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After our Dolomites hike last September, we spent four nights in Venice, staying in the Cannaregio area. Back in this square taken mid morning while wandering around.
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Fly the friendly skies...I've wanted to do one of these for year - 40mins worth of flux capacitor - 23 images stacked in Affinity and finished off with Luminar3 — in Bombo.
Background: Pxfuel www.pxfuel.com/
Animals: Deviant Art by Kayleero and Momotte www.deviantart.com
Post processing in Luminar 4 and Topaz Labs filters
Entered in "Shades of Autumn" challenge here:
www.flickr.com/groups/exploreworthy/discuss/7215771634566...
HUGE CONGRATS TO IRENE (double win,)
Le mot bugne est la francisation du terme lyonnais bugni et désigne un beignet. Les deux mots ont une origine identique, mais le traitement par chacune des langues (à savoir l'arpitan et le français) s'est fait différemment. Aujourd'hui, en français régional, le mot bugne s'est spécialisé dans ce type bien particulier de beignet tandis que le mot français beignet désigne tous les autres types de beignets.
Dans la première édition de Pantagruel, publiée à Lyon en 1532, François Rabelais mentionne les bugnes parmi les plats de la cuisine lyonnaise : « saucissons, cervelas, jambons, andouilles, hures de sangliers, gigots à l'aillade, fressures, fricandeaux, gras chapons au blanc mangier, hochepots, carbonades, cabirotades, hastereaux, gibiers à poil et à plumes, esclanches (gigot farci), carpes farcies, lavarets, recuites (fromages aromatisés avec des feuilles de pêcher), craquelins et macarons (pâtisseries sèches), pâtes de fruit, bugnes, etc. ».
La sixième édition, publiée en 1835, du Supplément au Dictionnaire de l'Académie française, ne connaît le terme qu'au féminin pluriel, qu'il définit ainsi : « Il se dit, dans quelques villes du midi de la France, d'une pâte faite avec de la farine, du lait et des œufs, que l'on roule en forme de boudin en l'entrelaçant, et que l'on fait frire à l'huile. » Y figure également l'existence du « dimanche des bugnes », à Lyon et ses environs.
Dans le Larousse de l'argot et français populaire, le mot bugne désigne au sens figuré : « une mandale, un coup de boule dans la tronche, un coup droit dans les artiches ». Le glissement de sens est sans doute lié au côté étouffe-chrétien du gâteau d'origine. Par extension, le mot peut désigner également une bosse à la tête (forme du gâteau) ou s'employer transitivement dans des expressions du type « bugner sa bagnole » (lui faire une bosse).
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