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Le plus commun des habitants de la Crau, omniprésent dans la steppe.

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontaneous, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

Fun and frolic in a school near phodong - north Sikkim

 

Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..

 

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

I told you it was omnipresent! It will follow you around!!!

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

El menaje sobre las mesas presenta palillos, servilletas de papel y la omnipresente salsa que se echa sobre cualquier cosa.

Helping mother to wind up! Darjeeling!

 

Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..

 

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

children playing with pigeons outside Rumtek Monastery, East Sikkim

 

Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..

 

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

Le Wat Phra Kaeo

Maquette d'Angkor Vat

 

Le Wat Phra Kaeo est reconnaissable à ses toits de tuiles orange et verte, aux piliers incrustés de mosaïques, aux dorures et au marbre omniprésents. Ce monument abrite le Bouddha d'émeraude, qui tient une place importante dans le bouddhisme thaï.

 

Ce bouddha, d'une hauteur de 75 cm, connût bien des mésaventures. Statue ordinaire dans un premier temps, elle prit de la valeur au XVe siècle à Chiang Rai et fit le tour de nombreux temples du nord de la Thaïlande avant d'être volée par les troupes laotiennes lors de l'invasion du pays au XVIe. C'est le roi Taskin, vainqueur des laotiens, qui ramena ce bouddha à Thonburi. Puis, le successeur de Taskin, le général Chakri le ramena à Bangkok en 1784 dans l'un des monuments les plus célèbres de la Thaïlande, le Wat Phra Kaeo.

A savoir : le bouddha n'est pas en émeraude mais en jade

 

Situé dans l'enceinte du Grand Palais, ancienne résidence du roi, le site est un lieu de pèlerinage immense. Les édifices sont de style Ratanasokin (ancien Bangkok).

 

Pour y accéder, vous passerez sous les yeux des démons Yaksha, couple de géants mythologiques repoussant les mauvais esprits. La petite statue du Bouddha est située dans la chapelle royale. Vêtu d'une tunique changée à chaque saison par le roi en personne, le Bouddha est surélevé sur un autel de 11 m de haut.

Les fidèles y déposent en masse fleurs, encens et autres offrandes. Vous pouvez également faire un don pour la conservation du temple.

Prenez le temps d'admirer les fresques murales relatant la vie du Bouddha. Vous pourrez également admirer le Panthéon royal, au centre de la pièce, gardé par deux chedis dorés (monument renfermant des objets sacrés).

 

Derrière, la bibliothèque, bâtie par Rama Ier, conserve les livres sacrés du bouddhisme. A droite, une maquette du temple d'Angkor Wat est un rappel de l'époque où la Thaïlande était un état vassal du Cambodge.

Autres fresques impressionnantes, celles du Ramakian, peintes sous le règne de Rama Ier (1782-1809). Le Ramakian, inspiré du Ramayana indien, est un récit épique en vers. Il raconte l'épopée du roi Phram Ram d'Ayuthaya à la recherche de son épouse enlevée par le démon Thotsakan. La lecture se fait de gauche à droite.

Avis aux amateurs : seulement certains passages ont pu être interprétés.

 

Le Grand Palais

 

Le Grand Palais est aujourd'hui utilisé pour les cérémonies officielles, le roi résidant au Palais Chitlada, au nord de la ville. Seule une partie du monument se visite. De style occidental, avec des jardins à la française, le Grand Palais montre l'ouverture culturelle de la Thaïlande. Le plus intéressant à voir est le Palais Chakri Mahaprasat appelé également « Grand Palace Hall ». Construit en 1882 par des britanniques, l'ensemble fut érigé à la gloire de la monarchie.

 

Chaque aile du bâtiment est surmontée d'une coupole pointue à plusieurs étages lourdement décorés. La plus haute renferme les urnes funéraires en or des rois Chakri.

Autre prouesse architecturale, le Dusit Mahat Prasat édifié en 1789, ancienne salle d'audience reconvertie en espace de cérémonie des obsèques royales. La toiture est surmontée d'une flèche d'or dont la base est une spirale à neuf étages.

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

Football is omnipresent at the moment in Switzerland during the world championship. Jun 9, 2006.

How do you look! On the way to Nathu La! Tsomgo So Lake!

 

Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..

 

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

La ominosa silueta del Vesubio y el aroma a la ceniza volcánica son omnipresentes...

Aquestes són les imatges del recorregut que molt matins faig per anar a treballar, de l'estació de rodalies de Sant Adríà fins al barri de Sant Andreu.

Tot pujant pel marge esquerra del riu Besós, fins Santa Coloma, creuar el pont de Can Pexauet i pel carrer Potosí i fins a Sant Andreu després de les vies de tren prop de la Sagrera.

Aquestes imatges són d'un matí de 2012, fred i emboirat... !!

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

Omnipresent tournament desk volunteer Nina Tsuneda and John Togasaki stand in front of the Mountain View Open draw sheets at conclusion of the tournament. The draw sheets will remain hanging in the clubhouse for three weeks after the tournament for people to review.

A seven kilometer walk to school...on the way the amusement! Chungthang, North Sikkim

 

Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..

 

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

Le Wat Phra Kaeo

 

Maquette d'Angkor Vat

 

Le Wat Phra Kaeo est reconnaissable à ses toits de tuiles orange et verte, aux piliers incrustés de mosaïques, aux dorures et au marbre omniprésents. Ce monument abrite le Bouddha d'émeraude, qui tient une place importante dans le bouddhisme thaï.

 

Ce bouddha, d'une hauteur de 75 cm, connût bien des mésaventures. Statue ordinaire dans un premier temps, elle prit de la valeur au XVe siècle à Chiang Rai et fit le tour de nombreux temples du nord de la Thaïlande avant d'être volée par les troupes laotiennes lors de l'invasion du pays au XVIe. C'est le roi Taskin, vainqueur des laotiens, qui ramena ce bouddha à Thonburi. Puis, le successeur de Taskin, le général Chakri le ramena à Bangkok en 1784 dans l'un des monuments les plus célèbres de la Thaïlande, le Wat Phra Kaeo.

A savoir : le bouddha n'est pas en émeraude mais en jade

 

Situé dans l'enceinte du Grand Palais, ancienne résidence du roi, le site est un lieu de pèlerinage immense. Les édifices sont de style Ratanasokin (ancien Bangkok).

 

Pour y accéder, vous passerez sous les yeux des démons Yaksha, couple de géants mythologiques repoussant les mauvais esprits. La petite statue du Bouddha est située dans la chapelle royale. Vêtu d'une tunique changée à chaque saison par le roi en personne, le Bouddha est surélevé sur un autel de 11 m de haut.

Les fidèles y déposent en masse fleurs, encens et autres offrandes. Vous pouvez également faire un don pour la conservation du temple.

Prenez le temps d'admirer les fresques murales relatant la vie du Bouddha. Vous pourrez également admirer le Panthéon royal, au centre de la pièce, gardé par deux chedis dorés (monument renfermant des objets sacrés).

 

Derrière, la bibliothèque, bâtie par Rama Ier, conserve les livres sacrés du bouddhisme. A droite, une maquette du temple d'Angkor Wat est un rappel de l'époque où la Thaïlande était un état vassal du Cambodge.

Autres fresques impressionnantes, celles du Ramakian, peintes sous le règne de Rama Ier (1782-1809). Le Ramakian, inspiré du Ramayana indien, est un récit épique en vers. Il raconte l'épopée du roi Phram Ram d'Ayuthaya à la recherche de son épouse enlevée par le démon Thotsakan. La lecture se fait de gauche à droite.

Avis aux amateurs : seulement certains passages ont pu être interprétés.

 

Le Grand Palais

 

Le Grand Palais est aujourd'hui utilisé pour les cérémonies officielles, le roi résidant au Palais Chitlada, au nord de la ville. Seule une partie du monument se visite. De style occidental, avec des jardins à la française, le Grand Palais montre l'ouverture culturelle de la Thaïlande. Le plus intéressant à voir est le Palais Chakri Mahaprasat appelé également « Grand Palace Hall ». Construit en 1882 par des britanniques, l'ensemble fut érigé à la gloire de la monarchie.

 

Chaque aile du bâtiment est surmontée d'une coupole pointue à plusieurs étages lourdement décorés. La plus haute renferme les urnes funéraires en or des rois Chakri.

Autre prouesse architecturale, le Dusit Mahat Prasat édifié en 1789, ancienne salle d'audience reconvertie en espace de cérémonie des obsèques royales. La toiture est surmontée d'une flèche d'or dont la base est une spirale à neuf étages.

Durga symbolizes the power of the Supreme Being that maintains moral order and justice in the universe. Durga is also known as "Shakti". Worship of the goddess Shakti is very popular among the Hindu people. Durga stands for the unified symbol of all divine forces; Strength, Morality, Power, Protector. Slokas on Goddess Durga form the part of prayers offered to the goddess. Durga (Devi) Shlokas / Slokas are as follows:

  

"Yaa Devii Sarvabhuuteshhu Maatrirupena Sansthitah

Yaa Devii Sarvabhuuteshhu Shaktirupena Sansthitah

Yaa Devii Sarvabhuuteshhu Shaantirupena Sansthitah

Namastasyaih Namastasyaih Namastasyaih Namo Namah"

  

Meaning: Goddess Durga is omnipresent. She is the personification of Universal Mother. She is a Mother, who is present everywhere and who is embodiment of power and energy. Great mother, who is present everywhere and who is embodiment of Peace. I bow to that mother, I bow to Durga, I bow to Shakti.

  

Durga (Devi) Stuti

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Vishnu Maayethi Sabdita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the name of Maya of Vishnu.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Chetanetyaabhi Dheeyate

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Devi, who abides in all creatures as realization.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Buddhi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of intelligence.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Nidraa Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Devi, who lives in all creatures in the form of sleep.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Kshudhaa Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of appetite.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Chaayaa Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who lives in all creatures in the form of meditation and reflection.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Shakthi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Devi, who dwells in all creatures in the form of Shakti, the creative power.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Thrishnaa Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of thirst.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Kshaanthi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Devi, who lives in all creatures in the merciful form.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Jaati Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of race.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Lajja Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Devi, who lives in all creatures in the modest form.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Shaanthi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of peace (Shanti).

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Shradha Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who lives in all creatures in the form of unshakable faith (Shraddha).

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Kaanthi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who lives in all creatures in the form of beauty or brilliance (Kaanti).

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Lakshmi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the prosperous form.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Vritti Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Devi, who dwells in all creatures in the form of motion.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Smrithi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who lives in all creatures in the form of memory.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Dayaa Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Devi, who dwells in all creatures in the form of mercy or kindness (Dayaa).

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Tushti Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who lives in all creatures in the form of satisfaction.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Matru Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Devi, who lives in all creatures in the form of Mother.

  

"Yaa Devii Sarva Bhooteshu Braanthi Roopena Samsthita

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who dwells in all creatures in the form of illusion (Bhram).

  

"Indriyaanaamadhistaatri Bhootaanaam Chaakileshu Yaa

Bhooteshu Satatam Tasyai Vyaaptidevyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the all pervading goddess, who continuously controls the senses of all creatures and governs all elements.

  

"Chiti Roopena Yaa Kristnam Yetadhyaapya Sthithaa Jagat

Namastasyai Namastasyai Namastasyai Namo Namaha"

  

Meaning: I bow again and again to the Goddess, who pervades this world and controls in the form of awareness.

  

www.iloveindia.com/spirituality/sloka/durga-sloka.html

The nature reserve is characterised by extensive deciduous woods in an undulating hilly country. The sea is omnipresent with penetrating inlets and sounds.

The Omnipresent, The Ample Giving

1- Power:

...His chair (power, jurisdiction) extends over the skies and the earth (Chapter 2: Verse 255)

 

2- Knowledge:

Your God is only Allah, other than Whom there is no god, (His) knowledge extends over everything,... (Chapter 20: Verse 98)

 

3- Mercy:

...He said, 'I afflict with my punishment on whom I will, whereas My mercy extends over everything.' (Chapter 7: Verse 156)

 

4- Expanding Universe:

And the sky, We constructed it with energy and We are the expanders (of it). (Chapter 51: Verse 47)d

 

The universe is expanding because Allah is expanding it.

 

5- Omnipresence:

And Allah's is the east and the west, so in whichever direction you turn, then there (you have) Allah's Person (Attention), Allah is certainly Omnipresent, Knowing. (Chapter 2: Verse 115)

 

6- Ample Giving

And if they (wife and husband) separate, Allah will make each of them self sufficient (by giving) from His Omnipresent ampleness, and Allah is Omnipresent (Ample Giving), Wise. (Chapter 4: Verse 130)

 

In view of the above verses of the Quran Al Wase' is One Whose power, knowledge, mercy, etc., extends over everything. As Al Wase' He is expanding the universe, a scientific fact discovered comparatively recently, He is always present everywhere, over everything and He gives in abundance to whom He wills from His infinite capacity to provide for His creation.

 

He is The Omnipresent, The Ample Giving.

Chassis n° GL 140350

 

RM Sotheby's

Salles du Carrousel du Louvre

99 Rue de Rivoli

Parijs - Paris

Frankrijk - France

February 2023

 

Estimated : € 650.000 - 850.000

Not sold

 

Renzo Rivolta was an omnipresent industrialist and serial innovator. Tracing his manufacturing roots to before World War II, he built everything from refrigerators to scooters before the sale of his Isetta bubble car venture to German giant BMW. The proceeds of the deal launched Iso Rivolta as a car manufacturer proper, with its eponymous Bertone-styled four-seat coupé arriving in 1962, followed three years later by the sportier Grifo.

 

Styled by Bertone’s Giorgetto Giugiaro and engineered by Giotto Bizzarrini, the new model was a gran turismo in every sense and a true competitor to the Ferrari Daytona and Maserati Ghibli. But like the Rivolta—and very unlike its rivals from Emilia Romagna—the Grifo was powered by an American V-8. Simple, rugged and powerful, Chevrolet’s 5.4-litre small block was rated at 300 horsepower, offering performance to match Bertone’s eye-catching coachwork.

 

By 1968, the 186-mph 7-Litri arrived, propelled by Chevrolet’s famed “L71” Tri-Power V-8. Things only got better two years later with the debut of the Series II, which brought with it more refined styling with stunning and contemporary hide-away headlamps—not to mention the option of the Bowtie’s 7.4-litre big-block V-8, which was fine-tuned with forged connecting rods and dry-sump lubrication.

 

Due to eye-watering cost, just four Series II cars left the factory with open-topped Targa coachwork; chassis 350 is one of these special examples. The car was built on 4 July 1971, specified with a reinforced chassis frame and 300-horsepower 5.7-litre Chevrolet V-8 mated to a five-speed ZF manual gearbox and 3.31:1 rear axle. The car was also fitted with factory air conditioning.

 

The Grifo was sold through Koblenz dealership, Sonntag, and was registered to its first owner in Aachen, Germany on 30 July 1971. Accompanying historic documents show that the car was registered in a company name in February 1976, before being registered to a private individual on 22 March 1977. The car later passed into the care of the consigning owner, and has been in his collection for the past 25 years. During his ownership, the Grifo is understood to have been subject to an engine rebuild; an outline of claimed works is on file.

 

This remarkable Iso Grifo presents in black over a contrasting white leather interior, the striking colour combination complemented by Campagnolo magnesium wheels. One of just four examples to feature both Targa coachwork and improved Series II styling, this rare Iso Grifo presents collectors of landmark Italian supercars an opportunity to acquire a model that rarely comes to market.

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

CCTV cameras like this are omnipresent, but that doesn't mean there's anyone on the other end.

 

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontaneous, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

Fun and frolic in a school near phodong - north Sikkim

 

Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..

 

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

Eric standing outside GR2 with his omnipresent Ricoh digi.

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

The green fir is omnipresent at the football ground of Wippra.

11th division Südharz region.

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontaneous, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

Seek into the minds eye and find an omnipresent representation of the most feared. Blood; is it mine or someone else’s.

Amidst the chaos, I am omnipresent

The light you see is my blessing to you

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

Waiting to cross the road! Darjeeling!

 

Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..

 

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

Our 10 Km trek to school is on, Lachen, North Sikkim

 

Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..

 

amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......

 

They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.

 

Hypocrisy

 

Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.

 

De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.

 

Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.

  

Setlist Hypocrisy

 

Fractured Millenium

Adjusting the Sun

Fire in the Sky

Eraser

War-Path

The Final Chapter

Roswell 47

 

Arch Enemy

 

Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.

 

Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.

 

Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.

 

Setlist Arch Enemy

 

The World is Yours

War Eternal

My Apocalypse

Ravenous

Under Black Flag we March

The Eagle Flies Alone

First Day in Hell

As the Pages Burn

No Gods, no Masters

Dead Bury their Dead

Nemesis

 

Amon Amarth

 

Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".

 

Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.

 

Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.

 

Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.

 

Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.

 

Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.

 

Setlist Amon Amarth

 

Raven's Flight

Runes to my Memory

Death in Fire

Deceiver of the Gods

First Kill

Fafner's Gold

Crack the Sky

The Way of Vikings

Prediction of Warfare

Shield Wall

Guardians of Asgaard

Raise Your Horns

 

The Pursuit of Vikings

Twilight of the Thunder God

 

Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.

 

Hypocrisy

 

It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.

 

In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.

 

Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.

 

Arch Enemy

 

If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.

 

Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.

 

Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.

 

Amon Amarth

 

Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".

 

From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.

  

The omnipresent strings of balloons welcomed you to the festival grounds each day and sent you on your way each night.

   

www.mauriceli.com | info@mauriceli.com | @maurice

 

Bill Zigler, Lindsay's City Manager, poses with men and women of the Sikh religion from all over Tulare County. They have come to the Lindsay Christmas celebration to share in the goodwill of the Christmas season by cooking and sharing their traditional samosas diner free of charge to the community.

The first Sikhs came to California from India's Punjab region in 1899. They have no part in the Muslim religion. The Sikh house of worship built in the USA was completed in Stockton in 1915, and have become peaceful members of our community.

The Lindsay Santa Night had new contributors this year, the local Sikh community. They had offerings of traditional Indian tea and food. Though the Sikhs believe in one God, the sole creator of the universe, eternal, omnipotent, omnipresent; they are neither Christian, Muslim, nor Jewish. Sikhism is a divinely revealed religion founded by Guru Nanak (1469 – 1539). The corner stones of Sikhism are: All men and women are equal, One should earn their living by honest means, One should share with the poor and needy, One should offer selfless service to the community, Violence should always be a last resort in the defense of truth and justice. The Lindsay area Sikh community was practicing their faith during Santa Night.

 

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