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Ein Wiedehopf (Upupa epops) mit einegroßen Regenwurm. ganz früh am Morgen.
A hoopoe with a earthworm very early in the morning.
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My hoopoe album is here:
www.flickr.com/gp/jenslpz/7e46MHq53L
My Hungary tour album is here:
www.flickr.com/gp/jenslpz/06PRz63n8B
My bird album is here:
www.flickr.com/gp/jenslpz/1240SmAXK4
My nature album is here:
www.flickr.com/gp/jenslpz/27PwYUERX2
My Canon EOS R / R5 / R6 album is here:
www.flickr.com/gp/jenslpz/bgkttsBw35
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Wiedehopf (Upupa epops)
de.wikipedia.org/wiki/Wiedehopf
Der Wiedehopf (Upupa epops) ist die einzige Art oder nach anderer Auffassung eine von mehreren Arten aus der Vogelfamilie der Wiedehopfe (Upupidae). Die Wiedehopfe werden gemeinsam mit der etwas artenreicheren Familie der Baumhopfe (Phoeniculidae) in die Ordnung der Bucerotiformes gestellt. Die Zuordnung zu den Rackenvögeln (Coraciiformes) ist nicht mehr üblich.
Die Anzahl der Unterarten schwankt je nach wissenschaftlicher Auffassung zwischen fünf und zehn. Bis auf die in Ägypten vorkommende Subspezies U. e. major werden zurzeit die früher als Unterarten von U. epops aufgefassten afrikanischen Wiedehopfe häufig als selbstständige Arten betrachtet.
In Mitteleuropa kommt die Nominatform U. e. epops vor. Sie ist ein in ihrem Bestand stark zurückgehender, seltener, in weiten Teilen ihres früheren Verbreitungsgebietes verschwundener Brutvogel.
Eurasian hoopoe - (Upupa epops)
en.wikipedia.org/wiki/Eurasian_hoopoe
The Eurasian hoopoe (Upupa epops) is the most widespread species of the genus Upupa, native to Europe, Asia and the northern half of Africa. Some taxonomists still consider all three species conspecific. Some authorities also keep the African and Eurasian hoopoe together, but split the Madagascar hoopoe
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<<< Der Wiedehopf ist der Vogel des Jahres 2022 in Deutschland.
The Eurasian hoopoe is the bird of the year 2022 in Germany.
Der Star war der Vogel des Jahres 2018. The star was the 2018 bird of the year. >>>
My hoopoe album is here:
www.flickr.com/gp/jenslpz/7e46MHq53L
My 2019-2022 tours album is here:
www.flickr.com/gp/jenslpz/SKf0o8040w
My bird album is here:
www.flickr.com/gp/jenslpz/1240SmAXK4
My nature album is here:
www.flickr.com/gp/jenslpz/27PwYUERX2
My Canon EOS R / R5 / R6 album is here:
www.flickr.com/gp/jenslpz/bgkttsBw35
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Wiedehopf (Upupa epops)
de.wikipedia.org/wiki/Wiedehopf
Der Wiedehopf (Upupa epops) ist die einzige Art oder nach anderer Auffassung eine von mehreren Arten aus der Vogelfamilie der Wiedehopfe (Upupidae). Die Wiedehopfe werden gemeinsam mit der etwas artenreicheren Familie der Baumhopfe (Phoeniculidae) in die Ordnung der Bucerotiformes gestellt. Die Zuordnung zu den Rackenvögeln (Coraciiformes) ist nicht mehr üblich.
Die Anzahl der Unterarten schwankt je nach wissenschaftlicher Auffassung zwischen fünf und zehn. Bis auf die in Ägypten vorkommende Subspezies U. e. major werden zurzeit die früher als Unterarten von U. epops aufgefassten afrikanischen Wiedehopfe häufig als selbstständige Arten betrachtet.
In Mitteleuropa kommt die Nominatform U. e. epops vor. Sie ist ein in ihrem Bestand stark zurückgehender, seltener, in weiten Teilen ihres früheren Verbreitungsgebietes verschwundener Brutvogel.
Eurasian hoopoe - (Upupa epops)
en.wikipedia.org/wiki/Eurasian_hoopoe
The Eurasian hoopoe (Upupa epops) is the most widespread species of the genus Upupa, native to Europe, Asia and the northern half of Africa. Some taxonomists still consider all three species conspecific. Some authorities also keep the African and Eurasian hoopoe together, but split the Madagascar hoopoe
Un arenal, de fácil y cómodo acceso, en el extremo oeste de Cantabria, junto al pueblo de Pechón, encantadora localidad que mira al mar en un entorno bellísimo y muy natural.
La pleamar hace desaparecer totalmente la playa, de modo que es preciso consultar los horarios de mareas antes de acercarnos con la idea de bañarnos.
Esta catalogada como playa peligrosa, por lo que se recomienda estar atentos a la información sobre el estado del mar.
Por lo demás, el aspecto natural, el entorno bien conservado, visible en la imagen, hace que consideremos la playa de Amió como una de las mas bellas de Cantabria.
Muchísimas gracias a todos los amigos de flickr por sus amables visitas, comentarios y premios a estas imágenes.
Les Amérindiens ont été nombreux à prendre part à la première guerre mondiale. Environ 12 000 soldats ont servi sous les drapeaux, ce qui représente 13 % à 15 % des hommes amérindiens en âge de combattre, une proportion bien supérieure à celle de la population générale. Pas plus de 5 % des Américains ont pris part à la guerre.
Une telle volonté d’aller combattre peut surprendre, car à l’époque les Amérindiens n’étaient pas citoyens américains. Les « étrangers » étaient même exclus des rangs de l’armée, mais aucun Amérindien ne s’est saisi de ce prétexte pour échapper à la conscription. Du moins, aucune preuve d’un tel comportement n’a été trouvée.
L’ambiguïté du statut des Amérindiens posait néanmoins une difficulté. Washington a refusé de se saisir du dossier et s’est contenté de demander au Bureau des affaires indiennes de leur accorder la pleine citoyenneté. Le Bureau n’avait ni les moyens ni la volonté de le faire. Le bébé a donc été refilé aux services locaux de recrutement. Les autorités locales se sont donc souvent contentées de conduire le recrutement sans porter attention aux origines amérindiennes de certains conscrits.
Lobby très puissant
Une autre question se posait : ces soldats devaient-ils servir dans les mêmes unités que les Blancs ? Des membres du Congrès ont tenté de faire adopter une loi pour instaurer la ségrégation dans l’armée à l’encontre des Amérindiens, sans y parvenir. Certains législateurs voulaient créer dix divisions de cavaliers amérindiens, car les membres des Premières Nations étaient considérés, selon le cliché, comme d’excellents combattants à cheval. Ces efforts ont rencontré la résistance d’un lobby amérindien très puissant qui a été entendu par le Congrès et par l’armée, et aucune de ces mesures n’a été adoptée.
Les soldats amérindiens ont donc combattu dans les mêmes unités que les Blancs. Il y a bien eu des unités militaires qui rassemblaient des Amérindiens pour tirer avantage de leurs spécificités culturelles. Je pense ici aux code talkers amérindiens dont la langue, inconnue en Europe, permettait à l’armée américaine de communiquer sans être compris par l’ennemi. On connaît davantage les code talkers pour leur participation à la seconde guerre mondiale, mais l’idée de tirer parti de leur spécificité culturelle est née pendant la première guerre mondiale. Les Amér-indiens étaient aussi souvent choisis pour mener des missions dangereuses, notamment en tant qu’éclaireurs, parce qu’on considérait qu’ils étaient doués pour ces opérations furtives. Source Le Monde
L'avantage quand on habite à 5 minutes de son spot préféré c'est qu'on peut y aller au dernier moment. L'inconvénient, c'est que je pars souvent au dernier moment...
Ce jour-là, j'ai vu les nuages se former et les couleurs s'installer ; jai sauté dans ma voiture dès que possible et j'ai couru jusqu'à ce que je considérais être le meilleur point de vue. Je suis arrivé un poil (de chat) trop tard à mon goût, mais le résultat était tout de même spectaculaire !
Bon samedi !
The charisma of the peony - Cantal - Auvergne - France - Europe
La pivoine appartient au genre Paeonia, un genre de 33 espèces surtout originaires de l’Europe et de l’Asie, avec deux espèces «égarées» trouvées en Amérique du Nord (P. brownii est même indigène au Canada, car elle s’étend jusqu’en Colombie-Britannique.) C’est le seul genre de la famille des Paéoniacées. Ainsi, la pivoine n’a aucun proche parent.
Le nom vient de Péon, disciple d’Asclépios, le dieu grec de la médecine. Selon la légende, il trouva une racine capable de réduire la douleur des femmes pendant l’accouchement. Cela rendit Asclépios si furieux qu’il voulut tuer son élève. Le dieu Zeus intervint toutefois et changea Péonia en la plante qu’il avait découverte, la pivoine.
Depuis la nuit des temps, la pivoine est vue comme une plante médicinale, autant en Europe qu’en Asie. On la considérait presque comme une panacée, capable de guérir les tumeurs, les infections, les problèmes neurologiques, et beaucoup plus encore.
La pivoine est comestible aussi, surtout ses fleurs. D’ailleurs, on dit que Confucius (551–479 EC) fut un grand amateur de la sauce à la pivoine!
C’est en Chine, pendant la dynastie Tang (7e siècle), qu’on commence non seulement à cueillir les pivoines sauvages, mais à les cultiver. C’est dans l’ancienne capitale de la Chine, Luoyang, que la pivoine fut cultivée pour la première fois. Elle demeure toujours le centre de la culture de la pivoine aujourd’hui, 1500 ans plus tard.
À l’époque, on ne savait rien de l’hybridation, ni même que le pollen servait à féconder les fleurs. Malgré cela, grâce à la culture de différentes variétés côte à côte, des croisements spontanés eurent lieu, donnant des plantes aux fleurs plus attrayantes. On commença alors pour la première fois à voir la pivoine comme plante ornementale. Bientôt, la pivoine devint l’emblème floral de la Chine et le demeura jusqu’à l’arrivée au pouvoir de la République populaire de Chine en 1949.
La pivoine de Chine, l’ancêtre de nos pivoines de jardin, n’arriva en Europe qu’au 18e siècle. On la nomma alors «pivoine blanche» (lactiflora veut dire «à fleurs laiteuses»), car la première variété connue était de cette couleur.
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The peony belongs to the genus Paeonia, a genus of 33 species mostly native to Europe and Asia, with two "stray" species found in North America (P. brownii is even native to Canada, as it ranges to British Columbia.) It is the only genus in the family Paeoniacea. Thus, the peony has no close relatives.
The name comes from Peon, disciple of Asclepius, the Greek god of medicine. According to legend, he found a root capable of reducing the pain of women during childbirth. This made Asclepius so furious that he wanted to kill his pupil. The god Zeus intervened, however, and changed Peonia into the plant he had discovered, the peony.
Since the dawn of time, the peony has been seen as a medicinal plant, both in Europe and in Asia. It was considered almost a panacea, capable of curing tumors, infections, neurological problems, and much more.
The peony is edible too, especially its flowers. In fact, it is said that Confucius (551–479 CE) was a great fan of peony sauce!
It was in China, during the Tang dynasty (7th century), that people not only began to pick wild peonies, but to cultivate them. It was in the ancient capital of China, Luoyang, that the peony was cultivated for the first time. It still remains the center of peony cultivation today, 1500 years later.
At the time, nothing was known about hybridization, nor even that the pollen was used to fertilize the flowers. Despite this, thanks to the cultivation of different varieties side by side, spontaneous crosses took place, resulting in plants with more attractive flowers. We then began for the first time to see the peony as an ornamental plant. Soon the peony became the floral emblem of China and remained so until the People's Republic of China came to power in 1949.
The Chinese peony, the ancestor of our garden peonies, only arrived in Europe in the 18th century. It was then called "white peony" (lactiflora means "with milky flowers"), because the first known variety was of this color.
Oeuvre harmonieuse de la Nature et de l’Homme, les paysages de Saint-Emilion sont des témoignages uniques de l’Histoire. En 1999, et pour la première fois au monde, un paysage viticole se trouve propulsé au rang des sites inscrits au Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’UNESCO qui considère Saint-Emilion comme « un exemple remarquable d’un paysage viticole historique qui a survécu intact » et qui poursuit son activité de nos jours.
Harmonious work of nature and man, the landscapes of Saint-Emilion are unique testimonies of history. In 1999, and for the first time in the world, a wine-growing landscape was promoted to the rank of sites listed as World Heritage by UNESCO, which considers Saint-Emilion as "a remarkable example of a historic wine-growing landscape that survived intact" and continues operating today.
Obra armoniosa de la naturaleza y el hombre, los paisajes de Saint-Emilion son testimonios únicos de la historia. En 1999, y por primera vez en el mundo, un paisaje vitivinícola fue impulsado al rango de sitios listados como Patrimonio Mundial por la UNESCO, que considera a Saint-Emilion como "un ejemplo notable de un paisaje vitivinícola histórico que sobrevivió intacta ”y continúa operando hoy.
Saint-Émilion (Bordeaux/ France).
El caquí, también llamado sharoni, palosanto o persimón es un árbol de la familia del ébano que se lleva cultivando en China y Japón desde el siglo VIII que se ha adaptado al clima mediterráneo perfectamente.
Es un árbol caducifolio y su fruto, el caqui, es en realidad una baya, aunque lo consideremos fruta. Se recolecta en octubre, por lo que es un producto muy asociado al otoño
(*): question d'orthographe: "gratte-ciel" ou "gratte-ciels" au pluriel?
Les deux formes sont acceptées.
La première suit la règle traditionnelle, selon laquelle l’accord des noms composés comportant un verbe se fait selon le sens du mot. À ce titre, gratte-ciel avait pour pluriel « des gratte-ciel » car on considérait qu’il n’y avait qu’un seul ciel dans tous les cas.
La seconde, choisie ici, suit une recommandation de l'Académie de 1990 (Règle B1):
Les noms composés, avec trait d’union, formés à l’origine soit d’une forme verbale et d’un nom, soit d’une préposition et d’un nom, perçus comme des mots simples, prennent la marque du pluriel au second élément, seulement et toujours lorsqu’ils sont au pluriel (ex. : un essuie-main, des essuie-mains, un cure-ongle, des cure-ongles, un garde-meuble, des garde-meubles – qu’il s’agisse de personnes ou de choses -, un après-midi,des après-midis).
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"La beauté des choses est dans l'oeil de celui qui les voit. Elle peut surgir à tous les coins de rue, se faufiler en chacun de nos objets quotidiens, pourvu que nous soyons disposés à la voir. Une fleur, un arbre qui hier était tout à fait ordinaire, parce que notre esprit était préoccupé, éveille tout à coup notre sens esthétique parce que comme le dit si bien le philosophe Arthur Schopenhauer nous ne considérons plus ni le lieu, ni le temps, ni le pourquoi, ni l'a quoi bon des choses, mais purement et simplement leur nature."
Trinh Xuan Thuan
Thank you very much for your comments and for your faves.
(Please do not use without my written permission.)
"Ginkgo biloba (L., 1771) è una pianta, unica specie ancora sopravvissuta della famiglia Ginkgoaceae, dell'intero ordine Ginkgoales (Engler 1898) e della divisione delle Ginkgophyta. È un albero antichissimo le cui origini risalgono a 250 milioni di anni fa nel Permiano e per questo è considerato un fossile vivente. È una specie relitta." da Wikipedia
"Che cosa è una specie relitta? Per "relitto geografico" si intende generalmente un determinato organismo che, nell'area dove vive attualmente, è rimasto come testimonianza di una situazione passata durante la quale era maggiormente diffuso. Esistono anche "relitti tassonomici", ossia organismi che hanno mantenuto attraverso il tempo caratteristiche morfologiche e biologiche di antica origine. Ad esempio l'albero di ginkgo (Ginkgo biloba) era ampiamente diffuso in Europa durante il mesozoico (oltre 65 milioni di anni fa) ed è rimasto praticamente immutato da allora conservando i caratteri arcaici dell’intero gruppo di piante estinte cui appartiene. Come unico rappresentante vivente di questo, esso può considersi un “fossile vivente” ad elevato isolamento tassonomico e filogenetico. Per capire come sia possibile trovare piante relitte in Italia occorre ripercorrere la storia della terra da 50 milioni di anni fa fino ad oggi. Durante il periodo terziario la deriva dei continenti aveva disposto le terre emerse in una posizione abbastanza simile all'attuale. Il Polo Sud però si trovava poco distante dal Sudafrica e l'Equatore decorreva lungo l'Europa meridionale. Il clima della regione corrispondente all'Italia era quindi tipicamente tropicale e la flora era caratterizzata da specie di clima caldo umido tra cui numerose Sequoie, Ficus, Magnolie, Eucalyptus, Bignonie, Gardenie ecc., giunte fino ai nostri giorni imprigionate nella roccia sotto forma di fossili. Durante tutto il terziario il Polo Nord continuò ad avvicinarsi all'Europa a causa di oscillazioni dell'asse terrestre e corrispondentemente il clima divenne via via più freddo. Fino alla fine del periodo terziario il clima della nostra zona rimase caldo, variando dal clima tropicale dell'eocene (50 milioni di anni fa) al clima temperato-caldo del pliocene (2 milioni di anni fa)."
dal sito:
noixlucoli.blogspot.com/2012/06/le-specie-vegetali-relitt...
My attempt to not make the sky scary this time. Blue sky and a friendly moon, consider this my official apology to anyone who was spoked by the B&W version
Thank you so much for your kind support. Each of your comments inspires me to continue capturing moments like this . Your encouragement means a lot to me...
Nattens körning och funderingar... Mitt försök att inte göra himlen skrämmande denna gång. Blå himmel och en vänlig måne, betrakta detta som min officiella ursäkt till alla som blev förskräckta av den svartvita versionen. Tack så mycket för ert vänliga stöd. Era kommentarer inspirerar mig att fortsätta fånga sådana ögonblick. Er uupmuntran betyder mycket för mig...
J'avoue tout : ceci est ENCORE un photomontage.
Après les photomontages d'étoile, voici venus ceux de foudre ?
...Probablement pas.
D'abord parce que c'est beaucoup moins simple à rendre.
Ensuite parce que la vraie raison de cette mise en ligne est que je fais une pause aujourd'hui et que le jour où j'ai bricolé cette image, j'ai pas mal hésité, avant de finalement ne pas la mettre.
Considérez ça comme un petit easter egg photographique...
Si ça vous plaît, j'aurai au moins bien fait.
Si ça ne vous plaît pas... Eh bien, tant pire comme on dit cheu nous. :-))
The cadastral study of the Marquis of Ensenada in 1752 lists thirty-four windmills in this town, an abundance that has led some scholars to consider the possibility that Cervantes was inspired by those of Campo de Criptana when writing the adventure of the chapter VIII of the first part, of Don Quixote.
El estudio catastral del Marqués de la Ensenada de 1752, censa treinta y cuatro molinos de viento en esta localidad, abundancia que ha llevado a algunos estudiosos a plantearse la posibilidad de que Cervantes se inspirase en los de Campo de Criptana al escribir la aventura del capítulo VIII de la primera parte, de El Quijote.
Campo de Criptana (Ciudad Real/ Comunidad autónoma Castilla-La Mancha/ Spain).
Les forêts ne dispensent pas leur ombre séculaire sur la seule imagination moderne ; nos ancêtres les considéraient comme archaïques, antérieur au monde humain....
Robert Pogue Harrison
Le Nandou. Greater rhea.
For Smile on Saturday!
Theme : Shape or Spot the letter S
Statut et protection
Le Nandou d'Amérique est menacé d'extinction, catégorisé en tant que quasi menacé.. Il est en effet chassé par les agriculteurs, les nandous mangeant certaines récoltes. De plus, leurs œufs sont prélevés pour être consommés et leur habitat se rétrécit constamment. L'augmentation de la chasse est la principale menace pesant sur l'espèce, même si la détérioration et le recul de son habitat d'origine via la conversion des prairies en terre de plantations agricoles est un élément important dans son déclin global. Dans ce dernier cas, ce n'est pas à cause du changement d'habitat que l'espèce décline, mais à cause des agriculteurs qui voient les nandous comme des ravageurs de cultures et des nuisibles sur les récoltes, et les abattent. Actuellement, ce sont les populations de l'Argentine et de l'Uruguay qui sont les plus gravement impactées.
Malgré tout, même si les populations sont en déclin, l'espèce reste encore actuellement très commune et présente sur toute son aire de répartition. En effet, comme l'Émeu en Australie, le Nandou est un oiseau qui sait s'adapter aux modifications de son habitat, ce qu'attestent son alimentation variée, sa reproduction efficace et son tempérament agressif qui lui permet de faire face en général à n'importe quel danger.
Status and conservation
A flock in Lenschow, Mecklenburg-Vorpommern
The greater rhea is considered a Near Threatened species according to the IUCN, and they have a decreasing range of about 6,540,000 square kilometres (2,530,000 sq mi).The species is believed to be declining due to increased huntingand the conversion of central South American grasslands to farmland and ranchlandThe populations of Argentina and Uruguay are most seriously affected by the decline.
Farmers sometimes consider the greater rhea pests, because they will eat broad-leaved crop plants, such as cabbage, chard and bok choy.Wheee they occur as pests, farmers tend to hunt and kill greater rheas. The burning of crops in South America has also contributed to their decline.
Un grand merci pour vos favoris, commentaires et encouragements toujours très appréciés.
Many thanks for your much appreciated favorites and comments.
« Dans la nature, disait Hobbes, seul le présent existe. » Même Hegel le reconnaît : dans la nature « le temps est maintenant ». Passé et futur « ne sont nécessaires que pour la représentation subjective, le souvenir, la crainte ou l’espérance », autrement dit que pour nous, point dans la nature ou en soi. La nature est la « toute-présente », écrit joliment Marcel Conche. Or il n’y a rien d’autre, pour un matérialiste, que la nature, donc rien d’autre que le présent. C’est ce que j’appelle le toujours-présent du réel : le perpétuel aujourd’hui du devenir. Considérons l’arbre vert de Frege. Il est vert en mai, roux en octobre, noir en décembre ou en janvier. Mais tout cela n’existe qu’au présent. Il reste vrai, en décembre, qu’il était vert en mai ? Certes. Mais cela n’existe que pour la pensée : c’est du vrai, point du réel. A le considérer du point de vue de devenir, c’est-à-dire dans sa réalité toujours changeante, il est vert, puis il est roux, puis il est noir… C’est l’être de Parménide : « Ni il n’était ni il ne sera, puisqu’il est maintenant .» C’est le devenir d’Heraclide : tout change, mais ne change qu’au présent. On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve, mais encore moins dans un fleuve passé ou futur. C’est toujours maintenant, c’est toujours aujourd’hui, et c’est l’éternité même.
André Compte-Sponville
03 Anos de Jabuticaba
Para quem não sabe o apelido da minha Camera é Jabuticaba e hoje fazem tres anos que a cegonha chamada correios entregou ela aqui em casa
Como ela foi minha primeira camera, hoje então fazem 03 anos que comecei neste mundo de fotografia.
Nunca tive pretensões maiores que um simples passatempo e fazer da fotografia um maneira de fazer novos amigos e conhecer novas pessoas, nunca me considerei um fotografo, apesar de muitas vezes ser julgado como tal, mas assim como em outras situações, eu simplesmente não dava confiança para julgamentos, pois sabia que a grande parte deles eram movidos por despeito, odio, rancor e inveja de algo que ate hoje não descobri.
Lembrando da Velha historia da Tartaruga e a Lebre, apartir do momento que a lebre talvez por insegurança, inveja, amor ou seja lá o nome que vocês possam dar para descrever seu comportamento, enlouquecida e desesperada se coloca numa posição de competiçao com uma tartaruga em uma corrida que só existe dentro da cabeça dela, so neste fato de uma lebre querer competir com uma tartaruga, ja acaba provando que ela perdeu mesmo sem ter começado a corrida, ela perdeu para o seu proprio Ego.
Ate porque a tartaruga não esta nem ai para a tal competição, ela simplesmente segue seu caminho sem se importar com a vida da Lebre, E meus amigos neste tres anos o que mais eu sou é uma Tartaruga.
A mensagem da foto principal é que independente do padrão de cores que possa estar ao seu redor ou que alguns lhe cobrem, faça aquilo que voce se sente bem em fazer...
No universo do Flickr se eu gosto de uma foto, não me interessa que ela não tem a qualidade de um grande profissional, deixo isto para aqueles que o são. o que me interessa é que Eu Gostei e Pronto.
Todas as pequenas fotos da sequencia estão ABERTAS, pois ja foram postadas anteriormente e elas trazem o que realmente para mim TEM VALOR.
Cada foto tem uma historia, um sorriso, uma gargalhada, uma conversa jogada fora, um almoço, um café da manha, uma manha ensolarada, uma tarde nublada, um por do sol, uma vida.
E é isto que a move a Tartaruga, não é competir mas interagir...
Foto: Parque da Cidade - Niteroi - Rio de Janeiro - Brasil
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"Un beau jour, je parlai de la mer au ruisseau, et le ruisseau me considéra comme un fabulateur. Un autre jour, je parlai du ruisseau à la mer, et la mer me considéra comme un diffamateur." - Khalil Gibran - Le sable et l'écume
roquette de mer devant le Ruisseau de Dannes, qui sépare la grande plage de Sainte Cécile de Camiers, de la plage de Dannes.
Maxime & Arthur Le Forestier Mon ruisseau (Live 2022) youtu.be/CcC-HRBTqPQ
pierre.leflon.free.fr/GRLittoral/HardelotSteCecile/Hardel...
Pimbina est le nom algonquin de la viorne trilobée. Les Amérindiens de toutes les peuplades considéraient avec respect ce petit fruit et lui accordaient un prestige particulier. Les fruits sont comestibles et sont consommées dans des tartes et des gelées savoureuses.
Tananarive (Madagascar) - Contrairement à une idée reçue, photographier un marché n’est pas chose aisée. Surtout si on l’envisage en plan large. On pense que les couleurs souvent éclatantes dans les pays lointains, assurent à elles seules la réussite de la photo. Erreur ! Beaucoup en oublient de soigner la composition. Et c’est le ratage assuré ! A mon avis, dans cet exercice, la composition est plus importante que la couleur. D’autant que ces marchés sont souvent désorganisés. Il est nécessaire de remettre un peu d’ordre dans son viseur.
Personnellement, j’ai peu de bonnes photos générales de marchés. Il est plus facile de travailler en plans serrés.
Malagasy market
Tananarive (Madagascar) - Contrary to popular belief, photographing a market is not easy. Especially if you consider it in a wide shot. It is believed that the often vibrant colors in distant lands alone ensure the success of the photo. Error ! Many forget to look after the composition. In my opinion, in this exercise, the composition is more important than the color. Especially since these markets are often disorganized. It is necessary to restore some order in its viewfinder.
Personally, I have few good general photos of markets. It is easier to work in tight shots.
France, Région Rhône-Alpes, Monts du Lyonnais, St André la Côte, Accole (chemin entre Accole et "Servonnières", lieu dit au dessus de Riverie)
...
Objectif Sigma Art 50mm f1.4 à f:4
...
Titre faisant allusion à la Marseillaise:
Il y a une erreur classique de compréhension sur le sens des mots "sang impur" dans la Marseillaise.
On considère souvent à tort aujourd'hui, que le "sang impur" désignerait celui des autres peuples (composé de féroces soldats qui viendraient de l'étranger) et qui auraient un sang impur comparé à celui des Français autochtones au sang pur.
Les tuer abreuverait nos sillons...
C'est une erreur.
Durant la période révolutionnaire en France, on considérait alors qu'il y avait une différence entre la noblesse (au "sang bleu" ou pur) et le peuple, au sang impur, composé d'individus prêts au sacrifice de leur vie pour défendre "la patrie" et les droits universels de l'homme.
...
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !
...
signifie en fait:
>
Que le peuple donne son sang (dit impur)
pour l'avènement d'un monde qui ne soit plus soumis à la transmission du pouvoir par le droit du sang (noblesse, au sang bleu/ supposé pur) mais par le droit de vote, la démocratie.
TERÇA FEIRA DA LIBERDADE
Eles chegam de todos os recantos da Região Metropolitana e o destino é um só: o pátio de São Pedro. É noite de terça-feira e integrantes de todas as tribos se reúnem para celebrar a chamada Terça Negra.
O projeto é para divulgar a cultura negra apoiando grupos locais e incentivando a música e a dança. A iniciativa também acabou transformando o pátio de São Pedro num universo de pura liberdade. Uma liberdade onde se pode quase tudo e onde todo mundo está disposto a não enxergar limites e a realizar desejos.
O Pátio de São Pedro vira um mundo dentro de outro mundo. O primeiro onde é permitido aquilo que a sociedade considera imoral. O segundo é aquele mundo que está logo ao lado com todas as suas normas e convenções. No Pátio que pode, pelo menos nessa noite, ser chamado de Pátio da Liberdade, um cigarro de maconha não intimida ninguém, pelo contrário parece ser indispensável.
No quesito sexualidade, tudo é permitido. Grupos GLS convivem em harmonia total com grupos de heterossexuais. Ninguém é de ninguém, a menos que uma aventura aconteça e elas sempre acontecem em nome de desejos reprimidos que alí afloram. Em nome de um espaço onde todos são iguais pelo menos por uma noite.
ESTA É A TERÇA NEGRA
Victoria Klotz
Née en 1969. Vit et travaille à Bagnères-de-Bigorre.
Diplômée des Beaux-Arts, Victoria Klotz s’installe dans les Pyrénées, centrant sa pratique sur une expérience des territoires naturels et de l’animalité. Curieuse des rencontres que font les hommes avec la vie sauvage, elle s’intéresse aux histoires et aux mythes qui les fondent. Son intérêt pour la pensée de la nature l’amène à intervenir in situ, dans le cadre de commandes publiques, au sein de sites naturels ou d’espaces urbains
L’œuvre pour La Seine Musicale
La série de sculptures Les Hôtes du logis se déploie tout au long du parcours et met en scène des présences animales. Alors que nous considérons la ville comme un territoire essentiellement humain, elle est en réalité un écosystème investi aussi par les animaux. Les espèces animales présentées ici, plus vraies que nature, ont la particularité d’être des animaux commensaux, c’est à dire associés à une espèce différente – ici les humains – et profitant de ses aliments sans lui porter préjudice. Ces surprenants invités viennent chercher auprès de l’homme, le gîte et le couvert. Ils nous rappellent que, de tout temps, l’être humain et l’animal ont cohabité et partagé l’espace public.
Les Hôtes du logis, 2013
Mousse polyéthylène, bois, métal
Centaurée jacée - Centaurea jacea
fleur de la famille des Asteraceae
La centaurée est une plante herbacée vivace de la famille des Astéracées,elle mesure de 30 à 50 cm de haut, pouvant même atteindre 1m.Elle pousse naturellement dans les montagnes , sur les plateaux et on peut la trouver aussi bien dans les prés que dans les sous bois.Dans nos jardins,elle ne pose aucun problème de culture.Sa floraison a lieu d'Avril à Août, ce qui rend cette plantre très interressante , d'autant plus qu'en bouquet ,ses fleurs tiennent longtemps.Plusieurs noms populaires lui sont donnés, tels que:Bleuet, Chardon des prés,Tête de Moineau,Têtue, Tête Noire, en raison de l'aspect de son bouton floral et de sa fleur.Trésor de prés , car poussant dans les bonnes prairies.Fleur de galant, Herbe d'amour , parce qu'elle permet de prédire l'avenir amoureux.Etymologiquement, la Centaurée provient de "centaurea" mot qui fait référence au Centaure Chiron premier herboriste reconnu par la mythologie antique qui se serait soigné une blessure au pied grâce à celle ci.Déjà les Romains considéraient la Centaurée comme hallucinogène.En respirant ses fumées, elle provoquait effroi et terreur... Séchée, puis brûlée avec du sang de huppe, elle permet de se voir à l'envers.Cependant de toutes ces prétendues vertus démoniaques , la tradition populaire n'en a pas gardé le souvenir. En revanche , une pratique consistait à observer les fleurs coupées et voir que celles ci continuaient leur croissance malgré tout ;cette observation permettait aux jeunes filles de connaitre leurs destinée amoureuse.
L' église de San Fermo Minore di Brà , plus connue sous le nom d' église des Filippini , est un lieu de culte catholique situé au cœur du centre historique de Vérone
L'ancienne abbaye bénédictine du XIVe siècle, composée d'une petite église, d'un cimetière, de résidences, de cours et de jardins, fut cédée en 1712 à la Congrégation de l'oratoire de San Filippo Neri (ou des Filippini), qui à partir de 1715 a commencé à officier dans l'église.
En 1746, les Pères philippins, qui considéraient l'église précédente trop petite et exiguë, commandèrent le projet d'un nouveau bâtiment plus grand à l'architecte vénitien Andrea Camerata , qui proposa une architecture similaire aux modèles palladiens . L'architecture de référence principale de l'architecte semble être la basilique de San Giorgio Maggiore , bien que certaines variations dérivent de l' église de San Francesco della Vigna , les deux églises vénitiennes conçues par le célèbre architecte de la Renaissance Andrea Palladio . Les chantiers ont commencé en 1759 et se sont terminés en 1791, quand il a été consacré par l'évêque de Vérone Giovanni Andrea Avogadro .
Lors des raids aériens de la Seconde Guerre mondiale, l'église a subi divers dommages, notamment le toit, l'abside, une partie du côté gauche et l'oratoire adjacent par l'architecte Adriano Cristofali ont été détruits ; les travaux de restauration conséquents ont commencé en 1952 et se sont terminés en 1954
it.wikipedia.org/wiki/Chiesa_di_San_Fermo_Minore_di_Br%C3%A0
Ce débat m'obligea à élaborer ma propre conception de ces aspects de la philosophie. Je décidai de concevoir une discipline qui engloberait comme objet d'étude les problèmes de logique, de gnoséologie, d'ontologie, de méthodologie, et de dialectique ainsi que d'autres matière qui touchent aux problèmes généraux du langage et de la connaissance. je considérais comme secondaire l'appellation de ladite discipline. "Philosophie" ne convenait pas. [...]. Avec le temps, je me mis à utiliser l'expression "logique complexe" pour distinguer ce que je faisais de ce que faisaient les autres.
Alexandre Zinoviev
"J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler 'véritablement, jusqu'à une panne dans le désert du Sahara, il y a six ans. Quelque chose s'était cassée dans mon moteur. Et comme je n'avais avec moi ni mécanicien, ni passagers, je me préparai à essayer de réussir, tout seul, une réparation difficile. C'était pour moi une question de vie ou de mort. J'avais à peine de l'eau à boire pour huit jours,
Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J'étais bien plus isolé qu'un naufragé sur un radeau au milieu de l'Océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m'a réveillé. Elle disait :
- S'il vous plaît... dessine-moi un mouton !
- Dessine-moi un mouton...
J'ai sauté sur mes pieds comme si j'avais été frappé par la foudre. J'ai bien frotté mes yeux. J'ai bien regardé. Et j'ai vu un petit bonhomme tout à fait extraordinaire qui me considérait gravement. Voilà le meilleur portrait que, plus tard, j'ai réussi à faire de lui. Mais mon dessin, bien sûr, est beaucoup moins ravissant que le modèle. Ce n'est pas ma faute. J'avais été découragé dans ma carrière de peintre par les grandes personnes, à l'âge de six ans, et je n'avais rien appris à dessiner, sauf les boas fermés et les boas ouverts.
je regardai donc cette apparition avec des yeux tout ronds d'étonnement. N'oubliez pas que je me trouvais à mille milles de toute région habitée. Or mon petit bonhomme ne me semblait ni égaré, ni mort de fatigue, ni mort de faim, ni mort de soif, ni mort de peur. Il n'avait en rien l'apparence d'un enfant perdu au milieu du désert, à mille milles de toute région habitée. Quand je réussis enfin à parler, je lui dis :
- Mais... qu'est-ce que tu fais là ?
Et il me répéta alors, tout doucement, comme une chose très sérieuse :
- S'il vous plaît... dessine-moi un mouton...
Quand le mystère est trop impressionnant, on n'ose pas désobéir. Aussi absurde que cela me semblât à mille milles de tous les endroits habités et en danger de mort, je sortis de ma poche une feuille de papier et un stylographe. Mais je me rappelai alors que j'avais surtout étudié la géographie, l'histoire, le calcul et la grammaire et je dis au petit bonhomme (avec un peu de mauvaise humeur) que je ne savais pas dessiner. Il me répondit :
- ça ne fait rien. Dessine-moi un mouton.
Comme je n'avais jamais dessiné un mouton je refis, pour lui, l'un des deux seuls dessins dont j'étais capable. Celui du boa fermé. Et je fus stupéfait d'entendre le petit bonhomme me répondre :
- Non ! Non ! je ne veux pas d'un éléphant dans un boa. Un boa c'est très dangereux, et un éléphant c'est très encombrant. Chez moi c'est tout petit. J'ai besoin d'un mouton. Dessine-moi un mouton.
Alors j'ai dessiné.
Il regarda attentivement, puis
- Non! Celui-là est déjà très malade. Fais-en un autre.
Je dessinai :
Mon ami sourit gentiment, avec indulgence.
- Tu vois bien... ce n'est pas un mouton, c'est un bélier. Il a des cornes...
Je refis donc encore mon dessin.
Mais il fut refusé, comme les précédents.
- Celui-là est trop vieux. je veux un mouton qui vive longtemps.
Alors, faute de patience, comme j'avais hâte de commencer le démontage de mon moteur, je griffonnai ce dessin-ci.
Et je lançai :
- ça c'est la caisse. Le mouton que tu veux est dedans.
Mais je fus bien surpris de voir s'illuminer le visage de mon jeune juge :
- C'est tout à fait comme ça que je le voulais ! Crois-tu qu'il faille beaucoup d'herbe à ce mouton ?
- Pourquoi ?
- Parce que chez moi c'est tout petit...
- Ça suffira sûrement. je t'ai donné un tout petit mouton.
Il pencha la tête vers le dessin
- Pas si petit que ça... Tiens Il s'est endormi...
Et c'est ainsi que je fis la connaissance du petit prince."
[Le Petit Prince de Saint-Exupéry (Chap. II)]
La basilique de la Panaghia Katapoliani ou basilique de la Panaghia Ekatontapyliani située à Parikiá, port et ville principale de Paros, est le plus grand sanctuaire paléochrétien des Cyclades et le troisième plus grand de Grèce. Sa fondation remonte au IVe siècle et le bâtiment actuel date du VIe siècle.
L'ensemble architectural est ceint d'un mur long de plus de deux cents mètres dont une partie est constituée de bâtiments annexes abritant divers services et bureaux, comme ceux de l'évêché de Paronaxia qui regroupe Paros et sa voisine Naxos. L'église principale (40 m sur 25 m), dédiée à la Dormition de la Vierge, est flanquée du plus vieux et du mieux préservé des baptistères de l'Orient chrétien (IVe siècle). Elle est aussi adossée à la plus ancienne église de l'île, elle aussi du IVe siècle, transformée en chapelle (chapelle Saint-Nicolas).
Au début des années 1960, l'ensemble architectural a été l'objet de fouilles et de rénovations par l'équipe de l'archéologue Anastássios Orlándos. Ce dernier a décidé de ramener le bâtiment à ce qu'il considérait comme son état d'origine, celui du VIe siècle, en faisant disparaître tous les ajouts postérieurs comme le chaulage ou les fresques. Cela donne à la Panaghia Katapoliani un aspect totalement différent de la majorité des autres églises grecques.
La gestion du monument historique dépend du second éphorat des antiquités byzantines (Attique et Cyclades).
D'après diapositive.
Penas Rodas o Piedras de los Círculos es una curiosa formación granítica existente en Outeiro do Rei (Lugo).
En la región son frecuentes los callaos o piedras en forma de bola, resultantes de un fenómeno natural de disyunción bolar del granito. Lo que hace peculiar esta formación es la disposición de los dos callaos en un precario equilibrio sobre una plataforma granítica; un examen cuidadoso permite ver que no es cosa del azar, sino que esos enormes bloques se colocaron ahí a propósito, se pueden apreciar en las cuatro caras de cada bloque las marcas de las cadenas que se emplearon para emplazarlas en el sitio. El objetivo parece claro si tenemos en cuenta que el hueco entre las dos piedras coincide perfectamente con la puesta de sol en el solsticio de verano, atribuyéndose a los romanos la construcción de este peculiar observatorio astronómico y probable altar.
Traslate by Google:
Rhodes or Punishment Stones Circles is a curious granite formation exists in Outeiro do Rei (Lugo).
In the region are frequent pebbles or stones into a ball, resulting from a natural phenomenon of bolar disjunction of granite. What makes this line unique is the arrangement of the two pebbles in a precarious balance on a granite platform; careful examination can see that is not a matter of chance, but those huge blocks were placed there on purpose, can be seen in the four faces of each block marks the chains that were used to deploy them on the site. The objective seems clear when you consider that the gap between the two stones coincides perfectly with the sunset on the summer solstice, attributed to the Romans build this unique astronomical observatory and probable altar.
En 1999, et pour la première fois au monde, un paysage viticole se trouve propulsé au rang des sites inscrits au Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’UNESCO qui considère Saint-Emilion comme « un exemple remarquable d’un paysage viticole historique qui a survécu intact » et qui poursuit son activité de nos jours.
In 1999, and for the first time in the world, a wine-growing landscape was promoted to the rank of sites listed as World Heritage by UNESCO, which considers Saint-Emilion as "a remarkable example of a historic wine-growing landscape that survived intact" and continues operating today.
En 1999, y por primera vez en el mundo, un paisaje vitivinícola fue impulsado al rango de sitios listados como Patrimonio Mundial por la UNESCO, que considera a Saint-Emilion como "un ejemplo notable de un paisaje vitivinícola histórico que sobrevivió intacta ”y continúa operando hoy.
Saint-Émilion (Bordeaux/ France).
Les citadins n’ont pas tous la même perception des pigeons 🤔
• Certains les considèrent comme des nuisibles à éliminer, responsables de salissures, de dégradations et de troubles à la tranquillité publique. Ils réclament des mesures strictes de régulation, comme l’interdiction du nourrissage, l’installation de dispositifs anti-nidification (piques, fils tendus), voire des campagnes d’éradication.
•D’autres, au contraire, voient dans le pigeon un animal familier, voire attachant, et continuent à les nourrir malgré les interdictions. Ces personnes défendent leur présence comme une composante de la nature urbaine et s’opposent aux méthodes brutales de contrôle. Des associations militent pour une gestion éthique, prônant des solutions comme la stérilisation et le nourrissage contrôlé.
•Enfin, certains citadins adoptent une posture ambivalente, oscillant entre tolérance et agacement, reflet de la complexité de notre rapport à la nature en ville.
Les pigeons urbains, souvent perçus comme des nuisances ou des laissés-pour-compte, mériteraient une attention particulière. Leur présence omniprésente dans nos villes soulève des questions essentielles sur notre rapport à la nature et notre responsabilité envers les espèces que nous avons domestiquées.
En résumé, si les pigeons provoquent des nuisances réelles, leur gestion reste un enjeu de cohabitation urbaine, entre exigences de propreté, préoccupations de santé publique et respect du bien-être animal !
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City dwellers do not all have the same perception of pigeons 🤔
•Some consider them as pests to be eliminated, responsible for dirt, damage, and disturbances to public peace. They call for strict control measures, such as banning feeding, installing anti-nesting devices (spikes, wires), or even eradication campaigns.
•Others, on the contrary, see pigeons as familiar, even endearing animals, and continue to feed them despite prohibitions. These people defend their presence as a component of urban nature and oppose harsh control methods. Some associations advocate for ethical management, promoting solutions like sterilization and controlled feeding.
•Finally, some city dwellers adopt an ambivalent attitude, oscillating between tolerance and annoyance, reflecting the complexity of our relationship with nature in the city.
Urban pigeons, often seen as nuisances or outcasts, deserve special attention. Their omnipresence in our cities raises essential questions about our relationship with nature and our responsibility towards species we have domesticated.
In summary, while pigeons do cause real nuisances, their management remains a challenge for urban coexistence, balancing cleanliness, public health concerns, and respect for animal welfare.
Welcome to the rougier of North Aveyron, Villecomtal, the “Villa Comtalis”:
Fondé vers 1295 par Henri II, comte de Rodez, il fut bâti le long d’une voie desservant la vallée du Dourdou suivant un plan en damier dressé par un architecte de la cathédrale ruthénoise. En 1329, un arrêt de la Cour en Parlement de Paris, donne en toute propriété à Béatrix, fille aînée de Raymond II et épouse de Bertrand de La Tour d’Auvergne, la ville de Villecomtal et son mandement en compensation d’une rente annuelle comprise dans sa part d’héritage. La seigneurie, vendue aux de Rolland, noblesse très ancienne, resta dans cette famille jusqu’au XVIème siècle. Après divers possesseurs, elle fut apportée en dot à la maison de Nattes par Marie de Rességuier.
Il ne reste du bâtiment primitif que le donjon, le corps de logis; mais ces deux derniers modifiés pour les besoins des religieuses ne présentent plus aucun caractère de ce qu’ils pouvaient être à l’origine. Vers 1437, aux frais de la population, le village fut ceinturé d’une muraille longue d’environ 400 mètres, haute, par endroits, de 8 mètres. Le château fut construit à la même époque par Pierre de Rolland, Sénéchal de Castres.
La congrégation des sœurs de l’Union fit l’acquisition du château en 1850 pour le transformer en couvent et en pensionnat pour jeunes filles.
Depuis quelques années, la bâtisse devenue propriété de la commune a été revendue à un particulier. Deux portes fortifiées s’ouvraient sur la rue Droite, artère principale du bourg : “lo portal haut” et « lo portal bas » qui seul subsiste bien que très profondément modifié par l’adjonction d’un campanile achevé en 1785. Situé sur un passage, Villecomtal offrait de nombreuses auberges et écuries aux voyageurs et marchands.
L’église saint Barthélémy fut construite entre 1700 et 1715 afin de doter le village d’un lieu de culte intra-muros. A la fin des travaux, l’édifice avait la forme d’une croix latine et le clocher en peigne à cinq cloches, se trouvait sur l’un des côtés. Au XIXème, elle connaît de grands changements : la boiserie du chœur, la chaire et la table de communion sont refaites et les deux chapelles latérales sont agrandies vers la façade (d’où sa forme actuelle rectangulaire).
En 1900, le clocher est reconstruit au chevet de l’église.
Un épisode important de la vie religieuse qui débutera en 1801, à la signature du Concordat et qui perdurera jusqu’en 1931. En effet, Villecomtal fut «La Petite Rome» de «La Petite Eglise». Ses adeptes étaient alors appelés «Les Enfarinés».
Pour bien comprendre ce que fut le schisme anticoncordataire, il faut remonter à La Constitution Civile du Clergé promulguée le 12 juillet 1790 qui, entre autres dispositions, déclarait l’Eglise de France hors de l’autorité du Pape.En raison de l’imbrication des convictions religieuses et politiques de l’époque, mais aussi de la condamnation prononcée par Rome, la situation ne fut nette qu’après l’abolition de la royauté le 10 août 1792.Quatre vingt un évêques, réfugiés à l’étranger, organisèrent des réseaux clandestins autour d’hommes de confiance et par ce moyen administrèrent leur diocèse contre les prélats « jureurs » nommés par le gouvernement révolutionnaire.
En Aveyron, sous l’impulsion de Monseigneur Colbert de Seignelay, évêque de Rodez, la résistance à La Constitution Civile du Clergé fut active. La « Société Ecclésiastique » composée de prêtres réfractaires, dont à Villecomtal les abbés Delhom et Régis, fut une de ces cellules dirigées de Londres où l’évêque s’était réfugié.
En 1800, la nécessité de normaliser les relations diplomatiques avec le Vatican et de remettre de l’ordre dans l’Eglise de France se fit de plus en plus pressante et une négociation fut engagée entre Bonaparte, Premier Consul, et le cardinal Spina, envoyé spécial de Pie VII, pour aboutir en 1801 au Concordat promulgué à Paris en 1802. Trente cinq évêques anticonstitutionnels, dont celui de Rodez, tous résidant hors de France, en refusèrent les dispositions et entrèrent en dissidence contre Pie VII qui leur demandait de démissionner. Ils se servirent de leurs réseaux pour lutter contre le Concordat et l’administration de leur diocèse par les nouveaux promus. En Rouergue, de nombreux ecclésiastiques suivirent les consignes données par l’ex-évêque Colbert de Seignelay démis par le Vatican. A Villecomtal, les abbés Delhom et Régis se distinguèrent par leur zèle anticoncordataire au point qu’ils furent considérés comme les pontifes de « La Petite Eglise », autre nom donné à la dissidence du Rouergue.
Le rétablissement de la royauté en 1814/1815 et l’abolition du Concordat en 1905 ne changèrent pas l’attitude de « la Petite Eglise » qui sous le nom « La Petite Eglise Vieille Catholique » comptent de nos jours quelques milliers de fidèles en France et surtout à l’étranger : Europe, Afrique, Amérique. Plus de 24 paroisses aveyronnaises et 3 dans le Cantal adhérèrent à ce mouvement.
Leurs fidèles vinrent en grand nombre, jusqu’à un millier d’après les rapports de la police, assister aux messes célébrées à Villecomtal par l’abbé Delhom au lieu-dit « Le Taulan » et l’abbé Régis à « Los Topis ».
On les nommait « Les Enfarinés » car à l’instar des us de l’Ancien Régime, dont ils se réclamaient, sans pour autant qu’on puisse les considérer comme des royalistes avérés, les hommes dénouaient leurs cheveux qu’ils portaient longs et les poudraient avec de la farine (faute de poudre de riz) pour assister aux offices religieux. Les femmes vêtues de noir, portaient un bonnet à mentonnière, un scapulaire autour du cou et un grand chapelet de buis autour de la taille. Après le décès des derniers prêtres schismatiques, elles firent perdurer La Petite Eglise en organisant de pieuses réunions qui servaient de messe.
Le dernier fidèle en Rouergue est mort en 1931, dans un village voisin de Villecomtal en prononçant les dernières paroles « Soy Enfarinat »
Association “Terre des enfarinés”
Liens externes:
Les enfarinés sur Wikipédia
Le « Masque Rouge »
Dans les année 1946/1947, des paysans et notamment des marchands de bestiaux, de retour des foires locales, se faisaient agresser par un homme portant une cagoule ou un foulard rouge qui dissimulait son visage, le dos voûté, avec un accent étranger avéré ou simulé, qui les menaçait avec une mitraillette pour les dépouiller de l’argent gagné lors de la vente de leurs bêtes .L’homme dit « le masque rouge » connaissait parfaitement la région et arrivait à semer les gendarmes qui le poursuivaient. En effet, le masque rouge ne rentrait pas chez lui après avoir commis son larcin mais revenait à la foire où ses pas se mêlaient aux milliers d’autres.
Le masque rouge n’a jamais été arrêté ni identifié. Beaucoup d’hypothèses et de versions populaires ont couru à ce sujet mais en vain. Il faut quand même souligner, à sa décharge, qu’il n’a jamais utilisé sa mitraillette qui lui servait seulement à impressionner ses victimes.
Source Villecomtal.fr
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Founded around 1295 by Henri II, Count of Rodez, it was built along a road serving the Dourdou valley following a checkerboard plan drawn up by an architect of the Ruthenian cathedral. In 1329, a judgment of the Court in the Parliament of Paris, gives in full ownership to Béatrix, eldest daughter of Raymond II and wife of Bertrand de La Tour d'Auvergne, the town of Villecomtal and his mandate in compensation for an annual annuity included in its share of inheritance. The seigneury, sold to the de Rolland, a very old nobility, remained in this family until the 16th century. After various owners, it was brought as a dowry to the house of Nattes by Marie de Rességuier.
All that remains of the original building is the keep, the main building; but these last two modified for the needs of the nuns no longer present any character of what they might have been originally. Around 1437, at the expense of the population, the village was surrounded by a wall about 400 meters long and, in places, 8 meters high. The castle was built at the same time by Pierre de Rolland, Sénéchal de Castres.
The congregation of the Sisters of the Union acquired the castle in 1850 to transform it into a convent and boarding school for young girls.
In recent years, the building that has become the property of the municipality has been sold to an individual. Two fortified gates opened onto rue Droite, the town's main artery: “lo portal haut” and “lo portal bas” which alone remains although very profoundly modified by the addition of a campanile completed in 1785. Located on a hill Passage, Villecomtal offered many inns and stables to travelers and merchants.
Saint Bartholomew's Church was built between 1700 and 1715 to provide the village with an intramural place of worship. At the end of the work, the building had the shape of a Latin cross and the comb bell tower with five bells was on one side. In the 19th century, it underwent great changes: the woodwork of the choir, the pulpit and the communion table were redone and the two side chapels were enlarged towards the facade (hence its current rectangular shape).
In 1900, the bell tower was rebuilt at the apse of the church.
An important episode in religious life which began in 1801, when the Concordat was signed, and which lasted until 1931. Indeed, Villecomtal was "La Petite Rome" of "La Petite Eglise". Its followers were then called "Les Enfarinés".
To fully understand what the anticoncordat schism was, we must go back to La Constitution Civile du Clergé promulgated on July 12, 1790 which, among other provisions, declared the Church of France outside the authority of the Pope. religious and political convictions of the time, but also the condemnation pronounced by Rome, the situation was not clear until after the abolition of the kingship on August 10, 1792.Four twenty-one bishops, refugees abroad, organized clandestine networks around men of confidence and by this means administered their diocese against the prelates "jurors" appointed by the revolutionary government.
In Aveyron, under the leadership of Monsignor Colbert de Seignelay, Bishop of Rodez, resistance to La Constitution Civile du Clergé was active. The "Ecclesiastical Society" made up of refractory priests, including in Villecomtal the abbots Delhom and Régis, was one of those cells led from London where the bishop had taken refuge.
In 1800, the need to normalize diplomatic relations with the Vatican and to restore order in the Church of France became more and more urgent and a negotiation was initiated between Bonaparte, First Consul, and Cardinal Spina, envoy. special of Pius VII, to end in 1801 in the Concordat promulgated in Paris in 1802. Thirty-five unconstitutional bishops, including that of Rodez, all residing outside France, refused its provisions and entered into dissent against Pius VII who asked them to resign. They used their networks to fight against the Concordat and the administration of their diocese by the newly promoted. In Rouergue, many ecclesiastics followed the instructions given by ex-bishop Colbert de Seignelay, dismissed by the Vatican. In Villecomtal, the abbots Delhom and Régis were distinguished by their anti-concordance zeal to the point that they were considered the pontiffs of "La Petite Eglise", another name given to the dissidence of Rouergue.
The reestablishment of the kingship in 1814/1815 and the abolition of the Concordat in 1905 did not change the attitude of “la Petite Eglise” which under the name “La Petite Eglise Vieille Catholique” now has a few thousand faithful in France. and especially abroad: Europe, Africa, America. More than 24 parishes in Aveyron and 3 in Cantal joined this movement.
Their faithful came in large numbers, up to a thousand according to police reports, to attend the masses celebrated in Villecomtal by Father Delhom at a place called "Le Taulan" and Father Régis at "Los Topis" .
They were called "Les Enfarinés" because, like the habits of the Ancien Régime, which they claimed to be, without being able to consider them as proven royalists, the men untied their hair which they wore long and Powder them with flour (lack of rice powder) to attend religious services. The women, dressed in black, wore a chin-cup, a scapular around the neck and a large boxwood rosary around the waist. After the death of the last schismatic priests, they continued La Petite Eglise by organizing pious meetings which served as mass.
The last faithful in Rouergue died in 1931, in a neighboring village of Villecomtal, pronouncing the last words "Soy Enfarinat"
Association “Terre des enfarinés”
External links:
Flouries on Wikipedia
The "Red Mask"
In the years 1946/1947, peasants and in particular cattle dealers, returning from local fairs, were attacked by a man wearing a balaclava or a red scarf who concealed his face, his back arched, with a recognized foreign accent or simulated, which threatened them with a submachine gun to strip them of the money earned from the sale of their animals. The man called "the red mask" knew the region perfectly and managed to sow the gendarmes who were pursuing him. Indeed, the red mask did not return home after having committed the theft but returned to the fair where his footsteps mingled with thousands of others.
The red mask has never been arrested or identified. Many hypotheses and popular versions have been circulated about this, but to no avail. It should be noted, in his defense, that he never used his submachine gun, which he used only to impress his victims.
Source Villecomtal.fr
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Roteiro Caminhos de Pedra
Idealizado pelo Eng. Tarcísio Vasco Michelon e pelo Arq. Júlio Posenato o roteiro Caminhos de Pedra visa resgatar, preservar e dinamizar a cultura que os imigrantes italianos trouxeram à serra gaúcha a partir de 1875.
O Roteiro passou a ser concebido quando da realização de um levantamento do acervo arquitetônico de todo o interior do município de Bento Gonçalves, ocorrido no ano de 1987. Constatou-se então que a Linha Palmeiro e parte da Linha Pedro Salgado, área abrangida basicamente pelo Distrito de São Pedro, composto por 7 comunidades, (São Pedro, São Miguel, Barracão, São José da Busa, Cruzeiro, Santo Antonio e Santo Antoninho) possuía o maior acervo de casas antigas, conservava sua cultura e história, tinha acesso fácil e, conseqüentemente, um grande potencial turístico, apesar da decadência e abandono por que vinha passando desde a década de 1970 com a mudança de traçado da rodovia que ligava Porto Alegre ao norte do estado.
Esse precioso acervo material, parcialmente abandonado e esquecido, exigia uma ação rápida para não ter a mesma sorte de tantas e tantas casas de pedra, madeira e alvenaria que acabaram ruindo ou sendo demolidas. Com recursos do Hotel Dall’Onder as primeiras 4 casas foram restauradas e passaram a receber visitação e outras tiveram obras emergenciais. O primeiro grupo de turistas proveniente de São Paulo, através da Operadora CVC foi recebido na Casa Merlo, Casa Bertarello, Ferraria Ferri e Cantina Strapazzon em 30 de maio de 1992.
O sucesso do novo roteiro animou tanto os idealizadores quanto a comunidade. Em 10 de julho de 1997, com assessoria do SEBRAE foi fundada a Associação Caminhos de Pedra, congregando empreendedores e simpatizantes. Montou-se então um projeto abrangente que contemplava o resgate de todo o patrimônio cultural, não só o arquitetônico, envolvendo língua, folclore, arte, habilidades manuais, etc. Este ambicioso projeto foi aprovado pelo Conselho Estadual de Cultura em 10 de agosto de 1998 passando a partir de então a captar recursos das empresas locais através da recém criada LIC (Lei de Incentivo à Cultura do Estado do RS).
Atualmente a Associação Caminhos de Pedra conta com mais de uma centena de associados e o projeto, considerado pioneiro no Brasil em termos de turismo rural e cultural, está recebendo uma visitação média anual de 60.000 turistas. O roteiro está em expansão e possui 15 pontos de Visitação (assinalados em vermelho no mapa) e 56 pontos de Observação Externa (assinalados no mapa com letra verde).
De acordo com a Lei Estadual 13.177/09, que nos declarou patrimônio histórico do RS, considera-se como área de abrangência dos Caminhos de Pedra a Linhas Palmeiro e Pedro Salgado, localizadas nos municípios de Bento Gonçalves e Farroupilha, até o limite do município de Caxias do Sul, passando por Caravaggio.
Seguem algumas informações históricas
O surgimento da Linha Palmeiro
O Presidente da Província de São Pedro do Rio Grande do Sul, João Sertório, encarregou em 4 de abril de 1870 o engenheiro Major José Maria da Fontoura Palmeiro de proceder à medição e demarcação dos territórios que ele mesmo, por Ato de 24 de maio de 1870, denominou de colônias Conde D’Eu (hoje Garibaldi) e Dona Isabel (hoje Bento Gonçalves) onde mandou construir em cada uma um barracão para abrigar os colonos. Em homenagem ao seu demarcador o primeiro território demarcado na Colônia Dona Isabel passou a se chamar Linha Palmeiro.
O local que acolheu o Major Palmeiro em 1870 e posteriormente os imigrantes italianos a partir do final de 1875 é o atual bairro do Barracão, berço, portanto, da cidade de Bento Gonçalves e também porta de entrada dos Caminhos de Pedra. A Linha Palmeiro é uma das maiores linhas da colonização italiana com 200 lotes de 48,4 ha cada.
Esta Linha que, inicialmente, não passava de uma picada tortuosa no meio da mata tentando acompanhar uma linha imaginária reta que foi se desenvolvendo rapidamente pois era o único eixo de ligação entre a Colônia Dona Isabel com a Colônia Caxias. A picada foi virando estrada carroçável pelo trabalho dos próprios imigrantes que vendiam suas diárias ao governo, e posteriormente, passagem dos primeiros automóveis e caminhões.
A prosperidade da Linha Palmeiro é citada em inúmeros relatórios como os do Consul Italiano em Porto Alegre, Enrico Perrod de 1880: “Visitei uma colônia na Linha Palmeiro e encontrei na terra de um só agricultor todas as frutas da Itália: Castanhas, maçãs, pêras, laranjas, cerejas e nozes, juntamente com plantas de café, cana-de-açúcar e fumo.”(cfr. Rovílio Costa et alii, 1992, EST, As Colônias italianas Dona Isabel e Conde D’Eu, pg 21) ou do Cônsul italiano em Porto Alegre, Pascoale Corte, que aponta em seu relatório de 1884: “Atravessando um mato por um estreito caminho, chega-se, após quatro horas de viagem a cavalo, aos confins da Colônia Dona Isabel, exatamente na entrada de uma das linhas mais desmatadas e populosas: a Linha Palmeiro. Ali começa uma estrada carroçável que conduz à sede da colônia. Esta estrada é a mais pitoresca de todas.” (cfr. Rovílio Costa et alii, op. cit. pág 25).
Ao longo de todo o trecho foram rapidamente sendo construídas belas e confortáveis moradias em pedra, madeira e alvenaria, bem como variados empreendimentos comerciais como ferrarias, serrarias, moinhos, etc. Como os lotes eram grandes, normalmente eram assentadas duas famílias por lote, uma em cada extremidade.
O visitante que ingressar nos Caminhos de Pedra pelo Barracão estará, pois, utilizando a mesma porta de entrada dos primeiros imigrantes, revivendo de certa forma, as mesmas sensações dos recém-chegados, através das histórias contadas pelos seus descendentes. Não deixe de dar esse mergulho na história da imigração italiana no Rio Grande do Sul.
Barracão, Berço de Bento Gonçalves
Assim escreve em seu relatório o Agente Consular Italiano em Bento Gonçalves, Luigi Petrocchi, em dezembro de 1905: “A sede da nova Colônia Dona Isabel (hoje Bento Gonçalves), foi traçada em 1875, em um vale entre dois cursos d’água, num local baixo, próximo ao barracão dos imigrantes, e chamada então de cidade branca, devido às tendas feitas de lençóis. Por comodidade, porém, a diretoria transferiu a administração para um local elevado, chamado Cruzinha, no meio de um pinhal, a 3 Km de distância.” (cfr. Rovílio Costa et alii, op. cit. Pág. 73). O imigrante Giuseppe Dall’Acqua em seus apontamentos de viagem assim descrevem o Barracão no ano de 1878: “Depois de um percurso de uma hora e meia pelo mato virgem, por uma estrada íngreme, em degraus e barrenta, chegaram, após uma longa descida, a uma várzea perto de um rio, em cuja margem esquerda havia três ou quatro habitações rústicas,(...) e uma alta construção de um só plano e mal vedada, com longas taquaras pregadas na parede, horizontalmente, e cobertas de barro e folhas. Este lugar quase solitário e sem nome, fora destinado para a sede da Colônia Dona Isabel, mas ninguém sabia do motivo do não cumprimento da escolha da localidade para sede da futura cidade. Aquele casarão construído com barro (...) fora edificado para abrigar temporariamente os imigrantes e assim, com o tempo, tanto a localidade como o rio tomaram o nome de Barracão”. (Manuscrito de Giuseppe Dall’Acqua, 1901, in Rovílio Costa e Arlindo Battistel, 1983, Assim vivem os italianos, pág. 1172).
A partir de 1875 o Barracão começou a receber, e hospedar provisoriamente as primeiras levas de imigrantes. Ali eles recebiam seus lotes, algumas ferramentas, sementes e um pouco de alimentos. Isso, porém, só acontecia após uma longa espera que podia chegar a diversos meses. Os colonos eram cadastrados e tudo o que recebessem, inclusive alimentos, ferramentas e principalmente a terra, era-lhes lançado como dívida com o Governo Imperial que deveria ser quitada no prazo de 10 anos. Tudo foi planejado para que o local fosse a sede da colônia Dona Isabel, mas já em 1876, não se sabem bem os motivos, a sede da colônia foi transferida para onde hoje é o centro da cidade de Bento Gonçalves.
Patrimônio Histórico e Cultural do RS
Graças à restauração das casas e a visitação turística desencadeou-se nas comunidades que o compõem um movimento cultural que permitiu o surgimento de várias iniciativas que visam preservar não só o patrimônio material, mas também o imaterial. Exemplos dessa vitalidade cultural que palpita em todo o Roteiro são a preservação do dialeto “talian” (língua típica dos imigrantes do lugar), a Casa da Memória e os grupos artístico-culturais (dança italiana, flauta doce, banda musical, orquestra de câmara, coro e teatro) que se apresentam em ocasiões especiais ou por solicitação expressa nos restaurantes do Roteiro.
O fato de concentrar o maior acervo arquitetônico da imigração italiana em meio rural do país e a preocupação com a preservação do patrimônio histórico material e imaterial rendeu aos Caminhos de Pedra o qualificativo de “museu vivo”. Em 2009 por iniciativa do Dep. Estadual Jerônimo Pizzoloto Güerguen, e apoio do IPHAE (Instituto de Patrimônio Histórico e Artístico do Estado) foi declarado patrimônio histórico e cultural do RS pela Lei Estadual 13.177/09 promulgada pela então Governadora Yeda Rorato Crusius.
http://www.caminhosdepedra.org.br/pt/?pg=historico
Sociable, activo y usualmente ruidoso este fiel compañero suele convivir en pequeños grupos a veces mixtos entre los que se encuentra el verdulejo de aspecto similar pero de color oliváceo en comparación con el azul típico que le otorga el nombre a este.
Es increíble la forma como este azulejo se ha adaptado a vivir en áreas urbanas donde es fácil encontrarle debido a su variado menú el cual se basa principalmente en fruta aunque también come flores y en ocasiones insectos e invertebrados.
Maybe because I consider this Blue-Gray tanager so comon, I don´t use to give it the place it deserves reason why I honor her with today´s publication.
Etimología:
Thraupis episcopus significa ave pequeña no identificada que actúa como guardían.
El género proviene de griego thraupís: Ave pequeña, no identificada. Thraupis también equivale a tangara en ornitología.
El epíteto se basa en el griego episkopos: Guardián, cuidador y que en latín significa: Obispo.
Orden: PASSERIFORMES
Familia: Thraupidae
Genero: Thraupis
Nombres comunes: Azulejo Común, Tángara Azuleja
Nombre científico: Thraupis episcopus
Nombre en ingles: Blue-Gray Tanager
Lugar de captura: Vereda La Bonilla
Región: Embalse El Peñol-Guatapé, Antioquia, Colombia
Por: Carlos Iván Restrepo Jaramillo
La grand place à Bruxelles
La Grand-Place ou Grand'Place est la place centrale de la ville belge de Bruxelles. Elle est également appelée Grote Markt en néerlandais et Gruute Met en bruxellois.
Mondialement renommée pour sa richesse ornementale, elle est bordée par les maisons des corporations, l'hôtel de Ville et la Maison du Roi (Broodhuis en néerlandais). Victor Hugo, la considérait comme l'une des plus belles places du monde. Elle a été inscrite en 1998 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO
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En souvenir du merveilleux livre de Jacques Lacarrière, écrit en 1972, qui a randonné tout près d'ici. Il considérait les Bois Noirs, encore plus "noirs" à l'époque, comme la frontière linguistique entre France de langue d'oïl et la France de langue d'Oc.
Par cette série de photos on peut voir l'évolution d'un poussin d'Ouette d'Egypte jusqu'à l'âge adulte.
Sur sept poussins au départ six sont arrivés à l'âge adulte, une belle réussite pour le couple géniteur.
Aujourd'hui les jeunes adultes ne sont plus tolérés à moins de six mètres par les parents qui les considèrent désormais comme des concurrents.
Through this series of photos one can see the evolution of a goose chick from Egypt to adulthood.
Out of seven chicks at the start, six have reached adulthood, a great success for the spawning couple.
Today young adults are no longer tolerated within six meters by parents who now consider them as competitors.
L’art « gothique », initialement appelé « Francigenum Opus » (littéralement « l’oeuvre de France ») apparaît au XIIè siècle et supplante progressivement le style roman en France d’abord, puis ailleurs en Europe.
En architecture, le gothique se caractérise par : des innovations techniques permettant de construire plus haut, plus grand ; la notion de verticalité (l’élévation de la construction est une métaphore de l’élévation du fidèle vers Dieu) ; une importance symbolique accordée à la lumière qui doit baigner l’intérieur de l’édifice ; une grande richesse et finesse ornementale (sculptures, vitraux, rosaces).
Ce sont les Italiens de la Renaissance qui ont qualifié de « gothique » ce style architectural d’origine française. Prenons un exemple célèbre. En 1530, Giorgio Vasari (artiste, écrivain et critique d’art) donne à ce terme une connotation péjorative. Pour lui, le gothique est synonyme de « barbare » et de « désordre » parce que trop éloigné de l’esthétique gréco-romaine jugée plus raffinée au XVI ème siècle. En utilisant le qualificatif « gothique », Vasari fait référence au sac de Rome par les Goths (tribus barbares) en 410. Cet événement est à ses yeux un désastre, signant l’effondrement du monde classique qu’il considérait comme un âge d’or.
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(Publié par Louise Fruitier
Blog culturel collaboratif : artmeupleblog.wordpress.com)
...à Matane - Québec (Canada)
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La Grand-Place, Grand Place ou Grand'Place est la place centrale de la ville belge de Bruxelles. Elle est également appelée Grote Markt en néerlandais et Gruute Met en bruxellois.
Mondialement renommée pour sa richesse ornementale, elle est bordée par les maisons des corporations, l'hôtel de Ville et la Maison du Roi (Broodhuis en néerlandais). Victor Hugo, la considérait comme l'une des plus belles places du monde1. Elle a été inscrite en 1998 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
L'Hôtel de Ville a été construit entre 1402 et 1455. Il est le seul témoin architectural de la place du Moyen Âge.
L'architecte et concepteur en est probablement le bourguignon Jean Bornoy avec lequel collaborait Jacques van Thienen.
Le jeune Charles le Téméraire posa en 1444 la première pierre de l'aile droite dont le nom de l'architecte est inconnu, certains pensent que l'architecte en serait Guillaume (Willem) de Voghel qui était l'architecte de la ville de Bruxelles en 1452 et qui fut à cette date l'auteur de la Magna Aula du palais de Philippe le Bon.
La tour de style gothique de 96 mètres est due à l'architecte Jean van Ruysbroeck. À son sommet se trouve une statue de saint Michel, le patron de Bruxelles, terrassant le démon.
À noter l'asymétrie de l'Hôtel de ville (voir photo au début de l'article à droite). En effet, la tour ne se trouve pas exactement au milieu de l'édifice et la partie de gauche et celle de droite ne sont pas identiques. Une vieille légende connue des Bruxellois veut que l'architecte qui a conçu le bâtiment s'est suicidé en se jetant du sommet du beffroi après s'être rendu compte de cette « erreur » architecturale. En fait les deux parties n'ont pas été construites ensemble.
Pour Paul de Saint-Hilaire, cette asymétrie est à relier à l'omniprésent symbolisme alchimique de la Grand-Place. La partie gauche de l'Hôtel de Ville compte douze arches -beffroi compris- représentant l'alchimique humide en douze étapes, tandis que la partie droite compte sept arches -beffroi compris- célébrant la 'nouvelle' alchimie sèche, en sept étapes. Le chiffre sept est d'ailleurs largement représenté dans l'architecture de la Grand-Place.
Bruxelles | Région de Bruxelles-Capitale | Belgique
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Exposition "Pierres Précieuses" - Muséum National d'Histoire Naturelle en collaboration avec la Maison Van Cleef & Arpels.
Grande galerie de l'Evolution, Jardin des Plantes Paris
La malachite est connue pour sa couleur verte exceptionnelle.
Les égyptiens considéraient la malachite comme la pierre de la renaissance et de l’éternelle jeunesse. L’au-Delà était d’ailleurs pour eux le « domaine de la malachite ». Dans la mythologie égyptienne, Hathor, déesse de l’amour et de la beauté, était également désignée comme la « maîtresse de la malachite, de la turquoise et du lapis-lazuli ». Les égyptiens, comme les romains, la portaient également en amulette de protection. Aujourd’hui, la pierre de malachite est reconnue pour ses propriétés antioxydantes dans les soins cosmétiques, mais est surtout utilisée en bijouterie pour confectionner tous types de bijoux.
Abandoned old house and land | Flickr Lounge theme - If I had a million dollars or 850K €, I'd consider buying this house and land and organising a renovation!
Una casa abandonada, que se encuentra en los alrededores de un pueblo montañoso. Dice arriba que si tuviera la pasta, pues me lo pensaría ... Comprarla con la parcela, renovarla. ¡Tantas obras habría! Tal vez no lo haría en estas alturas, ya no soy veinteañero jeje. ;-)
Allez, préparez vous a une petite heure de grimpette....oui il est tout la haut...perché.
Pour ceux qui ont le vertige...passez votre chemin, ou alors considérez ça comme une thérapie.....choc !.....ou chute :(
Pie-grièche boréale | Northern Shrike | Lanius borealis
Une redoutable chasseuse!
Je l'avais rencontrée qu'une seule fois cette espèce, cela remonte à il y a près de neuf ans, soit en hiver 2015. Il s'agissait d'un adulte qui tentait d'attraper des Mésanges à tête noire près d'un poste de mangeoire à l'Arboretum Morgan. Je n'avais pas assisté alors à une chasse réussite. Cette fois-ci nous sommes face à un juvénile. Un redoutable chasseur ce jeunôt. Pendant les quelque 90 minutes que nous l'avons observé chasser, manger partiellement, et cacher ses proies, il aura réussi à deux reprises à capturer des Campagnols des champs. Cette photo, réalisée en contre-jour, a subi un recadrage fort important : près de 80%. Mais l'objectif premier ici, est de vous partager et de vous présenter cette scène fabuleuse à laquelle j'ai eu le grand privilège d'assister, même si elle s'est déroulée très loin de nos lentilles (près de 24m, 80 pieds). Les occasions de l'apercevoir à proximité sur des perches basses ont été plutôt rares et surtout, disons, éphémères.
Lorsque je l'ai observé en 2015, elle était identifiée comme la Pie-grièche grise (Lanius excubitor). Il faut savoir par contre qu'à l'origine, elle fut identifiée en 1808 par l'ornithologue français Louis Jean Pierre Vieillot comme la Pie-grièche boréale (Lanius borealis). Les ornithologues nord-américains au 19e siècle la considéraient comme une espèce distincte de la Pie-grièche grise, tandis que les autorités européennes la considéraient comme la même espèce. Ce n'est que dans les années 1930 que notre Pie-grièche nord-américaine fut officiellement nommée Pie-grièche grise (Lanius excubitor). Une étude sur son ADN, publiée en 2010, a révélé que notre Pie-grièche se distinguait de la grise appartenant à une autre souche de Pies-grièches, notamment la Pie-grièche méridionale (Lanius meridionalis). Suite à ces découvertes, c'est donc en 2017, qu'elle fut à nouveau baptisée, et ce, tant dans son nom français que son nom latin : Pie-grièche boréale (Lanius borealis). Source Wikipedia Pie-grièche boréale
Voilà ce que je trouve sur Internet... et si c'était mon horoscope d la semaine ?
Ne considérez jamais également votre jeu de cartes comme un simple jeu de société :
"L'as de carreau" représente tout ce qui touche aux affaires et au métier du consultant. Il représente également les lettres et les papiers.
Le "Roi de carreau" représente un supérieur hiérarchique, un partenaire ou un associé. Il représente également un militaire.
La "Dame de carreau" représente une femme d'affaires. Elle représente également une femme blonde.
Le "Valet de carreau" représente un jeune homme blond. Le "10 de carreau" représente un grand voyage ou un déplacement lointain. Il représente également la mer.
Le "10 de carreau" représente un grand voyage ou un déplacement lointain. Il représente également la mer.
Le "9 de carreau" représente un obstacle, et des problèmes. Il représente également des contretemps.
Le "8 de carreau" représente des petits déplacements. Il représente également une visite.
Le "7 de carreau" représente les pourparlers, les examens et les concours. C'est une carte de chance.
Attention, je n'y crois pas et ne recommande pas le lien mais comme c'est un copier coller, je me sens obligée d'indiquer ma source : www.guidedelavoyance.com/initiation-32-cartes,3.html
En ce qui me concerne je préfère laisser la Chance au Hasard ou le/la provoquer et garder /ou faire semblant de croire que je garde mon Destin en Main :)))
As únicas formas de se chegar à praia e à Lagoinha são de barco, através do mar (a partir da praia da Armação ou da praia do Pântano do Sul) ou pelas trilhas que vencem os morros e costões.
Ela é uma praia ainda selvagem e paradisíaca.
"Os turistas a consideram a mais bonita da Ilha.
Os moradores do Sul da Ilha garantem que ela é a mais misteriosa de Florianópolis.
Os ecologistas a defendem como se fosse a última praia do mundo.
Seja qual for a opinião sobre a Lagoinha do Leste, ela é única.
A praia ainda preserva as características de quando os primeiros imigrantes aportaram nestas terras.
A Lagoinha, como é carinhosamente chamada pelos ilhéus, impressiona seus visitantes com sua beleza, seu ar selvagem e seus mistérios."
Fontes: www.guiafloripa.com.br/trilhas/11_lagoinha/lagoinha.html