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amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontaneous, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......
They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
Gnomes, fairies, dryads and other...
omnipresent tiny helpers, tenders and keepers of the fragible balance between Our world and The Other one :-)
My "Wooden-Tinies" are here for those of You, who are sure, that their house is the right place for some Tiny-Friend... They all can domesticate either on Your Nature-table, bookshelf or on the bedside-table of Your little baby or child.
My husband's wooden creations. You will be welcome in his ETSY shop (seller: Rjabinnik).
Waldorf inspired toy or decoration.
Made by Rjabinnik, designed by Rounien 2010
Rooftops of the east 800 block on Broadway: the Tower, the Orpheum, and Steve Needleman's omnipresent ANJAC garment empire.
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
For me it's such an amazing building. For some reason it's omnipresent in Manhattan! Could it be, because it is the highest scyscraper in New York? :-)
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
Le Wat Phra Kaeo
Le Wat Phra Kaeo est reconnaissable à ses toits de tuiles orange et verte, aux piliers incrustés de mosaïques, aux dorures et au marbre omniprésents. Ce monument abrite le Bouddha d'émeraude, qui tient une place importante dans le bouddhisme thaï.
Ce bouddha, d'une hauteur de 75 cm, connût bien des mésaventures. Statue ordinaire dans un premier temps, elle prit de la valeur au XVe siècle à Chiang Rai et fit le tour de nombreux temples du nord de la Thaïlande avant d'être volée par les troupes laotiennes lors de l'invasion du pays au XVIe. C'est le roi Taskin, vainqueur des laotiens, qui ramena ce bouddha à Thonburi. Puis, le successeur de Taskin, le général Chakri le ramena à Bangkok en 1784 dans l'un des monuments les plus célèbres de la Thaïlande, le Wat Phra Kaeo.
A savoir : le bouddha n'est pas en émeraude mais en jade
Situé dans l'enceinte du Grand Palais, ancienne résidence du roi, le site est un lieu de pèlerinage immense. Les édifices sont de style Ratanasokin (ancien Bangkok).
Pour y accéder, vous passerez sous les yeux des démons Yaksha, couple de géants mythologiques repoussant les mauvais esprits. La petite statue du Bouddha est située dans la chapelle royale. Vêtu d'une tunique changée à chaque saison par le roi en personne, le Bouddha est surélevé sur un autel de 11 m de haut.
Les fidèles y déposent en masse fleurs, encens et autres offrandes. Vous pouvez également faire un don pour la conservation du temple.
Prenez le temps d'admirer les fresques murales relatant la vie du Bouddha. Vous pourrez également admirer le Panthéon royal, au centre de la pièce, gardé par deux chedis dorés (monument renfermant des objets sacrés).
Derrière, la bibliothèque, bâtie par Rama Ier, conserve les livres sacrés du bouddhisme. A droite, une maquette du temple d'Angkor Wat est un rappel de l'époque où la Thaïlande était un état vassal du Cambodge.
Autres fresques impressionnantes, celles du Ramakian, peintes sous le règne de Rama Ier (1782-1809). Le Ramakian, inspiré du Ramayana indien, est un récit épique en vers. Il raconte l'épopée du roi Phram Ram d'Ayuthaya à la recherche de son épouse enlevée par le démon Thotsakan. La lecture se fait de gauche à droite.
Avis aux amateurs : seulement certains passages ont pu être interprétés.
Le Grand Palais
Le Grand Palais est aujourd'hui utilisé pour les cérémonies officielles, le roi résidant au Palais Chitlada, au nord de la ville. Seule une partie du monument se visite. De style occidental, avec des jardins à la française, le Grand Palais montre l'ouverture culturelle de la Thaïlande. Le plus intéressant à voir est le Palais Chakri Mahaprasat appelé également « Grand Palace Hall ». Construit en 1882 par des britanniques, l'ensemble fut érigé à la gloire de la monarchie.
Chaque aile du bâtiment est surmontée d'une coupole pointue à plusieurs étages lourdement décorés. La plus haute renferme les urnes funéraires en or des rois Chakri.
Autre prouesse architecturale, le Dusit Mahat Prasat édifié en 1789, ancienne salle d'audience reconvertie en espace de cérémonie des obsèques royales. La toiture est surmontée d'une flèche d'or dont la base est une spirale à neuf étages.
Heading to home town for Dusshera! at NDLS!
Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..
amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......
They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
children helping each other, Rumtek Monastery, East Sikkim
Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..
amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......
They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
Kid by the roadside enjoying the workers while playing with his kitten - Lachung, North Sikkim.
Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..
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Museo de la Secretaría de Hacienda y Crédito Público
Antiguo Palacio del Arzobispado
Moneda 4,
Col. Centro Histórico.
C.P. 06020. Delegación Cuauhtémoc
Horario del Museo:
Martes a domingo, 10:00 a 17:00 hrs.
Entrada de Martes a sábado $8.00
Domingos, entrada libre
Teléfonos: 3688 12 59 y 3688 12 61
HISTORIA
El predio donde se levanta el actual Museo de la Secretaría de Hacienda y Crédito Público cuenta con más de seiscientos años de historia. En la capital del imperio mexica, fue la sede del templo dedicado a una de sus principales deidades: Tezcatlipoca, dios protector de los guerreros, señor del inframundo, omnipresente, entre otros de sus atributos.
El primer obispo de la Nueva España, Fray Juan de Zumárraga, escogió este sitio para fijar en él su residencia. Zumárraga fue nombrado arzobispo en 1547, pero falleció antes de recibir las bulas de su consagración. A pesar de haber donado en vida la casa y sus posteriores ampliaciones al Hospital del Amor de Dios, por decisión de la jerarquía eclesiástica, este sitio habría de fungir como sede del Arzobispado de México.
A lo largo de la colonia, la modesta construcción original fue transformándose, siguiendo los más diversos estilos de la arquitectura novohispana. Alcanzó sus dimensiones y majestuosidad de Palacio en el siglo XVIII, características que permanecen hasta nuestros días. Su estructura está compuesta de corredores que rodean el patio principal, con sus pilares labrados en cantera, decorados con pilastras toscanas planas en sus dos caras y elegantes arcos rebajados que delimitan el espacio interior, donde encontramos dos hermosos patios con sus fuentes. La fachada está coronada por arcos invertidos con pináculos, balcones en la planta alta y una portada custodiada por estípites.
En el Palacio del Arzobispado se encontraban las habitaciones privadas de los altos prelados de la Iglesia Católica, las oficinas, los tribunales, una fábrica de campanas y una cárcel eclesiástica, donde fue recluido uno de los precursores de la guerra de Independencia, el Lic. Francisco Primo de Verdad y Ramos, quien murió ahí mismo en circunstancias misteriosas.
Se iniciaba un siglo de grandes transformaciones, que culminaría con la Independencia de México y un largo periodo de luchas internas para consolidar la República como forma de gobierno. En este contexto, el clero fue perdiendo poder político y se trastocaría su enorme estructura económica al aprobarse las Leyes de Reforma que decretaban la separación de la Iglesia del Estado y la desamortización de sus bienes.
Y, aunque las Leyes de Reforma no incluían los inmuebles destinados a casas curales y para el servicio del clero -caso del Palacio Arzobispal- el clima político y el ya grave deterioro del inmueble determinó que el último arzobispo que en él habitó lo abandonara. La Iglesia nunca más reclamará, esta propiedad.
Tras haber sido cárcel para los enemigos de la Revolución de Ayutla, y posteriormente cuartel de las tropas francesas en 1867, la República restaurada asignó el inmueble a la Contaduría Mayor de Hacienda y a la Imprenta del Gobierno Federal, donde se editaba el Diario Oficial. Otra área la ocupó la fábrica de cigarros La Sultana, hasta 1890.
Durante el presente siglo, el ex-arzobispado, como se le conocía entonces, fue sede de oficinas de la Secretaría de Hacienda, de Guerra y Marina, de Bienes Nacionales e Inspección Administrativa. En 1931 se le declaró Monumento Histórico y se ordenó su reparación. Por Decreto Presidencial, en 1961, se destinó el inmueble a la Secretaría de Hacienda y Crédito Público. Fungió como sede de una escuela primaria, guardería y jardín de niños y luego como oficinas para la Dirección General de Crédito Público.
Después del terremoto de 1985, se cerró para su total restauración, a cargo de la entonces Secretaría de Desarrollo Urbano y Ecología. Por el hecho de haber sido erigido sobre el basamento de una pirámide, el edificio original no padeció el hundimiento original del centro de la Ciudad. Sin embargo, sí provocó daños estructurales al inmueble. Las obras para darle estabilidad al edificio permitieron la localización del muro norte y oriente del Templo de Tezcatlipoca.
El primero de julio de 1988, durante los trabajos de recimentación, enterrada a dos metros debajo de la fuente del segundo patio, se encontró un monolito circular pintado de rojo. Estaba en su posición original, sobre lo que pudiera ser la plataforma del templo, una piedra basáltica de 224 cm de diámetro, con una representación del sol, labrada en la parte superior y en el centro, un rostro de una deidad solar.
En el canto del monolito llamado Temalácatl-Cuauxhicalli, se narran las conquistas del Tlatoani Moctezuma Ilhuicamina, en once escenas que además hacen referencias continuas al dios Tezcatlipoca, identificado por su pie cercenado y en su lugar el espejo humeante.
Hubo posteriores trabajos de rescate como parte del Programa de Arqueología Urbana que permitieron la delimitación del templo. Para que los visitantes al recinto rescatado tuvieran oportunidad de ver parte del basamento del edificio colonial se restauró una sección de la escalinata poniente del templo de Tezcatlipoca y se excavaron otras zonas del muro que corre de norte a sur.
Las obras de restauración y remodelación fueron concluidas en 1994. La Secretaría de Hacienda y Crédito Público determinó darle un justo uso al inmueble: convertirlo en un espacio dedicado a la cultura que exhibiera de manera permanente una selección las colecciones Acervo Patrimonial y Pago en Especie.
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
Le bleu omniprésent ne plaisait pas au client. Il souhaitait se départir de ses sanitaires mais était embêté car ils étaient comme neufs.
I start a new gallery, as I hate to let my pictures of the Moghul Masjid live on my website, without a permanent exclusive photo abode.
I love the Moghul Masjid, a Mosque that is the URL address of God on Earth.
He is here in his omnipresent supremacy.
Late Mohomed Hussain Shirazi the man who along with his Lucknow wife gave the Mumbaikars , Shias a place that is a spiritual oasis.
It is a Iranian Mosque no doubt, made for the Iranian migrants, bakery owners , restaurateurs , a place in the hustle bustle of a street life almost touching Bhendi Bazar on one end..
Aziz Bhai is the caretaker of this awesome Mosque, he takes care of the Mosque , sees the day to day welfare of this grand place.
Than there is Bangi saab, who with his fancy rings , has fingers that look like mine, it would be tough dressing up like me..
This is my pictorial tribute to Moghul Masjid a boast to the spirit of a Mumbaikar ethos..
This is a spiritual safe haven for all those who sit by the fountain on the benches watching the fishes cavort , mutually coexist in the water, romping , and thereby teaching us a lesson to live in Peace and Mutual Coexistence.,
I was telling a Mr Sami Sidikki , a producer, just this evening that Muslims love killing Muslims , will never come under a single banner of Islam.
They live sectarian lives and die sectarian deaths.
The only time they come together, is during riots where they are collectively butchered, or when they are bombed in trains than the blood of a Hindu and a Muslim finally gets united in an unforgettable color of Indianness.,
Allah ho Akbar and the Vande Matram….lying side by side .,
Yes sometimes Terrorism unites makes us strange bed partners, even with whom we had a difference of religious opinion.
Terrorism is a cancerous disease, I give it a simplistic name I call it Yazidiyat..it has a religion , a religion of sheer Hate for Man Mankind and the God who made us all.
On the other hand Hussainiyat is not just Shia property, Hussain belongs to all, he is a singular name for Humanity.
I think the most important agenda is not only Hijab, and other marital or post marital controversies that plague our Islamic community.
We have to unite this should be overtly done from the minarets..of all Muslim sects.
Let each one follow his sect but let us as Muslims be under a singe Umbrella.. of a singular God. A single banner..
I AM NOT AN ORATOR, ABSOLUTELY LACKING IN THE KNOWLEDGE OF RELIGIOUS DOGMAS; I SPEAK A SIMPLE LANGUAGE OF HUMAN LOVE…
LIVE AND LET OTHERS LIVE..TOO.
Yes the Times of India editorial calls us derogatorily an opinion Blog..
No problem, we don’t survive selling our souls for advertisement, we don’t peddle push Hate , yes you cant ignore our Voice , bad grammar, syntax hiccoughs, we are a Future , that cannot disappear at the click of a Mouse.
There will one day be a Sham Lal among Bloggers too, to show us a way, charter our course, .so take us with some seriousness please.,
You don’t have to go far to see India,
I am India and so is the color of all my photo galleries on my surviving website.,
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
"O Omnipresent, the embodiment of all virtues, the creator of this cosmic universe, the king of dancers, who dances the Ananda Tandara in the twilight, I salute thee."
(Source: Verse No. 56, Sivanandalahari by Sri Adi Sankara)
Presented by: The Department of Atomic Energy, Government of Indial.
amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontaneous, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......
They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
UNETE A NUESTRAS PRÓXIMAS SALIDAS
Trekking.cl es una ONG sin fines de lucro cuya misión es ofrecer servicios de senderismo y otras actividades outdoor adaptados a grupos de tipo familiar, escolar, con objetivos recreacionales o de competencia. Ofrecemos además productos adapatados al sector turístico y complementarios a guíados local. Incentivar y promover la vida sana y al aire libre de manera responsable con la seguridad personal de los senderistas y el cuidado del medio ambiente en los senderos, acercando y poniendo en valor la gran belleza escénica de la omnipresente precordillera que corona Chile y su alrededores.
Following the Inscription there are a few notes on Masonic dating.
Masonic symbols. Scroll bearing words : “ OMNISCIENT,
OMNIPOTENT, OMNIPRESENT,” with representation of an eye issuing from clouds, with the words:
“ITNOTGAOTU,” [In The Name Of The Grand Architect Of The Universe],
“SACRED TO THE MEMORY OF WILLIAM EDWARDS WHO DIED 29TH MARCH 1842 AGED 85 YEARS
ALSO ANN SECOND WIFE OF THE ABOVE WHO DIED 30 APRIL 1813 AGED 45 YEARS
FEAR GOD AND KEEP HIS COMMANDMENTS FOR THIS IS THE WHOLE DUTY OF MAN
ERECTED BY THE BRETHREN OF THE DERWENT LODGE OF FREEMASONS IN GRATEFUL REMEMBRANCE OF HIS ZEALOUS SERVICES FOR A PERIOD OF FORTY YEAR A.L. 5843”
A.L. or Anno Lucis is Latin for, “Year of Light.” It is used as a calendar system within the Freemasonry. Year of Light is a recording of years from the biblical creation of the universe in Genesis 3:1, “And God said, Let there be light: and there was light.” The dating used in Masonic calendars is a simplification of the Anno Mundi calendar by an Irish cleric James Ussher, (1581-1656). Nearly a century before the formation of the United Grand Lodge of England in 1717 Ussher stated creation to have been nightfall preceding 23 October 4004 BC. His calculations were confirmed for him as they placed creation exactly four thousand years before 4 BC, the generally accepted date for the birth of Christ. He calculated that Solomon’s temple was completed in the year 3000, giving 1000 years from the Temple to Christ, who he saw as the fulfilment of the Temple.
Photographs ©2014 PHH Sykes
www.flickr.com/photos/phhsykes/
phhsykes@googlemail.com
The picture, which is one of the most important of the Doria Pamphilj collection and absolutely one of the masterpieces of portraiture of the whole seventeenth century, portrays one of the key figures of the family, Giovanni Battista Pamphilj, pope from 1644 to 1655 with the name of Innocent X.. The portrait does not mask the almost proverbial ugliness of Innocent X, ‘that satirical, saturnine, coarse and hideous aspect’, which made his contemporaries, and above all his enemies, think of a ‘contumacious spirit’. The result is a masterpiece of fundamental importance, in which the artist has preserved over the centuries the unforgettably forbidding face, with its vivid and omnipresent look. The picture was painted by Diego Velázquez probably between the end of 1649 and January 1650.
In the eighteen months of his stay in Rome, the artist executed a series of other prestigious portrait commissions: of the sister-in-law of the pope, Olimpia Maidalchini, of the adopted nephew, Camillo Astalli Pamphilj, of Prince Camillo Massimi. The portrait always stayed within the Pamphilj family, but is not listed clearly in the inventory of Camillo Pamphilj in 1666. It might be, judging by the pose of the person described and the dimensions, the “picture on canvas with frame of six palms, with portrait of Pope Innocent seated, with gilt frame”, described as being “in the rooms in which died his Excellency, the Prince”.
In order to find it indicated precisely and a precise positioning, we must wait for the inventory of Giovanni Battista, son of Camillo and heir to the title. Here are described, in the “big room”, many of the pictures still in situ, (“Pope Innocent X of 5 and 6 palms, seated, by Diego Valasco, with smooth, gilt frame”). The mention is important, because it does not often happen in seventeenth-century inventories that portraits are given an attribution; the great reputation acquired by the artist in Rome as a specialist after painting Innocent are probably the reason for this detailed mention.
In 1794 was printed the first complete guide of the Doria gallery, written by Salvatore Tonci and aimed at “lovers of painting”, with long comments on the most interesting pictures. The portrait of Velázquez is found, as in the relief attributed to Nicoletti, in the third wing, where it was still visible in 1818.
Tonci talks of the picture in amazed tones, particularly for the way in which the artist was able to create harmonies and clashes, all in tones of red, achieving “an effect so terrible, so strong, while at the same time so harmonious, that it is a great pity for all the pictures which are displayed around it”. The pale Madonna adoring the Child by Guido Reni suffers in particular; this picture, although “superb…, resembles, in comparison with that one, a piece of parchment”.
In his “Promenades dans Rome”, Stendhal includes the palace amongst the compulsory places to be visited by the foreign visitor, on account of the “magnificent galleries” it contains, and the enthusiasm displayed by Tonci for the portrait of Innocent X in particular is soon shared. An authoritative English guide credits Reynolds with the judgment on the painting of Velázquez as being “the finest picture in Rome”.
In the middle of the nineteenth century, the then owner, Prince Filippo Andrea V, also seems to have realized that the picture was of particular importance to the Gallery, both as a symbol of the power reached by the family in the past and for the general appreciation of its qualities as a painting.
Entrusting the reorganization of the Palace and the Museums to the architect Andrea Busiri Vici, he accepted the idea of putting the portrait on its own in one of the two pavilions with which Busiri Vici defines the wing of the Gallery on the Corso at its two ends.
It is therefore in the middle of the nineteenth century that the idea comes up of separating the portrait from the rest of the collection and displaying it in isolation as it is today. At the time it was still grouped together with other portraits, according to the description of the catalogue ordered by Prince Filippo Andrea and published in 1855, but by 1876 the Gabinetto was already mentioned as the “small chamber of Velázquez”. (www.doriapamphilj.it/ukinnocenzox.asp)
These gulls were fairly omnipresent throughout our Alaska travels, and I could tell they were big guys, but this comparison to the truck really shows it. There were fish remnants in the truck bed, so they were hanging out all over the truck, dropping in, perching on the sides and roof.
You can see they're obviously a gull, but their distinguisher was the grey tips to the wings, which you can see here, instead of the black tips on many gulls.
And this finally concludes my photos from Day 3. =)
Glaucous-winged Gulls, Larus glaucescens
Seward Harbor, Seward, AK
Day 3 of 17
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
Gnomes, fairies, dryads and other...
omnipresent tiny helpers, tenders and keepers of the fragible balance between Our world and The Other one :-)
My "Wooden-Tinies" are here for those of You, who are sure, that their house is the right place for some Tiny-Friend... They all can domesticate either on Your Nature-table, bookshelf or on the bedside-table of Your little baby or child.
My husband's wooden creations. You will be welcome in his ETSY shop (seller: Rjabinnik).
Waldorf inspired toy or decoration.
Made by Rjabinnik, designed by Rounien 2009
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
PAX isn't a general pop culture convention: it's all about gaming. Cosplayers aren't omnipresent but there are plenty to be found.
My problem is that I'm not a gamer and thus I lack a certain minimum useful level of cultural literacy. I saw this woman in her incredibly cool wig and to my shame was unable to extend the courtesy of addressing her as her nom-de-cosplay.
I actually kind of hope that she just liked the wig and wore it even though it has nothing to do with any character.
I doubly kind of hope that she's not even cosplaying and this is just a look she confidently rocks on a daily basis.
I do know that finding out the answer would spoil the fun of guessing. I have the freedom to believe that she's cosplaing as an Irish Angela Davis.
That's truly a magnificent wig. It can't be easy to shape it into that perfect, thick, fluffy sphere.
Photo notes: this might have been the first cosplay photo I shot with the new lens. Later in the day, my brain would have looked at her and thought "Perfect time to zoom way in and compose this as a tight portrait; the hair should completely fill in the top of the frame."
Instead, it fell into its automatic rhythms and composed a wider shot that I had to crop wayyy down in Lightroom.
Saying Indi-chin bhai bhai! Nathu La!
Caught children in Sikkim in various acts.... only they can be good at! each of the following attributes hold true..
amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontanious, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......
They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
O Omnipresent, the embodiment of all virtues, the creator of this cosmic universe, the king of dancers, who dances the Ananda Tandava in the twilight, I salute thee.
(Verse No. 56, Sivanandalahari by Sri Adi Sankara)
amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontaneous, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......
They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
Delft Blue is omnipresent in Delft. Not only on the kitchen shelfs.
Seen in Delft during a Flickr Meetup.
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
Berlin based ALIAS belongs to the few omnipresent street art artists who have managed to create a unique style. When one passes by his numerous works, which can be found spread all over the city (especially in Berlin’s districts such as Friedrichshain or Kreuzberg) one immediately knows whose signature they bear. This is even more fascinating when you look at the diversity of his artwork.
Take a look at the limited organic ALIAS t-shirts:
La Suède débarque en force au Zenith de Paris en ce lundi soir. Et pour qui aime le death mélodique suédois, c'est une affiche de rêve à laquelle nous assistons. Il n'est donc pas surprenant de voir que la salle du parc de la Villette (même en petite configuration) affiche complet. Et pourtant, à l'heure où Pete Tägtgren et Hypocrisy montent sur les planches, la fosse tout comme les gradins restent encore clairesemés.
Hypocrisy
Il est surprenant de voir Hypocrisy à l'affiche de cette soirée, étant donné que le combo n'a rien sorti depuis 2013. D'ailleurs le trio (agrémenté de Tomas Elofsson à la six cordes en live) profite de ce set pour balayer l'ensemble de sa discographie sortie avant 2005. Si sur le papier un tel set donne envie, les conditions live ne permettent pas d'en profiter pleinement. Dans un premier temps, des fumigènes omniprésents masquent la visibilité des spectateurs et seules les silhouettes des musiciens se distinguent. Difficile dans ces conditions de se rendre compte du charisme de Pete Tägtgren, pourtant musicien et producteur éminemment respecté dans la scène metal.
De plus, la mise en son n'est pas des plus optimales. Une reverb désagréable est présente sur la voix et la caisse claire, tandis que la double-pédale de la batterie de Horgh (Immortal) brouille le spectre sonore. Cela n'aide évidemment pas les spectateurs à rentrer dans ce set et ce sont seulement des applaudissements polis que récoltent les quatre musiciens entre les titres.
Dommage qu'un groupe à la carrière aussi longue qu'Hypocrisy n'ait bénéficié que de conditions sonores et visuelles désastreuses (en fin de set, le groupe semblait d'ailleurs lui-même gêné par les fumigènes), et en dépit des tentatives du chanteur pour communiquer avec le public, ce set des Suédois ne restera pas dans les mémoires des spectateurs.
Setlist Hypocrisy
Fractured Millenium
Adjusting the Sun
Fire in the Sky
Eraser
War-Path
The Final Chapter
Roswell 47
Arch Enemy
Si l'on regarde le nombre de t-shirts portés par les spectateurs dans la salle à l'effigie d'Arch Enemy, il n'y a pas de doute, le groupe de Michael Amott est visiblement attendu. Il faut dire que le quintette n'a pas son pareil pour écrire des tubes ultra accrocheurs. C'est d'ailleurs "The World is Yours", l'un des single de Will to Power qui débute ce set sur les chapeaux de roue. Alissa White-Gluz est en pleine forme vocale et concernant sa prestation sur scène, elle ne faillit pas à sa réputation de pile électrique. Haranguant le public et s'adressant à lui aussi bien en anglais qu'en français, la jeune femme ajoute énormément de dynamisme à l'ensemble du combo. Sharlee D'Angelo (basse), de son côté vient régulièrement au devant du public et semble toujours prendre autant de plaisir à être sur scène.
Jeff Loomis (guitare) semble de son côté plus effacé bien que toujours irréprochable techniquement. Les soli particulièrement mélodiques qui ont fait la signature d'Arch Enemy ne lui posent en effet aucun soucis et l'on se demande parfois si le six-cordiste américain n'est pas un poil sous-exploité au sein de cette formation. Qu'importe, cela n'empêche pas les musiciens de balayer leur discographie récente en mettant en avant une pelleté de tubes (jugez vous-même) : le groovy "My Apocalypse", l'excellent "Under Black Flag We March", l'efficace "Nemesis" et même les petits derniers "War Eternal" et "The Eagle Flies Alone". Alors certes, on se dit qu'Arch Enemy ne prend pas beaucoup de risques en occultant totalement l'ère Liiva (les musiciens ont Black Earth pour cela) mais pour un set en première partie c'est l'efficacité qui prime.
Comme chacune de ses apparitions scéniques sous ce line-up, Arch Enemy est une machine de guerre, proposant des compositions efficaces et mélodiques et emmené par une frontwoman charismatique. C'est sur "Nemesis", qui récolte son lot de pogos dans la salle, que le quintette termine son set de la meilleure des manières.
Setlist Arch Enemy
The World is Yours
War Eternal
My Apocalypse
Ravenous
Under Black Flag we March
The Eagle Flies Alone
First Day in Hell
As the Pages Burn
No Gods, no Masters
Dead Bury their Dead
Nemesis
Amon Amarth
Avant l'entrée en scène des Vikings d'Amon Amarth, un large rideau noir fait face aux spectateurs pour garder l'effet de surprise quant à la scénographie. Il ne reste que peu d'espace dans la fosse lorsque retentissent les notes du "Run to the Hills" d'Iron Maiden, juste avant que le rideau ne tombe. "Raven's Flight" démarre alors et l'on découvre un casque de viking géant sur lequel est juchée la batterie de Jocke Wallgren et dont les yeux servent d'écran. De part et d'autres, deux runes Ansuz symbolisant la lettre "A" sont présentes et s'enflammeront sur "Runes to my Memory".
Dès le début du set, on se rend compte qu'Amon Amarth a mis les petits plats dans les grands, à travers un show pyrotechnique impressionnant, et propose une prestation live impressionnante. Tel un Iron Maiden du death mélodique, le quintette suédois distille des gimmicks visuels tout au long du set. Tour à tour, le casque de viking géant se dresse, surélevant la batterie, des statues géantes se gonflent, figurant les Guardians d'Asgaard sur le titre éponyme, et Johan Hegg lève sa corne à notre santé sur "Raise Your Horns" qui s'achève sur un lâcher de confettis.
Mais au delà de cet aspect visuel, musicalement les Suédois sont irréprochables. La voix de Hegg est puissante et le charisme du vocaliste attire à lui tous les regards. Le son est également bien équilibré (surtout lorsque l'on songe au désastre sonore du set d'Hypocrisy) et le capital sympathie que dégage le quintette fait son effet.
Inévitablement, les deux derniers opus du groupe, Berserker (2019) et Jomsviking (2016), sont les mieux représentés dans la setlist. Mais Amon Amarth tente de piocher de façon équitable dans son abondante discographie et n'oublie pas les excellents "Death in Fire" (tiré de Versus the World, 2002) ou "The Pursuit of Vikings (Fate of Norns, 2004), qui font leur petit effet en live.
Après avoir levé leurs cornes à boire sur "Raise Your Horns", les Suédois s'éclipsent pour revenir avec "The Pursuit of Viking". Mais c'est bien évidemment l'incontournable "Twilight of the Thunder God" qui se charge de clore la soirée, avec son combat épique entre Johan Hegg et le serpent (gonflable) de Midgard, Jörmungand.
Avec un tel set et une scénographie aussi impressionnante, Amon Amarth se place en digne héritier de combos comme Iron Maiden et franchit un palier de plus vers les plus hautes sphères du metal européen. Il y a fort à parier que le quintette suédois se retrouve rapidement propulsé parmi les têtes d'affiches des festivals dans les années à venir.
Setlist Amon Amarth
Raven's Flight
Runes to my Memory
Death in Fire
Deceiver of the Gods
First Kill
Fafner's Gold
Crack the Sky
The Way of Vikings
Prediction of Warfare
Shield Wall
Guardians of Asgaard
Raise Your Horns
The Pursuit of Vikings
Twilight of the Thunder God
Sweden arrives in force at the Zenith in Paris on Monday night. And for those who love Swedish melodic death, it's a dream poster we're seeing. It is therefore not surprising to see that the room of the park of Villette (even in small configuration) displays complete. And yet, as Pete Tägtgren and Hypocrisy get on the boards, the pit as well as the stands are still clear.
Hypocrisy
It is surprising to see Hypocrisy on the bill this evening, since the combo has not released anything since 2013. Besides the trio (with Tomas Elofsson six-string live) takes advantage of this set to sweep all of his discography released before 2005. If on paper such a set makes you want, live conditions do not allow you to enjoy it. At first, ubiquitous smokers mask the visibility of the audience and only the silhouettes of the musicians stand out. Difficult under these conditions to realize the charisma of Pete Tägtgren, yet musician and producer eminently respected in the metal scene.
In addition, the sound is not the most optimal. An unpleasant reverb is present on the voice and the snare, while the double-pedal of Horgh's battery (Immortal) blurs the sound spectrum. This obviously does not help the audience to get into this set and it is only polite applause that the four musicians collect between the titles.
Too bad that a group with a career as long as Hypocrisy has only benefited from disastrous sound and visual conditions (at the end of the set, the group seemed to be embarrassed by the smoke), and despite attempts singer to communicate with the public, this set of Swedes will not remain in the memories of the audience.
Arch Enemy
If you look at the number of T-shirts worn by the audience in the room with the image of Arch Enemy, there is no doubt, the group of Michael Amott is obviously expected. It must be said that the quintet has no equal to write ultra catchy tubes. This is also "The World is Yours", one of the single from Will to Power that starts this set on the hats. Alissa White-Gluz is in the vocal form and regarding her performance on stage, she does not fail in her reputation as an electric battery. Haranguing the audience and speaking to him in both English and French, the young woman adds a lot of dynamism to the whole combo. Sharlee D'Angelo (bass), meanwhile, comes regularly to the audience and always seems to enjoy being on stage.
Jeff Loomis (guitar) seems on his side more erased although always technically irreproachable. The particularly melodic solos that have made the signature of Arch Enemy do not pose any problem and sometimes one wonders if the American six-string player is not a bit under-exploited within this formation. Anyway, that does not prevent the musicians from sweeping their recent discography by putting forward a shovel of tubes (judge for yourself): the groovy "My Apocalypse", the excellent "Under Black Flag We March", the 'effective' Nemesis' and even the latest ones' War Eternal 'and' The Eagle Flies Alone '. So certainly, we say that Arch Enemy does not take a lot of risk by completely obscuring the Liiva era (the musicians have Black Earth for that) but for a set in the first part is the efficiency that prevails.
Like each of his stage appearances under this line-up, Arch Enemy is a war machine, offering effective and melodic compositions and led by a charismatic frontwoman. It is on "Nemesis", who collects his lot of pogos in the room, that the quintet finishes his set in the best way.
Amon Amarth
Before the appearance of Amon Amarth's Vikings, a large black curtain faces the spectators to keep the surprise effect on the scenography. There is little space left in the pit when Iron Maiden's "Run to the Hills" notes sound just before the curtain falls. "Raven's Flight" then starts and we discover a giant viking helmet on which is perched the battery of Jocke Wallgren and whose eyes serve as a screen. On both sides, two Ansuz runes symbolizing the letter "A" are present and will ignite on "Runes to my Memory".
From the beginning of the set, we realize that Ammon Amarth has put the dishes in the big, through an impressive pyrotechnic show, and offers an impressive live performance. Like an Iron Maiden and goes one step further towards the highest spheres of European metal. It's a safe bet that the Swedish quintet is quickly propelled among the festival's headliners in the years to come.
Southwest is omnipresent at secondary commercial airports in Southern California. This is flight WN 1701 from San Francisco (SFO.)
amazing, altruistic, bombastic, brave, curious, calculating, conniving, creative, celebration, determined, energetic,enthusiastic, expressive, endearing, fashion conscious, fun-loving, futuristic, gesticulating, hardworking, happy, honest, harrowing, Innocent, innovative, inventive, inquisitive, jovial, Karishmatic, laughing, linguists, musical, nature lovers, naughty, nimble-footed, omnipresent, outgoing, quiet, quick, questioning, risk taking, social, spirited, spontaneous, tireless, tantrum, ubiquitous, vibrant, vulnerable, vivacious, wonderment, ......
They make the world a wonderful and worthwhile place to live in. We are responsible to leave a better place for the generations to come...
Gasshō-Zukuri house in Hida, Japan
Traditional building in Hida no Sato. Its name comes from their "clasped hands" form. They were constructed this way for fighting against the snow, omnipresent in that region in winter.
These houses are builded with no nails.
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Eraikin herrikoia Hida no Sato herrixkan. Haien izenaren jatorria bi eskutako formatik dator (txalo egiteko moduan jarrita). Neguan, elurraren zama kentzeko asmatu zuten.
Etxe hauek iltzerik gabe eraikitzen dira.
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Vivienda tradicional en la aldea de Hida no Sato, en la región montañosa de Chubu.
Su denominación procede de la forma de dos manos aplaudiendo (u orando) dada a evitar en lo posible la acumulación de nieve en invierno.
Estas casas se construyen sin clavos.