View allAll Photos Tagged ancien
Un lampadaire ancien comme on en voit beaucoup sur les routes de Provence. Ciel et nuages rouges flamboyants viennent donner de la couleur à cette photo de nuit!
Dans la vallée d'Aithona, réputée pour ses vergers, orangers, le village d'Archangélos est un village pittoresque et plein de vie, gardant toujours son aspect ancien, le béton n'ayant attaqué que le bas du village.
On peut y visiter l'église de Saint-Jean décorée de fresques du XVe siècle, l'église des Taxiarques avec son haut clocher et l'église de Saint Théodore (à l'extérieur du village) avec ses fresques datées de 1372.
Le chrisme est un symbole chrétien ancien reprenant les deux premières lettres du mot « Christ » en grec : Χριστός.
Le « chi | X » et le « rhô | P » sont souvent accompagné de l'alpha (α) et l'oméga (ω) pour symboliser le commencement et la fin.
-------------------------------------------------
Tigzirt, l'antique Iomnium, aurait été fondée entre 147 et 145 av. J-C. À l'origine, elle n'était constituée que d'un petit port et d'un cantonnement militaire.
Après une longue période d'instabilité au cours de laquelle Iomnium n'a eu que peu d'importance, l'empereur romain d'ascendance berbère, Septime Sévère, confie à Julius Félix, notable de l'actuelle Dellys, la mission d'étendre la cité.
C'est donc au IIIe siècle ap. J-C qu'un temple dédié au génie local est érigé afin d'attirer les fidèles des contrées environnantes vers la ville naissante. Iomnium croît au point d'obtenir le statut de municipe romain.
Au Ve siècle, alors que la ville est sous contrôle byzantin, une grande basilique chrétienne est construite.
Tigzirt - Wilaya de Tizi-Ouzou - Algérie
Juillet 2017
Livré Diabolo de la compagnie TCC pour les scolaires.
Ce SAVIEM SC10-U n° 292 a été mis en service en 1973 par la SNELRT puis transformé pour les services scolaires en 1986 par les TCC. Il cessa son activité en 1991 puis fut récupéré par l’Association en 1992. Le 292 a gardé sa décoration et son aménagement d’époque.
Source :
www.amitram.fr/spip.php?article67
▬▬▬▬▬▬▬ஜ۩۞۩ஜ▬▬▬▬▬▬▬
Le SAVIEM SC 10 est un modèle d'autobus urbain construit par la Société anonyme de véhicules industriels et d'équipements mécaniques (SAVIEM) ; cet autobus était le modèle standard français. Les lettres SC signifient SAVIEM-Chausson.
La version définitive du SC 10 a été présentée en septembre 1965. Au fil des ans, plusieurs modifications lui seront apportées, jusqu'à sa version finale, le SC 10.R, produit entre 1982 et 1989.
Le SAVIEM SC 10 est un modèle d'autobus urbain construit par la Société anonyme de véhicules industriels et d'équipements mécaniques (SAVIEM) ; cet autobus était le modèle standard français. Les lettres SC signifient SAVIEM-Chausson.
La version définitive du SC 10 a été présentée en septembre 1965. Au fil des ans, plusieurs modifications lui seront apportées, jusqu'à sa version finale, le SC 10.R, produit entre 1982 et 1989.
Production :
Le succès commercial du SC 10 sera considérable. Ainsi, en novembre 1969, 1 440 SC 10 circulaient déjà sur les réseaux français.
En 1970, les clignotants situés à l'avant changent de place et sont placés désormais au-dessus des phares.
Au salon d'octobre 1974, SAVIEM présente le SC 10 UM (M pour modernisé) présentant une meilleure insonorisation grâce à un capsulage du moteur, un échappement double flux, des silencieux d'admission. Le freinage est amélioré pour se conformer aux normes CEE.
En fait, il existe deux versions avec des dispositions de portes différentes : le SC 10 244 DPA (« D » pour porte décalée) et le SC 10 U 44 PA.
En septembre 1975, un groupe de travail se constitue pour moderniser le SC 10 qui aboutira à une deuxième génération de SC 10 ; cette même année une grande lunette remplace les deux vitres sur la face arrière.
En 1977, SAVIEM et Berliet fusionnent pour devenir Renault Véhicules Industriels - RVI, ce qui entraîne en 1980 l'abandon définitif de la marque SAVIEM. Le SAVIEM SC 10 devient le Renault SC 10. Peu après, il bénéficie de quelques améliorations et il est rebaptisé SC 10 UO.
À l'automne 1981 est présenté le Renault SC 10 R (« R » pour restylé). Il n'a pas de changements importants mais une nouvelle esthétique aux lignes plus tendues, plus modernes qui lui ont fait perdre toutes les rondeurs de sa face avant. Le pare-brise n'est plus cylindro-cyclique mais conserve une forme galbée à la partie supérieure. Les portes latérales sont désormais vitrées sur toute leur hauteur ; il y a deux marches au lieu d'une et le confort thermique est amélioré (ventilation, chauffage, dégivrage). À l'arrière, seuls les feux sont restylés. La motorisation reste inchangée. La nouvelle version restera sept ans et demi en production et 1.630 exemplaires fabriqués. Le 4 mars 1986, l'usine d'Annonay célèbre le 10.000ème SC 10 produit. En 1987, le SC 10 représente 91 % du parc de la RATP.
Mars 1989 marque la fin de la fabrication du SC 10 après 11 004 exemplaires produits, dont plus de 3.000 d'entre eux « restylés », pendant 24 ans. Ce grand succès s'est limité à la France ; il n'eut aucun succès à l'étranger sauf à Brescia, en Italie, qui en a acquis quelques unités1.
Cependant, depuis leur remplacement sur le territoire français, beaucoup de SC 10 ont connu une nouvelle vie en étant reconditionnés et achetés par des communes pour leurs transports scolaires et aussi sur des réseaux étrangers grâce au marché de l'occasion. Des SC 10 roulent au Cambodge, en Birmanie, en Albanie, en Roumanie, en Russie et dans de nombreux pays d'Afrique et du Maghreb.
Caractéristiques générales
• Constructeur : SAVIEM, puis RVI
• Châssis : poutres tubulaires
• Carrosserie : panneaux latéraux démontables, pavillon en aluminium Duralinox
• Capacité de transport : 93 personnes (27 places assises et 66 places debout)
• Nombres de porte : 3 portes pliantes (2 doubles à l'avant (soit 4 vantaux) et au milieu et une simple à 2 vantaux à l'arrière.
• Longueur : 11,045 m
• Largeur : 2,50 m hors tout
• Hauteur : 2,96 m
• Hauteur intérieure : 2,20 m
• Empattement : 5,58 m
• Diamètre de giration : 22 m
• Masse à vide : 8,1 t
• Poids total en charge (PTC) : 15 t
• Puissance : 19 CV fiscaux - 165 ch réels
• Vitesse maximale : entre 50 et 85 km/h selon version
• 85 km/h sur SC 10 UBX Excursions 170 ch
• Réservoir : 228 litres
• Hauteur des vitres : 80 cm
• Portes : versions 2 ou 3 portes, à 2 ou 4 vantaux. L'accessibilité des SC10 est précisée par le nombre suivant le modèle. Ainsi, par exemple, un SC10.U.044 signifie qu'il a 0 porte à l'arrière, une au milieu avec 4 vantaux et une à l'avant avec 4 vantaux.
Source :
Maisons anciennes et jardins… depuis toujours me font battre le coeur! Quand la lumière est douce et s'amuse des ombres… c'est un coup de foudre
Avec juste un petit voile de sépia
Sous le règne du Roi de France : Louis Philippe 1er, Louis et Charles Isautier traversent les océans depuis la métropole pour s'installer à La Réunion.
Ancien agent Renault de village dont l'enseigne agonise en silence.
Des lettres... Mais en Nord en fait.
Photographie Wagret Bruno - Droits réservés
Recently usurped by Manchester Community Transport from Stockport Metroshuttle duties, here's a picture from earlier in the year when Arriva were the latest in a long line of operators to work the free town centre service.
Arriva North West 679 (CX58 FYY) and 669 (CX57 CYZ). Stockport, 04/01/2014.
Date posted: 05/11/2014.
un des plus anciens sites archéologiques bouddhistes du Laos, en pleine nature et à ciel ouvert au milieu des bois, perdu redécouvert vers 1960 par Pierre-Marie Gagneux, un historien français.Les datations divergent quelque peu , et une estimation moyenne situerait au XIV ou XV ° s)
Le groupe de Tham Vang Sang se situe à environ 55 kilomètres au nord-ouest de Vientiane et comprend deux sites.
Le premier « site de la roche fendue », présente un relief de cinq images assises du Bouddha dont quatre en samādhi, la figure centrale étant en vitarka.(le 5ème (non visible sur le cliché)est séparé du groupe peut être dû au mouvement de la roche et du terrain)
Ancienne maison de ferme
Construction: 1823
Façade avant (élévation Sud) donnant sur le Chemin du Souvenir et mur pignon Est, avec son bas côté (cuisine d'été), un ajout plus récent.
Carré de charpente en bois (pièce sur pièce), lambrissé de bardeaux de cèdre et de planche à clin.
La toiture à forte pente est percée de trois lucarnes et d'une souche de cheminée en pierre.
Le larmier, qui ne déborde pas du mur pignon (signe d'ancienneté de la construction), se prolonge à l'avant au dessus d'une longue galerie en guise d'auvent.
Remarquez la proximité du chemin: la maison en est si proche que sa galerie donne carrément sur l'espace trottoir.
Cet ultime témoin de l'Histoire de l'ancien village Saint-Martin est dans une situation plus que précaire: à proximité d'aménagements routiers de plus en plus achalandés, dans un secteur largement empiété, au fil des ans et surtout sans vision, par l'étalement urbain typique du développement "anarchique", entamé sur le territoire lavalois depuis les années 1945-1950.
"le moulin à grains, "cette construction, restaurée par le Parc Naturel du Haut-Languedoc, est aujourd’hui propriété de la commune et gérée par l’association des « Amis des Moulins » qui s’occupe de faire revivre ces vieilles pierres par des expositions d’artisanat d’art.
Bien avant la monoculture de la vigne Roquebrun, comme de nombreux villages languedociens, vivait chichement, en totale autarcie. Polyculture (blé, orge et avoine) et élevage fournissaient à nos ancêtres les denrées nécessaires à leur alimentation."
SIC le site de la ville
Montage 2 photos
Maison Dagenais
Ancienne maison de ferme
Carré de maçonnerie (pierre des champs).
Mur pignon Ouest et vue arrière (versant Sud).
Construction: 1767-1807
Le cultivateur Louis Dagenais construit cette maison en 1767, sur une terre qui sera cultivée par ses descendants sur plus de 140 ans, soit de 1767 à 1907.
D'autres membres de la famille Dagenais sont mentionnés, plus au Sud, dans le secteur de l'ancienne Côte Saint-Michel, actuelle rue Jarry