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This is the one baby, the best tripod I've owned or even seen.

al modo de Renoir

Luxolgy's modo logo made from LEGO

3D rendering created in #modo featuring robot illustrations from culpritart.blogspot.co.uk/ seating by www.worhaus.com/

and 3D printed stag trophy head by www.shapeways.com/shops/dotsan?section=Wired+Life&s=0

Mourning Doves, after a little afternoon delight :-)

Montgomery County, Maryland

Lancair Legacy, flown by Vince Walker, Reno 2019

I probably made this too intricate and small for my first project but learned a lot along the way. Had fun though.

Luxolgy's modo logo made from LEGO

Cada negocio, ciudad, estado, país, continete...el mundo! necesita tener modos de producción, ya que para lograr un objetivo, un plan, una construcción se necesita de un equipo, uno en el que todos aporten y ayuden, nada se crea solo, todos necesitamos de todos para lograr algo grande, para lograr un modo de producción efectivo, un país asi se construye, con distintos modos de producción, con distintos procedimientos para llegar hacia uno o distintos objetivos, ya que solo asi podremos crear un mundo para todos.

Anton Forsberg, Modo Hockey, SHL, 2013

 

Artwork by David Gunnarsson, www.daveart.com.

 

Visita al Barrio 13 de Noviembre de la Comuna 8 de Medellín, con el Club Fotográfico del Instituto Henry Agudelo. Gracias al EDU por su acompañamiento

Basilique (partiellement) romane Saint-Fidele ; commune de Como, province de Côme, région de Lombardie, Italie

 

La façade de Saint-Fidèle qui donne sur la place du même nom, au centre de la ville, a été entièrement refaite en 1914 par l'architecte Giussani, ...; celui-ci revêtit alors de formes romanes la façade du XVIe siècle. A l'église se trouve adossée, du côté gauche, une ancienne maison d'habitation et pour cette raison la façade semble mutilée, puisqu'il lui manque la partie correspondant au bas-côté septentrional. Pour le reste elle est fidèle au schéma tripartite carac­téristique de la région comasque, avec deux contreforts encadrant la partie centrale, plus haute et large que celle de droite. Le profil à ram­pants interrompus est parcouru par une série d'arcatures que Giussani fit exécuter sur le modèle de celles peintes à fresques sur la paroi du XVIe siècle. Au centre de la façade trône une grande rosace qui remonte au début du XVIe siècle et, sous celle-ci, s'ouvre le portail, lui aussi reconstruit en style roman avec linteau, tympan et arc, alors que celui qui l'avait précédé ne comportait qu'un linteau. De la place le regard se porte immédiatement sur le clocher qui occupe grosso modo l'emplacement de la première travée du bas-côté septentrional de l'église. Lui aussi a été reconstruit par Giussani selon les critères qui ont présidé à la réfection de la façade; de la tour-clocher originelle qui avait subi un écroulement partiel, probablement lors du tremblement de terre de 1117, et qui avait été reconstruite à la fin du XIIe siècle, il reste encore la partie inférieure jusqu'à 11 m 90 de haut. Sur le côté septentrional du clocher on peut encore voir, à 10 m 50 de haut, deux ouvertures à arcature à double voussure, séparées par un montant en pierre, dont les proportions, relativement peu élancées, et le matériau de construction, pierres taillées irrégulières dans un mortier abondant, en feraient dater l'exécution du XIe siècle. Au-dessus de la partie ancienne, le clocher se trouve divisé aujour­d'hui en quatre étages par une série d'arcatures ; aux deux étages inférieurs une lésène centrale répartit les arcatures en deux groupes de trois, tandis que s'ouvre, au troisième, une fenêtre géminée sur chaque côté et, au quatrième, une ouverture triple. Au-dessus de cette ouverture la série des arcatures est continue. ... Le côté septentrional de la basilique est encore caché par une série d'édifices qui lui sont adossés et dont la construction s'est pour­suivie jusqu'à notre siècle; le côté méridional, à l'inverse, a été réamé­nagé ces dernières années : on a pu dégager une partie correspondant à l'abside méridionale, en appliquant une technique de restauration qui a comporté la reconstruction de certaines parties disparues des lésènes qui parcouraient la surface de cette abside; en les séparant des originales, les zones reconstruites ont été cependant mises en évidence. Le dégagement de cette partie permet un coup d'œil assez intéressant : du jardin de la canoniale, en effet, on peut admirer la succession ascen­dante des voûtes du déambulatoire, des tribunes, jusqu'à l'élévation de la tour-lanterne, ensemble d'une rare beauté. La tour-lanterne est octogonale. Elle est aujourd'hui entièrement crépie, à l'exception de la face Nord-Est qui a été ramenée à son état originel, en pierres apparentes, pour mieux mettre en lumière la surélé­vation réalisée en 1805. La partie originelle apparait exécutée en maçon­nerie régulière et terminée par une bande d'arcatures. Nous ignorons combien de fenêtres et de quel genre y étaient ouvertes ; les trois actuelles sur les plus grands côtés doivent sans doute dater du temps de la surélé­vation. La partie supérieure, du xixe siècle, est construite en une maçon­nerie un peu plus irrégulière que la médiévale et présente une fenêtre en ceil-de-bœuf de chaque côté. La partie extérieure de l'ensemble de Saint-Fidèle qui suscite le plus d'intérêt est sans contredit l'abside qui donne sur la via Vittorio Emmanuele. A l'origine les absides étaient au nombre de trois et les deux latérales se trouvaient prises dans l'épaisseur du mur : elles n'apparaissaient donc pas extérieurement. L'abside méridionale dispa­rut en 1700 pour faire place à la sacristie actuelle, tandis que l'abside septentrionale est une réfection de la fin du XIXe siècle, œuvre de Barelli.La paroi extérieure de l'abside majeure est scandée verticalement par quatre colonnes adossées, qui la divisent en cinq parties (la dernière vers le Sud est englobée dans la sacristie du XVIIIe). Elle est divisée en trois étages auxquels correspondent trois genres d'ouvertures : l'inférieure répond au sanctuaire, il s'y ouvre des fenêtres circulaires, une par panneau; à l'étage intermédiaire il y a trois fenêtres dans le panneau central, refaites à la fin du XIXe siècle; le marbre blanc de Musso employé par erreur révèle la main du restaurateur et, par bonheur, à notre avis, paraît criard au regard du gris de la maçonnerie, faisant apparaître l'esprit de système dont on a usé à cette époque récente. Au sommet du deuxième étage court une bande d'arcatures à forte saillie, seulement interrompue par les chapiteaux cubiques des colonnes. Le troisième étage est parcouru par une galerie couverte en berceau et ouvrant sur l'extérieur par des arcades appuyées sur des colonnettes assez fines. Le rôle de ces dernières est purement esthétique et non statique. Cette fonction est en effet remplie par les architraves sur les­quelles les voûtes en berceau reposent comme sur des corniches sortant de la paroi. Ce troisième étage est couronné par une seconde bande d'arcatures semblables à celles du bas et par une frise en dents d'engre­nage. Elle est certainement plus tardive que les deux inférieures : en effet en observant l'appareil à l'intérieur, on note une différence dans le matériau utilisé au-dessus du niveau du deuxième étage; en outre l'ensemble de cette abside présente une certaine anomalie de construction qu'il est difficile de supposer liée à un projet global des maîtres ouvriers dont l'habileté est évidente - mais qui, à l'inverse, s'explique si l'on admet l'hypothèse d'une surélévation de ce projet. A côté de l'absidiole septentrionale s'ouvre un portail d'accès en mitre au-dessus duquel court une bande d'arcs rampants. On devine à peine aujourd'hui l'effet coloré qu'il devait présenter au temps de son ouverture, étant donné le contraste existant entre le blanc des dalles sculptées sur les piédroits ainsi que sur les modénatures hautes et basses, et le gris obscur de la pierre des parois qui l'entourent, ainsi que le jaune paille du grès, du côté du tympan. ... Le portail en question donne accès à une sorte de corridor qui, à son tour, débouche dans le déambulatoire de la grande abside du côté septentrional. C'est un élément totalement asymétrique et son origine doit être recherchée dans la nécessité de contourner un obstacle que les constructeurs n'avaient pas prévu, c'est-à-dire la présence d'un édifice préexistant à la basilique et dont l'angle pénétrait à l'intérieur du périmètre de celle-ci dès l'instant où l'on voulait l'amplifier, comme nous venons de le dire, ce qui empêchait ainsi l'achèvement, selon le projet envisagé, de l'abside sur le côté Nord. ... [O]n pensa d'abord ériger un mur provisoire clôturant la construction qui allait du second pilier du déambulatoire au départ de l'absidiole Nord; c'est ce mur que l'on peut encore voir, dès que l'on entre, sur la gauche; qu'il ait été prévu à l'origine pour servir de paroi externe, cela ressort des deux meur­trières qui y sont ouvertes. En même temps on installa une porte qui allait de ce même pilier du déambulatoire à l'angle émergeant de la maison voisine, « l'obstacle » que nous avons signalé. Ensuite le portail fut déplacé vers l'Est et cela donna lieu à l'étrange moyen d'accès encore utilisé aujourd'hui. Le fait qu'il ait survécu jusqu'à nous est dû presque certainement à ce que le mur fut vite couvert de fresques votives que l'on ne voulut pas supprimer. Mais même au-delà de cet élément d'asymétrie que nous venons d'examiner, le plan de Saint-Fidèle présente des motifs d'intérêt consi­dérable. ... [La] basilique actuelle avait été précédée par une église du haut Moyen Age remontant au VIIe siècle, sur plan basilical à trois nefs et trois absides. Sur cet organisme longitudinal fut greffé, au Xe siècle, un autre orga­nisme à plan circulaire divisé en deux moitiés symétriques, accolées au flanc de l'église, de manière à créer un corps de bâtiment qui, à la manière d'une tenaille, venait prendre l'édifice antérieur à la hauteur de l'abside majeure originelle. C'est l'explication du plan triconque, sem­blable à un trèfle, de Saint-Fidèle, sur l'origine duquel on a beaucoup écrit, allant chercher des modèles dans des constructions rhénanes, arméniennes, irlandaises; aujourd'hui on reconnaît qu'il dérive directe­ment de l'église carolingienne d'Aix-la-Chapelle, dont le parti semi-circulaire de Saint-Fidèle reprend presque exactement les mesures et les solutions adoptées pour les couvertures. Il résulta de cette greffe une église unique qui présente d'étranges particularités, tel le fait d'avoir des absides latérales plus amples que la centrale ou de présenter des bas-côtés qui, tout à coup, s'infléchissent vers l'extérieur pour retourner vers leur axe propre après une longue courbe. Le seul édifice de la région lombarde à présenter peut-être quelques points de comparaison avec Saint-Fidèle en ce qui concerne le plan est Santa Maria del Tiglio a Gravedona, ...

 

L'intérieur de la basilique porte aujourd'hui de nombreuses traces d'adjonctions opérées sur la structure originelle au cours des siècles : si elles n'ont pas altéré profondément cette dernière, elles ont cependant presque complètement recouvert les formes romanes anciennes. Durant les ultimes restaurations on n'a pas jugé bon de retirer ces revêtements et l'on s'est limité à sonder les arcs qui séparent les nefs au rez-de-chaussée, en mettant en lumière la structure originelle des murs. Du portail de la façade on accède à la nef, couverte d'une ample voûte en berceau construite au XVIIe siècle et abondamment ornée de stucs. Six piliers cruciformes, également revêtus de stucs, sup­portent les deux séries d'arcades qui divisent les nefs; celles du rez-de-chaussée sont basses et leur maçonnerie se révèle assez peu régulière : certaines, telle la troisième à droite, porte des marques d'affaissement et de reprise. Beaucoup plus élancées et mieux proportionnées sont les arcades au niveau des tribunes, qui sont plus élancées que les infé­rieures en raison du type de couverture ... adopté pour ces tribunes. Enfin les arcades supérieures ne sont pas déformées, à l'inverse des inférieures, et cela témoigne que leur construction fut plus tardive. Si l'on attribue la cause de ces irrégularités au tremblement de terre de 1117, comme cela paraît vraisemblable, les tribunes remonteraient évidemment au début du XIIe siècle. L'adjonction tardive des tribunes et surtout la construction, au XVIIe siècle, de la voûte en berceau d'où résulta l'occlusion des fenêtres - celles-ci, à l'origine, étaient placées au-dessus de ces tribunes - tout cela a entraîné une suite de conséquences assez complexes. L'axe longi­tudinal s'impose au regard de celui qui entre : en effet la hauteur limitée des arcades du rez-de-chaussée détermine deux lignes de fuite basses qui mènent directement l'œil au sanctuaire; leur succession à la place des arcatures plus élevées des tribunes engendre un rythme plus lent, qui entraîne le regard tandis que la voûte en berceau « enferme » l'espace ambiant. Les parties qui ont été les plus sacrifiées dans cette vision d'Ouest en Est, sont les bas-côtés qui apparaissent presque comme de purs "lieux de passage". Ils sont couverts de voûtes à croisées d'ogives d'un type spécial, car elles sont dépourvues d'arc de soutien transversaux : le résultat est assez différent des bas-côtés des églises de Milan ou de Pavie qui sont constituées par une succession de travées bien délimitées spatialement par quatre arcs perpendiculaires et des nervures en diagonales. Ici les nervures ne sont pas mises en évidence et les arcs transversaux font totalement défaut, ce qui engendre une continuité spatiale à peine animée par l'entrecroisement des délicates pseudo-nervures. Plus hardie architecturalement est la solution de couvertures adoptée à l'étage des tribunes qui, à notre avis, vient manifestement d'une préoccupation d'éclairage. En effet les voûtes à croisées d'ogives couvrant les tribunes sont rampantes, c'est-à-dire que leur plus haut point ne correspond pas à l'axe central mais se trouve déplacé vers l'intérieur : ainsi la voûte ne retombe pas en deux parties symétriquement égales, mais s'appuie davantage sur la paroi interne, compensant mieux de la sorte les poussées. L'adoption de voûtes rampantes a permis de donner plus de hauteur aux ouvertures de la nef centrale et par suite de faciliter l'écoulement de la lumière depuis les fenêtres des murs gouttereaux jusqu'à cette nef centrale. Le thème de la lumière est essentiel à Saint-Fidèle : même si aujour­d'hui il se trouve radicalement modifié par la voûte en berceau du XVIIe siècle, il n'est pas difficile d'en comprendre l'ancienne disposition. Sur l'axe Ouest-Est, il y avait trois rangées.de fenêtres, l'une au rez-de-chaussée, l'autre à l'étage des tribunes, une troisième en haut, tout le long des parois de la nef centrale. Au rez-de-chaussée et aux tribunes, les fenêtres n'étaient pas des plus grandes et s'ouvraient dans la partie inférieure des murs gouttereaux, mais la relative étroitesse des bas-côtés, par rapport surtout aux exemples de Milan et Pavie, et le mode de couvertures à voûtes rampantes des tribunes permettaient à la lumière de pénétrer abondamment à l'intérieur. Il s'agissait donc d'une luminosité diffuse, à laquelle, si elle s'affirme nettement différente des conceptions d'éclairement de Milan, il est toutefois difficile de trouver des types similaires précis dans la région de Côme, sinon peut-être le chœur de Sant'Abondio, dans lequel cependant les fenêtres offrent des propor­tions tout à fait différentes. La zone orientale de Saint-Fidèle présente de plus grands motifs d'intérêt, parce que c'est là que se réalise la fusion des deux plans -basilical et centré - caractéristiques tous deux de l'architecture médié­vale. A la hauteur de la quatrième travée s'ouvrent deux déambulatoires semi-circulaires qui enserrent, tels une tenaille, le corps de la basilique et qui se réunissent au départ de l'abside orientale. Ces déambulatoires, au-dessus desquels continue également l'étage des tribunes, sont entière­ment couverts en croisées d'ogives et les voûtes s'appuient sur des pilastres adossés aux parois, à l'extérieur, et sur des piliers composés à section originale, à l'intérieur. L'espace compris entre les deux déam­bulatoires constitue une sorte de rectangle placé transversalement par rapport à l'axe de la basilique et dont les angles seraient émoussés. Cette partie est celle où les adjonctions des XVIe et XVIIe siècles ont apporté le plus de modifications par rapport à l'aspect originel. Les absides latérales ont été transformées en chapelles : celle du Nord est dédiée à la Sainte Vierge, celle du Sud au Crucifix; dans celle-ci se trouvent placés deux autels; leurs culs-de-four sont fresques et les peintures couvrent également les anciennes ouvertures des tribunes, aujourd'hui closes. Ces altérations se sont produites évidemment surtout aux dépens de la luminosité de cette partie de l'église qui s'en est trouvée toute transformée, accentuant encore la sévérité probable de l'origine. L'abside orientale semble avoir davantage conservé ses formes primitives. Elle déploie à l'intérieur un jeu de volumes inverse de celui que l'on peut contempler à l'extérieur. Si on l'observe en effet de la rue qui la longe, elle offre trois étages se succédant ainsi de bas en haut : plein, plein, vide; à l'intérieur l'étagement est inversé : au rez-de-chaussée ont été creusées cinq niches semi-circulaires, une de chaque côté du polygone absidal; dans les angles entre les niches sont adossées des demi-colonnes avec base et chapiteau qui supportent d'élégantes arca­tures à blocs de pierre carrés. A l'étage des tribunes court par contre une galerie supportée par de robustes colonnes, elles aussi à base et chapiteau, et au-dessus, des architraves qui l'isolent des vides, avec une voûte en berceau rétrécie vers l'intérieur. L'arc entre les colonnes présente une élégante voussure en pierre. Le troisième étage, corres­pondant à la galerie extérieure, est lisse et il s'y ouvre trois archères. La maçonnerie change d'aspect un peu au-dessus des arcs de la galerie : les blocs de pierre se font plus petits et les joints plus apparents, ce qui trahit les phases diverses de construction. Le cul-de-four absidal est décoré de fresques datant du siècle dernier.

 

... [L]a décoration de Saint-Fidèle est, dans sa quasi-totalité, postérieure au XVe siècle. Cependant il s'y trouve des œuvres de sculpture et de peinture qui remontent à la période médiévale et c'est à ces dernières que nous réserverons notre attention, en commençant par l'examen du portail septentrional. Nous avons parlé de sa forme : un linteau nu, rectangulaire, avec tympan triangulaire de saveur classique; les deux piédroits sont composés de panneaux sculptés : en plus grand nombre sur celui de gauche que sur celui de droite, qui se trouve tout de suite en contact avec l'angle de la maison adossée à l'église. Sur le premier panneau de gauche, Habacuc reçoit d'un ange la nourriture qu'il doit porter dans la fosse aux lions à Daniel; celui-ci est représenté en bas, sous un arc; à côté, dans un entrelacs de rinceaux, un visage placé de face, mais renversé de 90 °, de la bouche duquel sortent des rinceaux, et une scène de lutte entre un dragon et une chimère. En haut, au sommet du piédroit de gauche, une figure animale vêtue (un singe ?) soulève les pans infé­rieurs de sa veste ; au sommet des montants opposés, une figure similaire dans la même attitude. Le piédroit de droite, étant donné sa dimension, présente ses figurations dans le sens vertical : tout près de la porte, deux dragons se disputent une proie, à droite un chien poursuit un lièvre dans un entrelacs très compact de rinceaux. Les panneaux du piédroit de droite, plus restaurés, sont mieux conservés que ceux du côté opposé qui portent la marque de l'inclémence des agents atmosphériques : mais cela ne suffit pas à expliquer les diffé­rences que l'on y peut rencontrer. Ils sont certainement l'œuvre de mains différentes, comme le montre le traitement des sujets végétaux qui, du côté gauche, offrent un relief médiocre et se réduisent pratique­ment à l'intersection de motifs linéaires, tandis que sur le piédroit de droite ils sont franchement creusés avec un jeu d'ombres accusé. Au-dessus du sommet du portail court un motif d'arcatures qui mérite d'être signalé parce qu'il diffère des autres séries d'arcatures que l'on trouve en diverses parties de la basilique. Celles de ce portail sont rampantes et à faible saillie : l'arc est creusé dans un seul bloc et sa voussure est marquée par des traits gravés. Le remplissage semble fait d'une dalle lisse continue, sans doute une pierre romaine, ainsi qu'on est amené à le penser du fait de la présence, sous la première arcature de gauche, de quelques lettres gravées. ...

 

(extrait de : Emilie romane ; Sergio Stocchi, Ed. Zodiaque, Coll. La nuit des Temps, 1984, pp. 143-153)

 

Coordonnées GPS : N45°48'35" ; E9°05'05"

Uniforme e cappello capitano di polizia SECONDO COLONNELLO REGOLAMENTO GENERALE del 1786 MONARCHIA VECCHIO, regno di Luigi XVI AI 1786-1789.

 

Vestito molto dettagliato realizzato interamente in stoffa bianca, piping, polsini, polsini e arrotolato in un velluto piuttosto pesante di colore cremisi.

Piping con pipa a collo dritto. Abbottonatura destra sul petto con ganci metallici.

La parte anteriore è rifinito con velluto cremisi due sconfitte sei occhielli falsa treccia passamaneria argento dorato tessuto "de culo" con gigli, la stessa striscia di telai la battuta d'arresto. Le asole sono rivestiti con un piccolo modulo tasto uniforme montato su ottone dorato in rilievo sollievo ossa di uno scudo timbrato con il numerale ho in sottofondo una spada e un fascio di bandiere.

rivestimenti di velluto cremisi e condutture stesso colore taglio con treccia e due asole falsi analogamente a battute d'arresto, ciascuna asola ha un piccolo modulo e superiori.,

rivestimenti baschi in lana cremisi privi di banda, completati in ciascun angolo ricamato giglio a purls figlio e argento paillettes su base panno cremisi.

Sul retro di ogni lato, due tasche falsi sono posti verticalmente, formano tre punti ciascuno sormontato con tre pulsanti uniformi grande modulo, sono velluto cremisi convogliato. Dimensione del nodo rifinita con 2 pulsanti di grandi dimensioni.

Spalle di spalline di velluto cremisi rifinite con una treccia d'oro tessuta in modo simile a quella della divisa.

Alla base del colletto, è cucito su ciascun lato un bottone di piccolo modulo uniforme per legare le spalline.

 

Coppia di spalline composta da una spallina senza frangia e una frangia morbida chiamata "corde da pioggia". Sono coperti di velluto cremisi treccia stessa a quella della divisa, con tre gigli d'oro intrecciati sulla banda superiore e centrale di seta scarlatta, si è conclusa con uno stock all'ingrosso semplice rotazione. Sul retro, sulla spallina con frange, è posto alla sua estremità un cuscino di stoffa bianca.

 

Cappello della polizia. Corpo in calza di stoffa bianca con bordino in cordoncino di velluto cremisi. Queste tubazioni si incontrano sul lato destro per formare una punta il cui top è rifinito con una nappa con nappe e morbide frange "rain rope" in argento dorato. Fascia in velluto pesante color cremisi, che forma un punto nella parte anteriore al centro. È bordato con le stesse strisce della divisa nella parte superiore e sul retro in verticale. La parte anteriore è rifinita con una cordicella d'argento dorata cucita verticalmente. La fascia è decorata sul davanti con tre fiori di giglio ricamati in fili d'argento oro.

 

Buono stato di conservazione. Alcuni restauri ai fogli e ripetizioni dei fori di tignola, i due pulsanti delle spalline sono di origine; sul retro, 8 pulsanti sono originali e 6 mancanti sono stati ripristinati, i 5 pulsanti di facciata 5 sono originali e ricostituiti; i due bottoni in vita sono vintage; sulle finte tasche 13 pulsanti sono originali e 17 sono stati restaurati. I bottoni ricostituiti per rendere la presentazione come al momento erano fatti di ottone auto-fondente che non lasciava confusione con i pulsanti autentici in ottone stampati e montati sull'osso. La divisa venne da noi con tre fiori di giglio d'origine sui retroussidi e uno più grande che proveniva dal cappuccio della polizia, il secondo fu sostituito al suo posto di tempo. Il fleur-de-lis scomparso e i due mancanti sulla fascia del cappuccio sono stati ricostituiti. Il cappuccio ha un pezzo di stoffa diverso posto sotto la piega della fiamma, ma questo pezzo è originale.

 

Francia.

 

Ex monarchia, regno di Luigi XVI, intorno al 1786-1789.

 

NOTA:

Soggetto della più grande rarità, ad oggi è l'unica uniforme del reggimento del Colonnello noto; inoltre, è estremamente raro trovare un'acconciatura e un insieme uniforme della Vecchia Monarchia aventi la stessa origine.

 

BACKGROUND:

Il reggimento Colonnello Generale è un reggimento di fanteria del regno di Francia, creato nel 1480 dai legami della Piccardia, l'unità militare più antico e uno dei cinque Petits Vieux, la rivoluzione è diventato il primo reggimento linea di fanteria.

 

Creazione e denominazioni diverse

9 ottobre 1480: creazione delle bande di Picardie.

29 maggio 1569: creazione del reggimento di Sarrieu.

1585: prende il nome di Reggimento di Piccardia.

1780: prende il nome di Regimental Colonel General, il titolo di reggimento del Colonel General. Il re aveva appena restaurato, con un ordine datato 5 aprile di quest'anno, l'ufficio del colonnello generale della fanteria in favore del principe di Condé.

1791: Diventa il reggimento di fanteria di prima linea sopra il Colonel General.

 

La carica del Colonnello Generale della fanteria in favore del Principe di Condé.

Il reggimento, nella sua veste di primo corpo della fanteria della linea, divenne proprietà del colonnello generale e fu incaricato della guardia della sua bandiera.

La bandiera del reggimento Colonnello Generale dell'Ordine, come la sua bandiera il colonnello, il motto fides Praetriti latino exemplum che futuri, che significa "fedeltà al passato, ad esempio il futuro."

Il reggimento era di stanza a Le Havre nel 1781, a Lille nel 1782 a Besançon nel 1784 a Schelestadt nel 1785, a Toul nel 1787, e di nuovo nel 1788 a Lille.

Prezzo: € 37.000,00

 

UNIFORME ET BONNET DE POLICE DE CAPITAINE EN SECOND DE COLONEL GÉNÉRAL, RÈGLEMENT DE 1786, ANCIENNE MONARCHIE, RÈGNE DE LOUIS XVI, VERS 1786-1789.

 

Habit de grande tenue entièrement en drap blanc, passepoils, revers, parements et retroussis en velours assez lourd de couleur cramoisie.

Collet montant droit passepoilé. Boutonnant droit sur la poitrine par des crochets métalliques.

L'avant est garni de deux revers en velours cramoisi à six fausses boutonnières en galon de passementerie d'argent doré tissé « cul de dé » avec fleurs de lys, le même galon encadre les revers. Les boutonnières sont garnies d'un bouton d'uniforme petit module en laiton doré monté sur os estampé en relief d'un écu timbré du chiffre I avec en arrière plan une épée et un faisceau de drapeaux.

Parements en velours cramoisi et passepoil de même couleur bordé d'un galon et de deux fausses boutonnières pareillement aux revers, chaque boutonnière a un petit module et un au-dessus.,

Basques à retroussis en drap de laine cramoisie dépourvus de tout galon, terminés dans chaque angle d'une fleur de lys brodée en fils, cannetilles et sequins d'argent doré sur un fond de drap cramoisi.

À l'arrière de chaque côté, deux fausses poches sont placées verticalement, elles forment trois pointes chacune garnie de trois boutons d’uniforme gros module, elles sont passepoilées de velours cramoisi. Nœud de taille garni de 2 boutons gros module.

Passants d'épaulettes en velours cramoisi garnis d'un galon doré pareillement tissé que celui de l'uniforme.

À la base du collet, est cousu de chaque côté un bouton d'uniforme petit module pour attacher les épaulettes.

 

Paire d'épaulettes constituée d'une épaulette sans frange et d'une avec franges souples dites « cordes à pluie ». Elles sont en velours cramoisi recouvert d'un galon identique à celui de l'uniforme, doré avec trois fleurs de lys tissées sur le dessus et raie centrale en soie écarlate, terminée par une simple torsade en gros bouillon. À l'arrière, sur l'épaulette frangée, est placé à son extrémité un coussinet en drap blanc.

 

Bonnet de police. Corps de bonnet en drap blanc avec passepoils en cordonnets de velours cramoisi. Ces passepoils se réunissent sur la face droite pour former une pointe dont le sommet est terminé par un pompon avec gland et franges souples « cordes à pluie » en passementerie d'argent doré. Bandeau en velours lourd cramoisi, formant une pointe à l'avant au centre. Il est bordé du même galon que l'uniforme sur sa partie haute et sur l'arrière verticalement. L'avant est garni d'un cordonnet d'argent doré cousu verticalement. Le bandeau est décoré à l'avant de trois fleurs de lys brodées en fils d'argent doré.

 

Bon état de conservation. Quelques restaurations aux draps et reprises des trous de mites, les deux boutons des épaulettes sont d'origine ; sur les revers, 8 boutons sont d'origine et 6 manquants ont été reconstitués, aux parements 5 boutons sont d'origine et un reconstitué ; les deux boutons de taille sont d'époque ; sur les fausses poches 13 boutons sont d'origine et 17 ont été reconstitués. Les boutons reconstitués pour rendre la présentation comme à l'époque l'ont été en laiton fondu d'un seul bloc ce qui ne permet pas la confusion avec les boutons authentiques en laiton estampé et montés sur os. L'uniforme est parvenu jusqu'à nous avec trois fleurs de lys d'origine sur les retroussis et une plus grosse qui provenait du bonnet de police, cette dernière a été replacée à son endroit d'époque. La fleur de lys manquante aux retroussis ainsi que les deux manquantes sur le bandeau du bonnet ont été reconstituées. Le bonnet a une pièce de drap différente placée sous le repli de la flamme, mais cette pièce est d'origine.

 

France.

 

Ancienne Monarchie, règne de Louis XVI, vers 1786-1789.

 

NOTE :

Objet de la plus grande rareté, à ce jour c'est le seul uniforme du régiment Colonel connu ; de plus, il est extrêmement rare de trouver un ensemble coiffure et uniforme de l'Ancienne Monarchie ayant la même provenance.

 

HISTORIQUE :

Le régiment Colonel Général est un régiment d'infanterie du royaume de France, créé en 1480 à partir des bandes de Picardie, la plus ancienne unité militaire, et l'un des cinq Petits Vieux, devenu sous la Révolution le 1er régiment d’infanterie de ligne.

 

Création et différentes dénominations

9 octobre 1480 : Création des bandes de Picardie.

29 mai 1569 : Création du régiment de Sarrieu.

1585 : Prend le nom de régiment de Picardie.

1780 : Prend le nom de régiment Colonel Général, le titre de régiment Colonel Général. Le roi venait de rétablir, par une ordonnance datée du 5 avril de cette année, la charge de Colonel Général de l'infanterie en faveur du prince de Condé.

1791 : Devient le 1er régiment d'infanterie de ligne ci-devant Colonel Général.

 

La charge de Colonel Général de l'infanterie en faveur du prince de Condé.

Le régiment, en sa qualité de premier corps de l'infanterie de ligne devint la propriété du Colonel Général et fut chargé de la garde de son drapeau.

Le drapeau d'Ordonnance du régiment Colonel Général, de même que son drapeau Colonel, porte la devise latine Praetriti fides exemplum que futuri, qui signifie « fidélité au passé, exemple pour l'avenir ».

Le régiment était en garnison au Havre en 1781, à Lille en 1782, à Besançon en 1784, à Schelestadt en 1785, à Toul en 1787, et de nouveau à Lille en 1788.

Prix : 37 000,00 €

El modo astronómico del Google Pixel requiere estabilizar la cámara en un trípode o una superficie. El móvil efectúa varios disparos de 16 segundos de exposición y luego los "apila" para eliminar el ruido y aumentar la exposición total. Aquí vemos claramente la constelación de Orión y la cabeza de Tauro con las Pléiades. Se intuye también la famosa nebulosa de Orión.

 

Foto hecha con el móvil.

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Cunit, Tarragona.

  

2002/01/06 04:13:12.9

 

RAW (12 bits)

 

TamaÒo de la imagen: Grande (3008 x 2000)

 

Objetivo: 20-36 mm f/3.5-4.5

 

Longitud Focal: 20 mm

 

Modo de exposiciÛn: Manual

 

Modo de mediciÛn: MultipatrÛn

 

1/750 seg. - f/5.6

 

CompensaciÛn de exposiciÛn: 0 EV

 

Sensibilidad: ISO 200

 

Balance de blanco: Autom·tico

 

Modo de AF: Manual

 

Comp. de tono: Autom·tica

 

Modo de sincronizaciÛn del flash: No montado

 

Modo del color: Modo III (sRGB)

 

Ajuste de tono: 0∞

 

Nitidez: Alto

 

ReducciÛn de ruido: Desactivado

 

Coment de imagen:

 

[#End of Shooting Data Section]

 

Model done in Modo, Rendered in Modo.

Mourning Dove (Zenaida macroura) in the birch snag she seems to have taken over from other perchers....

candids from March 2011 meeting

Se usó el balance de blancos con los valores que se usan con la luz solar y este fue el resultado.

A mi parecer, con esta configuración se logran obtener los colores precisos y no se ve ni tan pálida ni tan amarilla la foto.

© Peter Burke 2014 all rights reserved, Boulder, Colorado 9/13/14

Mourning Dove (Zenaida macroura) in the birch snag she seems to have taken over from other perchers....

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