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Entre 1890 et 1950

 

Instrument servant à transformer la crème en beurre grâce au brassage à l'aide d'un agitateur manuel ou avec des pales entrainées par une manivelle.

© Gérard Lavalette tous droits réservés

www.parisfaubourg.com/

Motorisation : moteur Potez 9B de 270 ch

Monoplace de vitesse

1er vol le 26 avril 1933

 

Vitesse maximale : 405 km/h

Plafond pratique : 7500 m

Distance franchissable : 1000 km

 

Lancé sur un pari, le Potez 53, tout comme son moteur, sont conçus en cinq mois pour remporter la coupe Deutsch de la Meurthe 1933 ; une course de deux fois 1000 km sur un parcours de 100 km tracé dans la région d’Étampes (Essonne). Cet avion moderne : train rentrant (actionné à la manivelle), capots et raccords aile-fuselage très travaillés, fonction aérofrein sur les ailerons.

 

Il remporte la course aux mains de Georges Détré le 29 mai 1933. L’appareil parcourt les 2 000 kilomètres en 6 heures 11 minutes et 45 secondes, soit une moyenne de 322,800 km/h.

Amis lecteurs, c'est avec grand plaisir que nous continuons notre série " Les agents très spéciaux".

Et en parlant de plaisir, nous n'exagérons rien. Car cette fois-ci, il s'agit de l'agent C, alias le curcubitacé ! Un agent plutôt atypique, artiste, lyrique. Un agent clairement positif.

 

Alors que nous nous dirigions vers les lieux du rendez-vous, des voix nous parvinrent. Des voix qui alternaient entre chant et blabla.

Nous ne les apercevions pas encore et pourtant leur présence et leur joie de vivre étaient déjà palpables, fortes, évidentes. Curcubitacé au pluriel car cet agent est en fait un trio.

Un trio complice, un trio débordant d'énergie, un trio qui fait du bien.

Plus on s'approche, plus l'ambiance semble changer.

Plus flotte dans l'air comme une vibration différente.

Plus la curiosité est aiguisée.

Et puis, on tombe sur eux...

Un trio un peu foufou, un peu incontrôlable mais si drôle. Ainsi, l'interview fut tout le long entrecoupée de chansons soudaines, de danses, de rires, de vent fou.

Notre photographe, pourtant expérimenté, a eu du fil à retordre avec ces trois là. Il a fallu canaliser un minimum les trois compères afin qu'ils daignent enfin poser pour la photo. Cette photo qui évoque bien leur belle amitié, leur trio gagnant.

Mais venons-en à l'interview...

 

" - Bonjour les agents C ! Ceux que l'on nomme les troubadours de l'automne !

- Helloooo ! répondent-ils en choeur.

- En vous rejoignant, nous vous entendions chanter au loin. Que chantiez-vous ?

(Le plus petit des trois (celui du milieu sur la photo) qui semble aussi le plus " calme " répond).

- Nous reprenions " Everybody needs somebody " des Blues brothers ". Une chanson qui nous parle, résonne dans chacune de nos particules de curcubitacé. (Les deux autres sourient).

- Etes-vous toujours aussi enjoués, virevoltants, plein d'énergie ?

(Ils rient)...

- La vie est faite pour être ainsi, non ? Le marasme, la morosité, l'immobilisme... Très peu pour nous !

Nous savons trop combien la vie est fugace, à quel point rien n'est permanent (pour ça qu'on est intermittent du spectacle). On sait que chaque journée est précieuse, qu'il faut en faire quelque chose, savoir tout positiver, ne rien gâcher. Vous voyez bien cette saison qu'est l'automne, elle va s'achever. Alors, il faut la savourer comme il se doit.

 

(Tout en parlant, ils se taquinent, se bousculent en riant puis se mettent soudain à chanter).

" Whether you're a brother or wether a mother

You're stayin' alive, stayin' alive

Feel the city breakin ' and everybody shakin'

And we're stayin ' alive, stayin' alive

Ah, ha, ha ,ha, stayin' alive, stayin' alive

Ah, ha, ha, ha, stayin'alive, stayin' alive "

 

- Vous ne chantez donc qu'en anglais ?

- Ah mais non ! La joie est dans toutes les langues. (Et zou, on était reparti pour une nouvelle chanson).

 

" Et moi pendant c'temps là, j'tournais la manivelle

Et moi pendant c'temps là, je chantais dans les bois

La la, la la la lay

La la, la la la la lay

La la, la la la lay

La la, la la la la lay "

 

- Vous semblez être un trio fusionnel, est-ce le cas ?

- Bien sûr, l'amitié est une valeur essentielle pour nous trois. Tout autant que la solidarité. Sans cela, que serions-nous ? On a vraiment besoin les uns des autres, besoin de se voir, de rire, de se soutenir, d'être créatifs ensemble, d'inventer des tas de chemins. L'inconnu ensemble est un chemin extra où le plus beau est là. Quand l'un de nous n'est pas là, il y a un vrai manque.

- Quand on vous regarde tous les trois, deux choses frappent :

1) Vous avez chacun une forme différente

2) Vous avez les mêmes couleurs

Que pensez-vous de cela ?

- Mais que la vie est bien faite mec !

Nous sommes différents et c'est parfait pour se surprendre, s'enrichir, s'apporter, se faire grandir. Tous pareils, trop chiant ce serait !

Et pourtant oui, ces mêmes couleurs, c'est bien notre universalité. Vous savez, comme ces émotions qui sont identiques à l'autre bout du monde (joie, tristesse, amour, colère...etc).

TOUS DIFFERENTS MAIS TOUS PAREILS ! (crient-ils en choeur en nous faisant un clin d'oeil malicieux).

- Qu'avez-vous prévu pour les mois à venir ?

- Comme depuis le début : liberté, amitié et inconnu.

Nous serons sur les routes en tant que troubadours afin d'apporter du bon à ceux qui le veulent. Nous laisserons le voyage se faire, irons là où le vent nous mènera.

- Ah oui ?! Nous pensions que vous finiriez en soupe ! N'est-ce pas là votre destinée ?

- Si ! Mais pas avant l'hiver. Pas avant de donner tout ce qu'on a à donner cet automne.

Et d'ailleurs, le spectacle nous appelle.

TCHAO !"

 

Et ils étaient partis en trois secondes et demi. A peine avons-nous eu le temps de comprendre.

Alors, chers amis lecteurs, si vous croisez un jour d'automne ces trois troubadours, savourez bien le moment.

Car ce sera aussi bon, fort que rapide.

Simoëns-Lorez

 

Environ 1900

 

Dans l'histoire de la musique mécanique, le remplacement des orchestres par des orchestrions s'est fait à la fin du XIXe siècle.

Les exemplaires équipés d'un monnayeur animent les restaurants, les halls de gares, les cafés ou les maisons closes comme celui-ci !

Ainsi le meuble dans lequel l'instrument s'insère est particulièrement soigné : sculptures, peintures,

dorures, miroirs, vitraux...

 

Les commandes de cet orchestrion de la firme française Simoëns-Lorez sont situées sur le côté gauche : monnayeur, vitesse, batterie, choix du numéro de "piste" en suivant la carte des airs et la manivelle.

Cette dernière est tournée pour remonter le ressort, délivrant l'énergie nécessaire au fonctionnement quand une pièce de monnaie autorise la lecture d'un morceau.

Il correspond à la révolution du cylindre à picots, "noté" de 10 airs différents.

Sur le côté droit de l'appareil, une découpe permet de changer de cylindre et donc de morceaux disponibles.

En mouvement, chaque picot du cylindre soulève un marteau frappant sur une corde de piano ou un instrument à percussion :cymbale, triangle, caisses-claires, castagnette.

 

Ancienne collection G. Boquié

 

archivesdufolk59-62.blogspot.com/2021/01/orchestrion-simo...

 

museehistoireviequotidienne.fr/presentation-du-musee/

2x Lapis Lazuli - Validade: 10/12

1x Ideal

 

Olá garotas lindas!!

To muito feliz hoje, o motivo? Voooltei! haha

 

Nao aguentava mais ficar longe daqui! :x

Viajei essa semana e na cidade onde estava a internet é daquelas que precisamos girar manivela sabem?! Oh preguiça viu!

Mas foi bom, dei uma desintoxicada virtual e agora estou pronta para me intoxicar novamente! haha :p

 

Escolhi esse azul lindo pro desafio!! O meu tá um pouquinho grosso mas ficou lindao nas unhas!!

Outro que tá quase indo pro céu dos esmaltes! :/

 

Ultimamente tenho ficado muuuuito sem esmalte, quero recuperar o tempo perdido e cuidaar muito dessas unhas e cutículas que foram esquecidas completamente por mim.

 

Bom domingo meninas!

beeeeeeijos*

Voiture Rochet Frères de 1898 : moteur De Dion Bouton refroidi par air, 3 vitesses sous volant,

transmission par courroies, mise en marche par manivelle passant

au travers de la roue, vitesse: 26km/h

MODELE UNIQUE AU MONDE

Peugeot débute dans l'industrie des moulins à café vers 1840 dans le Doubs.

La famille Peugeot, originaire du pays de Montbéliard, avait sur ses terres des moulins à eau qui ont marqué les emplacements des futures usines.

 

...En 1923, il commercialise les moulins muraux à trémie en faïence blanche ou décorée d'un moulin hollandais.

Il ne s'agit plus d'une boîte compacte renfermant les trois parties du moulin à café. Sur une planchette en bois s'appuie une longue trémie rectangulaire, à arêtes arrondies, au-dessus d'un carter en aluminium, contenant le mécanisme broyeur, et sur lequel s'enclenche la manivelle. La mouture tombe dans un récipient en verre gradué dont les bords supérieurs glissent sous un support à rigoles. Le mécanisme, dit aussi mouvement, est en acier forgé. Le couvercle se fait en laiton ouvragé terminé par un gland, ou en laiton plat. Produite entre 1936 et 1961, la « gamme des provinces françaises », a particulièrement attiré l'attention, elle est composée de dix exemplaires en chromolithographies chaudement colorées.

fr.wikipedia.org/wiki/Moulin_%C3%A0_caf%C3%A9#:~:text=Peu....

Tímpano del Pórtico (siglo XII).

Tímpano formado por un Pantocrátor con Cristo en actitud de juez sentado en un sillón con unos monstruos como apoyabrazos, falta el brazo derecho, y en su mano izquierda presenta un libro apoyado en la rodilla.

Rodeando el Pantocrátor la mandorla en cuyo interior aparece la inscripción:

VICIT LEO DE TRIBU R.DIX.

RADIS DAVID:ALLELLUIA

Tetramorfos, formado por las figuras de San Pedro y San Pablo a cada lado y cuatro ángeles que sostienen un lienzo con cabezas de los animales símbolo de los evangelistas, león, buey, águila y una orla en la que se puede leer ALLELUIA. En las alas de los ángeles se aprecian restos de policromía roj

El Pórtico dispone de 3 arquivoltas.

Arquivolta 1ª, formada por 9 dovelas irregulares, muestra los 24 Ancianos del Apocalipsis y un ángel en la central.

Los Ancianos, representados como reyes con túnica, corona de santidad y diversos objetos de homenaje, cantan y tañen instrumentos musicales medievales.

Dovelas:

1

Rey 1 con corona real, no se aprecia el instrumento.

Rey 2 con corona real y un rollo de pergamino.

Rey 3 sin corona real, toca un instrumento no identificado.

Rey 4 con corona real, toca una Jícara (vasija).

2

Rey 5 con corona real, toca la Viola medieval.

Rey 6 sin corona real, faltan los brazos y el instrumento.

Rey 7 con corona real, toca una Jícara (vasija).

Rey 8 con corona real, no se aprecia instrumento, parece que recita o canta.

3

Rey 9 sin corona real, toca una Rotta medieval o Chorus latina.

Rey 10 sin corona real, falta el brazo derecho, porta un instrumento no identificado.

4

Rey 11 con corona real, toca una Jícara (vasija).

Rey 12 con corona real, con un libro, recita o canta.

Ángel, le faltan el brazo derecho y la mano izquierda.

5

Rey 13 con corona real, toca la Pandereta.

Rey 14 con corona real, con rollo de pergamino.

6

Rey 15 con corona real, toca el Rabel.

Rey 16 con corona real, toca un Arpa.

7

Rey 17 sin corona real, toca una Viola medieval.

Rey 18 con corona real, falta el instrumento.

8

Rey 19 sin corona real, falta mano derecha, toca la viola medieval, falta parte del arco.

Rey 20 con corona real, faltan ambos brazos, canta.

9

Rey 21 y 22 con corona real, tocan un instrumento doble mediante un plectro y una lengüeta deslizante sobre una tabla plana. Durante la restauración del templo ha sido identificado como dos organistas, seguramente por ser tañidos por dos reyes. No se aprecian ninguno de los elementos más característicos del organistrum, rueda, manivela y teclado, por lo que podría tratarse de un monocordio.

Rey 23 con corona real, con rollo de pergamino.

Rey 24 con corona real, no se aprecia el instrumento.

Arquivolta 2, diversas escenas del Nuevo Testamento, el sacrificio de Isaac, Sansón desquijando al león, Anunciación y Visitación, Matanza de los Inocentes y Huida a Egipto, rematada por dovelas representando un centauro con arco, un jinete sobre un caballo con cabeza de mono, un soldado y un dragón alado.

Arquivolta 3, diversos motivos vegetales de hojas de acanto.

El conjunto se remata con una cinta externa o chambrana arqueada tallada en forma de “punta de diamante”.

Las arquivoltas se apoyan a cada lado en cuatro columnas con capiteles en los que puede reconocerse: a la izquierda la Santa Cena y unos animales fantásticos, a la derecha dos jinetes con lanza, dos leones, cuatro águilas y dos animales alados

1 Grupo escultórico a cada lado representando a profetas y evangelistas.

Dotée d'une vaste cheminée à deux foyers, elle est meublée de différents éléments dont un tourne-broche automatisé datant de 1698, animé par un petit automate en costume traditionnel appelé « Messire Bertrand » qui semble tourner la manivelle en veillant aux activités de la cuisine.

composition sur le café -un moulin à café ancien de marque peugeot dont manivelle est en mouvement , face à un sac en toile de jute d'ou se répandent des grains de café avec une légère fumée

(Villeneuve, Suisse)

 

concert du groupe "Ze Sheriffs"

Les Cribleuses de blé

1854, huile sur toile

 

Gustave Courbet

 

"Courbet met en scène ses soeurs et un enfant, peut-être son fils. Juliette, assise, trie le blé à la main. Zoé en rouge, le corps tendu par l'effort, utilise un crible. Le jeune garçon actionne la manivelle d'un tarare. Le tableau renvoie aux préoccupations réalistes de Courbet qui élève la vie quotidienne des paysans au rang de sujet d'histoire."

 

Musée d'Arts de Nantes

Supongo sea una recreación y no una restauración de uno de aquellos Escarabajos que usaba correos alemán en 1950 pero está muy bien hecha. Aquí se puede apreciar la sencillez de la versión original con su luna trasera en forma de pretzel. También se aprecia algo que nos retrae a coches más antiguos, la manivela para arrancar el motor. En el VW era más una precaución que una necesidad pero existía.

El coche más viejo de cuantos se presentaron al concurso de elegancia. Esperaba mayor dificultad de encendido ya que es por manivela pero no fue así. Recuerdo las historias de mi padre de brazos partidos por culpa de estas manivelas de arranque pero un par de vueltas y ya estaba encendido. Éso sí tuvo que ir inmediatamente a realizar ajustes en el tablero.

 

Para aquellos que conocen el Rambler de Nash/AMC, no tiene nada que ver con aquel.

En sortant de l'école

Nous avons rencontré

Un grand chemin de fer

Qui nous a emmenés

Tout autour de la terre

Dans un wagon doré

 

Tout autour de la terre

Nous avons rencontré

La mer qui se promenait

Avec tous ses coquillages

Ses îles parfumées

Et puis ses beaux naufrages

Et ses saumons fumés

 

Puis au-dessus de la mer

Nous avons rencontré

La lune et les étoiles

Sur un bateau à voiles

Partant pour le Japon

Et les trois mousquetaires des cinq doigts de la main

Tournant la manivelle d'un petit sous-marin

Plongeait au fond des mers

Pour chercher des oursins

 

Revenant sur la terre

Nous avons rencontré

Sur la voie du chemin de fer

Une maison qui fuyait

Fuyait tout autour de la terre

Fuyait tout autour de la mer

Fuyait devant l'hiver

Qui voulait l'attraper

Mais nous sur notre chemin de fer

On s'est mis à rouler

Rouler derrière l'hiver

Et on l'a écrasé

Et la maison s'est arrêtée

Et le printemps nous a salués

 

C'était lui le garde-barrière

Et il nous a bien remerciés

Et toutes les fleurs de toute la terre

Soudain se sont mises à pousser

Pousser à tort et à travers

Sur la voie du chemin de fer

Qui ne voulait plus avancer

De peur de les abîmer

 

Alors on est revenu à pied

À pied tout autour de la terre

À pied tout autour de la mer

Tout autour du soleil

De la lune et des étoiles

À pied, à cheval, en voiture et en bateau à voiles

 

Jacques Prévert, En sortant de l'ecole

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The Ictíneo I submarine replica on display in the yard of the maritime museum in Barcelona. The original was built for coral harvest in the early 1860s and successfully taken for a number of dives. I am not quite sure how it would have been used, but her designer - Narcís Monturiol - was clearly a smart guy, so his solution must have made sense.

 

Voigtländer Brillant and its Voigtländer "Voigtar" 1:7,7 f = 75, Fomapan 100 in Rodinal 1+50 for 9 min @ 20°C and digitalized using kit zoom and extension tubes.

 

Thank you everyone for your visits, faves and comments, they are always appreciated :)

A deux pas de la place d'Aligre, un joueur d'orgue de barbarie avait retrouvé deux chanteurs des rues. La goualante ne tarda pas à gonfler.

Je crois bien que le tourneur de manivelle n'est autre que René Bourdet.

Supongo sea una recreación y no una restauración de uno de aquellos Escarabajos que usaba correos alemán en 1950 pero está muy bien hecha. Aquí se puede apreciar la sencillez de la versión original con su luna trasera en forma de pretzel. También se aprecia algo que nos retrae a coches más antiguos, la manivela para arrancar el motor. En el VW era más una precaución que una necesidad pero existía.

Entre muchas de las curiosidades que se pueden encontrar en el interior de algunas de estas casa son cosas como este molinillo de café de la época de las colonias, o época colonial, esta claro que por aquel entonces no había enchufes y todo era a base de manivela.

Ahora en cambio, uno se encuentra enchufes por todas partes, sobre todo en los despachos oficiales.

- Et alors...on est pas bien, là, au soleil sur la montagne et tous les deux, l'âne?

 

- Pour être franc, c'est pas mal mais je préfère quand même ma condition spectrale et littéraire. Question de légèreté et d'agilité.

 

- Ah oui? J'aurais cru que ce changement de rôle plus...concret et physique serait plus enthousiasmant. D'autant que tu as fait craquer tout le monde ici. Et puis toi qui avais tellement envie de nous aider...

 

- Oui, ça partait d'un bon sentiment, je te remercie de la transformation, mais maintenant que j'ai aidé, tu peux pas me rendre ma liberté?

 

- Pas tout de suite! Prends le temps...respire! Profite de la belle nature que tu as autour de toi et du privilège d'être face à un glacier qui disparaît progressivement. Une sorte de fantôme en devenir.

 

- Tu dis ça avec une tristesse dans la voix qui me remue jusqu'au fond des entrailles...Toi, ça va pas! Qu'est-ce qui te tracasse? Il fait pourtant beau aujourd'hui et les rushs, le tournage, tout s'est très bien passé. Tu vas pouvoir montrer ton travail comme tu le souhaitais.

 

- Oui, mais...parfois je voudrais pouvoir rester là. Sans redescendre ni devoir reprendre le cours ordinaire des choses. Juste être là...face à la nature. Rien d'autre qu'elle et moi.

 

- Ne me dis pas que tu veux jouer l'ermite glaciaire à ton âge. Et puis pourquoi un ton aussi dramatique? Qu'est-ce que tu lisais?

 

- Un vieux truc d'Alfred de Musset.

 

- Ah mais ça m'intéresse, ça, c'est mon époque. Et l'Alfred, je l'ai rencontré en personne.

 

- Nooooon?

 

- Aussi vrai que je te vois!

Nous nous étions découverts clients d'un lieu un peu mal famé mais hautement sympathique. Et c'est par son entremise que j'ai rencontré George Sand chez elle.

 

- Eh bien...quelle aventure!

Tu as raconté ça à Françoise?

 

- Oui et non...certaines choses ne sont audibles que par d'autres hommes, si tu vois ce que je veux dire!

 

- Ooooooooooh! Eh bien, je ne m'étonne plus de lire certaines réparties. Dis voir, François, ce ne serait pas toi, le comte qui a inspiré Musset dans "il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée"?

 

- Hummmmm...je ne répondrai pas à cette indiscrète question.

 

- Allons, nous sommes entre doubles...tu peux bien me le dire à moi tout seul...je ne le répéterai à personne.

 

- Non, n'insiste pas! Sinon je vais braire et me plaindre à Françoise que tu me tyrannises.

 

- Tu n'oserais pas! Vu tout ce que nous partageons depuis deux ans, nous sommes copains...

 

- Mouais, c'est toi qui le dis...je ne suis pas sûr qu'un véritable ami me transformerait en âne angora, ni en porteur de guitare.

 

- Attends voir...si je me souviens du tour que tu nous as joué en nous envoyant en 1954 chanter du Rossini, moi, Reyn et les deux Simon et tout ça au débotté encore il y a quelques mois, il était naturel que je te renvoie l'ascenseur avec mes propres pouvoirs magiques!

 

- Donc tu es adepte de la vengeance à la petite semaine?

Là, tu me déçois...je te pensais plus intelligent que ça!

 

- Non...il ne s'agit pas de vengeance, mais d'un moyen d'obtenir peut-être quelque chose de plus...

 

- Oh, je te vois venir...tu veux forcer Françoise à t'écrire la suite du conte plus vite en te servant de moi. Alors, ce n'est pas ce vieil Alfred que tu lis. C'est ton pote Phiphi les bons tuyaux...n'est-ce pas? Allez avoue!

 

- J'avoue, c'est le dernier opus de Philippe. Et j'adore son idée de Double Nelson. Une stratégie intéressante pour dresser les insoumises.

 

- Peut-être mais à double tranchant. Et puis à quoi bon se faire du mal quand on s'aime? Moi, je ne ferai jamais ça à mon auteure.

 

- Evidemment, tu es en sa présence en complète dévotion. A croire que tu l'aimes plus que ton Elise.

 

- Ah non! Elise, c'est Elise. Françoise, c'est...ma... respiration. Un peu comme toi quand tu fais une randonnée montagne.

 

- Quelle comparaison! C'est bien ce que je dis: tu es amoureux! Et comme pour elle tu es l'inspiration, autant dire que vous ne respireriez pas l'un sans l'autre.

 

- Mais non...tu mélanges tout!

L'écriture est une chose, les sentiments, une autre.

 

- Ben voyons...parfois les deux se conjuguent très bien. Et je vais te le prouver, tout âne que tu es. Convoque ton auteure en disant que je te martyrise et si elle se précipite pour te sauver, je verrai à vos têtes ce qu'il en est réellement.

 

- Méfies-toi...à jouer les magiciens enquêteurs, tu pourrais finir par nous brouiller avec celle qui détient la clé de toutes nos aventures.

 

- Ne t'inquiète pas! Je n'irai pas la fâcher jusque là...Mais vu son moral et ses soucis, elle a besoin d'un petit tour de manivelle.Tu promets de jouer le jeu?

 

- Oui, à condition que tu sois gentil avec elle...Je ne veux pas la retrouver après, encore plus triste qu'elle ne l'est actuellement.

 

- Je te le promets, sur mon honneur!

 

Et c'est ainsi que je me suis faite piéger début septembre. Ahlala ces garçons...ils sont terribles quand ils s'y mettent!

 

Mais les filles savent parfois leur répondre aussi. Je ne sais pas plus que Stephan si François a servi ou pas de modèle au personnage du comte de la pièce d'Alfred de Musset, mais je pense que George Sand fut sans aucun doute, celle qui inspira le personnage de la marquise. Une variation 19ème du double Nelson de Phiphi.

 

Voyez plutôt:

 

www.youtube.com/watch?v=5zh1Znk_vfI

  

Supongo sea una recreación y no una restauración de uno de aquellos Escarabajos que usaba correos alemán en 1950 pero está muy bien hecha. Aquí se puede apreciar la sencillez de la versión original con su luna trasera en forma de pretzel. También se aprecia algo que nos retrae a coches más antiguos, la manivela para arrancar el motor. En el VW era más una precaución que una necesidad pero existía.

Le Kodak Hawkeye Major Six-20 a été fabriqué par Kodak-Angleterre dans les années 1930.

Cet appareil photo est une "box camera" c'est à dire une simple boîte en carton pour ce secimen avec des réglages minimalistes pour réduire le prix de vente.

Il est constitué d'une lentille unique avec un simple ménisque à mise au point fixe. La vitesse d'obturation, elle aussi est unique. Du fait de l'absence de réglage de la mise au point et du temps d'exposition, cet appareil utilise des pellicules de faible sensibilité au format 620 pour des journées de beau temps lorsque le sujet est à l'hyperfocale.

L'avancement du film s'effectue au moyen de la manivelle disposée sur le côté en veillant à ne pas doubler l'exposition. Il dispose de 2 viseurs pour le cadrage vertical ou horizontal mais sincèrement dans mon exemplaire on n'y voit rien du tout.

Très populaires et produits en grande série dans la première moitié du 20ème siècle, on les trouve en brocante pour quelques euros. Une occasion pour pratiquer le Moyen Format 6x9 à moindre coût.

Année de construction: 1934

Constructeurs: La Brugeoise, Nicaise et Delcuve

Longueur: 15,20 m

Largeur: 2,35 m

Tare: 21.000 Kg

Ecartement: 1,435 m

Empattement d'un bogie:

1,70 m

Entre axes des bogies: 7,15 m

Moteurs: 4 moteurs M.T.V. 215 - 4x62 CV

Nombre de places: assises : 33 - debout: 110

Freins: mécaniques à air Westinghouse, à patins

Portes: automatiques, pneumatiques

Année de déclassement: 1968

  

RAILWAYS ECONOMIQUES DE LIEGE-SERAING ET EXTENSIONS (R.E.L.S.E.)

  

Les vingt et une motrices de type "D", numérotées de 301 à 321 ont été baptisées par le public "voitures métro".

Avant de les faire rouler sur la ligne "Liège-Flémalle", certains aménagements de courbes furent nécessaires, particulièrement au rond-point Grétry, à Liège et à la courbe de l'Eglise, à Flémalle. Ce n'est qu'au printemps 1935 que ces motrices purent effectuer le parcours "Liège-Seraing Biens Communaux".

Elles étaient capables d'atteindre une vitesse d'environ 80 km/h, non autorisée. On souda donc un plot d'arrêt sur les controllers afin de réduire la course de la manivelle et de limiter la vitesse à 60 km/h. Cette vitesse n'était d'ailleurs possible qu'en quelques endroits tels que les lignes droites "pont de Commerce-Paradis", "Val Benoît-Petit-Bourgogne", "Sclessin Château-pont d'Ougrée" et la Campagne de Flémalle.

Sur un parc de vingt et un véhicules, dix-huit étaient régulièrement en service.

A l'origine, les motrices "D" étaient compartimentées pour accueillir deux classes de voyageurs : une demi-voiture était garnie de sièges de teinte bleue, l'autre moitié de sièges de teinte brune. Dans les faits, il n'y eut jamais qu'une seule classe.

A l'origine toujours, ces voitures étaient desservies par un wattman et deux percepteurs. A partir de 1958, en raison de la diminution du nombre de voyageurs, on transforma les vingt et une motrices, afin qu'elles puissent être desservies par un wattman et un percepteur, le premier était responsable de la porte avant, le second, responsable des deux autres.

Ces modifications ne se firent pas sans problème : les syndicats voulaient condamner la porte centrale. La Direction s'y refusa, car la descente par la seule porte avant aurait pris trop de temps. Finalement, après une grève de quelques jours, le conflit fut aplani et les percepteurs reçurent une gratification de 1 franc de l'heure pour rouler en "D" transformée.

L'exploitation par rail ayant totalement pris fin sur le réseau des anciens Tramways Liège-Seraing, le 30 avril 1968, la dernière motrice "D" rentra au dépôt de Jemeppe, venant de Seraing à 19h30.

Ce matériel aura donc roulé plus de trente-quatre ans.

  

Boutique traditionnelle d'huie d'olive et Musée folklorique sur le bord de la route en Crète

Desde que ganhei essa caixinha de música de um amigo que viajou pra França, Yuki não desgrudou mais dela... ele gira a manivela sem parar, espalhando pelo meu quarto uma melodia tão doce! <3

Les grandes étapes de l'histoire de Leica

 

1849 Carl Kellner, opticien et mathématicien, crée à Wetzlar un institut d'optique pour le développement d'optiques et de microscopes.

1887 Le 10 000e microscope sort des ateliers.

1907 Début de la production de jumelles sous la direction de Max Berek.

1914 Oskar Barnack conçoit le « Ur-Leica ».

1923 Production, à des fins de test, d'une présérie (« Null-Serie ») de 25 prototypes d'un boîtier petit format.

1925 Le LEICA I à objectif fixe est présenté à l'occasion de la Foire de printemps de Leipzig. Mille boîtiers sont produits dès la première année. Présentation du FILAR, le premier agrandisseur petit format.

1926 Présentation de l'ULEJA, le premier projecteur petit format.

1930 Le premier boîtier Leica à monture à vis et trois objectifs interchangeables est présenté. L'atelier de formation est installé aux ateliers optiques Ernst Leitz de Wetzlar, afin de familiariser les chercheurs, les techniciens, les journalistes et les scientifiques avec les avantages de la photographie petit format.

1932 Commercialisation du LEICA II à télémètre collimaté intégré et viseur intégré. Leica étoffe sa gamme d'objectifs. Les utilisateurs ont le choix entre sept objectifs interchangeables à filetage normalisé. Le Leica II portant le numéro de série 100 000 sort des ateliers.

1934 Le LEICA 250, baptisé « Reporter », contient 10 m de pellicule et permet de prendre 250 vues sans changer de film. Associé à un moteur, c'est l'appareil privilégié de l'armée de l'air allemande qui en équipe ses avions de reconnaissance.

1954 Le LEICA M3 à baïonnette et télémètre à cadre collimaté met un terme à l'ère des boîtiers à monture à vis. Un levier d'armement rapide facilite considérablement l'avancement du film.

1957 Production du LEICA IIIg, le dernier Leica à monture à vis.

1963 Présentation à la Photokina d'une grande nouveauté, les jumelles LEICA Trinovid, un modèle particulièrement élancé et élégant. La nouvelle molette centrale est également munie d'une véritable mise au point interne évitant toute succion pendant la mise au point.

1965 Début de la production en série du LEICAFLEX, le premier reflex Leica.

1966 Le LEICA NOCTILUX 1:1,2/50 mm est le premier objectif à lentille asphérique.

1967 Présentation du LEICA M4 avec système simplifié de chargement du film et nouvelle manivelle de rembobinage.

1968 Le LEICAFLEX SL est le premier appareil au monde à mesure sélective.

1971 Le LEICA M5 est le premier boîtier télémétrique au monde à mesure d'exposition sélective à travers l'objectif.

1973 Présentation du LEICA CL, appareil télémétrique compact. Entrée en service d'une nouvelle usine au Portugal.

1975 De nouveaux types de verre permettent la conception d'un objectif extrêmement lumineux, le LEICA NOCTILUX 1:1,0/50 mm.

1976 Le LEICA R3 est le premier Leica électronique à mesure sélective/intégrale.

1980 Le LEICA R4 est le premier appareil automatique multiprogrammes.

1984 Présentation du LEICA M6 à mesure d'exposition sélective et affichage par DEL dans le viseur.

1988 Présentation du LEICA R6 à obturateur à commande mécanique.

1989 Lancement du premier compact Leica, le LEICA AF-C1.

1990 Lancement de la série de jumelles LEICA TRINOVID BA, entièrement revue au plan optique et mécanique.

1992 Leica présente les premières jumelles à télémètre laser intégré, les Geovid 7x42 BD

1994 Présentation du premier Leica à commande numérique, le LEICA R7.

Présentation du premier objectif Leica à lentille asphérique produite par moulage à surface polie de très haute précision.

Leica présente ses premières lunettes terrestres, les Leica Televid.

1996 Lancement de l'appareil reflex commandé par microprocesseur, le LEICA R8.

1998 Présentation du LEICA M6 TTL à flashmètre TTL. Lancement du LEICA DIGILUX, le premier compact numérique Leica.

1999 Le LEICA C1 inaugure le nouveau design des compacts Leica.

2002 LEICA M7 avec automatisme du temps de pose et affichage numérique de la vitesse d'obturation calculée automatiquement.

Lancement du LEICA R9, plus léger et doté de nouvelles fonctions de commande du flash.

Les Leica Duovid sont les premières jumelles hautes performances à deux grossissements.

2003 Lancement de la nouvelle série de jumelles LEICA ULTRAVID à nouveau design et système optique amélioré. Présentation d'un dos numérique pour le LEICA R9.

2004 Version plus compacte et améliorée des Geovid, les Geovid 8x42 BRF.

2005 Le Digital-Modul-R, qui transforme un R8 / R9 argentique en reflex numérique, est disponible.

2006 Leica présente l'appareil télémétrique numérique LEICA M8.

 

Clic ! - See it in large on black - Clic !

 

Caméra Sony NEX-5 + LA-EA1

Exposition 0,1 sec (1/10)

Ouverture f/2.5

Longueur focale 28 mm

Vitesse ISO 1600

Détection du degré d'exposition +1 EV

  

[My GETTY Images @] [My MOST FAVE on Flickriver] [My RECENT on Fluidr] [My STREAM on Darckr]

Le Musée National de l'Automobile de Turin - MAUTO, dédié à l'origine à Carlo Biscaretti di Ruffia l'est maintenant à Gianni Agnelli Le Musée est implanté à Turin, la capitale italienne de l'automobile et considéré comme l'un des plus importants et plus anciens musées automobiles dans le monde.

Limonaire est le nom d'une grande famille de facteurs d'orgues de manèges et d'instruments automatiques, fondée en 1840. Leur nom était très célèbre pour l'importance et la qualité de leur production, et l'instrument qui en est devenu le plus populaire fut l'orgue limonaire, ou orgue de foire. Certains carrousels anciens sont encore accompagnés d'un orgue limonaire mais ils sont de plus en plus rares.

 

L'orgue limonaire est de taille importante, il fonctionne de façon mécanique et pneumatique ou avec un moteur. A ne pas confondre avec l'orgue dit "de Barbarie", beaucoup plus petit, mobile ou portable, qui fonctionne en tournant une manivelle. Quelques joueurs continuent à nous enchanter dans certains quartiers de nos villes. De plus en plus rares, eux aussi.

 

Musée des Arts Forains et du spectacle, Pavillons de Bercy

"Dynamo ": c'est une installation lumineuse interactive du parcours nocturne "Lumières en Seine". En tournant une manivelle, les couleurs des sphères changent. De jour, elles restent bleu.

 

Une partie du parcours lumineux nocturne ne pouvant convenir aux handicapés en fauteuil roulant, pour compenser, une dérivation leur est spécifiquement réservée. Avec des installations lumineuses auxquelles eux seuls ont accès. J'ai néanmoins pu faire cette photo, dans ma balade de jour, au zoom, à travers la grille.

   

Ce qui a fait la renommée internationale de la société Lanz, c’est la particularité de son moteur, et notamment, son allumage très spécifique et novateur pour l’époque : le système de la boule chaude utilisé pour des moteurs semi-diesels.

-Le système de démarrage à boule chaude est appelé ainsi à cause de sa forme : tous les tracteurs motorisés par le moteur semi-diesel à deux temps à boule chaude possèdent à l’avant une protubérance de forme sphérique.

Elle est très épaisse, généralement en acier au nickel et fixée sur la culasse, face à l’injecteur. Non refroidie, la boule chaude a une température comprise entre 500°C et 600°C continuellement maintenue par la combustion du moteur.

Aussi appelée « calotte », elle n’est autre que la partie visible de la culasse qui est refroidie par des chambres à eau.

Une fois chauffée à l’aide d’une lampe de chauffe, c’est le combustible contenu dans cette boule qui permet le démarrage du tracteur. Au contact de la boule chaude, le combustible subit des modifications chimiques qui lui permettent alors de s’enflammer spontanément malgré le faible taux de compression du moteur.

 

-Le moteur semi-diesel est un moteur 2 temps à faible taux de compression, ayant besoin d’un point chaud pour son explosion.

Une fois la boule chauffée, elle permet la mise en marche d’un moteur monocylindrique très simple qui produit un bon rapport puissance/poids, consomme peu et qui peut fonctionner avec des charges variables.

Il accepte différents types de carburants (…), même les moins chers, ce qui le rend donc rentable (à chaque type de carburant correspond un type de boule).

Après avoir bien chauffé la boule à l’avant du Lanz, le démarrage s’effectue grâce au volant. Il faut l’enclencher sur le coté de la machine et le tourner pour créer l’explosion et provoquer le démarrage. Ce type de tracteur tombait rarement en panne.

Même si le système à boule chaude et le système de démarrage sur le coté (volant) était une réelle révolution à cette époque, il faut souligner que des accidents intervenaient fréquemment. Ils étaient surtout dus à la difficulté de tourner le volant ainsi qu’à la force du volant au moment du démarrage (effet de « retour de manivelle »). Le carburant présent dans la boule pouvait créer une surchauffe et ainsi devenir dangereux et exploser. Comme tous les tracteurs, le Lanz avaient certains inconvénients : le démarrage était assez contraignant, les commandes raides, il y avait des vibrations importantes et un inconfort flagrant sur ce type de tracteurs. Il fallait changer l’huile moteur si le tracteur restait à l’arrêt pendant plus de 2 jours, ce qui engendrait un coût (même si ce tracteur restait plutôt économique).

 

Ce qui m'inquiète c'est le trou à l'avant pour la manivelle !

dale manivel haber si el motor enciende y salir a pasear por la ria de Vigo..Arcade el mapa no concuerda.

crank it up if the engine starts and go for a walk in the Ría de Vigo...

Reproduce haciendo girar la manivela diferentes palos flamencos: Soleá, bulerias, seguiriyas, alegrias, tangos, fandangos y jaleos. Además lleva una claqueta que marca el tiempo y una contraclaqueta para añadir los contratiempos a voluntad del ejecutor.

Une manivelle lève-vitre loin du plastique.

ENGLISH :

Here is a "Ghironda" or hurdy wheel. The hurdy-gurdy is a stringed instrument rubbed by a wooden wheel instead of a bow. The wheel is turned with a crank, while the left hand of the musician plays the melody on a keyboard.

Meninas....olhem que presente lindo eu ganhei. Ainda falta uma pretinha de uns 50 anos para embelezar mais o meu ateliê. Esse modelo a manivela tem mais de 100 anos, funciona perfeitamente e foi um grande amigo que me presenteou.

www.ophicinadascosturas.com.br

Relaxing the boat after fishing.

#Nagamarai#Nagamarai lake#Nagamarai backwater#Manivel Thangavel photography #kaveri backwater#dharmapuri tourist #dharmapuri

El Jinete de Bronce (en ruso, Медный всадник, literalmente "Caballero de Cobre") es una escultura ecuestre de Pedro el Grande, hecha en bronce por Étienne-Maurice Falconet en San Petersburgo, Rusia. Recibe este nombre por la influencia del poema homónimo de Aleksandr Pushkin, uno de los más grandes poemas del idioma ruso. Ahora es un símbolo de San Petersburgo, como la Estatua de la Libertad es un símbolo de Nueva York.

El bloque sobre el que se yergue la estatua es conocido como Piedra de Trueno, y se dice que es la roca más grande que ha movido el hombre. En efecto, la roca no solo es enorme, sino que fue transportada seis kilómetros hasta la costa del Golfo de Finlandia sólo por la fuerza del hombre, sin animales ni máquinas.

Se yergue todavía en la orilla del Nevá. El efecto causado por la estatua es tan original como grandioso: la escultura no descansa sobre un pedestal arquitectónico, sino que el caballo se encabrita sobre la roca granítica; el Zar carece de espada; su figura altiva, que parece designar con la mano la nueva capital y marcar un camino a su pueblo, no evoca al guerrero, sino al legislador y al civilizador.

La estatua ecuestre de Pedro el Grande se encuentra en la Plaza del Senado de San Petersburgo, Rusia. Catalina la Grande, una princesa alemana casada dentro de la línea de los Románov, al no tener derecho legal al trono, estaba ansiosa de ser relacionada con Pedro el Grande, para obtener legitimidad a los ojos del pueblo. Por esta razón, ordenó la construcción de la estatua, y mandó que se inscribiera "Petro Primo Catharina Secunda MDCCLXXXII" en Latín y "Петру первому Екатерина вторая, лето 1782" en Ruso, ambas frases con un mismo significado "Catalina Segunda a Pedro Primero, 1782"; una expresión de la actitud de Catalina hacia su predecesor y de la opinión que tenía de sí misma dentro del linaje de los grandes gobernantes rusos.

Catalina mantenía correspondencia con Denis Diderot, que fue quien le recomendó a su amigo Étienne Maurice Falconet, un escultor francés, como candidato para la construcción de la estatua que dedicaría a Pedro el Grande. La emperatriz siguió el consejo de Diderot y Falconet llegó a Rusia en 1776.

La construcción de la estatua se inició en 1775, con la correspondiente fundición y colado del bronce necesario para realizar la escultura, tarea que fue supervisada por Yemelyán Jailov. Durante el colado de la escultura se rompió el molde sobre el que se estaba vertiendo el metal, salpicando los alrededores con bronce fundido, hecho que originó un incendio en las instalaciones. Todos los trabajadores huyeron excepto Jailov, quien arriesgó su vida para salvar el colado de bronce. Llevó 12 años desde 1770 hasta 1782 y realizar dos veces el proceso de fundido y colado el poder terminar la estatua, incluyendo el pedestal, caballo y jinete.

La cara del Zar, lo que da identidad al Caballero de Bronce como Pedro el Grande, es obra de Marie-Anne Collot, que en el momento de realizar tan detallado trabajo, tenía tan sólo 18 años de edad y era una estudiante de Falconet y Jean-Baptiste Lemoyne. Collot hizo el viaje a Rusia con Falconet en calidad de aprendiz y realizó su contribución a la escultura recopilando información sobre las facciones de Pedro el Grande, tanto de su máscara mortuoria como de los diferentes retratos que pudo encontrar en San Petersburgo. Gracias al trabajo en la faz del Caballero de Bronce se ganó por parte de Diderot el sobrenombre de "Mademoiselle Victoire" (Señorita Victoria).

El 9 de agosto de 1782, catorce años después de que se iniciara la excavación del pedestal, fue descubierta la estatua terminada en una ceremonia con miles de invitados. Brilló por su ausencia Falconet, quien se vio obligado a salir de Rusia cuatro años antes de que el proyecto estuviera terminado, debido a que un malentendido con la emperatriz se convirtió en un conflicto mayor. Catalina rápidamente se olvidó de él, y empezó a ver al Caballero de Bronce como obra propia.

La estatua muestra a Pedro el Grande sentado heroicamente sobre su caballo, con su brazo extendido apuntando hacia el río Nevá en el Oeste. El escultor deseaba capturar el momento exacto en que su caballo se encontraba erguido sobre sus patas traseras al borde de un espectacular acantilado. Se puede ver a su caballo pisoteando a una serpiente, que puede representar los numerosos males o enemigos que tuvieron que enfrentar Pedro y sus reformas. La estatua mide 6 metros de alto, más 7 metros para el pedestal, o sea un total de unos 13 metros.

Para elaborar el pedestal, se utilizó un monolito descomunal conocido como Piedra de Trueno (del ruso Камень-Гром) que fue encontrada en Lajta a seis kilómetros tierra adentro del Golfo de Finlandia en 1768. Esta roca se hizo acreedora al apelativo de "piedra de Trueno" debido a una leyenda local, según la cual un rayo le había desprendido un fragmento. Falconet quería trabajar la roca en su emplazamiento original, pero debido a un capricho de la emperatriz, tuvo que ser trasladada hasta San Petersburgo, en su forma primitiva como un gran logro para Rusia. Sin embargo, y debido a que la mitad de su volumen estaba hundida bajo terreno pantanoso, fue necesario crear mecanismos para extraerla antes de trasladarla. Un italiano, Main Carburi teniente coronel del ejército ruso, se ofreció para supervisar el proyecto.

Después de esperar a que transcurriese el invierno, durante el cual el terreno se encontraba congelado, la piedra fue arrastrada hasta la costa. Esto fue logrado mediante un trineo metálico que se apoyaba sobre esferas de bronce de 13,5 cm. de diámetro esparcidas a lo largo de una pista, usando un principio similar al del funcionamiento de un rodamiento de bolas, de invención posterior. Lo que hizo la tarea más impresionante es que fue llevada a cabo únicamente por humanos; ni animales ni tracción mecánica fueron usados en trasportar la piedra desde su emplazamiento original hasta la Plaza del Senado. Una vez que se ideó la forma de moverla, fueron necesarios cuatrocientos hombres y nueve meses para trasladar la piedra, tiempo durante el que varios escultores trabajaron de forma continua para dar forma al enorme monolito de granito. Catalina visitaba periódicamente la piedra, para verificar su progreso. De accionar las manivelas se encargaban treinta y dos hombres, que proporcionaban una mínima velocidad de avance a la roca. Otra de las complicaciones consistía en el hecho de que sólo existiesen cien metros de pista de deslizamiento para las esferas, de modo que ésta tenía que ser constantemente desmontada y reubicada. Sin embargo, los trabajadores conseguían cerca de 150 metros de avance por día en terreno plano. Después, cuando se llegó al mar, se construyó una enorme barcaza exclusivamente para la Piedra de Trueno, que tenía que ser asegurada por los dos lados por sendos buques de guerra. Después de un pequeño viaje por mar, la roca llegó a su destino en 1770, cerca de dos años después de que los esfuerzos por moverla comenzaran. Se creó una medalla para conmemorar su llegada, con la leyenda 'Demasiado Audaz'

Se ha llegado a asegurar que La Piedra de Trueno es "La piedra más grande jamás, movida por el hombre". Debido al gran tamaño de la roca, la forma más fácil de medir su masa es calcularla. Sus dimensiones antes de ser cortada, de acuerdo con la publicación de otoño de 1882 de La Nature son 7 x 14 x 9 m. Basados en la densidad del granito, la masa de la roca fue determinada alrededor de las 1500 toneladas. Falconet hizo cortarla hasta dejarla con su forma actual que es parecida a una ola, y dejó el estilizado pedestal con un peso ligeramente menor. Sin embargo, sigue ocupando el primer puesto por tamaño cuando se le compara con otras esculturas…

Existe una leyenda del siglo XIX que afirma que mientras el Caballero de Bronce permanezca en el centro de San Petersburgo, ninguna fuerza enemiga será capaz de tomar la ciudad. Durante los 900 días del Sitio de Leningrado durante la Segunda Guerra Mundial (Leningrado fue el nombre de la ciudad entre 1924 y 1991) la estatua no fue derribada, pero sí cubierta con sacos de arena y una estructura de madera. La protección funcionó tan bien que el Caballero de Bronce sobrevivió virtualmente intacto a 900 días de bombardeo y artillería. En honor a la leyenda, San Petersburgo nunca ha sido tomado.

El Caballero de Bronce es también el título de un poema escrito por Aleksandr Pushkin en 1833, ampliamente considerado como uno de los más importantes trabajos de la literatura de Rusia. La estatua llegó a ser conocida como "El caballero de bronce", gracias a la popularidad del poema. El principal tema del poema, es el conflicto entre las necesidades del estado y las necesidades de los ciudadanos ordinarios.

En el poema que da nombre al monumento, Pushkin describe la suerte del pobre joven Yevgueni y sus allegados durante una inundación en la que el río Nevá se desbordó. Yevgueni maldice la estatua, furioso contra Pedro el Grande por construir la ciudad en un lugar tan inseguro y hacer pasar a su familia aquellas penalidades. La estatua cobra vida y lo persigue a través de toda la ciudad. Posteriormente Yevgueni trata a la estatua con reverencia y respeto.

es.wikipedia.org/wiki/Caballero_de_Bronce

es.wikipedia.org/wiki/El_jinete_de_bronce

es.wikipedia.org/wiki/Pedro_I_de_Rusia

  

The Bronze Horseman (Russian: Медный всадник, literally "copper horseman") is an equestrian statue of Peter the Great in the Senate Square in Saint Petersburg, Russia. Commissioned by Catherine the Great, it was created by the French sculptor Étienne Maurice Falconet. The name comes from an 1833 poem of the same name by Aleksander Pushkin, which is widely considered one of the most significant works of Russian literature. The statue is now one of the symbols of Saint Petersburg.

The statue's pedestal is the enormous Thunder Stone, the largest stone ever moved by humans. The stone originally weighed about 1500 tonnes, but was carved down during transportation to its current size.

The equestrian statue of Peter the Great is situated in the Senate Square (formerly the Decembrists Square), in Saint Petersburg. Catherine the Great, a German princess who married into the Romanov line, was anxious to connect herself to Peter the Great to gain legitimacy in the eyes of the people. She ordered its construction, and had it inscribed with the phrase Petro Primo Catharina Secunda MDCCLXXXII in Latin and Петру перьвому Екатерина вторая, лѣта 1782 in Russian, both meaning 'Catherine the Second to Peter the First, 1782', an expression of her admiration for her predecessor and her view of her own place in the line of great Russian rulers. Having gained her position through a palace coup, Catherine had no legal claim to the throne and wanted to represent herself as Peter's rightful heir.

In correspondence with Catherine the Great, Denis Diderot suggested French sculptor Étienne Maurice Falconet, a friend of his, for the commission. The empress followed his advice and Falconet arrived in Russia in 1766.

In 1775 the casting of the statue began, supervised by caster Emelyan Khailov. At one point during the casting, the mould broke, releasing molten bronze that started several fires. All the workers ran except Khailov, who risked his life to salvage the casting. After being remelted and recast, the statue was later finished. It took 12 years, from 1770 to 1782, to create the Bronze Horseman, including pedestal, horse and rider.

The tsar's face is the work of the young Marie-Anne Collot, then only 18 years old. She had accompanied Falconet as an apprentice on his trip to Russia in 1766. A student of Falconet and Jean-Baptiste Lemoyne, Collot was called Mademoiselle Victoire (Miss Victory) by Diderot. She modelled Peter the Great's face on his death mask and numerous portraits she found in Saint Petersburg. The right hand of the statue was modelled from a Roman bronze hand, found in 1771 in Voorburg in the Netherlands at the site of the ancient Roman town Forum Hadriani.

On 7 August 1782, fourteen years after excavation of the pedestal began, the finished statue was unveiled in a ceremony with thousands in attendance. Conspicuously absent was Falconet, as a misunderstanding between him and the empress turned into a serious conflict. As a result, he was forced to leave Russia four years before the project was completed. Catherine largely forgot about him afterwards, and came to see the Bronze Horseman as her own oeuvre.

The statue portrays Peter the Great sitting heroically on his horse, his outstretched arm pointing towards the River Neva. The sculptor wished to capture the exact moment of his horse rearing at the edge of a dramatic cliff. His horse can be seen trampling a serpent, variously interpreted to represent treachery, evil, or the enemies of Peter and his reforms. The statue itself is about 6 m (20 feet) tall, while the pedestal is another 7 m (25 feet) tall, for a total of approximately 13 m (45 feet).

For the pedestal, an enormous rapakivi granite monolith boulder known as the Thunder Stone (Russian: Гром-камень) was found at Lakhta, 6 km (3.7 mi) inland from the Gulf of Finland in 1768. The Thunder Stone gained its name from a local legend that thunder split a piece off the stone. Falconet wanted to work on shaping the stone in its original location, but Catherine ordered it be moved before being cut. As it was embedded to half its depth in the ground and the area was marshy terrain, the Russians had to develop new methods to dig up and transport the colossal stone. Marinos Carburis (Μαρίνος Χαρμπούρης), a Greek from the Island of Kefallonia and serving as lieutenant-colonel in the Russian Army, offered to undertake the project. Carburis had studied engineering in Vienna and is considered to be the first Greek to hold a diploma in engineering.

Carburis directed workmen to wait for winter, when the ground was frozen, and then had them drag the large stone over the frozen ground to the sea for shipment and transport to the city. He developed a metallic sledge that slid over bronze spheres about 13.5 cm (6 inches) in diameter, over a track. The process worked in a way similar to the later invention of ball bearings. Making the feat even more impressive was that the labour was done entirely by humans; no animals or machines were used in bringing the stone from the original site to the Senate Square. After Carburis devised the method, it took 400 men nine months to move the stone, during which time master stonecutters continuously shaped the enormous granite monolith. Catherine periodically visited the effort to oversee their progress. The larger capstan was turned by 32 men, this just barely moving the rock. A further complication was the availability of only 100 m of track, which had to be constantly disassembled and relaid. Nevertheless, the workers made over 150 m of progress a day while on level ground. Upon arrival at the sea an enormous barge was constructed exclusively for the Thunder Stone. The vessel had to be supported on either side by two full-size warships. After a short voyage, the stone reached its destination in 1770, after nearly two years of work. A medal was issued to commemorate its arrival, with the legend "Close to Daring".

According to the fall 1882 edition of La Nature, the stone's dimensions before being cut were 7 × 14 × 9 m. Based on the density of granite, its weight was determined to be around 1500 tonnes. Falconet had some of this cut away shaping it into a base, so the finished pedestal weighs considerably less.

A 19th-century legend states that while the Bronze Horseman stands in the middle of Saint Petersburg, enemy forces will not be able to conquer the city. During the 900-day Siege of Leningrad by the invading Germans during the Second World War (Leningrad being the city's name from 1924–1991), the statue was covered with sandbags and a wooden shelter. Thus protected it survived 900 days of bombing and artillery virtually untouched. True to the legend, Leningrad was never taken.

The Bronze Horseman is the title of a poem written by Aleksandr Pushkin in 1833, widely considered to be one of the most significant works of Russian literature. Due to the popularity of his work, the statue came to be called the "Bronze Horseman". A major theme of the poem is conflict between the needs of the state and the needs of ordinary citizens.

In the poem, Pushkin describes the fates of the poor man Evgenii and his beloved Parasha during a severe flood of the Neva. Evgenii curses the statue, furious at Peter the Great for founding a city in such an unsuitable location and indirectly causing the death of his beloved. Coming to life, the horseman chases Evgenii through the city. The poem closes with the discovery of the young man's corpse in a ruined hut floating at the edge of the river.

In 1903 the artist Alexandre Benois published an edition of the poem with his illustrations, creating what was considered a masterwork of Art Nouveau.

The poem has inspired works in other genres: Reinhold Glière choreographed a ballet based on it, and Nikolai Myaskovsky's 10th Symphony (1926–7) was inspired by the poem. The statue itself has been seen as the inspiration or model for a similar statue which appears in Joseph Conrad’s 1904 political novel Nostromo, thus implicitly linking the political events in Nostromo with Conrad’s 1905 essay “Autocracy and War” on the subject of Russia and his eventual 1912 novel Under Western Eyes (and also with the Pushkin poem and with the political issue of Poland).

 

en.wikipedia.org/wiki/Bronze_Horseman

en.wikipedia.org/wiki/The_Bronze_Horseman_(poem)

en.wikipedia.org/wiki/Peter_the_Great

 

Es curioso, que las notas de esta pequeña caja de música sean las de “yesterday”, la canción de la foto anterior, de una manera u otra viene a ser como un pequeño nexo de unión entre las dos, en este tiempo aciago que estoy viviendo.

Una foto tan gris, tan falta de color, salvo por esa bolita que sirve para girar la manivela y dar vueltas al cilindro que irá rotando para que sus protuberancias arranquen la nota precisa del afinado peine en el momento adecuado, al ritmo que marque quien la mueva.

También es importante el entorno. Si la sujetas entre tus manos tendrá un sonido difuso, tenue, apagado. Si la colocas sobre una superficie, parece otra, con un timbre más amplio, como si le pusieras un altavoz, y el sonido se vuelve con más vida, con más fuerza

¿Y qué es esta cajita sin nadie que coja esa bola para darle movimiento? Nada, un objeto inútil, un adorno estéril, ni siquiera es bonito.

 

Desde la última foto no, desde antes, me siento como esa caja de música, un sinsentido por mí mismo, necesitado de que me vayan dando cuerda para poder sentirme tan siquiera alguien, para que en mi corazón pueda haber una melodía que de valor a mi existencia. Tengo que agradecer que mucha gente se arrima a coger con entusiasmo la bolita, pero sólo tú cosita eres capaz de que esta caja de música que soy yo, suene con la mejor de sus melodías, con el más preciso de los ritmos, y el sonido más cristalino, y sacar todo lo mejor de mi. Y me jode, porque no soy una caja de música, debería ser capaz de tocar mi propia melodía sólo.

 

Y lo que iba a escribir te iba a gustar aún menos que esta confesión, por eso lo borro… si algún día puedes ver Casablanca, entenderás porque necesito más que nunca que me agarres de la bolita con tu ternura, mientras te digo, “tócala otra vez, por favor”.

 

Y mientras, a ver si así, encuentro mi propia melodía perdida, para algún día cantártela, y confiar en que sea de tu agrado. Por eso, hoy me digo a mí mismo “don´t give up”, y sigo luchando día a día para salir de esta mierda.

 

Gracias a todos, pero sobre todo, gracias a ti, cosita.

 

www.youtube.com/watch?v=VjEq-r2agqc

(Nunca un video fue tan simple y a la vez tan profundo)

 

En esta tierra orgullosa crecimos fuertes.

Éramos queridos todo el tiempo.

Me enseñaron a luchar, me enseñaron a ganar.

Nunca pensé que podría fallar.

 

No quedan luchas o eso parece.

Soy un hombre cuyos sueños lo han abandonado.

He cambiado mi rostro, he cambiado mi nombre.

Pero nadie te quiere cuando pierdes.

 

No te des por vencido,

Porque tienes amigos.

No te rindas,

No has sido derrotado aún.

No te des por vencido,

Sé que puedes volverte exitoso.

 

Aunque lo vi todo alrededor,

Nunca pensé que podría afectarme.

Pensé que seríamos los últimos en irnos.

Es tan rara la forma en que las cosas suceden.

 

Por la noche conduje hasta mi hogar,

El lugar donde nací, al borde del lago.

Cuando se hizo de día, vi la tierra.

Los árboles se habían quemado completamente.

 

No te des por vencido,

Aún nos tienes a nosotros.

No te rindas,

No necesitamos mucho de nada.

No te des por vencido,

Porque en alguna parte hay un lugar

Al cual pertenecemos.

 

Reposa tu cabeza.

Te preocupas demasiado.

Todo va a estar bien.

Cuando los tiempos se ponen difíciles

Puedes recurrir a nosotros.

No te rindas,

Por favor no te rindas.

 

Debo caminar fuera de aquí,

No puedo soportar más.

Voy a pararme en aquel puente,

Mantener mis ojos hacia abajo,

Venga lo que venga

Y pase lo que pase.

Ese río fluye.

Ese río fluye.

 

Me mudé a otra ciudad,

Me esforcé por adaptarme.

Para cada trabajo, tantos hombres,

Tantos hombres que nadie necesita.

 

No te des por vencido,

Porque tienes amigos.

No te rindas,

No eres el único.

No te des por vencido,

No hay razón para avergonzarse.

No te rindas,

Aún nos tienes a nosotros.

No te rindas ahora,

Estamos orgullosos de lo que eres.

No te des por vencido,

Sabes que nunca ha sido fácil.

No te des por vencido,

Porque creo que hay un lugar,

Hay un lugar al cual pertenecemos.

 

-Ben, François, qu'est-ce qui vous arrive, vous êtes tout bleu!

 

(Soupir à fendre l'âme)

 

- Mais qu'est-ce qu'il y a?

Vous nous faites un coup de calgon?

 

- Oui, si le calgon c'est bleu.

 

- C'est bleu, je vous le confirme. Mais pourquoi vous nous faites ça?

 

- J'ai le blues comme dirait mon double. Le spleen si vous préférez...

 

- Tant que c'est pas le blues du dentiste, tout va bien!

 

www.youtube.com/watch?v=DHxLRjbx_Js

 

- Vous moquez pas! C'est juste pas marrant à vivre.

 

- Mais François, vous avez pourtant tout pour bien faire: un château en Auvergne, un autre en Béarn, une jolie dame à aimer, une activité horticole et commerciale qui vous passionne, des enfants, des amis, de quoi manger à votre faim et vous faire plaisir...Mais qu'est-ce qui vous manque pour être heureux?

 

- Je voudrais vivre à votre époque.

 

- Avec le coronavirus? Franchement, vaut mieux que vous restiez en 1840, parce que c'est pas super fendard vous savez actuellement! Je me demande plutôt si c'est pas votre double qui déteint sur vous et qui vous rend tout ronchonchon. Et ça peut faire du dégât si j'en crois Alexis HK et Nathalie Miravette:

 

www.youtube.com/watch?v=sa2CQYEmcuo

 

En plus vous m'avez même pas dit si mon cadeau de Noël vous avait plu ou pas. Vous me l'avez joué limite c'était normal ou comme si c'était pas à la hauteur de vos attentes. Je reprends votre escapade au kiosque pour aider votre double, alors qu'il voulait nous mener en bateau, sans même réaliser les risques de noyade.

J'essaie de remettre du moral à tout le monde ici, je vous partage mes balades, les oeuvres des élèves et amis. Pétard, tout ça devrait vous sortir de votre déprime.

 

- Ca devrait...mais ça suffit pas.

La météo est grise, il fait froid, je me sens vieux. Je me dis que tout est fichu pour voyager dans le temps maintenant que j'ai plus de poudre de fée.

 

- Et c'est ça qui vous déprime?

 

- C'est ça. Et peut-être autre chose...

 

www.youtube.com/watch?v=DpM766s_4kM

 

- Oh vous, vous avez besoin de réconfort. Allez venez vous asseoir près de moi. Et racontez moi vos misères. A deux, nous devrions trouver un moyen de vous redonner le sourire. Tiens, ça me rappelle une chanson d'opérette.

 

www.youtube.com/watch?v=lixgJ93bqhA&list=PLqKYQLs7oWY...

 

Ah, je vous ai vu sourire. Un tout petit sourire, c'est déjà ça!

 

- Juste parce que l'Ange Pitou, lui, il peut au moins le dire à sa Clairette...

 

- Parce que vous, vous pouvez pas le dire à votre Elise?

 

- C'est pas ça, c'est...oh et puis zut, laissez tomber! Je suis idiot, je vous gâche votre fin de dimanche, demain c'est la rentrée, vous avez plein de trucs à préparer pour vos cours...

 

- Je peux prendre un peu de temps pour vous écouter aussi. Et puis je vous ressens...Je vois bien que ça ne va pas. Et ça me soucie. Je ne vous laisserai pas vous noyer.

Allez, pleurez un bon coup, ça fait du bien, mouchez-vous et ensuite, je vous raconte une histoire.

 

- Pouh...je sais pas si je le mérite...

 

- Rhoooo...François...c'est vrai que vous n'êtes pas toujours sage, mais vous savez que je ne vous laisserai jamais tomber. Même si parfois je vous fais attendre pour écrire votre histoire. Alors balayez votre peur de l'abandon, s'il vous plaît! Vous faudrait presque le même miroir que Jakob pour traiter vos ombres.

 

- Sauf que, un fantôme ça ne réfléchit pas dans un miroir.

 

- Très juste, j'avais oublié.

 

- A moins que je me transforme en loup.

 

- Pour effrayer le petit chaperon rouge?

 

- Non, le petit chaperon bleu, bleu comme votre jolie tenue de Nouvel An.

 

- Méfiez-vous, j'ai pas été éduquée avec le petit chaperon rouge ordinaire. Mais plutôt avec celui-ci, en 45 tours:

 

www.youtube.com/watch?v=bu5yyy0nGIM

 

- Ah, je vois...vous avez fait du judo?

 

- Non, mais je suis pas née de la dernière pluie.

 

- Ah les femmes modernes...C'est quelque chose!

Au moins vous avez de la tarte aux pommes?

 

- Non mais j'ai des gourmandises de Fébus.

 

- C'est quoi?

 

- Des chocolats. J'ai soigné votre double avec le même genre de remède durant le premier confinement et apparemment, ça lui a réussi. Alors si je vous soigne avec les pavés bleus de Fébus offerts par Cathy, ça devrait logiquement vous remettre l'âme à l'endroit, par effet de vases communicants.

 

- Sérieusement? Vous pensez que ça pourrait marcher?

 

- Hé...qui ne tente rien n'a rien!

Et puis, ça ne peut pas vous faire de mal, c'est du chocolat. Avec de la nougatine à l'intérieur. En plus, c'est donné par une amie et j'ai goûté, c'est franchement délicieux.

 

- Vous êtes sûre? C'est bleu quand même!

 

- Et alors? Vous êtes assorti à la confiserie. C'est plutôt bon signe! Ca devrait aider à dissiper vos bleus à l'âme. Si après tout ça, vous êtes toujours désespéré, je rends mon tablier de cuisinière-conteuse-peintre-jardinière-photographe.

 

- Ah non! Surtout pas! Vous me feriez mourir de désespoir!

 

- Parlez pas de malheur! Allez, au lieu de dire des bêtises et de nous la jouer plaies et bosses, Mr le Fantôme, prenez-la votre médecine. Je vous promets, c'est vraiment bon. Et un petit muxu au café pour compléter, ça devrait vous repositiver.

 

- Merci...vous êtes trop bonne avec moi! Je suis un vilain fantôme, n'est-ce pas?

 

- Hummm...disons que vous êtes passablement insupportable quand vous vous y mettez, mais avec un bon petit tour de manivelle dans le sens des aiguilles du temps, ça vous assouplit le caractère. Et ça, ça fait longtemps que je le sais ;-)

Alors c'est bon? Ca va mieux?

 

- Je crois. Un petit café à Beauregard et ça devrait finir de me remettre en piste. Merci!

 

- De rien, François! A votre service! Et prenez soin de vous, d'accord? Pas envie que vous rameniez le coronavirus en 1840.

 

- Je vous promets! Dites...je l'aime votre dessin vous savez!

Même si j'ai rien dit juste après. J'avais trop de chagrin, c'est tout.

 

- Je sais, je l'ai bien compris. Et je ne vous en veux pas! Je vous taquinais juste, tout à l'heure, pour vous faire réagir un peu. Vous sortir de votre mélancolie sombre. J'aime pas vous voir comme ça. Je sais que la vie de fantôme littéraire n'est pas toujours évidente, mais vous m'avez sauvée très souvent la mise par le passé quand j'étais triste et découragée. Alors, maintenant, c'est moi qui prend le relais pour vous aider. Il ne sera pas dit que je vous laisse vous abîmer seul dans les couloirs du temps, à vous faire rattraper par vos ombres. J'en viendrais presque à croire qu'Oswald vous a jeté un sort.

 

- Ah non, pas envie de me faire plomber par un sorcier maléfique!

 

- Attendez que je vérifie! Non, on dirait que vous n'avez pas subi d'attaque de magie noire...mais peut-être écouté et approuvé des discours un peu trop défaitistes, sans compter le choc des ruptures spatio-temporelles. Ce qui explique votre moral à zéro et votre énergie basse. Alors maintenant que je vous ai remonté la mécanique, soyez sage! Pas de descente aux enfers ni de naufrage en mer.

 

- Promis, mais la poudre de fée bleue...vous m'en donnerez?

 

J'ai ri:

 

- Vous ne perdez pas le nord, même avec le moral au trente sixième dessous! J'ai mieux à vous proposer. Fermez les yeux et répétez après moi: la magie appartient à la magie, j'existe, j'existe, j'existe, j'aime, j'aime, j'aime.

Vous y êtes?

 

- Oui...Ooooooooh...mais...où sommes nous?

 

- En promenade. A chaque fois que vous serez triste, si vous prononcez la formule, vous me retrouverez ici. Allez venez! Donnez-moi votre bras. N'oubliez pas votre canotier et votre canne. Je prends mon ombrelle! Et hop!

 

www.youtube.com/watch?v=eQivH0dS87E

 

Kodak pleaser instant camera

The Handle

 

Uma versão premium do 'The Handle', com exposição eletrônica, embora a ejeção da imagem seja feita pela manivela na extremidade direita da câmera.

nome: Kodak Pleaser

Produzido entre: 1977 - 1982

lente: 100mm, f / 12.7

obturador: 1/15 - 1/300

tipo de filme: PR 10 (PR144)

tamanho da imagem: 67 x 91 mm

categorias: instant

 

A Kodak fabricou os produtos de filme instantâneo da Polaroid de 1963 a 1969. A Polaroid decidiu fabricar a sua própria. Como a Kodak tem muita experiência na fabricação de filmes da Polaroid, o plano original era criar produtos instantâneos do tipo packfilm. Havia muitos protótipos e corridas de teste do filme com muitas demonstrações privadas em sua diretoria. Os planos mudaram quando a Polaroid, em 1972, lançou o filme tipo integral com a introdução do sistema SX-70. A Kodak decidiu desfazer os planos de lançamento do packfilm e focar em um processo de tipo integral. A Kodak continuou a usar versões altamente modificadas de câmeras Polaroid packfilm como protótipos para testar seus produtos integrais.

 

Alguns anos mais tarde, a Kodak lançou seus próprios produtos para filmes instantâneos em 1976, que eram diferentes da Polaroid em vários aspectos. O filme instantâneo da Kodak foi exposto pela parte de trás sem um espelho, o oposto do filme da Polaroid que foi exposto pela frente com um espelho para inverter a imagem. Isso tem várias vantagens; primeiro, o filme instantâneo é muito menos complicado em comparação com as Polaroids, que tem a camada frontal que tem que ser transparente durante a exposição, opaca após a dispersão química e transparente após um tempo de desenvolvimento. O método da Kodak usa o reagente químico como um escudo de luz durante o desenvolvimento. O filme instantâneo neste processo é capaz de maior resolução em comparação com o sistema Polaroid, já que a luz não precisa percorrer tantas camadas para alcançar o negativo. Outras vantagens incluem a possibilidade de usar um acabamento fosco na face da foto. O lançamento da maior série de produtos instantâneos ISO Trimprint no início de 1980 também facilitou a remoção da foto instantânea do pod de desenvolvimento. Sem um espelho, a câmera não é tão complexa e menos cara de produzir. O caminho do filme sendo muito mais simples também permite o uso de uma simples manivela mecânica para espalhar e ejetar a impressão do filme em vez de uma unidade eletrônica motorizada em Polaroids.

 

Do outro lado do Pacífico, a Fujifilm também queria um sistema fotográfico instantâneo. Apesar de não ser idêntico, foi primordialmente baseado na tecnologia de filmes instantâneos da Kodak. Para mais, veja a fotografia instantânea da Fujifilm.

 

Ao contrário dos pacotes de filmes integrais Polaroids, a Kodak não continha uma bateria, junto com baterias convencionais, o uso de baterias 4LR61 de tamanho J também era comum nas câmeras. Essa decisão foi tomada porque custaria menos por pacote e porque a Polaroid tinha uma longa história de problemas técnicos com baterias em pacotes de filmes que os levaram a fabricar os seus próprios.

 

Após a introdução dos produtos instantâneos Kodak, a Polaroid entrou com uma ação contra a Kodak em 1976 por violação de patente. O caso se arrastou por anos. Kodak perdeu a disputa, após a decisão em 1985, a Kodak anunciou a descontinuação de seus produtos de foto instantânea.

El Jinete de Bronce (en ruso, Медный всадник, literalmente "Caballero de Cobre") es una escultura ecuestre de Pedro el Grande, hecha en bronce por Étienne-Maurice Falconet en San Petersburgo, Rusia. Recibe este nombre por la influencia del poema homónimo de Aleksandr Pushkin, uno de los más grandes poemas del idioma ruso. Ahora es un símbolo de San Petersburgo, como la Estatua de la Libertad es un símbolo de Nueva York.

El bloque sobre el que se yergue la estatua es conocido como Piedra de Trueno, y se dice que es la roca más grande que ha movido el hombre. En efecto, la roca no solo es enorme, sino que fue transportada seis kilómetros hasta la costa del Golfo de Finlandia sólo por la fuerza del hombre, sin animales ni máquinas.

Se yergue todavía en la orilla del Nevá. El efecto causado por la estatua es tan original como grandioso: la escultura no descansa sobre un pedestal arquitectónico, sino que el caballo se encabrita sobre la roca granítica; el Zar carece de espada; su figura altiva, que parece designar con la mano la nueva capital y marcar un camino a su pueblo, no evoca al guerrero, sino al legislador y al civilizador.

La estatua ecuestre de Pedro el Grande se encuentra en la Plaza del Senado de San Petersburgo, Rusia. Catalina la Grande, una princesa alemana casada dentro de la línea de los Románov, al no tener derecho legal al trono, estaba ansiosa de ser relacionada con Pedro el Grande, para obtener legitimidad a los ojos del pueblo. Por esta razón, ordenó la construcción de la estatua, y mandó que se inscribiera "Petro Primo Catharina Secunda MDCCLXXXII" en Latín y "Петру первому Екатерина вторая, лето 1782" en Ruso, ambas frases con un mismo significado "Catalina Segunda a Pedro Primero, 1782"; una expresión de la actitud de Catalina hacia su predecesor y de la opinión que tenía de sí misma dentro del linaje de los grandes gobernantes rusos.

Catalina mantenía correspondencia con Denis Diderot, que fue quien le recomendó a su amigo Étienne Maurice Falconet, un escultor francés, como candidato para la construcción de la estatua que dedicaría a Pedro el Grande. La emperatriz siguió el consejo de Diderot y Falconet llegó a Rusia en 1776.

La construcción de la estatua se inició en 1775, con la correspondiente fundición y colado del bronce necesario para realizar la escultura, tarea que fue supervisada por Yemelyán Jailov. Durante el colado de la escultura se rompió el molde sobre el que se estaba vertiendo el metal, salpicando los alrededores con bronce fundido, hecho que originó un incendio en las instalaciones. Todos los trabajadores huyeron excepto Jailov, quien arriesgó su vida para salvar el colado de bronce. Llevó 12 años desde 1770 hasta 1782 y realizar dos veces el proceso de fundido y colado el poder terminar la estatua, incluyendo el pedestal, caballo y jinete.

La cara del Zar, lo que da identidad al Caballero de Bronce como Pedro el Grande, es obra de Marie-Anne Collot, que en el momento de realizar tan detallado trabajo, tenía tan sólo 18 años de edad y era una estudiante de Falconet y Jean-Baptiste Lemoyne. Collot hizo el viaje a Rusia con Falconet en calidad de aprendiz y realizó su contribución a la escultura recopilando información sobre las facciones de Pedro el Grande, tanto de su máscara mortuoria como de los diferentes retratos que pudo encontrar en San Petersburgo. Gracias al trabajo en la faz del Caballero de Bronce se ganó por parte de Diderot el sobrenombre de "Mademoiselle Victoire" (Señorita Victoria).

El 9 de agosto de 1782, catorce años después de que se iniciara la excavación del pedestal, fue descubierta la estatua terminada en una ceremonia con miles de invitados. Brilló por su ausencia Falconet, quien se vio obligado a salir de Rusia cuatro años antes de que el proyecto estuviera terminado, debido a que un malentendido con la emperatriz se convirtió en un conflicto mayor. Catalina rápidamente se olvidó de él, y empezó a ver al Caballero de Bronce como obra propia.

La estatua muestra a Pedro el Grande sentado heroicamente sobre su caballo, con su brazo extendido apuntando hacia el río Nevá en el Oeste. El escultor deseaba capturar el momento exacto en que su caballo se encontraba erguido sobre sus patas traseras al borde de un espectacular acantilado. Se puede ver a su caballo pisoteando a una serpiente, que puede representar los numerosos males o enemigos que tuvieron que enfrentar Pedro y sus reformas. La estatua mide 6 metros de alto, más 7 metros para el pedestal, o sea un total de unos 13 metros.

Para elaborar el pedestal, se utilizó un monolito descomunal conocido como Piedra de Trueno (del ruso Камень-Гром) que fue encontrada en Lajta a seis kilómetros tierra adentro del Golfo de Finlandia en 1768. Esta roca se hizo acreedora al apelativo de "piedra de Trueno" debido a una leyenda local, según la cual un rayo le había desprendido un fragmento. Falconet quería trabajar la roca en su emplazamiento original, pero debido a un capricho de la emperatriz, tuvo que ser trasladada hasta San Petersburgo, en su forma primitiva como un gran logro para Rusia. Sin embargo, y debido a que la mitad de su volumen estaba hundida bajo terreno pantanoso, fue necesario crear mecanismos para extraerla antes de trasladarla. Un italiano, Main Carburi teniente coronel del ejército ruso, se ofreció para supervisar el proyecto.

Después de esperar a que transcurriese el invierno, durante el cual el terreno se encontraba congelado, la piedra fue arrastrada hasta la costa. Esto fue logrado mediante un trineo metálico que se apoyaba sobre esferas de bronce de 13,5 cm. de diámetro esparcidas a lo largo de una pista, usando un principio similar al del funcionamiento de un rodamiento de bolas, de invención posterior. Lo que hizo la tarea más impresionante es que fue llevada a cabo únicamente por humanos; ni animales ni tracción mecánica fueron usados en trasportar la piedra desde su emplazamiento original hasta la Plaza del Senado. Una vez que se ideó la forma de moverla, fueron necesarios cuatrocientos hombres y nueve meses para trasladar la piedra, tiempo durante el que varios escultores trabajaron de forma continua para dar forma al enorme monolito de granito. Catalina visitaba periódicamente la piedra, para verificar su progreso. De accionar las manivelas se encargaban treinta y dos hombres, que proporcionaban una mínima velocidad de avance a la roca. Otra de las complicaciones consistía en el hecho de que sólo existiesen cien metros de pista de deslizamiento para las esferas, de modo que ésta tenía que ser constantemente desmontada y reubicada. Sin embargo, los trabajadores conseguían cerca de 150 metros de avance por día en terreno plano. Después, cuando se llegó al mar, se construyó una enorme barcaza exclusivamente para la Piedra de Trueno, que tenía que ser asegurada por los dos lados por sendos buques de guerra. Después de un pequeño viaje por mar, la roca llegó a su destino en 1770, cerca de dos años después de que los esfuerzos por moverla comenzaran. Se creó una medalla para conmemorar su llegada, con la leyenda 'Demasiado Audaz'

Se ha llegado a asegurar que La Piedra de Trueno es "La piedra más grande jamás, movida por el hombre". Debido al gran tamaño de la roca, la forma más fácil de medir su masa es calcularla. Sus dimensiones antes de ser cortada, de acuerdo con la publicación de otoño de 1882 de La Nature son 7 x 14 x 9 m. Basados en la densidad del granito, la masa de la roca fue determinada alrededor de las 1500 toneladas. Falconet hizo cortarla hasta dejarla con su forma actual que es parecida a una ola, y dejó el estilizado pedestal con un peso ligeramente menor. Sin embargo, sigue ocupando el primer puesto por tamaño cuando se le compara con otras esculturas…

Existe una leyenda del siglo XIX que afirma que mientras el Caballero de Bronce permanezca en el centro de San Petersburgo, ninguna fuerza enemiga será capaz de tomar la ciudad. Durante los 900 días del Sitio de Leningrado durante la Segunda Guerra Mundial (Leningrado fue el nombre de la ciudad entre 1924 y 1991) la estatua no fue derribada, pero sí cubierta con sacos de arena y una estructura de madera. La protección funcionó tan bien que el Caballero de Bronce sobrevivió virtualmente intacto a 900 días de bombardeo y artillería. En honor a la leyenda, San Petersburgo nunca ha sido tomado.

El Caballero de Bronce es también el título de un poema escrito por Aleksandr Pushkin en 1833, ampliamente considerado como uno de los más importantes trabajos de la literatura de Rusia. La estatua llegó a ser conocida como "El caballero de bronce", gracias a la popularidad del poema. El principal tema del poema, es el conflicto entre las necesidades del estado y las necesidades de los ciudadanos ordinarios.

En el poema que da nombre al monumento, Pushkin describe la suerte del pobre joven Yevgueni y sus allegados durante una inundación en la que el río Nevá se desbordó. Yevgueni maldice la estatua, furioso contra Pedro el Grande por construir la ciudad en un lugar tan inseguro y hacer pasar a su familia aquellas penalidades. La estatua cobra vida y lo persigue a través de toda la ciudad. Posteriormente Yevgueni trata a la estatua con reverencia y respeto.

es.wikipedia.org/wiki/Caballero_de_Bronce

es.wikipedia.org/wiki/El_jinete_de_bronce

es.wikipedia.org/wiki/Pedro_I_de_Rusia

  

The Bronze Horseman (Russian: Медный всадник, literally "copper horseman") is an equestrian statue of Peter the Great in the Senate Square in Saint Petersburg, Russia. Commissioned by Catherine the Great, it was created by the French sculptor Étienne Maurice Falconet. The name comes from an 1833 poem of the same name by Aleksander Pushkin, which is widely considered one of the most significant works of Russian literature. The statue is now one of the symbols of Saint Petersburg.

The statue's pedestal is the enormous Thunder Stone, the largest stone ever moved by humans. The stone originally weighed about 1500 tonnes, but was carved down during transportation to its current size.

The equestrian statue of Peter the Great is situated in the Senate Square (formerly the Decembrists Square), in Saint Petersburg. Catherine the Great, a German princess who married into the Romanov line, was anxious to connect herself to Peter the Great to gain legitimacy in the eyes of the people. She ordered its construction, and had it inscribed with the phrase Petro Primo Catharina Secunda MDCCLXXXII in Latin and Петру перьвому Екатерина вторая, лѣта 1782 in Russian, both meaning 'Catherine the Second to Peter the First, 1782', an expression of her admiration for her predecessor and her view of her own place in the line of great Russian rulers. Having gained her position through a palace coup, Catherine had no legal claim to the throne and wanted to represent herself as Peter's rightful heir.

In correspondence with Catherine the Great, Denis Diderot suggested French sculptor Étienne Maurice Falconet, a friend of his, for the commission. The empress followed his advice and Falconet arrived in Russia in 1766.

In 1775 the casting of the statue began, supervised by caster Emelyan Khailov. At one point during the casting, the mould broke, releasing molten bronze that started several fires. All the workers ran except Khailov, who risked his life to salvage the casting. After being remelted and recast, the statue was later finished. It took 12 years, from 1770 to 1782, to create the Bronze Horseman, including pedestal, horse and rider.

The tsar's face is the work of the young Marie-Anne Collot, then only 18 years old. She had accompanied Falconet as an apprentice on his trip to Russia in 1766. A student of Falconet and Jean-Baptiste Lemoyne, Collot was called Mademoiselle Victoire (Miss Victory) by Diderot. She modelled Peter the Great's face on his death mask and numerous portraits she found in Saint Petersburg. The right hand of the statue was modelled from a Roman bronze hand, found in 1771 in Voorburg in the Netherlands at the site of the ancient Roman town Forum Hadriani.

On 7 August 1782, fourteen years after excavation of the pedestal began, the finished statue was unveiled in a ceremony with thousands in attendance. Conspicuously absent was Falconet, as a misunderstanding between him and the empress turned into a serious conflict. As a result, he was forced to leave Russia four years before the project was completed. Catherine largely forgot about him afterwards, and came to see the Bronze Horseman as her own oeuvre.

The statue portrays Peter the Great sitting heroically on his horse, his outstretched arm pointing towards the River Neva. The sculptor wished to capture the exact moment of his horse rearing at the edge of a dramatic cliff. His horse can be seen trampling a serpent, variously interpreted to represent treachery, evil, or the enemies of Peter and his reforms. The statue itself is about 6 m (20 feet) tall, while the pedestal is another 7 m (25 feet) tall, for a total of approximately 13 m (45 feet).

For the pedestal, an enormous rapakivi granite monolith boulder known as the Thunder Stone (Russian: Гром-камень) was found at Lakhta, 6 km (3.7 mi) inland from the Gulf of Finland in 1768. The Thunder Stone gained its name from a local legend that thunder split a piece off the stone. Falconet wanted to work on shaping the stone in its original location, but Catherine ordered it be moved before being cut. As it was embedded to half its depth in the ground and the area was marshy terrain, the Russians had to develop new methods to dig up and transport the colossal stone. Marinos Carburis (Μαρίνος Χαρμπούρης), a Greek from the Island of Kefallonia and serving as lieutenant-colonel in the Russian Army, offered to undertake the project. Carburis had studied engineering in Vienna and is considered to be the first Greek to hold a diploma in engineering.

Carburis directed workmen to wait for winter, when the ground was frozen, and then had them drag the large stone over the frozen ground to the sea for shipment and transport to the city. He developed a metallic sledge that slid over bronze spheres about 13.5 cm (6 inches) in diameter, over a track. The process worked in a way similar to the later invention of ball bearings. Making the feat even more impressive was that the labour was done entirely by humans; no animals or machines were used in bringing the stone from the original site to the Senate Square. After Carburis devised the method, it took 400 men nine months to move the stone, during which time master stonecutters continuously shaped the enormous granite monolith. Catherine periodically visited the effort to oversee their progress. The larger capstan was turned by 32 men, this just barely moving the rock. A further complication was the availability of only 100 m of track, which had to be constantly disassembled and relaid. Nevertheless, the workers made over 150 m of progress a day while on level ground. Upon arrival at the sea an enormous barge was constructed exclusively for the Thunder Stone. The vessel had to be supported on either side by two full-size warships. After a short voyage, the stone reached its destination in 1770, after nearly two years of work. A medal was issued to commemorate its arrival, with the legend "Close to Daring".

According to the fall 1882 edition of La Nature, the stone's dimensions before being cut were 7 × 14 × 9 m. Based on the density of granite, its weight was determined to be around 1500 tonnes. Falconet had some of this cut away shaping it into a base, so the finished pedestal weighs considerably less.

A 19th-century legend states that while the Bronze Horseman stands in the middle of Saint Petersburg, enemy forces will not be able to conquer the city. During the 900-day Siege of Leningrad by the invading Germans during the Second World War (Leningrad being the city's name from 1924–1991), the statue was covered with sandbags and a wooden shelter. Thus protected it survived 900 days of bombing and artillery virtually untouched. True to the legend, Leningrad was never taken.

The Bronze Horseman is the title of a poem written by Aleksandr Pushkin in 1833, widely considered to be one of the most significant works of Russian literature. Due to the popularity of his work, the statue came to be called the "Bronze Horseman". A major theme of the poem is conflict between the needs of the state and the needs of ordinary citizens.

In the poem, Pushkin describes the fates of the poor man Evgenii and his beloved Parasha during a severe flood of the Neva. Evgenii curses the statue, furious at Peter the Great for founding a city in such an unsuitable location and indirectly causing the death of his beloved. Coming to life, the horseman chases Evgenii through the city. The poem closes with the discovery of the young man's corpse in a ruined hut floating at the edge of the river.

In 1903 the artist Alexandre Benois published an edition of the poem with his illustrations, creating what was considered a masterwork of Art Nouveau.

The poem has inspired works in other genres: Reinhold Glière choreographed a ballet based on it, and Nikolai Myaskovsky's 10th Symphony (1926–7) was inspired by the poem. The statue itself has been seen as the inspiration or model for a similar statue which appears in Joseph Conrad’s 1904 political novel Nostromo, thus implicitly linking the political events in Nostromo with Conrad’s 1905 essay “Autocracy and War” on the subject of Russia and his eventual 1912 novel Under Western Eyes (and also with the Pushkin poem and with the political issue of Poland).

 

en.wikipedia.org/wiki/Bronze_Horseman

en.wikipedia.org/wiki/The_Bronze_Horseman_(poem)

en.wikipedia.org/wiki/Peter_the_Great

 

Explore Mayo 12,2012 # 456

 

Por Juan Cervera Sanchís

 

A lo largo del día, y buena parte de la noche, todavía, si usted, como yo, pertenece a la innumerable fauna de las mujeres y los hombres de a pie de nuestra contrastante y enorme ciudad de México, se podrá dar el gusto de escuchar, en su caminata por las calles del Centro Histórico, la Alameda Central, la Avenida Juárez, Bucareli o San Cosme, entre otros rumbos, notas de piezas musicales como "Las Golondrinas", "Las Mañanitas", "Amorcito norteño", "Amor perdido", "Rosita Alvírez", "Celosa", "Ilusión de mi delirio", "Morir soñando" o "El cielo por un beso"... surgidas, con nostálgico acento, de algún sorprendido organillo callejero.

Contra todos los pronósticos, el organillo, o cilindro, se niega a desaparecer de nuestras, hoy, tumultuosas y, en apariencia, anti-románticas calles. Su presencia romántica persiste contra todos los augurios que desde hace años hemos escuchado en su contra. En 1935, y ya ha llovido, la señora Julia Loredo, una de las primeras propietarias de organillos en México, declaraba a la prensa:

"Pienso abandonar el negocio. Lo he sostenido con todo el sacrificio que merece por los buenos tiempos que me dio. Ahora ya estoy vieja y cansada." Ya entonces, doña Julia, creía que el negocio de los organillos callejeros carecía de futuro y que muy pronto acabarían desapareciendo por completo. Setenta y cinco años después, todavía, y pese a todo, el organillo se niega a desaparecer de nuestras calles.

El gran auge de los organillos en la ciudad de México data de la última década del siglo XIX. Llegaron de Alemania importados por un italiano. La tradición de Los organillos tuvo su origen en el Barrio de Tepito; rápidamente animaron la Alameda Central y en un santiamén se adueñaron de todas las calles de la ciudad. La gente se congregaba en torno al organillero y le pedía su melodía favorita.

El organillero se hacía acompañar de un chimpancé que subía y bajaba con un pocillo recaudando las monedas.

En aquellos tiempos los organillos solían tocar polkas, mazurcas y chotis, que era la música que estaba de moda.

Hay que recordar que entonces no había radio ni TV y lo que se dice Internet era algo inimaginable. Los organillos fueron parte muy importante de la diversión popular, que está en la calle principalmente. Entre los primeros propietarios de organillos estuvo la citada señora Julia Loredo, quien en 1896 contaba con dieciséis y en 1914 llegó a tener veinticuatro. En esta última fecha ya no era necesario hacer los pedidos a Berlín, ya que la casa Wagner los tenía a la venta aquí en México.

Los organilleros hoy. Ya no se hacen acompañar por un chimpancé, ahora trabajan en pareja y, mientras uno mueve la manivela del cilindro, el otro pasa la gorra recogiendo las monedas que voluntariamente le entrega la gente.

Se caracterizan por su uniforme color beige y una gorra Militar. Lucen, además, una credencial del sindicato. En 1980 había en la ciudad de México treinta cilindros en servicio y se decía que antes de finalizar el siglo XX no habría ninguno. Esos eran los pronósticos. Ya entramos en la primera década del siglo XXI y todavía quedan, aunque para las dimensiones actuales de la ciudad ellos sean menos que nada, veinte organillos que se resisten a desaparecer.

Doña Julia Loredo, quien en 1935, abandonó el negocio, en crisis, considerando que en muy poco tiempo ya nunca más nadie volvería a verlos y escucharlos en nuestras calles, murió sin sospechar que más allá del siglo XX donde, a sus ojos, daban ya sus últimos y tristes suspiros de inevitable agonía, aún continuarían dulcificando los contaminados aires de la ciudad.

Los organilleros y sus organillos, como una entrañable e invaluable reliquia de nuestro romántico pasado, de repente nos sorprenden, muy particularmente, en las calles del Centro Histórico, donde la modernidad y la globalización no han hecho borrón y cuenta nueva con tan bella y sentida tradición.

Doña Julia Loredo traspasó su musical negocio a los señores Pomponio Lázaro y Crescencio Rodríguez, quienes a su vez se lo heredaron a sus hijos Gilberto Lázaro Gaona y Pedro Rodríguez.

Al fallecer Gilberto, el negocio, si así se puede decir, lo heredó su hijo Gilberto Lázaro Hernández. Lo real es que si bien ya no es lo que se dice un negocio el poseer un par de organillos, que hay que reparar echándole todo el ingenio del mundo, sí, todavía, a Dios gracias, como se decía antes, aunque modestamente, sobreviven unas cuantas familias, al tiempo que, por su magia evocadora, los corazones y las almas sensibles, al escuchar sus viejas y bellas melodías, cargadas de añoranzas, logran por un momento, contrarrestar la irritabilidad y el estrés que, hoy, con tanta frecuencia, se adueña sin misericordia de todos nosotros en nuestras agresivas e irracionales calles.

Ojalá que esos veinte organillos, dadas las proporciones de nuestra ciudad, se multiplicaran y su presencia, con melodías como "Morir soñando" o "Las Golondrinas" resultaran más frecuentes a nuestros oídos y también fuera más generosa nuestra cooperación sentimental y económica para con los organilleros.

   

Toujours dans la série VTT, voici deux focus sur la bête. Ici, vous découvrez le coeur de la transmission présentée avec une profondeur de champ très réduite afin de faire ressortir la chaine une fois de plus mais dans son contexte.

Frein Mafac, Moyeux Max-car, Potence Philippe, selle Idéale 58 rail alu, cadre Vitus, pompe Ad-hoc, dynamo phare JOS, garde-boue Robineau, dérailleur Huret Allvit, manivelles Stronglight, plateaux TA, jantes super-champion, pneus Grand Bois, pédales Lyotard, calle-pied Christophe.

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