução de tarifas, em que foram debatidos aspectos considerados inconstitucionais pelos parlamentares, que podem por em risco a segurança jurídica dos contratos no setor elétrico.
O presidente da Cemig, Djalma Morais, convidado a falar na comissão por iniciativa do senador Perrella, afirmou que a empresa não tem condições de operar a hidrelétrica de Três Marias ao preço atual de R$ 11 por megawatt, que não paga nem o custo nem a manutenção. Acrescentou que a empresa está em situação singular por ter garantida a renovação de cocessões de três importantes hidrelétricas, direito do qual não pretende abdicar. Considera Djalma Morais que a quebra do contrato causaria desconfiança aos acionistas da empresa mineira.
Após a reunião da Comissão, na qual também foram questionados os baixos valores estabelecidos para o ressarcimento das empresas e o custo da eletricidade, Zeze Perrella se reuniu com o senador Aécio Neves e o presidente da Cemig debatendo o assunto e a estratégia de atuação parlamentar em defesa da Cemig, visando a preservação de sua capacidade de investimento.
Entidades ouvidas pela Comissão consideraram baixo o valor previsto para a indenização de concessionárias cujos contratos vencem até 2017. Parlamentares acham que a possível redução de investimentos pode comprometer a redução das tarifas de energia elétrica.
Com Ag. Senado
Numa paisagem de enormes penhascos, encontra-se a "Garganta do rio Olo", queda de água com 100 metros de altura, integrada no Parque Natural do Alvão. O acesso faz-se pela aldeia de Ermelo. Do Alto do Fojo, avista-se um belo panorama das Fisgas de Ermelo, de onde o rio Olo se despenha.
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Première expérience avec la laine d'acier pour créer des orbs. Malgré la laine qui étais difficile à allumer en raison de l'humidité, nous avons réussi à réaliser quelques clichés. En voici quatre que je considérais commme les plus intéressantes.
First experience with steel wool to create orbs . Despite the dificulty to light the wool du to the Humidity , we managed to make some shots. Here are four that I considered most interesting.
Le Mandalay Palace), situé à Mandalay , au Myanmar , est le dernier palais royal de la dernière monarchie birmane . Le palais a été construit, entre 1857 et 1859, dans le cadre de la fondation royale de Mindon sur la nouvelle capitale royale de Mandalay. Le plan du palais Mandalay suit en grande partie le design traditionnel du palais birman, à l'intérieur d'un fort fortifié entouré d'un fossé. Le palais lui-même est au centre de la citadelle et fait face à l'est. Tous les bâtiments du palais sont d'un étage de hauteur. Le nombre de spires au dessus d'un bâtiment indiquait l'importance de la zone ci-dessous.
Mandalay Palace était la principale résidence royale du roi Mindon et du roi Thibaw , les deux derniers rois du pays. Le complexe a cessé d'être une résidence royale et un siège du gouvernement le 28 novembre 1885 lorsque, pendant la troisième guerre anglo-birmane , les troupes de la Force terrestre de Birmanie sont entrées dans le palais et ont capturé la famille royale. Les Britanniques ont transformé le complexe du palais en Fort Dufferin , nommé d'après le vice-roi de l'Inde . Tout au long de l' époque coloniale britannique , les Birmans considéraient le palais comme le symbole principal de la souveraineté et de l'identité. Une grande partie du complexe du palais a été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale par des bombardements alliés; Seule la menthe royale et la tour de la montre ont survécu. Une réplique du palais a été reconstruite dans les années 1990 avec des matériaux modernes.
Tagong, province du Sichuan, Chine.
La femme prend le frais devant chez elle, dans la rue menant au monastère situé sur la place du village , à 3700 m d'altitude, l'un des plus importants du Sichuan, Lhakhang Gompa.
Les Khampas ne sont pas reconnus comme une des 56 ethnies de la République populaire de Chine, ils sont donc considérés comme des Tibétains par la Chine.Ce sont les habitants du Kham l'une des trois provinces traditionnelles du Tibet, les autres étant l'Ü-Tsang et l'Amdo,
L'ancienne province du Kham, dans la partie septentrionale du Tibet historique, a longtemps constitué une terre impénétrable aux étrangers. Elle n'est qu'à-pics vertigineux taillés par les «quatre rivières» (le Yangzi, le Yarlung, le Salween et le Mékong) ou hauts plateaux inaccessibles... Quant à la réputation de ses habitants les plus hostiles, les Khampas, elle remonte à la nuit des temps. Marco Polo les qualifiait déjà de «tueurs sans foi ni loi, pratiquant l'idolâtrie et toutes sortes de magies» et veillait soigneusement à ne jamais traverser leur territoire. Bien plus tard, les caravanes empruntant la route du thé, entre Lhassa et Kangding, furent régulièrement pillées par ces cavaliers de l'apocalypse qui massacrèrent aussi les explorateurs français Dutreil de Rhins (en 1894) et Louis Liotard (en 1940). Dans les années 20, Alexandra David-Néel était bien la seule à leur trouver un air de «gentlemen brigands»... en précisant toutefois que les autres Tibétains les considéraient, eux, comme des barbares.
Connus pour avoir résisté à l'invasion chinoise de 1950 avec les Goloks de la province voisine de l'Amdo, puis avoir assuré la sécurité du dalaï-lama lors de son exil vers l'Inde, neuf ans plus tard, et enfin pour avoir continué leur lutte contre les Chinois avec l'aide de la CIA jusqu'en 1974, les Khampas font aujourd'hui partie des 1,2 million de Tibétains coincés dans la partie annexée par la Chine occidentale. Mais curieusement, cela ne les empêche pas de coexister pacifiquement avec les Han chinois. Ni de disposer de davantage de liberté culturelle et religieuse que leurs compatriotes de l'Ouest, habitants de la région «autonome» du Tibet.
(Rédigé en partie à partir d'un article du Figaro Magazine du 16 mars 2006)
I have always find it hard to get beauty out of Caracas wich I consider to be a very visually agresive city, so I have decided to overcome that personal position and try to find art in the city as it is....hope you like
Siempre me ha costado encontrar belleza en la propia ciudad de Caracas, que considero que es visualmente agresiva, desordenada, caotica, asi que he decidido superar esa limitación personal e intentar sacar ARTE y belleza de la ciudad como esta...espero les guste
Victoria Klotz
Née en 1969. Vit et travaille à Bagnères-de-Bigorre.
Diplômée des Beaux-Arts, Victoria Klotz s’installe dans les Pyrénées, centrant sa pratique sur une expérience des territoires naturels et de l’animalité. Curieuse des rencontres que font les hommes avec la vie sauvage, elle s’intéresse aux histoires et aux mythes qui les fondent. Son intérêt pour la pensée de la nature l’amène à intervenir in situ, dans le cadre de commandes publiques, au sein de sites naturels ou d’espaces urbains
L’œuvre pour La Seine Musicale
La série de sculptures Les Hôtes du logis se déploie tout au long du parcours et met en scène des présences animales. Alors que nous considérons la ville comme un territoire essentiellement humain, elle est en réalité un écosystème investi aussi par les animaux. Les espèces animales présentées ici, plus vraies que nature, ont la particularité d’être des animaux commensaux, c’est à dire associés à une espèce différente – ici les humains – et profitant de ses aliments sans lui porter préjudice. Ces surprenants invités viennent chercher auprès de l’homme, le gîte et le couvert. Ils nous rappellent que, de tout temps, l’être humain et l’animal ont cohabité et partagé l’espace public.
Les Hôtes du logis, 2013
Mousse polyéthylène, bois, métal
Ces vagues me rappellent l’histoire que m’avait raconté un ami. Quand il allait à la pêche aux alentours de ces rochers, il avait l’habitude de se mettre en un endroit où il se considérait comme protégé même des grandes vagues. Ce fut le cas jusqu’au jour où une seule et unique vague arriva sur lui d’une manière imprévue et le jeta à la mer. C’est sa connaissance presque intime de ces rochers qui le sauva (on a passé une grande partie de notre enfance et de notre adolescence à fureter prés du phare de Rabat).
Numa paisagem de enormes penhascos, encontra-se a "Garganta do rio Olo", queda de água com 100 metros de altura, integrada no Parque Natural do Alvão. O acesso faz-se pela aldeia de Ermelo. Do Alto do Fojo, avista-se um belo panorama das Fisgas de Ermelo, de onde o rio Olo se despenha.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha, coroado pela ermida da Senhora da Graça.
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Um dia alguém disse que definir o belo é não o compreender. O belo é a manifestação das leis secretas da natureza, que, se não se revelassem a nós por meio do belo, permaneceriam eternamente ocultas. O conceito de beleza pura bem pode estar associado a esta bela cidade de Florença que tanto nos fascinou, pois todos os monumentos que nela vimos, pareciam ter surgido da alquimia dos números que deram como resultado as proporções perfeitas das suas construções… Embora o estilo e a moda variem amplamente, pesquisas com diferentes culturas encontraram uma variedade de pontos em comum na percepção das pessoas sobre a beleza. Por tudo aquilo que pesquisei e li quase que posso afirmar que a mais antiga teoria ocidental de beleza pode ser encontrada nas obras dos primeiros filósofos gregos a partir do período pré-sócrates, tais como Pitágoras. A escola pitagórica viu uma forte conexão entre matemática e beleza. Em particular, eles observaram que os objectos com medidas de acordo com a proporção áurea pareciam mais atraentes. A arquitectura da Grécia Antiga é baseada nessa visão de simetria e proporção. Platão considerava que a beleza era a ideia (forma) acima de todas as outras ideias. Aristóteles viu uma relação entre o belo e a virtude, argumentando que "A virtude visa à beleza." As esculturas de homens e mulheres produzidos de acordo com os princípios desses filósofos de ideal da beleza humana foram redescobertos no Renascimento europeu, levando a uma readopção do que ficou conhecido como um "ideal clássico". Durante a era gótica, o cânone estético clássico da beleza foi rejeitado, sendo visto como pecaminoso. Mais tarde, a Renascença e o Humanismo rejeitaram essa visão, e consideraram a beleza como um produto da ordem racional e da harmonia das proporções. Artistas e arquitectos da Renascença como Giorgio Vasari criticaram o período gótico por ser irracional e bárbaro. Este ponto de vista sobre a arte gótica durou até o Romantismo, no século XIX
Para além da beleza associada a cidade de Florença existe mil e uma razões para esta ser visitada e descoberta por quem, alem da beleza também goste de lhe associar a história. Outro dos motivos que a tornaram célebre, é o facto de ser a cidade natal de Dante, autor da "Divina Comédia", que é um marco da literatura universal e a língua italiana moderna tem várias influências desta obra. Nesse poema ele descreve a cidade de Florença em muitas passagens, assim como alguns dos seus contemporâneos florentinos célebres, que também são personagens da obra. Também é florentino Cimabue, o último grande pintor italiano a seguir a tradição bizantina, e responsável pela "descoberta" de Giotto. A cidade foi governada pela família Médici desde o início do século XV até meados do século XVIII. O primeiro líder da cidade pertencente à família Médici foi Cosme, o Velho, chegou ao poder em 1437 e foi um protector dos judeus na cidade, iniciando uma longa relação da família com a comunidade judaica. Nesta cidade destacam-se as diversas e belíssimas catedrais de épocas e estilos diferentes. A cidade também é cenário de obras de artistas do Renascimento, como Miguel Ângelo, Leonardo da Vinci, Giotto, Botticelli, Rafael Sanzio, Donatello, entre outros. Também aqui nasceram os papas: Leão X, Clemente VII, Clemente VIII, Leão XI, Urbano VIII e Clemente XII.
A Catedral de Santa Maria del Fiore, na foto acima, foi construída entre 1296 e 1461, é também conhecida como Duomo. O plano inicial, de raiz gótica, da autoria de Arnolfo de Cambio, incluía já a grande cúpula. Apesar dos poucos vestígios góticos, conserva-se a decoração das paredes com mármores incrustados, as fachadas setentrionais e o campanário. O baptistério, de desenho românico, é um prisma octogonal com cúpula em pirâmide. O seu revestimento, com placas de mármore, revela uma inspiração clássica. O objectivo da sua construção era ultrapassar, em magnificência, o baptistério de Pisa. São vários os artistas de nomeada que participaram nesta grandiosa obra. É o caso de Giotto, nomeado director das obras da catedral em 1334, ou de Ghiberti, que ganhou o concurso para as portas de bronze do baptistério, com um baixo-relevo de inspiração gótica. Também Donatello trabalhou na escultura da catedral, nomeadamente no campanário. Mas o ex-líbris desta obra é a cúpula (1420-1436), da autoria de Brunelleschi, que também riscou a lanterna, só concluída na segunda metade do século XV. A cúpula octogonal foi erguida sobre uma rede de nervuras recortadas em oito círculos concêntricos. Esta técnica foi concebida por Brunelleschi para poder elevar a estrutura sem as tradicionais tábuas de madeira, cuja utilização era aqui impossível dado o diâmetro do tambor. A técnica de construção consistiu na utilização de pedra e tijolo, dispostos em espinha de peixe, convergindo para um centro único, obtendo-se uma curvatura em "quinta parte". Deste modo o autor conciliou a técnica gótica de nervuras e as estruturas da arquitectura romana. Juntamente com a Basílica de S. Lourenço e os palácios Pitti, Médici-Riccardi e Uffizi, faz parte do centro histórico de Florença, local classificado Património Mundial pela UNESCO em 1982. O Duomo de Florença, como o vemos hoje, é o resultado de um trabalho que se estendeu por seis séculos. A sua fachada teve de esperar até o século XIX para ser concluída. Ao longo deste tempo uma série de intervenções estruturais e decorativas no exterior e interior enriqueceriam o monumento, entre as quais a construção de duas sacristias e a execução de esculturas e frescos por Paolo Uccello, Andrea del Castagno, Giorgio Vasari e Federico Zuccari, autor do Juízo Final no interior da cúpula. Foi construída no lugar da antiga catedral dedicada a Santa Reparata, que funcionou durante nove séculos até ser demolida completamente em 1375. Em 1293, durante a República Florentina, o notário Mino de Cantoribus sugeriu a substituição de Santa Reparata por uma catedral ainda maior e mais magnificente, de tal forma que "a indústria e o poder do homem não pudessem inventar ou mesmo tentar nada maior ou mais belo", e estava preparado para financiar a construção. Entretanto, esperava-se que a população contribuísse, e todos os testamentos passaram a incluir uma cláusula de doação para as obras. O projecto foi confiado a Arnolfo em 1294, e foi ele quem cerimoniosamente lançou a pedra fundamental em 8 de Setembro de 1296. O crescimento das cidades permitiu o desenvolvimento de actividades como o comércio, artesanato e a ciência. Invenções como a pólvora, o relógio e o mapa-múndi aproximaram o ser humano das leis da natureza, desvendando-a e criando uma imagem crítica sobre ela. O início do Renascimento mostrou, além de uma crítica ao modo de viver da idade gótica, uma volta à antiguidade romana feita pelos humanistas, baseada no princípio de que o homem deveria ser "a medida de todas as coisas". Esse novo estilo, baseado em pensamentos humanistas, transformou os artistas, antes anónimos e considerados servos, em senhores, conhecedores da arte. Assim, quando em 1436 com o término da construção da cúpula da catedral de Florença, projectada por Fillipo Brunelleschi, o período Gótico dava lugar a um novo período, o Renascimento.
O Renascimento cultural manifestou-se primeiro na região italiana da Toscana, tendo como principais centros as cidades de Florença e Siena, de onde se difundiu para o resto da península Itálica e depois para praticamente todos os países da Europa Ocidental, impulsionado pelo desenvolvimento da imprensa por Johannes Gutenberg. A Itália permaneceu sempre como o local onde o movimento apresentou maior expressão, porém manifestações renascentistas de grande importância também ocorreram na Inglaterra, Alemanha, Países Baixos e, menos intensamente, em Portugal e Espanha, e nas suas colónias americanas. Alguns críticos, porém, consideram, por várias razões, que o termo "Renascimento" deve ficar circunscrito à cultura italiana desse período, e que a difusão europeia dos ideais clássicos italianos pertence com mais propriedade à esfera do Maneirismo. Além disso, estudos realizados nas últimas décadas têm revisto uma quantidade de opiniões historicamente consagradas a respeito deste período, considerando-as insubstanciais ou estereotipadas, e vendo o Renascimento como uma fase muito mais complexa, contraditória e imprevisível do que se supôs ao longo de gerações.
Concordando ou não com os historiadores, peritos de arquitectura ou arte, a verdade é que a cidade de Florença certamente não passará despercebida a qualquer turista que por ela passe, pois trata-se de facto de uma das mais belas cidades do Mundo, digo isto com a convicção de que como nós, quem quer que por ela passe, não ficará certamente indiferente a tanta beleza…
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Sim ela é uma DIVONAAAAAA!
Sim todos consideram ela muito especial!
Sim ela nos faz rir muito!
Sim ela faz falta quando some!!
Sim ela arrasa no PHOTOSHOP!
Sim ela é uma grande amiga!
Sim ela amaaa a Demi Lovato!
Sim estou falando dela mesmo: NATHALIEEE!
AAAAAAAAAhhhhhh pra ti mocinha!!!
espero que vc goste ok??
Bjusssssssss amr <3
Leça do Balio é uma freguesia portuguesa do concelho de Matosinhos, com 8,88 km² de área e 17 571 habitantes (2011). Densidade: 1 978,7 hab/km². Até 13 de Maio de 1999 a sua designação oficial era Leça do Bailio.
Presume-se que a palavra Leça ou Leza deriva do nome de uma villa romana chamada Decia, Villa Decia. Balio deve fazer alusão a um cavaleiro de grau superior ao de comendador, proprietário de balia, antiga comenda das ordens militares.
De acordo com várias investigações arqueológicas levadas a cabo na região, existem indícios da existência de monumentos megalíticos em freguesias vizinhas, o que poderá significar que Leça de Balio já era ocupada há milhares de anos, desde o período Neolítico. Indícios de um pequeno castro da idade do Ferro foram também encontrados na elevação de Recarei, hoje Lugar de S. Sebastião.
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O Monte Farinha eleva-se, a um altitude de cerca de mil metros, ostentando no topo a venerada ermida de Nossa Senhora da Graça. Local mágico e cativante recheado de história e de vestígios arqueológicos, de lendas e de tradições. Local privilegiado para os amantes da natureza e emblemática referência desportiva, é destino obrigatório dos caminhos da fé, da religião e do turismo nacional e internacional.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha, coroado pela ermida da Senhora da Graça.
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RIBADAVIA (Espanha): Capitéis da Capela de São Gens de Francelos.
Os capitéis são entregues e em forma de ábaco retilíneo decorado por quatro filas de carnosas folhas, pertencendo a uma tipologia degenerada do tipo visigodo (por sua vez baseado no romano coríntio). No extremo superior direito do capitel direito pode-se ver um corpo circular e sob este outra figura em forma de 'S'. Estes capitéis apresentam semelhanças com os da asturiana Igreja de San Miguel de Lillo ou os de San Salvador de Priesca, produto da colhida de elementos do estilo tradicional visigodo e influências da arte ramirense.
A decoração dos capitéis prolonga-se em relevos gravados diretamente no perpianho semelhantes aos de San Xoan de Camba (Castro Caldelas). Em ambos os lados aparecem representados uma personagem aureolada montada num asno que leva na mão um possível ramo e figuras com túnicas saindo ao passo (duas no da direita e uma no da esquerda). São de talha muito plana com o fundo rebaixado e enquadram-se por um ressalto reto e ajustado as figuras em pé. Sobre a interpretação desta representação existem várias teorias que coincidem em assinalar que se trata de cenas bíblicas:
Uma primeira teoria defende que representam, um a Entrada triunfal de Jesus em Jerusalém e o outro a Fuga para o Egito.
Uma segunda teoria defende que um representa a Entrada de Jesus em Jerusalém e o outro a Balaam detido pelo Anjo.
Uma terceira considera que se trata de um desdobramento da mesma cena, quer a Entrada em Jerusalém, quer a Fuga para o Egito.
A disposição em frisos dos relevos buscando destacar a horizontalidade leva ao jeito de fazer visigodo, mas na contra, a técnica da lavra utilizada não foi a de bisel própria deste estilo, ao contrário, apresenta semelhanças com a arte asturiana ou ramirense.
info: pt.wikipedia.org/wiki/Capela_de_S%C3%A3o_Gens_de_Francelos
gente, essa doll é a Poliana que veio pra eu refazer sua make e ela já tinha wink eyes..então eu tirei essas fotinhos à noite e com flash "de qq maneira" só pra caso um dia eu quizesse encarar a aventura do wink..rs....não sou muito boa de escrever não mas acho que pra fazer basta olhar atentamente as fotos pra não ter erro! Coloquei só umas observações q eu considerei importante na hora de fazer..rs!!
Beijos e boa sorte!!
*muita calma nessa hora..rs....qq dúvida se souber responder, já é! =0)
obs. o que eu já tiver feito e puder ajudar.. tranquilo, só não dá pra ajudar qdo nunca fiz ou qdo me pedem segredo..hehe..au raite pipou?=0)
O Monte Farinha eleva-se, a um altitude de cerca de mil metros, ostentando no topo a venerada ermida de Nossa Senhora da Graça. Local mágico e cativante recheado de história e de vestígios arqueológicos, de lendas e de tradições. Local privilegiado para os amantes da natureza e emblemática referência desportiva, é destino obrigatório dos caminhos da fé, da religião e do turismo nacional e internacional.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha, coroado pela ermida da Senhora da Graça.
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Mondim de Basto é um município português pertencente ao Distrito de Vila Real, região Norte. É um município com 171,87 km² de área, subdividido em 8 freguesias. O município é limitado a nordeste pelo município de Ribeira de Pena, a sueste por Vila Real, a sudoeste por Amarante, a oeste por Celorico de Basto e a noroeste por Cabeceiras de Basto.
Vila e sede de concelho, Mondim de Basto repousa numa chã fértil na margem esquerda do rio Tâmega e no sopé da grandiosa pirâmide verde do Monte Farinha, coroado pela ermida da Senhora da Graça.
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Le Sanctuaire de Notre - Dame des Larmes a été érigé à la mémoire de la miraculeuse déchirer une effigie en plâtre représentant le Cœur Immaculé de Marie , placé au chevet des conjoints Iannuso à leur humble maison sur la Via degli Orti à Syracuse , en 1953 .
Le miracle a été répété du 29 Août au 1 Septembre 1953 dans le remue - ménage général d'une immense multitude de fidèles, dans la maison des époux Iannuso. larmes Collections ont été soumises à une analyse scientifique qui serait liquide lacrymal. La dévotion qui a suivi a pris des proportions énormes. La petite image de la Vierge des larmes , d' abord provisoirement admis dans les Euripide à proximité Piazza, a été placée à l' intérieur du sanctuaire . Le travail a été conçu en 1957 par les architectes français Michel Andrault et Pierre Parat suite d' un concours international. La construction a commencé en 1966, en raison de l'extrême modernité du projet dès le début , il y avait beaucoup de controverse des citoyens et estime qu'il considérait le travail d' un « monstre concret » qui allait peser plus sur ' zone urbaine déjà fortement compromise, ces diatribes très retardé la réalisation qui a pris fin qu'en 1994. au cours de l'excavation des fondations a été trouvé vivant au sixième siècle avant JC et zone déterré un morceau de route. Cette route était la route principale du quartier Akradina . La construction a été achevée après environ 28 ans et le sanctuaire a été ouvert le 6 Novembre 1994 par le pape Jean - Paul II . Huit ans plus tard, le même Jean - Paul II l' a élevé au rang de basilique mineure .
Le sanctuaire se compose de la crypte et le temple supérieur, avec un corps conique formée par des nervures en béton armé qui atteignent une hauteur totale de 74 m, surmonté d'un couronnement en acier de 20 mètres de hauteur portant une statue de bronze Madonna doré, le travail de Francesco Caldarella , entouré par un halo avec des éléments circulaires et radialement. Dans le temple supérieur est l'autel central, qui abrite l'image miraculeuse. Latéralement , il y a les chapelles: (de droite) Chapelle du Saint Suaire (jouer), Saint - Joseph et Sainte - Lucie. À gauche: Bienheureux autel Sacrement de la Charité et enfin la chapelle de Saint Pio de Pietrelcina, a ensuite été transféré à la crypte du sanctuaire.
A l'étage de la crypte, ils sont conservés vestiges de l'époque romaine et l' Antiquité tardive consistant en un sous - sol salaire et une grande pièce attenante avec murs d' origine ornées de mosaïques . Dans la crypte , il y a les chapelles, celle de Saint Corrado Confalonieri , de Sainte - Agathe , Saint - François d'Assise , saint Pio de Pietrelcina et d' autres.
Dans la chapelle de Sainte - Lucie est la tombe de Mgr. Calogero Lauricella , évêque de Syracuse de 1973 jusqu'à sa mort en 1989 .
Les interprétations architecturales
La forme architecturale du sanctuaire a été critiqué par les célèbres liturgistes et les planificateurs. Sa grande hulk béton a changé les perspectives négatives urbaines de Syracuse et a dominé les lieux de culte anciens et importants que les Catacombes de Sainte - Lucie et la crypte de San Marciano.
La structure est soumise à diverses interprétations. Les architectes ont proposé de réaliser structurellement le concept d'élévation de l' humanité vers Dieu . En fait, la plante avec sa circularité est censée représenter l'humanité qui atteint à Dieu.
D' autres significations données sont celles de: phare, identifié avec Maria menant au port qui est Jésus ; tente, au sein de laquelle la mère accueille ses enfants pour les conduire au Père; Lily se retourna à l' envers, et enfin une larme qui tombe vue de dessus l'impact dynamique sur le sol.