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From the museum label: Presented at the Salon of 1865, Olympia generated outrage among critics and the public for its frank representation of a contemporary courtesan painted on a grand scale and in a manner some perceived as flat, coarse, or dirty. Manet adapted the composition from Titian's Venus of Urbino (1538)—a painting he had copied at the Uffizi Gallery in Florence--and subverted traditional academic approaches to the nude, including conventions of idealized beauty and guises of mythology. Olympia gazes at the viewer with unabashed directness, while her maid brings flowers, perhaps from a client. For his models he cast Victorine Meurent, who had previously posed nude for Déjeuner sur l'herbe, as Olympia; and Laure, who appears in two other paintings by Manet, as the maid. Laure's presence alludes to the burgeoning free Black community in Paris at this time.
Link to the full painting.
Link to other Manet paintings.
I think this ship has been withdrawn now.
Taken inside Calais harbour.
Built 1984 in Nantes.
Weighs 15,093 tons.
Carries 1800 passengers and 650 cars.
From 1620. Similar to Manet paintings from the 1850s.
Subject of interesting post on Mondern Art Notes:
Edouard MANET (Paris, 1832 - Paris, 1883)
Portrait d'Antonin Proust (1881)
Huile sur Toile
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UNIQUEMENT POUR LE PLAISIR DES YEUX
MNR 135
Historique de ces œuvres spoliées :
Durant la Seconde Guerre mondiale, près de 100 000 biens appartenant principalement à des familles juives, des francs-maçons et des opposants au régime du IIIe Reich furent volés par l’Allemagne nazie. Adolf Hitler confia personnellement la mission de spoliation d’œuvres d’art ou Raubkunst à Otto Kümmel, conservateur des musées nationaux d’Allemagne. L’objectif premier fut de rapatrier toutes les œuvres d’art d’origine allemande créées depuis le XVIe siècle mais l’appétit du gain entraîna la confiscation de collections privées et publiques dans tous les pays annexés par le régime. Ce pillage systématique fut confié à l’ERR ou Einsatzstab Reichsleiter Rosenberg für die besetzten Gebiete ou l’état-major d’intervention du commandant du Reich Rosenberg pour les territoires occupés.
Le dictateur du régime national-socialiste souhaitait exposer les pièces maîtresses de l’art européen sur le sol allemand dans une perspective de réécriture de l’histoire de l’art conforme à l’idéologie nazie. Pour ce faire, un colossal musée fut prévu à Linz en Autriche, ville où Hitler passa une partie de son enfance. Les plans de ce vaste complexe architectural qui devait se nommer le Führermuseum prévoyaient d’accueillir plus de 4000 tableaux ! Les œuvres pillées non retenues pour le projet de Linz furent transférées dans d’autres collections de musées du régime promouvant déjà l’idéologie fasciste.
En France, en réponse à la profanation culturelle subie pendant l’Occupation, certaines pièces des collections nationales furent évacuées de Paris et cachées dans des domaines du Sud-Ouest du pays. Celles qui furent déjà saisies dans la capitale étaient entreposées par les S.S. dans les salles du Louvre mais l’espace devint rapidement trop étroit et le musée du Jeu de Paume, situé place de la Concorde, fut réquisitionné à son tour par le régime. C’était au sein de cette institution que travaillait alors l’attachée de conservation et résistante, Rose Valland qui fit secrètement un inventaire des collections, suivant la trace de ces œuvres volées et déportées en Allemagne. Son travail inestimable d’identification et de localisation permit de récupérer de nombreux objets d’art après la défaite du IIIe Reich.
Au lendemain de l’Armistice, les œuvres spoliées ainsi que celles acquises sur le marché de l’art entre 1939 et 1945, connues de l’Office des biens et intérêts privés et de la Commission de récupération artistique, furent en grande partie retrouvées. En 1949, sur les 61 233 objets renvoyés en France, plus de 45 441 furent restitués à leurs légitimes propriétaires ou héritiers directs. Toutefois, en dépit de cet important de travail de restitution, plus de 13000 biens ne furent jamais réclamés et furent vendus par l’État français. L’administration ne conserva que 2143 objets spoliés. Ceux-ci furent confiés aux Musées Nationaux, gestionnaires de ces collections et enregistrés dans les inventaires provisoires dits de récupération d’où le sigle MNR ou « Musées nationaux récupération » qui leur est attribué. Exposées dans différents musées de France, les œuvres répertoriées MNR peuvent être, à tout moment, demandées par les ayants-droits, descendants ou héritiers. Sur le plan juridique, défini par le décret du 30 septembre 1949, ces œuvres n’appartiennent pas à l’État qui n’en est que le détenteur provisoire.
Huile sur toile, 1874 (W 342).
Peint dans le jardin de la première maison de C Monet à Argenteuil. Faisait partie de la collection d'E Manet. (cf. D Wildenstein)
Edouard Manet Le Dejeuner sur L'Herbe around 1863-68 This is Manet's second version of a controversial composition he showed at an exhibition of works rejected by the official Paris Salon. It re-worked the theme of a Renaissance painting he had seen in musicians. Manet's painting was shocking because his pastoral idyll made deliberate reference to contemporary life. The man wore modern clothing, and the naked woman was considered ugly. As such it seemed to mock academic 'high' art.
REAR WINDOW. GLIMPSES OF PRIVATE COLLECTIONS.
November 23 2016 - February 26 2017
From November 23 2016 to February 26 2017, UBS and Milan’s Galleria d’Arte Moderna will be hosting Rear Window. Glimpses of Private Collections.
Curated by Luca Massimo Barbero, this exhibition investigates the idea of private collectors by establishing a dialogue between artworks from different Italian contemporary art collections - the Panza di Biumo Collection and the Berlingieri collection - and the permanent oeuvres of the Galleria d’Arte Moderna. By weaving unusual connections between modern, contemporary and nineteenth century artists - from Christo, Dan Flavin, Joseph Kosuth, Giulio Paolini, Richard Serra to Giovanni Fattori, Francesco Hayez, Edouard Manet and Giorgio Morandi - the show draws together apparently fragmented events into one big narrative that defines the visitor’s “field of vision” and recalls the atmospheres of Hitchcock’s famous film “Rear Window”, from which the exhibit borrows its title.
These glimpses onto the realm of private collections fall into the framework of a renewed three-year partnership between bank and GAM, a honourable example of Private-Public collaboration through which UBS will be shouldering the Museum with a calendar of events meant to value and protect its collections and cultural heritage.