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Le 12 avril 1961, à Baïkonour, en Union soviétique, pour la première fois un homme, Youri Gagarine, s'envole vers l'espace. 108 minutes et une révolution complète de la Terre plus tard, le premier cosmonaute de l'histoire regagne sain et sauf le sol en parachute, après s'être éjecté de sa capsule. Le vol, annoncé après sa réussite, stupéfait le monde entier : les Soviétiques, les premiers, ont envoyé un humain dans l'espace.

 

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la rivalité entre Américains et Soviétiques avait provoqué une course aux armements et le développement de missiles balistiques, qui servent de base aux premiers lanceurs spatiaux. En 1957, les Soviétiques surprennent le monde en lançant Spoutnik, le 1er satellite artificiel. Un mois plus tard, c'est une chienne, Laïka, qu'ils envoient en orbite. Les Américains sont sous le choc. La course à l'espace devient un enjeu essentiel de la Guerre froide. L'impact planétaire de ses premiers succès spatiaux conduit Moscou à travailler d'arrache-pied pour envoyer un homme dans l'espace. Pour cela, il lui faut un héros, un homme du peuple : ce sera Youri Gagarine, un jeune pilote de chasse souriant, aux origines modestes, qui remplira parfaitement son rôle de cosmonaute soviétique modèle.

 

Après la prouesse de son vol orbital, Gagarine est accueilli en triomphe à Moscou et reçoit le titre de héros de l'Union soviétique. Célébré dans le monde entier, icône soviétique, trop précieux, il ne retournera jamais dans l'espace.

 

L'exploit de Gagarine poussera le président américain Kennedy à lancer la course à la Lune. La conquête spatiale n'est plus qu'un instrument politique, un formidable moyen de propagande. En 1969, un an après la mort de Gagarine dans un accident d'avion, l'Amérique prend sa revanche en envoyant le premier homme sur la Lune.

 

One of the many industrial buildings in Charleroi that have fallen into a semi-sleepy state; no real activity, not totally abandoned but only used to store some stuff.

 

Un de ces nombreux immeubles industriels à charleroi tombés dans un semi-sommeil; Il n'y a plus d'activité à proprement parler, ils ne sont pas totalement abandonnés mais ne servent qu'à entreposer dieu sait quoi.

 

Ilford Pan 100 200iso R09 (Rodinal) 1+25 13'

 

La médersa Cher-Dor (ce qui signifie «qui porte des lions»).

La médersa a été construite en 1619-1635/1636 sur ordre du hakim de Samarcande, Yalangtouch Bahadour (vizir de Kouli Khan), par l'architecte Abdoullah Djabbar. Sa décoration est l'œuvre du maître Mouhammad Abbas.

Elle est édifiée sur le côté est de la place à l'emplacement d'un khanqah du XVe siècle dont les matériaux servent à sa construction.

La médersa Cher-Dor est construite dans la tradition médiévale d'Asie centrale. Elle est de forme rectangulaire sur une surface de 70 × 57 mètres. La façade principale est divisée par un portail imposant (pishtak) avec un arc en iwan. Il atteint 31,5 mètres de hauteur. Les angles de la façade sont flanqués de minarets d'une hauteur de 31 mètres, couronnés par des corniches en forme de stalactites (muqarnas). De chaque côté du portail, on remarque deux coupoles en bulbe cannelé qui coiffent chacune les salles d'études.

 

The Cher-Dor Madrasah (meaning ‘the one that bears lions’).

The madrasah was built between 1619 and 1635/1636 on the orders of the Hakim of Samarkand, Yalangtouch Bahadour (Vizier of Kul Khan), by the architect Abdoullah Djabbar. Its decoration is the work of the master Mouhammad Abbas.

It is built on the east side of the square on the site of a 15th-century khanqah, whose materials were used in its construction.

The Cher-Dor madrasa was built in the medieval Central Asian tradition. It is rectangular in shape, measuring 70 × 57 metres. The main façade is divided by an imposing portal (pishtak) with an iwan arch. It is 31.5 metres high. The corners of the façade are flanked by 31-metre-high minarets, crowned with stalactite-shaped cornices (muqarnas). On either side of the portal are two fluted bulbous domes, each covering the study rooms.

  

Un cap de mouton est un bloc de bois plat et rond percé de 2 ou 3 trous. Deux caps de mouton sont reliés entre eux par un cordage appelé la ride. Ils servent à raidir les haubans.

       

Depuis le IXe siècle, la vigne est cultivée sur la colline du Péri tandis que les terrains jouxtant les demeures de l'actuelle rue du Palais sont déjà établis en terrasse et servent de jardins potager et de vergers.

C'est en 1243 que s'installe pour la première fois un ordre religieux au pied des actuelles terrasses. Il s'agit des frères mineurs conventuels qui, quittant l'Isle, installe leur couvent en Richonfontaine.

À la fin du XIIIe sièclenote, l'ordre Teutonique quitte l’hôtel de Cellesnote et s'installe aussi derrière le palais des princes-évêques pour bâtir la Commanderie de Saint-André et façonner l'aspect actuel des terrasses.

En 1624, l'ordre des minimes de Jupille s'installe à son tour. Leur jardin est contigu avec celui de l'ordre Teutonique ce qui amène un conflit de voisinage entre les deux ordres à propos du mur de séparation entre les deux propriétés.

En 1614 est établi, au fond d'une impasse appelée en Fer à cheval, le béguinage Saint-Esprit et, en 1627, c'est au tour de l'ordre de Sainte-Ursule d'acquérir un bâtiment, à l'angle de Hors Chesteau et du thier des Bégards, qui deviendra le couvent des Ursulines. Cependant, ni les béguines ni les Ursulines n’ont acquis d'autres propriétés dans ce qui sont les actuelles terrasses des Minimes.

 

Cette tour, dite des Vieux-Joncs, appartenait à la commanderie teutonique de Liège. Elle est l’un des édifices civils les plus anciens de la ville. En effet, sa partie basse daterait d’avant 1423. La partie supérieure remonterait au XVIe siècle. Ce pavillon était utilisé comme cabinet de travail par le grand-pasteur. Quant au nom de Vieux-Joncs, il se réfère à l'archicommanderie d' Alden Biesen, qui signifie en vieux néerlandais vieux joncs et qui était le siège du bailliage des Joncs dont dépendait la commanderie de Liège.

 

Since the 9th century, vines have been cultivated on the Péri hill, while the land adjoining the residences on today's Rue du Palais has already been established as a terrace and serves as vegetable gardens and orchards.

It was in 1243 that a religious order was established for the first time at the foot of the current terraces. These are the conventual minor brothers who, leaving the Isle, set up their convent in Richonfontaine.

At the end of the 13th centurynote, the Teutonic order left the Hôtel de Cellesnote and also settled behind the palace of the prince-bishops to build the Commandery of Saint-André and shape the current appearance of the terraces.

In 1624, the order of the Minims of Jupille was established in turn. Their garden is contiguous with that of the Teutonic order, which leads to a neighborhood conflict between the two orders regarding the dividing wall between the two properties.

In 1614, at the bottom of a dead end called Fer à Cheval, the Saint-Esprit beguinage was established and, in 1627, it was the turn of the order of Sainte-Ursule to acquire a building, on the corner of Hors Chesteau and Thier des Bgards, which would become the Ursuline convent. However, neither the beguines nor the Ursulines acquired other properties in what are now the Minimes terraces.

 

This tower, called Vieux-Joncs, belonged to the Teutonic commandery of Liège. It is one of the oldest civil buildings in the city. In fact, its lower part dates from before 1423. The upper part dates back to the 16th century. This pavilion was used as a study by the grand pastor. As for the name Vieux-Joncs, it refers to the archcommandery of Alden Biesen, which in old Dutch means old rushes and which was the seat of the bailiwick of Joncs on which the commandery of Liège depended.

Le Grèbe huppé niche entre avril et juillet.

À cette époque, les adultes portent une double huppe et des oreillettes brunes encadrant la tête.

Lors de la parade nuptiale complexe, le mâle et la femelle se font face et dressent le cou.

Il nagent de concert, se frottent le cou tout en émettant des cris sonores, plongent puis réapparaissent, l'un des deux présentant des algues à l'autre. Le couple s'immobilise, poitrine contre poitrine, et chaque oiseau tourne la tête d'un côté puis de l'autre. Ce manège peut se perpétuer même lorsque les grèbes sont occupés à la construction du nid.

Ce dernier est constitué principalement d'algues. Il peut reposer sur un fond vaseux mais il est conçu en principe pour affleurer la surface. Il peut également flotter mais il est alors arrimé à une souche ou à un paquet de végétaux entremêlés. Les adultes en garnissent la coupe peu profonde de végétaux qui servent à recouvrir les œufs si les adultes s'absentent du nid. La ponte est composée de 3 à 6 œufs blancs qui virent ensuite au brun et deviennent de ce fait plus discrets. Les adultes couvent en se relayant toutes les quelques heures. L'éclosion intervient au bout de 28 jours. Les jeunes sont capables de nager aussitôt mais ils restent dépendants de leurs parents plusieurs semaines.

Supertrees sont des structures arborescentes qui dominent le paysage de Gardens by the Bay avec des hauteurs qui se situent entre 25 mètres et 50 mètres. Ce sont jardins verticaux qui effectuent une multitude de fonctions, incluent la plantation, l'ombrage et travaillent en tant que moteurs de l'environnement pour les jardins environnants.

Une vue de nuit des Supertrees :

Les Supertrees sont végétalisés de fougères uniques et exotiques, de vignes, d’orchidées et aussi d’une vaste collection de broméliacées telle Tillandsia entre autres plantes. Ils sont équipés de technologies environnementales qui imitent la fonction écologique des arbres - cellules photovoltaïques qui exploitent l'énergie solaire qui peuvent être utilisées pour certaines des fonctions des Supertrees, tels que l'éclairage, tout comme la photosynthèse des arbres et la collecte des eaux de pluie pour l'irrigation des fontaines, exactement de la façon dont les arbres absorbent l'eau de pluie pour leur croissance. Les Supertrees servent également à des fonctions d'admission d'air et d'échappement dans le cadre des systèmes de refroidissement des conservatoires du jardin.

Une passerelle surélevée, le Skyway, entre deux des plus grands Supertrees permet aux visiteurs de profiter d'une vue aérienne imprenable sur les jardins. Une restauration et des boissons sont prévues au sommet du supertree de 50 mètres. La nuit, les Supertrees s’animent avec un spectacle de lumière et de musique appelé le Jardin Rhapsody. Un spectacle magique et émouvant.

  

Supertrees are tree-like structures that dominate the Gardens by thr Bay landscape with heights that range between 25 metres and 50 metres. They are vertical gardens that perform a multitude of functions, which include planting, shading and working as environmental engines for the gardens.

A night view of the Supertrees :

The Supertrees are home to enclaves of unique and exotic ferns, vines, orchids and also a vast collection of bromeliads such as Tillandsia, amongst other plants. They are fitted with environmental technologies that mimic the ecological function of trees – photovoltaic cells that harness solar energy which can be used for some of the functions of the Supertrees, such as lighting, just like how trees photosynthesize; and collection of rainwater for use in irrigation and fountain displays, exactly like how trees absorb rainwater for growth. The Supertrees also serve air intake and exhaust functions as part of the conservatories' cooling systems.

There is an elevated walkway, the Skyway, between two of the larger Supertrees for visitors to enjoy a breathtaking aerial view of the Gardens. A food and beverage outlet is planned atop the 50-metre Supertree. At night, the Supertrees come alive with a light and music show called the Garden Rhapsody. A magical and moving sight.

 

Voici les parapluies multicolores qui décorent le ciel azur de Gap ! ☂️💙 Mieux que des toiles d’artiste, ces ombrelles servent à nous protéger... du soleil, car Gap se vante d’afficher près de 300 jours de soleil par an — un record ensoleillé en France ! 😎🌟 Une scène joyeuse capturée sous les projecteurs du ciel alpin.

Thomise - Araignée-crabe / Crab spider

 

Plusieurs espèces sont mimétiques de diverses parties végétales (surtout les fleurs), qui leur servent de support pour la chasse à l'affût. En adoptant la couleur du substrat, ces araignées réalisent un camouflage visuel (homochromie adaptative qui prend quelques heures). Elles sont même capables d'émettre dans la gamme des UV, mimant ainsi les fleurs à étamines matures, ce qui attire plus les insectes.

fr.wikipedia.org/wiki/Thomisidae

 

Some species sit on or beside flowers or fruit, where they grab visiting insects. Individuals of some species, such as Misumena vatia, are able to change color over a period of some days, to match the flower on which they are sitting. Some species frequent promising positions among leaves or bark, where they await prey, and some of them sit in the open, where they are startlingly good mimics of bird droppings.

en.wikipedia.org/wiki/Thomisidae

  

Le Grèbe huppé est un oiseau des étangs, des cours d'eau lents, des marais, des lacs, des réservoirs artificiels, des gravières inondées, des estuaires et d'autres lieux similaires. Pour nicher, il apprécie particulièrement les plans d'eau ceinturés de roseaux fournis et il a besoin de végétation palustre assez épaisse parmi laquelle il place son nid flottant.

C'est un oiseau assez peu farouche. Cet excellent nageur et plongeur peut s'enfoncer à 20 m (généralement 4-6 m) pendant 3 minutes au maximum.

Grèbe huppé adulte plum. nuptial

Il est également capable de parcourir plusieurs dizaines de mètres sous l'eau. C'est un migrateur partiel. Bien que l'espèce soit surtout sédentaire, certains Grèbes huppés issus des régions nordiques de l'aire de répartition, descendent passer l'hiver dans les estuaires et le long des côtes sableuses lorsque le gel fige les eaux douces. Toutefois, ils ne tardent pas à regagner les eaux continentales dès le début du printemps pour y nicher. Le seul moment où le grèbe consent à voler est justement l'époque de la migration. Il vole plutôt bas, actionnant rapidement les ailes, cou et pattes étendus. Les pattes servent de gouvernail, tant dans l'air que dans l'eau.

Le Grèbe huppé se nourrit surtout de divers petits poissons, de larves d'insectes, de crustacés et de mollusques. Les poissons mesurent généralement de 5 à 20 cm. L'adulte peut également consommer à l'occasion des petites grenouilles, des algues et d'autres végétaux. Pour trouver ses proies, le Grèbe huppé plonge fréquemment sous la surface ; il peut alors fouiller la vase de son long bec ou traquer des animaux aquatiques à la nage.

Le Grèbe huppé niche entre avril et juillet. À cette époque, les adultes portent une double huppe et des oreillettes brunes encadrant la tête.

Grèbe huppé adulte

Lors de la parade nuptiale complexe, le mâle et la femelle se font face et dressent le cou. Il nagent de concert, se frottent le cou tout en émettant des cris sonores, plongent puis réapparaissent, l'un des deux présentant des algues à l'autre. Le couple s'immobilise, poitrine contre poitrine, et chaque oiseau tourne la tête d'un côté puis de l'autre. Ce manège peut se perpétuer même lorsque les grèbes sont occupés à la construction du nid. Ce dernier est constitué principalement d'algues. Il peut reposer sur un fond vaseux mais il est conçu en principe pour affleurer la surface. Il peut également flotter mais il est alors arrimé à une souche ou à un paquet de végétaux entremêlés. Les adultes en garnissent la coupe peu profonde de végétaux qui servent à recouvrir les œufs si les adultes s'absentent du nid. La ponte est composée de 3 à 6 œufs blancs qui virent ensuite au brun et deviennent de ce fait plus discrets. Les adultes couvent en se relayant toutes les quelques heures. L'éclosion intervient au bout de 28 jours. Les jeunes sont capables de nager aussitôt mais ils restent dépendants de leurs parents plusieurs semaines.

 

Source : oiseaux.net

 

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Bayonne

Exposition : Yann Chatelin (Poze)

 

Né à Calais en 1980, Yann Chatelin vit dans le Béarn depuis septembre 2020 après avoir passé plus de 15 ans au Maroc.

Il découvre le dessin à 15 ans, inspiré par le graffiti qu’il pratiquera intensivement pendant 10 ans. Du graffiti viendra son amour pour la lettre calligraphiée.

Ses alphabets réels ou imaginaires s'inspirent de plusieurs langues, mélange de sanskrit et d'arabe.

À l’encre de chine, à l’acrylique ou à l'aérosol, tous les outils lui servent à sublimer l’écriture manuscrite, mélangeant fluidité, fractures et motifs répétés.

De son travail sur l’écriture, il mène dans ses œuvres les plus récentes une réflexion sur la disparition de l’écriture manuscrite au profit du numérique.

C’est ainsi que dans ses œuvres, parfois les personnages s’effacent, se liquéfient. Métaphore de cette disparition progressive de l’individualité dans un quotidien de plus en plus technologique.

 

Ses oeuvres sont dispersées un peu partout entre Bordeaux, Calais, mais aussi Casablanca, Katmandou.

Cette fois-ci, il regroupe une partie de ses créations à Bayonne, le temps d'une exposition dénommée "Scripto Sensu" (littéralement au sens strict).

 

"Les racines sont riches en amidon. La plante, les jeunes pousses et les épis verts sont aussi comestibles; le pollen et les graines riches en huile sont une bonne source de nourriture. Les feuilles dures, piquantes, étaient utilisées par les AUTOCHTONES pour faire des tapis, des sacs, des paniers et des vêtements. Les tiges et les feuilles conviennent pour faire du papier et des vêtements.

 

Autrefois, la fibre cotonneuse attachée au fruit était employée comme matière de rembourrage. Les quenouilles servent également de nourriture et d'abri pour la faune. Ces plantes sont aussi appelées massettes, en référence à la forme de leur inflorescence."

 

Domaine de Maizerets, province de Québec, Canada.

à la Réunion il y a toujours des pompistes qui servent l'essence, et cela fournit un peu de travail aux jeunes ... dans cette région où le taux de chômage approche 30%

Est une espèce de petits passereaux de la famille des Passeridae.

 

C'est un petit oiseau assez trapu, mesurant environ 16 cm de long pour un poids allant de 24 à 39,5 g. Les femelles et les jeunes oiseaux sont pâles, colorés de brun et de gris, tandis que les mâles ont le teint plus vif, avec des marques noires, blanches et brunes. Granivore, il se nourrit majoritairement de céréales et d'autres graines, mais se montre opportuniste, consommant divers invertébrés, les insectes en premier lieu, qui servent par ailleurs d'alimentation de base aux oisillons.

 

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Is a species of small passerines in the family Passeridae.

 

It is a small, fairly stocky bird, measuring around 16 cm in length and weighing between 24 and 39.5 g. Females and young birds are pale, colored brown and gray, while males are brighter in complexion, with black, white and brown markings. Granivorous, it feeds mainly on cereals and other seeds, but is opportunistic, consuming various invertebrates, primarily insects, which also serve as a basic diet for the nestlings.

Le texte qui suit propose des extraits tirés de l’histoire du village, présentée sur le site officiel du village des Bories.

 

Il donne le ton des informations plus complètes qu’il est possible de retrouver grâce à ce lien :

 

levillagedesbories.com

 

(…) Les principaux bâtisseurs sont de modestes paysans, des cultivateurs, et des bergers qui ont pratiqué l’auto construction avec la pierre qu’ils trouvaient in situ.

(…)

Ces constructions en pierre sèche ont pu correspondre à une évolution de la société française.

Aux 17ème et 18ème siècle le pays doit faire face à la croissance démographique et s’amorce alors une « boulimie de terres » pour éviter la «disette du grain». Les paysans les plus démunis, les ouvriers agricoles et tout un petit peuple se portent acquéreurs des terres vacantes et incultes souvent éloignées des villages.

A force de travail et de défrichements acharnés ces paysans conquièrent de nouvelles terres sur la forêt et la garrigue en aménageant des champs où ils développent de nouvelles activités complémentaires.

Lors de la création de ces parcelles, les pierres arrachées au sol à la barre à mine et ensuite soulevées par la charrue lors des labours sont une manne inépuisable et très économique pour la construction.

A cette époque, en Provence, les coteaux et les plateaux font l’objet d’une colonisation paysanne et les constructions en pierre sèche donnent un nouveau visage à la campagne.

(…)

Inutilisées, les cabanes situées sur la commune de Gordes sombrent dans l’oubli pendant presque un siècle, elles deviennent vite la proie des ronces et servent de poste d’affût pour les chasseurs alors que les pierres sont pillées.

On doit leur redécouverte et leur sauvegarde à Pierre Viala, poète, écrivain, comédien et globe trotter qui arrive à Gordes dans las années 1960 et a un coup de foudre pour le village, sa campagne, ses bories. Il raconte :

« Nous sommes sûrement nombreux parmi « les venus d’ailleurs » à conserver intact le souvenir du choc émotionnel de la découverte de Gordes qui nous a conduits à y prendre racine. Pâques 1956 ! Après le fameux gel qui avait roussi la nature, quelle ivresse de courir la garrigue, véritable « terra incognita », autrefois cultivée, mais redevenue sauvage après des décennies d’abandon. Étonnement de n’y rencontrer âme qui vive, et si peu de maisons, toutes en ruines. Tout un monde évanoui dans un chaos minéral envahi par une végétation dévorante. Et les bories ! Dès cette époque je me suis passionné pour ces cabanes.

En 1968 j’ai appris que ces terres étaient mises en vente (…), je vendis ma maison et devins propriétaire des ruines de mes rêves et me consacrai au sauvetage des bories dont je me sentais désormais responsable (…) Les travaux de remise en état se sont échelonnés sur une période de huit années sans aucune aide financière, avec la précieuse collaboration d’excellents maçons de Gordes. (…) »

La passion qu’il vouait aux vielles pierres et à l’histoire de Gordes, l’attachement à ce site unique et remarquable, et le respect du labeur et du savoir faire de nos anciens ont été les moteurs de Pierre Viala pour réaliser ce sauvetage et nous permettre de nous réapproprier notre patrimoine.

 

Fort-Dauphin (Madagascar) - Le feu a été allumé volontairement pour les besoins d’un exercice incendie en conditions réelles. Des bâtiments abandonnés des services techniques et de la voirie, servent de terrain opérationnel. Le formateur français à l’origine de l’exercice a prévu que le feu et les fumées s’échapperaient par la toiture ; d’où ses conseils aux pompiers en intervention pour qu’ils placent leurs lances à incendie pour gagner en efficacité. Vous l’aurez compris, la lutte contre le feu est un vrai métier.

 

The fire spreads

 

Fort-Dauphin (Madagascar) - The fire was started deliberately for the purposes of a fire drill in real conditions. Abandoned buildings of the city's technical services and roads serve as grounds for the exercise. The French non-commissioned officer at the origin of the exercise predicted that the fire and smoke would escape through the roof; hence his advice to firefighters in intervention so that they place their fire hoses to increase efficiency. You will have understood, fighting fire is a real profession.

 

Underground passages linking the house to the servants quarters and stables at Uppark

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Cet insecte particulier, à mi-chemin entre le papillon et la libellule, est assez grand, puisqu’il possède une envergure allant de 45 à 55 mm. La tête, le thorax et l’abdomen sont robustes et très poilus ; ce dernier est totalement noir et est terminé chez le mâle de cerques formant des crochets (ils servent à saisir les femelles en vol). Les ailes sont vivement colorées et sont d’un beau jaune très vif (voire fluo). Les ailes postérieures sont triangulaires et possèdent une tache noire qui s’étire tout le long de l’abdomen (elle atteint l’angle inférieur de l’aile). Les antennes sont très longues et terminées par un petit renflement que l’on appelle « bouton ».

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This particular insect, halfway between the butterfly and the dragonfly, is large enough, since it has a wingspan of 45 to 55 mm. The head, thorax and abdomen are robust and very hairy; it is totally black and is finished in male tails forming hooks (they used to enter flight in females). The wings are brightly colored and have a very bright beautiful yellow (or fluorescent). The hind wings are triangular and have a black spot that stretches all along the abdomen (it reaches the bottom edge of the wing). The antennas are very long and ended with a small bulge is called "button".

 

www.naturemp.org/Ascalaphe-soufre.html

Marcilly-le-Hayer - Aube - Grand Est

 

Un dolmen est une construction mégalithique préhistorique constituée d'une ou plusieurs grosses dalles de couverture (tables) posées sur des pierres verticales qui lui servent de pieds (les orthostates). Le tout était originellement recouvert, maintenu et protégé par un amas de pierres et de terre nommé tumulus. Les dolmens sont généralement interprétés comme des monuments funéraires ayant abrité des sépultures collectives. Les dolmens européens ont été construits entre la fin du Ve millénaire av. J.-C. et la fin du IIIe millénaire av. J.-C. (Source Wikipedia)

 

A dolmen is a type of single-chamber megalithic tomb, usually consisting of two or more vertical megaliths supporting a large flat horizontal capstone ("table"), although there are also more complex variants. Most date from the early Neolithic (5000–3000 BC). Dolmens were typically covered with earth or smaller stones to form a tumulus. In many instances, that covering has weathered away, leaving only the stone "skeleton" of the burial mound intact. Dolmen are generally all regarded as tombs or burial chambers, despite the absence of clear evidence for this. (Wikipedia)

Au loin, la réserve naturelle de l'étang de Biguglia qui se répartit sur les communes de Furiani, Biguglia, Borgo et Lucciana. D' une superficie d'environ 1 790 ha, elle englobe complètement l'étang de Biguglia et occupe la quasi-totalité du littoral de la plaine de la Marana. De nombreux oiseaux migrateurs s'en servent comme lieu d'étape mais surtout pour la nidification, malgré la proximité d'une forte concentration urbaine. Un dixième au moins de la superficie de la réserve est interdit de toute chasse et pêche. Anguilles et muges y sont pêchés de façon traditionnelle.

L'étang de Biguglia a été occupé dès l'Antiquité par les Romains, puis par les Pisans, enfin par les Génois.

 

In the distance, the Biguglia Pond Nature Reserve of which is distributed in the communes of Furiani, Biguglia, Borgo and Lucciana. Covering an area of about 1790 hectares and completely encompass the Biguglia and occupies almost the entire coastline of the plain of Marana. Many migratory birds use it as a place of step but especially for nesting, despite the proximity of a high urban concentration. At least one tenth of the area of the reserve is prohibited from any hunting and fishing. Eels and mullet are caught traditionally.

The Biguglia was occupied in ancient times by the Romans, then by the Pisani, finally by the Genoese.

Saint Malo

  

Les vagues dansent à tes pieds

Contre ces troncs inquiets

Qui servent à casser les vagues

Même quand les bateaux divaguent

 

Le sable est ainsi retenu

Devant Toi belle inconnue

Toute la douceur du Monde

Nous émerveille, et nous inonde

  

Domi

  

Saint Malo

   

The waves are dancing at your feet

Cons these trunks worried

Used to break the waves

Even when the boats wander

 

The sand is so successful

Before You beautiful stranger

All the sweetness of the World

We marvel at it, and we world

  

Domi

 

Fille d’Hestia

 

Mystica Salvaje www.facebook.com/mysticasalvaje

 

Jouant de la frontière entre performance et rituel, Fille d’Hestia est un conte pyrotechnique tissé de gestes et de lumière,

qui mêle le pouvoir expressif des arts du feu à ceux de la musique et de la danse.

 

Inspirée de légendes, de transes et de célébrations du monde entier, cette « rêverie sauvage » évoque la relation magique et symbolique que l’humain entretient

avec les éléments.

 

Fruit d’une longue expérience au sein de la compagnie La Salamandre, Mystica Salvaje est née en 2013

et propose des spectacles mêlant arts du geste, du feu et de la musique dans des scénographies poétiques et lumineuses.

  

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Festival de théâtre de rue de Lachine

 

www.theatrederue.ca

 

www.facebook.com/pg/theatrederuelachine

  

LE FESTIVAL

  

Depuis l’été 2008, l’arrondissement de Lachine est l’hôte de l’un des plus truculents événements culturels au Québec.

 

À chaque année, le Festival de théâtre de rue de Lachine tend à devenir un instant d'exploration, un moment de création: une rencontre artistique pluridisciplinaire hors des lieux consacrés.

 

Le Festival de théâtre de rue de Lachine encourage ainsi la création et la diffusion de spectacles dans des lieux non conventionnels.

  

Au centre de l'interrelation entre l’individu et son environnement, le Festival de théâtre de rue de Lachine redimensionne le contexte urbain.

 

En contact direct et continu avec un public diversifié, dans un esprit de diffusion plus étendue et d’une volonté de décloisonnement des genres, l'esprit de l’événement cite et rejoint celui de la fête populaire contemporaine — sans toutefois encourager un contenu aguicheur et nécessairement large public.

 

Pendant trois jours, le Festival de théâtre de rue de Lachine invite le spectateur à plonger dans la promesse d’une différence en perpétuelle mouvance.

 

En écrivant, en transcrivant et en correspondant avec les tissus urbains, les artistes invités construisent et marquent un théâtre de rue présent, à l’intersection des différents vecteurs de l’art.

 

Située en bordure du lac Saint-Louis, Lachine — de par sa géographie singulière, son riche patrimoine architectural, son passé industriel et culturel, ses rues commerciales et ses places publiques — est un terrain idéal pour l’expérimentation d’un art revendicateur de sa propre esthétique ainsi que pour le développement et l’analyse de nouvelles tendances en matière de théâtre de rue.

 

Les différents paysages urbains de Lachine servent donc de décors aux nombreux spectacles proposés.

EXPLORE 13-04-19 # 219

 

Servents bed in Chirk Castle,

Les dimensions de la cathédrale sont 80m de long pour 26m de large et 32,5m de haut. A l'intérieur, l'absence de déambulatoire caractérise les églises du Lyonnais.

 

La construction de l'édifice débute en 1165 par le mur du cloître. Les constructeurs se servent alors, pour partie, de blocs provenant des édifices romains, en particulier du forum, effondré au IXème siècle.

La nouvelle cathédrale se trouve sur l'emplacement d'une ancienne église, qui n'est détruite qu'au fur et à mesure de l'avancement des travaux, et dont on a retrouvé les traces dans le sous-sol (jardin archéologique).

 

Initialement, l'architecture est d'inspiration romane mais les travaux vont durer plus de trois cents ans. Le mariage entre les styles roman et gothique, voire gothique flamboyant, témoigne de cette longue construction. La chronologie est lisible à l'intérieur de la cathédrale : les parties occidentales sont romanes et plus l'on s'avance vers la façade, plus le style est gothique.

 

Construite sur un plan en croix latine, les parties les plus anciennes sont donc les plus proches de la Saône : l’abside, le choeur, les murs des chapelles absidiales et les parties basses du chevet et du transept.

Les deux tours orientales, les quatre premières travées de la nef et leur voûte sont achevées entre le XIIème siècle et premier tiers du XIIIème siècle.

 

Ce n'est qu'à partir de la seconde moitié du XIIIème siècle que le gothique s'impose totalement : sont alors réalisées, les voûtes du chevet, les verrières du choeur, les dernières travées de la nef et la façade occidentale.

Le raisin de Turpan

Turpan est réputée pour son raisin, dans toute la Chine. Les habitants de Tourfan ont appris l’art viticole au contact des Perses rencontrés sur la Route de la Soie. Il est possible de visiter la Vallée du Raisin située au Nord de la ville. Différents bâtiments sommaires sont dispersés çà et là. Ce sont des séchoirs qui servent après les vendanges, c’est-à-dire au mois d’août, pour préparer les raisins secs. Les vignes et les champs de coton sont irrigués de manière très ingénieuse à l’aide des puits karez (karez=conduite). Le système consiste à utiliser les eaux des neiges fondues du Tian Shan. Des galeries souterraines amènent ensuite l’eau depuis le pied de la montagne. L’origine de cette technique reste assez mystérieuse : pour certains, elle serait ancestrale et d’origine perse. Pour d’autres, elle proviendrait des chinois pendant la dynastie des Qing. Il existe plus de 1000 puits et près de 1600 kilomètres de canalisations.

D'après diapositive.

Localisation approximative !

La cuisine thaïlandaise n'est pas uniforme d'un bout à l'autre du pays. Ainsi, les plats du sud, comme le curry jaune et le curry de rognons et poissons, sont les plus relevés. Dans les plaines du centre, la nourriture est plus douce, telle le sauté de poulet aux feuilles de basilic. Au nord, on retrouve une grande influence de la cuisine birmane, telle que dans le célèbre potage au curry et nouilles, le kaoh soi. Quant au nord-est, sa cuisine est bien que considérée à l'origine comme une cuisine paysanne, elle gagne de plus en plus en popularité et certains délices, comme la salade de papaye, som tam, sont connus et appréciés.

 

Autrefois, les Thaïlandais n'utilisaient ni cuillères, ni fourchettes, ni couteaux et mangeaient avec les doigts le repas posé sur une natte. De nos jours, ils se servent principalement de cuillères et fourchettes et n'utilisent les baguettes que pour manger les nouilles d'accompagnement.

 

Les Thaïlandais mettent l'accent sur les fruits au dessert. Ils les découpent selon une multitude de formes (animaux, étoiles, etc.) et les disposent de façon attrayante devant des invités pour finir les repas en beauté.

Champ de bataille de Culloden.;

National Trust for Scotland.

 

"Cette défaite entraina une répression sauvage qui valut à Cumberland le surnom de « boucher » (Butcher Cumberland). Il ordonna à ses hommes d'achever les blessés, les prisonniers et même des spectateurs qui étaient là en témoins. Les rescapés furent poursuivis avec acharnement, y compris Charles Édouard Stuart. Trente-deux d'entre eux s'étant réfugiés dans une grange, il y fit mettre le feu. Les maisons proches du champ de bataille furent systématiquement incendiées, pour qu'elles ne servent pas de refuges aux survivants. La répression dura plusieurs mois et on estime à plusieurs dizaines de milliers le nombre des victimes. Les plus hauts gradés furent emprisonnés à Inverness puis transportés à Londres pour y être jugés. Au total, 120 personnes de droit commun furent exécutées à Carlisle, York, et Kennington (Londres). Les officiers furent exécutés pour crime de haute trahison à Tower Hill. Par exemple, le 18 août 1746, William Boyd, 4e comte de Kilmarnock (en), et Arthur Elphinstone, seigneur de Balmerino (en), furent décapités à la hache. En juin 1747, une loi d'amnistie permit à 382 prisonniers d'être échangés contre des prisonniers détenus en France." (wikipédia)

Le khān ou caravansérail est une institution en relation avec l'organisation commerciale dans les pays islamiques.

On en connaît fort mal l'évolution, car les khāns sont situés bien souvent loin des routes actuelles.

Le khān naquit du besoin de se protéger contre le pillage dans des régions où nomades et montagnards faisaient régner l'insécurité. Distants en général d'une journée de marche, les khāns servent, sur les routes, de relais près des portes de la ville ; à l'intérieur des cités, ce sont des entrepôts et des hôtelleries. Le programme architectural concilie donc la sécurité des gens et des bêtes avec les commodités des entrepôts pour marchandises ; il comprend des écuries, des dépôts, des boutiques et souvent un bain, des chambres à coucher ainsi qu'un oratoire.

 

De l'extérieur, le khān a l'allure d'un fortin avec des tours à chaque angle, des façades aveugles renforcées par des contreforts, et une entrée monumentale parfois saillante. Le matériau de construction change selon les régions. Le plan, les dimensions, le nombre de logements évoluent selon les lieux et les époques. Ceux qui subsistent permettent de dégager des particularités architecturales de groupes typologiques.

 

Il y a les khāns seldjoukides d'Iran et d'Anatolie, les khāns ayyoubides de Syrie, les khāns mamelouks d'Égypte et de Syrie, ceux de la route du Pèlerinage, les khāns ilkhanides et séfévides d'Iran, enfin les khāns ottomans d'Asie antérieure.

 

"extrait Universalis"

(Les tuiles servent à couvrir les tas de sel )

Sicile, Italie

Au moment de l’accouplement, le mâle s’approche de la femelle avec beaucoup de précautions, respectant une distance de 4 cm pour prévenir toute attaque. Il arbore ses palpes, lesquels servent aussi d’organe copulatoire, et fait des signaux à la femelle. Celle-ci portera ses œufs dans un cocon de soie fixé à l’extrémité de l’opisthosome, ce qui n’entrave pas ses capacités prédatrices. Les jeunes araignées à l’éclosion restent fixées par un fil de soie à l’abdomen de la mère.

Dendrobate jaguar

Les dendrobates sont de très petites grenouilles originaires d’Amérique centrale et du Sud. Diurnes, elles peuplent majoritairement le sol et les parties inférieures des forêts tropicales où elles se nourrissent d’insectes. À partir de leur alimentation naturelle, elles produisent des toxines généralement très puissantes qui les rendent hautement toxiques pour d’éventuels prédateurs. Cette propriété a été utilisée par les indiens d’Amérique pour enduire les flèches de sarbacane de leur poison. Leurs couleurs vives servent ainsi d’avertissement de leur dangerosité et les prédateurs les évitent.

En sillonnant l'ancienne route de Charlevoix, il y a toutes sortes de vieux bâtiments. Des granges, garages, maisons. Certains servent encore, d'autres pas. Mais quel est cette histoire qui se rattache à toute ces constructions? Qui a vécu ici? Où sont les descendants...

 

While criss-crossing the old road of Charlevoix, there are all sorts of old buildings. Barns, garages, houses. Some still serve, others do not. But what is this story related to all these constructions? Who lived here? Where are the descendants ...

An Ti Case

 

A l'époque amérindienne, les Arawaks vivent dans des petits villages de huttes installés le plus souvent au bord d'un cour d'eau ou à proximité de la mer. Une hutte plus grande que les autres, "le Carbet", centralise la vie commune, tandis que d'autres, plus petites, "les Ajoupas", servent au repos. Par commodité et sécurité, la cuisine est séparée du reste des constructions. La conception de ces abris donnera des idées aux premiers colons. A leur arrivée sur l'île, ils commencent à édifier des "Cases" rustiques à pièce unique. Les façades sont faites de branchages tressés et parfois de torchis, une couverture végétale joue le rôle de toit, et un petit bâtiment extérieur accueille la cuisine. On les appelle "les case en gaulettes", dont certaines sont encore visibles dans le sud de la Martinique. Au fil du temps, les premières cases sont améliorées. Des planches recouvrent les façades et des tuiles sont utilisées pour la toiture. Les plus perfectionnées se voient dotées d'une base cimentée, plus confortable que la terre battue, et plus résistante à l'humidité et aux intempéries. Dans les agglomérations, là où les terrains sont onéreux, l'architecture de la case évolue en gagnant un étage. On parle alors de "maison de bourg". Le rez-de-chaussée est construit en ciment pour éviter la propagation des incendies, tandis que l'étage

reste en bois. Souvent, un balcon en fer forgé ou en bois vient agrémenter le tout.

 

source:

www.zananas-martinique.com

www.instagram.com/droneaxial/

 

www.droneaxial.com/prestation-photographie/

Rue des Moulins

au pied du château une ancienne ruelle devenue commerçante. La fontaine vue de face. Toutes les fontaines servent de l'eau potable.

 

Rue des Moulins

At the foot of the castle, an old alleyway that has become a shopping area. The fountain, face view, Drinking water is freely running from all fountains.

Croix d'extérieur. Eglise Notre-Dame de CHAMALIERES

Auvergne. Puy-de-Dôme. France

 

Provient de l'ancien cimetière.

Les tombes étaient ici.

On a gardé quelques pierres gravées à l'intérieur, qui servent de dallage. Une curiosité remarquable et émouvante.

La Croix belle, noble, pure de forme est en pierre de Volvic.

On repart de ce dépôt heureux remplie de joie du geste accompli pour Notre Seigneur et Sauveur.

"Les remorquers servent à guider, pousser ou tracter les gros bateaux, comme les ferries à l'entrée ou à la sortie d'un port maritime lorsque le navire ne peut pas réaliser seul son accostage ou quand il quitte le quai. Petits mais très puissants, ils peuvent bouger des navires bien plus gros qu'eux."

 

Port de Québec, province de Québec, Canada.

Ambalavao (Madagascar) - 98 % des malgaches utilisent le charbon de bois quotidiennement. Il est destiné à la cuisine. Comme la majorité de la population est sous le seuil de pauvreté, les familles en achètent de petites quantités. Ils alimentent le feu en l’associant parfois à des morceaux de bois de récupération.

Le charbon de bois est fabriqué dans les campagnes par les paysans. Théoriquement l’abattage des arbres est interdit. Alors, officiellement, ils récoltent du bois mort et le débarrassent de ses impuretés en le faisant brûler dans des bidons en ferraille de récupération qui ont contenu des hydrocarbures ou des lubrifiants chimiques.

 

Sur la photo, les assiettes et gamelles qui jonchent le sol servent de mesure pour une « unité de charbon de bois ». Les clients, pour la plupart, font l’acquisition d’une seule gamelle de charbon par jour. Deux, les jours de fête. Ces assiettes sont consignées. Ici, le moindre objet de récupération a une valeur.

L’unité de charbon ne coûte que quelques centimes d’euro. Mais ici, ce qui ne représente rien pour un occidental, pèse très lourd dans le budget de gens qui n’ont rien, ou presque, pour vivre.

 

Quand je suis arrivé pour faire des photos, la jeune vendeuse venait de se réveiller. Elle dort sur place la plupart du temps. On devine ce qui lui sert de lit à l’arrière plan. Quand cet enchevêtrement de bouts de bois ne lui sert pas de lit, il sert d’étalage ou de salle à manger quand la famille est réunie.

Selon la jeune fille, ses parents sont retournés à pied dans leur village à une trentaine de kilomètres d’Ambalavao pour fabriquer et rapporter de la matière première. Ils seront probablement de retour dans un ou deux jours.

 

The precious charcoal

 

Ambalavao (Madagascar) - 98% of Malagasy people use charcoal daily. It is intended for the kitchen. As the majority of the population is below the poverty line, families buy small quantities. They fuel the fire, sometimes combining it with pieces of salvaged wood.

 

Charcoal is made in the countryside by the peasants. Theoretically, the felling of trees is prohibited. So, officially, they harvest dead wood and rid it of its impurities by burning it in scrap metal recovery cans that have contained hydrocarbons or chemical lubricants.

 

In the photo, the plates and bowls littering the ground serve as a measure for a "unit of charcoal". Most buyers buy only one "coal bowl" per day. Two, on feast days. These plates are consigned. Here, every salvage item has value.

 

A unit of coal costs only a few cents. But here, which means nothing to a Westerner, weighs very heavily on the monthly budgets of people who have little or nothing to live on.

 

When I arrived to take pictures, the young saleswoman had just woken up. She sleeps there most of the time. We can guess what serves as his bed in the background. When this tangle of sticks doesn't serve as a bed, it serves as a display or dining room when the family is together.

 

According to what the young girl said, her parents returned on foot to their village about thirty kilometers from Ambalavao to manufacture and bring back raw materials. They'll probably be back in a day or two.

 

Le Chickee

La maison appelée « chickee » est une construction légère et aérée couverte de palmes ou de branches de cyprès, adaptée aux régions humides. Il existe des « chickees » qui servent de chambres, d’entrepôts ou de salles de réunion. (Au centre du village il y a un « chickee » de cuisine où chaque clan vient cuisiner en commun).

 

The Chickee

The house called "chickee" is a light and airy construction covered with palms or cypress branches, suitable for humid regions. There are "chickees" that serve as rooms, warehouses or meeting rooms. (In the center of the village there is a kitchen "chickee" where each clan comes to cook together).

 

Tu dis que les mots d'amour ne servent à rien

Qu'on devrait vivre sans penser à demain

Qu'on n'a pas le temps du malheur

Qu'on n'a pas le temps pour le malheur

 

Tu n'as pas de livres sur ton étagère

Tu ne connais ni ton nom ni ton père

Qu'on a le droit au bonheur

Qu'on a le droit au bonheur

 

Et j'ai marché dans le désert dans le fond de la mer

Je ne jamais rien connu d'aussi beau que toi

Et j'ai vu le désert et le fond de la mer

Je n'ai jamais rien connu d'aussi beau que toi

Raphaël

 

pascallechaudel.photodeck.com/

Le parc national des calanques a été créé le 18 avril 2012 par décret du premier ministre. Il est le dixième parc national de France. Situé aux portes de Marseille, il est le premier parc national péri-urbain d'Europe. Terrestre et marin, le périmètre du cœur de Parc s'étend sur trois communes : Marseille, Cassis, La Ciotat.

 

Au total, les espaces retenus par l’État s'étendent sur environ 8 500 hectares terrestres et 43 500 hectares marins1. Ce vaste espace inclut la plus haute falaise maritime d’Europe : le cap Canaille2.

 

Après une douzaine d'années de travaux préparatoires, le projet a été porté pendant trois ans en concertation avec les acteurs locaux par le Groupement d'intérêt public des calanques3.

La richesse des Calanques réside dans son extraordinaire héritage environnemental et culturel. Ce patrimoine est d’abord visible dans les paysages spectaculaires sculptés dans les falaises calcaires, les criques et les îlots. Le site jouit d’un grand succès auprès des randonneurs et des grimpeurs, et ne compte pas moins de 2500 voies d’escalade. Celles-ci ont notamment servi de terrain d’entraînement au célèbre alpiniste Gaston Rébuffat8.

 

Le Parc National des Calanques constitue également un lieu remarquable de protection de la faune et de la flore endémique du littoral provençal ou en voie de disparition. L’on peut citer entre autres, le corb, le mérou, la posidonie, l’aigle de Bonelli, etc9. Le statut des Calanques permet également une protection plus efficace du corail rouge contre le pillage en fond marin10. En interdisant l’accès à certains endroits, une grande diversité de faune et de flore peut être maintenue.

 

À travers son patrimoine historique11, on sait que les Calanques ont été habitées depuis la Préhistoire. En témoigne la célèbre grotte Cosquer, à l'accès immergé, où ont été retrouvées de nombreuses et exceptionnelles peintures rupestres de -37000 à -19000 ans12. Toutefois, le patrimoine culturel laissé par les habitants des Calanques prend surtout la forme des cabanons qui bordent le rivage. Ces maisonnettes typiques servent de lieux de villégiature à de nombreux habitants de la région et venir s’y reposer constitue une véritable tradition.

 

Calanques National Park is a national park located in southern France, established in 2012. It extends over 520 km2 (201 sq mi), of which 85 km2 (33 sq mi) is land, while the remaining is marine area.[1] It includes parts of the Massif des Calanques stretching between Marseille and Cassis

Un soir d'hivers au

Grau du Roi.

 

Le Grau-du-Roi, en occitan Lou Grau dóu Rèi, est une commune française située dans le sud-est de la France dans le département du Gard en région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées.

 

En 2013, la commune comptait 8 421 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1881. À partir du xxie siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année.

 

Le climat du Grau-du-Roi est de type méditerranéen, avec des hivers doux et humides, et des étés chauds et très secs. Même si les températures peuvent parfois être froides en hiver et très chaudes en été, celles-ci n'atteignent jamais les extrêmes, grâce à la proximité de la mer qui tempère le climat. Le record de froid est de −12 °C (le 10 février 1956), tandis que le record de chaleur est de 36,5 °C (le 21 juin 2003). Les précipitations sont peu fréquentes : on relève annuellement 55 jours de pluie, et seulement un jour de neige. On enregistre 249 jours de vent par an (surtout du mistral).

  

En 1854, Le Grau-du-Roi est encore simplement un hameau de pêcheurs. La pêche et l’agriculture assurent à la population quelques ressources : le tourisme reste embryonnaire, même si, depuis la seconde moitié du xixe siècle, la mode des bains de mer tend à se généraliser. Ces immersions sont encore essentiellement considérées comme traitements médicaux, et les instituts qui se sont montés sur les plages accueillent surtout des populations indigentes. Mais pouvoirs publics et habitants ont compris que leur richesse se trouvait là, sur ces plages de sable fin, entre mer et soleil. En 1855 une œuvre d'hygiène infantile est fondée « dans le but de faciliter aux personnes pauvres ou peu aisés, l'usage des bains de mer. Elle fut reconnue d'utilité publique en 1869 »5.

 

En 1909, le prolongement de la ligne de chemin de fer de Nîmes Aigues-Mortes est une véritable bouffée d’oxygène : les baigneurs arrivent nombreux et les productions locales, comme le poisson et le raisin blanc, sont enfin expédiées vers les marchés nationaux. Après des années d’efforts, de travaux et de règlements sanitaires, le 26 avril 1924, un décret du Président de la République classe enfin Le Grau-du-Roi station climatique et balnéaire. La première guerre mondiale a relativement épargné le village.

 

En septembre 1939, la Seconde Guerre mondiale marque beaucoup plus profondément la population. Après le défaite de 1940, le Grau est situé en zone non occupée. Cependant, à partir de novembre 1942, les troupes ennemies sont physiquement présentes et les conflits touchent directement les civils. Le Grau-du-Roi doit subir l’occupation, avec ce que cela implique de restrictions, de sacrifices et de compromissions. Le conseil municipal est rapidement révoqué pour être remplacé par une délégation spéciale. Cette même année, la vie du village passe par une nouvelle phase : les troupes allemandes s’installent sur tout le littoral. Une partie de la population est contrainte à l’exode. La côte gardoise représente juste une vingtaine de kilomètres, mais du fait des risques de débarquement, les ouvrages et les installations militaires sont particulièrement nombreux sur ces lieux. Ainsi, les plages de la commune sont hérissées de toutes sortes de systèmes antichars et de pyramides en béton, de blockhaus… 800 hectares de vignes et 200 hectares d’herbages sont transformés en champ de mines. Dans le village, les allemands font également construire des casemates abritant des canons et des mitrailleuses. L’entrée du canal est fermée par un filet anti sous-marin et une rampe lance-flammes. Les portes et les volets des maisons servent à fabriquer des plates-formes et des encuvements en bois. En 1944, les derniers mois d’occupation se révèlent les plus pénibles, car les troupes d’occupation, gagnées par la défaite, renforcent les brimades et les réquisitions. Le Grau-du-Roi est libéré au mois d’août.

 

Ce n'est qu'à partir des années 1960 que Le Grau-du-Roi surmonte véritablement les dégâts causés par la guerre. La station amorce alors un réel développement touristique et économique. Afin de rationaliser l’aménagement du littoral, l’État met alors en place le plan Racine. L’architecte Jean Balladur est chargé du dossier. Il doit imaginer des structures capables de satisfaire l’afflux touristique tout en respectant la qualité de vie des autochtones et en préservant l’environnement. C’est dans le cadre de ce programme que le grand chantier de Port Camargue est lancé en 1968.

La Mante religieuse (Mantis religiosa) est une espèce d'insectes de l'ordre des mantoptères (Mantodea) et de la famille des Mantidae.

La faune Française comporte une petite dizaine d'espèces, en l'occurrence méditerranéennes, et il n'est guère que notre "Mantis religiosa" pour s'accommoder de régions nettement plus nordiques, puisqu'elle "remonte" au niveau du Havre, et est connue d'Alsace.

La mante religieuse est un insecte diurne de 6 à 8 centimètres de long.

Les deux sexes sont aptes au vol, néanmoins, la femelle alourdie à l'approche de la ponte ne peut se déplacer que grâce à ses pattes postérieures qualifiées de déambulatoires.

Le mâle est plus petit que la femelle de 2 ou 3 centimètres mais son caractère très fluet donne souvent l'impression d'une disparité allant du simple au double.

Ses antennes sont plus longues et son abdomen est plus fin.

Ses pattes avant, appelées "ravisseuses", portent des piques et sont capables de se replier et se détendre vivement.

Elles servent à attraper les proies.

Elles servent aussi à accrocher la végétation afin de se hisser.

Les pattes ravisseuses sont un modèle du genre car en se "projetant" elles permettent de littéralement harponner la proie, grâce à un éperon courbe très puissant et acéré.

Sitôt l'attaque portée, les pattes se replient et le futur déjeuner se retrouve "coincé" au sein d'une double rangée d'épines là aussi très développées.

Le tout permet la capture de proies volumineuses, aptes à résister et se défendre, jusqu'à de petits oiseaux et des chauve-souris, et peuvent parfois faire des blessures plus ou moins importantes à la peau humaine.

La Mante religieuse n'est pas venimeuse, elle est inoffensive pour les humains, elle peut cependant mordre si on la manipule sans précaution.

Ses yeux écartés très développés et proéminents lui donnent une excellente vision en relief.

Contrairement aux autres insectes, la Mante peut faire pivoter sa tête à 180°, ce qui lui permet de suivre les déplacements de ses proies sans bouger le corps.

Elle possède deux yeux composés (ou à facettes) et trois ocelles (yeux simples) entre les antennes.

Le champ de vision de la Mante religieuse est quasi périscopique, et il n'est guère d' insectes pour soutenir la comparaison.

Cette particularité fait que la bestiole peut rester parfaitement immobile, et donc ne pas trahir sa présence, tout en ayant loisir de guetter l'arrivée d'une proie, d'où qu'elle vienne.

Sur les antennes siège le sens auditif , des sensilles spécialisées, en l'occurrence mécano-réceptrices qui captent les vibrations de l'air produites par le vol d'un insecte.

Ces sensilles, dites filiformes, sont d'ailleurs connues chez d'autres orthoptères.

On trouve des individus bruns ou verts dans les mêmes lieux. Par leur homochromie, elles peuvent aisément passer inaperçues dans leur milieu.

Ces caractéristiques font de cet insecte un spécialiste de la chasse à l'affût.

La mante religieuse ne vole pas très vite, ni très loin.

Elle ne manque pas de puissance dans les ailes.

Son thorax est frêle mais ses pattes antérieures et ses mandibules puissantes.

Elle n'acquiert ses ailes définitives que lors de la dernière mue, mais ne se lance jamais dans de longues migrations, elle chasse parfois les papillons de nuit jusque dans les maisons.

Parfois appelée "le tigre de l'herbe" en raison de ses mœurs voraces, la mante religieuse se nourrit d'insectes vivants qu'elle attrape avec ses pattes avant et immobilise en dévorant parfois d'abord ses ganglions cervicaux puis le reste du corps jusqu'à l'extrémité de l'abdomen.

Elle laisse les parties trop dures comme certaines ailes ou pattes.

Ses pièces buccales sont de type broyeur, ce qui lui permet de manger très facilement des proies parfois aussi grosses qu’elle.

Ses proies sont généralement d'autres insectes comme des criquets, sauterelles, papillons, abeilles, mouches…

En Europe, la mante religieuse devenue adulte s'accouple d'août à octobre.

Le mâle, comme tout animal s'approchant d'une mante, se fait parfois dévorer pendant ou après la copulation.

Plusieurs accouplements peuvent avoir lieu, mais un seul est nécessaire pour la fécondation.

Même après avoir eu la tête coupée, le mâle continue à copuler et transmettre ses spermatozoïdes.

En septembre, octobre ou novembre, la femelle pond 200 à 300 œufs.

Elle dépose une soie blanche, proche de la mousse de polyuréthane, sur un support comme une tige forte, une pierre ou un mur, et lui fait prendre la forme d'une structure en lamelles qui protège les œufs jusqu'au printemps

Cette structure s'appelle l'oothèque.

Au printemps (mai, juin) une centaine de larves émergent de l'oothèque.

Chacune d'entre elles est confinée dans une très fine membrane, et après s'en être libérée, elle ressemblera en tous points à l'adulte.

Celles-ci sont par ailleurs des proies faciles.

Une araignée, des fourmis, des lézards ou même des oiseaux peuvent ainsi attaquer les nouveau-nés dès l'éclosion.

Après six métamorphoses successives, l'insecte adulte porte des ailes, absentes jusque-là et la femelle est fécondable.

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El Gorg del Banyuts

Situat a la riera de Garfull, dessota la masia del Pla de la Molina, és un dels paratges naturals relacionats amb la llegenda del comte Arnau. En aquesta bassa Arnau tenia dos servents, en forma de boc, que vigilaven aquell que no fes cap bona obra, fins que un dia va matar-ne un, i l’altre, com a reacció, llençà el comte al gorg o “infern”. Arnau en surt cada nit amb el seu cavall de foc. Per aquesta raó el paratge és temut pels pastors i habitants de Gombrèn.

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El Gorg del Banyuts

Situado en la riera de Garfull, debajo de la masía del Plano de la Molina, es uno de los parajes naturales relacionados con la leyenda del conde Arnau. En esta balsa Arnau tenía dos sirvientes, en forma de macho cabrío, que vigilaban a aquel que no hiciera ninguna buena obra, hasta que un día mató uno, y el otro, como reacción, lanzó al conde al pozo o "infierno ". Arnau sale cada noche con su caballo de fuego. Por esta razón el paraje es temido por los pastores y habitantes de Gombrèn.

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The ”Banyuts” gorgue

Located at the creek called Garfull beneath the farmhouse “Pla de la Molina” is one of the natural spots related to the legend of the Count Arnau. In this pond, Arnau had two servants, in a goat shape, that werw to look after his actions, until he once killed one of them and the other one’s reaction was to push him down into the gorgue or “hell”. It is said that Arnau comes out of the gorgue riding his fire horse every night. For this reason, shepherds and inhabitants have traditionally been afraid of this sight.

 

Dès le 16ème siècle dans la vallée d'Itria dans les Pouilles les seigneurs locaux ont contraint les paysans appelés à défricher la région à construire leurs habitations avec pierres et lauzes très abondantes. Ces étonnantes demeures, les trulli, ont essaimé dans toute la région. A Alberobello elles occupent toute une colline et participent avec leur curiosité architecturale à la renommée de cette petite ville. De nombreux trulli ont été restaurés et servent de résidence pour les habitants, d'autres sont exploités à des fins commerciales sous forme d'hébergement pour touristes ou transformés en boutiques de souvenirs, d'autres encore, un bon tiers sont laissés à l'abandon.

"Plus élancées que les guêpes communes, les polistes s'en distinguent par leurs longues pattes traînantes en vol, leur taille plus longue, par le port des ailes différent, et surtout par leurs antennes en massue orangée (noires chez les guêpes). ... Elles ont un aiguillon venimeux dont elles se servent rarement contre les intrus, étant peu agressives. "

Merci wikipedia !

 

Il y en avait pas mal aujourd'hui de ces "Polistes dominula" (l'espèce la plus commune) sur ces ombellifères à fleurs vert jaunâtre le long du chemin. Où en fait elles font peut-être la chasse aux petits insectes à moins qu'elles soient à la recherche de nectar, bien qu'elles soient carnivores ? En regardant bien on distingue d'ailleurs entre les mandibules deux petites pattes d'une proie fraichement capturée ... à moins que ce soit juste deux petits appendices buccaux ??? Voilà vous en avez appris aujourd'hui autant sur les polistes que moi en les photographiant !

Cette œuvre digitale pouvant être intitulée "Entre deux personnes" est une composition abstraite qui semble explorer les thèmes de la connexion, de la fragmentation et de l'interaction humaine à travers une utilisation complexe de formes géométriques, de couleurs et de textures. Voici une analyse critique détaillée :

 

Couleurs et Émotions :

 

L'utilisation de couleurs froides, principalement des tons de bleu, crée une atmosphère calme et contemplative. Les touches de couleurs chaudes, comme les tons de rouge et d'orange, contrastent avec le bleu dominant, ajoutant une dimension émotionnelle et dynamique à l'œuvre.

Les couleurs semblent évoquer des émotions contrastées, allant de la sérénité à la passion, ce qui peut symboliser la complexité des relations humaines.

 

Formes Géométriques et Fragmentation :

 

Les formes géométriques, principalement des carrés et des rectangles, sont disposées de manière à créer un sentiment de fragmentation et de division. Cela peut symboliser les barrières et les distances qui existent parfois entre les individus.

Les lignes bleues qui traversent la composition ajoutent une touche de fluidité et de connexion, contrastant avec la rigidité des formes géométriques. Ces lignes peuvent représenter les liens et les interactions qui unissent les personnes malgré les divisions.

 

Textures et Profondeur :

 

Les différentes textures ajoutent une richesse visuelle à l'œuvre. Les motifs à carreaux et les textures granulaires créent un rythme visuel qui guide le spectateur à travers la composition.

L'utilisation de la superposition et de la transparence crée une sensation de profondeur et de complexité. Les formes et les motifs semblent se chevaucher et s'entrelacer, invitant le spectateur à explorer les différentes couches de la composition.

 

Équilibre et Harmonie :

 

Malgré la complexité et la fragmentation des éléments visuels, il y a un sens de l'équilibre et de l'harmonie dans la composition. Les formes et les couleurs sont distribuées de manière à créer une sensation d'ordre dans le chaos.

Les sections sombres et claires sont équilibrées, ajoutant une dimension de mystère et d'intrigue. Les lignes bleues servent de points focaux, attirant l'attention et guidant le spectateur à travers l'œuvre.

 

Symbolisme et Interprétation :

 

Le titre supposé "Entre deux personnes" suggèrerai que l'œuvre explore les dynamiques et les interactions entre les individus. Les formes géométriques fragmentées peuvent symboliser les différences et les distances.

Tous ces petits escorgots échappent à la déshydratation en s'éloignant du sol . Ils portent les noms poétiques de Limaçon de Pise , la Cochlicelle de Barbarie , les Clausilies , l'Escargot élégant , le Bulime tronqué ou encore le Zonite d'algérie , ils servent de nourriture à bon nombre d'oiseaux.......

Un joyeux Noël à tous mes amis et aux visiteurs que je ne connais pas (encore) ! A tous ceux qui passent par ma galerie, merci à ceux qui écrivent des sympathiques commentaires.

 

Une crèche de santons en argile Marcel Carbonel de 4 cm, estampés et peints à la main à Marseille....glanés au fil des ans sur internet et dans les brocantes.

Les maisons du village provençal qui servent de décor sont devenues hors de prix malheureusement ! C'était des pièces uniques faites et décorées à la main en France, de vraies œuvres d'art en céramique de Dominique Gault...mais elles ne sont plus fabriquées !

 

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