View allAll Photos Tagged Regression)

Regresso da Faina dos Pescadores de Castelo de Neiva

 

Inês Rocha' 11

TODOS OS DIREITOS RESERVADOS

Just to prove my building skills haven't regressed with all these old MOCs, here's some current WIPs. From right to left:

 

Red:

No one knows where Red came from or what she is, but they know that where she is found, a trail of disaster will follow. Matoran and Toa have been murdered in the streets, and witnesses have seen her absorbing something from them into herself. Some have theorized that either her mask or her sword have a power of Assimilation, using abilities from those she has killed.

Crossover from Transistor, if you couldn't tell. If you haven't played it, look it up! It's amazing!

Reference: supergiantgames.com/site/wp-content/uploads/Transistor_Wa...

 

Surek:

A young Toa of Plasma who washed ashore with a Matoran companion to an isolated village. The villagers were only too happy to welcome him with open arms, but he refuses to use his powers and often wakes in the night screaming. What shadowy past is he hiding?

I've given up all the cloak-and-dagger around Surek and I'll just show you what I've got. He wears a Kanohi Iden and wields Plasma Gauntlets and a Battle Shield. I'm really proud of how he's going so far, but I'm having trouble finishing him. It's always the waist down for me.

 

Illum:

After watching many of his own kind brutally killed by the Makuta, this Toa of Light has forsaken the name "Toa" and the commitments that come with it to bring his revenge to the Brotherhood.

After seeing MOCs like Oblivious' Aiven (flic.kr/p/oAS3Fm) and BioRays' Self MOC (flic.kr/p/fAyULa), I wanted to try something with a different color scheme and that awesome Zamor technique. I also haven't really used my TNGM yet.

 

So, that's what I'm up to. I hope to get at least one of them done by September 17 for the BZP Flickr Banner competition, but I'm not sure I will. I'm thinking of just abandoning Red, just because she isn't looking as nice as could be hoped and using the pieces for Illum, but let me know what you guys think. The stories seem a bit dark this time around, but it's just so fun to write them. Sometimes, the story is my favorite part of the MOC. If you need a story for one of your creations, let me know!

 

And thanks for reading all that.

 

Percez et vous verrez derrière le plérome, la monade, sorte de voute celeste à perforer pour comprendre ce mystère....le Soleil Spirituel, le Soleil des Pléiades. Notre Terre tourne autour du septième Soleil des Pléiades ; cela signifie, mes chers amis, que nous sommes des habitants des Pléiades, mais en totale involution car nous avons été ou sommes régressé par les maitres de la toile. Les addictions, engagements compulsifs dans une activité gratifiante du type porter un masque malgré la conscience de répercussions négatives, psychologiques ou biologique. de respirer du gaz carbonique et d’étouffer.

 

Tout tient aux circuits de récompense et à l'hormone du plaisir qu'est la dopamine. Pour échapper la psychose les gens se précipitent sur âme-à-zone. L'addiction à face-boucle est la maladie chronique du système de récompense du cerveau, provoquée par l'exposition continuelle à certaines substances et à la libération de dopamine qu'elle provoque. l'addiction au paniques est la même que celles provoquant une dépendance aux drogues ou à l'alcool.

 

Durant la dernière décennie, les techniques utilisées par les designers du numérique ont elles aussi évolué. Face-boucle, Tu-y-taire, notifications, likes, followers, scroll infini ou pull-to-refresh: de manière transparente ou sous forme de dark patterns, tout ou presque tourne désormais autour de la dopamine, du shoot de plaisir qu'elle déclenche et donc de l'engagement qu'elle provoque.... grâce due qu'au-vide ?

 

Parmi une infinité de méthodes, l'une des plus fameuses est nommée la compulsion loop, une boucle compulsive dont l'intitulé ne pourrait être plus clair.? Compulsion loop c’est la façon dont Baie-effet-aime passe en boucle ( loop) les journalistes masqués

 

Il faudra comprendre le corps physique comme une machine, forme mentale pour passer d’une dimension à une autre. Quand quelqu’un accepte que le corps est une forme mentale, cette forme mentale lui obéit ; mais tant qu’on s’identifie à cette forme, tant qu’on croit qu’elle est comme elle semble être, évidemment, on ne réussira jamais à entrer dans les dimensions supérieures à l'espace tridimensionnel.

 

L’homme lui-même est un caducée vivant, une baguette magique qui lui permet de maîriser et d’utiliser l’énergie cosmique mise à sa disposition. L’énergie qui nous est le plus directement accessible en tant qu’êtres humains est celle que nous pouvons trouver en nous-mêmes dès que nous tournons notre attention vers l’intérieur.Depuis le plus bas niveau (Malkout) qui est celui du magnétisme animal jusqu’aux rayonnements cosmiques supérieurs (Kéther), il existe une gamme étendue de courants électromagnétiques. Certaines forces sont naturellement en notre possession mais d’autres ne se livrent qu’au prix d’efforts d’élévation de la conscience et de sublimation de l’énergie sexuelle. C’est ainsi que les roues de nos chakras peuvent se mettre en mouvement les unes après les autres et que nous pouvons devenir des Initiés, des Maîtres du Vril. Ce n’est évidemment ni une question de race ni une question de couleur de peau car dans le passé, ceux qui ont réussi à développer cette maîtrise intérieure, les Maîtres "ascensionnés" appartenaient aussi bien à la race noire qu’à la race jaune et à la race blanche. Autre intuition, n’y a-t-il pas toujours deux sphinx pour garder une porte ? Comme on peut le voir dans le film "Histoire sans fin" et dans la trilogie "Le Seigneur des Anneaux". En Égypte on ne connaît qu’un seul Sphinx. Y en aurait t-il un deuxième "caché" quelque part ? De nos origines extraterrestres et de La Corrélation d’Orion ( d’apfès le Docteur Carrère d’Encausse plus connu sous le nom de Papus et François Brousse )

Selon différents médiums capables de lire dans les Archives Akhashiques (Edgar Cayce, Franz Bardon et Barbara Marciniak notamment), les trois pyramides de Gizeh auraient en effet été conçues pour permettre le voyage interdimensionnel à destination d’Orion et Sirius notre hameau voisin, visible en 3D et 8 fois plus loin de notre vrai soleil des Pléiades.

 

Akhasha et Monade sont un même concept gnostique qui pourrait être imaginé comme une clef USB qui englobe notre globe terrestre et dans laquelle est inscrite toute la mémoire du Monde. Les médiums sont nos anciens alchimistes et voyagent dans l'inconscient collectif défini plus récemment par Carl Jung. Inconscient Collectif de 1928 et Akhasha de 10 000 avant JC sont la même chose )

Construites après l’engloutissement de l’Atlantide (il y a plus de 10000 ans, soit plus du double de l’âge que leur concèdent habituellement les scientifiques), elles auraient également servi de relais aux signaux émis sur les hyperfréquences par les habitants d’Orion.

Le fait que l’on retrouve ces analogies entre les trois pyramides de Gizeh et les trois étoiles du Baudrier d’Orion, semble démontrer la maîtrise d’une technologie fondée sur l’effet de résonance ; elle s’apparenterait à bien des égards à la méthode connue et pratiquée depuis la nuit des temps par certains sorciers et chamans, qui consiste à agir sur un individu à travers une statuette ou une figurine sensée le représenter en réduction et grâce à laquelle ils réussissent à agir sur ses corps subtils.

 

Dans tout l’incommensurable infini existent les Pléiades que les astronomes voient avec leurs télescopes, et nous, les terriens, vivons dans un petit monde insignifiant appelé Terre, qui tourne autour du septième Soleil des Pléiades. Et c’est un Soleil situé dans la Quatrième Verticale, le Soleil Spirituel des Pléiades, qui nous gouverne. Ainsi, notre monde est dirigé depuis la Quatrième Verticale, et non seulement celui-ci, mais toutes les Pléiades.

 

Il existe aussi un autre Soleil que nous devons entendre et comprendre ; je me réfère au Soleil Central. Celui-ci est véritablement rempli de splendeurs ineffables ; ce Soleil Central qui dirige toutes les activités de cette Galaxie spiraloïde, se déroule précisément dans le Cosmos extraordinaire. Évidemment, toute la Galaxie tourne autour du Soleil Spirituel Sirius ; nous ne le nions pas, c’est ainsi. Nous ne nions pas non plus que les régents de cette constellation vivent précisément dans ce monde. Toute la Voie Lactée, en dernière synthèse, est réellement gouvernée par le Soleil Central, un Soleil Spirituel, un Soleil qui n’est pas physique. Voyez qu’il y a des mondes, qu’il y a des soleils qui ne sont pas de cette région tridimensionnelle d’Euclide.

 

Que dire du Soleil Central Spirituel ? Nous savons bien que toutes les galaxies vues à travers les télescopes sont, en réalité, gouvernées par le Soleil Central Spirituel. Il existe un infini, nous ne le nions pas ; cet infini splendide et merveilleux dans lequel nous vivons, nous nous déplaçons et avons notre Être, a une limite. Souvenons-nous, en ce moment, d’Einstein, lorsqu’il a dit que « l’espace est courbe », lorsqu’il a dit que « l’infini tend à une limite ». Il est certain que cet infini a aux alentours de cent mille galaxies et chaque galaxie une somme de cent mille soleils. Mais tout cet infini dans lequel nous vivons, nous nous déplaçons et avons notre Être, a une limite ; au-delà de cette limite, il y a un espace vide, et bien au-delà de cet espace vide, s’ouvre un autre infini, et bien au-delà de cet autre infini, il y a un autre espace vide ; et ensuite un autre infini, et ainsi à tout jamais.

 

L' infini illimité dans lequel nous vivons, nous nous déplaçons et avons notre Être est gouverné par le Soleil Central Spirituel, par le Soleil Sacré Absolu, qui n’est pas physique ; que dans ce Soleil demeurent les intelligences divines qui gouvernent l’espace cosmique. Or, en réalité, celui qui apprend à pénétrer avec son corps physique dans ce "Jardin des Hespérides" pourra vérifier directement par lui-même l’existence de ces soleils majestueux qui éclairent extraordinairement l’espace qui n’a jamais de limites. Le conduit sud de Kheops vise le Baudrier d’Orion ; l’étoile à gauche est Sirius et celle dans la paume tendue est Aldebaran (Source : Revue Kadath : printemps-été 2000).

 

Ensemble, ils figurent la première lettre de l’alphabet hiératique, qui correspond au Aleph des Kabbalistes.

Les Égyptiens ne considéraient pas les étoiles du firmament comme ces corps célestes lointains, plus ou moins morts, plus ou moins inaccessibles, que les scientifiques s’entêtent à vouloir nous présenter, mais comme des Êtres spirituels et vivants, habités de myriades d’entités avec lesquelles les hiérophantes savaient communiquer. Ils étaient capables de les identifier d’après leur fréquence vibratoire, et de canaliser leur énergie pour accomplir des travaux gigantesques, ce qu’ils firent en leur temps… Hermes-Thot dit Hermès Trismégiste (d’après une visualisation akhashique de Franz Bardon) Il était « Trismégiste » c’est-à-dire trois fois grand parce qu’il avait la Connaissance des Trois Mondes. Toute la théorie scientifique actuelle, selon laquelle l’évolution culturelle de l’humanité est fondée sur une chronologie de civilisation dont l’origine ne remonterait pas au-delà de Sumer, soit 4000 ans avant Jésus-Christ tout au plus, repose sur l’approche darwinienne de l’évolution et sa vision matérialiste.

 

Le darwinisme a progressivement été érigé en tant que religion, afin de maintenir les populations de la planète dans l’ignorance des plus grandes vérités. La technique est au fond assez simple : les chercheurs sincères et véridiques sont maintenus à l’écart aussi longtemps qu’ils ne sont pas accrédités ; les accréditations s’obtiennent auprès de groupes de notables financés grâce à des fonds internationaux. Or ces fonds proviennent pour l’essentiel du réseau bancaire noyauté par les Barons de l’Ombre. Et les notables qui gèrent ces différents organismes savent fort bien qu’ils ne conserveront eux-mêmes leurs privilèges qu’à la condition de rester fidèles à l’idéologie matérialiste luciférienne. C’est ce que l’on a appelé « la police des idées ». Mais depuis quelques années, les conditions sont heureusement en train de changer : il semble en effet avoir été décidé par les Êtres évolués qui nous guident et nous surveillent que les peuples de la Terre doivent être amenés à un éveil de conscience rapide. Et toute la vérité devrait finir par être révélée au cours de la décennie qui vient de commencer.

 

Dans la Bible, les Sphinx sont appelés des "Chérubins" ou "Khéroubim" et sont les gardiens du Paradis Terrestres.La porte en Égypte est possiblement une porte permettant un transfert physique d’un endroit à un autre. Mais, il semble bien que cette porte ne s’ouvre pas n’importe quand. Pas très pratique pour voyager comme on veut et quand on veut.

Mais, il existe une autre porte, d’une autre nature que chacun porte en soi et qui permettrait à la conscience de voyager partout dans l’univers, n'importe quand !

Connaitre cette porte c'est réaliser que nous ne somme pas prisonnier de la Terre. Il est possible de la quitter à tout moment, du moins en conscience.

Depuis toujours le songe est un voyage la nuit dans un autre monde mais jamais encore il n’avait réalisé comment il y parvenait. C’est en posant la question à des amis d'ailleurs qu'on lui on révélé simplement , bien amusé, que c’est en activant son Chakkra du Coeur qu'il passe par un "Trou de ver" - ou "Trou de Serpent"- que sa conscience traverse la toile de l'Espace/Temps (ici appelé "Toile de Spandex").

Voici une anecdote étonnante d’un chercheur à ce sujet. Un matin du mois de mars 2008, sa compagne, se réveilla avant lui. Il était très tôt le matin.(4 hrs environ) Elle remarqua une étrange lueur sur la poitrine de son compagnon, au niveau du chakra cardiaque.

Elle passa sa main pour voir s’il ne s’agissait pas d’un reflet. Mais, la lumière restait là. C’était une lumière émeraude avec des pointes violacée. La lumière resta visible pendant une bonne demi-heure puis commença à diminuer graduellement pour s’éteindre au moment où le chercheur sortait du sommeil.

 

La science égyptienne a étudié les propriétés des fluides spirituels et leur action sur la matière. Elle a démontré l'existence d’un aérosome, sorte de corps flottant ou d’aura, soupçonné dès l'antiquité, et désigné par saint Paul sous le nom de Corps spirituel, c'est-à-dire de corps fluidique de l'âme après la destruction du corps tangible. On sait aujourd'hui que cette enveloppe est inséparable de l'âme ; qu'elle est un des éléments constitutifs de l'être humain ; qu'elle est le véhicule de transmission de la pensée, et que, pendant la vie du corps, elle sert de lien entre l'Esprit et la matière. L’aérosome joue un rôle si important dans l'organisme et dans une foule d'affections, qu'il se lie à la physiologie aussi bien qu'à la psychologie. On le représente avec des ailes.

 

Je résume la fin pour te dire que l’ange (ce fluide relié au soleil central) nous vient du culte de Mithra qui a inspiré la religion égyptienne puis juive et venir jusqu'à nous avec le mot ange qui nous vient d’Hermes, un genre de voyageur pour les manuels laïques récents mais qui en fait ressemble aux hiérophantes, c’est à dire aux prêtres égyptiens qui accompagnent les âmes pour les reconnecter au réseau wifi universel (unis vers le ciel)

 

Hermes possède en effet deux petites ailes comme nos anges il apporte des messages, des songes? Venus d’ailleurs ou d'ici-bas ? Je te laisse songer si tu as des ailes sinon je fonce sur le dictionnaire logique pour décortiquer le mot ange. Tiens c’est bizarre le mot ange chez les peuple sémites (nos ancêtres culturels ) Malak veut dire ange ou l’inverse si tu penses être le centre du Monde. Mokaël, est l'équivalent de Malaki, ce qui veut dire « mon envoyé ». Mikaël signifie « l'ange dans lequel est Dieu », «qui est comme Dieu », (El veut dire Dieu). Michel est considéré comme le chef des milices célestes, il est l'un des rares membres des puissances invisible. Michel (Mikaël) est identique à Métatron. On sait peu de choses sur l'origine du nom Metatron.

 

L'ésotériste René Guénon qui a baigné dans la culture orientale pense que Métatron est dérivé du chal-daïque Mithra qui signifie « pluie » ou «rosée » et par sa racine a un certain rapport avec la « lumière ». Mithra est aussi le nom de cette religion qui a inspiré l’Egypte et finalement le christianisme primitif que Rome aura glorifié plus que on nous l’enseigne et le Vatican aurait détruit la résistance des Cathares . La pensée la plus répandue place Metatron comme le Prince (ou l'Ange) de la Présence, comme Michel l'archange, ou comme la transformation d'Enoch après son ascension au ciel[1, 2, 3] Dans le texte, 3 Enoch, nous trouvons, " Enoch, dont la chair fut transformée en flamme, ses veines en feu, ses yeux à coups de bâtons, ses yeux à coups de fusées de la foudre, ses yeux-boules en flammèche et que Dieu mit sur un trône près du trône de gloire, reçu après cette transformation divine le Nom d’Enoch » Bref, tu dois comprendre que pour retrouver ton âme, il faut d’abord souffrir et surtout éviter de regarder en arrière; l’Esprit ajoute une lettre (h) de son nom à celui d’Ab-Ram et deviendra pour désigner sa transformation spirituelle. Ce concept est en outre souligné si curieusement que Metatron aurait été l'intermédiaire de Dieu pour empêcher Abraham d'offrir à Isaac un sacrifice dans la Bible. Dans l'Exode, Métatron est l'ange qui conduit les Israélites en Terre promise, dont Dieu dit : "Mon nom est en lui" (comme une vibration, proche de celle des battement d’aile) .

 

D'après Ibn al Arabi, René Guénon, Stanilas de la Gaïta, Papus François Brousse et Le livre des Morts

contagem regressiva para fim das férias! :/ dia 22 to saindo de viagem e fico fora até dia 30, ai volto a trabalhar.. vai ser bom pra relaxar :) essas minhas férias foram ótimas, deu pra aproveitar bastante.. mas bem que elas podiam durar mais! kkkk

I've only seen one photo of my Aunt Peggy when she was young, and in that she had a hat or scarf on, and looked like somewhat of a flapper from the 1920's! I had never met her until the 1960's when we once went to see her and Uncle Tim, my dad's brother, at their home on Long Island. I recall it was a BBQ, and she served grilled chicken with BBQ sauce which I liked, but Mom didn't.

 

After that, Aunt Peggy and Uncle Tim moved to Florida, and I didn't see them again until we moved down here in 1965. In the beginning, Mom would go visit them about once a month, and even though it wasn't more than 20 miles to their house, you'd think it was a life-changing event by how Mom thought of it! It always seemed like such a production!

 

Uncle Tim and Aunt Peggy were big into games. When we went to visit, I would get stuck playing Canasta by the hour as my mother's partner. I detested it, as I've never liked card games- or much of ANY kind of games- then or since! It got better when they decided that Yahtzee was more fun, but they would cheat, and it drove Mom nuts!

 

Aunt Peggy had such a sweet face that I wanted to try to make her a lot younger and see how she'd look. This pic is somewhere between the woman in her early photo that I can barely remember, and the older woman in the photo below. I believe she had dark hair when she was young, as that's what I recall from the flapper photo, but I have no way of knowing now. She was very fair skinned, so I don't know if she colored it when she was young or not! Age regression is more of a gut feeling kind of thing, and this is about what I think Aunt Peggy might have looked like in her late 30's- early 40's. It's hard to guess because she was one of those people who always looked old! She was probably about 64 in the pic below- only about 3 years older than I am! Makes me feel pretty well preserved!

Mimétisme d'une sauterelle avec son environnement.

********

Mimicry of a grasshopper with its environment.

 

----------------------------------------------------------------------------------------

Est une espèce d'insectes orthoptères ensifères de la famille des Tettigoniidae. C'est la plus grande sauterelle que l'on peut voir presque partout en France, où elle était autrefois très courante. Elle a fortement régressé ou disparu des zones d'agriculture intensive, surtout dans la partie nord du pays et au-delà des frontières, mais est toujours bien présente dans les lieux incultes enherbés ou buissonnants. Les puissantes stridulations des mâles, émises dès juillet par temps assez chaud, sont caractéristiques.

Regresso da Faina dos Pescadores de Castelo de Neiva

 

Inês Rocha' 11

TODOS OS DIREITOS RESERVADOS

Me photographing a bubble in front of a window. The window is blacked out (a black shirt is hanging behind the glass) to reflect light back onto the bubble and myself. Dark backgrounds (like the window) allow the bubbles' colours to be seen clearly. Photographing bubbles is all about having good lighting conditions.

miss the days when all that mattered where crayons, puppies, princesses, and boys were gross.

Regresso da Faina dos Pescadores de Castelo de Neiva

 

Inês Rocha' 11

TODOS OS DIREITOS RESERVADOS

A história da freguesia do Salvador de Bouças de Matosinhos entronca na história do desaparecido Mosteiro de Sam Salvador de Bouças onde se venerou durante séculos a imagem do Senhor de Bouças:

a referência mais antiga a este mosteiro foi feita num contrato entre ele e a Igreja de Sam Martinho de Aldoar no ano de 944;

em 1120, um documento do Papa Calisto II referiu-o como sendo uma das casas religiosas do Bispado do Porto no Condado Portucalense, juntamente com o Mosteiro de Leça do Balio e o de Sam Salvador de Lavra;

no seu último testamento da Era de 1248 (ano de Cristo de 1210), o rei D. Sancho I (Coimbra, 11/11/1154 - Coimbra, 26/03/1212) doou à sua filha mais nova dos seus 11 filhos legítimos, D. Mafalda Sanches que era neta de D. Afonso Henriques, o Mosteiro de Bouças e o de Arouca, a herdade de Seia que fora de sua mãe, 40 000 maravedis e 200 marcos de prata;

D. Mafalda Sanches (Coimbra, cerca de 1197 - Mosteiro de Arouca, 1257), Infanta de Portugal, casou em 1215 com Henrique de Castela, mas este faleceu em 1217 e o casamento foi anulado pelo Papa em 1216 tendo Mafalda Sanches entrado no Convento de Arouca como religiosa quando já reinava o seu irmão D. Afonso II, tal como 3 das suas irmãs (foi beatificada em 1793, e terá residido em Bouças, nos arredores do mosteiro, antes de 1216, tendo tentado reformá-lo).

Após a sua morte em 1257, já durante o reinado do seu sobrinho D. Afonso III, só se sabe que o sucessor deste, D. Dinis, doou as casas da falecida D. Mafalda Sanches e o Mosteiro de Bouças a D. Giraldo Domingues, Bispo do Porto entre 1300 e 1308:

ele foi assassinado a 05/03/1331 na então vila de Estremoz pelos Barrettos e outros após as desordens civis do final do reinado de D. Dinis, quando era Bispo de Évora desde 1313/14, por ter apregoado então a concórdia entre o monarca e o seu bastardo, D. Afonso Sanches, e o príncipe herdeiro D. Afonso;

em 1331, antes de ser assassinado já durante o reinado de D. Afonso IV, D. Giraldo Domingues pediu para ser sepultado 'à sombra dos braços do Crucifixo de Bouças', o que veio a acontecer ao ter sido sepultado em túmulo na Capela-Mor do Mosteiro de Salvador de Bouças e ao ter sido feita a sua vontade de que nessa capela mor passasse a haver 5 Capelães que rezassem em coro as horas canónicas e que tivessem a obrigação de missa contínua por si, pelo falecido rei D. Dinis e pelos seus antepassados sendo sustentados pelo Reitor do mosteiro.

Em 1343, Marianna Vicente, a viver em Baiona na Galiza, fez um testamento onde exigia que o seu marido Pero Eannes, ou alguém que o substituísse se ele não pudesse ir, fosse após a sua morte em peregrinação pela sua alma ao Crucifixo de Sam Salvador de Bouças e a Santiago (de Compostela):

assim, já na 1.ª metade do séc. XIV, estava enraizado também na Galiza o culto a Sam Salvador de Bouças, a imagem de Jesus Cristo que já estava há muito tempo no Mosteiro de Bouças.

A imagem do Senhor de Bouças foi levada em procissão solene à cidade do Porto várias vezes em situações fatídicas para o Porto e a pedido das gentes da cidade, fosse por calamidades de origem climatérica, fosse por doenças infetocontagiosas:

a 1.ª vez de que se tem conhecimento foi em 1526, ano de tanta chuva em Portugal que levou à perda da maior parte das searas e a muitas cheias fluviais.

A 20/06/1542, a Bula e o Breve 'Superna Dipositione' do Papa Paulo III confirmaram a anexação per´´etua da Igreja de Sam Salvador do Crucifixo de Bouças (o Mosteiro de Bouças) ao Padroado da Universidade de Coimbra (UC) feita em 1542 pelo rei D. João III.

Por volta de 1550, encontrando-se o Mosteiro de Bouças (ou Igreja de Sam Salvador do Crucifixo de Bouças) em estado debilitado e a necessitar de ser substituído, pois teria sido reconstruído/a cerca de 300 anos antes durante o séc. XIII no lugar de Bouças de Baixo, a UC decidiu a construção de uma nova igreja a poucos metros do referido mosteiro, mas já no lugar de Matosinhos:

a 01/07/1559, a UC outorgava através do seu Reitor João de Almeida, a João de Ruão, a construção da nova Igreja Parochial de Sam Salvador do Crucifixo de Bouças por 1350 mil reis num prazo de 4 anos no lugar de Matosinhos e deu-lhe autorização para requerer oficiais, servidores, barcas, navios, carros, achegas e outras coisas necessárias a essa construção;

mas esta construção não começou logo, pois só em 1560 se deslocaram ao lugar de Matosinhos João de Ruão e os Vedor e Contador da UC para verem o 'assento e chão que está declarado em que se há de fazer a Igreja do Salvador de Bouças';

a 10/09/1560,

a 20/06/1562,

a 14/10/1562,

a 02/06/1572,

a 03/06/1572,

a 09/07/1572,

a 21/06/1575,

em 1583,

a 07/09/1596 e a 07/10/1596, 2 contratos feitos pela UC mostram que

a partir de 1596, .

A imagem do Senhor de Bouças foi então transferida do antigo Mosteiro de Bouças, ainda no séc. XVI, para a mova igreja entretanto construída à entrada do lugar de Mathozinhos numa 'amena e dilatada planície de altos e frondosos alamos':

Em 1609, quando já era Guarda-Mor da Livraria do Estudo desde 1602, o presbítero e bacharel em Cânones Pedro Mariz fez a 1.ª descrição iconográfica da imagem do Senhor de Bouças, já no lugar de Matosinhos na igreja que substituiu o Mosteiro de Bouças, no Capítulo XI do seu livro 'História do Bem-aventurado Sam João de Sahagun, Patrão Salamantino' que está disponível na net para transferência em PDF;

a 2.ª referência à nova igreja e à Confraria do Santo Crucifixo de Bouças que foi criada nessa igreja em 1607 ou antes, foi em novembro de 1607 quando uma Bula do Papa Paulo V instituiu canonicamente essa confraria e concedeu-lhe várias indulgências.

Continuando Reitoria em abril de 1623, ano em que o Reitor do Mosteiro do Salvador de Bouças de Matosinhos era o padre Manoel Marques e o Coadjutor era o padre Francisco Gomes, nele se venerava a imagem do Senhor de Bouças, nomeadamente a 3 de maio de cada ano, o Dia da Cruz (era o dia principal das festas do Espírito Santo com o Senhor de Bouças a ser venerado).

Como já foi referido, a imagem do Senhor de Bouças foi levada em procissão solene à cidade do Porto várias vezes em situações fatídicas para o Porto e a pedido das gentes da cidade, fosse por calamidades de origem climatérica, fosse por doenças infetocontagiosas:

a 2.ª vez de que se tem conhecimento foi a 07/06/1585, sendo Coadjutor o padre Leonardo Afonso há pelo menos 8 anos;

a 31/05/1596, continuando o padre Leonardo Afonso a ser o Coadjutor, e a 20/06/1644 sendo Reitor o padre Francisco Rodriguez, a imagem foi levada de novo em procissão até ao Porto pelos mesmos motivos;

em 1694, depois de meados de abril, a imagem voltou a ser levada em procissão até ao Porto pela 5.ª vez;

a 03/05/1696, o Padre Frei Bento de Santa Maria (monge de São Bento e prelado da Foz, natural da então vila de Guimarães), fez um grande sermão na Igreja que estava repleta de peregrinos vindos de todo o país.

A 6.ª deslocação da imagem do Salvador de Bouças de Matosinhos, até à Sé do Porto, a 02/04/1696 quando era Reitor Antonio Coelho de Freytas (nascido em Coimbra e batizado na Paróquia de Sam Pedro, estudou Direito Pontifício na UC onde se formou bacharel, tendo sido provido pela UC Reitor e Capelão da Igreja de Sam Salvador de Bouças de Mathozinhos em 1682 onde permaneceu até ao seu falecimento a 24/12/1736 depois de ter feito testamento e foi então sepultado nessa igreja com ofício de corpo presente por todos os padres de Mathozinhos e de Leça e ainda pelos religiosos do Convento de Nossa Senhora da Conceição) que escreveu o livro 'Tratado da veneranda, et prodigiosa imagem do Senhor de Bouças de Matozinhos, em que se contem o manifesto da Procissaõ solemne, em que foi levada à Cidade de Porto pella necessidade dsa doenças', em 2. de Abril do anno de 1696 (escrito pello Reytor da sua Igreja, & capellão seu Antonio Coelho de Freytas, aprovado por Exame Privado na faculdade dos Sagrados Canones e dedicado ao mesmo senhor. - Em Coimbra: na Officina de Joseph Ferreyra Impressor da Universidade, & do S. Officio, 1699):

a 24/03/1696, os senhores do Senado da cidade do Porto (Francisco de Andrada da Sylva, Luis Freire de Saa, Thomè da Sylva Baldaya e João Monteiro de Proença) enviaram uma carta aos Juiz, Tesoureiro, Mordomos e demais Oficiais da Confraria do Senhor de Bouças propondo o dia de 28 de março para a procissão solene com a imagem do Senhor de Bouças, entre a Igreja de N.ª S.ª da Graça dos Meninos Órfãos e a Sé do Porto;

a Mesa da Confraria do Senhor de Bouças respondeu de imediato que nesse dia não poderia ser, contrapondo 02/04/1696;

a 01/04/1696, foi então a imagem do Senhor de Bouças retirada da Igreja de Sam Salvador de Bouças de Matosinhos e colocada num andor que partiu para o Porto às 05H00 de 02/04/1696 rodeado por 12 lanternas de prata seguradas pelos Tesoureiro, escrivão e procurador da Confraria do Senhor de Bouças, e levado por 16 sacerdotes com sobrepelizes e estolas;

passou a procissão solene pela Ermida da Senhora da Ora, em direção à freguesia da antiga Colegiada de Cedofeita, tendo a procissão chegado às 10H00 ao Terreiro do Carmo aonde foi ter o Bispo do Porto que então acompanhou a procissão solene no resto do caminho até à Sé onde chegou por volta do meio dia;

terminada a Missa Solene às 14H00, saiu a procissão da Sé tendo passado por outras ruas da cidade até voltar ao Terreiro do Carmo e regressar à Igreja de Matosinhos aonde chegou por volta da meia hora da noite (já 03/04/1696);

a imagem do Senhor de Bouças ficou exposta a todos até à tarde de 03/04/1696, realizou-se de manhã Missa Solene em Ação de Graças e só então foi recolhida a imagem e posta de novo no seu lugar dentro da igreja.

Em agosto de 1688, um Alvará do rei D. Pedro II concedeu à Confraria do Santo Crucifixo de Bouças o título de 'Real Confraria do santo Crucifixo de Bouças'.

A igreja foi objeto de inúmeras alterações até à atualidade, destacando-se as intervenções no séc. XVIII devidas à crescente importância da devoção ao Senhor de Bouças, particularmente entre aqueles que demandavam as terras do Brasil:

a 25/09/1726, intervenção de Luiz Pereira da Costa, famoso entalhador setecentista, a quem se devem as obras de remodelação e o acrescento da capela-mor a partir de 1726;

grandes obras de ampliação e restauro da primitiva igreja, a cargo do arquiteto italiano Nicolau Nasoni a partir de 1743.

A notável combinação de volumes, estruturas e pormenores compositivos acentuam o aspeto cenográfico da fachada principal, desenhada de forma a acentuar a horizontalidade da construção e as características barrocas ao gosto nasoniano. São de admirar as 2 torres sineiras, o frontão quebrado, a porta principal decorada com medalhão, no qual se insere uma concha de vieira e os dois nichos laterais que contêm as estátuas de S. Pedro e S. Paulo.

No espaço interior, dividido em 3 naves, destaca-se o imponente altar-mor de talha dourada que integra na parte central um nicho com uma imagem de Cristo crucificado atribuída aos séc. XII / XIII: trata-se de uma escultura em madeira oca, com cerca de 2 m de altura e muito curiosa, dada a assimetria simbólica do olhar, já que o olho esquerdo se dirige para o Céu e o direito para a Terra, numa clara simbiose entre Deus e o Homem.

A 18/05/1875, a família real (o rei D. Luiz I, a rainha e os infantes D. Carlos e D. Afonso) ajoelhou-se e rezou em frente da veneranda imagem do Bom Jesus de Matosinhos nesta igreja.

Em 1881, o padre Joaquim Antunes de Azevedo descrevia assim nas suas 'Memórias de Tempos Idos' a Romaria do Senhor de Matosinhos:

ainda há poucos anos, saía um procissão ao Senhor da Areia (ou Senhor do Padrão, acrescento eu) no fim da Missa Solene realizada anualmente em cada terça-feira seguinte ao Domingo do Espírito Santo;

só a partir de 1844, é que a Romaria do Senhor de Matosinhos passou a ser realizada também no Domingo de Pentecostes (até então, era apenas nas segunda e terça feiras seguintes);

há uns anos atrás, por má administração temporária das esmolas do santuário, esta romaria esteve em decadência, o que já não se verificava em 1881 quando o Mestre das Festas foi o conhecido padre matosinhense Miguel Jose de Oliveira e funcionou pela 1.ª vez a escola gratuita para 'os filhos dos irmãos' (a escola do Adro, acrescento eu).

Aeronave regressa a Base Aérea de Campo Grande após cumprir missão de patrulhamento na fronteira.

 

052113175127

Would you pay life's pleasure to see me?

Does it hurt?

For I want you to remain

I run your hair through, in another decade

Sumerland holds me, in Sumerian haze

 

Pain in the places where the lovers mourned

Arranging the playthings, up and down the hall

Forever remain, for every day

My honour remains

Forever remain

 

Between the spaces, along the wall

Appearing faces, that dissapear at dawn

We're getting closer. I can see the door

Closer and closer

Kthulhu calls

Forever remain (x4)

 

You'll seek it

It'll take awhile

You'll seek it

If it's a thousand miles

Take what fate brings

Eternal and desire

I'll change those faces, then I'll take their smile

We're getting close now

I can see the door

Closer and closer

Or is it there at all?

Forever remain (x4)

 

This could be my last regress

Last exit for the lost

This could be my last regress

Last exit for the lost (x2)

 

Closer (x2)

 

And we're getting closer, for all the lost

And we're getting close now

Forever lost

This could be my last regress

Precious for the lost

This could be my last regress

Precious for the lost

And we're getting closer

And we're getting close now

Last exit for the lost

And we're getting closer

Closer and closer

Last exit for the lost (x2)

This could be my last regress

Precious

(Closer) This could be my last regress

And we're getting closer

Closer and closer

Closer

 

Fields of the Nephilim

REPRODUÇÃO E QUALQUER TIPO DE USO PROIBIDOS

® Todos os direitos reservados.

Lei de Direitos Autorais n° 9.610/98

All the images on my Flickr page are inclosed on international copyright laws.

All rights reserved.

 

Por favor, não copie, não faça links sem minha permissão....Obrigada...

Please, don´t copy, don´t link without my permission.....Thanks....

---------------------------------------------------------------------- -------------------------------------

Simone

  

Então é Natal, e o que você fez?

O ano termina, e nasce outra vez

Então é Natal, a festa Cristã

Do velho e do novo, do amor como um todo

Então bom Natal, e um ano novo também

Que seja feliz quem souber o que é o bem

 

Então é Natal, pro enfermo e pro são

Pro rico e pro pobre, num só coração

Então bom Natal, pro branco e pro negro

Amarelo e vermelho, pra paz afinal

Então bom Natal, e um ano novo também

Que seja feliz quem, souber o que é o bem

 

Então é Natal, o que a gente fez?

O ano termina, e começa outra vez

Então é Natal, a festa Cristã

Do velho e do novo, o amor como um todo

Então bom Natal, e um ano novo também

Que seja feliz quem, souber o que é o bem

 

Harehama, há quem ama

Harehama, ha

Então é Natal, e o que você fez?

O ano termina, e nasce outra vez

Hiroshima, Nagasaki, Mururoa, ha...

 

É Natal, é Natal, é Natal

   

Em pleno século XIX, a Chapelaria a Vapor Costa Braga & Filhos foi outro exemplo dos investimentos industriais de emigrantes portugueses no Brasil regressados a Portugal após enriquecerem:

após uma estadia de 24 anos no Brasil, onde esteve ligado à indústria dos chapéus e teve uma fábrica de chapéus com o seu conterrâneo José Antonio Fernandes Lopes (Braga), Francisco Autonio da Costa (Braga desde 1864, ano em que lhe foi deferido o seu requerimento 'pedindo a declaração, em sua carta de comerciante matriculado, 'acrescentar ao seu nome o apelido – Braga' porque acrescentar o nome do local de nascimento era uma forma de identificação tanto no ramo comercial como nos relacionamentos sociais por parte dos patrícios por meio de uma rede de solidariedade percebida nos registros das atividades comerciais e industriais, sobretudo a partir de 1850) se desligou da sua fábrica em 1865 e voltou para Portugal fundando no Porto em 1866 uma fábrica de chapéus de seda e de feltro que tinha anexa uma loja comercial situada na R. de Santo António, n.º 194;

apostando num sector que registava ainda um grande sucesso na exportação para o Brasil, mais uma vez, o seu fundador

investiu nesta fábrica não apenas o capital financeiro indispensável, como também aplicou aqui os conhecimentos adquiridos no seu percurso migratório no Brasil;

O Imperador do Brasil, D. Pedro II, Visita à chapelaria do Sr. Costa Braga nos sprimeiros dias de março de 1872 -

«Pelas três horas da tarde o Imperador, acompanhado do ex."" barão de Itaúna e dr. Forbes, visitou esta chapelaria a vapor, estabelecida na rua de Santo António.

O sr. Costa Braga e seus filhos receberam o imperial visitante com as maiores demonstrações de gratidão e respeito, e muito mais penhorados ficaram pela nimia delicadeza de Sua Majestade em querer conhecer pessoalmente a esposa do sr. Costa Braga, a qual, sendo-lhe apresentada, houve por bem Sua Majestade inquirir sobre a sua naturalidade, vindo a saber que é natural do Rio de Janeiro, e baptizada na freguezia de Santa Rita. Em seguida visitou as officinas dos propiagistas e costureiras, dos fulistas (onde pediu para ver moldar um chapéu), do salão dos arcos mecânicos, e das machinas de Soufleuse e de afinar. Sua Majestade fez varias perguntas aos operários com aquella extrema delicadeza e bondade inimitável que nelle é proverbial. Depois passou ao salão, luxuosamente preparado, onde o sr. Costa Braga lhe mostrou os diversos productos manufacturados, que Sua Majestade minuciosamente examinou. Nesta occasião o sr. Costa Braga sollicitou a graça de consentir que neste estabelecimento se manufacturassem dois chapéus, um de seda e outro de feltro, para o uso de Sua Majestade, obtendo d'este não só o consentimento, mas a declaração que já tinha em vista a encommenda dos mesmos como uma memoria do grande aperfeiçoamento que notava neste estabelecimento, recommendando-lhe que a remessa d'elles fosse para o hotel Bragança, em Lisboa, até ao dia11 . Egual encommenda fez o sr. barão de Itaúna.

Aqui Sua Majestade entreteve demorada conversação com o sr. Costa Braga, interrogando-o sobre differentes pontos. Perguntou-lhe o tempo da sua estada no Brasil, ao que respondeu ter sido de vinte e quatro annos, adquirindo crenças gratas e saudosas d'aquella terra, onde occupara a maior parte do tempo na industria de chapelaria. Perguntou mais qual a sua opinião sobre a industria de chapelaria naquelle império, ao que s. s.ª respondeu que a julgava tão desenvolvida e aperfeiçoada que podia disputar primazia com a industria franceza. Quiz também Sua Majestade saber se a exportação dos seus productos para o Brasil se fazia em alta escala, ao que o sr. Costa Braga declarou ser pouca, em vista dos elevados direitos que obstavam á protecção d'esta industria. Ultimamente o sr. Costa Braga significou a Sua Majestade a ufania e prazer de alli ter alcançado muitas glorias industriaes, pois que fora o primeiro introductor do vapor na chapelaria no anno de 1863, concedendo-lhe Sua Majestade o titulo de imperial fabrica de chapéus, data e acontecimento este que Sua Majestade confirmou ter ainda bem presente na memoria. Esta honrosa visita durou perto de uma hora, durante a qual tocou uma banda de musica marcial o hymno brasileiro: ao retirar-se Sua Majestade, se levantaram calorosos e enthusiasticos vivas, tanto por parte dos operários do estabelecimento como do immenso povo que presenceou esta honrosa visita. O sr. Costa Braga, querendo solemnisar mais a visita de Sua Majestade, não só gratificou os operários e os dispensou do resto dos trabalhos nesse dia como convidou o publico, pelos jornaes da cidade, a visitar e examinar tão importante estabelecimento, sendo amplamente satisfeitos os seus desejos com a grande concorrência dos visitantes»;

a fábrica possuía máquinas de vapor modernas com uma energia global de 107 cv;

na década de 1880, o êxito desta iniciativa, várias vezes premiada em exposições internacionais, permitiu-lhe separar o edifício da fábrica (que passou a situar-se a partir de então ria R. Firmeza, n.º 49) do estabelecimento de vendas que permaneceu no local inicial;

em 1927, aquele edifício foi adquirido para a instalação da Escola Artística de Soares dos Reis;

atualmente, esse imóvel é ocupado pelo The Artist Porto Hotel & Bistrô, situado no n.º 49 da R. da Firmeza.

/*------------------------------------------------------------------------

*噗浪版型 Plurk CSS: Regression Z

*設計出處 Design by: Be Myself Inc. M6

*背景圖源 Background image from: (無)

*更新版安裝網址 Install: www.plurk.com/installDesign/3997864-7a17cda86d

*更多佈景 More Themes: www.flickr.com/groups/plurkcss

-- 我們設計的噗版CSS僅供個人自用,請勿改製再分享或用於商業用途 --

-- Copyright: 版權所有 保留一切權利 All Rights Reserved --

------------------------------------------------------------------------*/

/*-------------------------------版權說明-------------------------------

此噗版由「如我協力創意工作室 Be Myself Inc.」 設計提供,版權所有。

僅開放個人套用,歡迎個人噗友學習改成最適合自己的樣式(請註明原CSS出處),

商業性質及其他利用方式請勿套用、改製或引用,謝謝。

---『我們並未授權創作者擅自使用我們的CSS修改後再分享,請尊重原創,謝謝~』

------------------------------如我協力創意工作室 Be Myself Inc. M6***

------------------------------------------------------------------------*/

Hoje tô em clima de contagem regressiva! haha Falta um mês pra eu ver meu bem!

 

Pra galera que chegou agora e não sabe, esse cara lindão ai da foto é o meu namorado, um tal de Pedro. Estamos juntos a exatos 2 anos, 10 meses e 11 dias, dos quais 9 meses foram de namoro à distância. Ele trabalhando em Dubai e Hong Kong, e eu aqui no Brasil. Extamente hoje falta 1 mês para eu vê-lo de novo, então vcs podem imaginar como está a minha cabeça né? hahaha

 

Bom, como se vê-lo de novo depois de tanto tempo não fosse emoção suficiente, adivinhem onde vai ser isso? Em HONG KONG! haha (ou seja, daqui a um mês vou ter umas fotinhas incriveis pra postar aqui!) E como se isso já não fosse de dar taquicardia...vai ser minha primeira viagem de avião! kkkk Vocês não tem noção de como eu tô doida aqui!

 

Mas é isso gentchy, uma ótima semana pra vcs queridos! o/

I'm regressing into film.... Kodak came out with Ektar 100 last year in both 35 mm and 120 sizes. I finally have gotten around to trying a couple rolls. It's like the junkie who swore off the juice being lured back in. Scanned on my somewhat OK Epson scanner. It adds more grain in sharpening than exists in this film. 4800dpi reduced to 2400 pixels or so in maximum size... some 120 will have to be tried next.

Não haviam maneiras muito melhores para regressar

Model Mark Jarvis

Photo Sophie Merlo

É claro que no dia de regresso do Rio o sol iria aparecer com todo o gás!

Fotografia tirada durante passeio com amigos no Rio, antes do Paraty em Foco. Esta é uma imagem tradicional e certamente deve haver muitas semelhantes. Mesmo assim, quero deixá-la por aqui para não me esquecer o quanto é lindo o Rio. Por incrível que pareça eu ainda não conhecia a Cidade Maravilhosa. E como todo turista, fiquei deslumbrado com o que vi. E tenho que confessar que o povo carioca é 100% simpatia.

"O Corcovado é um dos morros da cidade do Rio de Janeiro, célebre no Brasil e no mundo pela sua estátua do Cristo Redentor de 38 metros de altura. O Cristo Redentor é um dos principais símbolos do país e oferece uma privilegiada vista panorâmica da cidade do Rio de Janeiro. Em 2003 foram concluídas as obras de instalação de elevadores e escadas rolantes no local. Antes, era preciso vencer 220 degraus para desfrutar da paisagem. No dia 7 de julho de 2007, a estátua do Cristo Redentor foi eleita em uma votação uma das 7 Novas Maravilhas do Mundo. A votação teve o patrocínio da ONU, porém, sem ter um caráter oficial. O morro do Corcovado possui 710 metros de altura e encontra-se no Parque Nacional da Tijuca. O Corcovado situa-se ao oeste do centro da cidade, mas mesmo assim pode ser observado desde longas distâncias." Fonte: Wikipédia.

nikon D600

nikkor 35 f2D

 

playing with the simple idea here - may have to play around more and get a bit more ambitious.....

Regresso da Faina dos Pescadores de Castelo de Neiva

 

Inês Rocha' 11

TODOS OS DIREITOS RESERVADOS

Regresso da Faina dos Pescadores de Castelo de Neiva

 

Inês Rocha' 11

TODOS OS DIREITOS RESERVADOS

Depois do enorme sucesso nas três edições anteriores, o Motorclássico - Salão Internacional de Automóveis e Motociclos Clássicos, regressou em 2010, nos dias 19, 20 e 21 de Março.

Tal como nas edições anteriores, o salão teve lugar na FIL, no Parque das Nações, cobrindo uma área superior a 10.000 m2 e com uma oferta que vai desde entidades comerciais e institucionais até às exposições temáticas.

O Salão Motorclássico é organizado na cidade de Lisboa e dedicado exclusivamente ao mundo do automóvel e motociclo clássico, com entidades tão variadas como stands de automóveis, motociclos e velocípedes clássicos, oficinas especializadas e fornecedores de peças, entidades institucionais como museus, clubes, associações, rallys e publicações, automobília e miniaturas de colecção.

A missão do Motorclássico é promover e dinamizar todo o universo dos automóveis e motociclos clássicos, desenvolvendo o seu lado comercial e institucional.

Para além dos 40.000 visitantes esperados numa área superior a 10.000 m2, a organização do Motorclássico irá, mais uma vez, fazer divulgação junto dos media com uma abrangente campanha publicitária através de diversos meios, recorrendo a empresas profissionais de publicidade, de comunicação e de monitorização de imprensa, garantindo desta forma aos seus parceiros a visualização e retorno esperado de um evento desta envergadura.

 

Foi construído entre 1909 e 1911 pelo empreiteiro Emigdio Joze Lo Ferreira para ser a sua residência após o seu regresso do Brasil.

Em 1955, o palacete foi adquirido pela Câmara Municipal de Matosinhos ao seu proprietário de então, Eurico Felgueiras que nos anos 50 era o sócio principal do Banco Sousa Cruz., acolhendo nas suas instalações a Escola Industrial e Comercial de Matosinhos desde outubro desse ano (entre outros, foram diretores da EICM o falecido Dr. Luís Maria da Silva Fontela, autor dos livros de Cálculo Comercial e de Contabilidade, e o falecido Eng.º João Machado Gouveia), depois uma Secção do Liceu D. Manuel II e, mais tarde, a Escola Preparatória António Nobre.

Nos últimos anos, o edifício funcionou como sede da Polícia Municipal e como Biblioteca Municipal, de dezembro de 1987 a 2005, estando atualmente desativado.

 

Emigdio Joze Lo Ferreira (assim se escrevia o seu nome quando nasceu) / Emidio José Ló Ferreira (assim se escrevia o seu nome quando casou):

neto paterno de Antonio Pereira Crasto e Jozefa Maria que viveram depois de casados na freguesia de Santa Marinha de Trevoens do concelho de S. João da Pesqueira do Distrito de Viseu e da Diocese de Lamego;

neto materno de Antonio Lo e Maria Tereza Torga que viveram depois de casados na mesma freguesia;

filho do jornaleiro Antonio Pereira Crasto e de Maria Rita que nasceram e viveram nessa freguesia, nasceu pelas 19:00 de 16/09/1863 na dita freguesia e foi batizado na Igreja paroquial de Santa Marinha de Trevoens pelo Reitor Antonio de Souza Lobatos a 09/11/1863 tendo sido seus padrinhos o proprietário Joze Maria Lo Ferreira e a doméstica Clemencia Augusta Rita Pinto que sabiam escrever nessa altura;

ainda jovem, veio entre 1884 e 1885 trabalhar para Matosinhos com o seu parente Joaquim Maria Lo Ferreira, mais novo 3 anos e filho dos seus padrinhos, atraído pelas obras de construção do porto de Leixões (Joaquim Maria Lo Ferreira era neto paterno de Miguel Joze Lo e Maria Tereza Ferreira que nasceram e viveram na dita freguesia, era neto materno Narcizo Pinto e Agueda Maria que viveram depois de casados na mesma freguesia, era filho do proprietário Joze Maria Lo Ferreira e da doméstica Clemencia Augusta Rita Pinto que nasceram e viveram nessa freguesia, nasceu a 10/05/1867 pelas 20:00 na dita freguesia, foi batizado na Igreja paroquial de Santa Marinha de Trevoens a 28/06/81867 pelo mesmo Reitor e, ainda jovem, veio entre 1884 e 1885 trabalhar para Matosinhos com o seu parente Emigdio Joze Lo Ferreira, mais velho 3 anos e afilhado dos seus pais);

quando casaram na Igreja paroquial de São Salvador de Mathozinhos em julho de 1886, o Emidio era jornaleiro e o Joaquim era empregado nas obras de construção do porto de abrigo artificial de Leixões morando ambos na então R. do Juncal de Baixo (a partir de 18/12/1890, R. Roberto Ivens terminando nessa altura a sul junto da R. do Godinho onde começava para sul o Areal do Prado);

Joaquim Maria Lo Ferreira (2.º primo do Emidio, se o avô materno deste, Antonio Lo, era irmão do avô paterno daquele, Miguel Joze Lo) casou a 19/07/1886 na Igreja paroquial de São Salvador de Mathozinhos com Clotilde Gloria Fernandes (de 20 anos, natural da freguesia de Santa Valha do concelho de Vallepassos do distrito de Bragança, moradora na mesma R. do Juncal de Baixo e filha ilegítima de João de Deus Fernandes, natural do concelho de Vinhais, e de Anna de Jesus, natural de Leiria);

Emidio José Ló Ferreira casou 3 dias depois, a 22/07/1886 na mesma igreja, com Cacilda Leonor Marques (de 16 anos, tinha nascido pelas 03:00 de 06/03/1869 na R. do Juncal de Baixo, tinha sido batizada a 11/03/1869 na então Igreja paroquial do Salvador de Bouças de Matozinhos pelo padre Francisco Angelo Paes Pacheco, Coadjuctor da freguesia, tendo sido seus padrinhos o pescador Antonio Luis e a sua filha solteira Anna Francisca que viviam na mesma rua, não sabia escrever quando casou, era filha do pescador Manoel Marques e da sua 2.ª mulher Josefa Martins Leonor que nasceram em Matosinhos e foram casados a 16/07/1859 na Igreja paroquial do Salvador de Bouças de Matozinhos pelo Reitor da freguesia Manoel Pinto de Carvalho vivendo ambos na mesma R. do Juncal de Baixo desde antes de 1859, era neta paterna de João Marques e Rozaria Maria da Silva, e era neta materna de Antonio Martins, natural da freguesia de Santa Marinha de Villar do concelho de Terras do Bouro, e de Maria Leonor, natural de Matosinhos, casados na Igreja paroquial do Salvador de Bouças de Matozinhos a 15/08/1834 pelo Reitor Luiz Manoel Moutinho);

Emidio e Cacilda tiveram pelo menos 2 filhos (Maria José Ló Ferreira que veio a casar com Luiz Antunes de Mesquita não tendo tido filhos, Ernesto José Ló Ferreira, 'O Trovões', que foi preso pela PIDE entre 18/05/1938 e 24/09/1940 e tinha casado com Olinda Costa Correia da qual teve a 07/08/1920 a sua filha Palmira que, por sua vez, veio a casar com António Teixeira Rodrigues nascido em Vila Real a 01/05/1911 e comerciante nesta cidade com a sua loja 'Garota das Meias');

a 05/06/1894, foi tornado Fidalgo Cavaleiro pelo rei D. Carlos I;

partiu depois de Matosinhos para o Brasil em busca de fortuna, onde já se encontrava desde 1883 no Rio de Janeiro Alfredo do Nascimento Ló Ferreira, irmão de Joaquim Maria Ló Ferreira (pois a 24/03/1883, foi emitido um passaporte em nome de Alfredo do Nascimento Ló Ferreira, então com 17 anos e residente no lugar de Ferrões do concelho de S. João da Pesqueira, ajudante de farmácia que pretendia ir para o Rio de Janeiro);

em S. Paulo, e com a ajuda do então governador do Estado brasileiro de Manaus entre 23/07/1904 e 23/07/1908, o Coronel Antonio Constantino Nery (Manaus, 08/12/1859 - Belém, Pará, 19/091926) que o incumbiu da construção de vários edifícios, ganhou muito dinheiro no sector da construção civil como empreiteiro e também no sector da borracha;

regressando a Portugal, e em homenagem ao seu 'protetor' em terras brasileiras, construiu o Cineteatro Constantino Nery que foi inaugurado a 10/06/1906 em Matosinhos na Av. Serpa Pinto ao lado do n.º 226;

um Alvará do rei D. Manoel II, de 12/08/1909, concedeu-lhe o título de 1.º Visconde de Trevões e outro, de 22/08/1909, concedeu-lhe autorização para usar o respetivo Brasão de Armas devido às suas obras beneméritas em prol do concelho de Matosinhos;

Aainda em Matosinhos, construiu entre 1909 e 1911 a sua nova residência que veio depois a ser conhecida como o Palacete do Visconde de Trevões;

impulsionou, juntamente com outros, a construção do Bairro dos Pescadores;

ordenou o calcetamento de todo o adro da Igreja do Bom Jesus de Matosinhos, obra esta inteiramente suportada pela sua fortuna ?????;

homem simples, mas inteligente, foi benemérito ilustre até ao momento em que iniciou carreira no sector das pescas, para a qual não estava preparado e que lhe consumiu pouco a pouco muitos dos seus bens;

foi condecorado com o grau de Comendador da Ordem de Cristo;

foi Irmão da Santa Casa da Misericórdia de Vila Real desde 1922, morando então no seu palacete em Matosinhos;

a sua esposa Cacilda, a Viscondessa de Trevões, faleceu a 20/06/1927, com apenas 38 anos;

em 1930, foi réu num processo de ação primária movido por Alberto Marques Abrantes e Maria de Jesus Amaral Marques na 1.ª Secção do Tribunal Judicial da Comarca de Vila Real;

foi sócio da Associação Comercial e Industrial de Matosinhos, desde antes de 1938;

faleceu em 1942 na sua Quinta de Almodena em Vila Real, havendo ainda hoje o Bairro da Quinta de Almodena nesta cidade.

I have been on a bit of a succulent bender lately. After visiting the nursery up in Carpenteria last Friday I decide to buy a few plants and try making a small garden.

 

When I was in Ventura today during my bike ride I stopped at a garage sale and they woman had a bunch of succulents. She gave me growing tips (Leave them alone!) and a cutting ( Leave it alone until it roots, then plant it).

 

This is a snapshot of one of her plants.

 

Cheers.

Regresso da Faina dos Pescadores de Castelo de Neiva

 

Inês Rocha' 11

TODOS OS DIREITOS RESERVADOS

Exit Glacier is a glacier derived from the Harding Icefield in the Kenai Mountains of Alaska and one of Kenai Fjords National Park's major attractions. It is one of the most accessible valley glaciers in Alaska and is a visible indicator of glacial recession due to climate change. Exit Glacier retreated approximately 187 feet (57 m) from 2013 to 2014 and park scientists continue to monitor and record the glacier's accelerating recession. It received its name for serving as the exit for the first recorded crossing of the Harding Icefield in 1968.

 

Seward is a city in Kenai Peninsula Borough in the U.S. state of Alaska. According to 2014 Census Bureau estimates, the population of the city is 2,528. It was named after William H. Seward, United States Secretary of State under Abraham Lincoln and Andrew Johnson. In 1867, he fought for the U.S. purchase of Alaska which he finally negotiated to acquire from Russia.

 

regression, according to Sigmund Freud, is a defense mechanism leading to TEMPORARY reversion of the ego to an earlier stage of development rather than facing a stressful situation in a more adult way.

 

assuming fetal position is a sign of regression. its a form of going back to the time when the person felt safer because an all-powerful parent would protect him, and where in all stresses were not known. its a way of the mind to get rid of the stresses to protect ones psychological integrity.

 

i got home late today, i fell asleep the moment i tapped my bed. ten minutes later, i woke up and realized i was assuming fetal position. interesting huh ~_~

 

happy friday!!

 

15/365

Galaxy Science Fiction / Taschenbuch-Reihe

> William Tenn / Time in Advance

> Clifford D. Simak / Honorable Opponent

> Damon Knight / This Way to the Regress

> Robert Sheckley / Early Model

> Willy Ley / For Your Information: The Demotion of Pluto

> James Blish / The Genius Heap

> Theodore Sturgeon / The Claustrophile

Cover: Virgil Finlay

[Cover art titled "September Morn, 1999 A.D."]

Galaxy Publishing Corp. / USA 1956

ex libris MTP

www.isfdb.org/cgi-bin/pl.cgi?58451

This is an emormous abandoned warehouse at the former Mare Island Naval Shipyard.

Oil, acrylic paint on wood, 55 cm x 15 cm, 2014

1 2 ••• 5 6 8 10 11 ••• 79 80