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Cars and omnipresent in Istanbul: they drive everywhere, even among tables in street restaurants, I wonder if they drive indoors too. This one looks like it was parking in a tram depot and most probably it does so without anyone's special permission

La omnipresente bandera, orgullo nacional de Filipinas es constantemente ondeada en colegios, parques y plazas.

 

Destaco el Sol con los 8 rayos que simbolizan las 8 provincias que se levantaron en armas contra la ocupación española (Batangas, Bulacán, Cavite, Laguna, Manila, Nueva Écija, Pampanga, y Tarlac) en 1896 y las tres estrellas, áreas geográficas más importantes de las Islas Filipinas: Luzón, Visayas y Mindanao.

 

No sé porqué no actualizaron la bandera al independizarse de los EEUU y metieron algún simbolito en honor a tan señalado acontecimiento.

"Clocks are omnipresent in modern life. Make a photo of the clock, watch, or other device that you use most to tell time."

 

This is my bedside alarm clock. Ian helped me by light-painting my face with a flashlight while I stayed perfectly still through the five-second exposure. I needed an extremely narrow aperture (ƒ/32) to get at least some semblance of focus from the clock. The digital numbers weren't visible at all, so I took a second shot, using the flashlight to illuminate the clock face directly, and then I overlayed the second photo at low opacity.

 

This was one of the shots I considered doing for the "shiny" prompt yesterday, so I'm glad I got to try it out.

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Album Cover for Latoya Williams studio release, One More Day (online retail version).

Produced, photographed and edited by Dewayne Williams c/o Omnipresent Productions.

Download at various sizes:

www.flickr.com/photos/23655521@N00/12231240853/sizes/l/in...

 

www.leroywilliams.org

www.leroyanddewayne.com

www.facebook.com/emmanuelhouseofpraise

www.omnipresentpro.com

www.latoyawilliamsonline.com

  

Galerie François Ier

détail

auteur(s) : Rosso Fiorentino (1494 -1540), Le Primatice (1504 - 1570)

technique : stuc et peinture à fresque

datation : vers 1530-1540

lieu de conservation : château de Fontainebleau

En quoi cette galerie sert-elle la politique du roi ?

Qu'apporte-t-elle de nouveau dans le paysage artistique français du XVIe siècle ?

 

La galerie du château de Fontainebleau est l’un des lieux les plus célèbres de la Renaissance française [ image principale ]. Elle est construite et décorée à partir des années 1530, sur commande du roi François Ier : les emblèmes, la salamandre par exemple [ détail b ], les devises et le chiffre y sont omniprésents. Comme les princes de la Renaissance, François Ier aspire à vivre dans un cadre majestueux, à posséder des collections d’œuvres d’art, à s’entourer d’artistes célèbres. Comme eux, ses regards sont tournés vers l’Italie. Il invite donc à sa cour les meilleurs artistes italiens du moment, comme Rosso Fiorentino et Le Primatice qui travaillèrent successivement dans la Galerie du château de Fontainebleau, sur le décor peint à fresque et sculpté.

Un décor au service du pouvoir

 

Revenu de captivité en 1526, François Ier doit redonner confiance à son peuple et reprendre sa place parmi les grands souverains d’Europe. Abandonnant ses anciennes résidences des châteaux de la Loire, il choisit une demeure proche de Paris : le château médiéval de Fontainebleau qu’il fait reconstruire selon les idées nouvelles de la Renaissance et dont le décor est destiné à servir sa gloire et sa politique. Les fresques de la galerie illustrent les différentes facettes du pouvoir. À l’est, du côté de la chambre du roi, étaient présentés les dangers qui guettent tout souverain dans l’exercice du pouvoir : la trahison, la vengeance, la mort... À l’ouest, les bienfaits de la monarchie.

 

Dans L’Unité de l’État [ détail c ], François Ier apparaît en empereur romain tenant une grenade [ détail d ] dans la main gauche. Cette peinture est généralement interprétée comme la représentation de la volonté du roi de centraliser et d’unifier l’État. La grenade, symbole d’unité, et la présence de différentes catégories sociales autour du roi permettent d’étayer cette interprétation. C’est donc un portrait allégorique du roi qui met en valeur son rôle positif dans la réforme des institutions. La composition même de la scène, structurée par les verticales très fortes des personnages et des bâtiments, donne une impression de stabilité, qualité essentielle d’un bon gouvernement.

Un art nouveau venu d’Italie

 

Les Italiens – Rosso qui conçoit le décor de la galerie et le Primatice qui lui succède – arrivent en France imprégnés des idées et des formes nouvelles inspirées de l’Antiquité, forts d’un savoir-faire dans certaines techniques que les artistes français ne possèdent pas encore. Le décor de la galerie où les fresques s’articulent avec des encadrements de stuc en relief d’une grande variété, en est une démonstration magistrale. Si le stuc est une technique connue depuis l’Antiquité, c’est aux artistes italiens de la Renaissance que revient le mérite de l’avoir réintroduit et diffusé en Europe.

L'influence de Michel-Ange

 

Dans les années 1530, les créations des grands artistes italiens, Michel-Ange et Raphaël, sont perçues comme des références. La nouvelle génération préfère étudier leurs œuvres plutôt que la nature. L'influence de Michel-Ange est manifeste dans la galerie de Fontainebleau. De part et d’autre des fresques, des nus apparaissent parfois dans des poses étranges [ détail f ] qui rappellent les ignudi (hommes nus) représentés sur la voûte de la chapelle Sixtine, peinte à Rome entre 1508 et 1512 [ image 1 ]. De plus, une fresque comme celle de Danaé par Primatice [ détail g ] est inspirée de Léda et le cygne de Michel-Ange, tableau aujourd'hui disparu que François Ier possédait dans ses collections. La célébrité de cette œuvre fut telle que de nombreuses gravures et copies circulèrent au XVIe siècle [ image 2 ].

Le maniérisme

 

Avec ce décor, Rosso et le Primatice contribuent à l’épanouissement de la Renaissance en France. Mais c’est une Renaissance dans une nouvelle phase de son histoire qu’ils importent d’Italie, phase que l’on appelle le maniérisme. Ce mouvement est né principalement de la volonté des artistes de s’éloigner d’une représentation objective du monde pour privilégier l’expression plus libre d’un style personnel (maniera en italien).

Des lignes et des courbes

 

Il se caractérise par des compositions complexes d’où le paysage est quasi absent pour privilégier les personnages. Les figures, aux membres allongés, y adoptent des postures souvent tortueuses. Partout règnent lignes sinueuses et couleurs stridentes.

Dans une fresque comme Le Naufrage, ou La Vengeance de Nauplius [ détail e ], qui représente un épisode de la guerre de Troie, Rosso multiplie les diagonales, déforme les visages et les corps, pour mieux exprimer la tension. L’atmosphère nocturne accentue le drame qui se déroule sous nos yeux : le naufrage des bateaux grecs, provoqué par Nauplius, désireux de se venger de son propre peuple qu’il rend responsable de la mort de son fils.

Une invention qui marque l’art français

 

La galerie de Fontainebleau n’est pourtant pas la simple transposition d’un décor italien en France. Rosso a aussi composé avec la tradition française, en intégrant dans la décoration de l’ensemble un lambris et un plafond à caissons [ détail b ]. Il livre ainsi un décor totalement inédit en Europe. On remarque en outre dans la galerie la présence d’un nouveau type d’élément décoratif : les cuirs. Leurs formes, aux volutes stylisées, rappellent en effet un morceau de cuir découpé qui s’enroule sur lui-même [ détail e ]. Ce motif décoratif, promis à un grand succès, deviendra caractéristique du maniérisme français.

De par sa forme, ses décors, son programme iconographique, cette galerie signe l’épanouissement en France des idées de la Renaissance venue d’Italie et le point de départ d’un style français baptisé la Première École de Fontainebleau. La gravure jouera un rôle majeur dans la diffusion en Europe de ce nouveau vocabulaire, bientôt adopté par tous les arts, y compris le mobilier, l' orfèvrerie, la céramique et les émaux...

 

Au-delà la Renaissance, la galerie François Ier constitue un jalon essentiel dans l’histoire du château français. C’est en effet à partir de là qu’elle devient une pièce essentielle et emblématique de toute résidence seigneuriale. En cela, la galerie de Fontainebleau prépare la voie à la galerie des Glaces du château de Versailles.

Cécile Galinier

 

Permalien : www.panoramadelart.com/galerie-francois-1er-chateau-de-fo...

 

Publié le 30/08/2011

wall graffiti at Benaras.

Shashlik = brochettes de (gras de) mouton. Omnipresent dans toute lAsie Centrale. Kashgar, Xinjiang, Chine, Sept 04

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

The omnipresent taxicab of Vietnam

Eastern Hognose Snake - Heterodon platirhinos

 

Lucas County, Ohio

 

Found this guy in wet prairie under some tin digesting his most recent meal (probably the omnipresent Fowler's Toad).

PROCRUSTES IN SITU

 

FEAR

Detail: the leaning panel

 

As Robert Cremean wrote:

 

PROCRUSTES IN SITU attempts to illustrate the obvious and redundant visages of Procrustes. He is omnipresent within the human condition: cutting, trimming and stretching each individual to fit the beds of conformity. During this phase of the Trilogy, I came to see how essential he is to everything that we are. Without Procrustes, there is no coherence. Procrustes is the antithesis of chaos. He is also the enemy of Art.

 

Procrustes thrives on repeat, stasis, and order. His sole purpose is to determine and control. Anything that threatens his authority and the dimensions of his beds is trimmed away or stretched beyond its viable scope of importance. The enforced illusions of Procrustes are in constant conflict with the Artist’s desire for truth, no matter what the cost.

 

In PROCRUSTES IN SITU, the connection between Procrustes and nature, sexuality and reproduction is considered. The linear extension of the species gives Procrustes great authority within the strictures of society. This is acknowledged in the beds of the mother, the father, the young woman, the young man, the child, and fear. Procrustes controls these beds through instinct. We are born into them. By these he controls us all. Chaos is not a threat to Procrustes in his natural form but rather to the illusions that that form has itself constructed. It is this illusion of identity that centers the drama of Procrustes: Theseus versus Procrustes, Art versus culture, chaos versus illusion.

  

Collection:

Fresno Art Museum

Fresno, California

 

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

, ̂ ́

À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

  

Id: F100-0099_06b_2012-01-21+3MP

Nikon F100, Nikkor 80-200 /2.8D.

Polestar Polypan F 50, EI 100

 

Dev; 15:00 min in HC110 1:64 @ 20°C, 30s slow agitation then 1turn+swirl@ 1,3,5,7,9,11 and 13 min

Water stop, normal fix. Final wash water with a drop of dish washing detergent.

Good negatives, scanned using a CanonScan 4400F @ 2400 dpi/TWAIN driver.

Slight PP in Ps.

 

Intentional push, overlooked as develeopment was taking place. A tad thin negs but otherwise "OK"

 

Browsing B l a c k M a g i c, this image LOBB

Altars are omnipresent in all celebrations in Michoacan. They have various forms and follow various rules, goin from the the most simple with just one level, to the altars such as this one with 7 levels...(2 of them are not seen).

 

This photo was part of school contest where students create installations representing the different villages around the lake and their corresponding dia de los muertos traditions

 

Things on the altar represent or are:

- Samples of what the departed liked meals, alcool, tobacco etc...

- People admired

- Things thatt will be needed on the way to their destination: Water, Salt etc..

 

Note the ubiquitus skulls called Caleveras...

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

  

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Clocks are omnipresent in modern life. Make a photo of the clock, watch, or other device that you use most to tell time., post it then Tag it with #TP125

2012/366

 

(The screen glare looked better in iPhoto than it does here. What I thought was interesting is now looking annoying)

The guy cannot wipe that grin off of his face. But, then again, why would he? He's crammed in a revolving door with 3 other men.

These omnipresent fungi are the common split gill, Schizophilum commune. They look furry on the top. Flip them over and you can enjoy their lovely, well defined gills.

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

, ̂ ́

À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

   

Omnipresent "auto rickshaw" taxis commonly used to go short distances in the city. They're open on both sides and dart in and out of traffic. Many spew an incredible amount of polluting exhaust. (When I asked my car driver whether there were any smog controls on them, he made the universal sign with his hand of bribery money being passed.)

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

   

Los omnipresentes y políticamente incorrectos 4 mori del escudo de Cerdeña

The Catholic religion is omnipresent in Malta. And piety is still very much alive, as evidenced by the numerous “festas” celebrating the various saints. These “festas” last several days and culminate in a joyous procession through the streets, decorated for the occasion with banners and huge pennants.

 

We were lucky to witness the Fiesta of St-Dominic during our visit to Vittoriosa.

 

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Durga symbolizes the power of the Supreme Being that maintains moral order and justice in the universe. Durga is also known as "Shakti". Worship of the goddess Shakti is very popular among the Hindu people. Durga stands for the unified symbol of all divine forces; Strength, Morality, Power, Protector. Slokas on Goddess Durga form the part of prayers offered to the goddess. Durga (Devi) Shlokas / Slokas are as follows:

 

"Yaa Devii Sarvabhuuteshhu Maatrirupena Sansthitah

Yaa Devii Sarvabhuuteshhu Shaktirupena Sansthitah

Yaa Devii Sarvabhuuteshhu Shaantirupena Sansthitah

Namastasyaih Namastasyaih Namastasyaih Namo Namah"

 

Meaning: Goddess Durga is omnipresent. She is the personification of Universal Mother. She is a Mother, who is present everywhere and who is embodiment of power and energy. Great mother, who is present everywhere and who is embodiment of Peace. I bow to that mother, I bow to Durga, I bow to Shakti.

 

Durga (Devi) Stuti

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Vishnu Maayethi Sabdita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the name of Maya of Vishnu.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Chetanetyaabhi Dheeyate

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Devi, who abides in all creatures as realization.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Buddhi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of intelligence.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Nidraa Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Devi, who lives in all creatures in the form of sleep.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Kshudhaa Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of appetite.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Chaayaa Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who lives in all creatures in the form of meditation and reflection.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Shakthi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Devi, who dwells in all creatures in the form of Shakti, the creative power.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Thrishnaa Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of thirst.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Kshaanthi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Devi, who lives in all creatures in the merciful form.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Jaati Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of race.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Lajja Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Devi, who lives in all creatures in the modest form.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Shaanthi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of peace (Shanti).

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Shradha Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who lives in all creatures in the form of unshakable faith (Shraddha).

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Kaanthi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who lives in all creatures in the form of beauty or brilliance (Kaanti).

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Lakshmi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the prosperous form.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Vritti Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Devi, who dwells in all creatures in the form of motion.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Smrithi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who lives in all creatures in the form of memory.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Dayaa Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Devi, who dwells in all creatures in the form of mercy or kindness (Dayaa).

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Tushti Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who lives in all creatures in the form of satisfaction.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Matru Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Devi, who lives in all creatures in the form of Mother.

 

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Braanthi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of illusion (Bhram).

 

"Indriyaanaamadhistaatri Bhootaanaam Chaakileshu Yaa

Bhooteshu Satatam Tasyai Vyaaptidevyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the all pervading goddess, who continuously controls the senses of all creatures and governs all elements.

 

"Chiti Roopena Yaa Kristnam Yetadhyaapya Sthithaa Jagat

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

 

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who pervades this world and controls in the form of awareness.

 

The Catholic religion is omnipresent in Malta. And piety is still very much alive, as evidenced by the numerous “festas” celebrating the various saints. These “festas” last several days and culminate in a joyous procession through the streets, decorated for the occasion with banners and huge pennants.

 

We were lucky to witness the Fiesta of St-Dominic during our visit to Vittoriosa.

 

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I caught alasdairnicol's 365 premier of a castle in St. Andrews, Scotland and was thrown into a writhing fit of nostalgia for the time I spent in Europe. Europeans have that omnipresent, anchoring influence of castles practically on every other hill. They're beautiful, especially the ruined ones. They speak volumes about history and the human presence. And, I suspect, most Europeans don't think that much about them. They're just part of the landscape, most of them. Maybe not as unnoticeable as, say, a Peugeot or a fish and chips stand, but something that has always been there and will always be there, so who cares? A landmark for giving traffic directions. Us Americans are not so used to such things, so we are likely to become excited to a childlike degree upon spotting any castle whether walking along beside it, visiting inside it, or just catching a glimpse from a speeding train.

But that doesn't mean we are entirely novices in this whole castle experience. Yessir, we have castles of our own in America. They may not be so grand or so old as Chepstow in Wales or Windsor or Wurzburger or Neuschwanstein, but they do leave their impressions. Most notable of these (in the Midwest, anyway) is the White Castle. That sounds grand in itself, does it not? But the White Castle is that much more impressive for features that dwarf those of the oldest and most venerable medieval fortresses of Europe. For instance, the White Castle has many locations (16 in Indianapolis alone!). White Castle is open 24 hours a day. If you entered its grounds at two in the morning, you wouldn't worry that the employees would shoot you. In some neighborhoods, it would be a different story where the customers are concerned. And White Castle, unlike Windsor, serves tiny little hamburgers the diameter of teacups. All these are truly American interpretations on the castle motif. My European friends should feel pride that one of their most visible cultural/historical aspects has been accepted and embraced by their friends across the pond. Or horrified, as the case may be.

A Trentemoult une péniche semble réfugiée dans la verdure face à l'envahissement des docks, des grues et de l'industrie omniprésente.

Teruel (Maestrazgo)

Los toros , omnipresentes.

El Agua: Omnipresente en todo el entorno, dentro y fuera del Hotel, el agua es, sin duda, la protagonista, y su máxima expresión es el Spa Galatea. Bañeras de 180 salidas de agua y aire, chorros de agua, piscina interior con chorros cervicales, dorsales, lumbares, contracorrientes y cuello de cisne. Jacuzzis, hamman, masajes, belleza, relax…

 

Frente al Hotel, el agua del Atlántico resuelve los enigmas de la vida estresada y nos aleja de los malestares propios de la vida de hoy.

This image: 5 exposures

You get great clouds in Cape Town

L’omniprésence de l’eau dans la région, ce sont encore les légendes avec ses êtres bienfaiteurs ou malfaisants…

The sun sets behind the omnipresent clouds off the coast - Carmel Highlands, California

 

Processed CS5/Nik

Una pequeña iglesia de tantas y los omnipresentes vehículos negros, de lujo.

Panorama, stiched together from 5 images. Note the omnipresent smog in the Coachella valley.

ATVs are omnipresent for getting around the Arctic shore. (Barrow, Alaska)

The omnipresent Philippine "jeepney"!

"Según Paul de Saint-Hilaire, esta asimetría puede relacionarse con el omnipresente simbolismo alquimista de la Grand-Place. La parte izquierda del ayuntamiento comporta doce arcos, incluido el campanario, que representan la alquimia húmeda en doce etapas. Por su parte, el lado derecho cuenta siete arcos, contando el campanario, que simbolizan la nueva alquimia seca, en siete etapas. El número siete es de hecho enormemente representado en la arquitectura de la Grand-Place." Fuente: wikipedia

 

Grand-Place (Grote Markt) - Bruxelles

Two dudes next to parliament. Omnipresent TV tower in the background.

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Children of all ages are omnipresent in Denmark and so are pregnant women.They are at the cafes, the harbors, the museums, on the trains, the planes, in the streets, in the shops,... everywhere. The kids' presence is accepted everywhere, or - to be more exact - is quietly expected everywhere. A total non-issue. It's Denmark.

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