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Créé en 1896 par Caspar Badrutt, c'est le père des palaces mondains du XXe siècle.

La ville de St Moritz est installée sur les rives de l'Inn. C'est l'une des plus anciennes et des plus luxueuses stations de sports d'hiver. Des Jeux Olympiques y ont été accueillis en 1928 et 1948.

Útközben: kilátás Cres sziget felé

Cres. 10.V.2009. 20090510 S 1420 Cres 7365 PhotosCROCres_01

Brasilia(DF), 09/01/200 - Centro de Referência Especializado de Assistência Social (Creas) atende famílias e pessoas que estão em situação de risco social na Asa Sul. Foto: Ronaldo Caldas

no soy quien crees que soy.

Vivo siempre escondiendo lo que siento,

engañando a mis sentimientos.

Estoy dentro una burbuja irreal,

me cuesta poner los pies en el suelo.

Será que eso me da miedo.

Me pregunto tantísimas cosas,

que a veces pienso que soy idiota.

Esto de pensar no me hace mucho bien.

not to sure bout this R but i like the rest :)

G-CRES - Denney Kitfox Mk.2 - PFA 172-11574 - Private - Newtownards Airfield - Sunday - 22-07-2018

Small village of Lubenice on Cres Island

Cpl Ní Fhallúin joined Complacht na bhFiann 20th Infantry Battalion based in Cathal Brugha Barracks, Rathmines in 2004. She completed her PNCO Course in 2009. Cpl Ní Fhallúin currently enjoys instructing recruits in C Coy 7 Inf Bn and captained the All-Army AR Falling Plates winners in 2019. Cpl Ní Fhallúin was a recipient of a Chief of Staff Innovation Award in 2020 relating to her civilian occupation as Defence Forces Lead Physiotherapist. She takes a keen interest in soldier survivability, military human factors, and injury epidemiology.

Maroc, Marrakech, Le Jardin de Majorelle, حديقة ماجوريل,

 

Le jardin Majorelle est un jardin botanique touristique inspiré de jardin islamique d'environ 300 espèces sur près d'un hectare à Marrakech au Maroc et un musée de la culture berbère. Il porte le nom de son fondateur, l'artiste peintre français Jacques Majorelle (1886-1962), qui l'a créé en 1931. Acheté par Yves Saint Laurent et Pierre Bergé en 1980, il appartient à ce jour à la Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent et la maison est labellisée Maisons des Illustres depuis 2011.

 

Jacques Majorelle

 

En 1919 le peintre français Jacques Majorelle (1886-1962) (fils du célèbre ébéniste artiste décorateur art nouveau Louis Majorelle de Nancy) s'installe dans la médina de Marrakech (durant le protectorat français au Maroc) dont il tombe amoureux.

En 1922 il achète une palmeraie en bordure de celle de Marrakech, au nord-ouest de la médina, et en 1931, il fait construire par l'architecte Paul Sinoir sa villa style architecture mauresque / art déco d’une étonnante modernité, inspirée de l'architecte Le Corbusier. Il y aménage son habitation principale au premier étage et un vaste atelier d'artiste au rez-de-chaussée pour peindre ses immenses décors.

 

Amoureux de botanique, il crée son jardin botanique inspiré de jardin islamique avec la luxuriance d'un jardin tropical autour de sa villa, « un jardin impressionniste », « une cathédrale de formes et de couleurs », structuré autour d'un long bassin central, avec plusieurs ambiances variées, où se nichent des centaines d’oiseaux. Ce jardin est une œuvre d'art vivante en mouvement, composé de plantes exotiques et d'espèces rares qu'il rapporte de ses voyages dans le monde entier : cactus, yuccas, nénuphars, lotus, nymphéas, jasmins, bougainvillées, palmiers, cocotiers, bananiers, bambous, caroubiers, agaves, cyprès ... et orné de fontaines, bassins, jets d'eau, jarres en céramique, allées, pergolas ...

 

En 1937 l'artiste crée le bleu Majorelle, un bleu outremer / cobalt à la fois intense et clair dont il peint les murs de sa villa, puis tout le jardin pour en faire un tableau vivant qu'il ouvre au public en 1947.

Suite à un accident de voiture, Majorelle est rapatrié à Paris où il disparaît en 1962. Le jardin est alors laissé à l'abandon durant plusieurs années.

 

Yves Saint Laurent et Pierre Bergé découvrent le Jardin Majorelle en 1966, au cours de leur premier séjour à Marrakech : « nous fûmes séduits par cette oasis où les couleurs de Matisse se mêlent à celles de la nature ». Ils achètent le jardin Majorelle en 1980 pour le sauver d’un projet de complexe hôtelier qui prévoyait sa disparition. Les nouveaux propriétaires décident d’habiter la villa de l’artiste, rebaptisée Villa Oasis, et entreprennent d’importants travaux de restauration du jardin pour « faire du jardin Majorelle le plus beau jardin, celui que Jacques Majorelle avait pensé, envisagé ». L’atelier du peintre est transformé en un musée berbère ouvert au public et dans lequel la collection Yves Saint Laurent et Pierre Bergé est exposée.

Disparu le 1er juin 2008 à Paris, les cendres d'Yves Saint Laurent sont dispersées dans la roseraie de la villa Oasis et un mémorial, composé d’une colonne romaine ramenée de Tanger posée sur un socle où une plaque porte son nom. Le 27 novembre 2010, Son Altesse royale la Princesse Lalla Salma, épouse du roi du Maroc Mohammed VI, inaugure l’exposition Yves Saint Laurent et le Maroc en même temps que la création de la rue Yves Saint Laurent.

Le 3 décembre 2011, le musée berbère est inauguré au rez-de-chaussée de la villa en présence du ministre de la culture française Frédéric Mitterrand, et la maison ou vécu Yves Saint Laurent est labellisée Maisons des Illustres.

À ce jour, le jardin, entretenu par une vingtaine de jardiniers, est un des sites touristiques les plus visité de Marrakech et du Maroc avec plus de 600 000 visiteurs annuels.

 

Collections botaniques

Collection de cactus.

Collection de bananiers.

Plantes rares : allée d'aloès.

Collection de palmiers constitue une oasis de fraîcheur dans la partie sud du jardin.

Bambouseraie au sud et à l'ouest du jardin entre le mur de clôture et le chemin sinueux.

  

The Majorelle Garden (Arabic: حديقة ماجوريل‎) is a twelve-acre botanical garden and artist's landscape garden in Marrakech, Morocco. It was designed by the expatriate French artist Jacques Majorelle in the 1920s and 1930s, during the colonial period when Morocco was a protectorate of France.

 

Majorelle was the son of the Art Nouveau ébéniste of Nancy, Louis Majorelle. Though Majorelle's gentlemanly orientalist watercolors are largely forgotten today (many are preserved in the villa's collection), the gardens he created is his creative masterpiece. The special shade of bold cobalt blue which he used extensively in the garden and its buildings is named after him, bleu Majorelle—Majorelle Blue.

The garden hosts more than 15 bird species that are endemic to North Africa. It has many fountains, and a notable collection of cacti.

 

The garden has been open to the public since 1947. Since 1980 the garden has been owned by Yves Saint-Laurent and Pierre Bergé.

After Yves Saint Laurent died in 2008 his ashes were scattered in the Majorelle Garden.

 

Islamic Art Museum

 

The garden also houses the Islamic Art Museum of Marrakech, whose collection includes North African textiles from Saint-Laurent's personal collection as well as ceramics, jewelry, and paintings by Majorelle.

 

El Jardín Majorelle en francés : Jardin Majorelle, en árabe: حديقة ماجوريل, es un jardín botánico de Marrakech (Marruecos). Fue diseñado por el artista expatriado francés Jacques Majorelle en 1924, durante el periodo colonial en el cual Marruecos estuvo administrado por Francia.

 

Jardin Majorelle , Marrakech, Marruecos.

Teléfono: (00212) 024 3018 52

 

Historia

Jacques Majorelle

En 1919 el pintor francés Jacques Majorelle (1886-1962) (hijo del célebre artista ebanista y diseñador de Art nouveau Louis Majorelle de Nancy) se instala en la medina de Marrakech (en aquel tiempo protectorado francés) del que cae enamorado de las luces, de los colores, de los olores, de los ruidos, de la arquitectura, de los habitantes, del zoco, de la kasbah ...

En 1922 compra una finca de palmeras en el borde del palmeral de Marrakech donde en 1931, hace construir por el arquitecto Paul Sinoir, su chalet estilo Art déco de una asombrosa modernidad, inspirada en Le Corbusier y en el Palacio de la Bahía de Marrakech. Consta de su vivienda principal en el primer piso y el gran taller del artista en el bajo para pintar sus inmensos decorados.

Enamorado de botánica, crea su jardín botánico en torno a su chalet, estructurado alrededor de una larga cuenca central, con varios ambientes, establecida de una vegetación exuberante donde anidan cientos de pájaros. Este jardín es una obra de arte viva en movimiento, compuesto de plantas exóticas y especies raras de las que trajo de sus viajes por todo el mundo: cactus, yuccas, nenúfares, nympheas, jazmines, bougainvilleas, palmeras, cocoteros, bananeros, bambús... y adornado con fuentes, cuencas, chorros de agua, jarras en cerámica, alamedas, pérgolas...

En 1937 el artista crea un color azul, azul de ultramar a la vez intenso y claro: el azul Majorelle, con el que pinta las paredes de su chalet, luego todo el jardín para hacer un cuadro vivo que abre al público en 1947.

A raíz de un accidente de coche, Majorelle se repatría a París dónde desaparece en 1962. El jardín se deja entonces en abandono.

 

Yves Saint-Laurent

En 1980 Yves Saint-Laurent y su amigo Pierre Bergé fundan la «Association pour la Sauvegarde et le Rayonnement du Jardin Majorelle», readquieren el chalet taller y el jardín que hacen restaurar y desarrollar en el espíritu del autor del lugar incrementando el número de especies vegetales del jardín de 135 a más de 300. Conservan la parte de vivienda para su uso privado y transforman el taller en Museo de arte islámico de Marrakech abierto al turismo o exponen su colección personal de objetos de arte Islámico del Magreb, Oriente Medio, de África y Asia: Joyas, armas, textiles, alfombra, revestimientos de madera, Alfarería, cerámicas Arabescos, telas y dibujos del artista...

Actualmente, el jardín está cuidado por 20 jardineros y es una de las atracciones turísticas más importantes de Marrakech.

 

Colecciones

El jardín alberga especies vegetales de los cinco continentes destacando su colección de cactus y de Bougainvillea.

El jardín da cobijo a más de 15 especies de pájaros, que se pueden encontrar solamente en el área del Norte de África.

0041 R Cres Mozaik Izdavač Vjesnik Zagreb Agencija za marketing 11048 Štef Tomici 1983.

 

 

Yo fui el verdadero Teobaldo de Montagut, barón de Fortcastell. Noble o villano, señor o pechero, tú, cualquiera que seas, que te detienes un instante al borde de mi sepultura, cree en Dios como yo he creído y ruégale por mí.

 

Nobles aventureros que, puesta la lanza en la puja, caída la visera del casco y jinetes sobre un corcel poderoso, recorréis la tierra sin más patrimonio que vuestro nombre clarísimo y vuestra montante, buscando honra y prez en la profesión de las armas: si al atravesar el quebrado valle de Montagut os ha sorprendido en él la tormenta y la noche y habéis encontrado un refugio en las ruinas del monasterio que aun se ve en su fondo, oídme.

 

Pastores que seguéis con lento paso vuestras blancas ovejas, que pacen derramadas por las colinas y las llanuras; si al conducirlas al borde del transparente riachuelo que corre, forcejea y salta por entre los peñascos del valle de Montagut, en el rigor del verano y en una siesta de fuego, habéis encontrado la sombra y el reposo al pie de las derruidas arcadas del monasterio, cuyos musgosos pilares besan las ondas, oídme.

 

Niñas de las cercanas aldeas, lirios silvestres que crecéis felices al abrigo de vuestra humildad: si en la mañana del santo patrono de estos lugares, al bajar al valle de Montagut a coger tréboles y margaritas con que embellecer su retablo, venciendo el amor que os inspira el sombrío monasterio que se alza entre sus peñas, habéis penetrado en su claustro mudo y desierto para vagar entre sus abandonadas tumbas, a cuyos bordes crecen las margaritas más nobles y los jacintos más azules, oídme.

 

Tú, noble caballero, tal vez al resplandor de un relámpago; tú, pastor errante, calcinado por los rayos del sol; tú, en fin, hermosa niña, cubierta aún con gotas de rocío, semejantes a lágrimas: todos habréis visto en aquel santo lugar una tumba, una tumba humilde. Antes la componían una piedra tosca y una cruz de palo; la cruz ha desaparecido y sólo queda la piedra. En esa tumba, cuya inscripción es el mote de mi canto, reposa en paz el último varón de Fortcastell, Teobaldo de Montagut, del cual voy a referiros la peregrina historia ...

 

Creed en Dios - Cántiga Provenzal de Gustavo Adolfo Bécquer

 

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 Hoy acaba mi vida como caballero en el juego on-line Krynea siete meses y medio despues de que casi por azar entrara en el mismo.  El mundo 1 de esa aventura se acaba y comienza uno nuevo en el que no me reengancharé. 

    

Sirva este post como homenaje a los que algun momento fueron parte de la Alianza The Doors, a aquellos de otras alianzas, adversarios o no que siempore actuaron con nobleza dentro del juego, y muy muy especialmente a mis compañeros de correrías -algunos de ellos caídos ya hace tiempo- :  Humonga, Emacc, Magnvm, Horus, Arials, Lister, Comunica, HombredHojalata, Madruga, Kolam, Itorr, Maestro, ...

    

Levanto por última vez mi copa y brindo por todos esos buenos ratos pasados y deseando que podamos encontrarnos en un futuro en otros mundos...

    

Fotografía: Sepulcro de Fernán Pérez de Andrade "O Bóo", igrexa de San Francisco, Betanzos

    

lee más sobre la historia de esta iglesia aqui, aqui y aqui

    

BSO:  The English Ladye and the Knight - Loreena McKennitt -

   

A nice sight down a cul-de-sac that would have been built around about the same time the Escort was built. If only the Escort was a bit more original...

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Se sabe que esta fortaleza existía antes del 889 (se cree que desde el siglo VIII con la entrada de los árabes en España), pues ese año fue centro de una de las rebeliones muladíes contra el Califato de Córdoba y que, más tarde, tuvo un papel destacado en los enfrentamientos entre los almorávides y los reyes de taifas, época en que se refuerzan sus sistemas defensivos y se rodea todo el espacio habitado con una nueva muralla, levantándose una mezquita y un sistema complejo de acceso a la parte alta del cerro, con varias puertas controladas por torres albarranas.

En la época almohade sufrió los ataques de los bereberes norteafricanos por su rebelión manifiesta y su constitución en señorío independiente. Abd al-Málik ben Sa`id, su gobernador y jefe del clan familiar pagó con cárcel en Marruecos su rebeldía durante un corto tiempo, regresando más tarde libre y obediente a Alcalá. Tras la batalla de las Navas de Tolosa (1212), el castillo es objeto de diversos ataques que, según algunos autores, supusieron su paso a manos cristianas y musulmanas alternativamente. En esta fortaleza tuvo lugar el llamado Pacto de Alcalá, entre Alfonso X y Alhamar (1265), época en que estaba bajo control granadino. Entre mediados del siglo XIII y el XIV, se organizó un sistema defensivo de atalayas-vigía que controlaba la línea fronteriza fijada en el Pacto de Jaén.

En 1340, Alfonso XI sitió la ciudad, que capituló vencida por el hambre, en 1341, pasa definitivamente a ser uno de los principales puestos fronterizos del Reino de Castilla frente al Reino nazarí de Granada. Hasta la caída de Granada, el castillo de La Mota tuvo generosas dotaciones de Castilla, realizándose algunas obras, como el levantamiento de la llamada "Torre Nueva". Sin embargo, una vez conquistada Granada, la fortaleza se abandonó gradualmente y todo el sistema defensivo "fue cayendo en el estado de ruina a que llegaría en el siglo XVIII, coincidente con el despoblamiento de la alcazaba por los arrabales del llano".

Ya en el siglo XIX, las fuerzas francesas acondicionaron y restauraron la fortaleza, construyendo un muro que iba desde el alcázar hasta la torre de la Cárcel, circundando la zona de ocupación, que incluía la iglesia Mayor abacial. En 1812, al terminar la Guerra de la Independencia, la iglesia Mayor, utilizada como almacén, fue incendiada, lo que provocó el desplome de parte de la bóveda, y provocó la explosión del polvorín que albergaba la torre de la Cárcel, destruyendo gran parte de sus muros. El deterioro de la fortaleza se agravó como consecuencia de impactos de artillería en la Guerra civil española, realizándose restauraciones en ella sólo en tiempos recientes.

El castillo de Alcalá la Real, está dispuesto, como era usual en las ciudades-fortaleza andalusíes, en tres recintos:

- El recinto exterior, formado por las defensas de la medina, cerrado por una amplia cerca que incluía varios arrabales, entre ellos el llamado "Arrabal Viejo" (el mejor conservado). Su trazado original, corresponde a los siglos XI y XII y, actualmente, quedan en pie muy escasos restos de muralla. Esta muralla estuvo inicialmente construida con tapial y argamasa, aunque parece ser que fue remodelada en los siglos XIII y XIV, revistiéndola de muros de mampostería.

- La alcazaba, o recinto interior, que ocupa la totalidad de la meseta situada en la cumbre del cerro de la Mota, y que fue el solar de la ciudad original, rodeada de una muralla. En su momento, disponía de varias puertas que daban acceso al recinto interior: La "Puerta de Santiago", estaba ubicada en el extremo noroeste, y comunicaba directamente con el exterior de la medina; la de "San Bartolomé" estaba en el extremo suroeste, y también accedía directamente al exterior. Sin embargo, el acceso principal subía por la llamada "Cuesta de la Mota" y se realizaba a través de siete puertas, de las cuales, en la actualidad, solo quedan tres en pie. Por orden accedemos a una primera puerta (desaparecida y sin nombre conocido) y posteriormente a la puerta "De Las Lanzas", protegida por una torre albarrana. Seguidamente la monumental puerta en recodo, llamada "Puerta de la Imagen", con doble arcada mixta de medio punto (el primero de ellos) y de herradura (el segundo). Es muy similar a la puerta de la Justicia de la Alhambra. Tras ésta, figuraban las desaparecidas "Puerta del Pendón" y "De Aguilera". Y, después, debía aún cruzarse la "Puerta del Peso de la Harina", que era la que comunicaba la alcazaba con la plaza alta, y donde se procedía al pago de aranceles de entrada a la ciudad. Un último acceso pasaba por el llamado "Cañuto" o "Gaván", un pasaje cubierto que accedía al recinto amurallado, y que fue destruido por un terremoto en el siglo XVI.

- Finalmente, el alcázar, último recinto defensivo, se situaba en la parte más elevada de la alcazaba, con forma triangular o trapezoidal (con uno de sus lados muy reducido), con la torre del Homenaje, la "torre de la Campana" y la "torre Mocha". El acceso al interior se realizaba a través de una puerta situada bajo la torre del Homenaje, de estructura constructiva muy similar a la puerta Monaita de la capital del Reino de Granada.

Todo el conjunto está edificado con mampostería y ha sido restaurado por la Junta de Andalucía.

 

José Valenzuela Sotelo – Gerente Regional

Carlos Hale Valcarcel – Sub Gerente

 

“Somos muy felices de servir en el programa de Empleos cuya finalidad es apoyar la Autosuficiencia de los miembros, vivimos día a día maravillosas experiencias que llenan nuestro corazón, damos un testimonio de que si todo miembro está preparado en todos los campos de la vida no debe temer”

Sala de comissões do Senado durante audiência pública na Comissão de Relações Exteriores e Defesa Nacional (CRE).

 

CRE promove um colóquio internacional com representantes do governo, professores e pesquisadores de vários países sobre os Objetivos do Desenvolvimento Sustentável (ODSs).

 

Participam do evento, autoridades do Executivo e Judiciário, além de professores e pesquisadores nacionais e internacionais.

 

Em pronunciamento, indígena.

 

Foto: Pedro França/Agência Senado

Pernat Cres Croatia.

Pernat je naselje na otoku Cresu. Administrativno, naselje pripada gradu Cresu.

PERNAT Naselje Pernat smješteno je na zapadnoj strani središnjeg dijela poluotoka, na rubu plodnog polja. Ovo selo je među arhitektima poznato kao jedan od najljepših primjera tradicionalne gradnje na otoku Cresu, s gospodarskim objektima (štale, gumna) smještenim po njegovom obodu. Pernat je jedno od malo - brojnih naselja na otoku Cresu iz kojeg se ne vidi more, a najbliže mu je na istočnoj strani u uvali Zaglavčić, nakon 40-ak minuta hoda strmom stazom. Na tom mjestu je u vrijeme austrougarske vlasti izgrađen mol za pristajanje plovila iz Cresa, što je ujedno bila i najkraća veza s glavnim otočnim naseljem. Prije ulaza u mjesto, na desnoj strani se nalazi jednostavna prizemnica u privatnom vlasništvu, koja je od 1945. do 1953. g. imala funkciju osnovne škole. Na samom početku sela je Crkva Gospe Lurdske, izgrađena 1914. g. Nalazi se na rubu proširenja koje dijeli naselje na dva dijela, sjeverni i južni. Ovo mjesto je danas parkiralište, no u prošlosti je imalo ulogu sastajališta o čemu svjedoči i, danas obraslo i gotovo neprepoznaljivo, boćalište koje se nalazi uza nj. Južni dio naselja se naziva i Brce, stoga što se nalazi na malom uzvišenju, brdašcu, brdcu. Ovakav naziv za povišeni dio naselja je prisutan i u nekim drugim mjestima na otoku Cresu. Nakon 15-ak minuta laganog hoda, starom stazom iz Pernata prema Valunu, nalazi se slikovita crkvica Sveti Juraj, iz - građena u 12./13. soljeću.

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