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Clocks are omnipresent in modern life. Make a photo of the clock, watch, or other device that you use most to tell time.
Lighting Info:
Outdoors in the "shade" of a tree with 3pm sun, and a 430ex II on a stand with a 24" Shoot through Umbrella slaved to a 580ex II on camera E-TTL with high speed sync. (Manual mode)
Dans tous les bidonvilles de Nairobi, la violence est omniprésente et touche en particulier les femmes. Les habitants vivent dans des conditions précaires et ont un accès limité à l’eau salubre, aux installations sanitaires, aux services de santé, aux écoles et aux autres services publics de base. De nombreuses femmes doivent marcher longtemps avant d’atteindre des toilettes, ce qui s’avère particulièrement dangereux une fois qu’il fait nuit.
Amnesty Belgium et nos groupes universitaires ont mené une action coup de poing devant l'ambassade du Kenya : il s'agissait de faire pression sur le gouvernement kenyan afin qu'ils prennent des mesures en faveur des femmes au Kenya.
Plus d'infos sur www.amnesty.be/kenya
www.acrimed.org/Bombardements-israeliens-a-Rafah-les-JT-p...
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Bombardements israéliens à Rafah : les JT plaident le droit à l’« erreur »
par Célia Chirol, lundi 17 juin 2024
Dans la nuit du dimanche 26 mai, l’armée israélienne bombarde le camp humanitaire de Tal al-Sultan. Qualifié de massacre ou de carnage par de nombreuses ONG, ce bombardement est l’un des plus meurtriers de l’offensive lancée par Israël sur Rafah depuis le début du mois de mai. Il a légitimement choqué massivement le monde entier, notamment du fait de la diffusion instantanée d’images apocalyptiques sur les réseaux sociaux : un camp sous les flammes, 49 morts, des corps calcinés, un bébé décapité et plus de 180 blessés [1]. Face à cela, nous pouvions nous attendre à une réaction médiatique à la hauteur de la gravité de l’événement. Ce fut pourtant loin d’être le cas.
Depuis huit mois, nous ne cessons d’observer une véritable incapacité médiatique à traiter de ce qu’il se passe à Gaza de manière régulière et juste, voire à traiter du sujet tout court pour certains médias. Déshistoricisation ; infime temps d’antenne accordé au sort des Palestiniens ; minimisation et délégitimation de leur parole ; déshumanisation persistante ; faux équilibres ; commentariat militaire omniprésent ; accompagnement de la propagande israélienne ; marginalisation des chercheurs compétents et des paroles contestataires ; etc.
Les biais et les fautes éthiques des grands médias français perdurent malgré la gravité des événements. Ce manquement au devoir d’informer s’est ainsi encore donné à voir après le bombardement par l’armée israélienne du camp humanitaire de Tal al-Sultan le 26 mai. À bien observer la programmation des chaînes d’information en continu le soir même, celle des journaux télévisés le lendemain, de même que les Unes des grands quotidiens d’information générale, nous nous apercevons en effet assez vite que le réveil médiatique n’est toujours pas d’actualité.
TF1 et France 2 : deux JT, un même traitement
• Un temps d’antenne minimaliste
Le lundi 27 mai, les JT de France 2 et TF1 ont consacré un sujet au bombardement du camp Tal al-Sultan de Rafah, à la fois dans leurs éditions de 13h et de 20h. Chacun dure en moyenne... 2 minutes. Sur la journée du lundi, TF1 et France 2 confondus, le bombardement du camp palestinien de Tal al-Sultan aura ainsi occupé 8 minutes et 37 secondes de temps d’antenne... sur environ 160 minutes de journaux télévisés.
Pour bien mesurer la minimisation médiatique de ce massacre, il suffit de comparer cette couverture à celle d’autres sujets figurant au sommaire de ces quatre JT, qui ont par exemple accordé un temps d’antenne plus élevé à un sujet sur « le succès des Air Fryer » (3min13, JT de 13h de France 2), sur le recyclage des matelas (3min10, JT de 13h de TF1) et autant à un sujet sur la hausse des ventes de glaces à l’approche de l’été (2min, JT de 20h de TF1).
En analysant le contenu de ces sujets, nous observons d’abord que France 2 et TF1 les ont construits de manière quasi identique. Les séquences sont agencées dans le même ordre, les rédactions convoquent des témoins et porte-parole identiques, diffusent les mêmes images et adoptent le même cadrage : « Que s’est-il passé à Rafah ? » Si cette question peut être un bon angle de départ, les reportages ne se donnent pas réellement les moyens d’y répondre, et ne cherchent pas tant à établir les faits avec exactitude, qu’à arbitrer entre les différentes « versions » en présence. Dès lors, la légitimité a priori dont continue de jouir l’armée israélienne et la présomption de véracité qu’accordent les chefferies médiatiques à ses propos ouvrent la porte aux biais massifs à l’œuvre depuis huit mois. Notamment dans les éditions de 13h de France 2 et TF1, où sont non seulement renvoyés dos à dos les deux récits de l’événement, l’un israélien, l’autre palestinien, mais où ce dernier est de surcroît subtilement et systématiquement remis en cause. Aussi la question initiale « Que s’est-il passé à Rafah ? » en cache-t-elle une autre, plus à l’image du traitement des « 20h » : que s’est-il « réellement » passé à Rafah selon l’armée israélienne ?
• Le poids persistant de la propagande israélienne
On apprend ainsi dans les deux éditions du 13h que « l’armée israélienne assure avoir visé un complexe du Hamas » et que, de l’autre côté, « les autorités palestiniennes dénoncent un atroce massacre » et communiquent un « bilan du nombre de morts impossible à vérifier » (TF1). France 2 rend d’abord compte de la propagande de l’armée, puis ce sont « d’autres sources » – non citées, non identifiables et floues – qui rapportent que « c’était un camp de déplacés ». La simple mise en récit des événements laisse planer le doute sur la véracité de l’information provenant de la partie palestinienne. Plusieurs sources face à une seule, mais les premières en ressortent comme insignifiantes et peu fiables.
En dépit des images à disposition de la rédaction de France 2, le poids symbolique de l’État d’Israël est tellement important que la correspondante va même jusqu’à anticiper la défense de l’armée, si ce n’est exonérer cette dernière : « Cet endroit était-il la cible ? Y a-t-il eu une erreur de tir ? » Le tout en diffusant de nouveau sa communication : d’abord à propos des deux membres du Hamas prétendument visés par cette attaque, avec déclinaison de leur identité et photo portrait à l’appui, sans que la rédaction soit pourtant en mesure de vérifier cette affirmation – « On ne sait pas s’ils ont été tués », précise d’ailleurs la voix off ; ensuite, concernant la justification du bombardement, qui n’est d’ailleurs jamais nommé comme tel, euphémisé à travers l’usage du terme « frappe ».
Pire : pour appuyer un peu plus cette défense, France 2 avance une autre justification en conclusion du sujet : « Hier, le Hamas a continué de lancer des roquettes sur Israël. Huit ont visé Tel-Aviv. L’armée affirme que ces projectiles venaient de la ville de Rafah. » De là à parler de « légitime défense », il n’y a qu’un pas... que France 2 franchit sans le dire, « oubliant » au passage de préciser que les roquettes sur Tel-Aviv n’ont fait aucune victime. La correspondante avance de plus cet élément juste après avoir rappelé les ordonnances de la Cour internationale de justice émises deux jours plus tôt à l’encontre d’Israël, concernant la protection des civils et l’arrêt immédiat de l’offensive à Rafah (24/05). Cet enchaînement dit donc sans le dire que si Israël ne respecte pas cet ordre, le Hamas ne le fait pas non plus. « Un point partout, la balle au centre », suggère France 2 à demi-mot, sans avoir l’air de réaliser combien un tel récit est en contradiction totale avec le droit international...
La déresponsabilisation de l’État israélien prend une tournure plus sidérante encore dans l’édition du 20h, France 2 indiquant en ouverture de sujet que « la frappe a déclenché un incendie dans lequel auraient péri les victimes ». Résumons : ce n’est plus vraiment le bombardement qui tue, mais ses conséquences ; ce n’est pas l’armée israélienne qui tue, mais simplement le feu. Pour le reste, les 20h des deux chaînes se contentent peu ou prou de dupliquer le contenu des sujets diffusés dans le 13h. À une (grande) exception près pour France 2 : d’une part, l’intégration d’une déclaration de Benyamin Netanyahou, dont France 2 tient à dire qu’il « s’est engagé à enquêter sur les faits » ; d’autre part, la diffusion de nouveaux éléments de propagande de l’armée israélienne quant à la zone visée. Voyons plutôt :
Voix off France 2 : De son côté, l’administration du Hamas accuse l’armée israélienne d’avoir visé des civils. [Ismail Al-Thawabta, directeur général du bureau des médias du Hamas à Gaza : L’armée d’occupation avait désigné ces zones comme sûres. Et a appelé les citoyens à s’y rendre. Et maintenant, elle y commet des massacres et des exécutions.] Une version que Tsahal réfute en publiant cette carte. On y voit le lieu de la frappe, situé hors de la zone humanitaire définie comme sûre pour les civils par Tsahal.
Point final... et nouvelle opération de diversion propagandiste sous couvert de « fact-checking ». Si la rédaction avait en effet fait son travail a minima, elle ne se serait pas contentée de relayer la communication de l’armée et aurait fait valoir un point de vue contradictoire sur cette affaire. Par exemple celui défendu par le juriste Johann Soufi chez Arrêt sur images (31/05) : « Ça ne change rien, en réalité. C’est un apparat de raisonnement pseudo juridique pour justifier des actes qui sont de manière évidente contraires au droit international, contraires à l’ordonnance de la CIJ [...] et contraires aux principes les plus fondamentaux qui sont l’exigence, pour la partie attaquante, de discriminer entre les civils et les combattants, de prendre des mesures nécessaires pour assurer la protection des civils. [...] Il s’agit d’une violation du droit international, il s’agit d’un énième crime de guerre. » Mais « informer » est-il encore l’objectif de France 2 ?
• La déshumanisation continue
En plus de problématiser leurs sujets de manière similaire, les rédactions de France 2 et TF1 reprennent les mêmes images et les séquencent de la même manière, autant dans leurs éditions du 13h que du 20h. En résumé, chaque sujet commence par des images du camp de Tal al-Sultan en flammes, la nuit. On y voit des victimes palestiniennes indistinctes, apeurées, auxquelles succèdent des plans de jour montrant des Palestiniens fouillant dans les débris, puis un témoignage : une Palestinienne au 13h et un Palestinien au 20h. Arrive ensuite la communication officielle de l’armée israélienne, puis celle du Hamas – par le biais du directeur général du bureau des médias –, la réaction de Benyamin Netanyahou et, pour finir, une poignée de réactions de dirigeants occidentaux ou d’organisations internationales.
On constate que les sources des images ne sont pas citées, alors que selon toute vraisemblance, toutes proviennent d’Al-Jazeera. Si les reportages de la chaîne qatarie donnent bien les noms de leurs témoins – les Palestiniens Umm Mouhamad Al Attar et Mohammed Abuassa –, dans les sujets de France 2 et de TF1, le nom de la première disparaît. Quant au second, son témoignage n’est repris qu’au 20h et seul TF1 cite son nom.
Mais ce sont en réalité les « reportages » dans leur entièreté qui contribuent à entretenir la dépersonnalisation et la déshumanisation des Palestiniens. Dans cette foule indistincte où se mélangent hommes, femmes, enfants et sacs mortuaires, la place du témoignage est totalement résiduelle : dans les journaux de France 2, les deux Palestiniens filmés s’expriment respectivement 6 secondes (au 13h) et 9 secondes (au 20h)... Au-delà, ils ne sont jamais nommés pour ce qu’ils sont : des Palestiniens. Ils sont des « déplacés », des « réfugiés », des « civils », des « témoins », mais rattachés à aucune nationalité, aucune terre. Ils ne sont toujours pas considérés comme un peuple, ils restent une foule non identifiée.
Au 13h de TF1, le nombre de morts sous les bombardements est indiqué avec des pincettes : le bilan est toujours sourcé au conditionnel d’un « selon le Hamas » – formule générique qui entretient une suspicion systématique – et il ne devient « exact » au 20h de TF1 que lorsqu’il est donné par Médecins Sans Frontières. De manière générale, ce traitement au rabais des vies palestiniennes sert la déshumanisation structurelle : in fine, ce que nous propose le 20h, c’est une petite fenêtre sur un « événement » complétement décontextualisé du reste de la guerre génocidaire. La preuve : aucun bilan chiffré des Palestiniens tués ou blessés depuis octobre n’est rappelé à l’antenne.
Une médiatisation à l’image du bruit médiatique
La minimisation – quantitative et qualitative – des événements opérée par les 20h est à l’image de la médiatisation globale de l’évènement. Au soir du 26 mai, de premières images insoutenables ont émergé sur les réseaux sociaux aux alentours de 22h en France, mais aucune chaîne d’information en continu ne s’est vraiment emparée du sujet avant le lendemain. Vers 22h30, BFM-TV se fend d’un bandeau « Alerte Info » sans pour autant aborder le sujet dans son émission « Week-end en Direct ».
Les chaînes d’information en continu ont pour habitude de chambouler leur direct. Le flux d’images qui parvint de Gaza dès le dimanche soir aurait pu être l’occasion de faire une édition spéciale, mais cela n’a – évidemment – pas été le cas. Aux alentours de minuit, le sujet n’est même pas recensé au rang des « dernières actualités » du fil info de BFM-TV, mais sur X, la chaîne ne tarde pas à relayer la communication de l’armée, après avoir diffusé l’alerte du Croissant Rouge palestinien concernant du bombardement :
Sur France Info, aucune information non plus jusqu’à la reprise de l’antenne par France 24. Pas plus que sur LCI, où l’information du bombardement, totalement banalisée, est noyée au milieu d’un fil info qui, par définition, fait perdre le fil de ce qu’est... une information.
Du côté de la presse écrite, publier une Une dès le lundi semblait compliqué en termes de timing. Mais les couvertures de la presse quotidienne nationale du mardi n’ont pas mis Rafah en lumière. Comme le détaille ce thread sur X du journaliste Tom Jakubowicz (28/05), seul L’Humanité a titré son édition du jour sur le « massacre à Rafah ». Le Monde accorde certes un encart de sa Une aux bombardements, mais prend soin de mettre en avant la défense de l’armée israélienne. Si Libération et La Croix en parlent dans leurs pages, ça n’est pas dans les premières, ni dans les éditos. Au Figaro et au Parisien, le camp, Rafah, la Palestine n’existent pas non plus en Une : le premier consacre sa couverture à l’Europe et n’évoque même pas le massacre dans ses pages intérieures. Quant au second, il persiste et signe dans la caricature en consacrant sa Une... aux Champs-Élysées [2].
D’ores et déjà baptisé « le massacre de Tal al-Sultan », le bombardement de ce camp de réfugiés palestiniens fait aujourd’hui l’objet une page Wikipédia spécifique, a été dénoncé par plusieurs ONG, et a même été condamné par le président Emmanuel Macron. Pourtant, il n’existe pas comme tel dans les médias français. Les deux journaux télévisés les plus regardés en France l’ont traité comme un nouvel épisode banal d’un conflit totalement asymétrique que les grands médias persistent à vouloir « équilibrer » en renvoyant chaque acteur dos à dos depuis octobre. Le massacre surgit dans « l’actualité » pour mieux disparaître, presque instantanément. La déshumanisation des Palestiniens se poursuit à la télévision française. Alors que plus de 35 000 d’entre eux ont été tués depuis octobre, le naufrage médiatique continue.
Célia Chirol
Distributors of leaflets, omnipresent in Warsaw, "ulotkarze" in Polish
If I was a filmmaker, like Petr Zelenka, I'd do a movie about them
Click to read more on Bahirawa Kanda.
Feel free to use this image, but give credits to exploreslk.com.
Apart from the omnipresent Omul, the other delicacy here is the Golomyanka or Baikal oilfish. Despite its diminutive size, it packs more fat as a percentage of its mass than any other fish!
Untitled - ca. 1945
Minnie Evans - American, 1892–1987
Displaying the rich color and curvilinear forms that make her work sing, this collage shows Evans in complete command of her medium. The drawing is sure, the composition adept, and the colors fresh. Many disembodied pairs of eyes reveal an omnipresent God. The mask-like faces hint at Carnival, which—considering Evans’s Trinidadian ancestry—may explain the frequent comparisons of her designs with those from the Caribbean, where her grandmother was born.
en.wikipedia.org/wiki/Minnie_Evans
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This World Class attraction was everything we expected and more. Construction has just begun on a major expansion, but that has been managed in such a way that it does not in any way detract from the experience now.
This album focuses on the artwork inside the buildings and on the other interior spaces including the Eleven Restaurant and the Gift Shop. A separate album posted a few days ago is devoted to the two April mornings that we spent exploring just some of the trails that crisscross the 120 acres of Arkansas forest around the museum.
Alice Walton and her co-creative team can be proud of the vision and execution of everything on this 120 acre site.
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"Crystal Bridges Museum of American Art is a museum of American art in Bentonville, Arkansas. The museum, founded by Alice Walton and designed by Moshe Safdie, officially opened on 11 November 2011. It offers free public admission.
Alice Walton, the daughter of Walmart founder Sam Walton, spearheaded the Walton Family Foundation's involvement in developing Crystal Bridges. The museum's glass-and-wood design by architect Moshe Safdie and engineer Buro Happold features a series of pavilions nestled around two creek-fed ponds and forest trails. The 217,000 square feet complex includes galleries, several meeting and classroom spaces, a library, a sculpture garden, a museum store designed by architect Marlon Blackwell, a restaurant and coffee bar, named Eleven after the day the museum opened, "11/11/11". Crystal Bridges also features a gathering space that can accommodate up to 300 people. Additionally, there are outdoor areas for concerts and public events, as well as extensive nature trails. It employs approximately 300 people, and is within walking distance of downtown Bentonville."
en.wikipedia.org/wiki/Crystal_Bridges_Museum_of_American_Art
crystalbridges.org/nature-trails/
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Bikes are omnipresent in London's traffic and crossing a road requires extra caution because bikes are harder to see, fast moving and quiet. And their riders get really annoyed really quickly should you fail to see them and get in their way. For the most part they are highly intolerant, but I can see their point of view; many pedestrians do step out without a proper check. However, they seem reluctant indeed to modify their speed or direction, preferring to shout or ring their bell loudly in a clearly irritated way.
This fella is adopting the standard MO of moving at high speed. I note, though I didn't at the time, that he's riding a single-speeder; that is, a bike with no gears. This indeed would encourage him not to slow down too much as it would be hard to get started again.
Pleased to have got the shot using the old Pentax, which requires focusing manually.
Dans tous les bidonvilles de Nairobi, la violence est omniprésente et touche en particulier les femmes. Les habitants vivent dans des conditions précaires et ont un accès limité à l’eau salubre, aux installations sanitaires, aux services de santé, aux écoles et aux autres services publics de base. De nombreuses femmes doivent marcher longtemps avant d’atteindre des toilettes, ce qui s’avère particulièrement dangereux une fois qu’il fait nuit.
Amnesty Belgium et nos groupes universitaires ont mené une action coup de poing devant l'ambassade du Kenya : il s'agissait de faire pression sur le gouvernement kenyan afin qu'ils prennent des mesures en faveur des femmes au Kenya.
Plus d'infos sur www.amnesty.be/kenya
Dans tous les bidonvilles de Nairobi, la violence est omniprésente et touche en particulier les femmes. Les habitants vivent dans des conditions précaires et ont un accès limité à l’eau salubre, aux installations sanitaires, aux services de santé, aux écoles et aux autres services publics de base. De nombreuses femmes doivent marcher longtemps avant d’atteindre des toilettes, ce qui s’avère particulièrement dangereux une fois qu’il fait nuit.
Amnesty Belgium et nos groupes universitaires ont mené une action coup de poing devant l'ambassade du Kenya : il s'agissait de faire pression sur le gouvernement kenyan afin qu'ils prennent des mesures en faveur des femmes au Kenya.
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Whether you're Crow's friend or foe, these intelligent birds are impossible to avoid. Loud, clever and omnipresent, they always impress me with their sophisticated social interactions.
Mated pairs maintain their bond in the off-breeding season by constantly touching and grooming each other. Long-lived Crows do this to an unprecedented degree in the bird world. This pair groomed each for an hour in the Winter sunshine, and quite tenderly, too. And though mated for life, each Spring the pair engage in courtship anew before mating and producing another brood.
We humans could learn from Crows, methinks ....
Dans tous les bidonvilles de Nairobi, la violence est omniprésente et touche en particulier les femmes. Les habitants vivent dans des conditions précaires et ont un accès limité à l’eau salubre, aux installations sanitaires, aux services de santé, aux écoles et aux autres services publics de base. De nombreuses femmes doivent marcher longtemps avant d’atteindre des toilettes, ce qui s’avère particulièrement dangereux une fois qu’il fait nuit.
Amnesty Belgium et nos groupes universitaires ont mené une action coup de poing devant l'ambassade du Kenya : il s'agissait de faire pression sur le gouvernement kenyan afin qu'ils prennent des mesures en faveur des femmes au Kenya.
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Omnipresent DDT powder gets accumulated on plants and animals. Various tests and reports have confirmed the high level of DDT in local food products such as eggs, milk, vegetables, fish, chicken and meat in Eloor. DDT enters the food cycle through plants, transfers to animals and humans and eventually enters the DNA. A mother exposed to DDT can pass on the ill-effects to an unborn child.
‘Poisoned’ is a project dedicated to the people suffering from severe medical conditions caused by industrial pollution, across India. The contaminants explored in the project are Mercury, Asbestos and DDT.
The three contaminants depicted in the project are all banned across the world. Ranging from epilepsy, brain tumors, kidney disorders to cancer; these forgotten meager lives are fraught with not only poverty but also extreme helplessness. The threat of Industrial pollution is highly penurious.
The three centers depicting the three banned substances are- Mercury in Kodaikanal, DDT in Eloor in Cochin and Asbestos in Mumbai. All of the three places are distinctly invaded by severe health disorders and common
to all of them is the involvement of the community in the production of the toxic substance.
A way out is a strict examination of the flipside of such development. In a country where growth is synonymous to corporate development, these small voices of agony are often stifled. As these pictures would speak, the
people in these pictures are silent, with the knowledge that their enemy feeds their empty stomach.
Es tracta d’un insecte què pel seu cant estrident, insistent i gairebé omnipresent, ens recorda que estem en temps d’estiu. El mascle és el que produeix el cant, principalment per atreure les femelles, utilitzant un aparell estridulador que té al costat en el primer anell de l’abdomen, compost d’unes membranes quitinoses i uns petits sacs d’aire. com a caixes de ressonància.
S’alimenta de la saba dels arbres i arbustos. El seu cicle vital és també singular. La femella, què viu entre quatre i sis setmanes, posa els ous a l’escorça dels arbres i després mor. Quan eclosionen les nimfes cauen al terra i excaven forats fins arribar a les arrels de les quals s’alimenten absorbint la saba. Sota terra passen entre dos i disset anys, segons l’espècie. Fins que tornen a emergir com a adults.
Hi ha més de 3000 espècies arreu del món, i es poden dividir en dos grups: les anyals i les periòdiques (aquestes són pròpies de Nord-amèrica, i el seu cicle de vida és més llarg, o sigui que passen més temps sota terra).
Pàgines WEB per ampliació d'informació
God is everywhere. Just as he is not limited by time, so is he is not limited by space. God is equally present (with all of his attributes and abilities) in all places at all times. (Psalm 139:7-12, Jeremiah 23:23-24; Acts 17:28) - Brad Hambrick
Public art in the form of the Shepard Fairey poster of President-Elect Barack Obama took over the public spaces of DC during the campaign. This one is at 14th & U street, NW. Now there's scarcely 5 more days until Inauguration...how wonderful! Yes! Yes! Yes!
See Obama in more public art here: www.flickr.com/photos/studio7gallery/2985171381/
All prayers are directed towards Makkah geographically westwards from Bangladesh, the old man is just resting ...elusively it seems that the old man is praying towards north.
One of the omnipresent newstands testifying to New York's status as the communications center of the world. I love the way the news vendors live in their own, small world in the midst of the giant city.
Dans tous les bidonvilles de Nairobi, la violence est omniprésente et touche en particulier les femmes. Les habitants vivent dans des conditions précaires et ont un accès limité à l’eau salubre, aux installations sanitaires, aux services de santé, aux écoles et aux autres services publics de base. De nombreuses femmes doivent marcher longtemps avant d’atteindre des toilettes, ce qui s’avère particulièrement dangereux une fois qu’il fait nuit.
Amnesty Belgium et nos groupes universitaires ont mené une action coup de poing devant l'ambassade du Kenya : il s'agissait de faire pression sur le gouvernement kenyan afin qu'ils prennent des mesures en faveur des femmes au Kenya.
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