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Pointblank from G1 Transformers cartoon series, turns into a futuristic speedster. Transformation doesn't require reassembly of parts.
I am taking inspiration from both his original toy version from the 80s and also some design cues from his cartoon/comic version.
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STIB/MIVB: at the terminal of line 44 of the Brussels trams in Tervuren Station, tram number 7788.
The articulated trams of the 7701-7827 series (type PCC 7700/7800) were built by La Brugeoise et Nivelles and ACEC between 1972 and 1973. Originally they formed the series 7501-7598, unidirectional, and 7801-7830, bidirectional. Between 1979 and 1988 STIB / MIVB's Cureghem street workshops modernized unidirectional trams to transform them into bidirectional ones.
The office is now transformed into my newly organized haven of all that is rainbows, dollies, and manga. Soooo thrilled!
twitter.com/Memoire2cite le Logement Collectif* 50,60,70's dans tous ses états..Histoire & Mémoire de l'Habitat / Rétro-Villes / HLM / Banlieue / Renouvellement Urbain / Urbanisme 😊 De grandes barres d’immeubles, appelées les grands ensembles, sont le symbole de nos banlieues. Entrée Libre revient sur le phénomène de destruction de ces bâtiments qui reflètent aujourd’hui la misere www.youtube.com/watch?v=mCqHBP5SBiM Quatre murs et un toit 1953 Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) www.dailymotion.com/video/xk6xui twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Avril 1993, 6 ans après l'implosion de la tour DEBUSSY des 4000, 30% seulement des travaux de rénovation ont été réalisés et le chômage frappe toujours 1/3 des hbts. C'est un échec. A Mantes la Jolie, 6 mois après la destruction des 4 tours du Val Fourré, www.youtube.com/watch?v=ta4kj05KJOM … Banlieue 89, Bacalan à Bordeaux 1986 - Un exemple de rénovation urbaine et réhabilitation de l'habitat dans un des quartiers de Bordeaux La Cité Claveau à BACALAN. A l'initiative du mouvementla video içi www.youtube.com/watch?v=IN0JtGBaA1o … L'assoçiation de ROLLAND CASTRO @ Le Plan Banlieue 89 - mode d'emploi - Archive INA - La video içi. TRANSFORMER LES PAYSAGES URBAINS AVEC UNE APPROCHE CULTURELLE www.youtube.com/watch?v=Aw-_f-bT2TQ … SNCF les EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi.
www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije …
archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ...
museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije :- que dire de RICARDO BOFFIL Les meilleures balades que j’ai fait autour de Paris je les ai faites dans l’application Plans. Je ne minore pas le rôle de Google Maps, révolution cartographique sans précédent et sans égale, qui aura réalisé nos fantasmes d’Aleph borgesien — l’idée d’un point d’où le monde serait visible en totalité — parachevé Mercator et permis d’explorer des parties du globe inconnues de Cook, Bougainville et Amundsen. Je n’oublie pas non plus cet exercice de cartographie au collège, qui nous avait démontré que nous étions à 3 cartes IGN de la capitale, et que le tissu urbain était de plus en plus serré à mesure que nous avancions vers le nord. Mais Plan possédait une fonctionnalité inédite, le Flyover, technologie à l’origine destinée aux pilotes de chasse, et qui fournissait des rendus 3D spectaculaire des bâtiments survolés — ainsi que des arbres et des déclivités du sol.
On quittait enfin les champs asphyxiants de la photographie aérienne pour des vues à l’oblique des villes visitées : après un siècle d’écrasement — la photographie aérienne est étroitement contemporaine du bombardement aérien — les villes reprenaient enfin de la vigueur et remontaient vers le ciel. J’avais d’ailleurs effectué moi-même une manœuvre de redressement similaire le jour où j’étais parti, à pied depuis Paris, visiter à Nanterre une exposition sur la photographie aérienne. J’étais à la quête des premières vues de Paris qu’avait prises Nadar depuis un ballon captif. À défaut de ces images, définitivement manquantes, j’avais parcouru, après la Grande Arche, les derniers kilomètres de la Voie Royale, cette prodigieuse perspective historique partie du Louvre — rare exemple de frise chronologique implémentée dans une structure urbanistique.
J’avais en réalité un peu dévié de la ligne droite pour aller voir les tours Nuages d’Emile Aillaud, le Facteur Cheval du modernisme, dont je connaissais déjà les autres chefs d’œuvres d'architecture naïve, les nouilles chinoises de Grigny et le spaghetti de Pantin.
C’était précisément l’usage que j’avais fait de l’application Plans : j’étais parti à la recherche de tous les groupements de tour qu’elle m’avait permis d’identifier, sur mon iPad. Je les faisais tourner avec deux doigts, comme un éclaireur qui marcherait autour d’un donjon, avant de les immortaliser, sous leur plus bel angle, par une capture d’écran.Un éclaireur autour d’un donjon : c’était exactement cela, qui m’avait fasciné. Les guerres territoriales entre Les Tarterêts de Corbeil et les Pyramides d’Evry avaient marqué mon enfance. La notion de cité, telle qu’elle avait été définie, à partir des années 80, dans le second âge des grands ensembles, l’âge du déclin, avait conservé un cachet médiéval. Ici, vivaient guetteurs et trafiquants, condottieres à la tête d’une écurie de go-fast et entretenant des chenils remplis de mâtins rares et dangereux. Ici, l’État central ne remplissait plus ses tâches régaliennes, ici la modernité laïque était entrée en crise. Mais ce que j’avais découvert, en collectionnant ces captures d’écran, c’était à quel point l’urbanisme de la banlieue parisienne était, strictement, d’obédience médiévale. On était passé, d’un seul mouvement et sans même s’en rendre compte de Château-Gaillard à la Cité 4000, du Donjon de Vincennes aux tours de Sarcelles, du château de Gisors aux choux fleurs de Créteil.J’ai même retrouvé la colonne détruite du désert de Retz dans le babylonien château d’eau de Noisiel.
Des hauteurs de Rosny à celle de Chanteloup, du plateau de Clichy à la dalle d’Argenteuil, on avait bizarrement livré des pastiches inconscients de la grande architecture militaire médiévales : les environs de Paris s’étaient retrouvés à nouveau fortifiés, la vieille tour de Montlhéry n’était plus solitaire, et même les immeubles de briques rouges qui avaient succédé à l’enceinte de Thiers évoquaient des murailles.
Et ce que j’avais initialement pris pour des anomalies, des accidents malheureux du post-modernisme, les grand ensembles voûtés et cannelés de Ricardo Boffil, étaient peut-être ce qui exprimait le mieux tout cela — ou du moins qui clôturaient avec le génie le plus clair cet âge des grands ensembles.
Car c’était cela, ces Carcassonnes, ces Acropoles, ces Atlandides qui surnageaient avec le plus de conviction au milieu des captures d’écrans de ruines médiévales qui s’accumulaient sur mon bureau.
Si décriées, dès leur construction, pour leur kitch intolérable ces mégastructures me sont soudain apparues comme absolument nécessaires.
Si les Villes Nouvelles n’ont jamais existé, et persisteront dans la mémoire des hommes, elles le doivent à ces rêveries bizarres et grandioses, à ces hybridations impossibles entre les cités idéales de Ledoux et les utopies corbuséennes.
L’Aqueduc de Saint-Quentin-en-Yvelines, les Espaces d’Abraxas à Marne-la-Vallée, les Colonnes de Saint-Christophe à Cergy-Pontoise sont les plus belles ruines du Grand Paris.
www.franceculture.fr/emissions/la-conclusion/ricardo-bofill immerssion dans le monde du logement social, l'univers des logements sociaux, des H.B.M au H.L.M - Retour sur l'histoire du logement collectif d'apres guerre - En Françe, sur l’ensemble du territoire avant, 4 millions d’immeubles étaient vétustes, dont 500.000 à démolir; au total 10% des logements étaient considérés comme insalubres et 40% réputés d’une qualité médiocre, et surpeuplés. C’est pour ces raisons que, à partir de 1954, le Ministre à la Reconstruction et au Logement évalue le besoin en logements à 2.000.660, devenant ainsi une priorité nationale. Quelques années plus tard à l’appel de l’Abbé Pierre, le journaliste Gilbert Mathieu, en avril 1957 publiait dans le quotidien Le Monde une série d’articles sur la situation dramatique du logement : Logement, notre honte et dénonçant le nombre réduit de logements et leur impitoyable état. Robert Doisneau, Banlieue après-guerre, 1943-1949 /Le mandat se veut triple : reconstruire le parc immobilier détruit durant les bombardements essentiellement du printemps/été 1944, faire face à l’essor démographique et enfin résorber l’habitat insalubre notamment les bidonvilles et les cités de transit. Une ambition qui paraît, dès le début, très élevée, associée à l’industrialisation progressive de la nation entre autre celle du secteur de la construction (voir le vidéo de l’INA du 17 juillet 1957 intitulée La crise du logement, un problème national. Cela dit, l’effort pour l’État français était d’une ampleur jamais vue ailleurs. La double nécessité de construire davantage et vite, est en partie la cause de la forme architecturale excentrique qui constituera les Grands Ensembles dans les banlieues françaises. Cinq caractéristiques permettent de mieux comprendre ce terme : la rupture avec le tissu urbain ancien, un minimum de mille logements, une forme collective (tours, barres) de quatre jusqu’à vingt niveaux, la conception d’appartements aménagés et équipés et enfin une gestion destinée pour la plupart à des bailleurs de logement social.
Pour la banlieue parisienne leur localisation s’est opérée majoritairement dans la périphérie, tandis que dans les autres cas, plus de la moitié a été construite dans le centre ville, le plus souvent à la limite des anciens faubourgs.
Architecture d’Aujourd’hui n° 46, 1953 p. 58-55
C’est le triomphe de l’urbanisme fonctionnel et rationaliste cher à Le Corbusier. Entre 1958 et 1973, cent quatre-vingt-quinze Zones à Urbaniser en Priorité (ZUP) sont créées, comprenant deux millions de logements, essentiellement de type populaire en Habitations à Loyer Modéré (HLM), mais pas exclusivement, remplaçant ainsi les anciennes Habitations à Bon Marché (HBM) crées en 1894. Selon le décret du 27 mars 1954 qui en fixe les conditions d’attribution, les bénéficiaires de la législation n’ont pas changé, ce sont toujours des « personnes peu fortunées vivant principalement de leur salaire », selon la loi Strauss de 1906. En 1953, tous les HLM voient leur surface maximale se réduire, en passant de 71 à 65 mètres carrés pour un quatre pièces. L’accès au logement des familles modestes se fera donc au détriment de la qualité et quantité de l’espace habité pour des familles nombreuses. À ce propos, le sociologue Thierry Oblet a bien montré comment se sont articulées les pensées des architectes et des ingénieurs modernistes, avec leur souci planificateur d’un État interventionniste[8] grâce à l’hégémonie du béton, de la ligne droite et de la standardisation de la construction.
Les exemples de cette architecture restent nombreux : de la Cité de 4000 (pour 4000 logements) à la Courneuve en Seine-Saint-Denis (93) aux logements de 15 étages aux balcons pétales, appelés « Chou-fleur » à Créteil en Val-de Marne (94) dessinés au début des années 70 par l’architecte Gérard Grandval. De la Cité des nuages à Nanterre dans les Hauts-de-Seine (92) à la Grande borne construite entre 1967 et 1971 sur le territoire des communes de Grigny et Viry-Châtillon, dans l’Essonne (91) en passant par la Noé à Chanteloup-les-Vignes dans le département des Yvelines (78) scénario du célèbre film La Haine[9] de Kassovits.
Récemment, plusieurs expositions photographiques se sont
concentrées sur cette nouvelle figure de l’urbanisme fonctionnaliste français de l’après-guerre. Par exemple Toit&Moi, 100 ans de logement social (2012), Les Grands ensembles 1960-2010 (2012) produite par l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, selon un projet du Ministère de la Culture et de la Communication. Enfin l’exposition Photographie à l’œuvre, (2011-2012) d’Henri Salesse, photographe du service de l’inventaire du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme et Voyage en périphérie (2012) de Cyrus Cornut.
Il s’agissait là non seulement d’un progrès matériel, mais aussi démocratique, donnant ainsi à chaque citoyen, la possibilité d’accéder à son petit appartement doté de tous les conforts de l’époque. La recherche d’économie et de rapidité dans la conduite des chantiers portent à l’utilisation du béton comme matériel privilégié et à des plans architecturaux aussi simples que possible avec la réalisation de logements standardisés, dont les barres et les tours deviennent les figures principales : Au mitan des années cinquante, apparurent d’étranges formes urbaines. Des immeubles d’habitation de plus en plus longs et de plus en plus hauts, assemblés en blocs qui ne s’intégraient pas aux villes existantes. Ces blocs s’en différenciaient ostensiblement et parfois comme systématiquement, s’en isolaient. Ils semblaient faire ville à part. Surtout ils ne ressemblaient pas à ce qu’on avait l’habitude d’appeler ville. Et leur architecture aussi, qui était tellement déroutante. On les a nommés » grands ensembles. Cité de l’Abreuvoir, Bobigny (93), 2003 (Inventaire général du Patrimoine, Région Ile de France / Stéphane Asseline)
Bref, entre 1946 et 1975 le parc immobilier français passe de 12,7 millions à 21 millions de logements. Environ 8 millions de ceux-ci sont neufs, construits entre 1953-1975 – dont la moitié sous forme de grands ensembles – et près de 80 % des logements grâce à une aide de l’État avec des crédits publics. Le nombre de logements sociaux passe de moins de 500.000 à près de 3 millions, dont 43 % en région parisienne, où la demande est la plus forte[11]. Ce qui témoigne d’un effort énorme. Secrétariat d’État à la Reconstruction et au Logement, Supplément du logement en 1954, cité par Bachmann, C. Le Guennec, N., Violences urbaines…Op.cit, p.24. Alors que l’hiver 1954 est particulièrement rigoureux, l’abbé Pierre lance un appel en faveur des sans-logis et déshérités et organise des collectes de vêtements et de nourriture pour les plus démunis. Cela nous rappelle également que les inégalités sociales restaient particulièrement importantes à l’époque, malgré les débuts de la croissance économique, et que la crise du logement n’était pas encore complètement résolue. Danièle Voldman, La reconstruction des villes françaises de 1940 à 1954 : histoire d’une politique, Paris, L’Harmattan, 1997. Les Actualités françaises, La crise du logement, un problème national, 17 juillet, 1957, in fresques.ina.fr/…/la-crise-du-logement-un-probleme-n…, consulté le 20/02/2014. C’est l’urbaniste Marcel Rotival dans un numéro d’Architecture d’Aujourd’hui de juin 1935 (vol.1, n°6, juin 1935, p.57) qui propose pour la première fois cette terminologie pour désigner les Habitations à Bon Marché (HBM) et leur transformation en Habitations à Loyer Modéré (HLM), par la loi du 21 juillet 1951: « Nous espérons, un jour, sortir des villes comme Paris, non seulement par l’avenue des Champs Elysées, la seule réalisation de tenue sans laquelle Paris n’existerait pas, mais sortir par Belleville, par Charonne, par Bobigny, etc., et trouver harmonieusement disposés le long de larges autostrades, au milieu de grands espaces boisés, de parcs, de stades, de grandes cités claires, bien orientées, lumineusement éclairées par le soleil. » Largement reprise depuis les années 1950 dans le jargon administratif et public, elle apparaît pour la première fois dans un texte officiel qu’en 1973 avec la Circulaire Guichard, alors Ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Equipement, du Logement et du tourisme. Celui-ci met un terme à la politique initiée après-guerre afin « d’empêcher la réalisation des formes d’urbanisation désignées généralement sous le nom de “grands ensembles”, peu conforme aux aspirations des habitants et sans justification économique sérieuse ». Paradoxalement, le terme de grands ensembles s’officialise donc au moment même où ils son mis en question. ZUP est un acronyme qui signifie Zone à Urbaniser en Priorité. Elles ont été créées par le décret N°58-1464 du 31 décembre 1958, afin de planifier et d’encadrer sur le territoire national, le développement urbain pour répondre à la carence de logements face à l’accroissement démographique et favoriser enfin la résorption de l’habitat insalubre. Oblet, Thierry, Gouverner la ville. Les voies urbaines de la démocratie moderne, Paris, PUF, 2003. En particulier par l’intermédiaire de la Société centrale de construction et de la Société centrale pour l’équipement du territoire, créées au milieu des années 1950 en tant que filiales de la Caisse des dépôts et consignations.
Kassovitz, Mathieu, La Haine, France, 1995.
Cornu, Marcel, Libérer la ville, Bruxelles, Casterman, 1977, p.60. twitter.com/Memoire2citeil Les 30 Glorieuses . com et la carte postale ... Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty
la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije Cardem les 60 ans de l'entreprise de démolition française tres prisée des bailleurs pour les 80, 90's (1956 - 2019) toute l'Histoire de l'entreprise içi www.youtube.com/watch?v=Yyf1XGvTZYs - 69 LYON & la Cardem pour la démolition de la barre 230 Quartier la Duchère le 2 juillet 2015, youtu.be/BSwidwLw0NA pic.twitter.com/5XgR8LY7At -34 Béziers - C'était Capendeguy le 27 janv 2008 En quelques secondes, 450 kg d'explosifs ont soufflé la barre HLM de 492 lgts, de 480 m, qui laissera derrière elle 65.000 tonnes de gravas. www.youtube.com/watch?v=rydT54QYX50 … … Les usines Peugeot - Sochaux Montbéliard. 100 ans d'histoire en video www.youtube.com/watch?v=X4w3CxXVAyY … - 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
- Villeneuve-la-Garenne, La Caravelle est à mettre au crédit de Jean Dubuisson, l’un des architectes les plus en vue des années 1960, www.dailymotion.com/video/x1re3h5 via @Dailymotion - AMIENS les HLM C'était le 29 juillet 2010, à 11h02. En quelques secondes, cette tour d'habitation s'est effondrée, détruite par implosion. Construite en 1961, la tour avait été vidée de ses habitants quelques années auparavant. www.youtube.com/watch?v=ajz2xk5KBNo … … - Les habitants de Montreynaud parlent de leur quartier et de cette destruction entre nostalgie et soulagement içi en video www.dailymotion.com/video/xmiwfk - Les bâtiments de la région parisienne - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/CAF96034508/les-batiments-de-la-region-p... … via @Inafr_officiel - Daprinski - George Michael (Plaisir de France remix) www.youtube.com/watch?v=sJeH-nzlj3I
Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes
Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) - Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015
www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin)
www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...
42 LOIRE ST-ETIENNE MONTREYNAUD tout une histoire youtu.be/ietu6yPB5KQ - Mascovich & la tour de Montreynaud www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE … -Travaux dalle du Forum à Montreynaud Saint-Etienne www.youtube.com/watch?v=0WaFbrBEfU4 … & içi www.youtube.com/watch?v=aHnT_I5dEyI … - et fr3 là www.youtube.com/watch?v=hCsXNOMRWW4 … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline et sur les pentes de cette colline s’accroche une petite ville, un quartier, un peu à part. Cet endroit niché au milieu de la verdure, c’est le quartier de Montreynaud. www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo&fbclid=IwAR2ALN4d... …Et sinon, avez-vous remarqué au dessus du P de AGIP ? On voit, dans le film, la Tour Réservoir Plein Ciel du quartier de Montreynaud, détruite 3 ans plus tard par foudroyage ! Sûr que @Memoire2cite a des photos du quartier et de la tout à l'époque ! ;-) 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
- Que de chemin parcouru, Muraille de Chine La Palle Beaulieu jusqu'aux années 90. L habitat se transforme et s adapte aux nouveaux besoins. Autre temps, période d'essor économique et du "vivre ensemble". Merci à @Memoire2cite pour cette introspection du passé! -
The Mobile Emergency Room is a project by Thierry Geoffroy/Colonel, a participating artist of the Maldives Pavilion working with art formats developed around the notion of emergency.
Emergency Room is a format providing space for artists to engage in urgent debates, address societal dysfunctions and express emergencies in the now, today, before it is too late. Geoffroy’s approach allows immediate artistic intervention and displaces the contemporary to the status of delayed comment on yesterday’s world.
Taking as point of departure climate change and the Maldives, Geoffroy developed a scenario of disappearance and translated actual emergencies and hospitality needs into artistic interventions. In this context he activated his penetration format in order to transform “rigid exhibition spaces” into “elastic and generous exhibition spaces”.
An intervention facilitated by curator Christine Eyene, the Mobile Emergency Room was set up at the Zimbabwe Pavilion during the opening week of the biennale with the hospitality of commissioner Doreen Sibanda and curator Raphael Chikukwa. The first pieces presented in this room consisted in Geoffroy’s tent and an installation by Polish artist Christian Costa. Since then it has been animated online and has extended from being a space for artists expressing emergencies about climate change, to encompassing various emergency topics.
From 24 to 28 August, Geoffroy was in Venice collaborating with Danish artists Nadia Plesner, Mads Vind Ludvigsen, who created new work everyday, raising various emergencies and concerns, with a daily change of exhibition (“passage”) at 3.00 pm. For his last day in Venice, Geoffroy addressed the Syrian situation.
The work produced during this intervention is displayed until 30 September. The presentation is based on Geoffroy's concept of "Delay Museum" where art created for past emergencies is exhibited, while new work enters the Mobile Emergency Room.
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the Emergency Room Mobile at the Zimbabwe pavilion / Venice Biennale has now been completed with some work from the The Delay Museum ,Please visit the pavilion when you go the Venice Biennale this is part of the PENETRATIONS formats ( the Zimbabwe pavilion gave hopsitality for a period of several monthes ) the displayed art works in the Delay Museum are still "boiling " as they are from last week . ( Nadia Plesner / Mads Vind Ludvigsen , COLONEL ) ( this project is a convergence with BIENNALIST / Emergency Room ) more on Christine Eyene blog as she facilated and work within ....This penetration was in connection with my participation in the Maldives pavilion " CAN A NATION WELCOME ANOTHER NATION ?"CAN EMERGENCIES BE RANKED " .Thank you also for the work by David Marin , @Guillaume Dimanche and Christian Costa
venice-biennale-biennalists.blogspot.dk/2013/09/recents-w...
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VENICE BIENNALE / VENEZIA BIENNIAL 2013 : BIENNALIST
www.emergencyrooms.org/biennalist.html
Biennalist is an Art Format by Thierry Geoffroy / Colonel debating with artistic tools on Biennales and other cultural managed events . Often those events promote them selves with thematics and press releases faking their aim . Biennalist take the thematics of the Biennales very seriously , and test their pertinance . Artists have questioned for decade the canvas , the pigment , the museum ... since 1989 we question the Biennales .Often Biennalist converge with Emergency Room providing a burning content that cannot wait ( today before it is too late )
please contact before using the images : Thierry Geoffroy / Colonel 1@colonel.dk
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Countries( nations ) that participate at the Venice Biennale 55 th ( 2013 Biennale di Venezia ) in Italy ( at Giardini or Arsenale or ? ) , Encyclopedic Palace is curated by Massimiliano Gioni
Albania, Andorra, Argentina, Australia, Austria, Azerbaijan, Bangladesh, Belarus, Belgium, Brazil, Bulgaria,
Costa Rica, Croatia, Cuba, Cyprus, Czech , Slovenia, South Africa, Spain, Canada, Chile, China, Congo,
Slovak Republic, Egypt, Estonia, Finland, France, Georgia, Germany, Greece, Haiti, Hungary, Iceland, India, Iran, Iraq, Ireland, Israel, Italy, Japan, Korea, Latvia, Lithuania, Luxembourg, Macedonia,
Mexico, Moldova, Montenegro, Netherlands, New Zealand, Norway, Poland, Portugal, Romania, Russia, San Marino, Saudi Arabia, Serbia, Singapore
Sweden, Switzerland, Syrian Arab Republic, Thailand, Turkey, Ukraine, United Arab Emirates, United Kingdom, United States of America, Uruguay, Venezuela, Zimbabwe
the Bahamas, the Kingdom of Bahrain, the Republic of Kosovo, Kuwait, the Maldives, Côte d'Ivoire, Nigeria and Paraguay
Eight countries will also participate for the first time in next year's biennale: the Bahamas, the Kingdom of Bahrain, the Republic of Kosovo, Kuwait, the Maldives, Côte d'Ivoire, Nigeria and Paraguay. In 2011, 89 international pavilions, the most ever, were accessible in the Giardini and across the city.
please contact before using the images : Thierry Geoffroy / Colonel 1@colonel.dk
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lists of artists participating at the Venice Biennale
Hilma af Klint, Victor Alimpiev, Ellen Altfest, Paweł Althamer, Levi Fisher Ames, Yuri Ancarani, Carl Andre, Uri Aran, Yüksel Arslan, Ed Atkins, Marino Auriti, Enrico Baj, Mirosław Bałka, Phyllida Barlow, Morton Bartlett, Gianfranco Baruchello, Hans Bellmer, Neïl Beloufa, Graphic Works of Southeast Asia and Melanesia, Hugo A. Bernatzik Collection, Ștefan Bertalan, Rossella Biscotti, Arthur Bispo do Rosário, John Bock, Frédéric Bruly Bouabré, Geta Brătescu, KP Brehmer, James Lee Byars, Roger Caillois, Varda Caivano, Vlassis Caniaris, James Castle, Alice Channer, George Condo, Aleister Crowley & Frieda Harris, Robert Crumb, Roberto Cuoghi, Enrico David, Tacita Dean, John De Andrea, Thierry De Cordier, Jos De Gruyter e Harald Thys, Walter De Maria, Simon Denny, Trisha Donnelly, Jimmie Durham, Harun Farocki, Peter Fischli & David Weiss, Linda Fregni Nagler, Peter Fritz, Aurélien Froment, Phyllis Galembo, Norbert Ghisoland, Yervant Gianikian & Angela Ricci Lucchi, Domenico Gnoli, Robert Gober, Tamar Guimarães and Kasper Akhøj, Guo Fengyi, João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Wade Guyton, Haitian Vodou Flags, Duane Hanson, Sharon Hayes, Camille Henrot, Daniel Hesidence, Roger Hiorns, Channa Horwitz, Jessica Jackson Hutchins, René Iché, Hans Josephsoh, Kan Xuan, Bouchra Khalili, Ragnar Kjartansson, Eva Kotátková, Evgenij Kozlov, Emma Kunz, Maria Lassnig, Mark Leckey, Augustin Lesage, Lin Xue, Herbert List, José Antonio Suárez Londoño, Sarah Lucas, Helen Marten, Paul McCarthy, Steve McQueen, Prabhavathi Meppayil, Marisa Merz, Pierre Molinier, Matthew Monahan, Laurent Montaron, Melvin Moti, Matt Mullican, Ron Nagle, Bruce Nauman, Albert Oehlen, Shinro Ohtake, J.D. ‘Okhai Ojeikere, Henrik Olesen, John Outterbridg, Paño Drawings, Marco Paolini, Diego Perrone, Walter Pichler, Otto Piene, Eliot Porter, Imran Qureshi, Carol Rama, Charles Ray, James Richards, Achilles G. Rizzoli, Pamela Rosenkranz, Dieter Roth, Viviane Sassen, Shinichi Sawada, Hans Schärer, Karl Schenker, Michael Schmidt, Jean-Frédéric Schnyder, Friedrich Schröder-Sonnenstern, Tino Sehgal, Richard Serra, Shaker Gift Drawings, Jim Shaw, Cindy Sherman, Laurie Simmons e Allan McCollum, Drossos P. Skyllas, Harry Smith, Xul Solar, Christiana Soulou, Eduard Spelterini, Rudolf Steiner, Hito Steyerl, Papa Ibra Tall, Dorothea Tanning, Anonymous Tantric Paintings, Ryan Trecartin, Rosemarie Trockel, Andra Ursuta, Patrick Van Caeckenbergh, Stan VanDerBeek, Erik van Lieshout, Danh Vo, Eugene Von Bruenchenhein, Günter Weseler, Jack Whitten, Cathy Wilkes, Christopher Williams, Lynette Yiadom-Boakye, Kohei YoshiyUKi, Sergey Zarva, Anna Zemánková, Jakub Julian Ziółkowski ,Artur Żmijewski.
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other pavilions at Venice Biennale
Andorra
Artists: Javier Balmaseda, Samantha Bosque, Fiona Morrison
Commissioner: Henry Périer
Deputy Commissioners: Francesc Rodríguez, Ermengol Puig, Ruth Casabella
Curators: Josep M. Ubach, Paolo De Grandis
Venue: Arsenale di Venezia, Nappa 90
Angola
Artist: Edson Chagas
Commissioner: Ministry of Culture
Curators: Beyond Entropy (Paula Nascimento, Stefano Rabolli Pansera), Jorge Gumbe, Feliciano dos Santos
Venue: Palazzo Cini, San Vio, Dorsoduro 864
Argentina
Artist: Nicola Costantino
Commissioner: Magdalena Faillace
Curator: Fernando Farina
Venue: Pavilion at Arsenale
Armenia
Artist: Ararat Sarkissian
Commissioner: Ministry of Culture
Curator: Arman Grogoryan
Venue: Isola di San Lazzaro degli Armeni, everyday from 2:30 p.m. to 5:30 p.m.
Australia
Artist: Simryn Gill
Commissioner: Simon Mordant
Deputy Commissioner: Penelope Seidler
Curator: Catherine de Zegher
Venue: Pavilion at Giardini
Austria
Artist: Mathias Poledna
Commissioner/Curator: Jasper Sharp
Venue: Pavilion at Giardini
Azerbaijan
Artists: Rashad Alakbarov, Sanan Aleskerov, Chingiz Babayev, Butunay Hagverdiyev, Fakhriyya Mammadova, Farid Rasulov
Commissioner: Heydar Aliyev Foundation
Curator: Hervé Mikaeloff
Venue: Palazzo Lezze, Campo S. Stefano, San Marco 2949
Bahamas
Artist: Tavares Strachan
Commissioner: Nalini Bethel, Ministry of Tourism
Curators: Jean Crutchfield, Robert Hobbs
Deputy Curator: Stamatina Gregory
Venue: Arsenale, Tese Cinquecentesche
Bangladesh
Chhakka Artists’ Group: Mokhlesur Rahman, Mahbub Zamal, A. K. M. Zahidul Mustafa, Ashok Karmaker, Lala Rukh Selim, Uttam Kumar Karmaker. Dhali Al Mamoon, Yasmin Jahan Nupur, Gavin Rain, Gianfranco Meggiato, Charupit School
Commissioner/Curator: Francesco Elisei.
Curator: Fabio Anselmi.
Venue: Officina delle Zattere, Dorsoduro 947
Bahrain
Artists: Mariam Haji, Waheeda Malullah, Camille Zakharia
Commissioner: Mai bint Mohammed Al Khalifa, Minister of Culture
Curator: Melissa Enders-Bhatiaa
Venue: Pavilion at Arsenale
Belgium
Artist: Berlinde De Bruyckere
Commissioner: Joke Schauvliege, Flemish Minister for Environment, Nature and Culture
Curator: J. M. Coetzee
Deputy Curator: Philippe Van Cauteren
Venue: Pavilion at Giardini
Bosnia and Herzegovina
Artist: Mladen Miljanovic
Commissioners: Sarita Vujković, Irfan Hošić
Venue: Palazzo Malipiero, San Marco
Brazil
Artists: Hélio Fervenza, Odires Mlászho, Lygia Clark, Max Bill, Bruno Munari
Commissioner: Luis Terepins, Fundação Bienal de São Paulo
Curator: Luis Pérez-Oramas
Deputy Curator: André Severo
Venue: Pavilion at Giardini
Canada
Artist: Shary Boyle
Commissioner: National Gallery of Canada / Musée des beaux-arts du Canada
Curator: Josée Drouin-Brisebois
Venue: Pavilion at Giardini
Central Asia
Artists: Vyacheslav Akhunov, Sergey Chutkov, Saodat Ismailova, Kamilla Kurmanbekova, Ikuru Kuwajima, Anton Rodin, Aza Shade, Erlan Tuyakov
Commissioner: HIVOS (Humanist Institute for Development Cooperation)
Deputy Commissioner: Dean Vanessa Ohlraun (Oslo National Academy of the Arts/The Academy of Fine Art)
Curators: Ayatgali Tuleubek, Tiago Bom
Scientific Committee: Susanne M. Winterling
Venue: Palazzo Malipiero, San Marco 3199-3201
Chile
Artist: Alfredo Jaar
Commissioner: CNCA, National Council of Culture and the Arts
Curator: Madeleine Grynsztejn
Venue: Pavilion at Arsenale
China
Artists: He Yunchang, Hu Yaolin, Miao Xiaochun, Shu Yong, Tong Hongsheng, Wang Qingsong, Zhang Xiaotao
Commissioner: China Arts and Entertainment Group (CAEG)
Curator: Wang Chunchen
Venue: Pavilion at Arsenale
Costa Rica
Artists: Priscilla Monge, Esteban Piedra, Rafael Ottón Solís, Cinthya Soto
Commissioner: Francesco Elisei
Curator: Francisco Córdoba, Museo de Arte y Diseño Contemporáneo (Fiorella Resenterra)
Venue: Ca’ Bonvicini, Santa Croce
Croatia
Artist: Kata Mijatovic
Commissioner/Curator: Branko Franceschi.
Venue: Sala Tiziano, Opera don Orione Artigianelli, Fondamenta delle Zattere ai Gesuati 919
Cuba
Artists: Liudmila and Nelson, Maria Magdalena Campos & Neil Leonard, Sandra Ramos, Glenda León, Lázaro Saavedra, Tonel, Hermann Nitsch, Gilberto Zorio, Wang Du, H.H.Lim, Pedro Costa, Rui Chafes, Francesca Leone
Commissioner: Miria Vicini
Curators: Jorge Fernández Torres, Giacomo Zaza
Venue: Museo Archeologico Nazionale di Venezia, Palazzo Reale, Piazza San Marco 17
Cyprus
Artists: Lia Haraki, Maria Hassabi, Phanos Kyriacou, Constantinos Taliotis, Natalie Yiaxi, Morten Norbye Halvorsen, Jason Dodge, Gabriel Lester, Dexter Sinister
Commissioner: Louli Michaelidou
Deputy Commissioners: Angela Skordi, Marika Ioannou
Curator: Raimundas Malašauskas
Czech Republic & Slovak Republic
Artists: Petra Feriancova, Zbynek Baladran
Commissioner: Monika Palcova
Curator: Marek Pokorny
Venue: Pavilion at Giardini
Denmark
Artist: Jesper Just in collaboration with Project Projects
Commissioners: The Danish Arts Council Committee for International Visual Arts: Jette Gejl Kristensen (chairman), Lise Harlev, Jesper Elg, Mads Gamdrup, Anna Krogh
Curator: Lotte S. Lederballe Pedersen
Venue: Pavilion at Giardini
Egypt
Artists: Mohamed Banawy, Khaled Zaki
Commissioner: Ministry of Culture
Venue: Pavilion at Giardini
Estonia
Artist: Dénes Farkas
Commissioner: Maria Arusoo
Curator: Adam Budak
Venue: Palazzo Malipiero, San Marco 3199, San Samuele
Finland
Artist: Antti Laitinen
Commissioner: Raija Koli
Curators: Marko Karo, Mika Elo, Harri Laakso
Venue: Pavilion at Giardini
France
Artist: Anri Sala
Commissioner: Institut français
Curator: Christine Macel
Venue: Pavilion of Germany at the Giardini
Georgia
Artists: Bouillon Group,Thea Djordjadze, Nikoloz Lutidze, Gela Patashuri with Ei Arakawa and Sergei Tcherepnin, Gio Sumbadze
Commissioner: Marine Mizandari, First Deputy Minister of Culture
Curator: Joanna Warsza
Venue: Pavilion at Arsenale
Germany
Artists: Ai Weiwei, Romuald Karmakar, Santu Mofokeng, Dayanita Singh
Commissioner/Curator: Susanne Gaensheimer
Venue: Pavilion of France at Giardini
Great Britain
Artist: Jeremy Deller
Commissioner: Andrea Rose
Curator: Emma Gifford-Mead
Venue: Pavilion at Giardini
Greece
Artist: Stefanos Tsivopoulos
Commissioner: Hellenic Ministry of Education and Religious Affairs, Culture and Sports
Curator: Syrago Tsiara
Venue: Pavilion at Giardini
Holy See
Artists: Lawrence Carroll, Josef Koudelka, Studio Azzurro
Curator: Antonio Paolucci
Venue: Pavilion at Arsenale
Hungary
Artist: Zsolt Asztalos
Commissioner: Kunstahalle (Art Hall)
Curator: Gabriella Uhl
Venue: Pavilion at Giardini
Iceland
Artist: Katrín Sigurðardóttir
Commissioner: Dorotheé Kirch
Curators: Mary Ceruti , Ilaria Bonacossa
Venue: Lavanderia, Palazzo Zenobio, Collegio Armeno Moorat-Raphael, Fondamenta del Soccorso, Dorsoduro 2596
Indonesia
Artists: Albert Yonathan Setyawan, Eko Nugroho, Entang Wiharso, Rahayu Supanggah, Sri Astari, Titarubi
Commissioner: Soedarmadji JH Damais
Deputy Commissioner: Achille Bonito Oliva
Assistant Commissioner: Mirah M. Sjarif
Curators: Carla Bianpoen, Rifky Effendy
Venue: Pavilion at Arsenale
Iraq
Artists: Abdul Raheem Yassir, Akeel Khreef, Ali Samiaa, Bassim Al-Shaker, Cheeman Ismaeel, Furat al Jamil, Hareth Alhomaam, Jamal Penjweny, Kadhim Nwir, WAMI (Yaseen Wami, Hashim Taeeh)
Commissioner: Tamara Chalabi (Ruya Foundation for Contemporary Culture)
Deputy Commissioner: Vittorio Urbani
Curator: Jonathan Watkins.
Venue: Ca' Dandolo, San Tomà, Venezia
Ireland
Artist: Richard Mosse
Commissioner, Curator: Anna O’Sullivan
Venue: Fondaco Marcello, San Marco 3415
Israel
Artist: Gilad Ratman
Commissioners: Arad Turgeman, Michael Gov
Curator: Sergio Edelstein
Venue: Pavilion at Giardini
Italy
Artists: Francesco Arena, Massimo Bartolini, Gianfranco Baruchello, Elisabetta Benassi, Flavio Favelli, Luigi Ghirri, Piero Golia, Francesca Grilli, Marcello Maloberti, Fabio Mauri, Giulio Paolini, Marco Tirelli, Luca Vitone, Sislej Xhafa
Commissioner: Maddalena Ragni
Curator: Bartolomeo Pietromarchi
Venue: Italian Pavilion, Tese delle Vergini at Arsenale
Ivory Coast
Artists: Frédéric Bruly Bouabré, Tamsir Dia, Jems Koko Bi, Franck Fanny
Commissioner: Paolo De Grandis
Curator: Yacouba Konaté
Venue: Spiazzi, Arsenale, Castello 3865
Japan
Artist: Koki Tanaka
Commissioner: The Japan Foundation
Curator: Mika Kuraya
Venue: Pavilion at Giardini
Kenya
Artists: Kivuthi Mbuno, Armando Tanzini, Chrispus Wangombe Wachira, Fan Bo, Luo Ling & Liu Ke, Lu Peng, Li Wei, He Weiming, Chen Wenling, Feng Zhengjie, César Meneghetti
Commissioner: Paola Poponi
Curators: Sandro Orlandi, Paola Poponi
Venue: Caserma Cornoldi, Castello 4142 and San Servolo island
Korea (Republic of)
Artist: Kimsooja
Commissioner/Curator: Seungduk Kim
Deputy Commissioner: Kyungyun Ho
Venue: Pavilion at Giardini
Kosovo
Artist: Petrit Halilaj
Commissioner: Erzen Shkololli
Curator: Kathrin Rhomberg
Venue: Pavilion at Arsenale
Kuwait
Artists: Sami Mohammad, Tarek Al-Ghoussein
Commissioner: Mohammed Al-Asoussi (National Council of Culture, Arts and Letters)
Curator: Ala Younis
Venue: Palazzo Michiel, Sestriere Cannaregio, Strada Nuova
Latin America
Istituto Italo-Latino Americano
Artists:
Marcos Agudelo, Miguel Alvear & Patricio Andrade, Susana Arwas, François Bucher, Fredi Casco, Colectivo Quintapata (Pascal Meccariello, Raquel Paiewonsky, Jorge Pineda, Belkis Ramírez), Humberto Díaz, Sonia Falcone, León & Cociña, Lucía Madriz, Jhafis Quintero, Martín Sastre, Guillermo Srodek-Hart, Juliana Stein, Simón Vega, Luca Vitone, David Zink Yi.
Harun Farocki & Antje Ehmann. In collaboration with: Cristián Silva-Avária, Anna Azevedo, Paola Barreto, Fred Benevides, Anna Bentes, Hermano Callou, Renata Catharino, Patrick Sonni Cavalier, Lucas Ferraço Nassif, Luiz Garcia, André Herique, Bruna Mastrogiovanni, Cezar Migliorin, Felipe Ribeiro, Roberto Robalinho, Bruno Vianna, Beny Wagner, Christian Jankowski
Commissioner: Sylvia Irrazábal
Curator: Alfons Hug
Deputy Curator: Paz Guevara
Venue: Pavilion at Arsenale
Latvia
Artists: Kaspars Podnieks, Krišs Salmanis
Commissioners: Zane Culkstena, Zane Onckule
Curators: Anne Barlow, Courtenay Finn, Alise Tifentale
Venue: Pavilion at Arsenale
Lebanon
Artist: Akram Zaatari
Commissioner: Association for the Promotion and Exhibition of the Arts in Lebanon (APEAL)
Curators: Sam Bardaouil, Till Fellrath
Venue: Pavilion at Arsenale
Lithuania
Artist: Gintaras Didžiapetris, Elena Narbutaite, Liudvikas Buklys, Kazys Varnelis, Vytaute Žilinskaite, Morten Norbye Halvorsen, Jason Dodge, Gabriel Lester, Dexter Sinister
Commissioners: Jonas Žokaitis, Aurime Aleksandraviciute
Curator: Raimundas Malašauskas
Venue: Palasport Arsenale, Calle San Biagio 2132, Castello
Luxembourg
Artist: Catherine Lorent
Commissioner: Clément Minighetti
Curator: Anna Loporcaro
Venue: Ca’ del Duca, Corte del Duca Sforza, San Marco 3052
Macedonia
Artist: Elpida Hadzi-Vasileva
Commissioner: Halide Paloshi
Curator: Ana Frangovska
Venue: Scuola dei Laneri, Santa Croce 113/A
Maldives
Participants: Paul Miller (aka DJ Spooky), Thierry Geoffrey (aka Colonel), Gregory Niemeyer, Stefano Cagol, Hanna Husberg, Laura McLean & Kalliopi, Tsipni-Kolaza, Khaled Ramadan, Moomin Fouad, Mohamed Ali, Sama Alshaibi, Patrizio Travagli, Achilleas Kentonis & Maria Papacaharalambous, Wooloo, Khaled Hafez in collaboration with Wael Darwesh, Ursula Biemann, Heidrun Holzfeind & Christoph Draeger, Klaus Schafler
Commissioner: Ministry of Tourism, Arts & Culture
Curators: CPS – Chamber of Public Secrets (Alfredo Cramerotti, Aida Eltorie, Khaled
Ramadan)
Deputy Curators: Maren Richter, Camilla Boemio
Venue: Gervasuti Foundation, Via Garibaldi
Mexico
Artist: Ariel Guzik
Commissioner: Gastón Ramírez Feltrín
Curator: Itala Schmelz
Venue: Ex Chiesa di San Lorenzo, Campo San Lorenzo
Montenegro
Artist: Irena Lagator Pejovic
Commissioner/Curator: Nataša Nikcevic
Venue: Palazzo Malipiero, San Marco 3078-3079/A, Ramo Malipiero Venezia – Ground Floor
The Netherlands
Artist: Mark Manders
Commissioner: Mondriaan Fund
Curator: Lorenzo Benedetti
Venue: Pavilion at Giardini
New Zealand
Artist: Bill Culbert
Commissioner: Jenny Harper
Deputy Commissioner: Heather Galbraith
Curator: Justin Paton
Venue: Santa Maria della Pietà, Calle della Pietà, Castello
Nordic Pavilion (Finland, Norway)
Finland:
Artist: Terike Haapoja
Commissioner: Raija Koli
Curators: Marko Karo, Mika Elo, Harri Laakso
Venue: Pavilion at Giardini
Norway:
Artists: Edvard Munch, Lene Berg
Commissioner: Office for Contemporary Art Norway (OCA)
Curators: Marta Kuzma, Pablo Lafuente, Angela Vettese
Venue: Galleria di Piazza San Marco, Fondazione Bevilacqua La Masa
Paraguay
Artists: Pedro Barrail, Felix Toranzos, Diana Rossi, Daniel Milessi
Commissioner: Elisa Victoria Aquino Laterza
Deputy Commissioner: Nori Vaccari Starck
Curator: Osvaldo González Real
Venue: Palazzo Carminati, Santa Croce 1882
Poland
Artist: Konrad Smolenski
Commissioner: Hanna Wróblewska
Curators: Agnieszka Pindera, Daniel Muzyczuk
Venue: Pavilion at Giardini
Portugal
Artist: Joana Vasconcelos
Commissioner: Direção-Geral das Artes/Secretário de Estado da Cultura, Governo de Portugal
Curator: Miguel Amado
Venue: Riva dei Partigiani
Romania
Artists: Maria Alexandra Pirici, Manuel Pelmus
Commissioner: Monica Morariu
Deputy Commissioner: Alexandru Damian
Curator: Raluca Voinea
Venue: Pavilion at Giardini
Artists: Anca Mihulet, Apparatus 22 (Dragos Olea, Maria Farcas,Erika Olea), Irina Botea, Nicu Ilfoveanu, Karolina Bregula, Adi Matei, Olivia Mihaltianu, Sebastian Moldovan
Commissioner: Monica Morariu
Deputy Commissioner: Alexandru Damian
Curator: Anca Mihulet
Venue: Nuova Galleria dell'Istituto Romeno di Venezia, Palazzo Correr, Campo Santa Fosca, Cannaregio 2214
Russia
Artist: Vadim Zakharov
Commissioner: Stella Kasaeva
Curator: Udo Kittelmann
Venue: Pavilion at Giardini
Serbia
Artists: Vladimir Peric, Miloš Tomic
Commissioner: Maja Ciric
Venue: Pavilion at Giardini
Singapore
Cancelled the participation
Slovenia
Artist: Jasmina Cibic
Commissioner: Blaž Peršin
Curator: Tevž Logar
Venue: Galleria A+A, San Marco 3073
South Africa
Contemporary South African Art and the Archive
Commissioner: Saul Molobi
Curator: Brenton Maart
Venue: Pavilion at Arsenale
Spain
Artist: Lara Almarcegui
Commissioner/Curator: Octavio Zaya
Venue: Pavilion at Giardini
Switzerland
Artist: Valentin Carron
Commissioners: Pro Helvetia - Sandi Paucic and Marianne Burki
Deputy Commissioner: Pro Helvetia - Rachele Giudici Legittimo
Curator: Giovanni Carmine
Venue: Pavilion at Giardini
Syrian Arab Republic
Artists: Giorgio De Chirico, Miro George, Makhowl Moffak, Al Samman Nabil, Echtai Shaffik, Giulio Durini, Dario Arcidiacono, Massimiliano Alioto, Felipe Cardena, Roberto Paolini, Concetto Pozzati, Sergio Lombardo, Camilla Ancilotto, Lucio Micheletti, Lidia Bachis, Cracking Art Group, Hannu Palosuo
Commissioner: Christian Maretti
Curator: Duccio Trombadori
Venue: Isola di San Servolo
Taiwan
Artists: Bernd Behr, Chia-Wei Hsu, Kateřina Šedá + BATEŽO MIKILU
Curator: Esther Lu
Organizer: Taipei Fine Arts Museum
Venue: Palazzo delle Prigioni, Castello 4209, San Marco
Thailand
Artists: Wasinburee Supanichvoraparch, Arin Rungjang
Commissioner: Office of Contemporary Art and Culture, Ministry of Culture
Curators: Penwadee Nophaket Manont, Worathep Akkabootara
Venue: Santa Croce 556
Turkey
Artist: Ali Kazma
Commissioner: Istanbul Foundation for Culture and Arts
Curator: Emre Baykal
Venue: Pavilion at Arsenale
Tuvalu
Artist: Vincent J.F.Huang
Commissioners: Apisai Ielemia, Minister of Foreign Affair, Trade, Tourism, Environment & Labour; Tapugao Falefou, Permanent Secretary of Foreign Affairs, Tourism, Environment & Labour
Curators: An-Yi Pan, Szu Hsien Li, Shu Ping Shih
Venue: Forte Marghera, via Forte Marghera, 30
Ukraine
Artists: Ridnyi Mykola, Zinkovskyi Hamlet, Kadyrova Zhanna
Commissioner: Victor Sydorenko
Curators: Soloviov Oleksandr, Burlaka Victoria
Venue: Palazzo Loredan, Istituto Veneto di Scienze, Lettere ed Arti, Campo Santo Stefano
United Arab Emirates
Artist: Mohammed Kazem
Commissioner: Dr. Lamees Hamdan
Curator: Reem Fadda
Venue: Pavilion at Arsenale, Sale d'Armi
Uruguay
Artist: Wifredo Díaz Valdéz
Commissioner: Ricardo Pascale
Curators: Carlos Capelán, Verónica Cordeiro
Venue: Pavilion at Giardini
USA
Artist: Sarah Sze
Commissioners/Curators: Carey Lovelace, Holly Block
Venue: Pavilion at Giardini
Venezuela
Colectivo de Artistas Urbanos Venezolanos
Commissioner: Edgar Ernesto González
Curator: Juan Calzadilla
Venue: Pavilion at Giardini
Zimbabwe
Artists: Portia Zvavahera, Michele Mathison, Rashid Jogee, Voti Thebe, Virginia Chihota
Commissioner: Doreen Sibanda
Curator: Raphael Chikukwa
Venue: Santa Maria della Pietà, Calle della Pietà, Castello 3701
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To the surprise of nobody who's ever talked to me, I have eclectic tastes when it comes to collectibles. Yeah, I'll get the things that are generally universally liked, but ultimately shock value and general tastelessness (by puritan US standards) are what kind of guide my collecting path.
About a year ago, there was a company with a dream - Big Firebird Toy - and that dream was to make a transforming Arcee figure that was more Senran Kagura than G1 Autobot. Her name would be Nicee, and would share enough characteristics with her licensed namesake so you could help Hot Rod live out his high school fantasies including a familiar alt mode and a very G1 Arcee head.
People complained, of course, but in this day and age, what else is new? At least this wasn't Flametoys where they were selling licensed figures... this was the Wild Wild West of Third Party Transformer figures. I'll admit the window dressing was might attractive, but the Engineer in me also wanted to know.. just how would they pull off such an ambitious design?
At any rate, preorders were placed and all was well for a while.
First it was COVID causing mayhem and delaying production of everything across the board. Then, rumour has it that Hasbro started actually cracking down on Chinese bootlegs of their figures, and so Big Firebird Toy dropped the Arcee head, and just stuck with their own original content. That all passed, and I finally received my copy of the figure.
So just how did they do? Lets look at the Big Firebird Toy EX-01: Nicee figure.
I ordered mine from TF-Direct, who were the lowest price point at the time. Prices have since jumped up from the $95 USD I paid, which included EMS shipping, but a cursory glance at eBay shows you should still be OK. The figure came in it's own brown shipper, with an art box contained within which houses all the fun stuff.
A quick glance at the art box should very quick establish that no... this is not a kids figure. It's not quite Skytube hentai PVC material, but it is at least Teen territory. Also nice is the Pink foiled letters.
I also have to giggle at the security seal and the quality assurance foil sticker because, well... China.
Nicee is packed in robot mode, and comes in a single layered tray with her accessories. By the time things are said and done, the box is gigantic, effectively 12" x 12" x 4", like something out of the old Toys R Us MP boxes. Accessories include an extra Aheago head, a breast plate with soft rubbery breasts, a laser pistol, an energy arrow, a sword, part of her chasis, the handle for her bow, and six additional hands. Naturally, she has a set of instructions, as well as a nifty art card.
Nicee is a gorgeous figure, and I'm not just talking curves. I had two major concerns - crappy paint work, and crappy build. I've done the best I can on my photos, but one of things I couldn't make out on other photos I've seen is the fact that Nicee has a nice pearl finish on all her painted parts. Try as I might, I could not find any areas of overspray or bleeding, with the only bad paint being a fibre or something being embedded into the forehead of my Aheago head. Even the pink on the wheels are pearl finish. Now, I would ADD some colours to a few areas, such as the blade of the sword and maybe to the face to make the lips turn out better, but that's another discussion - what paint work you do get is pretty damn good and is generally resistant to most forms of contact.
I'm not saying you should break out the sand paper, but you can at least be assured you don't have to worry about actually handling the figure without gloves.
Build quality is a bit tougher to explore, but to put aside any immediate worries, overall things are very good. Nicee has rubber tires, which is becoming more and more of a rare thing. There are some die cast metal parts, though these in high stress structural components. The plastics they used feel like the same stuff you'd get on a Takara Tomy MP figure, but perhaps a bit thinner, maybe due to the sheer number of curved parts on this figure.
The finish on these parts is, without a doubt, phenomenal. very few rough surfaces or mould lines found. My mind is blown at how well the pieces fit together, and that truly the finished product matched the CG renders almost perfectly. QC with regards to accuracy of tabs and slots is almost perfect, but isn't quite up to Takara Tomy standards, so it can be a bit of pain to get things aligned correctly but it can be done, at least, and the parts come together with tolerances that wouldn't be out of place on an MP figure.
Joints in general tend to be a bit on the stiff side, especially the neck and head joints, which can make posing Nicee a bit of a headache..
Finally I feel the hands should have used the more popular method of connection, that is having the ball on the wrist joint itself and the socket on the hand, as opposed to the opposite. This would make things connect more securely, as well as improve range of motion here.
Nicee herself is 19 cm tall, which puts here out of MP scale, as she's supposed to be slightly smaller than Hot Rod. On the plus side, she's that much more visually impressive and has that much more shelf presence.
Articulation is impressive, and is in line with what I'd expect from an MP figure. You get full ankles (two separate points of movement), double jointed knees, thigh twist, hips with pull down for greater range of motion, waist, mid torso, shoulders with lateral movement (so arms can come closer together), bicep swivel, single jointed elbows, wrists, neck, and head. Provided you can get the joints to cooperate, you can put the figure into many, many poses, though for next time Big Firebird Toy, double jointed elbows, please.
For all the effort put into the design of this figure, I feel that Big Firebird Toy put their C Team on weapons duty. The sword is a bit bland, but more importantly, there's one hand dedicated to holding both the Sword and the Bow, and neither of them are really held that well. The laser pistol is perhaps the only weapon where they did some homework as there's almost no way that gun will ever get loose from that hand, and I wish that they had given her a second pistol, in addition to more useful hands.
Another thing that might cool your enthusiasm for Nicee is that she is somewhat of a Partsformer, like most of the current mainline Transformers. In order to achieve a certain body shape, designers just made unwanted parts removable and convertible into accessories for the main figure.
In Nicee's case, that piece of the car body turns into a shield that is pegged in a way that you either can move the forearm it's attached to, or you hold it like a gun because there's no proper handle. Then there's the bow.... oh that bow.
It's made up of the front of the vehicle mode, which usually hangs on to her behind her neck, giving Nicee those wing looking things. Conversion to a bow involves plugging in a plastic piece that gives it a handle, then squeezing it into the hand that is meant for the sword. It's very, very awkward to say the least, and the fact there's no real dedicated hand for holding the arrow is also a major pain.
Oh right, in the event you don't fancy a bow, you can convert most of the parts into a skirt for... reasons, which unfortunately leaves you with a completely useless panel as well as reduced articulation.
Finally, coming full circle we have transformations, though before I go on I should probably mention that you swap out the breast plates by popping up the shoulders and head and replacing the part.
Conversion into vehicle mode isn't really that complicated once you decipher the instruction manuals mentions of degrees and misspelt words. To their credit, there is a link to a transformation video, which I didn't watch, but I'll presume is more helpful than the instructions. The overall methodology is kind of like TM2 Blackarachnia where you stretch out the body, wrap the legs around the body and cover the entire thing in a shell. IIRC the Generations version had this method and maybe even the other 3P Arcee I have, the Occular Max Zinnia.
I guess I should also mention there was controversy about how the vehicle mode had the visual making of a Vagina or something. I dunno.. I don't looking for the meaning of life in my cups of coffee, and I don't go looking for Vaginas in my vehicle modes.
So in conclusion, the base figure itself is very good, and I'm impressed with the excellent paint work and overall production values of the figure. Weapons really is where the ball was dropped, and even then things could have been saved if the variety of hands was greater and if the bow/shield had actual proper handles so they could do their job. But all-in-all, this is much better than any novelty figure has the right to be.
So if you're an open minded transforming robot fan, I'd highly recommend you give Nicee a try.
The Mobile Emergency Room is a project by Thierry Geoffroy/Colonel, a participating artist of the Maldives Pavilion working with art formats developed around the notion of emergency.
Emergency Room is a format providing space for artists to engage in urgent debates, address societal dysfunctions and express emergencies in the now, today, before it is too late. Geoffroy’s approach allows immediate artistic intervention and displaces the contemporary to the status of delayed comment on yesterday’s world.
Taking as point of departure climate change and the Maldives, Geoffroy developed a scenario of disappearance and translated actual emergencies and hospitality needs into artistic interventions. In this context he activated his penetration format in order to transform “rigid exhibition spaces” into “elastic and generous exhibition spaces”.
An intervention facilitated by curator Christine Eyene, the Mobile Emergency Room was set up at the Zimbabwe Pavilion during the opening week of the biennale with the hospitality of commissioner Doreen Sibanda and curator Raphael Chikukwa. The first pieces presented in this room consisted in Geoffroy’s tent and an installation by Polish artist Christian Costa. Since then it has been animated online and has extended from being a space for artists expressing emergencies about climate change, to encompassing various emergency topics.
From 24 to 28 August, Geoffroy was in Venice collaborating with Danish artists Nadia Plesner, Mads Vind Ludvigsen, who created new work everyday, raising various emergencies and concerns, with a daily change of exhibition (“passage”) at 3.00 pm. For his last day in Venice, Geoffroy addressed the Syrian situation.
The work produced during this intervention is displayed until 30 September. The presentation is based on Geoffroy's concept of "Delay Museum" where art created for past emergencies is exhibited, while new work enters the Mobile Emergency Room.
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the Emergency Room Mobile at the Zimbabwe pavilion / Venice Biennale has now been completed with some work from the The Delay Museum ,Please visit the pavilion when you go the Venice Biennale this is part of the PENETRATIONS formats ( the Zimbabwe pavilion gave hopsitality for a period of several monthes ) the displayed art works in the Delay Museum are still "boiling " as they are from last week . ( Nadia Plesner / Mads Vind Ludvigsen , COLONEL ) ( this project is a convergence with BIENNALIST / Emergency Room ) more on Christine Eyene blog as she facilated and work within ....This penetration was in connection with my participation in the Maldives pavilion " CAN A NATION WELCOME ANOTHER NATION ?"CAN EMERGENCIES BE RANKED " .Thank you also for the work by David Marin , @Guillaume Dimanche and Christian Costa
venice-biennale-biennalists.blogspot.dk/2013/09/recents-w...
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VENICE BIENNALE / VENEZIA BIENNIAL 2013 : BIENNALIST
www.emergencyrooms.org/biennalist.html
Biennalist is an Art Format by Thierry Geoffroy / Colonel debating with artistic tools on Biennales and other cultural managed events . Often those events promote them selves with thematics and press releases faking their aim . Biennalist take the thematics of the Biennales very seriously , and test their pertinance . Artists have questioned for decade the canvas , the pigment , the museum ... since 1989 we question the Biennales .Often Biennalist converge with Emergency Room providing a burning content that cannot wait ( today before it is too late )
please contact before using the images : Thierry Geoffroy / Colonel 1@colonel.dk
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Countries( nations ) that participate at the Venice Biennale 55 th ( 2013 Biennale di Venezia ) in Italy ( at Giardini or Arsenale or ? ) , Encyclopedic Palace is curated by Massimiliano Gioni
Albania, Andorra, Argentina, Australia, Austria, Azerbaijan, Bangladesh, Belarus, Belgium, Brazil, Bulgaria,
Costa Rica, Croatia, Cuba, Cyprus, Czech , Slovenia, South Africa, Spain, Canada, Chile, China, Congo,
Slovak Republic, Egypt, Estonia, Finland, France, Georgia, Germany, Greece, Haiti, Hungary, Iceland, India, Iran, Iraq, Ireland, Israel, Italy, Japan, Korea, Latvia, Lithuania, Luxembourg, Macedonia,
Mexico, Moldova, Montenegro, Netherlands, New Zealand, Norway, Poland, Portugal, Romania, Russia, San Marino, Saudi Arabia, Serbia, Singapore
Sweden, Switzerland, Syrian Arab Republic, Thailand, Turkey, Ukraine, United Arab Emirates, United Kingdom, United States of America, Uruguay, Venezuela, Zimbabwe
the Bahamas, the Kingdom of Bahrain, the Republic of Kosovo, Kuwait, the Maldives, Côte d'Ivoire, Nigeria and Paraguay
Eight countries will also participate for the first time in next year's biennale: the Bahamas, the Kingdom of Bahrain, the Republic of Kosovo, Kuwait, the Maldives, Côte d'Ivoire, Nigeria and Paraguay. In 2011, 89 international pavilions, the most ever, were accessible in the Giardini and across the city.
please contact before using the images : Thierry Geoffroy / Colonel 1@colonel.dk
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lists of artists participating at the Venice Biennale
Hilma af Klint, Victor Alimpiev, Ellen Altfest, Paweł Althamer, Levi Fisher Ames, Yuri Ancarani, Carl Andre, Uri Aran, Yüksel Arslan, Ed Atkins, Marino Auriti, Enrico Baj, Mirosław Bałka, Phyllida Barlow, Morton Bartlett, Gianfranco Baruchello, Hans Bellmer, Neïl Beloufa, Graphic Works of Southeast Asia and Melanesia, Hugo A. Bernatzik Collection, Ștefan Bertalan, Rossella Biscotti, Arthur Bispo do Rosário, John Bock, Frédéric Bruly Bouabré, Geta Brătescu, KP Brehmer, James Lee Byars, Roger Caillois, Varda Caivano, Vlassis Caniaris, James Castle, Alice Channer, George Condo, Aleister Crowley & Frieda Harris, Robert Crumb, Roberto Cuoghi, Enrico David, Tacita Dean, John De Andrea, Thierry De Cordier, Jos De Gruyter e Harald Thys, Walter De Maria, Simon Denny, Trisha Donnelly, Jimmie Durham, Harun Farocki, Peter Fischli & David Weiss, Linda Fregni Nagler, Peter Fritz, Aurélien Froment, Phyllis Galembo, Norbert Ghisoland, Yervant Gianikian & Angela Ricci Lucchi, Domenico Gnoli, Robert Gober, Tamar Guimarães and Kasper Akhøj, Guo Fengyi, João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Wade Guyton, Haitian Vodou Flags, Duane Hanson, Sharon Hayes, Camille Henrot, Daniel Hesidence, Roger Hiorns, Channa Horwitz, Jessica Jackson Hutchins, René Iché, Hans Josephsoh, Kan Xuan, Bouchra Khalili, Ragnar Kjartansson, Eva Kotátková, Evgenij Kozlov, Emma Kunz, Maria Lassnig, Mark Leckey, Augustin Lesage, Lin Xue, Herbert List, José Antonio Suárez Londoño, Sarah Lucas, Helen Marten, Paul McCarthy, Steve McQueen, Prabhavathi Meppayil, Marisa Merz, Pierre Molinier, Matthew Monahan, Laurent Montaron, Melvin Moti, Matt Mullican, Ron Nagle, Bruce Nauman, Albert Oehlen, Shinro Ohtake, J.D. ‘Okhai Ojeikere, Henrik Olesen, John Outterbridg, Paño Drawings, Marco Paolini, Diego Perrone, Walter Pichler, Otto Piene, Eliot Porter, Imran Qureshi, Carol Rama, Charles Ray, James Richards, Achilles G. Rizzoli, Pamela Rosenkranz, Dieter Roth, Viviane Sassen, Shinichi Sawada, Hans Schärer, Karl Schenker, Michael Schmidt, Jean-Frédéric Schnyder, Friedrich Schröder-Sonnenstern, Tino Sehgal, Richard Serra, Shaker Gift Drawings, Jim Shaw, Cindy Sherman, Laurie Simmons e Allan McCollum, Drossos P. Skyllas, Harry Smith, Xul Solar, Christiana Soulou, Eduard Spelterini, Rudolf Steiner, Hito Steyerl, Papa Ibra Tall, Dorothea Tanning, Anonymous Tantric Paintings, Ryan Trecartin, Rosemarie Trockel, Andra Ursuta, Patrick Van Caeckenbergh, Stan VanDerBeek, Erik van Lieshout, Danh Vo, Eugene Von Bruenchenhein, Günter Weseler, Jack Whitten, Cathy Wilkes, Christopher Williams, Lynette Yiadom-Boakye, Kohei YoshiyUKi, Sergey Zarva, Anna Zemánková, Jakub Julian Ziółkowski ,Artur Żmijewski.
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other pavilions at Venice Biennale
Andorra
Artists: Javier Balmaseda, Samantha Bosque, Fiona Morrison
Commissioner: Henry Périer
Deputy Commissioners: Francesc Rodríguez, Ermengol Puig, Ruth Casabella
Curators: Josep M. Ubach, Paolo De Grandis
Venue: Arsenale di Venezia, Nappa 90
Angola
Artist: Edson Chagas
Commissioner: Ministry of Culture
Curators: Beyond Entropy (Paula Nascimento, Stefano Rabolli Pansera), Jorge Gumbe, Feliciano dos Santos
Venue: Palazzo Cini, San Vio, Dorsoduro 864
Argentina
Artist: Nicola Costantino
Commissioner: Magdalena Faillace
Curator: Fernando Farina
Venue: Pavilion at Arsenale
Armenia
Artist: Ararat Sarkissian
Commissioner: Ministry of Culture
Curator: Arman Grogoryan
Venue: Isola di San Lazzaro degli Armeni, everyday from 2:30 p.m. to 5:30 p.m.
Australia
Artist: Simryn Gill
Commissioner: Simon Mordant
Deputy Commissioner: Penelope Seidler
Curator: Catherine de Zegher
Venue: Pavilion at Giardini
Austria
Artist: Mathias Poledna
Commissioner/Curator: Jasper Sharp
Venue: Pavilion at Giardini
Azerbaijan
Artists: Rashad Alakbarov, Sanan Aleskerov, Chingiz Babayev, Butunay Hagverdiyev, Fakhriyya Mammadova, Farid Rasulov
Commissioner: Heydar Aliyev Foundation
Curator: Hervé Mikaeloff
Venue: Palazzo Lezze, Campo S. Stefano, San Marco 2949
Bahamas
Artist: Tavares Strachan
Commissioner: Nalini Bethel, Ministry of Tourism
Curators: Jean Crutchfield, Robert Hobbs
Deputy Curator: Stamatina Gregory
Venue: Arsenale, Tese Cinquecentesche
Bangladesh
Chhakka Artists’ Group: Mokhlesur Rahman, Mahbub Zamal, A. K. M. Zahidul Mustafa, Ashok Karmaker, Lala Rukh Selim, Uttam Kumar Karmaker. Dhali Al Mamoon, Yasmin Jahan Nupur, Gavin Rain, Gianfranco Meggiato, Charupit School
Commissioner/Curator: Francesco Elisei.
Curator: Fabio Anselmi.
Venue: Officina delle Zattere, Dorsoduro 947
Bahrain
Artists: Mariam Haji, Waheeda Malullah, Camille Zakharia
Commissioner: Mai bint Mohammed Al Khalifa, Minister of Culture
Curator: Melissa Enders-Bhatiaa
Venue: Pavilion at Arsenale
Belgium
Artist: Berlinde De Bruyckere
Commissioner: Joke Schauvliege, Flemish Minister for Environment, Nature and Culture
Curator: J. M. Coetzee
Deputy Curator: Philippe Van Cauteren
Venue: Pavilion at Giardini
Bosnia and Herzegovina
Artist: Mladen Miljanovic
Commissioners: Sarita Vujković, Irfan Hošić
Venue: Palazzo Malipiero, San Marco
Brazil
Artists: Hélio Fervenza, Odires Mlászho, Lygia Clark, Max Bill, Bruno Munari
Commissioner: Luis Terepins, Fundação Bienal de São Paulo
Curator: Luis Pérez-Oramas
Deputy Curator: André Severo
Venue: Pavilion at Giardini
Canada
Artist: Shary Boyle
Commissioner: National Gallery of Canada / Musée des beaux-arts du Canada
Curator: Josée Drouin-Brisebois
Venue: Pavilion at Giardini
Central Asia
Artists: Vyacheslav Akhunov, Sergey Chutkov, Saodat Ismailova, Kamilla Kurmanbekova, Ikuru Kuwajima, Anton Rodin, Aza Shade, Erlan Tuyakov
Commissioner: HIVOS (Humanist Institute for Development Cooperation)
Deputy Commissioner: Dean Vanessa Ohlraun (Oslo National Academy of the Arts/The Academy of Fine Art)
Curators: Ayatgali Tuleubek, Tiago Bom
Scientific Committee: Susanne M. Winterling
Venue: Palazzo Malipiero, San Marco 3199-3201
Chile
Artist: Alfredo Jaar
Commissioner: CNCA, National Council of Culture and the Arts
Curator: Madeleine Grynsztejn
Venue: Pavilion at Arsenale
China
Artists: He Yunchang, Hu Yaolin, Miao Xiaochun, Shu Yong, Tong Hongsheng, Wang Qingsong, Zhang Xiaotao
Commissioner: China Arts and Entertainment Group (CAEG)
Curator: Wang Chunchen
Venue: Pavilion at Arsenale
Costa Rica
Artists: Priscilla Monge, Esteban Piedra, Rafael Ottón Solís, Cinthya Soto
Commissioner: Francesco Elisei
Curator: Francisco Córdoba, Museo de Arte y Diseño Contemporáneo (Fiorella Resenterra)
Venue: Ca’ Bonvicini, Santa Croce
Croatia
Artist: Kata Mijatovic
Commissioner/Curator: Branko Franceschi.
Venue: Sala Tiziano, Opera don Orione Artigianelli, Fondamenta delle Zattere ai Gesuati 919
Cuba
Artists: Liudmila and Nelson, Maria Magdalena Campos & Neil Leonard, Sandra Ramos, Glenda León, Lázaro Saavedra, Tonel, Hermann Nitsch, Gilberto Zorio, Wang Du, H.H.Lim, Pedro Costa, Rui Chafes, Francesca Leone
Commissioner: Miria Vicini
Curators: Jorge Fernández Torres, Giacomo Zaza
Venue: Museo Archeologico Nazionale di Venezia, Palazzo Reale, Piazza San Marco 17
Cyprus
Artists: Lia Haraki, Maria Hassabi, Phanos Kyriacou, Constantinos Taliotis, Natalie Yiaxi, Morten Norbye Halvorsen, Jason Dodge, Gabriel Lester, Dexter Sinister
Commissioner: Louli Michaelidou
Deputy Commissioners: Angela Skordi, Marika Ioannou
Curator: Raimundas Malašauskas
Czech Republic & Slovak Republic
Artists: Petra Feriancova, Zbynek Baladran
Commissioner: Monika Palcova
Curator: Marek Pokorny
Venue: Pavilion at Giardini
Denmark
Artist: Jesper Just in collaboration with Project Projects
Commissioners: The Danish Arts Council Committee for International Visual Arts: Jette Gejl Kristensen (chairman), Lise Harlev, Jesper Elg, Mads Gamdrup, Anna Krogh
Curator: Lotte S. Lederballe Pedersen
Venue: Pavilion at Giardini
Egypt
Artists: Mohamed Banawy, Khaled Zaki
Commissioner: Ministry of Culture
Venue: Pavilion at Giardini
Estonia
Artist: Dénes Farkas
Commissioner: Maria Arusoo
Curator: Adam Budak
Venue: Palazzo Malipiero, San Marco 3199, San Samuele
Finland
Artist: Antti Laitinen
Commissioner: Raija Koli
Curators: Marko Karo, Mika Elo, Harri Laakso
Venue: Pavilion at Giardini
France
Artist: Anri Sala
Commissioner: Institut français
Curator: Christine Macel
Venue: Pavilion of Germany at the Giardini
Georgia
Artists: Bouillon Group,Thea Djordjadze, Nikoloz Lutidze, Gela Patashuri with Ei Arakawa and Sergei Tcherepnin, Gio Sumbadze
Commissioner: Marine Mizandari, First Deputy Minister of Culture
Curator: Joanna Warsza
Venue: Pavilion at Arsenale
Germany
Artists: Ai Weiwei, Romuald Karmakar, Santu Mofokeng, Dayanita Singh
Commissioner/Curator: Susanne Gaensheimer
Venue: Pavilion of France at Giardini
Great Britain
Artist: Jeremy Deller
Commissioner: Andrea Rose
Curator: Emma Gifford-Mead
Venue: Pavilion at Giardini
Greece
Artist: Stefanos Tsivopoulos
Commissioner: Hellenic Ministry of Education and Religious Affairs, Culture and Sports
Curator: Syrago Tsiara
Venue: Pavilion at Giardini
Holy See
Artists: Lawrence Carroll, Josef Koudelka, Studio Azzurro
Curator: Antonio Paolucci
Venue: Pavilion at Arsenale
Hungary
Artist: Zsolt Asztalos
Commissioner: Kunstahalle (Art Hall)
Curator: Gabriella Uhl
Venue: Pavilion at Giardini
Iceland
Artist: Katrín Sigurðardóttir
Commissioner: Dorotheé Kirch
Curators: Mary Ceruti , Ilaria Bonacossa
Venue: Lavanderia, Palazzo Zenobio, Collegio Armeno Moorat-Raphael, Fondamenta del Soccorso, Dorsoduro 2596
Indonesia
Artists: Albert Yonathan Setyawan, Eko Nugroho, Entang Wiharso, Rahayu Supanggah, Sri Astari, Titarubi
Commissioner: Soedarmadji JH Damais
Deputy Commissioner: Achille Bonito Oliva
Assistant Commissioner: Mirah M. Sjarif
Curators: Carla Bianpoen, Rifky Effendy
Venue: Pavilion at Arsenale
Iraq
Artists: Abdul Raheem Yassir, Akeel Khreef, Ali Samiaa, Bassim Al-Shaker, Cheeman Ismaeel, Furat al Jamil, Hareth Alhomaam, Jamal Penjweny, Kadhim Nwir, WAMI (Yaseen Wami, Hashim Taeeh)
Commissioner: Tamara Chalabi (Ruya Foundation for Contemporary Culture)
Deputy Commissioner: Vittorio Urbani
Curator: Jonathan Watkins.
Venue: Ca' Dandolo, San Tomà, Venezia
Ireland
Artist: Richard Mosse
Commissioner, Curator: Anna O’Sullivan
Venue: Fondaco Marcello, San Marco 3415
Israel
Artist: Gilad Ratman
Commissioners: Arad Turgeman, Michael Gov
Curator: Sergio Edelstein
Venue: Pavilion at Giardini
Italy
Artists: Francesco Arena, Massimo Bartolini, Gianfranco Baruchello, Elisabetta Benassi, Flavio Favelli, Luigi Ghirri, Piero Golia, Francesca Grilli, Marcello Maloberti, Fabio Mauri, Giulio Paolini, Marco Tirelli, Luca Vitone, Sislej Xhafa
Commissioner: Maddalena Ragni
Curator: Bartolomeo Pietromarchi
Venue: Italian Pavilion, Tese delle Vergini at Arsenale
Ivory Coast
Artists: Frédéric Bruly Bouabré, Tamsir Dia, Jems Koko Bi, Franck Fanny
Commissioner: Paolo De Grandis
Curator: Yacouba Konaté
Venue: Spiazzi, Arsenale, Castello 3865
Japan
Artist: Koki Tanaka
Commissioner: The Japan Foundation
Curator: Mika Kuraya
Venue: Pavilion at Giardini
Kenya
Artists: Kivuthi Mbuno, Armando Tanzini, Chrispus Wangombe Wachira, Fan Bo, Luo Ling & Liu Ke, Lu Peng, Li Wei, He Weiming, Chen Wenling, Feng Zhengjie, César Meneghetti
Commissioner: Paola Poponi
Curators: Sandro Orlandi, Paola Poponi
Venue: Caserma Cornoldi, Castello 4142 and San Servolo island
Korea (Republic of)
Artist: Kimsooja
Commissioner/Curator: Seungduk Kim
Deputy Commissioner: Kyungyun Ho
Venue: Pavilion at Giardini
Kosovo
Artist: Petrit Halilaj
Commissioner: Erzen Shkololli
Curator: Kathrin Rhomberg
Venue: Pavilion at Arsenale
Kuwait
Artists: Sami Mohammad, Tarek Al-Ghoussein
Commissioner: Mohammed Al-Asoussi (National Council of Culture, Arts and Letters)
Curator: Ala Younis
Venue: Palazzo Michiel, Sestriere Cannaregio, Strada Nuova
Latin America
Istituto Italo-Latino Americano
Artists:
Marcos Agudelo, Miguel Alvear & Patricio Andrade, Susana Arwas, François Bucher, Fredi Casco, Colectivo Quintapata (Pascal Meccariello, Raquel Paiewonsky, Jorge Pineda, Belkis Ramírez), Humberto Díaz, Sonia Falcone, León & Cociña, Lucía Madriz, Jhafis Quintero, Martín Sastre, Guillermo Srodek-Hart, Juliana Stein, Simón Vega, Luca Vitone, David Zink Yi.
Harun Farocki & Antje Ehmann. In collaboration with: Cristián Silva-Avária, Anna Azevedo, Paola Barreto, Fred Benevides, Anna Bentes, Hermano Callou, Renata Catharino, Patrick Sonni Cavalier, Lucas Ferraço Nassif, Luiz Garcia, André Herique, Bruna Mastrogiovanni, Cezar Migliorin, Felipe Ribeiro, Roberto Robalinho, Bruno Vianna, Beny Wagner, Christian Jankowski
Commissioner: Sylvia Irrazábal
Curator: Alfons Hug
Deputy Curator: Paz Guevara
Venue: Pavilion at Arsenale
Latvia
Artists: Kaspars Podnieks, Krišs Salmanis
Commissioners: Zane Culkstena, Zane Onckule
Curators: Anne Barlow, Courtenay Finn, Alise Tifentale
Venue: Pavilion at Arsenale
Lebanon
Artist: Akram Zaatari
Commissioner: Association for the Promotion and Exhibition of the Arts in Lebanon (APEAL)
Curators: Sam Bardaouil, Till Fellrath
Venue: Pavilion at Arsenale
Lithuania
Artist: Gintaras Didžiapetris, Elena Narbutaite, Liudvikas Buklys, Kazys Varnelis, Vytaute Žilinskaite, Morten Norbye Halvorsen, Jason Dodge, Gabriel Lester, Dexter Sinister
Commissioners: Jonas Žokaitis, Aurime Aleksandraviciute
Curator: Raimundas Malašauskas
Venue: Palasport Arsenale, Calle San Biagio 2132, Castello
Luxembourg
Artist: Catherine Lorent
Commissioner: Clément Minighetti
Curator: Anna Loporcaro
Venue: Ca’ del Duca, Corte del Duca Sforza, San Marco 3052
Macedonia
Artist: Elpida Hadzi-Vasileva
Commissioner: Halide Paloshi
Curator: Ana Frangovska
Venue: Scuola dei Laneri, Santa Croce 113/A
Maldives
Participants: Paul Miller (aka DJ Spooky), Thierry Geoffrey (aka Colonel), Gregory Niemeyer, Stefano Cagol, Hanna Husberg, Laura McLean & Kalliopi, Tsipni-Kolaza, Khaled Ramadan, Moomin Fouad, Mohamed Ali, Sama Alshaibi, Patrizio Travagli, Achilleas Kentonis & Maria Papacaharalambous, Wooloo, Khaled Hafez in collaboration with Wael Darwesh, Ursula Biemann, Heidrun Holzfeind & Christoph Draeger, Klaus Schafler
Commissioner: Ministry of Tourism, Arts & Culture
Curators: CPS – Chamber of Public Secrets (Alfredo Cramerotti, Aida Eltorie, Khaled
Ramadan)
Deputy Curators: Maren Richter, Camilla Boemio
Venue: Gervasuti Foundation, Via Garibaldi
Mexico
Artist: Ariel Guzik
Commissioner: Gastón Ramírez Feltrín
Curator: Itala Schmelz
Venue: Ex Chiesa di San Lorenzo, Campo San Lorenzo
Montenegro
Artist: Irena Lagator Pejovic
Commissioner/Curator: Nataša Nikcevic
Venue: Palazzo Malipiero, San Marco 3078-3079/A, Ramo Malipiero Venezia – Ground Floor
The Netherlands
Artist: Mark Manders
Commissioner: Mondriaan Fund
Curator: Lorenzo Benedetti
Venue: Pavilion at Giardini
New Zealand
Artist: Bill Culbert
Commissioner: Jenny Harper
Deputy Commissioner: Heather Galbraith
Curator: Justin Paton
Venue: Santa Maria della Pietà, Calle della Pietà, Castello
Nordic Pavilion (Finland, Norway)
Finland:
Artist: Terike Haapoja
Commissioner: Raija Koli
Curators: Marko Karo, Mika Elo, Harri Laakso
Venue: Pavilion at Giardini
Norway:
Artists: Edvard Munch, Lene Berg
Commissioner: Office for Contemporary Art Norway (OCA)
Curators: Marta Kuzma, Pablo Lafuente, Angela Vettese
Venue: Galleria di Piazza San Marco, Fondazione Bevilacqua La Masa
Paraguay
Artists: Pedro Barrail, Felix Toranzos, Diana Rossi, Daniel Milessi
Commissioner: Elisa Victoria Aquino Laterza
Deputy Commissioner: Nori Vaccari Starck
Curator: Osvaldo González Real
Venue: Palazzo Carminati, Santa Croce 1882
Poland
Artist: Konrad Smolenski
Commissioner: Hanna Wróblewska
Curators: Agnieszka Pindera, Daniel Muzyczuk
Venue: Pavilion at Giardini
Portugal
Artist: Joana Vasconcelos
Commissioner: Direção-Geral das Artes/Secretário de Estado da Cultura, Governo de Portugal
Curator: Miguel Amado
Venue: Riva dei Partigiani
Romania
Artists: Maria Alexandra Pirici, Manuel Pelmus
Commissioner: Monica Morariu
Deputy Commissioner: Alexandru Damian
Curator: Raluca Voinea
Venue: Pavilion at Giardini
Artists: Anca Mihulet, Apparatus 22 (Dragos Olea, Maria Farcas,Erika Olea), Irina Botea, Nicu Ilfoveanu, Karolina Bregula, Adi Matei, Olivia Mihaltianu, Sebastian Moldovan
Commissioner: Monica Morariu
Deputy Commissioner: Alexandru Damian
Curator: Anca Mihulet
Venue: Nuova Galleria dell'Istituto Romeno di Venezia, Palazzo Correr, Campo Santa Fosca, Cannaregio 2214
Russia
Artist: Vadim Zakharov
Commissioner: Stella Kasaeva
Curator: Udo Kittelmann
Venue: Pavilion at Giardini
Serbia
Artists: Vladimir Peric, Miloš Tomic
Commissioner: Maja Ciric
Venue: Pavilion at Giardini
Singapore
Cancelled the participation
Slovenia
Artist: Jasmina Cibic
Commissioner: Blaž Peršin
Curator: Tevž Logar
Venue: Galleria A+A, San Marco 3073
South Africa
Contemporary South African Art and the Archive
Commissioner: Saul Molobi
Curator: Brenton Maart
Venue: Pavilion at Arsenale
Spain
Artist: Lara Almarcegui
Commissioner/Curator: Octavio Zaya
Venue: Pavilion at Giardini
Switzerland
Artist: Valentin Carron
Commissioners: Pro Helvetia - Sandi Paucic and Marianne Burki
Deputy Commissioner: Pro Helvetia - Rachele Giudici Legittimo
Curator: Giovanni Carmine
Venue: Pavilion at Giardini
Syrian Arab Republic
Artists: Giorgio De Chirico, Miro George, Makhowl Moffak, Al Samman Nabil, Echtai Shaffik, Giulio Durini, Dario Arcidiacono, Massimiliano Alioto, Felipe Cardena, Roberto Paolini, Concetto Pozzati, Sergio Lombardo, Camilla Ancilotto, Lucio Micheletti, Lidia Bachis, Cracking Art Group, Hannu Palosuo
Commissioner: Christian Maretti
Curator: Duccio Trombadori
Venue: Isola di San Servolo
Taiwan
Artists: Bernd Behr, Chia-Wei Hsu, Kateřina Šedá + BATEŽO MIKILU
Curator: Esther Lu
Organizer: Taipei Fine Arts Museum
Venue: Palazzo delle Prigioni, Castello 4209, San Marco
Thailand
Artists: Wasinburee Supanichvoraparch, Arin Rungjang
Commissioner: Office of Contemporary Art and Culture, Ministry of Culture
Curators: Penwadee Nophaket Manont, Worathep Akkabootara
Venue: Santa Croce 556
Turkey
Artist: Ali Kazma
Commissioner: Istanbul Foundation for Culture and Arts
Curator: Emre Baykal
Venue: Pavilion at Arsenale
Tuvalu
Artist: Vincent J.F.Huang
Commissioners: Apisai Ielemia, Minister of Foreign Affair, Trade, Tourism, Environment & Labour; Tapugao Falefou, Permanent Secretary of Foreign Affairs, Tourism, Environment & Labour
Curators: An-Yi Pan, Szu Hsien Li, Shu Ping Shih
Venue: Forte Marghera, via Forte Marghera, 30
Ukraine
Artists: Ridnyi Mykola, Zinkovskyi Hamlet, Kadyrova Zhanna
Commissioner: Victor Sydorenko
Curators: Soloviov Oleksandr, Burlaka Victoria
Venue: Palazzo Loredan, Istituto Veneto di Scienze, Lettere ed Arti, Campo Santo Stefano
United Arab Emirates
Artist: Mohammed Kazem
Commissioner: Dr. Lamees Hamdan
Curator: Reem Fadda
Venue: Pavilion at Arsenale, Sale d'Armi
Uruguay
Artist: Wifredo Díaz Valdéz
Commissioner: Ricardo Pascale
Curators: Carlos Capelán, Verónica Cordeiro
Venue: Pavilion at Giardini
USA
Artist: Sarah Sze
Commissioners/Curators: Carey Lovelace, Holly Block
Venue: Pavilion at Giardini
Venezuela
Colectivo de Artistas Urbanos Venezolanos
Commissioner: Edgar Ernesto González
Curator: Juan Calzadilla
Venue: Pavilion at Giardini
Zimbabwe
Artists: Portia Zvavahera, Michele Mathison, Rashid Jogee, Voti Thebe, Virginia Chihota
Commissioner: Doreen Sibanda
Curator: Raphael Chikukwa
Venue: Santa Maria della Pietà, Calle della Pietà, Castello 3701
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SPECIAL REPORT: WHAT WENT WRONG
DO BUILDERS' BUCKS BUY POLITICAL POWER?
LISA GETTER Herald Staff Writer
December 20, 1992
Page: 7SR
As developers transformed the landscape of Dade County in the decade before Hurricane Andrew, more and more of their money fueled Metro Commission campaigns.
In 1980, building interests contributed almost one of every four campaign dollars collected, a Miami Herald analysis of campaign contributions showed. In 1986, when construction was booming, the building industry gave at least one of every three campaign dollars.
"Contributions from builders helped make it easier, quicker and more profitable for them to build," said political strategist Philip Hamersmith.
"People don't give contributions for better government reasons. They give for greater access to the County Commission and ultimately, to get the action or position they want."
To study the local political clout of the building industry, The Herald created a computer database to analyze major campaign contributions to Metro Commission candidates. The
commission has the final say over zoning and revisions to the South Florida Building Code. It also appoints the Board of Rules and Appeals, the panel that oversees the code.
The database included contributions of $100 or more that were given to any commission candidate who collected at least $20,000 for the six elections between 1980 and 1990. The study was limited to contributions of $500 or more for the 1988 election. The final database included 17,268 contributions.
It showed that:
* Building money accounted for about 27 percent of the money collected by commission candidates during the study period.
* Builders contributed about $2.2 million in the six elections -- more money than was collected in any single election year by all major candidates combined.
* More than half of the money that came from builders throughout the study period was contributed during the 1986 and 1988 elections, years when there was increased growth in the county.
* Political dollars from builders peaked in 1986, when 38 percent of the money collected came from the construction industry.
* Contributions from builders dropped significantly in 1990 to the 20 percent level, where they had been in 1982.
Engineer Herbert Gopman said his tenure on the Board of Rules and Appeals illustrates the power campaign money can buy.
Records show that Mayor Steve Clark appointed Gopman to the board in 1984, but Gopman said he really was the appointee of the trade unions.
Former Commissioner Beverly Phillips said appointments to the board often were made the way Gopman described. "We used to call the building and zoning people or the unions or the building trades" for names of nominees, she said. In hindsight, she said, it was "maybe the fox going into the hen house."
Gopman said trade unions considered him accountable to them. The study showed trade unions contributed about $80,500 to commissioners.
"In a controversial matter, they will call you out and say, 'You've got to vote this way.' I didn't always meet their demands," Gopman said. "I wasn't reappointed."
The 1992 grand jury concluded last week that "parts of the construction industry continually exert undue influence" on the board's decisions.
Homeowners' representatives say they are powerless to raise the kind of money that comes from the building industry.
"It's very difficult. You can sit and have a party for a commissioner and maybe raise $1,000 or $2,000," said Neal Alper, an officer in the Kendall Federation of Homeowners Associations. "But a developer, who stands to make hundreds of thousands of dollars in profits, can just contribute $1,000 at a time."
Chuck Lennon, the executive director of the Builders Association of South Florida, said the 1,100-member organization's political action committee contributes money every year to commission candidates -- about $23,000 during the decade, the study showed. Before contributing money, the PAC interviews candidates and makes endorsements.
"The only thing it does is give you entry. It doesn't give you their vote, but it does give you an opportunity to get their ear," Lennon said.
Mayor Clark, who received more money from builders than any other candidate, said he thinks builders supported him because he had been a general contractor. "If builders contributed to my campaign, I thank them for that," he said. "I didn't give them special treatment."
Former Commissioner Phillips, who often voted against builders, said she never sought their money. But she said she would at least listen to people who contributed to her.
"They gave money to me just so they could have my ear on occasion," she said.
The Latin Builders Association also interviews candidates and makes endorsements. Although its political action committee contributed only $8,000 throughout the decade, individual members have contributed hundreds of thousands of dollars more.
Among past and present LBA members who contributed more than $10,000 during the decade, either individually or through their firms, were homebuilder Pedro Adrian, developers Erelio Pena, Jesus Portela and Felix Lima, engineering contractor Rolando Iglesias and plumbing company owner Sergio Pino.
"It gives you an open door with the commissioner. You're at least able to get an appointment with a commissioner and explain your case," said LBA executive director William Delgado.
Once the LBA board of directors decides who it will support, the organization sends a mailing to its approximately 1,000 members. The group also holds fund-raisers. It raised $45,000 for Sherman Winn at a 1986 fund-raiser and $77,000 for Clara Oesterle at a 1988 fund-raiser.
Under the guidance of zoning lawyer Tom Carlos, the LBA was successful in persuading the commission in 1985 to open 2,900 acres to development in West and Southwest Dade.
"There was a period there when the commission was definitely dominated by pro-development views. That can best be shown by votes on Master Plan applications," said Metro Commissioner Harvey Ruvin.
Ruvin voted against most of the changes in the county land- use plan. "As it turns out, a lot of that development, especially in the Southwest, did experience extreme hurricane damage," he said.
After the 1985 hearings, Carlos told the LBA leadership it needed to financially support the commissioners who voted for the changes.
"These events were very important," Carlos said in a 1988 interview about the fund-
raisers. "I wanted the commissioners to associate faces with contributions. Later, when we go to the commission on an application, I want the commissioners to think of the individual contributors when they see me. I want them to be accountable to the person who is an applicant and my client."
Reginald Walters, who retired this year after 28 years as Metro planning director, said special interests contribute money "to keep in good favor with the commissioners."
"As long as I had been with Dade County, growth had been very rampant and very strong and the building industry had always had a great influence over the commission," Walters said.
ANDREW'S WINDS EXPOSED FLAWS IN INSPECTION SYSTEM
Continued from Page 6SR,
INSPECTIONS: A BREAKDOWN IN THE SYSTEM
LISA GETTER Herald Staff Writer
inspections, saying he had jeopardized the public's safety. The surveillance showed that he spent 64 minutes of his day making 38 inspections, approving 30.
"That's in the past," Varona said in a recent interview. "That's over with me."
The computer showed that Varona had logged five days with more than 50 inspections, including the day in 1990 he reported making 82. Varona said he did not remember ever doing that many in a day. The most, he said, was "probably 50 or 55."
Everett said the high number of inspections he performed is misleading because he worked long days. The computer showed 40 times since 1988 when he was sent out on more than 50 inspections in a day.
"The grand jury had a report. They said you can't do that many. What I would say is go to the homeowner who reported seeing me at 8:30 p.m.," he said. "I have had many people come up to me after the hurricane and say, 'Mr. Everett, you may not remember me, but you inspected my house and it's still standing.' "
Tucker, the inspector who did 68 inspections in one day in 1988, said it's possible to do an excellent job if all the inspections are in the same neighborhood and many are rejected. The computer database indicates on that day he rejected 13 inspections and the remainder -- mostly slab and framing inspections -- were approved. He would not comment directly.
The county's chief code compliance officer, Charles Danger, said he doesn't think any inspector should make more than 20 inspections in a day. The department's new goal is 18. Danger was amazed to learn that inspectors made more than 50.
"It's impossible for a person to do that amount of inspections and do a good job on it," Danger said. "It's humanly impossible."
Inspectors testified to the 1990 grand jury that their inspections had been "inadequate and falsified" in many instances. They blamed the large number of daily inspections required.
"While we are certain that there are many qualified and dedicated building inspectors doing an effective job, we are also certain that others are not," the grand jurors wrote.
Grand jury investigators caught inspectors spending part of their work day watching women bowl, reading a newspaper in a library, sleeping in a car or going home early.
"Prior to the grand jury, the message that I had from upper management was to be more efficient as possible. We really tried to work our tails off," said Chief Building Inspector Roberto Pineiro. "The emphasis was put on productivity. After the grand jury report, the emphasis was put on quality."
Pineiro said he found it hard to believe that the computer database was accurate in pinpointing so many instances of high inspection days. His theories: clerks entered the data wrong; the inspections listed on those days were canceled; the inspections on those days were all in the same neighborhood.
"Building and zoning supervisors appear out of touch with the actual operations of the inspection department," the 1990 grand jurors concluded.
Inspector Rodriguez said times have changed since the days when inspectors were asked to make more inspections in a day than they could realistically complete. The computer database showed 33 times since 1988 in which he logged more than 50 daily inspections. Once, Rodriguez said, he was given a daily route sheet calling for him to make 110 inspections.
"We were being demanded to do all of our inspections. We just ran right through them," he said.
Sometimes, other inspectors would help. And sometimes, Rodriguez said he carried over inspections to the following day -- a practice that was frowned on by the department. The days in which Rodriguez carried over his inspections were not included in the Herald computer study.
Joaquin Avino, who has been county manager since 1988, said it would be "unrealistic" to make 110 inspections in a day. "Needless to say, as county manager, you don't look at the number of inspections an inspector was doing," he said.
The 1990 surveillance caught some inspectors who never left their cars when doing inspections. To some investigators, that's worse than taking money.
"I really don't know if it's the giving of money that's totally corrupt. Maybe it's not getting your butt out of your car to see if something was built right that's really corrupt," Metro-Dade detective Anthony Kost said in a recent interview. Kost worked on the 1986 undercover probe of the building department.
In that case, contractors literally threw money into the car of a Metro detective who was posing as an inspector. Eventually, 24 contractors, developers, homeowners and one building inspector were charged -- most with giving $10 and $20 bribes.
Roofing contractor Ernesto Valladares pleaded no contest after he gave the undercover officer $100 to approve three roofing inspections that had been rejected. Thirty homes contracted by Valladares' firm were uninhabitable after Andrew, computer data show.
"There was an awful lot of bribery going on. It was a common way of doing business," said former state prosecutor David Troyer, who handled the case. "I think it would be unreasonable to assume it began and ended with that investigation."
But none of the 15 who pleaded guilty in the 1986 probe got a harsh sentence. Judges were not inclined to sentence a developer to jail for a $20 bribe.
Ten years before Troyer's investigation, a 1976 grand jury condemned county inspections.
"Instead of requiring thorough, proper inspections, the county gave into the pressure of the building industry," the 1976 grand jury wrote. "The county should have been prepared to adequately staff the department during peak periods of construction with trained personnel. It was not prepared."
Franklyn Tarbox, an inspector from 1966 until 1982, said he never had to meet a quota.
"In the '70s and '60s, you checked how many nails were in the boards. I don't know, I guess it might have changed," he said. "How long would it take? Sometimes a half hour, sometimes an hour."
The importance of a thorough inspection became apparent when dentist Jeffrey Glasser had his South Dade house built in 1976. The county stopped work on the house after a building inspector supervisor discovered code violations that another inspector had missed.
The construction was so bad that an engineer determined the house would be "insecure under hurricane wind loads."
Glasser got a new contractor. The county suspended for three days the inspector who missed the shoddy work. The house survived Andrew.
Dade experienced another building boom in the 1980s. Instead of learning from its mistakes, the county repeated them.
"We kept increasing the fees, but we never kept up with the inspection needs," said former Metro Commissioner Beverly Phillips, who was defeated in 1988. The fees from building permits finance code enforcement.
The county increased the number of daily inspections each inspector was supposed to make -- from 22 in 1985 to 27 in 1989 to 29 in 1990, rather than provide enough money to adequately staff the department, or attract young inspectors who want to make the job a career.
Because the job requires construction experience, many don't become inspectors until after they have retired from another job. Dave Bacon, for instance, didn't become an inspector until he was 65. He died in 1982 at 75 -- while still on the county payroll as an inspector. Julio Aldecocea became an inspector this year. He is 63.
General contractor Eduardo Roca, 36, joined the building department as an inspector in July 1991. He left after three months for a better job.
"In a lot of cases, they're taking the rap for no need," Roca said of the inspectors. "In my experience, what I saw, the work was being carried out in a very professional manner and they were doing everything to the best of their abilities."
While the county was tight with money for code enforcement, the code itself was undergoing a transformation. Builders, seeking cheaper and faster ways to construct homes, began using products not envisioned by the writers of the original 1957 code.
Many developers relied on letters from engineers that certified they were using building products -- like premanufactured roof trusses -- that met the code. The letters were rarely challenged by inspectors. Roof trusses failed repeatedly in the storm.
"There was a lot of stuff run under engineering letters. I have no idea how good they were," former inspector Kurtz said. "If an engineer certified that it was done according to code, we would accept it."
A major problem in the hurricane was the failure of roof tiles. Code compliance chief Danger said the problem could have been lessened had inspectors been given scales to test for wind uplift. Danger said inspectors told him they don't have the scales or know how to use them.
But chief inspector Pineiro, who said inspectors were given scales, said they weren't needed. "With a scale you could go fishing," he said. "It's not required. It's a gadget."
Retired inspector Tarbox said he became concerned when the county began allowing builders to use staples to attach shingles to roofs.
But inspectors are powerless to change the code. It was adopted and can be changed only by the Metro Commission. The job of interpreting the code is left to the Board of Rules and Appeals, whose members are appointed by the commission.
Inspector Rodriguez blamed the shoddy construction uncovered by Andrew on several factors. "I think there was a combination of a lot of things: poor design, poor workmanship, no supervision, and just maybe if we had spent more time on inspections," he said.
Copyright 1992 Miami Herald
Viewed along Vratislavova.
"Vyšehrad is a historic hillfort, castle and fortress in Prague, on a rock above the right bank of the Vltava River on the southern edge of the historic city, in the Vyšehrad district. At the Vyšehrad Cemetery with Slavín near the church of St. Peter and Paul are buried important Czech personalities, the oldest Prague rotunda of St. Martin. Today, the area, transformed into a park and accessible to the public, has been a national cultural monument since 1962.
Vyšehrad is associated with a number of legends from the beginnings of Czech history, it is said to have been founded by the legendary prince Krok. The actual origin of the princely castle is dated to the second half of the 10th century. At the end of the 11th century, the first Czech king Vratislav I, who established the Vyšehrad chapter, resided here. In fact, Vyšehrad became part of Prague under Charles IV, who rebuilt it and connected it to the fortifications of the newly founded New Town. In 1420 the castle was burned by the Hussites, in the middle of the 17th century it was rebuilt into a baroque fortress as part of the expansion of the city's fortifications. From the 15th to the 19th century, Vyšehrad and its sub-castle were a self-governing town, subordinate to the Vyšehrad chapter until 1848, and annexed to Prague in 1883. At the same time, a national burial ground was established and Vyšehrad was modified to its present form. In 1904, a tunnel was cut through the Vyšehrad rock, which opened the right-bank communication between Prague and the southern surroundings.
Vyšehrad (formerly Královský Vyšehrad, German Wischehrad) is a former royal town, now an urban district and cadastral territory of the city of Prague in the south of the city district and district of Prague 2. The dominant feature of the district is the former Vyšehrad fortress with the Basilica of St. Peter and Paul.
The cadastral territory of Vyšehrad borders Nový Město to the north, Nusle to the east and Podolí to the south. The western border is formed by the river Vltava, followed by Smíchov.
Prague (/ˈprɑːɡ/ PRAHG; Czech: Praha [ˈpraɦa]; German: Prag [pʁaːk]; Latin: Praga) is the capital and largest city of the Czech Republic and the historical capital of Bohemia. On the Vltava river, Prague is home to about 1.3 million people. The city has a temperate oceanic climate, with relatively warm summers and chilly winters.
Prague is a political, cultural, and economic hub of central Europe, with a rich history and Romanesque, Gothic, Renaissance and Baroque architectures. It was the capital of the Kingdom of Bohemia and residence of several Holy Roman Emperors, most notably Charles IV (r. 1346–1378) and Rudolf II (r. 1575–1611).
It was an important city to the Habsburg monarchy and Austro-Hungarian Empire. The city played major roles in the Bohemian and the Protestant Reformations, the Thirty Years' War and in 20th-century history as the capital of Czechoslovakia between the World Wars and the post-war Communist era.
Prague is home to a number of well-known cultural attractions, many of which survived the violence and destruction of 20th-century Europe. Main attractions include Prague Castle, Charles Bridge, Old Town Square with the Prague astronomical clock, the Jewish Quarter, Petřín hill and Vyšehrad. Since 1992, the historic center of Prague has been included in the UNESCO list of World Heritage Sites.
The city has more than ten major museums, along with numerous theatres, galleries, cinemas, and other historical exhibits. An extensive modern public transportation system connects the city. It is home to a wide range of public and private schools, including Charles University in Prague, the oldest university in Central Europe.
Prague is classified as a "Alpha-" global city according to GaWC studies. In 2019, the city was ranked as 69th most livable city in the world by Mercer. In the same year, the PICSA Index ranked the city as 13th most livable city in the world. Its rich history makes it a popular tourist destination and as of 2017, the city receives more than 8.5 million international visitors annually. In 2017, Prague was listed as the fifth most visited European city after London, Paris, Rome, and Istanbul.
Bohemia (Latin Bohemia, German Böhmen, Polish Czechy) is a region in the west of the Czech Republic. Previously, as a kingdom, they were the center of the Czech Crown. The root of the word Czech probably corresponds to the meaning of man. The Latin equivalent of Bohemia, originally Boiohaemum (literally "land of Battles"), which over time also influenced the names in other languages, is derived from the Celtic tribe of the Boios, who lived in this area from the 4th to the 1st century BC Bohemia on it borders Germany in the west, Austria in the south, Moravia in the east and Poland in the north. Geographically, they are bounded from the north, west and south by a chain of mountains, the highest of which are the Krkonoše Mountains, in which the highest mountain of Bohemia, Sněžka, is also located. The most important rivers are the Elbe and the Vltava, with the fertile Polabean Plain extending around the Elbe. The capital and largest city of Bohemia is Prague, other important cities include, for example, Pilsen, Karlovy Vary, Kladno, Ústí nad Labem, Liberec, Hradec Králové, Pardubice and České Budějovice, Jihlava also lies partly on the historical territory of Bohemia." - info from Wikipedia.
Summer 2019 I did a solo cycling tour across Europe through 12 countries over the course of 3 months. I began my adventure in Edinburgh, Scotland and finished in Florence, Italy cycling 8,816 km. During my trip I took 47,000 photos.
Now on Instagram.
Mohonk Mountain House
1000 Mountain Rest Road
New Paltz, NY 12561
Each spring Mohonk’s gardeners move tens of thousands of bedding plants from the greenhouses into the fertilized soil of planting beds to create a patchwork quilt of color on the manicured lawns. Although the beds are permanent, each year the garden staff evaluates plants to plan for the next year’s designs.
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The Early Years.
On a beautiful fall day in 1869, Alfred Homans Smiley, with family and friends, took an excursion to Paltz Point (now known as Sky Top.) On this mountainside outside of New Paltz, they discovered 280 acres of rugged terrain, a lake, and a small tavern owned and operated by John F. Stokes. It was the kind of place Alfred's twin brother Albert Keith Smiley had always dreamed of for a summer retreat. Within weeks, Albert bought the property for $28,000 and with the help of Alfred began transforming and expanding the original tavern into Mohonk Mountain House. Albert's first guests were so enchanted with the natural surroundings and hospitality that they wanted to spend the entire "season" at Mohonk Mountain House.
Mohonk is a corruption of the Delaware Indian word Mogonck, which some believe to mean "lake in the sky."
This was a Quaker hotel upon opening, and temperance was observed. Dancing and public card playing was prohibited. Instead, the lodge offered nature walks, lectures, evening concerts, boating, fishing, bowling and a ten-minute prayer service every morning after breakfast.
The founder of Mohonk, Albert Smiley, was born in Kennebec Country, Maine with his identical twin brother Alfred, to Quaker parents with Scottish and English ancestors. The Smiley twins became ardent scholars, dedicated Quakers, and nature lovers, and graduated from Haverford College to become teachers and then principals at the Friends School in Providence, Rhode Island. Alfred later moved to Poughkeepsie, New York with the intention of farming - until he made his fortuitous outing to Paltz Point in 1869. Albert served as owner and host of the Mountain House and Alfred as on-site manager in the early years. After Alfred left to start his own Mountain Houses on Minnewaska Lake, the twins' half-brother David jointed Albert in the managing of Mohonk Mountain House.
David Smiley (1855-1930), the twins' half-brother and Philadelphia schoolteacher, joined Albert in 1881 as General Manager with his wife Effie. He made Mohonk almost self-sufficient in its ability to provide electrical and heating power, along with some fresh vegetables and meat. He was responsible for constructing several buildings and for road and trail designs.
From 1879 to 1910, the once small lakeside inn grew to its present architectural form. Albert Smiley gradually bought the surrounding land and farms to create a 7,500-acre estate. He said, "I have treated this property, the result of seventy-six purchases, as a landscape artist does his canvas, only my canvas covers seven square miles." With the help of architects, stonemasons, carpenters, gardeners, and local laborers, Albert and Alfred (and later Daniel Smiley) designed and constructed Mohonk Mountain House along with its gardens, gazebos, landscape, and more than 60 miles of carriage roads, trails, and paths.
During the decade of the 1870's, building improvements were a priority, and Mohonk was enlarged to include an addition housing the Dining Room and the Rock Building, a frame structure built on rock. In the 1880's and into the early 1900s, Daniel Smiley, with the help of noted architects Napoleon LeBrun and James E. Ware, fashioned the Mountain House into a Victorian and Edwardian architectural delight.
A wealth of activities and events make up Mohonk's history. As a mostly self-sufficient Mountain House well into the twentieth century, Mohonk had its own farms, dairies, sawmill carriages and driving roads, boys' school, icehouse and ice harvest, telegraph office, and powerhouse.
In Mohonk's earliest years, guests had to call for room service by using speaking tubes installed in the hallways. In 1883, an electric call bell system was installed in 165 guest rooms. Keep in mind electric lights were not introduced until ten years later in 1893.
The Bell Board, located in the Lake Lounge, registered signals from guest rooms requesting room service. It operated on its own low-voltage, battery powered electric supply system using "bell wire" to connect guest rooms with the Bell Board. Each room was provided with a little card that indicated how many times to push the 'bell Button' for each service provided: for example, two times for ice water, or three times to request a porter. The signal would activate a mechanical indicator on the board, alerting the bellman to which room was calling. After reviewing the type of request displayed in the round, wooden box on their desk, the bellman performed the task and pushed a button to learn the request from the board. Eventually telephones were installed in the guest rooms, and this bell system became obsolete.
The Architects.
The principal architects were Napoleon LeBrun who designed most of the frame section of the 1/8 mile long hotel and James Edward Ware who designed the towered stone section.
The present Mountain House consists of nine buildings built over a period of 31 years from 1879 to 1910.
In 1887-88 the Central Building was constructed with Napoleon LeBrun & Sons of New York City as its architects. Four years later the Grove Building, and the Kitchen and Dining Room Building was added with LeBrun in charge. LeBrun served as the architect for the Metropolitan Life Insurance Company Tower at One Madison Avenue in Manhattan. The tower was modeled after the Campanile in Venice, Italy.
The Stone Building was built in two sections and at great expense; the first section was completed in 1899, the second in 1902. Ware was known for his work in designing fireproof warehouses and the Osborne Apartment building in Manhattan.
The main dining hall, with its high ceiling and clerestory windows came into use in 1893. It was enlarged in 1910.
The architects LeBrun and Ware, along with input from the twins' half-brother Daniel, fashioned Mohonk Mountain House into a Victorian and Edwardian architectural marvel.
Lake Mohonk
Mohonk Lake's elevation is 1,245 feet above sea level, it is 534' at its widest and 2,119' long and covers 17 acres. At its deepest it is 61'. The lake has had 24' of sediment deposited since the last glacier.
Uplifted millions of years ago, the visible quartz rock was cracked and split along a fault line that runs through the lake. 20,000 years ago, a mile high glacier scooped out the lake basin, scraping down into the shale beneath. That shale now buffers the lake and keeps it neutral, supporting fish and aquatic life. Mohonk Lake is a "sky lake" meaning most of its water comes directly from the sky, and from a small 40-acre watershed. Mohonk Lake is often green from the millions of tiny green plankton. At times reflections from the sky may give the lake a blue or gray hue.
The Smiley Connection - Mohonk, NY - Redlands, California.
In 1879 President Hayes appointed Albert Keith Smiley to the board of Indian commissioners on which he served until his death. It was his interest in Indian affairs that brought him to California for the first time in 1889. He was chairman of a committee to select lands for the many Native California Indian tribes.
Redlands, California became the winter home of Albert K. Smiley and his identical twin Alfred. During the 1890's the twins bought 220 acres atop a ridge of hills overlooking the town of Redlands, and beyond it, the towering San Bernardino Mountains. The land was arid, but they built houses and a reservoir to store water that they piped over a distance of three miles to the ridge. Over the next five years, they constructed five miles of roadway, planted 1,200 varieties of shrubs, trees and flowers and created an orange grove. They name their property Canyon Crest Park and opened it to the public for free. The popular name for it became Smiley Heights.
In the first decade of the 20th century the park's fame spread nationally. Tourist companies and railroads featured the park in their brochures, national magazines published pictorial views, and lecturer showed lantern slides. Automobiles were not allowed. Tours were conducted in 9-passenger tallyhos. The Great Depression of 1929 caused the park to be closed to the public.
In 1896 Alfred H. Smiley laid out a summer resort known as Fredalba Park, (name derived from Alfred and Albert) near the summit of the mountain range north of Redlands, at an elevation of 5,500 feet. Fredalba had 107 acres of woodland in the San Bernardino Mountains. At that time many of Redlands' citizens spent summer months at this near-by resort, which is easy of access by good wagon road.
The brothers' philanthropy extended beyond their park and orchard. Albert also established, at his own expense, a downtown park that he landscaped. He then built on it a library that he presented to the city in 1898 for use by the public. It was named the Albert K. Smiley Public Library. In 1906 he provides funds for a new wing to the building. Alfred served as the head of the Library's Board of Directors until his death in 1903. He gave it liberal financial support, especially for the purchase of books. Both brothers were active in many other civic projects. To this day, the brothers are known as "patron saints of Redlands." Albert K. Smiley died on December 2, 1912, at his winter home in Redlands, California, aged eighty-four.
The Later Years.
Mohonk Mountain House has been managed and stewarded by the Smiley family since its inception in 1869. The family has preserved and fostered many of the values and ideals of Albert Smiley while guiding Mohonk toward the twenty-first century and ensuring its survival.
In 1973, the seven-story hotel, with 261 guestrooms and 138 working fireplaces was listed in the National Register of Historic Places and in 1986 was recognized as a National Historic Landmark.
Earlier in 1966 the family began conveying over 5,000 surrounding acres to the Mohonk Preserve (at that time called the Mohonk Trust) to be maintained as a nature preserve for recreation, education and research. In 1996, on the 125th anniversary of Mohonk Mountain House, the United Nations Environment Programme recognized the Mountain House and the Smiley family "for generations of dedicated leadership and commitment to the protection and enhancement of the environment and for their inestimable contribution to the cause of peace, justice, and sustainable human development."
In 1988 Mohonk Mountain House owners Smiley Brothers Inc., named Donald D. Woodworth (Cornell School of Hotel Administration '57) president. Before that, Mohonk president Bernard Gavin resigned in a cloud of mystery.
In 1990, fourth generation family member Bert Smiley, great-grandnephew of founder Albert K. Smiley, became president of Mohonk Mountain House. Bert Smiley earned a Ph.D. in economics at Princeton, and for several years was an economist in Washington. He returned home to Mohonk full-time in 1990.
Jacquelyn Appeldorn is the Mohonk Mountain House General Manager. Jackie has served in this position for 11 years and oversees a staff of up to 750 full-time and part-time employees. While in college she worked in the Mohonk Mountain House dining room.
Jim Palmeri was appointed Executive Chef at the Mohonk Mountain House in 2007. Chef Palmeri was most recently the executive chef for the Hyatt Regency Scottsdale Resort. He is a graduate of the Culinary School of Kendall College in Chicago.
The Spa at Mohonk, a $13 million, 30,000-square-foot addition, opened in 2005.
Photos and text compiled by Dick Johnson
November 2011
richardlloydjohnson@hotmail.com
www.twitter.com/Memoire2cite Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.. Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Jérôme (Mémoire2Ville) #chercheur #archiviste #maquettiste dans l #histoire des #logementssociaux #logement #HLM #logementsocial #Patrimoine @42 St-Etienne Beaulieu @ Né en 1903, Edouard Hur commence sa carrière d’architecte à Saint-Etienne dès 1928 et la poursuivra jusqu’à son décès en 1974. le nouveau parc de l’Europe créé en 1964 pour aérer la zone urbaine de forte densité de Beaulieu la Métare. À Saint-Étienne, au sud-est de l’agglomération, sur le versant sud de la colline de Beaulieu, en forte pente et d’aspect semi-rural, la ZUP de Beaulieu est mise à l’étude dès 1950. Elle débute en 1953 et comprend 1 221 logements, un groupe scolaire et 35 bou-tiques .1 263 logements construits à Beaulieu de 1953 à 1956
Il faut dire qu’Alexandre de Fraissinette saura saisir les opportunités offertes par l’Etat qui met en place le financement de 10 000 logements en France par les offices d’HLM. Suivront quatre autres opérations : Beaulieu 2 la Marandinière de 1957 à 1959, Montchovet et la Muraille de Chine de 1962 à 1965, la Palle de 1967 à 1970 et enfin, la Métare de 1962 à 1973 avec ses immeubles en accession à la propriété.Suivront quatre autres opérations : Beaulieu 2 la Marandinière de 1957 à 1959, Montchovet et la Muraille de Chine de 1962 à 1965, la Palle de 1967 à 1970 et enfin, la Métare de 1962 à 1973 avec ses immeubles en accession à la propriété.cité moderne de Beaulieu le Rond-Point, 1 264 logements HLM seront construits de 1953 à 1956. Le projet est confié à Edouard Hur, assisté de Henri Gouyon et Jean Farat.residentialisation @ Beaulieu le grand-ensemble HLM va changé.., (reha KUBE ARCHITECTURE URBANISME kube-archi.pagesperso-orange.fr/ateliers-g2bm.htm Le projet est confié à Edouard Hur, assisté de Henri Gouyon et Jean Farat, qui établissent un plan très rationnel qui suit les courbes de niveau. A Beaulieu, 1 200 logements seront construits de 1953 à 1956.@ Cité Moderne de Beaulieu le Rond-Point, l'un des 6 premiers Grands-Ensembles HLM de Françe, les chantiers de l'OPAC, avec l'opération Beaulieu1: 1262 lgts, 19 immeubles, constr 1953-57, architectes HUR GOUYON FARAT Cabinet Cimaise Que de chemin parcouru, Muraille de Chine La Palle Beaulieu jusqu'aux années 90. L habitat se transforme et s adapte aux nouveaux besoins. Autre temps, période d'essor économique et du "vivre ensemble". Le quartier de #Beaulieu en juillet 1956 #StEtienne #Grandsensembles #urbain Beaulieu I (1953-55) 1266 lgts - Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1965), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent le grand-ensemble de Beaulieu nommé les quartiers Sud-Est - arch Farat Hur Gouyon Clément Carot - patrimoine de l Opac - Histoire Après la seconde guerre mondiale, un immense chantier s'ouvre en France dans le but de loger massivement une population démunie, les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre , le film parle de St-Etienne entre autre avec les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée : www.dailymotion.com/video/xgj74q .
Jusqu'au milieu des années 1970, cette période dite des « Trente Glorieuses l'après guerre et montre la plupart des grandes réalisations de 1945 à 1960. A travers les exemples de la région parisienne et de quelques grandes villes françaises sont posé les problèmes de la diversité architecturale, de l'esthétique et de l'harmonie entre le passé et l'avenir. Les images montrent les grands ensembles de Beaulieu, la Marandiniére, à Saint-Etienne, la cité le Haut du Lièvre à Nancy, des cités à Sarcelles, Asnières, Bron-Parilly, Epinay, Pantin, Bobigny, la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille, le front de mer à Royan, la video de l'Année 1962, une réalisation de Philippe Brunet içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz » fut le terrain de nombreuses expérimentations architecturales et urbanistiques, fondées notamment sur les idées émises plus tôt dans le siècle par le Mouvement moderne.
Aujourd'hui, ces ensembles bâtis sont au cœur d'une autre actualité, liée à leur adaptation à l'évolution des modes de vie de notre société contemporaine. Cette question qui se posa dès la fin des années 1970 apparaît sous un jour nouveau, avec les premières démolitions dans les années 1980 et, plus récemment, le vaste programme de réhabilitation mis en place dans le cadre de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain.
Après Les Grands Ensembles. Une histoire qui continue…, ce nouvel ouvrage, fruit de la collaboration entre l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Saint-Étienne et l'Université Jean Monnet, apporte un éclairage nouveau sur cet héritage bâti, mettant au jour simultanément la question de son vécu et celle des acteurs engagés dans son édification. En réunissant quinze auteurs spécialistes de ce domaine, il s'agit de regrouper autant de points de vue, pour comprendre la diversité et la complexité des enjeux liés à la postérité de ce bâti. - « Petite enquête sur Beaulieu – Le Rond-Point », La Tribune du centre et du sud-est, 13 octobre 1955 et « Le chantier de Beaulieu – Le Rond-Point (1ère tranche) sera terminé le 30 juin 1956 très exactement »,La Tribune du centre & du sud-est, 26 juin 1956 -«St-Etienne, la place des grands ensembles dans l’histoire de l’habitat social français »
Saint-Étienne/Beaulieu, au sud-est de l’agglomération, sur le versant sud de la colline de Beaulieu, en forte pente et d’aspect semi-rural, la cité de Beaulieu est mise à l’étude dès 1950. Elle débute en 1953 et comprend 1 221 logements, un groupe scolaire et 35 boutiques. Des parrains prestigieux et l’élite de l’architecture sté- phanoise sont mobilisés pour ce premier grand ensemble local.
Tantôt les bâtiments suivent le dessin de la courbe de niveau 600, devenue rue Le Corbusier, tantôt ils s’installent perpendi-culairement à la pente, reliés à la rue par des passerelles ou de grands escaliers. A l’implantation exemplaire des bâtiments répond une maîtrise raffinée du végétal d’accompagnement, décliné selon les modes habituels aux squares urbains, avec une virtuosité étonnante dus aux talents de l’ingénieur des Services techniques de la ville, Jean Marc, associé à l’équipe de concep-tion dès l’origine de l’opération.
Le vocabulaire de l’art des jardins s’adapte au grand ensemble : les espaces sont découpés à partir des courbes de niveau et des allées, et caractérisés par un système de haies et de contre-haies (haies étagées doubles ou triples) constituées de troènes com-muns ou dorés, prunus, berbéris et buffets de laurier, et sont plantés d arbres rythmés et colorés (érables négundo et acacias), ou parfois fastigiés (la gamme d’arbres est d’ailleurs peu riche), selon un dessin géométrique et des alternances de couleurs. Ces espaces verts ne sont réalisés qu’à partir de 1964, après avoir été longtemps laissés en prairies fauchées. Cet état de fait, dû au départ à l’étirement des financements des projets d’espaces exté-rieurs, s’inscrivait aussi dans la logique de conception de notre ingénieur, qui pensait « qu’il était nécessaire de laisser vivre un groupe d’habitations avant de planter » – afin de reprendre notamment les chemins tracés par l’usage.
Cette réalisation révèle le décalage entre les réflexions et les savoir-faire architecturaux et paysagers et exprime quelques traits caractéristiques de la pratique paysagiste. Le festonnage des haies qui jalonne les espaces extérieurs rejoint celui des collines boca- gères surplombant les bâtiments. Il rappelle le site environnant et inspirera plus tard l’AUA et Alexandre Chemetoff pour la réhabilitation du quartier de Montreynaud.
Relevons que, sans l’action concertée des services de la ville et de l’office d’HLM, qui finança entièrement la réalisation des espaces verts, rien n’aurait été fait à cette époque, compte tenu du désintérêt pour cet aspect du projet des principaux responsables du chantier. « D’ailleurs, à cette époque, les architectes ne jouaient pas au paysagiste… », queleques superbes videos du Ministere de la Cohésion et des Territoires içi : .Naissance d'une banlieue mort d'un village 2000 www.dailymotion.com/video/x1a98iz
Réalisateur : Sidney Jézéquel Production : Les Films Roger Leenhardt Sujet : la commune de Goussainville (95) --------
Quatre murs et un toit 1953 www.dailymotion.com/video/xk6xui Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) ----------------
Le Bonheur est dans le béton www.dailymotion.com/video/x413amo - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie ---------------------
Beaulieu par son constructeur la Cimaise :" Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.
------------------ Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq --------------
BEAULIEU une barre d’habitation innovante
a l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.
mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons. Conception et réalisation d’un quartier entier. Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine la plus grande barre d'Europe avec 540 appartements à sa livraison mi 1964, les chantiers de l'OPAC devenu Métropole-Habitat, www.ina.fr/video/LY00001263522 », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période. Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.
Un projet pharaonique
Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecte De toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. www.cimaise-architectes.com/realisations/divers/construct... cité HLM labellisée Patrimoine du XXeme siecle -"Il faut bien le dire, avant même d’être livré, Beaulieu est l' un des grands-ensembles, parmis 6 autres qui fasçinait en 1954..En effet c'etait le début de la longue & grande histoire des chantiers de l'Office Public de l'Aménagement et de la Construction* içi, ou à Montreynaud, Solaure, Monthieu etc Bref, les habituels promeneurs du coin genre les "Bois du Four (la Metare, le nom ançien, qui par ailleurs appartenait a Mme de Métarie une veuve riche qui légua son domaine soit "la Métare" à la ville, pour un Franc symbolique à l'epoque et aux CHU anciennement les HCL Hospiçes Civils de la Ville comme à Lyon... (on notera qu il y a des tas de logements en centre ville propriété du CHU)..se rendant le dimanche
dans le Pilat ou à Rochetaillée et sur les collines* alentours (on en a 7 comme a Rome) font un léger détour par le chantier. Ils constatent
alors de visu cet avancement des travaux que la presse qualifie de « belle prouesse ». Le rythme est en effet rapide : « un étage par semaine » pour certaines barres, comme le raconte un témoin. Les « grandes maisons », soient les immeubles de hauteur et nombre de logements importants (IGH), étant alors encore rares dans la
ville, les Stéphanois n’y sont pas habitués@ les H.L.M. Beaulieu est la 1ere cité Stéphanoise de toutes,. Les barres de dix-sept et quatorze niveaux gises respectivement rues Gomy Herriot et de Vlaminck, ainsi que la tour de 22 niveaux au 33 rue Le-Corbusier,
surprennent donc encore pire pour la plus grande barre d'Europe qui arrvera 7 ans plus tard, la Muraille qui mettront certains certaines à la renverse , le gigantisme à l'état brut, du lourd.... La référence qui vient à l’esprit de beaucoup ajoute à la fascination : l’Amérique. « C’est New-York ! c'est tres joile, tres vert... », se rappelle avoir pensé un habitant de la première harre...Mais plus que les immeubles, ce sont surtout les logements qui emportent l’adhésion des « heureux locataires », comme aime à les appeler la presse tout court. La satisfaction procurée aux habitants par l’hygiène et le confort des logements des Grands-Ensembles soit les quartiers NEUF est une information connue, les études de sciences humaines sur le sujet abondent. Aussi, pour le cas de Beaulieu devenu un cas d'Ecole idem pour Montchovet (Beaulieu3) et les transformations de la Marandiniere (Beaulieu2)...
Les entretiens réalisés avec des locataires n’apportent pas sur ce point-ci d’éléments nouveaux :kes premiers motifs de satisfaction invoqués sont, comme pour bien d’autres Grands-Ensembles Français,
l’eau courante, le chauffage central dont sont pourvus les immeubles les plus hauts, les WC intérieurs et salles de bain, l’ensoleillement et la luminosité permis par l’orientation, la hauteur et la disposition des immeubles, les placards et les tout aussi pratiques balcons à parois séchoirs permettant de faire sécher le linge, hiver compris.
Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»
Quelle est l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale à Saint-Etienne?
La ville subit un important bombardement des Alliés le 26 mai 1944. Celui-ci vise les usines qu'utilisaient les Allemands dans la région pour leur effort de guerre et les noeuds de communication ferroviaire. Comme prévu, la gare de Châteaucreux, les usines de Marais et le tunnel de Tardy sont touchés. Mais les bombes, larguées trop rapidement, atteignent aussi les quartiers du Soleil et de Tardy - notamment les écoles - ainsi que l'église Saint-François, emplie de fidèles. Au total, le bilan est lourd: un millier de morts, 1 500 blessés, 22 000 sinistrés; 800 immeubles ont été plus ou moins détruits. Que prévoit-on pour la reconstruction Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.
Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?
C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée. C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.
Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on passe de 114 logements construits en 1948 à 531 en 1951, 1 085 en 1954, 1 694 en 1957 et même 2 932 en 1959! L'effort est gigantesque. Mais le changement est aussi qualitatif. A la fin des années 1940 et au début des années 1950, la France va connaître une rupture architecturale avec l'apparition des premiers grands ensembles. Saint-Etienne sera l'une des villes symboles de cette rupture.
Comment cette nouvelle architecture est-elle accueillie?
Très favorablement par les classes moyennes, beaucoup moins par les classes populaires.
Cela paraît paradoxal, pour du logement social!
Le paradoxe n'est qu'apparent. On l'a oublié aujourd'hui, mais les premiers grands ensembles sont réservés aux familles de moins de trois enfants ayant des revenus corrects, autrement dit aux classes moyennes. Alors que, depuis la guerre, celles-ci devaient se contenter d'une ou de deux pièces mal équipées, elles se voient soudain proposer des logements spacieux, avec de la verdure, de la lumière, une salle d'eau, des WC, le chauffage central. Cela leur paraît merveilleux! Les pauvres, eux, continuent de s'entasser dans de petits appartements sans confort, quand ce ne sont pas des taudis, en particulier à Tarentaize et à Beaubrun, ou des bidonvilles, du côté de Méons, près des puits de mine et des usines sidérurgiques. Ce n'est que plus tard, à partir des années 1970, que les grands ensembles seront prioritairement réservés aux pauvres et aux familles immigrées. Mais, dans les années 1950, les grands ensembles sont encore synonymes de progrès social. Et même au-delà. On est persuadé que ce nouvel habitat va entraîner le recul de la maladie, de la délinquance, voire de la mésentente entre les époux! Il existe ainsi une «commission du bonheur ou des grands ensembles»! On croit rêver...
C'était l'ambiance de l'époque, avec ses utopies et ses excès. Pour les architectes, si l'un des repoussoirs est le taudis de centre-ville, l'autre est le petit pavillon de banlieue, symbole à leurs yeux de l'individualisme petit-bourgeois, avec ses gaspillages de terrain, son absence d'horizon et son coût pour la communauté...
Quels sont les quartiers typiques de cette période, à Saint-Etienne?
Le premier est constitué par le très bel ensemble de la place du Maréchal-Foch. Il s'agit d'une étape intermédiaire entre l'îlot traditionnel (des immeubles accolés, formant un pâté de maisons) et sa suppression totale. Du côté de la Grand-Rue, plusieurs immeubles constituent encore des semi-îlots. Mais, à l'ouest, deux immeubles sont déjà totalement indépendants: ils sont construits au milieu de la verdure. Et cela, c'est très nouveau. Jusqu'à présent, tous les immeubles érigés à Saint-Etienne, y compris les plus hauts, étaient accolés à d'autres édifices. Cela reste encore, cinquante ans plus tard, l'un des quartiers chics de Saint-Etienne.
L'autre grande opération de l'époque, c'est Beaulieu I.
Evidemment. On est, cette fois, face à un grand ensemble «pur». Le chantier commence en 1953 - il y a juste cinquante ans - et s'achève en 1955. Ce nouveau quartier de 1 264 logements est remarquablement conçu. Non seulement il respecte la topographie des lieux, mais aussi il joue avec elle: les bâtiments sont implantés soit parallèlement, soit perpendiculairement aux courbes de niveau, ce qui met en valeur la colline tout en préservant son sommet. Pour rompre l'anonymat, les entrées, les façades et les balcons sont individualisés. Les logements sont de qualité, et les espaces verts, confiés aux services de la ville, tout simplement magnifiques. Beaulieu produit d'ailleurs un effet prodigieux sur ses premiers habitants.
Son implantation n'est pas non plus le fait du hasard...
En effet. Compte tenu des préoccupations hygiénistes de l'époque, le conseil municipal a choisi ce site «loin des zones minières et industrielles, à l'abri des poussières et des fumées, au climat salubre». Il souligne qu'il ne sera «jamais exploité par les houillères, car son sous-sol est stérile» et qu'il est également «bien relié à Saint-Etienne par le cours Fauriel, la seule avenue large de la ville». C'est véritablement le contre-modèle du taudis. Il a d'ailleurs, lui également, remarquablement bien vieilli.
Etes-vous aussi enthousiaste pour les projets qui ont suivi Beaulieu I?
Hélas!... Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1964), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent - à l'exception de la Métare, qui ne comprend que des appartements en copropriété - des échecs complets. Et tragiques. Pourquoi cette différence?
Beaulieu I a bénéficié d'une accumulation de partis pris judicieux qui n'ont pas été appliqués par la suite. Outre la qualité de son architecture et de ses espaces verts, on a évité le zonage bête et méchant, qui allait s'imposer plus tard: les zones commerciales, d'un côté; les tours et les barres d'habitation, d'un deuxième; les emplois, d'un troisième. Enfin, Beaulieu I, réservé presque exclusivement aux classes moyennes, n'a pas connu le processus de dégradation que l'on constatera ailleurs, et dont la destruction de la «muraille de Chine» constituera le symbole.
Qui ont été les grands aménageurs de cette époque?
Parmi les politiques: le maire, Alexandre de Fraissinette (modéré), et son premier adjoint, qui lui succédera à sa mort, le radical Michel Durafour. Parmi les architectes: Edouard Hur et Henri Gouyon, concepteurs de Beaulieu I. Et, bien sûr, l'Etat, qui reste très présent. C'est lui qui, de manière générale, garde la haute main sur l'urbanisme. Beaulieu constitue une opération nationale, décidée de Paris. Cependant, ce qui est remarquable, c'est que, pour Beaulieu I, l'Etat va accepter de composer. Dans quels domaines?
Le ministère de la Reconstruction souhaitait, ici comme ailleurs, que l'opération fût entièrement industrialisée. Autrement dit, que l'on adaptât au bâtiment les méthodes de l'automobile. Les constructions devaient se faire en préfabriqué, et l'on devait se contenter de les monter sur place. Mais, à Saint-Etienne, les architectes, soutenus par le maire, s'opposent à cette directive. Parce qu'ils sont expérimentés, et reconnus, ils vont obtenir gain de cause. Et heureusement.
Y a-t-il eu des projets, conçus à cette époque, qui n'ont pas vu le jour?
A la fin des années 1950, l'Etat fait appel à de grands architectes pour remodeler les villes. A Saint-Etienne, c'est Dufau, distingué par le prix de Rome, qui est choisi. Il présente un projet radical: raser les 70 îlots qui se trouvent à l'est de la Grand-Rue, entre la place du Peuple et Bellevue, et les remplacer par autant de tours et de barres! Son projet, finalement, ne sera appliqué qu'en partie. Au sud, jusqu'à Bellevue, presque tout est démoli, beaucoup de tours et de barres sont construites. Au nord, les démolitions sont également presque systématiques, mais, cette fois, les nouveaux immeubles reproduisent la forme traditionnelle de l'îlot. On détruit également une partie du quartier derrière la grande poste, ainsi que l'ancienne caserne de Tréfilerie et la prison de Bizillon. Le futur Centre-Deux...
C'est cela. Au départ, l'opération se nomme «prison-Tréfilerie», mais les promoteurs, qui ont le sens du commerce, préfèrent la rebaptiser. Ce quartier est conçu comme un centre d'affaires à l'américaine, type la Défense, à Paris, ou la Part-Dieu, à Lyon. On explique aux élus que, s'ils veulent que Saint-Etienne devienne une grande ville, ils doivent la doter d'un centre d'affaires, avec des immeubles atteignant 100 ou 150 mètres de hauteur, comme aux Etats-Unis! Le projet est lancé (en 1969), mais il sera peu à peu amendé, pour tenir compte de la réalité économique, de la montée des oppositions et de l'évolution des mentalités.
Comment l'économie stéphanoise se porte-t-elle alors?
La ville croit encore à l'avenir de la mine et des industries traditionnelles. Cela se comprend: le plan Monnet pour la relance de l'économie française s'appuie sur l'énergie, les transports, les industries lourdes... Bref, tous les points forts de Saint-Etienne, mais ce sera un cadeau empoisonné, car, bercée par cette illusion, la cité s'endort. Quand elle se décidera à moderniser ses structures industrielles, ce sera toujours avec quelques années de retard. Au fond, c'est dans les années 1950 que l'on commet les erreurs qui conduiront, plus tard, au démantèlement des industries locales.
Le secteur tertiaire a-t-il déjà commencé son essor?
Pas encore. Dans les années 1950, Saint-Etienne reste une ville très fortement industrielle. La tertiarisation, avec l'enseignement supérieur, la transformation de l'hôpital en centre hospitalier régional et universitaire et l'essor de Casino, avec les supermarchés et les hypermarchés, ne commencera véritablement que dans les années 1960.
Culturellement, la ville est aussi très active...
Elle est même, à ce moment-là, l'un des hauts lieux de la création culturelle en France, notamment dans les domaines théâtral et artistique. Maurice Allemand fait du musée de Saint-Etienne l'un des plus grands musées d'art moderne en France. Et Jean Dasté propose au public le théâtre moderne. Ce bouillonnement est dû, notamment, à Alexandre de Fraissinette. Comme, après lui, Michel Durafour, il est persuadé que l'avenir de la cité est dans la modernité. Il considère donc qu'elle doit être déclinée dans tous ses aspects: économique, urbanistique et culturel.
La population comprend-elle cette volonté?
Oui et non. Dans les années 1950, il existe un certain consensus, car tout le monde partage la vision d'un avenir meilleur. Mais, en réalité, Fraissinette, et surtout Durafour, sont très décalés. Dans leur obsession d'une ville «blanche», ils refusent en bloc le passé, dont on a heureusement découvert depuis lors les richesses. Ils rêvent d'une ville qui n'existe pas, peuplée d'habitants qui ne ressemblent pas aux Stéphanois réels... C'est d'ailleurs ce qui, plus tard, provoquera la chute de Michel Durafour. --------------
Pour une architecture différente 1975 Réalisation : ministère de l'Équipement , www.dailymotion.com/video/xgj3ex ---
Les films du MRU -Industrialiser la construction, par le biais de la préfabrication.Cette industrialisation a abouti, dans les années 1950, à un choix politique de l'Etat, la construction massive de G.E. pour résoudre la très forte crise du logement dont souffrait la France www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... … Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije Noisy-le-Sec le laboratoire de la reconstruction, 1948 L'album cinématographique de la reconstruction maison préfabriquée production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, 1948 L'album cinématographique içi www.dailymotion.com/video/xwytke archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ... museedelacartepostale.fr/blog/ -'être agent de gestion locative pour une office H.L.M. en 1958' , les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée- les films du MRU içi www.dailymotion.com/video/xgj74q présente les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - Sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije l'industrie dla Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije Cardem les 60 ans de l'entreprise de démolition française tres prisée des bailleurs pour les 80, 90's (1956 - 2019) toute l'Histoire de l'entreprise içi www.youtube.com/watch?v=Yyf1XGvTZYs - 69 LYON & la Cardem pour la démolition de la barre 230 Quartier la Duchère le 2 juillet 2015, youtu.be/BSwidwLw0NA pic.twitter.com/5XgR8LY7At -34 Béziers - C'était Capendeguy le 27 janv 2008 En quelques secondes, 450 kg d'explosifs ont soufflé la barre HLM de 492 lgts, de 480 m, qui laissera derrière elle 65.000 tonnes de gravas. www.youtube.com/watch?v=rydT54QYX50 … … Les usines Peugeot - Sochaux Montbéliard. 100 ans d'histoire en video www.youtube.com/watch?v=X4w3CxXVAyY … - 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
Villeneuve-la-Garenne, La Caravelle est à mettre au crédit de Jean Dubuisson, l’un des architectes les plus en vue des années 1960, www.dailymotion.com/video/x1re3h5 via @Dailymotion - AMIENS les HLM C'était le 29 juillet 2010, à 11h02. En quelques secondes, cette tour d'habitation s'est effondrée, détruite par implosion. Construite en 1961, la tour avait été vidée de ses habitants quelques années auparavant. www.youtube.com/watch?v=ajz2xk5KBNo … … - Les habitants de Montreynaud parlent de leur quartier et de cette destruction entre nostalgie et soulagement içi en video www.dailymotion.com/video/xmiwfk - Les bâtiments de la région parisienne - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/CAF96034508/les-batiments-de-la-region-p... … via @Inafr_officiel - Daprinski - George Michael (Plaisir de France remix) www.youtube.com/watch?v=sJeH-nzlj3I
Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc 1956 en FRANCE - "Un jour on te demanda de servir de guide, à un architecte en voyage d etudes, ensemble vous parcourez la Françe visitant cité jardins, gratte ciel & pavillons d'HLM..." @ les archives filmées du MRU www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... … Villages de la Françe cité du Soleil
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document Gwenaëlle Le Goullon (LAHRA), auteur du livre "la genèse des grands ensembles",& Danièle Voldman (CHS, Centre d'Histoire Sociale), expliquent le processus qui a conduit l'Etat, et le ministère de l'urbanisme &de la reconstruction à mener des chantiers exp www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... mémoire2cité & l'A.U.A. - Jacques Simon (1929 - 26 septembre 2015) est un architecte paysagiste formé à l'École des beaux-arts de Montréal et à l'École nationale supérieure du paysage de Versailles. Fasciné par la campagne qui témoigne d'une histoire de labeur, celle des agriculteurs "ses amis", "les génies de la terre", Jacques SIMON, paysagiste dplg, Premier Grand Prix du Paysage en 1990*, réalise avec eux des installations paysagères éphémères principalement dans des champs et visibles du ciel. Avec sa palette d'artiste, Jacques SIMON réinvente des paysages comme les agriculteurs eux-aussi à leur façon les créent et les entretiennent. Le CAUE du Rhône vous invite à venir découvrir ses travaux au travers d'un kaléidoscope de photographies empreintes de spontanéité, de fraîcheur et d'humour. Cette exposition nous interpelle sur le caractère essentiel d'une nature changeante, fragile, sur l'importance d'une activité agricole diversifiée et sur la nécessaire évolution du métier de paysan. Elle nous amène aussi à voir et à interpréter ce que l'on voit, elle éveille en nous le sens de la beauté du paysage en conjuguant les différentes échelles de perception et de lecture; à pied et à vol d'oiseau, à la fois l'échelle humaine, terrestre, géologique, forestière, hydrologique, biologique mais aussi esthétique et symbolique. Jacques Simon, paysagiste cosmopolite est l'un des principaux acteurs du renouveau de la pensée paysagère en France dans les années 60 et 70 conjuguant avec cohérence sa pratique de paysagiste, de voyageur, d'éditeur, d'enseignant avec son approche plus artistique du paysage, subtile, sensible et humaine de la nature avec la réalisation de "performances". Ses projets paysagers comme ses interventions paysagères éphémères sont marqués par la mobilité, la fragilité, une empathie avec le lieu, par la dualité même du voyage : découverte / évanouissement, création / disparition. Jacques Simon dessine, écrit sur le paysage, "une surface", un peu à la manière du land'art avec les techniques et les outils du jardinier, du cultivateur. Il ne s'agit plus de représenter la nature mais de l'utiliser en créant avec et dans le paysage. L'intention de Jacques Simon n'est pas d'apposer sa marque sur le paysage mais de travailler instinctivement avec lui afin que ses travaux-installations manifestent même brièvement un contact en harmonie avec le monde naturel. "On dit qu'il a bouleversé l'esprit du paysage, il a remis les choses essentielles à leur place. Il rit de l'importance qu'on veut bien lui donner, fils de l'air, il ne veut rien de plus que passer dans les cerveaux pour les ventiler, les rafraîchir et non pour les modeler; son "importance", il l'a ailleurs et autrement; il est historique parce que dans son temps, dans celui qui s'écoule et non dans celui qui passe". Extrait de "Jacques Simon, tous azimuts", Jeanne-Marie Sens et Hubert Tonka, Pandora Editions, 1991. Il a introduit une nouvelle conception de l'art du paysage proche du Land art, Jacques Simon est l'auteur d'une série d'ouvrages sur différents aspects du paysage et abordés d'un point de vue technique. Il a travaillé de 1964 à 1966 en collaboration avec Michel Corajoud. Il a conçu le Parc de la Deûle (qui lui a valu le Grand Prix national du Paysage en 2006, après l'avoir reçu une première fois en 19901).
Il est mort le 29 septembre 20151 et a été incinéré à Auxerre Le paysagiste Jacques Simon s'est éteint le 26 septembre dernier à l'âge de 86 ans. Diplômé de Versailles en 1959, il fut sans doute l'une des figures les plus emblématiques, les plus géniales et les plus originales du paysagisme contemporain. Premier grand prix du paysage et prix du Conseil de l'Europe pour le parc de la Deule, on lui doit des principes de compositions très forts, autour du nivellement, du traitement du végétal ou de la place laissée au vide. Ses intuitions comme ses travaux ont inspiré tous les paysagistes avec lesquels il a travaillé, à commencer par Michel Corajoud ou Gilles Vexlard. On lui doit un profond renouvellement dans la composition des grands ensembles, ses réalisations -comme le parc Saint-John Perse à Reims- restant des modèles pour tous les professionnels. Jacques Simon développa également une production d'œuvres plus éphémères, attentif aux mouvements et aux transformations. Pédagogue talentueux et généreux, il le fut autant par les documents techniques et la revue qu'il publia, que par ses interventions en atelier devant plusieurs générations d'étudiants de l'école. Les paysagistes perdent un de leurs plus féconds inspirateurs. L'ENSP s'associe au deuil de sa famille et de ses proches. Témoignages à la mémoire de Jacques Simon
Goal: Branding for an upcoming series on Romans 8 on the trans-formative work of Jesus . Will be used on sunday mornings on our screens, in small group booklets, and website
Audience: general church (college, young adults, lots of married couples, empty nesters...)
Direction: i'm going for something simple, clean, that clearly communicates the message of the series
Project: Transformed sermon series
Other important info: This series will also mark a lot of changes in our ministry structure, sort of a shift to more disciple based programs. My main concern with this idea is that I want something simple and clean, not plain and boring. Many times i feel that there is a thin line between the two if I am not careful.
Creature Shop
A number of video screens here progressively show what it was like to work in the creature shop, cleverly leading you from one screen to the next.
Makeup Effects
Creature Shop artisans transformed many cast members into magical beings like goblins, werewolves and even the Dark Lord himself, using applied makeup pieces called prosthetics.
Design
The Art Department provided the Creature Shop with initial sketches and drawings of each creature and character. From there artists transformed the images into three-dimensional models called maquettes.
Moulding
Once the designs were approved, makeup appliances were sculpted to fit the performers. Models of actors' mouthes, heads, arms or entire bodies were cast which artists used to create and test new prosthetic pieces.
Application
Multiple copies of each prosthetic were made from silicone or foam. Then, makeup artists carefully glued each piece to cast members' heads and bodies, a process that took just a few minutes for Voldemort's eyebrows and up to three hours for a Gringotts goblin.
Filming
Because of the hot lights in the studio and actor movement, makeup artsits were standing by on set to touch up smeared lightning bolt scars, broken goblin ears or crooked teeth.
Buckbeak
Though the only practical model of Buckbeak that ever appeared on screen was the seated version curled up in Hagrid's pumpkin patch, the Creature Shop also built two standing life-size animatronic models that could move their wings, nostrils, eyes, tongue and neck (and one of those could bow and move two of its legs). For Buckbeak's walking and flying sequences, the Visual Effects team created a digital version of the Hoppogriff.
People the world-over have been enchanted by the Harry Potter films for nearly a decade. The wonderful special effects and amazing creatures have made this iconic series beloved to both young and old - and now, for the first time, the doors are going to be opened for everyone at the studio where it first began. You'll have the chance to go behind-the-scenes and see many things the camera never showed. From breathtakingly detailed sets to stunning costumes, props and animatronics, Warner Bros. Studio Tour London provides a unique showcase of the extraordinary British artistry, technology and talent that went into making the most successful film series of all time. Secrets will be revealed.
Warner Bros. Studio Tour London provides an amazing new opportunity to explore the magic of the Harry Potter films - the most successful film series of all time. This unique walking tour takes you behind-the-scenes and showcases a huge array of beautiful sets, costumes and props. It also reveals some closely guarded secrets, including facts about the special effects and animatronics that made these films so hugely popular all over the world.
Here are just some of the things you can expect to see and do:
- Step inside and discover the actual Great Hall.
- Explore Dumbledore’s office and discover never-before-seen treasures.
- Step onto the famous cobbles of Diagon Alley, featuring the shop fronts of Ollivanders wand shop, Flourish and Blotts, the Weasleys' Wizard Wheezes, Gringotts Wizarding Bank and Eeylops Owl Emporium.
- See iconic props from the films, including Harry’s Nimbus 2000 and Hagrid’s motorcycle.
- Learn how creatures were brought to life with green screen effects, animatronics and life-sized models.
- Rediscover other memorable sets from the film series, including the Gryffindor common room, the boys’ dormitory, Hagrid’s hut, Potion’s classroom and Professor Umbridge’s office at the Ministry of Magic.
Located just 20 miles from the heart of London at Warner Bros. Studios Leavesden, the very place where it all began and where all eight of the Harry Potter films were brought to life. The Studio Tour is accessible to everyone and promises to be a truly memorable experience - whether you’re an avid Harry Potter fan, an all-round movie buff or you just want to try something that’s a little bit different.
The tour is estimated to take approximately three hours (I was in there for 5 hours!), however, as the tour is mostly self guided, you are free to explore the attraction at your own pace. During this time you will be able to see many of the best-loved sets and exhibits from the films. Unique and precious items from the films will also be on display, alongside some exciting hands-on interactive exhibits that will make you feel like you’re actually there.
The magic also continues in the Gift Shop, which is full of exciting souvenirs and official merchandise, designed to create an everlasting memory of your day at Warner Bros. Studio Tour London.
Hogwarts Castle Model - Get a 360 degree view of the incredible, hand sculpted 1:24 scale construction that features within the Studio Tour. The Hogwarts castle model is the jewel of the Art Department having been built for the first film, Harry Potter and the Philosopher’s Stone. It took 86 artists and crew members to construct the first version which was then rebuilt and altered many times over for the next seven films. The work was so extensive that if one was to add all the man hours that have gone into building and reworking the model, it would come to over 74 years. The model was used for aerial photography, and was digitally scanned for CGI scenes.
The model, which sits at nearly 50 feet in diameter, has over 2,500 fibre optic lights that simulate lanterns and torches and even gave the illusion of students passing through hallways in the films. To show off the lighting to full effect a day-to-night cycle will take place every four minutes so you can experience its full beauty.
An amazing amount of detail went into the making of the model: all the doors are hinged, real plants are used for landscaping and miniature birds are housed in the Owlery. To make the model appear even more realistic, artists rebuilt miniature versions of the courtyards from Alnwick Castle and Durham Cathedral, where scenes from Harry Potter and the Philosopher’s Stone were shot.
Prince George-area MLAs joined with the community to celebrate the launch of Foundry Prince George, a new integrated youth-service centre.
Foundry will bring existing services under one roof so families and young people can access a one-stop shop for primary-care, mental-health, substance-use, and social services. The centre, for youth between the ages of 12 and 24 years, is hosted by the YMCA of Northern BC and anticipates being fully operational and accepting clients by spring 2017.
Learn more: news.gov.bc.ca/releases/2017HLTH0005-000064
Prince George-area MLAs joined with the community to celebrate the launch of Foundry Prince George, a new integrated youth-service centre.
Foundry will bring existing services under one roof so families and young people can access a one-stop shop for primary-care, mental-health, substance-use, and social services. The centre, for youth between the ages of 12 and 24 years, is hosted by the YMCA of Northern BC and anticipates being fully operational and accepting clients by spring 2017.
Learn more: news.gov.bc.ca/releases/2017HLTH0005-000064
Vendors sell green oranges, water and peanuts at Gulu, Uganda, September 2010.
U.S. Army photos by John Hanson
Railways, the technology that transformed Europe and America in the 19th century, may yet play a significant role in the future economic development of Uganda.
Two U.S. Army logisticians, John Hanson from U.S. Army Africa’s G-4 Programs and Policy Branch, and Lloyd Coakley, from the Military Surface Deployment and Distribution Command’s Transportation Engineering Agency, conducted a four-day assessment of Ugandan railway infrastructure Sept. 13-17 at the request of the Uganda People’s Defense Force’s Engineer Brigade.
The mission was to determine the current operational status of the Uganda railway system and its rolling stock, to assess the capability of UPDF personnel to rehabilitate the network, and to identify potential sites for training and repair operations. USARAF and SDDC were invited to contribute their expertise by Brig. Gen. Timothy Sabiiti, commander of the Uganda People’s Defense Force’s Engineer Brigade, Hanson said.
“He’s been charged with assisting in the rehabilitation of the railways. It would have a very positive economic impact, including natural resource development. It’s a five-year plan, a complete rehabilitation of the railroad. That’s why they’re doing it. It’s all civil development, but the railroad would be used by the military, too. It would enhance their mobility,” Hanson said.
Ugandan assessment team members included Engineer Murungi Daudi, Brig. Gen. George Etyang, Nakaliika Rahmat, Lt. Col. Luke Arikosi, and Engineer Kyamugambi Kasingye. Hanson, Coakley, and their Ugandan hosts, accompanied by a representative of the U.S. Embassy in Kampala, assessed the railroad stations and infrastructure in Jinja, Tororo, Mbale, Kumi, Soroti, Lira and Gulu. They also toured the Nalukolongo Railway Repair Facility in Kampala, he said.
“It’s a significant percentage of the railroad, the majority of the rail lines. We saw almost the entire rail line that has not been completely abandoned,” Hanson said.
The assessment team found the condition of the Ugandan system to vary greatly by region. The railway is still fully functional and operating in the Jinja-Tororo area, Hanson said. Tororo is the easternmost link on the line before it crosses into Kenya, heading for the coast at Mombasa.
As the team progressed north, however, damaged rails were common place, and track along the western section, from Gulu to Pakwach, is in general disrepair, a result of the area being for years under control of the Lord’s Resistance Army.
“It’s been pretty much abandoned since then,” Hanson said.
Nonetheless, the Ugandan-American team could clearly see the potential for future reconstruction.
“The Ugandan government and the UPDF are committed to returning their railway system to a fully operational status. SDDC and USARAF can assist in this effort to help build capacity, not only in Uganda, but eventually throughout the region,” Coakley said.
“It was great to partner with another Army Service Component Command on the continent,” said Hanson. “The engineers from SDDC have a lot of experience and expertise that can assist USARAF in finding solutions to the transportation and mobility issues we face throughout most of Africa.”
The railroads came to East Africa just before the turn of the 20th century, in the hey-day of European colonial expansion, and England and Germany in particular were in competition to build systems to extract the natural resources of what are today Kenya and Uganda. Beginning in the 1890s, both countries undertook mammoth engineering projects to build railroads from the Indian Ocean coast to Lake Victoria in the interior.
The development had profound economic and demographic impacts on the entire region. The influx of workers from British India to build the railways resulted in thriving Indian diaspora communities in both present day Uganda and Kenya; the growth of rail construction centers and nodes stimulated the establishment of such urban centers as Kisumu (then called Port Florence) and Nairobi, both in Kenya.
The Ugandan rail line finally reached Kampala in 1931. The northern branch, beginning in Tororo, was extended to Soroti by 1929 and reached Pakwach only in 1964.
The presently serviceable rolling stock consists of approximately 1,000 wagons and 35 diesel hydraulic locomotives, said Hanson, and though activity has been dormant in some areas for decades, and clearly in need of rehabilitation, the Ugandan system holds great promise for the future.
“SDDC has produced numerous studies on African seaports and infrastructure in the past. USARAF needs to synchronize our efforts with SDDC as they identify future locations to conduct their analyses,” Hanson said.
To learn more about U.S. Army Africa visit our official website at www.usaraf.army.mil
Official Twitter Feed: www.twitter.com/usarmyafrica
Official YouTube video channel: www.youtube.com/usarmyafrica
Artist/architect Adam Kalkin has transformed standard shipping containers into living quarters. His Quick House can be used for different circumstances, from disaster-relief housing to luxury dwellings and for promotional purposes. Italian espresso company Illy has used the Quick House at the 52nd Venice Biennale to provide visitors a space to relax and to enjoy their complimentary espresso.
With the push of a button, the Illy house opens in 90 seconds like a flower and transforms from a compact container into a fully furnished and functional space with a kitchen, dining room, bathroom, bedroom, living room and library. All materials used were recyclable or recycled. Between November 28 and December 29, 2007, New York holiday shoppers have a chance to sit down and relax in Kalkin’s creation as Illy will install the temporary Push Button cafe in the Time Warner Centre.
This Vic Viper can transform in to a robot. The only pieces taken off during the transformation are the guns, which are then placed into the robot's hands when it has finished its transformation. Pictures of it in robot form will come soon, I just need to get this in, in time for Novvember ;).
transforming my roommate-21
dragqueen.silicone-breast.com/2019/09/01/transforming-my-...
i2.wp.com/photo.pecreation.com/upload/2019/06/29/20190629...
Notice : Release every 3 days
Barbara continues to help her friend by convincing her that she can”t go through life as a woman in boxers. Jamie resists as always, but finally agrees to try some panties
Barbara hates to see Jamie struggle so much with her transition into womanhood, so she
I had a dream that I was in a store where they were selling Blacksuits but in the dream they were morphing into different shapes or textures or changing from orange and black to yellow, blue and white. These images created with prompts using recraftai get close to how the figurines looked in the dream.
Sailor Moon - Reagan Katheryn Cosplay
Sailor Venus - Manders Cosplay
Sailor Mars - Big Red Cosplay
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