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Avant de partir pour Sognéterno, le Roi Eryndor Thorsen s'était recueilli au Temple des Silences Éternels, un sanctuaire ancien taillé dans la roche des montagnes de Sombreciel.
C'est là, entouré des serviteurs de Luminaris et des lueurs vacillantes qu'il rassemble ses pensées.
Le Roi venait y apaiser la colère qui grondait en lui et puiser la force nécessaire pour supporter les nobles de Valmirion et leur famille royale. Leur arrogance, leur appétit pour les intrigues et leur mépris à peine voilé pour Sombreciel ne faisaient que nourrir son dégoût. Pourtant, Eryndor n'avait pas le choix : il devait se rendre au tournoi pour défendre l'honneur de son Royaume et, plus encore, espérer garnir les coffres presque vides avec le grand prix.
Création réalisée pour le RP Feodalis et pour Brickscalibur, dans la catégorie Perspective Matters.
Un grand merci à @faëbricks pour l'edit.
Voici l'histoire du super héro mythologique "Ai Apaec" un ancien chef mochica qui cultivait les vallées vertes et fertles du nord du Pérou entre 100 et 800 ap. JC.
Lorsque le soleil se couche Ai Apaec craint que sa terre soit plongée à jamais dans l'obscurité totale. Déterminé à sauver le soleil qui apporte l'énergie et la chaleur nécessaire à la survie de sa communauté, il se lance dans un voyage qui symbolise le cercle de la vie andine.
Il voyage à travers les trois mondes, affrontant de redoutables défis pour pouvoir acquérir des supers pouvoirs. Il sacrifie sa vie et renaît pour rentrer chez lui, garantissant ainsi la continuité de la vie à sa communauté.
Les Moches, un peuple précolombien ayant existé du début du IIe siècle jusqu'au VIIIe siècle au Nord du Pérou, vénéraient principalement une divinité baptisée Ai apaec,. C'est le dieu décapiteur ou étrangleur, que l'on trouve représentée sur de nombreuses céramiques et fresques.
On pense qu'il s'agit d'allusions au rituel de sacrifice humain pratiqué sur la Huaca de la Luna. Il s'agit du principal centre religieux et cérémoniel du peuple Moche proche de Trujillo.
Pour les Moches, c'était l'un de leurs dieux punisseurs, le plus craint et adoré. Ai apaec était vénéré comme le dieu créateur, protecteur des Mochicas, fournisseur d'eau, de nourriture et de triomphe militaire.
This is the story of the mythological superhero "Ai Apaec", an ancient Mochica chief who cultivated the green and green valleys of northern Peru between 100 and 800 AD.
When the sun sets Ai Apaec fears that his land will be plunged into total darkness forever. Determined to save the sun that provides the energy and warmth necessary for the survival of his community, he embarks on a journey that symbolises the Andean circle of life.
He travels through the three worlds, facing formidable challenges in order to acquire super powers. He sacrifices his life and is reborn to return home, ensuring the continuity of life for his community.
The Moches, a pre-Columbian people who existed from the beginning of the second century until the eighth century in the north of Peru, mainly worshipped a deity called Ai apaec. This is the beheading or strangling god, who is represented on numerous ceramics and frescoes.
It is thought that these are allusions to the ritual of human sacrifice practiced at the Huaca de la Luna. This is the main religious and ceremonial centre of the Moche people near Trujillo.
For the Moche, it was one of their punishing gods, the most feared and adored. Ai apaec was worshipped as the creator god, protector of the Mochicas, provider of water, food and military triumph.
Haute-Loire ~ Auvergne
L'abbaye Saint-André est un ancien prieuré bénédictin français situé à Lavaudieu dans le département de la Haute-Loire. Il dépendait de l'abbaye de la Chaise-Dieu.
Première mention en 909 du site qui s'appelle alors Comps.
La terre est donnée vers 1050 par Raoul de Lugeac, seigneur de Lugeac à l'abbaye de la Chaise-Dieu qui doit répondre au nombre important de vocations féminines. Il cherchait à créer un prieuré conventuel de moniales dans un site moins froid que le plateau du Livradois. Un monastère de religieuses bénédictines est fondé en 1057 par saint Robert de Turlande, fondateur de l'abbaye de la Chaise-Dieu. Cette donation est confirmée par Rancon, évêque d'Auvergne, en 1050 et par le roi Henri Ier, en 1052. Cette donation est confirmée en 1066 par Raoul ou Radulphe de Lugeac, abbé de Brioude. Le lieu est connu jusqu'au xve siècle sous le nom de Saint-André-de-Comps, avant de prendre celui de Vallus Dei (Vallée de Dieu) dont Lavaudieu est la forme simplifiée. Le prieuré connaît son apogée au xiie siècle où de nombreuses donations permettent l'érection de l'ensemble des bâtiments monastiques.
En 1070, Judith, fille du comte d'Auvergne Robert II (1060-1096) et de Judith, sœur du comte de Melgueil, se retire dans ce prieuré. Cela va entraîner des donations importantes.
En 1077, les prieurés de Censac, de Chassignoles, de Paulhaguet et d'Entremont sont rattachés à l'abbaye. Plus tard viendront s'ajouter les prieurés de Bonneval, de Saint-Didier-sur-Doulon et de Touls, ainsi que le prieuré de Sainte-Marie-de-la-Rocca en Lombardie.
En 1173, Guillaume VII le Jeune et son fils Robert, dauphin d'Auvergne, donnent la terre de Touls située dans le Cantal à condition d'y établir un prieuré.
L'église prieurale, le cloître et des bâtiments du prieuré sont réalisés au xiie siècle. La partie la plus ancienne du cloître est celle située sur le côté ouest.
Le pape Alexandre III donne en 1176 une bulle de protection du monastère fixant les privilèges du monastère et confirmant les dons qui lui ont été faits.
Des chapelles latérales sont édifiées sur le côté nord de la nef de l'église au xiiie siècle.
Le cycle de peintures de la nef de l'église prieurale est peint au xive siècle. Il représente la Crucifixion sur le mur triomphal, cinq scènes de la Passion du Christ côté nord et côté sud quatre scènes n'ayant apparemment pas de lien entre elles dont la célèbre Mort Noire personnifiant la peste.
La position haute de ce cycle de peintures vient de la présence de tribunes en bois qui ont aujourd'hui disparu. Une inscription donne la date de 1315, époque où Louise de Vissac est prieure.
Au xvie siècle l'abbaye passe en commende pendant le règne de François Ier.
Remarque: le pape Clément VI institue la commende – du latin « commendare », confier – lui permettant de se réserver le droit de nommer les abbés. Cette pratique est due aux besoins d'argent de la papauté. À partir du concordat de Bologne, en 1516, le roi de France se réserve le droit de nommer les abbés commendataires, qui peuvent être des laïcs. Ces abbés perçoivent les revenus de leurs abbayes et délèguent le pouvoir spirituel aux prieurs. Le monastère abandonne alors la règle bénédictine pour adopter celle des chanoinesses. Le recrutement s'effectue alors parmi la noblesse auvergnate. Les chanoinesses abandonnent le dortoir situé au-dessus du cloître et décident de vivre dans des maisons individuelles construites à l'arrière du monastère. Elles continuent à prononcer les trois vœux monastiques et pratiquent les exercices religieux en commun mais leur application s'assouplit.
La fresque du martyre de sainte Ursule dans l'église est réalisée au xvie siècle.
À partir de 1718, les trois dernières prieures portent le titre d'abbesse.
Au xviiie siècle sont des appartements pour l'abbesse au-dessus de la galerie ouest du cloître.
C'est dans ce lieu retiré que le cardinal de Rohan, exilé à la Chaise-Dieu, finit par trouver refuge, après la scandaleuse affaire du collier de la reine en 1786[1].
Les chanoinesses doivent quitter le monastère en 1791.
En 1792 l'abbaye est vendue comme bien national. Elle est alors décomposée en plusieurs lots vendus à des agriculteurs qui transforment le cloître en bâtiment de ferme.
Le côté ouest du cloître est modifié par permettre la stabulation des vaches et le passage des charrettes.
Le clocher est tronqué en 1793 à la demande des Révolutionnaires pour supprimer tout ce qui n'est pas égalitaire.
En 1896, découverte de fragments d'une peinture datant du xiie siècle sur le mur est de la salle située côté sud du cloître représentant le Christ en majesté au-dessus de la Vierge entourée des apôtres. Cette salle a servi de réfectoire à un moment de l'histoire du prieuré (passe-plats avec la cuisine située à l'ouest de la salle, aujourd'hui démolie) mais la qualité de cette peinture pourrait faire penser qu'elle a été faite pour une chapelle.
Les fresques de l'église ont été découvertes en 1966-1967.
Protection
Classé MH (1862)
Classé MH (1932)
Classé MH (1958)
Classé MH (1966)
Inscrit MH (1958)
Inscrit MH (2001)
fr.m.wikipedia.org/wiki/Abbaye_Saint-Andr%C3%A9_de_Lavaudieu
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170 405 L' Aiguillon-sur-Mer ... Etape 23 : de "Saint-Vincent-sur-Jard" à "Saint-Michel-en-l'Herm".
... c'est une longue histoire ...
Ancienne maison du bourreau à Saint-Nicolas-de-Port (54). Une hache est représentée sur la linteau de porte du XVIème siècle.
Village situe a 10km au nord de Nimes
11h30 le village semble desert. En 1990 la population etait de 1630 habitants
Du fait de sa proximité avec l'aqueduc romain qui alimentait Nîmes en eau, le site de Poulx fut occupé dès l'Antiquité.
Le développement du village débuta réellement au milieu du Moyen Âge, l'église datant du xie siècle.
Photo argentique de 1994, scannee
Archives de la Ville de Montréal
In: "Le Présent du Passé" / Benoit Brouillette.
Il est assez incroyable d'imaginer que le tracé du boul. Métropolitain (autoroute 40) passe exactement là aujourd'hui.
Sur certaines cartes anciennes, cette portion de route rurale portait l'appellation "Vervais Road".
Vervais étant le nom d'un hôtelier actif dans ce secteur au tournant du XIXè siècle, plus à l'Ouest, près de l'actuel axe Lajeunesse.
À gauche, d'anciennes maisons de ferme (la maison dite Gordon Girwood, probablement en pierre présentant un mur coupe-feu et l'autre en bois) construites au bord de l'ancien chemin de la Côte-Saint-Laurent, témoignent du passé agricole de ce secteur. Plus avant, à la croix de la rue Saint-Hubert, visible au loin, ce chemin bifurquait légèrement au Sud, vers la droite, et reprenait ensuite son parcours vers l'Est sous l'appellation "chemin de la Côte-Saint-Michel" qui traversait la campagne montréalaise desservant les fermiers de l'Est de l'île depuis le début XVIIIè siècle.
Carte du secteur vers 1930
www.flickr.com/photos/urbexplo/8418297385
Carte détaillée du secteur en 1949
Sur la place du Martray de Saint-Brieuc, lors du rassemblement pour la Montée de la rue Fardel, 3 participants exposent leur voiture de collection.
En premier plan une magnifique Traction Avant de couleur bordeaux, une 2CV style « Hot Rod » et une Estafette aux couleurs de la célèbre biscuiterie nantaise.
Vue générale de l'ensemble bâti.
Ancienne maison de ferme
Construction: 1823
Façade avant (élévation Sud) donnant sur Chemin du Souvenir et mur pignon Est avec son bas côté de construction plus récente et une petite remise en retrait du chemin.
Le corps principal de la maison, qui a subi quelques ajouts au fil du temps, est charpenté de bois (pièce sur pièce), lambrissé de bardeaux de cèdre et de planche à clin.
La toiture à forte pente est percée de trois lucarnes et d'une large souche de cheminée en pierre. Le larmier, ne présentant aucun débord au mur pignon se prolonge à l'avant, au dessus d'une longue galerie, cette dernière donne directement sur l'espace trottoir.
Coupée de son contexte originel et victime d'un manque de vision, cette vénérable demeure rurale est vouée à disparaître
Ancien pont ferroviaire traversant la rivière des Mille-îles, reliant Saint-François-de-Laval à Terrebonne.
Ce moulin de type provençal a été construit sur le promontoire exposé au vent pour le Seigneur des Baux de Provence et détruit par le Marchal de Vitry en 1632 en même temps que le château et le village.
Anciens entrepôts (Alhondiga Bilbao) construits de 1905 à 1909 par Ricardo Bastida (1878-1953), fermé dans les années 80, réhabilités et transformés en centre culturel et civique de 2001 à 2010 par Philippe Starck.
La façade a été sauvegardée, l'intérieur entièrement refait pour une superficie de 43.000 mètres carrés comprenant, bibliothèque, piscine, salles d'exposition, auditorium, cinémas, magasins, restaurants, parkings...
Les colonnes imaginées par le designer sont toutes différentes.