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Parti à la nuit direction les hauts plateaux du Dovrefjell, le froid est là, il a neigé, juste histoire de saupoudrer les grandes étendues... On s'enfonce de plus en plus loin dans l'inconnu, jusqu'à percevoir au loin des taches noires en mouvement et un bruit sourd et puissant.

Ils sont bien là, tout droit sortie de l'ère Quaternaire.

samuelsaulnier.com

 

Lors du brame, j'ai pu observer pendant de longues minutes un combat de cerfs.

 

Ce duel d'une violence inouie s'est tenu à proximité de moi, j'ai pu entendre le claquement des bois qui s'entrechoquent. Ce combat était ponctué de pauses lorsque les bois étaient entremèlés, avant que l'affrontement reprenne à nouveau.

C'est un moment impressionnant à vivre , assez rare en ce qui me concerne, car en plus de 10 ans de suivi du brame, c'est la première fois que j'ai pu en être le témoin.

A la fin de l'assaut qui s'est terminé hors de ma vue dans les sous-bois, je me suis demandé si les cerfs pouvaient s'être blessés, voire tués. Car il n'est pas rare soit qu'un coup mortel soit porté, soit qu'ils restent prisonniers de leurs bois, mourant alors d'épuisement.

Ce qui n'a pas été le cas, ici, car j'ai revu les mêmes animaux quelques jours après, en pleine forme, bramant à tout casser.

  

Bonne journée.

Merci pour vos visites et commentaires

 

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During the slab, I was able to observe a deer fight for several minutes.

 

This duel of incredible violence took place near me, I could hear the clatter of antlers colliding. This fight was punctuated by breaks when the antlers were intertwined, before the confrontation resumed again.

It is an impressive moment to live, quite rare for me, because in more than 10 years of monitoring the slab, this is the first time that I have been able to witness it.

At the end of the assault which ended out of my sight in the undergrowth, I wondered if the deers could have been injured or even killed. Because it is not rare either that a mortal blow is struck, or that they remain prisoners of their antlers, then dying of exhaustion.

This was not the case, here, because I saw them again a few days later, in great shape, roaring at everything.

  

Have a nice day

Thanks for your visits and comments.

"Macro Mondays. Rust".

 

Felix and the bullets of Quijorna.

  

www.youtube.com/watch?v=jlapv48d7VQ

Take That - Kidz (Official Video)

 

www.youtube.com/watch?v=oVTCC20HfY0

Take That - Kidz (Live at The BRITs 2011)

 

The measurements for this shot are 5.4 cm wide by 3.2 cm high.

 

For this photo I have used bullets and shells, kindly lent to me by my neighbor Félix, a survivor of the Battle of Quijorna, an adorable old man who nourishes me with stories, and with whom it is a pleasure to talk.

 

These bullets and casings are 84 years old and bathed in rust. I have tried to recreate with them an attack post and a trench. I hope you like it.

  

En terrenos de esta localidad tuvo lugar parte del enfrentamiento de la llamada batalla de Brunete, desarrollada desde el 6 hasta el 25 de julio de 1937 durante la Guerra Civil Española. Esta ofensiva lanzada por el ejército de la República tenía como objetivo disminuir la presión ejercida por las fuerzas sublevadas sobre Madrid y al mismo tiempo aliviar la situación en el frente Norte.

 

Como consecuencia de los bombardeos, Quijorna fue totalmente destruida, a excepción de una parte de la iglesia que quedó en pie. Costó muchos años y dinero reconstruirla. Sus habitantes ancianos cuentas muchas historias de aquella batalla, en la que familiares y amigos perecieron a manos de soldados.

 

La Batalla de Brunete está considerada como uno de las enfrentamientos más sangrientos de la guerra civil española.

  

Part of the confrontation of the so-called Battle of Brunete took place on the land of this town, which took place from July 6 to 25, 1937 during the Spanish Civil War. The objective of this offensive launched by the army of the Republic was to reduce the pressure exerted by the rebellious forces on Madrid and at the same time alleviate the situation on the northern front.

 

As a result of the bombings, Quijorna was totally destroyed, except for a part of the church that remained standing. It took many years and money to rebuild. Its elderly inhabitants tell many stories of that battle, in which family and friends perished at the hands of soldiers.

 

The Battle of Brunete is considered one of the bloodiest clashes of the Spanish civil war.

  

Une partie de la confrontation de la soi-disant bataille de Brunete a eu lieu dans cette ville, qui a eu lieu du 6 au 25 juillet 1937 pendant la guerre civile espagnole. L'objectif de cette offensive lancée par l'armée de la République était de réduire la pression exercée par les forces rebelles sur Madrid et en même temps d'alléger la situation sur le front nord.

 

À la suite des bombardements, Quijorna a été totalement détruite, à l'exception d'une partie de l'église qui est restée debout. Il a fallu de nombreuses années et de l'argent pour reconstruire. Ses habitants âgés racontent de nombreuses histoires de cette bataille, au cours de laquelle famille et amis ont péri aux mains de soldats.

 

La bataille de Brunete est considérée comme l'un des affrontements les plus sanglants de la guerre civile espagnole.

  

In questa città si svolse una parte dello scontro della cosiddetta battaglia di Brunete, che si svolse dal 6 al 25 luglio 1937 durante la guerra civile spagnola. L'obiettivo di questa offensiva lanciata dall'esercito della Repubblica era quello di ridurre la pressione esercitata dalle forze ribelli su Madrid e allo stesso tempo alleviare la situazione sul fronte settentrionale.

 

A seguito dei bombardamenti, Quijorna fu totalmente distrutta, ad eccezione di una parte della chiesa rimasta in piedi. Ci sono voluti molti anni e denaro per ricostruire. I suoi anziani abitanti raccontano molte storie di quella battaglia, in cui la famiglia e gli amici perirono per mano dei soldati.

 

La battaglia di Brunete è considerata uno degli scontri più sanguinosi della guerra civile spagnola.

  

María

(Manifestation "Lausanne antisioniste", le 18 septembre 2025)

Abitibi-Témiscamingue, QC. Canada

 

[FR] Les signaux visuels basé sur la couleur est un aspect important de la communication chez plusieurs espèces d’oiseaux. Chez les tétraonidés un de ces signaux est le peigne superciliaire, cet ornement formé de peau qui se gonfle chez le mâle durant la pariade en raison de l’augmentation du flux sanguin vers les tissus. Des recherches ont démontré qu’il y aurait une corrélation positive entre la grandeur mesuré des peignes, du niveau de testostérone et du succès copulatoire. Par contre il n’y aurait pas de de corrélation entre la dimensions observé des peignes et les comportement de combats entre mâles. Ceux-ci rétractant leurs peignes durant les affrontement probablement pour protéger cet attribut.

  

[EN] Color-based visual cues is an important aspect of communication in several bird species. One of these signals in grouse species is the supra orbital comb, this ornament formed of skin that male raise during courtship due to increased blood flow to the tissues. Research has shown that there is a positive correlation between the measured size of the combs the level of testosterone and copulatory success. On the other hand there is no correlation between the observed dimensions of the combs and the fighting behavior between males. These are retracting their combs during confrontation probably to protect this attribute.

  

All rights reserved ©André Bhérer

Parc naturel des Causses du Quercy – Lot - France

 

Affrontement pour la défense de territoire entre un Elanion blanc et une Corneille.

Troisième photo : la Corneille cède la place au plus impressionnant et plus agressif !

 

Clash for the defence of territory between a Black-winged kite and a Crow.

Third photo: the Crow gives way to the most impressive and aggressive !

 

Rouen (France) - Hier je me suis pris une belle plantade journalistique. En raison de la bonne tenue, à Rouen, de toutes les manifestations contre la réforme des retraites, je pensais qu’il était improbable qu’on assiste, jeudi 23 Mars 2022, à des affrontements.

J’avais pourtant assisté en début de manifestation à la tentative d’une poignée de Gilets jaunes et de jeunes excités encagoulés, de dévier la manifestation du parcours officiel pour pénétrer dans la ville historique. Les rues étroites de la rive droite étant propices à la guérilla urbaine. Les syndicats ont bien géré la situation et les 20.000 manifestants n’ont pas cédé à la provocation en poursuivant le parcours établi en concertation avec la préfecture.

Dans un premier temps, seule une vingtaine de troublions se sont aventurés dans les rues interdites pour en découdre avec les forces de l’ordre. Après quelques tirs de lacrymogènes, tout semblait être rentré dans l’ordre.

Mais, vers midi, quand la manifestation a été terminée, les casseurs se sont retrouvés sur la rive droite de Rouen pour un remake des Gilets jaunes. Une enseignante qui était au mauvais endroit au mauvais moment, a eu un pouce arraché par un tir de riposte des policiers. A ce moment, j’étais déjà rentré chez moi, parce que je ne voulais pas laisser mon chien seul trop longtemps. La prochaine fois je ressors mon casque et mon brassard de presse, car les casseurs sont malheureusement de retour pour des actions qui vont discréditer le mouvement populaire. Si je déteste la violence, les affrontements sont photogéniques. Je dois être là. Journaliste un jour, journaliste toujours.

  

Rouen (France) - Yesterday I had a nice journalistic crash. Due to the good performance, in Rouen, of all the demonstrations against the pension reform, I thought it was unlikely that we would see clashes on Thursday, March 23, 2022.

However, at the start of the demonstration, I had witnessed the attempt of a handful of yellow vests and excited young people in hoods to divert the demonstration from the official route to enter the historic city. The narrow streets of the right bank being conducive to urban guerrilla warfare. The unions managed the situation well and the 20,000 demonstrators did not give in to provocation by continuing the route established in consultation with the prefecture.

At first, only about twenty troublemakers ventured into the forbidden streets to do battle with the police. After a few tear gas shots, everything seemed to be back to normal.

But, around noon, when the demonstration was over, the thugs found themselves on the right bank of Rouen for a remake of the Yellow Vests. A teacher who was in the wrong place at the wrong time had her thumb blown off by police fire. I had already gone home, because I didn't want to leave my dog alone for too long. Next time I take out my helmet and my press armband, because the thugs are unfortunately back for actions that will discredit the popular movement. If I hate violence, I must admit that the clashes are photogenic. I have to be there. Once a journalist, always a journalist.

Féria d'Arles 2014

 

La tauromachie avec mise à mort se pratique sous diverses formes en Europe, en Amérique latine.

 

La corrida est le combat du torero à pied avec un toro de lidia âgé d'au moins quatre ans, dans une arène, avec Picador et cuadrilla. Elle est pratiquée essentiellement en Espagne, dans le midi de la France, dans divers états d’Amérique latine et des États-Unis ainsi que dans quelques communes du Portugal5.

 

La corrida de rejón est l'affrontement du torero à cheval avec un taureau de combat qui sera tué avec une lance ou rejón5.

Beja / Portugal (1994)

 

La course portugaise ou corrida portugaise (en portugais, tourada) « est un spectacle tauromachique où des cavaliers vêtus en habit de marquis du XVIIe siècle affrontent les taureaux de combat avec des rejónes et des banderilles. La mise à mort du taureau ne se fait pas en public, il est arrêté par des forcados avant d'être puntillé au toril6. » Elle est pratiquée essentiellement au Portugal et également dans le midi de la France.

 

Bullfighting traces its roots to prehistoric bull worship and sacrifice in Mesopotamia and the Mediterranean region. The first recorded bull fight may be the Epic of Gilgamesh, which describes a scene in which Gilgamesh and Enkidu fought and killed the Bull of Heaven ("The Bull seemed indestructible, for hours they fought, till Gilgamesh dancing in front of the Bull, lured it with his tunic and bright weapons, and Enkidu thrust his sword, deep into the Bull's neck, and killed it").[6] Bull leaping was portrayed in Crete, and myths related to bulls throughout Greece. The killing of the sacred bull (tauroctony) is the essential central iconic act of Mithras, which was commemorated in the mithraeum wherever Roman soldiers were stationed. The oldest representation of what seems to be a man facing a bull is on the Celtiberian tombstone from Clunia and the cave painting El toro de hachos, both found in Spain.[7][8]

 

Bullfighting is often linked to Rome, where many human-versus-animal events were held as competition and entertainment, the Venationes. These hunting games were spread in Africa, Europe and Asia during the Roman times. There are also theories that it was introduced into Hispania by the Emperor Claudius, as a substitute for gladiators, when he instituted a short-lived ban on gladiatorial combat. The latter theory was supported by Robert Graves (picadors are related to warriors who wielded the javelin, but their role in the contest is now a minor one limited to "preparing" the bull for the matador.) Spanish colonists took the practice of breeding cattle and bullfighting to the American colonies, the Pacific and Asia. In the 19th century, areas of southern and southwestern France adopted bullfighting, developing their own distinctive form.

Mithras killing a bull

 

Religious festivities and royal weddings were celebrated by fights in the local plaza, where noblemen would ride competing for royal favor, and the populace enjoyed the excitement. In the Middle Ages across Europe, knights would joust in competitions on horseback. In Spain, they began to fight bulls. source wikipédia

Un peu de fun avec une figurine et le chat qui me déteste. Je vais refaire cette scène avec un éclairage contrôlé et un meilleur angle, des suggestions?

 

Le chat n'étant pas très coopératif c'est la meilleur mise-en-scène que j'ai pu faire aujourd'hui, il a tenter de me mordre à chaque fois que je touchais à la figurine, et si je m'avance trop il me saute au visage...Pour ceux qui ne le savent pas ce chat me déteste à mort, il est gentils avec le reste de l'univers par contre.

 

Fun with a miniature and the devil cat that hate me. I will redo this scene with controlled lighting and a better angle, any suggestion?

    

La pièce met en scène la lutte entre les deux figures animales emblématiques du monde boursier, l'ours et le taureau. Les formes opposées des deux animaux, que l'artiste a construits à partir de sections métalliques ressemblant à des schémas boursiers, représentent la lutte du monde matériel. Les deux figures animales ne sont pas statiques, mais prêtes à sauter du sol et à bondir l'une sur l'autre. Ce n'est qu'un instant, mais aussi un mouvement infini. L'humanité a lutté pour survivre aussi longtemps qu'elle a existé sur Terre, et c'est ce que les premières œuvres d'art, les peintures rupestres et les sculptures totémiques - auxquelles les œuvres de Szőke font allusion - cherchent à capturer. Dans les peintures rupestres, nos ancêtres préhistoriques représentent des figures animales ou humaines du monde matériel, sautant ou nageant généralement dans les airs, pour évoquer une existence d'un autre monde, en rupture avec le monde réel. Ces figures ont peut-être fait partie d'anciens rituels, de mystères, des premières évocations éternelles de la survie humaine, de la lutte. Ce conflit dure depuis que nos ancêtres étaient des cueilleurs et des chasseurs, mais ce n'est pas une chose du passé, mais un éternel présent à chaque époque de l'humanité. Dans notre monde d'aujourd'hui, nous faisons toujours partie de ce conflit permanent pour la survie, entre nos besoins et la satisfaction de nos besoins. Nous sommes toujours confrontés à d'énormes défis et ce n'est pas plus facile pour nous aujourd'hui qu'il y a 40 000 ans. Dans notre civilisation, la bourse a une force motrice similaire à celle de la chasse, la lutte pour l'existence matérielle et le gain matériel. Besoin et accomplissement.

Les figures qui apparaissent au moment du mouvement sont constituées d'un système de milliers de colonnes métalliques monotones, verticales et rigides. Individuellement, les colonnes peuvent être minces, épaisses, courtes ou longues, mais ensemble, les nombreuses colonnes forment une unité super puissante. Leur coupe transversale et leur localisation dans un système de coordonnées imaginaire dessinent le fonctionnement du marché boursier dans les deux espaces étatiques opposés qui personnifient les processus de marché. La sculpture représente un moment figé de lutte continue dans lequel il n'y a pas de victoire éternelle. Le premier l'emporte, puis l'autre. Avec ses surfaces glacées, neutres et froides d'inox brut évoquant un ours des cavernes, la bête s'abat sur le taureau, référence au marché en déclin. Le taureau avec son corps rougeoyant - des sections d'acier oxydé faites sur mesure - est sur le point de charger son adversaire. Il est le processus des tendances montantes. Ensemble feu et eau, énergies destructrices et constructives, éléments naturels de la vie

Les deux bêtes métalliques sont nées du monde matériel, s'affrontant sur la terre mère. L'ajout du sol, le monde terrestre comme site de la lutte, a été conçu par Szőke spécialement pour cette exposition. La sculpture représente ainsi les principaux éléments de l'univers : le feu sous la forme du taureau, l'eau sous la forme de l'ours, l'air établit un lien entre les mondes terrestre (matériel) et céleste (spirituel) et l'élément terre, récepteur passif, est à la fois stable et sûr, maintenant les figures qui s'affrontent et les nourrissant. L'existence des quatre éléments principaux est la condition de la vie. L'artiste a été influencé par le travail d'Empledocle, qui, au 5ème siècle avant JC, dans sa Tetrasomia, ou La Doctrine des Quatre Eléments [Racines], a été le premier à dériver l'univers du mélange des quatre éléments, et est considéré comme un précurseur du matérialisme. Pour Empledocle, les 4 éléments proviennent de 4 dieux. En réfléchissant à cela, Szőke voit les totems de l'âge moderne dans les images de l'ours et du taureau, dont l'affrontement entre le monde spirituel et le monde matériel incarne les affrontements de l'existence elle-même.

 

The piece depicts the fight between the two animal figures emblematic of the stock market, the bear and the bull. The opposing shapes of the two animals, which the artist constructed from metal sections resembling stock market diagrams, represent the struggle of the material world. The two animal figures are not static, but ready to jump off the ground and pounce on each other. It is only a moment, but also an infinite movement. Humanity has struggled to survive for as long as it has existed on Earth, and that is what early artworks, cave paintings and totemic carvings – alluded to in Szőke's works – seek to capture. In cave paintings, our prehistoric ancestors depict animal or human figures from the material world, usually jumping or swimming through the air, to evoke an otherworldly existence, a break from the real world. These figures may have been part of ancient rituals, mysteries, the first eternal evocations of human survival, of struggle. This conflict has been going on since our ancestors were gatherers and hunters, but it is not a thing of the past, but an eternal present in every age of mankind. In our world today, we are still part of this constant conflict for survival, between our needs and the satisfaction of our needs. We still face enormous challenges and it is no easier for us today than it was 40,000 years ago. In our civilization, the stock market has a driving force similar to that of the hunt, the struggle for material existence and material gain. Need and Fulfillment.

The figures that appear at the moment of movement are made up of a system of thousands of monotonous, vertical and rigid metal columns. Individually the columns can be thin, thick, short or long, but together the many columns form a super powerful unit. Their cross-section and location in an imaginary coordinate system outlines the functioning of the stock market in the two opposing state spaces that personify market processes. The sculpture represents a frozen moment of continuous struggle in which there is no eternal victory. The first wins, then the other. With its glazed, neutral and cold surfaces of raw stainless steel evoking a cave bear, the beast descends on the bull, a reference to the declining market. The bull with its glowing body - custom-made sections of oxidized steel - is about to charge its opponent. It is the process of rising trends. Together fire and water, destructive and constructive energies, natural elements of life

The two metallic beasts were born from the material world, clashing on mother earth. The addition of the ground, the terrestrial world as the site of the struggle, was designed by Szőke especially for this exhibition. The sculpture thus represents the main elements of the universe: fire in the form of the bull, water in the form of the bear, air establishes a link between the earthly (material) and celestial (spiritual) worlds and the earth element, a passive receiver, is both stable and sure, maintaining the figures which clash and nourishing them. The existence of the four main elements is the condition of life. The artist was influenced by the work of Empledocles, who in the 5th century BC, in his Tetrasomia, or The Doctrine of the Four Elements [Roots], was the first to derive the universe from the mixture of the four elements, and is considered a forerunner of materialism. For Empledocle, the 4 elements come from 4 gods. Reflecting on this, Szőke sees the totems of the modern age in the images of the bear and the bull, whose clash between the spiritual world and the material world embodies the clashes of existence itself.

Grèbe huppé - Greeat crested grebe

Podiceps cristatus

Marché aux animaux à Metehara, au centre de l'Ethiopie

Cette femme appartient à l'ethnie des Oromos Karrayyu, que l'on rencontre en particulier au marché de Addis Katana, à 3 km de la ville de Metehara, en Ethiopie. Ethniquement voisins des Afars iles Karrayyu habitent les rives de la rivière Awash, en Ethiopie.

Les Karrayyu ne sont plus que quelques dizaines de milliers et les conditions écologiques et économiques difficiles (Les persécutions par les autres ethnies et même par les autres Oromo, et la spoliation de leurs terres par le pouvoir fédéral) engendrent des violences et des affrontements souvent mortels avec les autres tribus pour l'exploitation des paturages qui se raréfient.

  

Animal market in Metehara, central Ethiopia

This woman belongs to the Karrayyu Oromo ethnic group, who are found particularly at the Addis Katana market, 3 km from the town of Metehara, Ethiopia. Ethnically close to the Afar, the Karrayyu live along the banks of the Awash River in Ethiopia.

The Karrayyu now number only a few tens of thousands and the difficult ecological and economic conditions (persecution by other ethnic groups and even by other Oromo, and the dispossession of their lands by the federal government) generate violence and often deadly clashes with other tribes for the exploitation of increasingly scarce pastures.

Mouvement social contre les réformes de Macron, Paris 2018

La première légende :

Il y a très longtemps, vivait ici un être surnaturel, à la fois sorcière et grande guerrière, son nom était Scathach. Sa renommée était telle, qu’un jour, le plus grand guerrier irlandais, Cuchulainn, décida de partir l’affronter pour prouver à tous qu’il n’y avait pas meilleur que lui. L’affrontement eu lieu, il dura longtemps et fut terrible. Uatah, la fille de Scathach, courut jusqu’à la rivière en pleurant car elle ne voyait pas comment sa mère pourrait gagner. Dans les eaux vivaient des fées qui répondirent à son appel, et lui dirent de laver son visage dans la rivière pour trouver comment arrêter ce combat. C’est ce qu’elle fit, récupéra des herbes en chemin et les jeta au feu, ce qui créa une grande fumée dans la vallée et les deux adversaires se rendirent compte qu’ils combattaient depuis si longtemps qu’ils étaient affamés et éreintés. Ils décidèrent de faire une pause, déposèrent les armes et se rendirent dans la maison de Scathach. L’histoire raconte qu’ensuite Scathach initiera Cuchulainn aux pouvoirs magiques, lui donnera le gae bolga, le javelot-foudre, sa terrible arme magique et il épousera Uatah.

La deuxième légende dit que les mêmes fées qui vivent dans la rivière peuvent vous donner la beauté éternelle. Mais attention, il faut s’allonger pour tremper son visage dans l’eau pendant 7 secondes (et si vous amenez l’eau de la rivière à vous, ou dans vos mains, ça ne marchera pas). Votre visage doit naturellement s’immerger dans la rivière et vous aurez la beauté éternelle !

 

The first legend :

Long ago, there lived a supernatural being, both witch and great warrior, his name was Scathach. His fame was such that one day, the greatest Irish warrior, Cuchulainn, decided to leave to face him to prove to everyone that there was no better than him. The confrontation took place, it lasted a long time and was terrible. Uatah, Scathach's daughter, ran to the river crying because she did not see how her mother could win. In the waters lived fairies who answered his call, and told him to wash his face in the river to find out how to stop this fight. That's what she did, got some herbs on the way and threw them into the fire, which created a big smoke in the valley and the two adversaries realized that they had been fighting for so long that they were hungry and exhausted . They decided to take a break, laid down their arms and went to Scathach's house. The story goes that afterwards Scathach will introduce Cuchulainn to magic powers, give him the gae bolga, the lightning javelin, his terrible magic weapon and he will marry Uatah.

The second legend says that the same fairies who live in the river can give you eternal beauty. But beware, you have to lie down to soak your face in water for 7 seconds (and if you bring the water from the river to you, or in your hands, it will not work). Your face should naturally immerse in the river and you will have eternal beauty!

DIRECTION LES PLAINES D'ADRAHAM....

 

Lieu d’affrontement des Empires français et anglais en quête d’hégémonie, le parc fût le théâtre de luttes dont l’issue,La Conquête de 1759, a changé le sort de l’Amérique. Au-delà de son passé historique, le parc est à Québec ce que Central Park est à New York et Hyde Park à Londres : un parc urbain d’une valeur inestimable, un véritable poumon au cœur de la ville. Cent trois hectares de plaines et de vallons fleuris, boisés, gazonnés ou enneigés sont offerts à la conquête quotidienne de milliers de citadins et visiteurs.

 

STEERING THE PLAINS OF ADRAHAM ....

 

Instead of confrontation between French and English empires seeking hegemony, the park was the scene of battles whose outcome, The Conquest of 1759, changed the fate of America. Beyond its history, the park is to Québec what Central Park is to New York and Hyde Park in London: an urban park of inestimable value, a green lung in the heart of the city. Three hundred hectares of plains and valleys flowery, woody, grassy or snow are offered daily conquest of thousands of residents and visitors.

L'affrontement ! (Picador et toro)

Les Bourgeois de Calais - Auguste Rodin

 

Nées d'un conflit de succession pour la couronne de France, qu'Edouard III revendique à son cousin Philippe VI de Valois, les hostilités ont débuté en 1337. Edouard III a porté l'affrontement sur le sol du nord de la France. Lorsqu'il entame le siège de Calais à la fin de l'été 1346, le roi est fort de la victoire remportée avec éclat à Crécy en 1340 sur les armées françaises. Privée de sa source de ravitaillement par la mer, puis du soutien des armées de Philippe VI escompté au printemps 1347, Calais sombre dans la famine et le désespoir ; le 3 août, le capitaine Jean de Vienne négocie la reddition. Froissart a livré la réponse brutale du souverain anglais : « […] La plus grande grâce [que les Calaisiens] pourront trouver en moi, c’est que partent de la ville six des plus notables bourgeois […]. De ceux là, je ferai à ma volonté, je ferai miséricorde au reste. » Six bourgeois volontaires se sacrifient pour le reste des habitants.

 

Les bourgeois se tiennent debout, sans contact physique, mais individualisés par une gestuelle propre à chacun. Ils correspondent à la description des Chroniques de Froissart, « tête nue, sans chausses, la corde au cou, les clefs de la ville et du château en leurs mains », c'est-à-dire dans la tenue déshonorante des condamnés. Au premier rang, le vieillard à l'allure vénérable et résignée représente Eustache de Saint-Pierre ; sa position centrale est une allusion à son statut de chef du groupe. À droite, Jean d'Aire tient fermement dans ses mains les clés de la ville qui doivent être remises à Edouard III. À gauche, Pierre de Wissant encourage d'un geste de la main Jacques de Fiennes, qui semble hésiter derrière lui. À côté, Jacques de Wissant, frère de Pierre, s'avance en vacillant, tandis qu'Andrieus d'Andres cède au désespoir en se tenant la tête entre les mains.

 

Ces six personnages incarnent la variété des réactions humaines face à une mort annoncée. Par ailleurs, Rodin apporte une innovation dans le genre du monument commémoratif en rompant avec la composition pyramidale traditionnelle, qui répondait au sentiment d'exaltation propre à la célébration officielle. A contrario, le sculpteur place tous les personnages au même niveau, comme un cortège en mouvement. En ne privilégiant aucun personnage, il oblige le spectateur à tourner autour du monument pour en apprécier tous les angles et toutes les nuances. Ce choix répond à la conception de la sculpture selon Rodin, qui critiquait vivement les œuvres faites pour être vues sous un angle unique.

 

Source: histoire-image.org/etudes/bourgeois-calais

 

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The Burghers of Calais -

Auguste Rodin

 

In 1346, England's Edward III, after a victory in the Battle of Crécy, laid siege to Calais, while Philip VI of France ordered the city to hold out at all costs. Philip failed to lift the siege, and starvation eventually forced the city to parley for surrender.

 

The contemporary chronicler Jean Froissart (c. 1337 – c. 1405) tells a story of what happened next: Edward offered to spare the people of the city if six of its leaders would surrender themselves to him, presumably to be executed. Edward demanded that they walk out wearing nooses around their necks, and carrying the keys to the city and castle. One of the wealthiest of the town leaders, Eustache de Saint Pierre, volunteered first, and five other burghers joined with him. Saint Pierre led this envoy of volunteers to the city gates. It was this moment, and this poignant mix of defeat, heroic self-sacrifice, and willingness to face imminent death that Rodin captured in his sculpture, scaled somewhat larger than life.

 

Rodin's design (...) was controversial. The public felt that it lacked "overtly heroic antique references" which were considered integral to public sculpture. It was not a pyramidal arrangement and contained no allegorical figures. It was intended to be placed at ground level, rather than on a pedestal. The burghers were not presented in a positive image of glory; instead, they display "pain, anguish and fatalism". To Rodin, this was nevertheless heroic, the heroism of self-sacrifice.

 

Source: en.wikipedia.org/wiki/The_Burghers_of_Calais

 

Mouvement social contre les réformes de Macron, Paris 2019

Cette fois-ci, on ne rigole plus ! L'affrontement est bref mais violent ! J'avais déja assisté à ce genre de scène sans pouvoir la photographier, mais là, j'étais aux premières loges !

www.rando-canyon.fr

 

This is the Isle of Man’s sheep. It’s distinguished by a rich brown colour, especially of the face and wonderfully crazy horns. A clash between two four-horned rams can be violent, the animals lifting their rear ends off the ground for extra impact.

 

C’est le mouton de l’île de Man. Il se distingue par une riche couleur brune, en particulier par le visage et par des cornes incroyablement folles. Un affrontement entre deux béliers à quatre cornes peut être violent, les animaux soulevant l'arrière de leur corps pour plus d'impact.

This is the Isle of Man’s sheep. It’s distinguished by a rich brown colour, especially of the face and wonderfully crazy horns. A clash between two four-horned rams can be violent, the animals lifting their rear ends off the ground for extra impact.

C’est le mouton de l’île de Man. Il se distingue par une riche couleur brune, en particulier par le visage et par des cornes incroyablement folles. Un affrontement entre deux béliers à quatre cornes peut être violent, les animaux soulevant l'arrière de leur corps pour plus d'impact.

Mouvement social contre les réformes de Macron, Paris 2018

Text in English below.

Chasseuse de prime, abandonné par son équipage (ça faisait moins de part) sur une planète la sauvage Iceley. Elle finit par tomber amoureuse de sa nature mortelle. Mais voilà, l’Empire vint et détruisit une bonne part de la bio diversité de la planète. Jurant vengeance, elle gagna son surnom grâce à son abondant usage des nombreux poisons, qu’elle a découvert sur Iceley. Au cours de ses affrontement elle rencontra R’lay Kinn qu’elle retourna dans tous les sens du terme.

 

Bounty hunter, abandoned by her crew (to get a better share) on a planet, the wild Iceley. She ends up falling in love with its mortal nature. But then, the Empire cames and destroyed much of the planet's bio-diversity. In revenge, she earned her nickname thanks to her abundant use of the many poisons she discovered on Iceley. During her confrontations she met R'lay Kinn whom she returned in every sense of the word.

 

This is the Isle of Man’s sheep. It’s distinguished by a rich brown colour, especially of the face and wonderfully crazy horns. A clash between two four-horned rams can be violent, the animals lifting their rear ends off the ground for extra impact.

 

C’est le mouton de l’île de Man. Il se distingue par une riche couleur brune, en particulier par le visage et par des cornes incroyablement folles. Un affrontement entre deux béliers à quatre cornes peut être violent, les animaux soulevant l'arrière de leur corps pour plus d'impact.

Les premiers dessins produits par Pratt représentaient des Indiens.

Cette passion pour les Indiens, en particulier pour ceux du Nord-Est des États-Unis (Iroquois, Mohawks) l’a accompagné toute sa vie. Pratt a réalisé des aquarelles magnifiques, inspirées par les guerres indiennes et par la guerre d’indépendance en Amérique du Nord.

Il arrive au sommet de son art graphique avec “Wheeling”, ouvrage consacré à une ville de l’Ohio en proie à des affrontements entre blancs et indigènes.

 

The first drawings produced by Pratt represented Indians.

This passion for the Indians, especially for those in the Northeastern United States (Iroquois, Mohawks) has accompanied him all his life. Pratt created beautiful watercolors, inspired by the Indian wars and the North American independence war.

He arrives at the top of his graphic art with "Wheeling", a book devoted to an Ohio city plagued by clashes between whites and natives.

DIRECTION LES PLAINES D'ADRAHAM....

 

Lieu d’affrontement des Empires français et anglais en quête d’hégémonie, le parc fût le théâtre de luttes dont l’issue,La Conquête de 1759, a changé le sort de l’Amérique. Au-delà de son passé historique, le parc est à Québec ce que Central Park est à New York et Hyde Park à Londres : un parc urbain d’une valeur inestimable, un véritable poumon au cœur de la ville. Cent trois hectares de plaines et de vallons fleuris, boisés, gazonnés ou enneigés sont offerts à la conquête quotidienne de milliers de citadins et visiteurs.

 

STEERING THE PLAINS OF ADRAHAM ....

 

Instead of confrontation between French and English empires seeking hegemony, the park was the scene of battles whose outcome, The Conquest of 1759, changed the fate of America. Beyond its history, the park is to Québec what Central Park is to New York and Hyde Park in London: an urban park of inestimable value, a green lung in the heart of the city. Three hundred hectares of plains and valleys flowery, woody, grassy or snow are offered daily conquest of thousands of residents and visitors.

Troupeau de vache type aubrac (reste a vérifier) dans le tarn à Lavaur.

 

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Cormoran à aigrettes et Goéland marin

 

(ParadisMarin2014_1857 - Version 3 - CFEX/DFINE)

Le Damse Vaart est un canal qui se trouve dans le nord de la province de Flandre Occidentale. Le canal relie Bruges, chef-lieu de la province à la ville frontalière hollandaise de Sluis. Le canal fut creusé à la demande de Napoléon (1810), d’où le nom de Canal Napoléon qui lui est aussi parfois donné.

Le canal devait relier Bruges à l’Escaut Occidental. Il devait faire partie d’un réseau de canaux de l’arrière-pays qui devait permettre un approvisionnement rapide des troupes françaises tout en évitant les affrontements maritimes avec la marine anglaise. Après la défaite de Napoléon, les travaux furent abandonnés. La partie entre Hoeke et Sluis ne fut creusée qu’en 1856. Le canal traversait le centre de Damme, ce qui conduisit à la destruction d’une partie du village, entre autres le Marché aux Grains et diverses maisons de maître. Les trois cours d’eau qui se rejoignaient au centre, la Lieve, le Reie et le Zwin, ainsi que le port, furent rebouchés avec le sable des excavations.

 

Entre Damme et Oostkerke le Canal Léopold et le Canal de Schipdonk, creusés à la moitrié du 19e s, croisent le Damse Vaart. Leur niveau était différent de celui du Damse Vaart et on les fit passer sous ce dernier.

 

Le Damse Vaart servait à la navigation, principalement pour l’approvisionnement des villages, et au transport entre Bruges et Sluis. La navigation prit fin en 1940 lorsque les siphons furent dynamités par les troupes de génie françaises et ne purent plus être réparés. Par la suite, le canal a été utilisé à des fins récréatives et est devenu un des domaines provinciaux de Flandre Occidentale.

 

Dès le départ, des peupliers Marilandica furent plantés sur les berges du canal. Ils ont une durée de vie d’environ 90 ans. Ils sont ensuite abattus et remplacés par d’autres exemplaires. Les plus anciens datent de 1922.

   

The Damse Vaart is a canal in the north of the province of West Flanders. It links Bruges, capital city of West Flanders, to the small Dutch border town of Sluis. The digging of the canal was ordered by Napoleon (1810), which explains why it is sometimes called Napoleon Canal. Initially it was intended to link Bruges to the Westerschelde. The aim was to create a net of canals in the hinterland to facilitate a quick supplying of the French troops avoiding a maritime clash with the English navy. The works were abandoned after Napoleon’s defeat. The part between Hoeke and Sluis was dug in 1856. The canal crossed the centre of the village of Damme, which led to the destruction of a part of the village, among others the Corn Market and some luxurious houses. The three rivers that joined in the centre, the Lieve, the Reie and the Zwin, were filled in with the sand from the digging works.

 

Between Damme and Oostkerke the Damse Vaart is crossed by the Leopoldkanaal and the Schipdonkkanaal. Their level was different from the Damse Vaart and works were carried out to canalize them under the Damse Vaart.

 

The Damse Vaart was mainly used for navigation, supplying the villages, and transport between Bruges and Sluis. In 1940 the siphons were blown up by French troops and couldn’t be repaired, which meant the end of navigation on the Damse Vaart. Later the canal was used for recreation and is now one of the provincial recreational areas of West Flanders.

 

From the start, the canal banks were planted with Marilandica poplar trees. They have a life span of approximately 90 years. Then they are cut down and replaced with new trees. The oldest ones date from 1922.

Délire Star Wars.

 

L’intention de cette photo est de montrer l’affrontement supposé entre les abres parfaitement alignés dans l’ombre ( l’Empire ? ) et les arbres alignés mais de manière plus libre et en panache dans la lumière ( l’Alliance Rebelle ? ).

 

Affrontement parfaitement défini par la ligne de démarcation.

 

L’enjeu de cet affrontement : les grandes écuries de Chantilly que l’on aperçoit en arrière plan ( et non pas la Galaxie…)

 

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Star Wars delirium.

 

The intention of this photo is to show the supposed confrontation between the trees perfectly aligned in the shadows (the Empire?) and the trees aligned but more freely and plumed in the light (the Rebel Alliance?) .

 

Confrontation perfectly defined by the dividing line.

 

The stakes of this confrontation: the large stables of Chantilly which can be seen in the background (and not the Galaxy…)

Arrestation musclée. Les jeunes qui provoquent les CRS et leur jette bouteille, velo, barrière etc ne sont qu'à quelques metres des policiers. A la première charge, ils n'ont aucune chance de s'échapper. Ils sont alors ramassé par les gendarmes mobiles puis livrés aux policiers en civil qui se chargent du tabassage...

 

Violent arrest. The young people who throws away to the CRS bottle, bicycle, barrier etc are only with a few meters of the police officers. With the first load, they do not have any chance to escape. Then, they are collected by the member of the anti-riot polices then delivered to the policemens.

 

This picture is obviously

Falling apart

Cette chambre, qui porte le nom du roi Louis XIII, rappelle le séjour du roi à Brissac en août 1620. La visite du roi, alors âgé de 19 ans, est liée à ses fréquentes querelles avec sa mère, Marie de Médicis. Tout commence à la mort d’Henri IV, assassiné par Ravaillac en 1610 alors que Louis XIII n’a que 9 ans. Sa mère, Marie de Médicis, est nommée par le Parlement Régente du royaume pendant la minorité de son fils. Elle prend pour conseiller un couple d’aventuriers italiens, Concino Concini et Leonora Galigai, qui va accaparer le pouvoir. À 16 ans, le roi fait assassiner ces intrigants et prend la décision d’exiler sa mère en province. Elle quitte alors Paris et s’installe à Angers au Logis Barrault, l’actuel Musée des Beaux-Arts. Mais, Marie de Médicis ne peut se résigner à cet exil forcé. Elle prépare une conspiration armée contre le roi son fils. L’affrontement est alors inévitable et une bataille s’engage sur les rives de la Loire dans le village des Ponts de Cé : c’est « la drôlerie des Ponts de Cé ». La défaite des troupes de la Reine Mère contraint celle-ci à négocier avec son fils. C’est ici, à Brissac, quartier général des armées royales, que l’on célèbre la réconciliation de la mère et du fils. Cette scène est reconstituée dans une vitrine et présente les principaux personnages : - Louis XIII - Marie de Médicis - le Duc de Brissac - l’évêque de Luçon, futur Cardinal de Richelieu Les tapisseries d’Aubusson, d’époque Louis XIV, ont été réalisées d’après les tableaux peints par Charles Lebrun pour le Château de Versailles. Elles représentent l’épopée du jeune souverain grec Alexandre le Grand au IVe siècle avant JC. On y reconnaître les épisodes suivants : -Le passage à cheval du fleuve Granique situé dans le nord-ouest de la Turquie actuelle -Après la défaite des Perses, la famille du roi Darius, prisonnière implore la clémence d’Alexandre -L’entrée triomphale d’Alexandre dans Babylone, accompagné de soldats portant le butin pris aux vaincus -La bataille d’Arbel, où l’on aperçoit un aigle survolant le champ de bataille, interprété comme un présage de victoire par l’astrologue d’Alexandre et qui se tient derrière lui Sur le plat en cuivre au-dessus de la cheminée, on peut reconnaître le profil de la reine Marie de Médicis et au-dessus de la porte, celui de sa belle-fille, Anne d’Autriche, femme de Louis XIII et mère de Louis XIV. Le mobilier de la pièce est d’époque Louis XIII. De chaque côté du lit à baldaquin, les deux cabinets à secrets Renaissance sont d’origine génoise, à motif d’architecture de palais.

 

This room, which bears the name of King Louis XIII, recalls the stay of the king in Brissac in August 1620. The visit of the king, then aged 19, is linked to his frequent quarrels with his mother, Marie de Medici. Everything begins with the death of Henri IV, assassinated by Ravaillac in 1610 while Louis XIII is only 9 years old. His mother, Marie de Medici, is appointed by the Regent Parliament of the kingdom during the minority of her son. She takes to advise a couple of Italian adventurers, Concino Concini and Leonora Galigai, who will monopolize power. At the age of 16, the king had these intriguers assassinated and made the decision to exile his mother in the provinces. She left Paris and settled in Angers at Logis Barrault, the current Museum of Fine Arts. But Marie de Medici can not resign herself to this forced exile. She is preparing an armed conspiracy against her son's king. The confrontation is then inevitable and a battle begins on the banks of the Loire in the village of Ponts de Cé: it is "the funeral of the Bridges of Cé". The defeat of the Queen's troops forced her to negotiate with her son. It is here, in Brissac, headquarters of the royal armies, that we celebrate the reconciliation of mother and son. This scene is reconstituted in a showcase and presents the main characters: - Louis XIII - Marie de Medici - the Duke of Brissac - the bishop of Luçon, future Cardinal Richelieu The tapestries of Aubusson, Louis XIV period, were made from the paintings painted by Charles Lebrun for the Palace of Versailles. They represent the epic of the young Greek ruler Alexander the Great in the fourth century BC. We can recognize the following episodes: -The horseback ride of the Granique River located in the north-west of Turkey today -After the defeat of the Persians, the family of King Darius, prisoner implores the clemency of Alexander -The triumphal entry of Alexander in Babylon, accompanied by soldiers carrying the booty taken to the vanquished -The battle of Arbel, where we see an eagle flying over the battlefield, interpreted as a portent of victory by the astrologer of Alexander and who stands behind him On the copper plate above the fireplace, we can recognize the profile of Queen Marie de Medici and above the door, that of his daughter-in-law, Anne of Austria, wife of Louis XIII and mother of Louis XIV. The furniture of the room is Louis XIII period. On each side of the four-poster bed, the two Renaissance secret cabinets are of Genoese origin, with a palace architecture motif.

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