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Serie Rincones Toledanos III

 

LA LEYENDA DE LA CALLE DE ALFILERITOS

 

Alfileritos es una calle larga y estrecha, flanqueada por viejos caserones y antiguos palacios de portadas blasonadas, que nace cerca de la plaza de San Nicolás, y muere en la plaza de San Vicente, junto al ábside de la iglesia del mismo nombre. Al comienzo de la calle, y en una pequeña hornacina situada en el muro de la izquierda, vemos una imagen de la Virgen, ante la que se encuentran numerosos alfileres de diversos colores y tamaños. Se trata de ofrendas de las jóvenes toledanas a la Virgen María solicitando su especial intervención para conseguir el novio adecuado.

 

Tradicionalmente, las muchachas Toledanas han acudido a aquel lugar donde, tras rezar una oración y formular su deseo, se pinchaban ligeramente con un alfiler que luego ofrecían a la Virgen como prueba de amor y esperanza. Tan inveterada costumbre se remonta al siglo XVI, y tuvo su origen, según la leyenda, en la forzada separación, por causa de la guerra, de dos amantes toledanos, ella relevante dama de la ciudad, y él, apuesto capitán de las tropas imperiales de Carlos V.

 

Todas las noches, la dama, acompañada por su dueña, acudía a rezar frente a la hornacina de la Virgen, rogando por la vida de su enamorado, así como por su pronto regreso a Toledo, y allí permanecía rezando hasta altas horas de la madrugada. Como a veces la vencía el sueño, ordenó a la dueña, que si esto sucedía, la pinchara con un alfiler a fin de mantenerla despierta, alfiler que luego ofrendaba a la Virgen como testimonio de su sacrificio.

 

El tiempo fue transcurriendo, mientras aumentaba el número de alfileres, hasta que, finalmente, el capitán regresó, sano y salvo, junto a su fiel enamorada. Los amigos y familiares de la pareja, conocedores del hecho, achacaron el regreso del capitán a las oraciones de su dama, así como a los alfileres depositados en la hornacina. Los comentarios se extendieron por toda la ciudad, y pronto otras jóvenes, en parecidas circunstancias imitaron a su perseverante conciudadana, y así se creó la costumbre, entre las mujeres toledanas, de dirigirse a la calle, llamada desde entonces, de los alfileritos, a fin de pedir a la Virgen fortuna para encontrar al hombre de sus vidas, y tras pincharse levemente, ofrecerla el alfiler, confiando en que se repetiría el viejo sortilegio de amor y esperanza.

  

Le bunker juché en position non naturelle sur la plage, au nord de Sainte-Marguerite-sur-Mer, témoigne du recul très rapide du trait de côte. En 1994, il se trouvait encore sur la falaise. Celle-ci se trouve actuellement à une trentaine de mètres derrière.

Le bunker fut construit en 1942 par les Allemands. Il faisait partie du Mur de l'Atlantique. Les Allemands avaient développé des standards dans la forme et les fonctions de leurs bunkers. Il s'agit ici d'un bunker de type 621, destinée à abriter un escadron de fantassins. Il se compose d'une pièce accessible par deux entrées donnant sur un sas unique défendu par deux créneaux de tir. Sur le côté est aménagé un tobrouk ¤1 accessible par un passage séparé.

Du fait du recul de la falaise, le bunker menaçait de tomber sur la plage et présentait donc des risques pour les promeneurs. À la demande de la mairie de Sainte-Marguerite-sur-Mer, les pompiers de Dieppe, après avoir installé un périmètre de sécurité, se mirent à saper la falaise. Après avoir creusé sous le bunker, ils utilisèrent leurs lances à eau pour fragiliser l'ensemble. L'opération mit un certain temps, mais le bunker finit par glisser le long de la falaise. Cependant, contrairement à ce que l'on aurait pu imaginer, celui-ci ne se brisa pas en morceaux en tombant, mais vint se planter sur le flanc en position verticale créant une étrange sculpture moderne.

 

¤1Bunker individuel. Ces petits bunkers individuels, appelés ringstand en allemand, c'est-à-dire abri/emplacement circulaire, prennent le nom de tobrouk

No creo en patrias ni en banderas.

No creo en himnos ni en líderes carismáticos salvadores.

Pero sí creo en las personas. En las buenas personas.

Pero sí creo en la Naturaleza, en la maravilla de sus ritmos y en la suerte de formar parte de ella, de amarla y respetarla.

Pero sí creo en mi planeta y en el tiempo que me ha tocado vivir y en la suerte de habitarlo, amarlo y respetarlo.

Y creo, siento firmemente en mi la llamada de la tierra, de la sangre y de la atracción de aquello que conforma las raíces del ser vivo que soy.

La mitad de mi sangre es asturiana.

Por eso amo Asturias.

En primer lugar, porque todo en esa tierra me recuerda a mis ancestros, a las personas que la habitaron antes de que naciera y que me regalaron la vida.

Pero también porque su belleza, sus gentes y su geología me llenan de una arrebatadora y al tiempo dulce sensibilidad estética y humana.

Por eso Asturias, como León, conforman lo que significa y representa para mi, en palabras de otro que hago mías... EL ETERNO RETORNO.

 

Música recomendada: "Asturias". Victor Manuel San José.

oil on canvas, 40x50 cm

"L'esilio dell'anima verso l'ignoto" è una potente metafora artistica che affonda le radici nella filosofia antica (Platone vedeva il corpo come una prigione dell'anima) e si manifesta in varie forme attraverso i secoli, simboleggiando la condizione umana di alienazione, la ricerca spirituale e il confronto con l'ignoto o l'aldilà.

L'esilio è visto come un "paradigma dell'esistenza", un viaggio incessante che allontana da un punto di origine ma mantiene una costante ricerca di un "luogo dell'anima" in cui sentirsi a casa. Il confronto con l'ignoto e la mortalità ha portato gli artisti a esplorare la possibilità della trascendenza o della liberazione spirituale, come nel caso di T.S. Eliot e la sua svolta verso la religione, o di artisti che vedono l'arte come un modo per guardarsi dentro. Movimenti come il Simbolismo e il Surrealismo, che si oppongono al realismo per creare mondi fantastici e onirici attraverso allusioni simboliche, sono particolarmente adatti a rappresentare concetti astratti come l'anima e l'ignoto

 

www.instagram.com/alicealicjacieliczka/

 

Dans les bois

La Luette

Valais, Suisse

 

Pour Macro Mondays

Thème : Twist

5 Settembre, Giornata nazionale per la custodia del Creato.

 

Ascoltiamo i gemiti della Terra e dei poveri...

 

Da una foto analogica del '98

Corvara, Trentino. Mi sembra verso il Sassongher, 2665 m

 

The beauty of the Creation

 

September 5th, Day of the protection of Creation

Remote Lubenice village rewards visitors with magnificent views over Kvarner gulf and islands. No soul in sight; sheep outnumber humans up here...

 

Thanks for stopping by.

"Poi creò il coccodrillo, e subito dopo la maglietta. Così mise il coccodrillo sulla maglietta, e fu un grande successo. Poi Dio mise un coccodrillo da una parte e una iena dall'altra: e uno piangeva, piangeva, piangeva, e piangeva lacrime di coccodrillo; e l'altra rideva, rideva, rideva e rideva come una iena..."

 

(G.Cobatta)

Cres is an island in Croatia...this detail from the city... Cres

Es muy habitual contemplar a los mas jóvenes lanzándose a las playas de Gorliz y Plentzia. Si esto sucede a comienzos de Abril, creo que estamos ante una situación especial, algo así como cambio climático, en fin. Muy agradecidos a todos los amigos de flickr por sus amables visitas, comentarios y premios a estas imágenes. Eduardo.

Légère inondation du Tidal Basin du National Mall, Washington DC, la capitale des USA.

 

Une vue à partir de la rive ouest du bassin près du Dr. Martin Luther King Jr. National Memorial.

 

Au loin, on remarque le Thomas Jefferson Memorial au milieu des cerisiers Yoshino en fleurs sur la rive sud du Tidal Basin du National Mall. Situé à l'extrémité sud du bassin et de la 15th Street SW, ce monument qui ressemble à un temple, avec sa rotonde ouverte entourée de colonnes ioniques et surmonté d'un dôme, offre l'une des images les plus célèbres de Washington. Ces colonnes protègent une statue de Jefferson (1743-1826), le 3e président américain haute de 6 m entouré par des passages gravés de la Déclaration d'Indépendance. Construit en 1934, le style du bâtiment rend hommage à la demeure de Jefferson, architecte de profusion, située en Virginie.

 

Le Tidal Basin est un bassin artificiel d'eau douce qui a été créé à la fin du 19e siècle, entre le fleuve Potomac et le Washington Channel. L'été, on peut le parcourir en pédalo. Au printemps, de la fin mars au début avril, dans le cadre du National Cherry Blossom Festival, on y profite de la floraison des cerisiers Yoshino en fleurs qui furent offert aux USA par le Japon en 1912. L’édition de 2023 avait été programmé du 20 mars au 16 avril. Il s'agit d'un hommage annuel à l'amitié de longue date entre le Japon et les États-Unis. En effet, plus de 3 000 arbres sont arrivés à Washington en 1912 après une coordination entre les gouvernements des deux pays. Lors d'une cérémonie simple le 27 mars 1912, la première dame Helen Herron Taft et la vicomtesse Chinda, épouse de l'ambassadeur du Japon, ont planté les deux premiers arbres du Japon sur la rive nord du Tidal Bassin dans le West Potomac Park.

 

Le National Mall est une grande esplanade verte, un parc ouvert au public du centre-ville de Washington, D.C qui fait office de rue principale et de square municipal. Il s'étend du Lincoln Memorial jusqu'au Capitole des États-Unis et marque la limite entre deux des quatre quadrants partageant la ville : Northwest (NW) et Southwest (SW). On y inclut communément les zones qui font officiellement partie du West Potomac Park et les Constitution Gardens à l'ouest. Son plan est originellement dessiné par Pierre Charles L'Enfant mais celui-ci ayant été remercié de ses services avant même la construction de la ville, il fallut attendre plus de 110 ans avant que le projet ne soit réalisé par le National Park Service qui l'adopta.

 

Le Mall et ses pelouses forment l'un des lieux touristiques les plus connus de la ville et est souvent utilisé pour les manifestations en raison de sa signification civique et historique. Aujourd'hui cette grande allée de 3.5 km de long est bordée par de nombreux musées dont ceux de la Smithsonian Institution, monuments et mémoriaux.

Verso la fine degli anni Ottanta mi iscrissi alla facoltà di Magistero a Roma. Frequentai alcune lezioni tra cui un corso monografico, biennale, di Letteratura Italiana avente come tema la figura di Ulisse nella letteratura dall’antichità fino al Novecento.

L'uomo emerso potentemente dai due poemi omerici che avevano fondato la storia del nostro Occidente era stato variamente interpretato dagli scrittori delle differenti epoche, connotate ognuna da una sensibilità e ricettività diverse, sempre però lasciando all'eroe greco il ruolo di protagonista.

Il corso abbracciava più di venticinque secoli e fu l'occasione per rimettere in ordine la cronologia confusa degli eventi storici con cui ero uscita dalle scuole superiori e soprattutto aprì un mondo di ricerche e di studi appassionanti sulla mitologia classica e sulla storia antica che da allora non ho mai abbandonato. Nelle storie antiche un linguaggio del tutto inedito parlava alla parte sconosciuta di me che aveva necessità di esprimersi, avevo trovato un canale attraverso cui dare nome a sentimenti, sensazioni, paure. Mi ero da poco separata affrontando non poche turbolenze, ma alla fine ero riuscita a capire di aver bisogno di un supporto terapeutico che mi aiutasse a decifrare i motivi dei tanti errori compiuti senza averne consapevolezza; così mi addentrai in un territorio avventuroso, quello dei sogni, senza minimamente sospettare dove mi avrebbe portata. Sollecitata dal terapeuta ogni mattino, al risveglio, trascrivevo i sogni e mi stupivo di quanto durante il sonno fossi capace di compiere veri e propri viaggi nel tempo e nello spazio; spesso volavo usando solo la forza delle braccia e delle gambe sorvolando città, picchi nevosi, praterie immense, provando un grande senso di libertà, di forza, di leggerezza. Navigazioni aeree, lunghi percorsi a piedi, o in mare, alla ricerca di luoghi sconosciuti di cui avevo percezione ma che non riuscivo a distinguere, un po’ come era accaduto a Cristoforo Colombo munito di carte nautiche imprecise, ma che seguendo la sua intuizione per cercare le favolose Indie, aveva poi trovato un mondo nuovo.

Altrettante avventure durante le lezioni al Magistero che si tenevano nel pomeriggio e di sabato mattina; eravamo quasi tutti studenti lavoratori perciò ci eravamo organizzati, a turno, per registrarle e, come si diceva allora, per sbobinarle, così da avere a disposizione lo scritto di quello che la straordinaria professoressa siciliana ci andava raccontando. Fu un lavoro di gruppo molto impegnativo, ma avevamo capito che non potevamo lasciare disperdere il patrimonio di sapere che la professoressa, Maria Teresa Acquaro Graziosi, ci trasmetteva con passione e rigore. Furono due anni entusiasmanti, durante i quali riuscii a seguire anche le lezioni di Storia dell’Umanesimo sempre tenute dalla stessa docente. Fu così che venni completamente affascinata dal risveglio culturale avvenuto in Italia tra la seconda metà del Trecento e il Quattrocento. La professoressa ci parlava di come già Dante avesse avuto l’intuizione dell’importanza del mondo antico, pur restando fedele al Cristianesimo, ma con Petrarca e Boccaccio, complici anche le mutate condizioni economiche e sociali, si fosse iniziato a pensare che bisognava studiare più a fondo le opere degli antichi conservate nei monasteri; sebbene fossero state salvate dalle devastazioni barbariche a partire dalla caduta dell’Impero Romano d’Occidente, si era persa però la conoscenza del greco e molti manoscritti redatti in quella lingua, alla fine del Trecento, erano completamente illeggibili. La professoressa ci parlava di come Petrarca e Boccaccio avessero avvertito l’urgenza di penetrare nei segreti del greco, e di come anche per la letteratura latina bisognasse superare l'interpretazione allegorica che finora se ne era data per farla aderire ai canoni del Cristianesimo, era tempo di intraprendere una lettura più aderente allo spirito dei tempi in cui erano state redatte quelle opere. Un salto notevole di intelligenza interpretativa certamente legato ai tempi nuovi, quelli dei mercanti e dei commerci che, da Marco Polo, avevano inaugurato un nuovo modo di pensare e di vivere, gli scambi con altre popolazioni, il cercare di comprendere usi e costumi altrui avevano fatto maturare i tempi per il cambiamento. Forti di questa nuova consapevolezza Petrarca e Boccaccio stabilirono una sorta di sodalizio intellettuale scambiandosi informazioni e consigli per riuscire a realizzare la loro comune necessità di conoscere e di rinnovarsi attraverso la lettura e lo studio dei classici. Lo stesso Boccaccio, venuto a conoscenza di un monaco in Calabria che conosceva il greco, si recò di persona in quella regione per convincerlo a trasferirsi in Toscana con la promessa di ospitarlo in casa propria e di fargli avere un incarico di insegnamento. Lo convinse, e Leonzio Pilato, così si chiamava l'erudito, selvatico all’aspetto e di modi sgradevoli, seguì Boccaccio e si accinse alla traduzione dal greco in latino dell'Iliade e dell'Odissea. Così lo descrisse Boccaccio:

“Nell'aspetto è uomo rozzo, ha la faccia nera, la barba prolissa, la chioma nera occupata sempre in continui pensieri, di costumi rozzo, né molto civile huomo, ma si come l'isperienza ha dimostrato, dottissimo di lettere Greche e come un'arca pieno d'historie e favole greche, benché della latina non sia molto instrutto”.

Certo non deve essere stata facile la convivenza, ma tanto era il desiderio di decifrare il greco che Boccaccio si adattò di buon grado a convivere con l'ospite così somigliante a un barbone.

Questo primo lavoro di decifrazione dei due poemi greci avviò la ri-scoperta del mondo antico; dopo secoli di oblio veniva fuori come da uno scavo nel tempo un altro modo di vivere, non più penitenza e attesa di una vita oltremondana come era stato per tutto l'alto medioevo, ma le passioni dell’uomo inserito nel mondo reale con tutte le complicazioni, gli errori, le speranze, le delusioni. Immagino la sorpresa e la meraviglia nel leggere il pianto di Ulisse alla corte dei Feaci, le sue avventure amorose con maghe e ninfe, i sentimenti di nostalgia, i naufragi, la perdita dei compagni, il ritorno a Itaca; dopo l'esclusiva lettura dei Vangeli, testi biblici e religiosi, o al più la Commedia di Dante, si comprende come Boccaccio fosse ansioso di sentire dalla bocca di Leonzio Pilato “l'arca piena d'historie e favole greche”.

Pian piano questo fermento di riscoperta dell’antico, partendo da Firenze, si propagò tra le corti di Milano, Napoli, Urbino, Mantova, Ferrara, Venezia dove operavano i cosiddetti umanisti laici e di Roma dove, alla corte del papato, operavano gli umanisti chierici. Fu un periodo di passaggio attraversato da molte contraddizioni e conflitti, bisognava conciliare il credo della dottrina cristiana con queste nuove acquisizioni, la riscoperta dell’uomo in quanto tale, con tutti i suoi difetti, i pregi; il desiderio di emanciparsi e di godere della vita terrena poteva essere pericolosamente vicino all'eresia ed infatti molti artisti, come Sandro Botticelli, soggiogato e impaurito dalle prediche del Savonarola abbandonò per sempre le meravigliose pitture “pagane” che aveva prodotto con tanta maestria ed entusiasmo per ritornare a quelle religiose.

Pur mantenendosi per lo più vicini allo spirito del Cristianesimo, gli Umanisti cominciarono a rivisitare gli uomini antichi in termini più concreti: andiamo a vedere come vivevano, cerchiamo di imparare da loro, andiamo a sentire cosa hanno da dirci ancora oggi. E in effetti trovarono tesori di umanità: Odissea, Iliade, i tragici greci, i filosofi, soprattutto Platone, e di seguito i pensatori e poeti romani, Cicerone, Seneca, Virgilio, Plinio il Vecchio che davanti alla catastrofe dell’eruzione del Vesuvio nel 79 dopo Cristo, scienziato ante-litteram, presa una nave si reca sul luogo per esaminare dal vero ciò che sta succedendo per farne un resoconto veritiero.

Bisognava riflettere su quei testi e su quelle memorie, bisognava ricominciare a pensare a quegli uomini come nostri progenitori, come antenati dai quali si poteva apprendere un nuovo stile di vita che fosse più vicino alle esigenze reali della gente. Come avevano vissuto, lavorato, edificato? In Roma si ergevano monumenti incredibili come il Colosseo, il Pantheon, ponti, migliaia di chilometri di acquedotti parlavano silenziosamente della grande abilità e intelligenza costruttiva dei Romani, era necessario studiare quelle opere talmente perfette nell'esecuzione da superare i millenni.

A tal punto era arrivata la spasmodica ricerca nei monasteri di tutta Europa che, raccontò un giorno la professoressa Acquaro Graziosi, uno di essi tornando con una nave carica di codici, quando la nave affondò con il suo prezioso carico, per il dispiacere diventò canuto in una sola notte.

Anche Leonzio Pilato, tornando da Costantinopoli e diretto a Venezia, nel 1365 morì sulla nave colpita da un fulmine, e con essa andarono a fondo il bottino di libri che riportava con sé.

 

All’inizio del Quattrocento si può far risalire una più ampia volontà di recuperare ciò che ancora giaceva nei luoghi di cultura, rappresentati da biblioteche e monasteri sparsi in tutta Europa.

A Firenze grande fu l’importanza del nonno di Lorenzo il Magnifico, Cosimo il Vecchio de’ Medici, ricchissimo banchiere, che attivamente finanziò i circoli intellettuali.

L’entusiasmo per le opere antiche diventa piena applicazione nel Cinquecento, il Rinascimento, quando pittori e scultori come Michelangelo si calano nelle “grotte” come quelle della Domus Aurea per studiare dipinti e sculture, o come il “divino” Raffaello che viene incaricato dal Papa di fare una mappa dei reperti archeologici in Roma diventando, giovanissimo, “Sovrintendente alle antichità romane”.

Tutto questo fervore ad opera dei pochi che erano in grado di capire l’importanza del patrimonio lasciatoci dagli antichi, di secolo in secolo sarà sempre più organizzato, tanto da generare, soprattutto dopo l’unità d’Italia, la creazione di magnifici musei che in parte deriveranno dalle collezioni private di principi, papi e cardinali, in parte dagli scavi sempre più a carattere scientifico e metodologico, volti a ricostruire, attraverso i reperti, la storia antica che ci era arrivata con così tante lacune. È grazie all’entusiasmo e allo strenuo lavoro di quei pionieri che l’Italia è diventata una grande macchina del tempo dove entrare per conoscere ciò che siamo stati, ciò che siamo e ciò che potremmo diventare. Roma, a sua volta, è una formidabile macchina del tempo, vi si trovano, senza soluzioni di continuità, testimonianze di tutti i periodi storici a cominciare dai resti di capanne preistoriche sul Palatino. Ho ascoltato una volta un anziano professore inglese su un autobus, l'85, che si rivolgeva a un giovane in piedi accanto a lui: “Il sogno di ogni storico è quello di abitare a Roma”. Stavamo transitando davanti alla “maestà” del Colosseo, come canta Antonello Venditti in unsuo brano.

Nell’Umanesimo maturo, molte acquisizioni tecniche e scientifiche vennero recuperate dal mondo antico, copiate e realizzate, una fra tante la prospettiva che modificò il modo di dipingere, dando più verisimiglianza alle scene, e fornendo ai cartografi la possibilità di realizzare mappe sempre più precise. Inoltre, vari pittori iniziarono a dipingere autoritratti, nascondendosi tra la folla di un corteo o di una scena religiosa, primi esiti del grande lavoro di consapevolezza compiuto nel voler rimettere l'uomo al centro del dibattito culturale e sociale. Alcuni di questi selfie d'epoca sono stati decifrati solo nel Novecento da accorti studiosi d'arte, come nel caso dell'autoritratto del Mantegna nella Camera degli Sposi a Mantova, dissimulato, ironicamente, tra i fregi decorativi che completano e dividono le varie scene affrescate. Il pittore sembra così scrutare ciò che avviene nel talamo nuziale. Chissà se gli occupanti della camera, intenti nei loro commerci amorosi, si siano mai accorti di quello sguardo indagatore e un po' accigliato!

 

Nella Firenze della seconda metà del Quattrocento un pittore, Sandro Botticelli, alla corte dei Medici, dove operavano personaggi come Marsilio Ficino, filosofo del neoplatonismo, Agnolo Poliziano, insigne filologo, perfetto conoscitore del greco e del latino, Pico della Mirandola, dalla prodigiosa memoria e altri avevano creato un cenacolo di altissimo livello finanziati dal politico, nonché banchiere, Lorenzo de’ Medici al quale dobbiamo l’immortale “Quant’è bella giovinezza che si fugge tuttavia / chi vuol esser lieto sia del doman non v’è certezza” vero e proprio manifesto dell’Umanesimo, componimento che in brevi righe riassume tutto l’entusiasmo, le scoperte, il mondo interiore che gli uomini del Quattrocento avevano non solo riscoperto, ma messo in pratica con un potente cambio di mentalità. È una vera e propria bomba che dall’Italia si propagherà nell’Europa intera, niente sarà più come prima. È iniziato il Rinascimento, la rinascita del mondo antico.

In questo contesto fervido di idee, studi, progetti Agnolo Poliziano che aveva letto, a lungo meditato e perfino imitato nelle sue “Stanze per la Giostra” le Metamorfosi di Ovidio fornisce a Sandro Botticelli le descrizioni dettagliate che serviranno per dipingere i due quadri più belli del mondo: la Venere che esce dalle acque e la Primavera.

Ovidio dona agli uomini del Quattrocento un' “arca piena di favole e di historie”, i canoni della bellezza, uno sguardo nuovo sulla natura, la consapevolezza del mondo in continua trasformazione, l'incanto e il mistero della femminilità.

“Io sono un poeta, un grande poeta!”, aveva gridato più e più volte, in una notte d'agosto, una voce stentorea presso le rovine dei Mercati di Traiano. Era la voce di Ovidio.

 

Con piena coscienza del proprio valore Ovidio conclude con mirabili versi le Metamorfosi:

 

“... Ma con la parte migliore di me io volerò in eterno più in alto delle stelle, e il nome mio rimarrà, indelebile. E ovunque si estende, sulle terre domate, la potenza romana, le labbra del popolo mi leggeranno, e per tutti i secoli, grazie alla fama, se qualcosa di vero c’è nelle predizioni dei poeti, io vivrò.”

 

Gli uomini del Quattrocento, come Botticelli, raccolsero il suo messaggio e furono in grado, anche grazie alla sua voce che parlava da un tempo remoto, di produrre opere indimenticabili.

Mi piace pensare che il manichino seduto sui libri antichi, lungi dall'essere un uomo meccanico, sia in qualche modo l'emblema di tutti quegli uomini coraggiosi che furono in grado, grazie alle loro opere, di risvegliarci dal sonno medievale durato un millennio.

  

Creski kaić 2022

Hrvatska / Croatia

Una más de este maravilloso lugar situado a más de 3000m en California, donde los árboles se retuercen desde hace miles de años. Uno de los seres vivos más longevos de la Tierra.

 

One more of this wonderful place located more than 3000m in California, where trees have been twisting for thousands of years. One of the longest living beings on Earth.

 

Panorámica de 5 fotos verticales. No blending. No stacked.

 

Canon 5d Mark iv y 16-35mm de @canonespana

 

He creado un plano con mas de 400 localizaciones, de las cuales casi la mitad están comentadas la descripción del sitio, cantidad de contaminación lumínica, mejor momento para ir y algun consejo, aparte de la foto.

 

Espero sea de vuestro interés. Os dejo la web con toda la info y precio.

 

pacofarero.com/localizaciones/

Película cristiana "¿Quién es mi Señor?": El debate sobre el tema "¿Está inspirada por Dios la Biblia?"

 

Durante dos mil años, el mundo religioso se ha basado en lo que dijo el apóstol Pablo de que la Biblia fue inspirada por Dios, y siempre ha creído que "la Biblia es la palabra de Dios". y "la Biblia representa al Señor". ¿Son correctas estas ideas? ¡Este vídeo te revelará todas las respuestas!

  

🎬🎬 www.kingdomsalvation.org/es/videos/gospel-movie-who-is-my...

Puedes seguirme en mi /follow me in my web, 500px, en facebook

o en instagram

 

Un lugar espectacular el que pudimos disfrutar en las Rocosas, este resquicio de glaciar que se esconde del sol, en ese recoveco de la montaña. Hace menos de 70 años cubría todo parte del valle, y esa laguna de verde esmeralda no existía

Aqui podeis ver el cambio: viajeseideas.com/wp-content/uploads/2017/10/Mount-Edith-C...

 

Creo que nuestra hipocresía no está permitiendo avanzar en este campo, decimos que hay que pararlo, que hay que cuidar el medio ambiente, pero seguimos viajando en nuestro estupendo coche, cogiendo aviones, comprando mas de lo que nos hace falta, consumiendo mas energía de la que deberíamos...

 

Como siempre con Canon 5D Mark IV y 16-35mm f4 de Canon España

 

Filtros y portafiltro LucrOit

Twilight.. Nature's farewell kiss goodnight.

 

Credits:

Watch Tower/Pavilion - Trompe Loeil

Path - Botanical

Grass/bushes - Alirium

Trees - HPMD/Skye/Heart/3D Trees

Bridge - The Domineaux Effect

Olympus digital camera

Finally getting back to some custom work that's not snowy white, but rather beach sand white! Working on a little hidden beach area behind a dense forest.

 

Credits:

Palms - Fanatik

Beach Hut - Trompe Loeil

Rock Walls- Skye

Seamless Beach - Las Islas

Lifeguard Stand and Beach Towels - Tiki Tattoo

Forest Trees - HPMD and Heart

cres and cayme wer mash up both ov us wer dehydrated and feelin bare sik........i like dis style but i fink he needs 2 practice it

Cres Sis to Učka.

Cres is located in the northern part of Kvarner Bay with its southern side connected to the island of Lošinj by a lift bridge. There is an array of coves and shingly beaches scattered along its western and southern shores, while steep cliffs line the island’s north and south. In the northern sub-Mediterranean part there are high and dense forests of oak, hornbeam, elm and chestnut trees while the central and southern Mediterranean part is covered with rolling pastures and dense evergreen underbrush.

  

There are as many as 1,300 plant species thriving on the island of Cres which is equally rich in animal life, so this is a true paradise for nature lovers. Cres is one of the last habitats of the Griffon Vulture and home to freshwater Lake Vrana, a nature’s wonder with its surface located above and its bed located at 74 metres below sea level.

  

The island has plenty to offer in every way. In addition to beautiful flora and fauna Cres enjoys a rich cultural and historic heritage. It is home to numerous Liburnian castles, remains of ancient towns and Catholic churches, monasteries, remains from the Venetian period and present-day monuments. The history preserved here and old churches and villages that seem untouched by time will be a true treat for anyone with a penchant for organized or self-planned island exploration, as the Tramuntana area and the entire island are simply wonderful. All this, paired with an extensive choice of accommodation, restaurants and events, makes Cres an interesting and attractive holiday destination.

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Sis je vršak na hrptu Cresa, zanimljiv zbog ostataka pretpovijesne građevine koja je odavde mogla kontrolirati cijeli Riječki zaljev. Zanimljivo je da Sis, unatoč znatnoj visini, nije najviši vrh otoka Cresa. Najviši vrh Gorice (648 m) je oko 2 km sjeverno od njega.

Tirage d'art sur papier RAG 310g

Édition limitée /20

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''...Mi dispiace, ma io non voglio fare l’imperatore non è il mio mestiere. Non voglio governare né conquistare nessuno. Vorrei aiutare tutti se possibile: ebrei, ariani, uomini neri e bianchi. Tutti noi esseri umani dovremmo aiutarci sempre, dovremmo godere soltanto della felicità del prossimo. Non odiarci e disprezzarci l’un l’altro. In questo mondo c’è posto per tutti. La natura è ricca e sufficiente per tutti noi. La vita può essere felice e magnifica, ma noi l’abbiamo dimenticato. L’avidità ha avvelenato i nostri cuori, fatto precipitare il mondo nell'odio, ci ha condotti a passo d’oca fra le cose più abiette. Abbiamo i mezzi per spaziare, ma ci siamo chiusi in noi stessi. La macchina dell’abbondanza ci ha dato povertà, la scienza ci ha trasformati in cinici, l’abilità ci ha resi duri e cattivi. Pensiamo troppo e sentiamo poco. Più che macchinari ci serve umanità, più che abilità ci serve bontà e gentilezza. Senza queste qualità la vita è violenza e tutto è perduto. L’aviazione e la radio hanno riavvicinato le genti, la natura stessa di queste invenzioni reclama la bontà nell'uomo, reclama la fratellanza universale. L’unione dell’umanità. Persino ora la mia voce raggiunge milioni di persone nel mondo. Milioni di uomini, donne e bambini disperati, vittime di un sistema che impone agli uomini di torturare e imprigionare gente innocente. A coloro che mi odono io dico: non disperate! L’avidità che ci comanda è solamente un male passeggero. L’amarezza di uomini che temono le vie del progresso umano. L’odio degli uomini scompare insieme ai dittatori. E il potere che hanno tolto al popolo, ritornerà al popolo. E qualsiasi mezzo usino, la libertà non può essere soppressa. Soldati! Non cedete a dei bruti, uomini che vi disprezzano e vi sfruttano, che vi dicono come vivere, cosa fare, cosa dire, cosa pensare, che vi irregimentano, vi condizionano, vi trattano come bestie! Non vi consegnate a questa gente senza un’anima! Uomini macchina con macchine al posto del cervello e del cuore. Ma voi non siete macchine! Voi non siete bestie! Siete uomini! Voi avete l’amore dell’umanità nel cuore. Voi non odiate. Coloro che odiano sono solo quelli che non hanno l’amore altrui. Soldati, non difendete la schiavitù, ma la libertà! Ricordate che nel Vangelo di Luca è scritto: «Il Regno di Dio è nel cuore dell’Uomo». Non di un solo uomo o di un gruppo di uomini ma di tutti gli uomini. Voi, il popolo, avete la forza di creare le macchine, la forza di creare la felicità. Voi, il popolo, avete la forza di fare che la vita sia bella e libera. Di fare di questa vita una splendida avventura. Quindi in nome della democrazia, usiamo questa forza. Uniamoci tutti! Combattiamo per un mondo nuovo, che sia migliore che dia a tutti gli uomini lavoro, ai giovani un futuro, ai vecchi la sicurezza. Promettendovi queste cose dei bruti sono andati al potere. Mentivano! Non hanno mantenuto quelle promesse e mai lo faranno. I dittatori forse sono liberi perché rendono schiavo il popolo. Allora combattiamo per mantenere quelle promesse. Combattiamo per liberare il mondo eliminando confini e barriere, eliminando l’avidità, l’odio e l’intolleranza. Combattiamo per un mondo ragionevole. Un mondo in cui la scienza e il progresso diano a tutti gli uomini il benessere. Soldati! Nel nome della democrazia siate tutti uniti!

 

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Hannah, puoi sentirmi? Dovunque tu sia, abbi fiducia. Guarda in alto, Hannah! Le nuvole si diradano: comincia a splendere il Sole. Prima o poi usciremo dall'oscurità, verso la luce e vivremo in un mondo nuovo. Un mondo più buono in cui gli uomini si solleveranno al di sopra della loro avidità, del loro odio, della loro brutalità. Guarda in alto, Hannah! L'animo umano troverà le sue ali, e finalmente comincerà a volare, a volare sull'arcobaleno verso la luce della speranza, verso il futuro. Il glorioso futuro che appartiene a te, a me, a tutti noi. Guarda in alto Hannah, lassù...''

 

(Dal film ''il Grande Dittatore)

 

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Coltivando tranquilla

l'orribile varietà

delle proprie superbie

la maggioranza sta

Aquellos que creen en la magia están destinados a encontrarla ❤

Olympus digital camera

Cres is a beautiful island in the Adriatic Sea, belonging to Croatia. The distant mountains in the background are part of the Istrian peninsula.

 

The image shows an experiment with tonal mapping (simulating HDR). This time the starting point was a single exposure. The jpeg-image obtained from the unmodified raw file without any post processing can be seen here:

www.flickr.com/gp/bernd_thaller/52t657

 

It is amazing what amount of details can still be extracted from the shady regions.

 

Créé au début du XVIIe siècle par Charles IV en tant que jardin d'herbes médicinales, le jardin a déménagé deux fois avant de s'installer en 1870 à son emplacement actuel.La grande serre (Palmhuset) a été inaugurée en 1874, le jardin, libre d'accès, est une oasis de verdure de 10 hectares en plein cœur de la ville.

 

20210514 CresUvala_22 7365 PhotosCROCres

HDR & Tonemapped - 3 raw shots

Cres - Croatia

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