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Paseando por un parque cualquiera, de pronto un sonido me detiene y me transporta a mi niñez. En una esquina, un organillero da vuelta a la manivela y entona una melodía.
Será que alguém adivinha qual é o concerto (ou melhor, parte de um concerto) eu estava tocando na hora da foto? :)
Dica: O compositor é italiano, barroco e tem mais de 500 concertos. Ah, e a música tem a ver com flores (de certo modo) :)
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Eu ganhei essa caixinha de música a manivela linda e mágica do meu amor :D
ps: será que alguém vai ler o que eu escrevi?
au village de Blesle !!
L’arrivée du café implique la création d’un objet spécifique permettant de broyer cette graine en conservant au maximum ses arômes. Il apparaît rapidement que les moulins à épices sont partiellement adaptés.
Pour broyer le café, la première méthode connue est l’utilisation d’un mortier avec des graines torréfiées.
Les premiers vrais moulins apparaissent en Europe et en Turquie en même temps au XVIIème siècle.
En Turquie, les moulins sont composés d’un cylindre en cuivre ou en laiton. Ciselés ou ornés de pierres précieuses, le mécanisme est composé d’un axe vertical qui actionne une noix striée. Ils sont souvent dotés d’une manivelle pliable qui se range dans le haut du moulin.
En France les premiers moulins sont appelés « modèles Louis XIV » ; Ils ont un corps taillé dans un seul morceau de bois ; C’est pour cette raison qu’on les qualifie de monoxyle. Ils sont le plus souvent en noyer. Ils étaient fabriqués à la demande par les taillandiers ou les maréchaux-ferrants. Si à l’époque ces moulins étaient des objets de luxe, il faut savoir qu’aujourd’hui, un modèle Louis XIV classique se négocie autour de 1000 Euros.
Au fur et à mesure le Café se démocratise. Des moulins strictement fonctionnels font leur apparition vers le milieu du XVIIIème siècle. Ils sont en général équipés d’une patte de fixation permettant de les fixer à la table. Vous pouvez trouver une description dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert de ce type de moulin dit « moulin entonnoir » en raison de leur forme.
Le modèle-star de l’époque est le modèle dit sablier. Il est composé de 2 cônes reliés par une fixation à baïonnette Il est équipé lui aussi d’un dispositif de fixation.
Les types de moulin sont très différents selon les régions où se développe le café, comme la Hollande, l’Espagne.
Le XIXème siècle, siècle de l’industrialisation, correspond à la vraie démocratisation du café.
La raison est aussi historique car le siècle débute en 1806 par un coup de force de Napoléon, (dont le moulin personnel est un des plus célèbres de la collection Malongo…) qui instaure le blocus contre toutes les marchandises anglaises. En représailles les anglais coulent les bateaux qui livrent des produits exotiques en Europe. Les stocks s’accumulent.
Après Waterloo, ces stocks libérés provoquent un effondrement du cours du café. Les fournisseurs développent alors les moulins de comptoir pour que chaque épicerie puisse fournir du café moulu à ses clients. Cette époque correspond aussi à la grande période du moulin à arbre horizontal
Il voit aussi une explosion des formes et des mécanismes. L’utilisation de l’acier permet l’avènement d’une vraie industrie du moulin café.
Le XIXème c’est aussi la période pendant laquelle le moulin cubique va faire son apparition en s’imposant comme la meilleure solution pour un usage individuel. Le moulin flamand en bois à colonnette avec son bol ouvert, puis le moulin Peugeot en France à partir de 1840.
Le XXème siècle correspond à l’apogée mais aussi à la mort du moulin à café. L’aventure Peugeot avec un glorieux épisode moulin mural. Puis les moulins électriques jusqu’en 1975.
une vrais collection
Cette photo a participé à
La vielle est un instrument à cordes qui sont frottées par une roue en bois au lieu d'un archet.
Cette roue est tournée à l'aide d'une manivelle par le vielleux, qui joue la mélodie avec son autre main sur un clavier.
Le sculpteur belge Peter Meyers, installé à Roussillon-en-Morvan, a créé une sculpture représentant un couple de vielleux.
Installée devant la Poste, cette sculpture en acier corten a été réalisée en 2012 à l'occasion de la 35ème édition de la fête de la vielle.
La traditionnelle Fête de la Vielle d'Anost est organisée à l'origine par Lai Pouèlée, Association pour l'expression populaire en Morvan. la fête de la vielle a débuté le 21 mai 1978 à Montsauche-les-Settons (Nièvre) par la Journée de la vielle et des vielleux.
À partir de 1982, la fête s'installe définitivement à Anost.
À partir de l'édition 1998, la fête prend son nom actuel de Fête de la Vielle.
Pour son 30e anniversaire en 2007, la Fête de la Vielle a accueilli sur cinq jours 25 000 spectateurs venus de toute la France et de toute l'Europe, ainsi qu'une vingtaine de groupes invités (Morvan, Poitou, Gascogne, Bourbonnais, Espagne, Portugal…) et des centaines de musiciens.
Depuis 2008, elle se déroule sur quatre jours (du jeudi au dimanche vers les 15-20 août) durant lesquels retentissent les cornemuses, les violons, les accordéons diatoniques et les vielles à roues.
Le 16 août 2013, lors de sa 36e édition, la fête invite pour la première fois le groupe Malicorne, groupe phare de la scène folk française à l'origine en 1973 du renouveau des musiques traditionnelles.
La programmation, dédiée aux musiques traditionnelles du Morvan et d'ailleurs, est riche en concerts variés et en bœufs improvisés. Outre les concerts sous chapiteau et le grand bal du samedi soir, elle offre au public de nombreuses animations gratuites : concerts dans les rues et les bars, scène ouverte sous la halle, apéritifs-concerts, stages de vielle et stands de luthiers, d'artisans, d'artistes, d'éditeurs, de vente de disques de musique traditionnelle.
La 41e Fête de la vielle a eu lieu, dans tout le village, du vendredi 17 au dimanche 19 août 2018 pendant trois jours et trois nuits de festivités. La musique traditionnelle d’ici et d’ailleurs y a rassemblé de nombreux artistes en concerts, en stages et pour animer les bals. L'édition a également proposé des scènes ouvertes, des initiations aux danses "trad", des stages de vielle (découverte et masterclass), des conférences, des projection de films, des stages de bourrées et danses de couple du Morvan, un marché des luthiers, un groupe folklorique, un stage pour les enfants et en off des boeufs.
Une aile de Calopteryx virgo abandonnée par un prédateur au bord de la Venoge... De nombreuses autres ailes de mâles et de femelles de la même espèce (correspondant à une vingtaine d'individus) se trouvaient un peu plus loin... Image réalisée en intercalant 3 bagues allonge macro Kenko entre le 105 mm F/2.8 et le D4. Mise au point en live view à l'aide d'un trépied Velbon, disposant d'une colonne crantée et d'une manivelle.
Écomusée de Vertheuil en Gironde.
Le carrosse de lavandière est une simple caisse en bois, d’allure rustique mais toutefois pratique car elle permettait à la lavandière de se tenir à genoux devant le ruisseau ou le lavoir, sans mouiller sa robe.
Le carrosse est aussi une protection pour les genoux car la lavandière était à genoux lors de la lessive. Pour ce faire, le fond du carrosse était tapissé de paille ou de foin, de morceaux de chiffons ou de tissus ou encore garni d’un coussin de plumes, pour rendre la posture moins douloureuse.
Algumas histórias indicam que os Jardins Suspensos se lavantavam por centenas de metros do chão, mas explorações arqueológicas indicam um número mais modesto, mas ainda impressionante, de altura.
A cidade de Babilônia, sob comando do Rei Nabucodonossor II, (604 – 562 a.C.) deveria ter sido uma maravilha aos olhos do viajante. " Além de seu tamanho, " escreveu para Herodotus, historiador em 450 a.C., a " Babilônia ultrapassa em esplendor qualquer cidade no mundo ".
Herodotus descreve : as paredes exteriores tinham 90 quilometros em comprimento, 24,30 metros de espessura e 97,536 metros de altura. Largo bastante para permitir uma carruagem de quatro-cavalo a fazer meia volta. As paredes internas não eram " tão espessas como as externas, mas não menos forte ". Dentro das paredes estavam fortalezas e templos que continham imensas estátuas de ouro maciço. Subindo sobre a cidade era a famosa Torre de Babel, um templo para o deus Marduk que parecia alcançar aos céus.
Enquanto um exame arqueológico dicorda de alguns dados de Herodotus (as paredes exteriores parecem ter só 16 quilometros de comprimento e não eram tão altas) a narrativa dele nos dá uma sensação de como as características da cidade pareciam a esses que a visitaram . De maneira bastante interessante, entretanto, um dos locais mais espetaculares da cidade não é nem mencionada por Herodotus: Os Jardins Suspensos, uma das Sete Maravilhas do Mundo Antigo.
Contas indicam que o jardim foi construído por Rei Nabucodonossor que regeu a cidade durante 43 anos que começam em 605 a.C. (há uma história menos fiel, diz que os jardins foram construídos pela Rainha assíria Semiramis durante o reinado de cinco anos que começa em 810 AC). Esta era a imensidão do poder da cidade e influência e Rei Nabucodonossor : construiram uma ordem surpreendente de templos, ruas, palácios e paredes.
De acordo com contas, os jardins foram construídos para animar a esposa nostálgica de Nabucodonossor, Amyitis. Amyitis, filha do rei do Medes, foi casada a Nabucodonossor para criar uma aliança entre as nações. A terra da que ela veio, entretanto, era verde, áspera e montanhosa, e ela achou o apartamento, terreno sol-assado de Mesopotamia deprimimente. O rei decidiu recrear a pátria dela construindo uma montanha artificial com jardins .
Os Jardins Suspensos provavelmente não se mantiveram " realmente " a sensação de ser suspendida de cabos ou cordas. O nome vem de uma tradução inexata da palavra grega kremastos ou latina pensilis que não significa só "suspensos" mas também " pendendo " como no caso de um terraço ou sacada.
O geógrafo grego Strabo que descreveu os jardins no primeiro século AC, escreveu, " consiste em terraços elevados um sobre outro, e apoiados em pilares cubo-amoldados. Estes são ocos e encheram de terra para permitir plantar árvores do tamanho maior. Os pilares, as abóbadas e terraços são construídos de tijolo assado e asfalto ".
" A ascensão para a história mais alta está através de degraus, e no lado deles estão máquinas de água por meio das quais são empregadas pessoas, designadas expressamente para o propósito, de continuar levando água do Eufrates ao jardim ".
Strabo toca nisso que, para os antigos, provavelmente era a parte mais surpreendente do jardim. Babilônia raramente recebeu chuva e para o jardim sobreviver a isto teria que ter sido irrigado usando água do Rio de Eufrates. O esquema era : erguia-se a água no ar para que assim pudesse fluir abaixo pelos terraços e poderia molhar as plantas a cada nível. Isto era provavelmente feito por meio de uma "bomba de cadeia."
Uma bomba de cadeia é : duas rodas grandes, uma sobre a outra, conectada por uma cadeia. Na corrente ficam os baldes amarrados. Debaixo da roda, no fundo de uma piscina está a fonte de água. Como a roda é virada, os baldes imergem na piscina e apanham água. A cadeia os ergue então para a roda superior onde os baldes são inclinados e são esvaziados em uma piscina superior. A cadeia leva então o vazio até ser novamente cheio.
A piscina ao topo dos jardins poderia ser alcancada através de portões em canais que faziam papel de fluxos artificiais para molhar os jardins. A roda da bomba debaixo foi presa a uma seta e uma manivela. Virando a manivela dava a energia para o aparelho funcionar.
A construção do jardim não era complicada só por ser difícil levar água até o topo, mas também porque tinha que evitar que a água destruísse-a. Considerando que pedra era difícil de se conseguir na planície de Mesopotamia, a maioria da arquitetura em Babel utilizou tijolo. Os tijolos eram compostos de barro misturado com palha cortada e assados ao sol. Os tijolos foram unidos então com bitumen, uma substância enlodada que agiu como um morteiro. Estes tijolos dissolveram depressa quando empapou com água. Para a maioria dos edifícios em Babel este não era um problema porque chuva era muito rara. Porém, os jardins foram expostos continuamente a irrigação e a fundação teve que ser protegida.
Diodorus Siculus, um historiador grego, declarou que as plataformas nas quais o jardim estava sobre lajes enormes de pedra, cobertas com capas de cana, asfalto e azulejos. Em cima disto uma coberta foi posta, com folhas de chumbo, evitando que a água da terra pudesse desgastar a base. Em cima de tudo isso foi posta terra de uma profundidade conveniente, suficiente para o crescimento das maiores árvores. Quando a terra foi posta e planificada, foram plantadas todos os tipos de árvores que pela grandeza e beleza encantavam os espectadores.
Qual era a grandeza dos jardins ? Diodorus nos fala que tinha aproximadamente 121 metros de largura por 121 metros de comprimento e mais de 24,3 metros de altura. Outras contas indicam que a altura era igual às paredes de cidade exteriores. Paredes que Herodotus disse que tinham 97,5 metros de altura.
Em todo caso os jardins tinham uma vista surpreendente: uma montanha verde, copada, artificial que sobe a planície. Mas, na verdade existiu? Afinal de contas, Herodotus nunca menciona isto.
"The King Hammurabi is the most famous king of the Babylonian kingdom. The whole kingdom flourished under his rule. His son Nebuchadnezzar is the one who built the Hanging gardens of Babylon, one of the Seven wonders of world.
Nebuchadnezzar ruled the country for 43 years from 605 BC. He constructed impressive array of temples, palaces and streets. It is being told that he built this garden to please his wife, Amyitis. Amyitis, daughter of the king Medes seems to have had a passion for mountainous surroundings. There are some other accounts which say that this wonder of the world was actually built by the Assyrian Queen Semiramis.
The ancient accounts of this hanging gardens (one of the seven wonders of the world) describes the structure to be a stairs like one. The Greek geographer Strabo, describes it as , "the garden consists of vaulted terraces raised one above another, and resting upon cube-shaped pillars. These are hollow and filled with earth to allow trees of the largest size to be planted. The pillars, the vaults, and terraces are constructed of baked brick and asphalt."
The irrigation system was supposedly the complex part built on this gardens. This region had very scarce rains. Slaves were used to push the water upwards using some ancient method of irrigation. Of course there must be some exploitation of slave labor to maintain one among the seven wonders of the world. The gardens did not really hang on the roof using cables or ropes. But this name from the sense that it was built on the roof top. Some accounts state that the gardens are 400 by 400 feet and 80 feet high.
Aquele homem junto à porta da cabine de condução, é o "manivelas"!
É aquele atencioso funcionário da REFER que entre Oliveira de Azeméis e Sernada, põe a trabalhar algumas passagens de nível automáticas...à mão !!
Vielle à roue
France, Allier
Vers 1850
Noyer, érable, nacre, velours, ivoire, métal
Objet conservé au Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (MuCEM), ancienne collection du Musée National des Arts et Traditions Populaires (MNATP)
Apparue au Moyen Âge, la vielle à roue est appelée chifonie ou organistrum, Elle est jouée dans les châteaux comme dans les villages. C'est un instrument à 6 cordes (2 pour la mélodie, 4 pour l'accompagnement), que l'on trouve en Europe, d'Espagne jusqu'en Ukraine. Elle appartient à la famille des instruments à cordes frottées. L'archet est remplacé par une roue actionnée à l'aide d'une manivelle. Elle est dotée d'un petit clavier.
Voir un exemple dans l'exposition "Trésors du quotidien" (MuCEM, 2007-2008) partie Distinction
www.tresorsduquotidien.culture.fr/fr/ouvrages.php
Instrument d'art populaire présenté dans l'exposition "Jacques Chirac ou le dialogue des Cultures" (partie traitant de son attachement à la Corrèze et au monde paysan)
Musée du quai Branly - Jacques Chirac
Paris
www.quaibranly.fr/fr/informations-pratiques/aller-plus-lo...
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Les habitués du musée du quai Branly ou du musée Guimet ne découvrent pas la personnalité culturelle de Jacques Chirac en visitant cette exposition organisée pour les 10 ans du musée du quai Branly. Ils savent qu'il a soutenu la rénovation du musée Guimet en 2001 car il était très attiré dès sa jeunesse par les arts asiatiques et qu'il est à l'origine de l'ouverture en 2006 du musée du quai Branly sur les conseils de son ami Jacques Kerchache et grâce à l'implication de Stéphane Martin, ce grand commis de l'État qui en est toujours le président.
Lorsque Jacques Chirac était au pouvoir, les médias ont peu évoqué ces aspects de sa personnalité, préférant souvent le présenter comme un bon vivant attaché aux terroirs, aux plats traditionnels et au monde paysan.
L'exposition rappelle le parcours familial, éducatif et politique de Jacques Chirac ainsi que son contexte historique, elle souligne un intérêt non simulé de l'ancien président pour la diversité culturelle, rempart contre les nationalismes source de guerres, et les décisions qu'il a prises en faveur du dialogue des cultures tout au long de sa carrière.
Une cinquantaine de stations jalonnent le parcours de l'exposition qui débute par les zoos humains organisés au jardin d'acclimatation, à la fin du XIXè siècle. montrant ainsi le chemin parcouru jusqu'à aujourd'hui et le changement de regard occidental sur les autres cultures. La colonisation y est longuement traitée dont l'exposition coloniale de 1931.
La création des institutions qui ont concouru à la connaissance et à la promotion de la diversité culturelle en France est évoquée : le musée de l'homme, le musée national des arts et traditions populaires, le musée Guimet, le musée des arts africains et océaniens, ancien musée des colonies, le centre Georges Pompidou, l'institut du monde arabe, le pavillon des Sessions au musée du Louvre, le musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, le musée du quai Branly.
Parmi les expositions temporaires majeures dans ce domaine, figurent dans l'exposition "les magiciens de la terre", de Jean-Hubert Martin en 1989 ou l'exposition sur "l'art des indiens Taïnos" organisée au Petit Palais en 1994 à la demande de Jacques Chirac.
Les apports intellectuels des grands ethnologues : Jean Malaurie, Claude Levi-Strauss ou d'écrivains comme André Malraux, Aimé Césaire...sont mis en valeur pour avoir permis une plus grande compréhension des autres cultures par les occidentaux .
L'exposition est riche de faits et d'évènements, elle est agrémentée d'objets et d'oeuvres de grande valeur prêtés par les musées nationaux mais aussi par des collectionneurs privés dont François Pinault.
Le principal défaut de l'exposition est sa scénographie qui manque de clarté en raison du choix du commissaire d'adopter un parcours thématique plutôt que chronologique. Il en résulte des allers-retours dans le temps qui sont perturbants pour le visiteur mais l'exposition mérite néanmoins le déplacement car on retrouve avec plaisir de nombreux évènements culturels et politiques que les plus anciens visiteurs ont vécu et pour lesquels ils se sont parfois mobilisés.
Tirage Argentiques, les photographies sont antérieures à leur mise en vente. C :1900. ( Aucune automobiles, place de la Concorde Paris ? )
"L'origine du sorbet coco remonte probablement à l'arrivée des premiers glaçons dans les Antilles en 1820.
Le mélange de crème était placé dans le compartiment intérieur de la sorbetière, équipé d'une palette reliée à la manivelle. Plus le mélange était manœuvré, plus la crème glacée était onctueuse. De la glace et du sel gemme étaient ensuite placés entre le compartiment intérieur et le seau extérieur."
wiki
« On récolte la glace sur des étangs ou des cours d’eau gelés (ça fait une surface plus régulière et plus facile à découper en blocs et à extraire). Les blocs sont découpés à la scie et manipulés à la force du bras avec de grosses pinces. Les pays naturellement froids et avec beaucoup d’eau, comme le Canada, le nord-est des États-Unis et la Norvège, sont de loin les plus gros joueurs, aidés par le développement des bateaux à vapeur, dans les années 1830/1840, qui permet d’expédier la glace d’Amérique du Nord jusque dans les Caraïbes ou en Europe, pendant que la Norvège s’occupe de fournir l’Allemagne et le Royaume-Uni. »
« La ville de Paris était approvisionnée par quarante glacières, les plus anciennes étant celles de Gentilly, Saint-Ouen et Villeneuve l’Étang. La glace venait aussi de Norvège lorsqu’on en manquait. La Société des Glacières réunies de Saint-Ouen et de Gentilly en possédait trente, qui pouvaient emmagasiner vingt mille tonnes de glace. La consommation totale était de 7 500 tonnes sur lesquelles 500 étaient employées par les marchands et les préparateurs de denrées alimentaires, les crémiers, et le reste par les glaciers pour la fabrication de glaces et de sorbets. »
www.eurekoi.org/dou-venait-la-glace-des-marchands-de-cube...
Ou je précisais : Production à la chaîne sur des bobines de papier sensibilisé ,
(Invention des Allemands fins 19ᵉ siècle, la S.I.P (société française), c'est aussi équipé d'une machine similaire juste à la fin de la Grande Guerre pour faire face à la production des images de celle-ci, 1418 qui allait envahir le marché européen.
Voir : www.flickr.com/photos/193116254@N07/54470695824/in/datepo...
T.K. Treadwell & William C. Darrah anciens
du National
Stereo Association avouait bien volontiers leur peu de
renseignements sur cette « Collection THÉA. »
Sinon que certaines étaient collées sur carton, d’autres non.
Sur certaines que j’ai reçu depuis le dos est imprimé :
(sans le logo ! )
Société Industrielle de Photographie, Rueil ( Seine et Oise).
Donc trois versions sont possibles pour chaque carte sortie ?
Cela sent la magouille, certains tirages officiellement non jamais existé, je suppose
Silver prints, the photographs predate their sale. Circa 1900. (No automobiles at Place de la Concorde, Paris?)
"The origin of coconut sorbet probably dates back to the arrival of the first ice cubes in the West Indies in 1820.
The cream mixture was placed in the inner compartment of the ice cream maker, equipped with a paddle connected to the crank. The more the mixture was moved, the creamier the ice cream. Ice and rock salt were then placed between the inner compartment and the outer bucket."
wiki
Menu de ce dimanche, avec un rôti de porc kénitra...parce que nous sommes le 14/03, l'envers du 3,14 de mon fantôme de l'autre nuit, fan de beignets. Alors voilà...forcément un petit retour de manivelle culinaire. Et beaucoup de plaisir pour toute la famille.
A Hasselblad CFV-50 tem uma aparência retro, com o disparador em manivela. Mas não se deixe enganar pelo aspeto. A CFV-50 é uma câmera com um sensor de 50 megapixel que grava ficheiros em 2F RAW.
A câmera telêmetro Yashica Minister D foi fabricada no Japão a partir de 1964 [1]. A principal mudança do Ministro Yashica III foi a nova célula do medidor de CdS montada abaixo da manivela de rebobinamento. No entanto, o medidor de luz permaneceu desacoplado das configurações de exposição no barril da lente. O Ministro 700 é uma variante da mesma câmera, mas com uma lente f / 1.7 mais veloz.
O indicador do medidor de luz mede a luz de 3 a 17 LV. Para determinar o EV, a escala no medidor pode ser ajustada para corresponder ao ISO do filme.
O barril da lente possui um anel LVS para definir o nível de exposição. O anel tem números LV de 2 a 17. Ao girar apenas o anel LVS, o anel de abertura é ajustado automaticamente para manter o mesmo nível de exposição, oferecendo a essa câmera uma espécie de modo de prioridade do obturador. Atingir a abertura mínima ou máxima irá, então, girar automaticamente o anel do obturador também.
La zanfona de Galicia es un instrumento perteneciente a la familia de los cordófonos frotados, ya que tiene cuerdas que suenan por la frotación de una rueda de madera (ahora las hay incluso de cerámica) cubierta de resina. Esta última gira por acción de una manivela (o manubrio). El sonido de la zanfona se modula a través de un teclado que da una escala cromática de dos octavas de extensión.
Cada zanfona gallega consta de tres cuerdas principales, llamadas cantoras, que son las que producen la melodía y dos cuerdas más, que funcionan como acompañantes o bordones. Al tocarlas al mismo tiempo, el instrumento produce dos sonidos simultáneos, uno grave y fijo a intervalo de octava y otro agudo a intervalo de quinta.
Gracias a sus cuerdas, la zanfona se asemeja a un violín mecánico, aunque también tiene algo de un organillo, instrumento del que procede. Además, sus notas son similares a las dos octavas de un piano.
Manivel’swing / Orgue de barbarie à Dinan (22)
((Manivel’swing / Orgue de barbarie:Sylvain LIOTÉ-STASSE a grandi dans le quartier latin à Paris, du côté de la rue Mouffetard et de la Contrescarpe. Avec son "orgue barbare" en bandoulière, il redonne souffle et énergie aux chansons des rues, celles interprétées entre autres par Juliette Gréco, Mouloudji, Piaf, Montand, Jeanne Moreau, Salvador, Boris Vian, Bourvil, Nougaro, Gabin, Renaud … mots et mélodies qui font corps avec la vie.
Et non votre héros préféré n'a pas pris de billet pour le Japon malheureusement !
C'est toujours Paris ou plus précisément Boulogne, juste l'autre côté de la Seine. C'est le jardin du musée Albert Khan. C'est un jardin peu connu et que j'adore, pour sa beauté et pour l'esprit qui y règne.
Albert Kahn était un banquier qui croyait à la paix universelle grâce à la connaissance des autres cultures ! Il a donc envoyé dans le monde entier, entre 1910 et 1930, des équipes pour photographier sur plaques de verre autochromes et filmer avec des caméras (en bois avec manivelle) des frères Lumière, les cultures du monde de l'époque. (consultables dans le musée)
Il a créé aussi un jardin stupéfiant. Ca commence par une partie aménagée en jardin Japonais, vous faites quelques pas et c'est un village Japonais. Encore quelques pas et c'est un jardin Anglais, puis un jardin Français et enfin une forêt Française. Tout ça sur seulement 4 hectares !!!
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No your favorite hero didn't take a ticket for Japan ! It's always Paris (Boulogne exactly), just the other side of the Seine. It's the garden of the museum Albert Khan. It's a little-known garden and that I like, for its beauty and for the spirit which reigns there.
Albert Kahn was a banker who believed in the world peace by the knowledge of the other cultures !
He sent all over the world, between 1910 and 1930, teams to photograph on glass patches autochromium and film with cameras (wooden with crank) of the brothers Lumière, the cultures of the world of time. (Available for consultation in the museum)
He also created a stunning garden.
That begins with a part fitted out in Japanese garden, you make some steps and it is a Japanese village. Still some steps and it is a landscape garden, then a French garden and finally a French forest. All this on only 4 hectares!!!
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¡ No su héroe preferido tomó billete por Japón desgraciadamente!
Es siempre París o más precisamente Boulogne, justo la otra parte del Sena. Es el jardín del museo Albert Khan.. Es un jardín poco conocido y qué adoro, para su belleza y para el espíritu que reina allí.
¡ Albert Kahn era un banquero qué creía en la paz universal gracias al conocimiento de otras culturas !
Pues envió en el mundo entero, entre 1910 y 1930, equipos para fotografiar sobre placas de vaso autocromo y rodar con cámaras cinematográficas (de madera con manivela) a hermanos Lumière, las culturas del mundo de la época. ( Consultables en el museo)
Creó también un jardín estupefaciente.
Esto comienza con una parte habilitada en jardín japonés, usted hace algunos pasos y es un pueblo japonés. Todavía algunos pasos y es un jardín Inglés, luego un jardín francés y por fin un bosque francés. ¡ Todo esto solamente sobre 4 hectáreas !!!
EL ASESINO DE ISADORA
En la película “Isadora” la genial bailarina (interpretada por Vanesa Redgrave) muere estrangulada cuando su foulard se engancha en la rueda trasera de un Bugatti. ¡Falso!. Para bien o para mal… era un Amilcar.
Los Amilcar no eran, pese a esta confusión, rivales de los Bugatti. Realmente no eran... ni siquiera automóviles, sino “cyclecars”: “vehículos de 3 o 4 ruedas, con un peso máximo de 350 kg y una cilindrada inferior a 1100 cc” que gozaban de grandes beneficios fiscales. Su diseño se debe al joven ingeniero Edmond Moyet y su nombre al maduro financiero Emile Akar (A-mil-kar), que fundan la marca en 1921 para aprovechar la nueva legislación. Pero a diferencia de otros cyclecars, que asocian ligereza con mezquindad técnica (transmisión
por fricción, dirección por cables) los Amilcar pretenden ser coches en miniatura, sencillos si, pero sólidos y eficaces: chasis en escalera, ballestas semi-cantilever, puente trasero sin diferencial, tambores solo en ese eje, dirección de tornillo sin fin,... son características muy similares a las del 5CV Citroen, en cuyo proyecto había colaborado Moyet.
En cuanto el motor, concebido y realizado por la marca, es también de una gran sencillez:
4 cilindros, 903 cc, válvulas laterales, 2 palieres, sin bomba de aceite y con arranque por.. manivela. Va acoplado a un cambio de tres velocidades y rinde solo 17 cv, pero el primer Amilcar (CC) aprovecha su peso pluma, sobre todo, para lograr mejores prestaciones. De hecho pronto se une a los citados Andre Morel, gran piloto, que les habla de la excelente imagen de marca que proporcionan los éxitos en competición, y en 1922, con un Amilcar
“casi” de serie, gana la Bol de Or y el campeonato de Francia de la categoría, venciendo a
sus principales rivales… los Salmson
Gracias a esas victorias, los Amilcar, nacidos como “utilitarios baratos”, se incorporan poco
a poco a la elite de los “deportivos”. En los siguientes (CV, CS) la cilindrada aumenta (980, 1003 cc) y con ella la potencia (18, 23 cv) pero también el peso (350, 400 kg), hasta llegar
al CGS (1075 cc, 33 cv, 550 kg) y el CGSs, ultimo eslabón de la saga de los Amilcar Sport,
el non plus ultra para los latinos, el “Cyclecar Grand Sport surbaisse” para los aficionados. Comparte motor (y peso) con el CGS pero se distingue a primera vista de el por su estilo compacto (mas bajo y con menor distancia entre ejes) su pequeña calandra muy separada
del radiador y sus grandes frenos de tambor situados (por fin) en las 4 ruedas.
La carrocería lleva el anagrama de Dumont, pero las hay similares que solo enarbolan el
de Amilcar, porque el carrocero trabajaba tanto por cuenta propia como para la marca.
The Amilcar C4 is a light sporting car designed for road use made between 1922 and 1928 by the French Amilcar company. The chassis is a lengthened version of that of the Amilcar CC model. Coachwork for this vehicle was originally made only by external builders and sent to the factory.[1]
It is powered by a 1043 cc four-cylinder engine with a 58.0 millimetres (2.3 in) bore, a 95.0 millimetres (3.7 in) stroke, and a magneto ignition. The vehicle has three speeds and runs on rear wheel drive. The suspension uses semi-elliptic leaf springs in both the front and real as well as fitted friction type dampers
Wikipedia.
Aujourd’hui c’est dimanche, le seul jour de la semaine où l’on peut y accéder, c’est la raison pour laquelle nous nous sommes rendus au « musée des ustensiles de cuisines anciens » à Saint-Denis La Chevasse.
Bon, il faut bien l’avouer, c’est pas si tout près que cela mais la Miss tiens absolument à le visiter et le peu que j’en ai vu sur les publicités dont regorge le syndicat d’initiative m’a donné à moi aussi l’envie de retrouver un peu de mon passé auprès des fourneaux. En gros Saint Denis la Chevasse, c’est entre Cholet et la Roche sur Yon. Le musée est situé au cœur d’un ancien logement d’instituteur du 19ème siècle mis à disposition le l’association AMUCA qui le gère par la commune. C’est cette petite association de bénévoles qui en cherchant un moyen de valoriser le tourisme dans la commune a eu cette si riche idée.
En fait, nous avions lu qu’il s’agissait là du tout premier musée de France consacré non à l’art culinaire dans son ensemble ou en détail( il y a des musées de boites à camembert, de tirs bouchons, de bouteilles etc…), mais simplement à l’évolution de nos ustensiles de cuisine.
C’est un musée riche de plus de 1400 pièces collectées dans les remises de nos grand-mères comme dans les nôtres. Il est organisé en six salles présentant chacune autour d’un thème l’évolution des ustensiles et des techniques mais aussi indirectement nos modes de vie.
La première salle est entièrement consacrée à la cuisson. Les premiers ustensiles de cuisine firent en effet leur apparition autour de nos foyers. Ors de la cheminée nous sommes passés aux potagers (marmites couvertes que l’on laissait au coin du feu) puis aux premiers réchauds, enfin les cuisinières à bois, au charbon, au gaz puis à l’électricité. Du moyen âge au 18ème voir 19ème siècle, la cheminée constituait la source principale de chaleur. La plus part des ustensiles étaient alors en cuivre, fonte, terre ou fer. Dans les cheminées se trouvaient la crémaillère où étaient accrochés marmites, chaudrons et poissonnières. Le tournebroche servait à rôtir les viandes et volailles. Le boufadou, sorte de soufflet à bouche servait à attiser le feu. Les maitres-queue ainsi nommés en raison de la longueur des manches des poêles à frire maniaient les grille-pain et cuit-pommes. On était alors loin des Poêles sans manche recouvertes de Téflon qui se rangent dans un placard. Les maitresses de maison plus tard officiaient devant leur réchaud à braises, pétrole, alcool, gaz ou gaz d’essence. Enfin dans les années trente, elle recevait en cadeau de mariage, directement des manufactures de Saint-Étienne leur petite cuisinière émaillée à bois ou charbon.
La deuxième salle est réservé à la révolution culinaire que constitua l’introduction de l’aluminium dans nos cuisines. C’est la période 1925 à 1950. Ce métal léger a vite fait de reléguer dans les caves et greniers les trop lourds ustensiles de terre, fonte, cuivre ou acier. C’est l’époque du renouvellement complet de la batterie de cuisine pour l’inusable aluminium blanc mais aussi pour la ville l’arrivée des cuisinières mixtes, électricité et gaz tandis que dans les campagnes à partir de 1933 fleurissent les cuisinières avec leur bouteilles de gaz Butane. Pour ceux qui sont encore au charbon ou qui n’ont pas de four, il y a les fours cloches qui permettaient de cuire rôtis et pâtisseries.
Un petit espace est réservé à l’introduction de la tôle émaillé et l’on y retrouve là encore toute une batterie de materiels.
La troisième salle est réservée au matériel qui sert à mijoter, passer, presser et éplucher. On y retrouve des grill viande datant du début du 20ème siècle, des passoires en différents matériaux selon leur âge dont une magnifique en cuivre du dix-huitième siècle dont les trous furent perforés à la main un à un selon un magnifique motif. On retrouve l’évolution des cocottes de la terre à la fonte d’aluminium et surtout une magnifique collection d’autocuiseurs allant de 1920 à nos jours. On peut ainsi voir combien cet appareil à subit de transformation. Nos clipso modernes n’ont plus rien à voir avec ces monstrueuses machines sur lesquelles trônait un manomètre et un système de fermeture plus gros qu’elles. Un grand merci au passage à la société SEB(Société d’emboutissage de Bourgogne) qui a offert la plupart des modèles. On y retrouve aussi des presses fruits, des à cassis, à pommes ou à oranges, des pilons à grain, à poivre ou à sel, des hachoirs à main ou électriques, des moulinettes à légumes ou à fromage, des mandolines de toutes sortes et enfin des éplucheurs, de l’économe à l’épluche patate électrique.
Dans la quatrième salle on ne s’intéresse qu’à l’évolution de deux types de productions qui ont pris dans notre alimentation des places à part.
La pâtisserie tout d’abord avec une série de moules en fer blanc et des cul-de-poule(saladier à base ronde permettant de mélanger sans laisser des grumeaux dans les coins) en cuivre, des moules à pudding, savarin, baba, manqué, tourteau, madeleines ou à biscuits, des batteurs à œuf datant de la première moitié du dix-neuvième, des balances Roberval et des pesons de différentes tailles, des gaufriers à motifs en fonte dont un magnifique à caractères ésotériques. Une magnifique sorbetière du début du vingtième voisine une impressionnante collection de yaourtière avec leurs pots de faïence, des faisselles et des barattes à beurre et même une écrémeuse à lait datant des années 50.
Le café, avec bien sur, tout ce qu’il faut pour le produire.
C’est à dire la torréfaction tout d’abord avec des grills pour le grain, des tambours ou des poêles qui permettaient de le tourner en tout sens durant la cuisson.
C’est aussi la mouture avec des moulins de tous âges et de toutes formes. En effet, dès le XVIIe siècle, sous le règne de Louis XIV, on fabriquait des moulins à café en fer, et c'est à partir du XIXe siècle que les moulins à café pénètrent réellement de nombreux foyers, notamment les modèles de la société Peugeot frères dont le premier date de 1832. Aujourd'hui, l'énergie électrique a souvent remplacé la manivelle..quand il n’arrive pas directement sous forme moulu dans nos cuisines.
Enfin vient la préparation et le matériel correspondant selon la méthode employé :
- En décoction, à la turc, mouture fine directement mise dans la cafetière avec l’eau et le sucre.
- En infusion avec des cafetières à piston qui permettent de séparer le liquide de la mouture (même chose que la décoction mais on sépare le café du jus).
- En lixiviation, c’est l’usage des filtres à café en métal, tissus ou en papier. On trouve dans ce musée une magnifique collection de supports pour ces filtres.
- Et enfin par percolation, c’est l’arrivé dans nos cuisines des cafetières italiennes. Ce type de cafetière est constitué de deux compartiments séparés par un porte-filtre qui contient une dose de café. En chauffant, l'eau placée dans la cuve en vase clos s'évapore, puis remonte poussée par la vapeur sous pression; au passage, elle traverse le café et déborde en haut de la cheminée pour retomber finalement dans la verseuse. L'appareil sert à la fois à la préparation et au service. On en trouve qui fonctionnent sur des plaques électriques ou sur cuisinières à foyer bois/charbon ou au gaz. Cette collection contient même un modèle de la rolls royce des cafetière, un modèle original en verre de la marque Cona fabriqué vers 1920 avec bruleur à alcool.
La cinquième salle est réservée à la conservation des aliments selon les différentes méthodes :
- Le séchage, fûmage ou la dessiccation (on ôte l’eau de l’aliment)
- les salaisons(conservation dans le sel, le vianaigre ou la saumure)
- la confiture(conservation dans le sucre)
- la stérilisation(pasteurisation : Variation de température et appertisation : mise en conserve)
- les confits(conservation dans la graisse mais aussi dans l’alcool ou l’huile)
- la réfrigération puis la congélation
Il y a même des garde-manger pour mettre les aliments à l’abri des souris et des insectes.
La sixième salle est consacrée aux spécificités régionales avec une magnifique collection de couperets de cuisine du dix-septième siècle issue du château de Pierre de Bresse dans l’est de la France. Mais on y trouve aussi une marmite à vin chaud alsacienne, des mortiers à aïoli de Provence en marbre. On y trouve même une magnifique « Cantine militaire », vous savez, ces malles contenant tout le nécessaire à la fabrication des repas par le cantinier militaire. C’est une reproduction datant de 1952 d’un modèle de 1933. Dans ce tout petit espace, ce trouve de quoi cantiner six personnes, le couvert bien sur mais aussi la popotte.
Enfin, le palier sert à des expositions temporaires. Lors de notre visite, l’exposition s’appelait « la cuisine des poupées » et Dine pensait y voir toute une série de « Dinettes » mais non, il s’agissait bien de CUISINES de poupées, des miniatures de cuisines en fonte à bois ou à charbon avec lesquelles les jeunes demoiselles fortunées jouaient à la maitresse de maison grâce à des séries de casseroles en cuivre, des poteries et de la vaisselle miniature. Non seulement, les grands modèles sont des œuvres d’art en eux-mêmes, mais voir ces minuscules cuisinières de fonte dotés de vrai tiroirs permettant de recueillir les cendres issu de la combustion d’un petit charbon, on se demande si le jouet n’est pas plus beau que l’original.
Nous avons passé un excellent moment tout autant dans ces salles que dans les souvenirs que nous remémorent tous ces matériels que nous avons connus et reconnus comme étant une partie de notre passé. C’était génial et franchement, je vous conseille d’y allez voir et retrouver ces objets de notre quotidiens que nous avons renvoyés aux oubliettes comme étant dépassés et ce bien qu’ils remplissaient pas si mal leur office.
No podía dormir.
Bajó a lo más oscuro de su interior, donde residían sus pensamientos, la mente, la cabeza que tantos desmanes había cometido en este último año. Si la había desconectado la última vez, ¿cómo era posible que estuviese a punto de reventar?
Llegó en la penumbra con un silencio sepulcral. Nervioso, vió las luces de alarma encendidas, y empezó a accionar el mecanismo de desconexión. Nada ocurrió. El silencio tornó en miles de susurros arrolladores que se colaban como veneno por sus poros, cuestionando pasado, presente y futuro, rompiendo su precario equilibrio y desollando su alma sin piedad.
Empezó a golpear los botones y manivelas con más fuerza y las voces se alzaron con poder exigiendo volver a gobernar su vida. Cayó al suelo dolorido y marchito. "¿En qué momento se me ocurrió que podía ser un sentipensante?", se preguntó, mientras lamentaba estar tan lejos de la única persona que le podía ayudar.
Achei esta máquina aqui no lixo aqui do meu bloco. e ela ainda tem a capa original de madeira, ela nao tem nenhum nome entao nao sei que marca ela é,funciona na manivela e costura sim....
*** Présentation et Caractéristiques ***
Type : Reflex argentique
Date : 1971 -1980
Format : 24x36
Poids : 1130 g
Alimentation : SR44 2x1,5V
Prix (Achat et Sortie) : A = 120 € | S= 720 €
Monture : F
Vitesse : 1/2000 – 10 sec
Avancement : Manivelle
Cellule et Position : CDS et TTL
Exposition: spot
Iso: 6-6400 ASA
*** Ergonomie et finition ***
Le Nikon F2 est le baroudeur du 20ème siècle. Présent sur tous les fronts, au cou des plus grands photoreporter. Il succède au Nikon F (premier du nom) en 1972.
Comme pour tous les F (sauf F6) l'appareil est hyper-évolutif (prisme interchangeable - multiples objectifs - moteur - dos 250 vues ...).
C’est un boitier de confiance, il peut fonctionner sans pile, il est lourd et massif, ce qui le rend sûr.
*** Les Plus et Moins ***
+ c’est un NIKON F !
+ Finition pro
+ increvable
- Franchement je vois pas (certains trouvent le Photomic (prisme) inesthétique…)
*** La photo ***
Le mien est équipé d'un 50mm f/2 avec "fourchette". Ces ergots permettent de donner la valeur du diaphragme sélectionné à la cellule présente dans le prisme (interchangeable).
14.06.14
I Torneo Medieval de la Ciudad de Coria.
Han jugado como lo que son... niños, en algo tan infantil como un carrusel. Debía haber hecho una foto de él entero, era todo de madera y funcionaba a mano con una manivela que hacía girar el dueño. El tiempo controlado con un reloj de arena y marcado con una campanilla.... Precioso.
Y además ellos han añadido el corre que te pillo, de ahí la cara de velocidad y "mala leche" de Rocío, queriendo coger a su hermano, que por otro lado, la esperaba tranquilamente en su patito un poco más alante burlándose de que por mucho que lo intentara, no lo alcanzaría.
Para Lío de fotos y mi Diario de Primavera
Meu desafio ta a manivela
hauahauahauaahau
A da vez é amarelo!
Bem chato de passar,e muito ralo,lotou de bolinhas.Não sei definir amarelo,rs
acho que ele é bem 'gema de ovo' :P No vidrinho tem uns brilhinhos bem fofos,que desaparecem completamente nas unhas.Fiz as bolinhas um dia depois de esmaltar,e adorei!To com pena de tirar :(
Usei:
4x Domingo no Parque - L'apogee(preguiça de escrever esse nome)
Bolinha - Black(Colorama)
Dans l'histoire de l'Humanité.il y a eu l'invention de la roue...et combien d'autres par la suite...et des découvertes de merveilles...dont la 8e qui est toujours à préciser...
Dans l'histoire du monde culinaire,il y a eu l'invention du rouleau à pâte dont la ménagère s'est souvent servie pour mettre son homme au pas...;-)))...et combien d'autres inventions par la suite pour sensément nous faciliter la tâche... Quant aux merveilles,je viens tout simplement d'en découvrir la 8e...Ma soeur fait des tartes et avec quelques tours de manivelle de cette petite merveille,elle prépare ses pommes...Elle utilise un éplucheur et extracteur du coeur de la pomme... Elle ne peut tout simplement plus s'en passer...
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Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)
Site d'écluse des Mazelles.
Treuil à manivelle pour la manoeuvre de la porte d'écluse.
Le barrage mobile à aiguilles des Mazelles est construit en 1839 sous la direction de l'ingénieur Camille Bailloud. En 1902, le déversoir fixe est reconstruit par l'entrepreneur Alphonse Bodin.
Artisanale au départ, l'imagerie d'Épinal est peu à peu devenue une véritable industrie. L'imagerie utilise initialement une image gravée dans une planche de bois (xylographie). L'impression de la feuille s'effectue alors à l'aide d'une presse à bras, dite « Gutenberg ». Ensuite intervient le coloriste : au moyen de pochoirs, il applique à l'aide d'une brosse ronde les différentes couleurs nécessaires à la finition de l'ouvrage. Les techniques évoluent au fil du temps, notamment vers 1850 avec l'arrivée des pierres lithographiques qui révolutionnent la technique d'impression dans les imprimeries.
Tipo de cámara: Compacta
País de fabricación: España
Año de fabricación: 1966
Objetivo: Laotar 50mm f:7.5 Acromático
Obturador: Fijo 1/80.
Diafragma: Tipo lámina excéntrica con tres aberturas (7,5, 11, 16)
Tipo de película: 135 (Universal)
Enfoque: Fijo de 2.5m a infinito.
Fabricante: Certex
Werlisa es el nombre de a una extensa serie de cámaras, en constante evolución, producidas por Certex, que marcaron una época dentro de la fotografía de aficionado en España.
Son cámaras funcionales, con una buena óptica, totalmente aptas para la fotografía en color y que tuvieron un gran éxito dentro del mercado español para aquellos aficionados que buscaban una cámara que les permitiera obtener imágenes recuerdo.
Salvo en su modelo inicial, todas las Werlisas llevan en la ventana frontal izquierda una plaquita metálica con un rayado horizontal .
La Werlisa II es una versión simplificada del modelo Werlisa Color, por ello es difícil diferenciarlas a simple vista, el objetivo se trata de un menisco azulado acromático de Laotar de escasa luminosidad (7.5). Su diafragma es una sencilla lámina con tres orificios que se mueve mediante un aro del objetivo, dejando ver en una ventanilla de la parte superior el ideograma meteorológico correspondiente. El obturador es de lamina y posee una única velocidad, 1/80. El visor es sencillo y bastante grande.
En el frontal de la cabecera se conservan las tres partes de la Werlisa Color, en la primera aparece el nombre de la marca en letras negras y el modelo en rojas, la segunda es la correspondiente al visor y la tercera la plaquita con rayas horizontales típica y un circulo de color negro.
En la parte superior se encuentran la manivela de rebobinado el nombre de la cámara (algo que no pasa en otros modelos) y una ruedecilla para servir de recordatorio de la película cargada. En la parte trasera esta el visor y la palanca de arrastre. El contador de exposiciones se encuentra en un pequeño orificio de la parte superior del escudete sobre el que se monta el objetivo.
En la parte inferior, de aluminio, se encuentra el desbloqueador del arrastre, una rosca de trípode y el texto “FABRICADO EN ESPAÑA POR CERTEX S.A.”.
Esta cámara, como el resto de modelos de Certex, busca suministrar máquinas a bajo precio a una clase media que empieza a demandar bienes de consumo aunque su poder adquisitivo no sea comparable al de sus vecinos europeos.
Estas cámaras contaban en su inicio 650 ptas. Más 100 Ptas. por la funda.
Hay dos variantes de este modelo:
Werlisa II (A). Es el modelo inicial (y el de las fotos) se caracteriza por un cabezal rectangular, un cuerpo forrado de color negro y por carecer de zapata para accesorios
Werlisa II (B). De aparición posterior. Tiene el cabezal trapezoidal, el recubrimiento del cuerpo de color gris, llevar una zapata de accesorios en el centro de la parte superior de la cabecera y llevar el texto de procedencia escrito en inglés.
El chinchinero es un personaje popular chileno que lleva en su espalda un bombo el cual golpea con unas varillas.
Los chinchineros suelen recorrer las calles, acompañando a un organillero, quien posee un organillo, instrumento a base de aire que se hace funcionar con una manivela. Mientras el organillero toca, el chinchinero toca y baila lo que el organillero está interpretando: Fox-Trot, Vals, tango y Cueca.
Muchas veces los chinchineros callejeros venden remolinos u otros juguetes para los niños. También es común ver a una pareja de chinchineros compuesta por padre e hijo.
Niño absorto viendo a los Chinchineros
El chinchinero es un personaje popular chileno que lleva en su espalda un bombo el cual golpea con unas varillas.
Los chinchineros suelen recorrer las calles, acompañando a un organillero, quien posee un organillo, instrumento a base de aire que se hace funcionar con una manivela. Mientras el organillero toca, el chinchinero toca y baila lo que el organillero está interpretando: Fox-Trot, Vals, tango y Cueca.
Muchas veces los chinchineros callejeros venden remolinos u otros juguetes para los niños. También es común ver a una pareja de chinchineros compuesta por padre e hijo.
Excepcional imagen capturada desde el interior de una de las cinco unidades de los tranvías articulados (serie 251-255), que prestaban servicio en la línea 10 "Academia", un poco antes de cruzarse con la unidad 254. Posiblemente, el escenario sea la calle de San Juan de la Peña, dirección AGM, poco después del arranque del camino de los Molinos, y tras haber pasado junto a "Coromina Industrial". A la izquierda, viviendas inmediatas a Campo Ebro Industrial.
Tras la clausura de esta línea, en enero de 1971, las cinco unidades referidas fueron desguazadas.
El conductor, al mando del regulador que controlaba la marcha y frenado del tranvía. Destaca la característica manivela.
Fuente visual: Foto John Scragg, a través de www.forotrenes.com/
Proyecto GAZA ("Gran Archivo Zaragoza Antigua"),
es un compendio de imágenes de la antigua Zaragoza (España), acompañadas de textos creados por José María Ballestín Miguel
y la colaboración de Antonio Tausiet.
Photo André Knoerr, Genève. Reproduction autorisée avec mention de la source.
Utilisation commerciale soumise à autorisation spéciale préalable.
Le trolleybus articulé Saurer 881 ex-TPG 661 stationne au terminus Bourdonnette de la ligne 2 au pied de la station du TSOL (m1).
En manque de matériel les TL avaient acheté les dix Saurer 651-652, 654, 656-662 et les avaient mis en service dans le désordre sous les numéros 881-890 non sans avoir au préalable remplacé les rouleaux à manivelle par des indicateurs automatiques à pastilles.
En hiver,les agriculteurs concentrent leur travail sur le bétail et l'entretien du matériel d'exploitation.
En été, c'est la moisson. Les céréales sont entreposées dans le grenier.
El coche más viejo de cuantos se presentaron al concurso de elegancia. Esperaba mayor dificultad de encendido ya que es por manivela pero no fue así. Recuerdo las historias de mi padre de brazos partidos por culpa de estas manivelas de arranque pero un par de vueltas y ya estaba encendido. Éso sí tuvo que ir inmediatamente a realizar ajustes en el tablero.
Para aquellos que conocen el Rambler de Nash/AMC, no tiene nada que ver con aquel.
enquanto o carnaval agita multidões...
aqui estou... trabalhando...
estou bem... com saudades de todos!!!!
hoje com muita paciência consegui baixar essa foto.... claro que diminui o máximo a resolução para conseguir fazer o download!
este menininho eu vi do carro depois de um dia de campo... abri a janela e fotografei...
a vida por aqui é calma... sem muitos recursos...
e poucos tem energia eletrica...
prometo postar depois o liquidificador a manivela!!!
bjua em todos....
CLUB A.R.G.V.S. (
Alpine Renault Gordini du val de Saône) tiens à remercier les nombreuses personnes présentes à notre troisième manifestation : en résumé, journée réussie grâce à vous les nombreux participants et visiteurs avec un temps magnifique !!
D'autres photos ont ici :
www.facebook.com/pages/Alpine-Renault-Gordini-du-Val-de-S...
Après les cinquante ans de la Renault 8 et Génération Renault turbo, et pour la quatrième année consécutive, l'ARGVS est heureux de vous accueillir et de vous convier au RASSEMBLEMENT du dimanche 23 AOUT 2015 à MONTCEAUX (Ain) sur l'aire de loisirs de toute la GAMME Alpine Renault classique!
Trois modèles de la gamme seront mis à l'honneur :
La R16 pour ses 50 ans,
L'Alpine GTA pour ses 30 ans,
La Super 5 GT Turbo pour ses 30 ans,
+++++++++++ENTRÉE GRATUITE +++++++++
+ Arrivé des participants avec les voitures pour la formation du Losange.
+ Formation du convoi pour la balade touristique de 30km permettant de découvrir les environs.
+ Stand d'exposition de mécaniques provenant de divers véhicules renault.
+ Tombola pour gagner une VOITURE en modèle réduit au 1/12ème
+ Animations multiples étalées sur l'ensemble de la journée.
++PLAQUE SOUVENIR OFFERTE AUX 200 PREMIERS ARRIVÉS++
A disposition sur place : Buvette, Repas snack, ...
Toutes les RENAULT essence D'EXCEPTION sont conviées à cette manifestation nationale : Floride, Caravelle, 4CV, Colorale , A106, Prairie, domaine, Manoir,R4 ou 4L, R8, R10, R12, R15,R16, R14, R20, R25 LIMOUSINE, R17,R30 Gordini , R5 , R16, Frégate, Dauphine, Alpine, A110, Berlinette, A310, R25 bi turbo, Safrane bi-turbo, Fuego , R 18 turbo, R 5 alpine turbo, R 5 turbo, R19 16S, R 21 turbo , R 9 & 11 turbo, R 5 Gt turbo, R 25 V6 TURBO, Alpine V6 turbo, Alpine A610 Turbo, Safrane bi-turbo , Mégane RS, Clio 4 RS, Proto, rodéo, Clio williams, Spider, Clio V6, Avantime, Twingo Gordini, Vel satis, etc... PASSER NOUS VOIR ET MONTRER VOTRE RENAULT.
Tous les véhicules sont présents lors des 2ème dimanche du début du mois à MONTMERLE sur SAÔNE de 9 heures à 13 heures.
C'est LE RETRO CAR MEETING et les autres voitures d'époque ou/et d'exception sont les bienvenues ainsi que les visiteurs!
====> A VOIR NOUVELLE ALPINE RENAULT !!!
www.youtube.com/watch?v=yfxYifTZ0uE&feature=related
VOILA
LA
VIDEO
SLALOM ARGVS 2010
www.youtube.com/watch?v=7Yu05MazdXM
www.dailymotion.com/video/x8njpe_renault-8-major-un-hamst...