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Belle tourelle d'escalier à colombages du 16e siècle. Berthe veuve du comte de Chartres et épouse du roi Robert le Pieux et décédé dans le château comtal tout proche.

A pile driver hammers H piles for the center pier of the North Talbot Road Bridge over Highway 401. The piles are driven until they hit bedrock. Once completed, the piles are then trimmed and the pillars built on top. Piles for the center pier can be seen in the middle of the highway.

 

Une sonnette de battage sert à renforcer les pieux en forme de H pour la quai centrale du pont North Talbot Road par-dessus de l'autoroute 401. Les pieux sont battus jusqu'à ce que la pointe du pieu prenne appui sur le socle rocheux. Une fois complète les pieux sont taillés et des piliers sont placés au-dessus. Les pieux sont battus pour le centre pier peut être vu dans le milieu de l'autoroute.

 

Les brises lames, ces pieux de bois qui visent à limiter le recul du trait de côte.

Civray-de-Touraine (Indre-et-Loire).

  

Eglise paroissiale Saint-Germain (XIe siècle, XIIe siècle, XIIIe siècle, XVIe siècle).

  

La nef et le transept sont du XIe siècle. Le choeur du XIIIe. La façade et le clocher sont de 1861.

De l'église du XIe siècle subsiste au sud, le mur de la nef et les murs du croisillon.

Au nord, la porte en arc brisé à double rouleau, date du XIIIe siècle.

 

L'église occupe l'emplacement d'un sanctuaire carolingien du VIIIe siècle.

 

Il semble que vers le milieu du VIème siècle, le domaine de Civray appartenait à saint Germain, évêque de Paris. Il venait s'y reposer en l'automne et y fonda la première église.

 

"Quoique nos textes ne le disent point , nous pouvons sans témérité attribuer à saint Germain

la fondation de l'église de Civray, dont il est resté le titulaire. Il nous répugnerait

d'admettre qu'un si pieux évêque ait négligé le salut de ses serviteurs et ne leur ait

pas construit au moins un oratoire , et ce sentiment est d'autant plus vraisemblable que l'évêque de Paris vint plusieurs fois passer l'automne à Civray, avec son

diacre Ragnemode. " (Mémoires de la Société archéologique de Touraine , tome Ier. Eglises romanes en Touraine - abbé J.J. Bourassé , abbé C. Chevalier - Tours 1869)

"Cette œuvre unique que possède Decazeville, est le seul chemin de croix symboliste qui existe au monde.

A la réalisation de l’œuvre en 1863, Gustave MOREAU* avait posé la condition de son anonymat (peut-être pour le côté pieux de l’œuvre). Il était âgé de 37 ans. Il réalisa les quatorze toiles du chemin de croix en 20 jours et 20 nuits. Gustave Moreau reste dans une tradition classique mais s’en affranchit en faisant surgir des soleils coupés orangés, l’œil unique, l’œil de face, l’œil magique, la blondeur vénitienne, le corps voilé.

Ce chemin de croix fixé à 3m de hauteur tomba peu à peu dans l’oubli. Gilbert BOU le découvre en 1964 et le signale à Jean PALADILHE, conservateur du Musée Gustave Moreau à Paris, qui, très étonné de cette découverte, fait des recherches afin de certifier l’authenticité de l’œuvre.

Les 14 toiles du chemin de croix sont classées Monuments Historiques depuis 1965."

 

SIC le site de Decazeville, en savoir plus :

www.decazeville-tourisme.com/a-decouvrir/patrimoine-artis...

 

*Gustave Moreau, né le 6 avril 1826 à Paris, et mort dans la même ville le 18 avril 1898, est un peintre, graveur, dessinateur et sculpteur français. Il est l'un des principaux représentants en peinture du courant symboliste, imprégné de mysticisme.

Heraldry - Frederick Edward Long 1903 - pieux quoique preux - "pious though valiant"

- Woodton church Norfolk

A pile driver hammers H piles for the center pier of the North Talbot Road Bridge over Highway 401. The piles are driven until they hit bedrock. Once completed, the piles are then trimmed and the pillars built on top. Piles for the center pier can be seen in the middle of the highway.

 

Une sonnette de battage sert à renforcer les pieux en forme de H pour la quai centrale du pont North Talbot Road par-dessus de l'autoroute 401. Les pieux sont battus jusqu'à ce que la pointe du pieu prenne appui sur le socle rocheux. Une fois complète les pieux sont taillés et des piliers sont placés au-dessus. Les pieux sont battus pour le centre pier peut être vu dans le milieu de l'autoroute.

 

Situé en Bourgogne du Sud, Cluny se niche dans une petite vallée orientée sud-nord, arrosée par un affluent de la Saône, la Grosne. Le pays de Cluny, ou Clunisois, s’étend à 15 kilomètres à l’ouest du grand axe Saône-Rhône.

La Bourgogne est un lieu de passage et de rencontres : pendant des millénaires, les personnes et les biens, les idées et les innovations transitent par cette province.

Le premier témoignage écrit d’une implantation humaine sur le site de la future abbaye date du IXe siècle. C’est donc un lieu organisé et cultivé qui accueille la nouvelle communauté monastique à l’approche de l’an mille.

Guillaume, duc d’Aquitaine, dit le Pieux, comte de Mâcon et de Bourges par la grâce de Dieu, donne aux saints apôtres Pierre et Paul sa terre de Cluny pour y fonder une maison de prière. Bernon, abbé de Baume-les-Messieurs et de Grigny, en deviendra le premier abbé. Le 11 septembre 910, il signe dans sa ville de Bourges l’acte de fondation. Douze moines s’établissent sur le domaine de l’ancienne villae (ensemble des bâtiments d’une exploitation agricole de l’Empire romain) et observeront la règle de Saint Benoît. Guillaume renonce à tous ses droits sur la nouvelle fondation : seule l’autorité du Saint-Siège doit y exercer sa suzeraineté. Cette indépendance, renforcée dès 998 par la confirmation de l’exemption (disposition émanant du Saint-Siège, à Rome, permettant à un monastère de bénéficier de dérogations particulières), met à l’abri l’abbaye des autorités laïques comme de l’évêque de Mâcon, et permet la réussite clunisienne.

 

Le site internet TripAdvisor® a classé les plus belles plages du monde et de France. La plus grande plage de Saint-Malo est la seule plage bretonne dans le top 10 français.

La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.

Seule plage bretonne

La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.

La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.

C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.

Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.

Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.

Son ami Gesril du Papeu l'avait fait tomber de son promontoire sur Hervine Magon, assise elle aussi sur un pieu, la projetant à la mer, au grand dam des domestiques chargés de leur surveillance. S'ensuivit « une poursuite jusqu'à son domicile, l'hôtel White où La Villeneuve (1) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie, pendant que Gesril réfugié au deuxième étage lance des casseroles d'eau et de pommes cuites sur les assaillants ! »

Autre référence littéraire à consulter, Les amants du rempart, de Paul Vimereu. « La vague, creusant l'aubier de rainures verticales, a refait aux chênes de la mer une écorce aux plis profonds [...] Sur les arêtes de ces troncs chagrinés, une lèpre monte à mi-faîte : les balanes ou glands de mer marquent ainsi le niveau des hautes marées. [...] »

Des troncs solidement enfoncés

C'est en 1825 que l'opération la plus spectaculaire fut entreprise, à l'initiative de l'ingénieur des Ponts et chaussées Robinot : 2 600 troncs « tortillards » (2) furent enfoncés dans le sable, d'environ un tiers de leur longueur, initialement de sept mètres.

Ces fameux poteaux disposés en quinconce continuent de défendre vaillamment, en cassant l'élan des vagues.

Ces dernières peuvent atteindre la hauteur des immeubles lorsque grandes marées et coups de vents se conjuguent, comme en mars et septembre 2007 ou mars 2008.

À noter qu'en 1894, l'administration s'opposa à la suppression des brise-lames, dont la municipalité malouine ne voulait plus. Leur utilité n'est aujourd'hui plus à démontrer, sans compter le cachet qu'ils ajoutent au paysage.

Près de 400 fûts de chênes de talus ont été remplacés récemment, avec des moyens mécaniques nettement plus confortables qu'autrefois, puisque les hommes utilisent une pelleteuse à godet, n'ayant le temps de travailler qu'à marée basse.

"Dans un monde en manque de repères, construisons ensemble une ville plus solidaire et plus douce" dixit les voeux de la mairie d'Angers, sous l'oeil vigilant d'une caméra de sécurité au Parking Marengo de la gare d'Angers.

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The city council advert reads "In a world in search of limits, let's build together a more united and gentler city". The sign is behind a public security camera aimed on a parking lot at the train station.

Des pieux provisoires ont été mis en place dans le bassin Vauban pour accueillir le tablier du pont qui servira de support provisoire pour monter l'arche unique au dessus du bassin.

 

A droite on voit un des pieds de l'arc (deux au total).

Longueur : 13m

Hauteur : 7 m

Composition :

o 350 m3 de béton par semelle ( 3 m de hauteur sous chaque pied d’arc)

o 165 m3 de béton par pied d’arc

o 114 tonnes de ferraillage en acier par pied d’arc

 

Pour plus d'infos sur les culées, voir en bas de page de ce lien.

 

+ d'infos sur la conception du pont

L’Orangerie

Serre à Orangers construite par Borrel, d’abord sans fondation.

L’architecture est de type néo classique, rappelant la façade d’un temple romain, muni d’un fronton triangulaire.

 

Les vitres donnant plein sud sont cintrées, pour la meilleure pénétration des rayons solaires. Cela fait de l’Orangerie une véritable serre chaude naturelle. Le parc disposait de 20 orangers en caisse à l’époque des Caillebotte : on les retrouve souvent sur ses tableaux.

 

Lors de sa restauration en 1998, elle a été confortée par des micros pieux

 

Elle est aujourd’hui utilisée comme salle d’expositions.

 

Vivant dans une aisance matérielle due à l’activité paternelle de fourniture de drap à l’armée de Napoléon III, le jeune Gustave a joui très tôt de ses séjours estivaux au bord de l’Yerres. Peintre, il immortalisera celle-ci... sous la pluie (L’Yerres, effet de pluie, 1875), parcourue par des canotiers (Partie de bateau, 1877-1878) ou scrutée par des pêcheurs (Pêche à la ligne, 1878). Mais c’est aussi dans le jardin qu’il prit ses sujets, représentant des personnes de son entourage cousant ou lisant à l’ombre d’orangers en caisse (Portraits à la campagne, 1876, ou Les Orangers, 1878).

L’exposition permanente évoque ainsi l’auteur des Raboteurs de parquet (1875) ou du Pont de l’Europe (1876), mais aussi ses frères, dont l’un s’exerça avec talent à la photographie et l’autre fut curé à Notre-Dame de Lorette. Gustave, lui, malgré sa trop brève vie (1848-1894), eut le temps (et les moyens) d’endosser de nombreux habits : mécène, collectionneur, philatéliste, constructeur de bateaux, marin et... jardinier. Activité de jardinier qu’il poursuivra en 1882 dans sa nouvelle propriété du Petit-Genneviliers (malheureusement détruite par un bombardement lors de la seconde guerre mondiale).

  

Dotée dès l’origine d’un parc à l’anglaise, la propriété yerroise, bordée sur toute sa longueur par la rivière, comprenait plusieurs fabriques et bâtiments utilitaires ou décoratifs. La « ferme ornée » abrite aujourd’hui un espace d’exposition. Le surprenant chalet suisse (une laiterie à l’époque des Caillebotte, un restaurant - salon de thé aujourd’hui), l’orangerie et le vaste potager (entretenu et animé par une association) rappellent la vocation autant agricole qu’horticole du domaine. Une volière, une passerelle qui enjambe un jardin d’eau conçu par le paysagiste Louis Benech, une petite chaumière, une chapelle très XIXe et surtout un kiosque « anglo-chinois » surmontant une glacière avec sa grotte en meulière déclinent la grammaire des jardins. Que viennent compléter le vaste parc paysager, avec sa prairie, ses sous-bois et ses arbres remarquables, dont un cèdre majestueux et un imposant platane dûment labellisés.

Voir le portfolio : La propriété Caillebotte, son « casin », ses jardins

 

La maison et le cèdre labellisé « arbre remarquable » par l’association Arbres. L. JEDWAB/« LE MONDE »

Propriété Caillebotte, 8, rue de Concy, Yerres (Essonne). Le parc est accessible gratuitement de 9 heures à 18 h 30 (horaires d’hiver). Horaires d’ouverture de la maison Caillebotte et tarifs sur maisoncaillebotte.fr

Lucien Jedwab

Un magnifique domaine italien abandonné, un aspect extérieur qui ne reflète absolument pas la finesse des décors intérieurs, un bijoux

Construction de la résidence 51 Baudouin comprenant 47 logements à Luxembourg Ville.

 

Pays : Luxembourg🇱🇺

Ville : Luxembourg-Ville

Quartier : Holerich

Adresses : route d'Esch / rue Baudouin

Fonction : Logements

 

Construction : 2020 → 2022

Architecte : M3 ARCHITECTES

Gros œuvre : SOLUDEC

 

Niveaux max. : R+5

Hauteur max. : ≈19,00 m

Surface de plancher : 8 430 m²

 

On se souvient de l’imposante sculpture qu’avait créée Vincent Mauger pour la place du Bouffay lors du Voyage à Nantes 2014. De longs pieux de bois fixés à une matrice centrale évoquant d’ingénieuses machineries formaient cet étrange objet.

  

Son ampleur tout autant majestueuse qu’effrayante révèle l’ambiguïté de la sculpture : l’esprit s’oblige naturellement à lui trouver un usage. La nouvelle situation de l’œuvre, en proue sur la Loire, dominant les anciennes cales de lancement des bateaux, accentue encore cette impression : est-on face à une machine de guerre médiévale, un instrument d’excavation des chantiers navals ou face au squelette d’un animal gigantesque ?

 

Résolution des forces en présence est à l’image du travail de cet artiste qui souvent joue sur le décalage des rapports d’échelle. Les principes d’assemblage restent visibles et permettent au spectateur de s’emparer de l’objet, d’imaginer en poursuivre la construction ou en modifier la configuration. L’artiste matérialise ainsi ce qui serait notre espace mental, notre façon de penser notre présence physique dans un espace donné, et par extension notre présence au monde.

 

 

On se souvient de l’imposante sculpture qu’avait créée Vincent Mauger pour la place du Bouffay lors du Voyage à Nantes 2014. De longs pieux de bois fixés à une matrice centrale évoquant d’ingénieuses machineries formaient cet étrange objet.

  

Son ampleur tout autant majestueuse qu’effrayante révèle l’ambiguïté de la sculpture : l’esprit s’oblige naturellement à lui trouver un usage. La nouvelle situation de l’œuvre, en proue sur la Loire, dominant les anciennes cales de lancement des bateaux, accentue encore cette impression : est-on face à une machine de guerre médiévale, un instrument d’excavation des chantiers navals ou face au squelette d’un animal gigantesque ?

 

Résolution des forces en présence est à l’image du travail de cet artiste qui souvent joue sur le décalage des rapports d’échelle. Les principes d’assemblage restent visibles et permettent au spectateur de s’emparer de l’objet, d’imaginer en poursuivre la construction ou en modifier la configuration. L’artiste matérialise ainsi ce qui serait notre espace mental, notre façon de penser notre présence physique dans un espace donné, et par extension notre présence au monde.

 

Temps gris, pas d'espoir d'éclaircie, mais je voulais profiter d'une marée pas trop haute encore . En effet les tempêtes ont exhumé quelques vestiges d'épaves .

J'étais à peine sur la plage que je me faisais surprendre par une vague et je me retrouvais avec de l'eau dans les bottes . M… alors ! Et bien curieusement je n'eus pas froid aux pieds .

Bon, des épaves, il n'y en avait que peu de visibles, mais tous ces « troncs » qui dépassaient du sable, de simples pieux ou des chicots de mats ?

 

Plonévez-Porzay, Baie de Douarnenez, Finistère, Bretagne, france .

Ptographie J-P Leroy, droits réservés .

Le chemin de croix - le chat pieux.

Titulature avers : D N VALENTINI-ANVS P F AVG.

Description avers : Buste diadémé, drapé et cuirassé de Valentinien Ier à droite, vu de trois quarts en avant (A'c) ; diadème perlé et gemmé.

Traduction avers : “Dominus Noster Valentinianus Pius Felix Augustus”, (Notre seigneur Valentinien pieux heureux auguste). Titulature revers : RESTITVTOR - REIPVLICAE/ -|-// ANTI*.

Description revers : L'Empereur debout de face tourné à droite, vêtu militairement, tenant le labarum croiseté de la main droite et un globe nicéphore de la main gauche.

Traduction revers : “Restitutor Rei Publicæ”, (Le restaurateur du bien public (source texte CGB), Musée National, Beyrouth, Liban. Crédit Photo: François el Bacha. Tous droits réservés. Retrouvez mon blog sur larabio.com

Collégiale Notre-Dame. Eglise romane du XIIe siècle, au profil caractéristique avec deux clochers octogonaux.

Une première église commencée par Robert le Pieux en 1016 et dédicacée à la fin du XIe siècle (il ne subsiste que la tour-porche). Collégiale actuelle entreprise au début et achevée vers le milieu du XIIe siècle. Chapelle d'axe ajoutée ou reconstruite sur le déambulatoire au cours du XIVe siècle. Eglise incendiée pendant la guerre de 100 ans. D'importants travaux au début du XVIe siècle : Chapelles latérales ajoutées au Nord et contre la partie septentrionale de la façade dans le prolongement du clocher-porche. Clocher repris sur sa face occidentale. Deux chapelles latérales et un grand porche construits au Sud. Trois premières travées de la nef revoûtées. Arcs-boutants lancés sur tout le pourtour. Chapelle orientée à l'extrémité du bas-côté Nord également refaite. Fortement restaurée au XIXe siècle : Piles du côté Nord, sauf les 2 dernières, reprises en sous-oeuvre. Remaniement des fenêtres hautes au Sud, avec percement d'un occulus dans le fond du triforium. Chevet à peu près intégralement reconstruit 2 fois. Eglise intéressante seulement par son plan sans transept et à déambulatoire et par son élévation à 3 niveaux + deux tours octogonales et une série de chapiteaux sculptés.

 

La tribune de la tour-porche ouvre sur le vaisseau central par deux baies en plein cintre. Dans la nef elle-même, seules les dernières travées sont du XIIe siècle et les mieux conservées sont les quatrième et cinquième du côté Nord. L'élévation est à trois niveaux, comme à Saint-Étienne de Beauvais. Les grandes arcades sont en plein cintre, à deux rouleaux moulurés de baguettes au XIXe siècle. Les piles quadrangulaires sont cantonnées de colonnes engagées au nombre de trois sur chaque face. Du côté du grand vaisseau, la colonne médiane fait saillie sur un dosseret. Les chapiteaux des colonnes latérales sont disposés de biais pour les ogives. Les corbeilles sont sculptés de feuillages d'acanthe, dressés sur un seul rang et soigneusement nervures. A la dernière travée, avant celle du clocher, figurent des griffons et des monstres affrontés, ainsi que les entrelacs d'aspect plus roman.

Au-dessus des arcades, subsistent les baies du triforium, géminées et en plein cintre, sous un arc de décharge. Leur aspect est tout à fait comparable au triforium sous comble de Saint-Étienne de Beauvais, mais peut-être existait-il déjà un mur de fond au XIIe siècle et donc une sorte de triforium-couloir. Les fenêtres hautes sont modernes ; elles reprennent la forme d'origine en plein cintre. La nef a été voûtée d'ogives dès le début et les arcs ont l'épais profil des voûtes précoces, doubleaux en plein cintre et ogives moulurées d'un méplat entre deux gorges et deux baguettes. Les bas-côtés étaient cependant encore couverts de voûtes d'arêtes, qui ont été restituées par Viollet-le-Duc.

La travée du chœur sous le clocher paraît contemporaine de la nef. Aux quatre colonnes de l'abside, ont été remployés des chapiteaux anciens, ornés de palmettes, de tiges à la fois souples et fermes, de feuilles côtelées disposées sur deux rangs. Le chevet primitif avait peut-être été construit avant la nef.

(extrait de : Anne Prache ; Ile-de-France romane, Ed. Zodiaque, Coll. Nuit des Temps, pp. 253-255).

ISO 3200 - f:14 - 1/800 -24mm

l'épine sur l’île de noirmoutier

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La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.

Seule plage bretonne

La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.

La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.

C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.

Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.

Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.

Son ami Gesril du Papeu l'avait fait tomber de son promontoire sur Hervine Magon, assise elle aussi sur un pieu, la projetant à la mer, au grand dam des domestiques chargés de leur surveillance. S'ensuivit « une poursuite jusqu'à son domicile, l'hôtel White où La Villeneuve (1) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie, pendant que Gesril réfugié au deuxième étage lance des casseroles d'eau et de pommes cuites sur les assaillants ! »

Autre référence littéraire à consulter, Les amants du rempart, de Paul Vimereu. « La vague, creusant l'aubier de rainures verticales, a refait aux chênes de la mer une écorce aux plis profonds [...] Sur les arêtes de ces troncs chagrinés, une lèpre monte à mi-faîte : les balanes ou glands de mer marquent ainsi le niveau des hautes marées. [...] »

Des troncs solidement enfoncés

C'est en 1825 que l'opération la plus spectaculaire fut entreprise, à l'initiative de l'ingénieur des Ponts et chaussées Robinot : 2 600 troncs « tortillards » (2) furent enfoncés dans le sable, d'environ un tiers de leur longueur, initialement de sept mètres.

Ces fameux poteaux disposés en quinconce continuent de défendre vaillamment, en cassant l'élan des vagues.

Ces dernières peuvent atteindre la hauteur des immeubles lorsque grandes marées et coups de vents se conjuguent, comme en mars et septembre 2007 ou mars 2008.

À noter qu'en 1894, l'administration s'opposa à la suppression des brise-lames, dont la municipalité malouine ne voulait plus. Leur utilité n'est aujourd'hui plus à démontrer, sans compter le cachet qu'ils ajoutent au paysage.

Près de 400 fûts de chênes de talus ont été remplacés récemment, avec des moyens mécaniques nettement plus confortables qu'autrefois, puisque les hommes utilisent une pelleteuse à godet, n'ayant le temps de travailler qu'à marée basse.

Au coeur du site de la baie du Mont Saint Michel se dressent sur 271 km en mer, les Bouchots, ces pieux utilisés pour l'élevage des moules- Bretagne des Saveurs - Haute-Bretagne Ille-et-Vilaine

 

www.bretagne35.com

 

©T. Guérin

Elle est venue, si calme, si profonde, tout près de moi, comprenant peut-être que je voulais faire son portrait.

 

Regardez-là bien.

Ses yeux.

Son expression.

Et elle embrasse le ciel lacté de ses cornes ouvertes, comme bras du Christ.

Elle est bien de la terre. Ô combien.

Mais ses cornes sont sa prière.

 

Belle salers à la robe pouzzolane. Elle a la couleur des pierres de volcan.

On l'aime vraiment.

Surtout le paysan qui a choisi sa race.

Il sait.

 

Elle....allez savoir.

Mais vous pouvez lui demander.

On dit que les sages et les simples, pieux, fidèles à leurs devoir de piété, parlent aux animaux et inversement, particulièrement la nuit de NOEL.

J'en suis certaine.

 

Toutefois, je ne connais pas ce langage-là

Je n'en serais pas digne.

Mais je lui rends hommage ici...

Merci à elle, et au bon paysan qui l'a mise dans son sublime champ.

Collégiale Notre-Dame. Eglise romane du XIIe siècle, au profil caractéristique avec deux clochers octogonaux.

Une première église commencée par Robert le Pieux en 1016 et dédicacée à la fin du XIe siècle (il ne subsiste que la tour-porche). Collégiale actuelle entreprise au début et achevée vers le milieu du XIIe siècle. Chapelle d'axe ajoutée ou reconstruite sur le déambulatoire au cours du XIVe siècle. Eglise incendiée pendant la guerre de 100 ans. D'importants travaux au début du XVIe siècle : Chapelles latérales ajoutées au Nord et contre la partie septentrionale de la façade dans le prolongement du clocher-porche. Clocher repris sur sa face occidentale. Deux chapelles latérales et un grand porche construits au Sud. Trois premières travées de la nef revoûtées. Arcs-boutants lancés sur tout le pourtour. Chapelle orientée à l'extrémité du bas-côté Nord également refaite. Fortement restaurée au XIXe siècle : Piles du côté Nord, sauf les 2 dernières, reprises en sous-oeuvre. Remaniement des fenêtres hautes au Sud, avec percement d'un occulus dans le fond du triforium. Chevet à peu près intégralement reconstruit 2 fois. Eglise intéressante seulement par son plan sans transept et à déambulatoire et par son élévation à 3 niveaux + deux tours octogonales et une série de chapiteaux sculptés.

 

La tribune de la tour-porche ouvre sur le vaisseau central par deux baies en plein cintre. Dans la nef elle-même, seules les dernières travées sont du XIIe siècle et les mieux conservées sont les quatrième et cinquième du côté Nord. L'élévation est à trois niveaux, comme à Saint-Étienne de Beauvais. Les grandes arcades sont en plein cintre, à deux rouleaux moulurés de baguettes au XIXe siècle. Les piles quadrangulaires sont cantonnées de colonnes engagées au nombre de trois sur chaque face. Du côté du grand vaisseau, la colonne médiane fait saillie sur un dosseret. Les chapiteaux des colonnes latérales sont disposés de biais pour les ogives. Les corbeilles sont sculptés de feuillages d'acanthe, dressés sur un seul rang et soigneusement nervures. A la dernière travée, avant celle du clocher, figurent des griffons et des monstres affrontés, ainsi que les entrelacs d'aspect plus roman.

Au-dessus des arcades, subsistent les baies du triforium, géminées et en plein cintre, sous un arc de décharge. Leur aspect est tout à fait comparable au triforium sous comble de Saint-Étienne de Beauvais, mais peut-être existait-il déjà un mur de fond au XIIe siècle et donc une sorte de triforium-couloir. Les fenêtres hautes sont modernes ; elles reprennent la forme d'origine en plein cintre. La nef a été voûtée d'ogives dès le début et les arcs ont l'épais profil des voûtes précoces, doubleaux en plein cintre et ogives moulurées d'un méplat entre deux gorges et deux baguettes. Les bas-côtés étaient cependant encore couverts de voûtes d'arêtes, qui ont été restituées par Viollet-le-Duc.

La travée du chœur sous le clocher paraît contemporaine de la nef. Aux quatre colonnes de l'abside, ont été remployés des chapiteaux anciens, ornés de palmettes, de tiges à la fois souples et fermes, de feuilles côtelées disposées sur deux rangs. Le chevet primitif avait peut-être été construit avant la nef.

(extrait de : Anne Prache ; Ile-de-France romane, Ed. Zodiaque, Coll. Nuit des Temps, pp. 253-255).

Mouillage très particulier, dont l'histoire remonte au Moyen Age. Un simple mouillage sur pieux de bois.

Une petite trentaine de troncs d'arbres de 8 à 10 mètres de hauteur sont plantés dans le sable marin, avec leurs racines, au creux d'une petite anse protégée par une pointe rocheuse. Des pierres consolident la base de chaque arbre et l'ensemble constitue une petit forêt de mâts qui traverse les siècles. C'est là que s'amarrent les embarcations.

 

On se souvient de l’imposante sculpture qu’avait créée Vincent Mauger pour la place du Bouffay lors du Voyage à Nantes 2014. De longs pieux de bois fixés à une matrice centrale évoquant d’ingénieuses machineries formaient cet étrange objet.

  

Son ampleur tout autant majestueuse qu’effrayante révèle l’ambiguïté de la sculpture : l’esprit s’oblige naturellement à lui trouver un usage. La nouvelle situation de l’œuvre, en proue sur la Loire, dominant les anciennes cales de lancement des bateaux, accentue encore cette impression : est-on face à une machine de guerre médiévale, un instrument d’excavation des chantiers navals ou face au squelette d’un animal gigantesque ?

 

Résolution des forces en présence est à l’image du travail de cet artiste qui souvent joue sur le décalage des rapports d’échelle. Les principes d’assemblage restent visibles et permettent au spectateur de s’emparer de l’objet, d’imaginer en poursuivre la construction ou en modifier la configuration. L’artiste matérialise ainsi ce qui serait notre espace mental, notre façon de penser notre présence physique dans un espace donné, et par extension notre présence au monde.

 

Le site internet TripAdvisor® a classé les plus belles plages du monde et de France. La plus grande plage de Saint-Malo est la seule plage bretonne dans le top 10 français.

La plage du Sillon, à Saint-Malo, a été élue la 3e plus belle plage de France par le site de planification et de réservation de voyage TripAdvisor®, derrière la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, en Corse, et la Côte des Basques, à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques.

Seule plage bretonne

La plage du Sillon est la seule plage bretonne du top 10. « Profitez de cette belle plage de sable blond et de la vue magnifique. Vous ne serez pas déçus. Les couleurs sont splendides même lorsque le temps est pluvieux », partage un utilisateur du site participatif.

La mer peut parfois se révéler brutale. Pour lui résister, Saint-Malo a planté des pieux le long de ses plages.Retour sur l'histoire de ces troncs qui font le paysage malouin.

C'est en 1698 qu'a été prise la décision d'installer les pieux de la plages du Sillon, après que les marées d'équinoxe de mars et septembre précédent eussent endommagé les fortifications.

Il y en eut 300 de plantés en quatre mois, sur deux à trois rangées, de la cale de l'Éventail à la cale de la Piperie, ainsi que des planches en épis à Rochebonne. Une nouvelle tempête mémorable se produisit en janvier 1735. Pour lutter contre la furie des flots, on mit en sentinelle des « pilotins de garde » devant la Chaussée du Sillon.

Selon 2 000 ans d'histoire de Gilles Foucqueron, les pieux ne dépassaient que d'un mètre devant le château, du temps de Chateaubriand, qui en rapporte un souvenir d'enfance.

Son ami Gesril du Papeu l'avait fait tomber de son promontoire sur Hervine Magon, assise elle aussi sur un pieu, la projetant à la mer, au grand dam des domestiques chargés de leur surveillance. S'ensuivit « une poursuite jusqu'à son domicile, l'hôtel White où La Villeneuve (1) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie, pendant que Gesril réfugié au deuxième étage lance des casseroles d'eau et de pommes cuites sur les assaillants ! »

Autre référence littéraire à consulter, Les amants du rempart, de Paul Vimereu. « La vague, creusant l'aubier de rainures verticales, a refait aux chênes de la mer une écorce aux plis profonds [...] Sur les arêtes de ces troncs chagrinés, une lèpre monte à mi-faîte : les balanes ou glands de mer marquent ainsi le niveau des hautes marées. [...] »

Des troncs solidement enfoncés

C'est en 1825 que l'opération la plus spectaculaire fut entreprise, à l'initiative de l'ingénieur des Ponts et chaussées Robinot : 2 600 troncs « tortillards » (2) furent enfoncés dans le sable, d'environ un tiers de leur longueur, initialement de sept mètres.

Ces fameux poteaux disposés en quinconce continuent de défendre vaillamment, en cassant l'élan des vagues.

Ces dernières peuvent atteindre la hauteur des immeubles lorsque grandes marées et coups de vents se conjuguent, comme en mars et septembre 2007 ou mars 2008.

À noter qu'en 1894, l'administration s'opposa à la suppression des brise-lames, dont la municipalité malouine ne voulait plus. Leur utilité n'est aujourd'hui plus à démontrer, sans compter le cachet qu'ils ajoutent au paysage.

Près de 400 fûts de chênes de talus ont été remplacés récemment, avec des moyens mécaniques nettement plus confortables qu'autrefois, puisque les hommes utilisent une pelleteuse à godet, n'ayant le temps de travailler qu'à marée basse.

Le père de Robert Brunner et le beau-père de Laure Jourdain.

A pile driver hammers H piles for the center pier of the North Talbot Road Bridge over Highway 401. The piles are driven until they hit bedrock. Once completed, the piles are then trimmed and the pillars built on top. Piles for the center pier can be seen in the middle of the highway.

 

Une sonnette de battage sert à renforcer les pieux en forme de H pour la quai centrale du pont North Talbot Road par-dessus de l'autoroute 401. Les pieux sont battus jusqu'à ce que la pointe du pieu prenne appui sur le socle rocheux. Une fois complète les pieux sont taillés et des piliers sont placés au-dessus. Les pieux sont battus pour le centre pier peut être vu dans le milieu de l'autoroute.

 

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