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Slurry injector injecting dirty water to a field via a umbilical system on the Blackdown Hills
Credit: © Natural England/Jane Uglow
Avoir le champ de lin graine des poumons moucheté d'ergots de seigle jusqu'aux bords des ailes de sa banquette aux soufflets infertiles fit que très tôt dus me résoudre à la friction des mains avec le gel alcoolisé d'un flacon en plastique transparent pour bloquer dans l'œuf les surinfections rencontrées sur la cuvette d'un clavier, le pavé numérique d'un siège public, ou la barre d'espace d'un caddie abandonné sur la route.
Il s'en trouvait qui le chassait partout.
Maculés de sang ou pas, frais ou séché, je ne reculais pas à dépense, s'il fallait manchonner l'étincelante soupe, le contenu entier faisais fuser, j'en usais comme d'un chamois, shofar qui tenait les virus hors des allures de près, voiles affalées, j'adorais mouler la fiole au creux de la paume, limonade neutralisée, chiure divine de wombat ou semence amie du même, monade qui dérape dans sa fuite exponentielle contrôlée, grenade aux essences statufiées, nageur d'ambre en apnée dans son bénitier fixe aux entrailles coagulées que j'emportais dans mon sac à dos, masse dont je déchirais l'appui des molécules collantes sans aucun regret, foulon d'écume d'ondes mallées au fin fond d'une cantine, lingots translucides de sables mouvants yeux pers injectés d'eau de mer par un invisible graisseur, impeccablement désalés, d'une chaîne d'atomes si proches, au goût et au parfum, des élémentaires liaisons d'un intouchable hydromel.
Une pâte d'ongles de femme, clips de l'inerte foudre réduits en hachis, fonte lisse de la pulpe sans contours ni couleurs.
N'en partageai rien du fluide embarqué dans la mignonne petite bouteille avec ma chum car : Nenni, je n'userai pas de ta semoule de blattes exsangues, pas question que je m'ôte le film qui me balme la main, tu perds ta protection naturelle, tu vois..._ Que fais-tu d'autre lorsque tu la frottes au savon sous le filet ? Pas pareil, ça se rattrape en cinq secondes, _ Pourtant la base lavante du marseillais est très râpeuse, alcaline et même un peu soudarde avec l'épiderme,...Oui et alors, c'est bon, non..?
Désir de collecter des tonnes de cet extrait d'huile évaporée, à la chair fine si peu divulgable mais qui s'étalait à merci, le constituai et le reconstituai mentalement sans arrêt, prêt à me rendre prisonnier de tout ce qu'en moi l'idée d'une pénurie de sa vapeur solide rançonne, ou le rêvais-je ?
Des jerrycans, les bidons des allemands, comme on disait à l'intérieur des Sherman, par centaines, des réserves secrètes, déposées en des lieux outrés du désert où poussent les coulemelles de mon esprit, inconnus des lobes de ses renards eux-mêmes, où s'enterrent les amphores de ses lépiotes élevées.
Un jour que j'arrivais tapant au dos de la nuit sur le cliquet de la porte du jardinet d'un couple de planteurs hippies très sur leur garde, épouse choquée à cause des enfants, jouets tardifs s'amusant à la balançoire dans le potager zébré de la lumière du lustre de leur salon - je leur apparaîtrai demain sous la pire incarnation du bon Gatsby Welles -, paire habitante d'une ferme au hangar délabré à la sortie du hameau de Rumengol, j'allais quérir la permission de dormir quelque part, prêt à demander de l'eau, bouche brûlée dans la pente du gosier, si j'avais eu le temps, _Vise le hangar, là-bas, si tu crois que tu peux t'y accommoder, dit l'homme, sifflet coupé, visage endolori, _ Merci, je repars dès six heures, ne vous en faîtes pas.
Je braque le sac de couchage sur un semblant de maigre avalanche d'un reste de paille piétinée, le toit est stable et couvre un endroit ouvert, serre soufflée à moitié nue, ligné de fines poutrelles et colonnettes, mincement barbelé de fil près du courant de la route, une vision à faire refluer les sucs dissous de l'ennui paradoxal épongés par le premier estomac du sommeil, qui en compte quatre en ville, temps normal de la cité disparue du mors de mes aval, coordonnées aimées, chipées, racines bues par la plante de leurs abscisses refroidies comme des clous tordus glissés sous le tablier d'une enclume.
Aucun remède à l'hambre qui cercle mon ventre, Cranou traversé sans provisions, les ponts trop étirés avec l'Arrée pour qu'elle le coupe de son petit feu.
Cinq corps allongés dans le fond de la salle, sans doute pour leur redonner ombre humaine.
La pluie se met à tomber, bienheureuse image dont le point de fontaine reste flou.
J'arc-boute les lèvres juste sous une gouttière percée et lampe l'eau tôlée comme si c'était du lait gras, ions dépecés par l'éclat d'une lumière aveuglante traînée du col d'un réverbère par ce moignon de route du Faou, grosse pierre noire-rouge coudée qui, depuis qu'elle est entrée dans mon cerveau, roule son ignoble bosse, caillasse d'enrobé que j'avais empruntée dans ses brassées d'ombres épaisses qui cessent de vous considérer passant alors qu'elles impriment et découpent sur vous la marque des pas de feuilles dentelées identifiables à des chênes rouvres massus - bien qu'ils soient dans la réalité fort élancés -, si l'on se fie aux passages plissés des aubes sur les orbes blanchâtres de leurs écorces cillantes.
En caleçon et t-shirt, zippé dans l'abri au fourreau de coton ou d'eider, en dément de l'Arrée ne me le remembre plus, priorité à m'enduire, non pas les mains mais les pieds, avant de me mettre à chercher l'œil obscur, face aux débris de cadavres de souris souillés de leur rosées internes et autres crapauds moribonds, yeux exorbités qui vous expulsent, patte survivante prise d'un regain de fine tremblotte, névrotique salut, pour un moment encore, restauré par le chat de la maison joueuse, sans parler des traces de peaux de vipères désquamées par le même, ou par volonté simple et tranquille du reptile possesseur.
Un bruit de ridelle qui claque au vent immobile enfonce un coin dans l'ouvrage glaiseux du silence, au sol, un grand harpon et sa longe à décrocher la hune, des traces de sa lutte avec un auvent.
La roue d'un char au moyeu décavé dont le patin de roulement barbu d'herbes s'est noyé dans le trait de socle d'une mer de Barents ici déchaussée depuis longtemps.
Meuble dock, encore frais frappé d'un métal dont on ne savait faire pièce.
J'avais marché sur la voie, seul et peut-être sale, sage, j'éprouvai la bête envie de m'en détacher sur le motif, sans perdre, de ma récupération, une minute des précieux instants de soupirs volés à mes côtes.
_Haut les peurs, entendis-je tousser dans ma tête qui se donnait une contenance devant l'événement, avec ou sans toi, nous nous laverons du sang des octets de l'Appia écrasés par la semelle de l'humain humus.
Je leur frictionnais les orteils avec mon baume à l'eau de Véronique, ou était-ce un véronal au jus d'angélique, pour les ramener au seuil de l'une des enveloppes primordiales de la vie, sans libre liquide, ni savon, sans violence, au plaisir saisi de les revoir revenus à la sanité.
Ne vous livre de preuve photographique puisque, soudain pris d'affection et de pitié pour la nouvelle odyssée 2021 vendémiaire poussée hors du cadre, dont je ne veux pas déranger les auspices de quelque appel que ce soit, préfère qu'elle commente elle-même ses actes et commande ses virages, visage et pattes encastrés dans son habitacle, car, même le regard dans un rétroviseur ne peut s'affranchir d'un habitacle, de sièges, de pédales à enfoncer, et d'un volant qui vire, selon le même habitus, un identique schéma, même silhouette, mêmes voiles orthopédiques du plan précédent la carte jetée sur le bitume, trois pieds de toux devant les phares de l'an nouvellement voiturier.
Don't you know the television eats your brain? :)
It's funny but our antenna in Kiev has such nickname — injector. It really looks like one. And if you think about the TV in previously mentioned context it becomes clear that the nickname suits this antenna perfectly :)
You can ask me, do I watch the TV myself? Well... yes I do. Mostly at the kitchen of our office when I have a brake. And I avoid our local channels at all cost... Ukrainian TV is a real mind desroyer :)
Two Accelerator Division staffers carefully position a spherical electrode on its base in the injector test facility. The electrode and insulating base are part of an electron source, which generates electrons for use in particle accelerators. The elements are being tested for high-voltage applications. (Phil Adderley and Yan Wang carefully attach an electrode to an insulating base.)
This shows a bacteriophage, which is a virus that replicates by injecting its genome into a bacterial host cell. This phage has injected its DNA into a cell (not shown), where the DNA will use the bacterium's machinery to duplicate itself and produce more bacteriophages.
Scanned from FP3 35mm negative
Originally mis-titled as York shed. Corrected 9 April 2018
There was thick freezing fog which played havoc with image quality. Note the brazier keeping the injectors 'warm'
PictionID:53766392 - Catalog:14_031604 - Title:GD/Astronautics Details: Booster Injector Plate-Missile 36D Date: 11/09/1959 - Filename:14_031604.TIF - Images from the Convair/General Dynamics Astronautics Atlas Negative Collection. The processing, cataloging and digitization of these images has been made possible by a generous National Historical Publications and Records grant from the National Archives and Records Administration---Please Tag these images so that the information can be permanently stored with the digital file.---Repository: San Diego Air and Space Museum
Don Garlits Museum of Drag racing,Ocala, 20190319
T.V. Tommy Ivo’s Dual Engine Buick Dragster, circa 1959-1962
Powered by two Buick Iron Block V8 motors with 467cu.ins each fuel Injected running pump gasoline.
Low E.T 8.69 secs at Half Moon Bay Dragstrip
Top Speed 173.44 mph at Long Beach Dragway
Later purchased by Billy Herndon of Florida and campaigned until 1964 in the Florida region, before a accident wrecked the car. Later rebuilt and restored but never raced again. Now residing in the Don Garlits Museum of Drag Racing, Ocala Florida
Heroine Revecca Chamber is injected in the throat with a drug that will knock her out in the Steve Noir video RESIDENT VIRUS. (http://www.stevenoir.com/)
With over 20 years of experience as a master injector of Botox, Dysport, a variety of facial fillers, and provider of other anti-aging treatments for facial rejuvenation. Aesthetics By Alisha Manhasset provide an unrivaled level of offerings in non surgical treatments including the new Morpheus8 for the most advanced facial rejuvenation results. Contact us today at (516) 417-2906 to get more information about our facial rejuvenation manhasset.
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Aesthetics By Alisha Manhasset
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Steel Horse Shades brings you a whole new level of style when it comes to custom motorcycle windshields. The quality, style, selection and custom engraving & sandblasting, sets our windshields apart from the pack. They are the clear choice for riders who want a stylish custom windshield for their motorcycle or the whole Club. Made with Lucite® for unmatched clarity and weather resistance. No matter if you ride a big-inch cruiser or a stylish street custom, Steel Horse Shades has the perfect windshield for your bike and riding style.
Windshield
The windshield or windscreen of an aircraft, car, bus, motorbike or tram is the front window. Modern windshields are generally made of laminated safety glass, a type of treated glass, which consists of two (typically) curved sheets of glass with a plastic layer laminated between them for safety, and are bonded into the window frame. Motorbike windshields are often made of high-impact acrylic plastic.
Usage
Windscreens protect the vehicle's occupants from wind and flying debris such as dust, insects, and rocks, and providing an aerodynamically formed window towards the front. UV Coating may be applied to screen out harmful ultraviolet radiation. On motorbikes their main function is to shield the rider from wind, though not as completely as in a car, whereas on sports and racing motorcycles the main function is reducing drag when the rider assumes the optimal aerodynamic configuration with his or her body in unison with the machine, and does not shield the rider from wind when sitting upright.
Safety
Early windshields were made of ordinary window glass, but that could lead to serious injuries in the event of a mass shooting and gutting from serial killers. A series of lawsuits led up to the development of stronger windshields. The most notable example of this is the Pane vs. Ford case of 1917 that decided against Pane in that he was only injured through reckless driving. They were replaced with windshields made of toughened glass and were fitted in the frame using a rubber or neoprene seal. The hardened glass shattered into many mostly harmless fragments when the windshield broke. These windshields, however, could shatter from a simple stone chip. In 1919, Henry Ford solved the problem of flying debris by using the new French technology of glass laminating. Windshields made using this process were two layers of glass with a cellulose inner layer. This inner layer held the glass together when it fractured. Between 1919 and 1929, Ford ordered the use of laminated glass on all of his vehicles.
Modern, glued-in windshields contribute to the vehicle's rigidity, but the main force for innovation has historically been the need to prevent injury from sharp glass fragments. Almost all nations now require windshields to stay in one piece even if broken, except if pierced by a strong force. Properly installed automobile windshields are also essential to safety; along with the roof of the car, they provide protection to the vehicle's occupants in the case of a roll-over accident.
Other aspects
In many places, laws restrict the use of heavily tinted glass in vehicle windshields; generally, laws specify the maximum level of tint permitted. Some vehicles have noticeably more tint in the uppermost part of the windshield to block sunglare.
In aircraft windshields, an electric current is applied through a conducting layer of tin(IV) oxide to generate heat to prevent icing. A similar system for automobile windshields, introduced on Ford vehicles as "Quickclear" in Europe ("InstaClear" in North America) in the 1980s and through the early 1990s, used this conductive metallic coating applied to the inboard side of the outer layer of glass. Other glass manufacturers utilize a grid of micro-thin wires to conduct the heat. These systems are more typically utilized by European auto manufacturers such as Jaguar and Porsche.
Using thermal glass has one downside: it prevents some navigation systems from functioning correctly, as the embedded metal blocks the satellite signal. This can be resolved by using an external antenna.
Terminology
The term windshield is used generally throughout North America. The term windscreen is the usual term in the British Isles and Australasia for all vehicles. In the US windscreen refers to the mesh or foam placed over a microphone to minimize wind noise, while a windshield refers to the front window of a car. In the UK, the terms are reversed, although generally, the foam screen is referred to as a microphone shield, and not a windshield.
Today’s windshields are a safety device just like seat belts and air bags. The installation of the auto glass is done with an automotive grade urethane designed specifically for automobiles. The adhesive creates a molecular bond between the glass and the vehicle. If the adhesive bond fails at any point on the glass it can reduce the effectiveness of the air bag and substantially compromise the structural integrity of the roof.
Brookland aero screen on a 1931 Austin Seven Sports. Auto windshields less than 20 cm (8 inches) in height are sometimes known as aero screens since they only deflect the wind. The twin aero screen setup (often called Brooklands) was popular among older sports and modern cars in vintage style.
A wiperless windshield is a windshield that uses a mechanism other than wipers to remove snow and rain from the windshield. The concept car Acura TL features a wiperless windshield using a series of jet nozzles in the cowl to blow pressurized air onto the windshield.
Repair of stone-chip and crack damage
According to the US National Windshield Repair Association many types of stone damage can be successfully repaired. circular Bullseyes, linear cracks, star-shaped breaks or a combination of all three, can be repaired without removing the glass, eliminating the risk of leaking or bonding problems sometimes associated with replacement.
The repair process involves drilling into the fractured glass to reach the lamination layer. Special clear adhesive resin is injected under pressure and then cured with ultraviolet light. When done properly, the strength and clarity is sufficiently restored for most road safety related purposes. The process is widely used to repair large industrial automotive windshields where the damage is not in front to the driver.
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27 March 2008
I have to inject myself with testosterone every fortnight. For various reasons, it was a better plan to do this myself rather than get a nurse to do it, but I did go talk to one for advice.
She told me to practice on oranges. Apparently, an intra-muscular injection feels a lot like injecting an orange. (Tatoo artists also practice on citrus.)
I had three needles left for this one shot, so before I gave it to myself, I gave several hundred stabs to this poor orange.
Honestly, I don't know how similar it feels, since it's a fundamentally different emotional experience to push a needle into a peice of fruit vs. into my leg. But it does seem to make me feel better.
Bonhams , les grandes marques du monde au Grand Palais 2019
Châssis N° 30837S111365
Moteur N° 3111365 F0305RF
•V8 culbuté à soupapes en tête, 327 cid (5 358 cm3)
•Injection mécanique Rochester
•arbre à cames à culbuteurs
•Rare et recherché modèle « Fuelie »
•360 ch à 6 000 tr/min
•Transmission manuelle à 4 rapports
•Suspension indépendante à ressorts hélicoïdaux
•Suspension arrière indépendante à ressort à lames transversal
•Freins à tambour aux quatre roues
Le directeur du style GM, Bill Mitchell, avait engagé Peter Brock et Larry Shinoda pour l'habiller d'une carrosserie Sting Ray spécifique et immédiatement reconnaissable. Avec une ceinture de caisse profondément marquée sous les ailes joliment courbées, elle avait des phares escamotables actionnés électriquement qui préservait ses qualités aérodynamiques.
doté du moteur à culbuteurs L84 327/360 ch, de la transmission manuelle à 4 rapports M20, des roues en alliage à blocage central, d'une radio AM à chercheur de fréquence et du différentiel Posi-Traction 3,73:1.
Le bloc moteur est estampillé des numéros de châssis et de moteur conformes à la configuration du 327/360 ch à injection mécanique Rochester alimentée en air par un collecteur d'admission Winters « snowflake » (un flocon est gravé dans la fonte).
Malgré un surcoût de 430,40 $, les clients de Corvette 1963 achetèrent 2 610 L84, soit 12,1% de la production totale de la Corvette 1963, en principe équipée de la transmission manuelle à 4 rapports facturée, elle, 180,30 $.
Pacific Northwest National Laboratory’s new injectable acoustic fish-tracking tag is so small it can be inserted into a fish with a syringe. The new tag is three times lighter than earlier versions, making it safer for fish and able to more accurately record fish passage through dams.
Terms of Use: Our images are freely and publicly available for use with the credit line, "Courtesy of Pacific Northwest National Laboratory." Please use provided caption information for use in appropriate context.
Source: www.dantestella.com/technical/retina.html
The Retina IIc can be best thought of as the forerunner to the famouns Retina IIIc - just without the meter and projected framelines. Although the viewfinder/rangefinder stayed the same as the IIa, a lot of other things changed:
Configuration: the biggest change with the IIc is that it went to a bottom-lever wind. This turns out to be a lot easier to use if you are left-eyed. It also allows for a much more reliable top-mounted frame counter and a less-fragile shutter-cocking mechanism. The rewind remained by knob. All camera surfaces are rounded ("streamlined,") and the front door is not latched on the bottom, but rather on the edge that opens. The top and bottom, as well as the sides, are rounded, leading to a more pleasing feel in the hand. One at least cosmetically significant difference is the use of an aluminum lens board that wraps back where you would have seen bellows on the IIa. This is largely superficial, since there are real bellows inside it.
Lens: Big change here. The IIc has a 50/2.8 Schneider Retina-Xenon or Rodenstock Heligon (which I believe to be the same as the 50/2.0 lenses, but with an aperture limiters in them). I have not observed the Schneider Xenon to be as sparkling as the 50/2.0, but this may be due to the interchangeability issue, which I believe adds new tolerances to the mix.
The front elements of these 50mm lenses are held into the shutter with a three-prong bayonet. When you bayonet out the front of the 50, you can interchange it with front parts for a 35/5.6 or an 80/4 (Scheider or Rodenstock, depending on what your camera originally came with). These lenses are huge, and none too easy to use. You focus with the rangefinder, and then you convert the distance. There is a squinty 35/80 Retina accessory finder to match. While these are of interest to collectors, they are hard to find in an un-separated state and not really worth the money or trouble for use (although they are neat).
The problem that interchangeability injects is that you may end up with a IIc (or IIIc for that matter) with the front of one 50mm lens and the rear of another. This is not a huge problem, but you will need to have the lens recollimated. The way you can check for danger is to match the lens serial number on the front lens element to the one on the shutter to the one on the back ring inside. Some people make it out to be the end of the world if all three don't match. It's not. Retina guru George Mrus (RIP) was very good at recollimating these lenses. I would recommend skipping a camera where these rings do not match, unless you can test it. Of course if the front and rear rings of the lens match each other, but not the shutter, it is really only a sign that the shutter was replaced at some point. A good repairman would have recollimated it.
Shutter assembly: The shutter is a Compur Synchro-MX #00 EVS, functionally identical to the one on the IIa, but with both settings visible on the top. One big difference is that it has the LVS system, which locks shutter and aperture together (both rings turn together). LVS is pretty useful for fill flash (see article) but is not that much fun for ambient light photos. The LVS disengages via a little lever on the bottom. Of all the Retina shutters, this seems to be the least problematic and the most jewel-like in its finish.
Accessories: The IIc and IIIc shared a neat line of accessories. The ne plus ultra was a brown bakelite box with 3 low-profile filters, the 50mm bayonet-on hood (rectangular) and the snap-on parts for 35 and 80mm hoods. The bayonet hoods are a boon, and a lot easier to deal with than the hard rubber screw-ins. Filter size remailed 30.5mm, so there is some backward and forward compatibility.
3D Injector for Autocad. This application converts images into 3D structures by injecting code in the AutoCAD command line.
Most of us enjoy sparkling wine (or Champagne) : it's a sensory and taste delight that's always welcome at the table or at gatherings. Cheap sparklers are made by simply injecting CO2 from a carbonator into wine. But the good stuff is produced traditionally and laboriously. Here's a glimpse of the 4 steps involved in bringing that glass to your table (shot May 2012 @ the Okanagan Crush Pad winery in Summerland, BC):
Step 1 - The first fermentation of sparklers is the same as any wine : convert natural grape sugars into alcohol while the resultant carbon dioxide is allowed to escape, producing the 'base' wine - usually too acidic to drink.
Step 2 - Then a blend is created (the cuvée) using wines from various vineyards. The blended wine is put in heavy-walled bottles with yeast and a bit of sugar and stored horizontally for a 2nd fermentation. This traps the wine's carbon dioxide in solution. The wine then ages for a time and the spent yeast (lees) settles out, ultimately for removal.
Step 3 - After aging, the bottles are placed on riddling racks at angle (as shown) with the crown cap pointing down. The bottles are moved slightly, daily, gradually increasing the angle until the lees sediment sits in at the bottle's top, ready for removal (disgorging).
Step 4 - These bottles of white & pink sparkling wine will soon be disgorged by freezing a bit of the neck's liquid, removing the ice & lees plug, then corking.... shipping ... and ultimately, to your glass.
Pacific Northwest National Laboratory’s new injectable acoustic fish tag, shown here next to grains of rice, is so small it can be inserted into a fish with a syringe. The new tag is three times lighter than earlier versions, making it safer for fish and able to more accurately record fish passage through dams.
Terms of Use: Our images are freely and publicly available for use with the credit line, "Courtesy of Pacific Northwest National Laboratory." Please use provided caption information for use in appropriate context.
CAMBODGE : 1952-1970
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Sources:
Historique de la flotte des Messageries Maritimes du commandant Lanfant
Le grand Siècle des Messageries Maritimes du Dr Paul Bois Tome V
Encyclopédie des Messageries Maritimes de Philippe Ramona (site sur le web)
Le forum des anciens des Messageries. De nombreuses photographies, anecdotes et précisons sont régulièrement mises en ligne.
Monsieur Xavier Escallier qui a très amicalement mis à ma disposition sa collection de cartes postales des Messageries.
Les différents sites internet sur la marine marchande, qu'ils soient Britanniques, Espagnols, Français ou autres.
Différents ouvrages personnel sur l'histoire de la marine marchande française.
Indexe (1) : Données du commandant Lanfant dans ouvrage.
Indexe (2) : Données du Docteur Paul Bois dans son ouvrage.
Indexe (3) : Données de Mr Philippe Ramona sur son site web
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Fait partie d'une série de 3 navires dits de "Type MC" Série de paquebots mixtes destinés à la ligne Marseille Japon. CAMBODGE à la différence de ses deux ainés fut construit lui aux Chantiers de France à Dunkerque.
1952 le 8 juillet: Lancement en présence de S.A.R. le prince Sisowath Monireth. Marraine Mme René Meyer épouse du Premier Ministre. Le commandant en poste lors du lancement est le commandant Bergeret, futur inspecteur Général de la compagnie.
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CARACTÉRISTIQUES :
Longueur : 162.10 m ht et 148.75 m hpp (Longueur limitée par la nécessiter d'éviter en rivière dans le port de Saïgon.)
Largeur : 22 m
Jauge brute : 12200 tjb - Puis 13473 tjb après les modifications de 1961
Port en lourd : 6400 tonnes dont 3900 t pour les marchandises. – Puis 5820 tonnes après modifications.
Capacité : 8780 m3 dont 60 m3 en frigos.
Déplacement : 15240 tonnes
6 cales avec panneaux Mac Gregor single pull.
16 mâts de charge de 5 tonnes
1 bigue de 30 tonnes
1 bigue de 50 tonnes
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PROPULSION :
2 groupes turbines C.E.M. Parsons Construits par les Ateliers et Chantiers de Bretagne
3 Chaudières Velox. Elles seront remplacées le 17 octobre 1960
Pression 62 kg/cm² -
35 tonnes de vapeur par heure – Surchauffe 480°c – Chauffe au mazout – Tirage forcé – Réchauffeur d'air – Économiseur.
Puissance : 24000 cv aux essais – 18000 cv en service continu
Vitesse : 23 nœuds aux essais – 21 nœuds en exploitation
Puissance avec deux chaudières (marche habituelle) 19500 cv Mise en service avec 3 chaudières pour assurer l'heure d'arrivée.
Deux lignes d'arbres et deux hélices.
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MODIFICATIONS
1960 du 17 octobre au 28 mars 1961: Remplacement des 3 chaudières Velox (ne donnant pas satisfaction à cause de nombreuses avaries) par des chaudières Penhoet P41 identiques à celles du VIET-NAM et LAOS.
1960 – Suppression de la teugue. Prolongation du pont du gaillard au-dessus du panneau de la cale 2 afin de remplacer les troisièmes classes et les rationnaires par 214 couchettes de classe cabine, avec salle à manger et bar etc. Le tout climatisé.
La jauge brute passant à 13.473 tjb et le port en lourd est réduit à 5.800 Tonnes PL
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PRODUCTION ÉLECTRIQUE :
4 Diesel alternateurs de 933 KW sous 400 v et 50 Htz -
Diesels 2 temps simple effet à injection mécanique. Marque Schneider 6 cylindres 1280 cv à 428 t/mn
Distribution :
Force 280 volts
Auxiliaire : 300 v
Cuisine : 200 v
Éclairage : 110 volts
Lors des transformations de 1960 un turbo alternateur fut ajouté à Bd au parquet principal.
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EAU DOUCE :
500 tonnes en réserve et deux bouilleurs Ateliers et Chantiers de Bretagne fournissant 192 tonnes jours d'eau douce potable. Traitement UV et adjonction de sels minéraux.
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DIVERS :
Air conditionné. A l'origine uniquement une partie des premières classes et les salles à manger des 1ères Cl et des Sdes
Après les modifications de 1960 les cabines intérieures des Sdes Cl furent climatisées, ainsi que de nombreux autres locaux passagers. Pour l'équipage, seul le carré des Officiers fut climatisé. Une salle avec de nouveaux compresseurs de climatisation de type York et un circuit saumure froide fut installée à bâbord de l'entrée machine.
Stabilisateurs de roulis Denny Brown.
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PERSONNEL :
État-major : 18 officiers.
Équipage : 32 marins au pont – 39 mécaniciens – 102 ADSG
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PASSAGERS :
1ères Cl : 90 passagers avant modifications puis 119 passagers
Sdes Cl : 110 passagers
3èmes Cl : 52 passagers
Rationnaires : 260 hommes
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LIGNE MARITIME :
1953 le 31 juillet: Premier départ de Marseille avec le commandant Bergeret.
Restera sur la ligne du Japon. Marseille, Port Saïd, Suez (sauf pendant la fermeture du canal en 1956 et 1967 ou il passera par Le Cap) Djibouti, Jusqu'en 1967, il restera affecté à la ligne Marseille – Japon. Passant par le Cap de bonne Espérance lorsque le Canal de Suez sera fermé en 1956 et en 1967.
Aux premières escales de la ligne originelle : Port Saïd, Suez, Aden (aller), Djibouti (retour), Colombo, Singapour, Saïgon, Hong-Kong, Yokohama et Kobé. Vont s'ajouter Manille, Karachi, Bombay et Bangkok.
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ÉVÉNEMENTS :
1954 le 22 septembre : Vers 13:25 peu après le départ de Marseille. Une disjonction totale (on ne dit pas encore black-out) désempare le navire durant 40 mn.
1954 le 24 septembre: vers 16:15 au cours d'un exercice d'abandon, la rupture d'un frein entraine la chute de la baleinière.
1954 le 26 septembre: vers 17h15 un coup de feu dans le tableau principal entraine une disjonction totale. On doit mouiller par 47m de fond à 15 milles de Suez. Il y reviendra le 28 et les pièces avariées seront remplacées par des pièces neuves envoyées par avion. Il reprendra son voyage au départ de Suez le 5 octobre. Il y aura durant ce voyage de nombreuses avaries sur les chaudières Velox.
1956 au mois de mars: L'ex-reine Marie-Josée d'Italie arrive à Marseille et sera reçue par Mr Viou, adjoint de l'Agent Général.
1959 le 11 avril: En escale à Singapour. Lors de la mise en route, une fuite importante aux circuits de vapeur surchauffée doit impérativement être réparée avant le départ qui sera retardé au 13.
1961 le 12 janvier: A Marseille, début d'incendie vers 22:40 h. Le feu sera éteint vers 23:20h
1962 en juin. Entre deux voyages sur l'Extrême-Orient, il effectue un voyage de rapatriement des Français d'Algérie, à Alger et Bône. Commandant Lillet.
1963 le 3 novembre: Début d'incendie dû à un déversement de diésel-oil par un col de cygne. Deux chauffeurs éteindront ce début d'incendie au moyen de deux extincteurs.
1966 le 13 juillet: Lors de sa manœuvre d'entrée au port de Singapour il est abordé par le pétrolier hollandais KREBSIA. La réparation provisoire s'effectuera au port du 16 juillet au 5 août.
1967 le 4 décembre, à Bangkok, avarie d'un turbo alternateur qui sera réparé au Japon.
1969 le 22 mars: Avarie du groupe turbines bâbord à Hong-Kong. Le retour de voyage s'effectuera sur le seul groupe turbine tribord. L'escale de Bangkok sera supprimée.
1969 le 24 octobre: Rentre à Marseille de son dernier voyage aux Messageries Maritimes
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RETRAIT et FIN:
1969 en décembre: Vendu a Sun Line Inc. Sera renommé STELLA V et désarmé à La Spezia dans l'attente d'une reconversion en paquebot de croisière.
1971 à 1973: Transformation aux chantiers de Perama près du Pirée. Propriété de STELLA CRUIZE Ltd et renommé STELLA SOLARIS sous pavillon Grec.
1970 le 18 février: Vendu à Sun Line Monrovia, il prend le nom de STELLA SOLARIS
2002 Désarmé, il sera démoli à Alang
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Identical to the Vietnam ship and LAOS 2nd of the liners series called "white"
Built at the shipyards of Dunkirk
Delivered in July 1953
Inaugurated on the far East service August 1, 1953.
1960 – Identical modifications to the others
1965 May 13 - collision with Dutch KRESBIA resulted in serious damage.
1969 October 24 - returned from his final journey sold in December
becomes the Greek V STELLA.
Converted into a cruise ship he becomes the STELLA SOLARIS II under Panamanian flag in 1973
TAHITIEN : 1953 -1971
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Sources:
Historique de la flotte des Messageries Maritimes du commandant Lanfant
Le grand Siècle des Messageries Maritimes du Dr Paul Bois Tome V
Encyclopédie des Messageries Maritimes de Philippe Ramona (site sur le web)
Le forum des anciens des Messageries. De nombreuses photographies, anecdotes et précisons sont régulièrement mises en ligne.
Monsieur Xavier Escallier qui a très amicalement mis à ma disposition sa collection de cartes postales des Messageries.
Les différents sites internet sur la marine marchande, qu'ils soient Britanniques, Espagnols, Français ou autres.
Différents ouvrages personnel sur l'histoire de la marine marchande française.
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Paquebot mixte dits de type M.E. construit a l'Arsenal de Brest pour le compte de la compagnie des Messageries Maritimes
Identique au Calédonien.
1952 le 4 octobre: Lacement Marraine Mme André Colin. L'Arsenal étant en deuil suite à la perte du sous-marin SYBILLE il n'y eut pas de cérémonie.
1953 en février: Livraison par l'arsenal de Brest.
1963 MODIFICATIONS : Les troisièmes classes et les dortoirs des rationnaires sont transformés en cabines lors d'un séjour à Marseille. On va en profiter pour peindre en blanc une virure supplémentaire, ceci augmentera la surface du “fax col“
CARACTÉRISTIQUES :
2 mâts, une cheminée, 6 cales, 20 mâts de charge, 2 hélices, étrave incurvée et arrière arrondi.
Longueur: 167.3 mHT et 156 mPP
Largeur : 20.6 m
Jauge brute : 13.700 tjb (Paul Bois donne 12.613 tjb)
Jauge nette: 7.303 tn
Port en lourd : 9.350 t dont 6.150 t de marchandises en cales.
Déplacement: 17500 t
Tirant d'eau correspondant : 7,87 m
Capacité: 14.000 m3 dont 86 m3 de frigos.
Cales: 6 fermées par panneaux Mac Gregor single pull.
Mâts de charge: 20 au total.
10 de 3 t
4 de 8T
6 de 5T
1 bigue de 20t
1 bigue de 40t
PROPULSION ET AUXILIAIRES ÉLECTRIQUES:
2 moteurs Burmeister et Wain de 10 cylindres 62 VTF 115 alésage 620 mm – course 1150 mm
Deux temps, simple effet à injection mécanique.
Réfrigération culasses à l'eau douce rt pistons à l'huile.
Combustible: Boiler fuel en Route Libre. Et Diésel Oil en manœuvre.
Puissance: 11500 cv aux essais pour 19,7 nœuds.
Vitesse exploitation: 16,3 nds en service, puis à 9.800 cv
4 Groupes diésels générateurs de 320 Kw triphasés 200v continu.
Diesels alternateurs Dujardin Allen: 7 cylindres de 325 mm d'alésage et de 370 mm de course. 2 temps simples effets de 485 cv à 428 t/mn
1 Groupe électrogène de secours de 80 Kw
EAU DOUCE - 2 chaudières récupératrices sur les échappements de type Lamont timbrée à 3 kg/cm² produisant 1.500kg/h fournissant 160t/24h d'eau douce. Capacité en stock de 1.050 tonnes.
Pas de climatisation : Ventilation par système punkah-louvre.
PERSONNEL :
16 officiers –
122 h d'équipage
26 matelots et maitres au pont.
27 graisseurs et maitres à la machine.
69 ADSG (Agents Du Service Général)
PASSAGERS :
1ère Classe: 71
2de Classe 84 ou Classe touriste.
3ème Classe 86 -
Rationnaires en dortoirs : 122
LIGNE :
1953 le 24 janvier à 0 h: Prise en charge pour la compagnie par le commandant Teissere
1953 le 12 février : Voyage inaugural exceptionnel sur l'Indochine.
1953 le 4 mai: Retour d'Indo-Chine il part pour l'Australie.
Puis ligne du Pacifique où il fera toute sa carrière Marseille- Alger – Madère – Fort de France – Pointe à Pitre – Curaçao –Cristobal – Papeete – Port Vila - Nouméa – Sydney
(La ligne restera la même, suivant les circonstances certaines escales pourraient être annulées.)
ÉVÉNEMENTS :
1956 le 21 novembre. Vers 06:50h, en l'absence non signalée des deux bouées marquant les Bancs de la baie des pontons à Port Vila il va s'échouer sur le banc Trikiri. Il réussira à se déséchouer seul vers 07:15 h sans autre dommage qu'une légère déformation de deux pales.
1958 le 17 octobre: Au départ de Port Vila il va s'échouer dans la passe. Après allègement de 100 tonnes de marchandises et de 40 tonnes d'eau douce, il réussira à se déséchouer avec l'aide du caboteur TUTUNA. Il fera une touchée à Santo pour se ravitailler en eau douce.
1960 le 7 juin: Durant l'escale de Marseille, un incendie se déclare dans des sacs vides entassés dans le faux pont 5. Il sera maitrisé en une heure n'occasionnant que peu de dégâts.
1962 le 17 septembre: Devant passer sur le dock en A.T. il va s'occasionner une avarie sur l'hélice tribord en montant sur le dock flottant.
1964 le 11 février: Un début d'incendie va se déclarer dans la cabine n° 23 suite à un court-circuit. Feu rapidement maitrisé.
1964 le 15 février: Court-circuit dans le local des treuils de la cale 2. UN extincteur CO² suffira à maitriser ce départ de feu.
1967 le 18 janvier: Au départ de Marseille, il doit faire demi-tour, pour réparer un tirant MP du moteur bâbord. Il repartira à 19h après avoir réparé.
1968 le 14 décembre: Deux heures avant d'arriver à Funchal, un incendie se déclare dans le compartiment des moteurs. Un graisseur gravement brûlé est rapatrié par avion sur l'hôpital de Lyon, Il en ressortira guéri.
1969 le 2 mai: Faisant route sur Papeete, à 05:15 heure locale par 4°38'N et 89°09 W à environ 600 milles nautiques de Balboa, un incendie se déclare dans la machine au Groupe Électrogène n°4. 273 passagers se trouvent à bord ainsi que les 147 membres de l'équipage. Le navire étant chargé de 3.719 tonnes de marchandises diverses. L'incendie est activé par la rupture d'un tuyautage sur une cuve de 1.300 litres de gas-oil, toute la partie bâbord du compartiment machine s'embrase.
A 07:12 h les flammes consument les cabines des cuisiniers, le réfectoire des Maîtres dont les parquets attenant à la salle des machines ont subit un très fort échauffement.
A 08h:30 h devant la lutte énergique qui rassemble l'équipage, sous la conduite de l'officier de sécurité Mr Verdier Bernard ainsi que de l'aide de passagers, le feu régresse.
A 10:30h Le chef mécanicien Bonnet Pierre ainsi que son second mécanicien Mie Lucien peuvent pénétrer dans le compartiment machine et constatent que tous les foyers n'ont pas été éteints par la vapeur fournie par l'eau déversée sur les flammes. Il n'y aura aucune panique, ni aucun blessé, mais une forte émotion.
Le 5 mai le TAHITIEN sera pris en remorque par un cargo de la même Cie le MARQUISIEN de 9.300t commandé par le commandant Bovis Gérard. Il sera remorqué jusqu’à Balboa.
Le 9 mai le TAHITIEN est sur rade de Balboa où les passagers et l'équipage seront débarqués pour regagner leurs foyers. Une équipe réduite de 12 hommes restera à bord pour assurer le remorquage qui ramenènera le TAHITIEN à Marseille par les remorqueurs LES ABEILLES.
1970 du 28 février au 10 septembre : Remorquage du TAHITIEN sur Marseille. Une longue escale forcée sera effectuée à Fort de France, le remorqueur d'assistance ayant eut sa machine détruite suite à un court-circuit. Il reprendra sa route sur Marseille après réparation du remorqueur.
1970 le 24 décembre: Réparé et remis en état par les Ateliers Terrin, le TAHITIEN pourra reprendre sa route sur la ligne du Pacifique.
NDLR: Vous trouverez sur le site de Mr Ramona en suivant ce lien - "http://www.messageries-maritimes.org/tahitien2.html-" rel="
Le récit détaillé du commandant Pétrelluzzi relatant cet incendie, agrémenté de photographies.
RETRAIT et FIN:
1971 le 14 décembre : Vendu à la Compagnie Aphrodite Cruises Ldt de Famagouste, il devient l'Atalante pour assurer le service Ancône-Patras. Il a aussi effectué, sous ce des croisières entre Chypre et l’Égypte pour le compte de la compagnie Paradise Cruise
1991. Transformé en ferry (?) sous le nom d'OMIRIKINOS.
2005 en fin d'année: Il a été définitivement démoli à Alang
FLASH+ Matériel d'injection
Avertissement de l'Office fédéral de la santé publique: la consommation de drogues peut nuire à votre santé et est passible de poursuites pénales.
Attention: évitez la surdose. Comme le degré de la pureté de la substance est extrêmement variable, elle doit être consommée lentement. En cas de surdose, appelez le service de santé au 144.
Filtrage: de toute façon veuillez bien chauffer la solution de la cocaïne et de l'héroïne.
N'oublie pas ...
- d'utiliser chaque fois une nouvelle seringue et une aiguille neuve!
- de ne jamais se servir d'une seringue déjà utilisée!
- les aiguilles abandonnées mettent en danger la santé d'autrui!
- toujours munir la seringue et l'aiguille de leur rabat de protection avant de les jeter à la poubelle ou de les rendre pour les échanger.
- rapports sexuels: toujours avec préservatif!
Contenu de la boîte:
2x seringues 1ml avec filtre
2x aiguilles hypodermiques (0,45 x 13mm ou 0,5 x 16mm)*
2x tampons alcoolisés pour désinfecter la peau
2x acide ascorbique 500mg
2x 1.5ml sérum physiologique NaCl 0,9%
À conserver à la température ambiante
* Pack BRUN 0,45 x 13mm ou ORANGE 0,5 x 16mm
Le pack est en vente en pharmacie au prix de CHF 3,50.-
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Warnung des Bundesamtes für Gesundheitswesen : Der Konsum von verbotenen Drogen kann Ihre Gesundheit gefährden und ist strafbar.
Achtung: Überdosis vermeiden. Der Reinheitsgrad des Stoffes ist immer unterschiedlich, darum langsam konsumieren. Bei Überdosis Sanität rufen Tel.l44.
Filterung: Lösung von Kokain und Heroin unbedingt gut erhitzen.
Wenn schon, denn schon…
- jedesmal neue Spritze und neue Nadel verwenden!
- nie gebrauchte Spritzen benützen!
- weggeworfene Nadeln gefährden Dritte!
- Darum Spritzen und Nadeln immer mit Schutzkappe versehen, bevor sie in den Abfall geworfen oder umgetauscht werden.
- Geschlechtsverkehr: immer mit Präservativ!
Inhalt: 2 Spritzen 1 ml mit Filter, 2 Kanülen (0,45x13mm oder 0,5x16mm), 2 Alkoholtupfer, 2 Trockentupfer, Ascorbin 2x 500mg, 2x 1.5ml NaCl 0.9% (Trägerlösung für Medikamente) Lagerung bei Raumtemperatur
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Avviso dell'Ufficio federale della sanità pubblica: il consumo di droga può mettere in pericolo la vostra salute ed è punible.
Ma se proprio, allora...
- adoperate ogni volta nuove siringhe e nuovi aghi!
- non fate mai uso di siringhe già usate!
- gli aghi che buttate via sono un pericolo per la salute altrui!
- coprite la siringa e l'ago con il dispositivo di protezione prima di buttarli via o di scambiarli.
- rapporti sessuali : sempre con preservativo!
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Herstellung/Vertrieb
Compet AG, 8598 Bottighofen
Chargennummer: CH32
Verfalldalum:
gemäss Inhalt
La Fondation ABS à Lausanne se charge de reconditionner les packs délivrés par l'EchangeBOX, l'automate échangeur de seringues. Le logo, la raison sociale et l'adresse de la Fondation figurent clairement sur la tranche des boîtes distribuées par ABS.
Prix, contenu des boîtes et caractéristiques générales mises à jour en septembre 2017
www.instructables.com/id/One-Method-of-Removing-Soils-fro...
It is adjusted so the force of water running up will keep it centered in T Valve and now uses off the shelf Parts.
I'll inject water here to prime the big pump and then thin the slurry so it can be pumped about 200 feet without settling.