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Le Wat Phra Kaeo
Le Wat Phra Kaeo est reconnaissable à ses toits de tuiles orange et verte, aux piliers incrustés de mosaïques, aux dorures et au marbre omniprésents. Ce monument abrite le Bouddha d'émeraude, qui tient une place importante dans le bouddhisme thaï.
Ce bouddha, d'une hauteur de 75 cm, connût bien des mésaventures. Statue ordinaire dans un premier temps, elle prit de la valeur au XVe siècle à Chiang Rai et fit le tour de nombreux temples du nord de la Thaïlande avant d'être volée par les troupes laotiennes lors de l'invasion du pays au XVIe. C'est le roi Taskin, vainqueur des laotiens, qui ramena ce bouddha à Thonburi. Puis, le successeur de Taskin, le général Chakri le ramena à Bangkok en 1784 dans l'un des monuments les plus célèbres de la Thaïlande, le Wat Phra Kaeo.
A savoir : le bouddha n'est pas en émeraude mais en jade
Situé dans l'enceinte du Grand Palais, ancienne résidence du roi, le site est un lieu de pèlerinage immense. Les édifices sont de style Ratanasokin (ancien Bangkok).
Pour y accéder, vous passerez sous les yeux des démons Yaksha, couple de géants mythologiques repoussant les mauvais esprits. La petite statue du Bouddha est située dans la chapelle royale. Vêtu d'une tunique changée à chaque saison par le roi en personne, le Bouddha est surélevé sur un autel de 11 m de haut.
Les fidèles y déposent en masse fleurs, encens et autres offrandes. Vous pouvez également faire un don pour la conservation du temple.
Prenez le temps d'admirer les fresques murales relatant la vie du Bouddha. Vous pourrez également admirer le Panthéon royal, au centre de la pièce, gardé par deux chedis dorés (monument renfermant des objets sacrés).
Derrière, la bibliothèque, bâtie par Rama Ier, conserve les livres sacrés du bouddhisme. A droite, une maquette du temple d'Angkor Wat est un rappel de l'époque où la Thaïlande était un état vassal du Cambodge.
Autres fresques impressionnantes, celles du Ramakian, peintes sous le règne de Rama Ier (1782-1809). Le Ramakian, inspiré du Ramayana indien, est un récit épique en vers. Il raconte l'épopée du roi Phram Ram d'Ayuthaya à la recherche de son épouse enlevée par le démon Thotsakan. La lecture se fait de gauche à droite.
Avis aux amateurs : seulement certains passages ont pu être interprétés.
Le Grand Palais
Le Grand Palais est aujourd'hui utilisé pour les cérémonies officielles, le roi résidant au Palais Chitlada, au nord de la ville. Seule une partie du monument se visite. De style occidental, avec des jardins à la française, le Grand Palais montre l'ouverture culturelle de la Thaïlande. Le plus intéressant à voir est le Palais Chakri Mahaprasat appelé également « Grand Palace Hall ». Construit en 1882 par des britanniques, l'ensemble fut érigé à la gloire de la monarchie.
Chaque aile du bâtiment est surmontée d'une coupole pointue à plusieurs étages lourdement décorés. La plus haute renferme les urnes funéraires en or des rois Chakri.
Autre prouesse architecturale, le Dusit Mahat Prasat édifié en 1789, ancienne salle d'audience reconvertie en espace de cérémonie des obsèques royales. La toiture est surmontée d'une flèche d'or dont la base est une spirale à neuf étages.
Heydar Aliyev, past president and father of the current president of
Azerbaijan.
The uneducated foreigner might at first think "aliyev" means
"street," because all the street signs seem to include the word
Aliyev. But then she will remember that the airport is called the
Heydar Aliyev Airport, the foundation that funds (partially) the
orphanage where this carpet hangs is the Heydar Aliyev Foundation,
and many other structures and monuments also bear his name. (The
streets are named after his son, his wife and other relatives so that
they can be distinguished from one another.)
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
a lovely (and omnipresent) sight on the streets of barcelona, these tiny bouquets still always caught my eye
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
Le Manoir de Ban a été construit en 1840 par l’architecte veveysan Philippe Franel pour le compte de Charles Emile Henri de Scherer, alors propriétaire
du domaine. Philippe Franel est l’un des architectes les plus importants de la région. On lui doit de prestigieuses constructions comme la Tour de l’Horloge, le Château de l’Aile ou le célèbre hôtel des Trois Couronnes à Vevey. Son empreinte est aujourd’hui encore omniprésente sur les bords du lac Léman.
Quelques jours après leur arrivée en Suisse, en décembre 1952, Charlie et Oona visitent la région.
Sur indication de leur chauffeur, le couple s’arrête sur les hauteurs du Léman, dans la commune de Corsier- sur-Vevey. Les Chaplin y croisent le propriétaire, visitent les lieux et ontun véritable coup de foudre pour la maison, les arbres et le jardin qui l’entourent, de même que pour le point de vue remarquable sur le lac et les montagnes. L’achat fut conclu en moins d’un mois.
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
the omnipresent marrisa mayer - too funny. i mention social search and she pops up in my twitter stream. lols
Le Wat Phra Kaeo
Le Wat Phra Kaeo est reconnaissable à ses toits de tuiles orange et verte, aux piliers incrustés de mosaïques, aux dorures et au marbre omniprésents. Ce monument abrite le Bouddha d'émeraude, qui tient une place importante dans le bouddhisme thaï.
Ce bouddha, d'une hauteur de 75 cm, connût bien des mésaventures. Statue ordinaire dans un premier temps, elle prit de la valeur au XVe siècle à Chiang Rai et fit le tour de nombreux temples du nord de la Thaïlande avant d'être volée par les troupes laotiennes lors de l'invasion du pays au XVIe. C'est le roi Taskin, vainqueur des laotiens, qui ramena ce bouddha à Thonburi. Puis, le successeur de Taskin, le général Chakri le ramena à Bangkok en 1784 dans l'un des monuments les plus célèbres de la Thaïlande, le Wat Phra Kaeo.
A savoir : le bouddha n'est pas en émeraude mais en jade
Situé dans l'enceinte du Grand Palais, ancienne résidence du roi, le site est un lieu de pèlerinage immense. Les édifices sont de style Ratanasokin (ancien Bangkok).
Pour y accéder, vous passerez sous les yeux des démons Yaksha, couple de géants mythologiques repoussant les mauvais esprits. La petite statue du Bouddha est située dans la chapelle royale. Vêtu d'une tunique changée à chaque saison par le roi en personne, le Bouddha est surélevé sur un autel de 11 m de haut.
Les fidèles y déposent en masse fleurs, encens et autres offrandes. Vous pouvez également faire un don pour la conservation du temple.
Prenez le temps d'admirer les fresques murales relatant la vie du Bouddha. Vous pourrez également admirer le Panthéon royal, au centre de la pièce, gardé par deux chedis dorés (monument renfermant des objets sacrés).
Derrière, la bibliothèque, bâtie par Rama Ier, conserve les livres sacrés du bouddhisme. A droite, une maquette du temple d'Angkor Wat est un rappel de l'époque où la Thaïlande était un état vassal du Cambodge.
Autres fresques impressionnantes, celles du Ramakian, peintes sous le règne de Rama Ier (1782-1809). Le Ramakian, inspiré du Ramayana indien, est un récit épique en vers. Il raconte l'épopée du roi Phram Ram d'Ayuthaya à la recherche de son épouse enlevée par le démon Thotsakan. La lecture se fait de gauche à droite.
Avis aux amateurs : seulement certains passages ont pu être interprétés.
Le Grand Palais
Le Grand Palais est aujourd'hui utilisé pour les cérémonies officielles, le roi résidant au Palais Chitlada, au nord de la ville. Seule une partie du monument se visite. De style occidental, avec des jardins à la française, le Grand Palais montre l'ouverture culturelle de la Thaïlande. Le plus intéressant à voir est le Palais Chakri Mahaprasat appelé également « Grand Palace Hall ». Construit en 1882 par des britanniques, l'ensemble fut érigé à la gloire de la monarchie.
Chaque aile du bâtiment est surmontée d'une coupole pointue à plusieurs étages lourdement décorés. La plus haute renferme les urnes funéraires en or des rois Chakri.
Autre prouesse architecturale, le Dusit Mahat Prasat édifié en 1789, ancienne salle d'audience reconvertie en espace de cérémonie des obsèques royales. La toiture est surmontée d'une flèche d'or dont la base est une spirale à neuf étages.
1x54 Objetivo Takolos
Alla donde vayamos, mantenemos nuestras senas de identidad.
Sorry, desde un teclado yanki !!!!
amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontaneous, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......
They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
The Daily Shoot assignment for 2010/05/28:
Clocks are omnipresent in modern life. Make a photo of the clock, watch, or other device that you use most to tell time.
Jadis omniprésentes sur la ligne 125, les "Break" s'y font désormais rares.
L'IC 2440 "Liège-Saint-Lambert - Bruxelles-Midi" du soir constitue une exception.
(vendredi 28 mai 2021 - 19h28)
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They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
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They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontaneous, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......
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Le Wat Phra Kaeo
Le Wat Phra Kaeo est reconnaissable à ses toits de tuiles orange et verte, aux piliers incrustés de mosaïques, aux dorures et au marbre omniprésents. Ce monument abrite le Bouddha d'émeraude, qui tient une place importante dans le bouddhisme thaï.
Ce bouddha, d'une hauteur de 75 cm, connût bien des mésaventures. Statue ordinaire dans un premier temps, elle prit de la valeur au XVe siècle à Chiang Rai et fit le tour de nombreux temples du nord de la Thaïlande avant d'être volée par les troupes laotiennes lors de l'invasion du pays au XVIe. C'est le roi Taskin, vainqueur des laotiens, qui ramena ce bouddha à Thonburi. Puis, le successeur de Taskin, le général Chakri le ramena à Bangkok en 1784 dans l'un des monuments les plus célèbres de la Thaïlande, le Wat Phra Kaeo.
A savoir : le bouddha n'est pas en émeraude mais en jade
Situé dans l'enceinte du Grand Palais, ancienne résidence du roi, le site est un lieu de pèlerinage immense. Les édifices sont de style Ratanasokin (ancien Bangkok).
Pour y accéder, vous passerez sous les yeux des démons Yaksha, couple de géants mythologiques repoussant les mauvais esprits. La petite statue du Bouddha est située dans la chapelle royale. Vêtu d'une tunique changée à chaque saison par le roi en personne, le Bouddha est surélevé sur un autel de 11 m de haut.
Les fidèles y déposent en masse fleurs, encens et autres offrandes. Vous pouvez également faire un don pour la conservation du temple.
Prenez le temps d'admirer les fresques murales relatant la vie du Bouddha. Vous pourrez également admirer le Panthéon royal, au centre de la pièce, gardé par deux chedis dorés (monument renfermant des objets sacrés).
Derrière, la bibliothèque, bâtie par Rama Ier, conserve les livres sacrés du bouddhisme. A droite, une maquette du temple d'Angkor Wat est un rappel de l'époque où la Thaïlande était un état vassal du Cambodge.
Autres fresques impressionnantes, celles du Ramakian, peintes sous le règne de Rama Ier (1782-1809). Le Ramakian, inspiré du Ramayana indien, est un récit épique en vers. Il raconte l'épopée du roi Phram Ram d'Ayuthaya à la recherche de son épouse enlevée par le démon Thotsakan. La lecture se fait de gauche à droite.
Avis aux amateurs : seulement certains passages ont pu être interprétés.
Le Grand Palais
Le Grand Palais est aujourd'hui utilisé pour les cérémonies officielles, le roi résidant au Palais Chitlada, au nord de la ville. Seule une partie du monument se visite. De style occidental, avec des jardins à la française, le Grand Palais montre l'ouverture culturelle de la Thaïlande. Le plus intéressant à voir est le Palais Chakri Mahaprasat appelé également « Grand Palace Hall ». Construit en 1882 par des britanniques, l'ensemble fut érigé à la gloire de la monarchie.
Chaque aile du bâtiment est surmontée d'une coupole pointue à plusieurs étages lourdement décorés. La plus haute renferme les urnes funéraires en or des rois Chakri.
Autre prouesse architecturale, le Dusit Mahat Prasat édifié en 1789, ancienne salle d'audience reconvertie en espace de cérémonie des obsèques royales. La toiture est surmontée d'une flèche d'or dont la base est une spirale à neuf étages.
Improvisadamente le eché una foto a una oficina de la aerolínea de bandera rusa en los Campos Elíseos :).
amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontaneous, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......
They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
Following the Inscription there are a few notes on Masonic dating.
Masonic symbols. Scroll bearing words : “ OMNISCIENT,
OMNIPOTENT, OMNIPRESENT,” with representation of an eye issuing from clouds, with the words:
“ITNOTGAOTU,” [In The Name Of The Grand Architect Of The Universe],
“SACRED TO THE MEMORY OF WILLIAM EDWARDS WHO DIED 29TH MARCH 1842 AGED 85 YEARS
ALSO ANN SECOND WIFE OF THE ABOVE WHO DIED 30 APRIL 1813 AGED 45 YEARS
FEAR GOD AND KEEP HIS COMMANDMENTS FOR THIS IS THE WHOLE DUTY OF MAN
ERECTED BY THE BRETHREN OF THE DERWENT LODGE OF FREEMASONS IN GRATEFUL REMEMBRANCE OF HIS ZEALOUS SERVICES FOR A PERIOD OF FORTY YEAR A.L. 5843”
A.L. or Anno Lucis is Latin for, “Year of Light.” It is used as a calendar system within the Freemasonry. Year of Light is a recording of years from the biblical creation of the universe in Genesis 3:1, “And God said, Let there be light: and there was light.” The dating used in Masonic calendars is a simplification of the Anno Mundi calendar by an Irish cleric James Ussher, (1581-1656). Nearly a century before the formation of the United Grand Lodge of England in 1717 Ussher stated creation to have been nightfall preceding 23 October 4004 BC. His calculations were confirmed for him as they placed creation exactly four thousand years before 4 BC, the generally accepted date for the birth of Christ. He calculated that Solomon’s temple was completed in the year 3000, giving 1000 years from the Temple to Christ, who he saw as the fulfilment of the Temple.
Photographs ©2014 PHH Sykes
www.flickr.com/photos/phhsykes/
phhsykes@googlemail.com
une autre mousse, omniprésente sur le sol des pessières noires. Celle-ci a une forme de plume, et l'extrémité recourbée.
Fin août, rive gauche de la rivière Magpie, Minganie, Côte-Nord
Tortoises are omnipresent on Water Island - you see them on the beach, on the side of the road, and around the house. We noticed this guy crossing our driveway as we left the house for dinner on the beach one night. Their constant presence provided a constant and welcome reminder that the pace of life on Water Island is a bit slower than our typical days back home. night. Their constant presence provided a constant and welcome reminder that the pace of life on Water Island is a bit slower than our typical days back home.
Le Wat Phra Kaeo
Le Wat Phra Kaeo est reconnaissable à ses toits de tuiles orange et verte, aux piliers incrustés de mosaïques, aux dorures et au marbre omniprésents. Ce monument abrite le Bouddha d'émeraude, qui tient une place importante dans le bouddhisme thaï.
Ce bouddha, d'une hauteur de 75 cm, connût bien des mésaventures. Statue ordinaire dans un premier temps, elle prit de la valeur au XVe siècle à Chiang Rai et fit le tour de nombreux temples du nord de la Thaïlande avant d'être volée par les troupes laotiennes lors de l'invasion du pays au XVIe. C'est le roi Taskin, vainqueur des laotiens, qui ramena ce bouddha à Thonburi. Puis, le successeur de Taskin, le général Chakri le ramena à Bangkok en 1784 dans l'un des monuments les plus célèbres de la Thaïlande, le Wat Phra Kaeo.
A savoir : le bouddha n'est pas en émeraude mais en jade
Situé dans l'enceinte du Grand Palais, ancienne résidence du roi, le site est un lieu de pèlerinage immense. Les édifices sont de style Ratanasokin (ancien Bangkok).
Pour y accéder, vous passerez sous les yeux des démons Yaksha, couple de géants mythologiques repoussant les mauvais esprits. La petite statue du Bouddha est située dans la chapelle royale. Vêtu d'une tunique changée à chaque saison par le roi en personne, le Bouddha est surélevé sur un autel de 11 m de haut.
Les fidèles y déposent en masse fleurs, encens et autres offrandes. Vous pouvez également faire un don pour la conservation du temple.
Prenez le temps d'admirer les fresques murales relatant la vie du Bouddha. Vous pourrez également admirer le Panthéon royal, au centre de la pièce, gardé par deux chedis dorés (monument renfermant des objets sacrés).
Derrière, la bibliothèque, bâtie par Rama Ier, conserve les livres sacrés du bouddhisme. A droite, une maquette du temple d'Angkor Wat est un rappel de l'époque où la Thaïlande était un état vassal du Cambodge.
Autres fresques impressionnantes, celles du Ramakian, peintes sous le règne de Rama Ier (1782-1809). Le Ramakian, inspiré du Ramayana indien, est un récit épique en vers. Il raconte l'épopée du roi Phram Ram d'Ayuthaya à la recherche de son épouse enlevée par le démon Thotsakan. La lecture se fait de gauche à droite.
Avis aux amateurs : seulement certains passages ont pu être interprétés.
Le Grand Palais
Le Grand Palais est aujourd'hui utilisé pour les cérémonies officielles, le roi résidant au Palais Chitlada, au nord de la ville. Seule une partie du monument se visite. De style occidental, avec des jardins à la française, le Grand Palais montre l'ouverture culturelle de la Thaïlande. Le plus intéressant à voir est le Palais Chakri Mahaprasat appelé également « Grand Palace Hall ». Construit en 1882 par des britanniques, l'ensemble fut érigé à la gloire de la monarchie.
Chaque aile du bâtiment est surmontée d'une coupole pointue à plusieurs étages lourdement décorés. La plus haute renferme les urnes funéraires en or des rois Chakri.
Autre prouesse architecturale, le Dusit Mahat Prasat édifié en 1789, ancienne salle d'audience reconvertie en espace de cérémonie des obsèques royales. La toiture est surmontée d'une flèche d'or dont la base est une spirale à neuf étages.
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"Cosmic Light: Trascendental, yet omnipresent. Unchangeable, yet the source of all possible spacetimes. Formless, yet creative essence of all matter and energy. That light is the root of our being, from atoms to consciousness, and in that light we are all unified with the entire universe. We always have been and always will be. So let your light shine bright for all to see!"
I dunno, man. I just came for the shiny things.
cosmic light, sign.
Cosmic Light, camp, Four Quarters Interfaith Sanctuary, Artemas, Pennsylvania.
June 20, 2015.
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Hoy sin querer me di cuenta de un gran error. Un error que por lo menos, yo, he cometido por muchos años. Siempre he pensado que el tiempo es la evidencia más grande de la existencia de un "ser" supremo. Dios es infinito, omnipotente, omnipresente; he imposible de comprender. Igual que el tiempo. Yo como ser humano sufro y disfruto de los frutos que el tiempo me da. Diferentes frutos con diferentes nombres. Los seres humanos solo somos capaces de digerir algunos de los productos del tiempo tales como los segundos, minutos, horas, días, meses, años, décadas, y unos pocos de nosotros, siglos. Sin embargo, solo podemos imaginar los más suculentos manjares llamados milenios. Pero esto que acabo de vomitar en el papel cibernético no es parte del error que antes mencioné. Mi error lo comencé a cometer desde muy pequeño. Pensaba que el paso del tiempo solo se podía medir con mi estatura pero cuando deje de crecer comencé a notar el tiempo en las arrugas de mi propio rostro y el rostro de los demás. Tenía la estúpida idea que la mejor forma de ver el paso del tiempo era en los pliegues de piel que con el paso del mismo se hacían más marcados. No solo en mi cuerpo sino en las personas más cercanas a mí. Y una a una de estas personas como dolorosas gotas también se han ido yendo en las mareas de los años siempre con las mismas marcas en la piel. Por mucho tiempo pensé que el tiempo era malvado y se ensañaba con nosotros ya que él sabía que el consumir de sus frutos nos quitaba parte de nuestras vidas. Pero no hace mucho me acabo de dar cuenta de lo equivocado que he estado. El tiempo nos hace ver más desgastados, y así lo muestra nuestra piel. Pero también el tiempo, con sus frutos, hace que nuestros ojos brillen más. Nuestros ojos son la muestra más grande de lo mucho que el tiempo nos fortalece al alimentarnos por siempre. Nos muestran su grandeza, su delicadeza, su viveza, su curiosidad y su sabiduría. Trataré de entender su paso y su marca en la vida de cada una de las personas que forman parte de mi viaje por éste lugar llamado tierra, no observando las delgadas y profundas líneas de sus rostros, sino en el brillo que desprendan sus miradas. Miradas compuestas de pequeñas esferas que en su interior se asemejan a pequeños relojes que están fijos en el presente, pero que imaginan y sueñan, el futuro y el pasado.
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“Only on paper has humanity yet achieved glory, beauty, truth, knowledge, virtue, and abiding love.”
George Bernard Shaw
I can understand GB Shaw’s anxiety and real concerns. Because he lived in a different era, he was not aware of Swami’s impact on humanity. See how beautifully Swami enunciates the connection between Love, Truth, Virtue and Peace.
Prema alone can understand prema (Love).
Prema is the manner of speaking;
Truth is the substance;
Dharma (virtue) is the language;
Shanthi is the result aimed at.
As a matter of fact, I am Premaswarupa.
I do not need any rest in My efforts to give you Ananda,
this vidwan mahasabha is for your ananda.
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Source: Sathya Sai Speaks Vol. III. P. 199.
der gefechtstturm, einer der beiden flaktuerme im augarten
omnipresent WWII anti-aircraft gun tower (flak tower), here the larger cylindrical attack tower. See the urban explorers, duncan j.d. smiths piece for more info on these towers. Berlin and Hamburg had, as Vienna, three pairs of gun towers.
Running on the helipad at the highest golf course in the world at 13500ft up in the himalayas!
Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..
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