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Les Sources Occultes 008/999
Un film de Laurent Courau, d'après un scénario de Thierry Ehrmann.
Réalisation : Laurent Courau
Scénario : Thierry Ehrmann
Comédienne : Elora Bessey
Artificier : Thierry Loir
Remerciements à Jolan Bessey, Carine Dubois et Rodolphe Bessey.
© Les Amis de l'Esprit de la Salamandre 1999
Entre effroi et merveilles, une zone mouvante aux portes du futur et des enfers...
Les Sources Occultes vous entraînent au coeur d'un univers polymorphe dont les clés et les motifs se révéleront au fur et à mesure des épisodes de cette série de fictions. En attendant un final apocalyptique, au sens premier du terme, qui révélera la structure générale sous la forme d'un long-métrage...
Les Sources Occultes offrent aussi une nouvelle porte d'entrée dans le labyrinthe multidimensionnel de la Demeure du Chaos à celles et ceux qui postulent à notre casting, une occasion unique de pénétrer les arcanes de l'esprit de la Salamandre.
Secrets revealed of the Abode of Chaos (112 pages, adult only) >>>
Podarcis muralis male heads illustrating the colour variability in pentamorphic populations. Bonus ball: mutant blue individual!
Chairlift @ Lollapalooza 2016, Grant Park, Chicago, IL, on Saturday, July 30, 2016.
Lollapalooza 2016 Setlist:
Look Up
Polymorphing
Amanaemonesia
I Belong in Your Arms
Show U Off
Romeo
Crying In Public
Moth to the Flame
Ch-Ching
Get Real
As borboletas são insectos da ordem Lepidoptera classificados nas super-famílias Hesperioidea e Papilionoidea, que constituem o grupo informal Rhopalocera.
As borboletas têm dois pares de asas membranosas cobertas de escamas e peças bucais adaptadas a sucção. Distinguem-se das traças (mariposas) pelas antenas rectilíneas que terminam numa bola, pelos hábitos de vida diurnos, pela metamorfose que decorre dentro de uma crisálida rígida e pelo abdómen fino e alongado. Quando em repouso, as borboletas dobram as suas asas para cima.
As borboletas são importantes polinizadores de diversas espécies de plantas.
O ciclo de vida das borboletas engloba as seguintes etapas:
1) ovo→ fase pré-larval
2) larva→ chamada também de lagarta ou taturana,
3) pupa→ que se desenvolve dentro da crisálida (ou casulo)
4) imago→ fase adulta
_______________________
A butterfly is any of several groups of mainly day-flying insects of the order Lepidoptera, the butterflies and moths. Like other holometabolous insects, butterflies' life cycle consists of four parts, egg, larva, pupa and adult. Most species are diurnal. Butterflies have large, often brightly coloured wings, and conspicuous, fluttering flight. Butterflies comprise the true butterflies (superfamily Papilionoidea), the skippers (superfamily Hesperioidea) and the moth-butterflies (superfamily Hedyloidea). All the many other families within the Lepidoptera are referred to as moths.
Butterflies exhibit polymorphism, mimicry and aposematism. Some, like the Monarch, will migrate over long distances. Some butterflies have evolved symbiotic and parasitic relationships with social insects such as ants. Butterflies are important economically as agents of pollination. The caterpillars of some butterflies eat harmful insects. A few species are pests because in their larval stages they can damage domestic crops or trees. Culturally, butterflies are a popular motif in the visual and literary arts.
Abbatiale romane Notre-Dame ; commune de Payerne, canton de Vaud, Suisse
L'abbatiale protestante Notre-Dame est un édifice religieux de la ville de Payerne. Elle est considérée comme la plus grande église romane de Suisse. Elle était, avant la Réforme, l'église de l'abbaye bénédictine de Payerne. Une partie adjacente à l'édifice - le musée - fut grandement endommagé par un incendie en 1987. L'architecture de l'abbatiale est considérée comme romane, et construite selon un schéma clunisien (XIe siècle). De nombreux éléments proviennent toutefois d'une inspiration gothique plus tardive (XVe siècle). De nombreux chapiteaux peints sont encore visibles. De nombreuses fresques des XIe et XIIe siècles habillent les murs du narthex : Christ en Croix soutenu par Dieu le père, Vierge de miséricorde, Christ du jugement dernier devant les vingt-quatre vieillards de l'Apocalypse.
(extrait de : fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_de_Payerne)
LES EXTÉRIEURS :
Les masses imposantes de l'édifice roman sont surmontées par une tour de croisée sommée d'une flèche effilée. Le massif occidental accuse deux étages, un nar-thex à l'étage bas, une chapelle dédiée à Saint-Michel en haut. Autrefois cette façade devait se terminer par deux tours comme il en a existé à Romainmôtier et comme il en subsiste à Paray-le-Monial, à Tournus et en bien d'autres édifices bourguignons. Probablement incendiées au xve siècle, ces tours ont été remplacées par le couronnement en molasse et le grand toit actuel. Le jeu de la lumière sur le petit appareil de calcaire jaune est remarquable sur la façade nord, surtout en fin d'après-midi. Cette façade est divisée par des lésènes supportant de petites arcatures, éléments qui appartiennent encore au « premier art roman ». Avec le massif occidental cette façade est la partie la plus ancienne de l'édifice actuel. Ce mur nord a subi diverses transformations, déjà au cours de la construction de l'église. Poursuivant votre promenade, vous abordez le transept puis le chevet; placez-vous au nord-est, assez loin de l'édifice et de là admirez le subtil agencement des masses du transept et des cinq absides. Il y a encore quelques hésitations et des maladresses dans les toitures des chapelles extérieures mais quelle habileté dans l'échelonnement des volumes, tant en plan qu'en élévation. La grande abside centrale est rythmée à l'étage inférieur par des contreforts à deux ressauts se transformant en colonnette appuyée à un dosseret à l'étage haut. Ces colonnes aux chapiteaux primitifs, dont certains n'ont pas été achevés, supportent de petites arcatures soutenant elles-mêmes une corniche moulurée.
Au passage, remarquez, sous la corniche de la façade sud de la chapelle méridionale un fragment de corniche romaine remployé comme console. La majeure partie des matériaux ayant servi à élever l'église sont en effet d'origine romaine. ...
Passant sous la voûte, à l'angle sud-ouest de la place ..., on traverse le bâtiment qui abritait la salle capitulaire et le dortoir, et l'on parvient dans la cour du cloître. Là, trois cloîtres successifs ont tour à tour disparu. Ils ont laissé de nombreuses traces dans le mur sud de l'église et dans le mur du bâtiment oriental du couvent. Les deux autres côtés de la cour sont occupés par des bâtiments plus récents : ... La façade ouest du croisillon sud du transept est percée d'une grande porte qui donnait autrefois accès à l'église depuis le cloître; dans le haut de cette façade, la corniche est portée par des modilIons sculptés intéressants qui sont probablement des remplois. Les toitures actuelles des bas-côtés, trop inclinées, masquent partiellement les fenêtres hautes de la nef. De plus, la forte saillie de l'avant-toit assombrit les fenêtres des bas-côtés. ... Dans son état actuel, la toiture de la nef doit dater du XVIe ou XVIIe siècle. Contre la face occidentale de la tour de croisée, un renvoi d'eau haut placé semble indiquer une toiture très élevée sur la nef, toiture peut-être prévue mais qui n'a probablement jamais existé. Les toitures du chœur et du transept sont à peu près conformes aux dispositions originales. Quant aux toits des chapelles et des absidioles, ils ont été rétablis selon leurs dispositions primitives mais malheureusement couverts de tuiles trop régulières et trop foncées. La tour de croisée prévue au XIe siècle devait être soit une tour carrée terminée par un toit à quatre pans, soit une tour octogonale semblable aux tours de Saint-Pierre de Clages ou du transept de Cluny III. Non exécutée ou détruite, elle fut remplacée au XVe siècle par la tour gothique actuelle dont la flèche, détruite par un ouragan, fut reconstruite au début du xvne siècle. Cette flèche était couverte d'écaillés de fer blanc qui, en rouillant, prennent une belle teinte brun-rouge foncé. Lors de la récente restauration, le même effet a été obtenu avec des écailles de cuivre, matériel beaucoup plus durable. Les arcatures gothiques qui décorent la flèche ont été entièrement restaurées. ...
.
L'INTÉRIEUR :
... Après avoir traversé le narthex décoré de peintures murales intéressantes remontant à la fin du XIIe ou au début de XIIIe siècle, on monte quelques marches pour passer la grande porte autrefois ornée de pentures en fer et de deux belles têtes de lion en bronze. ... La porte franchie, on s'arrêtera pour jouir de la splendeur de la nef, splendeur qui n'est due qu'à la qualité des proportions et à l'admirable jeu de matériaux. Dès l'abord, on sent que le chevet est plus récent que la nef, plus richement orné, plus clair, mais le monument n'en perd pas pour autant son admirable unité. Le raccord entre les deux étapes principales de la construction se situe entre la sixième et septième travée de la nef. ... Dix piles d'un type assez particulier (constitué d'un massif rectangulaire formant pilastres pour les doubleaux de la nef et des bas-côtés et contre lequel viennent s'accoler deux demi-colonnes correspondant aux grandes arcades) soutiennent les voûtes. Ce type de pilier se retrouve à Lomello (près de Pavie), dans la vaste église Santa Maria que Porter date de 1025 environ. La nef centrale est remarquablement élevée comparativement à sa largeur : 13 m 40 de haut pour 5 m. de largeur dans la première travée occidentale. On est bien là dans la tradition bourguignonne qui allait élever, peu après Payerne, la formidable Abbatiale de Cluny III. L'alternance des matériaux respectée strictement pour les deux premières piles occidentales (une assise de calcaire jaune succédant à une assise de grès coquille gris) devient plus libre aux piles suivantes, mais on sent là une volonté décorative. Pas de bases ; les piles sont fichées à même le dallage. Chapiteaux rudimentaires, si tant est que l'on puisse considérer comme des chapiteaux les raccords prismatiques entre les demi-colonnes et les arcs. On distingue pourtant ici et là des ébauches de décor : palmettes, animaux à deux corps. Ces chapiteaux rudimentaires rappellent les triangles qui jouent le même rôle à Lómelo, Romainmôtier et Chapaize, mais où les piles sont en petit appareil tandis qu'à Payerne elles sont exécutées en pierre de taille. Arcades et doubleaux sont à arêtes vives, à un seul rouleau. La nef est couverte d'un berceau sur doubleaux, les bas-côtés le sont par des voûtes d'arête. Les fenêtres des bas-côtés sont très haut placées; les trois premières du bas-côté nord ne sont ébrasées qu'à l'intérieur, les autres sont à double ébrasement. Les fenêtres hautes de la nef sont placées près des clefs des arcades, mais malgré cela les fenêtres viennent partiellement entailler la voûte en formant des lunettes d'un heureux effet. Dans le mur occidental de la nef un pilastre, maintenant sans utilité, atteste un premier projet de reconstruction de la nef, vite abandonné. Dans sa partie haute, le mur présente une saillie amortie en console à arêtes vives. C'est là le revers de l'abside de la chapelle Saint-Michel. Les piles recevant à l'est les arcades de la sixième travée étaient, dans le projet du premier maître d'œuvre, destinées à amorcer la croisée et probablement à porter une tour.
... Les travaux en étaient là lorsque, vers 1050, un nouveau maître d'œuvre entreprit le chevet en modifiant le plan primitif. Il ajoute aux six travées élevées par son prédécesseur une septième travée, puis développe un large transept et un chevet d'un style plus savant et plus hardi que celui de la nef. Il englobe dans les maçonneries du mur sud de sa septième travée le pilier déjà préparé pour amorcer le transept par son prédécesseur (pilier laissé apparent à l'extérieur lors de la restauration) et implante quatre nouveaux piliers plus écartés que les piles de la nef, pour supporter la tour de croisée. Dans toute la partie orientale de l'édifice, les piles sont accusées par des ressauts, et les colonnes qui apparaissent aux arcades mettant en communication le chœur avec les deux chapelles qui le flanquent ... Les arcs d'entrée des chapelles du transept sont fortement brisés, type dont l'emploi deviendra systématique dans la grande Abbatiale de saint Hugues à Cluny; les arcs de la croisée et du chœur ne le sont par contre que très faiblement.
La couverture des croisillons et de la travée droite du chœur est réalisée par de vastes voûtes d'arête de près de 60 m2 chacune. La voûte de la croisée, refaite sans doute postérieurement, est montée sur croisée d'ogives. Si la nef est pratiquement dépourvue de décorations, il n'en est pas de même du chevet. On distingue deux séries de chapiteaux très différentes l'une de l'autre : la première est formée de neufs chapiteaux assez archaïques, incorporés aux angles des croisillons et à l'entrée de la septième travée. A ce même groupe appartient en outre une base de colonne torse, engagée maintenant entre les deux fenêtres hautes de la façade sud du croisillon méridional. La seconde série comporte les douze beaux chapiteaux portés par les colonnes hautes de l'abside principale.
... Les chapiteaux de l'abside, d'un travail accompli, témoignent d'une connaissance approfondie du jeu des ombres et des lumières. La plupart d'entre eux sont simplement décoratifs. Mais le sculpteur y introduit volontiers, tout un monde. Les bêtes sont dressées à dessein pour souligner par leur verticalité l'angle du tailloir; une figure humaine comme pendue sous la volute, contraste, en son extrême douceur — presque XIIe siècle — avec la rudesse des autres figures, en particulier celle de l'homme moustachu qui transperce une chèvre, elle aussi dressée sous l'angle opposé. Au centre, deux doubles chapiteaux représentent d'une part saint Michel terrassant le dragon, qui ressemble curieusement à un poisson pris à l'hameçon, de l'autre le Christ et saint Pierre, tous deux inscrits dans une mandorle. Cette disposition, assez rare sur des chapiteaux, fait immédiatement penser aux grandes sculptures du chœur de Cluny. Le style même, quoique plus rude, est bien de la même veine que celui des figures de l'abbatiale de saint Hugues. Les chapiteaux du transept sont vraiment d'un autre esprit. A vrai dire, on y retrouve des éléments semblables (en particulier l'arc tendu qui s'épanouit en volute, et jusqu'à un trait gravé en dents de scie), ainsi que la même affection pour un décor polymorphe extrêmement touffu. Mais ici, le dessin est roi, et il multiplie les lignes parallèles comme simplement gravées : plis des vêtements, lignes sinusoïdales, arceaux entrelacés. Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant que l'on ait souvent attribu. ces chapiteaux au Xe siècle. Ils correspondent bien à ce que nous savons par ailleurs de la sculpture à cette époque. Le traitement des visages, au surplus, dont la taille est d'une finesse incomparable, use d'un canon — gros yeux ronds accrochés en binocle sur un nez triangulaire — qui n'est pas sans rappeler le chapiteau archaïque remployé (lui aussi !) au transept de Saint-Benoît-sur-Loire, ou certaines sculptures de Tournus. ... Il n'est pas beaucoup plus facile d'en déchiffrer l'iconographie. Nous nous sentons perdus comme des illettrés devant ce livre grouillant d'images. Un cerf nous évoque bien celui du psaume 42, altéré d'eaux vives. Mais que signifient ces oiseaux, ce lièvre ? Le plus énigmatique. peut-être, est celui [qui montre une] femme tenant un enfant entre ses bras [une piéta ?] [et une] figure humaine encore à moitié engloutie par un poisson ? [un Jonas ?]. Le parallélisme des obliques tracées par les corps de ce Jonas et de ce Christ (englouti dans la mort et promis à la résurrection comme Jonas) aurait en ce cas une valeur de rapprochement que l'on pourra supposer volontaire. Ce thème du Nouveau Testament venant accomplir l'Ancien se retrouve en tous cas d'une façon tout à fait claire dans le plus fameux de ces chapiteaux. Les quatre figures juchées sur quatre autres têtes — ce qui permet un jeu savant des huit mains — représentent les quatre évangélistes portés par les quatre prophètes, ... Quant à la règle de saint Benoît, elle se trouve glorifiée, en ce prieuré clunisien, sur un chapiteau du croisillon sud. Au centre, un abbé, avec la crosse, ce qui n'a rien d'extraordinaire, mais marqué au front d'une croix, ce qui l'est davantage. Est-ce une allusion à la définition donnée par la Règle : « L'Abbé tient lieu du Christ dans le monastère » ? Ainsi l'entendent du moins les quatre moines qui l'entourent et suivent son enseignement, tenant, comme lui, un livre — la Règle — sur leur poitrine. Ainsi prémunis, ils foulent aux pieds (littéralement) deux espèces de bassets débonnaires qui pourraient bien être l'illustration de ce verset du psaume 90 : « Tu marcheras sur l'aspic et le basilic, et tu écraseras le lion et le dragon », toutes bêtes démoniaques. Que signifie alors la tête perchée au-dessus de l'abbé, qui évoque un ange, la ligne ondulée, figure classique de l'eau vive, et ces grappes (que l'on retrouve aussi sur le chapiteau mystérieux ? Ce n'est pas tellement différent de ce que l'on retrouvera de part et d'autre du Christ, en haut du tympan de Vézelay : symbole des fleuves vivifiants de la doctrine (prêchée par l'abbé), et des fruits qu'ils produisent. Tout cela, il est vrai, reste bien conjectural. Ce qui ne l'est point, c'est la plénitude plastique de ces visages, surtout dans le chapiteau des évangélistes. On peut bien leur opposer la truculence et la grossièreté voulue de la triple figure qui orne la base réemployée dans ce même croisillon sud. Il semble vraiment bien difficile d'y voir une trinité ! Prodigieuse variété d'un art, d'apparence, démuni de moyens.
La peinture murale reste représentée à Payerne, à côté d'œuvres mineures par deux ensembles, l'un de la fin du XIIe ou du début du XIIIe siècle, dans le narthex, l'autre de la seconde moitié du XVe, dans la deuxième chapelle du croisillon sud.
LES PEINTURES DU NARTHEX :
Autrefois les murs et les voûtes étaient sans doute entièrement couverts de peintures. Au début du XIXe siècle, l'aménagement d'une prison dans cette partie de l'édifice a fait disparaître les enduits de la partie inférieure des murs; au même moment la voûte de la travée centrale fut détruite, pour laisser place à un escalier ; enfin des fenêtres sont venues éventrer les voûtes des travées extrêmes. Les peintures qui nous sont parvenues sont donc seulement des restes mutilés, heureusement encore importants, mais qui ont, au surplus, subi une restauration excessive. Sur le mur nord, le Christ de majesté trône entre deux séraphins. On distingue encore à l'angle inférieur droit quelques fragments de la Jérusalem céleste. Sur le berceau de la travée nord du narthex, les vingt-quatre vieillards, assis deux par deux sur des trônes, louent le Seigneur. Le registre inférieur présentait un jugement dernier, il en subsiste un saint Michel pesant les âmes, quelques diables maltraitant des damnés et, sur le mur opposé, les trois patriaches Abraham, Isaac et Jacob, trônant sous des arbres, Abraham tenant les élus sur son sein suivant une représentation fréquente au Moyen-Age. Dans la travée sud, le Christ de majesté est encadré par la Vierge et Jean-Baptiste. Les douze Apôtres occupent la partie inférieure de la voûte; quelques visages sont encore bien conservés.
(extrait de : Suisse romane ; André Burmeister et al., Ed. du Zodiaque (1958), Coll. La Nuit des Temps, pp. 57-67)
[Colobopsis Mayr 1861: 96+†0 (IT: 2+†0) spp]
Conspecific parapatric ☿, sx side; conspecific parapatric ♂♂, dorsal habitus and sx side.
Parabiotic of Camponotus lateralis, Crematogaster scutellaris, Lasius lasioides, Messor minor, Messor wasmanni, Solenopsis fugax.
Camponotus is an extremely large and complex, globally distributed genus. At present, nearly 500 sspp belonging to 45 sgg have been described and it could well be the largest ant genus of all. The enormous species richness, high levels of intraspecific and geographic variation and polymorphism render the taxonomy of Camponotus one of the most complex and difficult. Revisionary studies are generally confined to species groups and/or small geographical regions. These ants live in a variety of habitats and microhabitats and the sheer size of the genus makes any characterisation of their biology challenging. Nests are built in the ground, in rotten branches or twigs, or rarely into living wood and most spp possess a highly generalistic diet. Since 1889, Colobopsis has been used as a subgenus to include those Camponotus spp with sharply truncated heads in soldier ☿☿, as well as spp in which the anterior truncated surface of the head in major ☿☿ and in ♀♀ is distinctly marginate and in which even the mandibles have a sharp external ridge separating an anterior from a lateroventral face. In these spp the head presents a peculiar sculpture consisting of umbilicate punctures and there is an absence of a cocoon in the pupal stages of all the phases.
REFERENCES
P. Klimeš & al. 2022: Camponotini phylogeny.
Abbatiale romane Notre-Dame ; commune de Payerne, canton de Vaud, Suisse
L'abbatiale protestante Notre-Dame est un édifice religieux de la ville de Payerne. Elle est considérée comme la plus grande église romane de Suisse. Elle était, avant la Réforme, l'église de l'abbaye bénédictine de Payerne. Une partie adjacente à l'édifice - le musée - fut grandement endommagé par un incendie en 1987. L'architecture de l'abbatiale est considérée comme romane, et construite selon un schéma clunisien (XIe siècle). De nombreux éléments proviennent toutefois d'une inspiration gothique plus tardive (XVe siècle). De nombreux chapiteaux peints sont encore visibles. De nombreuses fresques des XIe et XIIe siècles habillent les murs du narthex : Christ en Croix soutenu par Dieu le père, Vierge de miséricorde, Christ du jugement dernier devant les vingt-quatre vieillards de l'Apocalypse.
(extrait de : fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_de_Payerne)
LES EXTÉRIEURS :
Les masses imposantes de l'édifice roman sont surmontées par une tour de croisée sommée d'une flèche effilée. Le massif occidental accuse deux étages, un nar-thex à l'étage bas, une chapelle dédiée à Saint-Michel en haut. Autrefois cette façade devait se terminer par deux tours comme il en a existé à Romainmôtier et comme il en subsiste à Paray-le-Monial, à Tournus et en bien d'autres édifices bourguignons. Probablement incendiées au xve siècle, ces tours ont été remplacées par le couronnement en molasse et le grand toit actuel. Le jeu de la lumière sur le petit appareil de calcaire jaune est remarquable sur la façade nord, surtout en fin d'après-midi. Cette façade est divisée par des lésènes supportant de petites arcatures, éléments qui appartiennent encore au « premier art roman ». Avec le massif occidental cette façade est la partie la plus ancienne de l'édifice actuel. Ce mur nord a subi diverses transformations, déjà au cours de la construction de l'église. Poursuivant votre promenade, vous abordez le transept puis le chevet; placez-vous au nord-est, assez loin de l'édifice et de là admirez le subtil agencement des masses du transept et des cinq absides. Il y a encore quelques hésitations et des maladresses dans les toitures des chapelles extérieures mais quelle habileté dans l'échelonnement des volumes, tant en plan qu'en élévation. La grande abside centrale est rythmée à l'étage inférieur par des contreforts à deux ressauts se transformant en colonnette appuyée à un dosseret à l'étage haut. Ces colonnes aux chapiteaux primitifs, dont certains n'ont pas été achevés, supportent de petites arcatures soutenant elles-mêmes une corniche moulurée.
Au passage, remarquez, sous la corniche de la façade sud de la chapelle méridionale un fragment de corniche romaine remployé comme console. La majeure partie des matériaux ayant servi à élever l'église sont en effet d'origine romaine. ...
Passant sous la voûte, à l'angle sud-ouest de la place ..., on traverse le bâtiment qui abritait la salle capitulaire et le dortoir, et l'on parvient dans la cour du cloître. Là, trois cloîtres successifs ont tour à tour disparu. Ils ont laissé de nombreuses traces dans le mur sud de l'église et dans le mur du bâtiment oriental du couvent. Les deux autres côtés de la cour sont occupés par des bâtiments plus récents : ... La façade ouest du croisillon sud du transept est percée d'une grande porte qui donnait autrefois accès à l'église depuis le cloître; dans le haut de cette façade, la corniche est portée par des modilIons sculptés intéressants qui sont probablement des remplois. Les toitures actuelles des bas-côtés, trop inclinées, masquent partiellement les fenêtres hautes de la nef. De plus, la forte saillie de l'avant-toit assombrit les fenêtres des bas-côtés. ... Dans son état actuel, la toiture de la nef doit dater du XVIe ou XVIIe siècle. Contre la face occidentale de la tour de croisée, un renvoi d'eau haut placé semble indiquer une toiture très élevée sur la nef, toiture peut-être prévue mais qui n'a probablement jamais existé. Les toitures du chœur et du transept sont à peu près conformes aux dispositions originales. Quant aux toits des chapelles et des absidioles, ils ont été rétablis selon leurs dispositions primitives mais malheureusement couverts de tuiles trop régulières et trop foncées. La tour de croisée prévue au XIe siècle devait être soit une tour carrée terminée par un toit à quatre pans, soit une tour octogonale semblable aux tours de Saint-Pierre de Clages ou du transept de Cluny III. Non exécutée ou détruite, elle fut remplacée au XVe siècle par la tour gothique actuelle dont la flèche, détruite par un ouragan, fut reconstruite au début du xvne siècle. Cette flèche était couverte d'écaillés de fer blanc qui, en rouillant, prennent une belle teinte brun-rouge foncé. Lors de la récente restauration, le même effet a été obtenu avec des écailles de cuivre, matériel beaucoup plus durable. Les arcatures gothiques qui décorent la flèche ont été entièrement restaurées. ...
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L'INTÉRIEUR :
... Après avoir traversé le narthex décoré de peintures murales intéressantes remontant à la fin du XIIe ou au début de XIIIe siècle, on monte quelques marches pour passer la grande porte autrefois ornée de pentures en fer et de deux belles têtes de lion en bronze. ... La porte franchie, on s'arrêtera pour jouir de la splendeur de la nef, splendeur qui n'est due qu'à la qualité des proportions et à l'admirable jeu de matériaux. Dès l'abord, on sent que le chevet est plus récent que la nef, plus richement orné, plus clair, mais le monument n'en perd pas pour autant son admirable unité. Le raccord entre les deux étapes principales de la construction se situe entre la sixième et septième travée de la nef. ... Dix piles d'un type assez particulier (constitué d'un massif rectangulaire formant pilastres pour les doubleaux de la nef et des bas-côtés et contre lequel viennent s'accoler deux demi-colonnes correspondant aux grandes arcades) soutiennent les voûtes. Ce type de pilier se retrouve à Lomello (près de Pavie), dans la vaste église Santa Maria que Porter date de 1025 environ. La nef centrale est remarquablement élevée comparativement à sa largeur : 13 m 40 de haut pour 5 m. de largeur dans la première travée occidentale. On est bien là dans la tradition bourguignonne qui allait élever, peu après Payerne, la formidable Abbatiale de Cluny III. L'alternance des matériaux respectée strictement pour les deux premières piles occidentales (une assise de calcaire jaune succédant à une assise de grès coquille gris) devient plus libre aux piles suivantes, mais on sent là une volonté décorative. Pas de bases ; les piles sont fichées à même le dallage. Chapiteaux rudimentaires, si tant est que l'on puisse considérer comme des chapiteaux les raccords prismatiques entre les demi-colonnes et les arcs. On distingue pourtant ici et là des ébauches de décor : palmettes, animaux à deux corps. Ces chapiteaux rudimentaires rappellent les triangles qui jouent le même rôle à Lómelo, Romainmôtier et Chapaize, mais où les piles sont en petit appareil tandis qu'à Payerne elles sont exécutées en pierre de taille. Arcades et doubleaux sont à arêtes vives, à un seul rouleau. La nef est couverte d'un berceau sur doubleaux, les bas-côtés le sont par des voûtes d'arête. Les fenêtres des bas-côtés sont très haut placées; les trois premières du bas-côté nord ne sont ébrasées qu'à l'intérieur, les autres sont à double ébrasement. Les fenêtres hautes de la nef sont placées près des clefs des arcades, mais malgré cela les fenêtres viennent partiellement entailler la voûte en formant des lunettes d'un heureux effet. Dans le mur occidental de la nef un pilastre, maintenant sans utilité, atteste un premier projet de reconstruction de la nef, vite abandonné. Dans sa partie haute, le mur présente une saillie amortie en console à arêtes vives. C'est là le revers de l'abside de la chapelle Saint-Michel. Les piles recevant à l'est les arcades de la sixième travée étaient, dans le projet du premier maître d'œuvre, destinées à amorcer la croisée et probablement à porter une tour.
... Les travaux en étaient là lorsque, vers 1050, un nouveau maître d'œuvre entreprit le chevet en modifiant le plan primitif. Il ajoute aux six travées élevées par son prédécesseur une septième travée, puis développe un large transept et un chevet d'un style plus savant et plus hardi que celui de la nef. Il englobe dans les maçonneries du mur sud de sa septième travée le pilier déjà préparé pour amorcer le transept par son prédécesseur (pilier laissé apparent à l'extérieur lors de la restauration) et implante quatre nouveaux piliers plus écartés que les piles de la nef, pour supporter la tour de croisée. Dans toute la partie orientale de l'édifice, les piles sont accusées par des ressauts, et les colonnes qui apparaissent aux arcades mettant en communication le chœur avec les deux chapelles qui le flanquent ... Les arcs d'entrée des chapelles du transept sont fortement brisés, type dont l'emploi deviendra systématique dans la grande Abbatiale de saint Hugues à Cluny; les arcs de la croisée et du chœur ne le sont par contre que très faiblement.
La couverture des croisillons et de la travée droite du chœur est réalisée par de vastes voûtes d'arête de près de 60 m2 chacune. La voûte de la croisée, refaite sans doute postérieurement, est montée sur croisée d'ogives. Si la nef est pratiquement dépourvue de décorations, il n'en est pas de même du chevet. On distingue deux séries de chapiteaux très différentes l'une de l'autre : la première est formée de neufs chapiteaux assez archaïques, incorporés aux angles des croisillons et à l'entrée de la septième travée. A ce même groupe appartient en outre une base de colonne torse, engagée maintenant entre les deux fenêtres hautes de la façade sud du croisillon méridional. La seconde série comporte les douze beaux chapiteaux portés par les colonnes hautes de l'abside principale.
... Les chapiteaux de l'abside, d'un travail accompli, témoignent d'une connaissance approfondie du jeu des ombres et des lumières. La plupart d'entre eux sont simplement décoratifs. Mais le sculpteur y introduit volontiers, tout un monde. Les bêtes sont dressées à dessein pour souligner par leur verticalité l'angle du tailloir; une figure humaine comme pendue sous la volute, contraste, en son extrême douceur — presque XIIe siècle — avec la rudesse des autres figures, en particulier celle de l'homme moustachu qui transperce une chèvre, elle aussi dressée sous l'angle opposé. Au centre, deux doubles chapiteaux représentent d'une part saint Michel terrassant le dragon, qui ressemble curieusement à un poisson pris à l'hameçon, de l'autre le Christ et saint Pierre, tous deux inscrits dans une mandorle. Cette disposition, assez rare sur des chapiteaux, fait immédiatement penser aux grandes sculptures du chœur de Cluny. Le style même, quoique plus rude, est bien de la même veine que celui des figures de l'abbatiale de saint Hugues. Les chapiteaux du transept sont vraiment d'un autre esprit. A vrai dire, on y retrouve des éléments semblables (en particulier l'arc tendu qui s'épanouit en volute, et jusqu'à un trait gravé en dents de scie), ainsi que la même affection pour un décor polymorphe extrêmement touffu. Mais ici, le dessin est roi, et il multiplie les lignes parallèles comme simplement gravées : plis des vêtements, lignes sinusoïdales, arceaux entrelacés. Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant que l'on ait souvent attribu. ces chapiteaux au Xe siècle. Ils correspondent bien à ce que nous savons par ailleurs de la sculpture à cette époque. Le traitement des visages, au surplus, dont la taille est d'une finesse incomparable, use d'un canon — gros yeux ronds accrochés en binocle sur un nez triangulaire — qui n'est pas sans rappeler le chapiteau archaïque remployé (lui aussi !) au transept de Saint-Benoît-sur-Loire, ou certaines sculptures de Tournus. ... Il n'est pas beaucoup plus facile d'en déchiffrer l'iconographie. Nous nous sentons perdus comme des illettrés devant ce livre grouillant d'images. Un cerf nous évoque bien celui du psaume 42, altéré d'eaux vives. Mais que signifient ces oiseaux, ce lièvre ? Le plus énigmatique. peut-être, est celui [qui montre une] femme tenant un enfant entre ses bras [une piéta ?] [et une] figure humaine encore à moitié engloutie par un poisson ? [un Jonas ?]. Le parallélisme des obliques tracées par les corps de ce Jonas et de ce Christ (englouti dans la mort et promis à la résurrection comme Jonas) aurait en ce cas une valeur de rapprochement que l'on pourra supposer volontaire. Ce thème du Nouveau Testament venant accomplir l'Ancien se retrouve en tous cas d'une façon tout à fait claire dans le plus fameux de ces chapiteaux. Les quatre figures juchées sur quatre autres têtes — ce qui permet un jeu savant des huit mains — représentent les quatre évangélistes portés par les quatre prophètes, ... Quant à la règle de saint Benoît, elle se trouve glorifiée, en ce prieuré clunisien, sur un chapiteau du croisillon sud. Au centre, un abbé, avec la crosse, ce qui n'a rien d'extraordinaire, mais marqué au front d'une croix, ce qui l'est davantage. Est-ce une allusion à la définition donnée par la Règle : « L'Abbé tient lieu du Christ dans le monastère » ? Ainsi l'entendent du moins les quatre moines qui l'entourent et suivent son enseignement, tenant, comme lui, un livre — la Règle — sur leur poitrine. Ainsi prémunis, ils foulent aux pieds (littéralement) deux espèces de bassets débonnaires qui pourraient bien être l'illustration de ce verset du psaume 90 : « Tu marcheras sur l'aspic et le basilic, et tu écraseras le lion et le dragon », toutes bêtes démoniaques. Que signifie alors la tête perchée au-dessus de l'abbé, qui évoque un ange, la ligne ondulée, figure classique de l'eau vive, et ces grappes (que l'on retrouve aussi sur le chapiteau mystérieux ? Ce n'est pas tellement différent de ce que l'on retrouvera de part et d'autre du Christ, en haut du tympan de Vézelay : symbole des fleuves vivifiants de la doctrine (prêchée par l'abbé), et des fruits qu'ils produisent. Tout cela, il est vrai, reste bien conjectural. Ce qui ne l'est point, c'est la plénitude plastique de ces visages, surtout dans le chapiteau des évangélistes. On peut bien leur opposer la truculence et la grossièreté voulue de la triple figure qui orne la base réemployée dans ce même croisillon sud. Il semble vraiment bien difficile d'y voir une trinité ! Prodigieuse variété d'un art, d'apparence, démuni de moyens.
La peinture murale reste représentée à Payerne, à côté d'œuvres mineures par deux ensembles, l'un de la fin du XIIe ou du début du XIIIe siècle, dans le narthex, l'autre de la seconde moitié du XVe, dans la deuxième chapelle du croisillon sud.
LES PEINTURES DU NARTHEX :
Autrefois les murs et les voûtes étaient sans doute entièrement couverts de peintures. Au début du XIXe siècle, l'aménagement d'une prison dans cette partie de l'édifice a fait disparaître les enduits de la partie inférieure des murs; au même moment la voûte de la travée centrale fut détruite, pour laisser place à un escalier ; enfin des fenêtres sont venues éventrer les voûtes des travées extrêmes. Les peintures qui nous sont parvenues sont donc seulement des restes mutilés, heureusement encore importants, mais qui ont, au surplus, subi une restauration excessive. Sur le mur nord, le Christ de majesté trône entre deux séraphins. On distingue encore à l'angle inférieur droit quelques fragments de la Jérusalem céleste. Sur le berceau de la travée nord du narthex, les vingt-quatre vieillards, assis deux par deux sur des trônes, louent le Seigneur. Le registre inférieur présentait un jugement dernier, il en subsiste un saint Michel pesant les âmes, quelques diables maltraitant des damnés et, sur le mur opposé, les trois patriaches Abraham, Isaac et Jacob, trônant sous des arbres, Abraham tenant les élus sur son sein suivant une représentation fréquente au Moyen-Age. Dans la travée sud, le Christ de majesté est encadré par la Vierge et Jean-Baptiste. Les douze Apôtres occupent la partie inférieure de la voûte; quelques visages sont encore bien conservés.
(extrait de : Suisse romane ; André Burmeister et al., Ed. du Zodiaque (1958), Coll. La Nuit des Temps, pp. 57-67)
The Danaid Eggfly shows female-limited mimetic polymorphism in Batesian mimicry. Here the two different forms of Danaid Eggfly Females are shown. ( See the comments )
The top one is in more common form ,known as Misippus form
The second one is known as Inaria ,shown below in comments of this picture
In short, they both are Danaid Eggfly (females) but in different forms.
They show female-limited polymorphism in Batesian mimicry. Hypolimnas misippus: across western India and Africa, males are monomorphic and nonmimetic whereas females are trimorphic, each mimicking a different form of the model, Danaus chrysippus. There are no male-like nonmimetic females in this species (Ford 1975; Smith 1984; Wynter-Blyth 1957).
For further Reading :
Dolls Rendezvous Paris Doll Show was so fun! Thank you everyone who came to say hi! I felt so welcome! And special thanks to Sigfrid and Darek, and to the mysterious lady and her adorable custom violet (sorry, I am terrible for names, contact me, I wish to befriend you :D)
Sweet Becky, my Aileendoll bunny dragon nanny is angry at me because I could not take her out for the Paris Doll Show to meet all the dragons! I am sorry Becky, next time, you will be on the booth!
Diamond from Sierra Leone, West Africa. (public display, Carnegie Museum of Natural History, Pittsburgh, Pennsylvania, USA)
A mineral is a naturally-occurring, solid, inorganic, crystalline substance having a fairly definite chemical composition and having fairly definite physical properties. At its simplest, a mineral is a naturally-occurring solid chemical. Currently, there are over 5200 named and described minerals - about 200 of them are common and about 20 of them are very common. Mineral classification is based on anion chemistry. Major categories of minerals are: elements, sulfides, oxides, halides, carbonates, sulfates, phosphates, and silicates.
Elements are fundamental substances of matter - matter that is composed of the same types of atoms. At present, 118 elements are known (four of them are still unnamed). Of these, 98 occur naturally on Earth (hydrogen to californium). Most of these occur in rocks & minerals, although some occur in very small, trace amounts. Only some elements occur in their native elemental state as minerals.
To find a native element in nature, it must be relatively non-reactive and there must be some concentration process. Metallic, semimetallic (metalloid), and nonmetallic elements are known in their native state.
The element carbon occurs principally in its native state as graphite (C) and diamond (C). Graphite is the common & far less valuable polymorph of carbon. A scarce polymorph of carbon is diamond. The physical properties of diamond and graphite couldn’t be more different, considering they have the same chemistry. Diamond has a nonmetallic, adamantine luster, typically occurs in cubic or octahedral (double-pyramid) crystals, or subspherical to irregularly-shaped masses, and is extremely hard (H≡10). Diamonds can be almost any color, but are typically clearish, grayish, or yellowish. Many diamonds are noticeably fluorescent under black light (ultraviolet light), but the color and intensity of fluorescence varies. Some diamonds are phosphorescent - under certain conditions, they glow for a short interval on their own.
Very rarely, diamond is a rock-forming mineral (see diamondite - www.flickr.com/photos/jsjgeology/14618393527).
The specimen shown above is a natural (rough) diamond crystal from Sierra Leone in western Africa. Many diamond crystals have a triangular shape like this - they are referred to as macles.
11:06 am CEST -> El misterio de Cepaea nemoralis. El patrón de coloración de la concha, determinado genéticamente, es muy variable, tanto para el color de fondo (marrón, amarillo, rosa) como para la presencia de bandas oscuras y la anchura e intensidad de estas. El número de bandas puede variar entre 0 y 5. El control del color y patrón de bandeo está asociado a diferentes locus, pero el significado evolutivo de este polimorfismo aún no esta claro. Entre las hipótesis propuestas, la que lo vincula al riesgo de depredación parece bastante sólida. Conchas de color pálido, rosáceo y sin bandas son más frecuentes en bosques y hábitats umbríos, mientras que los diseños listados y fondos amarillos suelen estar asociados a prados y zonas abiertas, lo que podría implicar una respuesta a la presencia de depredadores visuales. También se ha sugerido que esa variabilidad podría estar ligada al ambiente térmico y tener algún papel en la termorregulación.
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11:06 am CEST -> Cepaea nemoralis, a mystery. The colour pattern of the grove snail is highly variable. Background colors are yellow, pink, red, pale brown and dark brown. In addition, they show different banding designg, from unbanded to multiple bands forms. Background colours and the banding design is controlled by different genes, but the evolutionary significance of such variability remains a matter of debate. One of the more sound hypothesis is that this polymorphism is associated to predation risk by visual predators. The spatial distribution of banded and unbanded forms, differing among habitats, suggests it might be related to the abundance of specific predators. Other hypotheses point to differences in the thermal environment along altitudinal and latitudinal gradients, and a role in the process of thermorregulation.
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About genetics of banded snails
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Abbatiale romane Notre-Dame ; commune de Payerne, canton de Vaud, Suisse
L'abbatiale protestante Notre-Dame est un édifice religieux de la ville de Payerne. Elle est considérée comme la plus grande église romane de Suisse. Elle était, avant la Réforme, l'église de l'abbaye bénédictine de Payerne. Une partie adjacente à l'édifice - le musée - fut grandement endommagé par un incendie en 1987. L'architecture de l'abbatiale est considérée comme romane, et construite selon un schéma clunisien (XIe siècle). De nombreux éléments proviennent toutefois d'une inspiration gothique plus tardive (XVe siècle). De nombreux chapiteaux peints sont encore visibles. De nombreuses fresques des XIe et XIIe siècles habillent les murs du narthex : Christ en Croix soutenu par Dieu le père, Vierge de miséricorde, Christ du jugement dernier devant les vingt-quatre vieillards de l'Apocalypse.
(extrait de : fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_de_Payerne)
LES EXTÉRIEURS :
Les masses imposantes de l'édifice roman sont surmontées par une tour de croisée sommée d'une flèche effilée. Le massif occidental accuse deux étages, un nar-thex à l'étage bas, une chapelle dédiée à Saint-Michel en haut. Autrefois cette façade devait se terminer par deux tours comme il en a existé à Romainmôtier et comme il en subsiste à Paray-le-Monial, à Tournus et en bien d'autres édifices bourguignons. Probablement incendiées au xve siècle, ces tours ont été remplacées par le couronnement en molasse et le grand toit actuel. Le jeu de la lumière sur le petit appareil de calcaire jaune est remarquable sur la façade nord, surtout en fin d'après-midi. Cette façade est divisée par des lésènes supportant de petites arcatures, éléments qui appartiennent encore au « premier art roman ». Avec le massif occidental cette façade est la partie la plus ancienne de l'édifice actuel. Ce mur nord a subi diverses transformations, déjà au cours de la construction de l'église. Poursuivant votre promenade, vous abordez le transept puis le chevet; placez-vous au nord-est, assez loin de l'édifice et de là admirez le subtil agencement des masses du transept et des cinq absides. Il y a encore quelques hésitations et des maladresses dans les toitures des chapelles extérieures mais quelle habileté dans l'échelonnement des volumes, tant en plan qu'en élévation. La grande abside centrale est rythmée à l'étage inférieur par des contreforts à deux ressauts se transformant en colonnette appuyée à un dosseret à l'étage haut. Ces colonnes aux chapiteaux primitifs, dont certains n'ont pas été achevés, supportent de petites arcatures soutenant elles-mêmes une corniche moulurée.
Au passage, remarquez, sous la corniche de la façade sud de la chapelle méridionale un fragment de corniche romaine remployé comme console. La majeure partie des matériaux ayant servi à élever l'église sont en effet d'origine romaine. ...
Passant sous la voûte, à l'angle sud-ouest de la place ..., on traverse le bâtiment qui abritait la salle capitulaire et le dortoir, et l'on parvient dans la cour du cloître. Là, trois cloîtres successifs ont tour à tour disparu. Ils ont laissé de nombreuses traces dans le mur sud de l'église et dans le mur du bâtiment oriental du couvent. Les deux autres côtés de la cour sont occupés par des bâtiments plus récents : ... La façade ouest du croisillon sud du transept est percée d'une grande porte qui donnait autrefois accès à l'église depuis le cloître; dans le haut de cette façade, la corniche est portée par des modilIons sculptés intéressants qui sont probablement des remplois. Les toitures actuelles des bas-côtés, trop inclinées, masquent partiellement les fenêtres hautes de la nef. De plus, la forte saillie de l'avant-toit assombrit les fenêtres des bas-côtés. ... Dans son état actuel, la toiture de la nef doit dater du XVIe ou XVIIe siècle. Contre la face occidentale de la tour de croisée, un renvoi d'eau haut placé semble indiquer une toiture très élevée sur la nef, toiture peut-être prévue mais qui n'a probablement jamais existé. Les toitures du chœur et du transept sont à peu près conformes aux dispositions originales. Quant aux toits des chapelles et des absidioles, ils ont été rétablis selon leurs dispositions primitives mais malheureusement couverts de tuiles trop régulières et trop foncées. La tour de croisée prévue au XIe siècle devait être soit une tour carrée terminée par un toit à quatre pans, soit une tour octogonale semblable aux tours de Saint-Pierre de Clages ou du transept de Cluny III. Non exécutée ou détruite, elle fut remplacée au XVe siècle par la tour gothique actuelle dont la flèche, détruite par un ouragan, fut reconstruite au début du xvne siècle. Cette flèche était couverte d'écaillés de fer blanc qui, en rouillant, prennent une belle teinte brun-rouge foncé. Lors de la récente restauration, le même effet a été obtenu avec des écailles de cuivre, matériel beaucoup plus durable. Les arcatures gothiques qui décorent la flèche ont été entièrement restaurées. ...
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L'INTÉRIEUR :
... Après avoir traversé le narthex décoré de peintures murales intéressantes remontant à la fin du XIIe ou au début de XIIIe siècle, on monte quelques marches pour passer la grande porte autrefois ornée de pentures en fer et de deux belles têtes de lion en bronze. ... La porte franchie, on s'arrêtera pour jouir de la splendeur de la nef, splendeur qui n'est due qu'à la qualité des proportions et à l'admirable jeu de matériaux. Dès l'abord, on sent que le chevet est plus récent que la nef, plus richement orné, plus clair, mais le monument n'en perd pas pour autant son admirable unité. Le raccord entre les deux étapes principales de la construction se situe entre la sixième et septième travée de la nef. ... Dix piles d'un type assez particulier (constitué d'un massif rectangulaire formant pilastres pour les doubleaux de la nef et des bas-côtés et contre lequel viennent s'accoler deux demi-colonnes correspondant aux grandes arcades) soutiennent les voûtes. Ce type de pilier se retrouve à Lomello (près de Pavie), dans la vaste église Santa Maria que Porter date de 1025 environ. La nef centrale est remarquablement élevée comparativement à sa largeur : 13 m 40 de haut pour 5 m. de largeur dans la première travée occidentale. On est bien là dans la tradition bourguignonne qui allait élever, peu après Payerne, la formidable Abbatiale de Cluny III. L'alternance des matériaux respectée strictement pour les deux premières piles occidentales (une assise de calcaire jaune succédant à une assise de grès coquille gris) devient plus libre aux piles suivantes, mais on sent là une volonté décorative. Pas de bases ; les piles sont fichées à même le dallage. Chapiteaux rudimentaires, si tant est que l'on puisse considérer comme des chapiteaux les raccords prismatiques entre les demi-colonnes et les arcs. On distingue pourtant ici et là des ébauches de décor : palmettes, animaux à deux corps. Ces chapiteaux rudimentaires rappellent les triangles qui jouent le même rôle à Lómelo, Romainmôtier et Chapaize, mais où les piles sont en petit appareil tandis qu'à Payerne elles sont exécutées en pierre de taille. Arcades et doubleaux sont à arêtes vives, à un seul rouleau. La nef est couverte d'un berceau sur doubleaux, les bas-côtés le sont par des voûtes d'arête. Les fenêtres des bas-côtés sont très haut placées; les trois premières du bas-côté nord ne sont ébrasées qu'à l'intérieur, les autres sont à double ébrasement. Les fenêtres hautes de la nef sont placées près des clefs des arcades, mais malgré cela les fenêtres viennent partiellement entailler la voûte en formant des lunettes d'un heureux effet. Dans le mur occidental de la nef un pilastre, maintenant sans utilité, atteste un premier projet de reconstruction de la nef, vite abandonné. Dans sa partie haute, le mur présente une saillie amortie en console à arêtes vives. C'est là le revers de l'abside de la chapelle Saint-Michel. Les piles recevant à l'est les arcades de la sixième travée étaient, dans le projet du premier maître d'œuvre, destinées à amorcer la croisée et probablement à porter une tour.
... Les travaux en étaient là lorsque, vers 1050, un nouveau maître d'œuvre entreprit le chevet en modifiant le plan primitif. Il ajoute aux six travées élevées par son prédécesseur une septième travée, puis développe un large transept et un chevet d'un style plus savant et plus hardi que celui de la nef. Il englobe dans les maçonneries du mur sud de sa septième travée le pilier déjà préparé pour amorcer le transept par son prédécesseur (pilier laissé apparent à l'extérieur lors de la restauration) et implante quatre nouveaux piliers plus écartés que les piles de la nef, pour supporter la tour de croisée. Dans toute la partie orientale de l'édifice, les piles sont accusées par des ressauts, et les colonnes qui apparaissent aux arcades mettant en communication le chœur avec les deux chapelles qui le flanquent ... Les arcs d'entrée des chapelles du transept sont fortement brisés, type dont l'emploi deviendra systématique dans la grande Abbatiale de saint Hugues à Cluny; les arcs de la croisée et du chœur ne le sont par contre que très faiblement.
La couverture des croisillons et de la travée droite du chœur est réalisée par de vastes voûtes d'arête de près de 60 m2 chacune. La voûte de la croisée, refaite sans doute postérieurement, est montée sur croisée d'ogives. Si la nef est pratiquement dépourvue de décorations, il n'en est pas de même du chevet. On distingue deux séries de chapiteaux très différentes l'une de l'autre : la première est formée de neufs chapiteaux assez archaïques, incorporés aux angles des croisillons et à l'entrée de la septième travée. A ce même groupe appartient en outre une base de colonne torse, engagée maintenant entre les deux fenêtres hautes de la façade sud du croisillon méridional. La seconde série comporte les douze beaux chapiteaux portés par les colonnes hautes de l'abside principale.
... Les chapiteaux de l'abside, d'un travail accompli, témoignent d'une connaissance approfondie du jeu des ombres et des lumières. La plupart d'entre eux sont simplement décoratifs. Mais le sculpteur y introduit volontiers, tout un monde. Les bêtes sont dressées à dessein pour souligner par leur verticalité l'angle du tailloir; une figure humaine comme pendue sous la volute, contraste, en son extrême douceur — presque XIIe siècle — avec la rudesse des autres figures, en particulier celle de l'homme moustachu qui transperce une chèvre, elle aussi dressée sous l'angle opposé. Au centre, deux doubles chapiteaux représentent d'une part saint Michel terrassant le dragon, qui ressemble curieusement à un poisson pris à l'hameçon, de l'autre le Christ et saint Pierre, tous deux inscrits dans une mandorle. Cette disposition, assez rare sur des chapiteaux, fait immédiatement penser aux grandes sculptures du chœur de Cluny. Le style même, quoique plus rude, est bien de la même veine que celui des figures de l'abbatiale de saint Hugues. Les chapiteaux du transept sont vraiment d'un autre esprit. A vrai dire, on y retrouve des éléments semblables (en particulier l'arc tendu qui s'épanouit en volute, et jusqu'à un trait gravé en dents de scie), ainsi que la même affection pour un décor polymorphe extrêmement touffu. Mais ici, le dessin est roi, et il multiplie les lignes parallèles comme simplement gravées : plis des vêtements, lignes sinusoïdales, arceaux entrelacés. Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant que l'on ait souvent attribu. ces chapiteaux au Xe siècle. Ils correspondent bien à ce que nous savons par ailleurs de la sculpture à cette époque. Le traitement des visages, au surplus, dont la taille est d'une finesse incomparable, use d'un canon — gros yeux ronds accrochés en binocle sur un nez triangulaire — qui n'est pas sans rappeler le chapiteau archaïque remployé (lui aussi !) au transept de Saint-Benoît-sur-Loire, ou certaines sculptures de Tournus. ... Il n'est pas beaucoup plus facile d'en déchiffrer l'iconographie. Nous nous sentons perdus comme des illettrés devant ce livre grouillant d'images. Un cerf nous évoque bien celui du psaume 42, altéré d'eaux vives. Mais que signifient ces oiseaux, ce lièvre ? Le plus énigmatique. peut-être, est celui [qui montre une] femme tenant un enfant entre ses bras [une piéta ?] [et une] figure humaine encore à moitié engloutie par un poisson ? [un Jonas ?]. Le parallélisme des obliques tracées par les corps de ce Jonas et de ce Christ (englouti dans la mort et promis à la résurrection comme Jonas) aurait en ce cas une valeur de rapprochement que l'on pourra supposer volontaire. Ce thème du Nouveau Testament venant accomplir l'Ancien se retrouve en tous cas d'une façon tout à fait claire dans le plus fameux de ces chapiteaux. Les quatre figures juchées sur quatre autres têtes — ce qui permet un jeu savant des huit mains — représentent les quatre évangélistes portés par les quatre prophètes, ... Quant à la règle de saint Benoît, elle se trouve glorifiée, en ce prieuré clunisien, sur un chapiteau du croisillon sud. Au centre, un abbé, avec la crosse, ce qui n'a rien d'extraordinaire, mais marqué au front d'une croix, ce qui l'est davantage. Est-ce une allusion à la définition donnée par la Règle : « L'Abbé tient lieu du Christ dans le monastère » ? Ainsi l'entendent du moins les quatre moines qui l'entourent et suivent son enseignement, tenant, comme lui, un livre — la Règle — sur leur poitrine. Ainsi prémunis, ils foulent aux pieds (littéralement) deux espèces de bassets débonnaires qui pourraient bien être l'illustration de ce verset du psaume 90 : « Tu marcheras sur l'aspic et le basilic, et tu écraseras le lion et le dragon », toutes bêtes démoniaques. Que signifie alors la tête perchée au-dessus de l'abbé, qui évoque un ange, la ligne ondulée, figure classique de l'eau vive, et ces grappes (que l'on retrouve aussi sur le chapiteau mystérieux ? Ce n'est pas tellement différent de ce que l'on retrouvera de part et d'autre du Christ, en haut du tympan de Vézelay : symbole des fleuves vivifiants de la doctrine (prêchée par l'abbé), et des fruits qu'ils produisent. Tout cela, il est vrai, reste bien conjectural. Ce qui ne l'est point, c'est la plénitude plastique de ces visages, surtout dans le chapiteau des évangélistes. On peut bien leur opposer la truculence et la grossièreté voulue de la triple figure qui orne la base réemployée dans ce même croisillon sud. Il semble vraiment bien difficile d'y voir une trinité ! Prodigieuse variété d'un art, d'apparence, démuni de moyens.
La peinture murale reste représentée à Payerne, à côté d'œuvres mineures par deux ensembles, l'un de la fin du XIIe ou du début du XIIIe siècle, dans le narthex, l'autre de la seconde moitié du XVe, dans la deuxième chapelle du croisillon sud.
LES PEINTURES DU NARTHEX :
Autrefois les murs et les voûtes étaient sans doute entièrement couverts de peintures. Au début du XIXe siècle, l'aménagement d'une prison dans cette partie de l'édifice a fait disparaître les enduits de la partie inférieure des murs; au même moment la voûte de la travée centrale fut détruite, pour laisser place à un escalier ; enfin des fenêtres sont venues éventrer les voûtes des travées extrêmes. Les peintures qui nous sont parvenues sont donc seulement des restes mutilés, heureusement encore importants, mais qui ont, au surplus, subi une restauration excessive. Sur le mur nord, le Christ de majesté trône entre deux séraphins. On distingue encore à l'angle inférieur droit quelques fragments de la Jérusalem céleste. Sur le berceau de la travée nord du narthex, les vingt-quatre vieillards, assis deux par deux sur des trônes, louent le Seigneur. Le registre inférieur présentait un jugement dernier, il en subsiste un saint Michel pesant les âmes, quelques diables maltraitant des damnés et, sur le mur opposé, les trois patriaches Abraham, Isaac et Jacob, trônant sous des arbres, Abraham tenant les élus sur son sein suivant une représentation fréquente au Moyen-Age. Dans la travée sud, le Christ de majesté est encadré par la Vierge et Jean-Baptiste. Les douze Apôtres occupent la partie inférieure de la voûte; quelques visages sont encore bien conservés.
(extrait de : Suisse romane ; André Burmeister et al., Ed. du Zodiaque (1958), Coll. La Nuit des Temps, pp. 57-67)
Abbatiale romane Notre-Dame ; commune de Payerne, canton de Vaud, Suisse
L'abbatiale protestante Notre-Dame est un édifice religieux de la ville de Payerne. Elle est considérée comme la plus grande église romane de Suisse. Elle était, avant la Réforme, l'église de l'abbaye bénédictine de Payerne. Une partie adjacente à l'édifice - le musée - fut grandement endommagé par un incendie en 1987. L'architecture de l'abbatiale est considérée comme romane, et construite selon un schéma clunisien (XIe siècle). De nombreux éléments proviennent toutefois d'une inspiration gothique plus tardive (XVe siècle). De nombreux chapiteaux peints sont encore visibles. De nombreuses fresques des XIe et XIIe siècles habillent les murs du narthex : Christ en Croix soutenu par Dieu le père, Vierge de miséricorde, Christ du jugement dernier devant les vingt-quatre vieillards de l'Apocalypse.
(extrait de : fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_de_Payerne)
LES EXTÉRIEURS :
Les masses imposantes de l'édifice roman sont surmontées par une tour de croisée sommée d'une flèche effilée. Le massif occidental accuse deux étages, un nar-thex à l'étage bas, une chapelle dédiée à Saint-Michel en haut. Autrefois cette façade devait se terminer par deux tours comme il en a existé à Romainmôtier et comme il en subsiste à Paray-le-Monial, à Tournus et en bien d'autres édifices bourguignons. Probablement incendiées au xve siècle, ces tours ont été remplacées par le couronnement en molasse et le grand toit actuel. Le jeu de la lumière sur le petit appareil de calcaire jaune est remarquable sur la façade nord, surtout en fin d'après-midi. Cette façade est divisée par des lésènes supportant de petites arcatures, éléments qui appartiennent encore au « premier art roman ». Avec le massif occidental cette façade est la partie la plus ancienne de l'édifice actuel. Ce mur nord a subi diverses transformations, déjà au cours de la construction de l'église. Poursuivant votre promenade, vous abordez le transept puis le chevet; placez-vous au nord-est, assez loin de l'édifice et de là admirez le subtil agencement des masses du transept et des cinq absides. Il y a encore quelques hésitations et des maladresses dans les toitures des chapelles extérieures mais quelle habileté dans l'échelonnement des volumes, tant en plan qu'en élévation. La grande abside centrale est rythmée à l'étage inférieur par des contreforts à deux ressauts se transformant en colonnette appuyée à un dosseret à l'étage haut. Ces colonnes aux chapiteaux primitifs, dont certains n'ont pas été achevés, supportent de petites arcatures soutenant elles-mêmes une corniche moulurée.
Au passage, remarquez, sous la corniche de la façade sud de la chapelle méridionale un fragment de corniche romaine remployé comme console. La majeure partie des matériaux ayant servi à élever l'église sont en effet d'origine romaine. ...
Passant sous la voûte, à l'angle sud-ouest de la place ..., on traverse le bâtiment qui abritait la salle capitulaire et le dortoir, et l'on parvient dans la cour du cloître. Là, trois cloîtres successifs ont tour à tour disparu. Ils ont laissé de nombreuses traces dans le mur sud de l'église et dans le mur du bâtiment oriental du couvent. Les deux autres côtés de la cour sont occupés par des bâtiments plus récents : ... La façade ouest du croisillon sud du transept est percée d'une grande porte qui donnait autrefois accès à l'église depuis le cloître; dans le haut de cette façade, la corniche est portée par des modilIons sculptés intéressants qui sont probablement des remplois. Les toitures actuelles des bas-côtés, trop inclinées, masquent partiellement les fenêtres hautes de la nef. De plus, la forte saillie de l'avant-toit assombrit les fenêtres des bas-côtés. ... Dans son état actuel, la toiture de la nef doit dater du XVIe ou XVIIe siècle. Contre la face occidentale de la tour de croisée, un renvoi d'eau haut placé semble indiquer une toiture très élevée sur la nef, toiture peut-être prévue mais qui n'a probablement jamais existé. Les toitures du chœur et du transept sont à peu près conformes aux dispositions originales. Quant aux toits des chapelles et des absidioles, ils ont été rétablis selon leurs dispositions primitives mais malheureusement couverts de tuiles trop régulières et trop foncées. La tour de croisée prévue au XIe siècle devait être soit une tour carrée terminée par un toit à quatre pans, soit une tour octogonale semblable aux tours de Saint-Pierre de Clages ou du transept de Cluny III. Non exécutée ou détruite, elle fut remplacée au XVe siècle par la tour gothique actuelle dont la flèche, détruite par un ouragan, fut reconstruite au début du xvne siècle. Cette flèche était couverte d'écaillés de fer blanc qui, en rouillant, prennent une belle teinte brun-rouge foncé. Lors de la récente restauration, le même effet a été obtenu avec des écailles de cuivre, matériel beaucoup plus durable. Les arcatures gothiques qui décorent la flèche ont été entièrement restaurées. ...
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L'INTÉRIEUR :
... Après avoir traversé le narthex décoré de peintures murales intéressantes remontant à la fin du XIIe ou au début de XIIIe siècle, on monte quelques marches pour passer la grande porte autrefois ornée de pentures en fer et de deux belles têtes de lion en bronze. ... La porte franchie, on s'arrêtera pour jouir de la splendeur de la nef, splendeur qui n'est due qu'à la qualité des proportions et à l'admirable jeu de matériaux. Dès l'abord, on sent que le chevet est plus récent que la nef, plus richement orné, plus clair, mais le monument n'en perd pas pour autant son admirable unité. Le raccord entre les deux étapes principales de la construction se situe entre la sixième et septième travée de la nef. ... Dix piles d'un type assez particulier (constitué d'un massif rectangulaire formant pilastres pour les doubleaux de la nef et des bas-côtés et contre lequel viennent s'accoler deux demi-colonnes correspondant aux grandes arcades) soutiennent les voûtes. Ce type de pilier se retrouve à Lomello (près de Pavie), dans la vaste église Santa Maria que Porter date de 1025 environ. La nef centrale est remarquablement élevée comparativement à sa largeur : 13 m 40 de haut pour 5 m. de largeur dans la première travée occidentale. On est bien là dans la tradition bourguignonne qui allait élever, peu après Payerne, la formidable Abbatiale de Cluny III. L'alternance des matériaux respectée strictement pour les deux premières piles occidentales (une assise de calcaire jaune succédant à une assise de grès coquille gris) devient plus libre aux piles suivantes, mais on sent là une volonté décorative. Pas de bases ; les piles sont fichées à même le dallage. Chapiteaux rudimentaires, si tant est que l'on puisse considérer comme des chapiteaux les raccords prismatiques entre les demi-colonnes et les arcs. On distingue pourtant ici et là des ébauches de décor : palmettes, animaux à deux corps. Ces chapiteaux rudimentaires rappellent les triangles qui jouent le même rôle à Lómelo, Romainmôtier et Chapaize, mais où les piles sont en petit appareil tandis qu'à Payerne elles sont exécutées en pierre de taille. Arcades et doubleaux sont à arêtes vives, à un seul rouleau. La nef est couverte d'un berceau sur doubleaux, les bas-côtés le sont par des voûtes d'arête. Les fenêtres des bas-côtés sont très haut placées; les trois premières du bas-côté nord ne sont ébrasées qu'à l'intérieur, les autres sont à double ébrasement. Les fenêtres hautes de la nef sont placées près des clefs des arcades, mais malgré cela les fenêtres viennent partiellement entailler la voûte en formant des lunettes d'un heureux effet. Dans le mur occidental de la nef un pilastre, maintenant sans utilité, atteste un premier projet de reconstruction de la nef, vite abandonné. Dans sa partie haute, le mur présente une saillie amortie en console à arêtes vives. C'est là le revers de l'abside de la chapelle Saint-Michel. Les piles recevant à l'est les arcades de la sixième travée étaient, dans le projet du premier maître d'œuvre, destinées à amorcer la croisée et probablement à porter une tour.
... Les travaux en étaient là lorsque, vers 1050, un nouveau maître d'œuvre entreprit le chevet en modifiant le plan primitif. Il ajoute aux six travées élevées par son prédécesseur une septième travée, puis développe un large transept et un chevet d'un style plus savant et plus hardi que celui de la nef. Il englobe dans les maçonneries du mur sud de sa septième travée le pilier déjà préparé pour amorcer le transept par son prédécesseur (pilier laissé apparent à l'extérieur lors de la restauration) et implante quatre nouveaux piliers plus écartés que les piles de la nef, pour supporter la tour de croisée. Dans toute la partie orientale de l'édifice, les piles sont accusées par des ressauts, et les colonnes qui apparaissent aux arcades mettant en communication le chœur avec les deux chapelles qui le flanquent ... Les arcs d'entrée des chapelles du transept sont fortement brisés, type dont l'emploi deviendra systématique dans la grande Abbatiale de saint Hugues à Cluny; les arcs de la croisée et du chœur ne le sont par contre que très faiblement.
La couverture des croisillons et de la travée droite du chœur est réalisée par de vastes voûtes d'arête de près de 60 m2 chacune. La voûte de la croisée, refaite sans doute postérieurement, est montée sur croisée d'ogives. Si la nef est pratiquement dépourvue de décorations, il n'en est pas de même du chevet. On distingue deux séries de chapiteaux très différentes l'une de l'autre : la première est formée de neufs chapiteaux assez archaïques, incorporés aux angles des croisillons et à l'entrée de la septième travée. A ce même groupe appartient en outre une base de colonne torse, engagée maintenant entre les deux fenêtres hautes de la façade sud du croisillon méridional. La seconde série comporte les douze beaux chapiteaux portés par les colonnes hautes de l'abside principale.
... Les chapiteaux de l'abside, d'un travail accompli, témoignent d'une connaissance approfondie du jeu des ombres et des lumières. La plupart d'entre eux sont simplement décoratifs. Mais le sculpteur y introduit volontiers, tout un monde. Les bêtes sont dressées à dessein pour souligner par leur verticalité l'angle du tailloir; une figure humaine comme pendue sous la volute, contraste, en son extrême douceur — presque XIIe siècle — avec la rudesse des autres figures, en particulier celle de l'homme moustachu qui transperce une chèvre, elle aussi dressée sous l'angle opposé. Au centre, deux doubles chapiteaux représentent d'une part saint Michel terrassant le dragon, qui ressemble curieusement à un poisson pris à l'hameçon, de l'autre le Christ et saint Pierre, tous deux inscrits dans une mandorle. Cette disposition, assez rare sur des chapiteaux, fait immédiatement penser aux grandes sculptures du chœur de Cluny. Le style même, quoique plus rude, est bien de la même veine que celui des figures de l'abbatiale de saint Hugues. Les chapiteaux du transept sont vraiment d'un autre esprit. A vrai dire, on y retrouve des éléments semblables (en particulier l'arc tendu qui s'épanouit en volute, et jusqu'à un trait gravé en dents de scie), ainsi que la même affection pour un décor polymorphe extrêmement touffu. Mais ici, le dessin est roi, et il multiplie les lignes parallèles comme simplement gravées : plis des vêtements, lignes sinusoïdales, arceaux entrelacés. Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant que l'on ait souvent attribu. ces chapiteaux au Xe siècle. Ils correspondent bien à ce que nous savons par ailleurs de la sculpture à cette époque. Le traitement des visages, au surplus, dont la taille est d'une finesse incomparable, use d'un canon — gros yeux ronds accrochés en binocle sur un nez triangulaire — qui n'est pas sans rappeler le chapiteau archaïque remployé (lui aussi !) au transept de Saint-Benoît-sur-Loire, ou certaines sculptures de Tournus. ... Il n'est pas beaucoup plus facile d'en déchiffrer l'iconographie. Nous nous sentons perdus comme des illettrés devant ce livre grouillant d'images. Un cerf nous évoque bien celui du psaume 42, altéré d'eaux vives. Mais que signifient ces oiseaux, ce lièvre ? Le plus énigmatique. peut-être, est celui [qui montre une] femme tenant un enfant entre ses bras [une piéta ?] [et une] figure humaine encore à moitié engloutie par un poisson ? [un Jonas ?]. Le parallélisme des obliques tracées par les corps de ce Jonas et de ce Christ (englouti dans la mort et promis à la résurrection comme Jonas) aurait en ce cas une valeur de rapprochement que l'on pourra supposer volontaire. Ce thème du Nouveau Testament venant accomplir l'Ancien se retrouve en tous cas d'une façon tout à fait claire dans le plus fameux de ces chapiteaux. Les quatre figures juchées sur quatre autres têtes — ce qui permet un jeu savant des huit mains — représentent les quatre évangélistes portés par les quatre prophètes, ... Quant à la règle de saint Benoît, elle se trouve glorifiée, en ce prieuré clunisien, sur un chapiteau du croisillon sud. Au centre, un abbé, avec la crosse, ce qui n'a rien d'extraordinaire, mais marqué au front d'une croix, ce qui l'est davantage. Est-ce une allusion à la définition donnée par la Règle : « L'Abbé tient lieu du Christ dans le monastère » ? Ainsi l'entendent du moins les quatre moines qui l'entourent et suivent son enseignement, tenant, comme lui, un livre — la Règle — sur leur poitrine. Ainsi prémunis, ils foulent aux pieds (littéralement) deux espèces de bassets débonnaires qui pourraient bien être l'illustration de ce verset du psaume 90 : « Tu marcheras sur l'aspic et le basilic, et tu écraseras le lion et le dragon », toutes bêtes démoniaques. Que signifie alors la tête perchée au-dessus de l'abbé, qui évoque un ange, la ligne ondulée, figure classique de l'eau vive, et ces grappes (que l'on retrouve aussi sur le chapiteau mystérieux ? Ce n'est pas tellement différent de ce que l'on retrouvera de part et d'autre du Christ, en haut du tympan de Vézelay : symbole des fleuves vivifiants de la doctrine (prêchée par l'abbé), et des fruits qu'ils produisent. Tout cela, il est vrai, reste bien conjectural. Ce qui ne l'est point, c'est la plénitude plastique de ces visages, surtout dans le chapiteau des évangélistes. On peut bien leur opposer la truculence et la grossièreté voulue de la triple figure qui orne la base réemployée dans ce même croisillon sud. Il semble vraiment bien difficile d'y voir une trinité ! Prodigieuse variété d'un art, d'apparence, démuni de moyens.
La peinture murale reste représentée à Payerne, à côté d'œuvres mineures par deux ensembles, l'un de la fin du XIIe ou du début du XIIIe siècle, dans le narthex, l'autre de la seconde moitié du XVe, dans la deuxième chapelle du croisillon sud.
LES PEINTURES DU NARTHEX :
Autrefois les murs et les voûtes étaient sans doute entièrement couverts de peintures. Au début du XIXe siècle, l'aménagement d'une prison dans cette partie de l'édifice a fait disparaître les enduits de la partie inférieure des murs; au même moment la voûte de la travée centrale fut détruite, pour laisser place à un escalier ; enfin des fenêtres sont venues éventrer les voûtes des travées extrêmes. Les peintures qui nous sont parvenues sont donc seulement des restes mutilés, heureusement encore importants, mais qui ont, au surplus, subi une restauration excessive. Sur le mur nord, le Christ de majesté trône entre deux séraphins. On distingue encore à l'angle inférieur droit quelques fragments de la Jérusalem céleste. Sur le berceau de la travée nord du narthex, les vingt-quatre vieillards, assis deux par deux sur des trônes, louent le Seigneur. Le registre inférieur présentait un jugement dernier, il en subsiste un saint Michel pesant les âmes, quelques diables maltraitant des damnés et, sur le mur opposé, les trois patriaches Abraham, Isaac et Jacob, trônant sous des arbres, Abraham tenant les élus sur son sein suivant une représentation fréquente au Moyen-Age. Dans la travée sud, le Christ de majesté est encadré par la Vierge et Jean-Baptiste. Les douze Apôtres occupent la partie inférieure de la voûte; quelques visages sont encore bien conservés.
(extrait de : Suisse romane ; André Burmeister et al., Ed. du Zodiaque (1958), Coll. La Nuit des Temps, pp. 57-67)
Con más de 30 especies de encinos en Nuevo León, hay pocos estados que nos superen en México... entonces... ¿como le hacemos para saber cual es cual?, muy sencillo el secreto está en los detalles, para muestra un botón, aqui les dejo:
ENCINO DURAZNILLO (Quercus canbyi)
The Meadow Brown (Maniola jurtina) is a butterfly found in European meadows, where its larvae feed on grasses, such as Sheep's Fescue.
Similar species are Gatekeeper (which prefers to rest with its wings open) and Small Heath (which is smaller).
There is marked sexual dimorphism in this species. Males are less colorful, with smaller eyespots and much reduced orange areas on the upper forewings. They are also much more active and range far about, while females fly less and often may not away from the area where they grew up.
A variable number of smaller eyespots are usually found on the hindwing undersides. These may number up to 12 per individual butterfly, with up to 6 on each wing. The factors that govern polymorphism in this trait are not resolved, although a number of theories have been proposed (Stevens 2005). On the other hand, the evolutionary significance of the upperwing eyespots is more obvious: The more active males have a markedly more cryptic upperside pattern, whereas the females have more often opportunity to present their eyespots in a sudden display of colors and patterns that presumably make neophobic predators hesitate so that the butterfly has better chances of escaping. (Source en.wikipedia.org/wiki/Meadow_Brown)
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Abbatiale romane Notre-Dame ; commune de Payerne, canton de Vaud, Suisse
L'abbatiale protestante Notre-Dame est un édifice religieux de la ville de Payerne. Elle est considérée comme la plus grande église romane de Suisse. Elle était, avant la Réforme, l'église de l'abbaye bénédictine de Payerne. Une partie adjacente à l'édifice - le musée - fut grandement endommagé par un incendie en 1987. L'architecture de l'abbatiale est considérée comme romane, et construite selon un schéma clunisien (XIe siècle). De nombreux éléments proviennent toutefois d'une inspiration gothique plus tardive (XVe siècle). De nombreux chapiteaux peints sont encore visibles. De nombreuses fresques des XIe et XIIe siècles habillent les murs du narthex : Christ en Croix soutenu par Dieu le père, Vierge de miséricorde, Christ du jugement dernier devant les vingt-quatre vieillards de l'Apocalypse.
(extrait de : fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_de_Payerne)
LES EXTÉRIEURS :
Les masses imposantes de l'édifice roman sont surmontées par une tour de croisée sommée d'une flèche effilée. Le massif occidental accuse deux étages, un nar-thex à l'étage bas, une chapelle dédiée à Saint-Michel en haut. Autrefois cette façade devait se terminer par deux tours comme il en a existé à Romainmôtier et comme il en subsiste à Paray-le-Monial, à Tournus et en bien d'autres édifices bourguignons. Probablement incendiées au xve siècle, ces tours ont été remplacées par le couronnement en molasse et le grand toit actuel. Le jeu de la lumière sur le petit appareil de calcaire jaune est remarquable sur la façade nord, surtout en fin d'après-midi. Cette façade est divisée par des lésènes supportant de petites arcatures, éléments qui appartiennent encore au « premier art roman ». Avec le massif occidental cette façade est la partie la plus ancienne de l'édifice actuel. Ce mur nord a subi diverses transformations, déjà au cours de la construction de l'église. Poursuivant votre promenade, vous abordez le transept puis le chevet; placez-vous au nord-est, assez loin de l'édifice et de là admirez le subtil agencement des masses du transept et des cinq absides. Il y a encore quelques hésitations et des maladresses dans les toitures des chapelles extérieures mais quelle habileté dans l'échelonnement des volumes, tant en plan qu'en élévation. La grande abside centrale est rythmée à l'étage inférieur par des contreforts à deux ressauts se transformant en colonnette appuyée à un dosseret à l'étage haut. Ces colonnes aux chapiteaux primitifs, dont certains n'ont pas été achevés, supportent de petites arcatures soutenant elles-mêmes une corniche moulurée.
Au passage, remarquez, sous la corniche de la façade sud de la chapelle méridionale un fragment de corniche romaine remployé comme console. La majeure partie des matériaux ayant servi à élever l'église sont en effet d'origine romaine. ...
Passant sous la voûte, à l'angle sud-ouest de la place ..., on traverse le bâtiment qui abritait la salle capitulaire et le dortoir, et l'on parvient dans la cour du cloître. Là, trois cloîtres successifs ont tour à tour disparu. Ils ont laissé de nombreuses traces dans le mur sud de l'église et dans le mur du bâtiment oriental du couvent. Les deux autres côtés de la cour sont occupés par des bâtiments plus récents : ... La façade ouest du croisillon sud du transept est percée d'une grande porte qui donnait autrefois accès à l'église depuis le cloître; dans le haut de cette façade, la corniche est portée par des modilIons sculptés intéressants qui sont probablement des remplois. Les toitures actuelles des bas-côtés, trop inclinées, masquent partiellement les fenêtres hautes de la nef. De plus, la forte saillie de l'avant-toit assombrit les fenêtres des bas-côtés. ... Dans son état actuel, la toiture de la nef doit dater du XVIe ou XVIIe siècle. Contre la face occidentale de la tour de croisée, un renvoi d'eau haut placé semble indiquer une toiture très élevée sur la nef, toiture peut-être prévue mais qui n'a probablement jamais existé. Les toitures du chœur et du transept sont à peu près conformes aux dispositions originales. Quant aux toits des chapelles et des absidioles, ils ont été rétablis selon leurs dispositions primitives mais malheureusement couverts de tuiles trop régulières et trop foncées. La tour de croisée prévue au XIe siècle devait être soit une tour carrée terminée par un toit à quatre pans, soit une tour octogonale semblable aux tours de Saint-Pierre de Clages ou du transept de Cluny III. Non exécutée ou détruite, elle fut remplacée au XVe siècle par la tour gothique actuelle dont la flèche, détruite par un ouragan, fut reconstruite au début du xvne siècle. Cette flèche était couverte d'écaillés de fer blanc qui, en rouillant, prennent une belle teinte brun-rouge foncé. Lors de la récente restauration, le même effet a été obtenu avec des écailles de cuivre, matériel beaucoup plus durable. Les arcatures gothiques qui décorent la flèche ont été entièrement restaurées. ...
.
L'INTÉRIEUR :
... Après avoir traversé le narthex décoré de peintures murales intéressantes remontant à la fin du XIIe ou au début de XIIIe siècle, on monte quelques marches pour passer la grande porte autrefois ornée de pentures en fer et de deux belles têtes de lion en bronze. ... La porte franchie, on s'arrêtera pour jouir de la splendeur de la nef, splendeur qui n'est due qu'à la qualité des proportions et à l'admirable jeu de matériaux. Dès l'abord, on sent que le chevet est plus récent que la nef, plus richement orné, plus clair, mais le monument n'en perd pas pour autant son admirable unité. Le raccord entre les deux étapes principales de la construction se situe entre la sixième et septième travée de la nef. ... Dix piles d'un type assez particulier (constitué d'un massif rectangulaire formant pilastres pour les doubleaux de la nef et des bas-côtés et contre lequel viennent s'accoler deux demi-colonnes correspondant aux grandes arcades) soutiennent les voûtes. Ce type de pilier se retrouve à Lomello (près de Pavie), dans la vaste église Santa Maria que Porter date de 1025 environ. La nef centrale est remarquablement élevée comparativement à sa largeur : 13 m 40 de haut pour 5 m. de largeur dans la première travée occidentale. On est bien là dans la tradition bourguignonne qui allait élever, peu après Payerne, la formidable Abbatiale de Cluny III. L'alternance des matériaux respectée strictement pour les deux premières piles occidentales (une assise de calcaire jaune succédant à une assise de grès coquille gris) devient plus libre aux piles suivantes, mais on sent là une volonté décorative. Pas de bases ; les piles sont fichées à même le dallage. Chapiteaux rudimentaires, si tant est que l'on puisse considérer comme des chapiteaux les raccords prismatiques entre les demi-colonnes et les arcs. On distingue pourtant ici et là des ébauches de décor : palmettes, animaux à deux corps. Ces chapiteaux rudimentaires rappellent les triangles qui jouent le même rôle à Lómelo, Romainmôtier et Chapaize, mais où les piles sont en petit appareil tandis qu'à Payerne elles sont exécutées en pierre de taille. Arcades et doubleaux sont à arêtes vives, à un seul rouleau. La nef est couverte d'un berceau sur doubleaux, les bas-côtés le sont par des voûtes d'arête. Les fenêtres des bas-côtés sont très haut placées; les trois premières du bas-côté nord ne sont ébrasées qu'à l'intérieur, les autres sont à double ébrasement. Les fenêtres hautes de la nef sont placées près des clefs des arcades, mais malgré cela les fenêtres viennent partiellement entailler la voûte en formant des lunettes d'un heureux effet. Dans le mur occidental de la nef un pilastre, maintenant sans utilité, atteste un premier projet de reconstruction de la nef, vite abandonné. Dans sa partie haute, le mur présente une saillie amortie en console à arêtes vives. C'est là le revers de l'abside de la chapelle Saint-Michel. Les piles recevant à l'est les arcades de la sixième travée étaient, dans le projet du premier maître d'œuvre, destinées à amorcer la croisée et probablement à porter une tour.
... Les travaux en étaient là lorsque, vers 1050, un nouveau maître d'œuvre entreprit le chevet en modifiant le plan primitif. Il ajoute aux six travées élevées par son prédécesseur une septième travée, puis développe un large transept et un chevet d'un style plus savant et plus hardi que celui de la nef. Il englobe dans les maçonneries du mur sud de sa septième travée le pilier déjà préparé pour amorcer le transept par son prédécesseur (pilier laissé apparent à l'extérieur lors de la restauration) et implante quatre nouveaux piliers plus écartés que les piles de la nef, pour supporter la tour de croisée. Dans toute la partie orientale de l'édifice, les piles sont accusées par des ressauts, et les colonnes qui apparaissent aux arcades mettant en communication le chœur avec les deux chapelles qui le flanquent ... Les arcs d'entrée des chapelles du transept sont fortement brisés, type dont l'emploi deviendra systématique dans la grande Abbatiale de saint Hugues à Cluny; les arcs de la croisée et du chœur ne le sont par contre que très faiblement.
La couverture des croisillons et de la travée droite du chœur est réalisée par de vastes voûtes d'arête de près de 60 m2 chacune. La voûte de la croisée, refaite sans doute postérieurement, est montée sur croisée d'ogives. Si la nef est pratiquement dépourvue de décorations, il n'en est pas de même du chevet. On distingue deux séries de chapiteaux très différentes l'une de l'autre : la première est formée de neufs chapiteaux assez archaïques, incorporés aux angles des croisillons et à l'entrée de la septième travée. A ce même groupe appartient en outre une base de colonne torse, engagée maintenant entre les deux fenêtres hautes de la façade sud du croisillon méridional. La seconde série comporte les douze beaux chapiteaux portés par les colonnes hautes de l'abside principale.
... Les chapiteaux de l'abside, d'un travail accompli, témoignent d'une connaissance approfondie du jeu des ombres et des lumières. La plupart d'entre eux sont simplement décoratifs. Mais le sculpteur y introduit volontiers, tout un monde. Les bêtes sont dressées à dessein pour souligner par leur verticalité l'angle du tailloir; une figure humaine comme pendue sous la volute, contraste, en son extrême douceur — presque XIIe siècle — avec la rudesse des autres figures, en particulier celle de l'homme moustachu qui transperce une chèvre, elle aussi dressée sous l'angle opposé. Au centre, deux doubles chapiteaux représentent d'une part saint Michel terrassant le dragon, qui ressemble curieusement à un poisson pris à l'hameçon, de l'autre le Christ et saint Pierre, tous deux inscrits dans une mandorle. Cette disposition, assez rare sur des chapiteaux, fait immédiatement penser aux grandes sculptures du chœur de Cluny. Le style même, quoique plus rude, est bien de la même veine que celui des figures de l'abbatiale de saint Hugues. Les chapiteaux du transept sont vraiment d'un autre esprit. A vrai dire, on y retrouve des éléments semblables (en particulier l'arc tendu qui s'épanouit en volute, et jusqu'à un trait gravé en dents de scie), ainsi que la même affection pour un décor polymorphe extrêmement touffu. Mais ici, le dessin est roi, et il multiplie les lignes parallèles comme simplement gravées : plis des vêtements, lignes sinusoïdales, arceaux entrelacés. Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant que l'on ait souvent attribu. ces chapiteaux au Xe siècle. Ils correspondent bien à ce que nous savons par ailleurs de la sculpture à cette époque. Le traitement des visages, au surplus, dont la taille est d'une finesse incomparable, use d'un canon — gros yeux ronds accrochés en binocle sur un nez triangulaire — qui n'est pas sans rappeler le chapiteau archaïque remployé (lui aussi !) au transept de Saint-Benoît-sur-Loire, ou certaines sculptures de Tournus. ... Il n'est pas beaucoup plus facile d'en déchiffrer l'iconographie. Nous nous sentons perdus comme des illettrés devant ce livre grouillant d'images. Un cerf nous évoque bien celui du psaume 42, altéré d'eaux vives. Mais que signifient ces oiseaux, ce lièvre ? Le plus énigmatique. peut-être, est celui [qui montre une] femme tenant un enfant entre ses bras [une piéta ?] [et une] figure humaine encore à moitié engloutie par un poisson ? [un Jonas ?]. Le parallélisme des obliques tracées par les corps de ce Jonas et de ce Christ (englouti dans la mort et promis à la résurrection comme Jonas) aurait en ce cas une valeur de rapprochement que l'on pourra supposer volontaire. Ce thème du Nouveau Testament venant accomplir l'Ancien se retrouve en tous cas d'une façon tout à fait claire dans le plus fameux de ces chapiteaux. Les quatre figures juchées sur quatre autres têtes — ce qui permet un jeu savant des huit mains — représentent les quatre évangélistes portés par les quatre prophètes, ... Quant à la règle de saint Benoît, elle se trouve glorifiée, en ce prieuré clunisien, sur un chapiteau du croisillon sud. Au centre, un abbé, avec la crosse, ce qui n'a rien d'extraordinaire, mais marqué au front d'une croix, ce qui l'est davantage. Est-ce une allusion à la définition donnée par la Règle : « L'Abbé tient lieu du Christ dans le monastère » ? Ainsi l'entendent du moins les quatre moines qui l'entourent et suivent son enseignement, tenant, comme lui, un livre — la Règle — sur leur poitrine. Ainsi prémunis, ils foulent aux pieds (littéralement) deux espèces de bassets débonnaires qui pourraient bien être l'illustration de ce verset du psaume 90 : « Tu marcheras sur l'aspic et le basilic, et tu écraseras le lion et le dragon », toutes bêtes démoniaques. Que signifie alors la tête perchée au-dessus de l'abbé, qui évoque un ange, la ligne ondulée, figure classique de l'eau vive, et ces grappes (que l'on retrouve aussi sur le chapiteau mystérieux ? Ce n'est pas tellement différent de ce que l'on retrouvera de part et d'autre du Christ, en haut du tympan de Vézelay : symbole des fleuves vivifiants de la doctrine (prêchée par l'abbé), et des fruits qu'ils produisent. Tout cela, il est vrai, reste bien conjectural. Ce qui ne l'est point, c'est la plénitude plastique de ces visages, surtout dans le chapiteau des évangélistes. On peut bien leur opposer la truculence et la grossièreté voulue de la triple figure qui orne la base réemployée dans ce même croisillon sud. Il semble vraiment bien difficile d'y voir une trinité ! Prodigieuse variété d'un art, d'apparence, démuni de moyens.
La peinture murale reste représentée à Payerne, à côté d'œuvres mineures par deux ensembles, l'un de la fin du XIIe ou du début du XIIIe siècle, dans le narthex, l'autre de la seconde moitié du XVe, dans la deuxième chapelle du croisillon sud.
LES PEINTURES DU NARTHEX :
Autrefois les murs et les voûtes étaient sans doute entièrement couverts de peintures. Au début du XIXe siècle, l'aménagement d'une prison dans cette partie de l'édifice a fait disparaître les enduits de la partie inférieure des murs; au même moment la voûte de la travée centrale fut détruite, pour laisser place à un escalier ; enfin des fenêtres sont venues éventrer les voûtes des travées extrêmes. Les peintures qui nous sont parvenues sont donc seulement des restes mutilés, heureusement encore importants, mais qui ont, au surplus, subi une restauration excessive. Sur le mur nord, le Christ de majesté trône entre deux séraphins. On distingue encore à l'angle inférieur droit quelques fragments de la Jérusalem céleste. Sur le berceau de la travée nord du narthex, les vingt-quatre vieillards, assis deux par deux sur des trônes, louent le Seigneur. Le registre inférieur présentait un jugement dernier, il en subsiste un saint Michel pesant les âmes, quelques diables maltraitant des damnés et, sur le mur opposé, les trois patriaches Abraham, Isaac et Jacob, trônant sous des arbres, Abraham tenant les élus sur son sein suivant une représentation fréquente au Moyen-Age. Dans la travée sud, le Christ de majesté est encadré par la Vierge et Jean-Baptiste. Les douze Apôtres occupent la partie inférieure de la voûte; quelques visages sont encore bien conservés.
(extrait de : Suisse romane ; André Burmeister et al., Ed. du Zodiaque (1958), Coll. La Nuit des Temps, pp. 57-67)
With kind permission from Paul Fisher, visualisation with GraphViz.
A version of this workflow is available at www.cs.man.ac.uk/~hulld/workflows/paul_fisher_complex.xml
Diamond crystal in kimberlite matrix. (public display, Field Museum of Natural History, Chicago, Illinois, USA)
A mineral is a naturally-occurring, solid, inorganic, crystalline substance having a fairly definite chemical composition and having fairly definite physical properties. At its simplest, a mineral is a naturally-occurring solid chemical. Currently, there are over 5200 named and described minerals - about 200 of them are common and about 20 of them are very common. Mineral classification is based on anion chemistry. Major categories of minerals are: elements, sulfides, oxides, halides, carbonates, sulfates, phosphates, and silicates.
Elements are fundamental substances of matter - matter that is composed of the same types of atoms. At present, 118 elements are known (four of them are still unnamed). Of these, 98 occur naturally on Earth (hydrogen to californium). Most of these occur in rocks & minerals, although some occur in very small, trace amounts. Only some elements occur in their native elemental state as minerals.
To find a native element in nature, it must be relatively non-reactive and there must be some concentration process. Metallic, semimetallic (metalloid), and nonmetallic elements are known in their native state.
The element carbon occurs principally in its native state as graphite (C) and diamond (C). Graphite is the common & far less valuable polymorph of carbon. A scarce polymorph of carbon is diamond. The physical properties of diamond and graphite couldn’t be more different, considering they have the same chemistry. Diamond has a nonmetallic, adamantine luster, typically occurs in cubic or octahedral (double-pyramid) crystals, or subspherical to irregularly-shaped masses, and is extremely hard (H≡10). Diamonds can be almost any color, but are typically clearish, grayish, or yellowish. Many diamonds are noticeably fluorescent under black light (ultraviolet light), but the color and intensity of fluorescence varies. Some diamonds are phosphorescent - under certain conditions, they glow for a short interval on their own.
Very rarely, diamond is a rock-forming mineral (see diamondite - www.flickr.com/photos/jsjgeology/14618393527).
The above specimen is a very rare, ultramafic igneous rock called kimberlite, which is the ultimate host rock for most diamonds. Kimberlites are unusual igneous bodies having overall pipe-shaped geometries. Their mode of formation is only moderately understood because they have not been observed forming. Kimberlites are known from scattered localities throughout the world - only some are significantly diamondiferous. Classic localities for diamonds are India and Brazil. Africa was also discovered to have many kimberlites and is world-famous for producing large numbers of diamonds. Other notable diamondiferous kimberlite occurrences include Russia, China, and northwestern Canada.
Kimberlites are named for the town of Kimberley, South Africa. Several kimberlite pipes occur in the Kimberley area. Kimberlites have a gently tapering-downward, pipe-shaped cross-section, somewhat like a carrot.
A butterfly is an insect of the order Lepidoptera. Like all Lepidoptera, butterflies are notable for their unusual life cycle with a larval caterpillar stage, an inactive pupal stage, and a spectacular metamorphosis into a familiar and colourful winged adult form. Most species are day-flying so they regularly attract attention. The diverse patterns formed by their brightly coloured wings and their erratic yet graceful flight have made butterfly watching a hobby.
Butterflies comprise the true butterflies (superfamily Papilionoidea), the skippers (superfamily Hesperioidea) and the moth-butterflies (superfamily Hedyloidea). Butterflies exhibit polymorphism, mimicry and aposematism. Some migrate over long distances. Some butterflies have evolved symbiotic and parasitic relationships with social insects such as ants. Butterflies are important economically as agents of pollination. In addition, a few species are pests, because they can damage domestic crops and trees in their larval stage.
La farfalla è un insetto che, come le falene, appartiene all'ordine dei Lepidotteri.
La distinzione tra farfalle e falene non risponde a una classificazione scientifica tassonomica, ma deriva dall'uso comune. In base a tale distinzione "popolare", alcuni autori del passato hanno proposto una distinzione tra Ropaloceri o "Rhopalocera" (farfalle), che nella classificazione moderna corrispondono alle superfamiglie Hesperioidea e Papilionoidea, ed Eteroceri o "Heterocera" (falene). Questa distinzione oggi, però, non è più scientificamente accettata.
Le farfalle hanno abitudini generalmente diurne ed hanno antenne clavate, a differenza di quelle delle falene, che sono spesso pettinate o filiformi, e chiudono le ali a libro in posizione di riposo.
Questa distinzione di comodo, al pari di quella tra macrolepidotteri e microlepidotteri, pur non essendo più ritenuta valida, viene talvolta ancora utilizzata dagli entomologi per ragioni pratiche, dato che corrisponde a differenze nei metodi di studio dei diversi gruppi.
Font : Wikipedia
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www.flickr.com/groups/838527@N23/
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Diamond from South Africa. (public display, Carnegie Museum of Natural History, Pittsburgh, Pennsylvania, USA)
A mineral is a naturally-occurring, solid, inorganic, crystalline substance having a fairly definite chemical composition and having fairly definite physical properties. At its simplest, a mineral is a naturally-occurring solid chemical. Currently, there are over 5200 named and described minerals - about 200 of them are common and about 20 of them are very common. Mineral classification is based on anion chemistry. Major categories of minerals are: elements, sulfides, oxides, halides, carbonates, sulfates, phosphates, and silicates.
Elements are fundamental substances of matter - matter that is composed of the same types of atoms. At present, 118 elements are known (four of them are still unnamed). Of these, 98 occur naturally on Earth (hydrogen to californium). Most of these occur in rocks & minerals, although some occur in very small, trace amounts. Only some elements occur in their native elemental state as minerals.
To find a native element in nature, it must be relatively non-reactive and there must be some concentration process. Metallic, semimetallic (metalloid), and nonmetallic elements are known in their native state.
The element carbon occurs principally in its native state as graphite (C) and diamond (C). Graphite is the common & far less valuable polymorph of carbon. A scarce polymorph of carbon is diamond. The physical properties of diamond and graphite couldn’t be more different, considering they have the same chemistry. Diamond has a nonmetallic, adamantine luster, typically occurs in cubic or octahedral (double-pyramid) crystals, or subspherical to irregularly-shaped masses, and is extremely hard (H≡10). Diamonds can be almost any color, but are typically clearish, grayish, or yellowish. Many diamonds are noticeably fluorescent under black light (ultraviolet light), but the color and intensity of fluorescence varies. Some diamonds are phosphorescent - under certain conditions, they glow for a short interval on their own.
Very rarely, diamond is a rock-forming mineral (see diamondite - www.flickr.com/photos/jsjgeology/14618393527).
The specimen shown above is a natural (rough) diamond crystal from South Africa. Many diamond crystals have a triangular shape like this - they are referred to as macles.
Franc-maçonnerie
Symboles maçonniques
sur l'épée de La Fayette.On appelle franc-maçonnerie un ensemble polymorphe de phénomènes historiques et sociaux formant un espace de sociabilité[1] qui recrute ses membres par cooptation[2] et pratique des rituels initiatiques faisant référence à un secret maçonnique et à l'art de bâtir.
Difficilement traçable historiquement, elle semble apparaître en Écosse[3] puis en Angleterre au XVIIe siècle. Elle se décrit, suivant les époques, les pays et les formes, comme une « association essentiellement philosophique et philanthropique », comme un « système de morale illustré par des symboles » ou comme un « ordre initiatique ». Organisée en obédiences depuis 1717 à Londres, la franc-maçonnerie dite spéculative — c'est-à-dire philosophique — fait référence aux Anciens Devoirs de la maçonnerie dite opérative formée par les corporations de bâtisseurs qui édifièrent, entre autres, les cathédrales[4].
Elle prodigue un enseignement ésotérique, progressif à l'aide de symboles et de rituels et souhaite être adogmatique. Elle encourage ses membres à œuvrer pour le progrès de l'humanité, tout en laissant à chacun de ses membres le soin de préciser à sa convenance le sens de ces mots[5]. La bienfaisance est l'un de ses moyens d'action[6]. Sa vocation se veut universelle[7] bien que ses pratiques et ses modes d'organisation soient extrêmement variables selon les pays et les époques[8]. Elle réunit, dans de nombreux pays répartis sur toute la surface du globe, des personnes qui se sont donné pour but de travailler à leur amélioration spirituelle et morale.
Elle s'est structurée au fil des siècles autour d'un grand nombre de rites et de traditions, ce qui a entraîné la création d'une multitude d'obédiences qui ne se reconnaissent pas toutes entre elles. Elle a toujours fait l'objet de nombreuses critiques et oppositions, aux motifs très variables selon les époques et les pays.
Une discipline de réflexion porte sur la franc-maçonnerie : la maçonnologie.
Zuzu Delf Rumi head and horns on Dearmine girl body with Aileen Doll Polymorph Lucy wings and tail. A mouthful but I think she might stay this way. She's wearing a Dearmine Classic outfit.
The Lizard Lifeboat Station can refer to several Royal National Lifeboat Institution lifeboat stations located on the Lizard in Cornwall, United Kingdom. The first was established at the southernmost point of the peninsula in 1859. Since then successive stations have all been in operation at different locations on The Lizard. The current station is located at Kilcobben Cove 0.5 mi (0.80 km) east of the village of Lizard.
The lifeboat stations have all covered the westerly approaches to the English Channel; with up to 400 ships-a-day, it is one of the busiest shipping lanes in the world. The lifeboat service has saved many lives over the past 150 years.
The RNLI established its first lifeboat at the southern tip of The Lizard in 1859. The station, which cost £120 to build, was located atop the cliffs above Polpeor Cove about 0.6 mi (0.97 km) south of the village of Lizard. It was inaugurated after the 740-ton steamer, Czar, foundered on the Vrogue Rock, off Bass Point on 22 January 1859. The government transport ship was taking ammunition and uniforms to Malta. Fishing crews from Cadgwith and Church Cove saved some of the crew but the captain and his family drowned. Following the tragedy, a Mrs Agar of Lanhydrock donated money to buy the first Lizard Lifeboat (Anna Maria).
However the location of the first lifeboat station on the cliff above Polpeor Cove was not ideal as it made launches a long and precarious operation in rough sea and weather. On 2 January 1866 the lifeboat broke up after it was launched on exercise during a storm. It was pushed on to rocks causing the death of its Coxswain Peter Mitchell and crew members Richard Harris and Nicholas Stevens. As a tribute to the loss, the RNLI gave £130 to the local lifeboat fund. (Location: 49°57′32.53″N 5°12′22.77″W)
In 1885 a larger station was built above the high-water mark lower down in Polpeor Cove to house a larger lifeboat.[1] The existing smaller craft was moved to a new station at Church Cove just east of Lizard village. (Location: 49°57′33.51″N 5°12′24.53″W)
The final lifeboat station within Polpeor Cove was completed in 1914. The large concrete building had an integrated slipway which meant the lifeboat was able to launch directly into the sea. However this could prove hazardous in rough conditions because of the number of rocks in the cove. The exposed position of the station also meant it required a great deal of expense to maintain its general upkeep.
In order to relaunch the lifeboat, a recovery system was used to haul it back into the boat house. First ropes were places around a natural rock pillar in the sea in order to turn the stern of the boat towards land. A giant wheel – at the rear of the station – was then used to winch the boat back up the slipway.
The result of these difficulties meant the RNLI was forced to spend money repairing the station and the lifeboats from time to time. By 1958, with the need to employ larger and faster lifeboats due to the growth in maritime commerce, the RNLI decided to close Polpeor Cove because of its operating limitations. The RNLI eventually chose Kilcobben Cove as it new location for The Lizard Lifeboat station because it was sufficiently protected to allow safe launches in all conditions. Polpeor Cove closed in 1961. (Location: 49°57′33.56″N 5°12′25.57″W)
In 1867 the RNLI placed a second lifeboat at the fishing village of Cadgwith on the east side of the Lizard. This service ran until 1963, when it was finally closed. The station was then integrated with the service at The Lizard's Kilcobben Cove. (Location: 49°59′14.25″N 5°10′46.56″W)
Church Cove station, which was built at a cost of £300, opened in 1885. It housed the original lifeboat from the first station at Polpeor Cove when that was replaced with a new building and a larger vessel. Church Cove station, which was 0.4 mi (0.64 km) from the village of Landewednack was used in conjunction with Polpeor Cove for 14 years until it was closed and sold off in 1899. (Location: 49°58′16.49″N 5°11′18.62″W)
The RNLI decided that a new station on The Lizard would be built at Kilcobben Cove 1.25 mi (2.01 km) east of The Lizard lighthouse. Construction was a major civil engineering project because the station and its slipway were built on a cliff just above the waterline. The station, which cost £90,000, was opened on 7 July, 1961 by the Duke of Edinburgh, who also named the new Barnett-class lifeboat Duke of Cornwall ON952. Due to the steepness of the cliff, a funicular railway carries the lifeboat crew down to the boathouse.
The lifeboat station was originally called The Lizard-Cadgwith Lifeboat Station because it recognised the merging of the two former services based at Polpeor Cove and Cadgwith. This name was officially changed in 1987 to The Lizard Lifeboat Station. In 1988 the station and the slipway required adaptation with the arrival of a Tyne-class lifeboat called David Robinson ON1145.
In 2010 the original station was demolished because it could not accommodate the latest Tamar-class lifeboats. During the rebuilding the lifeboat was kept moored afloat off Cadgwith. On 5 May 2012, the new station was officially opened by Admiral the Lord Boyce, chairman of the RNLI. On the same day, the station's new Tamar-class boat, which had replaced David Robinson the year before, was named Rose in a ceremony by the-then Lord Lieutenant of Cornwall, Lady Mary Holborow.
The Lizard (Cornish: An Lysardh) is a peninsula in southern Cornwall, England, United Kingdom. The most southerly point of the British mainland is near Lizard Point at SW 701115; Lizard village, also known as The Lizard, is the most southerly on the British mainland, and is in the civil parish of Landewednack, the most southerly parish. The valleys of the River Helford and Loe Pool form the northern boundary, with the rest of the peninsula surrounded by sea. The area measures about 14 by 14 miles (23 km × 23 km). The Lizard is one of England's natural regions and has been designated as a National Character Area 157 by Natural England. The peninsula is known for its geology and for its rare plants and lies within the Cornwall Area of Outstanding Natural Beauty (AONB).
The Lizard's coast is particularly hazardous to shipping and the seaways round the peninsula were historically known as the "Graveyard of Ships" (see below). The Lizard Lighthouse was built at Lizard Point in 1752 and the RNLI operates The Lizard lifeboat station.
Etymology
The name "Lizard" is most probably a corruption of the Cornish name "Lys Ardh", meaning "high court"; it is purely coincidental that much of the peninsula is composed of serpentinite-bearing rock. The peninsula's original name may have been the Celtic Bridanoc, from Britannakon ("the "British one"), preserved in the name of the former village of Predannack, now site of Predannack Airfield.
History
There is evidence of early habitation with several burial mounds and stones. Part of the peninsula is known as the Meneage (land of the monks).
Helston, the nearest town to the Lizard peninsula, is said to have once headed the estuary of the River Cober, before it was cut off from the sea by Loe Bar in the 13th century. It is speculated that Helston was once a port, but no records exist. Geomorphologists believe the bar was most likely formed by rising sea levels, after the last ice age, blocking the river and creating a barrier beach. The beach is formed mostly of flint and the nearest source is found offshore under the drowned terraces of the former river that flowed between England and France, and now under the English Channel. The medieval port of Helston was at Gweek, possibly from around 1260 onwards, on the Helford river which exported tin and copper. Helston was believed to be in existence in the sixth century, around the River Cober (Dowr Kohar). The name comes from the Cornish "hen lis" or "old court" and "ton" added later to denote a Saxon manor; the Domesday Book refers to it as Henliston (which survives as the name of a road in the town). It was granted its charter by King John in 1201. It was here that tin ingots were weighed to determine the duty due to the Duke of Cornwall when a number of stannary towns were authorised by royal decree.
The royal manor of Winnianton, which was held by King William I at the time of the Domesday Book (1086), was also the head manor of the hundred of Kerrier and the largest estate in Cornwall. It was assessed as having fifteen hides before 1066. At the time of Domesday there was land for sixty ploughs, but in the lord's land there were two ploughs and in the lands held by villeins twenty-four ploughs. There were twenty-four villeins, forty-one freedmen, thirty-three smallholders and fourteen slaves. There was 6 acres (24,000 m2), eight square leagues of pasture and half a square league of woodland. The livestock was fourteen unbroken mares, three cattle and one hundred and twenty-eight sheep (in total 145 beasts); its value was £12 annually. 11 of the hides were held by the Count of Mortain and there is more arable and pasture and 13 more persons are recorded: Rinsey, Trelowarren, Mawgan-in-Meneage and seventeen other lands are also recorded under Winnianton.
Mullion has the 15th century church of St Mellanus, and the Old Inn from the 16th century. The harbour was completed in 1895 and financed by Lord Robartes of Lanhydrock as a recompense to the fishermen for several disastrous pilchard seasons.
The small church of St Peter in Coverack, built in 1885 for £500, has a serpentinite pulpit.
The Great Western Railway operated a road motor service to The Lizard from Helston railway station. Commencing on 17 August 1903, it was the first successful British railway-run bus service and was initially provided as a cheaper alternative to a proposed light railway.
The Solar eclipse of 11 August 1999 departed the UK mainland from the Lizard.
The transatlantic record run of the unaccompanied one hand sailor Thomas Coville within less than 5 days in his sailboat Sodebo Ultim from New York, USA, to Europe landed here on 15 July 2017.
Nautical
The Lizard has been the site of many maritime disasters. It forms a natural obstacle to entry and exit of Falmouth and its naturally deep estuary. At Lizard Point stands the Lizard Lighthouse. In fact, the light was erected by Sir John Killigrew by his own expense: It was built at the cost of "20 nobles a year" for 30 years, but it caused an uproar over the following years, as King James I considered charging vessels to pass. This caused so many problems that the lighthouse was demolished, but was successfully rebuilt in 1751 by order of Thomas Fonnereau and remains almost unchanged today. Further east lie The Manacles, near Porthoustock: 1+1⁄2 square miles (4 km2) of jagged rocks just beneath the waves.
In 1721 the Royal Anne Galley, an oared frigate, was wrecked at Lizard Point. Of a crew of 185 only three survived; lost was Lord Belhaven who was en route to take up the Governorship of Barbados.
A 44-gun frigate, HMS Anson, was wrecked at Loe Bar in 1807. Although it wrecked close to shore, many lost their lives in the storm. This inspired Henry Trengrouse to invent the rocket-fired line, later to become the Breeches buoy.
The transport ship Dispatch ran aground on the Manacles in 1809 on its return from the Peninsular War, losing 104 men from the 7th Hussars. The following day, with local villagers still attempting a rescue, the Cruizer-class brig-sloop HMS Primrose hit the northern end of these rocks. The only survivor of its 126 officers, men and boys was a drummer boy.
5 Sept 1856 the Cherubim and Ocean Home collided off Lizard Point
The SS Mohegan, a 6,889 GRT passenger liner, also hit the Manacles in 1898 with the loss of 106 lives.
The American passenger liner Paris was stranded on the Manacles in 1899, with no loss of life.
The biggest rescue in the RNLI's history was 17 March 1907 when the 12,000-tonne liner SS Suevic hit the Maenheere Reef near Lizard Point in Cornwall. In a strong gale and dense fog RNLI lifeboat volunteers rescued 456 passengers, including 70 babies. Crews from the Lizard, Cadgwith, Coverack and Porthleven rowed out repeatedly for 16 hours to rescue all of the people on board. Six silver RNLI medals were later awarded, two to Suevic crew members.
The Battle at the Lizard, a naval battle, took place off The Lizard on 21 October 1707.
Smuggling was a regular, and often necessary, way of life in these parts, despite the efforts of coastguards or "Preventive men". In 1801, the king's pardon was offered to any smuggler giving information on the Mullion musket men involved in a gunfight with the crew of HM Gun Vessel Hecate.
Avionic
In the First World War a Naval Air Station was established at Bonython, flying mainly blimps used for spotting U-boats. One was sunk and several probably damaged by bombs dropped by the blimps. The airfield site is now occupied by the wind farm.
RAF Predannack Down (see Predannack Airfield) was a Second World War airbase, from which Coastal Command squadrons flew anti-submarine sorties into the Bay of Biscay as well as convoy support in the western English Channel. The runways still exist and the site is used by a local Air Cadet Volunteergliding Squadron 626VGS and as an emergency/relief base for RNAS Culdrose (HMS Seahawk).
RNAS Culdrose is Europe's largest helicopter base, and currently hosts the Training and Operational Conversion Unit operating the EH101 "Merlin" helicopter. It is also the home base for Merlin Squadrons embarked upon Royal Navy warships, the Westland Sea King airborne early warning (AEW) variant helicopter, a Search And Rescue (Sea King, again) helicopter flight, and some BAe Hawk T.1 trainer jets used for training purposes by the Royal Navy. The base also operates some other types of fixed wing aircraft for calibration and other training purposes. As befits the base's name, a non-flying example of a Hawker Sea Hawk forms the main gate guardian static display. RNAS Culdrose is a major contributor to the economy of The Lizard area.
Political
The Lizard peninsula is in the St Ives parliamentary constituency (which comprises the whole of the former district of Penwith and the southern part of the former district of Kerrier). However, the parishes northeast of the Helford River are in Camborne and Redruth parliamentary constituency
To the north, The Lizard peninsula is bordered by the civil parishes of Breage, Porthleven, Sithney, Helston, Wendron, Gweek and – across the Helford River – by Constantine, Kerrier and Mawnan.
The parishes on the peninsula proper are (west to east):
Northern parishes:
Gunwalloe
Cury
Mawgan-in-Meneage
St Martin-in-Meneage
Manaccan
St Anthony-in-Meneage
Southern parishes:
Mullion
Grade-Ruan
St Keverne
Landewednack
The Lizard's political history includes the 1497 Cornish rebellion which began in St Keverne. The village blacksmith Michael Joseph (Michael An Gof in Cornish, meaning blacksmith) led the uprising, protesting against the punitive taxes levied by Henry VII to pay for the war against the Scots. The uprising was routed on its march to London and the two leaders, Michael Joseph and Thomas Flamank, were subsequently hanged, drawn and quartered.
Technological
Titanium was discovered here by the Reverend William Gregor in 1791.
In 1869, John Pender formed the Falmouth Gibraltar and Malta Telegraph company, intending to connect India to England with an undersea cable. Although intended to land at Falmouth, the final landing point was Porthcurno near Land's End.
In 1900 Guglielmo Marconi stayed the Housel Bay Hotel in his quest to locate a coastal radio station to receive signals from ships equipped with his apparatus. He leased a plot "in the wheat field adjoining the hotel" where the Lizard Wireless Telegraph Station still stands today. Recently restored by the National Trust, it looks as it did in January 1901, when Marconi received the distance record signals of 186 miles (299 km) from his transmitter station at Niton, Isle of Wight. The Lizard Wireless Station is the oldest Marconi station to survive in its original state, and is located to the west of the Lloyds Signal Station in what appears to be a wooden hut. On 12 December 1901 Poldhu Point was the site of the first trans Atlantic, wireless signal radio communication when Marconi sent a signal to St John's, Newfoundland. The technology is one of the key advances to the development of radio, television, satellites and the internet.
A radar station called RAF Dry Tree was built during World War II. The site was later chosen for the Telstar project in 1962; its rocky foundations, clear atmosphere and extreme southerly location being uniquely suitable. This became the Goonhilly satellite earth station, now owned by Goonhilly Earth Station Ltd. Some important developments in television satellite transmission were made at Goonhilly station. A wind farm exists near to the Goonhilly station site.
Geology
Known as the Lizard Complex, the peninsula's geology is the best preserved example of an exposed ophiolite in the United Kingdom.
An ophiolite is a suite of geological formations which represent a slice through a section of ocean crust (including the upper level of the mantle) thrust onto the continental crust.
The Lizard formations comprise three main units; the serpentinites, the "oceanic complex" and the metamorphic basement. The serpentinite contains significant samples of the serpentine polymorph lizardite, which were named after the Lizard complex in 1955.
Ecology
Several nature sites exist on the Lizard Peninsula; Predannack nature reserve, Mullion Island, Goonhilly Downs, and the Cornish Seal Sanctuary at Gweek. An area of the Lizard covering 16.62 square kilometres (6.42 sq mi) is designated a national nature reserve because of its coastal grasslands and heaths and inland heaths. The peninsula contains 3 main Sites of Special Scientific Interest (SSSI), both noted for their endangered insects and plants, as well as their geology. The first is East Lizard Heathlands SSSI, the second is Caerthillian to Kennack SSSI and the third is West Lizard SSSI, of which the important wetland, Hayle Kimbro Pool, forms a part of.
The area is also home to one of England's rarest breeding birds — the Cornish chough. This species of corvid is distinctive due to its red beak and legs and haunting "chee-aw" call. Choughs were extinct in Cornwall but returned naturally in 2001 and began breeding on Lizard in 2002 following a concerted effort by the National Trust, English Nature and the RSPB.
The Lizard contains some of the most specialised flora of any area in Britain, including many Red Data Book plant species. Of particular note is the Cornish heath, Erica vagans, that occurs in abundance here, but which is found nowhere else in Britain. There are more than 600 species of flowering plants on the Lizard, nearly a quarter of all UK species. The reason for this richness is partly because of the many different and unusual Lizard rocks on the Lizard Peninsula. But above all, it is a coming together of multiple factors: a very mild maritime climate, but one prone to gales and salt winds; waterlogged and boggy soils, but ones that often parch and dry out in the summer; soils of greatly contrasting fertility and pH; and lastly man's influence. Any single factor taken on its own would influence the flora; taken together, they combine, overlap and interact. Contrasting plant communities grow side-by-side in a mosaic that changes within a few metres but also changes markedly over time with the cycle of heath fires. It's not so much that conditions are ideal for growth, but that there is such a variety of different, difficult conditions. Each habitat, with its own combination of factors, attracts its own specialist plants. It is also one of the few places where the rare formicine ant, Formica exsecta, (the narrow-headed ant), can be found.
Portrayal in literature, film and music
Daphne du Maurier based many novels on this part of Cornwall, including Frenchman's Creek.
The Lizard was featured on the BBC television programme Seven Natural Wonders as one of the wonders of the South West, and on the BBC series Coast.
In James Clavell's novel Shōgun, ship's pilot Vasco Rodrigues challenges John Blackthorne to recite the latitude of the Lizard to verify that Blackthorne is the Pilot of the Dutch vessel Erasmus.
The Jennifer McQuiston 2015 novel The Spinster's Guide to Scandalous Behavior is set primarily in the fictional village Lizard Bay on the Lizard in the mid-nineteenth century.
In the television adaptation of "Horatio Hornblower", an order is given to "Weather the Lizard" in the episode Hornblower:Mutiny.
"Lizard Point" is also a track on the 1982 album Ambient 4: On Land released by Brian Eno.
The book series "Fenton House" by Ben Cheetham is set on the Lizard Peninsula.
A Christmas tree ornament made by CookieMonster's mom out of a couple of computer fan grates, electrical wiring and a blob of Polymorph.
Moem hosted a third installment of the Geeky Bling workshop, in which computer components were transformed into (Christmas) decorations.
[Camponotus Mayr 1861: 1,083+†29 (IT: 19+†0) spp (41.2-0.0 mya)]
Parabiotic of Crematogaster scutellaris, Lasius emarginatus, Lasius lasioides, Pheidole pallidula, Solenopsis fugax, Tapinoma nigerrimum.
Camponotus is an extremely large and complex, globally distributed genus. At present, nearly 500 sspp belonging to 45 sgg have been described and it could well be the largest ant genus of all. The enormous species richness, high levels of intraspecific and geographic variation and polymorphism render the taxonomy of Camponotus one of the most complex and difficult. Revisionary studies are generally confined to species groups and/or small geographical regions. These ants live in a variety of habitats and microhabitats and the sheer size of the genus makes any characterisation of their biology challenging. Nests are built in the ground, in rotten branches or twigs, or rarely into living wood and most spp possess a highly generalistic diet.
REFERENCES
Obsidian in the Pleistocene of Wyoming, USA.
Obsidian is a glassy-textured, extrusive igneous rock. Glassy-textured rocks have no crystals at all. They form by very rapid cooling of lava or by cooling of high-viscosity lava. Most obsidians form by the latter. Obsidian can be felsic, intermediate, mafic, or alkaline in chemistry. Most are felsic to intermediate.
A famous locality in North America is Obsidian Cliff at Yellowstone, Wyoming. It is a Pleistocene-aged lava flow with the chemistry of rhyolite (= a light-colored, felsic, aphanitic, extrusive igneous rock). The cliff itself shows columnar jointing, which formed by cooling and contraction. The rocks principally range from black-colored, aphyric rhyolitic obsidian to partially devitrified rhyolitic obsidian. Lithophysae are sometimes present. Extremely small, microscopic crystals are present - they can be seen in thin sections. Some samples are reported to have small olivine phenocrysts. Small clusters of crystals, composed of plagioclase feldspar, pyroxene, and olivine, are sometimes present.
Many of the whitish-colored spots and bands running through most Obsidian Cliff rock samples are areas of devitrification. Glass is unstable on geologic times scales and it slowly crystallizes. The light-colored spots and bands are now non-glassy. Spotted, partially devitrified obsidian is known by the rockhound term "snowflake obsidian" (see: www.flickr.com/photos/jsjgeology/16561606417). The spots are composed of silica (SiO2), but are not quartz. Rather, they are composed of a polymorph of quartz - cristobalite.
Why does Obsidian Cliff here not look black and glassy? The rocks are weathered, partially devitrified, and considerably lichen-covered. Classic, black, glassy obsidian can be seen in some of the boulders along the road.
Stratigraphy: Roaring Mountain Member, Plateau Rhyolite, Upper Pleistocene, ~59 ka
Locality: Obsidian Cliff, eastern edge of Obsidian Creek Valley, Yellowstone National Park, northwestern Wyoming, USA
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Age & some lithologic info. from:
Wooton (2010) - Age and Petrogenesis of the Roaring Mountain Rhyolites, Yellowstone Volcanic Field, Wyoming. M.S. thesis. University of Nevada at Las Vegas. 296 pp.
Autism spectrum disorder[a] (ASD), or simply autism, is a neurodevelopmental disorder "characterized by persistent deficits in social communication and social interaction across multiple contexts" and "restricted, repetitive patterns of behavior, interests, or activities".[11] Sensory abnormalities are also included in the diagnostic manuals. Common associated traits such as motor coordination impairment are typical of the condition but not required for diagnosis. A formal diagnosis requires that symptoms cause significant impairment in multiple functional domains, in addition to being atypical or excessive for the person's age and sociocultural context.[12][13]
Autism is a spectrum disorder, meaning it manifests in various ways, with its severity and support needs varying widely across different autistic people.[12][13][14] For example, some autistic people are nonverbal, while others have proficient spoken language. Furthermore, the spectrum is multi-dimensional and not all dimensions have been identified as of 2024.[15][16]
Public health authorities and guideline developers classify autism as a neurodevelopmental disorder,[12][17][13][18][19] but the autism rights movement (and some researchers) disagree with the classification. From the latter point of view, autistic people may be diagnosed with a disability, but that disability may be rooted in the structures of a society rather than the person.[20][21][22] On the contrary, other scientists argue that autism impairs functioning in many ways that are inherent to the disorder itself and unrelated to society.[23][24] The neurodiversity perspective has led to significant controversy among those who are autistic and advocates, practitioners, and charities.[25][26]
The precise causes of autism are unknown in most individual cases. Research shows that the disorder is highly heritable and polygenic, and neurobiological risks from the environment are also relevant.[27][28][29] Boys are also significantly far more frequently diagnosed than girls.[30]
Autism frequently co-occurs with attention deficit hyperactivity disorder (ADHD), epilepsy, and intellectual disability.[31][32][33] Disagreements persist about what should be part of the diagnosis, whether there are meaningful subtypes or stages of autism,[34] and the significance of autism-associated traits in the wider population.[35][36]
The combination of broader criteria, increased awareness, and the potential increase of actual prevalence has led to considerably increased estimates of autism prevalence since the 1990s.[37][38] The WHO estimates about 1 in 100 children had autism between 2012 and 2021, as that was the average estimate in studies during that period, with a trend of increasing prevalence over time.[b][9][10] This increasing prevalence has contributed to the myth perpetuated by anti-vaccine activists that autism is caused by vaccines.[39]
There is no known cure for autism, and some advocates dispute the need to find one.[40][41] Interventions such as applied behavior analysis (ABA), speech therapy, and occupational therapy can help these children gain self-care, social, and language skills.[42][43] Guidelines from the Centres for Disease Control (CDC), and European Society for Child & Adolescent Psychiatry endorse the use of ABA on the grounds that it reduces symptoms impairing daily functioning and quality of life,[42][44] but the National Institute for Health and Care Excellence cites a lack of high-quality evidence to support its use.[45] Additionally, some in the autism rights movement oppose its application due to a perception that it emphasises normalisation.[46][47][48] No medication has been shown to reduce ASD's core symptoms,[44] but some can alleviate comorbid issues.[49][50][51]
Classification
Spectrum model
Before the DSM-5 (2013) and ICD-11 (2022) diagnostic manuals were adopted, ASD was found under the diagnostic category pervasive developmental disorder. The previous system relied on a set of closely related and overlapping diagnoses such as Asperger syndrome and the syndrome formerly known as Kanner syndrome. This created unclear boundaries between the terms, so for the DSM-5 and ICD-11, a spectrum approach was taken. The new system is also more restrictive, meaning fewer people qualify for diagnosis.[52]
The DSM-5 and ICD-11 use different categorization tools to define this spectrum. DSM-5 uses a "level" system, which ranks how in need of support the patient is, level 1 being the mildest and level 3 the severest,[53] while the ICD-11 system has two axes, intellectual impairment and language impairment,[54] as these are seen as the most crucial factors.
Autism is currently defined as a highly variable neurodevelopmental disorder[55] that is generally thought to cover a broad and deep spectrum, manifesting very differently from one person to another. Some have high support needs, may be nonspeaking, and experience developmental delays; this is more likely with other co-existing diagnoses. Others have relatively low support needs; they may have more typical speech-language and intellectual skills but atypical social/conversation skills, narrowly focused interests, and wordy, pedantic communication.[56] They may still require significant support in some areas of their lives. The spectrum model should not be understood as a continuum running from mild to severe, but instead means that autism can present very differently in each person.[57] How it presents in a person can depend on context, and may vary over time.[58]
While the DSM and ICD greatly influence each other, there are also differences. For example, Rett syndrome was included in ASD in the DSM-5, but in the ICD-11 it was excluded and placed in the chapter on Developmental Anomalies. The ICD and the DSM change over time, and there has been collaborative work toward a convergence of the two since 1980 (when DSM-III was published and ICD-9 was current), including more rigorous biological assessment—in place of historical experience—and a simplification of the classification system.[59][60][61][62]
As of 2023, empirical and theoretical research is leading to a growing consensus among researchers that the established ASD criteria are ineffective descriptors of autism as a whole, and that alternative research approaches must be encouraged, such as going back to autism prototypes, exploring new causal models of autism, or developing transdiagnostic endophenotypes.[63] Proposed alternatives to the current disorder-focused spectrum model deconstruct autism into at least two separate phenomena: (1) a non-pathological spectrum of behavioral traits in the population,[64][65] and (2) the neuropathological burden of rare genetic mutations and environmental risk factors potentially leading to neurodevelopmental and psychological disorders,[64][65] (3) governed by an individual's cognitive ability to compensate.[64]
ICD
The World Health Organization's International Classification of Diseases (11th revision), ICD-11, was released in June 2018 and came into full effect as of January 2022.[66][59] It describes ASD as follows:[67]
Autism spectrum disorder is characterised by persistent deficits in the ability to initiate and to sustain reciprocal social interaction and social communication, and by a range of restricted, repetitive, and inflexible patterns of behaviour, interests or activities that are clearly atypical or excessive for the individual's age and sociocultural context. The onset of the disorder occurs during the developmental period, typically in early childhood, but symptoms may not become fully manifest until later, when social demands exceed limited capacities. Deficits are sufficiently severe to cause impairment in personal, family, social, educational, occupational or other important areas of functioning and are usually a pervasive feature of the individual's functioning observable in all settings, although they may vary according to social, educational, or other context. Individuals along the spectrum exhibit a full range of intellectual functioning and language abilities.
— ICD-11, chapter 6, section A02
ICD-11 was produced by professionals from 55 countries out of the 90 involved and is the most widely used reference worldwide.
DSM
The American Psychiatric Association's Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, Fifth Edition, Text Revision (DSM-5-TR), released in 2022, is the current version of the DSM. It is the predominant mental health diagnostic system used in the United States and Canada, and is often used in Anglophone countries.
Its fifth edition, DSM-5, released in May 2013, was the first to define ASD as a single diagnosis,[68] which is still the case in the DSM-5-TR.[69] ASD encompasses previous diagnoses, including the four traditional diagnoses of autism—classic autism, Asperger syndrome, childhood disintegrative disorder, and pervasive developmental disorder not otherwise specified (PDD-NOS)—and the range of diagnoses that included the word "autism".[70] Rather than distinguishing among these diagnoses, the DSM-5 and DSM-5-TR adopt a dimensional approach with one diagnostic category for disorders that fall under the autism spectrum umbrella. Within that category, the DSM-5 and the DSM include a framework that differentiates each person by dimensions of symptom severity, as well as by associated features (i.e., the presence of other disorders or factors that likely contribute to the symptoms, other neurodevelopmental or mental disorders, intellectual disability, or language impairment).[69] The symptom domains are (a) social communication and (b) restricted, repetitive behaviors, and there is the option of specifying a separate severity—the negative effect of the symptoms on the person—for each domain, rather than just overall severity.[71] Before the DSM-5, the DSM separated social deficits and communication deficits into two domains.[72] Further, the DSM-5 changed to an onset age in the early developmental period, with a note that symptoms may manifest later when social demands exceed capabilities, rather than the previous, more restricted three years of age.[73] These changes remain in the DSM-5-TR.[69]
Signs and symptoms
See also: Outline of autism
Pre-diagnosis
For many autistic people, characteristics first appear during infancy or childhood and follow a steady course without remission (different developmental timelines are described in more detail below).[74] Autistic people may be severely impaired in some respects but average, or even superior, in others.[75][76][77]
Clinicians consider assessment for ASD when a patient shows:
Regular difficulties in social interaction or communication
Restricted or repetitive behaviors (often called "stimming")
Resistance to changes or restricted interests
These features are typically assessed with the following, when appropriate:
Problems in obtaining or sustaining employment or education
Difficulties in initiating or sustaining social relationships
Connections with mental health or learning disability services
A history of neurodevelopmental conditions (including learning disabilities and ADHD) or mental health conditions[78][79]
There are many signs associated with autism; the presentation varies widely. Common signs and symptoms include:[80][81]
Abnormalities in eye contact
Little or no babbling as an infant
Not showing interest in indicated objects
Delayed language skills (e.g., having a smaller vocabulary than peers or difficulty expressing themselves in words)
Reduced interest in other children or caretakers, possibly with more interest in objects
Difficulty playing reciprocal games (e.g., peek-a-boo)
Hyper- or hypo-sensitivity to or unusual response to the smell, texture, sound, taste, or appearance of things
Resistance to changes in routine
Repetitive, limited, or otherwise unusual usage of toys (e.g., lining up toys)
Repetition of words or phrases, including echolalia
Repetitive motions or movements, including stimming
Broader autism phenotype
The broader autism phenotype describes people who may not have ASD but do have autistic traits, such as abnormalities in eye contact and stimming.[82]
In 1996, American academic Temple Grandin published Emergence: Labeled Autistic, describing her life experiences as an autistic person.
Social and communication skills
According to the medical model, autistic people experience social communications impairments. Until 2013, deficits in social function and communication were considered two separate symptom domains.[83] The current social communication domain criteria for autism diagnosis require people to have deficits across three social skills: social-emotional reciprocity, nonverbal communication, and developing and sustaining relationships.[69]
A deficit-based view predicts that autistic–autistic interaction would be less effective than autistic–non-autistic interactions or even non-functional.[84] But recent research has found that autistic–autistic interactions are as effective in information transfer as interactions between non-autistics are, and that communication breaks down only between autistics and non-autistics.[84][85] Also contrary to social cognitive deficit interpretations, recent (2019) research recorded similar social cognitive performances in autistic and non-autistic adults, with both of them rating autistic individuals less favorably than non-autistic individuals; however, autistic individuals showed more interest in engaging with autistic people than non-autistic people did, and learning of a person's ASD diagnosis did not influence their interest level.[86]
Thus, there has been a recent shift to acknowledge that autistic people may simply respond and behave differently than people without ASD.[87] So far, research has identified two unconventional features by which autistic people create shared understanding (intersubjectivity): "a generous assumption of common ground that, when understood, led to rapid rapport, and, when not understood, resulted in potentially disruptive utterances; and a low demand for coordination that ameliorated many challenges associated with disruptive turns."[85] Autistic interests, and thus conversational topics, seem to be largely driven by an intense interest in specific topics (monotropism).[88][89]
Historically, autistic children were said to be delayed in developing a theory of mind, and the empathizing–systemizing theory has argued that while autistic people have compassion (affective empathy) for others with similar presentation of symptoms, they have limited, though not necessarily absent, cognitive empathy.[90] This may present as social naïvety,[91] lower than average intuitive perception of the utility or meaning of body language, social reciprocity,[92] or social expectations, including the habitus, social cues, and some aspects of sarcasm,[93] which to some degree may also be due to comorbid alexithymia.[94] But recent research has increasingly questioned these findings, as the "double empathy problem" theory (2012) argues that there is a lack of mutual understanding and empathy between both non-autistic persons and autistic individuals.[95][96][97][98][99]
As communication is bidirectional,[100] research on communication difficulties has since also begun to study non-autistic behavior, with researcher Catherine Crompton writing in 2020 that non-autistic people "struggle to identify autistic mental states, identify autistic facial expressions, overestimate autistic egocentricity, and are less willing to socially interact with autistic people. Thus, although non-autistic people are generally characterised as socially skilled, these skills may not be functional or effectively applied when interacting with autistic people."[84] Any previously observed communication deficits of autistic people may thus have been constructed through a neurotypical bias in autism research, which has come to be scrutinized for "dehumanization, objectification, and stigmatization".[101] Recent research has proposed that autistics' lack of readability and a neurotypical lack of effort to interpret atypical signals may cause a negative interaction loop, increasingly driving both groups apart into two distinct groups with different social interaction styles.[100]
Differences in verbal communication begin to be noticeable in childhood, as many autistic children develop language skills at an uneven pace. Verbal communication may be delayed or never developed (nonverbal autism), while reading ability may be present before school age (hyperlexia).[102][103] Reduced joint attention seem to distinguish autistic from non-autistic infants.[104] Infants may show delayed onset of babbling, unusual gestures, diminished responsiveness, and vocal patterns that are not synchronized with the caregiver. In the second and third years, autistic children may have less frequent and less diverse babbling, consonants, words, and word combinations; their gestures are less often integrated with words. Autistic children are less likely to make requests or share experiences and are more likely to simply repeat others' words (echolalia).[105] The CDC estimated in 2015 that around 40% of autistic children do not speak at all.[106] Autistic adults' verbal communication skills largely depend on when and how well speech is acquired during childhood.[102]
Autistic people display atypical nonverbal behaviors or show differences in nonverbal communication. They may make infrequent eye contact, even when called by name, or avoid it altogether. This may be due to the high amount of sensory input received when making eye contact.[107] Autistic people often recognize fewer emotions and their meaning from others' facial expressions, and may not respond with facial expressions expected by their non-autistic peers.[108][103] Temple Grandin, an autistic woman involved in autism activism, described her inability to understand neurotypicals' social communication as leaving her feeling "like an anthropologist on Mars".[109] Autistic people struggle to understand the social context and subtext of neurotypical conversational or printed situations, and form different conclusions about the content.[110] Autistic people may not control the volume of their voice in different social settings.[111] At least half of autistic children have atypical prosody.[111]
What may look like self-involvement or indifference to non-autistic people stems from autistic differences in recognizing how other people have their own personalities, perspectives, and interests.[110][112] Most published research focuses on the interpersonal relationship difficulties between autistic people and their non-autistic counterparts and how to solve them through teaching neurotypical social skills, but newer research has also evaluated what autistic people want from friendships, such as a sense of belonging and good mental health.[113][114] Children with ASD are more frequently involved in bullying situations than their non-autistic peers, and predominantly experience bullying as victims rather than perpetrators or victim-perpetrators, especially after controlling for comorbid psychopathology.[115] Prioritizing dependability and intimacy in friendships during adolescence, coupled with lowered friendship quantity and quality, often lead to increased loneliness in autistic people.[116] As they progress through life, autistic people observe and form a model of social patterns, and develop coping mechanisms, referred to as "masking",[117][118] which have recently been found to come with psychological costs and a higher increased risk of suicidality.[100]
Restricted and repetitive behaviors
Sleeping boy beside a dozen or so toys arranged in a line
A young autistic boy who has arranged his toys in a row
ASD includes a wide variety of characteristics. Some of these include behavioral characteristics, which widely range from slow development of social and learning skills to difficulties creating connections with other people. Autistic people may experience these challenges with forming connections due to anxiety or depression, which they are more likely to experience, and as a result isolate themselves.[119][120]
Other behavioral characteristics include abnormal responses to sensations (such as sights, sounds, touch, taste and smell) and problems keeping a consistent speech rhythm. The latter problem influences social skills, leading to potential problems in understanding for interlocutors. Autistic people's behavioral characteristics typically influence development, language, and social competence. Their behavioral characteristics can be observed as perceptual disturbances, disturbances of development rate, relating, speech and language, and motility.[121]
The second core symptom of autism spectrum is a pattern of restricted and repetitive behaviors, activities, and interests. In order to be diagnosed with ASD under the DSM-5-TR, a person must have at least two of the following behaviors:[69][122]
An autistic boy arranging brads on a cork coaster
Repetitive behaviors – Repetitive behaviors such as rocking, hand flapping, finger flicking, head banging, or repeating phrases or sounds.[123] These behaviors may occur constantly or only when the person gets stressed, anxious, or upset. These behaviors are also known as stimming.
Resistance to change – A strict adherence to routines such as eating certain foods in a specific order or taking the same path to school every day.[123] The person may become distressed if there is a change or disruption to their routine.
Restricted interests – An excessive interest in a particular activity, topic, or hobby, and devoting all their attention to it. For example, young children might completely focus on things that spin and ignore everything else. Older children might try to learn everything about a single topic, such as the weather or sports, and perseverate or talk about it constantly.[123]
Sensory reactivity – An unusual reaction to certain sensory inputs, such as negative reaction to specific sounds or textures, fascination with lights or movements, or apparent indifference to pain or heat.[124]
Autistic people can display many forms of repetitive or restricted behavior, which the Repetitive Behavior Scale-Revised (RBS-R) categorizes as follows.[125]
Stereotyped behaviors: Repetitive movements, such as hand flapping, head rolling, or body rocking.
Compulsive behaviors: Time-consuming behaviors intended to reduce anxiety, that a person feels compelled to perform repeatedly or according to rigid rules, such as placing objects in a specific order, checking things, or handwashing.
Sameness: Resistance to change; for example, insisting that the furniture not be moved or refusing to be interrupted.
Ritualistic behavior: Unvarying pattern of daily activities, such as an unchanging menu or a dressing ritual. This is closely associated with sameness and an independent validation has suggested combining the two factors.[125]
Self-injurious behaviors: Behaviors such as eye-poking, skin-picking, hand-biting and head-banging.[104]
Self-injury and suicide
Self-injurious behaviors are relatively common in autistic people, and can include head-banging, self-cutting, self-biting, and hair-pulling.[126] Some of these can result in serious injury or death.[126] Autistic people are about three times as likely as non-autistic people to engage in self-injury.[127]
Theories about the cause of self-injurious behavior in children with developmental delay, including autistic children, include:[128]
Frequency or continuation of self-injurious behavior can be influenced by environmental factors (e.g., reward in return for halting self-injurious behavior). This theory does not apply to younger children with autism. There is some evidence that frequency of self-injurious behavior can be reduced by removing or modifying environmental factors that reinforce the behavior.[128]: 10–12
Higher rates of self-injury are noted in socially isolated autistic people. Studies have shown that socialization skills are related factors to self-injurious behavior for autistic people.[129]
Self-injury could be a response to modulate pain perception when chronic pain or other health problems that cause pain are present.[128]: 12–13
Abnormal basal ganglia connectivity may predispose to self-injurious behavior.[128]: 13
Risk factors for self-harm and suicidality include circumstances that could affect anyone, such as mental health problems (e.g., anxiety disorder) and social problems (e.g., unemployment and social isolation), plus factors that affect only autistic people, such as actively trying to behave like like a neurotypical person, which is called masking.[130]
Rates of suicidality vary significantly depending upon what is being measured.[130] This is partly because questionnaires developed for neurotypical subjects are not always valid for autistic people.[130] As of 2023, the Suicidal Behaviours Questionnaire–Autism Spectrum Conditions (SBQ-ASC) is the only test validated for autistic people.[130] According to some estimates, about a quarter of autistic youth[131] and a third of all autistic people[130][132] have experienced suicidal ideation at some point. Rates of suicidal ideation are the same for people formally diagnosed with autism and people who have typical intelligence and are believed to have autism but have not been diagnosed.[130]
Although most people who attempt suicide are not autistic,[130] autistic people are about three times as likely as non-autistic people to make a suicide attempt.[127][133] Less than 10% of autistic youth have attempted suicide,[131] but 15% to 25% autistic adults have.[130][132] The rates of suicide attempts are the same among people formally diagnosed with autism and those who have typical intelligence and are believed to have autism but have not been diagnosed.[130] The suicide risk is lower among cisgender autistic males and autistic people with intellectual disabilities.[130][133] The rate of suicide results in a global excess mortality among autistic people equal to approximately 2% of all suicide deaths each year.[133]
Burnout
Main article: Autistic burnout
This section should include a summary of Autistic burnout. See Wikipedia:Summary style for information on how to incorporate it into this article's main text. (August 2024)
Studies have supported the common belief that autistic people become exhausted or burnt out in some situations.[134][135][136][137]
In 2021, screenwriter and actor Wentworth Miller revealed his autism diagnosis in a now-deleted Instagram post, stating it was "a shock" but "not a surprise".[138]
Other features
Autistic people may have symptoms that do not contribute to the official diagnosis, but that can affect the person or the family.[139]
Some autistic people show unusual or notable abilities, ranging from splinter skills (such as the memorization of trivia) to rare talents in mathematics, music, or artistic reproduction, which in exceptional cases are considered a part of the savant syndrome.[140][141][142] One study describes how some autistic people show superior skills in perception and attention relative to the general population.[143] Sensory abnormalities are found in over 90% of autistic people, and are considered core features by some.[144]
More generally, autistic people tend to show a "spiky skills profile", with strong abilities in some areas contrasting with much weaker abilities in others.[145]
Autistic people are less likely to show cognitive or emotional biases, and usually process information more rationally.[146] On the other hand, most autistic people exhibit lower levels of emotional intelligence, the ability to understand nonverbal clues about other people's feelings.[147]
Differences between the previously recognized disorders under the autism spectrum are greater for under-responsivity (for example, walking into things) than for over-responsivity (for example, distress from loud noises) or for sensation seeking (for example, rhythmic movements).[148] An estimated 60–80% of autistic people have motor signs that include poor muscle tone, poor motor planning, and toe walking;[144][149] deficits in motor coordination are pervasive across ASD and are greater in autism proper.[150][151]
Pathological demand avoidance can occur. People with this set of autistic symptoms are more likely to refuse to do what is asked or expected of them, even to activities they enjoy.
Unusual or atypical eating behavior occurs in about three-quarters of children with ASD, to the extent that it was formerly a diagnostic indicator.[139] Selectivity is the most common problem, although eating rituals and food refusal also occur.[152]
Problematic digital media use
See also: Screen time, Internet addiction disorder, and Video game addiction
This section is an excerpt from Digital media use and mental health § Autism.[edit]
In September 2018, the Review Journal of Autism and Developmental Disorders published a systematic review of 47 studies published from 2005 to 2016 that concluded that associations between autism spectrum disorder (ASD) and screen time was inconclusive.[153] In May 2019, the Journal of Developmental and Behavioral Pediatrics published a systematic review of 16 studies that found that children and adolescents with ASD are exposed to more screen time than typically developing peers and that the exposure starts at a younger age.[154] In April 2021, Research in Autism Spectrum Disorders published a systematic review of 12 studies of video game addiction in ASD subjects that found that children, adolescents, and adults with ASD are at greater risk of video game addiction than those without ASD, and that the data from the studies suggested that internal and external factors (sex, attention and oppositional behavior problems, social aspects, access and time spent playing video games, parental rules, and game genre) were significant predictors of video game addiction in ASD subjects.[155] In March 2022, the Review Journal of Autism and Developmental Disorders published a systematic review of 21 studies investigating associations between ASD, problematic internet use, and gaming disorder where the majority of the studies found positive associations between the disorders.[156]
In August 2022, the International Journal of Mental Health and Addiction published a review of 15 studies that found that high rates of video game use in boys and young males with ASD was predominantly explained by video game addiction, but also concluded that greater video game use could be a function of ASD restricted interest and that video game addiction and ASD restricted interest could have an interactive relationship.[157] In December 2022, the Review Journal of Autism and Developmental Disorders published a systematic review of 10 studies researching the prevalence of problematic internet use with ASD that found that ASD subjects had more symptoms of problematic internet use than control group subjects, had higher screen time online and an earlier age of first-time use of the internet, and also greater symptoms of depression and ADHD.[158] In July 2023, Cureus published a systematic review of 11 studies that concluded that earlier and longer screen time exposure for children was associated with higher probability of a child "developing" ASD.[159] In December 2023, JAMA Network Open published a meta-analysis of 46 studies comprising 562,131 subjects that concluded that while screen time may be a developmental cause of ASD in childhood, associations between ASD and screen time were not statistically significant when accounting for publication bias.[160]
Possible causes
Main article: Causes of autism
Exactly what causes autism remains unknown.[161][162][163][164] It was long mostly presumed that there is a common cause at the genetic, cognitive, and neural levels for the social and non-social components of ASD's symptoms, described as a triad in the classic autism criteria.[165] But it is increasingly suspected that autism is instead a complex disorder whose core aspects have distinct causes that often cooccur.[165][166] It is unlikely that ASD has a single cause;[166] many risk factors identified in the research literature may contribute to ASD. These include genetics, prenatal and perinatal factors (meaning factors during pregnancy or very early infancy), neuroanatomical abnormalities, and environmental factors. It is possible to identify general factors, but much more difficult to pinpoint specific ones. Given the current state of knowledge, prediction can only be of a global nature and so requires the use of general markers.[clarification needed][167]
Biological subgroups
Research into causes has been hampered by the inability to identify biologically meaningful subgroups within the autistic population[168] and by the traditional boundaries between the disciplines of psychiatry, psychology, neurology and pediatrics.[169] Newer technologies such as fMRI and diffusion tensor imaging can help identify biologically relevant phenotypes (observable traits) that can be viewed on brain scans, to help further neurogenetic studies of autism;[170] one example is lowered activity in the fusiform face area of the brain, which is associated with impaired perception of people versus objects.[171] It has been proposed to classify autism using genetics as well as behavior.[172]
Syndromic autism and non-syndromic autism
Main article: Syndromic autism
Autism spectrum disorder (ASD) can be classified into two categories: "syndromic autism" and "non-syndromic autism".
Syndromic autism refers to cases where ASD is one of the characteristics associated with a broader medical condition or syndrome, representing about 25% of ASD cases. The causes of syndromic autism are often known, and monogenic disorders account for approximately 5% of these cases.
Non-syndromic autism, also known as classic or idiopathic autism, represents the majority of cases, and its cause is typically polygenic and unknown.
Genetics
Main articles: Heritability of autism and Epigenetics of autism
See also: Missing heritability problem
Hundreds of different genes are implicated in susceptibility to developing autism,[173] most of which alter the brain structure in a similar way.
Autism has a strong genetic basis, although the genetics of autism are complex and it is unclear whether ASD is explained more by rare mutations with major effects, or by rare multi-gene interactions of common genetic variants.[174][175] Complexity arises due to interactions among multiple genes, the environment, and epigenetic factors which do not change DNA sequencing but are heritable and influence gene expression.[176] Many genes have been associated with autism through sequencing the genomes of affected people and their parents.[177] But most of the mutations that increase autism risk have not been identified. Typically, autism cannot be traced to a Mendelian (single-gene) mutation or to a single chromosome abnormality, and none of the genetic syndromes associated with ASD have been shown to selectively cause ASD.[174] Numerous genes have been found, with only small effects attributable to any particular gene.[174] Most loci individually explain less than 1% of cases of autism.[178] As of 2018, it appeared that between 74% and 93% of ASD risk is heritable.[122] After an older child is diagnosed with ASD, 7% to 20% of subsequent children are likely to be as well.[122] If parents have one autistic child, they have a 2% to 8% chance of having a second child who is autistic. If the autistic child is an identical twin, the other will be affected 36% to 95% of the time. A fraternal twin is affected up to 31% of the time.[179] The large number of autistic people with unaffected family members may result from spontaneous structural variation, such as deletions, duplications or inversions in genetic material during meiosis.[180][181] Hence, a substantial fraction of autism cases may be traceable to genetic causes that are highly heritable but not inherited: that is, the mutation that causes the autism is not present in the parental genome.[182]
As of 2018, understanding of genetic risk factors had shifted from a focus on a few alleles to an understanding that genetic involvement in ASD is probably diffuse, depending on a large number of variants, some of which are common and have a small effect, and some of which are rare and have a large effect. The most common gene disrupted with large effect rare variants appeared to be CHD8, but less than 0.5% of autistic people have such a mutation. The gene CHD8 encodes the protein chromodomain helicase DNA binding protein 8, which is a chromatin regulator enzyme that is essential during fetal development. CHD8 is an adenosine triphosphate (ATP)–dependent enzyme.[183][184][185] The protein contains an Snf2 helicase domain that is responsible for the hydrolysis of ATP to adenosine diphosphate (ADP).[185] CHD8 encodes a DNA helicase that functions as a repressor of transcription, remodeling chromatin structure by altering the position of nucleosomes. CHD8 negatively regulates Wnt signaling. Wnt signaling is important in the vertebrate early development and morphogenesis. It is believed that CHD8 also recruits the linker histone H1 and causes the repression of β-catenin and p53 target genes.[183] The importance of CHD8 can be observed in studies where CHD8-knockout mice died after 5.5 embryonic days because of widespread p53-induced apoptosis. Some studies have determined the role of CHD8 in autism spectrum disorder (ASD). CHD8 expression significantly increases during human mid-fetal development.[183] The chromatin remodeling activity and its interaction with transcriptional regulators have shown to play an important role in ASD aetiology.[184] The developing mammalian brain has conserved CHD8 target regions that are associated with ASD risk genes.[186] The knockdown of CHD8 in human neural stem cells results in dysregulation of ASD risk genes that are targeted by CHD8.[187] Recently CHD8 has been associated with the regulation of long non-coding RNAs (lncRNAs),[188] and the regulation of X chromosome inactivation (XCI) initiation, via regulation of Xist long non-coding RNA,[ambiguous] the master regulator of XCI,[ambiguous] though competitive binding to Xist regulatory regions.[189]
Some ASD is associated with clearly genetic conditions, like fragile X syndrome, but only around 2% of autistic people have fragile X.[122] Hypotheses from evolutionary psychiatry suggest that these genes persist because they are linked to human inventiveness, intelligence or systemising.[190][191]
Current research suggests that genes that increase susceptibility to ASD are ones that control protein synthesis in neuronal cells in response to cell needs, activity and adhesion of neuronal cells, synapse formation and remodeling, and excitatory to inhibitory neurotransmitter balance. Therefore, although up to 1,000 different genes are thought to increase the risk of ASD, all of them eventually affect normal neural development and connectivity between different functional areas of the brain in a similar manner that is characteristic of an ASD brain. Some of these genes are known to modulate production of the GABA neurotransmitter, the nervous system's main inhibitory neurotransmitter. These GABA-related genes are under-expressed in an ASD brain. On the other hand, genes controlling expression of glial and immune cells in the brain, e.g. astrocytes and microglia, respectively, are overexpressed, which correlates with increased number of glial and immune cells found in postmortem ASD brains. Some genes under investigation in ASD pathophysiology are those that affect the mTOR signaling pathway, which supports cell growth and survival.[192]
All these genetic variants contribute to the development of the autism spectrum, but it cannot be guaranteed that they are determinants for the development.[193]
ASD may be under-diagnosed in women and girls due to an assumption that it is primarily a male condition,[194] but genetic phenomena such as imprinting and X linkage have the ability to raise the frequency and severity of conditions in males, and theories have been put forward for a genetic reason why males are diagnosed more often, such as the imprinted brain hypothesis and the extreme male brain theory.[195][196][197]
Early life
See also: Refrigerator mother theory
Several prenatal and perinatal complications have been reported as possible risk factors for autism. These risk factors include maternal gestational diabetes, maternal and paternal age over 30,[198][199][200] bleeding during pregnancy after the first trimester, use of certain prescription medication (e.g. valproate) during pregnancy, and meconium in the amniotic fluid. Research is not conclusive on the relation of these factors to autism, but each of them has been identified more frequently in children with autism compared to their siblings who do not have autism and other typically developing youth.[201] While it is unclear if any single factors during the prenatal phase affect the risk of autism,[202] complications during pregnancy may be a risk.[202]
There are also studies being done to test whether certain types of regressive autism have an autoimmune basis.[203]
Maternal nutrition and inflammation during preconception and pregnancy influences fetal neurodevelopment. Intrauterine growth restriction is associated with ASD, in both term and preterm infants.[204] Maternal inflammatory and autoimmune diseases may damage fetal tissues, aggravating a genetic problem or damaging the nervous system.[205] Systematic reviews and meta-analyses have found that maternal prenatal infections, prenatal antibiotic exposure, and post-term pregnancies are associated with increased risk of ASD in children.[206][207][208]
Exposure to air pollution during child pregnancy, especially heavy metals and particulates, may increase the risk of autism.[209][210] Environmental factors that have been claimed without evidence to contribute to or exacerbate autism include certain foods, infectious diseases, solvents, PCBs, phthalates and phenols used in plastic products, pesticides, brominated flame retardants, alcohol, smoking, illicit drugs, vaccines,[211] and prenatal stress. Some, such as the MMR vaccine, have been completely disproven.[212][213][214][215]
Disproven vaccine hypothesis
Main articles: Vaccines and autism and MMR vaccine and autism
Parents may first become aware of ASD symptoms in their child around the time of a routine vaccination. This has led to unsupported and disproven theories blaming vaccine "overload", the vaccine preservative thiomersal, or the MMR vaccine for causing autism spectrum disorder.[216] In 1998, British physician and academic Andrew Wakefield led a fraudulent, litigation-funded study that suggested that the MMR vaccine may cause autism.[217][218][219][220][221]
Two versions of the vaccine causation hypothesis were that autism results from brain damage caused by either the MMR vaccine itself, or by mercury used as a vaccine preservative.[222] No convincing scientific evidence supports these claims.[39] They are biologically implausible,[216] and further evidence continues to refute them, including the observation that the rate of autism continues to climb despite elimination of thimerosal from most routine vaccines given to children from birth to 6 years of age.[223][224][225][226][227]
A 2014 meta-analysis examined ten major studies on autism and vaccines involving 1.25 million children worldwide; it concluded that neither the vaccine preservative thimerosal (mercury), nor the MMR vaccine, which has never contained thimerosal,[228] lead to the development of ASDs.[229] Despite this, misplaced parental concern has led to lower rates of childhood immunizations, outbreaks of previously controlled childhood diseases in some countries, and the preventable deaths of several children.[230][231]
Etiological hypotheses
Several hypotheses have been presented that try to explain how and why autism develops by integrating known causes (genetic and environmental effects) and findings (neurobiological and somatic). Some are more comprehensive, such as the Pathogenetic Triad, which proposes and operationalizes three core features (an autistic personality, cognitive compensation, neuropathological burden) that interact to cause autism,[232] and the Intense World Theory, which explains autism through a hyper-active neurobiology that leads to an increased perception, attention, memory, and emotionality.[233] There are also simpler hypotheses that explain only individual parts of the neurobiology or phenotype of autism, such as mind-blindness (a decreased ability for theory of mind), the weak central coherence theory, or the extreme male brain and empathising–systemising theory.
Evolutionary hypotheses
See also: Evolutionary psychology and Pleiotropy § Autism and schizophrenia
Research exploring the evolutionary benefits of autism and associated genes has suggested that autistic people may have played a "unique role in technological spheres and understanding of natural systems" in the course of human development.[234][235] It has been suggested that autism may have arisen as "a slight trade off for other traits that are seen as highly advantageous", providing "advantages in tool making and mechanical thinking", with speculation that the condition may "reveal itself to be the result of a balanced polymorphism, like sickle cell anemia, that is advantageous in a certain mixture of genes and disadvantageous in specific combinations".[236] In 2011, a paper in Evolutionary Psychology proposed that autistic traits, including increased spatial intelligence, concentration and memory, could have been naturally selected to enable self-sufficient foraging in a more (although not completely) solitary environment. This is called the "Solitary Forager Hypothesis".[237][238][239] A 2016 paper examines Asperger syndrome as "an alternative prosocial adaptive strategy" that may have developed as a result of the emergence of "collaborative morality" in the context of small-scale hunter-gathering, i.e., where "a positive social reputation for making a contribution to group wellbeing and survival" becomes more important than complex social understanding.[240]
Some research suggests that recent human evolution may be a driving force in the rise of autism in recent human populations. Studies in evolutionary medicine indicate that as cultural evolution outpaces biological evolution, disorders linked to bodily dysfunction increase in prevalence due to lack of contact with pathogens and negative environmental conditions that once widely affected ancestral populations. Because natural selection favors reproduction over health and longevity, the lack of this impetus to adapt to certain harmful circumstances creates a tendency for genes in descendant populations to over-express themselves, which may cause a wide array of maladies, ranging from mental disorders to autoimmune diseases.[241] Conversely, noting the failure to find specific alleles that reliably cause autism or rare mutations that account for more than 5% of the heritable variation in autism established by twin and adoption studies, research in evolutionary psychiatry has concluded that it is unlikely that there is selection pressure for autism when considering that, like schizophrenics, autistic people and their siblings tend to have fewer offspring on average than non-autistic people, and instead that autism is probably better explained as a by-product of adaptive traits caused by antagonistic pleiotropy and by genes that are retained due to a fitness landscape with an asymmetric distribution.[242][243][244]
Pathophysiology
Main articles: Mechanism of autism and Pathophysiology of autism
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Diagnosis
Main article: Diagnosis of autism
This section should include a summary of Diagnosis of autism. See Wikipedia:Summary style for information on how to incorporate it into this article's main text. (August 2024)
This section is an excerpt from Diagnosis of autism.[edit]
The diagnosis of autism is based on a person's reported and directly observed behavior.[245] There are no known biomarkers for autism spectrum conditions that allow for a conclusive diagnosis.[246]
In most cases, diagnostic criteria codified in the World Health Organization's International Classification of Diseases (ICD) or the American Psychiatric Association's Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM) are used. These reference manuals are regularly updated based on advances in research, systematic evaluation of clinical experience, and healthcare considerations. Currently, the DSM-5 published in 2013 and the ICD-10 that came into effect in 1994 are used, with the latter in the process of being replaced by the ICD-11 that came into effect in 2022 and is now implemented by healthcare systems across the world. Which autism spectrum diagnoses can be made and which criteria are used depends on the local healthcare system's regulations.
According to the DSM-5-TR (2022), in order to receive a diagnosis of autism spectrum disorder, one must present with "persistent deficits in social communication and social interaction" and "restricted, repetitive patterns of behavior, interests, or activities."[247] These behaviors must begin in early childhood and affect one's ability to perform everyday tasks. Furthermore, the symptoms must not be fully explainable by intellectual developmental disorder or global developmental delay.
Conditions correlated or comorbid to autism
Main article: Conditions comorbid to autism spectrum disorders
Euler diagram showing overlapping clinical phenotypes in genes associated with monogenic forms of autism spectrum disorder (ASD), dystonia, epilepsy and schizophrenia:
Genes associated with epilepsy
Genes associated with schizophrenia
Genes associated with autism spectrum disorder
Genes associated with dystonia
Autism is correlated or comorbid with several personality traits/disorders.[171] Comorbidity may increase with age and may worsen the course of youth with ASDs and make intervention and treatment more difficult. Distinguishing between ASDs and other diagnoses can be challenging because the traits of ASDs often overlap with symptoms of other disorders, and the characteristics of ASDs make traditional diagnostic procedures difficult.[248][249]
Correlations
Research indicates that autistic people are significantly more likely to be LGBT than the general population.[33] There is tentative evidence that gender dysphoria occurs more frequently in autistic people.[250][251] A 2021 anonymized online survey of 16- to 90-year-olds revealed that autistic males are more likely to identify as bisexual than their non-autistic peers, while autistic females are more likely to identify as homosexual than non-autistic females do.[252][non-primary source needed]
People on the autism spectrum are significantly more likely to be non-theistic than members of the general population.[253]
Comorbidities
A 2024 Danish cohort study found increased risks for a multitude of comorbid physical diseases, especially in infancy.
The most common medical condition occurring in autistic people is seizure disorder or epilepsy, which occurs in 11–39% of autistic people.[254] The risk varies with age, cognitive level, and type of language disorder.[255]
Tuberous sclerosis, an autosomal dominant genetic condition in which non-malignant tumors grow in the brain and on other vital organs, is present in 1–4% of autistic people.[256]
Intellectual disabilities are some of the most common comorbid disorders with ASDs. As diagnosis is increasingly being given to people with higher functioning autism, there is a tendency for the proportion with comorbid intellectual disability to decrease over time. In a 2019 study, it was estimated that approximately 30–40% of people diagnosed with ASD also have intellectual disability.[257] Recent research has suggested that autistic people with intellectual disability tend to have rarer, more harmful, genetic mutations than those found in people solely diagnosed with autism.[258] A number of genetic syndromes causing intellectual disability may also be comorbid with ASD, including fragile X, Down, Prader-Willi, Angelman, Williams syndrome,[259] branched-chain keto acid dehydrogenase kinase deficiency,[260][261] and SYNGAP1-related intellectual disability.[262][263]
Learning disabilities are also highly comorbid in people with an ASD. Approximately 25–75% of people with an ASD also have some degree of a learning disability.[264] In particular, attention deficit disorder, which is generally more prevalent than autism (ca. 8% vs. 1%), is not directly related, though it is sometimes comorbid with autism.[265]
Various anxiety disorders tend to co-occur with ASDs, with overall comorbidity rates of 7–84%.[266] They are common among children with ASD; there are no firm data, but studies have reported prevalences ranging from 11% to 84%. Many anxiety disorders have symptoms that are better explained by ASD itself or are hard to distinguish from ASD's symptoms.[267]
Rates of comorbid depression in people with an ASD range from 4–58%.[268]
The relationship between ASD and schizophrenia remains a controversial subject under continued investigation, and recent meta-analyses have examined genetic, environmental, infectious, and immune risk factors that may be shared between the two conditions.[269][270][271] Oxidative stress, DNA damage and DNA repair have been postulated to play a role in the aetiopathology of both ASD and schizophrenia.[272]
Deficits in ASD are often linked to behavior problems, such as difficulties following directions, being cooperative, and doing things on other people's terms.[273] Symptoms similar to those of ADHD can be part of an ASD diagnosis.[274]
Sensory processing disorder is also comorbid with ASD, with comorbidity rates of 42–88%.[275]
Starting in adolescence, some people with Asperger syndrome (26% in one sample)[276] fall under the criteria for the similar condition schizoid personality disorder, which is characterized by a lack of interest in social relationships, a tendency towards a solitary or sheltered lifestyle, secretiveness, emotional coldness, detachment and apathy.[276][277][278] Asperger syndrome was traditionally called "schizoid disorder of childhood".
Genetic disorders – about 10–15% of autism cases have an identifiable Mendelian (single-gene) condition, chromosome abnormality, or other genetic syndromes.[279]
Several metabolic defects, such as phenylketonuria, are associated with autistic symptoms.[280]
Gastrointestinal problems are one of the most commonly co-occurring medical conditions in autistic people.[281] These are linked to greater social impairment, irritability, language impairments, mood changes, and behavior and sleep problems.[281][282][283] A 2015 review proposed that immune, gastrointestinal inflammation, malfunction of the autonomic nervous system, gut flora alterations, and food metabolites may cause brain neuroinflammation and dysfunction.[282] A 2016 review concludes that enteric nervous system abnormalities might play a role in neurological disorders such as autism. Neural connections and the immune system are a pathway that may allow diseases originated in the intestine to spread to the brain.[283]
Sleep problems affect about two-thirds of autistic people at some point in childhood. These most commonly include symptoms of insomnia, such as difficulty falling asleep, frequent nocturnal awakenings, and early morning awakenings. Sleep problems are associated with difficult behaviors and family stress, and are often a focus of clinical attention over and above the primary ASD diagnosis.[284]
Dysautonomia is common in ASD, affecting heart rate and blood pressure and causing symptoms such as brain fog, blurry vision, and bowel dysfunction.[285] It can be diagnosed through a Tilt table test.[286]
The frequency of ASD is 10 times higher in mast cell activation syndrome patients than in the general population. This immunological condition causes cardiovascular, dermatological, gastrointestinal, neurological, and respiratory problems.[287]
Management
Main article: Autism therapies
See also: Autism-friendly
There is no treatment as such for autism,[288] and many sources advise that this is not an appropriate goal,[289][290] although treatment of co-occurring conditions remains an important goal.[291] There is no cure for autism, nor can any of the known treatments significantly reduce brain mutations caused by autism, although those who require little to no support are more likely to experience a lessening of symptoms over time.[292][293][294] Several interventions can help children with autism,[295] and no single treatment is best, with treatment typically tailored to the child's needs.[296] Studies of interventions have methodological problems that prevent definitive conclusions about efficacy,[297] but the development of evidence-based interventions has advanced.[298]
The main goals of treatment are to lessen associated deficits and family distress, and to increase quality of life and functional independence. In general, higher IQs are correlated with greater responsiveness to treatment and improved treatment outcomes.[299][298] Behavioral, psychological, education, and skill-building interventions may be used to assist autistic people to learn life skills necessary for living independently,[300] as well as other social, communication, and language skills. Therapy also aims to reduce challenging behaviors and build upon strengths.[301]
Intensive, sustained special education programs and behavior therapy early in life may help children acquire self-care, language, and job skills.[296] Although evidence-based interventions for autistic children vary in their methods, many adopt a psychoeducational approach to enhancing cognitive, communication, and social skills while minimizing problem behaviors. While medications have not been found to help with core symptoms, they may be used for associated symptoms, such as irritability, inattention, or repetitive behavior patterns.[302]
Non-pharmacological interventions
Intensive, sustained special education or remedial education programs and behavior therapy early in life may help children acquire self-care, social, and job skills. Available approaches include applied behavior analysis, developmental models, structured teaching, speech and language therapy, cognitive behavioral therapy,[303] social skills therapy, and occupational therapy.[304] Among these approaches, interventions either treat autistic features comprehensively, or focus treatment on a specific area of deficit.[298] Generally, when educating those with autism, specific tactics may be used to effectively relay information to these people. Using as much social interaction as possible is key in targeting the inhibition autistic people experience concerning person-to-person contact. Additionally, research has shown that employing semantic groupings, which involves assigning words to typical conceptual categories, can be beneficial in fostering learning.[305]
There has been increasing attention to the development of evidence-based interventions for autistic young children. Three theoretical frameworks outlined for early childhood intervention include applied behavior analysis (ABA), the developmental social-pragmatic model (DSP) and cognitive behavioral therapy (CBT).[303][298] Although ABA therapy has a strong evidence base, particularly in regard to early intensive home-based therapy, ABA's effectiveness may be limited by diagnostic severity and IQ of the person affected by ASD.[306] The Journal of Clinical Child and Adolescent Psychology has published a paper deeming two early childhood interventions "well-established": individual comprehensive ABA, and focused teacher-implemented ABA combined with DSP.[298]
Many people have criticized ABA, calling it unhelpful and unethical.[307][308][309] Sandoval-Norton et al. also discuss the "unintended but damaging consequences, such as prompt dependency, psychological abuse and compliance" that result in autistic people facing challenges as they transition into adulthood.[307] Some ABA advocates have responded to such critiques that, instead of stopping ABA, there should be movement to increase protections and ethical compliance when working with autistic children.[310]
Another evidence-based intervention that has demonstrated efficacy is a parent training model, which teaches parents how to implement various ABA and DSP techniques themselves.[298] Various DSP programs have been developed to explicitly deliver intervention systems through at-home parent implementation.
In October 2015, the American Academy of Pediatrics (AAP) proposed new evidence-based recommendations for early interventions in ASD for children under 3.[311] These recommendations emphasize early involvement with both developmental and behavioral methods, support by and for parents and caregivers, and a focus on both the core and associated symptoms of ASD.[311] But a Cochrane review found no evidence that early intensive behavioral intervention (EIBI) is effective in reducing behavioral problems associated with autism in most autistic children, though it did improve IQ and language skills. The Cochrane review acknowledged that this may be due to the low quality of studies available on EIBI and therefore providers should recommend EIBI based on their clinical judgment and the family's preferences. No adverse effects of EIBI treatment were found.[312] A meta-analysis in that same database indicates that due to the heterology in ASD, children progress to differing early intervention modalities based on ABA.[313]
ASD treatment generally focuses on behavioral and educational interventions to target its two core symptoms: social communication deficits and restricted, repetitive behaviors. If symptoms continue after behavioral strategies have been implemented, some medications can be recommended to target specific symptoms or co-existing problems such as restricted and repetitive behaviors (RRBs), anxiety, depression, hyperactivity/inattention and sleep disturbance.[314] Melatonin, for example, can be used for sleep problems.[315]
Several parent-mediated behavioral therapies target social communication deficits in children with autism, but their efficacy in treating RRBs is uncertain.[316]
Education
A young child points, in front of a woman who smiles and points in the same direction.
An autistic three-year-old points to fish in an aquarium, as part of an experiment on the effect of intensive shared-attention training on language development.[317]
Educational interventions often used include applied behavior analysis (ABA), developmental models, structured teaching, speech and language therapy and social skills therapy.[296] Among these approaches, interventions either treat autistic features comprehensively, or focalize treatment on a specific area of deficit.[298]
The quality of research for early intensive behavioral intervention (EIBI)—a treatment procedure incorporating over 30 hours per week of the structured type of ABA that is carried out with very young children—is low; more vigorous research designs with larger sample sizes are needed.[312] Two theoretical frameworks outlined for early childhood intervention include structured and naturalistic ABA interventions, and developmental social pragmatic models (DSP).[298] One interventional strategy utilizes a parent training model, which teaches parents how to implement various ABA and DSP techniques, allowing for parents to disseminate interventions themselves.[298] Various DSP programs have been developed to explicitly deliver intervention systems through at-home parent implementation. Despite the recent development of parent training models, these interventions have demonstrated effectiveness in numerous studies, being evaluated as a probable efficacious mode of treatment.[298] Early, intensive ABA therapy has demonstrated effectiveness in enhancing communication and adaptive functioning in preschool children;[296][318] it is also well-established for improving the intellectual performance of that age group.[296]
In 2018, a Cochrane meta-analysis database concluded that some recent research is beginning to suggest that because of the heterology of ASD, there are two different ABA teaching approaches to acquiring spoken language: children with higher receptive language skills respond to 2.5 to 20 hours per week of the naturalistic approach, whereas children with lower receptive language skills require 25 hou
Les Sources Occultes 008/999
Un film de Laurent Courau, d'après un scénario de Thierry Ehrmann.
Réalisation : Laurent Courau
Scénario : Thierry Ehrmann
Comédienne : Elora Bessey
Artificier : Thierry Loir
Remerciements à Jolan Bessey, Carine Dubois et Rodolphe Bessey.
© Les Amis de l'Esprit de la Salamandre 1999
Entre effroi et merveilles, une zone mouvante aux portes du futur et des enfers...
Les Sources Occultes vous entraînent au coeur d'un univers polymorphe dont les clés et les motifs se révéleront au fur et à mesure des épisodes de cette série de fictions. En attendant un final apocalyptique, au sens premier du terme, qui révélera la structure générale sous la forme d'un long-métrage...
Les Sources Occultes offrent aussi une nouvelle porte d'entrée dans le labyrinthe multidimensionnel de la Demeure du Chaos à celles et ceux qui postulent à notre casting, une occasion unique de pénétrer les arcanes de l'esprit de la Salamandre.
Secrets revealed of the Abode of Chaos (112 pages, adult only) >>>
Les Sources Occultes - Teaser /999
Réalisation Laurent Courau sur un scénario de thierry Ehrmann
blog.ehrmann.org/films2/les-sources-occultes-teaser.html
© Les Amis de l'Esprit de la Salamandre 1999
Entre effroi et merveilles, une zone mouvante aux portes du futur et des enfers... Les Sources Occultes vous entraînent au coeur d'un univers polymorphe dont les clés et les motifs se révéleront au fur et à mesure des épisodes de cette série de fictions. En attendant un final apocalyptique, au sens premier du terme, qui révélera la structure générale sous la forme d'un long-métrage...
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Secrets revealed of the Abode of Chaos (112 pages, adult only) >>>
Bjerkandera adusta (Willdenow) P. Karsten, 1879 = Agaricus crispus (Persoon) E.H.L. Krause, 1932 = Bjerkandera adusta forma crispa (Persoon) Bond. Bjerkandera adusta forma solubilis (Velenovsk) Bondartsev, 1953 = Bjerkandera adusta forma tegumentosa (Velenovsk) Bondartsev, 1953 = Bjerkandera isabellina (Schweinitz) P. Karsten, 1879 = Bjerkandera scanica (Fries) P. Karsten, 1882 = Boletus adustus Willdenow, 1787 = Boletus adustus var. crispus (Persoon) Persoon, 1801 = Boletus concentricus Schumach., 1803 = Boletus crispus Persoon, 1799 = Boletus fuscoporus J.J. Planer, 1788 = Boletus isabellinus Schweinitz, 1822 = Boletus pelleporus Bulliard = Coriolus alabamensis Murrill, 1907 = Daedalea fennica (P. Karsten) P. Karsten, 1906 = Daedalea oudemansii var. fennica P. Karsten, 1882 = Daedalea solubilis Velenovsk, 1926 = Gloeoporus adustus (Willdenow) Pilát, 1937 = Gloeoporus adustus forma atropileus (Velenovsk) Pilát, 1937 = Gloeoporus adustus forma excavatus (Velenovsk) Pilát, 1937 = Gloeoporus adustus forma solubilis (Velenovsk) Pilát, 1937 = Gloeoporus adustus forma tegumentosus (Velenovsk) Pilát, 1937 = Gloeoporus crispus (Persoon) G. Cunn., 1965 = Grifola adusta (Willdenow) Malysheva & Zmitrovich, 2006 = Leptoporus adustus (Willdenow) Quélet, 1886 = Leptoporus adustus forma crispus (Persoon) Bourdot & Galzin = Leptoporus adustus var. crispus (Persoon) Quélet = Leptoporus adustus var. zonatulus Quélet = Leptoporus crispus (Persoon) Quélet, 1886 = Leptoporus nigrellus Patouillard, 1903 = Microporus gloeoporoides (Spegazzini) Kuntze, 1898 = Microporus lindheimeri (Berkeley & M.A. Curtis) Kuntze, 1898 = Microporus tristis (Persoon) O. Kuntze, 1898 = Polyporus adustus (Willdenow) Fries, 1821 = Polyporus adustus var. ater Velenovsk, 1922 = Polyporus amesii Lloyd, 1915 = Polyporus atropileus Velenovsk, 1925 = Polyporus burtii Peck, 1897 = Polyporus cinerascens Velenovsk, 1922 = Polyporus crispus (Persoon) Fries, 1821 = Polyporus curreyanus Berkeley ex Cooke, 1886 = Polyporus dichrous ssp. macowanii (Kalchbr.) Saccardo, 1888 = Polyporus digitalis Berkeley, 1854 = Polyporus dissitus Berkeley & Broome, 1875 = Polyporus excavatus Velenovsk, 1922 = Polyporus fumosogriseus Cooke & Ellis, 1881 = Polyporus halesiae Berkeley & M.A. Curtis, 1853 = Polyporus isabellinus (Schweinitz) Steud., 1824 = Polyporus lindheimeri Berkeley & M.A. Curtis, 1872 = Polyporus macowanii Kalchbr., 1881 = Polyporus macrosporus Britzelmayr, 1894 = Polyporus murinus Rostk., 1838 = Polyporus nigrellus (Patouillard) D. & P.A. Saccardo, 1905 = Polyporus ochraceocinereus Britzelmayr, 1895 = Polyporus scanicus Fries, 1863 = Polyporus secernibilis Berkeley, 1847 = Polyporus subcinereus Berkeley, 1839 = Polyporus tegumentosus Velenovsk, 1925 = Polyporus tristis Persoon, 1825 = Polystictus adustus (Willdenow) Fries = Polystictus adustus (Willdenow) Gillot & Lucand, 1890 = Polystictus alabamensis (Murrill) Saccardo & Trotter, 1912 = Polystictus gloeoporoides Spegazzini, 1889 = Polystictus puberulus Bresadola, 1920 = Polystictus tristis (Persoon) Cooke, 1886 = Poria carnosa Rostr. ex D. & P.A. Saccardo, 1905 = Poria curreyana (Berkeley ex Cooke) G. Cunn., 1947 = Trametes tristis (Persoon) Roumeguère, 1883 = Tyromyces adustus (Willdenow) Pouzar, 1966, le leptopore brûlé ou polypore brûlé, bjerkandera brûlée.
Haría.Lanzarote (Islas Canarias)
Cámara Olympus E-510
Lente Zuiko 14-54mm f/2.8-3.5
Exposición 0,1 sec (1/10)
Aperture f/3.2
Lente 33 mm
ISO 400
Filtro Polarizador Hama 67mm
Los Jameos del Agua, situados en el norte de la isla de Lanzarote, es uno de los siete Centros de Arte, Cultura y Turismo del Cabildo de Lanzarote.
Se trata de una intervención espacial creada a partir de una serie de jameos naturales por el artista lanzaroteño César Manrique y pretende mostrar al visitante un espacio para la contemplación de la naturaleza apenas intervenida por el hombre.
Los Jameos del Agua, al igual que la Cueva de los Verdes, se localizan en el interior del túnel volcánico producido por la erupción del Volcán de la Corona. Los Jameos del Agua se encuentran situados en la sección de este túnel más cercano a la costa.
Está formado por al menos tres jameos o aberturas en el terreno. El “Jameo Chico” por donde se realiza el acceso al interior, el “Jameo Grande” y un tercero, denominado “Jameo de la Cazuela”.
Los "Jameos del Agua" es el primer Centro de Arte, Cultura y Turismo creado por César Manrique, y es el reflejo de uno de sus pilares creativos: la armonía entre la naturaleza y la creación artística.
A principios de los años sesenta, y debido al abandono del entorno, se hace necesario acometer labores de limpieza y de acondicionamiento. Aunque las obras se dilataron en el tiempo, podemos señalar el año 1966 como fecha de la apertura de las primeras fases al público.
La especial morfología del tubo volcánico provocó que se realizaran numerosos cambios del proyecto inicial, explorando nuevas alternativas creativas y procurando que las soluciones adoptadas fuesen las más adecuadas.
Será en 1977, después de más de una década de trabajos, cuando quede conformada la estructura general de los Jameos del Agua. En estas mismas fechas se procede a la inauguración oficial del centro, incluyendo el Auditorio, y se considera conclusa la obra.
Aun así, y con posterioridad, se realizan nuevas instalaciones para funciones concretas como el espacio museístico de la “Casa de los Volcanes”. Este centro se dedica, desde 1987, a una labor científica y didáctica sobre la vulcanología.
Cangrejo ciego(Munidopsis polymorpha).
Los “Jameos del Agua” son muy importantes desde el punto de vista ecológico, ya que existe una especie de cangrejo única y endémica, los cangrejos ciegos (Munidopsis polymorpha) un cangrejo de apenas un centímetro de longitud, albino y ciego.
Estos cangrejos son muy sensibles a los cambios de la laguna (procedente de agua de mar) por lo que el ruido y la luz les afecta. Son muy sensibles al óxido, que puede llegar a matarlos, por lo que está prohibido tirar monedas al agua.
Fuente: Wikipedia
Serpentine. This mineral is composed of several chemically similar substances - polymorphs - considered collectively as "Serpentine." Fine-grained, green specimens of Serpentine like his have been used in carvings and jewelry as a substitute for Jade. Along Drum Powerhouse Road. Near Dutch Flat, Placer Co., Calif.
The Term Morph Is Inappropriate
As if we didn’t know, we asked a solitary roadside birder, “Looking for something?”
“The Gyrfalcon.”
“Have you seen it?”
“No.”
“Why isn’t anybody else looking?”
“They’re all at Grace Lake, waiting and hoping.”
Well, Maggie and I spent a little time in the parking lot overlooking Grace Lake from the southwest side. There were gulls: Herrings, Ring-bills and Lesser Black-backs, as well as some Canadas, Mallards and Common Mergs, but no falcon, just distant birders standing with their scopes on the east side of the lake.
A falcon of the tundra, one that perches on the ground or on low human-made objects, needs extensive unobstructed views, a place with wide open spaces, low-cut grass. So we went to the airport.
It was about 3:20 PM. We couldn’t ask for better timing. On the airport’s south side, we immediately drove up to a juvenile Gyrfalcon, a brown bird, perched on the snow not more than 50-60 feet from the road. Though the direction of light was almost just right, photography was not ideal. The falcon was on the other side of the airport’s chain-linked fence. Nevertheless, my camera knew what it had to do.
Seemingly indifferent to us, the Gyr was leaning over, using its beak to clean its toes, followed by facial combing with its talons. Afterwards it gazed in all directions as though seeking something, perhaps out of hunger. Then lifting its wings, it took to the air, keeping just a few feet above the ground and was quickly lost in the airport’s distant expanse of snow shadow and glare--my fourth Gyr in southeast Michigan, my ninth in the State as of today, 16 November 2019.
Alan
Tom J. Cade (1928-2019, a world renowned conservationist and co-founder of the Peregrine Fund, had this to say: “In the old literature naturalists wrote about white, grey and black ‘color phases’ of the gyrfalcon and even different species of gyrs. In fact, the different plumage types grade imperceptibly into one another, with every kind of intermediate condition represented in different individuals. . . . The Ungava region of northern Quebec is especially interesting as the whitest and blackest varieties breed together in the same area along with every kind of grey intermediate. (p. 76, The Falcons of the World, 1980).”
Eugene Potapov, assistant professor, Bryn Athyn College, is a raptor specialist and the notable author of The Gyrfalcon 2005, a definitive work: “Cade et al quite rightly state that . . . the Gyrfalcon has complete gradation rendering the term ‘morph’ inappropriate (p. 23).”
“Gyrfalcons also have shades of brown and gray in their feathers, and worn plumage may be tan-brown; Gyrs may or may not have a barred tail and moustachial stripes (p. 47).
“. . . some authors classify the birds on the basis of their background color (Cade et al. 1998). Gray form can then be a bird with gray color in the background or bird with a white background but with a lot of dark gray or brown streaks, spots or bars. The degree of the coverage of these spots can then divide the white and gray morphs. As a consequence, it is often difficult to classify Gyrs with excessive numbers or spots and a true white background ( p. 47)
“. . . Palmer (1988) considered that the division of the Gyrfalcons ‘into two or three color morphs . . . is misleading, and ‘any attempt to categorize Gyrs is subjective’, ‘because of variations from nearly (entirely?) white to almost or entirely black. Flann (2003) suggested that the Gyrfalcon has ‘continuous polymorphism’ and so does not have morphs (p.47).
“Another process is the coloration of the background, which may perhaps be independent of, but is parallel with, the variation in coloration and size of dark spots. So, . . . we have two axes of variation in coloration. One is the color as such, including both the color of the background and the color of dark spots. The second axis is the size and pattern of the dark/light spots. Interestingly, there have been no attempts to analyze this two-dimensional variation using objective criteria. In the following section we make an attempt to measure Gyrfalcon colors using a new approach (p. 47).”
To those who wish to pursue this new approach to the color patterns of the Gyrfalcon, I suggest read Potapov’s book.
Así de grandes pueden llegar a crecer estos árboles, la foto no es del árbol que se ven en la liga anterior, pero son la misma especie, esta foto es de un árbol de la oficina, acá al sur de Monterrey. Son árboles que no son aptos para baquetas, pues requieren mucho espacio para su desarrollo.
Este es una de las especies más comunes aquí en Nuevo León, sobre todo le gusta vivir en la parte baja de las montañas y se asocia mucho al matorral submontano.
También se le llega a conocer bajo el nombre científico de Quercus virginiana var. fusiformis.
Para que vean las diferencias en las hojas con otras especies:
Fluorescing diamonds from Zaire ("D.R. Congo"). (crystals are ~1 to 1.5 millimeters in size)
A mineral is a naturally-occurring, solid, inorganic, crystalline substance having a fairly definite chemical composition and having fairly definite physical properties. At its simplest, a mineral is a naturally-occurring solid chemical. Currently, there are about 5600 named and described minerals - about 200 of them are common and about 20 of them are very common. Mineral classification is based on anion chemistry. Major categories of minerals are: elements, sulfides, oxides, halides, carbonates, sulfates, phosphates, and silicates.
Elements are fundamental substances of matter - matter that is composed of the same types of atoms. At present, 118 elements are known. Of these, 98 occur naturally on Earth (hydrogen to californium). Most of these occur in rocks & minerals, although some occur in very small, trace amounts. Only some elements occur in their native elemental state as minerals.
To find a native element in nature, it must be relatively non-reactive and there must be some concentration process. Metallic, semimetallic (metalloid), and nonmetallic elements are known in their native state.
The element carbon occurs principally in its native state as graphite (C) and diamond (C). Graphite is the common & far less valuable polymorph of carbon. A scarce polymorph of carbon is diamond. The physical properties of diamond and graphite couldn’t be more different, considering they have the same chemistry. Diamond has a nonmetallic, adamantine luster, typically occurs in cubic or octahedral (double-pyramid) crystals, or subspherical to irregularly-shaped masses, and is extremely hard (H≡10). Diamonds can be almost any color, but are typically clearish, grayish, or yellowish. Many diamonds are noticeably fluorescent under black light (ultraviolet light), but the color and intensity of fluorescence varies. Some diamonds are phosphorescent - under certain conditions, they glow for a short interval on their own.
Very rarely, diamond is a rock-forming mineral (see diamondite - www.flickr.com/photos/jsjgeology/14618393527).
The African diamonds shown above are yellow under white light. This photo was taken under ultraviolet (UV) light - "black light". The greenish and magenta colors are from the diamonds. The bright blue specks are fibers (not geologic objects).
Why do some minerals fluoresce under UV light? When short-wavelength UV radiation, long-wavelength UV radiation, or x-rays bombard atoms, electron excitation occurs. But the electrons do not remain in an energetically excited state. They quickly give off energy and resume their normal energy levels. If the electron energy release is in the visible spectrum of light, a mineral glows, or fluoresces.
Phosphorescing diamonds from Zaire ("D.R. Congo"). (crystals are ~1 to 1.5 millimeters in size)
A mineral is a naturally-occurring, solid, inorganic, crystalline substance having a fairly definite chemical composition and having fairly definite physical properties. At its simplest, a mineral is a naturally-occurring solid chemical. Currently, there are about 5600 named and described minerals - about 200 of them are common and about 20 of them are very common. Mineral classification is based on anion chemistry. Major categories of minerals are: elements, sulfides, oxides, halides, carbonates, sulfates, phosphates, and silicates.
Elements are fundamental substances of matter - matter that is composed of the same types of atoms. At present, 118 elements are known. Of these, 98 occur naturally on Earth (hydrogen to californium). Most of these occur in rocks & minerals, although some occur in very small, trace amounts. Only some elements occur in their native elemental state as minerals.
To find a native element in nature, it must be relatively non-reactive and there must be some concentration process. Metallic, semimetallic (metalloid), and nonmetallic elements are known in their native state.
The element carbon occurs principally in its native state as graphite (C) and diamond (C). Graphite is the common & far less valuable polymorph of carbon. A scarce polymorph of carbon is diamond. The physical properties of diamond and graphite couldn’t be more different, considering they have the same chemistry. Diamond has a nonmetallic, adamantine luster, typically occurs in cubic or octahedral (double-pyramid) crystals, or subspherical to irregularly-shaped masses, and is extremely hard (H≡10). Diamonds can be almost any color, but are typically clearish, grayish, or yellowish. Many diamonds are noticeably fluorescent under black light (ultraviolet light), but the color and intensity of fluorescence varies. Some diamonds are phosphorescent - under certain conditions, they glow for a short interval on their own.
Very rarely, diamond is a rock-forming mineral (see diamondite - www.flickr.com/photos/jsjgeology/14618393527).
The African diamonds shown above are yellow under white light and glow magenta or green under black light (ultraviolet light; UV). This photo was taken just after a UV light was turned off - no external light source is present. The soft glowing green color is phosphorescence.
FR Luzerne polymorphe - EN Toothed medick - ES Mielga de camino
Medicago polymorpha L. (port)
Friche (alt. 120 m)
Fraipont (province de Liège, Wallonie, Belgique)
Adventice (Ouest et Sud de l'Europe, Nord de l'Afrique, Érythrée, Éthiopie, Sud-Ouest de l'Asie, Ouest de l'Himalaya)
From Wikipedia: "The Khoikhoi (/ˈkɔɪˌkɔɪ/; "people people" or "real people") or Khoi, spelled Khoekhoe in standardised Khoekhoe/Nama orthography, are a group of Khoisan people native to southwestern Africa. Unlike the neighbouring San people, the Khoikhoi have traditionally practised pastoral agriculture. When European immigrants colonised the area after 1652, the Khoikhoi maintained large herds of Nguni cattle in the Cape region. The Dutch settlers labelled them Hottentots (/ˈhɒtənˌtɒts/), in imitation of the sound of the Khoekhoe language, but this term is today considered derogatory.
Archaeological evidence shows that the Khoikhoi arrived in what is now South Africa from Botswana through two distinct routes—travelling west, skirting the Kalahari to the west, then down to the Cape, and travelling southeast out into the Highveld and then southwards to the south coast.Chiefly, the largest group of the Khoikhoi to remain as a group are the Namas.
"Khoisan" (/ˈkɔɪsɑːn/; also spelled Khoesaan, Khoesan or Khoe–San) is a unifying name for two groups of peoples of Southern Africa, who share physical and putative linguistic characteristics distinct from the Bantu majority of the region. Culturally, the Khoisan are divided into the foraging San, or Bushmen, and the pastoral Khoi, or more specifically Khoikhoi, previously known as Hottentots.
The San include the indigenous inhabitants of Southern Africa before the southward Bantu migrations from Central and East Africa reached their region, which led to the Bantu populations displacing the Khoi and San to become the predominant inhabitants of Southern Africa. The distinct origin of the Khoi is debated. Over time, some Khoi abandoned pastoralism and adopted the hunter-gatherer economy of the San, probably due to a drying climate, and are now considered San. Similarly, the Bantu Damara people who migrated south later abandoned agriculture and adopted the Khoi economy. Large Khoisan populations remain in several arid areas in the region, notably in the Kalahari Desert.
In the 1990s, genomic studies of worlds peoples found that the Y chromosome of San men share certain patterns of polymorphisms that are distinct from those of all other populations.[10] Because the Y chromosome is highly conserved between generations, this type of DNA test is used to determine when different subgroups separated from one another, and hence their last common ancestry. The authors of these studies suggested that the San may have been one of the first populations to differentiate from the most recent common paternal ancestor of all extant humans, the so-called Y-chromosomal Adam by patrilineal descent, estimated to have lived 60,000 to 90,000 years ago. The authors also note that their results should be interpreted as only finding that the Khoisan "preserve ancient lineages", and not that they "stopped evolving" or are an "ancient group", since subsequent changes in their population are in parallel and similar to those of all other human populations.
Various Y-chromosome studies since confirmed that the Khoisan carry some of the most divergent (oldest) Y-chromosome haplogroups. These haplogroups are specific sub-groups of haplogroups A and B, the two earliest branches on the human Y-chromosome tree."
Size approx 15mm.
Superdomain: Neomura
Domain: Eukaryota
(unranked): Unikonta
(unranked): Obazoa
(unranked): Opisthokonta
(unranked) Holozoa
(unranked) Filozoa
Kingdom: Animalia
Subkingdom: Eumetazoa
Clade: Bilateria
Clade: Nephrozoa
(unranked): Protostomia
Superphylum: Ecdysozoa
(unranked): Panarthropoda
(unranked): Tactopoda
Phylum: Arthropoda
Subphylum: Crustacea
Class: Malacostraca
Subclass: Eumalacostraca
Superorder: Peracarida
Order: Isopoda
Suborder: Oniscidea
Family: Porcellionidae
Genus: Porcellio
Species: P. laevis
These flowers are truly brilliant. And they bloom before the tree's leaves come out. Vibrant, lustrous red. Punctuated by emerging golden pollen covered stamen.
I first saw this at Fairchild Tropical Botanic Garden here in Miami but there's a deep pink one blooming in my neighborhood now. Amazing!
Erythrina is a genus of flowering plants in the pea family, Fabaceae. It contains about 130 species, which are distributed in tropical and subtropical regions worldwide. They are trees which grow up to 98 feet tall. The generic name is derived from the Greek word ερυθρóς (erythros), meaning red. However not all species of Erythrina have bright red flowers; some have an extraordinary variation in flower color, orange, yellow, salmon, green and white all being found within natural populations. This striking color polymorphism is likely unique in the genus.
This species has bean-like seedpods. Its buoyant seeds are carried by the sea for large distances and are commonly-found on the beach. Erythrina leaves are used as food plants by the larvae of some Lepidoptera. Many birds, particularly large hummingbirds, visit the nectar-rich Erythrina flowers.The seeds are eaten by many birds.
Coral Bean Tree, Erythrinia bidwillii
Asso cherokee bean or cardinal spear