View allAll Photos Tagged Sarnath
Le site, composé de ruines de bâtiments construits entre les règnes d'Ashoka et d'Akbar, comporte aussi un intéressant musée qui expose des sculptures, tant hindoues que bouddhistes, prélevées sur le site lors des fouilles. Aux alentours, les nations à forte population bouddhiste ont construit des temples dans leur style national (temples de Birmanie, de Chine, de Corée, du Japon et de Thaïlande, ainsi que trois temples tibétains).
Tous les bâtiments anciens de Sārnāth ont été saccagés par les musulmans. Parmi les ruines notables, on compte :
le Dhāmek Stūpa, dont la structure originelle date du IIe siècle et IIIe siècle. Le bâtiment cylindrique a été remanié et agrandi au VIIe siècle. Fait de briques, il mesure encore aujourd'hui quelque 35 mètres de hauteur pour une trentaine de mètres de diamètre. Il est décoré de frises et creusé de niches. Sa base est toutefois construite en pierres et sa cohésion est assurée par des crampons de fer.
le Dharmarājika Stūpa est l'un des rares stūpas datant de l'époque d'Ashoka, seules restent ses fondations après son pillage par Jagat Singh.
les ruines du Mulagandhakuti Vihāra indiquent la place où le Bouddha passa sa première mousson tandis qu'à l'est on trouve le bâtiment moderne du même nom, décoré de fresques du peintre japonais Kosetsu Nosu.
le Chaukhandī Stūpa, érigé d'après la tradition à l'endroit de la rencontre du Bouddha et des Bhadravargīya, et sur lequel Akbar fit élever une tour octogonale en mémoire de son père Humâyûn.
le pilier d'Ashoka brisé depuis longtemps reste cependant dressé. Le chapiteau aux lions, aujourd'hui emblème du pays, n'a pas souffert de sa chute d'une quinzaine de mètres. Il est exposé dans le musée archéologique.
De plus, on trouve sur le site :
un arbre pipal planté par Anagarika Dharmapala à partir d'un rejet de l'arbre de Bodhgayâ,
un musée, le plus ancien géré par l'Archaeological Survey of India. Construit à l'initiative de Sir John Marshall, alors directeur général de l'Archéologie aux Indes, les plans sont dessinés pas James Ramson et le musée ouvre ses portes au public en 1910. Il expose des pièces datant du IIIe siècle av. J.-C. au XIIe siècle de l'ère chrétienne.
Sarnath サルナート
www.facebook.com/AkiyoshiTerashimaPhoto
© Akiyoshi Terashima 寺島彰由
Email : monakina6@yahoo.co.jp
there were few carvings remaining at the actual sarnath site (most had been moved to the museum). this was the most stunning.
Uploaded with the Flock Browser
Los niños, no tienen ni pasado ni futuro, y, lo que casi nunca hacemos, disfrutan del presente. Jd LB
Le site, composé de ruines de bâtiments construits entre les règnes d'Ashoka et d'Akbar, comporte aussi un intéressant musée qui expose des sculptures, tant hindoues que bouddhistes, prélevées sur le site lors des fouilles. Aux alentours, les nations à forte population bouddhiste ont construit des temples dans leur style national (temples de Birmanie, de Chine, de Corée, du Japon et de Thaïlande, ainsi que trois temples tibétains).
Tous les bâtiments anciens de Sārnāth ont été saccagés par les musulmans. Parmi les ruines notables, on compte :
le Dhāmek Stūpa, dont la structure originelle date du IIe siècle et IIIe siècle. Le bâtiment cylindrique a été remanié et agrandi au VIIe siècle. Fait de briques, il mesure encore aujourd'hui quelque 35 mètres de hauteur pour une trentaine de mètres de diamètre. Il est décoré de frises et creusé de niches. Sa base est toutefois construite en pierres et sa cohésion est assurée par des crampons de fer.
le Dharmarājika Stūpa est l'un des rares stūpas datant de l'époque d'Ashoka, seules restent ses fondations après son pillage par Jagat Singh.
les ruines du Mulagandhakuti Vihāra indiquent la place où le Bouddha passa sa première mousson tandis qu'à l'est on trouve le bâtiment moderne du même nom, décoré de fresques du peintre japonais Kosetsu Nosu.
le Chaukhandī Stūpa, érigé d'après la tradition à l'endroit de la rencontre du Bouddha et des Bhadravargīya, et sur lequel Akbar fit élever une tour octogonale en mémoire de son père Humâyûn.
le pilier d'Ashoka brisé depuis longtemps reste cependant dressé. Le chapiteau aux lions, aujourd'hui emblème du pays, n'a pas souffert de sa chute d'une quinzaine de mètres. Il est exposé dans le musée archéologique.
De plus, on trouve sur le site :
un arbre pipal planté par Anagarika Dharmapala à partir d'un rejet de l'arbre de Bodhgayâ,
un musée, le plus ancien géré par l'Archaeological Survey of India. Construit à l'initiative de Sir John Marshall, alors directeur général de l'Archéologie aux Indes, les plans sont dessinés pas James Ramson et le musée ouvre ses portes au public en 1910. Il expose des pièces datant du IIIe siècle av. J.-C. au XIIe siècle de l'ère chrétienne.
Estupa principal (Dhamek) en Sarnath, India, muy cerca de Varanasi. Esta estructura conmemora el lugar donde el Buddha predicó su primer sermón sobre el óctuple sendero y formó su primera comunidad de monjes (sangha)
After attaining enlightenment at Bodh Gaya the Buddha went to Sarnath; and it was here that he preached his first discourse in the deer park. The ancient Mulagandha Kuti Temple is among the brick ruins of Sarnath.
Dhamek Stupa (also spelled Dhamekh and Dhamekha) is a massive stupa located at Sarnath, 13 km away from Varanasi in the state of Uttar Pradesh, India.
The Dhamek Stupa was built ca. 500 AD[1] to replace an earlier structure commissioned by the great Mauryan king Ashoka in 249 B.C.E., along with several other monuments, to commemorate his pilgrimage there. Stupas originated as circular mounds encircled by large stones. King Ashoka built stupas to enshrine small pieces of calcinated bone and other relics of Buddha and his disciples.[2] An Ashoka pillar with an edict engraved on it stands near the site. more in Wikipedia
Ces photos ont été prises soit par Nicolas Alzani, Marcel Poulin, Jean-Pierre Piché ou Guy Desautels.
Nous étions en Inde pour le tournage d'un documentaire sur la spiritualité indienne en avril et mai 1986. Le film s'intitule SADAHNA. Il a été réalisé par Jean-Pierre Piché. J'en assurais la prise de son.
Ces photos ont été prises soit par Nicolas Alzani, Marcel Poulin, Jean-Pierre Piché ou Guy Desautels.
Nous étions en Inde pour le tournage d'un documentaire sur la spiritualité indienne en avril et mai 1986. Le film s'intitule SADAHNA. Il a été réalisé par Jean-Pierre Piché. J'en assurais la prise de son.