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remise de médailles aux anciens combattants, promotion du 14 juillet

(remise de la médaille de la légion d'Honneur à Pierre)

le long du canal derrière chez moi pendant la période des moissons nous l'entendons un sifflement continuel pas très agréable mais supportable la saison des moissons est assez courte

Ce moulin de type provençal a été construit sur le promontoire exposé au vent pour le Seigneur des Baux de Provence et détruit par le Marchal de Vitry en 1632 en même temps que le château et le village.

Tracteurs anciens à Neuvilly en septembre 2021

Ancien puits Couriot. Musée de la mine de Saint-Etienne.

La lampisterie était l'espace où les mineurs recevaient leur lampe allumée avant la descente.

Ce passage obligé permettait le pointage des hommes. Les mineurs remettaient un jeton portant leur numéro de matricule en échange de leur lampe, et au retour y déposaient leur lampe contre ce dernier. Il était ainsi possible de savoir à chaque instant qui était au fond.

Ancienne maison villageoise

Construction: 1855

Pignon Sud et façade avant (élévation Est).

D'esprit néoclassique

Abrite le presbytère.

190 518 Ethiopie : le trésor des églises de Lalibela

Les vitraux de Saint-Vincent. En 1939, prévoyant le pire, l'Administration prit la décision de déposer tous les vitraux anciens de l'église Saint-Vincent. Après classement en bonne et due forme, ils furent envoyés au donjon de Niort, dans les Deux-Sèvres. Les vitraux des XVIIIe et XIXe siècles restèrent en place. Avec l'église, ils furent réduits en miettes lors du bombardement allié du 31 mai 1944. On parvint à extraire des décombres quelques pièces de mobilier et des restes de sculpture. L'église avait été classée aux Monuments historiques. Elle fut déclassée, à l'exception du portail sud du transept, et partiellement rasée. Les vitraux, entreposés entre-temps à Paris, n'avaient donc plus d'édifice de destination. Que faire? Construire une nouvelle église? Bâtir un musée dédié? Les exposer à demeure dans un musée déjà existant? Il fallut trente-cinq ans pour régler l'affaire.

En 1951, la Ville envisagea d'exposer les plus beaux vitraux au musée le Secq des Tournelles. De Paris, ils revinrent donc à Rouen. Quatre furent exposés : l'Arbre de sainte Anne, les Chars, les Saints et le Jugement dernier.

En 1957, on partagea les verrières de Saint-Vincent en deux. Le premier groupe, jugé indivisible, comprenait les vitraux du chœur de l'ancienne église jusqu'au transept. Les autres, qui ne constituaient pas un véritable ensemble, formaient le second groupe. Huit verrières de ce groupe furent remontés, à la cathédrale, dans la chapelle de la Vierge et dans l'ancienne salle du trésor de la tour Saint-Romain.

Peu après, la décision fut prise de construire une nouvelle église place du Marché et l'on ne parlait plus vraiment d'y remonter les vitraux de l'ancien chœur. De quel style serait-elle? Néo-gothique? Résolument moderne? Les avis se heurtaient. Et puis, des vitraux anciens dans du moderne? Des services officiels s'y opposaient. Cependant, en 1962, les Amis des Monuments Rouennais bataillèrent pour que l'insertion des vitraux dans la nouvelle église fût inscrite au cahier des charges. L'idée de créer un musée du vitrail fut rejetée. L'historien d'art Jean Lafond fit alors une nouvelle répartition des vitraux : ceux qui appartenaient à l'église primitive avant la reconstruction du chœur ; ceux qui provenaient d'autres églises et avaient été remontés à Saint-Vincent pendant la Révolution ; enfin, la série installée dans le chœur. Cette série, indivisible, sera, au bout du compte, remontée en 1978 dans la nouvelle église après de nouvelles péripéties.

En 1972, le projet finalement choisi ne prévoyait pas de place pour l'insertion des treize verrières. Le projet était celui de l'architecte Louis Arretche, Architecte en Chef des Bâtiments Civils et des Palais Nationaux et urbaniste de la ville de Rouen. Les défenseurs des vitraux, scandalisés, firent pression. La vice-présidente des Amis des Monuments Rouennais, madame Néel-Soudais, à la tête d'un petit groupe, les Amis de Rouen et de Jeanne d'Arc, amena l'architecte, par sa force de persuasion, à modifier ses plans. Celui-ci accepta d'enfoncer de deux mètres l'église dans le sol afin de donner à la façade nord une hauteur suffisante pour les verrières. Les treize verrières furent restaurées de 1975 à 1978 par l'atelier Gaudin, et remontées à Sainte-Jeanne d'Arc au second semestre 1978.

 

The stained glass windows of Saint-Vincent. In 1939, foreseeing the worst, the Administration decided to remove all the old stained glass windows from the Saint-Vincent church. After proper classification, they were sent to the keep of Niort, in Deux-Sèvres. The stained glass windows from the 18th and 19th centuries remained in place. Along with the church, they were reduced to rubble during the Allied bombing of 31 May 1944. A few pieces of furniture and remains of sculpture were managed to be extracted from the rubble. The church had been classified as a Historic Monument. It was downgraded, with the exception of the south portal of the transept, and partially razed. The stained glass windows, stored in the meantime in Paris, therefore no longer had a destination building. What to do? Build a new church? Build a dedicated museum? Display them permanently in an existing museum? It took thirty-five years to resolve the matter. In 1951, the City considered exhibiting the most beautiful stained glass windows at the Secq des Tournelles museum. From Paris, they returned to Rouen. Four were exhibited: the Tree of Saint Anne, the Chariots, the Saints and the Last Judgement.

In 1957, the stained glass windows of Saint-Vincent were divided into two. The first group, considered indivisible, included the stained glass windows of the choir of the old church up to the transept. The others, which did not constitute a real ensemble, formed the second group. Eight stained glass windows from this group were reassembled, in the cathedral, in the chapel of the Virgin and in the old treasure room of the Saint-Romain tower.

Shortly afterwards, the decision was made to build a new church on the Place du Marché and there was no longer any talk of reassembling the stained glass windows of the old choir. What style would it be? Neo-Gothic? Resolutely modern? Opinions were conflicting. And then, old stained glass windows in modern ones? Official services were opposed to it. However, in 1962, the Friends of Rouen Monuments fought to have the insertion of the stained glass windows in the new church included in the specifications. The idea of ​​creating a stained glass museum was rejected. The art historian Jean Lafond then made a new distribution of the stained glass windows: those that belonged to the original church before the reconstruction of the choir; those that came from other churches and had been reassembled in Saint-Vincent during the Revolution; finally, the series installed in the choir. This indivisible series would ultimately be reassembled in 1978 in the new church after new adventures. In 1972, the project finally chosen did not provide space for the insertion of the thirteen stained glass windows. The project was that of the architect Louis Arretche, Chief Architect of Civil Buildings and National Palaces and urban planner of the city of Rouen. The defenders of the stained glass windows, scandalized, put pressure on. The vice-president of the Friends of Rouen Monuments, Mrs. Néel-Soudais, at the head of a small group, the Friends of Rouen and Joan of Arc, persuaded the architect, through her powers of persuasion, to modify his plans. He agreed to sink the church two meters into the ground in order to give the north facade sufficient height for the stained glass windows. The thirteen stained glass windows were restored from 1975 to 1978 by the Gaudin workshop, and reassembled at Sainte-Jeanne d'Arc in the second half of 1978.

Expo Auto-Rétro à Rumilly

2013-08-17

Auckland Waitemata Harbour - New Zealand

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Cette photographie est sélectionnée dans le cadre du Concours photographique 2011 : Sur les traces toulousaines d'Eugène Trutat.

 

Auteur : Eugène Trutat (1840-1910)

 

Description : vers 1860

 

AMT, 51 Fi, Fonds des Toulousains de Toulouse. Domaine public.

 

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Le projet architectural des bureaux noAarchitecten (Bruxelles), EM2N (Zurich) et Sergison Bates architects (Londres) a été unanimement choisi pour la reconversion de l’ancien garage Citroën Yser en un nouveau pôle culturel pour Bruxelles.

Le jury du concours international salue un projet « exceptionnellement bien intégré à son contexte ». Intitulé « Une Scène pour Bruxelles », le projet-lauréat met en valeur tous les éléments iconiques de l’architecture existante. Le showroom évidé et restructuré devient la « vitrine » du projet, accueillant des installations, performances et concerts au rez-de-chaussée, ainsi qu’un restaurant au dernier étage. La grande frise extérieure blanche est prolongée pour encercler tout le bâtiment sous la forme d’un ruban lumineux, afin de diffuser des informations ou de permettre un projet artistique. À l’intérieur du site, une « rue » transversale traversera le site de 35.000 m2, donnant notamment accès à trois grandes « boîtes dans la boîte », insérées dans les anciens ateliers et qui accueilleront les collections du Centre Pompidou au cœur du futur musée d’art moderne et contemporain, le CIVA, ainsi qu’un auditorium de 400 places. Le futur musée disposera d’espaces d’exposition répartis sur quatre niveaux, de hauteurs différentes, permettant de multiples configurations.

« Une Scène pour Bruxelles » s’est démarquée des autres propositions par son approche résolument participative : les architectes ont mené une large concertation avec de multiples acteurs de la scène socio-culturelle locale (JES, Maison des cultures et de la cohésion sociale, artistes bruxellois…) et internationale (Deutsches Architekturmuseum, Tate Modern et bien-sûr, le Centre Pompidou…). Ce projet inscrit ainsi pleinement le futur musée dans son contexte urbain, grâce notamment à des percées dans toutes les façades et des activités (espaces de rencontre, ateliers, commerces…) ouvertes sur les axes urbains environnants, sur le canal et sur le parc Maximilien. Il comprend aussi une extension du Kaaitheater et une liaison fonctionnelle entre les institutions voisines.

 

The architecture project of the offices noAarchitecten (Brussels), EM2N (Zurich) and Sergison Bates architects (London) was unanimously selected for the conversion of the former Citroën Yser garage into a new cultural hub for Brussels.

The jury of the international competition praised a project that is ‘exceptionally well integrated in its context’. Entitled ‘A Stage for Brussels’, the winning project highlights all the iconic elements of the existing architecture. The emptied and restructured showroom will become the project’s ‘display cabinet’, home to installations, performances and concerts on the ground floor, and a restaurant on the top floor. The large white outdoor frieze will be extended so as to encircle the whole building with an electronic display sign that can be used to communicate information or that can be integrated in an artistic project. Inside, a transverse ‘street’ will cross the site measuring 35,000 m2, giving access to three large ‘boxes in the box’, which will be inserted in the former workshops and will house the collections of the Centre Pompidou in the heart of a future museum of modern and contemporary art, the CIVA Foundation and a 400-seat auditorium. The future museum will benefit from exhibition spaces spread out over four floors of varying heights, making a range of configurations possible.

A Stage for Brussels’ stood out from the other submissions through its participatory approach: the architects engaged in wide-ranging concertation with various actors of the sociocultural scene, whether locally (JES, Maison des cultures et de la cohésion sociale, several Brussels artists, etc.) or internationally (Deutsches Architekturmuseum, Tate Modern and of course the Centre Pompidou). The project thereby fully integrates the future museum in its urban context, among others thanks to openings in all the façades and a selection of activities (meeting places, workshops, stores, etc.) that give out onto the surrounding urban axes, the canal and the Maximilien Park. The project also includes an extension of the Kaaitheater and a functional connection with neighbouring institutions.

Véhicule Amilcar

 

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- SVP, pas de copies de photos sur Pinterest, et autres sites.

Ancien SC10 U sauvegardé par Bus Parisiens.

Bus : SC10 U

Mise en service : 08/1979

Réseau : TCAT - Troyes

Opérateur : TCAT

De style art déco (style « paquebot »), il a été construit sur les plans de l'architecte perpignanais Léon Baille (1862-1951) entre 1928 et 1932 afin de permettre aux touristes devant attendre le changement d'essieux de leur train de passer la nuit. Il comprenait une salle de restaurant, une salle de cinéma et son bar, une scène de théâtre à l'italienne et un court de tennis sur le toit. Construit en ciment armé, il est restauré progressivement après avoir atteint un état de délabrement avancé.

C'était hier, It was yesterday.

Un ancien garage oublié en bretagne. Fourgon Renault Goelette.

 

Old gas station in Brittany. Renault Goelette truck.

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Essai Sténopé ; image d'un sténopé artisanal (gros trou) saisi au smatphone !!!

Pinhole test; a handmade pinhole image (large hole) seized smatphone !!!

 

Ancien château fort, bâti à la fin du XVe siècle.

 

[Photo prise avec un Nikon F-301]

Actif de 1478 à 1786 avant d'être remplacé par le cimetière de Žižkov, il contiendrait environ 12.000 sépultures.

Ancienne usine de bauxite

Bouzigues / Hérault

Occitanie / France

La saline royale d'Arc-et-Senans est une ancienne saline (production industrielle de sel, « or blanc » ou sel gemme / halite) du xviiie siècle en activité jusqu'en 1895, construite à Arc-et-Senans dans le Doubs en Bourgogne-Franche-Comté. Implantée près de la forêt de Chaux, elle porte aussi le nom de saline royale de Chaux. Elle compte parmi les plus importantes salines d'Europe de son époque, et est construite par l'architecte Claude-Nicolas Ledoux sous le règne du roi Louis XV pour transformer la saumure, extraite aux salines de Salins-les-Bains (voir histoire du sel du Jura), transférée jusqu'à Arc-et-Senans par un saumoduc de 21 km.

Après l'évacuation et le passage des bulldozers, la nature reprend ses droits

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