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The omnipresent Philippine "jeepney"!

Two dudes next to parliament. Omnipresent TV tower in the background.

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Children of all ages are omnipresent in Denmark and so are pregnant women.They are at the cafes, the harbors, the museums, on the trains, the planes, in the streets, in the shops,... everywhere. The kids' presence is accepted everywhere, or - to be more exact - is quietly expected everywhere. A total non-issue. It's Denmark.

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

"l'omniprésence de la brique, dont les angles arrondis et la sensualité de la couleur adoucissent l'aspect quelque peu fortifié de la cathédrale.

Cette matière est d'autant plus riche qu'elle est animée du rythme très sophistiqué de l'appareillage qui accroche la lumière."

"l'habillage est constitué de briques de format classique (5,5x11x22 centimètres)"

"Les briques qui habillent les murs sont mises en oeuvre selon un dessin très savant qui s'adapte parfaitement aux formes complexes [...]."

On pourra retrouver ces briques dans des vues plus générales de l'extérieur et de l'intérieur de la cathédrale.

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Somewhere and everywhere...

Whether you're Crow's friend or foe, these intelligent birds are impossible to avoid. Loud, clever and omnipresent, they always impress me with their sophisticated social interactions.

 

Mated pairs maintain their bond in the off-breeding season by constantly touching and grooming each other. Long-lived Crows do this to an unprecedented degree in the bird world. This pair groomed each for an hour in the Winter sunshine, and quite tenderly, too. And though mated for life, each Spring the pair engage in courtship anew before mating and producing another brood.

 

We humans could learn from Crows, methinks ....

Facebook | Twitter | Getty Images site

Dans tous les bidonvilles de Nairobi, la violence est omniprésente et touche en particulier les femmes. Les habitants vivent dans des conditions précaires et ont un accès limité à l’eau salubre, aux installations sanitaires, aux services de santé, aux écoles et aux autres services publics de base. De nombreuses femmes doivent marcher longtemps avant d’atteindre des toilettes, ce qui s’avère particulièrement dangereux une fois qu’il fait nuit.

Amnesty Belgium et nos groupes universitaires ont mené une action coup de poing devant l'ambassade du Kenya : il s'agissait de faire pression sur le gouvernement kenyan afin qu'ils prennent des mesures en faveur des femmes au Kenya.

Plus d'infos sur www.amnesty.be/kenya

These prayer flags are omnipresent in these areas. These ones were close to Dhankar Monastrey.

Omniprésent schiste de Pont-Réan

This crocodile is an omnipresent symbol in Brno. The original crocodile was donated to the city of Brno by margrave Matthias, future Holy Roman Emperor., in 1608. His exotic appearance gave birth to many legends.

The wheel is part of a true story. In 1636 Jiří Birk, a wheeler from the city of Lednice, bet that in one day he can fell a tree, make a wheel from his wood, and rolls this wheel from Lednice to Brno (54 km). He won the stake, and the wheel was exhibited in the town hall.

Note the omnipresent McDonald's

 

Note added 2024: Lima is reported to have the worst traffic in the world, though I find that hard to believe.

Si les "Desiro" sont omniprésentes sur la ligne 154, elles y effectuent relativement peu de parcours "haut-le-pied".

 

C'est le cas, ici, de la "08554" qui se dirige vers Namur "haut-le-pied".

 

(vendredi 8 septembre 2023 - 12h32)

IU Kokomo celebrated World Mental Health Day with Cookies and Compliments. Students were encouraged to stop by for a compliment and a cookie, and they could write their own compliment to for other students. Under President Whitten’s direction, the Indiana University Office of the Chief Health Officer launched the new Student Mental Health Initiative branding campaign: Unboxed. The campaign will be omnipresent on campus, encouraging students to open up about their feelings as well as to direct them to resources IU provides to students.

 

For more information visit - go.iu.edu/4Bf8

Dans tous les bidonvilles de Nairobi, la violence est omniprésente et touche en particulier les femmes. Les habitants vivent dans des conditions précaires et ont un accès limité à l’eau salubre, aux installations sanitaires, aux services de santé, aux écoles et aux autres services publics de base. De nombreuses femmes doivent marcher longtemps avant d’atteindre des toilettes, ce qui s’avère particulièrement dangereux une fois qu’il fait nuit.

Amnesty Belgium et nos groupes universitaires ont mené une action coup de poing devant l'ambassade du Kenya : il s'agissait de faire pression sur le gouvernement kenyan afin qu'ils prennent des mesures en faveur des femmes au Kenya.

Plus d'infos sur www.amnesty.be/kenya

He is omnipresent.

Amazing how much fun you can have in Southland with a tripod, a SONY (Thank you Nerglem!) a valley and the omnipresent Southland weather!

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Lluvia omnipresente durante la Semana Santa en Zaragoza. 2007

before they realize how omnipresent the camera is

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

They are omnipresent in streetlife of Nepal: the mobile streetvendors on bicycles with big baskets full of one kind of fruit or vegetable; earning their existence with a few roepies a day.

 

His look confronted me with a basic issue: aren't we putting aside the real values in our western life for an excess of superfluity ?

Not quite as omnipresent as they used to be, the fringe has nearly grown out enough to tuck behind her ears, but if her hair is fully back then they are definitely needed.

 

I've been feeling knackered, achy, grumpy and generally rough today. I'm sure it's nothing more serious than 'one of those days' but it's been a struggle to keep going through all of the school runs and various committments. Megan has always been a bit more sensitive to me feeling rubbish and becomes a little more compliant in response. Eli seemingly is the opposite and has been rather a struggle all day.

Y Vota Dier omnipresente...

 

Por Malasaña, Madrid.

Les Oxxo sont toujours omniprésents sur le continent et ils ont normalement du café et des toilettes.

Ici, la culture est omniprésente. Fjærland est un des 8 bokbøyen (book village) de Norvège. Dès la sortie du ferry, les livres sont à portée de main.

From KL we took a days trip up to Genting Highlands, a resort/casino/theme park/carnival.

view south from the trail; Walsh Park playground is the middleground of the image

Clocks are omnipresent in modern life. Make a photo of the clock, watch, or other device that you use most to tell time., post it then Tag it with #TP125

2012/366

Orenda is a supernatural, divine force within every human being. Always omnipresent it empowers people to change the world in a positive, loving way. It is the energy that effects change in one's own life. Vega is the brightest star in the constellation Lyra, the fifth brightest star in the night sky and the second brightest star in the northern celestial hemisphere.. It is a relatively close star at only 25 light-years from Earth, and, together with Arcturus and Sirius, one of the most luminous stars in the Sun's neighborhood. It’s at its most brightest closest to the Summer Solstice. Really, Vega has always inspired and intrigued me and I don’t have a clue as to why. I think that some people are like stars, they shine a bit brighter than the rest. They are different, unique and don’t always follow the norm and that can be a beautiful thing. Everyone's fantasy is differant and there is no specific formula to it and maybe thats why I gravitate to it. This was my first time working with Veronica and minus the caterpiller hatching and invasion across the entire area where we shot, I couldn't be happier with what we got! She is a beautiful person inside and out and is the definition of Orenda!

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Ah, the omnipresent tongue; don't take it personally.

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Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

   

PROCRUSTES IN SITU

 

MASCULINE

Detail of the leaning panel of MASCULINE

 

As Robert Cremean wrote:

 

PROCRUSTES IN SITU attempts to illustrate the obvious and redundant visages of Procrustes. He is omnipresent within the human condition: cutting, trimming and stretching each individual to fit the beds of conformity. During this phase of the Trilogy, I came to see how essential he is to everything that we are. Without Procrustes, there is no coherence. Procrustes is the antithesis of chaos. He is also the enemy of Art.

 

Procrustes thrives on repeat, stasis, and order. His sole purpose is to determine and control. Anything that threatens his authority and the dimensions of his beds is trimmed away or stretched beyond its viable scope of importance. The enforced illusions of Procrustes are in constant conflict with the Artist’s desire for truth, no matter what the cost.

 

In PROCRUSTES IN SITU, the connection between Procrustes and nature, sexuality and reproduction is considered. The linear extension of the species gives Procrustes great authority within the strictures of society. This is acknowledged in the beds of the mother, the father, the young woman, the young man, the child, and fear. Procrustes controls these beds through instinct. We are born into them. By these he controls us all. Chaos is not a threat to Procrustes in his natural form but rather to the illusions that that form has itself constructed. It is this illusion of identity that centers the drama of Procrustes: Theseus versus Procrustes, Art versus culture, chaos versus illusion.

  

Collection:

Fresno Art Museum

Fresno, California

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

, ̂ ́

À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.

Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.

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À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.

À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».

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Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.

L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.

Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »

Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.

Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…

#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne

  

Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.

Triathlon du Pays de Quimperlé

Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.

Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.

Quiberon en vue pour les deux champions

« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.

Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.

Les classements.

Triathlon M.

Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.

Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.

Triathlon S.

Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.

Triathlon S

Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.

 

Omnipresent National CKB166X has largely donned Eden livery for this year's rally season. Seen outside the Kings Coaches depot where another ever-present National was recently sold for preservation.

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